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Fence i A el Malneuresement quand lemouvement ‘efelien demandaiea descompositeus ‘tecrite pour lide nowsellesmusiques cela {alent - surtout pendant que e directeur de publication fut Franz aber (1640910) ‘Siecesseur de Wit Les composteus de haut fang habités a public des concerts (comme prouvaien a méme gene que beaucoup ‘autres compositeurs de cette époque‘en faint des concessions aux exgences dela ‘musique chrélense ssbanatisient leur ‘Deux comperiteurs sont des exceptions otoires Ln est Gabriel Fare (18451929 ‘oneles quelques caves ixuraiques se ‘étachent bien adessus de ceque isles autres composteusfranais de cette Epoque sont parvenus ee Son Reon (186), son Cantuel Joan Racine (1873) ct ses {uclquesauties motets sont pun les quelques rarespitcesfrangaises tes our Talinugiedontle cit est inrieuret ‘contemplaif plutbeque prsasifa lect et ‘sentimental ‘autre compositeur fot Anton Bruckner (4824-96) qui comme chiétienengagé sest ‘Consacié sins compromissionauservice de Diew eta composition pouela ium. (Gereporter texte de ce chaplte pour pls se details sur Bruckaer) + de O Acadiwy of Ane Neel Imecrpnt dotent le OX Sdano den edo hee do Ce Amunioue- => \deSchoenberg ou de Maller! -Méme longtemps apres que TAcadémie fut formée, Timéret se portaiten général sur les xéations toutes récentes et les plus modernes, ce ‘quinfest pas sans rapportavecla eulture pop ayjourd hui encore que, meme dans.ce secte fon gigne de Fargenten filsantjouer lz nostalgie). Sibien qu'en 1728, lorsque Roger North parle de musique datant une centaine Wannées, ila du ‘nal laconsidéree comme dela musique: Pluto que de la musique, Cest une espece demurmure harmoniewx; et une epoque oi! fon vivait dans lecalme etla tranquillité, cela devaitétreagréable a entendre, un peu commele chant confus des oiseaux dans un bosquet.* _AVautreexteéme, fx population insruite du dixeneuvieme siecleea vine considérer le passé avec respect renouvelé La distance dans fe temps conféraitune ambiance de mystere a des dificeseen ruine et fanciens manuserits Les savants ‘appliquerent dresser des catalogues, restaurey, copier De meme que les architectes revouvalent un imtérétau style {othique, les musiciens commencerent.. Ueterrer des musiques oubliges du passé Le déclin du christianisme Get at desprita eusur a musique chrétienne es effets profonds et nullement bénefiques dont le principal fut de considérer que la dimension spiniuelle de Lexistence erat disincte etsépasée dela vie quotidienne Le christianisme ets musique, se prétant peu ux investigations scientifiques qui suscicaient tellement dinteré,furent pew peu teleguesaux. cconfins de la culture Uncertain nombre dhommes déglise justiférent ce rejet en insistancsur la distance qui sépare le monde profine du monde scr: Nileur joie des cheétiens] ni leur peinene peuvents'exprimer convenablementavec les mémesaccents que silss'appliquaient aux choses de ce monde.tIs devraient comporter une certaine qualité qui montre ‘que nous sommes conscients dela distance quinousséparede notre Créateur (a3 afin du dix neuvieme sigcle, de telles ‘opinions s étaient imprégnées des conceptions " romantiques du passé gui atinbusient aus antiquites en tant que telles, des quaties spirituellesersnerées: Nos belles vieilles cathédrales etleur ‘musique devraientaller ensemble -Ia ‘musique devrait rappeler leculteautaat que le twit, larcet la baie. Une personne de passage qui écouterait de loin, incapable desaisirles paroles, devrait pouvoir dire: “ceci est de la musique sacrée"* Mais une fot qui ne sexprimedans vie _quotidienne que par des visite espacees aux Mais ces compositeursauraient eu du mala signer leur vie ou passer ala postérité sil nnvalencéerie quecels, meme en épondant aussiacimirablement et de figon aussi ‘convaineante aux exigences de leurs clients Les deux messes de Beethoven =la Messe ert (1807) et la Missa Solemnis (1819-23) furcat erites dans cette méme tradition mais leurs ‘dimensions et leur caractére tres personne! (surtout 312 Solemnis) les ont exclues de Tusage liturgique. Toutefois, orsquion les écoute dlans le cadre du culte, est une experience domt ‘on peut se souvent; La Missa Solemnis, 6coutée dans le cadre dune eélébration, comme cest parfoisle ‘cas en Autriche, n'éerase pas la liturgie, mémesi elle la prolonge indiment, elle exprime d'un bout aPautre une foi personnelle tellement centrée sur Dieu, ichissante et sublime, qu'elleatteint versel et approfondit Ia foi de la communauté qui célebre.® Uoriginalitési fappante de tantde musiquesca ix neuvitme siéclea rendu polémiqueleur ‘appore la liturgie les personals musicales les plus ardentes suscitant les tensions les plus vives La Grande Messe des Morts(1837) ete TeDewn (41849) de Berliozsontdesceuvies une personnalitéatcachante,¢tleursdimensions nen sonequ‘un desaspecrs (le Deum éxit prev pour mille exécutants). Mais elles nous donnen plus Fimagedes événementsoficielsauxquelselies etaient destinges quelies ne témoignent du desir. «técrire une musique répondant’ des besoins licurgiques. Franz Lisze (181-85) présente un cas plus ‘complexe ear,en méme temps quillembrassait avec ean idéal romantique, il éraitprétre et avait requ une formation de musicien. Cela explique peut-étre que sa musique chiétienne resemble parfois de figon Gtonnante ses oeuvres,

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