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1001 codes Python pour la modélisation SPECINEN Lionel UHL Du méme auteur, chez le méme éditeur Les 1001 questions de la chimie en prépa, 2 année PC/PC* programme 2014, 464 pages, 2014. ‘es 1001 questions de la chimie en prépa, 2 année MP/MP™, PSU/PSI*, PLIPT*, programme 2014, 192 pages, 2014 ‘Les 1001 questions de la physique-chimie en pra, année BCPST, programme 2014, ‘vee Christian Garing, 656 pages, 2014, ‘Les 1001 questions de a chimie en prépe, I” année PCSI, programme 2013, 16 pages, 2013, Les 1001 questions de la chimie en prépa, I* année MPSU/PTSI, programme 2013, 256 pages, 2013, Les 1001 questions de la physique chimie en prépa, I" année BCPST, programme 2015, avec Christian Garing, 648 pages, 2013, tsa 9722.40 as Sttpcaceeaesaane — (B) Spectre 2 np te a a Songer sari meme rors Sop fitness oem cera es ooararanwineoergsemen ae Soren cecnens sen oes th ae wwrweditions-llipses fr Préface Cet ouvrage est Ja réalisition d'un souhsit naif de réunir le mathématicien, le physicen, le chimiste ou encore le biologste autour de thimes auxquels le calcul scientifique ut apporter un éclairage. Si ces disciplines ont besoin de l'analyse numérique pour dénover es problémes que le calcul formel est bien incapable de résoudre, la rciproque est égelement vrai puisque le cleul scientifique sinspire largement des mathématiques mais également de Ja physique, ou plus modestement de la nature. Méme si I'analyse et Ialgebre sont des outils Perinents de résolution, il est notable que certains problémes ne trouvent une réponse que rice 4 un mime de Ta nature; par exemple, le ecuit des méteux a dooné naissance & Falgorithme du recuit simulé, Vétude des genes a permis d'imaginerValgorithme génétique Pour apporter une solution au probleme du voyageur de commerce. La puissance es ordinateurs et Pingéniosité des algorithmes permettent d"envisager I'éeude de phénoménes réels et complexes. Afin de rassurer le lecteur, et pour éviter de présenter des résultats sans appuis Ugorigues, la majorté des themes abordés sont tis largement connus, ce gui permet de valider les simulations numériques exhibées par Fordinateur, Il est alors possible de se ‘concentrer sur I'aspect physique du probleme ou devantage sor l'analyse mathématique, en effet un des objectfs de ce livre est d’expliquer clairement la démarche entveprise pour aboutir a la résolution des différents times abordés. Le lecteur pourra alors sans peine ‘wansposer les ies propres chaque algorithme & des problémes plus complexes, La plupart des chaptres présente une strcture commune. His commencent par exposer le cadre de l'étude qui repose généralement sur un probléme de la physique, ils déveilent ensuite une solution analytique lorsqu’ell exist, puis ils présentet algorithme et sa genése f fnissent pa la présentation des résultats avec ses critiques. Un demier paragraphe compile les différents codes utilsés dans le chapitre. Les divers programmes sont largement commentés pour aider & leur comprehension. La mise en ceuvee pratique est fondée sur Yatilisation du langage Python 2.7 qui présente l'avantage d’étre d'une prise en main aisée et de béndficier d'une large diffusion. Néanmoins les explications apporées lors de la présentation des algorithmes doivent permettent aux lecteuts de traduire les différents programmes en n'importe que langage. Cet ouvrage est principalement destiné aux éudiants de premier cycle universitaire ou de classes préparctoies. [pout également servi de base aux éléves d'écoles d"ingénieurs qui manipulent le calcul scientifique et souhaitent éviter d’utliser cet outil comme une boite noite. Ce live peut en fait re mis entre les mains de tous scientifiques qui, pat essence, Drésenient un esprit curieux. Il balaie des sujets hetérocites qui vont du’ Sudoku aux métaheuristiques en passant par la diagonalization ou la résolution d"équations aux derivées partielle. 4 Preface Le livre est décomposé en 7 parties, de taille et de diffcultes rds hétérogines. Ces partes ne sont pas totalement indépendantes, a Minsiar de la phupart des disciplines scientifiques qui se nourissent les unes des autres, La premiére partie aborde des themes ie variés mais son principal but est d'nitier le lecteur aux astuces algorthmiques et de lui présenter le logiciel via des problémes classiques de a physique. La seconde partie traite de Falgebre lingnite avec les résolutions de systémes linéares et le dagonalisation. La toisiéme parte sintéesse & I'éude de fonctions avec notamment les calouls epprochés des zéros, des érivées ou d'intégrales. La quatriéme et la cinguiéme panic concerent la résolution respective 'équations différentilles et d'equations aux dérivées parities avec. les incontournables Equations de Laplace, de ¢Alembert ou de diffusion. La sixiéme parte, plus ludique, s'intéresse aux automates” cellulaire. Enfin, la dere partie présente des algorthmes dit « métaheuristiques » qui ullsent des procédés stochastiques pour abouts & la résolution de problémes varies, Les différents algorithmes peavent éire derits de multiples fagons, ils ne sont pas foreément optimisés soit de fagon volontaie pour en améliorer la claré enit r= siniye ignorance. Pour réalser ce projet, ja pu compter sur i'aide de mes amis enseignants de physique ou de mathématiques. Au-deld des relectures, is mont offer leurs conseils et leurs critiques. Fexprime ma reconnaisssnce & Mare Ménétier, Christian Garing, Hervé dda, Amaud Leprince, Alexandre Reissman, Agnés Borel et je remercie tout particligrement ma compagne Avvrey Raul Lone! Uhl Table des matiéres 0 mu m2 m3 ry ms 16 u7 Introduction au calcul et représentations ‘graphiques Breve introduction Les tris Evolution de populations et chaos Cateuls de pH Dosages acido-basiques Lignes de courant Optique géométrique Interérences Diffraction Fractales Résoltion de Sudoku Représentations des orbitals atomiques dans le cas des baydrogénotdes Le plus court chemin, algorthme de Dijkstra ‘Traitement d'images Algébre linéaire Méthodes directes de résolution de systémes linéaires ou caine résistive infinie Resolution de systémes linéaires par métbodes itératives ou ‘convertisseur numérique-analogique Diagonalisation selon la méthode OR ou tenseur dinertie ‘une moléeule Disgonalisation selon la méthode de Ia puissance ou chatne ¢'oscillateurs Diagonalisation de matrices symétriques selon la méthode de Jacobi ou vibrations d’slongation de CO: Régiosélectivité d'une réaction de Diels-Alder Chute libre et approximation au sons des moindres carrés 1a 161 179 187 199 209 217 Niveau +1 x1 +1 x1 x 2 *) 2 #2 #1 x1 *1 *1 *1 #1 #2 2 2 #2 #2 2 6 Table des matiéres ™ ma m2 m3 ma ms me mL? Vv Wai w2 v3 va Ws V6 V7 v9 Iv.10 via v2 v3 va vs Etude de fonctions Approximation du 2ér0 d'une fonction ou position d'équilibre Developpement en série de Fourier ou filtrage de signaux ‘Transformation de Fourier rapide Approximations de dérivées ou cinétique homogene Formules de quadrature ou densité de probabilité Recherche d'un minimum et méthode du gradient Ajustement de paramétres Equations différentielles Méthodes explicites a 1 pas ou chute freinge Méthodes implicites a 1 pas Miéthodes de Runge-Kutta Equations différentielles couplées ou oscillatcur harmonique Méthodes malti-pas ‘Méthodes prédicteur-correcteur ‘Méthodes adaptatives pour problémes raides Pendule amorti ‘Le modele proie-prédateur de Lotka-Volterra “Modeles d’évolution de populations Equations aux dérivées partielles Equation de transport, Equation des ondes Equation de Ia chaleur & 1 dimension Equation de ls chaleur satonnaire 2 dimensions Equations de reaction-dffusion ou morphogentse Automates cellulaires Le jew dele vie Fourmi de Langton Dualité entre diffusion et percolation “Modéle d’avalanches dans un tas de sable Radioactivité Réactions chimiques bimoléculaites 225 239 253 259 269 281 29) 301 319 327 337 353 373 381 397 413 a7 453 a3 481 487 sor Sul 317 331 355 +1 #2 eed * +1 #2 2 +1 #1 *1 «1 «1 *1 *1 +1 +1 +1 #2 #2 #2 "2 *2 «1 *1 *1 *1 xi x1 Table des matiéres 7 VII Optimisation par les métaheuristiques VILL Le reeuit simulé ou le probléme du voyageur de commerce 565.1 VIL2 Agrégats de gaz rares 573 kL VIL3 Fonctions d’ondes radiales de l'hydrogne sel #2 VIL4_ La méthode Monte Carlo et le modéle d'Ising 389 ¥2. VILS Algorithme génétique 599 x1 VIL6 Optimisation par colonies de fourmis 607 ¥1 VIL? Les fourmis connaissent-elles le principe de Fermat ? ois x1 VIL8 Théorie cinétique des gaz parfa os #2 viL9 ffusion du point de vue probabiliste 649 #2 Index 667 Le niveau de difficulté des projets augmente avec Je nombre de branches de T'éoile. Le chifre indique Pannée d’étude nécessaire pour comprendre les notions mathématiquer ou physiques employées. Certains problémes. physiques dépassent légérement le cadre des programmes des ciasses préperatires, V'inérét du projet réside alors dans la modélisation fnumérique du probléme et non pas dans s8 résolution analylique qui est donnée a tire informatif Partie I Introduction au calcul et représentations graphiques Chapitre 1 Bréve introduction (Ce chapite n'a pas pour but de constituer un cours exhaustf sur Nemploi de Python, il donne simplerent quelques clés pour appréhender les problémes classiques de Ja programmation avec ce logiciel. util d'aide principal reste la commande help suivie du nom de la fenetion ‘dont on souhaite avoir de plus amples informations. 1. Variables et affectation 1.1. Présentation Linstrction d'affetation es la commande = Beep = Vinsrution = T stipule qu a varisie met de ype erie in) et qu'elle posséde tavateurl = Vinametion précise que Ia valeur numérique deta variable ete m est remmplace pars valeur précédeteincrmenie de I. Linsiucton @affecaton west ba symetigue la variable es toujours dgauce. = intrcion indique que In valeur numérique del variable réelle vant S314 et que cote varible ext de (pe rielle ov wd vingule Notante (float en aga)» = Larcommande[F="Bonfoir™| place ia caine de earactres bonjour dans la variable Al} conespood a une Histe ou une matice ligne A=()ox appartenaat & ‘Mas(R), Attention, le premier élément de ct liste ex & et i s'obtient de ls fagon suivante Afo): le premier indice une iste est indice aut 12 Introduction au catul et représentations graphiques = Ilest également possible ’efTectuer des sffectatons parlléles comme ‘instruction fy =4,4.13} ta virgule sépare les deux affectations, x vaut 4 ety vaut 4,13, 1.2, Opérations mathématiques A droite du signe daffecttion il est possible d'efectuer toutes. les. opérations ‘mathématiques courantes (+ addition, -: soustration, /: division, *: multiplication, ‘+: puissance) et toutes les fonctions utveles si on dispose des modules nécessares ou un éciteur eicace comme spyder pat exemple Python dispose également de l'opérateur modulo représenté par fe symbole %, ainsi la commande 10%2 renvoie O alors que la commande 21%42 donne | 1.3. Opérateurs logiques et relationnels Les opérateurs suivants permettent de comparer des éléments Symbole | Symbols | Siguiiaion Mathématique | _ python s=2} and (xe?) + | Instruction 3 yanue2, | Cauani de elseif que désiré) else: else yao Instruction & return y L'indentation est essentiele, c'est elle qui limite les différentes conditions L’exemple proposé est en fait une alternative la fonction Remarque:: Cet exemple moatre Vtilistion de tests conditionnels multiples «et » réaliés gre bla commande « and », Le let « ou » s’effectue avec instruction « or» 2.2. La structure de répétition : while..end La symuane es la suivante Sat = hile expression vérifige while (x<25) Instruction Hd ou xtel print x Dans I'exemple, x vautinitialement 0 puis tant que x reste strictement inféieur & 25, sa valeur augmente dune unit ; es valeurs affchées vont de 1 &25 par pas de I 2.3. La structure de répétition avec compteur for..end La symtaxe es la suivante Symiaie ~[Exonple jor affectation di compieur for x in range (1,26,1) Instruction prin ‘Comme précédemment, e programme affiche Ies valeurs de 1 825 par pas de 1. Attention Ja valeur 26 est exclue | 14 Introduction au calcul et représentations graphiques 3. Application : la suite de Syracuse 3.1. Présentation ‘Le principe de sa constriction est Ie suivant. La suite est iitalisée par un enter naturel, sil est pai, faut le diviser par deux et s'il ext impair on le mukiplie par tois et on ajoute 1. Ces opérations permettent de construire Ia tute (x,),. tele que, 4, ¢N +1 si u, est impair Ye a=" a, ext pret Ws iu, et pair, Alsi partir de x, = 5 apparatt a suite de nombres 5; 16 ;8;4 325 1 puis & partir de J & nouveau 4; 2; 1 et sinsi de suite pour un cycle sans fin. La conjecture de Syracuse annonce qu'd partir de nimpore quelle valeur de depart, la suite finit toujours par retomber sur le cycle 4; 2; 1.11 s'apit d'une conjecture car ce résultat n°a toujours pas ttouvé de preuve malaré les nombreuses tenttives de mathématiciens émérites. Dans le cs des suites de Syracuse, le temps de vol correspond au nombre de valeurs prises par la suite avant de etomber sut I (5 valeur pour l'exemple précédent) ; et Ialtude represente Ja valeur maximale de ia suite (16 dans 'exerple). 3.2, Codes I existe de nombreuses fagons de procéder pour programmer une suite selon le résulat ‘espéré. Dans tous les ca, il faut se donner une valeur de départ pout 1. Pour connaitre uniquement le n**" tenne de Ia suit, il est inutile de stocker toutes Jes valeurs précédentes qui peavent done &ie écrasées au fur est & mesure de Texécution du code. Fonction ‘Commontaires 1 eon TeV 36 ETS a STS ‘erabi ree sur Fc. erage) ee equiva & Hekpieionsa® etd Fn dol bouce avec compte rouwen ws [Sone me aia de Sila fonction est appelée dans le serps du programme, il suffité'ajouter le instructions ‘v-6yac1(2919,120); priniu) pour connate par exemple le 120° terme de la suite lément) fire | Tam oe ok emo ue 5 Misi e ali] Déeaeg de ti vers dite e yaa (On diminue Made ‘pour te a valeur de i mucho 7 Sin tant que Fin dela bovele tt que 8 Alii] atenent ACSETIeALLD 1st) etenent seine ta) 3, Tri a bulles 3.1, Principe 1 agit diverse les éléments contigus qui ne sont pas eorrectement ties. L'élément He plus grand remonte jusqu’au bout dela liste & Ia fapon une bull de champagne dans une Ate. 3.2. Algorithme Bovcle pow de Vindce de 8 1 Gaaebe sro) Lecture de bs lite de dite & gauche juego’ 1 pour 10a n-1 faire 2 pow je m-1 +1 par past fare | Sr ta 3 salileals-t re 4 temp «= A{/] Om ethene person ete te wy | Sse Seen ryan dae 3 Al< ALi] Then naan dulce we varmble trapon ‘ (eee commen 7 fist Frade leae et © Anponr Pade bcs ena bcp ° pn pour a 22 Introduction au calul et représentations grephiques On consiére alist enters (4,7, 8,2,3, 5] en eléments a trier 81 aa 45 siemrede Se 0 (ol por eine); mie nveion pour ate 3 4 [7 EMBEMT 3 [51]: Les valeurs grisees sont testées mais bien classes. 2 et 8ne sont pas bien classés (en noi) il faut les permuter, La double fléche symbolise la permutation. On eappelle qu'elle seffectue avec une variable tampon comme pour le ti par sclectio, 8 54 5 stasrede Sue (ote pov dee deme enn po inde? et 7 ne sont pas bien cass (en nots nversion wa 3S stecne de ws (ue oud ligne?) sine vein pour ie et 4 ne sont pas bien cass inversion 7 12 aes sieeurede Sve! (oat de ge): pemie vesin purine 4 ‘3 et 8ne sont pas bien classés "inversion Ot as 5 stead Set (al pour eine 2) denne von pour tedice 3 “2 [4 WRMMEWS [57] :3 217 ne sont pas bien classé inversion cnr de Ses hp en ine 2): wine ovecin pou ie 2 (2 WEMBENCT [8 [5] : 3 et 4 ne sont pas bien classes: inversion wT ks tenes Sn? (oul pour ete 2): rene nvelon por indice 5 (ETS TST WRMMEM 58 ne sont pas bem classe” version wa Lot sas steed Sr? (Bone pom de ene 2); denen veto jou ac 4 (ETS TERME] 5.07 ne sont pa ben classes iverson A store de vr? ol post dete 2) 2 [STL] :4 ets sont testes mals bien classes 34 5 stewed Swrr3 osc por ps2) 4 213 [47 S1 778 ):5, 7t8 sont testés mais bien classés 4 1 45 tered $94 (ove dean?) [2 T3T4TS T2778): 7et8 sont testés mais bien classés 3.3, Codes ‘On présente un code avec Ia permutation directe disponible dans python et la version plus ‘ener Fonction TriRapie(A,bordG,bordD) Lestris 23 REET Princ ch) for iin range (0, len¢h)-2) gin range (Len (a idkgiagal ‘eemp=A(3) Ata I=a03-21 Atri] stenp RETEST princia for 4 in range(9, Len a) for j in range (len All, 4,-2) Teaglats- N3),AG-1) ASAD ALS) Print my pt sans 16 tampon . Tri rapide (ou quick sort) 4,1. Principe Le premier élément (appelé pivot) est stlectionné puis plact de fagon a obtenir a se gauche les éléments plus petits que lui et & sa doite les éléments plus grands que lui Lopération est reproduite sur la sous liste de gauche puis sur la sous liste de droite. Le principe consiste& divser pour micux régner. La liste est divisée en deux sous lists afin ‘opérer par récursvité sur chacune. I agit d'un des algorthmes les plus efficaces, est ‘ues souvent utilisé et présente beaucoup de variantes. 4.2. Algorithme Lalgorithme éant récursif, il nécessite empl de fonctions. SEE ETE so Aldona] 10 Retourner i=1 re desentemies bores) Linge pea valerde ined bord dot ‘+1 aucun apel ne fee sr ct nice Lecture de ete ene J bord cot et le bord he (exc) perp e+ AlBord es chs comme pvt Si eevee | col (neue inice/ (on permate et A) Fin del bouce deat Fin dea boule de ese (On perma A] et dbordG} Lafoneton ene Pindie dpa 1 (On consider fa iste d'entirs [6,5,4.9,1,8] Sines gi (ae ation Inde) 5 inde en dcaresu oowce puree Sart Gestle pivot, comme 4[5]2.6 ily a permutation ene ALJ] ot Ali]: cela ne change ren ea is sont idemigues, F] near re es A[4}.6 done on continu fa Jecture ns ard tbe 5) nj ene oboe our ene Se A[3]26 done passe et on permute Af] et Afi] negra aie 8) deer lace lfc pow nee [2] <6 et 4{I] <6 donc on consinve ta lecture. mes grt a ee) nes jen loc pour entre Se | Fin dela lecture (boucle pour). On pemate fe pivot avec Ap] -t 3 est Pindice du pivot retoumé par la fonction, Le rapide ext applé de fgonedursive pour « taal» su es eu sous lists ete lee indies 2 ect AAs E [4] [6] [a] s] tes deus sus tine ere pvot Lestris 25 Pout la premidre sous liste (1,5,4) nega ian 8) inde | onl abet pre Test le nouveau pivot, comme 4[2]21 ily. permutation ene A[j] et A[i] nes gi a te ae) Indes er care er one pour ene Teste pivot, comme [i]21 ily permutation entre [/] t Afi} deer igri (ta ign) aden te el pour Fin dela lecture (boucle pour). On permute le pivot avec A[0}. i indice du pivot retour par la fonction. Le tr rapide est appelé de fagon récursive pour «travaller» sur I Sous liste entre es indives ret. 1 MEMS sine grid cers ne 2) eI STarlenowen pv comme #[2]8, 08 Gai lect on pert Ali-I] +> A[bordG] c'es-a-dire 4[2] <4 Aft]. Le nouveau pivot et 2 a. ._.=sasaeéeaesésséséséseésésésés#sNW tapi ne mare ps (et lige 2d nto Traps) Le tri rapide est appelé de fagon récursive pour « travailler» sur Ia sous liste ente les indices 4ets. 4 MEI 6 sine igri ttre 2) ‘eo cerebral pn nr Set ] 9 este nouveau pivot, comme 4[5] <9, on fini la lecture et on permute NA Ali-t]o AfbordG] erestisdive A[5] <> 4[4]. Le nouveau pivot est 5. Les deux nouvelles lists ont des bords droits égaux aux bords gauches dont le tei rapide ne démarre pas (ost la ligne 2 de la fonction TriRapide) Le tri es terming 26 Introduction au calcul et représentatons grephiques 43. Codes Boao = Woah TEIRapIae TA, Boras = Sf Bordoe-Nones Borddelen (ab-1 if Borasenorab: TndPrindscePivoe (A, Boras, BoedD) ‘Teikepide (a. Bord6, inaP=t) Teinapide im, lnaer i, Bordo} ‘GEE Tnarcesiver th, Boras BaraDy + dD? for j in range Bord, Cords, 1): ie adiosateocast AG) atsyeaty ata Ati-21,atword6] A(sora] ,ACS-1) Chapitre 3 Evolution de populations et chaos 1. Présentation Lorsque Cross ct Cotton (1994) étudiérent T'évolution de cellules canedreuses, ils adoptérent le modele de I'équation logstique proposé par Vechuls. Is choisirent d’utliser Nismo cu x nae (i-2) XK représentant la capacité de charge ou le nombre maximum de cellules que Ia boite de Petri peut contenir; en prenant X'=1, ils normalisérent Ia population N, le considérant alors comme la fraction de celfules cancéreuses ; r refléte le taux de croissance des calles, 2. Les différents types d’évolution 2.1. Evolution normale Selon les valeurs deri existe différents régimes de croissance des celhules tumoraes. Dans les cas oi estinféricur& 3, la croissance des cellues tend vers un état stationnaire, alors N= NAN.) soit Un taux de celles cancéreuses initial de 0,05 conduit aux Evolutions suivantes pour des taux de croissance inférieurs 83 28 Introduction au calcul et représenttions graphiques Figure 1: Evolution d'une population de cellules cancéreuses selon différents taux r de croissance & pari d'une population initiale de 0,05 cellues malades. 2.2. Evolution périodique Dans le cas ot r est superieur & 3 les régimes deviennent périodiques voire chaotiques. ‘Ainsi pour r inférieur & une certaine valeur extigue r-~3,828, la population de celules ‘oscile autour de 2 (exemple r=3,0) puis 4 (exemple r=3,8) puis 8, 16, 32,.. valeurs adhézence Figure 2: Evolution d'une population de Figure 2 bis: Evolution d'une population cellules cancéreuses pour r=3,0 & partir de cellules cancéreuses pour r=3,5 4 une population intiale de 0,05 % de partt d'une population initiale de 005% cellules malades e ceules malades. 23, Evolution chaotique Evolution de populations et chaos 29 Dans Je cas ole taux de croissance rest supérieur la valeur eitique ra un phénoméne evolution chaotque prend nsiscance comme P'indique les figures 3 et 3 bis ci-dessous, Figure 3: Evolution d'une population de cellules cancéreuses 9 4 partir Pune population initiale de 0,01 % de cellules malades, Up AIA Illi MH) Hi yl i NN Figuee 2 bis: Evolution d'une popula tion de_ elles canctreuses pour r=3,9 4 pant d'une population iiile de 001 +10"? % decofues malades. Ce type d’évolution a effectivement été observé par Cross et Coton lors de Fours études de cellules cancézeuses Les deux évolutions présentées sur les figures 3 et 3 bis ne different par leurs conditions initials que de 10" soit une quantité tout & fait infime. Néanmoins les coraportements ulérieurs sont trés différents: c'est en ce sens que l'on qualfie 'évalution de chaotique Elle reste parfitement déterministe puisque la loi qui régit son comportement est connue 3. Diagramme de Feigenbaum elle semble a posteriori complétement désordonnée, 2 Mitchell J. Feigenbaum qui STintéressa au probléme de bifurcation au milieu des années 70 et qui travaille encore ctuellement& universié Rockefeller aux Etats-Unis, It sapit de représeter les valeurs de la population N (dont Iévolution est donnée par equation Logistique) dans son état sttionnsie (cest-a-dire aprés une durée suffsante le code propose environ 100 itérations méme si en théorc il en faudrait une infinite) en fonction du taux de croissance. Pour I'anecdote, ce diagramme de bifurcation porte également fe nom de figuier de Feigenbaum: Voriginalié vient du fait que Feigenbaum signifi figuier en allemand. LLorsque r augment, il apparatt des bifurcations successves, ainsi le nombre des valeurs ‘adhétence est doubié apres chaque bifurcation. De plus la distance entre les bifureations 30 Introduction au calcul et représenations graphiques medium’) plesnow) speedecratanance08,50,2.5) IE Aine toa Foncesrewmuaton') Einotalear,Zonteizes neds") pitehow tps Mecrosseance(0.01,90,3-9) pitpiet (pect he'd PIE ashe Cece, boeatae Eemocaeatforatzenacton) Be tema pats ylabes reetiee ‘es argmeris gi ai Ta Ropu aS |S Gate de ett, aude cossarce {slston de jopulaon| Seust de trerence Formule de ecurores ‘Aout earn suivant ars ast es mane gota re envalers do inns cortenpondorts se varobee de sora de fncson mgonaton 2 mode grape ‘pal de foncien| raphe Figo 1 tage oes ros words Pogue? Foe 208 Fiques Figwe 3 Digramme de Feigenbaum ‘Serpt Commenares ‘ebuteine (2-er¥opount) ‘osinetasnoposee) 2 for ri teense oebut, Ein, 12 132 Introduction au call et représentatons praphiques for Cin azengei209) onesie 2on0/3} /seposnt Erplet (/Mepoint, RD, ' markerat zest) pltexlabed (Taye go cxolesence 1 2", Zontaszen'oacion') Plelylabed (Population Linite',foneaizemnessum) Biss enoe 0 Resurence pou determine popuaten Fepetsttaion des polos Feoultve canta de arb ‘ob abaters ceiengs. Chapitre 4 Calculs de pH 1. Les différents cas 1.1, Cas d’un monoacide Dans fe cas d'une solution aqucuse contenant un moncacide fible & I concentration sa base conjugute & la concentration C, carotrisés par leur pK, il faut Gude les ules suivants + Réaction d'iydroyse de acide: K, = 10" MmeHoOm £ + He AG G ° EF GE CHE geo + Autoprotolyse de eau: Ke 20,0" + HO Pour déterminer le pH défini comme ~log.(s) dela solution, il faut trouver h=E+a & partir de expression des constantes ¢'éuilbre : w od ha[H0"] ¢ o=[HO"] alk (Gee Pe a et appa $= 34 Introduction au calcul et repésentations graphiques Khe Uvintenite: hag amb Ke, rer 7h Soit A’+(K,+C)W “(Ke +K,CG)A-K,K, <0, Vexpression obtenve est 63a ‘elativement compliquée, c'est pourquoi, en pratique la méthode de la réaction prépondérante s‘impose. Néanmoins, ce type de résolution ne pose pas de probléme & Ryton (i gfnrasation de recherche dup d'un mélange quleogue est ede dans la suite). Evidemment Iexpression obtenue est bien plus w indigeste » encore que ‘expression polynomiale de degré 3 du cas simple ci-desss, 1.2, Cas d'un polyacide Soit un polyacide AH, comportant p acidité, Je ealeul de pH consste & considérer les équilbres suivants 1 équilibre : constante K, MH, + HO = at, + HO HG ¢ ° BF G6 Gah 641 équilibre :constante K,, ne a Ga ° EF O-8 48.4 Gath —Soat A 2° équilibre:constante K, Ane 5 HO Uk HOt a OG, Cou ° EF C,-8, 4854 Guth ok 1 faut égatementrajouterIautoprotolyse de l'eau selon I'équilibre 2H,O—=H,0" + HO” Lacinetatn nin 1,0" vt b= + Reasrm ‘rom consate que : $94, = Sk+iy([ an! En taduisant la conservation de l'enit , il vient 4e plus Pécriture des constantes d'acidité donne aleale de pit 35 AHS al ar aA ane expression des différentes concentrations devient Ky 14 ila, gt A, Be ee * cesta: Ts [4H ]=¢ 2 — avec ta convention [']X;=1 or $e, «Sesn(Lanss]-G) era bone he Se (a JG) ( (a Ke ay opoast s:hesh-$1 sn] cE — 6, || ME Te caleu de pH revient &cherche les zéos dela fonction f. 1.3. Cas d'un mélange queleonque Dans le as of le mélange est composé de N acides notés AH, oi p, est le nombre 'acidté du # acide, i faut sommer sur tous les acides, ce qui conduit alors pour ‘eerminer le pH, &chercher ls 280s de a fonction suivante Uk, I/:hoh-$1 S| as] So, Bc, 36 Introduction au calcul etreprésentations graphiques K,, est laf constante du acide ot C, esta concentration ile du # acide, Les pk, (sachant que K, =10°*) et ls concentrations sont sss dans les lignes des snaces (la sommation dant plus facile par ten). 2. Exemple de calculs 2.1, Présentation Soit le mélange su + Acide citique :[H,4}=C,,=0,1 mol; [#,4°]=G,=0 ;[Ha*]=C,, #0; [4 Janey 20 et phy 23.15 PK, + [#,80]=¢.=01 moli"; [1805], ct DK =18 5 pk, + [wHz]=c,=0 [47 | _S -[50"]=c, =0: 2, ick py =2 G5 =06 moLL"; pK, =7,2 et p,=1 2.2. Création des matrices de données et opérations Les données peuvent tre regroupées sous forme de tableaux (matrices) Ky Ky Ky) (10% 10" 10s k=], Ky 0 |=|10% 10 0 Ky 0 0} lo 0 0 (G 0 09) (m1 0 00 c-|G, 0 0 o/=fa1 0 0 0 (0c, 00) Lo a6 ¢ 0) Les premitres lignes des matrices K ct C correspondent aux données de Vacide citrique H,4, les secondes colonnes & H,SO, et ies trosiémes & NETS Pour arriver & 'expression de la fonction f cablie précédemment, il faut notamment effectuer la suite des opérationssuivantes G, 9 00 (oag G0 0G ag (eae “legg Caleuls de pit 37 ° =e © = Rar puis on obient le tableau (gga) don es céments de fa ignes sont a somme de la a llk, ligne de a... c’est-ivdire : 1+ 9"- a Ensuite ta fonction /s'en déduitfaclement& partir de la fonction sum. La détermination de la racine de fpeut se réliser par dichotomie dont le principe est étudié plus en détails dans le chapitee sur la termination des 2Eros d'une fonction. 2.3, Résultat numérique Le résultat numérique four’ par python est pH 28,53 La précisiond°un pHimetre n’excéde pas le premier chiffre aprés la virgule. Le résulta est done approche 8 pH =8,5 2.4, Verification avec la méthode de la réaction prépondérante (R.P.) La base étant en excés, il suffit de considérer les R.P suivantes qui ménent au systtme Squivalent ci-dessous Premier quilbre SNH, + HA ==> 3NHD + Ae BI 06 Ol o ° aq 0,3 0 oo Sezond équilibre 2NH, + H,S0, == INH; + SOF A 03 01 03 ° Od ° os OL 38 Introduction au calcul et représentations graphiques RP, de conte: équilibreinditérent NH; + NH, = NH, + NH epat) ‘Selaeb) 2. FE Teeetoic mao (ay) v#z0r0 16%, 10° a) 1990: oe! ee el 20¥4-3.2,2060-4.8, 2009-6 [Havtea.ay 0¥"~ 3,0)” (204 E5103, 0, 0.01, 13-10, 0.01, (0 prin colognes Retour a fant Fondion perma a cole ipiat ine det ‘Receree esata ne pH sBat 8 avec ute proacon aero" ae hl tant que a Le code précédent (pour ts fonction fzero) est tbs «pddeste , i come Pexemple ci-dessous. “Fonction principale dana le ler pF Comiantaires aE Freese 88 Ts rears sont Kesiesli ‘Sebatrent oe mares, tes Bgnanien tc) crimes efecusesgiase 8 Neolonsesten (0)? {ie basse for aon rpc aria fenton sum do phon sapeanseet) for diate de R: iinet {or vat so Lister Laghe append rhea) sipnaran.appond igre) print alphance, Esacelt for iistel,14ste2 sn 2ip(C,aiphanvnt: Agnes) ontaum(c) cotenne um(haates)| for vallvvald in zip (co,asate2) Bgnesappena¢vetvvai2/ (a) ‘cone. eppengiasne) cunsome( (243 £08 3 Sn weangesolonne)) \ For 1" In setogetvsonel | st tate) Toe Lstel, Liste2, sete? Sn aip tcunsum,cone,6) Ligeest] S02" vall,vai2,00i9 Sn, xiptdie Tignes append ail (oa. aeseeun{teun(2isted for 2sate én kel. s 40 Introduction au calcul et représentations graphiques Le code suivant réalise les mémes calculs mais utilise langement les méthodes de le bibliotkegue pled. I sagit d'une émulation de Matlab. Son avantage est cere plus rapide et plus stable vs-i-vis de la some (surtout lors de I'ajout de termes négligeables comme les concentrations ou les constantes acid). ‘Fonction alternative ‘Commentaires Tron pylab import 7 En enteeC. Keth gulent Get reereicynen) ftierno pas cota raster eteion ke aigrensizetc, ax15°0) Deerstion soe Negionaecesse(er axis") ‘moral dos mation {Ceease (ones iMl ger) Ebtssoment oa ormine Eontateconcatenate (ener livtealonesl #/a) antes) | geben Sfbenemscanprodtconeat,ansaes? ‘Npegenommade (ones sgne, 49), \ reayifzumcaipanon ands 13) ‘Steson(cubeum ones Ligne, oLonae)) Suis) stconena sets esivra/bo Chapitre 5 Dosages acido-basiques 1, Présentation du probléme 1.1. Dosage dun mélange d’acides par de la soude Le dosage de V, concentration C, 0,1. moLL! et acide bypobromeux HBrO ( pk, ‘concentration C, = 0,15 mol.L~! est effectué par de la soude NaOH ( pK, ‘concentration C, =0,1 moLL. Diaprés les concentrations des différents composés, le systéme doit présenter deux seus de pl bien séparés (car ApK >4) pour 10 mL puis 25 ml. de soude verse 10 mL d'un mélange d'scide benzotgue PACOOH ( pK, =4,2) & la 6) a la 4) ala 1.2, Allure de la courbe de dosage Soit ve volume de soude versée ‘+ y= Omi: le pH de ln solution est imposé par Iacide le plus for, ici acide benzoigue supposé faiblement dissocié (eK, + pC) =2.6 < pK, -1 (on vésifi bien les différentes hypotheses) S mL: Ala premiére demi-équivalence pH = pK, =4,2 , 1 [BroNa} \ 42 Introduction au calcu et représentations graphiques +) veIT,S mL: ala devxidme demi-équivalence p/ + vy25 mL: 8 te deuxiéme Equivalence, le bécher content deun bases. Le pH de la solution est imposé par la base Ia plus forte, ici BrO™ supposce faiblement protonée, POH 24+ pe)n24 de pit =106 mare C26, in + v>30 mb: epi et mposé para soude en excs et end asympiotiquement vrs 13. 2. Résolution numérique 2.1, Principe de la résolution Le principe des calculs de pif est celui du chapitte précédent. Les données de P’énoncé sont compilées sous forme de matrices Das ebécher Dans le brat Marie des pK, des dex aides Consant K,=(K, K,)=(10* 10) Kok, #10" Mattice des concentrations Concentration (SG) (01 0.5 lef). Gel = elealel (ESF) «-(}e) Les premidres colonnes correspondent PPacide benzoique et les secondes & l'aide hypobromeun. Durant le dosage, il faut tenir compte de la dilation, c'est pourquoi les concentrations des coop de ce sn maps pr se in, sh ue cle as burette sont multiples par le facteur Ue mais Ky ep pus main Gynt ey dae pts ints ci clef ban ours ities ales Sse ieee 2.2. Courbe de dosage La courbe de dosage est représentée sur Ia figure 1. On retrouve les pH préits rapidement ‘ay paragraphe 1.2 Dosages acido-basiques 43 3 ae 0 volume (mat) Figure 1: Courbe du dosage de ¥,=10 mL d'un mélange d’acide benzoique PRCOOH (pK,=42) & la concentration C,= 0,1 moi" et acide hypobromeux HBrO (pK, =8,6) Ia concentration C, + 0,15 mol." par dela soude NaOH ( pK, =14) ala concentration C, =0,! mol. 3. Codes Le code suivant est ajouté a la suite des fonctions présentée dans le chapitre précédent (notamment caleulpH nécessire au code). ction ajouide dans Te fichier pH | Conmaeriaires SieSte matpiottlbcpypioe ae es arginine snk ef cosage Coo, Roar, Coach, Roach, Veet): riches auporopaphe eT | Défnion ea cto pH 1 Nemore de gahiseaure grape | Concetenton des Ke votuneae[veutn/ineposee'2.1\ Deftones votes for in wsargeinbpetne) poutieaee foe ¥ $n volumes: Bout or uct vue stot son, bucw/ivstbech) ison pour burt ‘Silution-benvbecty (es¥becn) Dion Boul bere 44 Introduction au calcul et représentations graphiques CoN ap RSE STAT on BV TEREST for Liste An cou] Ghechaeineplide xshton bern A4ste)\ DiescalcoipA (Ca) PiListeppenaipae) pit splot wotupes.pihist,*k") Pltcklabel ('voiune (nu) ysoncasae plelylabe! (pA, fencer piecanaet) medion’) rover ioee-n4.1) getforacaih Hoes [[10+0-4.20, (30°%28.69) eect tOe1, 01, (6035,01) eens. (beegesa reece ‘Sper de maT a Gos conceneatons CConctinaion dos Sorcery Catt ou ‘Nos dots vlur dene a ato raphe Spore cu raphe Example tapotcaton Chapitre 6 Lignes de courant 1. Ecoulement potentiel 1.1. Présentation Pour les fuides parfaits, si "écoulement ext icrtationnel & un instant dann it le reste et ceci dans Nensemble du volume de fue étudié. Le vecteur tourbillo est alors nul & tout Par conséquen i existe une fonction appelge « ptetiel ds vitesse te que ie mde {eoulement et dit potent Si, de pl, coulerent ext incompresibe ‘ivo=0 div (aed) ‘Alors potenti! des vitesse obi Equation de Laplace (e=9 La lingarité de cet équation permet daddtionner des solutions dterninges de fagon indépendante. Pour résoudre le probléme considée, i faut en plus que la solution finale vérifie les conditions aux limites. 1,2, Exemples simples d’écoulement potentiel ~ Beoulement wniforme 46 Introduction au calcu et représentations graphiques Dans le cas d'un champ de vitesse de la forme 5 =1,7,, le potentil des vtesses est (= nyx ot equation des lignes de courant est y=cte ~ Sourceou puts Liéeoulement incompressible d'une source rectiligne de section négligeable (confondue avee I'axe Oz des coordonnées cylingriques) est caractérisé par un débit volumique par unité de longueur Lianalogie eecrosatique cosisie& prente des lignes d'axe Or avee une chase linique 4=g de. Lanalsse des symetries conduits rechercher le champ letique = B(N, Dela mime fagon, it convient dechecher a vitesse sous Ia forme ¥=¥(7), Un clot dfx dela vitese& travers un finde de rayon ret de hauteur h doane 0, =Oh= ff0-B =2arh-v) soit p= 2g, Bar Pour Q > 0, on pate de soure, écoulement diverge depuis Paxe source, et pour 00, écoulement converge, i agi un put Lepotemiel des vitesses ventie sous la forme 2 sot gL aan cane ‘Les équipotentielles ( te) correspondent & des eylindres, ~ Dipste De fagon analogue a M'électostaique ob deux charges proches de signes opposés forment un dipdte, association d'une source (débit Q) et d'un puits de debit oppose ‘onsitue un dipole hydrodynamigue. Le potentiel g du dipdle correspond a la somme des potentiels du puis et de la source ° Lin, - Lin's peer Pion + Llane Ln ‘08, et sont respectivement les distances 4 la source et au pits Dans approximation dipolar, la distance d entre la source et le puits devient tes infrieure & r, et r, mais le produit p= 40 (moment du dipéle) reste fini. Alors comme Vobservation est faite pour dyrc0s@, done les termes a, doivent are nuls pour n> 1, ainsi que 2 ef Cette limite permet die 48 Introduction au cafeul et représentations graphiques Laure condition ax inte ince & tude la vies sr le eyinde. La composane ‘ale dela viewe doi ene mill pow r= 30, 0 6 (R0)=22(0,0)=y0080-F Esco (88) = 52 (8,9) =r c050- $7 cost) (Alene $22 ono) Pac ideation, vient B= Rx, et 8, =0 pour tout n> 1, Finslmen, expression d potent et a suivante om ofr +E Jeo ceeeeaaae Ts comme Cun tee €'6coulementuniforme et d'un Cette écriture correspond en dipole 2.4. Lignes de courant La vitesse est tangente aux lignes de courant dont I quation est obtenue en intéjrant Bade En coordonnées eartésiennes cela s'éerit: dy = ‘ten coordonnées polaires ver = yd i, en coordonnées potsies, les composantes de Ta vitesse sont: Soe i (ra)en{t (0)e-n[ 1-5) sina Léquation des lignes de courant s‘obtient en intégrant vel = 9rd {iv )sserne Ba. Leptin pees (i-2) y" en posant x -sidaoed i et J vet Lignes de courant 49, coi yy_ (+1) sind 3G =1) Lintégration donne (rm ~In(sino) “= Remarque : Les équipotentelies sont orhogonales aux lignes de courant et elles sont obtenues pour p=cte soit dg = gradp-dF = 0-47 =0. 2.5. Représentations graphiques expression du potentiel et Péquation des lignes de courant permettent d’obtenit la représentation graphique dela figure | Figure 1: Lignes de courant (tats pleins) et équipotetelles (traits discontinus) pour ua é2oulement potentiel autour d'un eytinde immobile. Sur le cylindte, »,(R,6) 2y,sin@. Les points darét correspondent sux extrémités des lignes de courant qui s'andteat sur le cylindre c'esti-dire pour ¥9(,0)=~2 sin Sur fe eylindre, on remarque également que fvf=2»,in |<, pour —x,<0< 9% et '<0<7%. Ce résultat est cohérent avec Ia care de courant, a vitesse dont le valeur 50 Introduction au caleul et représentations graphiques Join de 1a perturbation est ¥,, diminue 14 ol les lignes de courant partes de P'inini sévasent. Inversement, la vitesse est supérieure a sa valeur & Uinfini Ia oi les lignes de ‘courant se resserent. Ceci est conforme & la conservation du flux (div = 0), ‘Une autre représentaton consist utiliser la fonction quiver de Matplotib. Cette dernitre permet de représenter directement les vecteurs des Viesses qui peuvent étre caleulés nnumériquement par la fonction gradient & partir du potenti! Figue2: Champ des vitesses pour un écoulement potentel autour d'un eylindre immobile. 3. Cylindre en rotation 3.1. Notion de vortex Un vortex correspond & un écoulement qui n'est tourbillonnaire que sur un axe choisi ‘comme axe Or des coordonnées cylindriques. Les lignes de courant sont des cercles d’axe 6, la vitesse est done cherchée sous Ia forme ¥ = (7). Le caleul de Ie circulation C da vvecteur vitesse sur un cercle de rayon r donne En dehors de I'axe du vortex, Zoi ), Pécoulement est irotationne! et potenti. En r=0, il existe une singularté de la vorticité responsable dela circulation non nulle sur un contour ferme qui entoure I'axe Lignes de courant $1 Par conséquent pour r #0, la vitesse véifie quipotentilles sont des demi-droitesd'équation "Notons que écoulement est également incompressible puisque div = 0 3.2. Ecoulement autour d’un cylindre en rotation La modélisation de écoulement d'un fuide autour d'un eylindre en rotation s'obtient en superposant le potentel associé & un eylindre immobile & celui du vortex. En effet dans le régime transitoire ia rotation du cylinére eniaine le ide visqueux gui erée un tourbillon A’axe Oz. Dans le régime permanent, i est possible de revenr au fide par Par conséquent, le potentiel suivant = @iary + Pua CORViED += Joos0+ 2 on x [enn(--E}er$ 1a vitesse du Duide est égale& celle de Mécoulement (= Beng.) augment dela vitesse d'entrainement du cylindre ( ¥,= FFAd@q,)- Or a la surface du cylindre, = c 80 Pe = Si = Revit ois ay est a vitesse angulaire da cylin B88 ae = 555 is 9a vitesse angulaire du eylinde, Le potentel srt ainsi [Bova eayeion es campos evn devi lo) =S2(-)-n( 1-5 Jono (+85) sve ee 20, 55e(r.0) = L’équation des ignes de courant s’obtient en intégrant vd = rd Le cate direct proposé dans le paragraphe précédent n'est plus réalisable puisqu'i est impossibte de sépaer les variables r et 0 'Néanmoins, comme I'écoulement est toujours incompressible div = 0, 'estd-dire Lary, »4(r.8)= 1 ote Fer 36 (en coordonnées eylindriques) fae ou enone fxr 0 =-[dr De plus pour éabli Equation des lignes de courant, il fall intégrer vydr=v,rd0 + Jrar= fora, 2 Introduction au calcul et représentations grephiques Sot Saement ford0= Jar winter so)-0 a n(orH posers) done f(r)+eR* Inr = ~g(0) =.cte (car valable pour tout ret 8) L'équation des lignes de courant est alos donnée par Remarque: Le cas #0 redonne l'équation éiablie dans le cas oli le cylindre est immobite 3.3. Représentations graphiques [L’équation des lignes de courant peut se réerire en coondonnées réduites fe Bjina tine =] oa =F at ka Re Lescas k=\/3 ou k =2 conduisent aux représentations graphiques suivantes : Vz igure 3: Lignes de courant pour un Figure 3bis: Lignes de courant pour un écoulement potentel autour d'un écoulement potentel autour d'un cylindre en eylindre en rotation 2 la vitesse rotation ala vitesse engulaire «= 23/2. angulaire o=J2y/R. Jeaoes Les points d’arét sont obtenus pour wleon( ls oo clotyeon{ie ina SE oan -( Lignes de courant $3 ‘Dans les deux eas précédents, les points d'arét sont sur le eylindre en r= R c'estindire raletsing=4 2 2 2y « wr 0B, keV done 22% erpour = ME, ka? done 0%. Po kev done 024% epoar 02% : eos / 9-8, mais es pls sure eine, Pour wowver 7, fut soutke Pétion _ 2 tn replat dan Pétion designe cous spat ne conan don It valeur approchée est 0.6212, allure des lignes de courant est alors i suivante : z Des 12, esi do ti Sestcdire en find) ino st ao st iest-8 ma igure: Lignes de courant pour un écoulement potentiel autour d'un eylindre en rotation Ala vitesse angulare = 3v,/ 4, Codes Cas du eytndre immobile Figure (Si Crime inet | estintes ou gaphe 54 Introduction au calcul et représontations graphiques Deaemand tim, y2imp)/ 12.) ‘yenpcazenge(-yiim, yim.) Au tonpwveshgrisiney) Pes de dicotzabon spat pots) Liste aay es tte deny Passage du grape on 2 on cooronntes cance yin ezancpore 9) wictesnysue Wyntesal sy ples fagure(chanp"y pielguiver i fetid) pit omtaber (i) Brelptanel sopie = ap-arange(,20np. p01) opie, fll ieap-ooe angie Reap in tangle} et) please (toga) spesegectnn Fa Snr ieee ee eisai) fetter ecu elearning, Sioamece neues! SSE neat aay Sanaa ce Cl upmre —_|issztreton arm ome eeloran( 0, 0,0), Linestyless'eoise') Tainan cae | oma sare ost eet fete ssn a snate ~ np-acange 0,209.1, -02) oe ve aE fn ar a Fes Late et EEE nuances resets pt pcmcia tints seaman SEOMRCInGRR user sso mat rms n m cornet pare SET SET aes capt setae ina, facies option pormotnt steriesvles br est auperiar au rayon Le tract du champ des vise Deteiton ds es Reprsortaton du cya par un ceque Lignes de courant $5 as eine en rotation Tit Srp com Fe eatsict OE FIST aE opens ae a Ienites des axes xlim st ylen ; katte choix et sotetson atin ylin Bldg: concise ok sane Soe eden (aim yim} /(L-*nb) senpsaeange(oxtinsxia,®) Papcazange(-yiine lima) Ketenp.mesngeistsey) eno ssare corvaeeer2y ot (e-3/} “mp. etn(2h) hemp. 10940) weil pit-tiyere("zontoue") Plt contaue(hy fy 1gne,alphackone\ Solsesnt (00,0) hunectyese' aot) pit sxtabel Ox) Plelylabet Or) sogleerp.arange(9,2np.p3,.01) PLE-Fiat inpsces (angie) smp.ain angie), 0) le vanis vegans) plelanie (sore) Blecehow rotation( $s 4-lenp.esange (-4, 4,251) Fotation( 4, ¢,2;np.ezange (4, €,.25)) ms EGrapeagees)92 fee teeta) shen toate Tigoeete-arange 25,425) ¢ete Potation tes tighel Leto ost analogue euxsort reciente Chapitre 7 Optique géométrique 1, Les lentilles minces sphériques 1.1. Construction géométrique d’une image Une leile est dite mince si son Epaisscur est tts petite devant les rayons de courbure des deux diopressphériques qui la consist, Les sommete 8; et Ss des doptes sont alors confondus et par dnt O §, = S, este cente optique dela etl. Les foyers images F* et objet F sont symétiques par rapport au plan de fa lenille( OF =~OF ). Pour une lente convergent les foyers image et objet sont res; ils som viruels pour une lenille dvergente. La distance focale (image) est défnie par ‘s'=OF ; ele est done positive pour une Faille convergente et négative pour une Jeol dvergente (en orienta axe optigue dans le seas dela lume incident) Pour construire image géométrique d'un objet & travers une lentille, on retient les résultats suivants = Unrayon passant parle centre optique O n'est pas dévié (voir la figure 1). = Le foyer image F” est le point conjugué d'un point objet & "infin sur 'axe, c'est ‘die que des rayons incidents paralléles a I'axe donnent des tayons émengents passant par F* (voir la figure 1). — Le foyer objet F est le point conjugué d'un point image & infini sur I'axe, c'est fire que des rayons incidents passant par F donnent des rayons émergents parallels "axe (voir la figure!) ~ La lentlle est consdérée comme un systime optique stigmatique et aplanétique, done pour un couple de points conjugués # (objet) et B° (image), tout reyon passant par # avant traversée du systéme repasse par A apres cette traversée 58 Introduction au calcul et representations graphiques De plus, image d’un objet plan, perpendiculaire & axe optique, centré sur I's cst plane et également centeée sur I'axe(aplanétisme) ensemble de ces données permet de construire ls figure 1 dans le cas d'un objet réct 0), Lorsque sels les prolongements des rayons se rencontre, le point jet (x, > 0) 04 fe point image (x, <0) es dit View igure 4 : Construction géométrique d'une Figure $: Construction géométrique d'une ‘mage réelle pour un objet viruel travers image viruelle pour ua objet réel & travers ‘une lenille convergente tne lentille divergent, Figure 6 : Construction géométrique d'une Figure 7: Construction géométrique d'une image virtelle pour un objet virtue] & image réelle pour un objet virtuel a wavers travers une lentlle divergent, ‘une lente divergene. 3. Codes netion apc dans Tene Conmeniaires Fron nateotlib:pyiab TepOHE BIS FOR FIST EETE VT Gav as pvt, sevetsa, show Eres ce fonction ee ee optdegee eran max, yain, yasks ND ohenin) fens gree, a nore Nb Gerayons ate cheminourle suvopaca | axis atn-aman, ymin, gman) mts des xcs Boxttort'y Stppresen dea botat plot (ann ama 10.91.) ‘rac de erie let (10,01, Iymaneyman ey 2snawebe2) ices Sieonmgente I opi mii 6 FR SRT TT aE ESATO ‘Task de bs BRE Plot o.ymine.97, "kv" saackersizecio) exat?peer = pibttO, yan”. 97, tert narkersizect0) aa Plot iO, gmane.99, "R=" ynarkereszect0) plotitprty Poston et act des ove Eemettpy mane 628."F"%) a plociefproetas") ene (fp, yan 025, Ske amaie025,ar085, 0") este Of conte cote point_ensenblenginpet bet, tineout=300) nue gagtioue ds points ovesares bu wos 0 shevosnt_enseab10{0) 10) Ses royne. Sropoint™ensenbletOl (2) a Cetin eat dos Zor pointe in point_ensesbie(t:): estes deg ‘eppenaipoinesTon) tee y.3prenatgountst21) se ne) ite ost te Enirt ian use! 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Elen poets avant Site on as 1S roone ant ers A sont en bei et ns ant ere frrareenaioy spin append mn) p.2ppandiyhonde hey a))/ ahr {o}) Cul esto paras 62 Introduction a caleul et représentations graphiques Tae sa ae PAC) a n-yten)/Uab-mioD) Spee onl pm) ypteap ial / phx) Hime appenat\ Pecfaiviel as keylolh/ahontad) Yas fxpdame [al =xph2* yphoyp(n})/ eeA-xp ER] plotttaa,xpin) (Ayia zt, tsnecicenent) — | Trot es tenes portions it (ten sated Taptelcoisninni es spent davon. pies (ete) Splint vein ols). ploclinpiay seine nd) pian savin hoe taptelxelsnetnt i foptnlsyetune toi Egissttentncnicens Sawogarde da Finage Commands ‘Commentaires Fron Tentliea TSR GEETCHT Poor one al 5 TOA Sa ‘chanine"E:/pytnon coure/Elguret* Foe spelegea idee ,305cr1, 9, chemi opal dl fnaon Commands ‘Commentaires ron tentiliea tnpore Oper eqeS Poor une tees ca TEAS pane Shenine"bs /pyenon coure/tigece2? Powe? _pesegoo (10, 50,30, "151, 9, 2hemss) opel es oncton Commandes = Commentaires ‘Tron feneiiies ager’ OBLTSISS Pour ue eal IOS aya Sheniew' Et /pytton cours? Figures Powe Speiegoo 0, ~0, 3058, 2,3,chomind opel df fncion Commands Commentaires Frog lentes TAPP ORTCHES ovr une ele oo TO STT ORE hemine' 2: /pyenon eours/ figures? Fogwe'e epetenee 0,730,530, 14,3, ceeasn) ‘pal de fonction Commands ‘Commentaires Tren Tenel160 TAPS OPLTERES out ue eal TOS Efemuns'es/pytnen coure?Siguses Figures spelegeo stb, 30,30, 105, Sechenen) ‘pal dt eneion Commandes ‘Commentaires Tron Tentalles tapoet opeizaes our une foci de TOES ayoaR Shentnw'e:/eython cours/tigeeest Fae 6 apesegea( 30, 30/39, Rely Sechense) ‘Apolo ncton Conimandes Commentaires Fes lefties TeSSrE SETS Pout ue beak 100 RBA ‘Shmira'Ee/pytnen coves/faguse™ ower spelepesiet0yo30) 20) 104, 3eabenta) pol dl fonction Chapitre 8 Interférences 1, Présentation Ly a interference lorsque Mintcosité résultant de Ia superposition de deux ow plusieurs ondes n'est pas égae a a somme des intensités de chacune des ondes prises séparément. Pour obtenir le phénoméne d’intrference, il faut des sources cobérentes (déphasoge & Vorigine constani), synchrones, et des directions de propagation voisines. pour les faiscemx qui interftrent. Pour simplfier, leurs champs électriques sont supposes ati) 9004) sont respectivement i M)eA*-*™ est amplitude complexe de Vonde incidente en M. a(M) et rnplitude et la phase de onde incidente en M, 70 Inicoduetion au calcul et représentations graphiques ~ e(M) ext coticient de ransmision au niveau de a surface ASH) dans fe es oi ouverte est parelement opaque ov ransparente, Si |/(8) =, on pare de pupille de phase, esi ara((M))=0, on parte de pupil amplitude ; enfin si £(M)=1, Ja pupil est wansparente Rest coefficient de proportional = h conspon au ome ¢anoisemet fit qe Pode es pine 1.2. Diffraction 4 linfini ou approximation de Fraunhofer Dans cette étude, la source ponctuelle est rejetée & Vinfini ainsi que le point P ‘observation, Dans ces conditions, les ondes incidentes et dif actées sont quasi planes et les rayons peu inclings et paralléles entre eux Une réalisation pratique consiste& placer Ia source dans le plan focal objet d'une leatille convergente. Une lentille convergente placée perpendiculaitement a I'axe de ouverture diffactante permet de projeter la figure de diffraction a [infin i] suffit alors de Positionner un écran dans fe plan focal image de cette seconde lentil Pian focal hs ‘i mage dL Dans ce cas, amplitude de 'onde en P s'érit P)=C{f, came Es |(2) ‘constant indépendante du point M. 2. Diffraction de Fraunhofer d’une onde plane par une ouverture rectangulaire 2.1. Présentation | Dans le cadre de approximation de uw Fraunhofer présentée au 1.2, une onde plane S2——4— Ccobérente et monochromatique frappe un 3 , eran peroé par une ouverture rectangulaire, 1 Diffraction 71 [L’éude porte d’abord sur le déphasage entre les chemins optiques (SMP) et (SOP), 2a, est le vecteur d’onde de I'onde incidente et i Ha, ‘celui de onde aitacte Aue) ® Assyauey = Ae 7) : amplitude de Vonde issue de S dffractée par M. Asan) * Asomony =e"): amplitade de onde issue de O diffactée par M. one | Ane, = Asan SPER oy AOI) Avon, €t Vamplitude de l'onde issue de $ et diffraciée par le point de référence O (queleonque sur Vouverture). 11 s'agit d'une constants (notée 4,(0) : amplitude surfacique, réelle par choix de Porigine des phases). Ainsi'amplinde totale diffractée en P se rééerit sous la forme A ACO] 00d) @) Remargue: (i,-K)-OW représnte le déphasoge 2nb =A de Vonde passant par M par rapport & celle pussant par 000 5 = (OH)~(KM). 2.2. Expression analytique de I’intensité Dans le eas particulier de étude suivante, I'ouvertue est élairée en incidence normale et elle présente une hauteur b et une largeur a. La fonction de transparence est alors: { = ts20= i 2k De plus: = 2%: plus: &, = cco notant (2,7) les cosinus drecteurs du vecteur donde de onde diffracté. Alors d'aprés expression (3) AP) = ALON] Lae AP™as d= Ais = ofeach oa, 72 Inteodvetion au calel et representations graphiques fre BO) a x20 Pras Soph SF ett sames heed dei Tl ext alors possible d'exprimer Vintensité de Monde diffiactée en fonction des coordonnées du point P sur Méoran amin Diftaction 73 2.3, Représentation graphique 8) La fonction sinus cardinal _ 2 ue / oa 0s 7 oa _ . oa 0.2] ‘ a ==ss Hig: Fonction x-ssine(es) Ha onion sinc) La fonction 21+ sinc®(ex) ne prend des valeurs significatives qu'an centre de Ia tache. Loin du centre, les valeurs prises par lz fonction sont fables, ainsi le deuxiéme maximum reprisente moins de 5 % dy maximum principal ) Les modes de représentation AA Taide des outils de projection 3D, V'intensité ou Vamplitude se lisent sur le toisiéme dimension ‘Figure 3: Intensité de l'onde diffactée Figure 4: Amplitude de Monde dffractée par une ouverture carrée(8/a= 1). par une ouverture carée (bia = 1), 11 est également possible de réaliser une représentation de la figure de dlftaction en uilisant la commande imshow. En revanche, il est ncessaire de tronquer les valeurs Pic central pour avoir un meilleur contraste (cf. codes). 74 Ibtroduction au calel et eprésentations grephiques Figure $: Figure de diffraction pour Figure 6 : Courbe d'iso-intensité pour une ‘une ouverture earrée (6/4 = I) ‘ouverture carte (6/a= 1), Dans le cas oi le hauteur de Ia fente devient trés supérieure a la largeur (>a), ouverture devient une fente fine et itensité est pratiquement nulle en dehors de Paxe ‘OX car le sinus cardinal est mul saufen Y=0. igure 7 Figure de diftaction pour une ouverture reetangulaie (bi 3. Diffraction a linfini d’une onde plane par une ouverture circulaire 3.1. Expression mathématique ‘Une onde plane et monochromatique frappe sous incidence normale un éeran perce par une ouversie cizculaire de rayon R. | 2Uop “o][FU9] ouaTANap e| op 2feEI0} COUTASIP By 189 / HO fe DIO (sag) (OV'r= CAP :suop anda 9 cap gh oor wines sanm ang sepa ahora gE ap (Ror-(ke)e) lover s me aR ey lov ‘ange quiere import patelotiseypytab x pit acho careey(l (21,011) Somplereayt( 0), (012) Conp.ereayl(-3), (apr eget(3)/211) foehibya Suepspa/3 teen terersrnpope/3. KoohleS,3,ep68/3: piesanie (or) Blt snout) Figue4 Commioniaires Fen ERG ERR ‘Coersornées des PS AS Inport natplotlibvpyiab ae pit sSapeaeeey({ (01, (0917 ne areayl (il, (011) cash Spiele. Dore casa = 25 races 89 ures exempes “Fonctions dans le fichier fractal Commentaires Bt gene aria Sons ame Mareen ie eseoe te of0) 00) a0 a0). vows tn nT aes feo sctt(ctna (-ar. con ap) etupiseleseacenat/aleeh os {exten uote tonp/2h tr) Hest ce'grfie-tiaisel Hess ee initial Fonte 1011.9 “ee (aEU) DID C2) 400) 11) 2001, KP leas rston.cotcotaiatnsl,-0)-p.cs teeta) | agate ween men Eatp sot atlanta oah cocoa Areynp, dot rotan (np. pi/2), Cored) Le Sons tapes Sirclecilinieicspns def rotat (alpha): canon ‘Fenp-array({ [mp.cos (eipha) »=np- sin (elpna)},\, pg ali ae teestnalosyracesseipen ih aad Figure 5 Fa Conmanars Toe RTS RST feo nay sre IRfort iteloth tena as ote op ery i881) cesrnen rsp 8,640 ua Go Soeseeey tt (thy ise Epsectadn iy Sreserort ah ected miss Concncana nes (pietacd Figure 6 a Cones itty ete etperca ti tah) acts fs A 8, Co Oo eeunaaan Es Sieearthi Chapitre 11 Résolution de Sudoku 1, Introduction 1.1. Présentation Le sudoku est un jeu de logique de la famille des carts latins, dnt a paterité n'est pas ints claire. Néanmoins, on Papergoit féquemment dans diverses publications (quotidiens, ‘agazines,...) depuis quelques années. L'origine de son nom provient des deux mots Japonais «su » qui signitie chife et « doku » qui signif seul. L'emploi des ehiffies ‘éside uniquement dans le choix d’une convention ; en effet, aucune connaissance ‘mathématique n'est nécessaire puisque ces chifres ne sont pas reliés par une relation acithmétique. Ils pouraient re remplacés par des couleurs, des ero, des ltrs 1.2. Régles du jeu Les régles du jou sont relativement simples. Dans le sudoku standard, on dispose dune wiille de 9*9=81 cases dives en 3x3.=9 régions de 9 cases, Initslement, la grille ext Dre remplie par un certain nombre de chiffies. Le but du jeu est de remplir les cases vides AYaide de chiffis de 1 4 9 en appliquant les contraintesimposées par les régles du jeu Ainsi, aucun chiffre n'a le droit d"apparatie deux fois dans la méme ligne, ni deux ois dans ia méme colonne, ni deux fois dans a méme région. 2, Résolution numérique La grille de sudoku est transfornide en une matrice carée d'orde 9 92 Introduction au caleul et représentatios praphiques 2.1. Représentation matricielle La grille compléer est fs suivante, Région n°t | Région a°2 | Région 0°3 Cordonnées | Coordonndes | Coordoontes oo) 0 2) Région n°4 | Région n°S | Région n°6 CCearsnnées | Coocdonaées | Caordonsee a0) on a2) Région 9°7 | Région n°8 | Région Coerdonaces | Cocrdomées | Coordocndee a 2) a0, op Dans exemple ci-dessus, la case grisée contenant le ciffte 4, appartient a la 6° ligne (ligne 5 en python), 5° cotonne (colonne 4 en python) et région n°. La gille précédente est associe i la matice (u tableau) Mf ci-dessous, dans laquelle fos ‘eases vides sont remplacées par des zéros 080000000) 706405000 500060702 000130090 820000013 030046000 109080007) o00so4809 900000024) 2.2, Méthode de recherche systématique Ni existe de nombreuses meéhodes de résolution du sudaks. Les méthodes simmulant le risoanement humain sont effiaces mais longues & programmer. La méthode du retour auridre systématique (« backtracking ») est preférable elle teste toutes les possibilités, ‘mais tant donnée la puissance des ordinatours personnels actuels, la grille solution ext péndralement obtenue en moins de 5 secondes, 4) Principe du backtracking Les cases vides sont «'abord identifies puis la premidre case vide est remplie par un 1. Si cette valeur convient, c'est-icdire si elle obeit aux différentes régles du jeu, alos la case vide suivante est testée,sinon on vérifie si 2 convient, pus 3 ete.

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