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453 O48 all «all G3 159 Qfg Chapitre 1 Histoire des faits économiques et sociaux Application 1. QCM, p. 41 1. Les enclosures ont pour effet : Ode séparer les villages les uns des autres. 1 d’obliger les paysans pauvres a gagner les villes. de favoriser le développement du chemin de fer. 2. Les crises d’Ancien Régime résultent : DZ de mauvaises récoltes. d'une augmentation du prix de l’immobilier. i d'une insuffisance de débouchés. 3, Le travail a la chaine est une innovation organisationnelle de : OQ FW. Taylor. @ Henri Ford. 4. Lacrise de 1929 a encouragé : la mondialisation. Ble protectionnisme. 1 lexpansion coloniale. 5+ Chapitre 1 = Histoire des faits économiques et sociaux © Nathan 4540488 all «all G3 159 Qf GB 5. En France, le salaire minimum date de: Q 1906. 1920. 1945. 1950. 6. Le modle de croissance fordiste repose sur : BH lexistence de gains de productivité du travail. WZ la mise en place d’un Etat-Providence. Qi la demande provenant essentiellement de I'extérieur. 7. L'Union européenne comprend actuellement : 6 pays. O12 pays. 28 pays. 8. La Chine s’est engagée dans un vaste programme de libéralisation de son économie en: 1949. 1958. 41979. 9. La création de la monnaie unique (euro) date de : 1979. 2 1989. 1999. 10. La crise des subprimes est une crise: @ financiére. d’insuffisance de débouchés. © financiére qui s’est transformée en crise des dettes souveraines. -6- Chapitre 1 - Histoire des faits économiques et sociaux © Nathan 4540488 all «all G3 159 Qfg Chapitre 2 Histoire de la pensée économique Application 1. QCM, p. 68 1. Les principaux représentants de I’école classique sont : C1.M. Keynes. QL. Walras. ZA. Smith. ZR. Malthus. 2. La loi de la population est énoncée par : QD. Ricardo. OK. Marx. ZR. Malthus. 3. La division du travail préconisée par A. Smith permet d’augmenter : Wa productivité du travail. Mla richesse des nations. WZ la dextérité des travailleurs. 4, La loi des débouchés de J.B. Say signifie que : © Voffre créé sa propre demande. Clles crises de débouchés sont récurrentes. Mil ne peut y avoir de crises d’insuffisance de débouchés. Ue Chapitre 2 ~ Histoire de la pensée économique © Nathan 4540488 ail stl 3D 159 Qf Ge: 5. L’armée industrielle de réserve chez Marx permet de : renforcer les forces militaires du pays. @ faire pression la baisse sur les salaires. MW restaurer le taux de profit. 6. Marx définit la marchandise comme étant un bien : utile. @ non reproductible. Z destiné a étre vendu. 7. Quelle est la loi économique que remet en cause Keynes ? Q1La loi des avantages comparatifs. C1La loi des rendements décroissants. M1 La loi des débouchés. 8. Keynes a introduit dans I'analyse économique : © 'incertitude. Qoptimum économique. la demande anticipée. 9. Parmi les caractéristiques de la concurrence pure et parfaite figurent : Q un petit nombre d’ acteurs de grande taille. Odes produits différenciés. Q des barriéres protectionnistes a I’entrée et a la sortie des marchés. QVimmobilité des facteurs de production. O Popacité des marché: Aucune bonne réponse. 10. L’offre de travail dans I'analyse néoclassique est : Clune fonction décroissante du salaire réel. une fonction croissante du salaire réel. “1. Chapitre 2 ~ Histoire de la pensée économique © Nathan 4540 88 all sll G3 159 Qf Ge: 11. Le modéle IS-LM est un modéle = CO keynésien. O néoclassique. WZ né de la synthése entre néoclassiques et keynésiens. 12. On peut parler de « sélection adverse » des lors qu'il ya: Q information parfaite entre les acteurs. D asymétrie informationnelle. 13. Dans la théorie de la croissance endogéne, la croissance dépend : des effets d’apprentissage. © du capital humain. (de la demande effective. Application 2. Qu’est-ce que le protectionnisme ?, p. 69 1. Quelles formes peut prendre le protectionnisme ? On distingue _traditionnellement deux catégories. de _ barrigres protectionnistes : les barriéres tarifaires et les barriéres non tarifaires. Les barriéres tarifaires comprennent les droits de douane. Ceux-ci sont un impot prélevé sur une marchandise lors de son passage 2 Ia frontigre. 11 s'agit le plus souvent de droits ad valorem (pourcentage du prix de la marchandise). Il existe aussi des droits spécifiques, forfaitaires, correspondant 4 un montant indépendant du prix de la marchandise. Depuis la Deuxigme Guerre mondiale, les barriéres tarifaires ont connu un net recul suite aux négociations commerciales multilatérales organisées dans le cadre du GATT (General Agreement on Tariffs and Trade) créé en 1947. Les droits de douane sont passés, pour l'ensemble des pays dits développés, environ 40 % en 1947 & 5-6 % en 1980, révélant une accentuation du processus de libéralisation des économies. Mais, simultanément a ce recul, les barrigres non tarifaires (BNT) ont connu une forte augmentation. -B- Chapitre 2 ~ Histoire de la pensée économique © Nathan Hl all G3) 454 OX ® . 159 Q7gi Chapitre 3 Le circuit économique : acteurs, opérations et interactions Application 1. QCM, p. 93 Choisissez la ou les bonnes réponses. 1. Une unité résidente de ’conomie francaise est : une unité de nationalité frangaise. @ une unité ayant son centre d’intérét économique sur le territoire. Lat nationalité n'a pas d’importance en économie. 2. Lorsqu’une entreprise frangaise rachéte un concurrent étranger installé en Italie : Qiily aune unité résidente en plus dans I’économie francaise. BZ cela ne change rien au nombre d’unités résidentes francaise Lientreprise en question est résidente de ’ économie italienne, bien qu’avee des capitaux francais. 3. Les entreprises individuelles sont classées dans le secteur institutionnel : des sociétés non financiéres. Q des sociétés financiéres. 1 des ménages Les dirigeants d'entreprises individuelles ont des revenus du capital et du travail fusionnés avec le ménage dont ils font partie : leur distinction est difficile ou peu pertinente. -18- Chapitre 3 ~ Le circuit économique : acteurs, opérations et interactions © Nathan ail stl 3D ASA AA 159 Qf Ge: 4. Parmi les organismes suivants, lesquels font partie des APU ? M1 Les caisses de Sécurité sociale. MY Les collectivités locales. QLa SNCF. Q Les partis politiques. 5. Quels secteurs réalisent la production de biens et services non marchands ? OQ Les SNF. Les SF. Les APU. C1 Les ménages. @ Les ISBLSM. 6. La production non marchande : Mest fournie a un prix ne couvrant pas la moitié des cotits de production. Qest fournie uniquement par les administrations publiques. O n'est jamais vendue. La gratuité n'est pas le critére exclusif ; la vente a un prix tres faible empéchant la rentabilisation des capitaux investis fait partie du secteur non marchand. 7. Que recouvre la « production pour usage final propre » ? @Z La production réalisée dans les potagers familiaux. © Le travail des femmes au foyer. Q Lactivité du personnel domestique rémunéré d’un ménage. © La production de services de logement que se fournissent les proprigtaires occupants. 8. Qu’ajoute-on a la dépense de consommation des ménages pour obtenir la consommation effective des ménages ? Q1La production des APU et ISBLSM. 1 Les consommations collectives des APU. © Les consommations individualisables des APU et des ISBLSM. On trouve ici les parties individualisables des dépenses de santé ou d’éducation, qui sont financées par la collectivité mais bént “19+ Chapitre 3 - Le circuit économique : acteurs, opérations et interactions © Nathan 4540488 ail stl 3D 159 Qf Ge: 9. Quelles dépenses font partie de la consommation effective des ménages ? QL’achat d’un logement. Q1L’achat d'une action d’une entreprise cotée en Bourse. 1 L’achat d’une voiture. © Des soins médicaux. Le paiement de l'impét sur le revenu. 10. Les consommations intermédiaires regroupent : Q rensemble des cotits de production des entreprises. la valeur des biens et services utilisés au cours du processus de production dans I’ année de leur achat. Qlles coiits salariaux plus les biens et services utilisés dans la production. 11. Comment est définie la valeur ajoutée ? © Production — Consommations intermédiaires. O Production — Cofits salariaux. Q Consommations intermédiaires — Production. Q Cofits salariaux — Production. @ L’apport d’une UI, d’un SI ou d’une branche a la création de richesse dans I"économie. 12, Pour ensemble de l'économie, l’équilibre emplois - ressources s‘écrit : OP+M=CF+I+X+AS OP-M=C+I+X-AS WPIB+M=CF+FBCF+X+AS OPIB+M=CI+CF+FBCF+AS+X 13. Parmi les opérations suivantes, lesquelles font partie des opérations de répartition primaire du revenu ? © Les honoraires d’un chirurgie MZ Les loyers recus par les propriétaires de logements. Les retraites. HZ Les intérats et dividendes regus par les propriétaires de capital. QLe RSA. C1Les cotisations sociales. 20+ Chapitre 3 - Le circuit économique : acteurs, opérations et interactions © Nathan 4540488 all «all G3 159 Qf GB 14, Le PIB de la France est d'environ : 42 000 milliards d'euros. 3 000 milliards d'euros 24 000 milliards d'euros. (25 000 milliards d'euros. Application 2. Calcul de la valeur ajoutée d’une entreprise, p.94 Calculez la valeur ajoutée de cette boulangerie. La production est de 200 000 €, les consommations intermédiaires (C1) sont de 75 000 €. Remarque : les salaires ne sont pas des consommations intermédiaires. On sait que VA =P Cl. Done : VA = 200 000 — 75 000 = 125 000 €. Application 3. Le circuit économique et I’ égalité emplois — ressources, p. 95 1. Calculez la valeur de l’investissement grace 4 l’égalité qui sous-tend ce circuit. On part de I’ égalité emplois - ressources : P + M=C +1+G+X Avec: P pour la production M pour les importations C pour la consommation I pour l'investissement G pour la dépense d'investissement public X pour les exportations. On obtient : 5 000 + 1 030 = 3 000 + I+ 900 + 1 070. T= 6 030 —4 970 = 1 060. 2. Chapitre 3 - Le circuit économique : acteurs, opérations et interactions © Nathan 455048 all «all G3 159 Qf GB Chapitre 4 Le comportement des acteurs Application 1. QCM, p. 128 Choisissez la ou les bonnes réponses. 1. L'utilité : West propre un individu. est comparable entre individu est définie pour une groupe d’individus similaires. 2. Le choix du consommateur est : Le panier de bien pour lequel le taux marginal de substitution est égal au rapport des utilités marginales des biens considérés. @ Le panier de bien pour lequel le taux marginal de substitution est égal au rapport des prix des biens considérés. O Le panier de bien préféré par le consommateur. 3. Une variation de prix d’un bien normal conduit ; Qa un effet revenu. Qa un effet substitution. a deux effets : un effet substitution et un effet revenu. 4. L'augmentation du revenu d'un consommateur se traduit : @ par un déplacement paralléle vers la droite de sa droite de budget par rapport & sa position d’ origine. par un déplacement paralléle vers la gauche de sa droite de budget par rapport & sa position d'origine. C par le pivot de sa droite de budget sur son ordonnée & l’origine. = 30+ Chapitre 4 ~ Le comportement des acteurs © Nathan 4:55 159 Qf Ge: Ora ail stl 3D 5. Selon la théorie du consommateur, lorsque celui-ci ordonne des paniers de biens en fonction de ses préférences : Q il tient compte du prix de ces paniers. Wil ne tient pas compte du prix de ces paniers. Qi la réponse a cette question varie selon le type de bien. 6. Les courbes d’indifférence peuvent se couper : M si elles émanent de consommateurs différents. Osi elles émanent d’un seul consommateur. O des courbes d’indifférence ne peuvent jamais se couper. 7. Une entreprise réalise des économies d’échelle quand : Qeelle utilise la sous-traitance. elle réduit le nombre de ses établissements MZ laugmentation de sa taille permet de réduire les cofits par unité produite. 8. Dans la théorie du producteur : Z tous les cotits de production sont variables & long terme. O tous les coiits sont fixes 4 court terme. Q le coiit du capital est fixe tandis que les autres sont variables a long terme. 9, Le couit marginal d'une activité est : le cofit additionnel associé au fait de faire un peu plus cette activité. le coiit associé & une augmentation de la marge brute. le coiit total divisé par le nombre d’unités produites. 10. Le seuil de rentabilité d'une entreprise est défini par : M Vintersection entre les courbes de cotit variable moyen et de cofit moyen dune entreprise. QPintersection entre les courbes de productivité moyenne et de productivité marginale d’ une entreprise. 11. Une entreprise maximise son profit en égalisant : le prix de marché a son cofit marginal. Q la recette marginale et le cofit moyen. la recette marginale et le cofit marginal. -31- Chapitre 4 ~ Le comportement des acteurs © Nathan 4550 88 all sll G3 159 Qf Ge: 12. Une isoquante est définie comme : MW lensemble des combinaisons de facteurs travail et capital permettant @obtenir un méme niveau de production. OQ lensemble des combinaisons de facteurs travail et capital pouvant étre achetées pour un coiit total donné. la production supplémentaire provenant de I’achat supplémentaire de capital ou de travail. 13. La loi des rendements décroissants est caractérisée par : 1 une augmentation proportionnelle de la production et du nombre de travailleurs. une réduction de la production par rapport a I’ augmentation du nombre de travailleurs. WZ unaccroissement moins important de la production par rapport & augmentation du nombre de travailleurs. 14, L'utilité marginale se définit comme : ile supplément de satisfaction généré par une baisse de prix d'une unité. W la satisfaction additionnelle générée par une augmentation de consommation d’une unité. C1 Putilité moyenne générée par la consommation de biens différents. Application 2. Propriétés des courbes d’indifférence, p. 129 Expliquez pourquoi une courbe d’indifférence ne peut pas étre croissante si ’hypothése de non-satiété est vérifiée. L’hypothése de non-satiété implique qu'un consommateur préfére toujours consommer une quantité supérieure d’un bien, toutes choses étant égales par ailleurs. Or, si une courbe d’indifférence est croissante, cela signifie qu’un consommateur est indifférent entre des paniers de biens qui présentent des quantités de plus en plus grandes de chacun des biens. L’hypothése de non- satiété n'est donc pas compatible avec des courbes d’indifférence croissante. 32+ Chapitre 4 ~ Le comportement des acteurs © Nathan 455048 all «all G3 159 Qfg Chapitre 5 Construction des marchés et formation des prix Application 1. QCM, p. 148 Choisissez la ou les bonnes réponses. 1. Un marché oligopolistique comporte : Q.un seul offreur et un grand nombre de demandeurs. un grand nombre d’offreurs et seulement quelques demandeurs. un petit nombre d’offreurs et un grand nombre de demandeurs. 2. Les monopsones sont constitués : O de quelques offreurs face 4 quelques demandeurs. © d'un grand nombre de producteurs face a un seul ou quelques acheteurs. Q d'un seul offreur face a un grand nombre de demandeurs. 3. Une externalité concerne : uniquement les consommateurs. Q uniquement les producteurs. MW tantét les consommateurs, tantét les producteurs. parfois les consommateurs et les producteurs. 4, Les marchés s’équilibrent par : les variations de prix et de quantités. Q Vintervention de l’Etat. Ole crises économiques. -49- Chapitre 5 - Construction des marchés et formation des prix © Nathan 4:55 Oaa all «all G3 159 Qf GB 5. Selon I'approche de dynamique des marchés, le marché s‘équilibre par : Q intervention d’un « commissaire-priseur ». Hlexistence de « forces naturelles ». un ajustement des quantités par les entreprises pour satisfaire la demande des consommateurs. 6. Quels éléments perturbent le bon fonctionnement d'un marché pur et parfait ? Q Les monopoles. 1 Les entreprises individuelles. © L’absence d'information. 7. Les biens collectifs purs sont : CQ des biens divisibles et dotés d’une externalité. @ des biens non rivaux et non exclusifs. Odes biens dotés d’ une absence d’externalité. Application 2. L’équilibre dans un marché de concurrence parfaite : l’ajustement par les prix, p. 149 1, Déterminez le prix d’équilibre sur ce marché. L’équilibre sur un marché se produit 2 intersection de offre et de la demande. I faut pour cela que I’ offre soit égale & la demande, ainsi : Q0=QD 4P +6=-2P +24 4P +2P=24-6 6P=18 P= 18/6 P¥=3 Le prix d’équilibre (P*) est de 3 €. 2. Au prix d’équilibre, déterminez la quantité que les consommateurs sont préts & acheter et celle que les producteurs sont préts & produire. Pour trouver les quantités échangées A I’équilibre, il faut reporter le prix d@’équilibre P*) : = 50+ Chapitre 5 - Construction des marchés et formation des prix © Nathan 455048 all «all G3 159 Qfg Chapitre 6 La consommation, |’épargne et Dinvestissement Application 1. QCM, p. 176 Choisissez la ou les bonnes réponses. 1. Les coefficients budgétaires décrivent : Q Lévolution des revenus des ménages. la part des dépenses de chaque poste de consommation des ménages. Ils indiquent la part du revenu consacrée a telle ou telle fonction comme Valimentaire ou le logement. 2. La classification des différents types de biens (normaux, inférieurs et supérieurs) se détermine a partir de : O Pélasticité-prix. MPdlasticité-revenu. En effet, il s’agit de déterminer comment varie la consommation du bien lorsque le revenu varie. 3. Quelle est la signification de la loi psychologique fondamentale de Keynes ? La consommation dépend de facteurs psychologiques. MZ La consommation augmente suite & une hausse de revenu, mais moins rapidement. Q La consommation dépend du niveau des taux d’intérét. 62+ Chapitre 6 ~ La consommation, I"épargne et l'investissement © Nathan 4:55 159 Qf Ge: Oaa ail stl 3D 4. Pour les ménages, I'épargne financiére est constituée : Q des seuls placements faits en Bourse. © de toute I’épargne non liée au logement. Celle qui est liée au logement est dite « non financiére ». 5.A quelle théorie correspond l'idée selon laquelle le consommateur a parfois tendance & maintenir son niveau de consommation antérieur mame en cas de baisse de son revenu et qu'il peut mame étre amené a prélever sur son épargne ? YZ Lreffet de cliquet. Q Leffet de levier. O1La demande de différence. O Leffet d’imitation. 6. Comment définir la propension a consommer ? © C'est la part du revenu consommé. Ce sont les projets de consommation effectués par les ménages. QO Cest l’augmentation de la consommation. 7. Pour Keynes, la consommation des ménages est fonction : 7 de leur revenu disponible. O de la demande effective. 1 des suppléments de revenu. Ode leur consommation passée. 8. Comment nomme-t-on la part de I'accroissement du revenu consacrée & augmentation de la consommation ? la propension marginale A consommer. Q la propension moyenne & consommer. ila part de revenu consommeé. -6- Chapitre 6 - La consommation, I"épargne et l'investissement © Nathan 4:56 oaa 159 9. Selon Duesenberry, la consommation dépend : M1 de l'effet de démonstration ou effet d'imitation. Q du revenu absolu des individus. de l'effet de mode. 10. Pour F. Modigliani, de quoi dépend la consommation d'un individu ? W de ses ressources totales calculées sur sa vie entiére et non pas de son revenu courant. Q de ses anticipations optimistes ou pessimistes. Q de ses actifs financiers et non financiers que le consommateur peut vendre pour pouvoir consommer. Ode son niveau de revenu passé. 11. Etes-vous d'accord avec I'affirmation selon laquelle la diminution du niveau général des prix fait baisser le pouvoir d'achat et entraine une diminution de la consommation ? oui. Q non. La baisse des prix rend les produits moins chers pour un méme revenu : le pouvoir d'achat de ce revenu augmente et permet la hausse de la consommation. 12, Etes-vous d'accord avec I'affirmation selon laquelle la hausse du niveau des prix entraine une hausse de la consommation car les consommateurs « avancent » leurs dépenses, pensant payer moins cher maintenant que plus tard ? oui. non. Les deux réponses sont possibles. En effet, une hausse des prix peut engendrer deux effets contradictoires: consommer immédiatement par crainte de voir diminuer la valeur de la monnaie, ou au contraire, diminuer Sa consommation et augmenter son épargne pour conserver son pouvoir d’achat (effet d'encaisses réelles de Pigou). = 64 Chapitre 6 - La consommation, I"épargne et l'investissement © Nathan a 4:56 oaa 159 Qf Ge: ail stl 3D 13. Pour M. Friedman, a quoi correspond le revenu permanent ? WZ c'est le revenu auquel les individus s’attendent, en fonction de leurs revenus passés et anticipés. OQ c'est un revenu transitoire. Q c'est une partie exceptionnelle du revenu de l'individu. Q c'est le revenu non prévu par l'individu. 14, Choisissez la bonne réponse parmi les propositions ci-dessous. @ La rentabilité est le rapport entre les ressources pergues et le capital engagé. Plus le taux d'utilisation des capacités de production est faible, plus Vinvestissement sera élevé. O Un taux a’ intérét levé stimule des investissements industriels. 15. Lorsque l'on considére que l‘investissement a un effet d'entrainement de la demande, on fait référence : Q au principe de l’accélérateur. © au principe du muttiplicateur. 16. L'importance de l’effet multiplicateur décrit par Keynes dépend : Q du revenu. © de la propension marginale 4 consommer. O des taux d”intérét. © de la propension marginale a épargner. Application 2. Les principaux ratios des sociétés non financiéres, p. 178 1. Quels liens peut-on établir entre taux de marge, taux d’épargne, taux d’investissement et taux d’autofinancement des entreprises ? Tout d’abord, le taux de marge et le taux d’épargne sont liés directement dans le sens oi I’épargne se calcule a partir de Ia marge dans le compte du secteur des sociétés. -65- Chapitre 6 - La consommation, I"épargne et l'investissement © Nathan 4560488 all «all G3 159 Qfg Chapitre 7 Croissance et cycles Application 1. QCM, p. 200 Choisissez la ou les bonnes réponses. 1. La croissance de l'économie se mesure au travers d'un indicateur unique. Lequel ? 1 Le taux de croissance du PIB. 1 Le taux de croissance de la production nationale. Q Lindicateur de développement humain (IDH). 2. Le PIB était de 2 132,4 milliards d’euros en 2014, aux prix courants (Insee). ZI s’agit du montant annuel du PIB en valeur. Q Is’agit du montant annuel du PIB en volume. 3. La mesure de I'augmentation des quantités réelles produites est réalisée par: le PIB en volume. Ole PIB en valeur. 4. L'IDH est un indicateur qui permet de classer les pays selon : Q1 leur niveau de vie. M leur niveau de vie, de santé et d’éducation. leur niveau de production. 5. Les analyses théoriques relatives a la croissance : sont imprégnées du clivage entre libéraux et keynésiens. C2 sont insensibles au clivage entre libéraux et keynésiens. - 80+ Chapitre 7 - Croissance et cycles © Nathan 4:56 Ora 159 Qf Ge: ail stl 3D 6. Pour R. Solow, le progrés technique exogane : Q n‘intervient pas dans la croissance. West facteur de croissance 4 long terme. 7. Dans les modéles de croissance endogéne : le progrés technique est le résidu inexpliqué. les externalites liges 4 l’accumulation du savoir sont le moteur de la croissance. 8. Les cycles courts : Q sont indépendants des cycles longs. © se superposent aux cycles longs. 9. Dans un cycle court, la crise: Ose situe au creux du cycle (point de retournement bas). se situe au pic du cycle (point de retournement haut). 10. Pour J. Schumpeter, les entrepreneurs : @ jouent un réle déterminant en intégrant des innovations dans leur activité. Q jouent un réle modeste, ils suivent les innovations. Application 2. Les contributions la croissance, p. 201 1. Expliquez ce que sont des contributions & la croissance. Une contribution a la croissance est la part de la croissance économique qui est imputable A une opération économique. Par exemple, la contribution a la croissance de la consommation est la part de la croissance économique qui est expliquée par |’évolution la croissance de la consommation. 2. Quelles sont les variables qui tirent la croissance francaise en 2014? En observant les chiffres proposés, on peut conclure que sur les 0,2 point de croissance du PIB en 2014 (en volume), ce sont avant tout les exportations et la consommation des ménages qui expliquent la (faible) croissance, augmentant chacune de 0,7 % en 2014. Mais leur contribution reste quand méme inférieure a celle (négative) des importations (— 1,2 %). -81- Chapitre 7 - Croissance et cycles © Nathan 4560488 all «all G3 159 Qfg Chapitre 8 L’analyse de la conjoncture Application 1. QCM, p. 215 Choisissez la ou les bonnes réponses. 1. Les indicateurs conjoncturels sont publiés : O chaque année. © chaque trimestre. chaque mois. 2. V'indice mensuel de la production industrielle couvre : @ 65 % du champ de la production industrielle. 2.50 % du champ de la production industrielle. 1 100 % du champ de la production industrielle. 3. Le suivi mensuel de l'emploi est réalisé en France par: QT'Insee. 1 Pole emploi. Ol Assedic. LIINSEE réalise les « enquétes emploi », mais c'est Pole Emploi qui est chargé du suivi conjoneturel des demandeurs d'emploi en fin de mois. 4. Font partie du calcul de I’indice des prix & la consommation (IPC) une acquisition immobiligre. MH lachat d°un ordinateur. le paiement de l'impot sur les revenus. © achat d’une bouteille d’alcool. -95- Chapitre 8 - L’analyse de la conjoncture © Nathan 456 OX A 159 Qf Ge: ail stl 3D 5. Au niveau européen, I’évolution des prix est mesurée par : MI IPCH. Qripc. ariss. 6. Une enquéte mensuelle de conjoncture fournit : O des chiffres sur I’activité constatée dans I’entreprise durant le moi 1 des informations sur I’ opinion des chefs d'entreprise quant 4 I’ évolution de l’activité. Q des informations sur I’ opinion des ménages quant a |évolution de Pactivité. 7. Vobjectif de l’analyse canjoncturelle est de : O fournir une représentation des changements structurels affectant l'économie. @ permettre la définition des axes de la politique économique. @ expliquer les variations de court terme affectant l’activité économique. CO construire des modéles économiques prévoyant I’évolution de l'économie Along terme. Application 2. Analyse de conjoncture en 2015, p. 216 1. Ecrivez I’équilibre emplois-ressources. Au sein d’une économie, I’équilibre emplois-ressources s’écrit : Production + Importations = Consommation + Investissement + Exportations + Variation de stocks. 2. Relevez les grands domaines de l’activité économique étudiés. Citez les indicateurs utilisés pour chacun d’eux. Les opérations économiques étudiées dans les comptes de la nation et la note de conjoncture sont les suivants : = la production, avec comme indicateur le PIB ; — l'investissement, avec l’analyse de la formation brute de capital fixe (FBCF) et du taux d’ utilisation des facteurs de production ; — la consommation, avec Ia notion de revenu disponible brut (RDB), de dépense des ménages, le suivi de l’indice des prix et du pouvoir d’achat ; - 96 - Chapitre 8 - L’analyse de la conjoncture © Nathan 4570 &8& all «all G3 159 Qfg Chapitre 9 Economie monétaire et économie financiére Application 1. QCM, p. 241 Choisissez la ou les bonnes réponses. 1. Que signifie la fonction d’unité de compte de la monnaie 2 Q La monnaie peut étre utilisée comme instrument de réserve. @ La monnaie est I’étalon qui permet de comparer facilement la valeur de tous les biens. Q La monnaie sert d’intermédiaire des échanges entre I’acheteur et le vendeur. 2. Parmi ces trois actifs, lequel est considéré comme le plus liquide ? Q Un bien immobilier. Q Un plan épargne logement. @ Lamonnaie. 3. Qu’est-ce que la monnaie fiduciaire ? O Les pieces de monnaie. Les billets de banque. QO Les chéques et les comptes courants. 4. Quel est élément le plus important en volume de 'agrégat monétaire M1 ? @ La monnaie scripturale. Q La monnaie métallique. O La monnaie fiduciaire. - 107 - Chapitre 9 — Economie monétaire et économie financitre © Nathan 4570 &8& all «all G3 159 Qf GB 5. Parmi ces trois économistes, qui est le fondateur du monétarisme ? © M. Friedman. QJM. Keynes, OP. Samuelson. 6. Pour limiter inflation, la Banque centrale doit : @ augmenter ses taux directeurs. Q diminuer ses taux directeurs. vendre des titres en pratiquant l’open marker. 7. En France, le « gendarme de la Bourse » est : Q la SEC. Ola COB. MrAMF. 8, Parmi ces trois marchés & terme, lequel est situé A Chicago ? Q Le MONEP. Q Le MATIF. Le CME. 9. Quiest le président de la Banque centrale européenne depuis le 1 novembre 2011 ? Q Jean-Claude Trichet. © Mario Draghi Q Wim Duisemberg. 10. Quelle est I'institution qui émet les bons du Trésor au nom de I’Etat francais ? @ L’Agence France Trésor. Q Obligation de France. Q Le Trésor public. Application 2. Le scandale du Libor, p. 242 1. Que sont le Libor et l"Euribor ? Le Libor est le marché des capitaux 4 court terme interbancaire situé a Londres. L’Euribor est un compartiment du Libor oii s’échangent des euros. ~ 108 - Chapitre 9 — Economie monétaire et économie financitre © Nathan 4570 &8& all «all G3 159 Qfg Chapitre 10 Les échanges internationaux Application 1. QCM, p. 271 Choisissez la ou les bonnes réponses. 1. Quel auteur défend la thése des avantages comparatifs ? Q Adam Smith. @ David Ricardo. O Paul Krugman. 2. Le commerce intra-branche est : Q Véchange entre deux pays de biens appartenant a des branches différentes. © l’échange entre deux pays de biens appartenant a des branches identiques. Q ['échange entre deux pays de biens appartenant A une méme zone économique. 3.Depuis la Seconde Guerre mondiale, le volume des échanges internationaux de marchandises : Q croft au méme rythme que le PIB mondial. © croit 4 un rythme beaucoup plus rapide que le PIB mondial. Q croit un rythme plus lent que le PIB mondial. = 118 - Chapitre 10 Les échanges internationaux © Nathan 4570 &8& all «all G3 159 Qf GB 4. Quelle est la part des services dans le volume global des échanges internationaux de biens et services ? 050%. 5%. 1 20%. 5. LALENA est : @ une zone de libre-échange. Q une union douaniére. Q une union économique et monétaire. 6. Quel est le premier pays exportateur de marchandises au monde en 2014? O Les Etats-Unis. Q LAllemagne. @ LaChine. 7. Quelle est la premire FMI en termes de capitalisation boursiére en 2014 ? H Apple. Exxon Mobil. Q PetroChina. 8. Depuis 2004, la balance commerciale de la France est : chroniquement déficitaire. Q chroniquement excédentaire. Q alternativement excédentaire et déficitaire. Application 2. Evolution historique de la balance commerciale des Etats-Unis, p. 273 1. Quel était le montant du déficit commercial étatsunien en 1995 ? D’aprés le Foreign Trade Division, le déficit commercial des Etats-Unis en 1995 était de 200 milliards de dollars. 2. Commentez les principales évolutions du graphique. Tout d’abord, la balance commerciale des Etats-Unis est chronique ment en déficit, mais ce déficit s'est fortement dégradé de 1998 a 2007 pour -119- Chapitre 10 Les échanges internationaux © Nathan 4570 QA all sll G20: 159 Qfg Chapitre 11 Le systéme monétaire et financier international Application 1. QCM, p. 299 Choisissez la ou les bonnes réponses. 1. Dans un systéme monétaire international, quand toutes les monnaies sont convertibles en or, il s‘agit : du modéle de I’étalon-or. Q du Gold Exchange Standard. O d’un systéme de change flexible. 2. La théorie de la parité de pouvoir d’achat (PPA) explique les taux de change entre deux monnaies par : O le solde de la balance commerciale. H le rapport des prix de paniers de biens de chaque pays. O les taux de salaire réel dans chaque pays. 3. La théorie de la parité des taux d’intérét (PTI) énonce que : O les taux d’intérét nominaux des pays sont égaux. @ les variations anticipées des taux de change déterminent les taux d'intérét. les taux d’intérét et les taux de change évoluent dans le méme sens. 4. Une monnaie forte est observée quand : Q Ie taux de change monte le plus haut possible. les taux d’intérét sont élevés. © aprés une dévaluation, elle voit ses taux d’intérét baisser. -129- Chapitre 11 - Le systtme monétaire et financier international © Nathan 4583060 48 all tl G2 159 Qf Ge: 5. Quelle est la condition des élasticités critiques pour réussir une dévaluation ? O T’élasticité de 1a demande nationale doit étre supérieure a 1’élasticité de la demande étrangere. La somme des deux ¢lasticités doit étre égale a 1. @ La somme des deux élasticités doit étre supérieure & 1. 6. A la suite d’une dévaluation, la courbe en J de la balance commerciale s'explique par : Q l’ampleur insuffisante de la dévaluation. W le retard des réactions des quantités exportées et importées aux variations de prix. 7. La libéralisation des marchés financiers a entrainé : Q une meilleure capacité de financement des acteurs publics et privés de l'économie et une plus grande stabilité économique. © une forte instabilité économique et une meilleure capacité de financement des acteurs publics et privés de I’ économie. 8. La prévention des risques systémiques fait intervenir : QO le préteur en dernier ressort. les ratios de Bale I, Bale Il et Bale IIL. O le contréle des mouvements de capitaux. Application 2. La répartition des réles du dollar et de l’euro dans les différents types de transactions internationales, p. 300 1. Etablissez les positions respectives du dollar et de l’euro en les classant selon des critéres commerciaux, monétaires et financiers. Une monnaie internationale agit dans trois domaines : — dans le domaine commercial, elle sert d’instrument de paiement et de facturation. En 2011, les Etats-Unis représentent moins de 10% des exportations mondiales. Or, leur monnaie tient un réle beaucoup plus important. On Vobserve, par exemple, dans le cas des crédits bancaires internationaux libellés en dollars & plus de 50 % en 2010. - 130- Chapitre 11 - Le systtme monétaire et financier international © Nathan 45830 4&8 all sll G20: 159 Qfg Chapitre 12 Les différents niveaux institutionnels de l’intervention publique Application 1. QCM, p. 337 Choisissez la ou les bonnes réponses parmi les propositions suivantes. 1. Un Etat se définit : W par un territoire et des frontiéres, par une population de citoyens et par une souveraineté nationale. O par un systéme politique. 2. Historiquement, le systéme politique frangais peut étre caractérisé : @ par un haut niveau de centralisation et par une tradition interventionniste sur le marché. Oi par une large place accordée a la société civile et au marché considéré comme principale instance de régulation économique. 3. Les « défaillances » du marché concetnent : © les monopoles naturels. W les externalité les biens privatifs rivaux et excluables. les biens collectifs indivisibles. + 138- Chapitre 12 - Les différents niveaux institutionnels de intervention publique © Nathan 45830 4&8 all sll G2 15 9 Qf 4. La politique mixte d'un pays concerne : la combinaison de la politique conjoncturelle et de la politique structurelle. la combinaison de la politique budgétaire et de la politique monétaire. 5. La loi organique relative aux lois de finances (LOLF) permet : un vote pour chacune des missions auxquelles sont affectés les crédits du budget de I’Etat. un vote par attribution ministérielle des crédits. 6. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les évolutions internationales ont OQ contribué a renforcer le concept de souveraineté nationale. @ favorisé |’émergence d'une conception plus limitée de la souveraineté nationale. 7. Le marché unique a pour but : i d’augmenter la concurrence avec les pays non membres. 1 de favoriser la concurrence non faussée entre Etats membres. O de réduire la concurrence entre pays membres. 8. Le principe de subsidiarité précise : Q que les compétences de I’ Union ont toujours priorité sur les Etats membres. WZ que les actions menées par I’Union ne sont engagées que dans la mesure oi il est démontré que leur réalisation par les Etats membres seraient moins satisfaisante. 9. Le Pacte de stabilité et de croissance indique que : Wes Etats membres de la zone euro ne peuvent avoir un déficit public qui excdde 3 % du PIB. Oe déficit public des Etats membres ne doit pas excéder 3 % du PIB en situation de forte croissance et de faible chomage. Ges Etats membres doivent avoir en toutes circonstances un équilibre budgétaire. -139- Chapitre 12 ~ Les différents niveaux institutionnels de intervention publique © Nathan 4:58 159 Qf Ge: oaa all tl G2 10. Dans la zone euro, les chocs exogénes symétriques sont amortis par : Cle Pacte de stabilité et de croissance. la Banque centrale européenne. 11. La Politique agricole commune est plutét : O libre-échangiste. © protectionniste. 12. La décentralisation des pouvoirs consiste a: déplacer a I’échelle des collectivités territoriales une partie des pouvoirs centraux. YZ créer de nouveaux pouvoirs locaux indépendants des pouvoirs centraux. 13. L’Acte | de la décentralisation précise que les région: O ont le statut de collectivité territoriale. restent sous la tutelle du pouvoir central. 14. La loi constitutionnelle frangaise de I’Acte Il de la décentralisation précise que: la République frangaise reste une et indivisible. Hla République francaise est décentralisée. 15. Avec I’Acte Ill de la décentralisation : les départements voient leurs compétences renforcées les régions voient leurs competences renforcées. 16. L'Acte Ill de la décentralisation aceorde aux métropoles : les mémes pouvoirs que les communautés de communes. Z davantage de pouvoirs qu’aux communautés de communes 17. Le taux de la fiscalité locale est fixé : Q par les pouvoirs centraux de I’Etat. @ par les collectivités territoriales. -140- Chapitre 12 - Les différents niveaux institutionnels de intervention publique © Nathan 45830 4&8 all sll G20: 159 Qa f GB Chapitre 13 Les politiques publiques de Vemploi, de la répartition et de la concurrence Application 1. QCM, p. 374 1. La population active comprend : Q Lensemble des personnes occupant un emploi. l'ensemble des personnes occupant un emploi ou cherchant a en exercer Ola population active occupée plus les retraités. Les personnes qui travaillent & temps partie! involontairement appartiennent : au groupe des personnes employées. Qau groupe des personnes au chémage. Z aux deux groupes précédents. 3. La flexibilité numérique signifie que l'entreprise agit : MW sur les embauches et les licenciements en fonction de la conjoncture. sur les qualifications des travailleurs. Oi sur les rémunérations des travailleurs. 4. La trappe a chémage désigne : C1 Pimpossibilité de sortir du chémage. © l’échec de la transition du chdmage vers l'emploi pour les personnes peu ou mal qualifiées. 148 - Chapitre 13 ~ Les politiques publiques de l'emploi, de la répartition et de la concurrence © Nathan 4:58 159 Qf Ge: Ora all tl G2 5. La redistribution horizontale se donne pour objectif : @ la couverture des risques sociaux des individus quels que soient leurs revenus. (a réduction des inégalités sociales issues de la répartition primaire des revenus. 6. Pour les ménages, la réduction des écarts de revenus se mesure par la formule : revenu disponible = revenus primaires + prestations sociales — impéts. revenu disponible = revenus primaires + prestations sociales — impéts — cotisations sociales. Q revenus disponible = revenus primaires + prestations sociales — cotisations sociales. 7. Llassiette de l'impat désigne : le mode de prélévement direct ou indirect des impéts. la base de calcul de l'impét. 8. La courbe de Laffer explique que : Qi les imp6ts sont toujours néfastes a l’efficacité économique. O plus les impéts sont importants plus la société est juste. @ il existe un seuil d’imposition au-dela duquel les agents économiques renoncent & travailler davantage. 9. Actuellement, la politique de concurrence de la France dépend : Q du ministére de Economie et des Finances ; @ principalement de |’Union européenne et partiellement des pouvoirs publics frangais ; totalement de l'Union européenne. 10. La politique de concurrence de I'Union européenne est plutat : MZ libérale. Qi protectionniste. -149- Chapitre 13 - Les politiques publiques de l'emploi, de la répartition et de la concurrence © Nathan 45830 4&8 all sll G2 159 Q7gi 11. La politique de concurrence de l'Union européenne exerce son autorité sur les Etats membres seuls. Clles entreprises seules. Miles entreprises et les Etats membres. Application 2. Emploi, répartition, concurrence, p. 375 Les réponses aux questions posées ici doivent étre précises et concises, étre appuyées sur des développements et /ou démonstrations du chapitre. S'il s'agit d'une interrogation, indiquez d’abord le sens de votre réponse (par exemple oui ou non) puis proposez deux ou trois arguments clés justifiant votre choix ; S°il s’agit de trouver un exemple, proposez d’abord illustration de votre choix, puis montrez sa pertinence ; Sil s'agit d'une question plus ouverte reliant deux notions (par exemple : formation et chémage ; fiscalité et justice sociale ; hétérogénéité sociale des pays de la zone euro et principes de la concurrence européenne,....) choisissez un argumentaire montrant les liens qui existent entre les deux notions proposées, puis montrez les effets attendus d'une action sur l'une ou l'autre des notions. Theme 1 - Les politiques de l'emploi 1. La formation est-elle une solution au chémage ? Une des causes structurelles du chémage réside dans l’absence, la trop faible ou I’ inadéquation de la qualification de certains agents économiques. Dans ces conditions, la formation — qui contribue 2 améliorer le capital humain des individus et leur adaptation aux évolutions du marché du travail — constitue une solution durable au chémage. Deux grandes voies permettent d’agir sur la formation : — une formation initiale performante durant l'ensemble du cycle d'études des éléves et des ¢tudiants garantissant les parcours par des diplémes qualifiants et reconnus ; — une formation permanente tout au long de I’activité professionnelle des personnes, qu’elle résulte des entreprises ou des pouvoirs publics. L’articulation et la continuité de ces formations favorisent des gains defficacité et d’adaptabilité de la main-d’uvre aux changements technologiques et organisationnels, et réduit I’interchangeabilité des employés par augmentation du capital humain et des savoirs tacites. -150- itiques publiques de l'emploi, de la répartition et de la concurrence © Nathan Chapitre 13 ~ Les pol

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