La coucher de soleil est passé, laissant une chaîne de couleurs roses.

Les montagnes
peintes sur fond rose, leurs sommets noirs. La mer était très belle avec des vagues. La
douce mélancolie du crépuscule entourait le sentiment tantale de l’amour. Chacun a
donné son avis sur l’amour et les sentiments. Soudainement quelqu’un l’a regardé sur
la mer, au fond de l’horizon, surgissait une masse grise, énorme et confuse.
Quelqu’un d’autre il a dit qu’il était Corsica et qu’elle a été apparaît deux ou trois fois
par an dans les conditions atmosphériques. Et tout le monde restait surpris, troublé,
presque effrayé par cette brusque apparition d’un monde, par ce fantôme sorti de la
mer. Alors, un vieux monsieur, prononça, qu’il connaissait aussi cette île et qu’il
sentait un exemple d’amour constant. Il a raconté sa visite sur cette île Un monde
encore en chaos, une tempête de montagnes que séparent des ravins étroits où roulent
des torrents ; pas une plaine, mais d’immenses vagues de granit et de géantes
ondulations de terre couvertes de maquis ou de hautes forêts de châtaigniers et de
pins. Et donc pendant un mois il s’est perdu sur cette île, point d’auberges, point de
cabarets, point de routes. Il a exigé la nourriture et l’abri des gens et c’est ainsi qu’il a
vécu sa vie. Mais un soir il arriva à une maison qui avait de la vigne et du jardin
autour de lui et il a rencontré les maîtres. Après le dîner, son âme était remplie de
mélancolie et et il pensait à toutes sortes de pensées. Il a parlé de lui à la vieille
femme. Ils se rappelaient qu’ils s’étaient vus dans le passé. Il a raconté l’histoire et
puis est tombé silencieux, une femme a dit que la femme elle avait un idéal trop
facile, des besoins trop primitifs et des exigences trop simples. Ce ne pouvait être
qu’une sotte. Et là-bas, au fond de l’horizon, la Corse s’enfonçait dans la nuit, rentrait
lentement dans la mer, effaçait sa grande ombre apparue comme pour raconter elle-
même l’histoire des deux humbles amants qu’abritait son rivage.
 M.LATIN
En étudiant cette histoire, le personnage principal de cette nouvelle est M. Latin et je
peux dire avec certitude que M. Latin appréciait l'argent plus que les souvenirs de sa
femme, que les sentiments d'amour qui implosaient son cœur, que toutes les choses
que sa femme faisait pour lui. Il s'est laissé emporter par la marée d'argent. Le
gentleman latin est un homme bien construit qui sait ce qu'il veut de la vie, mais sa
naïveté, son enthousiasme et sa cupidité l'ont attiré dans le monde de l'argent. Il est
irrespectueux envers sa femme qu'il se soit marié une deuxième fois. En fin de
compte, je peux dire que nous ne devons pas être comme le cadeau latin, nous devons
être pleins d'amour et de bon cœur.