You are on page 1of 5

-Nous arrivons dans une dizaine d’années de crise.

Entre crise
envi, social, sanitaire. En Chine le mot crise a un double sens,
il signifie soit dépression soit renouveau.

-il est essentiel de relocaliser notre consommation et donc notre production


afin de rendre notre économie moins sujette aux aléas de l’économie
mondiale.

- Beaucoup de secteurs sont impactés économiquement par les effets néfastes du


changement climatique : l’agroalimentaire, les transports, la santé, la construction, le
tourisme, la banque et la finance... Selon des calculs récents, le réchauffement climatique
pourrait coûter à l’économie mondiale jusqu’à 7 000 milliards de dollars d’ici 2050. Être
résilient permettrait de créer de nouveau modes de production

-notion dév durable, transition énergétique, transition des


transports…

-sujet un peu transversale

-évocation économie bleu 3.0

-un chercheur qui parle de résilience

-aller voir chapitre environnement du livre


La résilience doit-elle devenir l’élément central du développement futur de
l’humanité ?

INTRODUCTION :
Bonjour à toutes et à tous, je vais aujourd’hui vous présenter ma réflexion sur la question : « La
résilience doit-elle devenir l’élément central du développement futur de l’humanité ? ».
Tout d’abord, j’ai choisi ce sujet car je m’intéresse depuis longtemps à de nouveaux modèles de vie
plus en adéquation avec le vivant. J’avais déjà réalisé un exposé sur le sujet de la résilience au cours
de mon année et j’ai choisi de pousser ma réflexion pour le grand oral.
La résilience du point de vue humain c’est la capacité d’un individu à supporter psychiquement les
épreuves de la vie. Cette capacité nous permet de rebondir, de prendre un nouveau départ après un
traumatisme.

L’exposition du problème :

Cela tombe bien car nous sommes dans une période où l’humanité est
secouée par des crises multiples. Entre crise environnementale avec le
changement climatique, crise migratoire avec des populations menacées par
des catastrophes naturelles toujours plus nombreuses ou encore crise
sanitaire avec l’exemple du Covid. Cependant, en Chine le mot crise a un
double sens, il signifie soit danger soit opportunité. La preuve qu’une crise
n’est pas toujours négative et peut être nécessaire pour remettre en cause un
modèle de développement.

L’argumentation :

Niveau social : La résilience permettrait d’envisager des solutions pour


répondre aux enjeux sociaux actuels. Le changement climatique entraîne une
diminution de la qualité de vie des populations. Enfants comme adultes, de
nombreuses personnes sont déjà touchées par les conséquences directes du
réchauffement de la planète.

Certaines solutions sont envisageables comme le fait de limiter les


naissances pour réduire la population mondiale ou encore de mettre en place
des déplacements massifs de population de zones dangereuses pour notre
santé à des zones plus viables pour ces populations.

La survie de l’humanité dans de bonnes conditions passera donc par une


résilience accrue.

Niveau environnemental : La résilience pourrait nous permettre de retrouver


une symbiose avec la nature. Il y a une phrase que j’apprécie particulièrement
: Pendant longtemps la philosophie humaine a été « l’Homme est la nature »
mais depuis la révolution du néolithique c’est devenu « l’Homme et la nature
». Nous devons aujourd’hui revenir à cette philosophie initiale car l’Homme
cherche quasiment toujours à dominer la nature, par exemple, en construisant
des digues ou des barrages pour rendre habitable des zones inondables.

Cependant, des événements climatiques comme la tempête Xynthia en 2010


viennent nous rappeler que nous ne sommes pas au-dessus de la nature. Le
fait d’être résilient amènera à construire de manière plus harmonieuse avec
notre environnement. Par ailleurs, être résilient nous permettrait d’accomplir
définitivement notre transition énergétique.

Niveau économique : Enfin, une économie résiliente serait plus apte à


s’adapter aux différents changements actuels.

Par exemple, il est essentiel de relocaliser notre consommation et donc notre production afin
de rendre notre économie moins sujette aux aléas de l’économie mondiale.

De plus, je pense qu’il faut développer de nouveaux secteurs économiques et de nouveaux


modèles économiques en adéquation avec les enjeux actuels du vivant. Par exemple, il faut
véritablement que nos civilisations se penchent sur des domaines comme le biomimétisme ou
encore sur des notions comme l’économie circulaire.

La conclusion :

La résilience, plus que juste s’adapter, c’est apprendre des difficultés vécues et de les
transformer en opportunités.

Selon moi, nous devrions vraiment adopter globalement cette attitude de résilience. Cela
permettrait d’améliorer notre société et de la rendre plus viable à long terme.

Il faut allier développement durable et résilience.

Cette réflexion m'amène à espérer que l’humanité soit assez forte pour envisager les
changements drastiques offerts par la résilience comme une opportunité réelle d’évolution.
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01830530/document

https://www.ledevoir.com/economie/577976/analyse-a-la-limite-
de-la-resilience

https://www.geraldelbaze.fr/les-limites-de-resilience-ecologique
-et-sanitaire-de-notre-ville-les-mots-ne-font-pas-la-vertu/
Limites/défis aux études sur la résilience – Résilience individuelle (wordpress.com)
(Microsoft Edge)

Adaptation et résilience : critique de la nouvelle éthique de la politique environnementale


internationale (openedition.org)

https://ignition-program.com/tuto/entreprises-resilient-crise
https://www.linkedin.com/pulse/vers-une-%C3%A9conomie-locale-r%C3%A9siliente-et-vertu
euse-nous-sommes

You might also like