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4 Processus traumatiques
Isabelle PIEDADE
Octobre 2017 IFSI – CHU de Dijon Bourgogne
1
1. Le mécanisme
lésionnel
8. L’éducation/prévention
Victime
7. Les conséquences Plaie aiguë
Socio-économique et
psychologiques 3. Le niveau de gravité
ATCD
4. Le processus de
6. Les complications cicatrisation et les
facteurs compromettant
5. Les axes
thérapeutiques 2
Plan
3
A. LE SYSTEME
TEGUMENTAIRE
Rappels
(cf. UE 2.1 / 2.2 S1)
4
Caractéristiques générales
Anatomie de la peau
Enveloppe : 1,2 à 2,2 m2
a) 3 couches
b) Des annexes
c) Les muqueuses
MARIEB p.119
5
(cf. 2.1/2.2 S1)
Aspect clinique normal
Coloration:
Rosée
Lumineuse
Pigmentation homogène
Aspect:
Hydratée
Fine
Souple
Sèche
Température:
Tiède
37°C sur le thorax;
20°C aux extrémités
Intègre MARIEB p.119
pH 5-6 6
(cf. 2.1/2.2 S1)
Grandes fonctions
La peau, un organe complexe.
• Fonction de protection
– Barrière chimique / barrière partielle contre les radiations
– Barrière mécanique
– Barrière biologique
• Fonction excrétrice
• Fonction de thermorégulation
• Fonction sensorielle
• Fonction métabolique
• Fonction psycho-socio-sexuelle (cf. UE1.1/ 3.1 /3.2)
7
B. LES PLAIES
8
Définition
9
Typologie des plaies
AIGUE
CHRONIQUE
Intentionnelle
Inopinée
++ plaie Ä
Induite par une pathologie
PROCESSUS Cicatrisation > 3 à 6s
Acte chirurgical
TRAUMATIQUE avec des soins adaptés (*)
Mécanismes +/-Destruction
thermiques et tissulaire
chimiques (= brûlures)
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Ne pas négliger les lésions secondaires
Classification des plaies ouvertes
CICAILLEMENT
INCISION AVULSION
DÉGANTAGE
AMPUTATION
PERFORATION
ABRASION LACERATION
Dégantage
Plaie par arme à feu
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Echelle de triage* des patients présentant
une plaies aigues en structure d’urgence
• niveau 1 : urgence vitale, hémorragique, respiratoire,
hémodynamique, neurologique, associée à la plaie, de facto critères
majeurs de prise en charge ;
• niveau 2 : très urgent pour les plaies délabrantes, plaies avec
saignement actif ;
• niveau 3 : urgent pour les plaies larges, complexes et souillées,
plaies de main ;
• niveau 4 : peu urgent, pour les plaies superficielles (hors main) ;
• niveau 5 : sans urgence, pour les dermabrasions.
Une douleur intense doit faire appliquer un niveau de tri supérieur
permettant une prise en charge plus rapide.
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Prise en charge immédiate-Rôle
IDE
• Préalables
SOINS RELATIONNELS
Installation du patient
Isoler des regards
Éviter le malaise vagal
Position ajustée en fonction du siège des lésions et des risques
Consentement éclairé
Prévenir le responsable légal +/- autorisation d’opérer
Respect des règles d’hygiène et d’ASEPSIE +++
Prévention risque AES
Installation de la salle pour examen médical
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Evaluation initiale (bilan lésionnel) :
caractériser la plaie et ses retentissements
Anamnèse (Histoire de la « maladie »)
Mécanisme lésionnel
Circonstances de survenue et historique de la prise en charge
Etat locorégional
Localisation
Description (Classification) ,superficie, profondeur, aspect, odeur, déformation,
hémorragie…
Perte de substance
Souillures
Présence de corps étrangers
Lésion des membres: motricité, sensibilité, circulation sanguine
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Prise en charge immédiate-Rôle
IDE suite…
• DETERSION ET DESINFECTION DE LA
PLAIE
Le risque infectieux augmente avec le délai de PEC
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Travail en collaboration
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• EXPLORATION DE LA PLAIE – Conditions
de travail Examens clinique médical + recherche de
lésions profondes
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• APPEL DU SPECIALISTE
– ophtalmologique
– Neurochirurgien
– Orl
– …
– Avis chirurgical
– Les plaies en regard d’un axe vasculo-nerveux (pronostic vital)
– Les plaies avec lésions tendineuses
– Une plaie axillaire peut aussi concerner le thorax.
– PLAIES DE LA MAIN ET DES DOIGTS
Exploration ++
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• PARAGE
Définition:
Élimination des tissus nécrosés ou menaçant de le devenir
(++ tissu adipeux exposé à l’air)
• DRAINAGE
• INDICATION : décollement sous-cutané, plaie hémorragique…
• Dispositif médical: crin de Florence…
• Pansement légèrement compressif
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• SUTURE
Elle permet de maintenir les 2 berges d’une plaie pour faciliter la
cicatrisation
PREPARATION DU MATERIEL
+/- Photographie des lésions avant et après
INSTALLATION DU PATIENT
Allongé sur un brancard, zone lésée libre et dégagée
Respect du confort
Relation de soins, explications, rassurance avant et pendant le soins.
Recherche de la coopération du patient
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• TECHNIQUES de SUTURE
– Fils à peau : résorbable (4-5 semaines) ou non résorbables (10-15j)
aiguille courbe (médicolégal)
– Agrafes
AVANTAGES INCONVÉNIENTS
Simplicité, rapidité Séquelles esthétiques
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• Suture adhésive
– Rapprocher manuellement les berges
– Poser, parallèlement au grand axe de la plaie, une bande
adhésive de chaque côté qui sert d’embase pour réaliser
soit des croix soit des barreaux d’échelle. Compléter avec 2
nouvelles embases
– Laisser en place plusieurs jours
! ! ! Ne permets pas une désinfection quotidienne de la plaie
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• Immobilisation
Maintien de la position fonctionnelle des
articulations atteintes
Immobilisation des articulations sous et post-
traumatisme si nécessaire
L’accès aisé à la plaie
– Main ou poignet traumatique : Attelle postérieure
Position fonctionnelle du poignet à 25° en extension, pouce en opposition
+ bras en écharpe, main légèrement plus haute que le coude
– Doigts et orteils : séparer chaque doigt lésé par une compresse humide
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• PRÉVENTION DU RISQUE INFECTIEUX
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• PRÉVENTION DU TETANOS
Recommandation : Tétanos Quick Stick
Test rapide de détection des anticorps
cf. PROCEDURE
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C. La cicatrisation
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Processus physiologique de cicatrisation
R
E PHASE DE FIBROSE
M
O REGENERATION
D
E Phase de REMODELAGE très longue : ++ en cas d’infection ou de
L différenciation (maturation des fibres de délabrement
A collagène) jusqu’à épithélisation sous la croute. Tissu cicatriciel = tissu conjonctif
G
E Essentiel à l’aspect esthétique futur. fibrineux
Remplacement par un épithélium normal
La réparation tissulaire,
processus naturel sous influence
Rapidité et qualité de la cicatrisation dépendent de:
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Des facteurs compromettant la
cicatrisation
• Age avancé
• Obésité
• Tabac
• Diabète
• Dénutrition
• Médicaments immunosuppresseurs
• Les corticothérapies
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Une capacité de régénération fonction
du tissu lésé
• Régénération facile: tissus épithéliaux, tissu osseux, tissu hématopoïétique,
tissu conjonctif
Déséquilibre homéostatique:
Le tissu cicatriciel du cœur, du foie ou de la vessie peuvent nuire à leur bon
fonctionnement (atrophie, diminution du mouvement à l’intérieur des organes
creux)
Baisse de la contractilité des muscles, perturbation de l’influx nerveux
Formation d’adhérence abdominales réduisant le péristaltisme et augmentant 39
le risque d’occlusion intestinale
Les pansements
• Buts:
– Protéger des traumatismes et des germes extérieurs
– Etablir une hémostase
– Favoriser le drainage des exsudats
– Détruire les germes pathogènes dans la plaie
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Soins infirmiers
Pansement
Niveau d’exsudation Type de pansement
Pas d’exsudat Hydrogel (milieu humide) vaselitulle,
algotulle
Exsudat très faible +/- Film polyuréthane
Hydrocolloïde mince
Peu d’exsudat + Hydrocolloïde
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COMPLICATIONS
– locales : infection, abcédation, déhiscence (=désunion)
– fonctionnelles : lésions tendineuses ++; conséquence de
lésions méconnues
– loco-régionales : fasciites, gangrène, ostéite, arthrite
– générales : toute plaie est une porte d’entrée pour une
bactériémie
– esthétiques : une cicatrisation anormale conduit à une
consultation spécialisée dès la quatrième semaine.
Cicatrice chéloïde
Suture infectée
Cicatrice hypertrophique
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D. Les brûlures
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Objectifs
46
Introduction
47
Définition
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Les différents types de brûlures
Étiologie
ACCIDENTOLOGIE
DOMESTISQUE
ACCIDENTOLOGIE ROUTIERE
70 %
ACCIDENTS DU TRAVAIL
ACCIDENTS DE LOISIRS
SUICIDES …
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Les différents types de brûlures
Mécanismes des brûlures
• BRULURES THERMIQUES
• BRULURES CHIMIQUES
• BRULURES ELECTRIQUES
• BRULURES PAR RADIATIONS
• BRULURES MECANIQUES
• BRULURES PAR LE FROID
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Les différents types de brûlures
…Mécanismes des brûlures
Brûlures sèches (1-2)
• BRULURES THERMIQUES Brûlures humides (3-4)
1200 °C
800 °C
Carbonisation 760 °C
200 °C
Isabelle PIEDADE 51
Les différents types de brûlures
Mécanismes des brûlures
• BRULURES THERMIQUES - Conduite à tenir :
REFROIDIR
Règle des trois 15
15 mn
eau à 15°C
15 cm en amont de la plaie
Risque d’hypothermie
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Les différents types de brûlures
Mécanismes des brûlures
• BRULURES CHIMIQUES
= Réaction des tissus à la nocivité du produit
Gravité: temps d’exposition, toxicité générale du
produit
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Les différents types de brûlures
Mécanismes des brûlures
• BRULURES CHIMIQUE - Conduite à tenir :
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Les différents types de brûlures
Mécanismes des brûlures
• BRULURES ELECTRIQUES
Origine: courant électrique ou foudre
Gravité: Lésions profondes (type de courant, intensité,
durée d’exposition)
Complications évolutives musculaires
cardiovasculaires
rénales
neurologiques
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Les différents types de brûlures
Mécanismes des brûlures
• BRULURES ELECTRIQUES - Conduite à tenir :
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Les différents types de brûlures
Mécanismes des brûlures
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Les différents types de brûlures
Mécanismes des brûlures
• BRULURES RADIATION - Conduite à tenir :
cf. FGSU au S2 :
Prise en charge du risque NRBC
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Les différents types de brûlures
Mécanismes des brûlures
• BRULURES MECANIQUES
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Les différents types de brûlures
Mécanismes des brûlures
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Les différents types de brûlures
Mécanismes des brûlures
• BRULURES PAR LE FROID - Conduite à tenir :
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Les critères de gravité
LES CIRCONSTANCES DE
SURVENUE
EVALUATION INITIALE +
5 PARAMETRES CLINIQUES :
Superficie
Profondeur
Localisation
Lésions / Intoxications associées
Terrain (Age, ATDC)
HIÉRARCHISATION ORIENTATION
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Les critères de gravité
Les circonstances de survenue
Elles peuvent à elles seules représenter un facteur de gravité
Exemples:
• Temps de contact avec l’agent brûlant
• Explosion
• Incendie
• Atmosphère confinée
• Traumatisme associé
… etc.
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Les critères de gravité
La profondeur //
Classification des brûlures thermiques
Couche basale
CARBONISATION
ou 4ème degré
BRULURES
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PEAU SAINE BRULURES SUPERFICIELLES INTERMEDIAIRES BRULURES PROFONCES
Classification des brûlures
Brûlures Superficielles Brûlures Intermédiaires Brûlures
Classification Profondes
des brûlures
Caractéristiques
2nd degré Superficiel 2nd degré Profond (3éme degré)
1er degré
(degré 2a) (degré 2b)
Présente Présente
Phlyctènes Aucune Coloration sous-jacente rose et Coloration sous-jacente Aucune
suintante blanchâtre
Sécheresse, aspect
Hydratation Sécheresse Humidité Humidité
cuir, induration
Absence65de
Cicatrisation spontanée Séquelles cicatricielles cicatrisation
spontanée
Les critères de gravité
Évaluation de l’étendue
Règle des 9% de Wallace (Adulte)
Zone corporelle SCB (en %)
Tête + nuque 9
Tableau de Berkow
avec schéma de Lund et Browder
Méthode des 1%
Paume de la main du
PATIENT
67
Les critères de gravité
La localisation
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Les critères de gravité
La localisation
Lésions broncho-pulmonaires
(Poumon de brûlé, asphyxie, œdème compressif)
Atteinte des organes sensoriels: ouïe, vue, odorat
Séquelles esthétiques
Possible engagement du pronostic vital
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Les critères de gravité
La localisation
Surinfection
Œdème obstructif + rétention urinaire
+/- rétraction des orifices
Gestes précoces (ex: SAD)
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Les critères de gravité
La localisation
MAINS - PIEDS
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Les critères de gravité
La localisation
BRULURES CIRCULAIRES
Ischémie
Compression
Gestes d’urgence (incision de décharge)
72
Les critères de gravité
La localisation
BRULURES ARTICULAIRES
Séquelles fonctionnelles
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Les critères de gravité
Les lésions / Intoxications
associées
Pronostic vital :
Pronostic fonctionnel :
Électrisation
Atteinte des articulations
Détresse respiratoire
Atteinte des organes des sens
Intoxication au CO ou cyanure
TC + PCI Pronostic « psychique » :
Lésions médullaires Séquelles esthétiques graves
Polytraumatismes
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PRISE EN CHARGE INITIALE
DES BRÛLURES
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Objectifs:
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Prise en charge infirmière
des brûlures simples
Ablation des pansements existants:
Évaluer objectivement les lésions
CONDUITE A TENIR EN FONCTION DU MECANISME LESIONNEL
Refroidir la brulure mais pas le patient
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Prise en charge infirmière
des brûlures simples
• Réévaluation, surveillance
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Premier pansement
TRAITEMENT = TOPIQUES LOCAUX
Règles d’Asepsie, stérilité, hygiène ++ SOIN STERILE !!! :
Champs stériles, compresses stériles, NaCl 0,9% stérile, gants
stériles, Sarraut, calot, topiques stériles et refroidis si possible (frigo)
Nettoyage avec du NaCl 0,9% stérile et compresses non adhérentes
Si besoin : Protection par collyres : yeux, conduit auditif
Phlyctènes: pas de consensus: se fier aux prescriptions médicales
(si élimination des phlyctènes alors retirer toutes les peaux mortes à l’aide d’un
bistouri stérile et d’une pince)
Applications de topiques en couche épaisse (ex: Biafine®, Flammazine®…) et
parfois tulle gras type Jelonet ®
Pansement occlusif (compresses stériles) et bandes ou filet
Aux extrémités : Séparer chaque doigts et orteils par une
compresse
Pas d’adhésif sur la peau 80
Premier pansement
Si nécessité d’immobilisation :
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Sortie du patient
CONSEILS DE SORTIE : Education ++
Hygiène ++
Prévention des œdèmes : membre en proclive
Surveillance : état local, T°, douleur, adénopathie
Prévention des dyschromies : Ecran total + éviction solaire
Réfection quotidienne des pansements pendant 6j :ordonnances pour IDE libérale
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Brûlures complexes
Critères d’hospitalisation
Toutes détresses vitales
Lésions respiratoires suspectées
SCB ≥ 10% adulte ; ≥ 5% enfant et Personne Agée
Localisation
Traumatismes associés
Electrisation
Terrain
Cas particuliers
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La prise en charge du brûlé
Détermination du degré de gravité
Brûlures Age (années) Siège et Taille de la brûlure
majeures 10-50 Superficielles - intermédiaires >25%
<10 ou > 50 Superficielles - intermédiaires > 20 %
Quel que soit
Profondes (3ème degré) >10 %
l’âge
Siège : mains, pieds, périnée, face, circulaires.
Quel que soit Lésions d’inhalation
l’âge
Brûlures électriques, traumatismes associés
modérées 10 - 50 Superficielles - intermédiaires : 15 à 25 %
<10 ou >50 Superficielles - intermédiaires de10 à 20%
Quel que soit
Profondes de 2 à 10 %
l’âge
mineures 10 - 50 Superficielles - intermédiaires <15 %
<10 ou >50 Superficielles - intermédiaires <10 %
Quel que soit
Profondes < 2% sans autre lésion
l’âge
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Classification des brûlures selon l’American Burn Association
Mise en condition pré hospitalière
Prise en charge type réanimation
= Défaillance systémique
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Le brûlé grave en quelques mots
• Hyperperméabilité capillaire
plasmorragie (perte liquidienne brutale)
œdèmes interstitiels +++, exsudat +++
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Le brûlé grave en quelques mots
• Perte liquidienne
exsudat = perte par évaporation refroidissement
hypovolémie
HYPOTHERMIE
couverture de survie, couverture chauffante
réchauffement des solutés et de l’environnement
surv T° périphérique et centrale
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Le brûlé grave en quelques mots
• Hypermétabolisme proportionnel à la gravité
= hypercatabolisme protidique et lipidique
fonte musculaire, cicatrisation
DÉNUTRITION nutrition dès le 1er jour
retard de cicatrisation
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Le brûlé grave en quelques mots
• Stress
ULCERE GASTRIQUE nutrition précoce, IPP
• Douleur Morphine
• Surveillance neurologique
• Lésions associées
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Admission en centre spécialisé
24 centres en France
3500 hospitalisations/an en centre
Les cas les + graves (30% d’enfants)
Prise en charge pluridisciplinaire (greffe, cicatrisation, rééducation,
PEC psychologique…)
Entente préalable
Transfert Ιaire ou ΙΙaire en SMUR (service médicale d’urgence et
de réanimation)
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Lien avec les UE
1.1 PSYCHOLOGIE, SOCIOLOGIE, ANTHROPOLOGIE
1.2 SANTÉ PUBLIQUE ET ÉCONOMIE DE LA SANTÉ
1.3 LÉGISLATION ÉTHIQUE ET DÉONTOLOGIE
2.1 BIOLOGIE FONDAMENTALE 2.2 CYCLES DE LA VIE ET GRANDES
FONCTIONS
2.3 SANTÉ, MALADIE, HANDICAP, ACCIDENTS DE LA VIE
2.4 PROCESSUS TRAUMATIQUES
2.10 INFECTIOLOGIE HYGIÈNE
2.11 PHARMACOLOGIE
3.1 RAISONNEMENT ET DÉMARCHE CLINIQUE INFIRMIÈRE
3.2 PROJET DE SOINS INFIRMIER
4.1 SOINS DE CONFORT ET BIEN ÊTRE
4.2 SOINS RELATIONNELS
4.3 SOINS D’URGENCE
5.1 ACCOMPAGNEMENT DANS LA RÉALISATION DES SOINS QUOTIDIENS
5.2 EVALUATION D4UNE SITUATION CLINIQUE, CONSUITE DE PROJET ET
COMMUNICATION
6.1 MÉTHODES DE TRAVAIL ET TIC
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Plaies et brûlures Bibliographie