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COMPTE RENDU DU TP

LEVE PLANIMETRIQUE PAR


RAYONNEMENT

R ÉALIS É PAR :
CHIKER LARABI Aya
EL BOUSSI Anass
EL HASNI MOHAMED
EL AMMOURI Moncif
EL HAJAM Soukaina
EL HAMDI Soukaina
ENCADRÉ PAR :
BANNOUR Abdelilah

2020/2021
GC 1 ENSA TETOUAN
Table des matières
Remerciements : ................................................... 2
Introduction : ........................................................ 3
Phase préparatoire : ............................................... 3
Lecture et interprétation des mesures : ....................... 5
Croquis :.............................................................. 7
Plan côté sur AutoCad : ........................................... 7
Remerciements :

Nous tenons à remercier notre cher professeur Monsieur «


BANNOUR ABDELILAH », qui nous a encadré, pour sa patience et ses
explications qui nous a permis de préparer notre TP dans des bonnes
conditions.

Ainsi, nous remercions notre école « l’Ecole Nationale Des


Sciences Appliquées de Tétouan » et tout le cadre administratif.
Introduction :

La topographie a comme objectif principale la mesure et la représentation sur un plan ou une


carte des formes et détails visibles sur le terrain.
Ce Travail Pratique a pour objectif de nous faire appréhender les concepts du rayonnement.
Durant ce travail pratique, nous devrons lever d’une façon planimétrique et par rayonnement la
parcelle d’ENSA.
A savoir qu’un levé topographique consiste à collecter des données sur le terrain afin d'en
proposer une restitution à l'échelle souhaitée sous la forme d'un plan topographique.
La réalisation de ces Travaux Pratiques nous permettra de maitriser le concept du travail du
topographe, ainsi d’acquérir plus de connaissances en ce domaine.
Ce travail est divisé en deux parties :
▪ Le travail sur terrain et pour cela on va s’équiper d’un théodolite, d’un trépied, d’une
mire et d’un ruban.

▪ Le traitement des données avec le logiciel AutoCad et la réalisation d’un plan à


l’échelle.

Phase préparatoire :
▪ Matériels utilisés :
✓ Le théodolite : un instrument mesurant des angles dans les deux plans horizontaux
et verticaux afin de déterminer une direction.

✓ Le trépied : un dispositif mécanique à base de (hêtre, pin, fibre de verre, ou


aluminium), optimisé à une hauteur comprise entre (166 et 180cm), sous un poids
moyennant l’intervalle (4.5 à 7.4 kg). Destiné à la portée du théodolite sur un bâti
parfaitement horizontal, infiniment rigide et résistant.
✓ La mire : une règle graduée qui permet avec un niveau, de mesurer des niveaux,
c'est-à-dire des différences d'altitude.
✓ Le ruban : un instrument de mesure formé d'une règle graduée flexible et pouvant
s'enrouler.
▪ Mode opératoire :
La mise en station du théodolite doit être faite par une très bonne agilité et précision, tout en
respectant la hiérarchie des étapes suivantes :

✓ Se positionner tout d’abord sur le terrain concerné par l’étude (exactement au point
de station).
✓ Mettre à la disposition le matériel : théodolite, trépied, mire (2m).
✓ Desserrer les trois vis des pieds télescopiques de façon à ce qu'ils coulissent
librement.
✓ Jouer simultanément et par une appréciation visuelle sur la hauteur et l’horizontalité
de la platine du trépied conformément à la taille du manipulateur et l’allure de la
parcelle, puis actualiser la position en serrant à nouveau les vis.
✓ Placer le théodolite sur la platine et serrer la vis à pompe afin de le stabiliser puis,
débloquer l’alidade.
✓ S’assurer de la coïncidence de l’oculaire à la hauteur des yeux.
✓ En faisant objet du plomb optique et le trépied, positionner parfaitement l’appareil à
l’aplomb du repère stationnaire au sol.
✓ Au moyen des pieds coulissants du trépied, centrer sensiblement la bulle de la nivelle
sphérique en manipulant les bridges de blocage.
✓ Par suite, opter au calage de la nivelle torique au billet des vis calantes à la tête de
chaque pied, en agissant simultanément et dans un sens opposé sur ses dernières.
✓ Ajuster la netteté du réticule (pour avoir les traits visibles et noirs) et celle de
l’image (pour obtenir une bonne lecture) en agissant respectivement sur la vis
localisée à loculaire et la bague de mise au point, (après le positionnement arbitraire
de la mire).
✓ Placer la mire sur un point d’une manière parfaitement verticale (manœuvre guidé par
la nivelle sphérique).
✓ En se situant à cercle gauche, visualiser cette dernière à travers le viseur, puis par le
réticule dans le but de constater la valeur des fils et carrément les angles (zénithal,
azimutal) apportant un supplément de lumière au moyen du miroir latéral si c’est
nécessaire.
✓ Refaire l’opération à partir de la même station (effectuer un nivellement indirect par
rayonnement), sur les autres points, en portant la cueillette d’informations sur un
carnet de nivellement.
▪ Croquis initial :
✓ Ce croquis a été utilisé pour mentionner les levés sur terrain

Lecture et interprétation des mesures :


▪ Double retournement :
Une manipulation qui consiste à faire un demi-tour simultané de la lunette et de l’alidade (figure 1).
Ça permet d'éliminer certaines erreurs systématiques et de limiter les fautes de lecture, lors d’une
mesure d’angle horizontal. Cela permet de :
✓ Doubler les lectures et donc de diminuer le risque de faute de lecture.
✓ Éviter la lecture sur la même zone du limbe, donc de limiter l’erreur due aux défauts
de graduation du limbe.
✓ Éliminer les défauts de collimation horizontale (défaut de perpendicularité de l'axe
optique) et de tourbillonnement (défaut de perpendicularité de l'axe tourillons).
A partir de cette manipulation, on ne peut pas éliminer l’erreur de centrage sur le point de station et
l’erreur de calage de l’axe vertical.
Donc il vaut mieux soigner ces opérations.
Si l’on appelle HzCG la valeur lue en cercle gauche, et HzCD celle lue en cercle droit, on doit
observer :
HzCD = HzCG+ 200
En effet, le double retournement décale le zéro de la graduation de 200 gon, ceci permet un
contrôle simple et immédiat des lectures sur le terrain. La différence entre les valeurs HzCG et (HzCD
– 200) représente la combinaison des erreurs de collimation, de mise en station, de lecture, etc ….
La lecture d l'angle horizontal Hz mesuré vaut alors :
𝐻𝑧𝑐𝑔 +(𝐻𝑍𝐶𝐷 −200)
Hzmoy = si 𝐻𝑍𝐶𝐷 > 200 gon
2
𝐻𝑧𝑐𝑔 +(𝐻𝑍𝐶𝐷 +200)
Hzmoy = si 𝐻𝑍𝐶𝐷 < 200 gon
2

▪ L’angle vertical par double retournement :


✓ La position de référence de notre appareil mécanique est le cercle à gauche .
✓ Après un double retournement le sens d’évolution de la graduation du cercle vertical est
inversé :
i (angle de site)= 100 – V
▪ Calcul des distances :
Dh=100.(Lsup-Linf).sin(V)²
▪ Calcul des angles horizontaux :
α = Hz(suivant) – Hz(précédent)
▪ Calcul des gisements des points de station :
On met le 0 du limbe, et on calcule le gisement de la direction entre la station et le point de
référence.
𝐺0 = tan −1( ∆x/∆y ) + K

Pour calculer les gisements des autres directions, il faut ajouter le gisement de la station à l’angle α :
𝐺(SM ′ ) = 𝐺0 + α
Veuillez consulter la feuille d’observations et de calcul.

Croquis :

Plan côté sur AutoCad :


Conclusion :

A partir de ce TP, nous sommes parvenus à mettre en œuvre le principe de


rayonnement. En plus, nous avons pu maitriser la syntaxe du levé
planimétrique.
Les relevés planimétriques, nous ont permis de réaliser un plan coté de
notre école sur Autocad.

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