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Names of the teacher

Child Labor in Belgium (19th-20th century)

Cazier wood workshop: child labor

Polo, the lamp bearer (in 1846 in Belgium)

Polo, 9 years old, works to help his family. At home, everyone works in the mine.
He is too young to dig inside the mines but he is small enough to take the lamps
(whose oil is dead) from the miners, 2 by 2, to bring them back lit lamps.
He uses a metal bar that he puts on his shoulders and he puts a lamp at each
end. Afterwards, he walks for miles in the underground passages of the mine to get
to the place where he relights the lamps.
Then he brings them back to the miners, and so on for 12 hours a day.. .
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Names of the teacher

Élisabeth, the wagon pusher (Belgium, 1889)

Following the law of 1884 stipulating that boys and girls should respectively start
working in the mine at the age of 12 and 14, Elisabeth began working in the mine at
the age of 14.
His job is to push wagons full of coal on rails for several kilometers to where the
wagons are brought up to the surface. In addition, these vehicles weigh about a
ton!
Despite the evolution of the law, Elisabeth must, in order for her and her family
to survive, get up early in the morning, every day, to work in the mine for 12
consecutive hours...
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Antoine, the apprentice brickmaker (Belgium, 1920)

En 1914, une loi s'ajoute à la Constitution belge ; elle oblige à chaque enfant à se
faire instruire au minimum de 6 à 14 ans.
C'est pour cela que depuis ses 14 ans, après avoir fait ses années d'école
obligatoires, Antoine travaille à la briqueterie. Avant ses 15 ans, il ne faisait que
déplacer des brouettes pleines de briques de l'usine à l'entrepôt. Mais maintenant,
il doit lui-même faire des briques, tout comme ses parents.
Il les fait au mieux et aussi vite que ses mains le lui permettent car il sait que lui
et ses parents seront payés selon le nombre de briques confectionnées. La petite
famille craint ne pas avoir assez de nourriture pour tenir pendant l'hiver.
Malheureusement, pour subsister, ils doivent parfois négliger la loi de 1919
interdisant un travail journalier de plus de 8 heures.
Faire des briques, Antoine n'aime pas ça. Mais il sait qu'il n'a pas le choix…
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Author's note

hor's note
Although Polo, Elisabeth and Antoine are fictional characters, they
did exist. They existed through each child who had to work hoping for a
better life...
Unfortunately, there are still more than 250 million children under
the age of 17 who are still forced to work, sometimes without being able
to go to school or even have fun!
This is the reason why I wanted to write these texts (apart from my
points): to make people understand the ordeal that children had to
undergo in the past so that we fight to make the life of each child still
being subjected to such work.
(Of course, I have only written about some of the children's work
being presented at Bois du Cazier.)

Sources:
-https://perso.helmo.be/jamin/euxaussi/famille/travenfg.html
-https://perso.helmo.be/jamin/euxaussi/famille/enfmine.html
-https://ligue-enseignement.be/la-ligue/chroniques-historiques/eduquer-n132-
quand-les-enfants-nallaient-pas-a-lecole-histoire-du-travail-des-enfants-en-
belgique/
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Présentation écrite sur Charleroi pt.2

Visite "guidée" de Charleroi

L'histoire de Charleroi

En 1550 (cela pourrait être 1500 ou encore 1600), Charnoy est un hameau
appartenant au Comté de Namur. Il se trouve sur la rive gauche de la Sambre et
est au pied d'une colline.
Vers l'an 1660, un évènement va changer son existence (et son avenir). Le roi des
Pays-Bas espagnols décide d'y construire une forteresse et le village disparaît. En
l'honneur de Charles II, cette forteresse s'appelle Charleroy.
En 1666, Louis XIV, roi de France, reprend Charleroy et charge son architecte
Vauban d'améliorer la forteresse et contribue ainsi au développement de la ville.
Pour ce faire, Vauban tire parti de deux éléments du site naturel étant à sa
disposition : la colline et la Sambre.

Au XIXème siècle, la ville s'industrialise. La région bénéficie d'une source

d'énergie incontournable : le charbon. La ville grandit et les remparts disparaissent
ils sont remplacés par les boulevards.
Au fil du temps, il y a de plus en plus d'industries et la ville nécessite de la main
d'œuvre. Les corons (maisons des ouvriers) sont stratégiquement construits juste à
côté des usines. Grâce à tout cela, la ville développe et s'enrichit rapidement. À la
deuxième moitié du XXème siècle, le charbon est remplacé par le pétrole ; la ville
commence ainsi à se désindustrialiser.
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Charleroi aujourd'hui
Aujourd'hui, à Charleroi, on peut encore voir la Maison dorée ou encore l'Hôtel
de Ville qui témoignent tous deux la richesse passée de Charleroi.
Aujourd'hui, la ville recrée de l'activité. D'anciens bâtiments industriels changent
de fonction. Comme par exemple un entrepôt pour les mines, qui pourrait être
devenu un centre pour réfugiés, ou une caserne de pompiers…
En plus, le centre-ville à été rénové. Rive Gauche est un des nouveaux projets
mis en place pour le centre-ville. Rive Gauche est un très grand centre commercial
inauguré le 9 mars 2017. Il est au cœur de la ville sur la Place Vert couvre 35 000
mètres carrés.

Rive Gauche

Les facteurs de localisation à Charleroi au XIXème siècle

Pourquoi les industries s'installent-elle à Charleroi au XIXème

siècle ?

1. Elles y ont de la matière première : le charbon.

2. Il y a beaucoup de voies de communication.
3. Le charbon qu'ils ont à disposition fait office d'énergie.
4. Vu le nombre de charbonnages à Charleroi, il y a toujours une industrie avec
laquelle elle pourrait s'allier.
5. Grâce à la place tout autour de Charleroi, il y a assez d'espace au sol.
6. Comme il y a plein de foyers pauvres, la main d'œuvre est très accessible.
7. Il y a beaucoup d'habitants à Charleroi et tout fonctionne au charbon donc
c'est toujours plus intéressant pour les clients d'en avoir à proximité.
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Ligne du temps de l'évolution de Charleroi *

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Pourquoi à Charleroi ?

La raison pour laquelle nous sommes allés à Charleroi est évidente :

cette ville à un tel patrimoine historique et culturel que nous ne
pouvons qu'en apprendre, encore et encore…
De plus, grâce au charbon, il y avait tellement d'industries que
maintenant, la désindustialisation est flagrante.
Aujourd'hui, la ville a encore plein de nouveaux projets et c'est
toujours intéressant de voir à quel point une ville peut tirer parti des
éléments du passé pour se reconstruire.

Sources:

-https://fr.wikipedia.org/wiki/Rive_gauche_(Charleroi)
-https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_du_patrimoine_immobilier_class
%C3%A9_de_Charleroi
-https://www.charleroi-decouverte.be/pages/index.php?id=411

*Les textes surlignés en jaune correspondent au TOLE.