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La démarche a suivre pour déterminer ce comportement asymptotique étant la méme au voisinage de —co et de -+00, je noterai x + oo, sans préciser s'il s'agit de —co ou de +00. Dans une copie, vous traiterez. les dewx cas & part, en écrivant éventuellement “de méme” pour le second, sils se résolvent de la méme manitre. sy mpbole hvizontale 1) Sila fonction f admet une limite finie ¢ lorsque z—> 00 : t La courbe Cy admet une asymptote horizontale d’équation y = ¢ au voisinage de linfini considéré, ey 2) Sila fonction f admet pour limite —oo ou +00 lorsque x > 00 [Ae On dit alors que Yon a une branche infnie. Comme il y a différents types de branches infinies, on recherche plus de précision : on calcule : tim £2) . tyois cas remarquables peuvent se produire = me a) Jim £2) din £2 = 400 ou -00 oy @ \ Dans ce cas on dit que Cy admet une branche parabolique de direction 'axe Oy au voisinage de V'infini J ah ) considéré. Bice, Remaraie: On a ators 2= 0. ((2)) Beemptis dillastabion: fle) 2x? sept) Sent co de |») tim £20: ‘ ee (| ee enc comme omy yr (Remarque : On a alors f(z) = von (a) amp: tee) Ba; Rave bat a > 9 fin ware: ~ (Remarque : On a f(x) eo) Cela ne sufit pas & tracer avec précision une allure de la courbe. on calcule alors : lim (f(z) — az) Deux cas remarquables peuvent encore se présenter casympl a) Jim (f(2) ~ az) =b (ER): On a alors f(z) — (z+8) —+0. La droite d’équation y = ar-+ b est asymptote a le courbe Cy voisinage de l'infini considéré. ) jim (f(2) ~az) = +00 ou ~ 00: On dit que Cy admet une branche parabolique de direction y = az en Vinfini considéré. ‘Remazaues : Si on sait calculer un équivalent simple de la fonction f au voisinage de l’infini considéré — cet équivalent devant étre une fonction usuelle simple, comme z* (a # 1), e*, Inz,..., etc,... — on peut facilement traiter les question 1) 2)a)b). ++ Si on trouve une fonction simple g(2) tele que f(z) ~ 9(2) —¥0, alors la courbe Cy vient se “coller” sur la courbe Cy au voisinage de l’infini considéré. De plus, le signe de f(x) — 9(z) permet de donner la position relative de la courbe Cy par rapport & le courbe C,. Par exemple, si on voit que f(2) ~ (ax +8) —40 sans nécessairement passer par les calculs de lim, 12) a a ce Tim (J(2) ~ a2) = b, on en déduit que Ia droite y = az +b est asymptote & la courbe au voisinage de T'infni et le Signe de f(2) — (az +b) permet de donner Ia position relative de la courbe Cy par rapport & son asymptote. Remarque : un équivalent de cette dernitre valeur nous permet aussi d’obtenir son signe au voisinage de l’infini considéré. % Le comportement asymptotique d'une fonction peut se “lire” sur les développements limités (et/ou asymptotiques) de calles

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