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ia a+ Bie FE) Bhentens Shen Cant Bode en nt - 0 x a ser a fa een & G\\G0 5 Biowe f Sipps. Be ly 2 Bema nono SERP SS: oe a 2 Etats de la matiéres Lamotte peut enter en gtd sous 2états ert kde, aude et opeur {ou az) Leis sovsieqel seve laste pena 2 parame la tenpedur eis pression Ans Als pesson arosphane normale on Bowe Feu sous ome se (ace) en dessous de O°, on tour nae ee O'Cet 1OO"C pus a vapeur eau au dessus ce 100°C & “= lquee pour aouter des commentares ate a ESE Ret Fan aS eee ia 9+ Bit an Madedeconpal- net Poneit - 9 x tat inmtare agama truer so a er corres ly @\\ao0 7 Dionne - i ALLOSa- z Eater» erssan aA cue away GAKe cae Sermwrmene: | ly seers es dat dala mare pi comin: Liquive GAZEUX fone Sato ente lr atomes | Fomechinge amc intent Pa delascs es sts What 9+ Bi on Madedeconpt]- ce PenaPeit - 3 x ase | manana nmr Oucuane sein 3M ot bon toeee Sp wee Mh BNNOCO ere ee Gives. 2 oo Dee, ers A ER SB rE GARE ee OM Simm ccunme le omen Soli AMORPNE, non-xdonnt ny pus ore des tomes dans sl Sele cagA, erdonne {quer pour jouer des cermmentares a 4 9-9 Cen atep ema nto - ox BEM | menue ansehen ani oe Pe TAS SESE Remar teow SS & girees. 3a gona oi Fam ee eae a oe Shes ae penton [aan Lx "La erstallographie estia seience des eristaux flle permet = Ladétermination, la classification et linterprétation des structures géométriques des cristaux et étude de leurs proprigtés physiques. 1. Un-erstaLest caractérisé par son homogénéité, il est formé par un empliement de] | parallélépipédes élémentaires identiques. Selon le refroidissement du liquide a s: | température de solidification le cristal obtenu peut étre soit un monocristal cu un © polyeristal. oan Mabe cempathil Mecca Beaeert - a x 03 SMe wow eo % Ba ae epee . Or 8 Bae AS 0 ees anit We Seton = Beyer [Raa | + Le polyrisal est par contre formé de plusieurs germes dormant neissance & plusieurs grains de germination appeléscrstlites, 2..Mileu cristal: (structure eistalline) La reproduction de fensemble des éléments constituant le cristal La distribution périodique dans espace de ce dernier constitue la structure cristaline, bee Venus risen rei siuctre j (cel) (@eentakey (eating) outer ds commentaires KOSH oan Mabe cempathil Mecca Beaeert - a x 03 SMe wow eo % Ba ae epee . Or 8 Bae AS 0 ees anit We Seton = Beyer [Raa | + Le polyrisal est par contre formé de plusieurs germes dormant neissance & plusieurs grains de germination appeléscrstlites, 2..Mileu cristal: (structure eistalline) La reproduction de fensemble des éléments constituant le cristal La distribution périodique dans espace de ce dernier constitue la structure cristaline, bee Venus risen rei siuctre j (cel) (@eentakey (eating) outer ds commentaires KOSH BIR sss | eccan cto twin arene ouonare ever ater - ey ‘Aron + Réseau Cristallin est constitué d’un ensemble d'objets identiques disposés de facon périodique dans une direction, un plan ou un espace tridimensionnel b arrangement le plus simple d’un réseau est une ligne d’objets yooh " ba aad Qn enlive les objets (motifs ) en laissant les points (neauds). ‘On obtient une ligne de noauds également espaces de la distance a tt . Réseau unidimensionnel Tae a e Un noeud est un étre mathématique. Ce n’est pas un atome * Il existe deux autres types de réseaux ; le réseau plan ou bidimensionnel et le réseau tridimensionnel Réseau plan ou bidimensionnel i 3 3 t Exempier de nétaout La périodicité de répétition est définie par les vectours a etb et angle y quits forment +) Che pour outer es commen Cau cece - Ment Poea warolr TED vs | nner cuter tars snmiton Sora an shout, ey Hlowasten veo ee Ree ween Bowe feo LE — . Ore eae A Bee oe ee « carré (a = bet y= 90"); rectangle (a = b; 7 = 90°), rectangle centré (a = b; 7 = 90°) hexagonal (a = bet 7 = 120°) ‘oblique (a+b 7 # 90°). Les cing réseaux bidimensionne! = | ————— ae we ranen Cnman tans snare Supannn tive ohage oe SS) Shwestons _— eee oem. Réseau tridimensionnel + Le réseau tridimensionnel est constitué par un arrangement triplement périodique de particules dans les trois directions de l'espace ose Madedeconpa- net Poni - 9 x uenen Gan tans snmuere Dapnann— aen— 3M a By Bémens vee wey © G\\oco a —), Seem atiese. a ly = : erases Raraecoes vm + Les points du réseau ou se trouvent les particules sont appelés noeuds du réseau, * Dans l'espace, les divers noauds se déduisent les uns des autres par une translation de b vecteurs : T= uat vb+ we * uv, w sont des entiers, + Bi Be Lsgnt des vecteurs non coplanalres, choisis de facon @ avoir le plus petit module. =| quer pour aouter des conmentaes aie TE es Kh Baa on Madedeconpa- thane PoneBit - Bove: Done ig. . ¢ Dupe Maille élémentaire ou maille cristalline + Le maille élémentaire correspond & la portion minimale, * qui par translation dans les trois directions de l'espace définies par les vecteurs a,b, etc, + elle permet de reconstituer I réseau cristallin, =| quer pour aouter des conmentares aie a TE eK warole Cau Nhce cecil = Meat Poea - 3 TEM on | ener cin trans Bonar ean aun SA Bay Bouton coe 2 we wccietone some a . = ¢ Pea A EES ve cua, recess u, autrement dit + La maille élémentaire est un parallélépipéde définie par : > les longueurs a, b, ¢ des arétes, & les angles entre les arétes 7 (a, b), Bc, a), « (b, ¢) = la nature, le nombre et la position des atomes formant cet édifice * Son volume est donné par la relation : v=(@Ab)c Clquer pour aouer des commentaires cena cb ara oe Toa me Bp Boer Motif ou groupement formulaire + Un motif est I’entité chimique de base constituant le cristal. > C’est le plus petit schéma discernable occupant les neauds d’un réseau cristallin > C'est par exemple un atome de cuivre dans un barreau de ce métal, une brique dans un mur , > Crest l'association de cing atomes 1Ca, 1C et 30, dans le réseau de carbonate de calcium CaCO. = | aavee nour acute des commentates Bhonee aie eae me Ht aS a eee Cas Masedeconpmtiel- Meson FenaPet - 9 x uenen Gan Nanmans _snmtonSapuainn eaten muge ol By whoo ae kk @\\o60 carat ae See i ALuega- oe ers saw BANCO eee ome Coordinence ] * La coordinenge définit pour une particule donnée, le nombre de voisins les plus proches dans Vespace. * Elle s‘exprime par un nombre entre crochets | [N] * Exemple [4 ], [6], [8] =| quer pour aouter des conmentatres aie aaa me za Ca Mose seconpit- We Foner Se Sites cristallographiques ‘ Les sites cristallographiques correspondent 8 des vides interstitiels entre les atomes du réseau. * Les sites les plus fréquents sont = les sites tétraédriques délimités par 4 atomes. = les sites octaédriques délimités par 6 atomes = les sites cubiques délimités par 8 atomes. Représentation des sites cristallographiques | =] Glavee pou eouter des eemmeriares Sanaa sna 3B Pome te sae oie en Madedeconpa- thane Poni - 9 x =o 3 Sie La multiplicité * La multiplicité n ou Z d'une malille représente le nombre de motifs ou groupements formulaires appartenant a cette malile * Une malille simple contlent un seul motif. * Une maille multiple contient n ou Z motifs =| quer pour ajouter des conmentares aie a TE me TES ae cae Br mien Since eaten omen Coun Madeeconpeie- ert Pena - 9 x ‘ever ome = =e ee It B\\GOa evecare a we Qitpee. a on . Seam etn. SAC) ae ome Sara que pour sjouter des commentaires Compacité La compacité représente le rapport du volume occupe par les n particules / volume total de la maille. Sion assimile les atomes a des spheres de méme rayon r, la compecité peut tre calculée & partir de la relation: C= (1(4/3)M F9)/ V cotat mate Si les rayons F; sont différents ((4/3) 1 Ln, FP)/V oral ma $2 100¢ c Le taux de compacité: aw ASSO OE Wa 9+ oI ont! Madde compatt) tree Poneert - Fs | ener cn tan ston Sagas ES) Sosestons tone ROO stone Ryder» iF §\\oc0 BD arisdsa. B ANNO Re Allotropie diverses formes cristallines. * Ces différentes formes cristallines sont dites variétés allotropiques. ‘= Exemple, le graphite et le diamant sont deux variétés allotropiques du carbone. * Le phénoméne diallotropie correspond & un changement de la structure cristalline; sous effet de la température et/ou la pression. que pour ajouter des commenares aes ana omen Be —— Sisson Température de transition pour quelques structures cristallines * Substance Forme cristalli + une danonum Tadmboeshue’ "Cube 25,22? nae eargent hecagens = cate: 146 5* rate dagent ontique = shambodenas : 159,6°¢ trate de ttn porn, — thenbotanaue 2 755 ‘eeseace "Seah wesc hate om am aimee ROR Les systémes cristal + La convention adoptée pour décrire les réseaux cristallins consiste & choisir * les distances a, b et c selon les axes x, y et 2. * les angles a(y,z), B(x,z) et y(x,y) Ilexiste géométriquement que sept system: maille permettant de décrire un réseau cristallin CGiquer pour ajouter des commentaires rent = ia Soe wae ol Coon adda cmgi Mat Pv == - SE sows | mines enon tines oman basen pean oovge | tome a 2 By Bemter ae ow ee eee eae lk A\\OOO Bieotneattone® aMteombe ry & a ok c B a2eese. 88 ST Gi eee A eae Remn. ei ie Simeusiatenes ig sheenne + arnane Tangueuy dex | hgiesonsion —Resnaurde ey ES brave tions Rie Ores Remy EL ER Grea TAGs Pires Pie Faara em) =| Clave pour sow des commentares aA re re ean Medeecompntet)- Merah FosePort - a9 x Cubique P Cubique I Cubique F Nous dénombrons ainsi 14 réseaux de Bravais. ‘Giquez pour acer des commentares SSeS SIE CR AT] _ Les quatorze réseaux de Bravais ETE Tetragonal P P| MonocliniqueP = C __ Triclinique ajouter des commentaires Cam Mode decomp: eet PowePont - 9 x Somat) Mo ovontons Dem iy B\\a00 a ALES Les coordonnées réduites Le réseau cristallin étant périodique dans les trois Girections de référence, les positions de tous les atomes de la maille de coordonnées géométriques (XYZ) sont feprésentées par des coordonnées réduites ou fractionnaires (xyz des fractions de a,b et c) définies par: x=Xla y=Yib z=Zic avec Osx 1 Osy 100>-{100} {010}, {001} _ [100},0 70} et [001] 10) Plane: (110) Je plan (hkl) Ensemble des plans Equivalents {hkl} (110}101),(011 (110) (101),(101),(101)ete... | avec d distance entre les ve réticulair et n un entier qui repére l’ord nombreuses applications de la loi Bragg on peut c! jaux inorganiques (matériaux, verres, céramiques) Biomatériaux (phosphates et alliages : orthopédie et dentaire) Mines Métallurgique (fer et acier) Couplage de la technique de diffractométrie avec d’autres technique microscopiques et spectroscopiques) : he +k? + P)sint'a + Uhh + t a(l = Jcos? a 4 Ors i i ai Re 2 Monette: | | ( , aint , d, sin? B \a* b | HAT Triclinic z = a (Sih + Syak? + Syl? + 25 a thd Beret § © “aie! — des motifs par matte ¢ Sommets ot centre e gy Sommets, centre 4 faces et arétes Sommets et faces —- Oipantier Styles ‘ + rapides >

Stnmssatteme sete STRUCTURE DES METAUX A L’ETAT SOLIDE {Lun des modéles qu permettent de comprendre a lalson métallique est ‘celui quiconsidare ler metas come des fons posts bignantdans un ‘yage elecuonique. Dansie but d etude les diferent types, Gempliements dtames metallques,ces demlars sont assmles a dos le spheres semblables spheres rigides. Ans, orsau‘on juxtapose une ‘Dour en falre une couche unferme, on peut patirsur deux bases - Empilements compacts ¢ Dans I’empilement compact, chaque sphére est tangente a six autres sphéres identiques formant ainsi un hexagone régulier autour de I’atome central. Association des atomes dans le plan A e L'edification d’une structure compacte tridimensionnelle impose I’addition d’une seconde couche (B) dont les spheres sont posées sur la moitié des creux de la couche A PlanB La troisiéme couche peut étre placée selon deux possibilités: © La premiére consiste a la superposition de facon identique a la couche A Succession de plans compacts ...AB-AB-... PlanB Empllement hexagonal Compact: H.C Empilement hexagonal Compact : H.C Direction d’empilement: V'axe oz de la maille Vue de coté de la séquence de l'empilement compact dans la structure Hexagonal compacte La maille Hexagonale Compacte © MétalM PlanA PlanB > plana nale Représentation en perspective de la maille hexago' Multiplicité de la maille H.C =Chaque atome au sommet dela maille Hexagonale compte pour 1/6 *Chaque atome au centre d’une face compte pour 1/2 Multiplicité de la maille éelémentaire H.C ¢ Nombre de motifs Ily aun atome a phage sommet ge la maille. ¥ Aux sommets a 120° 4x 1/6 “Qe v Aux sommets a 60° - x 1/12 re = (4x1/6) +( 4x 1/12) +1=2. Scanné avec CamScanner Multiplicité de la pseudo-maille H.C f | Pa e Nombre de motifs Il y a un atome a chaque sommet de la maille. v Aux sommets a 120° 4x 1/6 ¥ Aux sommets a 60° 4x1/12 Z = (4x1/6) +( 4x 1/12) +1 2. Scanné avec CamScanner —————E————e—_ eee “= Projection d’une maille élémentaire H.C sur le plan (xoy) ‘coordonnées récutes des atomes ce Ia maile élémentaire HC Somt (000) ; (23 13 1/2) oufl1/9 2912) (Cort 2 not twepetemet erst] Mos de compte - cea Powetent 2 x Bienen rw Devanie al Compacité de la maille H.C © Le volume de la mailleH.C est : © Ve atesin120° avec a= 2r,et * Le volume total des spheres de Hyon Sore volaneee s rable’ ° Glementate est avec caf La compacitéast ssite=074 2 entre tes parametres a ct c eee eee Compacité pour Vempsiement hexagonal COMpact Volume de la maille : 771 ns \ gilie = ca" sin} Lien entre a ei c : AH F RH- CH= AR 2 tihaneentre de ARC eypilateral AGH rectangle en Ci ACE + GHE = ABP | Scanné avec CamScanner SEE NE NTRS SALTED CO Pn * CE Oe _oipasmens es i B\\ooa > Bewew _ 2 Alteoa tateniae = men NRC) am 4 Seow > I> x Liem entre a ete: rat cir an = BOR C= AGH recanae on G o aE he or=ar 2 Clavez pour ajouter ces commentaires de la troisieme avites des e @ Dans la deuxieme passibilité, les spr couche viennent occuper les centres de interstices de type C, veel * Cette troisieme couche C, ne Sc! superpose ni a la couche A ni a la couche B Plan B Succession de plans compacts ABC-ABC Empilement C.-C Modéle compact de la maille CRC Scanné avec CamScanner Maille cubique a faces centrées © Metal M Direction d’empilement: Diagonale du cube Plan B Plan © Représentation en perspective de la maille C.F.C Scanné avec CamScanner Multiplicite de la maille » Atomes aux soiinite, ate Chaque atome au sommet Sees a8 mailies ie anes pout ‘une ‘nail cubique, Chaque atome au sommet “appartient a 8 mailles voisines, il compte donc DOUA AZB uel atomes aux sommets: 8x 1/8=1 atome par maille Scanné avec CamScanner ~Atomes aux centres des faces: Chaque atome au centre d'une face est commun a 2 mailles Nous avons 6 atomes aux centres des faces: 6.x 1/2=3 atome par maille .En conclusion: Pour une maille C.F.c n=8x1/8+6x1/2=1+3=4_ Scanné avec CamScanner , . 1 Peo [sa ay Ps oy : Pg rT a 0.0.0 é2 2,0) \ ~~ Gearlinipe T9aeh j (0.0 0) (172,1/2. 1/2) Scanné avec CamScanner Coordonnées réduites des atomes de la maille élémentaire e Une maille cubique a faces centrées Contient des atomes aux e« 8 sommets du cube de coordonnée réduite (O00). * 6 centres des faces de coordonnées réduites: (1/2 1/2 0), (1/2 0 1/2), (O'L/2.1/2)) Scanné avec CamScanner La coordinence Dans les deux types d’empilements compacts, chaque sphere est entourée de 12 sphéres voisines 6 dans le méme plan, 3 dans le plan inférieur et 3 dans le plan supérieur La coordinence est donc = 12 Plan C Plan B Plan A Plan C Scanné avec CamScanner tere ter 7 i @AX\ooo Sp Bremen sb Altpaa- a TF cantmeoterm GAREY a Lome ue Paver (1) (0,1) any any 0.1) Cliques four ajouter des commentaires EEE eee ay citveccton cae a Sparen fata "fates ore sere 1 Seema © Compacité Le volume dela maille C.EC est : a? avec n=4 et Le volume total des sphéres de rayon + sur Ie volume de la maille élémentatre est ‘sLempilement compact est ta facon 1a plus efficace de remplir espace avec Ges spheres Identiques. ‘Elles occupent 74% du volume. te taux de compactts de Fempilement est 74%. Boit exactomont [a mime w ans fa systerme H.C c= 0,74 Exemple de métaux cristallisant dans les structures H.C et C.F.C Structure Hexagonal compact e Le réseau hexagonal commas rearoupe une vingtalne de métaux parm! lesqueis - Li, Be, Mg, VY, Te, Pe, Ru, 1 Gs He,,... , Sc, Ti, Zr, Ht, Mo, Ca, Ni, Cd, Tl, Structure cubique « feces centrees. © Cathe Str icitipieitt WWhkiCOLERE Werke wehreg tains clam criwhtiviaK | Al, Ca, Sr, Wa MINN reeks che trerradtiey (Ft, Chay NL, Cl, Ped, Ac, vb, PAu) PMD WWM ees pee ere Cea Phelan ‘4 reltot ‘sollde, » NB ice IAL soo fT MRMOTNEHN Chea wert siletropiqnies MO at Crt (gem RIT cutie Pik “at ERED gat tree mrochnies, sin Adbotrowle Scanné avec CamScanner | Empilements non- compacts eC ee ort, inom oes Sam ote plan aont iKiinniin ie work: que leurs eres cometituent bos HK Let Carre he =e = Arh eater ell he. etic Ca PQ MIRE Re Queene ei wfhi widt ERA nin ov Vt winds yn yt wp NMIAE KG MI UE HRARHaie jibatie wih Mine inateeh fa TRUMAN At PIP Scanné avec CamScanner snes keaton Beaune PE ceow Suva Flame: l'atome situé au centre d'un cube est entouré par uit atomes équivalents placés aux sommets du cube 4 la distance Scanné avec CamScanner EO - La coordinence + Dans cette empilement la coordinence est [X] = [8] + La multiplicité de la maille :8x1/8 +1 =2 * Les coordonnées réduites les coordonnées réduites nécessaires pour décrire ensembles des positions atomiques dans un réseau C.C sont (000), (1/2,1/2,1/2) - + Compacité: de HC et CFC Ex de structure CC: Li, Na, Cs, Ba, Fea, Mo, Zn, W.. IE | Cliquez pour aJouter des commentaires, ars wotae ® —_e eee ces 2 Bt3pee ay fe Beau quer pour aouter des commentaires Insertion dans les réseaux Llexistence d‘interstices vides dans les cristaux métalliques permet d'enviseger insertion c’atomes plus petits : on obtient ainsi des composés d'insertion comme les alllages métalliques. Ex. I’acler Fer- carbone. Vinsertion du carbone permet de modifier les propriétés mécaniques du fer. Etude des conditions d’insertion dane ‘empilements compacts CFC et HC. ‘+ Sites cristallographiques ites octaédriques. Le polyédre de rétérence est Vectabdre, polyédre 8 6 sommets dont les 8 faces sont des triangles équllatéraux, Le centre de cet octeédre correspond au site octaédrique ce ul Implique une coordinence [6 } Identification des sites dans les | structures CFC * Les sites octaédriques ee une structure CFC se situent : i Coa Y au centre du cube : “ au milieu des arétes . as pone Identification des sites dans les structures CFC + Les sites octagdriques dans une structure CFC se situent : ¥ au centre du cube Yau milieu des arates . Le nombre des sites See est: (1x1) + (12 x Vs) = Le nombre de sites ich il ont égal au motifs/Maille. | hombre de Coordonnées réduites des sites al riques (1/2,1/2,1/2); | (1/2,0,0); (0,1/2,0)et (0,0, aye), (|) |) Le rayon maximum ro d'une sphere ae introduite en site octaédrique ii The que Soi réseau, est tel que : | 2(R + ro) =a a= 2RV2 = 2 V2R Ce qui donne : pie d’etre I tas ile V4 My Réseau cfc : sites interstitiels octaédriques B Petite diagonale du cube 4r =a v2 a=2rv2 f+io=a/2=rv2 Mo =V2-120,414} c Sites tétraédriques « Le polyédre de référence est le tétraédre, polyédre 4 4 sommets dont les 4 faces sont des triangles équilatéraux. Le centre de ce tétraédre constitue le site tétraédrique » © Ce qui implique une coordinence [4 ] pour tout atome placé en cette position. Site tétraédrique Représentation d’un site tétraédrique dans une maille CFC. reac nn nmnn anes ans eee ne eens OO SLL! event {La may CFC ost lomméa de 8 pelts cubes elémontaes daréia a2 orion 4 olores Ges quatre etomes constivent un ste ltraddrique, dont fe centre U ‘ost 6 michomin enira Io point E pris comma ongina cone de Ccoordonnées réquitos (0,0, 0) et point I, centre ca la maa co ‘coardonrées réduitas (W212. 12) ‘Le point U a slors comme coordonndes (it 1/4 1/4) Me stue done au quart dots diagonale du cude issu do E. Commo tous 1s sitas sont intornes A in mate Wen reste Fortine de Les coordoanias ridutes des autos sins tteidriques. sent (ya aa tr a te (VAS AV.CI4, AIH IN) (4 4,314) A434} ‘Ciquer pour ajouter des commentaires Sisae pera | Fens Fe FEB oer peur rcrener se | c: deen nn nmnnnneaes ene nr OO SLE LIE 7~ e* 6: Ss SBE i, Popout [tan 7 Site tétraédrique de rayon F; Le rayon maximum 1, d'une sphére FF Sa2ez pou jouer ces eommentaes [SD Fann Fen) tee | FED > towsernonne _—— aeannnnnmnn anna eee OO SLE LISI By sion: ) Dew Novem + En remplagant a par sa valeur, on obtient : Retr = a (V3)/4)=2R V2 (v3¥4) = RVB/N2 + rR = (V3 V2) -1= 0.225 * Ce quidonne: r; =0.225R + Un site T ne pourra done étre occupé que par un atome plus petit que celui qui s‘insére dans un site octaédrique. __| Caer pour sjouter des commentaires [Dare ene Heoott | a (P Teper pour rechether ce rec ee RN SE EE TSS Sl gem ees q Ftc Sg eek NEE EE ne En Conclusion condition d’insertion dans un CFC + En site Octegdrique ro/R = 121-0414 # En site tétraddrique ff = (93) s2)-1 = 0.225 nc Do ot [DP Free Mo | P Taperici peu echarerer a- Coordonnées réduites des sites tétraédriques [T] : a+ Coordonnées réduites des sites tétraédriques [T] : Plan des Sites tétraédriques 7c/8 Plandes Sites tétraédriques a c/8 Dealt nA eA eon kee eae ae Ua Plandes Sites étraédriquesa 7e/8 ‘Plan des Sit tétraédriquesa Sei ay ae LARBIB & Plandes Sites ttraédriquesi 30/8 lan des Sites tétraédriques i c/8 apes Site tétra a5c/8 —* Site tétra A3c/8 — Site tétra aci8 Projection sur le plan xOy, de la vsuelle, manivant l’emplacement BE ma we cece ee ere eres te ee, ~? Noone wa wks eee o Be eat a a fae users \Dénombrement de > saat Aarau U8 Wn hE eb lnder ot [tet oe vated sv goat wa csaunes Yasue} (que pour ajouter des commertates cnmireh angen astonsonMode decomp - ere ene et - 9 Ce A pam ane F Le bilan dee iter [4] ext dene 1/8 (Bat) 23 V8: (Io6ni/3)= 3 BM : (Wo6x1/3) 23 | caiques pour ajouter des commentaires oie tatevae = + Paseo yout erga aepnten ea 2auy Gazaa) tuaputcapenetet etire erage Doi un total de 6: 3 surle plon 1 3 sure plon 3 eu med Isher de de compe) Mowe own snt - 8 Din atl de 6 ates (6) Sarl pln 4 a ere plan 3/4 + Potions dee sites [Jet [6] ya ovtet de sites qc de pesitiens Ste [4 ites pr pede mall cei erespnd 4 pesto [2/3 VLA): (0 0 3/8):(0.0-8/0\:f273 wt ‘Ther pourajoutr ces commertanes Bor le pen 4 a re pon 3/4 + Pesitins dee sites [4 et 61: Ty aovtr de sites eu de petiong Stes] site pr pada ale ceresperd potions (213.13.178);(0,0,3/8)(0 0.5/8); 203, 19.7/8) Site]: 2 sites por peda male dee 2 pine (U3, 2/3, 14): (U3. 273,374). Ce puttin parmatert de dere lame hexageal Cquee pour aoster des commentaires wos Geer 2mes oagtene tart ur Med cape) Mom Poneto - 4 5 ats en OL eee BNA OR Aetowe og Seemonmer® oie ord 6 Yer lepin o Slept ct der evetet Bye srl dernatepeen kena ppecteoreiecegsceveendé dpc av imp own. os-en 13 7m) Srul6). teen pete roesre pate 32a 9:09.20 16 Cer pow ajoutr des earnertaites nsertion dans une struct Condition d’ Identification des Sites octaédriques. Ils existes deux représentations possibles pour les sites octaédriques ¥ Deux triangles équilatéraux et, & pointes inversées, appartenant respectivement aux couches A et B, conduisent a la représentation d’un site octaédrique. commentaires Arvowm Représentation des sites tétraédriques, sur fa maille HC ‘+ Dans la malile élémentaire , ly a quatre sites tétraddriques: + Deux de typel, ett, © iete2 + Deuxdetypeett, @ ae Oem, a theaune® Structure de type C41 “Desens arucore Weapon ten cui some le CF ate 4 au erred cube (ae eubiqe) (ge IW. Ege, rte structure pet dre dérite par dein wero eulgies spley | composts DE TYPE AD | eat Ta de Este po te arnins Pa $8 $5 ees eerie seen een ne Se 6261 Seca a Sere runny eee Steen coe | nz meres aunt emperor Meda cerp tt Merch Renee - 6 Seseine ee o Rewonew oe rere BM we eae ae 8 cone Fat ee . m hae te Ct mts prt nee Cate ee nen Oe te 1 me detene 22, em ne Ft mt st Contes anata, | = Comin hombre eh sete de Tmt ot det Len enon targus diternanes pment re dete, = Ueno de change oppente sont come em ann ne 2 Cent de mde oe tg ea 8 plan gaa seule (gee) Di aV3 «2 (R+R) a [aOR] t) Pour les anions (Ct) on a selon une aréte | 28° Sa} [2] les relations 1] et (2] 2S (R'+ F*) Done: VES1+8 > V5-15% Comme le rayon de Tanion est plus grand que celui du cation Done : x s1 La condition de stabilité de la structure de type CsCl est : 3 Si Figere 2; Plan diagonal dela male dans Ya structure CsCl. + Exemples de composts de structure type CsCl CBr, Cal, TICI, TBs, TH, Bb. Structure de type NaCl = Description de la structure Cette structure peut étre décrite comme étant un réseau CFC des ions Cl- ois Na* occupe les sites octaédriques (centre du cube et milieux des arétes) (figure 11-3). Autrement, cette structure correspond a deux réseau CFC d'aréte a : Tun anionique et Vautre cationique, obtenu Figure Ill-3 : représentation de la maille élémentaire de NaCl - Coordonnées réduites Origine sur Vanion : Origine sur le cation : CH: (0, 0, 0) (1/2. 12. 0) (1/2. 0.1/2) (0.1/2.1/2) Ch (1/2. ©, 0) (0. 12. 0) (0, 0. 1/2) (2.1/2. 1/2) V2) (2. 0, 0) (0.1/2. 0) (0.0.12) Navs (0. 1/2. 1/2) (0, 0. 0) (1/2. 1/2. 0) (1/2. 0. 1/2) - Nombre de motifs Cl: 8 x 18(sommets) + 6 x13 (Facet) 4: Not 12 x 1/4 (milieu des arétes) + 1x 1(centre du cube) = 4; Le nombre de motifs ou groupements formulaires NaCI par maille est done : z=4. = Coordinence Chaque cation Na* est entouré par 6 anions CI situés § la méme distance. De méme chaque anion Cl est entouré par 6 cations Na’ 4 la méme distance La coordination est donc : 6-6, + Condition géomécrique de seabed Subant une ardtere=2 (RR) i] Selon la dhagonale d'une fae le anions sont tangents & ta inte : 8° Sa VE Les relations [1] et [2] donnent aR S 2. VZ (R= F*) Denes VE-1s La bome supérieure est définte par la condition de atabilitg de Ia structure CxCl ce qul donne La condition géomitrique s[ VE-1= 5 = Va-1 + Exemples de composts de structure type NaCt = Malogénures dalcaling : LF, NaF, KF, KCL ROCL, NaBr, KBr, RDB. Nal, KI et RBI: + Halopinures Sargent s AgF, AgCl et Agr: = es onydea MO 1 MnO, FeO, CoO. NIO, C40. = Tes eulRiree MS ot lee eiléniures MSe c. Structure type NiAs + Description de la structure Vue que la difference d'électronégativité entre Varsenic et le nickel est faible (0.2). Ia Kaison dans NiAS présente un caractére covalent marqué. Les atomes d'artenic forment un réseau HC et les atomes de nickel se situent dans tous les sites octaédriques (figure Ill-4). Une translation de T =22 +25 «22 aboutit a la représentation de la maille avec origine sur Ni (figure IlI-4). + Coordonnées réduites Origine sur Varsenic : As : (0. 0. 0) (2/3. 1/3. 1/2) Ni: (1/3. 2/3. 4) (1/3. 2/3. 3/4) Origine sur le nickel : As : (2/3. 1/3. 1/4) (1/3. 2/3. 3/4) Nix (0. 0, 1/2) (0, 0, 0) ZY Origine sur As Origine sur Ni Figure IIl-4 : représentation de la maille élémentaire de NiAs - Nombre de motifs La maille élémentaire de NiAs comprend deux stores de nickel et deux atomes de As, le nombre de motifs NiAs par pseudo maille ext done :z = 2. + Coordinence Ni est entouré de six atomes As constituant un site octaédrique (figure Ill-5). As est entouré de six atomes Ni constituant un prisme & base triangulaire (figure IIl-5). La coordination est donc 6:6 = Exemples de composts de structure type NiAs: Les composis MX avec M = métal de transition et X est un élément 3 caractére non métallique :S. Se etTe. on en Figure III-S : représentation des sites de coordination de As et Ni d. Structure de type ZnS blende - Description de la structure La blende est Ia variété allotropique cublque du sulfure de zinc. Das cette structure les lone S* occupent les neruds du réseau CFC daréte « et les ons Zn™ la moltié des sites tétraddriques (igure 11-6). Aus cture correspond 3 deux rit anlonique et Vautre cationique. obtenu Tun de Feutre par une translation T = 4 Car aa us 4—— Figure IL :représentation dela malls dlamentaire de 2n5 Mende = Coordonntes riduites . . Origine eur Fenton + Tse seb te Origine sur le cation + ‘SP (0,0, 0) (v2. v2. 0) (2.0.2) (0, 13.02) (ua, wa, 4) (ais 214, Wa) (274, Wa, 2/4) (U4, 2/4, 2/4) Zn™ 5324, 4 wa) (v4, 3/4 Wa) (U4. 4, 344) (3'4, 344 374) (040. U2) (V0, ¥2) (V2. 412 0) (0,0, 6) = Nombre de motifs S* : 8 x 1/8(sommets) + 6 x ¥s (faces)= 4: Zn" gxtege Le nombre de motifs ou groupements formulaires ZnS par maille ext done: = = 4. = Coordinence Zn*™ est entouré de 4 S* situés 3 une distance di De méme S* est entouré de 4 Zn™. Les tons sont donc dans un environnement tétraédrique cid aux centres de cubes d'aréte a/2 délimités par 4 autres fons (de charge opposé). rue oun crs eng ten atti ee orem tt sno nt - o> a sruriem Omens Free ane = Aleeneer™ a; i BNSase Se foes ea ae A eee ne STROSS, come on 2 et nt 4S ide be eee de De ine St er de 2a ten et Sen den rem alge eins eben aie 2 dina par 4 tre ln share ond) Wor ian P Taper pou racharener = Condition géomécrique de stabilicé On considére un petit cube d'aréte a/2 (gure III-7). on a: = Lanion et le cation sont tangents suivant la diegonale du cube + fener = Selon la diagonale d'une face : 28S a =1 (+0225) Ce qui donne 22 > La borne supérieure est définte par la condition de stabilité de la structure NaCl ce qui donne La condition géométrique: | 0.225 < 82 = 0.44 of @- an eo om Figure III-7 : site tétraédrique dans la structure ZnS blende | a 2 Sa ep ae 4 & - Exemples de composés de structure type ZnS blende Les composés qui cristallisent avec le méme type structural que ZnS blende sont nombreux, & titre d’exemples : = Halogénures : CuCl, CuBr, Ag] = Sulfures (MS), Séléniures (MSe) et Tellurures (MTe) avec M = Be, Zn, Cd, Hg. - ZnO: variété haute température wove 5 a ST SRS | Se Aa J NN OUMAIMA... & Origine rr Pasar 5 (Orighne our be extn: (0,0, 98) (2/3 13.18) $1 (6.0,0) (23.03.13) In” + (0, 0, 3/8) (2:3. V3. 78) (©. 0, ©) (2/3. V3. W2) + Nombve de moi 'S* + Aat/O(sormmet & 120+) + 4 112(sommet b bor) +1 2 Za" alg (ort h 20") + 24 U6 (ardte 4 602) 6122 Done, le nembre de mous ov groupements formtres ZaS par aie eat 14 « 2. + Coordinence ~ Chaque lon Zn” ext entouré par 4 SA 3/86 = Chaque ton St ent entount par 4 Zn" 2 Bie Done une soordinmce 4 (tétraédrique). ‘echercher - Condition géométrique de stabilité 2 ¢ () Contact antons cations 1 RX + Ro Contact antomique limite :2R° les diagrammes a solubilité compléte ne comportant aucun équilibre triphasé > les diagrammes eutectiques simples, > les diagrammes péritectiques simples, > les diagrammes tels qu'un équilibre triphasé de type monotectique ou monotectoide résulte de la démixtion d'une solution. srecherenes ich Dans un domaine biphasé, il est intéressant de connaitre, pour une température donnée, la proportion des phases en présence dans le mélange. Principe du levier: LD auantité de tiquide ee Quantité de solide de d= composition du liquide, f= composition du solide e= composition du mélange V.2 - REGLE DES MOMENTS CHIMIQUES (OU DES LEVIERS) Suivant la lol de la conservation de la masse et la régle des bras de levier (valide pour les domaines biphasés des diagrammes binaires), ll est possible de calculer les proportions relatives de chacune des phases, analogie avec une balance AMINATA F ¥ Stic CaaS: fraction de la phase 1 = (C2 -C)/(C2-C1) fraction de la phase 2 = (Cankel) / (C2 - C1), fraction de la phase 1 = (C2 - C)/(C2- C1) fraction de la phase 2 = (C - C1) /(C2-C1) Soit un mélange C de a+B contenant 65% de B Tel que: C5 = 9 mass % Bet C6 = 91 mass% B \ SF / -—— 3a _ fi a sears Ga wn Donc : fraction du solide B = (65 - 9) /(91-9 tr ctiond 1 Y 7 ee Ala température T, le mélange de composition X (point N) est constitué des phases «, (liquide) et «, (solide) : Si m, est la masse de «b, (composition massique X, en M) Et m, est la masse de «b, (composition massique X, en P) m masse du mélange de départ (m=m,+mz2): my 2 my 22 wn 100 100 100 MYX + MQXq = MX = (MY + MQ)X IM X = Xq) © My Xy — X) == Alors: m,.NM = m,.NP ee Se TR Re OE srenenets Roe /.2 — REGLE DES MOMENTS CHIMIQUES (OU DES LEVIERS) Exemple : A 1180" C, 100g d'un mélange de Ge-Si a 20.5% en masse de silicium est constitué du mélange d'un solide et d'un liquide tel que =2612 ¢ m= mem=1009 at ot me =m=100 desolide de compostin s 30% masique enSi IN de liquide de compostin 413.8% masique enS m, m, 700 mX-=(m, + Exemple - aliage 40%,Cu - 60% Ni a 1300° C rhe aa ee err a wy eo» y AMINES Rr HF) Done, en résumé, le diagramme d’équilibre donne une représentation graphique du domaine de stabilité des phases. Dans un domaine biphasé, il donne... (a) les phases en présence (L, S, G) (b) la composition de chacune des phases en équilibre a une température donnée (c) la proportion des phases en présence dans le cas d'un alliage de composition C, steer ks B= T7 + Les courbes AE et BE (Fig. 3) montrent les températures d’équilibre entre les solutions de diverses compositions et, respectivement les substances pures solides. + Le liquidus est formé des deux branches AE et BE, chacune relative & équilibre de la solution avec un des constituants : Lig.+A ou Lig.+B. 7 Lalligne droite CD appelé solidus Ta, yA | correspond a la température en H dessous de laquelle aucune phase i liquide n’existe. LB Laqté Ag tB Les courbes AE et BE ont un point en | commun, le point E, appelé point ct + D wy & eutectique. MB ° T je lh | Fig. 3: diagramme de phases d'un systéme binal ID ree BS Sars ea iP Suivant la composition du liquide initial, 'un ou l'autre des constituants cristallise a l'état pur. L'établissement d'un diagramme d'équilibre entre phases nécessite parfois plusieurs techniques complémentaires. Dans le cadre de ce cours nous décrirons la technique d'analyse thermique simple. V.4 - Principe de I'analyse thermique Les diagrammes d'équilibre sont généralement établis & partir des courbes d'analyse thermique simple T = f(temps). Cette technique a pour objet de révéler des quantités de chaleur et de mettre en évidence les transformations correspondantes. + On suit la loi d'’échauffement ou de refroidissement en fonction du temps T = f(t) ; si celle-ci ne suit pas le programme thermique imposé, il y a transformation. 5 + Autrement dit, quand échantillon est le siége d'une transformation (solidification, fusion ou dépét de cristaux), il y'a soit un dégagement ou une absorption de chaleur. + Ceci se traduit par l'apparition sur la courbe T = {(t) de plusieurs accidents thermiques (palier, changement de pente...). r r x r ; i 6h e1 \o “ % 1 x tr t corps solide(1), __corps pur (2), alliage (3) ou (4) vtec r Po Fe Allure, description du diagramme et analyse thermique allure du diagramme cbtenu dans le cas de deux constituants solides totalement miscibles, est un fuseau. Exemple = cas du systéme Cu-Ni Liquide homogéne 20 4) 60 80 100 Composition massioue en Ni sredentes [A> TORRE S PRs yea Le diagramme est forme par deux courbes - l'une représentant la fraction massique dela phase liquide en nickel (courbe supérieure) appelée liquidus. - autre représentantla fraction massique de la phase solide en nickel (courbe inférieure) appelée solidus. 2 0 10 Coreen ne Le domaine au dessus duliquidus, contient une seule phase liquide homogene (v=2). Au dessous du solidus, existe une seule phase solide (domaine dela solution solide, v=2). Entre les deux courbes, coexistentla phase liquide homogéne et la solution solide ( v=1). Quand on refroidit un mélange liquide homogene (M), de composition massique thy la courbe d'analyse thermique T(*C)=f(temps) présente des portions de courbes correspondantes aux phénoménes suivants: entre MM, refroidissement du liquide, -en Mj, apparition des premiers cristauxde la solution solide SS de composition tssen plusde a phase liquide de composition ty (déterminées par la régle de I'horizontale).. -M Mz, suite de la formation de la solution solide dont la quantité augmente au détriment de la phase liquide. - Mz , disparition de la derniére goutte du liquide. - MyM >». refroidissementdela golutign s ea recherches ch Miscibilité partielle des solides Quand Aet B cristallisentdans deuxsystémes différents, il peuvent conduire a la formation de plusieurs types de phases solides homogene et, plus particuliérement a une phase $51 riche en A (solution solide de B dans) et une phase S52 riche en B(solution solide de A dans B). Les diagrammes binaires relatifs de tels systémesont une allure identique a celle représenter dans exemple suivant soukaina E & Description du diagramme et analyse thermique Ce diagramme est divisé en plusieurs domaine: - Le domainet dans lequel ona la présence d'une seule phase liquide homogéne avec lavariance v=2. ~Le domainel! correspond au domaine de coexistence de deux phases une liquide homogéne et 'autre solide $S1, dans ce cas la variance v=1. ~le domaine Ill ou coexistent de deux phases une liquide et l'autre solide SS2, la variance est égale 1. -les domaines lVet V contiennent respectivementles solutionssolides SS 1 et SS 2, dans ce cas la variance v=2 -le domaine Viestle domainede la non miscibilité entreSS 1 et SS 2 ce qui conduita une variance v=1. So | ) Diagramme avec compose aerini. | + Iarrive souvent que pour des proportions particuliéres, Les constituants A et B réagissent pour entre eux pour former un composé défini A,B, Cecl se manifeste sur les diagrammes par la présence d'une ligne verticale partant de la composition | correspondante au composé défini en question. On distingue deux types de composés définis : ils sont stables | - Composés définis a fusion congruente : jusqu'a leur point de fusion, - Composés définis & fusion incongruente : ils se décomposent avant d'atteindre leur point de fusion théorique. ‘Ciguee pour aouter des commentaires ‘niesOee | Domi 2 fates toutes vonrechereesic om! Diagramme avec composé défini. * ll arrive souvent que pour des proportions particuliéres, Les constituants A et B réagissent pour entre eux pour former un composé défini A,,B,. Ceci se manifeste sur les diagrammes par la présence d'une ligne verticale partant de la composition correspondante au composé défini en question. On distingue deux types de composés définis : - Composés définis 4 fusion congruente : ils sont stables jusqu'a leur point de fusion. - Composés définis 4 fusion incongruente : ils se décomposent avant d'atteindre leur point de fusion théorique. Composé défini a fusion congruente Lexistence de la verticale C indique la présence d'un composé définide composition 66,67% de Zn et 33,34% de Mg, Sa formule est donc Mg2n). Ce composé est 3 fusion congruente puisque sa verticale arrive jusqu'au liquidus (AE1IE2B). Le point lest appelé point indifférent et correspond a la température de fusion du composé défini. Ce diagramme peut étre considéré comme la © juxtaposition de deuxdiagrammes solide- Me a aay liquide simple(Mg-MgzZn, ) et (MgZn-2n) MgoMize: Me © © in Ms © Zn Composé défini a fusion incongruente (K-Na) «Danse cas ott la verticale, indiquantla présence d'un composé définin‘atteint pas le liquidus, le composé définise décompose avantde fondre a une température appelé températurede fusion incongruente. K coma Mt xa t muta K com SNe emolsire Description du diagramme 1 Liquide (v=2); Il: Liquide + Ksolide (v=1); Ill: Liquide + C(Na,K) IV: Liquide + Nasolide(v=1); V: Ksolide + C(v=1); VI: Nasolide + C(v=1) Le liquidus (AEPB) sépare le domaine! des autres domaines. Le solidus est la courbe séparant les domaines V et VI des autres. Le point P estle point particulier appelé péritectique; c'est un point invariant o¥ coexistent trois phases: le liquide, le composé défini et Na solide (v=0) sur toute la droite péritectique PQ. Courbes d’analyse thermique La courbe d'analyse thermique d'un mélange M de composition XM présente ane cassure et deux paliers : MM1: Ml: M2: M'2: Refroidissement du liquide Apparition des premiers cristaux de Na M1M2: Poursuite de la formation de Na Apparition du composé défini C M2M'2 : Equilibre entre liquide, Na et C Disparition de Na M'2M3 : Refroidissement du liquide + C M3: M3M'3 ; Equilibre entre liquide, K et C M'3: M4: Apparition de K Disparition du liquide Refroidissement de K+C x Com Ne

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