You are on page 1of 1

1. c - Hugo a déménagé dans un territoire d'outre-mer, à Mayotte.

2. a - À Mayotte, les Blancs travaillent, par exemple, dans l'éducation pour "éduquer" les
jeunes Mahorais, leur apprendre non seulement le français, mais aussi la culture
française, les livres d'auteurs français, l'histoire de France.
3. a - Selon Hugo, les Métropolitains se sentent supérieurs aux îliens d'une manière ou
d'une autre.
4. c - Dans sa classe, Hugo est un Blanc parmi d'autres.
5. a - À Mayotte, Hugo est un bon élève et il a été le premier dans presque toutes les
matières au long de l'année de sixième.
6. c - Quand les enfants mahorais savent marcher, ils doivent être indépendants de leurs
parents

A. Les phrases ou expressions caractérisant la relation entre les Métropolitains et Hugo, et


les Mahorais sont les suivantes :
● "Les Blancs n'ont pas l'impression de faire partie d'une minorité, mais plutôt d'une
élite."
● "tous, s'ils faisaient honnêtement leur examen de conscience, se rendraient compte
qu'ils se sentent supérieurs aux îliens, d'une manière ou d'une autre."
● "seul Blanc dans ma classe, je me sentais inconsciemment le meilleur."
● "chacun arrivant à Mayotte «missionné» par la métropole"
● "l'un pour «éduquer» les jeunes Mahorais, leur apprendre non seulement le français
mais la culture française, les livres d'auteurs français, l'histoire de France, l'autre pour
tracer des routes françaises bordées des mêmes panneaux de circulation que dans le
Pas-de-Calais, pour bâtir des Postes, diriger des administrations, faire appliquer les
lois françaises ..."
B. Hugo se sent étranger à Mayotte, où il est le seul Blanc dans sa classe, alors qu'en
métropole, il était habitué à la présence d'élèves issus de l'immigration. À Mayotte, il se rend
compte qu'être noir en France n'est pas la même chose que d'être blanc à Mayotte. Il
découvre que les Mahorais ont une culture, des coutumes et des habitudes de vie très
différentes de celles de la métropole. De plus, Hugo se sent supérieur à ses camarades de
classe à Mayotte, car il a bénéficié d'un soutien scolaire de la part de ses parents depuis la
maternelle et a toujours été protégé et choyé, alors que la plupart des Mahorais doivent se
débrouiller seuls dès un jeune âge

You might also like