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14 traités / accords majoritairement internationaux (supérieurs aux lois et décrets, en

particulier pour la France) protégeant théoriquement toute personne contre les crimes, la
violation des droits et libertés fondamentales et de la vie privée, la discrimination, le non-
consentement, les obligations « sanitaires »... :

- Statut de Rome de la cour pénale internationale, Article 7 : Crimes contre l'humanité


- Code civil français, article 16-1
- Serment d'Hippocrate
- Code de déontologie médicale : article 36, article R.41.27.36
- Code de la santé publique, article L1126-1
- Code de Nuremberg de 1947
- Déclaration de Genève de 1948
- Déclaration d'Helsinki de 1996, article 25
- Convention d'Oviedo de 1997, article 5
- Loi Kouchner du 4 mars 2002, article L1111-4
- Arrêt Salvetti de 2002
- Code pénal, article 225-1 relatif aux discriminations
- Résolution 2361 du Conseil de l'Europe, article 7.3.1 et article 7.3.2
- Article 55 de la Constitution française
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DÉTAILS :

- Statut de Rome de la cour pénale internationale, Article 7 : Crimes contre l'humanité :


« 1. Aux fins du présent Statut, on entend par crime contre l’humanité l’un quelconque des actes
ci-après...» : « a) Meurtre; b) Extermination; c) Réduction en esclavage; d) Déportation ou transfert
forcé de population; e) Emprisonnement ou autre forme de privation grave de liberté physique en
violation des dispositions fondamentales du droit international; f) Torture; g) Viol, esclavage sexuel,
prostitution forcée, grossesse forcée, stérilisation forcée ou toute autre forme de violence sexuelle
de gravité comparable; h) Persécution de tout groupe ou de toute collectivité identifiable pour des
motifs d’ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste au sens du
paragraphe 3, ou en fonction d’autres critères universellement reconnus comme inadmissibles en
droit international, en corrélation avec tout acte visé dans le présent paragraphe ou tout crime
relevant de la compétence de la Cour; i) Disparitions forcées de personnes; j) Crime d’apartheid; k)
Autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances
ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale. »
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- Code civil français, Article 16-1 :
« chacun a le droit au respect de son corps. Le corps est inviolable »
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- Serment d’Hippocrate : Serment de l'ordre français des médecins de 1996 :


« Au moment d'être admis à exercer la médecine, je promets et je jure d'être fidèle aux lois de
l'honneur et de la probité. Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la
santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux. Je respecterai toutes
les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs
convictions. J'interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans
leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances
contre les lois de l'humanité. J'informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et
de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n'exploiterai pas le pouvoir hérité
des circonstances pour forcer les consciences. Je donnerai mes soins à l'indigent et à quiconque
me le demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
Admis dans l'intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu à l'intérieur
des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les
mœurs. Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les
agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. Je préserverai l'indépendance nécessaire
à l'accomplissement de ma mission. Je n'entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les
entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J'apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu'à leurs familles dans l'adversité.Que les hommes et
mes confrères m'accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré
et méprisé si j'y manque. »
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- Code de déontologie médicale, article 36, article R4127-36 :
« le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas.
Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement
proposé, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences »
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- Code de la santé publique, article L1126-1 : « le fait de pratiquer ou de faire pratiquer sur une
personne une recherche mentionnée aux 1° ou 2° de l'article L.1121-1 ou sur un essai clinique
mentionné à l'article L.1124-1 du code de la santé publique sans avoir recueilli le consentement
libre, éclairé et, le cas échéant, écrit de l'intéressé, des titulaires de l'autorité parentale ou du tuteur
ou d'autres personnes, autorités ou organes désignés pour consentir à la recherche ou pour
l'autoriser, dans les cas prévus par le code de la santé publique ou par les articles 28 à 31 du
règlement (UE) n° 536/2014 du Parlement européen et du Conseil du 16 avril 2014 relatif aux
essais cliniques de médicaments, est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 €
d'amende. Les mêmes peines sont applicables lorsque la recherche est pratiquée alors que le
consentement a été retiré. Les mêmes peines sont applicables lorsqu'une recherche non
interventionnelle est pratiquée alors que la personne s'y est opposée. »

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- Code de Nuremberg (1947) : « le consentement du sujet humain est absolument essentiel. Le
pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute
expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son
consentement à une expérience médicale ou scientifique »
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- Déclaration de Genève pour les médecins (1948) : « je respecterai l’autonomie et la dignité de
mon patient. Je n’utiliserai pas mes connaissances médicales pour enfreindre les droits humains et
les libertés civiques, même sous la contrainte. Je garderai le respect absolu de la vie humaine, dès
la conception. Je considérerai la santé de mon patient comme mon premier souci »
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- Déclaration d’Helsinki (1996) signée par 45 pays dont la France : Article 25 : « la
participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale
doit être un acte volontaire. Aucune personne capable de donner son consentement éclairé ne
peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé »
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- Convention d’Oviedo (1997) signée par 29 pays dont la France, article 5 :
« une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne
concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une
information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses
conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son
consentement »
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- Loi Kouchner (4 mars 2002), article L1111-4 : « toute personne prend avec le professionnel de
santé et compte tenu des informations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé. Le
médecin doit respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses
choix.
Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé
de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment »
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- Arrêt Salvetti (2002) : Aucun traitement médical n’est obligatoire au sein de l’Union européenne :
« en tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence
dans le droit au respect de la vie privée, garanti par l’article 8 de la Convention européenne des
droits de l’homme et des libertés fondamentales » (arrêt Salvetti c/Italie-CEDH décision du 9 juillet
2002 ; n°42197/98)
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- Code pénal, article 225-1 (relatif aux discriminations) : « Constitue une discrimination toute
distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine, de leur sexe, de
leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de la particulière
vulnérabilité résultant de leur situation économique, apparente ou connue de son auteur, de leur
patronyme, de leur lieu de résidence, de leur état de santé…»

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- Résolution 2361 du Conseil de l’Europe (28 janvier 2021) : L’Assemblée demande instamment
aux États membres et à l’Union européenne : Article 7.3.1 : « de s’assurer que les citoyennes et
les citoyens sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de
pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire
personnellement » ; Article 7.3.2 : « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination
pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risque potentiel pour la santé ou pour ne pas vouloir se
faire vacciner »
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- Article 55 de la Constitution française


« Les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une autorité
supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité, de son application par
l'autre partie. »
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Note : Le droit français est fondé sur la hiérarchie des normes. Chaque norme juridique sous le bloc de
constitutionnalité ne peut s'insérer dans la hiérarchie juridique que si elle respecte la ou les normes
précédentes.
L'article 55 de la Constitution de 1958 détermine que le bloc de conventionnalité est placé, dans la hiérarchie
des normes, au-dessus du bloc de légalité et a donc une prééminence sur la loi française.
Source (note) : https://www.vie-publique.fr/eclairage/277625-hierarchie-des-normes-principe-de-faveur-derogations

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Note personnelle (auteur) :

Ce document informatif est disponible hors connexion et en accès libre / diffusable.

À SAVOIR : Toute personne est responsable de ses faits et gestes et se doit d'étudier les informations
présentes dans le document. Étant moi-même l’auteur de la rédaction de ce document, je ne peux d'aucune
façon être tenu pour responsable de quoi que ce soit. C'est un simple partage condensé que je mets
publiquement à disposition et je ne prends nullement partie de quoi que ce soit.

À noter que si un ou plusieurs traités / accords s'avèreraient inadaptés ou erronés, cela n'enlève en rien la
validité des autres, tous sont indépendants des autres (bien que logiquement reliés). Le premier traité de la
cour pénale internationale 《 Article 7 : crimes contre l'humanité 》 se suffit à lui-même en plus du reste, mais
forcément la justice actuelle est elle-même injuste, et les éventuelles plaintes et/ou procédures coûtent chères
et sont longues à mener (autrement ce serait trop facile, les gouvernements et les Élites savent très bien ce
qu'ils font) au-delà du fait que chacun soit libre d'accepter de payer une amende ou non, de la contester, ou de
simplement la jeter à la poubelle en évaluant et en acceptant les sacrifices et conséquences qui découlent de
ses choix, et en se rappelant que tout ce qui se passe est criminel et cela même en dehors de la loi humaine, je
me considère personnellement comme un être souverain et je ne laisse personne me dire ce que je dois faire
ou pas faire notamment pour ma santé (en dehors du fait que je respecte la loi humaine de manière générale),
surtout quand je ne nuit pas à autrui (chose que l'on essaie de nous faire croire) en plus que la loi humaine le
confirme et en me rappelant le message que je souhaite laisser de mon passage.

Cela est valable pour toute mesure (masque, confinement, couvre-feu, distanciation sociale, fermeture des
commerces, passeport sanitaire, vaccination obligatoire, test pcr / autres, mise en quarantaine, ou toute autre
mesure future quelle qu'elle soit).

Ce document pourra vous servir en cas de refus pour entrer dans un lieu ou en cas de contrôle par les forces
de l'ordre qui ne connaissent pour beaucoup pas, ne serait-ce qu'un seul de ces traités / accords car ils
appliquent la loi ou les décrets par peur, contraintes, ignorance ou pur plaisir pour quelques uns notamment via
la motivation des éventuelles primes en plus de la 《 subir 》eux-mêmes et leurs proches de manière directe
ou indirecte à court, moyen ou long terme. Policiers, militaires, si vous me lisez, vous êtes priés de défendre
le/les peuples, vos proches, ainsi que vous-mêmes ; vos propres droits et libertés, votre santé / survie dans
cette réalité physique terrestre perceptible, et ceux /celles des futures générations s’il y en a, en vous rappelant
chaque jour le message que vous souhaitez laisser de votre passage. Obéir et consentir à tout cela, à ces
crimes, vous rend complice donc condamnable en plus d'avoir toutes ces choses sur la conscience. Il est donc
très URGENT de faire un choix dès maintenant. Vidéo à ce sujet vous concernant, concernant chaque humain :
https://odysee.com/@florianpiana/la-video-la-plus-importante-du-monde

Au-delà de ça, le boycotte de certains lieux reste malheureusement la meilleure option à moins que la / les
personnes en face soient ouvertes à la discussion calme, respectueuse et non-violente, qu'elles nous
autorisent à entrer et désobéissent elles aussi, chose pas très fréquente à l'heure actuelle avec le pass' car
beaucoup ont peur de l'amende / justice / pression sociale / peur de perdre des clients malgré la criminalité de
ces choses (et non pas d'un 《 virus 》 ou 《 variant 》 pour la grande majorité)... ça peut créer des tensions
mais au moins essayer avant tout selon le contexte (surtout que l'économie va considérablement continuer de
chuter donc ils y perdent et en sont conscients)

PS : n'oublions pas que toutes ces mesures sont, en plus d'être criminelles et discriminantes, désapprouvées et
contre-productives, sans parler de toute la manigance que l'on vit depuis début 2020 pour une infime maladie
avec des chiffres complètement trafiqués (bref). Toute personne est bien sûr libre de se vacciner ou de
respecter / croire à une mesure quelconque (bien que le consentement soit en partie fabriqué par la contrainte,
la pression sociale, la peur, la manipulation, etc.), mais l’imposer de manière directe ou indirecte est tout autre,
c’est illégal et criminel. Peu importe ce que l'on pourra dire ou penser, et qu'importe votre positionnement, ces
choses-là devraient mettre tout le monde d'accord et ne pas créer de division. (Mais bien entendu ça irait à
l'encontre du plan mondial en marche jouant justement sur la division, les révoltes, les tensions, les différentes
peurs, la pression sociale, les prétextes, les contraintes, et autres, mais libre à chacun de tirer ses conclusions
personnelles à ce sujet et faire ses propres recherches) .

Si jamais, en plus de vos recherches, des différentes preuves, de votre intuition et de votre bon sens, mes
documentaires à ce sujet et les récentes vidéos urgentes complémentaires sont sur ma chaîne Odysee :
odysee.com/@florianpiana

Restons alignés, la lumière vaincra. 🌅☀️

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