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Ex 1 :

x
1) a) D’après le théorème des croissances comparées : lim e = +  . Donc lim f ( x ) = +  .
x → +
x x → +

b) lim e x = 1 et lim + x = 0 + , donc par quotient : lim f ( x ) = +  .


x→0 x→0 x → 0+

Par conséquent , la courbe de f admet comme asymptote verticale l’axe des ordonnées d’équation x = 0 .

2) f est dérivable sur ] 0 ; +  [ comme quotient de fonctions dérivables : f = u , donc f ’ = u ’ v –2 u v ’ ,


v v
avec u ( x ) = e x ; u ’ ( x ) = e x ; v ( x ) = x ; v ’ ( x ) = 1 .

f ’ ( x ) = x e –2 1 e = ( x – 12 ) e .
x x x

x x

3)  x  ] 0 ; +  [ : e x  0 et x2  0 , donc f ’ ( x ) = 0  x – 1 = 0  x = 1 .
De plus ,  x  ] 0 ; +  [ : x2 > 0 et e x > 0 .

x 0 1 +
f’(x) – 0 + le signe de f ’ ( x ) dépend uniquement de x – 1
+ + 1
f(x) f ( 1 ) = e = e  2,7
1
e

4) si m < e : l’équation f ( x ) = m n’admet pas de solution dans ] 0 ; +  [ car le minimum de f est e .


si m = e : l’équation f ( x ) = e admet comme unique solution x = 1 .
si m > e : l’équation f ( x ) = m admet deux solutions , une dans ] 0 ; 1 [ et l’autre dans ] 1 ; +  [ .

5) a) a est l’abscisse du point A  f ’ ( a ) = – 1 ( car le coefficient directeur de  est – 1 )

 ( a – 12 ) e = – 1  ( a – 1 ) e a = – a2 ( car a  0 )  ( a – 1 ) e a + a2 = 0
a

a
 a est solution de l’équation ( x – 1 ) e x + x2 = 0 , càd g ( x ) = 0 .

b) u ( x ) = x – 1 ; u ’ ( x ) = 1 ; v ( x ) = e x = v ’ ( x ) . ( u v ) ’ = u ’ v + u v ’ .
g ’ ( x ) = 1 ex + ( x – 1 ) ex + 2 x = ex + x ex – ex + 2 x = x ex + 2 x = x ( ex + 2 ) .
g ’ ( x ) = 0  x = 0 , car  x  ] 0 ; +  [ : e x + 2 > 0 .

x 0 +
g’(x) + le signe de g ’ ( x ) dépend uniquement de x > 0 sur ] 0 ; +  [
+ g ( 0 ) = e0 ( 0 – 1 ) + 0 = – 1
g(x)
–1 lim e x = +  , lim x – 1 = +  , lim x2 = +  , d’où lim g ( x ) = + 
x → + x → + x → + x → +

c) g est dérivable donc continue et strictement croissante sur [ 0 ; +  [ d’intervalle image [ – 1 ; +  [ .


Or 0  [ – 1 ; +  [ , donc d’après le TVI , il existe un unique   [ 0 ; +  [ tel que g (  ) = 0 .   0,74
Il existe donc un unique point de la courbe de f en lequel la tangente est parallèle à (  ) .

Ex 2 :
Partie A :
1) 0,01 D 2) p ( C3  D ) = p ( C3 )  p C3 ( D ) = 0,2  0,04 = 0,008 .
C1
D 3) D’après la formule des probabilités totales :
0,5 0,99
p ( D ) = p ( C 1  D ) + p ( C2  D ) + p ( C 3  D )
0,005 D
0,3 = 0,5  0,01 + 0,3  0,005 + 0,2  0,004
C2
0,995 D = 0,005 + 0,0015 + 0,008 = 0,0145 .
0,2
0,04 D 4) p D ( C3 ) = p ( C3  D ) = 0,008  0,5517 .
C3 p(D) 0,0145
0,96 D
Partie B :
1) On répète n fois de façon identique et indépendante l’épreuve de Bernoulli succès D / échec D , p ( D ) = 0,0145 .
La variable aléatoire X qui compte le nombre de succès suit la loi binomiale de paramètres n et p = 0,0145 .
 20   0,0145 3  0,9855 17  0,0027 .
2) a) p ( X = 3 ) = 3
 20   0,0145 0  0,9855 20 = 0,9855 20  0,7467 .
b) p ( X = 0 ) = 0
p ( X  1 ) = 1 – p ( X = 0 )  0,2533 .

3) n = 11 : p ( X = 0 ) = 0,9855 11  0,8516  0,85 , donc il a raison .

Partie C :

C 1 C 2 C3 le coût moyen de fabrication d’un composant est l’espérance de la variable définie par le tableau
xi 15 12 9 µ = 0,5  15 + 0,3  12 + 0,2  9 = 12,9
pi 0,5 0,3 0,2 Le coût moyen est donc de 12,9 euros .

Ex 3 :
⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯

1) AB ( – 2 – 1 ; – 1 – 3 ; 1 – 5 ) , donc AB ( – 3 ; – 4 ; – 4 ) . Un vecteur directeur de ( d ) est u ( – 4 ; – 6 ; – 7 ) .
⎯⎯→ ⎯

– 3  ( – 6 ) – ( – 4 )  ( – 4 ) = 18 – 16 = 2  0 , donc AB et u ne sont pas colinéaires .
On en déduit que les droites ( AB ) et ( d ) ne sont pas parallèles . On cherche leur intersection éventuelle .

x = 1–3k 1–3k = –4t


( AB ) :  y = 3 – 4 k , k  IR . On résout :  3 – 4 k = 1 – 6 t . L2 – L3 : – 2 = – 1 + t , d’où t = – 1 .
z = 5–4k 5–4k = 2–7t

1–3k = 4 –3k = 3 k = –1
On remplace :  3 – 4 k = 7   – 4 k = 4   k = – 1 . Le système est donc possible .
5–4k = 9 –4k = 4 k = –1
VRAI : les droites ( AB ) et ( d ) sont sécantes en M ( 4 ; 7 ; 9 ) .

→ ⎯⎯→
2) Un vecteur directeur de ( d ) est u ( – 2 ; 3 ; 1 ) . On calcule les coordonnées du vecteur EF :
⎯⎯→ ⎯⎯→
EF ( 3 + 3 ; – 1 – 8 ; 1 – 2 ) , donc EF ( 6 ; – 9 ; – 1 ) .

→ ⎯⎯→
– 2  ( – 1 ) – 6  1 = 2 – 6  0 , donc u et EF ne sont pas colinéaires .

FAUX : le point E n’appartient pas à la droite parallèle à ( d ) passant par F .


x = 3–2t
Autre méthode : une représentation paramétrique de la parallèle à ( d ) passant par F est : y = –1+3t.
z = 1+t
–3 = 3–2t –6 = –2t t = 3
On teste si E appartient à cette droite : 8 = –1+3t  9 = 3t   t = 3 : faux .
2 = 1+t 1 = t t = 1
⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→
3) CM = CA + AM = – AC + 1 AB
2
⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→
CN = CB + BN = CA + AB + 3 AC – 2 AB = 2 AC – AB = – 2 ( – AC + 1 AB )
2
⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→
Donc CN = – 2 CM , donc CN et CM sont colinéaires .

VRAI : les points C , M , N sont alignés .

⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→


4) RS ( – 2 ; 2 ; – 2 ) , RT ( – 3 ; – 1 ; – 1 ) , RU ( 9 ; 7 ; 1 ) .
⎯⎯→
3 RS ⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→
( – 3 ; 3 ; – 3 ) , – 4 RT ( 12 ; 4 ; 4 ) , donc 3 RS – 4 RT ( 9 ; 7 ; 1 ) .
2 2
⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→
VRAI : les vecteurs vérifient l’égalité : RU = 3 RS – 4 RT .
2
⎯⎯→ ⎯⎯→ ⎯⎯→
Bonus : les vecteurs RS , RT et RU sont coplanaires , et donc les points R , S , T , U sont coplanaires .
Ex 4 :
1) Une diminution de 10 % correspond à un coefficient multiplicateur de 1 – 10 = 0,9 .
100
Ainsi la baisse de 10 % de la population se traduit par 0,9 Un . La réintroduction de 100 individus par + 100 .
Donc Un+1 = 0,9 Un + 100 .

2) U1 = 0,9  2000 + 100 = 1900 . U2 = 0,9  1900 + 100 = 1810 .

3) initialisation : 1000 < U1 < U0 : vrai au rang 0 .


hérédité : supposons qu’au rang n , on ait : 1000 < Un+1 < Un . Prouvons cela au rang n + 1 .
Alors 900 < 0,9 Un+1 < 0,9 Un , car on multiplie par 0,9 > 0 . Ensuite 1000 < 0,9 Un+1 + 100 < 0,9 Un + 100 .
Ainsi 1000 < Un+2 < Un+1 : vrai au rang n + 1 .
conclusion : pour tout n  IN : 1000 < Un+1 < Un .

4) La suite U est strictement décroissante et minorée ( par 1000 ) , donc U est convergente .

5) a) Vn+1 = Un+1 – 1000 = 0,9 Un + 100 – 1000 = 0,9 Un – 900 = 0,9 ( Un – 100 ) . Donc Vn+1 = 0,9 Vn .
Donc V est géométrique de raison q = 0,9 et de terme initial V0 = U0 – 1000 = 1000 .
b) Pour tout n  IN : Vn = V0  q n , donc Vn = 1000  0,9 n .
Or Un = Vn + 1000 , donc  n  IN : Un = 1000  0,9 n + 1000 = 1000 ( 1 + 0,9 n ) .

c) – 1 < 0,9 < 1 , donc lim 0,9 n = 0 , donc lim 1 + 0,9 n = 1 , donc lim Un = 1000 .
n → + n → + n → +

U converge vers 1000 , donc au bout d’un grand nombre d’années , la population d’animaux se stabilisera
autour de 1000 individus .

6) a) while u>=S: u=0.9*u+100 n=n+1 return n

b) On édite le tableau de valeurs de U sur la calculatrice : U37  1020,3 et U38  1018,2 .


Au bout de 38 ans , la population passera sous le seuil de 1020 individus , càd en 2058 .

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