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1. Repertorier les élements les plus importants : on prend tous les élements importants avec une phrase telle qu
elle est dans le cas clinique
2. Hierarchiser : organiser les elements importants avec interprétation
etat civil
antécédents
Habitudes toxiques
signes fonctionnels
signes généraux
signes physiques
examens complémentaires
3. formuler le probleme posé :
syndrome respiratoire / douloureux / métabolique ..…. (mettre les signes entre parenthése) d’évolution (aigue,
chronique, suraigue) compliqué de … (s’il ya des complications) chez un sujet agé de ….. sans / avec antécédents de
…. ni habitude toxique
PAS PAD
G1 14-15.9 9-9.9
G2 16-17.9 10-10.9
G3 ≥ 18 ≥11
Score de glasgow
Alger le ………………………….
Nom : …..
Signature
15. Lettre d’orientation :
Alger le ……..
Cher confrère
Permettez moi de vous adressez le sujet sus nommé sus agé, avec antécédent de …………….. suivi à votre
consultation, s’est présenté ce jour à …….(heure)…… dans un tableau de ……..(dg) …. suite à ….. facteur
déclenchant …..
Il était conscient, coopérant, stable/ instable sur le plan hémodynamique. il présentait …… (décrire le tableau), il
y 16.
avaitQue
paspensez
…… (décrire les complications
vous devant ce tableau et les signes
clinique ? de gravité absents)
Interpreter les signes + évoquer le dg probable
Après une mise en observation de 24heures / hospitalisation au cours desquelles il a reçu : traitement bien
détaillé (mdc + poso + durée), son état clinique s’est amélioré
Cordialement
Signature du médecin
Cachet du médecin
Cachet de l’établissement
DYSPNEE
OAP Dyspnée laryngée (choc anaphylactique) Exacerbation d’asthme severe
-dyspnée = respire difficilement = essouflé = dessere sa cravette
-Inspiration bruyante = cornage = dyspnée inspiratoire = oedeme de quinck / corps étranger
-Soulevement de la cage thoracique = tirage
-levres bleutés = cyanose labiale = détresse respiratoire
-Aller retour = agité = détresse neurologique
-Pale = détresse circulatoire
-Questions à poser devant une dyspnée :
1. Depuis quand ?
2. Quel est le mode d’installation ? (aigue = rapide ou sur aigu ou progessive)
3. Caractère de la dyspnée ?→ (polypnée ou bradypnée, inspiratoire ou expiratoire)
4. Ya- t-il des facteurs de risques déclenchants ? (ex : infection pulmonaire)
5. Ya- t-il des facteurs aggravants ? (ex : oap : position couchée = orthopnée)
6. Ya- t-il des facteurs soulageants ?
7. Ya- t-il des signes accompagnateurs ?→ agitation, toux
8. Ya- t-il une histoire médicale pulmonaire ou cardiovasculaire ou autre ? (antécédants)
Défintion -Accumulation brutale des solutés et du fluide dans -Réaction immunologique (hypersensiblité de type 1 = Gina 2015
l’espace extra vasculaire ce qui peut entrainer une HS immédiate) due à l’introduction de l’allargene -Asthme : Maladie hétérogene, Symptomes
inondation des alvéoles et donc une IRA. dans l’organisme. La réaction extreme entraine un chroniques (sifflement, dyspnée, toux,
-Il existe 2 types d’OAP : trouble circulatoire important = choc anaphylactique oppression thoracique ) dont la periode et
*Lésionnel -C’est une urgence médicale absolue dés que le dg est l’intensité variable + limitation du DEP
*Hémodynamique = cardiogénique : liée à une ICG posé -Exacerbation : majoration progressive des
entrainant une accumulation du sang et donc la signes d’asthme (sifflement …). Elle sont
pression, dans les veinules et les cp pulmonaires classifiées en 4 stades (légere, modéré, severe,
entrainant un oedeme hydrostatique. arrét respiratoire imminent) selon des criteres
cliniques + fonctionnels (DEP) + gazométrique
-Non controlé : mauvaise évolution de la
maladie à long cours
Physiopath 2 types d ‘OAP : 2 types d’anaphylaxie : -Maladie d’asthme : le processus inflammatoire
1- Immunologique : bronchique présent à tous les stades de la
maladie d’asthme avec implication des
1- Lésionnel : altération directe de la membrane alvéolo- *lors du 1er contact, les LB ou les CPA rencontrant différentes cellules inflammatoires ainsi que les
capillaire exsudation alvéolaire (syndrome de l’allergene sécretent des AC à type d’IGE spécifiques cellules musculaires et épithéliales bronchiques.
détresse respiratoire aigue de l’adulte = SDRA) la partie fixe des AC s’attache aux recépteurs intérét d’utilisation de corticoides et leur
2- hémodynamique : sachant que, la pression oncotique membrannaires des mastocytes et des PNB efficacité dans la PEC à long cours
des cp permet de contre balancer la pression *Lors du 2 eme contact : l’allargene s’attache aux -Exacerbation d’asthme :
hydrostatique empéchant la transudation. Donc dans ce recepteurs spécifiques membrannaires une Facteur déclenchant hyperréactivité
cas là, il est du à une augmentation de la PCP ou plus cascade de réaction libération massive des bronchique contraction des bronchioles
rarement à une augmentation de la PO (hypo granulations pré formées (histamine) et productions (bronchoconstriction) + inflammation aigue
albuménémie massive) des médiateurs néo formées ( Pg, leucotrienes) (oedeme) + sécrétion des mucus
l’OAP cardiogénique est un oedeme hydrostatique : on a activent les cellules inflammatoires libération rétrécissement au passage de l’air crise
ICG (qq soit son étiologie) augmentation de la des cytokines pré inflammatoires d’asthme
pression au nv de l’OG surcharge des veinules et 2- Non immunologique : meme tableau clinique mais -PK le sujet est pale et moite ?
capillaires pulmonaires augmentation de la pression ne nécessitant ni le contact préalable avec Hypoxie (facteur de stress) libération de l’Ad
au nv des cps (≥ 18) par augmentation de la pression l’allergene ni la réaction Ag-AC et la Nd vasoconstriction pérophérique
hydrostatique transsudation (extravation du liquide *Réaction anaphylatoxique : 1er contact avec (paleur) et transpiration profuse (moite)
vasculaire pauvre en proteine) au début au niveau de l’allergene activation du complément
l’interstitum dépassant la filtration lymphatique production d’anaphylatoxine (C3a et C5a)
(oedeme interstitiel) puis au niveau des alvéoles dégranulation
(oedeme alvéolaire) effet shunt troubles *Réaction anaphylactoide : 1 er contact avec
d’échanges gazeux et IRA l’allergene (souvent médicament) s’attache
L’OAP cardiogénique est lié à (étiologies) : directement aux mastocytes et PNB dégranulation
Une ICG aigue : L’anaphylaxie est lié à : (Etiologies)
Par décompensation d’une ICG chronique pré Terrain atopique (prédisposition génétique) +
existante (ex : décompensation d’une cardiopathie allergène
hypertensive par une poussée) médicaments (ATB, anésthésie, produits de
Par cause brutale d’une ICG (ex : dissection aortique, remplissage , vitamines, antalgiques, ains …)
poussée hypertensive, ischémique ‘’IDM, angor’’, Produit de contraste iodé
troubles de rythmes (FA, TV, TSV), troubles de Aliments (poisson, fruit de mer …)
conduction, grande bradycardie, cardiomyopathie Piqures d’insecte
non obstructive Expliquer la clinique :
Un RM ou son équivalent (myxome de l’OG, Signes cutanés interessent surtout les régions
obstruction d’une prothese mitrale) riches en mastocytes (face, cou, région anterieur
Expliquer la clinique : du thorax)
1- Signes de détresse respiratoire : liquide dans les L’histamine entraine :
alvéoles passage d O2 vers les cps difficile D’un coté : une contraction musculaire lisse
hypoxémie Oxygénothérapie bronchospasme + toux, hyperpéristaltisme intestinal,
2- Signes cardiovasculaire : ↑ contraction cardiaque (tachycardie)
HTA SD et tachycardie réflexes à l’hypoxémie D’un autre coté : une vasodilatation oedemes des
dérivés nitré muqueuses + hypotension artérielle
hypotension si compliqué d’un choc cardiogénique La Pg entraine un bronchospasme puissant et
inotrope + intense
signes liés à l’étiologie (galop gauche) La leucotriene entraine un bronchospasme lent et
3- Signes liés à la présence du liquide dans les alvéoles : prolongé
toux et expectorations moussouses les médiateurs pro inflammatoires aggravent la
rales cripitants en marrée montante vasodilatation et donc l'hypotension
Clinique Le diagnostic est clinique Le diagnostic est clinique Le diagnostic est clinique
-Terrain : sujet agé , acd cardiovasculaire (HTA++) -Terrain : atopique (asthme, rhinite ….) -Terrain : atopie personnelle (rhinite,
-Sujet en position assise -Signes cutanéo-oculaires (signes minimes) : conjonctivite, dermatite, allergie
-Signes respiratoires : tuméfaction de la face et des yeux, urticaire (papule médicamenteuse, alimentaire) ou familiale
* Dyspnée : brutale, nocturne, polypnée, aggravé par érythémateuse prurigineuse), conjonctivite (asthme familial)
l’effort et la position couchée = orthopnée (patient assis) R ! 20% des cas pas d atteinte cutanée -asthme chronique :
*Toux avec expectorations mousseuses blanchatres -Atteinte respiratoire haute = oedeme de quincke : * Dyspnée paroxystique + sifflements et toux
*Signes de détresse : polypnée brutale – hypoxéme gonflement de la langue, le larynx et la trachée, prurit nocturnes + réveils nocturne
(PaO2<80) - signes de lutte (tirage = muscle accessoire, de la gorge, difficulté à parler voire IRA * Amélioration des symptomes spontanément
cyanose) – signes d’épuisement (bradypnée- respiration -Atteinte respiratoire basse : Wheezing, toux ou sous l’effet du traitement (β2M ou corticoide)
paradoxale – apnée- signes d’hypercapnie) -Signes vasculaires : syncope, hypotension voire *Auscultation : sibilants bilatéraux
-Signes cardiovasculaires ↑ signes de choc *DEP : réversible sous bronchodilatateurs
-Signes digestifs : vomissement- diarrhée – douleurs rapides
abdominales -Crise d’asthme : classifié selon de le degré de
severité (voir le tableau en bas)
R ! on ne peut pas dire qu’il est en choc sans avoir
les cts vitales exactes
Paracliniqu Le dg est clinique, la radio dépend du stade de l’OAP : Le dg est clinique, par 2 criteres : Le dg est clinique
e -Stade 1 : congestion vasculaire 1-Début brutal des signes cutanés + respiratoire ou
* Ratio vs/ bronche élevé vasculaire ou digestifs
* Cardiomégalie 2-Exposition à un allergene + hypotension brutale ou
* Céphalisation ‘’apparition des vs à l’apex qui sont signes respiratoires brutaux
normalement non visibles’’
-Stade 2 : oedeme interstitiel
*Augmentation du diametre des vs avec contour mal
visualisé
*lignes B de Kerly
*Epaississement de la scissure oblique
-Stade 3 : oedeme alvéolaire (aspect cotammeux)
*CM avec pédicule vasculaire élargi
*Bronchogramme
*Apexs en ailes de papillon (spécifique)
*+/- épanchement pleural
Gravité -IRA : tachypnée>30 ou bradypnée, cyanose – marbrure, Classification de Ring et Messmer Selon les stades ↓
troubles de conscience -Stade 1 : signes cutanéo muqueux pures
-Choc cardiogénique : TA < 110 mm Hg -Stade 2 : atteinte multiviscérale modérée
-Rapidité de la déterioration clinique (hypotension- tachycardie- signes respiratoires)
-Stade 3 : atteinte multiviscérale sévere mettant en
jeu le Pc vital (choc, trouble de rythme cardiaque ..)
-Stade 4 : Arrét cardiaque
Survenance de En marchant. Le patient peut En parlant. le patient préfere etre Au repos. le patient panché en Respiration superificelle
la dyspnée s’allanger assis avant
FR Polypnée mais < 25 Polypnée 25-30 Polypnée >30 >30 puis bradypnée
Constantes FC Normale < 100 Tachycardie 100-120 Tachycardie >120 Bradycardie <50
fonctionnelles DEP >80% 60-80% <60% Impossible à mesurer
Criteres d’exacerbation d’asthme Criteres de l’asthme non controlé FDR de mortalité par asthme
-Augmentation de la fréquence des symptomes pd une breve -Réveils nocturnes Antécédents Traitement
durée (48h) sans retour à la normale : dyspnée, sibilants, toux,
-Besoin en B2M -D’asthme fatal nécessitant une -Prise quotidienne fréquente des
oppression thoraciques , réveils nocturnes
ventilation mécanique ou une β2M inhalée à action rapide
-Pas de trt de fond (CTC inhalée)
-Augmentation de l’utilisation des brochodilatateurs à action intubation
-TRT oral par coticoides ou
rapide avec une diminution de leur effet à doses usuelles -FDR
-D’hopitalisation ou de consultation récemment arrété
-Consultations non programmée ou dans un service d’urgence en urgence pour asthme dans
l’année passée
-De maladie psychiatrique ou de -Pas de prise de trt de fond (
probleme psychosocial nécessitant corticoides inhalé) ou la non
la prise la prise des sédatifs compliance au trt de fond
Devant toute CN, chercher les signes de gravité (complications ou terrain à risque)
CN simple CN compliquée Terrains à risque
-IRA : oligo-anurie, fonctionnelle puis organique
-Insuffisance rénale, rein unique, greffon renal, anomalie urologique
-Etat fébrile (PNA) voire sepsis
anatomique
Pas de fievre ni d’AEG -Hyperalgique (echec du traitement médical)
-Immunodéprimé
-Calculs : colique néphritique bilatérale, taille ≥ 6 mm
-Grossesse
-Rupture des vois urinaires (urinome)
Complications de la PN
Locale Générale
-Abcés renal, phlegmon renal, pyo néphrose -Sepsis voire choc septique
-PN gangréneuse avec nécrose papillaire (diabétique) -Insuffisance renale
Dans la CN, si le calcul n’est pas visible, qu’est ce que ça veut dire?
4- Lettre d’orientation
5-Surveillance :
Surveillance clinique avec réévaluation de la douleur : Une fois mis sous traitement : pour éventuellement réajuster le
traitement
Revoir après 7 jours et évaluer la réponse au traitement
Si bonne réponse = poursuivre le traitement
Si pas d’amélioration = réévaluer la douleur EVA, et traiter selon niveau de la douleur.
Penser à associer les Co antalgiques :
Les corticoïdes (action antalgique par leur effet anti-œdème),
Les anxiolytiques, les antidépresseurs,
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens = propriété antalgique par leur action anti prostaglandine par
inhibition des cyclo oxygénases (COX 1 et 2) et sur la lipo oxygénase.
Les biphosphonates.
Hémorragies
GEU UGD Dysménorrhée
Définition C’est une grossesse ectopique qui se perte de substance gastrique atteignant la musculeuse. Lors de la c’est une douleur pelvienne cyclique rythmé
développe hors de l’utérus (souvent dans les guérison, une cicatrice scléreuse se constitue. par les regles survenant juste avant leurs debut
trompes). A l’inverse, les érosions sont plus superficielles, n’atteignant pas la ou parfois 1 à 2 jrs jusqu’aprés les regles
Elle peut se rompre mettant en jeu le Pc musculeuse et ne laissent pas de cicatrice en guérissant
vital (etat de choc) où elle devient une
urgence vitale nécessitant un trt chirurgical
en urgence
Physiopath Origines : -Origine : elle est due à un déséquilibre entre les facteurs -Au cours des menstruation et lors de
*Retard de captation de l’ovocyte d’agression de la muqueuse (La sécrétion acide gastrique et la detachement de l’endometre (menstruations)
fécondation dans le cul de sac de douglas pepsine), et les facteurs protecteurs (La barrière muqueuse) ce qui provoque une hypercontractilité du
GEU non tubaires (ovarienne ou * Physiologie : myometre ( des contractions utérines
abdominale) Parmi les cellules gastriques, on trouve les cellules pariétales prolongées) ==> Ceci induit une diminution de
*Retard de migration J4-J5 l’œuf est tjr sécrétantes de la pepsinogene et l’H3O (acide) dans le but de l’oxygénation de l’utérus, ce phenomène
dans la trompe où elle s’implante dégrader les aliments exposition permanante de la muqueuse d’hypoxie tissulaire induit une douleur Utilité
*Reflux tubaire (blastocyte après qu’il arrive gastrique à l’acidité. des antispasmodiques + antalgiques
à la cavité utérine, il est rejeté dans la Pg active la secrétion du mucus et HCO3- neutralisation de -Il existe aussi une sécrétion de la Pg douleur
trompe par défaut hormonal ou FIV) l’acidité inflammatoire utilité des AINS
Facteurs de risque : *FDR :
*Mauvaise qualité de la trompe : salpingite, 1- H.pylori : bactérie GN, colonise et agresse l’estomac par la
Acd de chirurgie tubaire, endométriose sécrétion enzymatique activation de la sécrétion acide
*Ralentissement de la motilité de la aggravation de l’aggression de la muqueuse Ulcere GD
trompe : pillule micro progestative, tabac 2- AINS et aspirine : inibent COX (activateur de pg) diminuer Pg
*Inhibition de la nidation : DIU diminution de la sécrétion du mucus Aggression acide
*Reflux tubaire : FIV 3-Tabac : active la sécrétion acide et diminue la vitesse de
Conséquences cliniques : cicatrisation
-Ovulation fécondation implantation 4-Alcool 5- caféine
sécrétion de β HCG maintenir le corps *Evolution :
jaune et donc la sécrétion de la Erosion de la muqueuse trous ronds trous plus profond
progestérone inhibition de la jusqu’à atteindre la musculeuse = ulcére
désquamation utérine (aménorrhée) +
signes de la grossesse (nausée, vmst …) + -Une ulcération + profonde peut entrainer une érosion vasculaire
maintien de la croissance fœtal hémorragies voire état de choc hémorragique
-A un certain degré de distension de -Une ulcération de toute la paroi perforation mise en contact
l’organe (la trompe par ex) entre 6-8 S, ça entre un organe creux et le péritoine (stérile) passage de l’air
entraine : puis des aliments et sécrétions gastriques choc septique (après
*Une distension des fibres nerveuses 6h)
douleur
*Une érosion des vs de la trompe
hémosalpinx voire hémopéritoine en cas
de rupture douleurs irradiants vers
l’épaule avec des signes de choc
Clinique -Terrain : femme jeune +/- FDR + absence de -FDR : tabac, AINS, alcool, caféine -jeune fille
contraception -Terrain : souvent jeune -dlr pelvienne cyclique au cour de menstruation
-Signes fonctionnels : triade -Signes : (saignements minimes), principale cause
Retard des regles +/- signes sympatique *Epigastralgies chroniques à type de crampe, rythmés par le d'absentéisme féminin à l'école ou au travail,
de la grossesse repas : -signes digestifs (stimulation vagale)
Douleurs pelviennes unilatérales brutales Si UG : augmente avec le repas perte du poid -examen clinique sans anomalie
Métrorragies noiratres (provenant de l’AG Si UD : diminue avec le repas (faim douloureuse)
haut) +/- sang rouge prise du poid
-Signes physiques : *Signes associés : eructation, vmst
Palpation : Douleur latéro utérine -Si compliquée d’hémorragie : facteur favorisant (AINS,
Spéculum : sang d’origine endocervical Anticthrombotique, intoxication alcoolique) + hématémese +
TV : sensibilité à la mobilisation cervicale signes de choc hémorragique +/- CIVD +/- défaillance
+/- masse latéro utérine sensible multiviscérale
R ! dans la GEU non compliquée, l’état -Si compliquée de perforation : (péritonite) douleur violente +
générale est conservée, pas de fievre ni de contracture + tympanisme + cri de douglas + signes de choc
troubles hémodynamiques (septique si > 6h)
-Signes d’hémopéritoine : AEG + désordre
hémo dynamique + douleur au niveau du
cou et des épaules + défense abdominale
avec douleur à la décompression brutale +
Cri de douglas au TV
Paraclinique -Dosage de β HCG : Nle <5 , si > 500 = 1- Non compliqué : ECG (afin d’éliminer un IDM) + EOGD PAS , traiter la douleur
grossesse accompagnée de Bp étagée et Bp de l’ulcere dans 2 buts :
R ! B HCG normal élimine le dg a- But dg : dg + de l’ulcere et ses caractéristiques (type, siege,
-Echographie pelvienne : étendu), chercher des cellules infectées par H. pylori + éliminer un
Signe direct : masse latéro utérine (sac Kc gastrique
gestationnel ou hémoslapinx) b- But thérapeutique : hémostase si hémorragie active
Signes indirect : vacuité utérine, 2-Compliqué :
apaississement endométrial gravidique, Fns (à la recherche d’une anémie)
épanchement dans le cul de sac de douglas Groupage (pour la transfusion)
(hémopéritoine) Crase sanguine : PS, TP, TCK, fibrinogene, DD (à la
recherche d’une coagulopathie secondaire à
l’hémorragie aigue)
Bilan renal (urée, créat) : le rein est le premier
organe touché par le choc
Bilan hépatique : IH ?
Ionogramme : à la recherche de troubles ioniques
secondaires à l’IR si elle existe
Troponine- ECG afin d’éliminer un IDM
ASP : à la recherche d’une perforation d’ulcere
(croisson gazeux)
Fibroscopie digestive après stabilisation
hémodynamique et après élimination d’une
perforation : à la recherche de l’origine du
saignement et le traiter si possible
Dg =/= Kyste =Pas de fievre + douleur + Rupture des = hématemese aigue + signes de choc GEU En commun :
ovarien echo (image latéro utérine ou varices =/= douleur gastrique, Pas alcoolique, pas d’acd -Terrain : jeune, tabagique
compliqué hémopéritoine) oesophagiennes de cirrhose, pas de signes d’http (CVC –SM- -signes : douleur à irradiation
(rompu ou =/= hémorragie, BHCG +, ascite) posterieur , signes digestifs
torsadé) Echo (pas d’image de kyste (sympathiques de la grossesse),
rompu ou torsin) saignements génitaux
=/= douleur cyclique +
aménorrhée
ABRT = Terrain, pas de fievre, Torsion = Douleur pelvienne aigue +
douleur + métrorragies, BHCG ovaire Signes digestifs
élevé =/= dlr cyclique
=/= Echo (vacuité utérine)
Appendicite = douleur pelvienne D Néo gastrique = Hématémese + douleur Appendicite -En commun : Douleur pelvienne
Pelvienne =/= absence de fievre, =/= mode de début progressif, pas de notion pelvienne et sensibilité diffuse + Signes
métrorragies, BHCG +, écho d’amaigrissement récent digestifs
(image latéroU) =/= : Pas de fievre , Douleur
cyclique, Mc burney négatif ,
Hémorragie génitale
Salpingite =douleur pelvienne Inf génitale = douleur pelvienne
=/= absence de fievre, haute =/= Douleur cyclique +
métrorragies hémorragie + Absence de fievre
IDM = Age + fumeur + douleur épigatsrique Fibrome = Douleur pelvienne +
=/= mode de début : depuis plusieurs jours, saignement
douleur rythmé par le repas , Hématémese =/= saingment MINIME
R ! on peut pas différencier une endométriose,
d’une dysménorrhée primaire sur le plan
clinique
Signes de = Signes d’une GEU rompue : -Signes de gravité de l’hémorragie ulcéreuse : -Instabilité hemodynamique ( TA basse et
gravité signes de choc : hypotension et Abondance de l’hémorragie (TA,FC,FR,SaO2, extrémités, pincé , pouls rapide et filant , des extrimités
tachycardie conscience) froides avec une patiente agité et angoissé)
signes d’hypoperfusion cérébrale : Caractere actif du saignement -Detresse respiratoire ( dyspnée , cyanose==>
inconscience glasgow bas Pathologies associés (tares cardiaques, hépatiques, renaux ) signe d’hypoxie )
-Signes de péritonite (perforation) -Detresse neurologique ( confusion , coma )
Rappel : CIVD = DD élevés + 2 criteres mineurs ou 1 critere majeur
AVC
FDR Etiologie
AVC ischémique -Modifiables : FDRCV (HTA,Diabete, Tabac, sédentarité, obésité, -Arthérosclérose 20%
hyper chol) + FA + alcool + stress -Lipohyalinose 25%
-Non modifiables : Age (surtout après 65 ans) + sexe (homme) + -FA 20%
ethnie (afrique- asie psk hta et diabetes frq) + acd personnel d’AVC -Artérite infectieuse, inflammatoire
ou AIT + acd familial de 1er degré d’avec avant 65 ans -Migraine compliquée ou anévrisme avec spasme
-inexpliquée (cryptogénique) 30%
AVC hémorragique / -HTA +++++
-Malfomartion vasculaire (sujet jeune)
-Angiopahie amyloide chez l agé
-Anomalie de la coagulation (congénitale, aquise, médicamenteuse)
-Inexpliquée 15%
- Devant l’HTA , dans le dg :
PAS PAD
G1 14-15.9 9-9.9
G2 16-17.9 10-10.9
G3 ≥ 18 ≥11
il faut préciser esk c’est un pic ou une urgence hypertensive :
L’urgence hypertensive = pic tensionnel aigu avec altération d’organe mettant en jeu le Pc vital (HTA maligne = résistante au trt, encéphalopathie hypertensive, Avc
ischémique ou hémorragieu ou hémorragie méningée, SCA, dissection aortique, ICG, éclampsie)
SI BU = proteine + néphropathie hypertensive probable impliquant la recherche secondaire (pas dans le cadre de l’urgence) d’une rétinopathie hypertensive maligne
en fesant un FO (stade 3 = exsudat + hémorragie ou stade4= oedeme papillaire)
- CI de la thrombolyse :
-
-Acd d’hémorragie : intracérébrale / digestive ou urinaire dans moins de 3s
- Coagultation basse : anticoagulant en cours ou dans les 48h, INR>1.7, TCA allongé, PS<100000
-Acd : AVC- trauma cranien dans moins de 3 mois/ IDM récent/ Ponction récente/ VSx non compressibles
- AVC :
* Crise d’épilepsie au début de l’AVC
*Déficit neurologique mineur NIHSS<4 ou amélioration rapide avant l’initiation du trt
* AVC severe cliniquement (NIHSS>25), coma, par imagerie
* PAS>185 OU PAD > 110
*Glycémie <0.5 ou > 4
- Score glasgow :
AVK
I- Caractérstiques :
Molécules + ½ Acénocommarol 8h
vie Warfarine 20-60 h
Phénprocounone 140-160 h
Mécanisme *inhibition compétitive de la vitamine K au niveau des hépatocytes diminution de la synthèse des
d’action facteurs de coagulation vit K dépendant (facteurs II, VII, IX, X, C, S) « effet anticoagulant indirect ».
*Il n’a aucun effet sur les facteurs déjà synthétisé action retardé 48h (demi de vie des facteurs
de coagulation auraient existé avant le début du traitement).
- Pharmacocénitique : Forte absorption digestive, un transport sanguin avec forte fixation protéique,
métabolisme hépatique et élimination rénale contre indication en cas d’IH severe ou IR
Effet Il peut donner tout type d’hémorragie, mais il faut préciser esk c’est un saignement mineur ou
secondaires majeur psk la CAT differe :
-Saignement mineur : épistaxis, gingivorragie, hématurie
-Saignement majeur : intracérébral, intra abdominal, digestive …
INR « international normal ratio », c’est un indicateur de la coagulation sanguine , se mésure en
comparant le temps de coaagulation du patient avec celui de témoin
C’est un parametre qui reflete précisemment la fluidité du sang
-Valeur : une personne qui n’a pas d’acd et qui n’est sous trt anticoagulant = 1. Pour les patients,
l’INR cible differe selon l’indication du trt anticoagulant (sa maladie)
Indications – Indication = trt curatif / préventif des maladies TE Durée INR cible
durée – INR Cardiopathie emboligenes (FA, valvulopathie mitrale si A vie 2-3
cible dilatation de l’OD, thrombi intra cavitaire)
Prothese valvulairemécanique (mitrale ou aortique) A vie 3-4,5
Prévention des complications TE de l’IDM 1-3 M 2-3
Prévention des récidives de l’IDM si intolérance à A vie 2-3
l’aspirine
TVP, EP et prévention de leurs récidives 3-6 M (si persistance 2-3
du risque : à vie)
Prévention des thromboses sur un cathéther central
R ! en cas d’IDM, TVP, EP trt anticoagulation à dose hypocoagulante (curative) pd 1-3M (IDM) et
3-6 M (EP/TV) et reprise par l’aspirine à vie préventif de récidive. SI intolérance à l’aspirine : donner
trt anticoagulant à vie à dose isocoagulante (préventive)
II- Prise en charge d’un sujet sous AVK + INR prolongé : Après avoir rassurer le patient et son entourage :
INR dans la fourchette Arreter les AVKs 5 jours avant la chirurgie refaire l’INR dans 48h si diminué < 1.5 (≤
1.2 si neurochir) : on fait le relais par HBPM à dose hypo, si non diminué, on refais l’INR quotidiennement jusqu’à où
il devient < 1.5 (≤ 1.2 si neurochir), on fait le relais par HBPM à dose hypo.
Hépatite médicamenteuse à l’amoxicilline
Terrain : sujet jeune sans acd ni habitudes toxiques + Notion de prise d’amoxicilline
1- Bilan hépatique complet (ASAT, ALAT, Gamma GT, bilirubine conjuguée et totale, TP,
phosphatases alcalines, électrophorese des proteines) Typer l’atteinte hépatique (syndrome de
cholestase, cytolyse ?)
3-Bilan d’hépatite : antigène HBs, d'anticorps anti-HBc, d'IgM anti VHA, d'anticorps anti-VHC et
d'ARN du virus de l'hépatite C par PCR Eliminer une hépatite
2- Dgs =/=
3-PEC
C= confusion U = urée élevée R= polypnée ≥30 B= PAS < 90 , PAD ≤60 Agé ≥ 65 ans
1 critere indique l’hospitalisation
- qsq il faut faire devant une suspicion d’une pneumonie ? quelles sont les premieres mesures ?
- Repérage : elle se fait au nv du cul de sac lombaire entre L4-L5, L3-L4 ou L5-S1. Se repere sur un sujet assis dos courbé ou sujet couché,. Le point de rencontre de la
ligne entre les 2 cretes illiaques et la ligne apophysaire = L4-L5
- Asepsie : port des gans, désinfection de la périphérie au centre
- La ponction : se fait dans un plan médian et sagittal, aiguille légerement ascendente (30) : entre les 2 apophyses épineuses résistance du ligament vertébral
posterieur penetration dans le cul de sac (2eme résistance) liquide prélevé aiguille retorée d’un coup sec
PRISE EN CHARGE
1- Rassurer le malade et sa famille s’il est accompagné
2-Interrogatoire minutieux (8 questions) +évaluation des constantes vitales (conscience, FR, FC, TA, Pouls,
SaO2) + auscultation pulmonaire et cardiaque + examen des extrémités (froides ? marbrures ? hippocratisme
digital)
3-Mise en condition :
REPOS strict au lit, position demi-assise éventuellement jambes pendantes ( le retour veineux).
VOIE D’ABORD veineuse avec G5% + 2 g de KCl (à adapter en fonction des résultats de
l’ionogramme sanguin)
MONITORING ECG, SpO2, pression artérielle, diurèse
4- OXYGENOTHERAPIE après LVA :
But = SaO2 entre 95 et 98 %
Débit : à haut débit à graduer 6-12 l/mn
Moyens : Oxygénothérapie au masque à haute concentration MHC
Si échec : ventilation non invasive par CPAP
Si échec ou troubles de conscience ou tachypnée > 50 ou épuisement respiratoire : intubation
oro-trachéale et ventilation mécanique
5- Traitement médicamenteux : il faut le débuter avant tout examen complémentaire selon la
situation clinique :
OAP brutal avec PAS> 150 (pas d’œdèmes Dérivés nitrés à la SE +/- diuéritiques sans
systémiques) les renouveler
Décompensation cardiaque sub aigue avec PAS =
100-150 (dyspnée progressive + oedemes
Dérivé nitrés à la SE + diurétiques
systémiques diffus et prise du poids, l’OAP moins
marqué)
OAP compliqué d’un choc cardiogénique avec PAS < Dobutamine +/- diuértiques sans les
100 +/- signes d’hypoperfusion renouveler
OAP + SCA Dérivés nitrés à la SE + revascularisation
OAP + IR chronique oligo anurique Ultrafiltration
6- Fiche de surveillance :
-Monitoring : TA, FC, FR, SaO2, diurese
-Examen clinique : Auscultation pulmonaire- téguments (oedeme- coloration – faciés)
R ! L’efficacité des DN : ↓ de la PAM de 10 mmHg. Arret si PAS < 90 mmHg
7- Ordonnance de sortie : régime demi salé + traitement
8-Lettre d’orientation
OBJECTIFS
-Assurer une bonne hématose : oxygénothérapie
-Lever le choc : remplissage vasculaire + adrénaline
-Annuler les effets de l’histamine et des autres médiateurs (lever l’œdème, humidifier les voies
aériennes) : adrénaline + corticoïde
MOYENS THERAPEUTIQUES
1. Oxygénothérapie : (Les règles à respecter pour la mise d’un patient sous l’oxygène)
Par masque à O2 pour diminuer les fuites :
Indication : Patient avec SaO2 < 90 % ou PaO2 < 60 mm Hg
Débit : 6 l/mm
Surveillance : Oxymétrie SpO2 ; Gazométrie de départ et refaire 2 h après
Arrêt : dès que la situation clinique le permet, et après avoir contrôlé la stabilité de la SpO2 >
Choc anaphy 92 % sans oxygène
lactique Par intubation : en cas de :
Arrêt cardio respiratoire
Détresse respiratoire avec signes d’épuisement majeur
PaO2 < 45 mm Hg sous O2, PaCO2 > 65 mm Hg
Trouble sévère de la conscience (score de Glasgow < 11)
Par trachéotomie : si œdème laryngé avec indication d’intubation (psk impossibilité d’intuber)
2. Remplissage :
Solution = Soluté cristalloïde isotonique = SSI (pas de colloïde ou plasma-gel psk allergisants, pas de
SG car ne permet pas une expansion volumique)
Débit = rapide (20 gouttes/mn)
Quantité = 500 ml (30 ml/kg)
3. Adrénaline :
Présentation : ampoule 1 mg
Voie et dose :
En IM (face latérale de Selon l’âge = poids :
la cuisse), si IV non *Adulte : 0.5 mg *Enfant : 0.15-0.3 mg
disponible A répéter chaque 5-10 minutes si IV non disponible
Selon le stade :
Stade 2 : bolus de 10-20 µg (On dilue une ampoule d’adrénaline de 1 mg dans
10 ml de sérum physiologique et on injecte 1 ml. Renouveler le bolus initial,
En IV après quelques minutes si la TA ne s’améliore pas, jusqu'à 1 mg voir plus)
Stade 3 : bolus de 100-200 µg
Stade 4 : bolus de 1mg. A partir de la 3eme injection : 5 mg. Puis, perfusion de
0.1µg / kg / min
Effets : elle s’oppose aux effets systémiques des différents médiateurs libérés :
Effet alpha : vasoconstriction
Effet béta 1 : inotrope et bathmotrope positive
Effet béta 2 : bronchorelaxante
Inhibition de la dégranulation des mastocytes et des basophiles
Suivi : son administration en IV doit etre suivie par le monitorage cardiovasculaire
Effets secondaires : HTA severe, IDM, Trouble de rythme (ventriculaire, FA, tachycardie sinusale)
CI : troubles de rythme (++ ventriculaire), myocardiopathie obstructive
4. Corticoïdes :
Pas un traitement d’urgence, il est utilisé pour la prévention des manifestations récurrentes de
l’anaphylaxie
Hémisuccinate d’hydrocortisone HHC : 200 mg en IV, renouvelée toutes les 6 heures
Délai d’action = 30 minutes
Durée d’action = 6 à 8 heures
5. Autres : anti histaminique, salbutamol, éphédrine, Nd, glucagon ….
PRISE EN CHARGE
1- Avant l’hôpital
1. Annoncer que vous êtes médecin et que vous prenez en charge où diriger la situation
2. stopper le contact avec l’allergène présumé
3. Rassurer le patient,
4. Demander à l’entourage de téléphoner au SAMU/Protection civile pour venir en urgence en véhicule
médicalisé.
5. Mettre en œuvre les premières mesures d’urgence, pour rétablir une oxygénation rapide : (LVA)
Desserrer ceinture et cravate, déboutonner la chemise, enlever le foulard,
Basculer doucement la tête en arrière avec subluxation antérieure du mandibule
Ouvrir la bouche à la recherche d’un corps étranger
Installer le patient devant une fenêtre en position assise
6. Améliorer la circulation : lever des jambes augmentation du retour veineux meilleure perfusion
cérébrale
7. Monitorer : surveiller l’état de conscience en particulier, et l’évolution de la gêne respiratoire
(aggravation ou amélioration) et garder le contact avec le sujet en le rassurant
2- Pendant le transport
Position assise, les pieds surélevés et le visage vers la fenêtre (pas de position allongée)
3- L’arrivé à l’hôpital
Il faut transmettre aux médecins : terrain + signes positifs + depuis quand + présence ou pas de signes de
gravité + évolution (amélioration/aggravation)
4- Classifier le sujet
Pas d’adrénaline
-Remplissage
Grade 1
-Si signes cutanés : anti histaminiques
-Si angio œdèmes : corticoïdes per os ou IV
Grade 2 Adrénaline + remplissage
Grade 3 Adrénaline + remplissage
-Réanimation cardiorespiratoire + Adrénaline + Remplissage par
Grade 4
cristalloïde 30 mg/kg puis amidon 30 mg/kg
R ! cas particuliers :
Salbutamol en nubilisation si résistance ou forme severe : en IV
Bronchospasme (bolus 100µg + perfusion de 200µg avec rythme de 5-25µg / min) si
plus grave : adrénaline en perfusion continue
DLG + Ephédrine 10 mg chaque 1-2 minutes (totale : 0.7 mg/kg) si
Femme enceinte
echec : adrénaline
Augmenter la posologie de l’Adrénaline
Patient sous β bloquants Si échec : glucagon (1-2 mg à renouveler chaque 5 min)
Si collapsus réfractaire : Nd (0.1 µg/ kg/ min)
4- Fiche de surveillance : monitoring (constantes vitales + conscience) + coloration cutanée, chaque 5
min la 1ere demi heure puis chaque 15 minutes dès l’amélioration
5- Après amélioration :
si grade 1 : mise sous surveillance pd 4h puis sortie
si grade ≥2 : hospitalisation en réanimation pendant 24h (rechutes possibles dans les
1eres 24h) avec maintien du monitoring et de l’abord veineux
6- Enfin,
*Lettre d’orientation à un allergologue
*Education du patient en expliquant son cas et en donnant des conseils afin d’éviter que
l’anaphylaxie se reproduit :
Éviction de l’allergène,
Éducation du patient et ses proches = les avertir du produit incriminé et du risque en cas de
réexposition,
Remise d’une carte de patient « allergique »,
Remise d’une liste d’aliments et de médicaments susceptibles de contenir l’agent causal,
Nécessité́ pour le patient de se munir d’un kit de secours d’adrénaline en seringue prête a l’emploi
auto-injectable, Adrénaline en ampoules destinée à une administration sublinguale.
Possibilité d’essai de désensibilisation spécifique !!!
OBJECTIFS
1- Lever de l’obstruction bronchique : par le bronchodilatateur (B2M), sulfate de Mg, leurs effets sont
potentialisés par les CTC
2- Lever de l’inflammation et diminution de la production du mucus par vasoconstriction : par les
CTC
3- Lever de l’encombrement : Par la kinésithérapie
4- Assurer une bonne hématose : Par l’oxygénothérapie
5- Prévenir la récidive : par corticoides par voie générale
MOYENS THERAPEUTIQUES
Crise d’asthme
Moyen Suivi
sévère
1- Oxygénothérapie : SaO2
Moyens : lunettes nasales (rares), masque voire intubation si le sujet est
inconscient
Débit : généralement on débute par un débit 2-4 l/min voire 6-8l/min
quand il est utilisé comme vecteur des aérosols
But : Ramener une saturation à 92%, et 95% chez la femme enceinte ou le
cardiopathe.
2- Bronchodilatateurs : s’ils sont donnés en
IV ou en SC :
a) B2 mémitiques Traitement de référence du fait de leur efficacité et -kaliémie
leur rapidité d’action (hypokaliémie)
Substances : salbutamol, terbutaline -le rythme
Modes d’administration : cardiaque (la Fc
doit rester <140)
Dans un milieu médicalisé :
o Nébulisation : avec un débit d’oxygene de 6-8 L/min, 5mg sur une
durée de 10-15 minutes, à renouveler chaque 20 minutes la 1ere heure.
(à utiliser, meme si le malade a pris des B2M à domicile) puis 1 fois
chaque heure.
o Injection sous cutané : terbutaline 0.5 mg
o Perfusion IVSE : rarement utilisée, en doses croissantes, 0.25-0.5
mg/h puis doubler chaque 10-15 min jusqu’au maximum 5 mg/h
Modes d’administration :
o Nébulisation : Bromure d’ipratropium 1 capsule pendant 10-15 min à
renouveler chaque 15-20 minutes la 1ere heure
o Bouffée dans une chambre d’inhalation
3- Sulfate de magnésium : En IV (dose unique de 1-2g en 20 minutes puis 2g
en perfusion pendant 24h) ou en nébulisation
4- Adrénaline : 1 ampoule de 1ml à 0.1% (1mg). dose de départ 0.5mg/h de FC + TA
préférence sur cathéter central si échec de B2M ou collapsus
5- Corticoïdes indispensable chez les patients qui ne répondent pas dans TA + Glycémie
les 20-40 minutes suivant l’administration des B2M (surtout chez les
-Par voie orale : 1 prise 0.5-1 mg/kg de prédnisolone hypertendus et les
-En IV : 0.5-1 mg en bolus puis 0.5 mg/kg/jr en perfusion continue de méthyl- diabétiques)
prednisolone Kaliémie +
A la sortie poursuivre le traitement en peros 7-10 jours sans arrêt. modification de
R! l’humeur (anxiété,
L’effet est équivalent de la voie orale et en IV et pas de bénéfice insomnie ..)
thérapeutique des corticoïdes à forte dose (>80 mg)
Leur effet est retardé à 6-12h après son administration ils doivent étre
administrés le plus tôt possible
L’effet des corticoïdes inhalés dans la crise d’asthme aigue est marginale
PRISE EN CHARGE
1-Rassurer le patient et sa famille s’il est accompagné
2-Mise en condition : position semi assise, VVP, scope
3-Evaluation de la sévérité (par l’examen clinique + mesure de la SaO2 + DEP) + recherche des FDR
d’asthme aigu grave
4-Traitement :
Salbutamol en bouffée (pas d’O2 ni de CTC) évaluation de la réponse à
Crise d’asthme légere
H1
Crise d’asthme Salbutamol nébulisé ou en bouffée + CTC si FDR +/- O2 évaluation de la
modérée réponse à H1
Salbutamol nébulisé + anticholinergique (pd la 1ere heure)+ CTC + O2 +/-
Mg Hospitalisation avec surveillance continue
Crise d’asthme sévere
Si amélioration : B2M en nébulisation chaque 1h jusqu’à la disparition
des signes de gravité
Si pas d’amélioration ou aggravation après 15-30 min B2M en
nubilisation ou en injection + anticholinergique voire adrénaline si échec ou
collapsus et transfert à un milieu spécialisé
6-Ordonnance :
B2M à la demande (vérifier et expliquer la technique d’inhalation)
Prédnisone ou prednisolone 1 mg/kg/jr chez l’adulte sans dépasser 50 mg/jr , 2 mg/kg/jr chez
l’enfant sans dépasser 40 mg/jr pour une durée de 5-7 jr et arrêt sans décroissance (cp 5mg ou 20
mg)
ATB augmentin 1gx3 / jr pendant 7-10 jrs si signes d’infection
7-Lettre d’orientation : (trt de fond) confirmer que la patient suit chez un médecin traitant sinon le
confier à un confrère
8-Suivi : dans les 2 à 7 jrs qui suivent
9-Education thérapeutique : pas dans le cadre d’urgence, ça se fait dans une consultation de suivi. ça
permet au patient de prendre en charge plus efficacement sa maladie. expliquer sa maladie, les FDR,
l’ordonnance de sortie, la méthode de l’inhalation et vérifier qu’il suit chez un médecin traitant sinon le
confier à un confrère.
OBJECTIFS
1-Soulager la douleur antalgiques
2-Stabiliser la plaque d’athérome et limiter la progression du thrombus utilisation précoce d’anti
SCA
agrégants plaquettaires + anticoagulants
3- Destruction du thrombus Reperfusion
4- Prévention des récidives ordonnance de sortie
PRISE EN CHARGE
1- Gestes à faire en urgence : Mise en condition
Rassurer le patient et sa famille s’il est accompagné
Mise en repos (éviter tout effort) en position assise
Monitoring : TA, Fc, ECG, SaO2
2 voies veineuses périphériques de bon calibre (une réservée pour la fibrinolyse)
Prélèvement sanguin pour un bilan : FNS, ionogramme, glycémie, bilan de coagulation,
enzymes cardiaques s’ils ne sont pas faits
Un défibrillateur doit être à la portée de la main durant toute la PEC (risque de complication TV)
Oxygénothérapie non systématique dépend de la SaO2 (si <95%)
2- Traitement symptomatique
Traitement de la douleur : guidée par l’EVA
Paracétamol en perfusion : 1g chaque 6h
Morphine en IV (IM proscrite du fait du risque hémorragique) puis relais en SC
Traitement de l’anxiété : BZD ou hydroxyzine
1- Critères d’hospitalisation
Colique néphrétique compliquée (hyperalgique, IR, fébrile) ou si grossesse
2- Mesures immédiates
- Restriction hydrique (pour éviter la distension);
- Ne pas tenter de s’opposer à la déambulation d’un malade agité.
- Application chaude (serviettes, bouillotte, voire douche ou bain très chaud): elle contribue à
soulager (incomplètement) la douleur.
3-Traitement médical
- Le traitement initial est essentiellement antalgique
- Il doit être précoce et rapidement efficace
A) DOULEUR ANTALGIQUES
-le traitement de 1ère intention : Ketoprofene (Ketoneed®) :100 mg en IVL
AINS au maximum 2 fois par jour + IPP si nécessaire (1cp de 20 mg)
-L’action : ↓ Pg ↓ DFG ↓ dilatation
Perfusion 1g. A renouveler si besoin au bout de 4 heures; dose maximale 2g
Paracétamol
/24h.
-Indication : en cas de non réponse au traitement initial (CN hyperalgique) ou
Morphiniques de contre-indications aux AINS
-Morphine en IV 1 mg/kg, éventuellement renouvelé après 4 heures
CN simple
B) SIGNES DIGESTIFS ANTISPASMODIQUE / ANTIEMETIQUE
Antispasmodiques -Phloroglucinol (Spasmodyl ®) : perfusion de 40 mg.
Antiémétiques -primperan iv 1 ampoule
5-Criteres de sortie
CN simple, patient complètement soulagé ayant uriné et capable de s’alimenter et apte à un trt
ambulatoire
RECOMMANDATIONS :
-De Poursuivre le traitement comme prescrit. Ne modifiez pas les posologies sans avis
médical.
- De filtrer ses urines (Tamiser) à l’aide d’une gaze ou un filtre à café pour permettre d’étudier la
nature biochimique du calcul.
- De faire les examens demandés (ECBU, echo-ASP)
-De Consulter le médecin traitant entre J3 et J7 avec le résultat avec la lettre d’orientation et les
résultats des examens demandés
CONSEILS :
-Hydratation – diurèses : Diurèse > 2000ml (c’est le premier objectif à atteindre et à maintenir
au long cours) avec consommation des boissons répartis tout au long de la journée en évitant
ceux sucrés ou sodas
-Alimentation équilibrée /réajustement alimentaire :
*Normalisée en calcium (800mg à 1g/jour, en sel <9g/j, et en protéines animales <1,2g/Kg/j)
*Limiter les prises excessives d’aliments riches en oxalates (Chocolats, fruits secs, épinards et
thé)
-La Surveillance est essentielle : Si le calcul est <6mm avec une douleur contrôlée sous
antalgiques
LETTRE D’ORIENTATION
1- Hospitalisation systématique
dans le but d’instaurer un traitement immédiat et donc de prévenir les complications (choc
septique, pyonéphrose, destruction du rein)
2- Mise en condition
Rassurer le patient
VVP – Monitoring
Restriction hydrique (pour éviter la distension);
Ne pas tenter de s’opposer à la déambulation d’un malade agité.
Application chaude (serviettes, bouillotte, voire douche ou bain très chaud): elle contribue à
soulager (incomplètement) la douleur.
Arrêt des AINS (majore l’IR psk vasocontricteurs puissants et prédispose à la NTA)
3- Traitement médical
TRAITEMENT DE L’HYPOPERFUSION
Oxygénothérapie si SaO2< 95%
Remplissage vasculaire avec du SSI (débit 20 gouttes /mn) et comme objectif une PAM ˃
CN 65mmHg (si échec par des colloides)
compliquée TRAITEMENT DES DOULEURS
d’une PNA + Antalgiques : morphine (comme CN) psk PN hyperalgique et IR (donc CI d’AINS)
IR + hyper Antispasmodiques (comme CN)
kaliémie TRAITEMENT DE L’INFECTION : Après les prélèvements bactériologiques :
Avant les résultats : on administre une bi antibiothérapie bactéricide synergique parentérale
après les prélèvements : Quinolone (ciprofloxacine mg chaque 12h en IV) ou C3G (céfotaxime 1g
chaque 6h à adapter à la fonction rénale), associés à l’aminoside
R ! Dans ce cas, puisque le sujet présente une IR, donc l’aminoside est CI on administre le
quinolone ou C3G juqu’à l’apyrexie
Après les résultats de l’antibiogramme, si c’est un BGN, on continue par le même traitement, si
c’est un CGP, on donne l’amoxicilline ou augmentin.
R ! Durée : dans les formes peu sévère 10-14 jours. Si signes de gravité (comme ce cas), ça peut
passer jusqu’à plus de 21 jours
CORRECTION DE L’HYPERKALIEMIE
Kayexalat : (1 cuillere = 15 mg) sois per os : 1-3 cuilleres ou par voie rectale : 2 cuilleres dans 100 ml
d’eau
Gluconate de calcium afin de proteger les membranes myocardiques
insuline 10 UI + SG
R ! si troubles à l’ECG due à l’hyperkaliémie, on fait une hémodialyse d’emblée
POUR L’INSUFFISANCE RENALE
Arret des AINS
Assurer une bonne réhydratation
Adapter la posologie des ATB à la fonction rénale
Surveillance réguliere de la fonction rénale
4- Traitement chirurgical
Dérivation des urines en amont de l’obstacle par montée de sonde double J ou pose de sonde de
néphrostomie percutanée. L’objectif est de drainer les urines infectées stagnantes (Qui seront
prélevées pour examen bactériologiques) en amont de l’obstacle afin d’éviter une bactériémie et un
choc septique.
R ! Ne pas oublier de prévenir le syndrome de lever d’obstacle par une hydratation égale aux pertes.
5- Surveillance
A court terme A long terme
Clinique : T + FR +FC +TA+SaO2 , l’intensité de la douleur, la perfusion Surveiller la
périphérique décroissance de
Biologie : Fonction renale + ionogramme ou gazométrie la créatinine et
Bactériologique : ECBU refait systématiquement au J2-J3 du début de la le retour de la
symptomatologie et 4 à 6 semaines après la fin du traitement fonction renale
Résultats attendus : Amélioration clinique en 48- 72h (disparition de la normale
douleur et la fievre) et décroissance du syndrome inflammatoire biologique
Toute absence d’amélioration après ce délai implique : la réalisation des
examens complémentaires : ECBU (recherche d’infection nosocomiale et
appréciation de la réponse de l’infection à l’ATB instaurée) + Uro scann
6- Conseils à donner
PREVENIR DES LITHIASES ULTERIEURES :
-Hydratation – diurése : Diurèse > 2000ml (c’est le premier objectif à atteindre et à maintenir au long
cours) avec consommation des boissons répartis tout au long de la journée en évitant ceux sucrés ou
sodas
-Alimentation équilibrée/ réajustement alimentaire :
*Normalisée en calcium (800mg à 1g/jour, en sel <9g/j, et en protéines animales <1,2g/Kg/j)
*Limiter les prises excessives d’aliments riches en oxalates (Chocolats, fruits secs, épinards et
thé)
-La Surveillance est essentielle :Si le calcul est <6mm avec une douleur contrôlée sous antalgiques
PREVENIR DES INFECTIONS ULTERIEURS : (FACTEURS FAVORISANTS)
-lutter contre la constipation
-Les mictions doivent etre complètes, régulières, non retenues
-Miction post coïtale
-Eviter les sous-vêtements en synthétique et les pantalons trop serrés
-Maintenir une diurèse importante en augmentant les apports hydriques
I- non compliqué
-Regles d’hygienne : arrét d’AINS, tabac, alcool, café
Ulcère GD -Eradication de l’HP : IPP double dose (oméparazole 40 mg, 1 prise le matin 30 min avant le 1er repas) +
triples antibiothérapie (amoxicilline 1g x2/ jr + métronidazole 500 mg x2/jr + clarithromycine 500 mg x2/
jr) pendant 14 jrs
-Circatrisation de l’ulcere : poursuite des IPP à pleine dose (oméparazole 20 mg) pd 3-7 semaines (tjr si
UG, en cas de patient à risque si UD)
-EOGD de contrôle à 6semaines associée à une bp afin de vérifier la cicatrisation de l’ulcere
5) Lever du choc : Remplissage vasculaire avec cristalloides (500 cc de SSI) en attendant la transfusion,
si échec, rajouter la Nd + Tranfusion du CCG iso groupe iso rhésus si possible, sinon ORH- par défaut + si
CIVD PFC (10-15 ml) avec ration 1/1 ou ½ .
R ! il faut controler le document transfusionnel (2 cartes de groupage) avant la transfusion. Et quand on
transfuse par O-, il faut donner au sujet une carte mentionnant ce point, pour qu’il ne recevera pendant 3
mois que O-
La transfusion du culot plaquettaire est nécessaire si PS<50000 (<100000 chez le trauma cranio
rachidien)
6) Traitement hémostatique : FOGD après l’élimination de la perforation et la stabilité hamodynamique
dans les 24h voire de préference 12h
7) Donner l’IPP
8) Fiche de surveillance : TA, FC, FR, SaO2, conscience, diurese
9) Ordonnance de sortie + lettre d’orientation à un gastrologue
Signes : si érythrocytaire fievre – frisson, si leucocytaire pneumopathie aigue voire état de choc
CAT Vis-à-vis du patient : Arrêt de la transfusion, prélèvements sanguins biologique du patient,
prélèvements sanguins biologique des poches en cause, déclaration à l’hémovigilance de l’accident
transfusionnel.
b) Si hospitalisation
Pneumocoque Amoxicilline ou C3G (céfotaxime 4-8 g/jr en IVD)
Pas de pneumocoque Amoxicilline, augmentin ou céfotaxime + macrolide
Légionellose monoT = ciprofloxacine ou bithérapie ciprofloxacine + érythromycine IV
Pneumonie sujet agé Augmentin
ou abcédé En 2 eme intension : C3G + metronidazole
Pneumonie post Augmentin
grippale En 2 eme intension : ciprofloxacine
2-INFORMATIONS A DONNER AU PATIENT
1- Annoncer le dg d’une pneumonie
2-Expliquer pk la PEC se fait en ambulatoire et insister sur la prise du traitement
3-Auto surveillance : la température et tout nouveau signe.
4-Reconsulter à 48h après ou en urgence si aggravation ou nouveau signes
5-Si tabagique : conseiller l’arret du tabac et s’il veut orientation vers une consultation anti tabac
3- SURVEILLANCE
Le sujet revient après 48h, pour voir :
-Si guérison : amélioration clinique surtout la fievre demander un TLT à la fin du trt (le nettoyage
radiologique est tardif) , si patient fumeur : demander une spirométrie (à la recherche d’une BPCO), une
radio de contrôle +/- fibro pour chercher un Kc (la pneumonie peut réveler un KC pulmonaire)
-Si Echec, élargir le spectre ou changer carrément l’ATB
1- MENINGITE A MENINGOCOQUE
a) Traitement du sujet
1-Rassurer le malade
2-Hospitalisation
3-Mise en condition : repos au lit, VV, monitorage, sondage vésical, prelevements
4-Après les prelevements bactériologiques ATB :
Amoxicilline 8-12 g/j en IVD en 4 prises pendant 5 jours puis relai oral pendant 5 jrs (6-8 semaines si
abcés)
-(si allergie : C3G, PG, phénicolés ….)
5-Cortiothérapie : dexamthasone 10 mg x 4 par jr en IVD pendant 4 jours (précoce, avant ou avec la
premiere prise d’ATB)
R ! si etat de choc remplissage par SSI (500 cc pd 15 min ), si échec refaire le remplissage, si échec :
+ ND
Méningite Si CIVD : transfusion du PFC +/- PS
c) fiche de surveillance
-cte : T + FC+ FR + SaO2 + diurese
-Conscience – examen neurologique
-Les lésions purpuriques (cartographie)
-PL : refaite à J3 du trt (recherche d’une stérilisation) et à J10 (recherche d’une normalisation)
d) déclaration obligatoire de la maladie
R ! pour pneumocoque : ATB céfotaxime IVD 8-12 g/jr en 4 prises pendant 15-21 jours
R : sujet soulagé après 2 jrs du trt, que faites vous ? reste hospitalisé ou transféré vers un service de
maladie infectieuse pour la poursuite du trt + poursuite de l’ATB pd 10 jours + refaire une PL avant la
sortie + établir une carte de consultation et revoir le patient au contrôle
3- Thrombolyse
-Si pas de CI , trasnfert vers unité neurovasculaire en expliquant aux accompagnateurs du malade
-Rt-PA 0.9 mg/kg (max 90 mg) en IV. 10% bolus et 90% en SE en 1h.
5- Fiche de surveillance
Constantes vitales : FC,FR,TA,T, SaO2, diurese
glycémie capillaire – ionogramme
état neurologique : conscience (score glasgow) – déglutition – NIHSS
Complications précoces : T-E, Infections (respiratoires, urinaires) , escarre, arythmie
7- Lettre d’orientation
1- PREMIERES MESURES
1. Rassurer le patient et ses accompagnateurs
2. Hospitalisation
3. Mise en condition : VV , monitoring (FC,FR,SaO2,T, TA) , sonde urinaire (diurese) , si désaturé :
oxygénoT + LVA + PLS
4. Evaluation des fonctions vitales (respiratoire, circulatoire et neurologique) afin de prendre les
mesures qu’il faut en 1er
5. Lancer un bilan (glycémie + gazométrie + cétonémie + ionogramme +FNS + bilan renal + crase
sanguine + toxicologie ) afin d’éliminer un coma toxique ou hypoglycémique
2- TRAITER L’INSULINOPENIE
Insulinothérapie par insuline rapide : 20 UI en bolus puis 10 UI/H en IVSE (si pas de SE, 10 UI en IVD
chaque heure) cétonurie disparait Insuline SC avec maintien de la voie IV pendant 1h puis
Insuline rapide en SC chaque 4h pendant 24h relais par triple injection SC
3- CORRECTION HYDRO ELECTRIQUE
-Réhydratation au rythme 500 cc/h selon la glycémie (après insulinoT) :
Glycémie > 2.5 SSI 0.9%
Acidocétose Glycémie entre 1.5-2.5 SGI 5%
diabétique Glycémie < 1.5 SGI 10%
Lettre d’orientation :
Cher confrère
Permettez-moi de vous adresser le sujet sus nommé sus âgé, avec atcd de ... , Qui consulte pour une ....
-A l’examen clççç_uinique, le sujet est conscient, coopérant, stable sur le plan hémodynamique
-il présente une ....... (Thki ce qu il présente) - examen paraclinique (par ex tgol il a une hyper leuco .... + l’écho retrouve ... )
Je vous le confie pour une meilleure prise en charge.
Merci, cordialement
Ordonnance :
Le médicament (forme) .... Pd la durée T5lf star tktb la poso
Exemple : Paracétamol 1g ...... pd 7 jrs 01 cp ×3/ jr
Posologies thérapeutique
Médicament Posologie Maladie
Natispray (DN) Spray 1 bouffée en sublingual (0.4 mg) chaque 2 min OAP
Risordon (DN) IVD bolus 2 mg à répeter à 5 min si besoin OAP
IVSE 2mg/h en augmentant chaque 5 min 1mg (max = 10-15 mg/h)
Lasilix (diurétique) IVD ≤ 1 mg/kg, si besoin renouveler à 6h OAP
Nicardipine IVSE 1-5 mg/h AVC
Dobutamine 5-10 V/kg/ min OAP
Remplissage SSI , quantité 500 cc (30 cc/kg) , débit : 20 gouttes/min Choc anaphylactique
Rehydratation SGI 500 cc/h
Correction hypoNa NaCL 3g / 500 cc/h
Correction hypo K moins de 3.3 : 2-2.5 g de kcl/ 500 cc/h
entre 3.3-5.4 : 1g de kcl/ 500 cc/h
Adrénaline IM 0.5 mg pour l’adulte, 0.15-0.3 mg pour l’enfant Choc anaphylactique
A répéter chaque 5 minutes si pas de voie IV
IV Stade 2 : 10-20 µg (1 mg dans 100 cc de SSI puis inj de 1 cc)
Stade 3 : 100-200 µg (1mg dans 10 cc de SSI puis inj de 1cc)
Stade 4 : 1 mg bolus 3 eme injection : 5mg IVSE 0.1µg/kg/ min
Nd IVSE 0.1-0.3 V/kg/min à augmenter chaque 5 min Choc septique
Hémisuccinate IV 200 mg chaque 6h Choc anaphylactique
d’hydrocortisone
(HHC)
Prédnisone (CTC) VO Pd la crise aigue : 1 prise 1 mg/kg Crise d’asthme
A la sortie : pd 5-7 jrs
Adulte : 1 mg/kg/jr sans dépasser 50 mg
Enfant : 2mg/kg/jr sans dépasser 40 mg
R ! la forme : cp de 5 ou 20 mg
IV Bolus (1mg) puis 0.5 mg/kg/jr perfusion
Dexaméthasone IVD 10 mg x 4/jr pd 4 jrs Méningite
Salbutamol (B2M) Spray 2-8 bouffées chaque 20 minutes Crise d’asthme
Nébulisation 5 mg pendant 15 min, à répéter chaque 20 min pd 1h puis 1
fois par heure (par débit d’oxygene 6-8L/min)
IVSE 0.15-0.5 mg/h à doubler chaque 10-15 min.
R ! maximum : 5 mg/h
Terbutaline (B2M) SC 0.5 mg Crise d’asthme
Bromure Spray / Crise d’asthme
d’ipratropium
Nébulisation 1 capsule pendant 15 min, à répéter chaque 20 min pd 1h
(Anticholinergique)
Sulfate de Mg IV IVSE : 2 g pd 20 min Puis IVL : 2g pd 24 h Crise d’asthme
Nébulisation /
Augmentin VO 1 g x 3/ jr pd 7-10 jrs Asthme + infection
Paracétamol IVL Perfusion 1g chaque 4-6h IDM / CN
R ! Dose maximale 2-3g/jr
IVL 1 g dans 125 cc de SGI ou SSI pd 15 minutes chaque 4-6h
R ! dose maximale 3g/jr
VO 1g x2 / jr (ordonnance) CN
VO 1 g chaque 8h (phase aigue) Dysménorrhé
500 mgx3/jr (ordonnance)
VO 500 mg x3/jr (ordonnance) Douleur onco
Aspirine (AINS) IV puis VO Phase aigue : 250 mg en IV puis 1 cp/jr (75 ou 150 mg) IDM
A la sortie : 1 cp/jr 75 mg à vie (milieu de repas)
Phase aigue : 100-1000 mg/jr AVC
Clopidogrel (AINS) VO Phase aigue : 300 mg (dose de charge) puis 1cp/jr (75 mg) IDM
A la sortie : 1 cp/jr 75 mg 9-12 M
Ketoprofene (AINS) IVL 100 mg x 2 / jr (max) CN
Déclfénac (AINS) VO 50 mg x2/jr (milieu de repas) CN (5 jrs)
Dysménorrhée
Ibuprofene (AINS) VO 2 cp jr (400 mg) DYSménorrhée
Flubiriprofene VO 2 cp/jr (100 mg) Dysménorrhée
(AINS)
Naproxene (AINS) VO 2 cp/jr (750mg) Dysménorrhée
Oméparazole (IPP) VO 20 mg/jr , le soir -Avec AINS
-cicatrisation UGD
3-7 semaines
Vo 40 mg/jr, le matin avant le repas pd 14 jrs UGD (éradication)
VO
- TA = 100-85 interpretez !
HypoTA avec Pincement de la différentielle (hypovolémie)
- AVC + brulures mictionnelles (bilan bio a été fait), quels sont les exmens à faire en urgence ?
TDM + ECBU
- Ordonnance après crise d’asthme :
Prédnisolone 1 cp/jr le matin après le petit déjeuné (cp = 5 mg ou 20 mg)
Salbutamol en aérosol doseur 2 bouffées x4/jr
- Conseils de l’asthme : si tabagique n’oublie pas ARRET DU TABAC, rajoute conseils minims (0.25
points)
- Dans la colique néphrétique, dans le probleme posé et les arguments : n’oublie pas de dire
absence de fievre
- PK faire un bilan renal dans la CN ? afin de cherche une IR (compliquant la CN) ou IR pré
existante qui s’agit d’un FDR de CN
- Tableau de GEU, quelles sont les questions à poser dans l interro ?
DDR
Parité
contraception
- Dans l’interprétation de l’ECG : n oublie pas absence de trouble de conduction
- SCA : = الشخص حط بنتو تروح تجوز الباكstress
- Dans le BU : sang ++, ksk il faut faire ? ECBU à la recherche d une infection urinaire
- CN avec douleur génante l’effort physique, comment évaluer ?
La douleur sera analysée selon l’échelle EVA 0.25
Grade 2 , EVA < 4 : 0.25
douleur modérée , affectant la fonction et non pas l’activité physique 0.25