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- Droit des affaires : est un ensemble des regles qui regissent les activités commerciales liés à la vie

des commercants et des entreprises

- Le droit des affaires touchent les éléments suivants : la productivité , la transformation ,


l'importation , la circulation. (le droit des affaires fait partie des droits privées .) - la rapidité : le droit
commercial s'est développé en marge des droits civils , l'exigence de sécurité , l'exigence de crédit :
toute entreprise est besoin de crédit.

- Le code de commerce : loi 15-95.

Le texte de lois

it y a des sources internes et internationaux

A. au niveau interne :

Loi au parlement

Le loi suprême de Maroc : constitutiom

the reglement au gouvernement

La loi qui est contraire à la constitutiom

est considérée comme irrégulière.

B au niveau international: le GATT

a usage interne : Ies usages commerciaux sont un ensemble de pratique qui

naissent spontanément du commence

B usages internationaux: ce sont des usages développés dans le commerce international ,on
rencontre cette pratique dans les ventes de marchandises dans les contrats de transport et les
opérations de crédit

Jurisprudence : ensemble de décision qui ont été fait à travers les tribunaux concernat un
meme probleme de droit (concernat les juges de la court supreme)

- La patronat : defend les entreprises

- La structure juridique de l'entreprise :


La qualité de commercant : pour qualifier le commercant il doit exercer une activité de facon
habituelle et de facon professionnelle

- Notion de l'entreprise

- Notion sur l'economie

- Notion objet de droit

étapes pour créer une entreprise au Maroc :

1. Choisissez un nom pour votre entreprise via la plateforme OMPIC, qui vous fournira un
certificat négatif valable pendant trois mois.

2. Rédigez les statuts de l'entreprise, qui définissent les règles régissant les relations entre les
actionnaires et les tiers.

3. Inscrivez-vous à la taxe professionnelle en soumettant une demande à l'administration


fiscale.

4. Enregistrez votre entreprise au registre du commerce, qui est obligatoire pour toutes les
sociétés commerciales, à l'exception des sociétés en participation.

5. Obtenez un tampon de société, qui est nécessaire pour l'utiliser sur les documents et la
correspondance de votre entreprise.

6. Obtenez un numéro d'identifiant fiscal auprès de l'administration fiscale.

7. Affiliez votre entreprise à la CNSS (Caisse nationale de sécurité sociale) et obtenez un


numéro de sécurité sociale.

8. Inscrivez-vous à l'INPM (Institut national de la formation professionnelle) et obtenez une


carte professionnelle.

9. Inscrivez-vous à l'ACM (Association marocaine des employeurs) et obtenez un certificat


d'affiliation

• Une société peut être créée soit par un

contrat entre plusieurs personnes, soit par un acte unilatéral de volonté par une seule personne dans
le cadre d’une SARL à «associé unique»

• l’article 982 «la société est un contrat par lequel deux ou plusieurs personnes mettent en commun
leurs biens ou leur travail, ou tous les deux à la fois, en vue de partager le bénéfice qui pourra en
résulter».

• la capacité de créer une entreprise et du nombre minimum d'actionnaires requis pour


différents types de sociétés au Maroc. Il mentionne que les mineurs peuvent être actionnaires d'une
société par actions ou d'une société en commandite, ou associés d'une société à responsabilité
limitée, mais que des conditions spéciales s'appliquent pour les sociétés de personnes. Le nombre
minimum d'actionnaires pour une société par actions est de cinq, pour une société en commandite
c'est trois commanditaires (associés limités) et un ou plusieurs commandités (associés généraux),
pour une société à responsabilité limitée c'est deux, et pour une société à responsabilité limitée à
associé unique c'est un seul. Ces exigences diffèrent du principe général d'un minimum de deux
actionnaires pour toute société tel que prévu par le droit commercial marocain.

• trois types de contributions qui peuvent être apportées à une société:

• Des contributions en numéraire: il s'agit de paiements en espèces effectués par les


actionnaires pour contribuer au capital de la société. Chaque actionnaire fournit sa part financière
lors de l'incorporation de la société.

• Des apports en nature: il s'agit de contributions non monétaires qui peuvent être
capitalisées. Ces contributions peuvent être des actifs physiques (tels que des meubles ou du
matériel) ou des actifs incorporels (tels que la propriété intellectuelle ou les brevets). Ces
contributions peuvent être faites en pleine propriété, possession ou usufruit. Les apports en nature
doivent être évalués pour s'assurer qu'ils ne portent pas préjudice aux actionnaires ou aux autres
actionnaires ou aux créanciers. Cette évaluation est effectuée par des commissaires aux apports qui
sont chargés d'attribuer une valeur à ces contributions.

• Contribution en industrie: il s'agit de contributions d'expertise et de connaissances


apportées par certains actionnaires. Elles ne sont possibles que dans les sociétés de personnes et,
dans certaines conditions, dans les sociétés à responsabilité limitée. Elles ne sont pas inclues dans le
capital de la société, mais elles donnent droit à une part des bénéfices et rendent l'actionnaire
responsable des dettes de la société dans la limite de la valeur de son apport.
• la société est créée dans le but de réaliser des bénéfices ou de profiter d'une économie.
Chaque associé recevra une part des bénéfices ou des pertes proportionnelle à ses apports.
Cependant, les statuts ne peuvent prévoir des clauses qui attribuent à un associé une part des
bénéfices ou des pertes supérieure à sa contribution, au risque de rendre la société nulle. L'économie
réalisée par la société, comme l'achat de produits à un prix inférieur, est considérée comme un
bénéfice.

• l'affectio societatis est un élément psychologique pris en compte par la jurisprudence qui
définit la volonté des associés de collaborer de manière active, volontaire et égalitaire, sans lien de
subordination entre eux. Cet élément permet de distinguer le contrat de société des autres contrats
et de déterminer l'existence de sociétés de fait. Par exemple, si un employé est rémunéré par
participation aux bénéfices, il ne peut être considéré comme un associé faisant un apport en
industrie car il est toujours subordonné à son employeur, contrairement à l'affectio societatis qui ne
connaît pas de subordination

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