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Chanter en Canon 1
Chanter en Canon 1
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1. FRERE JACQUES Gustav Malher 5
2. GELOBET SEI Jean-Sébastien Bach 6
3. DONA NOBIS PACEM aiwnyme 7
4. WHEN V AND I Henry Purcell 8
5. ALLELUIA William Hayes 9
6. PRAISE GOD Thomas Tallis 10
7. TI TRAIN LONGTEMPS Jules Joron 11
8. CHE GUSTO E MAI QUESTO Antonio Caldara 12
9. OU L'ON ME VERSE DU BON VIN anonyme 14
\1 10. SIGNOR ABBATE Ludwig Van Beethoven 15
11. A MOY! TOUT EST PERDU François Couperin 14
12. LAUDATE DOMINUM anonyme 17
13. VIVA LA BOTTIGLIA Antonio Salieri 18
14. OTOBIAS Ludwig Van Beethoven 20
15. COME! FOLLOW ME! John Hilton 21
16. lIS WOMEN MAKES US LOVE Henry Purcell 22
17. NON NOBIS DOMINE William Byrd 23
18. TO PORTSMOUTH David Melvill 24
19. WENN KUMMER HÂTTE ZU TÔTEN Johannes Brahms 25
20. 0 BACCHUS Laurent Gervais 26
21. 0 YOUTH IS THE SEASON traditionnel 27
22. BIBITORES Giovanni Battista Martini 28
23. VERBUM DOMINI Adam Gumpelzhaimer 29
24. OLUX William Byrd 30
25. RÉ MI FA SOL LA Luigi Cherubini 31
26. DOMINE DEUS Michael Haydn 32
Le CANON (du grec Kavwv =règle) sert à désigner la forme la plus stricte de composition polyphonique en IMITATION, dans laquelle deux voix, ou davantage, se re-
produisent rigoureusement du point de vue mélodique, et souvent rythmique, à des moments différents, et parfois également à des hauteurs différentes, en respectant des règles. Les
m6lodies, ainsi décalées les unes par rapport aux autres, se superposent en se contrepointant mutuellement. Le premier thème ou «antécédent» est repris successivement à inter-
volles plus ou moins rapprochés et réguliers par d'autres voix appelées «conséquent>>. Tant qu'une modification du thème ne prépare pas la cadence finale où toutes les voix se re-
trouvent, chacune d'entre elles à son tour, reprend le thème au début: c'est le canon AD INFINIT'UM.
On attribue à PEROTIN (1187-1238), d'avoir usé pour la première fois de l'imitation, qui est le principe sur lequel est édifiée toute la polyphonie des siècles à venir et,
ponlcull~rement, le CANON et la FUGUE. Les premiers canons remontent au Xllème siècle, (certaines civilisations non européennes connaissant depuis très longtemps des. procé-
dés uppnrent6s). Les plus anciens canons européens reposent sur le principe de l'échange des voix. La CHACE française et la CACCIA italienne sont les premiers genres dans les-
quels le COilon se développe à partir de thèmes comme : la chasse (ainsi que son nom l'indique), très en vogue au XIVème, puis la pêche, l'incendie, les cris de rues, l'amour etc ... et
s'uppcllern selon : caccia, rota, ronde, chace, fuga ... A cette époque, le canon est écrit à deux voix aigues (en imitation), auxquelles est ajoutée une TENEUR instrumentale en va-
leurs longues.
Apr~s 1400 le canon, selon un processus constant qui fait évoluer toutes les formes musicales, s'éloigne de sa première destination, et devient un élément technique es-
sentiel de la grande composition polyphonique dans la messe et le motet, tout particulièrement sous les formes savantes du canon d'intervane et du canon de mensuration, acquérant
souvent une valeur symbolique. Bien qu'au XYième, certaines tendances, un peu compliquées, tendent à effacer .Ja forme canon, des messes ou des fragments de messes cano-
niques continuent à !tre composés. Au XVIlème, de nombreuses œuvres renouent avec les techniques canoniques savantes, dans un but didactique. Alors que le XVillème et le
XlXbme oublient partiellement le canon au profit de la musique expressive, ou s'en servent comme une technique d'enseignement du contrepoint, le XXème redonne un nouvel élan
à la technique canonique.
En Angleterre, le CANON, ou CATCH, ou ROUND, est issu du canon de la chasse française et de la caccia italienne. Il constitue une manifestation typique de l'humour
britannique. Depuis 1761, il existe à Londres, un Catch Club qui décerne des prix pour encourager la culture de ce genre. C'est le triomphe de la fantaisie, de la liberté stylistique,
du jeu des acrobaties contrapuntiques.
1. CANON CIRCUIAIRE ou CANON PERPETUUS : les différentes voix retournent à leur commencement.de telle sorte que la pièce peut se poursuivre théoriquement sans fin.
2. CANON D'INTER.VA/LE ET CIRCUIAIRE: les voix fonctionnent comme le 1, mais démarrent à dès intervalles différents (à la~uarte, à la quinte, à l'octave... ).
3. CANON EN SPIRALE ou CANON PER TONOS : les voix retournent également à leur commencement mais à une hauteur différente, parcourant ainsi un cycle de modulations.
4. CANON A L'ÉCREVISSE ou RÉTROGRADE ou PAR RÉCURRENCE : le chant à l'écrevisse consiste à reproduire une phrase musicale en commençant par la fin et en allant
à reculons, le début des voix se faisant ensemble en règle générale.
S. CANON EN MIROIR : les voix présentent le chant en miroir; ce type de canon renverse les intervalles, non dans leur succession, mais dans leur échelle de hauteurs.
6. CANON EN MIROIR ET A L'ÉCREVISSE : c'est la combinaison du 4. et du 5.
7. CANON DE MENSURATION ou CANON DE PROPORTION: les différentes voix sont.identiques au point de vue mélodique mais différentes par le rythme. Le CANON EN
AUGMENTATION et le CANON EN DIMINUTION sont des exemples où les valeurs de durée des voix maintiennent un rapport fixe déterminé lors de la composition.
Roland LEMÊTRE
R
arement objet de concert, le canon est généralement utilisé comme divertissement ou - mais l'un n'empêche pas l'autre - comme outil pédagogique:
"antichambre", en quelque sorte, de la pratique polyphonique. La brièveté du canon et la rigueur de son écriture (les plus grands maitres - on peut
le constater ici une fois de plus - en ont imaginés) en font des musiques de grande consommation. Utilisons le canon sans modération, mais en le
maniant avec précaution, non à cause du danger qu'il représente, mais en raison d'une facilité qui n'est souvent qu'apparente ... Ce troisième recuei~
comme les précédents de la série, ne recherche pas l'unité de style, ni l'unité de niveau d'exécution. Le parti pris est celui de l'anthologie ou du florilège.
Enseigner et divertir dans la diversité, tel en est le but. St·ephane ca1'llat
Le CANON (du grec Kavrov =règle) sert à désigner la forme la plus stricte de composition polyphonique en IMITATION, dans laquelle deux voix, ou davantage, se reproduisent rigou-
reusement du point de vue mélodique, et souvent rythmique, à des moments différents, et parfois également à des hauteurs différentes, en respectant des règles. Les mélodies, ainsi décalées les
unes par rapport aux autres, se superposent en se contrepointaot mutuellement. Le premier thème ou antécédent est repris successivement à intervalles plus ou moins rapprochés et réguliers par
d'autres voix appelées conséquent. Tant qu'une modification du thème ne prépare pas la cadence finale où toutes les voix se retrouvent, chacune d'entre elles à son tour, reprend le thème au début:
c'est le canon AD TNFTNITUM .
On peut distinguer sept sortes principales de canons :
1. CANON CIRCUIAIRE ou CANON PERPETUUS: les différentes voix retournent à leur commencement de telle sorte que la pièce peut se poursuivre théoriquement sans fin.
2. CANON D'INTERVALLE ET CIRCUIAIRE: les voix fonctionnent comme le!, mais démarrent à des intervalles différents (à la quarte, à la quinte. à l'octave ...).
3. CANON EN SPIRALE ou CANON PER TONOS: les voix retournent également à leur commencement mais à une hauteur différente, parcourant ainsi un cycle de modulations.
4. CANON EN MIROIR ou en RENVERSEMENT: les voix présentent le chant en miroir; ce type de canon renverse les intervalles, non dans leur succession, mais dans leur échelle de hauteurs.
5. CANON A L'ÉCREVISSE ou RÉTROGRADE ou PAR RÉCURRENCE: le chant à l'écrevisse consiste à reproduire une phrase musicale en commençant par la fin et en allant
à reculons, le début des voix se faisant ensemble en règle générale.
6. CANON EN MIROIR ET A L'ÉCREVISSE ou RÉTROGRADE DU RENVERSEMENT : c'est la combinaison du 4. et du 5.
7. CANON DE MENSURATION ou CANON DE PROPORTION: les différentes voix sont identiques au point de vue mélodique mais différentes par le rythme. Le CANON EN
AUGMENTAT/ON et le CANON EN DIMINUTION sont des exemples où les valeurs de durée des voix maintiennent un rapport fixe déterminé lors de la composition.
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1. FRÈRE JACQUES
2. GELOBET SEI
LoUÉ SOIT DIEU
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Do na no " bis_ pa - cem, Do - na no - bis pa cem.
Donne-nous la paix.
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4. WHEN V AND 1
QUAND TOI ET MOI
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When V and I to - ge - ther meet, We make up 6 in_ house or Street.
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Yet I and V may meet once more, And then we 2 can make but 4
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Quand toi (V) et moi(/) nous rencontrons, nous sommes 6 à la maison comme dans la rue (VI).
Cependant moi et toi pouvons nous rencontrer à nouveau et là, à 2 nous ne ferons que quatre (IV);
Mais quand nous nous séparons, hélas, pauvre de moi, je ne suis plus qu'/.
V (=5) mis pour Y (you, vous) I (=!)mis pour I (moi) Prononcer V=[vi:]"' "thee" [ài:]=toi
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5.ALLELUIA William Hayes (1707 - 1777)
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Al - le - lu ia, Al le - lu - ia, Al
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Al le - lu ia, Al le - lu - ia, Al - le - lu ia, Al - le -
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le _ lu ia, Al - le - lu ia,
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lu ia, Al - le _ lu ia, Al le lu - . ja.
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6. PRAISE GOD
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Praise God from whom all bles - sings flow; praise him ail crea - tures here be - low;
Lou - ez - Le sur la terr(e); lou - ez - Le dans le ciel: lou - ez _ _ Dieu!
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praise him a - bove, ye heaven - Iy host; praise Fa - ther, Son and Ho - ly Ghost.
Lou - ez le Pèr(e), Lou - ez le Fils, Lou - ez le Saint - Es - prit; A - men!
Louez Dieu de qui viennent toutes les bénédictions; Louez-le, vous, toutes les créatures te"estres;
Louez-le dans les cieux, vous, hôtes célestes; Louez le Père, le Fils et le Saint Esprit.
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7. TI TRAIN LONGTEMPS
Jules Joron
Séga (Ile de la Réunion)
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Di_à moin si ti con nais corn - ment té y fé le ti train long - temps ô - té ...
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La pi ca - pab' pi ca - pab' pi ca - pab' jis - qu'à la gar'_ Saint - Louis
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Li - té y march' doue' - ment mais quand mêm' ça l'i té con - tent!
Dis·moi est-ce que tu sais comment faisait le petit train d'autrefois :
"La pi capab'... lje n'y arrive plus), jusqu'à la gtlre Saint Louis
"Tiou, tiou, tiou, tiou! Tiou, tiou, tiou, tiou!"
Il allait lentement mais malgré tout il était content.
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Che gu sto è mai que - sto corn - pa - re: mag
A ta - ble, corn pè rel à boi re corn
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e be - ver ben pre - sto quan - do fà cal - do ben.
A ta - ble, com - pè - re pour no - tre plus grand bien!
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Quel plaisir est ceci, compère: manger et boire bien vite quand il fait bien chaud,
Mangeons, buvons, puis ensuite nous danserons. Tout joyewr:, compère, appelons notre commère pour qu'elle danse avec nous.
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fleurs de mon jar - clin, corn - me les fleurs de mon jar - din, je prends ra - cine où l'on m'ar - ro - se.
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Pa dre __ vie ni e da te mi la
Pè 1e ve - nez ve nez, bé - nis sez
Ho!'_ Sie der Teu - fel wenn Sie nicht kom - men, ho!' Sie der
Al : lez au dia ble, al - lez · au dia hie, al - lez au
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so - no, io so no am ma la to ...
je suis ma la de.
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be ne - di zi 0 ne, la be - ne - di - zi - o _ _ __ ne!
moi, hé- nis sez moi, Très Saint Pè re hé - nis sez moi!
......-- (!';'\)
Teu - fel wenn Sie nicht kom - men, ho!' Sie der Teu fel!
dia ble al - lez au dia hie si vous ne ve nez pas!
Monsieur /'Abbé, je suis malade. Saint-Père, venez et donnez-moi la bénédiction. Allez au diable si vous ne venez pas!
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Hé quoy! Que dis-tu? T'es-tu fait mal? Quels cris!
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Hé quoy! Que dis-tu? T'es - tu fait mal? Quels cris!
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mal- heur! Dé plo - ra ble jour - né e!
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Lau - da te, lau - da te, lau - da te, lau - da - te Do - mi - nurn.
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Louez le Seigneur!
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13. VIVA,VIVA LA BOTTIGLIA Antonio Salieri (1750 - 1825)
Vi - va
Vi va
vi va no no no
Vi va non non non
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plus bel - le corn - pagne il n'.Y a pas!
Vive, vive la bouteille, vive, vive la joie, le vaste monde ne nous donne pas de plus belle compagnie
Vive, vive, non, non, non, non, le vaste monde ne nous donne pas de plus belle compagnie.
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14. OTOBIAS
Ludwig Van Beethoven (1770 - 1827)
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- lin - ger, O! O!
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CD (r,"1)
Come fol - low, fol - low, fol - low, fol low, fol - low fol - low me!
Viens! Suis - moi, suis - moi, suis - moi, suis moi, suis - moi, loin d'i ci!
@ lr."1)
fol - low, fol low, fol - low, wi - ther shall 1 fol - low, fol low thee?
Jus - qu 'où te sui - vrai - je, te sui vrai - je, jus - qu'où te sui - vrai - je, mon a - mi(e)?
G) lr."11
To the green - wood, to the green - wood, to the green - wood fol - low me!
Jus qu'à la pré, jus qu'à la pré, jus qu'à la prai - rie fieu rie!
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And drin - king makes us mad.
Et boi - re nous rend fous!
Ce sont les femmes qui nous rendent amoureux, C'est l'amour qui nous rend triste, C'est la tristesse qui nous fait boire, Et c'est le boire qui nous rend fous.
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am, sed no-mi-ni tu 0 da glo - ri - am. Non no - bis Do - mi - no - bis.
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18. TO PORTSMOUTH
A PORTSMOUTH
David Melvill
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And there we will have a of
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The gal - lant Ship, the Mer - maid, the Li - on, han - ging stout,
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Did make us to spend there our six - teen pence ail out.
A Portsmouth! C'est une ville superbe! Là, nous aurons un quart <le vin avec une noix de muscade dorée.
Le beau bateau, la Sirène, le Lion accrochés solidement, sauront nous y faire dépenser nos soixante pence.
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ten Macht, ____ _ _ __ _ er müss - te toot lich
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20. 0 BACCHUS
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0 Bac - chus, que ton di - vin jus me pa - raît ai - ma ble;
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Quel _ _ _ __ plai sir nous goft - tons à ta ble;
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Plus de pei nes, pfüs de sou - cis de - meu - rons - y, chers ___ . a - mis.
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21. 0 YOUTH IS THE SEASON
0 JEUNESSE TU ES LA SAISON . •.
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joy, so corne lad - dies and las - sies your spring - lime em - ploy. _ _
le prin temps, jeu nes fil les, n'est pas tou - jours là.! _ _
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Jay, To - mor - row brings 0 ther things, DOW dance and play! _ _
sons! De main nous ver - rons la nou - vel le saï son ... _
La jeunesse est la saison de la danse et de la joie; aussi, jeunes garçons et jeunes filles, venez. profitez de votre printemps;
soyons gais tant que nous le pouvons, demain nous apportera d'autres choses, dansez et jouez aujourd'hui.
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22. BIBITORES
Martini (1706- 1784)
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Bi bi to res ex ul te mus, ex ul
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ad re quan tes con <lem
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24. OLUX
OLUMIERE
William Byrd (1543 - 1623)
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25. RÉ MI FA SOL LA
Luigi Cherubini (1760- 1842)
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fa, chan - tez plus jus - te mon a - mi, fi - lez les sons, por - tez la
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mieux; ren - for - cez la voix en mon - tant,
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Do-mi-ne cla - ma-vi co-ram te: _ _
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Seigneur Dieu, je t'ai acclamé nuit et jour pour mon salut. Que ma prière trouve gr/ù:e devant tes yeux.
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