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Knowledge and Skills Pisa - Francais
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ENSEIGNEMENT ET COMPÉTENCES
«
2001
Connaissances et compétences :
des atouts pour la vie
Connaissances et
compétences : des
Connaissances et compétences : des atouts pour la vie
PREMIERS RÉSULTATS DE PISA 2000
Les élèves sont-ils bien préparés aux défis de l’avenir ? Sont-ils capables d’analyser, de raisonner et de
communiquer leurs idées efficacement ? Ont-ils les moyens de continuer à apprendre tout au long de leur vie ? atouts pour la vie
Ces questions reviennent sans cesse dans la bouche des parents, des élèves, du public et des responsables
des systèmes éducatifs.
Connaissances et compétences : des atouts pour la vie apporte certaines réponses à ces questions. Cet
PREMIERS RÉSULTATS
ouvrage évalue dans quelle mesure les élèves en fin de scolarité obligatoire ont acquis les connaissances et les DE PISA 2000
compétences indispensables pour participer pleinement à la vie en société. Il présente des données sur les
compétences des élèves en compréhension de l’écrit ainsi qu’en culture mathématique et scientifique, met en
lumière les facteurs qui influencent le développement de ces compétences – tant à l’école qu’à la maison – et
en analyse les implications pour les politiques. ENSEIGNEMENT ET COMPÉTENCES
Le rapport révèle une variation sensible du niveau de compétence entre élèves, entre établissements et entre
pays. Il montre aussi que l’impact du milieu socio-économique des élèves et des établissements sur les
performances des élèves est très différent selon les pays. Certains pays ont réussi à atténuer cet impact, mais
d’autres sont de surcroît parvenus à rehausser leur niveau de performance global. De tels résultats mettent les
autres pays au défi d’y parvenir à leur tour.
Les données sur lesquelles se fonde ce rapport sont disponibles sur www.pisa.oecd.org.
.
Le Programme international de l’OCDE pour le suivi des acquis des élèves (PISA) est un processus
qui met en synergie les compétences scientifiques de 30 pays Membres de l'OCDE en collaboration avec
plusieurs pays non membres, et qui est dirigé conjointement par les gouvernements de ces pays en
fonction de préoccupations communes touchant l’action des pouvoirs publics. PISA est une initiative
sans précédent lancée dans le but de mesurer les résultats des élèves dans tous les pays de l'OCDE et
dans certains pays non membres, ainsi qu'en attestent plusieurs de ses caractéristiques.
PREMIERS RÉSULTATS DE PISA 2000
– Le concept de « culture » : PISA définit chaque domaine d’évaluation (la compréhension de l’écrit,
la culture mathématique et la culture scientifique) non pas en termes d’assimilation du programme
d’enseignement, mais en termes de connaissances et de compétences indispensables pour la
pleine participation à la société.
– L’engagement à long terme : au cours des dix prochaines années, PISA permettra aux pays de
suivre régulièrement leurs progrès sur la voie de l’accomplissement d’objectifs clés en matière
d’enseignement.
– La classe d’âge de la population évaluée : PISA évalue les connaissances et compétences des
élèves de 15 ans, c’est-à-dire les jeunes qui approchent du terme de leur scolarité obligatoire.
Cette approche permet de fournir des indications probantes sur les performances des systèmes
d’enseignement.
– La pertinence de l’apprentissage tout au long de la vie : PISA ne se limite pas à évaluer les
connaissances et les compétences des élèves, il demande également à ceux-ci de rendre compte
de leur propre expérience en matière d’apprentissage autorégulé, de leur motivation à apprendre
et de leurs préférences pour différentes formes d’apprentissage.
www.oecd.org
Toutes les publications de l'OCDE sont disponibles en ligne
ISBN 92-64-29671-9
www.SourceOECD.org 96 2001 14 2 P
-:HSTCQE=W^[\V]: Programme international pour le suivi des acquis des élèves
#ONNAISSANCES ET COMPÏTENCES
DES ATOUTS POUR LA VIE
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ORGANISATION DE COOPÉRATION
ET DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUES
En vertu de l’article 1er de la Convention signée le 14 décembre 1960, à Paris, et entrée en vigueur
le 30 septembre 1961, l’Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE) a pour
objectif de promouvoir des politiques visant :
– à réaliser la plus forte expansion de l’économie et de l’emploi et une progression du niveau de
vie dans les pays Membres, tout en maintenant la stabilité financière, et à contribuer ainsi au
développement de l’économie mondiale ;
– à contribuer à une saine expansion économique dans les pays Membres, ainsi que les pays non
membres, en voie de développement économique ;
– à contribuer à l’expansion du commerce mondial sur une base multilatérale et non discriminatoire
conformément aux obligations internationales.
Les pays Membres originaires de l’OCDE sont : l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, le Canada, le
Danemark, l’Espagne, les États-Unis, la France, la Grèce, l’Irlande, l’Islande, l’Italie, le Luxembourg, la
Norvège, les Pays-Bas, le Portugal, le Royaume-Uni, la Suède, la Suisse et la Turquie. Les pays suivants
sont ultérieurement devenus Membres par adhésion aux dates indiquées ci-après : le Japon
(28 avril 1964), la Finlande (28 janvier 1969), l’Australie (7 juin 1971), la Nouvelle-Zélande (29 mai 1973),
le Mexique (18 mai 1994), la République tchèque (21 décembre 1995), la Hongrie (7 mai 1996), la Pologne
(22 novembre 1996), la Corée (12 décembre 1996) et la République slovaque (14 décembre 2000).
La Commission des Communautés européennes participe aux travaux de l’OCDE (article 13 de la
Convention de l’OCDE).
Also available in English under the title:
KNOWLEDGE AND SKILLS FOR LIFE
FIRST RESULTS FROM PISA 2000
© OCDE 2001
Les permissions de reproduction partielle à usage non commercial ou destinée à une formation doivent être
adressées au Centre français d’exploitation du droit de copie (CFC), 20, rue des Grands-Augustins, 75006 Paris,
France, tél. (33-1) 44 07 47 70, fax (33-1) 46 34 67 19, pour tous les pays à l’exception des États-Unis. Aux États-Unis,
l’autorisation doit être obtenue du Copyright Clearance Center, Service Client, (508)750-8400, 222 Rosewood Drive,
Danvers, MA 01923 USA, ou CCC Online : www.copyright.com. Toute autre demande d’autorisation de reproduction ou de
traduction totale ou partielle de cette publication doit être adressée aux Éditions de l’OCDE, 2, rue André-Pascal,
75775 Paris Cedex 16, France.
!6!.4
02/0/3
,ES ÏLÒVES SONT ILS BIEN PRÏPARÏS AUX DÏFIS DE LAVENIR 3ONT ILS CAPABLES DANALYSER DE RAISONNER ET DE
COMMUNIQUER LEURS IDÏES EFFICACEMENT /NT ILS LES MOYENS DE CONTINUER Ì APPRENDRE TOUT AU LONG DE
LEUR VIE #ES QUESTIONS REVIENNENT SANS CESSE DANS LA BOUCHE DES PARENTS DES ÏLÒVES DU PUBLIC ET DES
RESPONSABLES DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS
$E NOMBREUX SYSTÒMES DENSEIGNEMENT SUIVENT LÏVOLUTION DE LAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES POUR FOURNIR
DES EMBRYONS DE RÏPONSES Ì CES QUESTIONS ,ES ANALYSES COMPARATIVES INTERNATIONALES PEUVENT COMPLÏTER
ET ENRICHIR LES ÏTATS DES LIEUX RÏALISÏS Ì LÏCHELON NATIONAL EN OFFRANT UN CONTEXTE PLUS LARGE DANS LEQUEL
INTERPRÏTER LES RÏSULTATS NATIONAUX %LLES DONNENT AUSSI AUX PAYS DES INDICATIONS SUR LEURS POINTS FORTS ET LEURS
POINTS FAIBLES ET LES AIDENT Ì SUIVRE LÏVOLUTION DE LEUR SYSTÒME ÏDUCATIF ET Ì REVOIR Ì LA HAUSSE LES ASPIRATIONS
DE CHACUN %NFIN ELLES SERVENT Ì DÏFINIR DES ORIENTATIONS POUR GUIDER LACTION PUBLIQUE Ì LÏCHELLE NATIONALE
AMÏLIORER LES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT MIEUX CIBLER LES PROJETS PÏDAGOGIQUES ET OPTIMISER LAPPRENTISSAGE
DES ÏLÒVES !SSOCIÏES Ì DES INCITANTS ADAPTÏS ELLES PEUVENT MOTIVER LES ÏLÒVES Ì MIEUX APPRENDRE LES
ENSEIGNANTS Ì MIEUX ENSEIGNER ET LES ÏTABLISSEMENTS SCOLAIRES Ì SE MONTRER PLUS EFFICACES
,/#$% A LANCÏ LE 0ROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÏLÒVES 0)3! EN VUE DE RÏPONDRE
AU BESOIN DINFORMATIONS SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES QUI SOIENT COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL ,E
0)3! REPRÏSENTE UNE NOUVELLE EXPRESSION DE LA VOLONTÏ DES GOUVERNEMENTS DES PAYS -EMBRES DE L/#$%
DÏTUDIER DE FA ON SUIVIE Ì LINTÏRIEUR DUN CADRE CONCEPTUEL FAISANT LOBJET DUN CONSENSUS LES RÏSULTATS
DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS EN TERMES DACQUIS DES ÏLÒVES ,E 0)3! ENTEND PROPOSER DE NOUVELLES BASES POUR
ALIMENTER LE DIALOGUE POLITIQUE ET RELANCER LA COLLABORATION AUTOUR DE LA DÏFINITION ET DE LOPÏRATIONALISATION
DES OBJECTIFS DE LENSEIGNEMENT PAR LE BIAIS DE MÏTHODES NOVATRICES QUI TRADUISENT DES JUGEMENTS SUR LES
COMPÏTENCES UTILES DANS LA VIE ADULTE )L FOURNIT DES INDICATIONS SUR LÏVALUATION ET LA FIXATION DE NORMES
CERNE LES FACTEURS QUI CONTRIBUENT AU DÏVELOPPEMENT DES COMPÏTENCES ET DÏCRIT LE MODE DACTION DE CES
FACTEURS DANS LES DIFFÏRENTS PAYS POUR MIEUX COMPRENDRE LES CAUSES ET LES CONSÏQUENCES DES LACUNES DE
COMPÏTENCE OBSERVÏES 0ARCE QUIL SE CONCENTRE SUR LES FINALITÏS DE LENSEIGNEMENT ET NON SUR LES MOYENS
QUI LUI SONT CONSACRÏS LE 0)3! PEUT GUIDER LES PAYS DANS LES EFFORTS QUILS DÏPLOIENT POUR AMÏLIORER LEUR
ENSEIGNEMENT ET MIEUX PRÏPARER LES JEUNES Ì FAIRE LEUR ENTRÏE DANS LA VIE ADULTE DANS UN MONDE EN PLEINE
MUTATION PLACÏ SOUS LE SIGNE DE LA MONDIALISATION
,E PROGRAMME 0)3! EST LE FRUIT DUN EFFORT CONCERTÏ QUI MET EN SYNERGIE LEXPERTISE SCIENTIFIQUE DES PAYS
PARTICIPANTS ET QUE LES GOUVERNEMENTS DE CES PAYS DIRIGENT CONJOINTEMENT EN FONCTION DE PRÏOCCUPATIONS
COMMUNES TOUCHANT LACTION DES POUVOIRS PUBLICS ,ES PAYS PARTICIPANTS ASSUMENT LA RESPONSABILITÏ
POLITIQUE DU PROJET PAR LENTREMISE DU #ONSEIL DES PAYS PARTICIPANTS $ES EXPERTS DES PAYS PARTICIPANTS
COOPÒRENT AU SEIN DE GROUPES DE TRAVAIL VISANT Ì RELIER LES OBJECTIFS DACTION POLITIQUE DU PROGRAMME AUX
MEILLEURES COMPÏTENCES TECHNIQUES DISPONIBLES DANS LE DOMAINE DE LÏVALUATION COMPARATIVE INTERNATIONALE
DU RENDEMENT SCOLAIRE %N COLLABORANT AUX TRAVAUX DE CES GROUPES DEXPERTS LES PAYS VEILLENT Ì CE QUE LES
INSTRUMENTS DÏVALUATION UTILISÏS DANS LE CADRE DU 0)3! SOIENT VALIDES SUR LE PLAN INTERNATIONAL PRENNENT EN
COMPTE LE CONTEXTE CULTUREL ET ÏDUCATIF DES DIFFÏRENTS PAYS DE L/#$% OFFRENT UNE PLATE
FORME DE MESURES
RÏALISTE ET ENFIN METTENT LACCENT SUR LAUTHENTICITÏ ET LA VALIDITÏ DES DONNÏES SUR LE PLAN ÏDUCATIF ,ES
CADRES DÏVALUATION ET LES INSTRUMENTS DE TEST DU CYCLE 0)3! SONT LE FRUIT DE PLUSIEURS ANNÏES DE TRAVAIL
ET ONT ÏTÏ ADOPTÏS PAR LES PAYS -EMBRES DE L/#$% EN DÏCEMBRE
!6!.4
02/0/3
#ONNAISSANCES ET COMPÏTENCES DES ATOUTS POUR LA VIE PRÏSENTE LES PREMIERS RÏSULTATS DU CYCLE 0)3! )L
DÏCRIT LES COMPÏTENCES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EN CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE DES ÏLÒVES
DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT ET DES PAYS CERNE LES FACTEURS QUI INFLUENCENT LE DÏVELOPPEMENT DE CES
COMPÏTENCES n TANT Ì LÏCOLE QUÌ LA MAISON n ET ANALYSE LES INTERACTIONS DE CES FACTEURS AINSI QUE LEURS
IMPLICATIONS POUR LES POLITIQUES
,E 0)3! RÏVÒLE UNE VARIATION SENSIBLE DU NIVEAU DE PERFORMANCE ENTRE ÏLÒVES ENTRE ÏTABLISSEMENTS ET
ENTRE PAYS )L MONTRE QUE SI LE CONTEXTE SOCIO
ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES ET DES ÏTABLISSEMENTS INFLUENCE
CONSIDÏRABLEMENT LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SON IMPACT DIFFÒRE SELON LES PAYS ,UNE DES CONCLUSIONS
ÏDIFIANTES DU 0)3! EST QUE CERTAINS DES PAYS QUI ONT RÏUSSI Ì ATTÏNUER LES EFFETS DUNE INFÏRIORITÏ SOCIO
ÏCONOMIQUE FIGURENT PARMI CEUX QUI RÏALISENT AUSSI LES MEILLEURES PERFORMANCES MOYENNES ,EXPÏRIENCE
DE CES PAYS DÏMONTRE QUIL EST POSSIBLE DE RELEVER LE NIVEAU DE PERFORMANCE TOUT EN RÏDUISANT LES INÏGALITÏS
ET LANCE UN DÏFI AUX AUTRES PAYS EN DÏMONTRANT QUE QUALITÏ ET ÏGALITÏ NE SONT PAS INCOMPATIBLES
,ES RÏSULTATS DU 0)3! SUGGÒRENT QUE LES ÏTABLISSEMENTS PEUVENT AVOIR UNE INFLUENCE DÏCISIVE SUR LA
PERFORMANCE DES ÏLÒVES $ES ANALYSES PLUS APPROFONDIES DOIVENT CEPENDANT ÐTRE MENÏES POUR DÏTERMINER
PLUS PRÏCISÏMENT LE MODE DINTERACTION ENTRE RESSOURCES POLITIQUES ET PRATIQUES DES ÏTABLISSEMENTS DUNE
PART ET LE MILIEU SOCIAL DES ÏLÒVES DAUTRE PART AINSI QUE LEUR IMPACT SUR LES RÏSULTATS SCOLAIRES ,ES RAPPORTS
THÏMATIQUES PLUS DÏTAILLÏS QUI SERONT PUBLIÏS EN ET PERMETTRONT DE MIEUX APPRÏHENDER LES
OPTIONS POLITIQUES QUE PEUVENT ADOPTER LES PAYS ET LES ÏTABLISSEMENTS DANS CE DOMAINE $ICI LÌ SAVOIR QUE
DANS CERTAINS PAYS LA PLUPART DES ÏLÒVES OBTIENNENT DES RÏSULTATS DE GRANDE QUALITÏ EST ENCOURAGEANT EN SOI
ET DONNE Ì PENSER QUE CET OBJECTIF NA RIEN DUTOPIQUE
#E RAPPORT EST LE FRUIT DES EFFORTS CONCERTÏS DES PAYS PARTICIPANTS DU 0)3! DES EXPERTS ET DES INSTITUTIONS
CONSTITUANT LE CONSORTIUM 0)3! ET DE L/#$% )L A ÏTÏ RÏDIGÏ PAR LA $IRECTION DE LÏDUCATION DE LEMPLOI
DU TRAVAIL ET DES AFFAIRES SOCIALES DE L/#$% PRINCIPALEMENT PAR !NDREAS 3CHLEICHER EN COLLABORATION
AVEC !LETTA 'RISAY "ARRY -C'AW #LAUDIA 4AMASSIA 2ICHARD * 4OBIN ET * $OUGLAS 7ILLMS QUI A JOUÏ UN
RÙLE PRÏPONDÏRANT DANS LA RÏDACTION DU CHAPITRE ,ES DONNÏES SUR LESQUELLES CE RAPPORT EST BASÏ ONT
ÏTÏ PRÏPARÏES PAR LE CONSORTIUM 0)3! SOUS LA DIRECTION DE 2AYMOND !DAMS ET DE #HRISTIAN -ONSEUR DE
L!USTRALIAN #OUNCIL FOR %DUCATIONAL 2ESEARCH ,A RÏDACTION DU RAPPORT A ÏTÏ DIRIGÏE PAR LE #ONSEIL DES
PAYS PARTICIPANTS PRÏSIDÏ PAR %UGENE /WEN DU .ATIONAL #ENTER FOR %DUCATION 3TATISTICS ³TATS
5NIS $ANS
LANNEXE # DU RAPPORT FIGURE LA LISTE DES MEMBRES DES DIFFÏRENTS ORGANES DU 0)3! AINSI QUE DES EXPERTS ET
CONSULTANTS QUI ONT APPORTÏ LEUR CONTRIBUTION Ì CE RAPPORT EN PARTICULIER ET AU 0)3! EN GÏNÏRAL
,E PRÏSENT RAPPORT EST PUBLIÏ SOUS LA RESPONSABILITÏ DU 3ECRÏTAIRE GÏNÏRAL DE L/#$%
*OHN 0 -ARTIN %UGENE /WEN
$IRECTION DE LÏDUCATION DE LEMPLOI 0RÏSIDENT DU #ONSEIL DES PAYS
DU TRAVAIL ET DES AFFAIRES SOCIALES DE L/#$% PARTICIPANTS DU 0)3!
4!",%3 $%3 -!4)¶2%3
#HAPITRE ,E 0ROGRAMME INTERNATIONAL DE L/#$% POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÏLÒVES
6UE DENSEMBLE DU 0)3!
,APPROCHE DU 0)3!
,OBJET DES MESURES DU 0)3!
,A COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DANS LE 0)3!
,A CULTURE MATHÏMATIQUE DANS LE 0)3!
,A CULTURE SCIENTIlQUE DANS LE 0)3!
,ES MÏTHODES DÏVALUATION ET DE COLLECTE DE DONNÏES DU 0)3!
)NTERPRÏTATION DES RÏSULTATS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3!
,EXPLOITATION DU 0)3! Ì DES lNS POLITIQUES
,E DÏVELOPPEMENT DU 0)3! n UNE INITIATIVE CONCERTÏE
3TRUCTURE DU RAPPORT
'UIDE DU LECTEUR
#HAPITRE 1UELS ACQUIS LE 0)3! A
T
IL MIS EN LUMIÒRE CHEZ LES ÏLÒVES DE ANS
0ROlL DE PERFORMANCE DES ÏLÒVES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
)NTRODUCTION
,ÏVALUATION DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DANS 0)3!
0OURCENTAGE DÏLÒVES Ì CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE DE LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
.IVEAU DE COMPÏTENCE RÏSULTAT SUPÏRIEUR Ì POINTS
.IVEAU DE COMPÏTENCE RÏSULTAT COMPRIS ENTRE ET POINTS
.IVEAU DE COMPÏTENCE RÏSULTAT COMPRIS ENTRE ET POINTS
.IVEAU DE COMPÏTENCE RÏSULTAT ENTRE ET POINTS
.IVEAU DE COMPÏTENCE RÏSULTAT COMPRIS ENTRE ET POINTS
OU EN DE Ì RÏSULTAT INFÏRIEUR Ì POINTS
!TTENTES EN CE QUI CONCERNE LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES
,A PERFORMANCE MOYENNE DES PAYS
,A RÏPARTITION DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DANS LES PAYS
6ARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ENTRE ÏTABLISSEMENTS
#ONCLUSIONS
#HAPITRE 1UELS ACQUIS LE 0)3! A
T
IL MIS EN LUMIÒRE CHEZ LES ÏLÒVES DE ANS
0ROlL DE PERFORMANCE DES ÏLÒVES EN CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIlQUE
)NTRODUCTION
0ERFORMANCE DES ÏLÒVES EN CULTURE MATHÏMATIQUE
-ODE DÏVALUATION DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE DANS LE 0)3!
,A PERFORMANCE MOYENNE DES PAYS EN CULTURE MATHÏMATIQUE
2ÏPARTITION DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE DANS LES PAYS
0ERFORMANCE EN CULTURE MATHÏMATIQUE ET EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
0ERFORMANCE DES ÏLÒVES EN CULTURE SCIENTIlQUE
-ODE DÏVALUATION DE LA CULTURE SCIENTIlQUE DANS LE 0)3!
4!",% $%3 -!4)¶2%3
0ERFORMANCE MOYENNE DES PAYS EN CULTURE SCIENTIlQUE
2ÏPARTITION DE LA CULTURE SCIENTIlQUE DANS LES PAYS
0ERFORMANCE EN CULTURE SCIENTIlQUE ET EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
$ÏPENSES EN ÏDUCATION ET PERFORMANCES DES ÏLÒVES EN CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIlQUE
#ONCLUSIONS
#HAPITRE 2ÏSULTATS GÏNÏRAUX DE LAPPRENTISSAGE
)NTRODUCTION
-OTIVATION ET ENGAGEMENT Ì LÏGARD DE LÏCOLE
)NTÏRÐT POUR LA LECTURE ET LES MATHÏMATIQUES
!CTIVITÏS DE LECTURE ET ENGAGEMENT Ì LÏGARD DE LA LECTURE
%NGAGEMENT PLUS GÏNÏRAL Ì LÏGARD DE LÏCOLE
3TRATÏGIES DAPPRENTISSAGE
-AÔTRISE DU PROCESSUS DAPPRENTISSAGE
-ÏMORISATION ET ÏLABORATION
!PPRENTISSAGE COMPÏTITIF ET EN COLLABORATION
,INFORMATIQUE AU SERVICE DE LAPPRENTISSAGE
#ONCLUSIONS
#HAPITRE $IFFÏRENCES ENTRE LES SEXES
)NTRODUCTION
$IFFÏRENCES ENTRE LES SEXES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET EN CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIlQUE
)NTÏRÐT POUR LES MATIÒRES ET DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES
$IFFÏRENCES ENTRE LES SEXES EN MATIÒRE DE GOßT POUR LA LECTURE
$IFFÏRENCES DE STRATÏGIES DAPPRENTISSAGE ET DIMAGE DE SOI ENTRE LES SEXES
#ONCLUSIONS
#HAPITRE -ILIEU FAMILIAL ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
)NTRODUCTION
3TATUT PROFESSIONNEL
2ICHESSE FAMILIALE
"IENS ET ACTIVITÏS LIÏS Ì LA CULTURE i CLASSIQUE w
#OMMUNICATION SOCIALE ET CULTURELLE
.IVEAU DE FORMATION DES PARENTS
3TRUCTURE FAMILIALE
,IEU DE NAISSANCE ET LANGUE PARLÏE Ì LA MAISON
#ONCLUSIONS
#HAPITRE ,ENVIRONNEMENT DAPPRENTISSAGE ET LORGANISATION DE LENSEIGNEMENT
)NTRODUCTION
#LIMAT AU SEIN DE LÏTABLISSEMENT ET DE LA CLASSE
3OUTIEN DES ENSEIGNANTS
&ACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT ET IMPUTABLES AUX ÏLÒVES
&ACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE DISCIPLINE ET IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS
,APPRENTISSAGE EN DEHORS DU CADRE SCOLAIRE
4!",% $%3 -!4)¶2%3
2ESSOURCES INVESTIES DANS LENSEIGNEMENT
0ÏNURIE DENSEIGNANTS
,A QUALITÏ DES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES ET DES RESSOURCES ÏDUCATIVES DES ÏTABLISSEMENTS
!PPROCHES DE LA GESTION ET DU lNANCEMENT DES ÏTABLISSEMENTS
3ECTEUR PUBLIC ET SECTEUR PRIVÏ
#ONCLUSIONS
#HAPITRE ,ES RÏSULTATS DU 0)3! n QUELQUES CONSIDÏRATIONS DORDRE POLITIQUE
)NTRODUCTION LES INmUENCES Ì LINTÏRIEUR ET Ì LEXTÏRIEUR DU CADRE SCOLAIRE
,A RELATION ENTRE LE MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE ET LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
6UE DENSEMBLE
,A VARIATION DE LIMPACT SOCIO
ÏCONOMIQUE SELON LES PAYS
,ES DIVERS ASPECTS DU MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE
,E RÙLE DES ÏTABLISSEMENTS DANS LATTÏNUATION DE LIMPACT DU DÏSAVANTAGE SOCIO
ÏCONOMIQUE
-ILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE ET VARIATION DE LA PERFORMANCE ENTRE ÏTABLISSEMENTS
%N QUOI LE STATUT SOCIAL DES ÏTABLISSEMENTS INmUENCE
T
IL LIMPACT
DU MILIEU FAMILIAL DE LEURS ÏLÒVES
&ACTEURS LIÏS AUX ÏTABLISSEMENTS ET SUSCEPTIBLES DACCROÔTRE LE NIVEAU DE PERFORMANCE
ET DATTÏNUER LIMPACT DU MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE
#ONCLUSIONS
2ÏFÏRENCES
!NNEXE !
!NNEXE ! #ONSTRUCTION DES INDICES ET AUTRES MESURES DÏRIVÏES Ì PARTIR
DES QUESTIONNAIRES i ÏLÒVE w ET i ÏTABLISSEMENT w
!NNEXE ! 6ARIATION EXPLIQUÏE DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
!NNEXE ! 0OPULATION CIBLE ET ÏCHANTILLONS DU 0)3!
!NNEXE ! %RREURS TYPES TESTS DE SIGNIlCATION ET COMPARAISONS MULTIPLES
!NNEXE ! !SSURANCE QUALITÏ
!NNEXE ! $ÏVELOPPEMENT DES INSTRUMENTS DÏVALUATION DU 0)3!
!NNEXE ! &IABILITÏ DE LA CORRECTION DES ITEMS Ì RÏPONSE OUVERTE
!NNEXE "
!NNEXE " 4ABLEAUX DE DONNÏES DES CHAPITRES
!NNEXE " $IFFÏRENCES DE PERFORMANCE ENTRE LA #OMMUNAUTÏ mAMANDE ET LA #OMMUNAUTÏ FRAN AISE
DE "ELGIQUE ET ENTRE LES DIFFÏRENTES COMMUNAUTÏS LINGUISTIQUES DE 3UISSE
!NNEXE #
$ÏVELOPPEMENT ET MISE EN UVRE DU 0)3! n UNE INITIATIVE CONCERTÏE
4!",% $%3 -!4)¶2%3
,ISTE DES FIGURES
&IGURE 0AYS PARTICIPANTS DU 0)3!
&IGURE .IVEAU DÏDUCATION LITTÏRATIE ET PROBABILITÏ DOBTENIR UN EMPLOI DE CADRE HAUTEMENT QUALIlÏ
&IGURE #E QUE MESURENT LES ÏCHELLES DE COMPÏTENCE
&IGURE %XEMPLES DITEMS DE LECTURE ADMINISTRÏS DANS 0)3!
&IGURE 0OURCENTAGE DÏLÒVES Ì CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
&IGURE #OMPARAISONS MULTIPLES DE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
&IGURE 2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
&IGURE 6ARIATION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES ENTRE ET AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
&IGURE %XEMPLES DITEMS MATHÏMATIQUES UTILISÏS DANS 0)3!
&IGURE #OMPARAISONS MULTIPLES DE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE
&IGURE 2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE
&IGURE %XEMPLES DITEMS SCIENTIlQUES UTILISÏS DANS 0)3!
&IGURE #OMPARAISONS MULTIPLES DE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIlQUE
&IGURE 2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE LA CULTURE SCIENTIlQUE
&IGURE A 0ERFORMANCES DES ÏLÒVES ET REVENU NATIONAL
&IGURE B 0ERFORMANCES DES ÏLÒVES ET DÏPENSES PAR ÏLÒVES
&IGURE )NTÏRÐT POUR LA LECTURE ET LES MATHÏMATIQUES ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
&IGURE 'OßT POUR LA LECTURE ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
&IGURE 4EMPS CONSACRÏ Ì LA LECTURE POUR LE LOISIR ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
&IGURE %NGAGEMENT PLUS GÏNÏRAL Ì LÏGARD DE LÏCOLE
&IGURE !UTORÏGULATION DU PROCESSUS DAPPRENTISSAGE ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
&IGURE 3TRATÏGIES DE MÏMORISATION ET DÏLABORATION ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
&IGURE !PPRENTISSAGE EN COLLABORATION ET COMPÏTITIF
&IGURE )NTÏRÐT POUR LINFORMATIQUE
&IGURE #ONlANCE EN SOI ET CAPACITÏ PER UE EN INFORMATIQUE
&IGURE $IFFÏRENCES DANS LES PERFORMANCES SELON LE SEXE
&IGURE 0ROPORTION DÏLÒVES DE SEXES MASCULIN ET FÏMININ PARMI LES ÏLÒVES SE SITUANT AU BAS
DE LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
&IGURE A 2ELATION ENTRE LINTÏRÐT POUR LA LECTURE ET LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SELON LE SEXE
&IGURE B 2ELATION ENTRE LINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES ET LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE
DE CULTURE MATHÏMATIQUE SELON LE SEXE
&IGURE $IFFÏRENCES ENTRE LES SEXES EN MATIÒRE DE GOßT POUR LA LECTURE n ATTITUDES Ì LÏGARD DE LA LECTURE
&IGURE $IFFÏRENCES ENTRE LES SEXES EN MATIÒRE DE GOßT POUR LA LECTURE n TEMPS CONSACRÏ Ì LA LECTURE POUR LE PLAISIR
&IGURE $IFFÏRENCES ENTRE LES SEXES EN MATIÒRE DE GOßT POUR LA LECTURE n VARIÏTÏ DES LECTURES
&IGURE A 2ELATION ENTRE LIMAGE DE SOI PAR RAPPORT Ì LA LECTURE ET LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SELON LE SEXE
&IGURE B 2ELATION ENTRE LIMAGE DE SOI PAR RAPPORT AUX MATHÏMATIQUES ET LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE
DE CULTURE MATHÏMATIQUE SELON LE SEXE
&IGURE 3TATUT PROFESSIONNEL DES PARENTS ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
&IGURE 0ATRIMOINE CULTUREL LIÏ Ì LA i CULTURE CLASSIQUE w ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
&IGURE #OMMUNICATION SOCIALE ET CULTURELLE AVEC LES PARENTS ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
&IGURE .IVEAU DE FORMATION DE LA MÒRE ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
&IGURE ,IEU DE NAISSANCE LANGUE PARLÏE Ì LA MAISON ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
4!",% $%3 -!4)¶2%3
&IGURE 3OUTIEN DES ENSEIGNANTS ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
&IGURE ,E CLIMAT DAPPRENTISSAGE n LE POINT DE VUE DES CHEFS DÏTABLISSEMENT
&IGURE ,E CLIMAT DAPPRENTISSAGE n LE POINT DE VUE DES ÏLÒVES
&IGURE ,E CLIMAT DAPPRENTISSAGE n SYNTHÒSE
&IGURE &ACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE DISCIPLINE ET IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS
&IGURE 4EMPS CONSACRÏ AUX DEVOIRS
&IGURE 0OINT DE VUE DES CHEFS DÏTABLISSEMENT SUR LA QUALITÏ DES RESSOURCES ÏDUCATIVES DE LÏTABLISSEMENT
&IGURE !UTONOMIE DE LÏTABLISSEMENT ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
&IGURE 0ERFORMANCE DES ÏLÒVES ET GESTION PRIVÏE ET PUBLIQUE
&IGURE 2ELATION ENTRE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ET LE CONTEXTE SOCIO ÏCONOMIQUE POUR LENSEMBLE
DE LA ZONE /#$%
&IGURE ET A C
2ELATION ENTRE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ET LE CONTEXTE SOCIO ÏCONOMIQUE POUR CHAQUE PAYS
&IGURE )MPACT DU STATUT SOCIO ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES ET DES ÏTABLISSEMENTS SUR LA PERFORMANCE
SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
&IGURE %FFET MOYEN DU RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT SUR LA PERFORMANCE RÏALISÏE PAR LES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT POUR TOUS LES PAYS DE L/#$%
,ISTE DES ENCADRÏS
%NCADRÏ 0)3! n UNE ÏVALUATION DES ÏLÒVES DE ANS NORMALISÏE Ì LÏCHELON INTERNATIONAL
%NCADRÏ 5N NIVEAU SUPÏRIEUR DE LITTÏRATIE AMÏLIORE T IL LES PERSPECTIVES DEMPLOI
%NCADRÏ #OMMENT LIRE LA lGURE
%NCADRÏ )NTERPRÏTER LES STATISTIQUES DÏCHANTILLONAGE
%NCADRÏ )NTERPRÏTER LES DIFFÏRENCES DANS LES RÏSULTATS 0)3! QUELLE EST LIMPORTANCE DES ÏCARTS
%NCADRÏ &ACTEURS CONTRIBUANT Ì LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ENTRE ÏTABLISSEMENTS
%NCADRÏ )NTERPRÏTATION DE LAUTOÏVALUATION DES ÏLÒVES
%NCADRÏ ,ES ÏCARTS DE PERFORMANCES EN MATHÏMATIQUES ET EN SCIENCES ENTRE LES SEXES ÏVOLUENT AVEC LÊGE
%NCADRÏ )NTERPRÏTATION DES INDICES 0)3!
%NCADRÏ #OMMENT LIRE LA lGURE
%NCADRÏ )NTERPRÏTATION DES INDICES 0)3!
%NCADRÏ #OMMENT LIRE LA lGURE
%NCADRÏ #OMPARAISON DE LEFFET DE DIVERS FACTEURS
%NCADRÏ #OMMENT LIRE LE TABLEAU
,ISTE DES TABLEAUX
4ABLEAU ! .IVEAUX DENSEIGNEMENT DES PARENTS CONVERTIS EN NOMBRE DANNÏES DÏTUDES
4ABLEAU ! 6ARIATION EXPLIQUÏE DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES 2
4ABLEAU ! 0OPULATIONS CIBLES ET ÏCHANTILLONS DU 0)3!
4ABLEAU ! 4AUX DE RÏPONSE
4ABLEAU ! 2ÏPARTITION DES ITEMS SELON LES DIMENSIONS DU CADRE DÏVALUATION 0)3! DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
4ABLEAU ! 2ÏPARTITION DES ITEMS SELON LES DIMENSIONS DU CADRE DÏVALUATION 0)3! DE CULTURE MATHÏMATIQUE
4ABLEAU ! 2ÏPARTITION DES ITEMS SELON LES DIMENSIONS DU CADRE DÏVALUATION 0)3! DE CULTURE SCIENTIlQUE
4ABLEAU A 0OURCENTAGE DÏLÒVES Ì CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
4ABLEAU B 0OURCENTAGE DÏLÒVES Ì CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT i 2ETROUVER DE LINFORMATION w
4ABLEAU C 0OURCENTAGE DÏLÒVES Ì CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT i )NTERPRÏTER LE TEXTE w
4ABLEAU D 0OURCENTAGE DÏLÒVES Ì CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT i 2ÏmÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w
4ABLEAU A #OMPARAISONS MULTIPLES DE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT i 2ETROUVER DE LINFORMATION w
4!",% $%3 -!4)¶2%3
4ABLEAU B #OMPARAISONS MULTIPLES DE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT i )NTERPRÏTER LE TEXTE w
4ABLEAU C #OMPARAISONS MULTIPLES DE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT i 2ÏmÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w
4ABLEAU A 2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
4ABLEAU B 2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT i 2ETROUVER DE LINFORMATION w
4ABLEAU C 2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT i )NTERPRÏTER LE TEXTE w
4ABLEAU D 2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT i 2ÏmÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w
4ABLEAU 6ARIATION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES ENTRE ET AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
4ABLEAU 3EUIL DE RÏUSSITEDÏCHEC lXÏ PAR LÏTABLISSEMENT OU LENSEIGNANT TITULAIRE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
4ABLEAU 2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE
4ABLEAU 3EUIL DE RÏUSSITEDÏCHEC lXÏ PAR LÏTABLISSEMENT OU LENSEIGNANT TITULAIRE SUR LÏCHELLE
DE CULTURE MATHÏMATIQUE
4ABLEAU 2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIlQUE
4ABLEAU 3EUIL DE RÏUSSITEDÏCHEC lXÏ PAR LÏTABLISSEMENT OU LENSEIGNANT TITULAIRE SUR LÏCHELLE
DE CULTURE SCIENTIlQUE
4ABLEAU 2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES ENTRE ET AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS SUR LES ÏCHELLES
DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIlQUE
4ABLEAU 0ERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SUR LÏCHELLE
DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIlQUE ET REVENU NATIONAL
4ABLEAU )NDICE DINTÏRÐT POUR LA LECTURE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DU GOßT POUR LA LECTURE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU 4EMPS PAR JOUR QUE LES ÏLÒVES CONSACRENT Ì LA LECTURE POUR LE LOISIR ET PERFORMANCE
SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
4ABLEAU )NDICE DE STRATÏGIES DAUTORÏGULATION ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DE STRATÏGIES DE MÏMORISATION ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DE STRATÏGIES DÏLABORATION ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DAPPRENTISSAGE COMPÏTITIF ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DINTÏRÐT POUR LINFORMATIQUE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DE CONlANCE EN SOI ET DE CAPACITÏ PER UE EN INFORMATIQUE ET PERFORMANCE
SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU A 0ERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET DE CULTURE SCIENTIlQUE SELON LE SEXE
4ABLEAU B 0ERFORMANCE PAR SEXE SUR LES ÏCHELLES i 2ETROUVER DE LINFORMATION w i )NTERPRÏTER LE TEXTE w
ET i 2ÏmÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w
4!",% $%3 -!4)¶2%3
4ABLEAU A 0OURCENTAGE DÏLÒVES Ì CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT SELON LE SEXE
4ABLEAU B 0OURCENTAGE DÏLÒVES OBTENANT UN SCORE INFÏRIEUR Ì POINTS ET SUPÏRIEUR Ì POINTS
SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE
4ABLEAU 4EMPS PAR JOUR QUE LES ÏLÒVES CONSACRENT Ì LA LECTURE POUR LEUR LOISIR
4ABLEAU A )NDICE DIMAGE DE SOI EN LECTURE SELON LE SEXE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU B )NDICE DIMAGE DE SOI EN MATHÏMATIQUE SELON LE SEXE ET PERFORMANCE
SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU A )NDICE SOCIO ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL )3%) ET PERFORMANCE
SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU B )NDICE SOCIO ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL )3%) ET PERFORMANCE
SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU C )NDICE SOCIO ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL )3%) ET PERFORMANCE
SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIlQUE PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DE RICHESSE FAMILIALE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DE PATRIMOINE CULTUREL FAMILIAL ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DACTIVITÏS EN LIEN AVEC LA CULTURE DITE i CLASSIQUE w ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DE COMMUNICATION SOCIALE AVEC LES PARENTS ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DE COMMUNICATION CULTURELLE AVEC LES PARENTS EN LIEN AVEC DES ASPECTS DE LA CULTURE ET PERFORMANCE
SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU 0OURCENTAGE DÏLÒVES ET PERFORMANCE SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIlQUE EN FONCTION DU NIVEAU DE FORMATION DE LA MÒRE
4ABLEAU 0OURCENTAGE DE LA POPULATION ADULTE AYANT COMPLÏTÏ LE NIVEAU DENSEIGNEMENT TERTIAIRE
ET PROBABILITÏ DOBTENIR UN DIPLÙME DE NIVEAU TERTIAIRE SELON LE NIVEAU DENSEIGNEMENT DES PARENTS
4ABLEAU 3TRUCTURE FAMILIALE DES ÏLÒVES ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
SELON LA STRUCTURE FAMILIALE
4ABLEAU 0OURCENTAGE DÏLÒVES ET PERFORMANCE SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIlQUE EN FONCTION DE LA NATIONALITÏ DES ÏLÒVES
ET DE CELLE DE LEURS PARENTS
4ABLEAU 0ERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIlQUE EN FONCTION DE LA LANGUE PARLÏE Ì LA MAISON
4ABLEAU )NDICE DE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT IMPUTABLES AUX ÏLÒVES ET RÏSULTATS
SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DU CLIMAT DE DISCIPLINE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DE PERCEPTION PAR LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DU MORAL ET DE LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS
ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DU TEMPS QUE LES ÏLÒVES CONSACRENT Ì LEUR DEVOIRS EN LANGUE DE LÏVALUATION EN MATHÏMATIQUES
ET EN SCIENCES ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU 0ARTICIPATION DES ÏLÒVES Ì DES COURS EN DEHORS DE LÏTABLISSEMENT
4ABLEAU )NDICE DE PÏNURIE DES ENSEIGNANTS ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4!",% $%3 -!4)¶2%3
4ABLEAU )NDICE DE QUALITÏ DES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES DES ÏTABLISSEMENTS ET PERFORMANCE
SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU )NDICE DE QUALITÏ DU MATÏRIEL PÏDAGOGIQUE DES ÏTABLISSEMENTS ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
4ABLEAU 0OURCENTAGE DÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS QUI ASSUMENT AU MOINS CERTAINES RESPONSABILITÏS
DANS LES ASPECTS SUIVANTS DE POLITIQUE ET DE GESTION DE LÏTABLISSEMENT
4ABLEAU 0OURCENTAGE DÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS DANS LESQUELS LES ENSEIGNANTS ASSUMENT
LES PRINCIPALES RESPONSABILITÏS DANS LES ASPECTS SUIVANTS DE POLITIQUE ET DE GESTION DE LÏTABLISSEMENT
4ABLEAU 0OURCENTAGE DÏLÒVES ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
PAR TYPE DÏTABLISSEMENT
4ABLEAU 2ELATION ENTRE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ET LE CONTEXTE SOCIO ÏCONOMIQUE
4ABLEAU )MPACT DE CERTAINES CARACTÏRISTIQUES DU MILIEU FAMILIAL ET VARIABLES DÏMOGRAPHIQUES
SUR LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
4ABLEAU 6ARIATION DE LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EXPLIQUÏE
PAR LE STATUT SOCIO ÏCONOMIQUE
4ABLEAU )MPACT DU STATUT SOCIO ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES ET DES ÏTABLISSEMENTS SUR LA PERFORMANCE
SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
4ABLEAU )MPACT DE VARIABLES RELATIVES AU NIVEAU DES ÏLÒVES ET AU NIVEAU SCOLAIRE SUR LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES
SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIlQUE POUR
TOUS LES PAYS DE L/#$%
4ABLEAU A )MPACT DE VARIABLES RELATIVES AU NIVEAU DES ÏLÒVES ET AU NIVEAU SCOLAIRE SUR LA PERFORMANCE
SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
4ABLEAU -OYENNES NATIONALES DE CERTAINS INDICES DU NIVEAU SCOLAIRE ET LEUR CORRÏLATION
AVEC LE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL MOYEN DE LÏTABLISSEMENT 3%3#
4ABLEAU " $IFFÏRENCES DE PERFORMANCE ENTRE LES #OMMUNAUTÏS mAMANDE ET FRAN AISE DE "ELGIQUE
ET ENTRE LES JURIDICTIONS INFRANATIONALES ET LES COMMUNAUTÏS LINGUISTIQUES EN 3UISSE
#HAPITRE
Ê*,", Ê / , /" Ê
Ê ½"
Ê*"1,Ê Ê-16Ê
-Ê
+1-Ê -Ê 6 -
#(!0)42% iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛiÃ
6UE DENSEMBLE DU 0)3!
iÊ*-ÊÛÃiÊDÊjÛ>ÕiÀÊ ,E 0ROGRAMME INTERNATIONAL DE L/#$% POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÏLÒVES
`>ÃʵÕiiÊiÃÕÀiÊiÃÊ 0)3! EST UNE INITIATIVE CONCERTÏE DES PAYS DE L/#$% QUI VISE Ì ÏVALUER DANS
iÕiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃÊÃÌÊ QUELLE MESURE LES JEUNES ADULTES DE ANS APPROCHANT DE LA FIN DE LEUR SCOLARITÏ
«Àj«>ÀjÃÊDÊÀiiÛiÀÊiÃÊ OBLIGATOIRE SONT PRÏPARÏS Ì RELEVER LES DÏFIS DE LA SOCIÏTÏ DE LA CONNAISSANCE
`jvÃÊ`iÊ>ÊÛiÊÀjii° ,ÏVALUATION EST PROSPECTIVE DANS LE SENS Oá ELLE PORTE SUR LAPTITUDE DES JEUNES
Ì EXPLOITER LEURS CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES POUR FAIRE FACE AUX DÏFIS DE LA
VIE RÏELLE PLUTÙT QUÌ DÏTERMINER DANS QUELLE MESURE LES ÏLÒVES ONT ASSIMILÏ UNE
MATIÒRE SPÏCIFIQUE DU PROGRAMME DENSEIGNEMENT #ETTE ORIENTATION EST COHÏ
RENTE PAR RAPPORT AUX FINALITÏS ET AUX OBJECTIFS DES PROGRAMMES SCOLAIRES PUIS
QUE OUTRE LE SOUCI DE VOIR LES ÏLÒVES ACQUÏRIR DES CONNAISSANCES DANS LE SENS LE
PLUS ÏTROIT DU TERME LES PROGRAMMES SONT ÏGALEMENT AXÏS SUR LA PRÏOCCUPATION
DE CE QUE LES ÏLÒVES PEUVENT ACCOMPLIR GRÊCE Ì LEUR APPRENTISSAGE
ÛiVʽ>`iÊ`iÃÊ«ÕÃÊ ,INITIATIVE INTERNATIONALE ENTREPRISE DANS LE CADRE DU 0)3! ET QUI CONSISTE Ì
jiÌÃÊiÝ«iÀÌÃ]ʽ"
Ê ÏVALUER LE NIVEAU DE COMPÏTENCE DES ÏLÒVES ET RECUEILLIR DES DONNÏES CONTEXTUELLES
iÌÊiÃÊ«>ÞÃÊ«>ÀÌV«>ÌÊ SUR LES ÏLÒVES LES FAMILLES ET LES ÏTABLISSEMENTS POUR NOUS AIDER Ì MIEUX EXPLIQUER
>ÕÊ*-ÊÌÊVXÕÊ`iÃÊ LES DIFFÏRENTES PERFORMANCES EST LA PLUS EXHAUSTIVE ET LA PLUS RIGOUREUSE QUI AIT ÏTÏ
jÌÕ`iÃÊÌiÀ>Ì>iÃÊ ENTREPRISE Ì CE JOUR ,ES DÏFINITIONS DE LA NATURE ET DE LA PORTÏE DE LÏVALUATION ET
V>À>VÌjÀÃjiÃÊ«>ÀÊÕÊ DES DONNÏES CONTEXTUELLES ONT ÏTÏ CONFIÏES Ì DÏMINENTS EXPERTS DES PAYS PARTICI
Ûi>ÕÊjiÛjÊ`iÊ PANTS SOUS LA DIRECTION CONJOINTE DE LEURS GOUVERNEMENTS POUR RÏPONDRE Ì DES
Û>`ÌjÊo PRÏOCCUPATIONS COMMUNES TOUCHANT LACTION DES POUVOIRS PUBLICS $ES EFFORTS ET
DES RESSOURCES CONSIDÏRABLES ONT ÏTÏ DÏPLOYÏS POUR OBTENIR UNE GRANDE LATITUDE
CULTURELLE ET LINGUISTIQUE DANS LE MATÏRIEL DÏVALUATION 0AR AILLEURS LE CONTRÙLE DE
LA QUALITÏ EN MATIÒRE DE TRADUCTION DÏCHANTILLONNAGE ET DE COLLECTE DES DONNÏES
RÏPOND AUX NORMES LES PLUS STRICTES #ONSÏQUENCE DE CETTE APPROCHE LES RÏSULTATS
DU 0)3! SE DISTINGUENT PAR UN NIVEAU ÏLEVÏ DE VALIDITÏ ET DE FIABILITÏ ET AMÏLIORENT
GRANDEMENT NOTRE COMPRÏHENSION DU RENDEMENT DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS DANS LES
PAYS LES PLUS DÏVELOPPÏS DU MONDE
oÛÃ>ÌÊDÊjÛ>ÕiÀÊViÊ ,E 0)3! SAPPUIE SUR UN MODÒLE DYNAMIQUE DAPPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE
µÕiÊiÃÊjmÛiÃÊÛÌÊ LA VIE DANS LE CADRE DUQUEL DE NOUVELLES CONNAISSANCES ET APTITUDES NÏCESSAIRES
«ÕÛÀÊv>ÀiÊ}À@ViÊDÊ POUR SADAPTER Ì LÏVOLUTION DES SITUATIONS SONT ACQUISES DE MANIÒRE CONTINUE
iÕÀÃÊ>VµÕÃÊiÊiVÌÕÀi]Ê TOUT AU LONG DU CYCLE DE VIE ,E 0)3! SE CONCENTRE SUR CE DONT LES JEUNES
iÊ>Ì
j>̵ÕiÃÊiÌÊ DE ANS AURONT BESOIN DANS LEUR VIE FUTURE ET SON PROPOS EST DÏVALUER
ÃViVið CE QUILS VONT POUVOIR FAIRE GRÊCE Ì CE QUILS ONT APPRIS ,ÏVALUATION TIRE
LA SUBSTANCE DE SON INFORMATION DU DÏNOMINATEUR COMMUN DES PROGRAMMES
SCOLAIRES NATIONAUX MAIS NE SY CANTONNE PAS ,E 0)3! MESURE Ì LA FOIS LES
CONNAISSANCES DES ÏLÒVES ET LEUR CAPACITÏ Ì RÏFLÏCHIR SUR CES CONNAISSANCES SUR
LEUR EXPÏRIENCE ET Ì LES APPLIQUER Ì DES QUESTIONS ET SITUATIONS DU MONDE RÏEL
!INSI POUR COMPRENDRE DES RECOMMANDATIONS Ì CARACTÒRE SCIENTIFIQUE SUR LA
SÏCURITÏ DES ALIMENTS LES ADULTES DOIVENT NON SEULEMENT AVOIR ACQUIS CERTAINES
CONNAISSANCES FONDAMENTALES CONCERNANT LA COMPOSITION DES ALIMENTS MAIS AUSSI
ÐTRE CAPABLES DE LES EXPLOITER Ì BON ESCIENT ,E TERME LITTÏRATIE FAIT RÏFÏRENCE Ì
UNE CONCEPTION PLUS LARGE DES CONNAISSANCES ET DES COMPÏTENCES
iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
}ÕÀiÊ£°£
0AYS PARTICIPANTS DU 0)3!
0AYS DE Lg/#$% 0AYS NON MEMBRES DE 0AYS DANS LESQUELS 0AYS DE Lg/#$% QUI PARTICIPERONT
PARTICIPANT Ì 0)3! Lg/#$% PARTICIPANT Ì LgÏVALUATION SERA Ì LgÏVALUATION Ì PARTIR DE
0)3! ACHEVÏE EN
!LLEMAGNE 2ÏPUBLIQUE SLOVAQUE
!USTRALIE "RÏSIL !LBANIE 4URQUIE
!UTRICHE &ÏDÏRATION DE 2USSIE
"ELGIQUE ,ETTONIE !RGENTINE
#ANADA ,IECHTENSTEIN "ULGARIE
#ORÏE #HILI
$ANEMARK
%SPAGNE #HINE
³TATS 5NIS (ONG +ONG
&INLANDE 2ÏGION ADMINISTRATIVE SPÏCIALE DE
&RANCE )NDONÏSIE
'RÒCE
(ONGRIE )SRAÑL
)RLANDE ,ITUANIE
)SLANDE -ACÏDOINE
)TALIE 0ÏROU
*APON
,UXEMBOURG 2OUMANIE
-EXIQUE 4HAÕLANDE
.ORVÒGE
.OUVELLE :ÏLANDE
0AYS "AS
0OLOGNE
0ORTUGAL
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
2OYAUME 5NI
3UÒDE
3UISSE
#(!0)42% iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛiÃ
*-ÊÓäääÊ>ÊÃÕÀÌÕÌÊ«ÀÌjÊ ,E PREMIER CYCLE DÏVALUATION DU 0)3! A ÏTÏ RÏALISÏ EN DANS PAYS DONT
ÃÕÀÊ>ÊV«Àj
iÃÊ`iÊ PAYS -EMBRES DE L/#$% SOUS LA FORME DÏPREUVES ÏCRITES AUXQUELLES LES
½jVÀÌ°Ê iÊVÞViÊ*-ÊÓääÎÊ ÏLÒVES ONT RÏPONDU DANS LEURS ÏCOLES EN CONDITIONS DE TEST ADMINISTRÏES DE FA ON
iÌÌÀ>ʽ>VViÌÊÃÕÀÊ>ÊVÕÌÕÀiÊ INDÏPENDANTE 4REIZE AUTRES PAYS SE LIVRERONT Ì LA MÐME ÏVALUATION EN VOIR
>Ì
j>̵Õi]Ê*-ÊÓääÈÊ LA FIGURE 0)3! A ÏVALUÏ TROIS DOMAINES DE COMPÏTENCES Ì SAVOIR LA
ÃÕÀÊ>ÊVÕÌÕÀiÊÃViÌvµÕi]ÊiÌÊ LECTURE LES MATHÏMATIQUES ET LES SCIENCES AVEC LA LECTURE OU LA COMPRÏHEN
>ÃÊ`iÊÃÕÌi°Ê SION DE LÏCRIT COMME DOMAINE MAJEUR 5NE OPTION INTERNATIONALE SUIVIE PAR
PAYS A PERMIS DOBTENIR DES DONNÏES SUR LES ATTITUDES DES ÏLÒVES PAR RAPPORT
Ì LAPPRENTISSAGE ET LA FA ON DONT ILS GÒRENT CET APPRENTISSAGE ,ÏVALUATION SERA
RÏPÏTÏE TOUS LES TROIS ANS EN METTANT LACCENT SUR LA CULTURE MATHÏMATIQUE EN
LA CULTURE SCIENTIFIQUE EN ET Ì NOUVEAU SUR LA COMPRÏHENSION DE
LÏCRIT EN
iÊÀ>««ÀÌÊ«ÀjÃiÌiÊ>Ê #E RAPPORT PRÏSENTE LA SYNTHÒSE DES RÏSULTATS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3!
ÃÞÌ
mÃiÊ`iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ NOTAMMENT EN TERMES DE RÏPARTITION DES NIVEAUX DE COMPÏTENCE DANS CHAQUE
VÞViÊ`½jÛ>Õ>ÌÊ PAYS ET NON SEULEMENT EN TERMES DE PERFORMANCES MOYENNES 0AR AILLEURS IL
*-ÊÓäää° ANALYSE DIVERS FACTEURS ASSOCIÏS AUX DIFFÏRENTS NIVEAUX DE COMPÏTENCE SUR LA BASE
DINFORMATIONS CONTEXTUELLES RELATIVES AUX ÏLÒVES Ì LEUR ÏTABLISSEMENT DENSEI
GNEMENT ET Ì LEUR SYSTÒME ÏDUCATIF ,ES TRAVAUX RÏALISÏS DANS LE CADRE DU 0)3!
PERMETTENT DE METTRE AU JOUR LES MODÒLES DE COMPÏTENCE DE DIFFÏRENTS PAYS
ET DE LES ÏTAYER PAR DES INFORMATIONS SUR LES CARACTÏRISTIQUES ET LES EXPÏRIENCES
DES ÏLÒVES CE QUI CONTRIBUE GRANDEMENT Ì AMÏLIORER LA COMPRÏHENSION DES
FACTEURS QUI FAVORISENT LA RÏUSSITE DANS LENSEIGNEMENT ,ES POINTS CI
DESSOUS
SONT ABORDÏS DANS LA SUITE DU PRÏSENT CHAPITRE
n LAPPROCHE ADOPTÏE DANS LE 0)3!
n CE QUE LE 0)3! MESURE GLOBALEMENT ET DANS CHAQUE DOMAINE DE LITTÏRATIE
AINSI QUE LES MÏTHODES DÏVALUATION UTILISÏES
n LINTERPRÏTATION DES RÏSULTATS DU 0)3! ET SA CONTRIBUTION Ì LA COMPRÏHENSION
DE LÏDUCATION ET DE LAPPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE CON UE POUR ÐTRE
EXPLOITÏE PAR LES POLITIQUES DE CHAQUE PAYS
n COMMENT LE 0)3! A ÏTÏ ÏLABORÏ
n LA STRUCTURE DU RAPPORT
%NCADRÏ 0)3! n UNE ÏVALUATION DES ÏLÒVES DE ANS NORMALISÏE
Ì LÏCHELON INTERNATIONAL
4AILLE DES ÏCHANTILLONS
s %N PLUS DU QUART DUN MILLION DÏLÒVES REPRÏSENTANT PRÒS DE MILLIONS DÏLÒVES ÊGÏS DE
ANS SCOLARISÏS DANS LES ÏCOLES DES PAYS PARTICIPANTS ONT ÏTÏ SOUMIS Ì CETTE ÏVALUATION QUI SERA
RÏALISÏE DANS AUTRES PAYS EN
iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
#ONTENU
s ,E CYCLE DÏVALUATION 0)3! COUVRE TROIS DOMAINES Ì SAVOIR LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT LA
CULTURE MATHÏMATIQUE ET LA CULTURE SCIENTIFIQUE
s 0)3! A ÏTUDIÏ CHEZ LES JEUNES LA CAPACITÏ DEXPLOITER LEURS CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES
POUR RELEVER LES DÏFIS DE LA VIE RÏELLE )L NA PAS POUR OBJECTIF DE DÏFINIR LE DEGRÏ DE MAÔTRISE DUN
PROGRAMME DENSEIGNEMENT DONNÏ
s ,ACCENT A ÏTÏ MIS DANS CHAQUE DOMAINE SUR LA MAÔTRISE DES PROCESSUS SUR LA COMPRÏHENSION DES
CONCEPTS ET SUR LA CAPACITÏ DE FAIRE FACE Ì DIVERSES SITUATIONS
s PAYS DU 0)3! ONT ÏGALEMENT PARTICIPÏ Ì UNE OPTION INTERNATIONALE QUI CONSISTAIT Ì RECUEILLIR
DES INFORMATIONS SUR LES ATTITUDES DES ÏLÒVES FACE Ì LEUR APPRENTISSAGE
-ÏTHODES
s ,E CYCLE DÏVALUATION 0)3! A ÏTÏ ADMINISTRÏ SOUS LA FORME DÏPREUVES PAPIER
CRAYON DUNE
DURÏE DE DEUX HEURES
s ,ES INSTRUMENTS DU 0)3! CONTENAIENT Ì LA FOIS DES ITEMS Ì CHOIX MULTIPLE ET DES QUESTIONS
POUR LESQUELLES LES ÏLÒVES DEVAIENT CONSTRUIRE LEURS PROPRES RÏPONSES ,ES ITEMS ÏTAIENT REGROUPÏS
DANS DES UNITÏS BASÏES SUR DES SITUATIONS DE LA VIE RÏELLE
s 5NE BATTERIE DITEMS REPRÏSENTANT SEPT HEURES DE TEST A ÏTÏ PRÏPARÏE $IFFÏRENTES COMBINAISONS
DITEMS ONT ÏTÏ ADMINISTRÏES Ì DIFFÏRENTS ÏLÒVES
s ,ES ÏLÒVES ONT PAR AILLEURS PASSÏ MINUTES Ì RÏPONDRE Ì UN QUESTIONNAIRE CONTEXTUEL ET
Ì TITRE DOPTION INTERNATIONALE ONT COMPLÏTÏ DES QUESTIONNAIRES SUR LES PRATIQUES DÏTUDE ET
DAPPRENTISSAGE ET SUR LA FAMILIARITÏ AVEC LINFORMATIQUE
s ,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT ÏGALEMENT REMPLI UN QUESTIONNAIRE CONCERNANT LEUR ÏTABLISSEMENT
2ÏSULTATS
s 0ROFIL DE CONNAISSANCES ET DE COMPÏTENCES DES ÏLÒVES ÊGÏS DE ANS
s )NDICATEURS CONTEXTUELS ASSOCIANT LES RÏSULTATS AUX CARACTÏRISTIQUES DES ÏLÒVES ET DES ÏTABLISSEMENTS
DENSEIGNEMENT
s "ASE DE CONNAISSANCES Ì EXPLOITER DANS LA RECHERCHE ET LANALYSE DES POLITIQUES
s 'RÊCE AUX DONNÏES PROVENANT DES CYCLES CONSÏCUTIFS DU 0)3! DES INDICATEURS DE TENDANCE MON
TRANT LÏVOLUTION DES RÏSULTATS AU FIL DE TEMPS SERONT FOURNIS
#YCLES DÏVALUATION Ì VENIR
s ,E 0)3! SE POURSUIVRA PAR CYCLES DE TROIS ANS LACCENT SERA MIS SUR LA CULTURE MATHÏMATIQUE EN
ET SUR LA CULTURE SCIENTIFIQUE EN ,ÏVALUATION DES COMPÏTENCES TRANSVERSALES SERA PRO
GRESSIVEMENT INTÏGRÏE DANS LE 0)3! Ì COMMENCER PAR LINTRODUCTION EN DUNE COMPOSANTE
DESTINÏE Ì ÏVALUER LES COMPÏTENCES EN RÏSOLUTION DE PROBLÒMES
#(!0)42% iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛiÃ
,APPROCHE DU 0)3!
iÊ*-ÊiÃÌÊiÊvÀÕÌÊ`½ÕiÊ ,E 0)3! ÏTUDIE UN LARGE ÏVENTAIL DE CONNAISSANCES ET DE COMPÏTENCES ACQUISES
Û>ÃÌiÊÌ>ÌÛiÊVViÀÌjiÊ PAR LES JEUNES DE ANS DANS LES PRINCIPAUX PAYS INDUSTRIALISÏS )L A ÏTÏ CON U
iÌÀiÊ«>ÞÃÊÛÃ>ÌÊDÊ DANS LE RESPECT DES PRINCIPES SUIVANTS
>jÀiÀÊiÃʫ̵ÕiÃÊ
j`ÕV>ÌÛið°° n SON ORIENTATION POLITIQUE LE CADRE CONCEPTUEL ET LES MÏTHODES DE COMPTE
RENDU DE LÏVALUATION ONT ÏTÏ CHOISIS POUR PERMETTRE AUX GOUVERNEMENTS DE
TIRER DES ENSEIGNEMENTS POLITIQUES DES RÏSULTATS
n SA PRISE EN CONSIDÏRATION NOVATRICE NON SEULEMENT DES COMPÏTENCES EN LECTURE
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT MAIS AUSSI DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE ET DE LA
CULTURE SCIENTIFIQUE
n SA FOCALISATION SUR UNE MANIFESTATION DES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES SOUS
UNE FORME QUI EST PERTINENTE POUR LA VIE DE TOUS LES JOURS
n SA GRANDE COUVERTURE GÏOGRAPHIQUE PAYS PARTICIPENT Ì LÏVALUATION CE QUI
REPRÏSENTE UN TIERS DE LA POPULATION MONDIALE
n SA PÏRIODICITÏ AINSI QUEN ATTESTE LA DÏCISION DE RÏPÏTER LÏVALUATION TOUS LES
TROIS ANS
n SON PRINCIPE DE COLLABORATION LE PROGRAMME EST DIRIGÏ CONJOINTEMENT PAR LES
GOUVERNEMENTS DES PAYS PARTICIPANTS ET BÏNÏFICIE DE LEXPERTISE SCIENTIFIQUE
DUN CONSORTIUM INTERNATIONAL CONSTITUÏ DES PLUS ÏMINENTS INSTITUTS SPÏCIALISÏS
DANS LÏVALUATION
oiÊV«jÌ>ÌÊiÊ !U TRAVERS DU 0)3! LES PAYS -EMBRES DE L/#$% TRAVAILLENT MAIN DANS LA MAIN
ÌÀ>Û>Ê`iʽ"
ÊiÊ POUR AMÏLIORER LES INDICATEURS COMPARATIFS DES RÏSULTATS DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS
>ÌmÀiÊ`½`V>ÌiÕÀÃÊ ,/#$% PUBLIE CHAQUE ANNÏE UNE SÏRIE DINDICATEURS DANS 2EGARDS SUR LÏDUCATION
ÌiÀ>Ì>ÕÝÊÃÕÀÊ VOIR NOTAMMENT /#$% #ES INDICATEURS DONNENT DES INFORMATIONS
½j`ÕV>ÌÊ«>ÀÊÕiÊ SUR LE VOLUME DE RESSOURCES HUMAINES ET FINANCIÒRES INVESTIES DANS LÏDUCATION
jÛ>Õ>ÌÊÌiÃÛiÊiÌÊ SUR LÏVOLUTION ET LE MODE DE FONCTIONNEMENT DES SYSTÒMES DÏDUCATION ET
ÃÕÌiÕiÊ`iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃ°Ê DAPPRENTISSAGE ET SUR LE RENDEMENT INDIVIDUEL SOCIAL ET ÏCONOMIQUE DE CES
INVESTISSEMENTS $ES INDICATEURS RÏGULIERS ET FIABLES DE CES RÏSULTATS DE LÏDUCATION
DANS LES DIFFÏRENTS PAYS EN PARTICULIER LES INDICATEURS RELATIFS AUX CONNAISSANCES
ET AUX COMPÏTENCES FAISAIENT CRUELLEMENT DÏFAUT %N EFFET EN LABSENCE DE TELS
INDICATEURS LES DÏCIDEURS LES CONTRIBUABLES LES ENSEIGNANTS ET LES PARENTS ÏTAIENT
DANS LINCAPACITÏ DE JUGER DE LA RÏUSSITE RELATIVE OU DE LEFFICACITÏ COMPARÏE DE
LEURS SYSTÒMES ÏDUCATIFS
#ONSCIENTE DE CETTE LACUNE L/#$% A TRAVAILLÏ EN COLLABORATION AVEC LES ³TATS
-EMBRES POUR MESURER DIRECTEMENT LES COMPÏTENCES Ì TRAVERS DES ENQUÐTES
COMPARATIVES INTERNATIONALES ,%NQUÐTE INTERNATIONALE SUR LA LITTÏRATIE DES
ADULTES %),! QUI A ÏTÏ RÏALISÏE CONJOINTEMENT PAR 3TATISTIQUE #ANADA ET
L/#$% ENTRE ET A FOURNI UN CADRE DÏVALUATION COMPARATIVE
CONCERNANT LES ADULTES ,E 0)3! Y AJOUTE Ì PRÏSENT DES MESURES DES COMPÏTENCES
UTILES DANS LA VIE CHEZ LES JEUNES EN ÊGE SCOLAIRE
iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
0OUR PERMETTRE QUE LES RÏSULTATS SOIENT COMPARABLES DUN PAYS Ì LAUTRE LE iÊ*-ÊÛÃiÊiÃÊjmÛiÃÊ
0)3! DOIT ÏVALUER DES POPULATIONS CIBLES COMPARABLES %N VERTU DES DIFFÏRENCES @}jÃÊ`iÊ£xÊ>ÃÊÃVÀÌÃÊ
OBSERVÏES ENTRE PAYS EN CE QUI CONCERNE LA NATURE ET LA PORTÏE DE LENSEIGNEMENT `>ÃʽiÃi}iiÌÊDÊ
PRÏ PRIMAIRE ET DE LA PUÏRICULTURE LÊGE DE LA SCOLARITÏ OBLIGATOIRE ET LES STRUCTURES Ìi«ÃÊ«iÊÕÊDÊÌi«ÃÊ
DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS IL NEST PAS POSSIBLE DE DÏFINIR DES ANNÏES DÏTUDE «>ÀÌi°°°
RÏELLEMENT COMPARABLES Ì LÏCHELON INTERNATIONAL ,A VALIDITÏ DES COMPARAISONS
INTERNATIONALES DU RENDEMENT SCOLAIRE PASSE DONC PAR LAPPLICATION DUN CRITÒRE
DÊGE POUR IDENTIFIER LES POPULATIONS CONCERNÏES ,E 0)3! VISE LES ÏLÒVES QUI ONT
DE ANS ET MOIS Ì ANS ET MOIS AU MOMENT DE LÏVALUATION QUELS QUE SOIENT
LANNÏE DÏTUDE LE TYPE DÏTABLISSEMENT FRÏQUENTÏ ET LE MODE DE SCOLARISATION
Ì TEMPS PLEIN OU Ì TEMPS PARTIEL MAIS EXCLUT LES JEUNES DE ANS QUI NE SONT
PAS INSCRITS DANS UN ÏTABLISSEMENT DENSEIGNEMENT $ANS LA SUITE DE CE RAPPORT
LES i JEUNES DE ANS w SERA LEXPRESSION UTILISÏE POUR FAIRE RÏFÏRENCE Ì CETTE
POPULATION ° LEXCEPTION DU "RÏSIL DU ,UXEMBOURG ET DE LA 0OLOGNE AU MOINS
DE CETTE POPULATION CIBLE A ÏTÏ COUVERTE PAR LES ÏCHANTILLONS SÏLECTIONNÏS
POUR LE 0)3! $ANS LA MAJORITÏ DES PAYS PARTICIPANTS LA POPULATION COUVERTE
DÏPASSE VOIR LANNEXE ! POUR DE PLUS AMPLES INFORMATIONS SUR LA DÏFINITION
DE LA POPULATION 0)3! ET LA COUVERTURE DES ÏCHANTILLONS #ETTE COUVERTURE ÏLEVÏE
CONTRIBUE Ì LA COMPARABILITÏ DES RÏSULTATS DE LENQUÐTE
#E RAPPORT PERMET DONC DE TIRER DES CONCLUSIONS SUR LES CONNAISSANCES ET oViʵÕÊ«iÀiÌÊ`iÊ
COMPÏTENCES DES INDIVIDUS NÏS LA MÐME ANNÏE QUI ONT FRÏQUENTÏ LÏCOLE JUSQUÌ V«>ÀiÀÊiÌÀiÊ«>ÞÃÊ
LÊGE DE ANS MAIS QUI ONT VÏCU DES EXPÏRIENCES DIFFÏRENTES EN MATIÒRE ½«>VÌÊ`iÊ`vvjÀiÌiÃÊ
DENSEIGNEMENT TANT Ì LINTÏRIEUR QUÌ LEXTÏRIEUR DES ÏTABLISSEMENTS ,ÏVENTAIL iÝ«jÀiViÃÊj`ÕV>ÌÛið
DES ANNÏES DÏTUDE DE CES ÏLÒVES VARIE EN FONCTION DE LA POLITIQUE PRATIQUÏE
PAR LES PAYS EN MATIÒRE DENTRÏE DANS LE SYSTÒME SCOLAIRE ET DE PROMOTION DE
LENSEIGNEMENT %N OUTRE DANS CERTAINS PAYS LES ÏLÒVES CONSTITUANT LA POPULATION
CIBLE DU 0)3! REPRÏSENTENT DIFFÏRENTS SYSTÒMES OU FILIÒRES DENSEIGNEMENT
,OBJET DES MESURES DU 0)3!
,ES EXPERTS INTERNATIONAUX DES PAYS -EMBRES DE L/#$% ONT DÏFINI LES TROIS iÊ*-ÊiÃÕÀiÊ>Ê
DOMAINES DE COMPÏTENCE n LA LECTURE LES MATHÏMATIQUES ET LES SCIENCES n V«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ]Ê
DU CYCLE 0)3! ET ONT PRÏPARÏ UN CADRE DÏVALUATION POUR CHACUN DEUX >ÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊ
/#$% A ,E CONCEPT DE LITTÏRATIE A ÏTÏ ADOPTÏ POUR SOULIGNER QUE LE iÌÊÃViÌvµÕiÊViÊ
0)3! PORTE SUR LÏVALUATION DUN ÏVENTAIL DE COMPÏTENCES QUI SÏTEND BIEN AU
ÕÊVÌÕÕ]ÊiÌÊiÊ
DELÌ DE LA NOTION HISTORIQUE DALPHABÏTISATION ,A LITTÏRATIE EST MESURÏE COMME ÃiÊÌiÊ«>ÃÊDÊÕiÊ
UN CONTINUUM ET NON COMME UNE VALEUR PRÏSENTE OU ABSENTE CHEZ UN INDIVIDU )L `V
ÌiÊiÌÀiÊ
PEUT SE RÏVÏLER NÏCESSAIRE OU JUDICIEUX DE DÏFINIR UN POINT DU CONTINUUM EN DE Ì «iÀÃiÃÊÊVÕÌÛjiÃÊÊ
DUQUEL LES NIVEAUX DE COMPÏTENCE SERAIENT JUGÏS INSUFFISANTS MAIS LA VARIABILITÏ ÕÊ°
QUI SOUS
TEND CE CONTINUUM EST IMPORTANTE 5NE PERSONNE i CULTIVÏE w POSSÒDE
DE NOMBREUSES COMPÏTENCES ET IL NEXISTE PAS DE LIMITE PRÏCISE ENTRE UNE
PERSONNE PEU CULTIVÏE ET UNE PERSONNE DITE VRAIMENT CULTIVÏE
,ACQUISITION DE CES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES EST UN PROCESSUS QUI SÏTEND
TOUT AU LONG DE LA VIE ET QUI EST MIS EN UVRE NON SEULEMENT Ì LÏCOLE OU
PENDANT LAPPRENTISSAGE OFFICIEL MAIS ÏGALEMENT AU TRAVERS DINTERACTIONS AVEC
#(!0)42% iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛiÃ
½>VµÕÃÌÊ`iÊViÃÊ DES PROCHES DES COLLÒGUES ET DAUTRES MEMBRES DE LA COLLECTIVITÏ /N NE PEUT
V«jÌiViÃÊÃiÊ«ÕÀÃÕÌÊ ATTENDRE DES JEUNES DE ANS QUILS AIENT APPRIS TOUT CE DONT ILS AURONT BESOIN DE
ÌÕÌÊ>ÕÊ}Ê`iÊ>Ê SAVOIR UNE FOIS ADULTES )LS DOIVENT POSSÏDER DE SOLIDES CONNAISSANCES FONDAMEN
ÛiÊ\ÊV½iÃÌÊ«ÕÀµÕÊiÊ TALES EN LECTURE EN MATHÏMATIQUES ET EN SCIENCES )LS DOIVENT AUSSI COMPRENDRE
*-ÊjÛ>Õiʽ>«ÌÌÕ`iÊ DES PROCESSUS ÏLÏMENTAIRES ET DES PRINCIPES FONDAMENTAUX ET LES APPLIQUER AVEC
`iÃÊjmÛiÃÊDÊ«ÕÀÃÕÛÀiÊ SOUPLESSE DANS DIFFÏRENTES SITUATIONS POUR POUVOIR POURSUIVRE LEUR APPRENTISSAGE
iÕÀÊ>««ÀiÌÃÃ>}io DANS CES TROIS DOMAINES ET METTRE LEURS ACQUIS EN PRATIQUE DANS LE MONDE RÏEL
#EST POURQUOI LE 0)3! PLUTÙT QUE DÏVALUER LACQUISITION DE CONNAISSANCES
SPÏCIFIQUES ÏVALUE LAPTITUDE Ì RÏALISER DES TÊCHES QUI SINSCRIVENT DANS DES
SITUATIONS DE LA VIE RÏELLE ET QUI DÏPENDENT DUNE COMPRÏHENSION APPROFONDIE
DE CONCEPTS FONDAMENTAUX
oiÌÊiÕÀÊV>«>VÌjÊDÊ /UTRE LÏVALUATION DES COMPÏTENCES LIÏES AUX TROIS DOMAINES MAJEURS LE 0)3!
ÕÌÃiÀÊiÕÀÃÊ TENTE PROGRESSIVEMENT DE MESURER LES COMPÏTENCES AU DELÌ DES LIMITES DES
V>ÃÃ>ViÃÊ`>ÃÊ DIFFÏRENTES DISCIPLINES ,E CYCLE DÏVALUATION 0)3! SEST CONCENTRÏ SUR
>ÊÛiÊÀjii° LA MOTIVATION DES ÏLÒVES ET SUR DAUTRES ASPECTS DE LEURS ATTITUDES FACE Ì
LAPPRENTISSAGE LA FAMILIARITÏ AVEC LINFORMATIQUE ET SOUS LA RUBRIQUE INTITULÏE
i APPRENTISSAGE AUTORÏGULÏ w SUR CERTAINS ASPECTS DES STRATÏGIES MISES EN UVRE
PAR LES ÏLÒVES POUR GÏRER ET SUIVRE LEUR PROPRE APPRENTISSAGE $ANS LES CYCLES
DÏVALUATION SUIVANTS DAUTRES i COMPÏTENCES TRANSVERSALES w TELLES QUE CELLES
RELATIVES Ì LA RÏSOLUTION DE PROBLÒMES ET AUX TECHNOLOGIES DE LINFORMATION
SERONT ÏTUDIÏES DE MANIÒRE PLUS APPROFONDIE
$ANS QUELLE MESURE LE 0)3! A
T
IL RÏUSSI Ì ÏVALUER LES i COMPÏTENCES UTILES DANS LA VIE w
,A RÏPONSE Ì CETTE QUESTION PEUT SE FONDER NON SEULEMENT SUR UN JUGEMENT SUBJECTIF
DE CE QUI PEUT ÐTRE DÏFINI COMME IMPORTANT DANS LA VIE MAIS AUSSI SUR LES ÏLÏMENTS
QUI PERMETTENT DE TIRER AU CLAIR SI CEUX QUI POSSÒDENT UN NIVEAU DE COMPÏTENCES ÏLEVÏ
EN TERMES DE MESURES DU 0)3! ONT EFFECTIVEMENT DE FORTES CHANCES DE RÏUSSIR DANS LA
VIE "IEN QUE LAVENIR DES ÏLÒVES PARTICIPANT AU 0)3! SOIT ENCORE INCONNU L%NQUÐTE
INTERNATIONALE SUR LA LITTÏRATIE DES ADULTES %),! A DÏMONTRÏ QUE LA LITTÏRATIE DES ADULTES
CEST
Ì
DIRE LES COMPÏTENCES EN LECTURE LA CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE DE
CEUX
CI EST ÏTROITEMENT LIÏE Ì LA RÏUSSITE SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL ET AUX REVENUS BIEN
PLUS QUE NE LEST LE NIVEAU DÏTUDES VOIR LENCADRÏ
%NCADRÏ 5N NIVEAU SUPÏRIEUR DE LITTÏRATIE AMÏLIORE T IL LES PERSPECTIVES DEMPLOI
,%NQUÐTE INTERNATIONALE SUR LA LITTÏRATIE DES ADULTES %),! A OBSERVÏ QUE CEUX QUI POSSÒDENT UN
NIVEAU SUPÏRIEUR DE LITTÏRATIE SONT PLUS SUSCEPTIBLES DE TROUVER UN EMPLOI ET DE GAGNER DES SALAIRES
MOYENS PLUS ÏLEVÏS QUE CEUX DONT LE NIVEAU DE LITTÏRATIE EST INFÏRIEUR /#$% ET 3TATISTIQUE #ANADA
%ST
CE SIMPLEMENT PARCE QUILS ONT DES DIPLÙMES PLUS ÏLEVÏS 3I CÏTAIT LE CAS L%),! ET LE
0)3! ÏVALUERAIEN T TOUT AU PLUS DES COMPÏTENCES PERMETTANT DAVOIR ACCÒS Ì UN MEILLEUR NIVEAU
DENSEIGNEMENT ET PARTANT Ì DE MEILLEURS EMPLOIS ,%),! A PERMIS DE CONSTATER QUE LES ADULTES
AYANT COMPLÏTÏ LUNE AU LAUTRE FORME DENSEIGNEMENT TERTIAIRE FRANCHISSAIENT EN MOYENNE UN OU
DEUX PALIERS DE PLUS QUE CEUX QUI NÏTAIENT PAS ARRIVÏS AU TERME DE LEURS ÏTUDES SECONDAIRES MAIS
QUE LES PAYS PARTICIPANTS COMPTAIENT UN NOMBRE SIGNIFICATIF DADULTES QUI COMBINAIENT UN NIVEAU
iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
DE LITTÏRATIEDE CULTURE ÏLEVÏ ET UN NIVEAU DENSEIGNEMENT PLUS BAS OU INVERSEMENT 0LUS IMPORTANT
ENCORE LE NIVEAU DE LITTÏRATIE EST UN FACTEUR QUI CONTRIBUE Ì PRÏVOIR LE DEGRÏ DE RÏUSSITE FUTURE DES
ADULTES SUR LE MARCHÏ DE LEMPLOI BIEN AU
DELÌ DE CE QUE LE SEUL NIVEAU DENSEIGNEMENT PEUT LAISSER
PRÏSAGER
0OUR ILLUSTRER CE POINT LA FIGURE INDIQUE LA PROBABILITÏ QUONT LES JEUNES DOCCUPER UN POSTE
HAUTEMENT QUALIFIÏ EN FONCTION DE DIFFÏRENTES COMBINAISONS DE NIVEAU DE LITTÏRATIE ET DENSEIGNEMENT
,ES ÏCARTS ENTRE LES LIGNES MONTRENT LES EFFETS DUNE HAUSSE DES NIVEAUX DENSEIGNEMENT ET LES
COURBES LEFFET n Ì UN NIVEAU DONNÏ DENSEIGNEMENT n DUN NIVEAU SUPÏRIEUR DE LITTÏRATIE !INSI
UNE PERSONNE ÊGÏE DE Ì ANS TRAVAILLANT DANS LE SECTEUR COMMERCIAL VOIT SES CHANCES DE TROUVER
UN EMPLOI HAUTEMENT QUALIFIÏ Ì CARACTÒRE INTELLECTUEL AUGMENTER RAPIDEMENT AU FUR ET Ì MESURE QUE
SON NIVEAU DE LITTÏRATIE SACCROÔT #E CONSTAT SUGGÒRE QUE LEFFET INDÏPENDANT DE LA LITTÏRATIE SUR LA
RÏUSSITE SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL EST COMPARABLE Ì LEFFET INDÏPENDANT DU NIVEAU DENSEIGNEMENT
ATTEINT 5NE PERSONNE POSSÏDANT DES QUALIFICATIONS MOYENNES DIPLÙME DENSEIGNEMENT SECONDAIRE
SUPÏRIEUR A DEUX CHANCES SUR CINQ DOCCUPER UN POSTE DE HAUT NIVEAU SI SON NIVEAU DE LITTÏRATIE EST
ÏGAL Ì LA PARTIE INFÏRIEURE DE LÏCHELLE MAIS QUATRE CHANCES SUR CINQ SI SON NIVEAU DE LITTÏRATIE
EST ÏGAL Ì LA PARTIE SUPÏRIEURE DE LÏCHELLE )NVERSEMENT UNE PERSONNE POSSÏDANT UN NIVEAU
MOYEN DE LITTÏRATIE A DEUX CHANCES SUR CINQ DOCCUPER UN TEL POSTE SI ELLE ACCUSE UN NIVEAU
DENSEIGNEMENT PLUS BAS DIPLÙME DE LENSEIGNEMENT SECONDAIRE INFÏRIEUR SANS PLUS ET PLUS DE
QUATRE CHANCES SUR CINQ SI ELLE AFFICHE UN NIVEAU DÏTUDES PLUS ÏLEVÏ DIPLÙME DE LENSEIGNEMENT
TERTIAIRE
}ÕÀiÊ£°Ó
.IVEAU DgÏDUCATION LITTÏRATIE ET PROBABILITÏ DgOBTENIR UN EMPLOI DE CADRE HAUTEMENT QUALIFIÏ
0ROBABILITÏ DgOBTENIR UN EMPLOI DE CADRE HAUTEMENT QUALIFIÏ SELON LE NIVEAU DgÏDUCATION ET LgAUGMENTATION
DES RÏSULTATS EN LITTÏRATIE ENSEMBLE DES PAYS ÏCHELLE %),! DES TEXTES SUIVIS
POPULATION ÊGÏE DE Ì ANS
.IVEAU DgÏDUCATION INFÏRIEUR Ì LgENSEIGNEMENT SECONDAIRE DU DEUXIÒME CYCLE
.IVEAU DgÏDUCATION CORRESPONDANT Ì LgENSEIGNEMENT SECONDAIRE DU DEUXIÒME CYCLE
0ROBABILITÏ
.IVEAU DgÏDUCATION CORRESPONDANT Ì LgENSEIGNEMENT TERTIAIRE
2ÏSULTATS SUR LgÏCHELLE %),! DES TEXTES SUIVIS
3OURCE /#$% ET 3TATISTIQUE #ANADA
#(!0)42% iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛiÃ
iÊÃ>ÛÀÊiÃÌÊ`jvÊiÊ ,ES DOMAINES COUVERTS PAR LE 0)3! SONT DÏFINIS EN FONCTION DES ASPECTS
vVÌÊ`iÃÊVÌiÕÃ]Ê SUIVANTS
«ÀViÃÃÕÃÊiÌÊVÌiÝÌið
n LE CONTENU OU LA STRUCTURE DES CONNAISSANCES QUE LES ÏLÒVES DOIVENT ACQUÏRIR
DANS CHAQUE DOMAINE LA MESURE DANS LAQUELLE DES CONCEPTS SCIENTIFIQUES OU
LES DIVERS TYPES DÏCRITS LEUR SONT FAMILIERS PAR EXEMPLE
n LES PROCESSUS QUI DOIVENT ÐTRE ACCOMPLIS LA RESTITUTION DINFORMATIONS FIGURANT
DANS UN TEXTE PAR EXEMPLE
n LES CONTEXTES DANS LESQUELS LES CONNAISSANCES ET LES COMPÏTENCES SONT APPLI
QUÏES PAR EXEMPLE LA PRISE DE DÏCISIONS PAR RAPPORT Ì LA VIE PERSONNELLE OU LA
COMPRÏHENSION DES AFFAIRES INTERNATIONALES
,E MATÏRIEL DÏVALUATION DU 0)3! EST CON U POUR MESURER LES COMPÏTENCES DANS
CHACUN DES TROIS DOMAINES 4OUTEFOIS IL Y A LIEU DE SIGNALER QUE CHAQUE CYCLE
DÏVALUATION MET LACCENT SUR UN DOMAINE PARTICULIER AFIN DEN APPROFONDIR
LA COMPRÏHENSION AU FIL DU TEMPS ,E CYCLE 0)3! SEST CONCENTRÏ SUR LA
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT AUQUEL DEUX TIERS DU TEMPS DE TEST A ÏTÏ DÏVOLU #E
RAPPORT TRAITE EN CONSÏQUENCE ESSENTIELLEMENT DES RÏSULTATS DU CYCLE 0)3!
DANS CE DOMAINE ET SE LIMITE Ì UNE ANALYSE SUCCINCTE DES COMPÏTENCES LIÏES AUX
DEUX AUTRES DOMAINES ,E 0)3! SE CONCENTRERA SUR LA CULTURE MATHÏMATIQUE EN
ET SUR LA CULTURE SCIENTIFIQUE EN
,A COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DANS LE 0)3!
*-Ê`jvÌÊ>Ê $ANS LE 0)3! COMPRENDRE LÏCRIT CEST COMPRENDRE ET UTILISER DES TEXTES ÏCRITS
V«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌÊ MAIS AUSSI RÏFLÏCHIR Ì LEUR PROPOS #ETTE CAPACITÏ DEVRAIT PERMETTRE Ì CHACUN
ViÊ>ÊV>«>VÌjÊ`iÊ DE RÏALISER SES OBJECTIFS DE DÏVELOPPER SES CONNAISSANCES ET SON POTENTIEL ET DE
V«Ài`ÀiÊiÌÊ`½ÕÌÃiÀÊ PRENDRE UNE PART ACTIVE DANS LA SOCIÏTÏ #E CONCEPT VA DONC AU
DELÌ DU SIMPLE
iÌÊ`iÊÀjvjV
ÀÊÃÕÀÊ`iÃÊ DÏCODAGE ET DE LA COMPRÏHENSION LITTÏRALE DINFORMATIONS ÏCRITES )L SUPPOSE LA
ÌiÝÌiÃÊjVÀÌÃÊ«ÕÀÊ«ÕÛÀÊ COMPRÏHENSION ET LA RÏFLEXION )L PORTE SUR LA CAPACITÏ DE LINDIVIDU DEXPLOITER
«Ài`ÀiÊÕiÊ«>ÀÌÊ>VÌÛiÊDÊ LINFORMATION VÏHICULÏE PAR LÏCRIT POUR ATTEINDRE DES OBJECTIFS PERSONNELS ET
>ÊÛiÊiÊÃVjÌj°Ê LA CAPACITÏ DES SOCIÏTÏS MODERNES QUI EN DÏCOULE CEST
Ì
DIRE DUTILISER LÏCRIT
POUR FONCTIONNER EFFICACEMENT ,ES ITEMS QUI ONT ÏTÏ ADMINISTRÏS Ì LOCCA
SION DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! ONT TRAIT AUX COMPÏTENCES EN LECTURE DONT
LES JEUNES DE ANS AURONT BESOIN Ì LAVENIR $ES EXEMPLES DITEMS UTILISÏS POUR
ÏVALUER LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SONT PRÏSENTÏS DANS LE CHAPITRE ET SUR LE
SITE )NTERNET DE 0)3! WWWPISAOECDORG
iÃÊÌ@V
iÃÊ`iÊiVÌÕÀiÊ ,ES LECTEURS RÏAGISSENT DE DIVERSES MANIÒRES FACE Ì UN TEXTE DONNÏ Ì MESURE
`ÕÊ*-oÊ QUILS CHERCHENT Ì EXPLOITER ET Ì COMPRENDRE CE QUILS LISENT #E PROCESSUS DYNA
MIQUE PRÏSENTE DES DIMENSIONS MULTIPLES DONT TROIS ONT ÏTÏ CHOISIES POUR CONS
TRUIRE LES ÏVALUATIONS DU 0)3!
oý>««ÕiÌÊÃÕÀÊÕiÊÛ>ÀjÌjÊ n LA FORME DU MATÏRIEL DE LECTURE Ì SAVOIR LE TYPE DE TEXTE Ì LIRE $ANS
`iÊÌÞ«iÃÊ`iÊÌiÝÌiÊiÌÊÊ LE PASSÏ DE NOMBREUSES ÏVALUATIONS ONT ÏTÏ BASÏES SUR DES TEXTES EN PROSE
ÃiÕiiÌÊ`iÃÊÌiÝÌiÃÊiÊ«ÀÃi° ORGANISÏS EN PHRASES ET EN PARAGRAPHES CEST
Ì
DIRE DES i TEXTES CONTINUS w
iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
$ES TEXTES CONTINUS FIGURENT DANS LE 0)3! MAIS UNE DISTINCTION EST ÏTABLIE
ENTRE LES DIVERSES FORMES DE TEXTE CONTINU NOTAMMENT LES TEXTES NARRATIFS
LES TEXTES DESCRIPTIFS ET LES TEXTES ARGUMENTATIFS ,E 0)3! COMPREND EN OUTRE
DES TEXTES NON CONTINUS QUI PRÏSENTENT LINFORMATION SOUS DAUTRES FORMES
NOTAMMENT LES LISTES LES FORMULAIRES LES GRAPHIQUES ET LES DIAGRAMMES ,E CHOIX
DUN LARGE ÏVENTAIL DE TEXTES EST MOTIVÏ PAR LE FAIT QUE LES ÏLÒVES RENCONTRENT
Ì LÏCOLE DABORD PUIS TOUT AU LONG DE LEUR VIE ADULTE UNE GRANDE DIVERSITÏ
DÏCRITS QUI REQUIÒRENT DES TECHNIQUES DIFFÏRENTES EN MATIÒRE DE TRAITEMENT
DE LINFORMATION ,A LECTURE PERFORMANTE SE DISTINGUE PAR LA SOUPLESSE CEST
Ì
DIRE LA CAPACITÏ DAPPARIER UN TYPE DE TEXTE DONNÏ ET LES TECHNIQUES QUI
CONVIENNENT LE MIEUX POUR Y LOCALISER LES INFORMATIONS RECHERCHÏES
n LE TYPE DE TÊCHE DE LECTURE ,E TYPE DE TÊCHE EST DÏTERMINÏ DUNE PART ÊiÃÌÊ`i>`jÊ>ÕÝÊjmÛiÃÊ
PAR LES APTITUDES COGNITIVES SOLLICITÏES POUR ÐTRE UN LECTEUR EFFICACE ET DAUTRE `iÊÀiÌÀÕÛiÀÊÕiÊ
PART PAR LES CARACTÏRISTIQUES DES QUESTIONS POSÏES DANS LES ÏPREUVES DÏVALUA
vÀ>ÌÊ`>ÃÊÕÊ
TION 0)3! ,E 0)3! PRIVILÏGIE LE PRINCIPE DE LA i LECTURE POUR APPRENDRE w ÌiÝÌi]Ê`iÊ>ÊV«Ài`ÀiÊ
ET NON LINVERSE #E NE SONT DONC PAS LES COMPÏTENCES LES PLUS ÏLÏMENTAIRES iÌÊ`iÊÀjvjV
ÀÊÃÕÀÊÃÊ
EN LECTURE QUI ONT ÏTÏ ÏVALUÏES LHYPOTHÒSE RETENUE Ì CET ÏGARD ÏTANT QUE LES VÌiÕo
ÏLÒVES DE ANS LES ONT POUR LA PLUPART DÏJÌ ACQUISES )L A PLUTÙT ÏTÏ DEMANDÏ
AUX ÏLÒVES DE MONTRER LEUR CAPACITÏ DE TROUVER UNE INFORMATION DE COMPRENDRE
GLOBALEMENT LES TEXTES PRÏSENTÏS DE LES INTERPRÏTER DE RÏFLÏCHIR SUR LEUR CONTENU
ET LEUR FORME EN FAISANT INTERVENIR LEUR PROPRE CONNAISSANCE DU MONDE ET
DÏVALUER ET DARGUMENTER LEUR POINT DE VUE
n ENFIN LUTILISATION POUR LAQUELLE LE TEXTE A ÏTÏ CON U Ì SAVOIR LE CONTEXTE oiÌÊ`iÊ>ÊiÌÌÀiÊiÊ
OU LA SITUATION DANS LEQUEL IL SINSCRIT !INSI UN ROMAN UNE LETTRE PERSONNELLE Ài>ÌÊ>ÛiVÊiÊVÌiÝÌiÊ
OU UNE BIOGRAPHIE SONT DESTINÏS Ì UN USAGE i PRIVÏ w ET LES DOCUMENTS OU AVIS ÕÊ>ÊÃÌÕ>ÌÊ`>ÃÊ
OFFICIELS Ì UN USAGE i PUBLIC w ,ES MODES DEMPLOI ET LES RAPPORTS SONT RÏDIGÏS iõÕiÃÊiÊÌiÝÌiÊýÃVÀÌ°
POUR ÐTRE LUS Ì DES FINS i PROFESSIONNELLES w ET LES MANUELS ET FICHES DE TRAVAIL Ì
DES FINS i SCOLAIRES w
,A CULTURE MATHÏMATIQUE DANS LE 0)3!
,E 0)3! MESURE LA CAPACITÏ DES ÏLÒVES DANALYSER DE RAISONNER ET DE COMMUNIQUER iÊ*-Ê`jvÌÊ>ÊVÕÌÕÀiÊ
DES IDÏES DE FA ON EFFICACE EN SACHANT POSER FORMULER ET RÏSOUDRE DES PROBLÒMES >Ì
j>̵ÕiÊViÊ>Ê
MATHÏMATIQUES DANS UNE GRANDE DIVERSITÏ DE CONTEXTES ,A CULTURE MATHÏMATIQUE V>«>VÌjÊ`iÊvÀÕiÀÊiÌÊ
EST DÏFINIE COMME LAPTITUDE DUN INDIVIDU Ì IDENTIFIER ET Ì COMPRENDRE LES `iÊÀjÃÕ`ÀiÊ`iÃÊ
DIVERS RÙLES JOUÏS PAR LES MATHÏMATIQUES Ì PORTER DES JUGEMENTS FONDÏS Ì LEUR «ÀLmiÃÊ
PROPOS ET Ì SY ENGAGER EN FONCTION DES EXIGENCES DE SA VIE PRÏSENTE ET FUTURE >Ì
j>̵ÕiÃʵÕÊ
DE SA VIE PROFESSIONNELLE DE SA VIE SOCIALE AVEC SON ENTOURAGE ET SES PROCHES ýÃVÀÛiÌÊ`>ÃÊ`iÃÊ
EN TANT QUE CITOYEN CONSTRUCTIF IMPLIQUÏ ET RÏFLÏCHI ° LINSTAR DE LA DÏFINITION ÃÌÕ>ÌÃÊ`iÊ>ÊÛiÊÀjii°
DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT CELLE DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE RENVOIE Ì
DES APPLICATIONS PLUS GLOBALES DES MATHÏMATIQUES UTILES DANS LA VIE PLUTÙT QUE
DE SE CANTONNER Ì DES OPÏRATIONS MÏCANIQUES ,A i CULTURE MATHÏMATIQUE w
DÏSIGNE ICI LA CAPACITÏ Ì UTILISER DE MANIÒRE FONCTIONNELLE LES CONNAISSANCES ET
COMPÏTENCES MATHÏMATIQUES ET NON LA MAÔTRISE DES MATHÏMATIQUES TELLES QUELLES
SONT ENVISAGÏES DANS LES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT ,E TERME i SENGAGER w
#(!0)42% iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛiÃ
DANS LES MATHÏMATIQUES NE FAIT PAS UNIQUEMENT RÏFÏRENCE AUX ACTES PHYSIQUES OU
SOCIAUX CALCULER LA SOMME Ì REMETTRE Ì UN COMMER ANT PAR EXEMPLE IL
RENVOIE ÏGALEMENT Ì LA FACULTÏ DE PRENDRE POSITION DAPPRÏCIER LES CHOSES
EXPRIMÏES SOUS UNE FORME MATHÏMATIQUE SE FORGER UNE OPINION Ì PROPOS DES
DÏPENSES GOUVERNEMENTALES ETC ,A CULTURE MATHÏMATIQUE IMPLIQUE AUSSI LA
CAPACITÏ DÏNONCER ET DE RÏSOUDRE DES PROBLÒMES MATHÏMATIQUES QUI SINSCRIVENT
DANS UN LARGE ÏVENTAIL DE SITUATIONS AINSI QUUNE CERTAINE PRÏDILECTION POUR LES
MATHÏMATIQUES QUI DÏPEND SOUVENT DE TRAITS DE CARACTÒRE TELS QUE LA CONFIANCE
EN SOI ET LA CURIOSITÏ
iÃÊÌ@V
iÃÊ`iÊ !UX FINS DE TRANSPOSER CETTE DÏFINITION EN UNE ÏVALUATION DE LA CULTURE MATHÏ
>Ì
j>̵ÕiÃÊ`ÕÊ MATIQUE TROIS GRANDES DIMENSIONS ONT ÏTÏ DÏFINIES POUR ÐTRE UTILISÏES LORS DU
*-o CYCLE 0)3!
oÃÕ««ÃiÌʵÕiÊiÃÊ n LE CONTENU DES MATHÏMATIQUES ,E CONTENU RENVOIE ESSENTIELLEMENT Ì DES
jmÛiÃÊ>iÌÊ>ÃÃjÊiÃÊ ENSEMBLES COHÏRENTS DE CONCEPTS MATHÏMATIQUES MAJEURS QUI APPARAISSENT
VVi«ÌÃÊ>Ì
j>̵ÕiÃÊ DANS DES SITUATIONS ET DES CONTEXTES AUTHENTIQUES 0ARMI CES CONCEPTS CITONS
v`>iÌ>ÕÝo LA QUANTITÏ LESPACE ET LES FORMES LES VARIATIONS ET LES RELATIONS OU ENCORE
LINCERTITUDE ,E CHOIX DE CES THÒMES NE SIGNIFIE PAS QUE DES BRANCHES PLUS
SPÏCIFIQUES DES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT TELLES QUE LES NOMBRES LALGÒBRE
ET LA GÏOMÏTRIE ONT ÏTÏ IGNORÏES ,ES TÊCHES CHOISIES Ì LOCCASION DU CYCLE
DÏVALUATION 0)3! SUPPOSENT LASSIMILATION PAR LES ÏLÒVES DUN ENSEMBLE
ÏQUILIBRÏ DE SAVOIRS MATHÏMATIQUES #EPENDANT ÏTANT DONNÏ QUE LES MATHÏ
MATIQUES CONSTITUAIENT UN DOMAINE i MINEUR w DANS LE CYCLE 0)3!
SON CHAMP DAPPLICATION EST DEMEURÏ RÏDUIT 3EULES DEUX IDÏES MAJEURES ONT
ÏTÏ RETENUES LES VARIATIONS ET LES RELATIONS ET LESPACE ET LES FORMES #E CHOIX A
ÏTÏ DICTÏ PAR LE SOUCI DE PRENDRE EN CONSIDÏRATION DE NOMBREUX ASPECTS DES
PROGRAMMES DENSEIGNEMENT SANS ACCORDER UNE IMPORTANCE EXCESSIVE AUX
COMPÏTENCES RELATIVES AUX NOMBRES
oµÕ½ÃÊÃiÌÊV>«>LiÃÊ n LES PROCESSUS MATHÏMATIQUES ,ES QUESTIONS DU 0)3! SONT ORGANISÏES EN
`½ivviVÌÕiÀÊiÃÊV>VÕÃÊ FONCTION DES DIFFÏRENTS TYPES DE COMPÏTENCES REQUIS PAR LES MATHÏMATIQUES
ëiÃ]Ê`½jÌ>LÀÊ`iÃÊ REGROUPÏS DANS TROIS i ENSEMBLES DE COMPÏTENCES w ,E PREMIER ENSEMBLE
iÃÊiÌÊ`iÊ«ÀVj`iÀÊDÊ REPRODUCTION CONCERNE DES CALCULS SIMPLES OU DES DÏFINITIONS QUE LON RENCONTRE
ÕÊÀ>ÃiiÌÊ HABITUELLEMENT DANS LES ÏVALUATIONS MATHÏMATIQUES TRADITIONNELLES ,E DEUXIÒME
>Ì
j>̵Õio LIENS NÏCESSITE DES MISES EN RELATION DIDÏES ET DE PROCÏDURES MATHÏMATIQUES
POUR RÏSOUDRE DANS UNE CERTAINE MESURE DES PROBLÒMES SIMPLES ET FAMILIERS
%NFIN LE DERNIER ENSEMBLE DE COMPÏTENCES RÏFLEXION PORTE SUR LE RAISONNEMENT
MATHÏMATIQUE SUR LA GÏNÏRALISATION ET SUR LA COMPRÏHENSION EN PROFONDEUR
ET IL EXIGE DES ÏLÒVES QUILS SOIENT CAPABLES DE PROCÏDER Ì UNE ANALYSE LEUR
PERMETTANT DIDENTIFIER LES ÏLÏMENTS MATHÏMATIQUES DUNE SITUATION ET DE POSER
LES PROBLÒMES
o`>ÃÊÕÊjÛiÌ>Ê`iÊ n LES SITUATIONS DANS LESQUELLES LES MATHÏMATIQUES SONT UTILISÏES $ES TÊCHES
ÃÌÕ>ÌÃÊ`iÊ>ÊÛiÊÀjii° i AUTHENTIQUES w BASÏES SUR DES SITUATIONS QUI QUOIQUE PARFOIS FICTIVES REPRÏ
SENTENT LES TYPES DE PROBLÒMES RENCONTRÏS DANS LA VIE RÏELLE SONT UTILISÏES
POUR MESURER LA CULTURE MATHÏMATIQUE DES ÏLÒVES ,A i DISTANCE w QUI SÏPARE
iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
LES ÏLÒVES DE CES SITUATIONS EST VARIABLE DEPUIS LES SITUATIONS AFFECTANT DIRECTEMENT
LES ÏLÒVES DÏTERMINER SI UN ACHAT EST JUDICIEUX PAR EXEMPLE JUSQUAUX PROBLÒMES
SCIENTIFIQUES DORDRE PLUS GÏNÏRAL ,ES SITUATIONS SONT CLASSÏES EN FONCTION DE LEUR
PROXIMITÏ PAR RAPPORT AUX ÏLÒVES DANS CINQ CATÏGORIES VIE PRIVÏE VIE SCOLAIRE TRAVAIL
ET SPORT COLLECTIVITÏ LOCALE ET SOCIÏTÏ ET ENFIN MONDE DE LA SCIENCE
,A CULTURE SCIENTIFIQUE DANS LE 0)3!
,A CULTURE SCIENTIFIQUE A TRAIT Ì LA CAPACITÏ DADOPTER UNE PENSÏE SCIENTIFIQUE DANS UN iÊ*-Ê`jvÌÊ>ÊVÕÌÕÀiÊ
MONDE Oá LA SCIENCE ET LA TECHNOLOGIE RÒGNENT EN MAÔTRE %LLE IMPLIQUE LA COMPRÏHEN
ÃViÌvµÕiÊViÊ>Ê
SION DES CONCEPTS SCIENTIFIQUES AINSI QUE LA CAPACITÏ DAPPLIQUER UNE PERSPECTIVE SCIEN
V>«>VÌjÊ`½>`«ÌiÀÊÕiÊ
TIFIQUE $ANS LE 0)3! LA CULTURE SCIENTIFIQUE EST DÏFINIE COMME LA CAPACITÏ DUTILISER «iÃjiÊÃViÌvµÕio
DES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES DIDENTIFIER LES QUESTIONS ET DE TIRER DES CONCLUSIONS
FONDÏES SUR DES FAITS EN VUE DE COMPRENDRE LE MONDE NATUREL ET DE PRENDRE DES
DÏCISIONS Ì SON PROPOS AINSI QUE DE COMPRENDRE LES CHANGEMENTS QUI Y SONT APPORTÏS
PAR LACTIVITÏ HUMAINE
,A CULTURE SCIENTIFIQUE EST CONSIDÏRÏE COMME UN ACQUIS FONDAMENTAL DE LENSEIGNE
oiÊVÃ`jÀ>ÌʵսiiÊ
MENT POUR TOUS LES ÏLÒVES DE ANS QUILS POURSUIVENT OU NON DES ÏTUDES EN `ÌÊkÌÀiʽ>«>>}iÊ`iÊ
LA MATIÒRE ULTÏRIEUREMENT ,A PENSÏE SCIENTIFIQUE NEST PAS LAPANAGE DES SCIENTIFIQUES ÌÕÃÊiÌÊÊÃiÕiiÌÊ
TOUS LES CITOYENS SONT CONCERNÏS ,A DÏCISION DINCLURE LA CULTURE SCIENTIFIQUE DANS `½ÕiÊjÌi°
LES COMPÏTENCES GÏNÏRALES UTILES DANS LA VIE EST MOTIVÏE PAR LIMPORTANCE CROISSANTE
DES QUESTIONS SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES ,A DÏFINITION DE LA CULTURE SCIENTIFIQUE
ADOPTÏE DANS LE 0)3! NE SIGNIFIE PAS QUE LES ADULTES DE DEMAIN AURONT BESOIN
DIMPORTANTES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES ,ESSENTIEL EST DÐTRE EN MESURE DADOPTER
UNE PENSÏE SCIENTIFIQUE Ì LÏGARD DES FAITS RENCONTRÏS $ANS 0)3! LÏVALUATION
ÏTAIT ARTICULÏE AUTOUR DE TROIS DIMENSIONS DE LA CULTURE SCIENTIFIQUE
n LES CONCEPTS SCIENTIFIQUES ,ES ÏLÒVES DOIVENT APPRÏHENDER UN CERTAIN NOMBRE iÃÊÌ@V
iÃÊ`iÊÃViViÃÊ`ÕÊ
DE CONCEPTS MAJEURS POUR COMPRENDRE CERTAINS PHÏNOMÒNES DU MONDE *-ÊÃÕ««ÃiÌʵÕiÊiÃÊ
NATUREL ET LES CHANGEMENTS QUI Y SONT APPORTÏS PAR LACTIVITÏ HUMAINE )L SAGIT jmÛiÃÊ>iÌÊ>««Àj
i`jÊ
DE GRANDES NOTIONS INTÏGRÏES QUI CONTRIBUENT Ì EXPLIQUER CERTAINS ASPECTS iÃÊVVi«ÌÃÊÃViÌvµÕiÃÊ
DE LENVIRONNEMENT PHYSIQUE ,ES QUESTIONS POSÏES Ì LOCCASION DU CYCLE v`>iÌ>ÕÝo
DÏVALUATION RÏUNISSENT DES CONCEPTS TIRÏS DE LA PHYSIQUE LA CHIMIE LA BIOLOGIE
ET LES SCIENCES NATURELLES ET SPATIALES ,ES CONCEPTS ABORDÏS SONT PLUS SPÏCIFI
QUEMENT LIÏS Ì UNE SÏRIE DE THÒMES TELS QUE LA BIODIVERSITÏ LES FORCES ET LE
MOUVEMENT ET LE CHANGEMENT PHYSIOLOGIQUE
n LES PROCESSUS SCIENTIFIQUES ,E 0)3! MESURE LA CAPACITÏ Ì EXPLOITER LA COMPRÏ
oiÊÌÀ>ÌʵսÃÊ
HENSION ET LES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES CEST
Ì
DIRE LA CAPACITÏ DES ÏLÒVES Ì ÃÌÊ>«ÌiÃÊDÊVÃÌ>ÌiÀ]Ê
CONSTATER Ì INTERPRÏTER ET Ì UTILISER LES FAITS #INQ PROCESSUS ONT ÏTÏ ÏTUDIÏS DÊÌiÀ«ÀjÌiÀÊiÌÊDÊÕÌÃiÀÊ
LA DÏTECTION DE QUESTIONS SCIENTIFIQUES LIDENTIFICATION DÏLÏMENTS PROBANTS LÏTA
iÃÊv>ÌÃo
BLISSEMENT DE CONCLUSIONS LA COMMUNICATION DE CES CONCLUSIONS ET LA MANIFESTA
TION DE LA COMPRÏHENSION DES CONCEPTS SCIENTIFIQUES
n LES SITUATIONS SCIENTIFIQUES ET LES CHAMPS DAPPLICATION ,E CONTEXTE DE LA o`>ÃÊÌÕÌiÃÊiÃÊÃÌÕ>ÌÃÊ
CULTURE SCIENTIFIQUE TELLE QUELLE EST DÏFINIE DANS LE 0)3! SE RAPPORTE DAVAN
ÙÊ>ÊÃViViÊ«iÕÌÊ
TAGE Ì LA VIE QUOTIDIENNE QUAUX SALLES DE CLASSE ET AUX LABORATOIRES #OMME ý>««µÕiÀ°
#(!0)42% iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛiÃ
DANS LES AUTRES DOMAINES DÏVALUATION LES CONTEXTES PORTENT DONC SUR DES
THÒMES QUI ONT UNE INFLUENCE SUR LA VIE DES INDIVIDUS EN GÏNÏRAL AINSI QUE SUR
DES SITUATIONS PLUS PERSONNELLES ,ES QUESTIONS POSÏES Ì LOCCASION DU CYCLE
DÏVALUATION 0)3! SONT CLASSÏES DANS TROIS GRANDS DOMAINES DAPPLICATION
DE LA SCIENCE LES SCIENCES DE LA VIE ET LA SANTÏ LES SCIENCES DE LA 4ERRE ET DE
LENVIRONNEMENT ET LES SCIENCES DANS LA TECHNOLOGIE
,ES MÏTHODES DÏVALUATION ET DE COLLECTE DE DONNÏES DU 0)3!
iÃÊjmÛiÃÊ`ÕÊ*-ÊÌÊ ,E 0)3! A ÏTÏ SOIGNEUSEMENT ÏLABORÏ PAR UN RÏSEAU INTERNATIONAL
«ÀÃÊ«>ÀÌÊDÊÕiÊÃj>ViÊ DINSTITUTIONS ET DÏMINENTS EXPERTS DANS LE BUT DE SERVIR LES OBJECTIFS EXPOSÏS
`½jÛ>Õ>ÌÊ`½ÕiÊ`ÕÀjiÊ CI
DESSUS 4OUS LES ÏLÒVES ONT PRIS PART DANS LEUR ÏTABLISSEMENT DENSEIGNE
`iÊ`iÕÝÊ
iÕÀiÃÊiÌ]ÊViÊ MENT Ì UNE SÏANCE DÏVALUATION ÏCRITE DUNE DURÏE DE DEUX HEURES )LS ONT PAR
iÃÊV
ivÃÊ`½jÌ>LÃÃiiÌ]Ê AILLEURS CONSACRÏ UNE DEMI
HEURE Ì RÏPONDRE Ì UN QUESTIONNAIRE PERSONNEL ,ES
ÌÊÀj«`ÕÊDÊÕÊ CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT ÏTÏ INVITÏS Ì COMMUNIQUER DES INFORMATIONS SUR LEUR
µÕiÃÌ>Ài° ÏTABLISSEMENT EN RÏPONDANT Ì UN QUESTIONNAIRE DE MINUTES
,ES ÏVALUATIONS DES ÏLÒVES REPOSENT SUR LES MÐMES PRINCIPES DANS LES TROIS
DOMAINES )L EN IRA DE MÐME POUR TOUS LES CYCLES DÏVALUATION SUCCESSIFS MAIS LA
QUANTITÏ DE MATÏRIEL DE TEST CONSACRÏE Ì CHACUN DES DOMAINES VARIERA EN FONC
TION DES CYCLES ,A MISE EN UVRE DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! n ESSENTIEL
LEMENT BASÏ SUR LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT n SEST DÏROULÏE COMME SUIT IL Y
A LIEU DE SE REPORTER AU 2APPORT TECHNIQUE 0)3! POUR DAVANTAGE DE DÏTAILS Ì
CET ÏGARD
½jÛ>Õ>ÌÊV«ÀÌ>ÌÊ n UN LARGE ÏVENTAIL DITEMS DÏVALUATION ,ES TESTS DÏVALUATION DU CYCLE
ÕÊ>À}iÊjÛiÌ>Ê`iÊ 0)3! ONT ÏTÏ ADMINISTRÏS SOUS LA FORME DÏPREUVES ÏCRITES $IVERS
Ì@V
iÃo FORMATS DITEMS ONT ÏTÏ UTILISÏS $ANS CERTAINS CAS LES ÏLÒVES ONT ÏTÏ INVITÏS
Ì CONSULTER DES TEXTES ET DES DIAGRAMMES PUIS Ì RÏPONDRE Ì UNE SÏRIE DE
QUESTIONS LES CONCERNANT ,A PLUPART DES ITEMS ONT ÏTÏ CON US DE MANIÒRE Ì
MESURER LA CAPACITÏ DES ÏLÒVES Ì RÏFLÏCHIR ACTIVEMENT AU DOMAINE CONCERNÏ
$ES EXEMPLES DITEMS SONT PRÏSENTÏS AUX CHAPITRES ET
o`iÊVÌiÕÃÊÌÀmÃÊ n UNE COUVERTURE EXHAUSTIVE DU DOMAINE CONCERNÏ $ES TESTS DÏVALUATION
Û>Àjð DE DEUX HEURES CHACUN MAIS CONSTITUÏS DE DIFFÏRENTES COMBINAISONS DITEMS
ONT ÏTÏ ADMINISTRÏS AUX ÏLÒVES 5NE BATTERIE DITEMS CORRESPONDANT Ì SEPT
HEURES DE TEST A ÏTÏ PRÏPARÏE AFIN DE COUVRIR TOUS LES DOMAINES DÏVALUATION
,ES DIVERSES COMBINAISONS DITEMS ONT ÏTÏ REGROUPÏES DANS NEUF CARNETS DE
TESTS DIFFÏRENTS )L A ÏTÏ DÏCIDÏ DE FAIRE FIGURER LES MÐMES ITEMS DANS PLUSIEURS
CARNETS DE TEST POUR FAIRE EN SORTE QUUN NOMBRE REPRÏSENTATIF DÏLÒVES
RÏPONDENT Ì CHAQUE ITEM 5N CARNET DE TEST A ÏTÏ REMIS Ì CHAQUE ÏLÒVE
iÃÊ«ÀVj`ÕÀiÃÊ n UNE COOPÏRATION ENTRE TOUS LES PAYS PARTICIPANTS EN VUE DE DÏVELOPPER
ÃVÀÕ«ÕiÕÃiÃÊÌÊjÌjÊÃiÃÊ UN MATÏRIEL DÏVALUATION Ì VALIDITÏ TRANSNATIONALE 3UR LA BASE DES
iÊ ÕÛÀiÊ«ÕÀÊ}>À>ÌÀÊ SPÏCIFICATIONS DES TESTS ET DES CADRES DÏVALUATION APPROUVÏS AU NIVEAU INTER
>ÊÛ>`ÌjÊ`iÃÊÌiÃÊ`½ÕÊ NATIONAL LES PAYS ONT ÏLABORÏ DES ITEMS DE TEST QUI ONT ÏTÏ RÏVISÏS PAR
«>ÞÃÊDʽ>ÕÌÀio DES SPÏCIALISTES DES DISCIPLINES CONCERNÏES ET PAR DES EXPERTS EN MATIÒRE
iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
DÏVALUATION $AUTRES ITEMS ONT ÏTÏ DÏVELOPPÏS POUR FAIRE EN SORTE QUE TOUS
LES ASPECTS DES CADRES DÏVALUATION SOIENT PRIS EN CONSIDÏRATION ,ES ITEMS
ONT ENSUITE FAIT LOBJET DUN ESSAI PILOTE DONT LES RÏSULTATS ONT ÏTÏ ANALYSÏS
ET LA BATTERIE DITEMS RÏVISÏS A ENSUITE ÏTÏ VALIDÏE PAR UN ESSAI DE TERRAIN
%NFIN POUR GARANTIR LEUR VALIDITÏ ENTRE TOUS LES PAYS TOUTES LES LANGUES ET
TOUTES LES CULTURES LES PAYS PARTICIPANTS ONT ÏVALUÏ LAPPLICABILITÏ CULTURELLE
DES ITEMS LEUR PERTINENCE PAR RAPPORT AUX CONTENUS DES PROGRAMMES SCOLAI
RES ET Ì DAUTRES CONTENUS AINSI QUE LADÏQUATION DE LEUR DEGRÏ DE DIFFICULTÏ
n DES PROCÏDURES STANDARDISÏES POUR LA PRÏPARATION ET LA MISE EN UVRE oiÌÊ>ÃÃÕÀiÀʵÕiÊ
DE LÏVALUATION ,E 0)3! EST UNE INITIATIVE SANS PRÏCÏDENT QUI VISE Ì GARANTIR ½jÛ>Õ>ÌÊÃiÊ`jÀÕiÊ
LA COMPARABILITÏ DES RÏSULTATS ENTRE PAYS CULTURES ET LANGUES #ETTE INITIATIVE `iÊ>mÀiÊjµÕÛ>iÌiÊ
SE DISTINGUE NON SEULEMENT PAR LE CARACTÒRE EXHAUSTIF DE LÏVALUATION DE LA `>ÃÊÌÕÃÊiÃÊ«>Þð
POPULATION DES JEUNES DE ANS DE CHAQUE PAYS MAIS ÏGALEMENT PAR LA
COLLABORATION DUN LARGE PANEL DEXPERTS ISSUS DE TOUS LES PAYS PARTICIPANTS
PAR LAPPLICATION DE PROCÏDURES NORMALISÏES POUR LA PRÏPARATION ET LA MISE
EN UVRE DE LÏVALUATION ET PAR LE CONTRÙLE STRICT DE LA QUALITÏ TOUT AU LONG
DU PROCESSUS ,ES INSTRUMENTS DÏVALUATION ONT ÏTÏ PRÏPARÏS Ì LA FOIS EN
ANGLAIS ET EN FRAN AIS PUIS TRADUITS DANS LES LANGUES DES PAYS PARTICIPANTS $ES
PROCÏDURES DE TRADUCTION ET DE VÏRIFICATION STRICTES EN GARANTISSAIENT LINTÏGRITÏ
ET LÏQUIVALENCE LINGUISTIQUES $ANS LES PAYS QUI NE SONT NI ANGLOPHONES NI
FRANCOPHONES DEUX TRADUCTIONS INDÏPENDANTES DES INSTRUMENTS DÏVALUATION
ONT ÏTÏ PRODUITES n LE PLUS SOUVENT Ì PARTIR DES DEUX VERSIONS SOURCES n ET
ENSUITE CONCILIÏES )L CONVIENT DE CONSULTER LES ANNEXES ! Ì ! POUR DAVANTAGE
DINFORMATIONS SUR LES NORMES ET PROCÏDURES APPLIQUÏES DANS LE 0)3!
$ES SÏRIES DE TEXTES ONT ÏTÏ UTILISÏS POUR PROCÏDER Ì LÏVALUATION DE LA *ÀiõÕiÊ>ÊÌjÊ`iÃÊ
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET CHAQUE TEXTE SOUMIS AUX ÏLÒVES ÏTAIT ACCOMPAGNÏ Ì@V
iÃÊ`iÊiVÌÕÀiÊ
DUNE SÏRIE DE QUESTIONS 1UARANTE
CINQ POUR CENT DES TÊCHES NÏCESSITAIENT UNE >««i>iÌÊÕiÊÀj«ÃiÊ
RÏPONSE CONSTRUITE LES ÏLÒVES ÏTAIENT APPELÏS Ì FOURNIR UNE RÏPONSE BRÒVE Ì VÃÌÀÕÌio
PARTIR DUNE GAMME DE RÏPONSES POSSIBLES OU Ì ÏLABORER UNE RÏPONSE CONSTRUITE
PLUS LONGUE CE QUI LAISSAIT UNE CERTAINE LATITUDE AUX RÏPONSES DIVERGENTES
PERSONNELLES VOIRE EXPRIMANT DES POINTS DE VUE OPPOSÏS #E DERNIER TYPE
DITEM A SOUVENT EXIGÏ DES ÏLÒVES QUILS CONFRONTENT DES INFORMATIONS OU DES
IDÏES CONTENUES DANS LE STIMULUS Ì LEURS PROPRES OPINIONS OU EXPÏRIENCE $ANS
CE CAS LA MESURE DANS LAQUELLE LEUR RÏPONSE ÏTAIT ACCEPTABLE DÏPEND MOINS DE
LA POSITION ADOPTÏE PAR LÏLÒVE QUE DE SA CAPACITÏ Ì UTILISER CE QUIL A LU LORSQUIL
JUSTIFIE OU ÏTAYE SA POSITION ,A POSSIBILITÏ DATTRIBUER UN CRÏDIT PARTIEL POUR LES
RÏPONSES PARTIELLEMENT CORRECTES OU MOINS ÏLABORÏES A ÏTÏ PRÏVUE ET TOUS LES
ITEMS DE CE TYPE ONT ÏTÏ CODÏS MANUELLEMENT 1UARANTE
CINQ POUR CENT
DES ITEMS ÏTAIENT DES QUESTIONS Ì CHOIX MULTIPLE POUR LESQUELLES LES ÏLÒVES
AVAIENT Ì FAIRE UN CHOIX ENTRE QUATRE OU CINQ POSSIBILITÏS OU UNE SÏRIE DE CHOIX
EN ENTOURANT UN MOT OU UNE PHRASE BRÒVE PAR EXEMPLE /UI OU .ON POUR
CHAQUE POINT DE LA QUESTION ,ES DIX POUR CENT DITEMS RESTANTS EXIGEAIENT DES
ÏLÒVES QUILS CONSTRUISENT LEUR PROPRE RÏPONSE DANS UNE FOURCHETTE LIMITÏE DE
RÏPONSES ACCEPTABLES
#(!0)42% iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛiÃ
oÌ>`ÃʵÕiÊ>Ê>ÀÌjÊ ,A CULTURE MATHÏMATIQUE A ÏTÏ ÏVALUÏE PAR LE BIAIS DE TESTS COMPRENANT DIVERS
`iÃÊÌ@V
iÃÊiÊ TYPES DE QUESTIONS ° LINSTAR DE LÏVALUATION DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
>Ì
j>̵ÕiÃo IL Y AVAIT UNE SÏRIE DUNITÏS ET CHACUNE DENTRE ELLES EXPOSAIT UNE SITUATION
OU UN PROBLÒME SUR LESQUELS PLUSIEURS QUESTIONS OU TÊCHES ÏTAIENT PROPOSÏES
AUX ÏLÒVES $IFFÏRENTES COMBINAISONS DE DIAGRAMMES ET DE TEXTES ÏCRITS ONT
ÏTÏ UTILISÏES POUR INTRODUIRE LES UNITÏS $EUX TIERS ENVIRON DES ITEMS ONT
ÏTÏ FORMULÏS DE MANIÒRE Ì PERMETTRE UNE CORRECTION SANS AMBIGUÕTÏ DE LA
RÏPONSE CORRECTE OU INCORRECTE ,ES ÏLÒVES DÏMONTRAIENT LEURS COMPÏTENCES
EN RÏPONDANT CORRECTEMENT Ì DES PROBLÒMES ET EN FAISANT PREUVE DE COMPRÏ
HENSION DU PRINCIPE MATHÏMATIQUE SOUS
JACENT Ì LA TÊCHE 0OUR LES ITEMS PLUS
COMPLEXES LES ÏLÒVES POUVAIENT OBTENIR UN CRÏDIT COMPLET OU UN CRÏDIT PARTIEL
oiÌÊiÊÃViViÃÊjÌ>iÌÊ ,A CULTURE SCIENTIFIQUE A ÏTÏ ÏVALUÏE SELON UN PROCÏDÏ SIMILAIRE Ì LA CULTURE
vÀÕjiÃÊ`iÊ>mÀiÊDÊ MATHÏMATIQUE PAR LE BIAIS DUNE SÏRIE DUNITÏS DONT LES QUESTIONS CONCERNAIENT
«iÀiÌÌÀiÊÕiÊVÀÀiVÌÊ LA SITUATION SCIENTIFIQUE RÏELLE PRÏSENTÏE DANS CHAQUE UNITÏ $EUX TIERS ENVIRON
ÕÛµÕiÊ`iÊ>ÊÀj«ÃiÊ DES ITEMS ONT ÏTÏ FORMULÏS DE MANIÒRE Ì PERMETTRE UNE CORRECTION SANS AMBI
VÀÀiVÌiÊÕÊVÀÀiVÌi®° GUÕTÏ DE LA RÏPONSE CORRECTE OU INCORRECTE 0OUR LES ITEMS PLUS COMPLEXES LES
ÏLÒVES POUVAIENT OBTENIR UN CRÏDIT COMPLET OU UN CRÏDIT PARTIEL
iÃʵÕiÃÌ>ÀiÃÊ ,ES QUESTIONNAIRES CONTEXTUELS DU 0)3! ONT PERMIS DE RECUEILLIR DES DONNÏES
ÊjmÛiÊÊÌÊ«iÀÃÊ IMPORTANTES POUR LINTERPRÏTATION ET LANALYSE DES RÏSULTATS ,ES QUESTIONNAIRES
`iÊÀiVÕiÀÊ`iÃÊ`jiÃÊ PORTAIENT SUR LES CARACTÏRISTIQUES DES ÏLÒVES NOTAMMENT LEUR SEXE ET LEUR MILIEU
ÃÕÀÊiÊiÕÊ`iÃÊjmÛiÃÊ ÏCONOMIQUE ET SOCIAL ET CONTENAIENT DES QUESTIONS SUR LES ACTIVITÏS PRATIQUÏES Ì
iÌÊiÃÊ>VÌÛÌjÃÊ«À>̵ÕjiÃ°Ê LÏCOLE ET Ì LA MAISON ° TITRE DOPTION INTERNATIONALE LES ÏLÒVES ONT ÏGALEMENT
iÃÊjmÛiÃÊÌÊj}>iiÌÊ RÏPONDU Ì DES QUESTIONS SUR LEURS ATTITUDES Ì LÏGARD DE LAPPRENTISSAGE DE LEUR
Àj«`ÕÊDÊ`iÃʵÕiÃÌÃÊ FAMILIARITÏ AVEC LINFORMATIQUE ET SOUS LINTITULÏ i APPRENTISSAGE AUTORÏGULÏ w
ÃÕÀÊ>Ê>mÀiÊ`ÌÊÃÊ DE CERTAINS ASPECTS DES STRATÏGIES UTILISÏES POUR GÏRER ET CONTRÙLER LEUR PROPRE
>««ÀiiÌ° APPRENTISSAGE ,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT DES ÏCOLES DONT LES ÏLÒVES ONT ÏTÏ
SOUMIS Ì LÏVALUATION ONT ÏGALEMENT RÏPONDU Ì DES QUESTIONS CONCERNANT LES
CARACTÏRISTIQUES DE LEUR ÏTABLISSEMENT TELLES QUE LA GRANDEUR ET LES RESSOURCES
ET LE MODE DORGANISATION DE LAPPRENTISSAGE
)NTERPRÏTATION DES RÏSULTATS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3!
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê 3I LES RÏSULTATS OBTENUS PAR UN PAYS DONNÏ DANS LE CADRE DU 0)3! SONT SUPÏRIEURS
ÀivmÌiÌÊÊÃiÕiiÌÊ Ì CEUX DUN AUTRE PAYS CELA NE SIGNIFIE PAS POUR AUTANT QUE LES ÏTABLISSEMENTS
iÃÊ>VµÕÃÊÃV>ÀiÃÊ>ÃÊ DENSEIGNEMENT DU PREMIER SONT PLUS PERFORMANTS %N EFFET LAPPRENTISSAGE
VÃÌÌÕiÌÊÕÊjÌ>ÌÊ`iÃÊ COMMENCE BIEN AVANT LA SCOLARISATION ET SE POURSUIT DANS DIVERS ENVIRONNEMENTS
iÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}iÊ INSTITUTIONNELS ET EXTRASCOLAIRES %N REVANCHE LON PEUT EN CONCLURE AVEC RAISON
>ÕÊÃiÃÊ>À}io QUE DANS CE PAYS LIMPACT CUMULÏ DE TOUTES LES EXPÏRIENCES DAPPRENTISSAGE
VÏCUES ENTRE LA PETITE ENFANCE ET LÊGE DE ANS Ì LÏCOLE ET EN DEHORS DE LÏCOLE
A GÏNÏRÏ DES RÏSULTATS PLUS FAVORABLES DANS LES DOMAINES ÏVALUÏS PAR LE 0)3!
oiÌÊ`vvmÀiÌÊ`V]ÊDÊ #OMME LES LECTEURS DU PRÏSENT RAPPORT NE MANQUERONT PAS DE LE CONSTATER LES
ViÀÌ>ÃÊj}>À`Ã]Ê`iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ RÏSULTATS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! CONFIRMENT ET ÏTAYENT Ì MAINTS ÏGARDS
`½jÛ>Õ>ÌÃÊ`>Û>Ì>}iÊ LES RÏSULTATS DENQUÐTES INTERNATIONALES ANTÏRIEURES TELLES QUE LA 4ROISIÒME ÏTUDE
>ÝjiÃÊÃÕÀÊiÃÊ«À}À>iÃÊ INTERNATIONALE SUR LES MATHÏMATIQUES ET LES SCIENCES 4)-33 RÏALISÏE EN PAR
`½iÃi}iiÌ° L!SSOCIATION INTERNATIONALE POUR LÏVALUATION DU RENDEMENT SCOLAIRE )%! AVEC
iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
LES ÏLÒVES DE E E ANNÏE DE E E ANNÏES ET DE DERNIÒRE ANNÏE SECONDAIRE %LLE A
ÏTÏ RECONDUITE EN AVEC LES ÏLÒVES DE E ANNÏE ° DAUTRES ÏGARDS EN REVANCHE
LES RÏSULTATS DIVERGENT DE CEUX OBTENUS Ì LOCCASION DENQUÐTES ANTÏRIEURES SUR
LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES #ES DIFFÏRENCES NE SONT GUÒRE SURPRENANTES LES
INSTRUMENTS DÏVALUATION DE 4)-33 ONT ÏTÏ ÏLABORÏS SUR BASE DUNE ANALYSE DU
PROGRAMME DENSEIGNEMENT VISÏ PAR CHACUN DES PAYS PARTICIPANTS ET CE DANS
LE BUT DE RECOUVRIR UNE MATIÒRE CENTRALE ET COMMUNE AUX PROGRAMMES DE LA
MAJORITÏ DES PAYS PARTICIPANTS LES INSTRUMENTS DÏVALUATION DU 0)3! TELS QUILS
SONT DÏCRITS PLUS HAUT COUVRAIENT UN ÏVENTAIL DE COMPÏTENCES ET DE CONNAISSANCES
QUI DANS LEURS DOMAINES RESPECTIFS ONT ÏTÏ JUGÏES ESSENTIELLES PAR RAPPORT Ì LA
CAPACITÏ DUN INDIVIDU Ì PARTICIPER PLEINEMENT Ì LA SOCIÏTÏ MODERNE VOIRE Y
CONTRIBUER %NFIN IL Y A LIEU DE GARDER Ì LESPRIT QUE LA POPULATION CIBLE DU 0)3!
CONSTITUÏE DÏLÒVES ÊGÏS DE ANS NE CORRESPOND PAS Ì CELLE DE LÏTUDE 4)-33
DÏFINIE PAR RAPPORT Ì LANNÏE DÏTUDES
,EXPLOITATION DU 0)3! Ë DES FINS POLITIQUES
,E 0)3! FOURNIT UNE LARGE ÏVALUATION DU RENDEMENT COMPARÏ DE LAPPRENTISSAGE iÊ*-Ê«iÀiÌÊ`iÊViÀiÀÊ
VERS LA FIN DE LA SCOLARITÏ OBLIGATOIRE #ELLE
CI PEUT Ì LA FOIS ORIENTER LES DÏCISIONS iÃÊv>VÌiÕÀÃʵÕÊVÌÀLÕiÌÊ
POLITIQUES ET LAFFECTATION DES RESSOURCES CAR ELLE PERMET DE CERNER LES FACTEURS >ÕÊ`jÛi««iiÌÊ`iÃÊ
QUI CONTRIBUENT AU DÏVELOPPEMENT DES CONNAISSANCES ET DES COMPÏTENCES AINSI V>ÃÃ>ViÃÊiÌÊ`iÃÊ
QUE LA MESURE DANS LAQUELLE CES FACTEURS SONT COMMUNS AUX DIFFÏRENTS PAYS V«jÌiVið
,E 0)3! FOURNIT UNE COMPARAISON INTERNATIONALE DU RENDEMENT DES SYSTÒMES ÊýivvÀViÊ`iÊV«>ÀiÀÊ
ÏDUCATIFS EN TERMES DE ROBUSTES MESURES DE COMPÏTENCES UTILES DANS LA VIE ½ivvV>VÌjÊ>ÛiVÊ>µÕiiÊ
ADULTE DE TOUS LES JOURS n MESURES DONT LA VALIDITÏ SÏTEND Ì TOUTES LES CULTURES iÃÊ`vvjÀiÌÃÊÃÞÃÌmiÃÊ
,ES ÏVALUATIONS QUI SE BORNENT Ì ESTIMER LA MAÔTRISE DES MATIÒRES INSCRITES j`ÕV>ÌvÃÊ«Àj«>ÀiÌÊiÃÊ
DANS LES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT PEUVENT FOURNIR DES INDICATIONS QUANT Ì jmÛiÃÊDÊ>ÊÛi°
LEFFICIENCE INTERNE DES SYSTÒMES SCOLAIRES %LLES NE RÏVÒLENT PAS LEFFICACITÏ AVEC
LAQUELLE LES ÏCOLES PRÏPARENT LES ÏLÒVES Ì LA VIE QUILS MÒNERONT APRÒS AVOIR
TERMINÏ LEURS ÏTUDES
,ES INFORMATIONS RASSEMBLÏES DANS LE CADRE DU 0)3! PERMETTENT PAR AILLEURS AUX Ê`iÌviÊiÌÊV«>ÀiÊ
DÏCIDEURS DANALYSER EN PROFONDEUR LES FACTEURS ASSOCIÏS Ì LA RÏUSSITE SCOLAIRE SANS SE iÃÊv>VÌiÕÀÃÊ`Û`ÕiÃ]Ê
LIMITER Ì LA COMPARAISON DE RÏSULTATS ISOLÏS DE LEUR CONTEXTE ,ES DÏCIDEURS PEUVENT v>>ÕÝÊiÌÊÃV>ÀiÃÊ
PAR EXEMPLE SE FAIRE UNE IDÏE DE LIMPORTANCE DE LÏCART DE COMPÏTENCE ENTRE ÏLÒVES >ÃÃVjÃÊDÊ>ÊÀjÕÃÃÌiÊ
ISSUS DE MILIEUX FAVORISÏS ET MOINS FAVORISÏS DANS LEUR PROPRE PAYS EN COMPARAISON ÃV>Àio
AU MÐME ÏCART DANS DAUTRES PAYS ,E 0)3! SE PENCHE ÏGALEMENT SUR LES CARACTÏ
RISTIQUES DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT NOTAMMENT LE MODE DORGANISATION
DE LAPPRENTISSAGE ET EXPLIQUE EN QUOI CES CARACTÏRISTIQUES CONDITIONNENT LE NIVEAU
DE COMPÏTENCE DES ÏLÒVES ,ES DONNÏES RECUEILLIES PEUVENT ÐTRE EXPLOITÏES POUR
IDENTIFIER LES ATTITUDES DES ÏLÒVES QUI SEMBLENT CONTRIBUER LE PLUS Ì LAPPRENTISSAGE ,E
0)3! PROPOSE DONC Ì MAINTS ÏGARDS UNE NOUVELLE MANIÒRE DENVISAGER LE RENDEMENT
SCOLAIRE SUR LA BASE DES EXPÏRIENCES DES ÏLÒVES DANS LE MONDE PLUTÙT QUE DANS LE
CONTEXTE CULTUREL SPÏCIFIQUE DUN SEUL PAYS 0AR AILLEURS SA DIMENSION INTERNATIONALE
PERMET AUX DÏCIDEURS DINFIRMER OU DE CONFIRMER DES HYPOTHÒSES CONCERNANT LA
QUALITÏ DU RENDEMENT SCOLAIRE DANS LEUR PAYS
#(!0)42% iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛiÃ
o«iÀiÌÌ>ÌÊ>ÃÊ>ÕÝÊ ° LA LUMIÒRE DES RÏSULTATS DU 0)3! LES DÏCIDEURS ET LES ENSEIGNANTS DISPOSENT
«>ÞÃÊ`iÊÃiÊ«iV iÀÊÃÕÀÊ DUN OUTIL POUR IDENTIFIER LES POINTS FAIBLES ET LES POINTS FORTS DE LEUR SYSTÒME ,E
iÕÀÊÃÞÃÌmiÊj`ÕV>ÌvÊDÊ FAIT QUE LES RÏSULTATS DES ÏLÒVES SOIENT EN MOYENNE ASSEZ ÏLEVÏS DANS CERTAINS PAYS
>ÊÕmÀiÊ`iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ ET QUE LÏCART ENTRE LES ÏLÒVES i FAIBLES w ET i FORTS w Y SOIT MODESTE CHAPITRE
LÌiÕÃÊ`>ÃÊ`½>ÕÌÀiÃÊ SUGGÒRE QUE DES NIVEAUX DE COMPÏTENCE ÏLEVÏS NE VONT PAS FORCÏMENT DE
«>Þð PAIR AVEC DE GRANDES DISPARITÏS MOYENNES DE RÏSULTAT $E MÐME LE FAIT QUE
LINFLUENCE DE LA RELATION ENTRE LE MILIEU SOCIAL ET LES RÏSULTATS DE LAPPRENTISSAGE
VARIE FORTEMENT DUN PAYS Ì LAUTRE CHAPITRE DONNE Ì PENSER QUE LES ÏCOLES
ET LES SYSTÒMES SCOLAIRES PEUVENT ATTÏNUER CETTE INFLUENCE )L NEST PAS INÏVITABLE
QUE LES ÏLÒVES DE MILIEUX SOCIAUX MOINS FAVORISÏS OBTIENNENT DE PIÒTRES RÏSULTATS
,ES ÏCOLES n ET LES DÏCIDEURS POLITIQUES n ONT DE TOUTE ÏVIDENCE UN RÙLE Ì JOUER
DANS LA LUTTE CONTRE LES MAUVAIS RÏSULTATS SCOLAIRES
iÊV>À>VÌmÀiÊ«jÀ`µÕiÊ %NFIN LE 0)3! REND COMPTE DES COMPÏTENCES DES ÏLÒVES CONFORMÏMENT Ì UN
`ÕÊ*-Ê«iÀiÌÌÀ>Ê>ÕÝÊ CALENDRIER ÏTABLI CE QUI PERMET AUX GOUVERNEMENTS DE SUIVRE Ì INTERVALLE
«>ÞÃÊ`iÊÃÕÛÀiʽjÛÕÌÊ RÏGULIER LÏVOLUTION DE LEURS SYSTÒMES ÏDUCATIFS EN TERMES DE RÏSULTATS ET
`iÊiÕÀÃÊÃÞÃÌmiÃÊ DÏVALUER LES POLITIQUES NATIONALES Ì LA LUMIÒRE DES RÏSULTATS DAUTRES PAYS ,ES
j`ÕV>ÌvÃÊiÊÌiÀiÃÊ`iÊ RÏSULTATS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! QUI FONT LOBJET DU PRÏSENT RAPPORT
ÀjÃÕÌ>Ìð FOURNISSENT LES DONNÏES DE DÏPART ,ES GOUVERNEMENTS POURRONT SE RENDRE
COMPTE DES PROGRÒS RÏALISÏS EN ETC
0ARALLÒLEMENT Ì CE RAPPORT INITIAL INTERNATIONAL LA PLUPART DES PAYS PARTICI
PANTS PUBLIENT DES RAPPORTS NATIONAUX DANS LESQUELS LES RÏSULTATS SONT ANALYSÏS
ET PLACÏS EN REGARD DE LEURS IMPLICATIONS POLITIQUES SUR LE PLAN ÏCONOMIQUE
SOCIAL ET ÏDUCATIF Ì LÏCHELLE NATIONALE %N OUTRE DES RAPPORTS THÏMATIQUES
INTERNATIONAUX PLUS DÏTAILLÏS SONT EN COURS DÏLABORATION SE FONDANT SUR LES
RÏSULTATS DU 0)3! POUR EXAMINER DES QUESTIONS SPÏCIFIQUES ET LES IMPLICA
TIONS POLITIQUES DE CELLES
CI #ES RAPPORTS THÏMATIQUES SE CONCENTRERONT TOUT
PARTICULIÒREMENT SUR LES QUESTIONS TOUCHANT Ì LÏQUITÏ LES DIFFÏRENCES ENTRE
SEXES DANS LES PERFORMANCES LES ATTITUDES ET LA MOTIVATION DES ÏLÒVES LES
BESOINS SPÏCIFIQUES DES PLUS VULNÏRABLES AINSI QUE DES ÏLÒVES LES PLUS FORTS LE
RÙLE DE LENGAGEMENT ET DE LA MOTIVATION EN TANT QUE PRÏCURSEUR DE LA PERFOR
MANCE ET DES DESTINATIONS FUTURES LA NATURE LE DÏVELOPPEMENT ET LIMPACT DES
COMPÏTENCES DITES DE LITTÏRATIE ENFIN SUR LES DIFFÏRENTS ASPECTS DES STRATÏGIES
DAPPRENTISSAGE ET LIMAGE DE SOI
,E DÏVELOPPEMENT DU 0)3! n UNE INITIATIVE CONCERTÏE
iÊ*-ÊiÃÌÊiÊvÀÕÌÊ`½ÕiÊ ,E 0)3! EST LE FRUIT DUNE VASTE INITIATIVE CONCERTÏE QUE LES PAYS -EMBRES DE
V«jÀ>ÌÊivvV>ViÊ L/#$% ONT ENTREPRISE DANS LE BUT DE FOURNIR UN NOUVEAU MODE DÏVALUATION
iÌÀiÊÀ}>Ã>ÌÃÊ DES ACQUIS DES ÏLÒVES SUR UNE BASE RÏCURRENTE ,ES ÏVALUATIONS ONT ÏTÏ CON UES
>Ì>iÃ]ÊiÝ«iÀÌÃÊ`>ÃÊ CONJOINTEMENT PUIS APPROUVÏES PAR LES PAYS PARTICIPANTS AVANT DÐTRE MISES EN
iÃÊ>ÌmÀiÃÊjÛ>ÕjiÃÊiÌÊ UVRE PAR DES ORGANISATIONS NATIONALES ,E CONCOURS APPORTÏ PAR LES ENSEIGNANTS
ÀiëÃ>LiÃÊ`iÃÊ ET CHEFS DÏTABLISSEMENTS PARTICIPANTS DANS UN ESPRIT CONSTRUCTIF SEST AVÏRÏ UN
ÃÞÃÌmiÃÊj`ÕV>ÌvÃo FACTEUR PRIMORDIAL POUR LA RÏUSSITE DU 0)3! DANS CHACUNE DES ÏTAPES DE SON
DÏVELOPPEMENT ET DE SA MISE EN UVRE
iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
,E #ONSEIL DES PAYS PARTICIPANTS QUI REPRÏSENTE TOUS LES PAYS PARTICIPANTS AUX oÊ>ÊjÌjÊ`À}jÊ
NIVEAUX POLITIQUES LES PLUS ÏLEVÏS A FIXÏ LES NORMES ET PRIORITÏS POLITIQUES VÌiiÌÊ«>ÀÊiÃÊ
CONCERNANT LE DÏVELOPPEMENT DES INDICATEURS LA CONCEPTION DES INSTRUMENTS }ÕÛiÀiiÌÃÊÃÕÀÊ>Ê
DÏVALUATION ET LA PRÏSENTATION DES RÏSULTATS $ES EXPERTS DES PAYS PARTICIPANTS L>ÃiÊ`½LiVÌvÃÊVÕÃÊ
COOPÒRENT AU SEIN DE GROUPES DE TRAVAIL POUR ÏTABLIR UN LIEN ENTRE LES OBJECTIFS `½>VÌʫ̵Õio
DACTION POLITIQUE DU PROGRAMME ET LES MEILLEURES COMPÏTENCES INTERNATIONALES
DISPONIBLES DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION %N COLLABORANT AUX TRAVAUX DE
CES GROUPES DEXPERTS LES PAYS ONT VEILLÏ Ì CE QUE LES INSTRUMENTS DÏVALUATION
UTILISÏS Ì LOCCASION DU 0)3! SOIENT VALIDES SUR LE PLAN INTERNATIONAL ET PRENNENT
EN COMPTE LE CONTEXTE CULTUREL ET ÏDUCATIF DES DIFFÏRENTS PAYS DE L/#$% QUE
LE POTENTIEL DES MESURES QUE PRODUIRONT LES INSTRUMENTS DÏVALUATION SOIT ÏLEVÏ
ET ENFIN QUE CES DERNIERS METTENT LACCENT SUR LAUTHENTICITÏ ET LA VALIDITÏ DES
DONNÏES SUR LE PLAN ÏDUCATIF
,ES PAYS PARTICIPANTS ONT MIS EN UVRE LE 0)3! Ì LÏCHELON NATIONAL PAR
LINTERMÏDIAIRE DES DIRECTEURS NATIONAUX DE PROJET DANS LE RESPECT DES PROCÏ
DURES TECHNIQUES ET ADMINISTRATIVES COMMUNES ,ES DIRECTEURS DE PROJET ONT
EU Ì JOUER UN RÙLE DE PREMIER PLAN DANS LE DÏVELOPPEMENT ET LA VALIDATION DES
INSTRUMENTS DÏVALUATION INTERNATIONAUX ET SE SONT ASSURÏS QUE LADMINISTRATION
DU 0)3! RÏPONDE AUX NORMES DE QUALITÏ LES PLUS ÏLEVÏES )LS ONT ÏGALEMENT
CONTRIBUÏ AU CONTRÙLE ET Ì LÏVALUATION DES RÏSULTATS DE LENQUÐTE AINSI QUE DES
ANALYSES ET DES RAPPORTS
,A RESPONSABILITÏ DE LA CONCEPTION ET DE LA MISE EN UVRE DU CYCLE DÏVALUATION
0)3! DANS LE RESPECT DU CADRE DÏFINI PAR LE #ONSEIL DES PAYS PARTICIPANTS
A ÏTÏ CONFIÏE Ì UN CONSORTIUM INTERNATIONAL DIRIGÏ PAR L!USTRALIAN #OUNCIL FOR
%DUCATIONAL 2ESEARCH !#%2 0ARMI LES AUTRES MEMBRES DU CONSORTIUM FIGU
RAIENT LE .ATIONAL )NSTITUTE FOR %DUCATIONAL -EASUREMENT AUX 0AYS
"AS #)4/
L%DUCATION 4ESTING 3ERVICE %43 ET 7ESTAT ³TATS
5NIS ET LE .ATIONAL )NSTITUTE
FOR %DUCATIONAL 0OLICY 2ESEARCH AU *APON .)%2
,E 3ECRÏTARIAT DE L/#$% ÏTAIT RESPONSABLE DE LA GESTION GLOBALE DU PROGRAMME oiÌÊ>ÊjÌjÊ}jÀjÊ«>Àʽ"
°
)L A SUIVI LA MISE EN UVRE DE CE DERNIER AU JOUR LE JOUR A ASSURÏ LE SECRÏTARIAT
DU #ONSEIL DES PAYS PARTICIPANTS A STIMULÏ LA RECHERCHE DE CONSENSUS ENTRE LES
PAYS PARTICIPANTS ET SERVI DINTERLOCUTEUR ENTRE LE #ONSEIL DES PAYS PARTICIPANTS
ET LE CONSORTIUM INTERNATIONAL
,E 0)3! EST FINANCÏ CONJOINTEMENT PAR TOUS LES PAYS PARTICIPANTS
3TRUCTURE DU RAPPORT
,ES CHAPITRES ET DÏCRIVENT LE NIVEAU DE COMPÏTENCE DES ÏLÒVES DANS LES
iÊÀ>««ÀÌÊÃiÊ«iV
iÊ
TROIS DOMAINES DÏVALUATION DU 0)3! ,E CHAPITRE POURSUIT CETTE DESCRIPTION ÃÕVViÃÃÛiiÌÊÃÕÀÊiÊ
PAR UNE PRÏSENTATION DU PROFIL DES ÏLÒVES EN TANT QUAPPRENANTS DE ANS ET Ûi>ÕÊ`iÊV«jÌiViÊ
ÏTUDIE LEUR MOTIVATION LEUR ENGAGEMENT LEURS STRATÏGIES DAPPRENTISSAGE ET `iÃÊjmÛiÃo
LEUR CONCEPTION DE LEURS PROPRES CAPACITÏS )L INCLUT ÏGALEMENT UNE DESCRIPTION
DE LA FAMILIARITÏ DES ÏLÒVES AVEC LINFORMATIQUE
#(!0)42% iÊ*À}À>iÊÌiÀ>Ì>Ê`iʽ"
Ê«ÕÀÊiÊÃÕÛÊ`iÃÊ>VµÕÃÊ`iÃÊjmÛiÃ
oiÃÊ`vvjÀiViÃÊiÌÀiÊ ,E CHAPITRE ÏTUDIE LES DIFFÏRENCES DE NIVEAU DE COMPÏTENCE LIÏES AU SEXE DANS
iÃÊÃiÝiÃo LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION #ES DIFFÏRENCES SONT ANALYSÏES POUR LENSEMBLE
DES ÏLÒVES ÊGÏS DE ANS AINSI QUE POUR CERTAINS SOUS
GROUPES DÏLÒVES
oÊÃÕÀÊiÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊ ,ES CHAPITRES ET SITUENT LE NIVEAU DE COMPÏTENCE PAR RAPPORT AU MILIEU DES
`½jmÛiÃÊÃÃÕÃÊ`iÊ ÏLÒVES ET Ì LEUR ENVIRONNEMENT DAPPRENTISSAGE DANS LE SENS LARGE ,E CHAPITRE
`vvjÀiÌÃÊiÕÝÊiÌÊ SE CONCENTRE SUR LA DESCRIPTION DU MILIEU FAMILIAL DES ÏLÒVES n NOTAMMENT LES
jÛÕ>ÌÊ`>ÃÊ`ÛiÀÃÊ ASPECTS CULTURELS ÏCONOMIQUES ET SOCIAUX n ET SE POURSUIT DANS LE CHAPITRE PAR
iÛÀiiÌÃÊ LANALYSE DE LA VARIATION DE LENVIRONNEMENT DAPPRENTISSAGE ET DE LORGANISATION
`½>««ÀiÌÃÃ>}io DES ÏTABLISSEMENTS SELON LES PAYS ,E CHAPITRE ÏTUDIE ÏGALEMENT LES RESSOURCES
HUMAINES ET FINANCIÒRES INVESTIES DANS LÏDUCATION ET ANALYSE CERTAINES CARACTÏ
RISTIQUES DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS NATIONAUX
oiÌÊiÃÊVVÕÃÃʵÕiÊ %NFIN LE CHAPITRE DÏVELOPPE CES RÏSULTATS ET ABORDE UN CERTAIN NOMBRE DE
iÃÊ`jV`iÕÀÃÊ«iÕÛiÌÊÌÀiÀÊ QUESTIONS CONCERNANT LA NATURE DES RELATIONS ENTRE LES RÏSULTATS SCOLAIRES ET LE MILIEU
`iÊViÃÊ`vvjÀiViÃʵÕ>ÌÊDÊ SOCIAL ,ANALYSE DES RELATIONS SIMULTANÏES ENTRE PLUSIEURS VARIABLES DIFFÏRENTES
½«>VÌÊ`iÃÊv>VÌiÕÀÃʵÕÊ DANS UN VASTE ÏVENTAIL DE CADRES SCOLAIRES ET DANS DIVERS PAYS ET NOTAMMENT LES
iÌÀiÌÊiÊiÕ° FACTEURS FAMILIAUX ET SCOLAIRES PERMET DAPPRÏCIER LIMPACT ISOLÏ OU NON DE
CES FACTEURS ET DE MESURER LIMPORTANCE RELATIVE DES RESSOURCES SCOLAIRES ET DES
POLITIQUES ET PRATIQUES SCOLAIRES DANS LES DIFFÏRENTS TYPES DE SYSTÒME SCOLAIRE ,ES
RÏSULTATS DE CES TRAVAUX PEUVENT SE RÏVÏLER UTILES POUR IDENTIFIER LES POLITIQUES
ÏDUCATIVES Ì METTRE EN UVRE EN VUE DAMÏLIORER LE NIVEAU GÏNÏRAL DE COMPÏTENCE
ET DATTÏNUER LIMPACT DU MILIEU FAMILIAL SUR LE NIVEAU DE COMPÏTENCE DES
ÏLÒVES
.OTE
3I DANS LA PLUPART DES PAYS DE L/#$% LA SCOLARITÏ OBLIGATOIRE PREND FIN Ì LÊGE DE
ANS CE SEUIL EST PORTÏ Ì ANS AUX
³TATS
5NIS ET Ì ANS EN !LLEMAGNE EN "ELGIQUE ET AUX 0AYS
"AS /#$%
'5)$% $5 ,%#4%52
$ONNÏES DES FIGURES
,ES DONNÏES AUXQUELLES LES CHAPITRES Ì FONT RÏFÏRENCE SONT PRÏSENTÏES DANS LANNEXE " Ì LA FIN
DU VOLUME ET DES DÏTAILS SUPPLÏMENTAIRES SONT DISPONIBLES SUR WWWPISAOECDORG ,ES QUATRE SYMBOLES
SUIVANTS INDIQUENT QUE DES DONNÏES SONT MANQUANTES DANS LES TABLEAUX ET DIAGRAMMES
A LA CATÏGORIE NE SAPPLIQUE PAS AU PAYS CONCERNÏ LES DONNÏES SONT DONC MANQUANTES
C LES OBSERVATIONS SONT INSUFFISANTES POUR CALCULER DES ESTIMATIONS FIABLES LES DONNÏES VALIDES DE CETTE
CELLULE PORTENT SUR MOINS DE CINQ ÏTABLISSEMENTS OU SUR MOINS DE ÏLÒVES PAR EXEMPLE
M LES DONNÏES NE SONT PAS DISPONIBLES $ANS LA PLUPART DES CAS LES DONNÏES ONT ÏTÏ RECUEILLIES MAIS
RETIRÏES DE LA PUBLICATION SOIT Ì LA DEMANDE DU PAYS CONCERNÏ SOIT EN RAISON DE CONSIDÏRATIONS
TECHNIQUES
X LES DONNÏES FIGURENT DANS UNE AUTRE CATÏGORIE OU COLONNE DU TABLEAU
#ALCUL DES MOYENNES INTERNATIONALES
5NE MOYENNE DE L/#$% A ÏTÏ CALCULÏE POUR LA PLUPART DES INDICATEURS PRÏSENTÏS DANS CE RAPPORT
,A VALEUR TOTALE REPRÏSENTANT LENSEMBLE DU TERRITOIRE DE L/#$% A ÏGALEMENT ÏTÏ CALCULÏE POUR
CERTAINS INDICATEURS
n ,A MOYENNE DE L/#$% AUSSI APPELÏE MOYENNE DES PAYS EST LA MOYENNE DES VALEURS DE TOUS LES
PAYS DE L/#$% POUR LESQUELS DES DONNÏES SONT DISPONIBLES OU PEUVENT ÐTRE ESTIMÏES ,A MOYENNE
DE L/#$% SERT NOTAMMENT Ì COMPARER LA VALEUR DUN INDICATEUR DUN PAYS DONNÏ Ì CELLE DUN
PAYS TYPIQUE DE L/#$% %LLE NE TIENT PAS COMPTE DES EFFECTIFS ABSOLUS DÏLÒVES DANS LES PAYS %N
DAUTRES TERMES CHAQUE PAYS INTERVIENT DE LA MÐME MANIÒRE DANS LA MOYENNE
n 0OUR LE TOTAL DE L/#$% ON CONSIDÒRE QUE LE GROUPE DES PAYS DE L/#$% CONSTITUE UNE SEULE
ENTITÏ Ì LAQUELLE CHAQUE PAYS CONTRIBUE EN FONCTION DU NOMBRE DES ÏLÒVES DE ANS INSCRITS DANS SES
ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT VOIR LANNEXE ! POUR LES DONNÏES CHIFFRÏES Ì CET ÏGARD ,E TOTAL
DE L/#$% PERMET DE COMPARER LES PAYS PAR RAPPORT Ì LA SITUATION GÏNÏRALE DE L/#$%
,ES VALEURS DE TROIS PAYS DE L/#$% Ì SAVOIR LES 0AYS "AS LA 2ÏPUBLIQUE SLOVAQUE DEVENUE MEMBRE
DE L/#$% EN ET LA 4URQUIE SONT EXCLUES DES CALCULS DE MOYENNE OU DAUTRES ESTIMATIONS
GLOBALES ,ES 0AYS "AS ONT ÏTÏ EXCLUS CAR DES ESTIMATIONS FIABLES DE SCORE MOYEN NONT PU ÐTRE
CALCULÏES EN RAISON DE TAUX DE RÏPONSE INSUFFISANTS VOIR LANNEXE ! ,A 2ÏPUBLIQUE SLOVAQUE ET LA
4URQUIE NE PARTICIPERONT AU 0)3! QUÌ PARTIR DU CYCLE DÏVALUATION DE
'5)$% $5 ,%#4%52
0AR AILLEURS IL ARRIVE QUE LES DONNÏES DE CERTAINS PAYS NE SOIENT PAS DISPONIBLES POUR DES INDICATEURS
SPÏCIFIQUES OU QUE DES CATÏGORIES PARTICULIÒRES DE DONNÏES NE SOIENT PAS APPLIQUÏES ,ES LECTEURS
DOIVENT DONC GARDER Ì LESPRIT QUE LES TERMES -OYENNE DE L/#$% ET 4OTAL DE L/#$% FONT RÏFÏRENCE AUX
PAYS DE L/#$% QUI FONT LOBJET DUNE COMPARAISON
0RÏSENTATION DES DONNÏES RELATIVES AUX ÏLÒVES
,E RAPPORT DÏSIGNE SOUVENT LA POPULATION CIBLE DU 0)3! PAR LEXPRESSION i LES JEUNES DE ANS w
0RATIQUEMENT LA POPULATION CIBLE COMPREND LES ÏLÒVES DONT LÊGE SE SITUAIT ENTRE ANS ET TROIS
MOIS ACCOMPLIS ET ANS ET DEUX MOIS ACCOMPLIS AU DÏBUT DE LA PÏRIODE DÏVALUATION ET QUI
ÏTAIENT INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT QUELS QUE SOIENT LEUR ANNÏE DÏTUDES LE
TYPE DÏTABLISSEMENT FRÏQUENTÏ ET LEUR MODE DE SCOLARISATION Ì PLEIN TEMPS OU Ì TEMPS PARTIEL VOIR
LANNEXE ! POUR DES INFORMATIONS PLUS DÏTAILLÏES Ì CET ÏGARD
0RÏSENTATION DES DONNÏES RELATIVES AUX ÏTABLISSEMENTS
,ES CHEFS DES ÏTABLISSEMENTS FRÏQUENTÏS PAR LES ÏLÒVES SOUMIS Ì LÏVALUATION ONT ÏTÏ PRIÏS DE REMPLIR
UN QUESTIONNAIRE PORTANT SUR LES CARACTÏRISTIQUES DE LEUR ÏCOLE ,ES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENT
PRÏSENTÏES DANS CE RAPPORT ONT ÏTÏ PONDÏRÏES DE MANIÒRE Ì REPRÏSENTER LE NOMBRE DE JEUNES DE ANS
INSCRITS DANS CHAQUE ÏTABLISSEMENT
!RRONDIS
$ANS CERTAINS TABLEAUX IL ARRIVE QUE LA SOMME DES CHIFFRES NE CORRESPONDE PAS EXACTEMENT AU TOTAL
MENTIONNÏ EN RAISON DES AJUSTEMENTS DARRONDIS ,ES TOTAUX LES DIFFÏRENCES ET LES MOYENNES SONT
SYSTÏMATIQUEMENT CALCULÏS Ì PARTIR DES CHIFFRES EXACTS )LS NE SONT ARRONDIS QUUNE FOIS CALCULÏS
!BRÏVIATIONS UTILISÏES DANS CE VOLUME
#)4% #LASSIFICATION INTERNATIONALE TYPE DE LÏDUCATION
%C T ³CART TYPE
%R T %RREUR TYPE
0)" 0RODUIT INTÏRIEUR BRUT
00! 0ARITÏS DE POUVOIR DACHAT
02 0ROBABILITÏ DE RÏPONSE
)NFORMATIONS COMPLÏMENTAIRES
0OUR PLUS DINFORMATIONS SUR LES INSTRUMENTS DÏVALUATION DE 0)3! ET LES MÏTHOSES UTILISÏES VOIR LE
2APPORT TECHNIQUE DE 0)3! DISPONIBLE EN FÏVRIER ET LE SITE )NTERNET DE 0)3! WWWPISAOECDORG
#HAPITRE
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iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
)NTRODUCTION
#E CHAPITRE DRESSE LÏTAT DES LIEUX DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EN COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT
iÊV
>«ÌÀiÊiÝ«µÕiÊ n )L COMMENCE PAR EXPLIQUER LA MANIÒRE DONT 0)3! ÏVALUE LES COMPÏTENCES DE
ViÌÊiÊ*-ÊjÛ>ÕiÊ>Ê COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET DÏCRIT LES TROIS ÏCHELLES SUR LESQUELLES DES SCORES
V«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌo SONT ATTRIBUÏS AUX ÏLÒVES EN FONCTION DE LEUR PERFORMANCES PAR RAPPORT Ì DES
TÊCHES DE DIFFÏRENTS NIVEAUX DE DIFFICULTÏ
oVLiÊ`½jmÛiÃÊÃiÊ n )L SE POURSUIT PAR UNE DESCRIPTION DES COMPÏTENCES DANS CHAQUE PAYS BASÏE
ÃÌÕiÌÊ>ÕÝÊ`vvjÀiÌÃÊ SUR LE SPECTRE DE PERFORMANCES DE SES ÏLÒVES 0OUR FACILITER CETTE DESCRIPTION
Ûi>ÕÝÊ`iÊV«jÌiViÊ CHAQUE ÏCHELLE A ÏTÏ DIVISÏE EN CINQ NIVEAUX DE COMPÏTENCE CROISSANTS ET LA
iÊV«Àj
iÃÊ RÏPARTITION DE CHAQUE PAYS EST EXPRIMÏE EN TERMES DE POURCENTAGE DES ÏLÒVES
`iʽjVÀÌo PAR NIVEAU #ETTE GRADATION EST ILLUSTRÏE PAR DES EXEMPLES DES TÊCHES QUE
LES ÏLÒVES DOIVENT ACCOMPLIR DE MANIÒRE SATISFAISANTE POUR ATTEINDRE CHAQUE
NIVEAU SUCCESSIF
oiÌÊViÌÊiÃÊ n %NFIN IL PRÏSENTE UNE SYNTHÒSE DES PERFORMANCES DANS CHAQUE PAYS BASÏE SUR
«iÀvÀ>ViÃÊÃÌÊÀj«>ÀÌiÃÊ LES RÏSULTATS MOYENS DES ÏLÒVES ET EXPLIQUE LA RÏPARTITION DES RÏSULTATS DANS LES
`>ÃÊiÃÊ`vvjÀiÌÃÊ«>Þð POPULATIONS DÏLÒVES
iÃÊV
>«ÌÀiÃÊÎÊiÌÊ{Ê ,E CHAPITRE ÏTOFFE CETTE DESCRIPTION PAR UNE ANALYSE DES PERFORMANCES DES
iÝ>iÀÌÊ>ÊVÕÌÕÀiÊ ÏLÒVES EN MATHÏMATIQUES ET EN SCIENCES ET ANALYSE EN QUOI LES PERFORMANCES DANS
>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊ CES DEUX DOMAINES DIFFÒRENT DE CELLES DANS LE DOMAINE DE LA COMPRÏHENSION DE
ÃViÌvµÕiÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÌÊ LÏCRIT ,E CHAPITRE COMPLÒTE LE PROFIL PAR DES DONNÏES SUR LA FA ON DONT LES
iÕÀÃÊÃÌÀ>Ìj}iÃÊ ÏLÒVES PER OIVENT EUX
MÐMES LEUR FAMILIARITÏ AVEC LINFORMATIQUE LEURS STRATÏ
`½>««ÀiÌÃÃ>}i° GIES DAPPRENTISSAGE ET CERTAINS ACQUIS NON COGNITIFS #ES ACQUIS SONT IMPORTANTS
DANS LE DOMAINE DE LAPPRENTISSAGE POUR LA VIE ET PORTENT SUR LA MOTIVATION DES
ÏLÒVES LEUR ENGAGEMENT ET LEUR CONFIANCE EN LEURS PROPRES CAPACITÏS
,ÏVALUATION DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DANS 0)3!
iÊ*-ÊÓäääÊ>Ê«À«ÃjÊ ,E CONCEPT DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DANS LE 0)3! SARTICULE AUTOUR DE
>ÕÝÊjmÛiÃÊÕÊjÛiÌ>Ê TROIS DIMENSIONS QUI ONT ORIENTÏ LE DÏVELOPPEMENT DE LÏVALUATION LE TYPE DE
`iÊÌ@V
iÃÊ`iÊiVÌÕÀiÊ TÊCHE DE LECTURE LA FORME ET LA STRUCTURE DE LÏCRIT ET LUSAGE AUQUEL EST DESTINÏ
v`jiÃÊÃÕÀÊ`vvjÀiÌiÃÊ LE TEXTE ,A COMPÏTENCE INDIVIDUELLE EST LA MIEUX COMPRISE Ì LAUNE DE CETTE
vÀiÃÊ`½jVÀÌÃÊiÌÊ`iÃÊ PREMIÒRE DIMENSION ,ES DEUX AUTRES SONT DES PROPRIÏTÏS DU MATÏRIEL Ì PARTIR
VÌiÝÌiÃÊÛ>ÀjÃo DUQUEL LES TÊCHES SONT ÏLABORÏES CE SONT DES DIMENSIONS QUI ONT CONTRIBUÏ Ì
VEILLER Ì CE QUE LES TESTS COMPRENNENT UNE GAMME ÏTENDUE DE TÊCHES DIVERSES
oiÌÊ>ÊjÛ>ÕjÊiÕÀÃÊ ,A DIMENSION DU i TYPE DE TÊCHE DE LECTURE w EST MESURÏE SUR TROIS ÏCHELLES
V«jÌiViÃÊDÊÀiÌÀÕÛiÀÊ ,ÏCHELLE i 2ETROUVER DE LINFORMATION w RENVOIE Ì LA CAPACITÏ DES ÏLÒVES Ì
`iʽvÀ>Ì]ÊDÊ LOCALISER DES INFORMATIONS DANS UN TEXTE LÏCHELLE i $ÏVELOPPER UNE INTERPRÏTA
`jÛi««iÀÊÕiÊ TION w Ì LEUR CAPACITÏ Ì DÏGAGER DU SENS ET Ì ÏTABLIR DES INFÏRENCES AU DÏPART DE
ÌiÀ«ÀjÌ>Ì]Ê LÏCRIT ET LÏCHELLE i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w Ì LEUR CAPACITÏ Ì METTRE
iÌÊDÊÀjvjV
ÀÊÃÕÀÊiÊ LE TEXTE EN RELATION AVEC LEURS CONNAISSANCES LEURS IDÏES ET LEURS EXPÏRIENCES
VÌiÕÊ`ÕÊÌiÝÌio ,ES RÏSULTATS OBTENUS SUR LES TROIS ÏCHELLES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SONT
SYNTHÏTISÏS SUR UNE ÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌÊÊÊ#(!0)42% Ê
,ÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SARTICULE AUTOUR DUNE °°°ÃÕÀÊ`iÃÊjV
iiÃÊÙÊiÃÊ
MOYENNE FIXÏE Ì POINTS POUR FACILITER LINTERPRÏTATION DES RÏSULTATS DES `iÕÝÊÌiÀÃÊ`iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ
ÏLÒVES LE SCORE DE DEUX TIERS ENVIRON DES ÏLÒVES DES PAYS DE L/#$% SE SITUE `iÃÊjmÛiÃÊÃiÊÃÌÕiÌ]ÊDÊ
ENTRE ET POINTS #ES RÏFÏRENCES FOURNISSENT DES i POINTS DANCRAGE w £ääÊ«ÌÃÊ«ÀmÃ]Ê>ÕÌÕÀÊ
POUR FIXER LÏVALUATION DES COMPÏTENCES DES ÏLÒVES DU 0)3! ,ES RÏSULTATS `iÊ>ÊÞiiÊvÝjiÊDÊ
MOYENS DES ÏLÒVES SUR LES TROIS ÏCHELLES QUI CONSTITUENT LÏCHELLE COMBINÏE DE xääÊ«Ìð
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SÏCARTENT LÏGÒREMENT DE
,ES RÏSULTATS OBTENUS SUR CHAQUE ÏCHELLE CORRESPONDENT AUX NIVEAUX DE COMPÏ
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊÃÌÊ
TENCE ASSOCIÏS Ì UN ASPECT PARTICULIER DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT !INSI UN ÃÞÌ
jÌÃjÃÊiÊVµÊ
RÏSULTAT PEU ÏLEVÏ SUR LÏCHELLE i $ÏVELOPPER UNE INTERPRÏTATION w INDIQUE QUE Ûi>ÕÝÊ`iÊ
LÏLÒVE EST LIMITÏ DANS LES COMPÏTENCES QUI LUI PERMETTRAIENT DE COMPRENDRE V«jÌiVio
DES RELATIONS DE DÏGAGER DU SENS OU DÏTABLIR DES INFÏRENCES AU DÏPART DUNE OU
DE PLUSIEURS PARTIES DUN TEXTE ÏCRIT 0AR CONTRASTE UN RÏSULTAT ÏLEVÏ SUR CETTE
ÏCHELLE SIGNIFIE QUE LÏLÒVE A DE GRANDES CAPACITÏS DANS CE DOMAINE
)L Y A DES TÊCHES PLUS FACILES ET PLUS DIFFICILES POUR CHACUNE DES TROIS ÏCHELLES DE
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET IL NEXISTE PAS DE HIÏRARCHIE ENTRE LES TROIS ÏCHELLES
#HACUNE DES TROIS ÏCHELLES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT COMPTE CINQ NIVEAUX DE
CONNAISSANCE ET DE COMPÏTENCE ,E NIVEAU CORRESPOND Ì DES RÏSULTATS SUPÏRIEURS
Ì POINTS LE NIVEAU Ì DES RÏSULTATS COMPRIS ENTRE ET POINTS LE
NIVEAU Ì DES RÏSULTATS COMPRIS ENTRE ET POINTS LE NIVEAU Ì DES
RÏSULTATS COMPRIS ENTRE ET POINTS ET ENFIN LE NIVEAU Ì DES RÏSULTATS
COMPRIS ENTRE ET POINTS
,ES ÏLÒVES AYANT ATTEINT UN CERTAIN NIVEAU DISPOSENT NON SEULEMENT DES CONNAISSANCES oiÌÊiÃÊjmÛiÃÊÃiÊÃÌÕiÌÊ
ET COMPÏTENCES ASSOCIÏES Ì CE NIVEAU MAIS AUSSI DE CELLES REQUISES POUR ATTEINDRE >ÕÊÛi>ÕÊiÊ«ÕÃÊjiÛjÊ
LES NIVEAUX INFÏRIEURS %N CONSÏQUENCE TOUS LES ÏLÒVES SITUÏS AU NIVEAU POSSÒDENT >ÕµÕiÊÊý>ÌÌi`ÊDÊ
LES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES REQUISES PAR LES NIVEAUX ET 4OUS LES ÏLÒVES ViʵսÃÊ>VV«ÃÃiÌÊ
DUN NIVEAU DONNÏ SONT CENSÏS RÏPONDRE CORRECTEMENT Ì LA MOITIÏ AU MOINS DES VÀÀiVÌiiÌÊ>Ê«Õ«>ÀÌÊ
ITEMS CORRESPONDANT Ì CE NIVEAU `iÃÊÌ@V
ið
,ES ÏLÒVES DONT LE RÏSULTAT EST INFÏRIEUR Ì POINTS CEST
Ì
DIRE CEUX QUI
NONT PAS ATTEINT LE NIVEAU NE SONT PAS CAPABLES DE METTRE COURAMMENT EN
UVRE LES COMPÏTENCES LES PLUS ÏLÏMENTAIRES QUE 0)3! CHERCHE Ì MESURER
,ES PERFORMANCES INFÏRIEURES AU NIVEAU NE SIGNIFIENT PAS QUE CES ÏLÒVES NE
POSSÒDENT AUCUNE COMPÏTENCE EN LECTURE MAIS ELLES INDIQUENT LA PRÏSENCE
DE DÏFICIENCES GRAVES DANS LA CAPACITÏ DES ÏLÒVES Ì UTILISER LA LECTURE COMME
UN OUTIL DACQUISITION DE CONNAISSANCES ET DE COMPÏTENCES DANS DAUTRES
DOMAINES
,A SUBDIVISION SIMULTANÏE DES ÏCHELLES EN NIVEAUX DE DIFFICULTÏ ET DE PERFORMANCE
>µÕiÊÛi>ÕÊ«iÕÌÊkÌÀiÊ
DES ÏLÒVES SERT NON SEULEMENT Ì CLASSER LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES MAIS ÏGALEMENT `jVÀÌÊiÊvVÌÊ`iÊViÊ
Ì DÏCRIRE LEURS APTITUDES VOIR LA FIGURE #HAQUE NIVEAU SUCCESSIF DE COMPÏTENCE `ÌÊÃÌÊV>«>LiÃÊiÃÊ
EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST ASSOCIÏ Ì DES TÊCHES DONT LA DIFFICULTÏ VA CROISSANT jmÛiÃÊDÊViÊÛi>Õ°
$ES PANELS DEXPERTS ONT ÏTABLI QUE LES TÊCHES CLASSÏES DANS CHAQUE NIVEAU DE
COMPÏTENCE PARTAGEAIENT DE NOMBREUSES CARACTÏRISTIQUES ET EXIGENCES ET QUELLES
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
}ÕÀiÊÓ°£
#E QUE MESURENT LES ÏCHELLES DE COMPÏTENCE
2ETROUVER DE LgINFORMATION )NTERPRÏTER LE TEXTE 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE
1UgÏVALUE T ON SUR CHACUNE DES ÏCHELLES DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT
i 2ETROUVER DE LgINFORMATION w CONSISTE Ì LOCALISER i )NTERPRÏTER LE TEXTE w CONSISTE Ì CONSTRUIRE DU i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w CONSISTE Ì
UN OU PLUSIEURS ÏLÏMENTS DgINFORMATION DANS UN SENS ET FAIRE DES INFÏRENCES Ì PARTIR DgUNE OU RELIER UN TEXTE Ì SES PROPRES EXPÏRIENCES
TEXTE PLUSIEURS PARTIES DgUN TEXTE CONNAISSANCES ET IDÏES
#ARACTÏRISTIQUES DES TÊCHES ASSOCIÏES AU DEGRÏ DE DIFFICULTÏ ASCENDANT SUR CHACUNE DES TROIS ÏCHELLES DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT
,E DEGRÏ DE DIFFICULTÏ DÏPEND DU NOMBRE DgÏLÏMENTS ,E DEGRÏ DE DIFFICULTÏ DÏPEND DU TYPE DgINTERPRÏTATION ,E DEGRÏ DE DIFFICULTÏ DÏPEND DU TYPE DE RÏFLEXION
DgINFORMATION QUgIL FAUT LOCALISER ,A DIFFICULTÏ DEMANDÏE LES TÊCHES LES PLUS FACILES DEMANDENT DEMANDÏE LES TÊCHES LES PLUS FACILES EXIGENT DU
DÏPEND ÏGALEMENT DU NOMBRE DE CONDITIONS Ì DgIDENTIFIER LgIDÏE MAÔTRESSE DgUN TEXTE LES TÊCHES PLUS LECTEUR DE METTRE LgÏCRIT EN RELATION AVEC SA PROPRE
REMPLIR POUR LOCALISER LgINFORMATION REQUISE ET COMPLEXES EXIGENT DE COMPRENDRE DES RELATIONS QUI EXPÏRIENCE EN TROUVANT UNE EXPLICATION OU EN
SgIL Y A LIEU DE PRÏSENTER LgINFORMATION RETROUVÏE FONT PARTIE INTÏGRANTE DU TEXTE ET LES PLUS DIFFICILES ÏTABLISSANT DES LIENS ASSEZ SIMPLES LES TÊCHES PLUS
DANS UN ORDRE DONNÏ OU NON ,A DIFFICULTÏ DgUNE DgENTRE ELLES REQUIÒRENT SOIT LgINTELLIGENCE DU SENS COMPLEXES APPELLENT UNE HYPOTHÒSE OU UNE
TÊCHE VARIE SELON QUE LgINFORMATION EST PLUS OU DgUN CERTAIN LANGAGE DANS UN CONTEXTE DONNÏ SOIT UN ÏVALUATION ,A DIFFICULTÏ VARIE SELON LE CARACTÒRE
MOINS MISE EN ÏVIDENCE DANS LE TEXTE OU EN FONCTION RAISONNEMENT ANALOGIQUE ,E DEGRÏ DE DIFFICULTÏ FAMILIER OU NON DES CONNAISSANCES EXTÏRIEURES
DU CARACTÒRE PLUS OU MOINS FAMILIER DU CONTEXTE DÏPEND AUSSI DE LA MESURE DANS LAQUELLE LE TEXTE AUXQUELLES LE LECTEUR DEVRA FAIRE APPEL LA
$gAUTRES CARACTÏRISTIQUES AFFECTANT LE DEGRÏ DE FOURNIT EXPLICITEMENT LES IDÏES OU LgINFORMATION DONT COMPLEXITÏ DU TEXTE LE NIVEAU REQUIS DE
DIFFICULTÏ DgUNE TÊCHE SONT NOTAMMENT LA COMPLEXITÏ LE LECTEUR A BESOIN POUR ACCOMPLIR LA TÊCHE DEMANDÏE COMPRÏHENSION DU TEXTE LA MESURE DANS LAQUELLE
DU TEXTE OU LgOCCURRENCE DgINFORMATIONS ,A DIFFICULTÏ DgUNE TÊCHE VARIE SELON QUE LgINFORMATION LE LECTEUR EST EXPLICITEMENT ORIENTÏ VERS LES FACTEURS
CONTRADICTOIRES ET LEUR DENSITÏ EST PLUS OU MOINS MISE EN ÏVIDENCE DANS LE TEXTE ET PERTINENTS Ì LA FOIS DANS LA TÊCHE ET DANS LE TEXTE
SELON LA QUANTITÏ DgINFORMATIONS CONTRADICTOIRES
%NFIN LA LONGUEUR ET LA COMPLEXITÏ DU TEXTE ET LE
CARACTÒRE PLUS OU MOINS FAMILIER DE SON CONTENU
AFFECTENT ÏGALEMENT LE DEGRÏ DE DIFFICULTÏ
.IVEAU
,OCALISER ET ÏVENTUELLEMENT ORDONNER OU 3OIT DÏGAGER LE SENS DgUN LANGAGE NUANCÏ SOIT 0ROCÏDER Ì DES ÏVALUATIONS CRITIQUES ET ÏLABORER
COMBINER DE MULTIPLES FRAGMENTS DgINFORMATION FAIRE PREUVE DgUNE COMPRÏHENSION EXHAUSTIVE ET DES HYPOTHÒSES EN FAISANT APPEL Ì DES CONNAISSANCES
PARFAITEMENT DISSIMULÏS DANS LE TEXTE DONT APPROFONDIE DU TEXTE SPÏCIALISÏES 4RAITER DES NOTIONS INATTENDUES ET
CERTAINS PEUVENT SE SITUER Ì LgEXTÏRIEUR DU CORPS RECOURIR Ì UNE COMPRÏHENSION APPROFONDIE DE
DU TEXTE %N EXTRAIRE LES INFORMATIONS PERTINENTES TEXTES LONGS OU COMPLEXES
POUR LA TÊCHE Ì ACCOMPLIR 4RAITER DES INFORMATIONS
CONTRADICTOIRES FORT PLAUSIBLES ETOU TRÒS FOUILLÏES
,OCALISER ET ÏVENTUELLEMENT ORDONNER OU 5TILISER UNE INFÏRENCE TEXTUELLE DE HAUT NIVEAU 2ECOURIR Ì DES CONNAISSANCES FORMELLES OU DU
COMBINER DE MULTIPLES FRAGMENTS DgINFORMATION POUR APPRÏHENDER LE TEXTE ET APPLIQUER DES DOMAINE PUBLIC POUR FORMULER DES HYPOTHÒSES
DISSIMULÏS DANS LE TEXTE DONT CHACUN PEUT DEVOIR CATÏGORIES Ì UN CONTEXTE PEU FAMILIER $ÏGAGER AU SUJET DgUN TEXTE &AIRE PREUVE DgUNE
RÏPONDRE Ì PLUSIEURS CRITÒRES ET CE DANS UN TEXTE LE SENS DgUNE SECTION DU TEXTE TOUT EN CONSIDÏRANT COMPRÏHENSION PRÏCISE DE TEXTES LONGS OU
DONT LE CONTEXTE OU LA FORME NE SONT PAS FAMILIERS LE TEXTE DANS SON ENSEMBLE 4RAITER DES AMBIGUÕTÏS COMPLEXES
%N EXTRAIRE LES INFORMATIONS PERTINENTES POUR LA DES NOTIONS INATTENDUES ET DES IDÏES FORMULÏES
TÊCHE Ì ACCOMPLIR SOUS LEUR FORME NÏGATIVE
,OCALISER DES FRAGMENTS DgINFORMATION ET DANS )NTÏGRER PLUSIEURS PARTIES DgUN TEXTE POUR EN ³TABLIR DES CONNEXIONS OU FAIRE DES COMPARAISONS
CERTAINS CAS RECONNAÔTRE LA RELATION ENTRE CES IDENTIFIER LgIDÏE MAÔTRESSE COMPRENDRE UNE OU ÏVALUER UNE CARACTÏRISTIQUE DgUN TEXTE &AIRE
FRAGMENTS DONT CHACUN PEUT DEVOIR RÏPONDRE Ì RELATION OU INFÏRER LE SENS DgUN MOT OU DgUNE PREUVE DgUNE COMPRÏHENSION DÏTAILLÏE DU TEXTE
PLUSIEURS CRITÒRES 4RAITER DES INFORMATIONS PHRASE #OMPARER CONTRASTER OU CLASSER PAR PAR RAPPORT Ì DES CONNAISSANCES FAMILIÒRES DE LA
CONTRADICTOIRES MISES EN ÏVIDENCE CATÏGORIES EN TENANT COMPTE DE NOMBREUX VIE COURANTE OU RECOURIR Ì DES CONNAISSANCES
CRITÒRES 4RAITER DES INFORMATIONS CONTRADICTOIRES MOINS ACCESSIBLES
,OCALISER UN OU PLUSIEURS ÏLÏMENTS DgINFORMATION )DENTIFIER LgIDÏE MAÔTRESSE DgUN TEXTE COMPRENDRE &AIRE UNE COMPARAISON OU ÏTABLIR DES LIENS ENTRE
DONT CHACUN PEUT DEVOIR RÏPONDRE Ì PLUSIEURS DES RELATIONS CONSTITUER OU APPLIQUER DES LE TEXTE ET DES CONNAISSANCES EXTÏRIEURES OU
CRITÒRES 4RAITER DES INFORMATIONS CONTRADICTOIRES CATÏGORIES ÏLÏMENTAIRES OU DÏGAGER DU SENS DgUNE EXPLIQUER UNE CARACTÏRISTIQUE DU TEXTE EN SE
PARTIE LIMITÏE DU TEXTE LORSQUE LgINFORMATION NgEST FONDANT SUR LgEXPÏRIENCE ET DES ATTITUDES
PAS MISE EN ÏVIDENCE ET QUgIL EST FAIT APPEL Ì DES PERSONNELLES
INFÏRENCES DE BAS NIVEAU
,OCALISER UNE OU PLUSIEURS INFORMATIONS DISTINCTES )DENTIFIER LE THÒME PRINCIPAL OU LgINTENTION DE ³TABLIR UNE RELATION SIMPLE ENTRE LgINFORMATION
EXPLICITEMENT MENTIONNÏES DANS LE TEXTE EN LgAUTEUR DANS UN TEXTE SUR UN SUJET FAMILIER LORSQUE DU TEXTE ET DES CONNAISSANCES FAMILIÒRES DE LA VIE
NgAPPLIQUANT QUgUN SEUL CRITÒRE LgINFORMATION REQUISE EST MISE EN ÏVIDENCE DANS COURANTE
LE TEXTE
3OURCE 0)3!/#$%
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌÊÊÊ#(!0)42% Ê
SE DISTINGUAIENT SYSTÏMATIQUEMENT DES TÊCHES CORRESPONDANT Ì DES NIVEAUX
INFÏRIEURS OU SUPÏRIEURS ,A DIFFICULTÏ SUPPOSÏE DES TÊCHES RESPECTIVES A ENSUITE
ÏTÏ VALIDÏE EMPIRIQUEMENT SUR BASE DES PERFORMANCES RÏALISÏES PAR LES ÏLÒVES
DES PAYS PARTICIPANTS
,ES TÊCHES ADMINISTRÏES LORS DE LÏVALUATION DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DU
CYCLE 0)3! VARIENT GRANDEMENT EN FONCTION DU TYPE DE TEXTE DE SITUATION
ET DEXIGENCE VOIR LE CHAPITRE AINSI QUEN FONCTION DU DEGRÏ DE DIFFICULTÏ
,A FIGURE MONTRE DES EXEMPLES DITEMS PROVENANT DE TROIS DES UNITÏS
CONTENANT DES TÊCHES QUI ONT ÏTÏ ADMINISTRÏES LORS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3!
ET INDIQUE LES COMPÏTENCES EN LECTURE QUI Y SONT ASSOCIÏES ET QUE LES ÏLÒVES
DOIVENT METTRE EN UVRE AUX DIVERS NIVEAUX DES TROIS ÏCHELLES DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT ,ES DESCRIPTIONS EXPLIQUENT LES COMPÏTENCES ÏVALUÏES PAR CHAQUE
ITEM ET PERMETTENT DE CERNER LA GAMME DE PROCESSUS DEMANDÏS AUX ÏLÒVES
ET LES COMPÏTENCES QUILS DOIVENT EXPLOITER AUX DIVERS ÏCHELONS DES ÏCHELLES
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT 5N JEU PLUS COMPLET DEXEMPLES DE TÊCHES SONT
DISPONIBLES SUR WWWPISAOECDORG
)L RESSORT Ì LA LECTURE n MÐME SUPERFICIELLE n DE LA FIGURE QUE LES TÊCHES iÃÊÌ@V
iÃÊÃÌÕjiÃÊ>ÕÊ
CORRESPONDANT AU NIVEAU INFÏRIEUR DES ÏCHELLES REQUIÒRENT DES COMPÏTENCES TRÒS L>ÃÊ`iÃÊÌÀÃÊjV
iiÃÊ
DIFFÏRENTES DE CELLES SITUÏES AU NIVEAU SUPÏRIEUR DES ÏCHELLES COMME PRÏVU `iÊV«Àj
iÃÊ`iÊ
,ANALYSE PLUS APPROFONDIE DE LA GAMME DES TÊCHES ASSOCIÏES AUX DIVERS NIVEAUX ½jVÀÌÊÃVÌiÌÊ
DES ÏCHELLES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PERMET DE CERNER UN GROUPE ORDONNÏ ½ÕÌÃ>ÌÊ`ÀiVÌiÊiÌÊ
DE STRATÏGIES ET DE COMPÏTENCES EN MATIÒRE DÏLABORATION DE CONNAISSANCES ÌÌjÀ>iÊ`ÕÊÌiÝÌi°
!INSI TOUTES LES TÊCHES DE LÏCHELLE i 2ETROUVER DE LINFORMATION w DEMANDENT
AUX ÏLÒVES DE LOCALISER DES INFORMATIONS QUI FIGURENT DANS UN TEXTE OU DANS
UN AUTRE TYPE DÏCRIT ,ES TÊCHES LES PLUS SIMPLES DE CETTE ÏCHELLE INVITENT LES
ÏLÒVES Ì LOCALISER SUR BASE DUN CRITÒRE UNIQUE DES INFORMATIONS EXPLICITEMENT
MENTIONNÏES DANS UN TEXTE QUI CONTIENT PEU OU PAS DAUTRES INFORMATIONS
%NCADRÏ #OMMENT LIRE LA FIGURE
4OUT COMME LES ÏLÒVES PEUVENT SE VOIR ATTRIBUER UN SCORE DE PERFORMANCE SUR CHACUNE DES ÏCHELLES
0)3! LES TÊCHES PEUVENT ÐTRE LOCALISÏES SUR CES ÏCHELLES EN FONCTION DE LEUR DIFFICULTÏ ,ES RÏSULTATS
SONT ATTRIBUÏS AUX ÏLÒVES EN FONCTION DE LEURS PERFORMANCES AUX ÏPREUVES DÏVALUATION ALORS QUE LA
DIFFICULTÏ DES TÊCHES EST DÏDUITE DES PERFORMANCES AUXQUELLES ELLES DONNENT LIEU DANS TOUS LES PAYS
° TITRE DEXEMPLE CITONS LA QUESTION DE LUNITÏ DE LECTURE 'RAFFITI PRÏSENTÏE Ì LA FIGURE ,E
DEGRÏ DE DIFFICULTÏ THÏORIQUE DE CETTE QUESTION Oá IL EST DEMANDÏ AUX ÏLÒVES DE COMPARER DES OPINIONS
EXPRIMÏES DANS DEUX TEXTES COURTS Ì LEURS PROPRES POINTS DE VUE ET ATTITUDES CORRESPOND Ì UN SCORE
DE POINTS /N ATTEND DES ÏLÒVES DONT LE SCORE CORRESPOND Ì POINTS SUR LÏCHELLE QUILS PUISSENT
MENER Ì BIEN TOUTE TÊCHE DONT LA DIFFICULTÏ NEST PAS SUPÏRIEURE Ì CE POINT DE LÏCHELLE #ELA NE SIGNIFIE
PAS POUR AUTANT QUE TOUS LES ÏLÒVES AYANT OBTENU UN SCORE ÏGAL OU SUPÏRIEUR Ì POINTS RÏPONDRONT
CORRECTEMENT Ì CETTE QUESTION NI QUE TOUS CEUX DONT LE SCORE EST INFÏRIEUR Ì POINTS Y RÏPONDRONT
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
MAL NI MÐME QUE TOUS LES ÏLÒVES DONT LE SCORE EST ÏGAL Ì RÏPONDRONT CORRECTEMENT Ì TOUS LES ITEMS
SE SITUANT Ì UN POINT INFÏRIEUR SUR LÏCHELLE ET INCORRECTEMENT Ì TOUS LES ITEMS DUNE DIFFICULTÏ THÏORIQUE
SUPÏRIEURE ,A DIFFICULTÏ DES TÊCHES EST ÏTABLIE DE SORTE QUE LES ÏLÒVES SE SITUANT AU MÐME NIVEAU SUR
LÏCHELLE QUE LA DIFFICULTÏ DUN ITEM DONNÏ ONT UNE PROBABILITÏ CONNUE DY RÏPONDRE CORRECTEMENT ,ES
ÏLÒVES DONT LE SCORE EST SUPÏRIEURINFÏRIEUR Ì POINTS ONT DAVANTAGEMOINS DE CHANCES DE RÏPONDRE
CORRECTEMENT Ì LITEM CITÏ EN EXEMPLE ET AUX AUTRES ITEMS SIMILAIRES
,ES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì CERTAINES QUESTIONS Ì RÏPONSE OUVERTE PEUVENT ÐTRE PARTIELLEMENT CORRECTES
CE QUI CORRESPOND Ì UN RÏSULTAT INFÏRIEUR SUR LÏCHELLE DE COMPÏTENCE QUE CELUI DUNE RÏPONSE TOUT
Ì FAIT CORRECTE
}ÕÀiÊÓ°Ó
%XEMPLES DgITEMS DE LECTURE ADMINISTRÏS DANS 0)3!
'2!&&)4)
*E BOUS DE RAGE EN VOYANT QUE LE MUR DE LgÏCOLE /N NgA PAS Ì RENDRE COMPTE DE SES GOßTS .OTRE
A ÏTÏ NETTOYÏ ET REPEINT POUR LA QUATRIÒME FOIS SOCIÏTÏ EST ENVAHIE PAR LA COMMUNICATION ET LA
CONSÏCUTIVE POUR EFFACER DES GRAFFITI ,A PUBLICITÏ ,OGOS DgENTREPRISES NOMS DE BOUTIQUES
CRÏATIVITÏ EST ADMIRABLE MAIS LES GENS DEVRAIENT )MMENSES AFFICHES SgIMPOSANT PARTOUT DANS LES RUES
TROUVER LE MOYEN DE SgEXPRIMER SANS INFLIGER 3ONT
ELLES ACCEPTABLES /UI POUR LA PLUPART ,ES
DES COßTS SUPPLÏMENTAIRES Ì LA SOCIÏTÏ GRAFFITI SONT
ILS ACCEPTABLES #ERTAINS DISENT QUE
0OURQUOI TENEZ
VOUS Ì TERNIR LA RÏPUTATION DES OUI DgAUTRES DISENT QUE NON
JEUNES EN PEIGNANT DES GRAFFITI LÌ Oá CgEST 1UI PAIE LE PRIX DES GRAFFITI 1UI EN FIN DE COMPTE
INTERDIT ,ES ARTISTES PROFESSIONNELS PAIE LE PRIX DE LA PUBLICITÏ "ONNE QUESTION ,E
NgACCROCHENT POURTANT PAS LEURS TABLEAUX DANS CONSOMMATEUR
LA RUE )LS CHERCHENT PLUTÙT Ì OBTENIR DES ,ES GENS QUI ONT PLACÏ DES PANNEAUX PUBLICITAIRES
SUBVENTIONS ET SE FONT CONNAÔTRE Ì TRAVERS DES VOUS ONT
ILS DEMANDÏ LA PERMISSION .ON ,ES
EXPOSITIONS LÏGALES AUTEURS DES GRAFFITI DEVRAIENT
ILS LE FAIRE DANS CE
° MON SENS LES BÊTIMENTS LES PALISSADES ET LES CAS .gEST
CE PAS SIMPLEMENT UNE QUESTION DE
BANCS PUBLICS SONT EUX
MÐMES DÏJÌ DES UVRES COMMUNICATION n VOTRE PROPRE NOM LES NOMS DE
DgART #gEST VRAIMENT PITOYABLE DE GÊCHER CETTE BANDES ET DE GRANDES UVRES DgART DANS LA RUE
ARCHITECTURE PAR DES GRAFFITI ET DE PLUS LA 0ENSEZ AUX VÐTEMENTS Ì RAYURES ET Ì CARREAUX QUI
MÏTHODE UTILISÏE DÏTRUIT LA COUCHE DgOZONE ONT FAIT LEUR APPARITION DANS LES MAGASINS IL Y A
6RAIMENT JE NE COMPRENDS PAS POURQUOI CES QUELQUES ANNÏES %T AUX ÏQUIPEMENTS DE SKI ,ES
ARTISTES CRIMINELS PRENNENT TANT DE PEINE ALORS MOTIFS ET LES TONS ONT SOUVENT ÏTÏ EMPRUNTÏS TOUT
QUE LEURS i UVRES DgART w SONT CHAQUE FOIS DROIT Ì CES MURS DE BÏTON FLEURIS )L EST ASSEZ AMUSANT
SIMPLEMENT ÙTÏES DE LA VUE DE CONSTATER QUE CES MOTIFS ET CES TONS SONT ACCEPTÏS
(ELGA ET ADMIRÏS MAIS QUE LES GRAFFITI DU MÐME STYLE SONT
CONSIDÏRÏS COMME ABOMINABLES
,ES TEMPS SONT DURS POUR LgART
3OPHIA
,ES DEUX LETTRES ONT ÏTÏ DIFFUSÏES SUR )NTERNET ET CONCERNENT LES GRAFFITI DES PEINTURES OU DES INSCRIPTIONS TRACÏES ILLÏGALEMENT
SUR LES MURS ET DANS DAUTRES ENDROITS 2ÏFÏREZ
VOUS Ì CES LETTRES POUR RÏPONDRE AUX QUESTIONS SUIVANTES
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌÊÊÊ#(!0)42% Ê
2ETROUVER DE )NTERPRÏTER 2ÏFLÏCHIR SUR LE
LINFORMATION LE TEXTE CONTENU DU TEXTE
.)6%!5 .)6%!5 .)6%!5
15%34)/.
'2!&&)4)
/N PEUT PARLER DE CE QUE DIT UNE LETTRE
SON CONTENU
/N PEUT PARLER DE LA FA ON DONT UNE LETTRE
EST ÏCRITE SON STYLE
%N FAISANT ABSTRACTION DE VOTRE PROPRE OPINION
QUI A ÏCRIT LA MEILLEURE LETTRE DgAPRÒS VOUS
15%34)/. *USTIFIEZ VOTRE RÏPONSE EN VOUS RÏFÏRANT Ì LA
FA ON DONT LA LETTRE CHOISIE EST ÏCRITE OU Ì LA
'2!&&)4) FA ON DONT SONT ÏCRITES LES DEUX LETTRES
0OURQUOI 3OPHIE ÏVOQUE T ELLE LA
PUBLICITÏ #ODE
n 2ÏPONSES QUI EXPLIQUENT LgOPINION
#ODE
EN FAISANT RÏFÏRENCE AU STYLE OU Ì LA
n 2ÏPONSES QUI IDENTIFIENT LA FORME DgUNE DES LETTRES OU DES
COMPARAISON FAITE ENTRE LES GRAFFITI ET DEUX 3E RÏFÒRENT Ì DES CRITÒRES TELS
LA PUBLICITÏ ET QUI SONT COMPATIBLES QUE LA QUALITÏ DU STYLE LA
AVEC LgIDÏE QUE LA PUBLICITÏ EST UNE STRUCTURATION DES ARGUMENTS LEUR
FORME LÏGALE DE GRAFFITI FORCE LE TON OU LE REGISTRE UTILISÏS
LES STRATÏGIES MISES EN UVRE POUR
OU PERSUADER LE LECTEUR $ES
n 2ÏPONSES QUI MENTIONNENT LE FAIT QUE EXPRESSIONS COMME i MEILLEURS
LA RÏFÏRENCE Ì LA PUBLICITÏ EST UNE ARGUMENTS w DOIVENT ÐTRE JUSTIFIÏES
STRATÏGIE POUR DÏFENDRE LES GRAFFITI
#ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES
#ETTE TÊCHE CONSISTE Ì INFÏRER UN LIEN DgÏVALUER LgHABILITÏ DES AUTEURS DES
LETTRES EN COMPARANT DEUX COURTS TEXTES
INTENTIONNEL ENTRE LES DEUX PHÏNOMÒNES TRAITANT DES GRAFFITI ,ES ÏLÒVES DOIVENT
ÏNONCÏS DANS LE TEXTE
SgAPPUYER SUR CE QUgILS SAVENT CONCERNANT
UN BON STYLE DgÏCRITURE
15%34)/.
'2!&&)4)
!VEC LAQUELLE DES DEUX LETTRES
15%34)/. ÐTES
VOUS DgACCORD *USTIFIEZ VOTRE
RÏPONSE EN UTILISANT VOS PROPRES MOTS
'2!&&)4) POUR ÏVOQUER CE QUI EST DIT DANS LA
,E BUT DE CES DEUX LETTRES EST LETTRE CHOISIE OU DANS LES DEUX LETTRES
!U
DESSOUS DU NIVEAU
!U DESSOUS DU NIVEAU
!U
DESSOUS DU NIVEAU
! $gEXPLIQUER CE QUE SONT LES GRAFFITI #ODE
" $E PRÏSENTER UNE OPINION SUR n 2ÏPONSES QUI EXPLIQUENT LgAVIS DE LgÏLÒVE
LES GRAFFITI EN SE RÏFÏRANT AU CONTENU DgUNE LETTRE
# $E DÏMONTRER LA POPULARITÏ OU DES DEUX ,A RÏPONSE FAIT RÏFÏRENCE
DES GRAFFITI Ì LA POSITION GÏNÏRALE DE LgAUTEUR
$ $E FAIRE SAVOIR AUX GENS CE QUE VIS
Ì
VIS DES GRAFFITI CgEST
Ì
DIRE POUR
CELA COßTE DgEFFACER LES GRAFFITI OU CONTRE OU Ì UN DÏTAIL DE SON
ARGUMENTATION ,gINTERPRÏTATION DU
POINT DE VUE DE LgAUTEUR DOIT ÐTRE
#ODE
PLAUSIBLE ,gEXPLICATION PEUT AVOIR LA
n " $E PRÏSENTER UNE OPINION SUR FORME DgUNE PARAPHRASE DgUNE PARTIE
LES GRAFFITI DU TEXTE MAIS NE PEUT PAS ÐTRE LA COPIE
LITTÏRALE DgUN PASSAGE ENTIER OU PRESQUE
#ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES ENTIER SANS MODIFICATION AUCUNE
DgIDENTIFIER CE QUE LES DEUX LETTRES ONT
EN COMMUN EN COMPARANT LgIDÏE #ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES DE
PRINCIPALE DANS CHACUNE DgELLES COMPARER LES GRIEFS EXPOSÏS DANS LES
DEUX COURTS TEXTES AVEC LEUR PROPRE POINT
DE VUE ET ATTITUDE /N DEMANDE AUSSI
AUX ÏLÒVES DE FAIRE PREUVE DgUNE
COMPRÏHENSION DgENSEMBLE DgAU MOINS
UNE DES DEUX LETTRES
3OURCE 0)3!/#$%
3EUILS BASÏS SUR 02 VOIR ENCADRÏ
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
}ÕÀiÊÓ°ÓÊÊÊÊÃÕÌi®
%XEMPLES DgITEMS DE LECTURE ADMINISTRÏS DANS 0)3!
0/05,!4)/. !#4)6%
,E DIAGRAMME EN ARBRE CI DESSOUS PRÏSENTE LA STRUCTURE DE LA POPULATION ACTIVE DgUN PAYS CgEST Ì DIRE SA
i POPULATION EN ÊGE DE TRAVAILLER w %N LA POPULATION TOTALE DE CE PAYS ÏTAIT DgENVIRON MILLIONS
DgHABITANTS
,A STRUCTURE DE LA POPULATION ACTIVE AU MARS X
0OPULATION EN ÊGE
DE TRAVAILLER
3ONT SUR LE MARCHÏ .E SONT PAS SUR
DU TRAVAIL LE MARCHÏ DU TRAVAIL
!CTIFS OCCUPÏS #HÙMEURS
4EMPS PLEIN 4EMPS PARTIEL
° LA RECHERCHE ° LA RECHERCHE
DgUN EMPLOI Ì DgUN EMPLOI Ì
TEMPS PLEIN TEMPS PARTIEL
° LA RECHERCHE .ON DEMANDEURS
DgUN EMPLOI Ì DgUN EMPLOI Ì
TEMPS PLEIN TEMPS PLEIN
,E NOMBRE DE PERSONNES EST EXPRIMÏ EN MILLIERS X
,A POPULATION EN ÊGE DE TRAVAILLER EST DÏFINIE COMME LgENSEMBLE DES PERSONNES ÊGÏES DE Ì ANS
,ES PERSONNES QUI i NE SONT PAS SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL w SONT CELLES QUI NE SONT PAS ACTIVEMENT Ì LA RECHERCHE DgUN EMPLOI OU NE SONT PAS
DISPONIBLES POUR TRAVAILLER
.OTE DE TRADUCTION LA TERMINOLOGIE UTILISÏE DANS LE GRAPHIQUE CORRESPOND AUX TERMES STANDARDS UTILISÏS PAR Lg/#$% 6EUILLEZ UTILISER SI POSSIBLE
LES TERMES UTILISÏS DANS VOTRE LANGAGE
3OURCE $ -ILLER &ORM %CONOMICS %3! 0UBLICATIONS "OX .EWMARKET !UCKLAND .OUVELLE
:ÏLANDE P
5TILISEZ LES INFORMATIONS SUR LA POPULATION ACTIVE DgUN PAYS POUR RÏPONDRE AUX QUESTIONS SUIVANTES
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌÊÊÊ#(!0)42% Ê
2ETROUVER DE )NTERPRÏTER 2ÏFLÏCHIR SUR LE
LINFORMATION LE TEXTE CONTENU DU TEXTE
.)6%!5 .)6%!5 .)6%!5
15%34)/.
15%34)/.
15%34)/.
0/05,!4)/. !#4)6% 0/05,!4)/. !#4)6% 0/05,!4)/. !#4)6%
#OMBIEN DE PERSONNES EN ÊGE DE ° QUELLE CATÏGORIE DU DIAGRAMME EN ARBRE ,gINFORMATION SUR LA POPULATION ACTIVE
TRAVAILLER NE SONT PAS SUR LE MARCHÏ APPARTIENNENT LES PERSONNES SUIVANTES POUR AUTANT EST PRÏSENTÏE SOUS FORME DE
DU TRAVAIL QUgIL Y AIT UNE CATÏGORIE QUI CONVIENNE DIAGRAMME EN ARBRE MAIS ELLE AURAIT
INDIQUER LE NOMBRE DE )NDIQUEZ VOTRE RÏPONSE EN FAISANT UNE CROIX DANS PU ÐTRE PRÏSENTÏE DE BIEN DgAUTRES
PERSONNES NON LE POURCENTAGE LA CASE APPROPRIÏE DU TABLEAU MANIÒRES PAR EXEMPLE UNE
,A PREMIÒRE CROIX A ÏTÏ FAITE Ì VOTRE PLACE Ì TITRE DESCRIPTION ÏCRITE UN DIAGRAMME EN
#ODE
DgEXEMPLE CASE ROUGE i CAMEMBERT w UN GRAPHIQUE OU UN
n 2ÏPONSES MONTRANT QUE LgÏLÒVE A
i 3UR LE MARCHÏ
DU TRAVAIL
ACTIFS OCCUPÏS w
i 3UR LE MARCHÏ
DU TRAVAIL
CHÙMEURS w
i .E SONT PAS
SUR LE MARCHÏ
DU TRAVAIL w
.gEST COMPRIS
DANS AUCUNE
CATÏGORIE
TABLEAU
INTÏGRÏ Ì LA FOIS LE CHIFFRE DONNÏ PAR 5N SERVEUR Ì MI ,E DIAGRAMME EN ARBRE A
TEMPS ÊGÏ DE ANS
LE DIAGRAMME EN ARBRE %4 LA MENTION VRAISEMBLABLEMENT ÏTÏ CHOISI PARCE
5NE FEMME DgAFFAIRES
i X w FOURNIE PAR LE TITRE ET DE ANS QUI TRAVAILLE QUgIL EST PARTICULIÒREMENT UTILE POUR
H PAR SEMAINE
PRÏSENTER
LA NOTE DE BAS DE PAGE
RÏPONSE 5N ÏTUDIANT Ì PLEIN
TEMPS ÊGÏ DE ANS
! ,gÏVOLUTION DANS LE TEMPS
,ES RÏPONSES APPROCHÏES ENTRE 5N HOMME ÊGÏ DE " ,A TAILLE DE LA POPULATION TOTALE
ET EN MOTS OU EN ANS QUI A CÏDÏ SON
COMMERCE RÏCEMMENT DU PAYS
CHIFFRES PEUVENT AUSSI ÐTRE ACCEPTÏES ET QUI CHERCHE DU TRAVAIL
# ,ES CATÏGORIES AU SEIN DE
!CCEPTER ÏGALEMENT LES RÏPONSES 5NE FEMME DE ANS
CHAQUE GROUPE
i w OU i UN MILLION w SI ELLES
QUI NgA JAMAIS TRAVAILLÏ
NI VOULU TRAVAILLER EN $ ,A TAILLE DE CHACUN DES GROUPES
SONT ACCOMPAGNÏES DgUNE INDICATION DEHORS DE SON MÏNAGE
5NE GRAND MÒRE ÊGÏE DE
SUR LEUR CARACTÒRE APPROXIMATIF ANS QUI TRAVAILLE ENCORE
QUELQUES HEURES PAR JOUR #ODE
SUR LE STAND QUE LA FAMILLE
#ETTE TÊCHE REQUIERT QUE LgÏLÒVE LOCALISE TIENT AU MARCHÏ n # ,ES CATÏGORIES AU SEIN DE
LA DONNÏE NUMÏRIQUE CORRECTE DANS UN CHAQUE GROUPE
DIAGRAMME EN ARBRE ET INTÒGRE UN AUTRE #ODE
#ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES
ÏLÏMENT DgINFORMATION CONTENU DANS n BONNES RÏPONSES CASES COCHÏES
UNE NOTE DE BAS DE PAGE #ETTE TÊCHE REQUIERT DES ÏLÒVES QUgILS ANALYSENT
DgÏVALUER LES CARACTÏRISTIQUES DgUN
DIAGRAMME EN ARBRE AFIN DE RECONNAÔTRE
ET FASSENT CORRESPONDRE PLUSIEURS CAS DÏCRITS AUX QUE SA STRUCTURE EST APPROPRIÏE POUR
#ODE
CATÏGORIES DE LA POPULATION ACTIVE ALORS QUE MONTRER DES CATÏGORIES Ì LgINTÏRIEUR DE
CERTAINS ÏLÏMENTS DgINFORMATION SE TROUVENT GROUPES
n 2ÏPONSES MONTRANT QUE LE CHIFFRE DANS LA NOTE DE BAS DE PAGE ET NE SONT DONC PAS
DONNÏ PAR LE DIAGRAMME EN ARBRE IMMÏDIATEMENT VISIBLES
A ÏTÏ LOCALISÏ MAIS QUE LA MENTION
i X w FOURNIE PAR LE TITRE 15%34)/.
#ODE
0/05,!4)/. !#4)6%
ET LA NOTE DE BAS DE PAGE NgA PAS ÏTÏ
INTÏGRÏE RÏPONSE EN CHIFFRE n OU RÏPONSES CORRECTES 3UPPOSEZ QUE DES INFORMATIONS SUR LA
OU EN MOTS STRUCTURE DE LA POPULATION ACTIVE SOIENT
!CCEPTER LES RÏPONSES #ETTE TÊCHE REQUIERT DES ÏLÒVES QUgILS ANALYSENT PRÏSENTÏES CHAQUE ANNÏE DANS UN
APPROXIMATIVES DU TYPE DE CELLES ET FASSENT CORRESPONDRE PLUSIEURS CAS DÏCRITS DIAGRAMME COMME CELUI DE CET EXERCICE
ILLUSTRÏES POUR LE CODE AUX CATÏGORIES DE LA POPULATION ACTIVE ALORS ,E TABLEAU CI DESSOUS PRÏSENTE QUATRE
!U DESSOUS DU NIVEAU
!U DESSOUS DU NIVEAU
!U
DESSOUS DU NIVEAU
QUE CERTAINS ÏLÏMENTS DgINFORMATION SE TROUVENT DONNÏES FIGURANT DANS LE DIAGRAMME
#ETTE TÊCHE REQUIERT QUE LgÏLÒVE LOCALISE DANS LA NOTE DE BAS DE PAGE ET NE SONT DONC 0EUT
ON SgATTENDRE Ì CE QUE CES
LA DONNÏE NUMÏRIQUE CORRECTE DANS UN PAS IMMÏDIATEMENT VISIBLES DONNÏES CHANGENT DgUNE ANNÏE Ì
DIAGRAMME EN ARBRE ! CE NIVEAU LgAUTRE 2ÏPONDEZ EN ENTOURANT
LgÏLÏMENT DgINFORMATION CONTENU DANS i #HANGERONT w OU i .E CHANGERONT
15%34)/. PAS w POUR CHACUNE DES QUATRE
LA NOTE DE BAS DE PAGE NgEST PAS UTILISÏ
0/05,!4)/. !#4)6% DONNÏES
1UELS SONT LES DEUX GROUPES PRINCIPAUX ENTRE LESQUELS $ONNÏES DU DIAGRAMME 2ÏPONSES
SE RÏPARTIT LA POPULATION EN ÊGE DE TRAVAILLER ,ES INTITULÏS DE CHAQUE CELLULE .E CHANGERONT
EX i SONT SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL w PAS
! ,ES TRAVAILLEURS ET LES CHÙMEURS
,ES POURCENTAGES EX i w #HANGERONT
" ,ES PERSONNES EN ÊGE DE TRAVAILLER ET CELLES
,ES CHIFFRES EX i w #HANGERONT
QUI NE SONT PAS EN ÊGE DE TRAVAILLER
,ES NOTES AU BAS DU DIAGRAMME .E CHANGERONT
# ,ES TRAVAILLEURS Ì TEMPS PLEIN ET LES EN ARBRE PAS
TRAVAILLEURS Ì TEMPS PARTIEL
$ ,ES PERSONNES SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL ET #ODE
CELLES QUI NE SONT PAS SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL n RÏPONSES CORRECTES
#ODE
#ETTE TÊCHE REQUIERT DES ÏLÒVES QUgILS
n $ ,ES PERSONNES SUR LE MARCHÏ DU SE BASENT SUR LA FORME ET LE CONTENU
TRAVAIL ET CELLES QUI NE SONT PAS SUR LE DgUN DIAGRAMME EN ARBRE SUR LA
MARCHÏ DU TRAVAIL POPULATION ACTIVE POUR DISTINGUER ENTRE
DES VARIABLES ET DES DONNÏES
#ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES DE COMPRENDRE STRUCTURELLES
LA RELATION EXISTANT ENTRE LES INFORMATIONS
3OURCE 0)3!/#$% PRÏSENTÏES DANS UN DIAGRAMME EN ARBRE
3EUILS BASÏS SUR 02 VOIR ENCADRÏ
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
}ÕÀiÊÓ°ÓÊÊÊÊÃÕÌi®
%XEMPLES DgITEMS DE LECTURE ADMINISTRÏS DANS 0)3!
,ES ARMES SCIENTIFIQUES DE LA POLICE
RACINE DE CES CHEVEUX ET SUSPECT A BIEN APPROCHÏ LA VICTIME
5N MEURTRE A ÏTÏ QUELQUES CELLULES DU SANG DU QUgIL DIT NE JAMAIS AVOIR RENCONTRÏE 'ÏNÏ
QUOI
COMMIS MAIS LE SUSPECT %N EFFET DANS LE NOYAU
3EULEMENT UN ÏLÏMENT DE
DE CHACUNE DES CELLULES DE NOTRE ,g!$. EST FORMÏ DgUN
SUSPECT NIE TOUT )L PREUVE GRAND NOMBRE DE GÒNES
AFFIRME NE PAS CORPS ON TROUVE Lg!$. $E QUOI
SgAGIT
IL #ET !$. RESSEMBLE Ì $ANS LES CAS DgAGRESSIONS SEXUELLES EUX
MÐMES CONSTITUÏS DE
CONNAÔTRE LA VICTIME UN COLLIER TORSADÏ FORMÏ DE DE MEURTRES DE VOLS OU DgAUTRES MILLIERS DE i PERLES w
)L DIT NE LgAVOIR DEUX RANGÏES DE PERLES AFFAIRES ENCORE LA POLICE FAIT DE ,gENSEMBLE DES GÒNES
JAMAIS VUE JAMAIS 2EPRÏSENTEZ
VOUS DES SÏRIES DE PLUS EN PLUS SOUVENT FAIRE DES REPRÏSENTE LA CARTE DgIDENTITÏ
PLUSIEURS MILLIERS DE PERLES ANALYSES GÏNÏTIQUES 0OURQUOI GÏNÏTIQUE DgUNE PERSONNE
APPROCHÏE JAMAIS 0OUR TENTER DE TROUVER DES PREUVES
TOUCHÏE ,A POLICE COLORÏES FORMANT CHAQUE FOIS
UN GÒNE #ES ESPÒCES DE PERLES DgUN CONTACT ENTRE DEUX
ET LE JUGE SONT SONT DE QUATRE COULEURS PERSONNES ENTRE DEUX OBJETS OU
CONVAINCUS QUgIL NE DIFFÏRENTES ET SONT ENFILÏES DANS UNE PERSONNE ET UN OBJET #OMMENT TROUVER
DIT PAS LA VÏRITÏ UN ORDRE BIEN PRÏCIS %T LgORDRE !PPORTER LA PREUVE DgUN TEL CONTACT CETTE CARTE DgIDENTITÏ
EST EXACTEMENT LE MÐME DANS EST SOUVENT BIEN UTILE POUR GÏNÏTIQUE
-AIS COMMENT LE LgENQUÐTE -AIS CE NgEST PAS
PROUVER TOUTES LES CELLULES DU CORPS DgUN
INDIVIDU CELLES DE LA RACINE DES NÏCESSAIREMENT LA PREUVE DgUN ,E GÏNÏTICIEN PREND LES
CHEVEUX COMME CELLES DU GROS CRIME )L SgAGIT JUSTE DgUN ÏLÏMENT QUELQUES CELLULES QUI SE
ORTEIL CELLES DU FOIE COMME DE PREUVE PARMI BEAUCOUP DgAUTRES TROUVENT Ì LA BASE DES
ÏLÏMENTS CHEVEUX TROUVÏS SUR LA
3UR LES LIEUX DU CRIME LES CELLES DE LgESTOMAC OU DU SANG !NNE 6ERSAILLES VICTIME OU DANS LA SALIVE
ENQUÐTEURS ONT RELEVÏ TOUS LES -AIS DgUNE PERSONNE Ì LgAUTRE RESTÏE SUR UN MÏGOT DE
INDICES POSSIBLES ET IMAGINABLES LgORDRE DES PERLES VARIE 6U LE .OUS SOMMES CIGARETTE )L LES PLONGE DANS
FILS DE TISSUS CHEVEUX TRACES DE NOMBRE DE PERLES QUI SONT AINSI CONSTITUÏS DE MILLIARDS UN PRODUIT QUI DÏTRUIT TOUT
DOIGTS MÏGOTS DE CIGARETTE ENFILÏES IL Y A TRÒS PEU DE CHANCE DE CELLULES CE QUI ENTOURE Lg!$. DE
,ES QUELQUES CHEVEUX TROUVÏS QUE DEUX PERSONNES POSSÒDENT #HAQUE ÐTRE VIVANT EST CONTITUÏ CES CELLULES )L FAIT LA MÐME
SUR LA VESTE DE LA VICTIME SONT LE MÐME !$. Ì LgEXCEPTION DES
DgUNE QUANTITÏ DE CELLULES 5NE CHOSE AVEC DES CELLULES DU
ROUX %T ILS RESSEMBLENT VRAIS JUMEAUX 5NIQUE POUR CELLULE EST VRAIMENT DE PETITE SANG DU SUSPECT ,g!$.
ÏTRANGEMENT Ì CEUX DU SUSPECT CHAQUE INDIVIDU Lg!$. EST DONC TAILLE /N PEUT AUSSI DIRE QUgELLE SUBIT ALORS UNE PRÏPARATION
3I LgON POUVAIT DÏMONTRER QUE BIEN UNE SORTE DE CARTE DgIDENTITÏ EST MICROSCOPIQUE CAR ON NE SPÏCIALE POUR LgANALYSE PUIS
CES CHEVEUX SONT BIEN LES SIENS GÏNÏTIQUE PEUT LA VOIR QUgAVEC UN IL EST PLACÏ SUR UN GEL
ON AURAIT LA PREUVE QUgIL A BIEN ,ES GÏNÏTICIENS VONT DONC MICROSCOPE QUI LA GROSSIT PARTICULIER /N FAIT ENSUITE
RENCONTRÏ LA VICTIME COMPARER LA CARTE DgIDENTITÏ PLUSIEURS FOIS #HAQUE CELLULE PASSER UN COURANT
GÏNÏTIQUE DU SUSPECT TROUVÏE EST CONSTITUÏE DgUNE ÏLECTRIQUE DANS CE GEL
#HAQUE INDIVIDU EST UNIQUE GRÊCE Ì SON SANG ET CELLE DE LA MEMBRANE EXTÏRIEURE ET DgUN
NOYAU DANS LEQUEL SE TROUVE !PRÒS QUELQUES HEURES ON
$ES SPÏCIALISTES SE METTENT Ì PERSONNE AUX CHEVEUX ROUX 3gIL OBTIENT DES BANDES
LgOUVRAGE )LS EXAMINENT QUELQUES SgAGIT DE LA MÐME CARTE Lg!$.
SEMBLABLES Ì UNE SORTE DE
CELLULES QUI SE TROUVENT Ì LA GÏNÏTIQUE ON SAURA QUE LE CODE
BARRE COMME CELUI
QUI FIGURE SUR TOUS LES
PRODUITS QUE LgON ACHÒTE
VISIBLE SOUS UNE LAMPE
SPÏCIALE /N COMPARE ALORS
LE CODE
BARRE DE Lg!$. DU
SUSPECT ET CELUI DES CHEVEUX
-ICROSCOPE DANS TROUVÏS SUR LA VICTIME
UN LABORATOIRE
DE LA POLICE
2ÏFÏREZ VOUS Ì LgARTICLE POUR RÏPONDRE AUX QUESTIONS
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌÊÊÊ#(!0)42% Ê
2ETROUVER DE )NTERPRÏTER 2ÏFLÏCHIR SUR LE
LINFORMATION LE TEXTE CONTENU DU TEXTE
.)6%!5 .)6%!5 .)6%!5
15%34)/. 15%34)/.
,%3 !2-%3 3#)%.4)&)15%3 $% ,! 0/,)#% ,%3 !2-%3 3#)%.4)&)15%3 $% ,! 0/,)#%
0OUR EXPLIQUER LA STRUCTURE DE Lg!$. ° QUOI SERT LgENCADRÏ DONT LE TITRE EST
LgAUTEUR PARLE DgUN COLLIER DE PERLES i #OMMENT TROUVER CETTE CARTE DgIDENTITÏ
#OMMENT CES COLLIERS DE PERLES VARIENT GÏNÏTIQUE w
ILS DgUN INDIVIDU Ì UN AUTRE )L SERT Ì EXPLIQUER
! )LS VARIENT EN LONGUEUR ! #E QUgEST Lg!$.
" ,gORDRE DES PERLES EST DIFFÏRENT " #E QUgEST UN CODE BARRE
# ,E NOMBRE DE COLLIERS EST DIFFÏRENT
$ ,A COULEUR DES PERLES EST DIFFÏRENTE # #OMMENT ON ANALYSE DES CELLULES POUR
TROUVER LA STRUCTURE DE Lg!$.
#ODE
$ #OMMENT ON PEUT PROUVER QUgUN CRIME A
n " ,gORDRE DES PERLES EST DIFFÏRENT ÏTÏ COMMIS
#ETTE TÊCHE REQUIERT DES ÏLÒVES QUgILS LOCALISENT
#ODE
n # #OMMENT ON ANALYSE DES CELLULES POUR
UNE INFORMATION DANS LgARTICLE DgUN MAGAZINE TROUVER LA STRUCTURE DE Lg!$.
SCIENTIFIQUE POUR LES JEUNES EN PROPOSANT UNE
ÏQUIVALENCE AUX INFORMATIONS CONTRADICTOIRES #ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES DgIDENTIFIER CE QUI
EXPOSÏES DANS LE TEXTE RÏSUME DE FA ON APPROPRIÏE UN PARAGRAPHE
CLAIREMENT IDENTIFIÏ DANS UN ARTICLE DgUN MAGAZINE
SCIENTIFIQUE POUR LES JEUNES EN INTÏGRANT
LgINFORMATION PROVENANT DE PLUSIEURS PHRASES $ES
INFORMATIONS CONTRADICTOIRES SONT PROPOSÏES
15%34)/.
,%3 !2-%3 3#)%.4)&)15%3 $% ,! 0/,)#%
1UEL EST LE BUT PRINCIPAL DE LgAUTEUR
! !LERTER
" !MUSER
# )NFORMER
$ #ONVAINCRE
#ODE
n # )NFORMER
#ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES DgIDENTIFIER LE
BUT PRINCIPAL DE LgAUTEUR DgUN ARTICLE DgUN
MAGAZINE SCIENTIFIQUE POUR LES JEUNES
!U
DESSOUS DU NIVEAU
!U DESSOUS DU NIVEAU
!U
DESSOUS DU NIVEAU
15%34)/.
,%3 !2-%3 3#)%.4)&)15%3 $% ,! 0/,)#%
,A DERNIÒRE PHRASE DE LgINTRODUCTION FIN DU
PREMIER ENCADRÏ GRIS EST i -AIS COMMENT LE
PROUVER w
$gAPRÒS LgARTICLE COMMENT LES ENQUÐTEURS
ESSAIENT
ILS DE TROUVER UNE RÏPONSE Ì CETTE
QUESTION
! %N INTERROGEANT DES TÏMOINS
" %N FAISANT DES ANALYSES GÏNÏTIQUES
# %N INTERROGEANT Ì FOND LE SUSPECT
$ %N ÏTUDIANT DE NOUVEAU TOUS LES RÏSULTATS
DE LgENQUÐTE
#ODE
n " %N FAISANT DES ANALYSES GÏNÏTIQUES
#ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES DgINTÏGRER
LgINFORMATION PROVENANT DE DIFFÏRENTS PARAGRAPHES
DE FA ON Ì IDENTIFIER LgIDÏE PRINCIPALE DgUN ARTICLE
DgUN MAGAZINE SCIENTIFIQUE POUR LES JEUNES
3OURCE 0)3!/#$%
3EUILS BASÏS SUR 02 VOIR ENCADRÏ
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
iÃÊÌ@V iÃÊ`vvViÃÊ`ÕÊ 0AR CONTRASTE LES TÊCHES LES PLUS DIFFICILES DE CETTE ÏCHELLE LEUR DEMANDENT DE
>ÕÌÊ`iʽjV iiÊiÝ}iÌÊ LOCALISER ET DE CLASSER DE NOMBREUX FRAGMENTS DINFORMATION PROFONDÏMENT
ÕiÊÕÌÃ>ÌÊ«ÕÃÊ ENFOUIS DANS LE TEXTE PARFOIS SUR BASE DE CRITÒRES MULTIPLES )L EST FRÏQUENT QUE LE
V«iÝiÊ`ÕÊÌiÝÌiÊiÌÊ TEXTE CONTIENNE DAUTRES INFORMATIONS QUI PARTAGENT CERTAINES DES CARACTÏRISTI
`iÃÊ`jiÃʵÕÊÞÊÃÌÊ QUES DES INFORMATIONS DEMANDÏES DANS LA QUESTION $E MÐME LES TÊCHES SITUÏES
iÝ«Àjið AU NIVEAU INFÏRIEUR DE LÏCHELLE DINTERPRÏTATION ET DE LÏCHELLE DE RÏFLEXION
DIFFÒRENT DE CELLES ASSOCIÏES AU NIVEAU SUPÏRIEUR DE CES ÏCHELLES Ì PLUSIEURS
ÏGARDS LE PROCESSUS SOLLICITÏ POUR Y RÏPONDRE CORRECTEMENT LA MESURE DANS
LAQUELLE LES STRATÏGIES DE LECTURE REQUISES POUR FORMULER UNE RÏPONSE CORRECTE
SONT SIGNALÏES DANS LA QUESTION OU DANS LES CONSIGNES LA COMPLEXITÏ DU TEXTE ET
SON CARACTÒRE FAMILIER OU NON ET LE NOMBRE DINFORMATIONS CONCURRENTES OU DE
DISTRACTEURS PRÏSENTS DANS LE TEXTE
,E CADRE CONCEPTUEL DÏFINISSANT LÏVALUATION DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DU
0)3! EST EXPOSÏ DANS -ESURER LES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES DES ÏLÒVES n 5N NOUVEAU
CADRE DÏVALUATION /#$% A
0OURCENTAGE DÏLÒVES Ë CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE DE LÏCHELLE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ«ÕÀÊÕiÊ 0OUR DÏCRIRE LES COMPÏTENCES DES ÏLÒVES EN FONCTION DES CINQ NIVEAUX DE COMPÏTENCE
««Õ>ÌÊ«iÕÛiÌÊkÌÀiÊ EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ON PEUT SOIT INDIQUER LA PROPORTION DÏLÒVES QUI
iÝ«ÀjÃÊiÊ«ÕÀViÌ>}iÊ ATTEIGNENT UN CERTAIN NIVEAU SOIT DÏTERMINER LE POURCENTAGE DÏLÒVES SITUÏS AU MIEUX
`½jmÛiÃÊÃiÊÃÌÕ>ÌÊDÊ Ì UN NIVEAU COMME AUX TABLEAUX A
D CEST
Ì
DIRE LE NIVEAU DE COMPÏTENCE
ÕÊÛi>ÕÊ`jÊÕÊ LE PLUS ÏLEVÏ QUILS SONT CAPABLES DATTEINDRE /R IL NEST GUÒRE INSTRUCTIF DE SAVOIR
iÊ«ÕÀViÌ>}iÊ`½jmÛiÃÊ QUE LES ÏLÒVES SITUÏS PRÏCISÏMENT AU NIVEAU SONT POUR CENT DANS UN PAYS ET
>Þ>ÌÊ>ÕÊÃÊ>ÌÌiÌÊ POUR CENT DANS UN AUTRE SI LA PROPORTION DÏLÒVES SE SITUANT AUX AUTRES NIVEAUX
ViÊÛi>Õ° EST INCONNUE %N REVANCHE IL EST UTILE DE CONNAÔTRE LA PROPORTION DÏLÒVES AYANT
AU MIEUX ATTEINT UN NIVEAU PARTICULIER CAR ELLE REPRÏSENTE LA PROPORTION DÏLÒVES
CAPABLES DE FAIRE FACE Ì CERTAINES EXIGENCES DE LA VIE QUOTIDIENNE ET PROFESSIONNELLE
4OUTEFOIS PLUS AVANT DANS LE PRÏSENT RAPPORT ET AILLEURS LES ATTRIBUTS DE GROUPES
DÏLÒVES DONT LES PERFORMANCES CORRESPONDENT Ì UN NIVEAU DONNÏ PEUVENT ÐTRE
UTILES AFIN DAPPRÏHENDER LES LIMITES DE LEUR COMPÏTENCE
,A FIGURE PRÏSENTE LE PROFIL GLOBAL DE COMPÏTENCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR ÏGALEMENT LE TABLEAU A ,A LONGUEUR DES
BARRES INDIQUE LE POURCENTAGE DÏLÒVES POUR CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE
.IVEAU DE COMPÏTENCE RÏSULTAT SUPÏRIEUR Ë POINTS
iÃÊjmÛiÃÊ>Þ>ÌÊ>ÌÌiÌÊ ,ES ÏLÒVES AYANT ATTEINT LE NIVEAU DE COMPÏTENCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE LA
iÊÛi>ÕÊxÊÃÌÊV>«>LiÃÊ COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SONT CAPABLES DE MENER Ì BIEN DES TÊCHES DE LECTURE
`iÊiiÀÊDÊLiÊ`iÃÊ COMPLEXES NOTAMMENT TRAITER DES INFORMATIONS DIFFICILES Ì TROUVER DANS DES
Ì@V
iÃÊ`iÊiVÌÕÀiÊ TEXTES QUI NE SONT PAS FAMILIERS COMPRENDRE DE MANIÒRE APPROFONDIE DES TEXTES
V«iÝiÃo DE CE TYPE ET EN DÏGAGER LES INFORMATIONS PERTINENTES POUR LA TÊCHE Ì ACCOMPLIR
PROCÏDER Ì DES ÏVALUATIONS CRITIQUES ET ÏLABORER DES HYPOTHÒSES FAIRE APPEL
Ì DES CONNAISSANCES SPÏCIALISÏES ET RECOURIR Ì DES NOTIONS QUI PEUVENT ÐTRE
INATTENDUES ,A FIGURE FOURNIT UNE DESCRIPTION PLUS DÏTAILLÏE
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌÊÊÊ#(!0)42% Ê
}ÕÀiÊÓ°Î
0OURCENTAGE DgÏLÒVES Ì CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT
0OURCENTAGE DgÏLÒVES
!U
DESSOUS DU NIVEAU !U NIVEAU !U NIVEAU !U NIVEAU !U NIVEAU !U NIVEAU
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS
3UISSE
%SPAGNE
!LLEMAGNE
"ELGIQUE
!UTRICHE
,IECHTENSTEIN
(ONGRIE
,ETTONIE
.ORVÒGE
0OLOGNE
3UÒDE
#ORÏE
!USTRALIE
)RLANDE
,UXEMBOURG
)SLANDE
$ANEMARK
'RÒCE
-EXIQUE
0ORTUGAL
"RÏSIL
)TALIE
#ANADA
*APON
&RANCE
&INLANDE
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU A
,ES ÏLÒVES SITUÏS AU NIVEAU LE PLUS ÏLEVÏ DE LÏCHELLE DE COMPÏTENCE 0)3! oÃVÌ>ÌÊ`iÃÊ
ENRICHIRONT VRAISEMBLABLEMENT LE RÏSERVOIR DE TALENTS DE LEUR PAYS ,A PROPORTION V«jÌiViÃʵÕÊÃÌÊ
ACTUELLE DÏLÒVES Ì CE NIVEAU PEUT AUSSI INFLUER SUR LAMPLEUR DE LA CONTRIBUTION ÛÌ>iÃÊ`>ÃÊiÃÊ
DES PAYS Ì LA PÏPINIÒRE DE TRAVAILLEURS INTELLECTUELS DE CLASSE INTERNATIONALE QUI jViÃÊL>ÃjiÃÊÃÕÀÊ
SERVIRONT LÏCONOMIE MONDIALE ,A COMPARAISON DES PROPORTIONS DÏLÒVES AYANT iÊÃ>ÛÀ°
ATTEINT LE NIVEAU LE PLUS ÏLEVÏ DE COMPÏTENCE EST DONC PERTINENTE EN SOI
$ANS LA ZONE COMBINÏE DE L/#$% POUR CENT DES ÏLÒVES INTERROGÏS LORS DU iÊÛi>ÕÊxÊÀi«ÀjÃiÌiÊ«ÕÃÊ
CYCLE DÏVALUATION 0)3! ONT ATTEINT LE NIVEAU )LS SONT PLUS DE POUR CENT `iÊ£xʯÊ`iÃÊjmÛiÃÊ`>ÃÊ
EN !USTRALIE AU #ANADA EN &INLANDE EN .OUVELLE :ÏLANDE ET AU 2OYAUME 5NI ViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃÊiÌÊÃÊ`iÊ
POUR CENT AU MOINS EN "ELGIQUE AUX ³TATS 5NIS ET EN )RLANDE MAIS POUR CENT xʯÊ`>ÃÊ`½>ÕÌÀið
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
OU MOINS AU "RÏSIL EN %SPAGNE DANS LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE EN 'RÒCE EN
,ETTONIE AU ,UXEMBOURG AU -EXIQUE ET AU 0ORTUGAL TABLEAU A
iÃÊ«>ÞÃÊÙÊLi>ÕVÕ«Ê )L CONVIENT DE GARDER PRÏSENT Ì LESPRIT LE FAIT QUE LA PROPORTION DÏLÒVES AYANT
`½jmÛiÃÊ>ÌÌi}iÌÊiÊ ATTEINT LE NIVEAU DÏPEND NON SEULEMENT DE LA PERFORMANCE GLOBALE DES PAYS
Ûi>ÕÊxÊiÊÃÌÊ«>ÃÊ DANS LE DOMAINE DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT MAIS ÏGALEMENT DE LA VARIATION
ÌÕÕÀÃÊViÕÝʵÕÊ QUI EXISTE DANS LES PAYS MÐMES ENTRE LES ÏLÒVES LES PLUS i FAIBLES w ET LES PLUS
«ÀjÃiÌiÌÊiÃÊ i FORTS w 3I LA TENDANCE GÏNÏRALE DES PAYS QUI COMPTENT UN NOMBRE PLUS ÏLEVÏ
«ÕÀViÌ>}iÃÊiÃÊ«ÕÃÊ DÏLÒVES AU NIVEAU EST DAVOIR UNE PROPORTION PLUS FAIBLE DÏLÒVES AU NIVEAU
v>LiÃÊ`½jmÛiÃÊ«iÕÊ OU EN DE Ì CE NEST PAS TOUJOURS LE CAS EN &INLANDE ILS SONT POUR CENT Ì
«iÀvÀ>Ìð ATTEINDRE LE NIVEAU ET MOINS DE POUR CENT SOUS LE NIVEAU %N "ELGIQUE ET
AUX ³TATS 5NIS PAR CONTRE LA PROPORTION DÏLÒVES AYANT ATTEINT LE NIVEAU EST
ÏLEVÏE MAIS LA PROPORTION DÏLÒVES SE SITUANT AU DESSOUS DU NIVEAU LEST ÏGALE
MENT RESPECTIVEMENT ET POUR CENT 0AR CONTRASTE EN #ORÏE UN PAYS QUI
AFFICHE DES PERFORMANCES TRÒS ÏLEVÏES DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION 0)3!
MOINS DE POUR CENT ATTEIGNENT LE NIVEAU ET MOINS DE POUR CENT SONT
SITUÏS SOUS LE NIVEAU
iÊ«ÕÀViÌ>}iÊ`½jmÛiÃÊ ,ANALYSE DES TROIS COMPOSANTES DE LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE
>ÌÌi}>ÌÊiÊÛi>ÕÊxÊ LÏCRIT PERMET DOBSERVER UNE VARIATION PLUS GRANDE ENCORE EN PARTICULIER
Û>ÀiÊÃiÊiÃÊ`vvjÀiÌÃÊ DANS LES PAYS Oá LA PROPORTION DÏLÒVES AU NIVEAU DE LÏCHELLE COMBINÏE
>ëiVÌÃÊ`iÊV«Àj iÃÊ DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE %N &INLANDE PAR
`iʽjVÀÌ° EXEMPLE ILS SONT POUR CENT Ì ATTEINDRE LE NIVEAU DE LÏCHELLE i 2ETROUVER
DE LINFORMATION w TABLEAU B MAIS POUR CENT SEULEMENT Ì PARVENIR
AU NIVEAU DE LÏCHELLE i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w TABLEAU D
MOYENNE DE L/#$% POUR CENT 5NE TENDANCE SIMILAIRE QUOIQUE MOINS
PRONONCÏE EST OBSERVÏE EN !USTRALIE EN "ELGIQUE ET EN 3UÒDE 0AR CONTRASTE LE
#ANADA ET LE 2OYAUME 5NI AFFICHENT DES POURCENTAGES PLUS ÏLEVÏS SUR LÏCHELLE
i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w QUE SUR LES ÏCHELLES i 2ETROUVER DE
LINFORMATION w ET i $ÏVELOPPER UNE INTERPRÏTATION w CE QUI INDIQUE QUE LE
NIVEAU GLOBAL ÏLEVÏ DE CES PAYS SEXPLIQUE EN PARTIE PAR LES BONS RÏSULTATS DES
ÏLÒVES DANS LES TÊCHES QUI LEUR DEMANDENT DE SENGAGER DANS DES ÏVALUATIONS
CRITIQUES DUTILISER DES HYPOTHÒSES ET DE METTRE LES TEXTES EN RELATION AVEC LEURS
IDÏES LEURS CONNAISSANCES ET LEURS EXPÏRIENCES TABLEAUX B C ET D
0ARMI LES PAYS QUI PRÏSENTENT LA PLUS FAIBLE PROPORTION DÏLÒVES AU NIVEAU DE LÏCHELLE
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT FIGURE LA 'RÒCE QUI COMPTE POUR CENT SEULEMENT
DÏLÒVES AU NIVEAU DES ÏCHELLES i 2ETROUVER DE LINFORMATION w ET i $ÏVELOPPER UNE
INTERPRÏTATION w MAIS QUI AFFICHE UNE PROPORTION TROIS FOIS PLUS ÏLEVÏE DÏLÒVES SOIT
POUR CENT MOYENNE DE L/#$% POUR CENT AU NIVEAU DE LÏCHELLE i 2ÏFLÏCHIR
SUR LE CONTENU DU TEXTE w TABLEAUX B ET D
iÃÊÌ@V iÃÊ`iÊÛi>ÕÊ{Ê .IVEAU DE COMPÏTENCE RÏSULTAT COMPRIS ENTRE ET POINTS
ÀiÃÌiÌÊV«iÝiÃÊiÌÊ
`vvViÃ]ÊiÌÊiÛÀÊÕÊ ,ES ÏLÒVES AYANT ATTEINT LE NIVEAU SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE LA COMPRÏHENSION
ÌiÀÃÊ`iÊÌÕÃÊiÃÊjmÛiÃÊ DE LÏCRIT SONT CAPABLES DEFFECTUER DES TÊCHES DIFFICILES DE LECTURE NOTAMMENT
>ÀÀÛiÌÊDÊÞÊÀj«`ÀiÊ LOCALISER DES INFORMATIONS ENFOUIES DANS UN TEXTE DÏGAGER DU SENS DE NUANCES DE
VÀÀiVÌiiÌo LANGAGE ET ÏVALUER UN TEXTE DE MANIÒRE CRITIQUE VOIR LA FIGURE POUR UNE DES
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌÊÊÊ#(!0)42% Ê
CRIPTION PLUS DÏTAILLÏE $ANS LA ZONE COMBINÏE DE L/#$% POUR CENT DES
ÏLÒVES ATTEIGNENT LE NIVEAU ET PLUS CE POURCENTAGE ENGLOBE LES ÏLÒVES SITUÏS
AUX NIVEAUX ET TABLEAU A )LS SONT POUR CENT EN &INLANDE ET POUR
CENT OU PLUS EN !USTRALIE AU #ANADA EN )RLANDE EN .OUVELLE :ÏLANDE ET AU
2OYAUME 5NI Ì ATTEINDRE AU MOINS LE NIVEAU $ANS TOUS LES PAYS DE L/#$%
Ì LEXCEPTION DU ,UXEMBOURG ET DU -EXIQUE UN ÏLÒVE SUR CINQ AU MOINS ATTEINT
AU MINIMUM LE NIVEAU !U "RÏSIL PAYS Oá LES PERFORMANCES SONT LES PLUS FAIBLES
EN LECTURE SEULS POUR CENT DES ÏLÒVES PARVIENNENT AU MOINS AU NIVEAU
!U NIVEAU LES DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE SUR LES TROIS ÏCHELLES DE LA o>ÛiVÊ`iÃÊ`vvjÀiViÃÊ
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT TENDENT Ì ÐTRE MOINS MARQUÏES QUAU NIVEAU !U ÃÊ«ÀVjiÃÊiÌÀiÊ
"RÏSIL TOUTEFOIS LA PROPORTION DÏLÒVES SITUÏS AU NIVEAU DE LÏCHELLE i 2ÏFLÏCHIR iÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊÀj>ÃjiÃÊ
SUR LE CONTENU DU TEXTE w EST PLUS DE DEUX FOIS SUPÏRIEURE Ì CELLE DES ÏLÒVES AYANT «ÕÀÊiÃÊÌÀÃÊ>ëiVÌÃÊ`iÊ
ATTEINT CE NIVEAU SUR LÏCHELLE i 2ETROUVER DE LINFORMATION w RESPECTIVEMENT iVÌÕÀi°
POUR CENT ET POUR CENT TABLEAUX B
D %N %SPAGNE EN 'RÒCE AU
-EXIQUE ET AU 0ORTUGAL CET ÏCART EST DE POUR CENT ET PLUS ,A SITUATION INVERSE
SOBSERVE EN "ELGIQUE &INLANDE &RANCE ET ,IECHSTENSTEIN
.IVEAU DE COMPÏTENCE RÏSULTAT COMPRIS ENTRE ET POINTS
,ES ÏLÒVES AYANT ATTEINT LE NIVEAU SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE /ÀÃÊjmÛiÃÊÃÕÀÊVµÊ
LÏCRIT SONT CAPABLES DEFFECTUER DES TÊCHES DE LECTURE DUNE COMPLEXITÏ MODÏRÏE ÃÌÊV>«>LiÃÊ`½ivviVÌÕiÀÊ
NOTAMMENT LOCALISER DE MULTIPLES FRAGMENTS DINFORMATION ÏTABLIR DES LIENS ENTRE `iÃÊÌ@V
iÃÊ`jÀjiÌÊ
DIFFÏRENTES PARTIES DE TEXTE ET METTRE LÏCRIT EN RELATION AVEC DES CONNAISSANCES V«iÝiÃ]ÊÛÀiʵÕ>ÌÀiÊ
FAMILIÒRES DE LA VIE COURANTE VOIR LA FIGURE POUR UNE DESCRIPTION PLUS DÏTAILLÏE ÃÕÀÊVµÊiÊ>`io
$ANS LA ZONE COMBINÏE DE L/#$% POUR CENT DES ÏLÒVES ATTEIGNENT AU MOINS LE
NIVEAU CEST
Ì
DIRE LES ÏLÒVES SITUÏS AU NIVEAU OU DE LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT TABLEAU A $ANS SUR PAYS DE L/#$%
ENTRE DEUX TIERS ET POUR CENT DES ÏLÒVES ÊGÏS DE ANS ATTEIGNENT AU MOINS
LE NIVEAU
#E MODÒLE DE COMPÏTENCE EST IL SIMILAIRE DANS TOUS LES PAYS 0OUR RÏPONDRE Ì CETTE o>ÃÊiÃÊ«>ÞÃÊ`ÌÊ
QUESTION IL FAUT SE PENCHER SUR LES RÏSULTATS DES NEUF PAYS DANS LESQUELS ENTRE DEUX >Ê>ÀÌjÊ`iÃÊjmÛiÃÊ
TIERS ET PRATIQUEMENT LES TROIS QUARTS DES ÏLÒVES ATTEIGNENT AU MOINS LE NIVEAU Ì >ÌÌi}iÌÊ>ÕÊÃÊiÊ
SAVOIR DANS LORDRE LA &INLANDE LA #ORÏE LE #ANADA LE *APON L)RLANDE LA .OUVELLE Ûi>ÕÊÎÊ`vvmÀiÌÊiÌÀiÊ
:ÏLANDE L!USTRALIE LE 2OYAUME 5NI ET LA 3UÒDE 1UELS SONT LES RÏSULTATS DE CES PAYS iÕÝÊDÊ`½>ÕÌÀiÃÊj}>À`ð
Ì DAUTRES ÏGARDS $ANS UN DES PAYS LA &INLANDE UNE PROPORTION RELATIVEMENT ÏLEVÏE
DÏLÒVES PRÏSENTE DEXCELLENTES COMPÏTENCES POUR CENT ATTEIGNENT LE NIVEAU
ALORS QUE LA MOYENNE DE L/#$% EST DE POUR CENT ET LES ÏLÒVES SONT RELATIVEMENT
NOMBREUX Ì DÏPASSER LE NIVEAU MINIMUM SEULS POUR CENT EN &INLANDE SE SITUENT
AU NIVEAU OU EN DE Ì ,A &INLANDE AFFICHE DONC DEXCELLENTS RÏSULTATS SUR LÏCHELLE
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
$ANS CINQ AUTRES PAYS L!USTRALIE LE #ANADA L)RLANDE LA .OUVELLE :ÏLANDE ET
iÀÌ>ÃÊ«>ÞÃʵÕÊV«ÌiÌÊ
LE 2OYAUME 5NI LA PROPORTION DÏLÒVES AU NIVEAU MAXIMUM EST ÏLEVÏE ENTRE `iÊLÀiÕÝÊjmÛiÃÊvÀÌÃÊ
ET POUR CENT MAIS LE POURCENTAGE DÏLÒVES SITUÏS AU NIVEAU OU EN iÊiVÌÕÀi]ÊÌÊj}>iiÌÊ
DE Ì EST PLUS ÏLEVÏ QUEN &INLANDE ENTRE ET POUR CENT LA MOYENNE DE Li>ÕVÕ«Ê`iÊ«mÌÀiÃÊiVÌiÕÀÃo
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
L/#$% EST Ì POUR CENT #ES PAYS RÏUSSISSENT Ì AMENER LES ÏLÒVES AU NIVEAU
DE COMPÏTENCE LE PLUS ÏLEVÏ MAIS SE MONTRENT MOINS EFFICACES POUR RÏDUIRE
LA PROPORTION DÏLÒVES PLUS i FAIBLES w %N .OUVELLE
:ÏLANDE LES ÏLÒVES SITUÏS
AU NIVEAU SONT PLUS NOMBREUX QUE PARTOUT AILLEURS POUR CENT MAIS LES
PERFORMANCES DUN NOMBRE RELATIVEMENT ÏLEVÏ DÏLÒVES SE SITUENT AU NIVEAU
OU EN EN DE Ì POUR CENT
o>ÀÃʵÕiÊ`>ÃÊ ,ES RÏSULTATS DE LA #ORÏE MONTRENT QUE LOBJECTIF DE MINIMISER LES DISPARITÏS
`½>ÕÌÀiÃ]Ê>ÊÛ>ÃÌiÊ>ÀÌjÊ DANS LES COMPÏTENCES EN LECTURE Ì UN NIVEAU RELATIVEMENT ÏLEVÏ EST RÏALISABLE
`iÃÊjmÛiÃÊiÃÌÊ«ÕÃÊ POUR CENT DES ÏLÒVES ATTEIGNENT AU MOINS LE NIVEAU ALORS QUE SEULS POUR
}mi° CENT SONT SITUÏS AU NIVEAU OU EN DE Ì ° LINSTAR DE LA #ORÏE LE *APON AFFICHE
UNE PROPORTION ÏLEVÏE DÏLÒVES AYANT AU MOINS ATTEINT LE NIVEAU %N REVANCHE
LES ÏLÒVES SONT RELATIVEMENT PEU NOMBREUX Ì ATTEINDRE LE NIVEAU MAXIMUM
OU Ì NE PAS DÏPASSER LE NIVEAU MINIMUM %NFIN EN 3UÒDE DEUX TIERS DES
ÏLÒVES ATTEIGNENT AU MOINS LE NIVEAU MAIS LES PROPORTIONS DÏLÒVES AU NIVEAU
MAXIMUM ET MINIMUM SONT PLUS PROCHES DE LA MOYENNE
.IVEAU DE COMPÏTENCE RÏSULTAT ENTRE ET POINTS
*ÕÃÊ`iʵÕ>ÌÀiÊjmÛiÃÊ ,ES ÏLÒVES AYANT ATTEINT LE NIVEAU SONT CAPABLES DEFFECTUER DES TÊCHES DE
ÃÕÀÊVµÊiÊÞiiÊqÊ LECTURE ÏLÏMENTAIRES NOTAMMENT LOCALISER DES INFORMATIONS DIRECTES ÏTABLIR
iÌÊ>ÕÊÃÊ>ÊÌjÊ DIVERS TYPES DINFÏRENCES DUN DEGRÏ LIMITÏ DÏCOUVRIR LE SENS DUN PASSAGE BIEN
`>ÃÊÌÕÃÊiÃÊ«>ÞÃÊ DÏFINI DE TEXTE ET UTILISER DES CONNAISSANCES DIFFÏRENTES POUR LE COMPRENDRE
«>ÀÌV«>ÌÃÊqÊÃÌÊ VOIR LA FIGURE POUR UNE DESCRIPTION PLUS DÏTAILLÏE $ANS LA ZONE COMBINÏE
V>«>LiÃÊ`½ivviVÌÕiÀÊ`iÃÊ DE L/#$% POUR CENT DES ÏLÒVES ONT AU MOINS ATTEINT LE NIVEAU DE LÏCHELLE
Ì@V
iÃÊ`iÊiVÌÕÀiÊ COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT $ANS CHAQUE PAYS DE L/#$% LA MOITIÏ
jjiÌ>Àið AU MOINS DES ÏLÒVES ATTEINT OU DÏPASSE LE NIVEAU TABLEAU A
%N %SPAGNE SEULS POUR CENT DES ÏLÒVES PARVIENNENT AU NIVEAU MAIS POUR
CENT ATTEIGNENT AU MOINS LE NIVEAU UNE PROPORTION SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE
TABLEAU A ,E CONTRASTE ENTRE LES PERFORMANCES DE L%SPAGNE ET DE LA .OUVELLE
:ÏLANDE EST INTÏRESSANT LE POURCENTAGE DÏLÒVES AYANT ATTEINT LE NIVEAU AU
MOINS EST SIMILAIRE DANS LES DEUX PAYS ET POUR CENT RESPECTIVEMENT MAIS
LA PROPORTION DÏLÒVES AU NIVEAU EN .OUVELLE :ÏLANDE EST PRESQUE CINQ FOIS
SUPÏRIEURE Ì CELLE OBSERVÏE EN %SPAGNE 0AR CONTRASTE L%SPAGNE AFFICHE UNE
PROPORTION PARTICULIÒREMENT ÏLEVÏE POUR CENT DÏLÒVES QUI NE DÏPASSENT
PAS LE NIVEAU
.IVEAU DE COMPÏTENCE RÏSULTAT COMPRIS ENTRE ET POINTS
OU EN DEÎË RÏSULTAT INFÏRIEUR Ë POINTS
iÃÊjmÛiÃÊÃiÊÃÌÕ>ÌÊ ,E CONCEPT DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT TEL QUIL EST DÏFINI DANS LE 0)3!
>Õ`iÃÃÕÃÊ`iÃÊÌ@V
iÃÊ SE CONCENTRE SUR LES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES REQUISES PAR LA i LECTURE
iÃÊ«ÕÃÊëiÃÊ`iÊ POUR APPRENDRE w PLUTÙT QUE SUR LES COMPÏTENCES TECHNIQUES ACQUISES LORS DE
Ûi>ÕʣʫiÕÛiÌÊkÌÀiÊ LAPPRENTISSAGE DE LA LECTURE ³TANT DONNÏ QUUN NOMBRE RELATIVEMENT RESTREINT
ÌiV
µÕiiÌÊV>«>LiÃÊ DE JEUNES ADULTES NA PAS ACQUIS LES COMPÏTENCES TECHNIQUES EN LECTURE DANS LES
`iÊÀiÊo PAYS DE L/#$% 0)3! NE CHERCHE PAS Ì MESURER SI LES ÏLÒVES DE ANS LISENT
CORRECTEMENT OU SILS ORTHOGRAPHIENT OU RECONNAISSENT BIEN LES MOTS $ANS LA
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌÊÊÊ#(!0)42% Ê
LIGNE DES THÏORIES LES PLUS RÏCENTES EN MATIÒRE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
0)3! SATTACHE ESSENTIELLEMENT Ì ÏVALUER DANS QUELLE MESURE LES INDIVIDUS SONT
CAPABLES DE CONSTRUIRE DE DÏVELOPPER ET DINTERPRÏTER LE SENS DE CE QUILS LISENT
DANS UN VASTE ÏVENTAIL DE TEXTES FAMILIERS Ì LINTÏRIEUR COMME Ì LEXTÏRIEUR DU
CADRE SCOLAIRE ,ES TÊCHES DE LECTURE LES PLUS SIMPLES POUVANT ÐTRE LIÏES Ì CETTE
NOTION DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SONT CELLES DITES DE NIVEAU ,ES ÏLÒVES QUI
ATTEIGNENT CE NIVEAU SONT UNIQUEMENT CAPABLES DEFFECTUER LES TÊCHES DE LECTURE
LES MOINS COMPLEXES DES ÏPREUVES 0)3! NOTAMMENT LOCALISER UN FRAGMENT
UNIQUE DINFORMATION IDENTIFIER LE THÒME PRINCIPAL DUN TEXTE OU ÏTABLIR UNE
RELATION SIMPLE AVEC DES CONNAISSANCES DE LA VIE COURANTE VOIR LA FIGURE POUR
UNE DESCRIPTION PLUS DÏTAILLÏE
,ES ÏLÒVES AYANT OBTENU MOINS DE POINTS CEST Ì DIRE UN RÏSULTAT INFÏRIEUR AU o>ÃÊÀõÕiÌÊ
NIVEAU NE SONT PAS CAPABLES DE METTRE COURAMMENT EN UVRE LES CONNAISSANCES j>ÃÊ`iÊÀiVÌÀiÀÊ
ET COMPÏTENCES LES PLUS ÏLÏMENTAIRES QUE 0)3! CHERCHE Ì MESURER #ELA NE DOIT PAS `iÊÃjÀiÕÃiÃÊ`vvVÕÌjÃÊ
ÐTRE INTERPRÏTÏ COMME UNE ABSENCE DE COMPÏTENCES EN LECTURE CHEZ LÏLÒVE %N `>ÃÊiÕÀÊÛiÊvÕÌÕÀio
FAIT LA PLUPART DES ÏLÒVES CONCERNÏS SONT VRAISEMBLABLEMENT CAPABLES DE LIRE DANS
LACCEPTION TECHNIQUE DU TERME ET LA GRANDE MAJORITÏ DENTRE EUX POUR CENT
EN MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% SONT EN MESURE DE RÏSOUDRE CORRECTEMENT
AU MOINS POUR CENT DES TÊCHES DU 0)3! ABSTRACTION FAITE DES ITEMS Ì CHOIX
MULTIPLE ET POUR CENT DENTRE EUX SONT EN MESURE DEN RÏSOUDRE LE QUART
.ÏANMOINS LE SCHÏMA DE LEURS RÏPONSES Ì LÏVALUATION EST TEL QUILS NE DEVRAIENT
PAS PARVENIR Ì RÏSOUDRE PLUS DE LA MOITIÏ DES TÊCHES DUNE ÏVALUATION CORRESPONDANT
EXCLUSIVEMENT AU NIVEAU ET CEST POURQUOI LEUR PERFORMANCE EST INFÏRIEURE AU
NIVEAU #ES ÏLÒVES ÏPROUVENT DE SÏRIEUSES DIFFICULTÏS Ì UTILISER LA LECTURE COMME
UN OUTIL POUR ÏTENDRE ET AMÏLIORER LEURS CONNAISSANCES ET LEURS COMPÏTENCES DANS
DAUTRES DOMAINES ,ES ÏLÒVES DONT LES COMPÏTENCES EN LECTURE SONT INFÏRIEURES
AU NIVEAU RISQUENT DE RENCONTRER DES DIFFICULTÏS LORS DE LA TRANSITION INITIALE
ENTRE LÏCOLE ET LE MONDE DU TRAVAIL MAIS AUSSI DE NE PAS POUVOIR TIRER PROFIT DE
LA FORMATION PERMANENTE ET DAUTRES POSSIBILITÏS DAPPRENTISSAGE TOUT AU LONG
DE LEUR VIE
,ES SYSTÒMES ÏDUCATIFS QUI ACCUSENT DE FORTES PROPORTIONS DÏLÒVES SOUS LE NIVEAU oiÌÊÀõÕiÌÊ`iÊiÊ«>ÃÊ
n OU MÐME AU NIVEAU n SONT APPELÏS Ì SE PRÏOCCUPER DU FAIT QUUN NOMBRE >VµÕjÀÀÊiÃÊV«jÌiViÃÊ
SIGNIFICATIF DE BÏNÏFICIAIRES NACQUIÒRENT PAS LES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES jViÃÃ>ÀiÃÊ«ÕÀÊÌÀiÀÊ
NÏCESSAIRES POUR TIRER PROFIT DES POSSIBILITÏS DENSEIGNEMENT #ETTE SITUATION ÃÕvvÃ>iÌÊ«ÀvÌÊ`iÃÊ
EST PLUS PRÏOCCUPANTE ENCORE Ì LA LUMIÒRE DES NOMBREUSES CONSTATATIONS QUI «ÃÃLÌjÃÊ
INDIQUENT Ì QUEL POINT IL EST DIFFICILE DE COMBLER PLUS TARD DANS LA VIE DES LACUNES `½iÃi}iiÌ°
DAPPRENTISSAGE REMONTANT Ì LENSEIGNEMENT INITIAL ,ES DONNÏES DE L/#$%
SUGGÒRENT PLUTÙT QUE LA FORMATION SUR LE TAS ET LA FORMATION PERMANENTE RENFORCENT
SOUVENT LES DISPARITÏS DANS LES ACQUIS AU MOMENT Oá LES INDIVIDUS TERMINENT
LEUR SCOLARITÏ INITIALE /#$% )L EXISTE UNE FORTE CORRÏLATION ENTRE LES
COMPÏTENCES EN LECTURE DES ADULTES ET LA PARTICIPATION Ì LA FORMATION CONTINUE
MÐME EN TENANT COMPTE DAUTRES CARACTÏRISTIQUES AFFECTANT LA PARTICIPATION Ì LA
FORMATION ,ES COMPÏTENCES DITES DE LITTÏRATIE ET LA FORMATION CONTINUE SEMBLENT
SE RENFORCER MUTUELLEMENT CE QUI A POUR CONSÏQUENCES QUE LES ADULTES QUI ONT
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
LE PLUS BESOIN DUNE FORMATION SONT CEUX CHEZ QUI LA DÏMARCHE DEN SUIVRE EST
LA MOINS FRÏQUENTE
iÊ«ÕÀViÌ>}iÊ`½jmÛiÃÊ $ANS LA ZONE COMBINÏE DE L/#$% POUR CENT DES ÏLÒVES SE SITUENT AU
ÃiÊÃÌÕ>ÌÊ>ÕÊÛi>ÕÊ£Ê NIVEAU TANDIS QUE POUR CENT NE LATTEIGNENT PAS MAIS ON OBSERVE DE GRANDES
ÕÊ>Õ`iÃÃÕÃÊÛ>ÀiÊ DIFFÏRENCES ENTRE LES PAYS %N #ORÏE ET EN &INLANDE SEULS POUR CENT ENVIRON
vÀÌiiÌ]Ê`iʵÕiµÕiÊ DES ÏLÒVES SE SITUENT AU NIVEAU ET MOINS DE POUR CENT SE SITUENT EN DE Ì
«ÕÀÊViÌÊÕõսDÊ«ÀmÃÊ`iÊ -AIS CES PAYS SONT LEXCEPTION $ANS TOUS LES AUTRES PAYS DE L/#$% ENTRE
>ÊÌjo ET POUR CENT DES ÏLÒVES SE SITUENT AU NIVEAU OU EN DE Ì TABLEAU A 0LUS
DE POUR CENT EN MOYENNE n PLUS DE POUR CENT DANS LA MOITIÏ DES PAYS DE
L/#$% n SE SITUENT AU
DESSOUS DU NIVEAU
oiÌ]Ê`>ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃ]Ê ,ES PAYS QUI COMPTENT PLUS DE POUR CENT DÏLÒVES AU NIVEAU OU EN DE Ì
`iÃÊÀÌjÃÊÊ SONT PAR ORDRE LE "RÏSIL LE -EXIQUE LE ,UXEMBOURG LA ,ETTONIE LA &ÏDÏRATION
j}}i>LiÃʽ>ÌÌi}iÌÊ DE 2USSIE LE 0ORTUGAL LA 'RÒCE LA 0OLOGNE LA (ONGRIE L!LLEMAGNE LE ,IECH
kiÊ«>ÃÊiÊÛi>ÕÊ£° TENSTEIN ET LA 3UISSE %N !LLEMAGNE AU "RÏSIL EN ,ETTONIE AU ,UXEMBOURG AU
-EXIQUE ET AU 0ORTUGAL ENTRE ET POUR CENT DES ÏLÒVES NATTEIGNENT PAS
LE NIVEAU #ES ÏLÒVES SONT INCAPABLES DE METTRE COURAMMENT EN UVRE LES
COMPÏTENCES LES PLUS ÏLÏMENTAIRES QUE LE 0)3! CHERCHE Ì ÏVALUER #E CONSTAT
EST DAUTANT PLUS FRAPPANT DANS LE CAS DE L!LLEMAGNE QUI COMPTE PAR AILLEURS LA
PROPORTION RELATIVEMENT ÏLEVÏE DE POUR CENT DES ÏLÒVES RÏALISANT DES PERFOR
MANCES AU NIVEAU
>Ê>ÀÌjÊ`iÃÊjmÛiÃÊ ,ES ÏLÒVES CLASSÏS AU NIVEAU OU EN DE Ì NE CONSTITUENT PAS UN GROUPE ALÏATOIRE
>ÕÊÛi>ÕÊ£ÊÃÌÊ`iÊ .ONOBSTANT LE FAIT QUIL CONVIENT DEXAMINER LES CARACTÏRISTIQUES SPÏCIFIQUES
ÃiÝiÊ>ÃVÕ]ÊÃÃÕÃÊ`iÊ DE CES ÏLÒVES DANS LEUR CONTEXTE NATIONAL ON PEUT AISÏMENT DÏGAGER CERTAINES
iÕÝÊ`jv>ÛÀÃjÃÊÕÊ TENDANCES COMMUNES $ANS PRATIQUEMENT TOUS LES PAYS LA MAJORITÏ DE CES ÏLÒVES
ÌÊ`iÃÊ«>ÀiÌÃÊjÃÊDÊ SONT DE SEXE MASCULIN TABLEAU A ET NOMBRE DENTRE EUX SONT ISSUS DE MILIEUX
½jÌÀ>}iÀ° DÏFAVORISÏS 0AR AILLEURS DANS DE NOMBREUX PAYS UNE PROPORTION RELATIVEMENT
ÏLEVÏE DES ÏLÒVES SITUÏS AU NIVEAU OU EN DE Ì SONT NÏS Ì LÏTRANGER OU LEURS
PARENTS SONT NÏS Ì LÏTRANGER %N !LLEMAGNE ET AU ,UXEMBOURG DEUX DES QUATRE
PAYS AFFICHANT LA PROPORTION LA PLUS IMPORTANTE DÏLÒVES AU OU SOUS LE NIVEAU
RESPECTIVEMENT PLUS DE ET POUR CENT DE CES ÏLÒVES SONT NÏS Ì LÏTRANGER
ALORS QUE CETTE PROPORTION EST RESPECTIVEMENT DE ET DE POUR CENT POUR LES
ÏLÒVES QUI SE SITUENT AU
DESSUS DU NIVEAU ,E CHAPITRE PRÏSENTE UNE ANALYSE
PLUS SYSTÏMATIQUE DES DIFFÏRENCES DE SEXE DANS LES CATÏGORIES DÏLÒVES LES PLUS
i FAIBLES w ET LES CHAPITRES ET DÏCRIVENT LES CARACTÏRISTIQUES DU MILIEU DONT
SONT ISSUS LES ÏLÒVES i FAIBLES w ET i FORTS w
,ES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SITUÏS AU NIVEAU OU AU
DESSOUS VONT DE PAIR AVEC
DE GRANDES DIFFÏRENCES SUR LES TROIS ÏCHELLES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT Ì
LINSTAR DAILLEURS DE CELLES DU NIVEAU %N %SPAGNE EN 'RÒCE AU -EXIQUE ET
AU 0ORTUGAL CE SONT LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE i 2ETROUVER DE
LINFORMATION w QUI SONT LES PLUS FAIBLES AVEC UNE PROPORTION DÏLÒVES SITUÏS AU
NIVEAU OU EN DE Ì QUI EST DE Ì POUR CENT PLUS ÏLEVÏE QUE SUR LÏCHELLE
i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w )NVERSEMENT EN !LLEMAGNE EN &RANCE ET
EN 3UISSE LA PROPORTION DES ÏLÒVES CLASSÏS AU NIVEAU OU EN DE Ì DE LÏCHELLE
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌÊÊÊ#(!0)42% Ê
i 2ETROUVER DE LINFORMATION w EST INFÏRIEURE DE POUR CENT Ì LA MÐME PROPOR
TION SUR LÏCHELLE i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w !U "RÏSIL PLUS DE LA
MOITIÏ DES ÏLÒVES NE DÏPASSENT PAS LE NIVEAU DE LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏ
HENSION DE LÏCRIT #ETTE PROPORTION EST SUPÏRIEURE AUX DEUX TIERS SUR LÏCHELLE
i 2ETROUVER DE LINFORMATION w MAIS NEST QUE DE POUR CENT SUR LÏCHELLE
i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w TABLEAUX B
D
!TTENTES EN CE QUI CONCERNE LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES
$ANS TOUTE COMPARAISON ENTRE PAYS DE CE TYPE DE DONNÏES IL FAUT GARDER Ì LESPRIT iÃÊÃÞÃÌmiÃÊj`ÕV>ÌvÃÊ
LE FAIT QUE LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS FONCTIONNENT DANS DES CONDITIONS ÏCONOMIQUES TRÒS ÕÀÀÃÃiÌÊ`iÃÊ>ÌÌiÌiÃÊ
DIVERSES ET QUE LES ENSEIGNANTS LES ÏTABLISSEMENTS SCOLAIRES ET LA SOCIÏTÏ EN GÏNÏRAL `vvjÀiÌiÃÊDʽj}>À`Ê`iÊ
PEUVENT NOURRIR DES ATTENTES DIFFÏRENTES Ì LÏGARD DES PERFORMANCES DE LEURS ÏLÒVES iÕÀÃÊjmÛiÃo
,ES BULLETINS SCOLAIRES SONT COURAMMENT UTILISÏS POUR INFORMER LES ÏLÒVES ET LEURS
PARENTS DE LA MESURE DANS LAQUELLE ILS RÏPONDENT AUX EXIGENCES QUE LES ENSEIGNANTS
ET LES ÏTABLISSEMENTS ONT FIXÏES POUR EUX "IEN QUE LES PRATIQUES DÏVALUATION VARIENT
CONSIDÏRABLEMENT ENTRE LES PAYS LES ÏCHELLES UTILISÏES PAR LES ENSEIGNANTS COMPREN
NENT SOUVENT UN SEUIL DÏCHECDE RÏUSSITE QUI INDIQUE SI LE NIVEAU ATTEINT PAR LES ÏLÒVES
DANS LES DIFFÏRENTES MATIÒRES EST JUGÏ ACCEPTABLE ,A FORME SOUS LAQUELLE CE SEUIL SE
TRADUIT EN NOTES PEUT ÐTRE UNIFORME DANS TOUT UN PAYS DÏFINIE Ì LÏCHELLE DE LÏTABLISSE
MENT OU PROPRE Ì LENSEIGNANT DE CHAQUE CLASSE $E MÐME LA NATURE ET LA DIFFICULTÏ DES
TÊCHES QUE LES ÏLÒVES DOIVENT ACCOMPLIR CORRECTEMENT POUR OBTENIR UNE NOTE DONNÏE
PEUVENT VARIER SELON QUE LÏTABLISSEMENT LA CLASSE OU LE PROGRAMME DENSEIGNEMENT
EST EXIGEANT OU NON
,ORS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! IL A ÏTÏ DEMANDÏ AUX ÏLÒVES DE COMMUNIQUER oViʽÕÃÌÀiÌÊiÃÊ
LES NOTES DE LEUR DERNIER BULLETIN DANS LES MATIÒRES LIÏES Ì LA LANGUE DE LÏVALUATION LÕiÌÃÊ`iÃÊÌiÃʵÕiÊ
0)3! DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR LE 2APPORT TECHNIQUE 0)3! POUR iÃÊjmÛiÃÊÌÊLÌiÕiÃÊ
PLUS DE DÏTAILS #ES NOTES ONT ENSUITE ÏTÏ CLASSÏES EN TROIS CATÏGORIES SELON iÊV>ÃÃi°
QUELLES ÏTAIENT SUPÏRIEURES ÏGALES OU INFÏRIEURES AU SEUIL DÏCHECDE RÏUSSITE EN
VIGUEUR DANS LÏTABLISSEMENT OU LA CLASSE CONCERNÏS %N PARTICULIER DANS LES PAYS
QUI APPLIQUENT UNE POLITIQUE DE PROMOTION AUTOMATIQUE Ì LANNÏE SUIVANTE LE
FAIT QUUN ÏLÒVE NAIT PAS ATTEINT LE SEUIL DÏCHECDE RÏUSSITE PEUT NAVOIR AUCUNE
CONSÏQUENCE SUR SON PARCOURS SCOLAIRE 4OUTEFOIS CETTE INFORMATION SIGNALE QUE
LÏLÒVE NA PAS REMPLI LES ATTENTES MINIMALES DANS UNE DISCIPLINE DONNÏE Ì LÏCHELLE
DE LÏTABLISSEMENT OU DE LA CLASSE ,A COMPARAISON DE CES INFORMATIONS AVEC LES
PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DU 0)3! PERMET
DE DÏFINIR UN CADRE DE RÏFÏRENCE SUPPLÏMENTAIRE POUR INTERPRÏTER LES RÏSULTATS
0)3! DANS LE CONTEXTE NATIONAL MÐME SI LES NOTES OBTENUES DANS LES MATIÒRES
LINGUISTIQUES SONT ASSOCIÏES Ì UN SPECTRE NETTEMENT PLUS LARGE DE CONNAISSANCES
ET DE COMPÏTENCES QUE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
,ES RÏSULTATS ONT RÏVÏLÏ QUUNE PERFORMANCE RELATIVEMENT ÏLEVÏE AUX ÏVALUATIONS DU >ÃÊiÃÊ«>ÞÃÊ>vvV
>ÌÊÕiÊ
0)3! NE SE TRADUIT PAS NÏCESSAIREMENT PAR UNE PROPORTION RELATIVEMENT ÏLEVÏE DÏLÒ
«iÀvÀ>ViÊÞiiÊjiÛjiÊ>ÕÊ
VES RENCONTRANT LES ATTENTES DE LEURS ENSEIGNANTS )NVERSEMENT DANS CERTAINS PAYS DONT *-]ÊiÃÊiÃi}>ÌÃʽ>ÌÌÀLÕiÌÊ
LA PERFORMANCE MOYENNE EST COMPARATIVEMENT MOINS ÏLEVÏE LA GRANDE MAJORITÏ DES «>ÃÊjViÃÃ>ÀiiÌÊ>ÊÌiÊ`iÊ
ÏLÒVES SE MONTRENT NÏANMOINS Ì LA HAUTEUR DE CE QUON ATTEND DEUX «>ÃÃ>}iÊDÊÌÕÃÊiÃÊjmÛiÃo
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
,A &RANCE NOTAMMENT EST UN DES PAYS QUI AFFICHE UNE PROPORTION RELATIVE
MENT ÏLEVÏE DÏLÒVES QUI PRÏTENDENT NE PAS ATTEINDRE LE SEUIL DE RÏUSSITE
DÏCHEC POUR CENT 0OURTANT CES ÏLÒVES ONT OBTENU UN RÏSULTAT MOYEN DE
POINTS SUR LÏCHELLE DE PERFORMANCE CEST
Ì
DIRE LARGEMENT DANS LE NIVEAU
TABLEAU ET TRÒS PRÒS DE LA MOYENNE DE L/#$%
o>ÀÃʵÕiÊ`>ÃÊ ,E -EXIQUE COMPTE POUR CENT DÏLÒVES AU NIVEAU OU EN DE Ì -ALGRÏ
ViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃÊÙÊ>Ê CE POURCENTAGE LE RÏSULTAT MOYEN DES POUR CENT DÏLÒVES QUI ONT INDIQUÏ
«iÀvÀ>ViÊÞiiÊ AVOIR OBTENU UNE NOTE DE PASSAGE OU DAVANTAGE DANS LES MATIÒRES LINGUISTIQUES
iÃÌÊ«iÕÊjiÛji]Ê>Ê«Õ«>ÀÌÊ LORS DE LEUR DERNIER BULLETIN EST DE POINTS SEULEMENT TABLEAU %N
`iÃÊjmÛiÃÊÃ>ÌÃvÌÊiÃÊ DAUTRES TERMES BIEN QUE LES RÏSULTATS DE CES ÏLÒVES NE SOIENT GUÒRE BRILLANTS
>ÌÌiÌiÃÊ`iÊiÕÀÃÊ PAR RAPPORT Ì DES NORMES INTERNATIONALES POUR CENT DENTRE EUX AFFIRMENT
iÃi}>Ìð QUILS ATTEIGNENT OU DÏPASSENT LE NIVEAU DE PERFORMANCE QUE LEURS ENSEIGNANTS
ATTENDENT DEUX 0ARMI LES PAYS DANS LESQUELS LES ÏLÒVES INDIQUANT NE PAS AVOIR
ATTEINT LE SEUIL DE RÏUSSITEDÏCHEC ONT UN RÏSULTAT RELATIVEMENT MODESTE AUX
ALENTOURS DE POINTS SUR LÏCHELLE DE COMPÏTENCE CITONS LA 'RÒCE LA
0OLOGNE LE 2OYAUME
5NI ET LA 3UÒDE $ANS CES PAYS LE POURCENTAGE DÏLÒVES DE
CETTE CATÏGORIE NA GUÒRE ATTEINT QUE POUR CENT OU MOINS
,A PERFORMANCE MOYENNE DES PAYS
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊÞiÃÊ ,A DISCUSSION CI
DESSUS ÏTAIT AXÏE SUR LA COMPARAISON ENTRE PAYS DE LA RÏPARTITION
«iÕÛiÌÊÕÌiiÌÊ DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES 5N AUTRE MOYEN DE RÏSUMER LES PERFORMANCES DES
ÀjÃÕiÀÊ>Ê«iÀvÀ>ViÊ ÏLÒVES ET DE COMPARER LA SITUATION RELATIVE DES PAYS EN TERMES DE COMPRÏHENSION
`½ÕÊ«>ÞÃo DE LÏCRIT EST DE SE RÏFÏRER Ì LEURS RÏSULTATS MOYENS ,ES PAYS DONT LES RÏSULTATS
MOYENS SONT ÏLEVÏS DISPOSENT DUN ATOUT ÏCONOMIQUE ET SOCIAL CONSIDÏRABLE DANS
LA MESURE Oá DES PERFORMANCES MOYENNES ÏLEVÏES Ì LÊGE DE ANS SONT UN SIGNE
PRÏCURSEUR DE LA PRÏSENCE DUNE MAIN
DUVRE TRÒS COMPÏTENTE Ì LAVENIR
o>ÃÊ>õÕiÌÊ>Ê«ÕÃÊ )L Y A TOUTEFOIS LIEU DE GARDER PRÏSENT Ì LESPRIT LE FAIT QUE LES CHIFFRES DE PERFORMANCE
vÀÌiÊÛ>À>ÌÊ`>ÃÊ>Ê MOYENNE OCCULTENT DES VARIATIONS SIGNIFICATIVES AU SEIN MÐME DES PAYS QUI
«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃ]Ê TRADUISENT DES DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE DANS UN GRAND ÏVENTAIL DE GROUPES
µÕÊÃiÊ>viÃÌiÊDÊ DÏLÒVES 3EUL UN DIXIÒME DE LA VARIATION TOTALE DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES
½ÌjÀiÕÀÊ`iÃÊ«>Þð ENREGISTRÏE PAR LE 0)3! RENVOIE Ì DES DIFFÏRENCES ENTRE PAYS ET SEULE CETTE PARTIE
APPARAÔT Ì LA LECTURE DUNE COMPARAISON DES MOYENNES NATIONALES TABLEAU
#ETTE PROPORTION EST SIMILAIRE Ì CELLE DENQUÐTES INTERNATIONALES ANTÏRIEURES SUR
LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES TELLES QUE LA 4ROISIÒME ÏTUDE INTERNATIONALE SUR LES
MATHÏMATIQUES ET LES SCIENCES 4)-33 DE L)%! ,ES NEUF AUTRES DIXIÒMES DE LA
VARIATION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SONT IMPUTABLES Ì DES DIFFÏRENCES AU SEIN
MÐME DES PAYS CEST
Ì
DIRE Ì DES DIFFÏRENCES ENTRE LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS ET LES
PROGRAMMES DENSEIGNEMENT ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS ET ENTRE LES ÏLÒVES QUI
FRÏQUENTENT LE MÐME ÏTABLISSEMENT
>Êv}ÕÀiÊÓ°{ÊÌÀiÊiÃÊ ,A FIGURE RÏSUME LES PERFORMANCES DES PAYS PARTICIPANTS SUR LÏCHELLE COMBINÏE
ÞiiÃÊ`iÃÊ«>ÞÃo DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET LES TABLEAUX A
C LES DÏTAILLENT EN FONCTION DES
TROIS COMPOSANTES ,A FIGURE IDENTIFIE ÏGALEMENT LES PAYS DONT LA PERFORMANCE
EST SUPÏRIEURE INFÏRIEURE OU SE CONFOND AVEC LA MOYENNE DE L/#$%
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌÊÊÊ#(!0)42% Ê
%NCADRÏ )NTERPRÏTER LES STATISTIQUES DÏCHANTILLONAGE
%RREURS TYPES ET INTERVALLES DE CONFIANCE ,ES DONNÏES STATISTIQUES FIGURANT DANS CE RAPPORT
SONT DES ESTIMATIONS DES PERFORMANCES NATIONALES RÏALISÏES SUR LA BASE DÏCHANTILLONS DÏLÒVES ET NON
DES VALEURS QUI AURAIENT PU ÐTRE CALCULÏES SI TOUS LES ÏLÒVES DE CHAQUE PAYS AVAIENT RÏPONDU Ì TOUTES
LES QUESTIONS $ANS CE CONTEXTE IL EST IMPORTANT DE CONNAÔTRE LE DEGRÏ DINCERTITUDE INHÏRENT A
CES ESTIMATIONS ,ES ESTIMATIONS DU CYCLE 0)3! COMPORTENT TOUTES UN DEGRÏ DINCERTITUDE
EXPRIMÏ SOUS LA FORME DUNE ERREUR TYPE ,APPLICATION DINTERVALLES DE CONFIANCE PERMET DÏTABLIR
DES INFÏRENCES Ì PROPOS DES PROPORTIONS ET DES MOYENNES DE LA POPULATION DUNE MANIÒRE QUI REFLÒTE
LINCERTITUDE ASSOCIÏE AUX ESTIMATIONS CALCULÏES SUR LA BASE DÏCHANTILLONS /N PEUT INFÏRER QUE LE
RÏSULTAT STATISTIQUE OBSERVÏ POUR UNE POPULATION DONNÏE SE SITUERAIT Ì LINTÏRIEUR DE LINTERVALLE DE
CONFIANCE DANS REPRODUCTIONS SUR DE LA MESURE EN UTILISANT DIFFÏRENTS ÏCHANTILLONS DE LA MÐME
POPULATION
³VALUER SI LES POPULATIONS DIFFÒRENT #E RAPPORT TESTE LE CARACTÒRE SIGNIFICATIF DES DIFFÏRENCES
ENTRE ÏCHANTILLONS NATIONAUX OBSERVÏES DANS LES POURCENTAGES ET DANS LES RÏSULTATS MOYENS POUR
ÏVALUER SIL Y A DES DIFFÏRENCES ENTRE LES POPULATIONS QUE LES ÏCHANTILLONS REPRÏSENTENT #HAQUE TEST
EST RÏALISÏ DANS LE RESPECT DE LA CONVENTION SUIVANTE SIL NEXISTE PAS DE DIFFÏRENCE RÏELLE ENTRE DEUX
POPULATIONS LA PROBABILITÏ QUUNE DIFFÏRENCE OBSERVÏE ENTRE DEUX ÏCHANTILLONS PUISSE MENER Ì LA
CONCLUSION ERRONÏE QUE LES POPULATIONS SONT DIFFÏRENTES EN RAISON DUNE ERREUR DÏCHANTILLONNAGE ET
DE MESURE NE DÏPASSE PAS POUR CENT $ANS LES FIGURES ET LES TABLEAUX PRÏSENTANT DES COMPARAISONS
MULTIPLES DES RÏSULTATS MOYENS DES DIFFÏRENTS PAYS LES TESTS DE SIGNIFICATION SONT RÏALISÏS SELON UNE
PROCÏDURE PROPRE AUX COMPARAISONS MULTIPLES #ETTE PROCÏDURE LIMITE Ì POUR CENT LA PROBABILITÏ
QUE LA MOYENNE DUN PAYS DONNÏ SOIT Ì TORT DÏCLARÏE DIFFÏRENTE DE CELLE DUN AUTRE PAYS SIL NEXISTE
EN RÏALITÏ AUCUNE DIFFÏRENCE VOIR LANNEXE ! POUR PLUS DE DÏTAILS
,A PERFORMANCE DE LA &INLANDE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE o>Ê>`iÊ`iÛ>X>ÌÊ
LÏCRIT EST SUPÏRIEURE Ì CELLE DE TOUS LES AUTRES PAYS DE L/#$% FIGURE iÌÌiiÌÊiÃÊ>ÕÌÀiÃÊ
,ÏCART QUI SÏPARE LA MOYENNE NATIONALE DE POINTS ET LA MOYENNE DE L/#$% «>ÞÃo
DE POINTS REPRÏSENTE PRÒS DE DEUX TIERS DUN NIVEAU DE COMPÏTENCE SOIT EN
TERMES STATISTIQUES UN ÏCART DE PRÒS DE LA MOITIÏ DUN ÏCART TYPE INTERNATIONAL
,ES PAYS DONT LES RÏSULTATS MOYENS SE SITUENT SIGNIFICATIVEMENT AU
DESSUS DE
LA MOYENNE DE L/#$% SONT NOTAMMENT L!USTRALIE L!UTRICHE LA "ELGIQUE
LE #ANADA LA #ORÏE LA &INLANDE L)RLANDE L)SLANDE LE *APON LA .OUVELLE
:ÏLANDE LE 2OYAUME
5NI ET LA 3UÒDE ,ES RÏSULTATS MOYENS DE CINQ PAYS SE
CONFONDENT AVEC LA MOYENNE DE L/#$% LE $ANEMARK LES ³TATS
5NIS LA
&RANCE LA .ORVÒGE ET LA 3UISSE TANDIS QUE PAYS AFFICHENT UN RÏSULTAT MOYEN
SIGNIFICATIVEMENT INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE L/#$% L!LLEMAGNE LE "RÏSIL
L%SPAGNE LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE LA 'RÒCE LA (ONGRIE L)TALIE LA ,ETTONIE
LE ,IECHTENSTEIN LE ,UXEMBOURG LE -EXIQUE LA 0OLOGNE LE 0ORTUGAL ET LA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
}ÕÀiÊÓ°{
#OMPARAISONS MULTIPLES DE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
.OUVELLE :ÏLANDE
&ÏD DE 2USSIE
2OYAUME 5NI
,IECHTENSTEIN
2ÏP TCHÒQUE
,UXEMBOURG
!LLEMAGNE
$ANEMARK
³TATS 5NIS
!USTRALIE
-EXIQUE
!UTRICHE
.ORVÒGE
"ELGIQUE
&INLANDE
0ORTUGAL
,ETTONIE
(ONGRIE
%SPAGNE
0OLOGNE
#ANADA
)RLANDE
)SLANDE
&RANCE
#ORÏE
'RÒCE
3UÒDE
3UISSE
*APON
"RÏSIL
)TALIE
-OYENNE
%R T
&INLANDE
#ANADA
.OUVELLE :ÏLANDE
!USTRALIE
)RLANDE
#ORÏE
2OYAUME 5NI
*APON
3UÒDE
!UTRICHE
"ELGIQUE
)SLANDE
.ORVÒGE
&RANCE
³TATS 5NIS
$ANEMARK
3UISSE
%SPAGNE
2ÏP TCHÒQUE
)TALIE
!LLEMAGNE
,IECHTENSTEIN
(ONGRIE
0OLOGNE
'RÒCE
0ORTUGAL
&ÏD DE 2USSIE
,ETTONIE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
"RÏSIL
,IGNE SUPÏRIEURE
,IGNE INFÏRIEURE
.OTE ,ES DONNÏES ÏTANT BASÏES SUR DES ÏCHANTILLONS IL NEST PAS POSSIBLE DE RENDRE COMPTE DE LA POSITION EXACTE DU RANG DES PAYS )L EST
TOUTEFOIS POSSIBLE DE DONNER UNE FOURCHETTE DANS LAQUELLE LA MOYENNE DU PAYS EST FIABLE Ì POUR CENT
)NSTRUCTIONS
0ERFORMANCE MOYENNE SIGNIFICATIVEMENT SUPÏRIEURE AU NIVEAU
0OUR PROCÏDER Ì LA COMPARAISON IL SUFFIT DE CHOISIR UN PAYS EN ABSCISSE ET STATISTIQUE Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
DE LE COMPARER AVEC LUN DES PAYS EN ORDONNÏE ,ES SYMBOLES INDIQUENT 0AS DE DIFFÏRENCE STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE PAR RAPPORT AU PAYS EN ORDONNÏE
QUE LA PERFORMANCE MOYENNE DU PAYS EN ABSCISSE EST SIGNIFICATIVEMENT 0ERFORMANCE MOYENNE SIGNIFICATIVEMENT INFÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE
INFÏRIEURE SUPÏRIEURE OU QUIL NEXISTE PAS DE DIFFÏRENCE SIGNIFICATIVE SUR LE Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
PLAN STATISTIQUE PAR RAPPORT Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
3IGNIFICATIVEMENT SUPÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì LA MOYENNE DE L/#$%
0AS DÏCART STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF PAR RAPPORT Ì LA MOYENNE DES PAYS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE L/#$% 3IGNIFICATIVEMENT INFÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì LA MOYENNE DE L/#$%
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ #(!0)42%
#OMME ON LA VU DANS LENCADRÏ LORS DE LINTERPRÏTATION DE LA PERFORMANCE o>ÃÊViÀÌ>iÃÊ
MOYENNE IL IMPORTE DE PRENDRE EXCLUSIVEMENT EN CONSIDÏRATION LES DIFFÏRENCES `vvjÀiViÃÊiÊÃÌÊ«>ÃÊ
ENTRE PAYS QUI SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES !INSI POUR COMPRENDRE LE ÃÌ>ÌÃ̵ÕiiÌÊ
CLASSEMENT DUN PAYS DANS LA FIGURE IL FAUT DÏTERMINER AU PRÏALABLE SI LES Ã}vV>ÌÛið
DIFFÏRENCES QUI SÏPARENT CE PAYS DE CEUX PROCHES DE LUI DANS LE CLASSEMENT SONT
SIGNIFICATIVES ,A FIGURE PRÏSENTE PAR PAIRES LES PAYS ENTRE LESQUELS LES DIFFÏRENCES
DE RÏSULTAT MOYEN SONT SUFFISANTES POUR POUVOIR AFFIRMER AVEC CERTITUDE QUE
LA PERFORMANCE SUPÏRIEURE DES ÏLÒVES DE LÏCHANTILLON DANS UN PAYS VAUT POUR
TOUTE LA POPULATION DES JEUNES DE ANS SCOLARISÏS )L Y A LIEU DE PARCOURIR LA
RANGÏE CORRESPONDANT Ì UN PAYS EN ORDONNÏE POUR COMPARER SA PERFORMANCE
AVEC CELLES DES PAYS INDIQUÏS DANS LE HAUT DE LA FIGURE ,ES SYMBOLES INDIQUENT SI
LA PERFORMANCE MOYENNE DU PAYS EN ORDONNÏE EST SIGNIFICATIVEMENT INFÏRIEURE
SI ELLE NEST PAS STATISTIQUEMENT DIFFÏRENTE OU SI ELLE EST SUPÏRIEURE Ì CELLE DU PAYS
DE COMPARAISON ,A FIGURE MONTRE PAR EXEMPLE QUE LA .OUVELLE :ÏLANDE SE
SITUE NETTEMENT PLUS BAS QUE LA &INLANDE QUELLE NE PRÏSENTE PAS DE DIFFÏRENCE
SIGNIFICATIVE PAR RAPPORT Ì L!USTRALIE AU #ANADA Ì LA #ORÏE Ì L)RLANDE AU *APON
ET AU 2OYAUME 5NI ET QUE SON RÏSULTAT EST SIGNIFICATIVEMENT SUPÏRIEUR Ì CELUI DE
TOUS LES AUTRES PAYS ,A &INLANDE DEVANCE NETTEMENT TOUS LES AUTRES PAYS
,E "RÏSIL ET LE -EXIQUE AFFICHENT DES RÏSULTATS SIGNIFICATIVEMENT INFÏRIEURS Ì >ÃÊiÃÊ«>ÞÃÊÙÊ>Ê
CEUX DE TOUS LES AUTRES PAYS LEUR PERFORMANCE EST INFÏRIEURE DUN NIVEAU DE «iÀvÀ>ViÊiÃÌÊ«iÕÊjiÛjiÊ
COMPÏTENCE COMPLET Ì LA MOYENNE DE L/#$% ,ORS DE LINTERPRÏTATION DES iÌÊÙÊiÊÀi`ÕLiiÌÊiÃÌÊ
RÏSULTATS MOYENS DE CES DEUX PAYS IL IMPORTE TOUTEFOIS DE TENIR COMPTE DU VÕÀ>Ì]ÊiÃÊjmÛiÃʵÕÊÃÕÛiÌÊ
FAIT QUE LES ÏLÒVES DE ANS SONT INSCRITS DANS UN GRAND NOMBRE DANNÏES ½>jiÊÌ
jÀµÕiÊ
DÏTUDE DIFFÏRENTES $ANS CES DEUX PAYS LES ÏLÒVES DE ANS QUI SONT INSCRITS EN VÀÀië`>ÌÊDÊiÕÀÊ@}iÊ
E ANNÏE LANNÏE DÏTUDE TYPE DES ÏLÒVES DE ANS DANS LES PAYS DE L/#$% LÌiiÌÊ`iÊLiÊiiÕÀÃÊ
OBTIENNENT UNE MOYENNE DE ET POINTS RESPECTIVEMENT CE QUI LES SITUE ÀjÃÕÌ>ÌÃÊiÊÌiÀiÃÊ`iÊ
ENTRE LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE ET LE 0ORTUGAL VOIR WWWPISAOECDORG POUR DES V«>À>ÃÊÌiÀ>Ì>i°
DONNÏES DÏTAILLÏES
,ES TABLEAUX A B ET C PRÏSENTENT LINFORMATION RELATIVE AUX RÏSULTATS MOYENS >ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃ]ÊiÃÊ
SUR LES TROIS ÏCHELLES SÏPARÏMENT SOUS LA MÐME FORME QUE LA FIGURE QUI jmÛiÃÊÀj>ÃiÌÊ`iÃÊ
PRÏSENTE CETTE INFORMATION POUR LÏCHELLE COMBINÏE DE LA COMPRÏHENSION DE «iÀvÀ>ViÃÊÀi>ÌÛiiÌÊ
LÏCRIT )L NE CONVIENT PAS DE FAIRE UNE COMPARAISON DIRECTE ENTRE LES RÏSULTATS iiÕÀiÃÊÃÕÀÊÕiÊ`iÃÊ
DES ÏCHELLES NUMÏRIQUES ENTRE LES DIFFÏRENTS ASPECTS DE LÏCRIT #EPENDANT IL jV iiÃÊ`½jÛ>Õ>ÌʵÕiÊ
EST POSSIBLE DE DÏTERMINER LES POINTS FORTS RELATIFS DES PAYS DANS LES DIFFÏRENTS ÃÕÀÊiÃÊ>ÕÌÀiÃ]Ê>ÃÊ`iÊ
ASPECTS DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SUR LA BASE DE LEUR POSITIONS RELATIVES SUR ÌiiÃÊ`vvjÀiViÃÊiÊÃÌÊ
LES ÏCHELLES RESPECTIVES LES VALEURS ENTRE PARENTHÒSES REPRÏSENTENT LES RÏSULTATS «ÀÌ>ÌiÃʵÕiÊ`>ÃÊÕiÊ
MOYENS SUR LES ÏCHELLES i 2ETROUVER DE LINFORMATION w ET i 2ÏFLÏCHIR SUR LE ÀÌjÊ`iÊV>ð
CONTENU DU TEXTE w RESPECTIVEMENT
n ° LAUNE DE CETTE COMPARAISON LES ÏLÒVES D!UTRICHE DU #ANADA
D%SPAGNE D)RLANDE DU 0ORTUGAL
ET DU 2OYAUME 5NI AFFICHENT DES RÏSULTATS MOYENS PLUS
ÏLEVÏS SUR LÏCHELLE i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w QUE SUR LÏCHELLE
i 2ETROUVER DE LINFORMATION w
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
n ,!LLEMAGNE L!USTRALIE LA "ELGIQUE LA
&INLANDE LA &RANCE ET LA 3UISSE AFFICHENT
DES RÏSULTATS PLUS ÏLEVÏS SUR LÏCHELLE i 2ETROUVER DE LINFORMATION w QUE SUR
LÏCHELLE i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w
n ,ES POINTS FORTS RELATIFS DES AUTRES PAYS NE PEUVENT ÐTRE DIFFÏRENCIÏS DE MANIÒRE
STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE
,A RÏPARTITION DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DANS LES PAYS
,j>ÃiÀÊ`iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ ,ES RÏSULTATS MOYENS SONT GÏNÏRALEMENT UTILISÏS POUR ÏVALUER LA QUALITÏ DES
ÞiÃÊjiÛjÃÊiÊÃÕvvÌÊ ÏTABLISSEMENTS ET DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS /R AINSI QUE NOUS LAVONS DIT LA PERFORMANCE
«>ÃÊ\ÊiÃÊ«>ÞÃÊ>ëÀiÌÊ MOYENNE NE PERMET PAS DE RENDRE COMPTE DE MANIÒRE EXHAUSTIVE DES PERFORMANCES
j}>iiÌÊDÊÀi
>ÕÃÃiÀÊiÊ DES ÏLÒVES ET PEUT MASQUER DES VARIATIONS SIGNIFICATIVES AU SEIN DUNE CLASSE DUN
Ûi>ÕÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ ÏTABLISSEMENT OU DUN SYSTÒME ÏDUCATIF 0AR AILLEURS IL Y A LIEU DE RAPPELER QUE LES PAYS
`iÃÊjmÛiÃÊiÃÊ«ÕÃÊ SOUHAITENT NON SEULEMENT ENCOURAGER LAUGMENTATION DU NIVEAU DE PERFORMANCE MAIS
Êv>LiÃÊ AUSSI ATTÏNUER LES DISPARITÏS INTERNES DE PERFORMANCE ,ES PARENTS ET LE GRAND PUBLIC
SONT CONSCIENTS DES CONSÏQUENCES GRAVES QUE PEUT ENTRAÔNER UN MAUVAIS RENDEMENT
SCOLAIRE ET SAVENT QUE LES PERSPECTIVES DEMPLOI NE SONT GUÒRE PROMETTEUSES POUR
LES ÏLÒVES QUI ABANDONNENT LEURS ÏTUDES ALORS QUIL LEUR MANQUE DES COMPÏTENCES
FONDAMENTALES ,A PRÏSENCE DUNE PROPORTION IMPORTANTE DÏLÒVES AU BAS DE LÏCHELLE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST UNE SOURCE DINQUIÏTUDE CAR ELLE INDIQUE QUUNE
LARGE PROPORTION DE LA POPULATION ACTIVE ET DES ÏLECTEURS DE DEMAIN NAURA PAS LES
COMPÏTENCES REQUISES POUR POSER DES JUGEMENTS EN TOUTE CONNAISSANCE DE CAUSE
½jÌi`ÕiÊ`iÊ>ÊÛ>À>ÌÊ )L CONVIENT DE DISTINGUER LANALYSE PRÏSENTÏE ICI DE LEXAMEN DE LA RÏPARTITION
`>ÃÊ>Ê«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊ DE LA PERFORMANCE PAR NIVEAU DE COMPÏTENCE 0)3! EXPOSÏ CI
AVANT %N EFFET
jmÛiÃÊ`iÊ>ÊiÃÕÀiÊ LA RÏPARTITION DES ÏLÒVES PAR NIVEAU DE COMPÏTENCE DÏTERMINE LA PROPORTION
`ÕÊ`jvÊDÊÀiiÛiÀ° DÏLÒVES QUI PEUVENT EXPLOITER LES CONNAISSANCES ET LES COMPÏTENCES ASSOCIÏES Ì
UN NIVEAU SPÏCIFIQUE DANS CHAQUE PAYS %N CONSÏQUENCE ELLE PERMET DE COMPA
RER LES PAYS SUR LA BASE DE VALEURS DE RÏFÏRENCE ABSOLUES %N REVANCHE LANALYSE
PRÏSENTÏE CI
APRÒS PORTE SUR LA DISTRIBUTION RELATIVE DES RÏSULTATS CEST
Ì
DIRE SUR
LÏCART ENTRE LES ÏLÒVES OBTENANT LES RÏSULTATS LES PLUS ÏLEVÏS ET LES RÏSULTATS LES
PLUS i FAIBLES w Ì LINTÏRIEUR DE CHAQUE PAYS )L SAGIT DUN INDICATEUR IMPORTANT
QUI PERMET DE JUGER DE LÏGALITÏ DES RÏSULTATS DE LENSEIGNEMENT DANS LE DOMAINE
DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR ENCADRÏ
,A FIGURE MONTRE LA RÏPARTITION DES RÏSULTATS SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT TABLEAU A %N LABSENCE DE DIFFÏRENCE IMPORTANTE
ENTRE LES RÏSULTATS OBTENUS SUR LES TROIS ÏCHELLES QUI CONSTITUENT LÏCHELLE
COMBINÏE IL NEST GUÒRE UTILE DE LES PASSER EN REVUE SÏPARÏMENT ICI ,ES CHIFFRES
RELATIFS Ì LA RÏPARTITION DES RÏSULTATS EN FONCTION DES TROIS COMPOSANTES FIGURENT
DANS LES TABLEAUX B
D
>Êv}ÕÀiÊÓ°xÊ`jÌiÀiÊiÃÊ $ANS LA FIGURE LES BARRES GRADUÏES INDIQUENT LÏTENDUE DES PERFORMANCES DE
ÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`iÃÊjmÛiÃÊDÊ`vvjÀiÌÃÊ CHAQUE PAYS ENTRE LE E CENTILE LE SEUIL SOUS LEQUEL SE SITUE LE SCORE DES POUR
«ÌÃÊ`iÊ>ÊÀj«>ÀÌÌÊ`>ÃÊ CENT DÏLÒVES LES PLUS i FAIBLES w DUN PAYS ET LE E CENTILE LE SEUIL SOUS LEQUEL
V
>µÕiÊ«>ÞÃo SE SITUE LE SCORE DE POUR CENT DÏLÒVES DUN PAYS OU AU
DELÌ DUQUEL SE SITUE
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ #(!0)42%
}ÕÀiÊÓ°x
2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT
.IVEAU ³CHELLE DE COMPÏTENCE
,ES BARRES GRADUÏES VONT DU E CENTILE AU E CENTILE
-OYENNE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT
)NTERVALLE DE CONFIANCE DE AUTOUR DE LA MOYENNE
-OYENNE DES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ
-OYENNE DES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN
-OYENNE DE Lg/#$%
!U
DESSOUS DU NIVEAU
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
.OUVELLE
:ÏLANDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS 5NIS
!LLEMAGNE
!UTRICHE
%SPAGNE
,ETTONIE
.ORVÒGE
0OLOGNE
#ORÏE
3UÒDE
"ELGIQUE
(ONGRIE
)RLANDE
$ANEMARK
-EXIQUE
!USTRALIE
)SLANDE
)TALIE
"RÏSIL
&INLANDE
#ANADA
*APON
'RÒCE
&RANCE
,IECHTENSTEIN
0ORTUGAL
,UXEMBOURG
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU A
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
LE SCORE DES POUR CENT DÏLÒVES LES PLUS i FORTS w DU PAYS ,A DENSITÏ DE LA
BARRE INDIQUE LA PROPORTION DÏLÒVES AYANT OBTENU LE NOMBRE DE POINTS CORRES
PONDANT AU NIVEAU DE LÏCHELLE $E PLUS LES TABLEAUX A
D IDENTIFIENT LE E
ET E CENTILES CEST
Ì
DIRE LE NOMBRE DE POINTS CORRESPONDANT AUX QUARTILES
INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR DES ÏLÒVES DE CHAQUE PAYS ,E TRAIT NOIR HORIZONTAL ET EN
POINTILLÏS SITUÏ AU MILIEU REPRÏSENTE LE RÏSULTAT MOYEN DE CHAQUE PAYS QUI A FAIT
LOBJET DE LANALYSE PRÏSENTÏE DANS LA SECTION PRÏCÏDENTE ET SINSCRIT DANS UNE
CASE OMBRÏE QUI INDIQUE LINTERVALLE DE CONFIANCE
oÌÀ>ÌʵÕiÊ>Ê ,A FIGURE MONTRE QUE LÏTENDUE DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DES
Û>À>ÌÊ`iÊ>Ê ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST CONSIDÏRABLE Ì
«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊ LINTÏRIEUR DES PAYS ,ES POUR CENT MÏDIANS DE LA POPULATION REPRÏSENTÏS
iÃÌÊ«ÕÃÊvÀÌiÊDʽÌjÀiÕÀÊ PAR LA LONGUEUR DES BARRES DÏPASSE DE LOIN LA PLAGE QUI SÏPARE LES RÏSULTATS
`iÃÊ«>ÞÃʵսiÌÀiÊiÃÊ MOYENS DES PAYS QUI AFFICHENT LES PERFORMANCES LES PLUS FORTES ET DE CEUX
«iÀvÀ>ViÃÊÞiiÃÊ QUI AFFICHENT LES PLUS FAIBLES $ANS TOUS LES PAYS DE L/#$% OU PRESQUE CE
`iÃÊ«>ÞÃo GROUPE COMPREND DES ÏLÒVES AYANT ATTEINT LE NIVEAU AINSI QUE DES ÏLÒVES
NAYANT PAS RÏUSSI Ì DÏPASSER LE NIVEAU $ANS TOUS LES PAYS DE L/#$% SAUF
CINQ LÏTENDUE DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE EST SUPÏRIEURE Ì LA DIFFÏRENCE
ENTRE LES RÏSULTATS MOYENS DES PAYS LES PLUS PERFORMANTS ET CEUX DES MOINS
PERFORMANTS Y COMPRIS DANS LA MOITIÏ MÏDIANE DE LA POPULATION DU E AU
E CENTILES $ANS TOUS LES PAYS LÏTENDUE DES PERFORMANCES DE LA MOITIÏ
MÏDIANE DE LA POPULATION DÏPASSE LÏTENDUE DE TOUT UN NIVEAU DE COMPÏTENCE
%N !LLEMAGNE EN !USTRALIE EN "ELGIQUE ET EN .OUVELLE
:ÏLANDE ELLE DÏPASSE
DEUX FOIS LÏTENDUE DUN NIVEAU DE COMPÏTENCE MOYENNE /#$% #E
CONSTAT INDIQUE QUE LES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT LES ÏTABLISSEMENTS ET
LES ENSEIGNANTS DOIVENT SADAPTER Ì UN TRÒS LARGE ÏVENTAIL DE CONNAISSANCES ET
COMPÏTENCES CHEZ LES ÏLÒVES
oiÌʵսÊÞÊ>Ê`>ÃÊV >µÕiÊ $ANS TOUS LES PAYS POUR CENT AU MOINS DES ÏLÒVES NATTEIGNENT PAS LE NIVEAU DE
«>ÞÃÊ`iÃÊjmÛiÃʵÕÊÃiÊ COMPÏTENCE MOYEN DU PAYS DE L/#$% DONT LE NIVEAU DE PERFORMANCE MOYEN
ÃÌÕiÌÊ>Õ`iÃÃÕÃÊ`iÊ>Ê EST LE PLUS FAIBLE Ì SAVOIR LE -EXIQUE TABLEAU A %N !LLEMAGNE EN (ONGRIE
ÞiiÊ`ÕÊ«>ÞÃʵÕÊ>Ê ET EN 0OLOGNE UN QUART DES ÏLÒVES NATTEIGNENT PAS LE RÏSULTAT MOYEN NATIONAL
iÊÀjÃÕÌ>ÌÊÞiÊiÊ«ÕÃÊ LE PLUS FAIBLE MAIS UN QUART DENTRE EUX DÏPASSENT LE RÏSULTAT MOYEN NATIONAL LE
jiÛjÊiÌÊ>Õ`iÃÃÕÃÊ`iÊ>Ê PLUS ÏLEVÏ ° LAUTRE EXTRÏMITÏ DE LÏCHELLE TOUS LES PAYS COMPTENT AU MOINS
ÞiiÊ`ÕÊ«ÕÃÊv>Li° POUR CENT DÏLÒVES QUI DÏPASSENT LE NIVEAU MOYEN DE LA &INLANDE LE PAYS QUI
AFFICHE LA PERFORMANCE MOYENNE LA PLUS ÏLEVÏE
kiÊDÊÙÊiÃÊjmÛiÃÊ $ANS CERTAINS PAYS Oá LA PERFORMANCE MOYENNE EST ÏLEVÏE TELS QUE L!USTRALIE
`ÕʵÕ>ÀÌiÊvjÀiÕÀÊ LA .OUVELLE :ÏLANDE ET LE 2OYAUME 5NI LE E CENTILE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
ÀiÃÌiÌÊ«iÀvÀ>ÌÃÊ«>ÀÊ DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT CORRESPOND AU DEUXIÒME NIVEAU DE COMPÏTENCE
À>««ÀÌÊ>ÕÝÊÀiÃÊ ENVIRON POINTS CE QUI INDIQUE QUE LES ÏLÒVES SITUÏS DANS LE E CENTILE
ÌiÀ>Ì>iÃ]Ê`iÊvÀÌiÃÊ OBTIENNENT DES RÏSULTATS RAISONNABLES EN TERMES ABSOLUS 4OUTEFOIS LA DIFFÏRENCE
`ë>ÀÌjÃÊ>ÕÊÃiÊ`½ÕÊ IMPORTANTE DE PERFORMANCE ENTRE LE E ET LE E CENTILE DES RÏPARTITIONS DE
«>ÞÃÊ«iÕÛiÌÊkÌÀiÊ PERFORMANCES NATIONALES DANS CES PAYS SUGGÒRE QUE LES ÏLÒVES SITUÏS DANS LE
«ÀjVVÕ«>Ìið E CENTILE PRÏSENTENT UN RENDEMENT NETTEMENT INFÏRIEUR Ì CE QUE LON ATTEND
DEUX DANS LE SYSTÒME ÏDUCATIF DE LEUR PAYS
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ #(!0)42%
%NCADRÏ )NTERPRÏTER LES DIFFÏRENCES DANS LES RÏSULTATS 0)3!
QUELLE EST LIMPORTANCE DES ÏCARTS
#OMMENT INTERPRÏTER UNE DIFFÏRENCE DE POINTS PAR EXEMPLE ENTRE LES RÏSULTATS DE DIVERS GROUPES
DÏLÒVES 5NE DIFFÏRENCE DE POINTS SUR LÏCHELLE 0)3! REPRÏSENTE UN NIVEAU DE COMPÏTENCE
EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT /N PEUT CONSIDÏRER QUUN NIVEAU DE COMPÏTENCE CORRESPOND Ì UNE
DIFFÏRENCE DANS LES RÏSULTATS DÏLÒVES RELATIVEMENT IMPORTANTE SUR LE FOND 0AR EXEMPLE SUR LÏCHELLE
i $ÏVELOPPER UNE INTERPRÏTATION w CE QUI CARACTÏRISE LES ÏLÒVES DU NIVEAU EST NOTAMMENT QUILS
SONT CAPABLES DINTÏGRER PLUSIEURS PARTIES DUN TEXTE DE COMPRENDRE UNE RELATION OU DE DONNER
DU SENS Ì UN MOT OU Ì UNE PHRASE DE COMPARER DE CONTRASTER OU DE CLASSIFIER DES INFORMATIONS
CONCURRENTES SELON PLUSIEURS CRITÒRES #ELA LES DISTINGUE DES ÏLÒVES DU NIVEAU DONT ON SATTEND
SEULEMENT Ì CE QUILS PUISSENT IDENTIFIER LIDÏE MAÔTRESSE DUN TEXTE COMPRENDRE CERTAINES RELATIONS
ÏTABLIR ET UTILISER DES CATÏGORIES SIMPLES OU ATTRIBUER DU SENS Ì UNE PARTIE LIMITÏE DU TEXTE SI
LINFORMATION NEST PAS ÏVIDENTE MAIS QUE SEULES DES INFÏRENCES DE BAS NIVEAU SONT REQUISES VOIR
ÏGALEMENT LA FIGURE
!UTRE POINT DE REPÒRE LA DIFFÏRENCE DE PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT ENTRE LE PAYS DE L/#$% QUI OCCUPE LA TROISIÒME PLACE DU CLASSEMENT ET CELUI SITUÏ Ì
LANTÏPÏNULTIÒME PLACE DU CLASSEMENT POINTS OU ENCORE LA DIFFÏRENCE ENTRE DEUX PAYS DE L/#$%
LUN Ì LA CINQUIÒME PLACE EN TÐTE ET LAUTRE Ì LA CINQUIÒME PLACE AU BAS DU CLASSEMENT POINTS
,ES DIFFÏRENCES DE RÏSULTAT PEUVENT ÏGALEMENT ÐTRE ANALYSÏES Ì LA LUMIÒRE DES DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE
OBSERVÏES ENTRE DIVERS GROUPES DÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
s ,ÏCART DE PERFORMANCE ENTRE LE QUARTILE SUPÏRIEUR ET LE QUARTILE INFÏRIEUR DE CHAQUE PAYS EN
TERMES DINDICE SOCIO ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL 0)3! DE STATUT PROFESSIONNEL REPRÏSENTE POINTS
EN MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% TABLEAU A #ELA SIGNIFIE QUENTRE LES ÏLÒVES QUI INDIQUENT
QUE LEURS PARENTS SONT PAR EXEMPLE ENSEIGNANTS OU DIRIGEANTS DUNE PETITE ENTREPRISE ET LES ÏLÒVES
QUI INDIQUENT QUE LEURS PARENTS SONT MA ONS MENUISIERS OU PEINTRE DÏCORATEURS LÏCART EST DE
POINTS EN MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$%
s ,ÏCART DE PERFORMANCE ENTRE LES ÏLÒVES DONT LA MÒRE A ATTEINT LE NIVEAU DENSEIGNEMENT TERTIAIRE
ET CEUX DONT LA MÒRE NA PAS ATTEINT LE NIVEAU DENSEIGNEMENT SECONDAIRE SUPÏRIEUR REPRÏSENTE
POINTS EN MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% TABLEAU
s ,A DIFFÏRENCE DE PERFORMANCE ENTRE LES ÏLÒVES QUI PARLENT LA PLUPART DU TEMPS LA LANGUE DU TEST ET CEUX
POUR QUI CE NEST PAS LE CAS REPRÏSENTE POINTS EN MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% TABLEAU
$ANS QUELLE MESURE DES DIFFÏRENCES DANS LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES REFLÒTENT ELLES iÃÊ`ë>ÀÌjÃÊLÃiÀÛjiÃÊ
LA RÏPARTITION NATURELLE DES CAPACITÏS ET SONT ELLES DIFFICILES Ì ATTÏNUER Ì TRAVERS ÃÌÊiiÃÊjÛÌ>LiÃʶÊ
DES RÏFORMES DE LA POLITIQUE DE LENSEIGNEMENT )L EST MALAISÏ DE RÏPONDRE Ì
½iÃÌÊ`vvViÊDÊ`Àio
CES QUESTIONS SUR LA SEULE BASE DES DONNÏES DU 0)3! NOTAMMENT PARCE QUE LES
DIFFÏRENCES ENTRE PAYS SONT INFLUENCÏES PAR LA GRANDE DIVERSITÏ DES CONTEXTES
ÏCONOMIQUES ET SOCIAUX DANS LESQUELS SINSCRIVENT LENSEIGNEMENT ET LAPPREN
TISSAGE 0LUSIEURS OBSERVATIONS INDIQUENT CEPENDANT QUE LA POLITIQUE ADOPTÏE
PEUT JOUER UN RÙLE
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
oVi«i`>Ì]ÊViÀÌ>ÃÊ n EN PREMIER LIEU LA VARIATION DE LA PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
«>ÞÃÊ«>ÀÛiiÌÊDÊiÃÊ DIFFÒRE GRANDEMENT SELON LES PAYS LA DIFFÏRENCE ENTRE LE E ET E CENTILES
VÌiÀÊiÕÝʵÕiÊ ALLANT DE POINTS EN #ORÏE Ì PLUS DE POINTS EN !LLEMAGNE EN !USTRALIE
`½>ÕÌÀið EN "ELGIQUE AUX ³TATS 5NIS EN .OUVELLE :ÏLANDE ET EN 3UISSE TABLEAU A
#EST EN "ELGIQUE QUE LÏCART EST LE PLUS MARQUÏ POINTS ENTRE LE E ET
E CENTILE #ET ÏCART PEUT SEXPLIQUER DU MOINS EN PARTIE PAR LA DIFFÏRENCE
DE PERFORMANCE OBSERVÏE ENTRE LA #OMMUNAUTÏ FLAMANDE ET LA #OMMUNAUTÏ
FRAN AISE DE "ELGIQUE VOIR LANNEXE " POUR DAVANTAGE DE DÏTAILS
i>ÊÃiÊÛjÀviÊkiÊ n EN DEUXIÒME LIEU DES PAYS PRÏSENTANT DES NIVEAUX SIMILAIRES DE PERFORMANCE
iÌÀiÊ«>ÞÃÊ>vvV
>ÌÊ`iÃÊ MOYENNE AFFICHENT UNE VARIATION IMPORTANTE DES DISPARITÏS DANS LES PERFORMANCES
ÀjÃÕÌ>ÌÃÊÞiÃÊ DES ÏLÒVES ° TITRE DEXEMPLE CITONS LA #ORÏE ET LE 2OYAUME
5NI DEUX PAYS Oá
>>}Õið LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
DE LORDRE DE POINTS EST SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE %N #ORÏE LA DIFFÏRENCE
ENTRE LE E ET LE E CENTILE REPRÏSENTE POINTS SOIT UN ÏCART SIGNIFICATIVEMENT
INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE L/#$% ALORS QUAU 2OYAUME
5NI ELLE EST DE
POINTS SOIT UN ÏCART SIGNIFICATIVEMENT SUPÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE L/#$%
,!LLEMAGNE ET L)TALIE DONT LE RÏSULTAT SE SITUE AUTOUR DE POINTS CE QUI
EST SIGNIFICATIVEMENT INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE L/#$% SE DISTINGUENT LUNE
DE LAUTRE PAR LEURS DIFFÏRENCES INTERNES %N )TALIE LA DIFFÏRENCE ENTRE LE E ET
LE E CENTILE SÏTABLIT Ì POINTS CONTRE POINTS EN !LLEMAGNE $ANS LES
PAYS PRÏSENTANT DE GRANDES DISPARITÏS INTERNES AMENER LES ÏLÒVES SITUÏS DANS LE
QUARTILE INFÏRIEUR Ì SE RAPPROCHER DE LEUR MOYENNE ACTUELLE POURRAIT PERMETTRE
DE REHAUSSER LA PERFORMANCE NATIONALE GLOBALE
ÊiÃÌÊÀjÛj>ÌiÕÀʵÕiÊ n ENFIN LA COMPARAISON DU SPECTRE DE PERFORMANCES DUN PAYS AVEC SA PERFORMANCE
ViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃÊÀjÕÃÃÃÃiÌÊ MOYENNE DÏMONTRE CLAIREMENT QUUN HAUT NIVEAU DE PERFORMANCE GLOBALE DANS
DÊ>ÊvÃÊDÊÀj>ÃiÀÊÕiÊ UN PAYS NE VA PAS FORCÏMENT DE PAIR AVEC DE GRANDES DISPARITÏS DE PERFORMANCE
«iÀvÀ>ViÊÞiiÊ ° TITRE DEXEMPLE CITONS LES TROIS PAYS QUI AFFICHENT LA DIFFÏRENCE LA PLUS FAIBLE
jiÛjiÊiÌÊDÊiÊ«ÀjÃiÌiÀÊ ENTRE LE E ET LE E CENTILE Ì SAVOIR LA #ORÏE LA &INLANDE ET LE *APON ILS
µÕiÊ`iÊv>LiÃÊ`ë>ÀÌjð FIGURENT TOUS TROIS EN TÐTE DU CLASSEMENT DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT 0AR
CONTRASTE L!LLEMAGNE UN DES TROIS PAYS Oá LES DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE
SONT LES PLUS MARQUÏES OBTIENT UN RÏSULTAT SIGNIFICATIVEMENT INFÏRIEUR Ì LA
MOYENNE DE L/#$%
iÃÊ«>ÞÃÊ>ÛiVÊiÃÊ«ÕÃÊ ,ANALYSE DE LA PLAGE COMPRISE ENTRE LE E ET LE E CENTILE DONNE DES INDICATIONS
>À}iÃÊjV>ÀÌÃÊ`½iÃiLiÊ SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES DONT LES PERFORMANCES SONT INFÏRIEURES Ì CELLES
«ÀjÃiÌiÌÊ>ÕÃÃÊ`iÃÊ DE LEUR PAYS ,ÏCART DE PERFORMANCE SE CREUSE
T
IL DANS LES CENTILES INFÏRIEURS
`vvjÀiViÃÊ«ÀÌ>ÌiÃÊ DE LA RÏPARTITION 'ÏNÏRALEMENT LES PAYS QUI PRÏSENTENT UN ÏCART RÏDUIT DE
iÌÀiÊjmÛiÃÊÃÊ PERFORMANCE ENTRE LE E ET LE E CENTILE TELS QUE LA #ORÏE L%SPAGNE LA
«iÀvÀ>Ìð &INLANDE ET LE *APON AFFICHENT ÏGALEMENT UN ÏCART LIMITÏ DE PERFORMANCE ENTRE
LE E ET LE E CENTILE ,ES TROIS PAYS QUI ENREGISTRENT LA VARIATION LA PLUS MARQUÏE
ENTRE LE E ET LE E CENTILE Ì SAVOIR L!LLEMAGNE LA "ELGIQUE ET LA .OUVELLE
:ÏLANDE SONT AUSSI CEUX Oá LÏCART EST LE PLUS PRONONCÏ DANS LES CENTILES INFÏRIEURS
DE LA RÏPARTITION LA DIFFÏRENCE ENTRE LE E ET LE E CENTILE REPRÏSENTANT PLUS
DE POINTS
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ #(!0)42%
%N 'RÒCE AU ,UXEMBOURG AU -EXIQUE ET AU 0ORTUGAL LES QUATRE PAYS DE >ÃÊiÃÊ«>ÞÃÊiÃÊÃÊ
L/#$% Oá LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT «iÀvÀ>ÌÃ]ÊÕiÊ«iÌÌiÊ
EST LA PLUS FAIBLE MOINS DUN QUART DES ÏLÒVES DÏPASSENT LA MOYENNE DU PAYS ÀÌjÊ>ÀÀÛiÊÌÕÌÊÕÃÌiÊ
EN TÐTE DU CLASSEMENT CETTE PROPORTION TOMBANT SOUS LA BARRE DES POUR DÊ`iÛ>ViÀʽjÌÕ`>ÌÊ
CENT DANS LE CAS DU -EXIQUE !U "RÏSIL LE RÏSULTAT DE PLUS DE POUR CENT DES ÞiÊ`½>ÕÌÀiÃÊ«>ÞÃo
ÏLÒVES EST INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE L/#$% ,ES POUR CENT DÏLÒVES LES PLUS
i FORTS w DÏPASSENT Ì PEINE LA MOYENNE DE L/#$% MAIS PARMI CEUX
CI POUR
CENT LA DÏPASSENT SIGNIFICATIVEMENT
$ANS CERTAINS PAYS Oá LA PERFORMANCE EST INFÏRIEURE Ì LA MOYENNE LES ÏLÒVES LES o>Ã]Ê`>ÃÊ`½>ÕÌÀiÃÊ«>ÞÃÊ
PLUS i FORTS w OBTIENNENT DES RÏSULTATS EXTRÐMEMENT ÏLEVÏS !INSI EN !LLEMAGNE >Õ`iÃÃÕÃÊ`iÊ>ÊÞii]Ê
POUR CENT DES ÏLÒVES OBTIENNENT UN RÏSULTAT SUPÏRIEUR Ì POINTS TANDIS iÃÊxʯÊ`½jmÛiÃÊ`iʽiÝÌÀjÌjÊ
QUEN #ORÏE LE RÏSULTAT DES POUR CENT DÏLÒVES LES PLUS i FORTS w NE SÏLÒVE QUÌ >ÕÌiÊÀj>ÃiÌÊ`iÃÊ
POINTS /R LE RÏSULTAT MOYEN DES !LLEMANDS EST SIGNIFICATIVEMENT INFÏRIEUR «iÀvÀ>ViÃÊ
Ì LA MOYENNE DE L/#$% ET CELUI DE LA #ORÏE SIGNIFICATIVEMENT SUPÏRIEUR «>ÀÌVÕmÀiiÌÊjiÛjiÃ]Ê
)NVERSEMENT DANS CERTAINS PAYS Oá LA MOYENNE EST ÏLEVÏE LA PERFORMANCE DES kiÊ«>ÀÊÀ>««ÀÌÊ>ÕÝÊ
ÏLÒVES LES PLUS i FAIBLES w EST MODESTE !INSI EN .OUVELLE :ÏLANDE LUN DES PAYS iiÕÀÃÊjmÛiÃÊ`½>ÕÌÀiÃÊ«>Þð
PRÏSENTANT LA PERFORMANCE MOYENNE LA PLUS ÏLEVÏE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
POUR CENT DE LA POPULATION OBTIENT UN RÏSULTAT INFÏRIEUR Ì CELUI n RELATIVEMENT
FAIBLE n DE POINTS LA PROPORTION DE RÏSULTATS RELATIVEMENT FAIBLES SE RÏVÒLE
PLUS IMPORTANTE QUE DANS PLUSIEURS PAYS DONT LE NIVEAU GLOBAL SE SITUE Ì PEINE
DANS LA MOYENNE
#ES RÏSULTATS ADRESSENT UN SIGNAL FORT AUX ENSEIGNANTS AUX ÏTABLISSEMENTS ET AUX "Ê`ÌÊ`VÊÃiÊ
SYSTÒMES ÏDUCATIFS CEUX CI DOIVENT ABSOLUMENT SE PRÏOCCUPER DES DIFFÏRENCES «ÀjVVÕ«iÀÊ`iÃÊ
DE PERFORMANCE AU SEIN DES CLASSES DES ÏTABLISSEMENTS ET DES PAYS `vvjÀiViÃÊiÌÀiÊjmÛið
6ARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ENTRE ÏTABLISSEMENTS
$ANS LES PAYS DE L/#$% LES JEUNES DE ANS SONT SCOLARISÏS DANS DIVERS CADRES iÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃÊ
ÏDUCATIFS ET INSTITUTIONNELS $ANS PLUSIEURS PAYS CERTAINS ÏLÒVES FRÏQUENTENT jÛ>ÕjÃÊ`>ÃÊiÊ*-Ê
DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT Ì VOCATION PROFESSIONNELLE DAUTRES DES vÀjµÕiÌiÌÊ`iÃÊÌÞ«iÃÊ
ÏTABLISSEMENTS QUI VISENT ESSENTIELLEMENT Ì LES PRÏPARER Ì POURSUIVRE DES ÏTUDES `½jÌ>LÃÃiiÌÃÊ
TERTIAIRES $E MÐME DANS LES PAYS Oá LE PASSAGE DE LENSEIGNEMENT SECONDAIRE `vvjÀiÌÃo
INFÏRIEUR Ì LENSEIGNEMENT SECONDAIRE SUPÏRIEUR INTERVIENT Ì LÊGE DE ANS
ENVIRON CERTAINS DES ÏLÒVES SOUMIS Ì LÏVALUATION 0)3! SONT ENCORE INSCRITS DANS
LE SECONDAIRE INFÏRIEUR ALORS QUE DAUTRES SONT DÏJÌ PASSÏS DANS LE SECONDAIRE
SUPÏRIEUR 0AR AILLEURS LA MAJORITÏ DES ÏLÒVES DE TOUS LES PAYS DE L/#$%
SAUF DEUX FRÏQUENTENT DES ÏTABLISSEMENTS PUBLICS MAIS DANS PLUSIEURS PAYS DE
L/#$% UNE MINORITÏ SIGNIFICATIVE DÏLÒVES SONT INSCRITS DANS DES ÏTABLISSE
MENTS GÏRÏS ET DANS CERTAINS CAS FINANCÏS PAR LE SECTEUR PRIVÏ
,ANALYSE EXPOSÏE CI AVANT A ÏTABLI LEXISTENCE DE DIFFÏRENCES NON NÏGLIGEABLES AU oiÌÊiÝ«jÀiÌiÌÊ«>ÀvÃÊ
SEIN DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS DE LA PLUPART DES PAYS #ETTE VARIATION PEUT DÏCOULER `iÃÊÀi}ÀÕ«iiÌÃÊ«>ÀÊ
DU MILIEU SOCIO ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES ET DES ÏTABLISSEMENTS DES RESSOURCES >«ÌÌÕ`ið
HUMAINES ET FINANCIÒRES MISES Ì LA DISPOSITION DES ÏTABLISSEMENTS DES DIFFÏRENCES
DANS LES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT DES POLITIQUES ET PRATIQUES DE SÏLECTION
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
ET DE LA MANIÒRE DONT LENSEIGNEMENT EST ORGANISÏ ET DISPENSÏ VOIR ÏGALEMENT
LES CHAPITRES ET $ANS CERTAINS PAYS LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS NE SONT PAS SÏLEC
TIFS ILS VISENT Ì OFFRIR Ì TOUS LES ÏLÒVES LES MÐMES OPPORTUNITÏS DAPPRENTISSAGE
ET PERMETTENT AUX ÏTABLISSEMENTS DE PRENDRE EN CHARGE LENSEMBLE DES ÏLÒVES
QUEL QUE SOIT LEUR RENDEMENT $AUTRES PAYS RÏAGISSENT EXPLICITEMENT Ì LA DIVER
SITÏ DES ÏLÒVES EN CONSTITUANT DES GROUPES EN FONCTION DU NIVEAU DE PERFORMANCE
APRÒS UN PROCESSUS DE SÏLECTION DANS OU ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS DANS LE BUT
DE RÏPONDRE AU MIEUX AUX BESOINS SPÏCIFIQUES DES ÏLÒVES $ANS DAUTRES PAYS
ENCORE IL EXISTE UNE COMBINAISON DES DEUX APPROCHES -ÐME DANS LES SYSTÒMES
SCOLAIRES POLYVALENTS DES VARIATIONS SIGNIFICATIVES PEUVENT ÐTRE OBSERVÏES ENTRE
ÏTABLISSEMENTS #ES VARIATIONS SEXPLIQUENT PAR LES CARACTÏRISTIQUES SOCIO
ÏCONO
MIQUES ET CULTURELLES DES COMMUNAUTÏS QUE LES ÏTABLISSEMENTS SERVENT OU PAR
DES DIFFÏRENCES GÏOGRAPHIQUES TELLES QUE LES DIFFÏRENCES ENTRE DES RÏGIONS DES
PROVINCES DES ³TATS DUN PAYS FÏDÏRAL OU ENTRE ZONES URBAINES ET RURALES %NFIN
CERTAINES VARIATIONS SIGNIFICATIVES ENTRE ÏTABLISSEMENTS SONT DIFFICILES Ì QUANTIFIER
OU Ì DÏCRIRE CAR ELLES PEUVENT EN PARTIE DÏCOULER DE DIFFÏRENCES LIÏES Ì LA QUALITÏ
OU Ì LEFFICACITÏ DE LENSEIGNEMENT DISPENSÏ DANS LES ÏTABLISSEMENTS
>Ê«>ÀÌÊ`iÃÊ`vvjÀiViÃÊ $ANS QUELLE MESURE DES DIFFÏRENCES OBSERVÏES Ì LINTÏRIEUR DES PAYS SONT ELLES
iÌÀiÊjÌ>LÃÃiiÌÃÊ IMPUTABLES Ì DAUTRES FACTEURS IDENTIFIABLES OUTRE LES VARIATIONS DE PERFORMANCE
iÃÌiiÊ«ÀÌ>ÌiÊ`>ÃÊ ENTRE ÏTABLISSEMENTS OU GROUPES SOCIAUX %N QUOI LES POLITIQUES ET LES MODÒLES
iÃÊ`ë>ÀÌjÃÊLÃiÀÛjiÃÊ HISTORIQUES QUI DÏTERMINENT LA NATURE DU SYSTÒME SCOLAIRE DE CHAQUE PAYS
`>ÃÊiÊ*-ʶ AFFECTENT ILS LA VARIATION GLOBALE DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ,AMPLEUR DES
DISPARITÏS DE PERFORMANCE EST ELLE PLUS GRANDE DANS LES PAYS QUI APPLIQUENT DES
POLITIQUES EXPLICITES DE RÏPARTITION EN CLASSES HOMOGÒNES QUE DANS LES PAYS Oá
LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS NE SONT PAS SÏLECTIFS #ES QUESTIONS SE POSENT DAUTANT
PLUS DANS LES PAYS Oá LA VARIATION DANS LA PERFORMANCE GLOBALE DES ÏLÒVES EST
COMPARATIVEMENT GRANDE NOTAMMENT EN !LLEMAGNE EN "ELGIQUE AUX ³TATS
5NIS EN .ORVÒGE ET EN .OUVELLE :ÏLANDE
>Êv}ÕÀiÊÓ°ÈÊV«>ÀiÊ ,A FIGURE MONTRE LÏTENDUE DE LA VARIATION n IMPUTABLE Ì DIFFÏRENTS FACTEURS n
½jÌi`ÕiÊ`iÊ>ÊÛ>À>ÌÊ DANS CHAQUE PAYS ,A LONGUEUR DES BARRES INDIQUE LA VARIATION TOTALE DE LA
DʽÌjÀiÕÀÊ`iÃÊ«>ÞÃo PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
COLONNE DU TABLEAU )L Y A LIEU DE SIGNALER QUE LES VALEURS DE LA
FIGURE ET DU TABLEAU SONT EXPRIMÏES EN POURCENTAGE DE LA VARIATION
MOYENNE DE LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
DANS LES PAYS DE L/#$% QUI CORRESPOND Ì UNITÏS DINDICE ,ES VALEURS
DE LA COLONNE SUPÏRIEURES Ì DÏNOTENT UNE VARIATION DE LA PERFORMANCE
DES ÏLÒVES PLUS ÏTENDUE DANS LE PAYS CONCERNÏ QUE DANS LA MOYENNE DES PAYS DE
L/#$% $E MÐME LES VALEURS INFÏRIEURES Ì TRADUISENT UNE VARIATION DE LA
PERFORMANCE DES ÏLÒVES AU
DESSOUS DE LA VARIATION MOYENNE
oiÌÊ>ÊÛiÌiÊiÌÀiÊ $ANS LA FIGURE LA BARRE CORRESPONDANT Ì CHAQUE PAYS EST DISPOSÏE DE TELLE
jÌ>LÃÃiiÌÃÊiÌÊDÊ FA ON QUE LA LONGUEUR DU SEGMENT Ì GAUCHE DE LA LIGNE VERTICALE MÏDIANE DE LA
½ÌjÀiÕÀÊ`iÃÊ FIGURE REPRÏSENTE LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS ET LA LONGUEUR DU SEGMENT
jÌ>LÃÃiiÌÃo Ì DROITE DE CET AXE VERTICAL REPRÏSENTE LA VARIATION AU SEIN DES ÏCOLES 0LUS LE
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ #(!0)42%
}ÕÀiÊÓ°È
6ARIATION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES ENTRE ET AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE
COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT
%N POURCENTAGE DE LA VARIATION MOYENNE DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES DANS LES PAYS DE Lg/#$%
6ARIATION EXPLIQUÏE PAR DES FACTEURS GÏOGRAPHIQUESSYSTÏMIQUESINSTITUTIONNELS
6ARIATION ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS 6ARIANCE AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS
"ELGIQUE
!LLEMAGNE
(ONGRIE
!UTRICHE
0OLOGNE
'RÒCE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
)TALIE
3UISSE
-EXIQUE
0ORTUGAL
*APON
³TATS 5NIS
,UXEMBOURG
2OYAUME 5NI
!USTRALIE
.OUVELLE :ÏLANDE
#ORÏE
$ANEMARK
)RLANDE
#ANADA
%SPAGNE
.ORVÒGE
&INLANDE
3UÒDE
)SLANDE
"RÏSIL
,ETTONIE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
SEGMENT DE GAUCHE EST LONG PLUS LES PERFORMANCES MOYENNES DES ÏTABLISSEMENTS
VARIENT 0LUS LE SEGMENT SITUÏ Ì DROITE DE LAXE VERTICAL EST LONG PLUS LES PERFOR
MANCES DES ÏLÒVES VARIENT Ì LINTÏRIEUR DES ÏTABLISSEMENTS
oÌÀ>ÌʵÕiÊ«ÕÃÊ`iÊ !INSI QUE LE MONTRE LA FIGURE DANS LA PLUPART DES PAYS LA VARIATION DE LA
>ÊÌjÊ`iÊ>ÊÛ>À>ÌÊ PERFORMANCE DES ÏLÒVES EST EN GRANDE PARTIE IMPUTABLE AUX DIFFÏRENCES ENTRE
`iÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊiÃÌÊ ÏTABLISSEMENTS %N EFFET CELLES CI REPRÏSENTENT EN MOYENNE POUR CENT DE
«ÕÌ>LiÊ>ÕÝÊ LA VARIATION POUR LES PAYS DE L/#$% QUI ONT FAIT LOBJET DE CETTE ANALYSE
`vvjÀiViÃÊiÌÀiÊ COMPARATIVE %N !LLEMAGNE EN !UTRICHE EN "ELGIQUE EN 'RÒCE EN (ONGRIE EN
jÌ>LÃÃiiÌÃÊ`>ÃÊiÃÊ )TALIE EN 0OLOGNE ET EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE PLUS DE POUR CENT DE LA VARIA
ÃÞÃÌmiÃÊ«ÕÃÊÃjiVÌvð TION MOYENNE EST IMPUTABLE AUX DIFFÏRENCES ENTRE ÏTABLISSEMENTS COLONNE DU
TABLEAU ,ORSQUIL Y A DES DISPARITÏS IMPORTANTES ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS
ET MOINS IMPORTANTES ENTRE LES ÏLÒVES AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS LES ÏLÒVES
FRÏQUENTENT GÏNÏRALEMENT DES ÏCOLES Oá LES PERFORMANCES DES AUTRES ÏLÒVES SONT
DU MÐME NIVEAU QUE LES LEURS #ETTE SÏLECTIVITÏ PEUT REFLÏTER LES CHOIX SCOLAIRES
OU DE SITUATION GÏOGRAPHIQUE DES FAMILLES OU ENCORE LES POLITIQUES DES ÏTABLISSE
MENTS EN MATIÒRE DADMISSION DE QUOTAS DÏLÒVES OU DE PROGRAMMES SCOLAIRES
>ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃ]Ê>Ê %N #ORÏE LA VARIATION GLOBALE DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE
Û>À>ÌÊiÃÌÊ DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST INFÏRIEURE DE MOITIÏ ENVIRON Ì LA MOYENNE DE
Ài>ÌÛiiÌÊiÊ L/#$% ET SEULEMENT POUR CENT DE LA VARIATION MOYENNE DE L/#$% Y EST
iÌÀiÊjÌ>LÃÃiiÌÃÊiÌÊDÊ IMPUTABLE Ì DES DIFFÏRENCES ENTRE ÏTABLISSEMENTS ,A #ORÏE SE DISTINGUE DONC NON
½ÌjÀiÕÀÊ`iÊViÕÝVo SEULEMENT PAR SA PERFORMANCE MOYENNE ÏLEVÏE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET
PAR SES DISPARITÏS GLOBALES RÏDUITES MAIS ÏGALEMENT PAR SA CAPACITÏ Ì MAINTENIR
SOUS UN SEUIL RELATIVEMENT BAS LA VARIATION DES RÏSULTATS MOYENS ENTRE SES DIFFÏRENTS
ÏTABLISSEMENTS ,%SPAGNE AFFICHE ÏGALEMENT UNE VARIATION GLOBALE FAIBLE ENVIRON
TROIS QUARTS DE LA MOYENNE DE L/#$% ET UNE VARIATION ASSEZ FAIBLE ENTRE ÏTABLIS
SEMENTS POUR CENT DE LA VARIATION MOYENNE DE L/#$% DANS LES PERFORMANCES
DES ÏLÒVES MAIS PRÏSENTE PAR CONTRASTE AVEC LA #ORÏE DES RÏSULTATS MOYENS
SIGNIFICATIVEMENT INFÏRIEURS Ì LA MOYENNE DE L/#$% FIGURE
oiÊ«>ÀÌVÕiÀÊ`>ÃÊ ,A VARIATION LA PLUS FAIBLE DE PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ENTRE
ViÕÝʵÕÊ«ÀjÃiÌiÌÊ>Ê ÏTABLISSEMENTS EST OBSERVÏE EN &INLANDE EN )SLANDE ET EN 3UÒDE Oá LES DIFFÏ
Û>À>ÌÊ}L>iÊ>Ê«ÕÃÊ RENCES ENTRE ÏTABLISSEMENTS REPRÏSENTENT ENTRE ET POUR CENT SEULEMENT
v>Li° DE LA VARIATION MOYENNE ENTRE ÏTABLISSEMENTS POUR LES PAYS DE L/#$% $ANS
CES TROIS PAYS IL NEXISTE DE TOUTE ÏVIDENCE PAS DE CORRÏLATION ÏTROITE ENTRE LA
PERFORMANCE ET LES ÏTABLISSEMENTS FRÏQUENTÏS PAR LES ÏLÒVES #EUX
CI SONT DONC
SUPPOSÏS ÏVOLUER DANS UN ENVIRONNEMENT DAPPRENTISSAGE SIMILAIRE EN TERMES
DE RÏPARTITION DES CAPACITÏS DES ÏLÒVES )L EST INTÏRESSANT DE REMARQUER QUE LA
VARIATION GLOBALE DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EST ÏGALEMENT INFÏRIEURE Ì LA
MOYENNE DE L/#$% DANS CES TROIS PAYS ET LES ÏLÒVES QUI NATTEIGNENT PAS LES
SEUILS DE RÏUSSITEDÏCHEC FIXÏS PAR LEURS ÏTABLISSEMENTS OU LEURS ENSEIGNANTS
TITULAIRES Y SONT TRÒS RARES #ETTE OBSERVATION INDIQUE QUE LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS
DE CES PAYS ONT RÏUSSI NON SEULEMENT Ì MINIMISER LES DIFFÏRENCES ENTRE ÏTABLIS
SEMENTS MAIS AUSSI Ì LIMITER LA VARIATION GLOBALE DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EN
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ #(!0)42%
,!USTRALIE LA .ORVÒGE ET LA .OUVELLE :ÏLANDE DONT LA VARIANCE ENTRE ÏLÒVES 1iÊÛ>À>ÌÊ}L>iÊ
ATTEINT RESPECTIVEMENT ET POUR CENT DE LA VARIATION MOYENNE jiÛjiÊ«iÕÌÊkÌÀiÊiÊ
ENTRE ÏLÒVES POUR LES PAYS DE L/#$% FIGURENT PARMI LES PAYS Oá LA VARIATION VÀ>ÀiÊ`iÊvÀÌiÃÊ
DE PERFORMANCE EN LECTURE EST LA PLUS IMPORTANTE MAIS SEULE UNE PROPORTION `ë>ÀÌjÃÊ>ÕÊÃiÊ`iÃÊ
RELATIVEMENT FAIBLE DE CETTE VARIATION RESPECTIVEMENT ET POUR CENT jÌ>LÃÃiiÌÃo
DE LA VARIATION MOYENNE ENTRE ÏLÒVES DE L/#$% EST IMPUTABLE Ì DES DIFFÏREN
CES ENTRE ÏTABLISSEMENTS $ANS CES PAYS LA MAJEURE PARTIE DE LA VARIATION ENTRE
ÏLÒVES SE SITUE Ì LINTÏRIEUR DES ÏTABLISSEMENTS ET CHACUN DE CEUX CI DOIT MANI
FESTEMENT PRENDRE EN CHARGE UNE PLUS GRANDE DIVERSITÏ DE BÏNÏFICIAIRES
,!LLEMAGNE LA "ELGIQUE ET LA 3UISSE ET POUR CENT DE LA VARIA o`iÊ}À>`iÃÊ`vvjÀiViÃÊ
TION MOYENNE ENTRE ÏLÒVES DE L/#$% CONNAISSENT ÏGALEMENT UNE VARIATION iÌÀiÊjÌ>LÃÃiiÌÃo
COMPARATIVEMENT ÏLEVÏE DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES MAIS CETTE VARIATION Y EST
EN GRANDE PARTIE ET POUR CENT DE LA VARIATION MOYENNE ENTRE ÏLÒVES
DE L/#$% IMPUTABLE AUX DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE ENTRE ÏTABLISSEMENTS
,ES ³TATS 5NIS SONT UN AUTRE PAYS PRÏSENTANT UNE VARIATION GLOBALE ENTRE ÏLÒVES oÕÊÕiÊVL>ÃÊ
COMPARATIVEMENT ÏLEVÏE POUR CENT DE LA VARIATION MOYENNE ENTRE ÏLÒVES `iÃÊ`iÕÝ°
DANS LES PAYS DE L/#$% ET SE SITUENT DANS LE MILIEU DU CLASSEMENT LES
DIFFÏRENCES ENTRE ÏTABLISSEMENTS Y REPRÏSENTENT POUR CENT DE LA VARIATION
MOYENNE ENTRE ÏLÒVES DE L/#$%
%NCADRÏ &ACTEURS CONTRIBUANT Ì LA VARIATION DE LA PERFORMANCE
DES ÏLÒVES ENTRE ÏTABLISSEMENTS
$E NOMBREUX FACTEURS CONTRIBUENT Ì LA VARIATION DE LA PERFORMANCE MOYENNE DES ÏLÒVES ENTRE
ÏTABLISSEMENTS DONT NOTAMMENT
s LES DIFFÏRENCES INFRANATIONALES DANS PLUSIEURS PAYS LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS SONT DU RESSORT DE
JURIDICTIONS INFRANATIONALES TELLES LES COMMUNAUTÏS EN "ELGIQUE LES PROVINCES AU #ANADA LES ,ËNDER
EN !LLEMAGNE OU ENCORE LES ³TATS EN !USTRALIE OU AUX ³TATS
5NIS OU VARIENT SELON UNE COMBINAISON
DE JURIDICTIONS INFRANATIONALES ET DE COMMUNAUTÏS LINGUISTIQUES COMME EN 3UISSE
s LES ZONES RURALES ET URBAINES LA SCOLARISATION ET LES PROGRAMMES DIFFÒRENT SOUVENT EN
FONCTION DU CARACTÒRE RURAL OU URBAIN DE LENVIRONNEMENT
s LES ÏTABLISSEMENTS PUBLICS ET PRIVÏS ON OBSERVE DANS DE NOMBREUX PAYS UNE CONCURRENCE
ENTRE ÏTABLISSEMENTS PUBLICS ET PRIVÏS $ANS CERTAINS PAYS LES ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS APPLIQUENT
GÏNÏRALEMENT DES POLITIQUES DE RECRUTEMENT PLUS SÏLECTIVES 0AR AILLEURS LES ÏTABLISSEMENTS QUI
BÏNÏFICIENT DUN FINANCEMENT PRIVÏ PEUVENT ENTRAVER LA PARTICIPATION SCOLAIRE DÏLÒVES ISSUS DE
MILIEUX SOCIO
ÏCONOMIQUES DÏFAVORISÏS
s LES TYPES DE PROGRAMMES CERTAINS SYSTÒMES CRÏENT DES DISTINCTIONS ENTRE DES TYPES
DÏTABLISSEMENTS DONT LE PROGRAMME VARIE PARFOIS CONSIDÏRABLEMENT PAR EXEMPLE EN PRÏPARANT
LES ÏLÒVES Ì LENSEIGNEMENT TERTIAIRE OU Ì LENTRÏE DIRECTE SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL -ÐME DANS LES
SYSTÒMES QUI FONT CETTE DIFFÏRENCIATION Ì LINTÏRIEUR DES ÏTABLISSEMENTS IL PEUT Y AVOIR DES FILIÒRES
PROFESSIONNELLES ET GÏNÏRALES DISTINCTES
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
s LES NIVEAUX DENSEIGNEMENT DANS QUELQUES PAYS CERTAINS ÏLÒVES DE ANS FRÏQUENTENT DES
ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT SECONDAIRE SUPÏRIEUR ALORS QUE DAUTRES SONT ENCORE INSCRITS DANS
DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT SECONDAIRE INFÏRIEUR CE QUI DÏPEND DU MOIS DE NAISSANCE
DES ÏLÒVES OU DES PRATIQUES DE PROMOTION EN VIGUEUR $ANS DAUTRES PAYS PLUS DUN NIVEAU
DENSEIGNEMENT SONT REGROUPÏS DANS UN MÐME ÏTABLISSEMENT #ECI IMPLIQUE QUE LA VARIATION DANS
LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES IMPUTABLE AUX DIFFÏRENCES DE PROGRAMME ENTRE NIVEAUX SECONDAIRE
INFÏRIEUR ET SECONDAIRE SUPÏRIEUR EST INCLUSE DANS LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS DANS LE PREMIER
CAS ET DANS LA VARIATION ENTRE ÏLÒVES AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS DANS LE SECOND CAS
s CARACTÏRISTIQUES SOCIO
ÏCONOMIQUES LES CARACTÏRISTIQUES SOCIO
ÏCONOMIQUES DES COMMUNAUTÏS
QUE LES ÏTABLISSEMENTS DESSERVENT VARIENT SOUVENT MÐME SI LAMPLEUR DE LA VARIATION DIFFÒRE
GRANDEMENT SELON LES PAYS ,A VARIATION SOCIO
ÏCONOMIQUE DES EFFECTIFS DES ÏTABLISSEMENTS PEUT
AFFECTER LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES INSCRITS
1iÊ«>ÀÌiÊ`iÊ>Ê 1UELLE EST LORIGINE DE CETTE VARIATION DANS LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR
Û>À>ÌÊiÌÀiÊ LÏCHELLE COMBINÏE DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ,A RÏPONSE Ì CETTE QUESTION
jÌ>LÃÃiiÌÃÊiÃÌÊ DIFFÒRE SELON LES PAYS VOIR ÏGALEMENT LENCADRÏ ,ES PAYS PARTICIPANTS ONT
«ÕÌ>LiÊDÊ`iÃÊv>VÌiÕÀÃÊ IDENTIFIÏ LES VARIABLES GÏOGRAPHIQUES SYSTÏMIQUES OU INSTITUTIONNELLES DOCU
}j}À>«
µÕiÃÊÕÊ MENTÏES PAR LE 0)3! QUI SELON EUX EXPLIQUAIENT VRAISEMBLABLEMENT UNE PARTIE
ÃÌÌÕÌiÃ]ÊÕÊ>ÕÊ DES DIFFÏRENCES ENTRE ÏTABLISSEMENTS $ANS LA FIGURE LA VARIATION DE PERFOR
Ài}ÀÕ«iiÌÊ`½jmÛiÃÊ MANCE DES ÏLÒVES EXPLIQUÏE PAR CES VARIABLES EST INDIQUÏE DANS LA PARTIE DE LA
«>ÀÊ>«ÌÌÕ`iÃo BARRE SITUÏE Ì GAUCHE DE LA LIGNE VERTICALE
n %N !USTRALIE LA PRISE EN CONSIDÏRATION DES DIFFÏRENCES ENTRE ³TATS ET 4ERRITOIRES
RÏDUIT LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS DE Ì POUR CENT DE LA VARIATION
MOYENNE ENTRE ÏLÒVES DE L/#$% VOIR LE TABLEAU
n %N !UTRICHE LA PRISE EN CONSIDÏRATION DES DIFFÏRENTES FILIÒRES VERS LESQUELLES
LES ÏLÒVES SONT ORIENTÏS DANS SIX TYPES DÏTABLISSEMENTS DIFFÏRENTS RÏDUIT LA
VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS DE Ì POUR CENT %N "ELGIQUE ELLE PASSE DE
Ì POUR CENT SI ON PREND EN CONSIDÏRATION LES DIFFÏRENCES ENTRE COMMUNAUTÏS
LINGUISTIQUES ET ENTRE TYPES DÏTABLISSEMENTS ,A PRISE EN CONSIDÏRATION DES
DIFFÏRENCES ENTRE TYPES DÏTABLISSEMENTS ET TYPES DE PROGRAMMES DENSEIGNEMENT
RÏDUIT LA VARIATION ENTRE ÏLÒVES DE Ì POUR CENT EN !LLEMAGNE DE Ì
POUR CENT EN #ORÏE DE Ì POUR CENT EN (ONGRIE ET DE Ì POUR
CENT EN 0OLOGNE
n ,A VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS PASSE DE Ì POUR CENT EN 'RÒCE ET DE
Ì POUR CENT EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE SI ON PREND EN CONSIDÏRATION LES
DIFFÏRENCES ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT GÏNÏRAL ET PROFESSIONNEL
ET LES DIFFÏRENCES ENTRE LES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT SECONDAIRE INFÏRIEUR
ET SUPÏRIEUR
n %N )RLANDE LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS PASSE DE Ì POUR CENT SI
ON PREND EN CONSIDÏRATION LES DIFFÏRENCES ENTRE TYPES DÏTABLISSEMENT ENTRE
ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT NORMAL ET SPÏCIAL AINSI QUENTRE ZONES RURALES
ET URBAINES
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ #(!0)42%
n ,A PRISE EN CONSIDÏRATION DES DIFFÏRENTS NIVEAUX ET TYPES DE PROGRAMMES
DENSEIGNEMENT RÏDUIT LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS DE Ì POUR CENT
EN )TALIE ,ICEI PAR RAPPORT AUX ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET
PROFESSIONNEL ET DE Ì POUR CENT AU -EXIQUE
n !U #ANADA LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS PASSE DE Ì POUR CENT SI ON
PREND EN CONSIDÏRATION LES DIFFÏRENCES ENTRE LES PROVINCES
n %N )SLANDE LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS PASSE DE Ì POUR CENT SI ON
PREND EN CONSIDÏRATION LA TAILLE DES ÏTABLISSEMENTS ET LE DEGRÏ DURBANISATION
n %N .OUVELLE
:ÏLANDE LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS PASSE DE Ì POUR
CENT APRÒS LA PRISE EN CONSIDÏRATION DES CARACTÏRISTIQUES SOCIO
ÏCONOMIQUES
DES POPULATIONS DÏLÒVES Y COMPRIS LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE MOYEN ET LA
PROPORTION DÏLÒVES MAORIS ET OCÏANIQUES
n ,A PRISE EN CONSIDÏRATION DES ÏLÒVES ALLOCHTONES RÏDUIT LA VARIATION ENTRE ÏTABLIS
SEMENTS DE Ì POUR CENT EN .ORVÒGE ET DE Ì POUR CENT EN 3UÒDE
n %N %SPAGNE LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS PASSE DE Ì POUR CENT SI ON
PREND EN CONSIDÏRATION LES DIFFÏRENCES ENTRE ÏTABLISSEMENTS PUBLICS ET PRIVÏS
n %N 3UISSE LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS PASSE DE Ì POUR CENT APRÒS
LA PRISE EN CONSIDÏRATION DES DIFFÏRENCES ENTRE TYPES DE PROGRAMME ENTRE
NIVEAUX DENSEIGNEMENT ET ENTRE LES COMMUNAUTÏS LINGUISTIQUES DANS LESQUELLES
LES ÏTABLISSEMENTS SONT IMPLANTÏS
n !U 2OYAUME
5NI LA PRISE EN CONSIDÏRATION DES DIFFÏRENCES ENTRE ÏTABLISSEMENTS
GÏRÏS PAR LES AUTORITÏS LOCALES ET CEUX GÏRÏS PAR DAUTRES INSTANCES COMME LES
POUVOIRS ORGANISATEURS AUTONOMES ET LES FONDATIONS CONFESSIONNELLES ENTRE LES
ÏTABLISSEMENTS MIXTES ET NON MIXTES ET ENTRE LES RÏGIONS RÏDUIT LA VARIATION
ENTRE ÏTABLISSEMENTS DE Ì POUR CENT
0LUS GÏNÏRALEMENT CES CHIFFRES SUGGÒRENT AUSSI QUE LE REGROUPEMENT DANS CERTAINS oiÌÊ«iÕÌÊý>}}À>ÛiÀÊ
ÏTABLISSEMENTS DES ÏLÒVES PRÏSENTANT DES CARACTÏRISTIQUES SOCIO
ÏCONOMIQUES µÕ>`ÊiÃÊjmÛiÃÊÃÃÕÃÊ
SPÏCIFIQUES EST PLUS MARQUÏ DANS LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS QUI PRÏSENTENT DIFFÏRENTS `iÊiÕÝÊ«ÀÛj}jÃÊÃiÊ
TYPES DÏTABLISSEMENT QUE LORSQUE LES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT NE VARIENT PAS Ài}ÀÕ«iÌ]ÊÃÕÀÌÕÌÊDÊÙÊ
SIGNIFICATIVEMENT DUN ÏTABLISSEMENT Ì LAUTRE !INSI EN !LLEMAGNE EN !UTRICHE `vvjÀiÌÃÊÌÞ«iÃÊ
EN "ELGIQUE EN )TALIE AUX 0AYS
"AS ET EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE LA VARIATION ENTRE `½jÌ>LÃÃiiÌÃÊ
ÏTABLISSEMENTS ASSOCIÏE Ì LA FRÏQUENTATION DE DIFFÏRENTS TYPES DÏTABLISSEMENT EST `½iÃi}iiÌÊ
AGGRAVÏE PAR DES DIFFÏRENCES DE MILIEU SOCIAL ET FAMILIAL #ETTE SITUATION PEUT ÐTRE ÃiV`>ÀiÊViÝÃÌiÌo
PROVOQUÏE PAR DES PHÏNOMÒNES DE SÏLECTION OU DAUTOSÏLECTION LES ÏLÒVES ISSUS
DE MILIEUX SOCIAUX MOINS FAVORISÏS ONT TENDANCE Ì ÐTRE DIRIGÏS OU Ì SORIENTER
EUX
MÐMES VERS DES ÏTUDES MOINS EXIGEANTES OU ENCORE Ì RENONCER Ì PRENDRE
PART AUX PROCÏDURES DE SÏLECTION DU SYSTÒME ÏDUCATIF
,ANALYSE PLUS APPROFONDIE QUI EST PRÏSENTÏE AU CHAPITRE SUGGÒRE QUE LIMPACT SUR ojÌ>ÌÊ`jʵÕiÊiÃÊ
LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES DU MILIEU SOCIAL DE LENSEMBLE DES EFFECTIFS DUNE ÏCOLE ÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`½ÕÊjmÛiÊÃÌÊÊ
TEND Ì ÐTRE PLUS FORT QUE CELUI DU MILIEU SOCIAL DE LÏLÒVE INDIVIDUEL ,ES ÏLÒVES ISSUS ÃiÕiiÌÊ>ÃÃVjÃÊDÊÃÊ
DUN MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE MOINS FAVORISÏ QUI FRÏQUENTENT DES ÏTABLISSEMENTS «À«ÀiÊiÕÊÃV>Ê>Ã]Ê
DONT LE MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE GÏNÏRAL EST PLUTÙT ÏLEVÏ ONT TENDANCE Ì ÐTRE BIEN `>ÃÊÕiÊ«ÕÃÊvÀÌiÊiÃÕÀi]ÊDÊ
PLUS PERFORMANTS QUE SILS ÏTAIENT INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS DUN MILIEU ViÕÊ`iÊÃiÃÊV`ÃV«ið
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
SOCIO
ÏCONOMIQUE GLOBAL INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE n LINVERSE EST VRAI POUR LES ÏLÒVES
ISSUS DE MILIEUX PRIVILÏGIÏS QUI FRÏQUENTENT DES ÏTABLISSEMENTS MOINS FAVORISÏS
#E CONSTAT NA RIEN DÏTONNANT MAIS LAMPLEUR DE LA DIFFÏRENCE EST FRAPPANTE !INSI
QUE LEXPLIQUE LE CHAPITRE LA DIFFÏRENCE DANS LES RÏSULTATS PRÏVUS DUN ÏLÒVE
DONNÏ FRÏQUENTANT DEUX ÏTABLISSEMENTS DIFFÏRENTS QUI SONT SÏPARÏS PAR POINTS
PAR EXEMPLE SUR LINDICE DU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE DE LEURS ÏLÒVES TEL QUIL
EST DÏFINI PAR LINDICE 0)3! SERAIT SUPÏRIEURE Ì LA DIFFÏRENCE ENTRE DEUX ÏLÒVES
SÏPARÏS PAR LE MÐME ÏCART DE POINTS ET INSCRITS DANS LE MÐME ÏTABLISSEMENT
#E CONSTAT SUGGÒRE QUE LA DIFFÏRENCIATION INSTITUTIONNELLE PRATIQUÏE DANS LES
SYSTÒMES ÏDUCATIFS QUI EST SOUVENT AGGRAVÏE PAR LE MILIEU SOCIAL DE LA POPULATION
DES ÏTABLISSEMENTS ET PAR LES PRÏFÏRENCES AUTOSÏLECTIVES DES PARENTS ETOU DE LEURS
ÏLÒVES PEUT AVOIR UN IMPACT MAJEUR SUR LA RÏUSSITE INDIVIDUELLE DES ÏLÒVES
#ONCLUSIONS
iÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊiÊ )L RESSORT DES RÏSULTATS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! QUE LES CONNAISSANCES ET
V«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌÊ COMPÏTENCES DES ÏLÒVES EN LECTURE VARIENT GRANDEMENT SELON LES PAYS ,ÏCART ENTRE
Û>ÀiÌÊvÀÌiiÌÊ`½ÕÊ LES PERFORMANCES MOYENNES LES PLUS ET LES MOINS ÏLEVÏES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE
«>ÞÃÊDʽ>ÕÌÀi]Ê>ÃÊ COMPRÏHENSION DE LÏCRIT REPRÏSENTE POINTS SOIT NIVEAU DE COMPÏTENCE
`>Û>Ì>}iÊDʽÌjÀiÕÀÊ ,ES DIFFÏRENCES ENTRE PAYS NE REPRÏSENTENT CEPENDANT QUUNE PARTIE INFIME DE LA
`iÃÊ«>Þð VARIATION GLOBALE DANS LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES %N EFFET LES DIFFÏRENCES DE
PERFORMANCE ENTRE ÏLÒVES AU SEIN DUN PAYS SONT EN MOYENNE PRESQUE DIX FOIS
PLUS ÏLEVÏES QUE LES DIFFÏRENCES ENTRE MOYENNES NATIONALES 0RENDRE EN CHARGE UN
ÏVENTAIL AUSSI VASTE DE BÏNÏFICIAIRES ET RÏDUIRE LÏCART ENTRE LES PERFORMANCES DES
ÏLÒVES CONSTITUENT DONC DES DÏFIS MAJEURS POUR TOUS LES PAYS
iÊ*-ÊiÌÊiÊÕmÀiÊ ° ANS LES ÏLÒVES SONT EN MOYENNE POUR CENT Ì ATTEINDRE LE NIVEAU DE
½jV>ÀÌÊVÃ`jÀ>LiʵÕÊ COMPÏTENCE LE PLUS ÏLEVÏ DU 0)3! PROUVANT AINSI QUILS SONT CAPABLES DE MENER Ì
Ãj«>ÀiÊiÃÊ£äʯÊ`½jmÛiÃÊ BIEN DES TÊCHES DE LECTURE COMPLEXES DE MONTRER QUILS ONT COMPRIS LES TEXTES DANS
V>«>LiÃÊ`½>VV«ÀÊ`iÃÊ LES MOINDRES DÏTAILS ET PER U LIMPORTANCE RELATIVE DE LEURS COMPOSANTES QUILS
Ì@V iÃÊ`iÊiVÌÕÀiÊ PEUVENT ÏVALUER LES INFORMATIONS DE MANIÒRE CRITIQUE ET ÏLABORER DES HYPOTHÒSES
ë Ã̵ÕjiÃÊ`iÃÊÈÊ¯Ê SUR LA BASE DE CONNAISSANCES SPÏCIFIQUES ° LAUTRE EXTRÏMITÏ DE LÏCHELLE ILS SONT
V>«>LiÃÊ`½ivviVÌÕiÀÊ EN MOYENNE POUR CENT Ì NE PAS ATTEINDRE LE PREMIER NIVEAU DE COMPÏTENCE #ES
kiÊiÃÊÌ@V iÃÊiÃÊ«ÕÃÊ ÏLÒVES NE PEUVENT METTRE COURAMMENT EN UVRE LES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES
ëiÃo LES PLUS ÏLÏMENTAIRES QUE LE 0)3! CHERCHE Ì ÏVALUER )LS PEUVENT GÏNÏRALEMENT
LIRE DANS LACCEPTION TECHNIQUE DU TERME MAIS ÏPROUVENT DE SÏRIEUSES DIFFICULTÏS
LORSQUIL SAGIT DUTILISER LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT COMME UN OUTIL POUR ACQUÏRIR
ET AMÏLIORER DES CONNAISSANCES ET DES COMPÏTENCES DANS DAUTRES DOMAINES "IEN
QUE LA PROPORTION DE CES ÏLÒVES PUISSE ÐTRE INFÏRIEURE Ì POUR CENT DANS TROIS
PAYS ET NE DÏPASSER POUR CENT QUE DANS DEUX PAYS DE L/#$% LEXISTENCE
DUNE MINORITÏ RÏDUITE MAIS SIGNIFICATIVE DÏLÒVES QUI NONT PAS ACQUIS AU TERME
DE LA SCOLARITÏ OBLIGATOIRE LES COMPÏTENCES ÏLÏMENTAIRES EN LECTURE DONT ILS AURONT
BESOIN POUR POURSUIVRE LEUR APPRENTISSAGE DOIT ÐTRE PRISE EN CONSIDÏRATION PAR LES
DÏCIDEURS QUI SOUHAITENT QUE LAPPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE SOIT UNE RÏALITÏ
POUR TOUS #E CONSTAT EST DAUTANT PLUS ALARMANT QUE SE MULTIPLIENT LES INDICES
SÏRIEUX MONTRANT QUE LA FORMATION CONTINUE APRÒS LÏCOLE TEND Ì ACCENTUER PLUTÙT
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ #(!0)42%
QUÌ ATTÏNUER LES DIFFÏRENCES DE COMPÏTENCE DÏCOULANT DUNE RÏUSSITE INÏGALE
Ì LENSEIGNEMENT INITIAL
3I ON AJOUTE Ì CES ÏLÒVES CEUX QUI NATTEIGNENT PAS LE NIVEAU OU DONT LES PERFORMANCES o>ÃʵÕiÊiÃÊ£ÓʯÊ
NE DÏPASSENT PAS LE NIVEAU n CEST
Ì
DIRE CEUX QUI SONT CAPABLES DE MENER Ì BIEN V>«>LiÃÊ`iʽ>VV«ÀÊ
LES TÊCHES DE LECTURE LES PLUS ÏLÏMENTAIRES NOTAMMENT LOCALISER UN FRAGMENT UNIQUE µÕiÊiÃÊÌ@V
iÃÊiÃÊ«ÕÃÊ
DINFORMATION IDENTIFIER LE THÒME PRINCIPAL DUN TEXTE OU ÏTABLIR UNE CORRÏLATION jjiÌ>ÀiÃ]ʵÕÊ«ÃiÌÊ
SIMPLE AVEC DES CONNAISSANCES COURANTES n LES ÏLÒVES FAIBLES REPRÏSENTENT UNE ÕÊ`jvÊ>ÕÝʫ̵ÕiÃ]Ê
PROPORTION DE POUR CENT EN MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% ,ES PARENTS LES ÃÕÀÌÕÌÊ`>ÃÊiÃÊ«>ÞÃÊ
ENSEIGNANTS ET LES DÏCIDEURS DES PAYS Oá LA PROPORTION DÏLÒVES SITUÏS AU NIVEAU OU ÙÊÃÊÃÌÊiÃÊ«ÕÃÊ
EN DE Ì EST IMPORTANTE DOIVENT RECONNAÔTRE QUUN NOMBRE SIGNIFICATIF DÏLÒVES NE LÀiÕÝ°
BÏNÏFICIENT PAS SUFFISAMMENT DES POSSIBILITÏS DENSEIGNEMENT ET QUILS RISQUENT
n AU COURS DE LA SUITE DE LEUR PARCOURS SCOLAIRE ET AU
DELÌ n DE NE PAS POUVOIR ACQUÏRIR
LES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES NÏCESSAIRES $ANS DES PAYS TELS QUE LE "RÏSIL OU LE
-EXIQUE DONT LES REVENUS NATIONAUX SONT RELATIVEMENT MODESTES ET Oá LES DÏPENSES
CONSACRÏES AUX ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT PAR ÏLÒVE ÊGÏ DE ANS OU MOINS
REPRÏSENTENT ENVIRON UN QUART DE LA MOYENNE DE L/#$% TABLEAU PROMOUVOIR
LENSEIGNEMENT DE CEUX QUI EN ONT LE PLUS BESOIN EST UN DÏFI CONSIDÏRABLE 3OUVENT
LES POLITIQUES SPÏCIFIQUES AXÏES SUR CET OBJECTIF ONT ÏTÏ INTRODUITES RÏCEMMENT
4OUTEFOIS UNE IMPORTANTE VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES NIMPLIQUE kiÊ`>ÃÊiÃÊ«>ÞÃÊÙÊ
PAS FORCÏMENT QUUNE FORTE PROPORTION DÏLÒVES SE SITUE Ì UN FAIBLE NIVEAU DE iÃÊjmÛiÃÊv>LiÃÊÃÌÊ
COMPÏTENCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT $ANS CERTAINS PAYS Oá LA PERFORMANCE >ÃÃiâÊÀ>ÀiÃÊiÊÌiÀiÃÊ
MOYENNE EST ÏLEVÏE TELS QUE L!USTRALIE LA .OUVELLE :ÏLANDE ET LE 2OYAUME 5NI `iÊV«>À>ÃÊ
LE E CENTILE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT CORRESPOND ÌiÀ>Ì>i]ÊÃÊ
AU DEUXIÒME NIVEAU DE COMPÏTENCE ENVIRON POINTS CE QUI INDIQUE QUE LES «iÕÛiÌÊkÌÀiÊLÀiÕÝÊDÊ
ÏLÒVES SITUÏS DANS LE E CENTILE OBTIENNENT UN RÏSULTAT MOYEN HONNÐTE PAR RAPPORT ÀiÃÌiÀÊiÊ`iXDÊ`iÃÊÃiÕÃÊ
AUX NORMES DE COMPARAISON INTERNATIONALES 4OUTEFOIS LA FORTE VARIATION DE >Ì>ÕÝ°
PERFORMANCE OBSERVÏE DANS CES PAYS SUGGÒRE QUE LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SITUÏS
DANS LE E CENTILE POURRAIENT ÐTRE NETTEMENT INFÏRIEURES AUX SEUILS CORRESPONDANT
AUX ATTENTES NATIONALES DES PAYS EN QUESTION
$ANS QUELLE MESURE LES DIFFÏRENCES OBSERVÏES DANS LE 0)3! DANS LES PERFOR
iÃÊ«>ÞÃʵÕÊÀjÕÃÃÃÃiÌÊDÊ
MANCES DES ÏLÒVES REFLÒTENT
ELLES LA RÏPARTITION INNÏE DES CAPACITÏS DES ÏLÒVES CE Àj>ÃiÀÊÕiÊ«iÀvÀ>ViÊ
QUI IMPLIQUERAIT QUE LE DÏFI QUI SE POSE AUX SYSTÒMES ÏDUCATIFS NE POURRAIT ÐTRE ÞiiÊjiÛjiÊÌÕÌÊiÊ
RELEVÏ DIRECTEMENT PAR UNE RÏORIENTATION DE LA POLITIQUE DE LENSEIGNEMENT )L VÌi>ÌÊ>ÊÛ>À>ÌÊ
RESSORT DE LANALYSE EXPOSÏE DANS CE CHAPITRE NON SEULEMENT QUE LAMPLEUR DES iÌÀiÊjmÛiÃÊiÌÌiÌÊiÃÊ
DISPARITÏS DE PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VARIE GRANDEMENT SELON >ÕÌÀiÃÊ«>ÞÃÊ>ÕÊ`jvo
LES PAYS MAIS AUSSI QUUNE PERFORMANCE NATIONALE ÏLEVÏE NE VA PAS FORCÏMENT
DE PAIR AVEC DES DISPARITÏS IMPORTANTES DE PERFORMANCE "IEN QUE DES FACTEURS
CONTEXTUELS PLUS GÏNÏRAUX DOIVENT ÐTRE PRIS EN CONSIDÏRATION LORSQUON COMPARE
DE TELLES DISPARITÏS ENTRE PAYS LA POLITIQUE MENÏE PAR LES AUTORITÏS PEUT POTEN
TIELLEMENT CONTRIBUER Ì OFFRIR DES OPPORTUNITÏS ÏGALES ET DES ACQUIS ÏQUITABLES
Ì TOUS LES ÏLÒVES ,E 0)3! MONTRE QUE LES PAYS SE DISTINGUENT LES UNS DES AUTRES
NON SEULEMENT PAR LEUR PERFORMANCE MOYENNE MAIS AUSSI PAR LEUR CAPACITÏ Ì
COMBLER LÏCART ENTRE LES ÏLÒVES LES PLUS i FAIBLES w ET LES ÏLÒVES LES PLUS i FORTS w
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
ET Ì MINIMISER CERTAINS DES OBSTACLES CONTEXTUELS QUI NUISENT Ì UNE RÏPARTITION
ÏQUITABLE DES RÏSULTATS DE LAPPRENTISSAGE #E CONSTAT A DES IMPLICATIONS DIRECTES
POUR LES POLITIQUES ÏDUCATIVES
oiÌÊÌ>iÌÊViÕÝÊ $E NOMBREUX FACTEURS INFLUENCENT LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
`ÌÊiÃÊÃÞÃÌmiÃÊ ,ES DISPARITÏS TROUVENT LEUR ORIGINE DANS LE MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES
«iÀiÌÌiÌÊ`iÃÊ ET DES ÏTABLISSEMENTS DANS LE VOLUME DE RESSOURCES HUMAINES ET FINANCIÒRES
`vvjÀiViÃÊÃ}vV>ÌÛiÃÊ MIS Ì LA DISPOSITION DES ÏTABLISSEMENTS DANS LES DIFFÏRENCES DE PROGRAMMES
iÌÀiÊjÌ>LÃÃiiÌÃo DENSEIGNEMENT OU ENCORE DANS LA MANIÒRE DONT LENSEIGNEMENT EST ORGANISÏ ET
DISPENSÏ ,ES APPROCHES CHOISIES PAR LES PAYS POUR FAIRE FACE Ì CETTE HÏTÏROGÏ
NÏITÏ VARIENT Ì LINSTAR DAILLEURS DES CAUSES DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE
DES ÏLÒVES #ERTAINS PAYS PRIVILÏGIENT LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS NON SÏLECTIFS QUI
VISENT Ì OFFRIR Ì TOUS LES ÏLÒVES LES MÐMES OPPORTUNITÏS DAPPRENTISSAGE ET QUI
EXIGENT DES ÏTABLISSEMENTS DE PRENDRE EN CHARGE LENSEMBLE DES ÏLÒVES DANS
TOUTE LEUR DIVERSITÏ $AUTRES PAYS RÏAGISSENT EXPLICITEMENT Ì LHÏTÏROGÏNÏITÏ
DES ÏLÒVES EN RÏPARTISSANT CEUX
CI PAR GROUPES EN FONCTION DE LEUR NIVEAUX DE
PERFORMANCE APRÒS UN PROCESSUS DE SÏLECTION DANS OU ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS
DANS LE BUT DE RÏPONDRE AU MIEUX AUX BESOINS SPÏCIFIQUES DES ÏLÒVES
oV>ÀÊiÊ*-ÊÃÕ}}mÀi]Ê 1UEL EST LIMPACT DE CES POLITIQUES ET DE CES PRATIQUES SUR LA PERFORMANCE
DÊÌÌÀiÊ«ÀÛÃÀi]ʵÕiÊ DES ÏLÒVES )L EST DIFFICILE DAPPORTER DES RÏPONSES CLAIRES CAR LES PRATIQUES
>ÊÛ>À>ÌÊ}L>iÊiÃÌÊ DE DIFFÏRENCIATION SONT SOUVENT APPLIQUÏES DE MANIÒRE INFORMELLE AU SEIN
«ÕÃÊ>ÀµÕjiÊÀõÕiÊiÃÊ DES ÏTABLISSEMENTS ET DIFFICILES Ì COMPARER ENTRE PAYS ,ES RÏSULTATS DU CYCLE
jmÛiÃÊÃÌÊÀiÌjÃÊÛiÀÃÊ DÏVALUATION 0)3! MONTRENT NÏANMOINS QUE TANT LA VARIATION GLOBALE DE LA
`vvjÀiÌÃÊÌÞ«iÃÊ`½jViÃÊ PERFORMANCE DES ÏLÒVES QUE LA PROPORTION RELATIVE DE CETTE VARIATION IMPUTABLE
`mÃÊiÕÀÊiÕiÊ@}i° AUX DIFFÏRENCES ENTRE ÏTABLISSEMENTS ONT TENDANCE Ì ÐTRE PLUS IMPORTANTES DANS
LES PAYS Oá UNE DISTINCTION EXPLICITE EST ÏTABLIE ENTRE LES TYPES DE PROGRAMMES
ET DÏTABLISSEMENTS DÒS LES PREMIÒRES ÏTAPES DE LA SCOLARISATION ,ES DONNÏES
FONT ÏGALEMENT PENSER QUE LES EFFETS DU REGROUPEMENT SOCIAL SONT PLUS MARQUÏS
DANS LES PAYS Oá LES TYPES DÏTABLISSEMENT SONT DIFFÏRENCIÏS QUE DANS CEUX Oá LE
PROGRAMME DENSEIGNEMENT NE VARIE PAS SIGNIFICATIVEMENT DUN ÏTABLISSEMENT
Ì LAUTRE ,E CHAPITRE EXPLIQUE CES RÏSULTATS DE MANIÒRE PLUS APPROFONDIE ET
SE PENCHE SUR QUELQUES
UNS DES LEVIERS POLITIQUES QUI SEMBLENT DANS CERTAINS
PAYS MINIMISER LA RELATION ENTRE LE MILIEU SOCIAL ET LES PERFORMANCES ET PARTANT
CONTRIBUER Ì GARANTIR LÏGALITÏ DES CHANCES EN MATIÒRE DAPPRENTISSAGE
½LiVÌvÊ`iÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃÊ $ANS DES PAYS TELS QUE L!USTRALIE LA .ORVÒGE ET LA .OUVELLE
:ÏLANDE Oá LA
iÃÌÊ`iÊÀj`ÕÀiÊiÃÊ`vvjÀiViÃÊ VARIATION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
iÌÀiÊjÌ>LÃÃiiÌÃ]Ê`½>ÕÌÀiÃÊ DE LÏCRIT EST CONSIDÏRABLE AU SEIN DES ÏCOLES DES RÏFORMES MISES EN UVRE
`ÛiÌÊÃiÊVViÌÀiÀÊÃÕÀÊ DANS LES ÏTABLISSEMENTS ET VISANT Ì STIMULER LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES LES PLUS
iÃÊ`vvjÀiViÃÊDʽÌjÀiÕÀÊ FAIBLES ONT DAVANTAGE DE CHANCES DE CONTRIBUER EFFICACEMENT Ì RELEVER LES PERFOR
`iÃÊjÌ>LÃÃiiÌÃ]Ê`½>ÕÌÀiÃÊ MANCES GLOBALES DES ÏLÒVES QUE DES RÏFORMES AXÏES SUR LA PROMOTION DE CERTAINS
iVÀiÊ`ÛiÌÊÛÃiÀÊiÃÊ`iÕÝ° ÏTABLISSEMENTS )NVERSEMENT DANS LES PAYS Oá LES PERFORMANCES VARIENT FORTEMENT
DUN ÏTABLISSEMENT Ì LAUTRE COMME CEST LE CAS EN !LLEMAGNE EN !UTRICHE
EN "ELGIQUE EN (ONGRIE ET EN 0OLOGNE DES RÏFORMES VISANT Ì REHAUSSER LES
PERFORMANCES DES ÏTABLISSEMENTS DONT LE NIVEAU EST LE MOINS ÏLEVÏ SERONT VRAISEM
BLABLEMENT PLUS EFFICACES POUR RELEVER LE NIVEAU DE PERFORMANCE GLOBAL
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ #(!0)42%
.OTES
$UN POINT DE VUE TECHNIQUE LE SCORE MOYEN CORRESPONDANT Ì LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES DES PAYS DE L/#$% A ÏTÏ FIXÏ Ì
ET LÏCART TYPE Ì LES DONNÏES SONT PONDÏRÏES DE FA ON Ì RENDRE ÏQUIVALENTES LES CONTRIBUTIONS DE CHAQUE PAYS
,A NOTION DE i LITTÏRATIE w OU DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT UTILISÏE DANS LE 0)3! EST BIEN PLUS VASTE QUE LA NOTION HISTORIQUE DE
SAVOIR LIRE ET ÏCRIRE ,A DÏFINITION DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DU 0)3! DÏPASSE DE LOIN LIDÏE QUE LA LECTURE CONSISTE EN UN
DÏCODAGE DE LÏCRIT ET SA COMPRÏHENSION AU SENS LITTÏRAL DU TERME 0AR CONSÏQUENT LÏVALUATION 0)3! NE SEST PAS ATTACHÏE
Ì MESURER CE TYPE DE LITTÏRATIE TECHNIQUE ,ES ÏLÒVES QUI NATTEIGNENT PAS LE NIVEAU PEUVENT PARFAITEMENT ÐTRE CAPABLES DE
LIRE AU SENS TECHNIQUE DU TERME
%N CONSÏQUENCE DU FAIT QUE TOUS LES ÏLÒVES AYANT ATTEINT UN CERTAIN NIVEAU Y COMPRIS CEUX QUI SE SITUENT Ì LEXTRÏMITÏ BASSE
DE CE NIVEAU SONT CENSÏS RÏPONDRE CORRECTEMENT Ì LA MOITIÏ AU MOINS DES ITEMS CORRESPONDANT Ì CE NIVEAU ET COMPTE TENU
DE LA LARGEUR FIXE DES NIVEAUX DE COMPÏTENCE UN ÏLÒVE SE SITUANT Ì NIMPORTE QUEL POINT DE LÏCHELLE EST SUPPOSÏ AVOIR
POUR CENT DE CHANCES DE RÏPONDRE CORRECTEMENT Ì UN ITEM DONT LA DIFFICULTÏ CORRESPOND Ì CE MÐME POINT SUR LÏCHELLE
/N FAIT PARFOIS RÏFÏRENCE Ì LA VALEUR DE LA PROBABILITÏ DE RÏPONSE 02
0OUR CONFIRMER QUE CES DIFFÏRENCES SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES LA PROBABILITÏ RELATIVE QUAVAIENT LES PAYS DOCCUPER
CHACUNE DES POSITIONS DU CLASSEMENT SUR CHAQUE ÏCHELLE A ÏTÏ DÏTERMINÏE Ì PARTIR DES SCORES MOYENS DES PAYS DE LEURS
ERREURS TYPES ET DE LA COVARIANCE ENTRE LES ÏCHELLES DE PERFORMANCE DE DEUX DOMAINES #E PROCÏDÏ PERMET DE PRÏDIRE AVEC
UNE PROBABILITÏ DE POUR CENT SI UN PAYS SE DÏMARQUE DUN DOMAINE PAR RAPPORT Ì LAUTRE DE MANIÒRE STATISTIQUEMENT
SIGNIFICATIVE EN SE POSITIONNANT PLUS HAUT OU PLUS BAS DANS UN DOMAINE QUE DANS LAUTRE OU SIL NE DEVAIT PAS PRÏSENTER DE
DIFFÏRENCES STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES ENTRE LES DEUX DOMAINES 6OIR LE 2APPORT TECHNIQUE 0)3! POUR DAVANTAGE DE
DÏTAILS SUR LA MÏTHODOLOGIE
6OIR LE 2APPORT TECHNIQUE 0)3! POUR LES DONNÏES
,ES ITEMS Ì CHOIX MULTIPLE ONT ÏTÏ EXCLUS DE LA COMPARAISON PARCE QUE DES ÏLÒVES POURRAIENT Y RÏPONDRE CORRECTEMENT EN
CHOISISSANT LA RÏPONSE AU HASARD
%N !LLEMAGNE POUR CENT DES ÏLÒVES SONT ALLOCHTONES ERREUR TYPE POUR CENT DES ÏLÒVES SONT ALLOCHTONES ET
SE SITUENT AU NIVEAU OU EN DE Ì ERREUR TYPE POUR CENT DES ÏLÒVES SONT NÏS EN !LLEMAGNE ERREUR TYPE
POUR CENT DES ÏLÒVES SONT NÏS EN !LLEMAGNE ET SE SITUENT AU NIVEAU OU EN DE Ì ERREUR TYPE AU ,UXEMBOURG
POUR CENT DES ÏLÒVES SONT ALLOCHTONES ERREUR TYPE POUR CENT DES ÏLÒVES SONT ALLOCHTONES ET SE SITUENT AU
NIVEAU OU EN DE Ì ERREUR TYPE POUR CENT DES ÏLÒVES SONT NÏS AU ,UXEMBOURG ERREUR TYPE POUR
CENT DES ÏLÒVES SONT NÏS AU ,UXEMBOURG ET SE SITUENT AU NIVEAU OU EN DE Ì ERREUR TYPE
,A PERFORMANCE DE LA 0OLOGNE EST SUSCEPTIBLE DÐTRE LÏGÒREMENT SURESTIMÏE EN RAISON DE LEXCLUSION DE POUR CENT
DÏLÒVES ÊGÏS DE ANS INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT PRIMAIRE 0AR CONSÏQUENT LA PERFORMANCE DE LA
0OLOGNE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PEUT AVOIR ÏTÏ SURESTIMÏE DE DEUX POSITIONS AU CLASSEMENT ,A
PERFORMANCE DES ÏLÒVES AUX 0AYS "AS NA PU ÐTRE CALCULÏE DE MANIÒRE PRÏCISE EN RAISON DUN TAUX INSUFFISANT DE RÏPONSES
DES ÏTABLISSEMENTS )L PEUT TOUTEFOIS ÐTRE AFFIRMÏ AVEC CERTITUDE QUE LES 0AYS "AS SE SITUENT ENTRE LA E ET LA E PLACE DU
CLASSEMENT DES PAYS DE L/#$% SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR LANNEXE ! POUR DAVANTAGE
DINFORMATIONS Ì CET ÏGARD
,A PROBABILITÏ RELATIVE QUAVAIENT LES PAYS DOCCUPER CHACUN DES POSITIONS DU CLASSEMENT SUR CHAQUE ÏCHELLE A ÏTÏ DÏTERMINÏE
Ì PARTIR DES SCORES MOYENS DES PAYS DE LEURS ERREURS TYPES ET DE LA COVARIANCE ENTRE LES ÏCHELLES DE PERFORMANCE DE DEUX
DOMAINES #E PROCÏDÏ PERMET DE PRÏDIRE AVEC UNE PROBABILITÏ DE POUR CENT SI UN PAYS SE DÏMARQUERA DUN DOMAINE PAR
RAPPORT Ì LAUTRE DE MANIÒRE STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE EN SE POSITIONNANT PLUS HAUT OU PLUS BAS DANS UN DOMAINE QUE DANS
LAUTRE OU SIL NE DEVRAIT PAS PRÏSENTER DE DIFFÏRENCES STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES ENTRE LES DEUX DOMAINES 6OIR LE 2APPORT
TECHNIQUE 0)3! POUR DAVANTAGE DE DÏTAILS SUR LA MÏTHODOLOGIE
,ES MÏTHODES DÏCHANTILLONNAGE UTILISÏES AU *APON FONT QUE LA VARIATION ENTRE CLASSES Ì LINTÏRIEUR DES ÏTABLISSEMENTS EST
COMPRISE DANS LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS POUR LE *APON
$ANS LA FIGURE ET LE TABLEAU LA VARIATION EST EXPRIMÏE PAR LA VARIANCE STATISTIQUE QUI EST LE CARRÏ DE LÏCART TYPE AUQUEL
IL A ÏTÏ FAIT RÏFÏRENCE PRÏCÏDEMMENT DANS CE CHAPITRE #EST LA VARIANCE STATISTIQUE QUI EST UTILISÏE POUR CETTE COMPARAISON
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ
PLUTÙT QUE LÏCART TYPE AFIN QUIL SOIT POSSIBLE DE DÏCOMPOSER LES DIFFÏRENTES COMPOSANTES DE LA VARIATION DES PERFORMANCES
DES ÏLÒVES 0OUR DES RAISONS EXPOSÏES DANS LE 2APPORT TECHNIQUE 0)3! LA SOMME DES COMPOSANTES DE LA VARIANCE ENTRE
ÏTABLISSEMENTS ET AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS PEUT POUR CERTAINS PAYS DIFFÏRER LÏGÒREMENT DU CARRÏ DE LÏCART TYPE FIGURANT
DANS LE TABLEAU ,A MOYENNE A ÏTÏ CALCULÏE POUR LES PAYS DE L/#$% INCORPORÏS AU TABLEAU
#HAPITRE
+1
-Ê
+1-Ê
Ê*-Ê/ Ê -Ê
Ê 1 ,
Ê
<Ê
-Ê 6
-Ê
Ê£xÊ -ʶ
*," Ê
Ê*
,",
Ê
-Ê 6
-Ê
Ê
1 /1,
Ê / /+1
/Ê-
/+1
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi
)NTRODUCTION
Ê«ÀjÃiÌ]ÊÌÕÃÊiÃÊ ,ES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT DES MATHÏMATIQUES ET DES SCIENCES DISPENSÏS
>`ÕÌiÃÊ`ÛiÌÊÕÌÃiÀÊ PENDANT LA PLUS GRANDE PARTIE DU SIÒCLE DERNIER VISAIENT ESSENTIELLEMENT Ì DONNER
iÃÊ>Ì
j>̵ÕiÃÊiÌÊiÃÊ Ì UNE POIGNÏE DE MATHÏMATICIENS DE SCIENTIFIQUES ET DINGÏNIEURS LES BASES DE
ÃViViÃ]Ê«>ÃÊÃiÕiiÌÊ LEUR FORMATION PROFESSIONNELLE #EPENDANT LIMPORTANCE GRANDISSANTE DU RÙLE
iÃÊjÌiÃo DES SCIENCES DES MATHÏMATIQUES ET DES TECHNOLOGIES DANS LA VIE MODERNE A
CHANGÏ LA DONNE $ÏSORMAIS LÏPANOUISSEMENT PERSONNEL LEMPLOI ET LA PARTI
CIPATION ACTIVE DANS LA SOCIÏTÏ IMPOSENT DE PLUS EN PLUS Ì TOUS LES ADULTES ET
PAS UNIQUEMENT Ì CEUX QUI ASPIRENT Ì UNE CARRIÒRE SCIENTIFIQUE DE POSSÏDER UNE
i CULTURE w MATHÏMATIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE
o«ÕÀÊ«ÕÛÀÊ ,A CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE EST CAPITALE POUR COMPRENDRE LES QUES
V«Ài`ÀiÊiÊ`iÊiÌÊ TIONS DORDRE ENVIRONNEMENTAL MÏDICAL ET ÏCONOMIQUE ET AUTRES AUXQUELLES
«Ài`ÀiÊÕiÊ«>ÀÌÊ>VÌÛiÊDÊ LES SOCIÏTÏS MODERNES SONT CONFRONTÏES SOCIÏTÏS QUI DÏPENDENT LARGEMENT DE
>ÊÃVjÌj° LÏVOLUTION TECHNOLOGIQUE ET SCIENTIFIQUE %N OUTRE LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES
LES PLUS i FORTS w DANS LES MATIÒRES MATHÏMATIQUES ET SCIENTIFIQUES PEUVENT
INFLUER SUR LE RÙLE QUE LEUR PAYS JOUERA Ì LAVENIR DANS LE SECTEUR DES TECHNOLOGIES
DE POINTE ET SUR LE PLAN DE SA COMPÏTITIVITÏ INTERNATIONALE EN GÏNÏRAL )NVERSE
MENT LE MANQUE DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE PEUT AVOIR DE LOURDES
CONSÏQUENCES SUR LES PERSPECTIVES DEMPLOI ET DE REVENU DES INDIVIDUS ET SUR
LEUR CAPACITÏ DE PRENDRE UNE PART ACTIVE Ì LA SOCIÏTÏ
iÊ*-ÊjÌÕ`iÊiÃÊ #EST POURQUOI TANT LES DÏCIDEURS QUE LES ENSEIGNANTS ACCORDENT UN SI GRAND PRIX
V>ÃÃ>ViÃÊiÌÊ Ì LENSEIGNEMENT DES MATHÏMATIQUES ET DES SCIENCES ,EXCELLENCE EST DE RIGUEUR
V«jÌiViÃÊiÊ DANS LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS POUR FAIRE FACE Ì LA DEMANDE ACCRUE DE COMPÏTENCES
>Ì
j>̵ÕiÃÊiÌÊiÊ MATHÏMATIQUES ET SCIENTIFIQUES ° LA LUMIÒRE DE CE QUI PRÏCÒDE IL EST CAPITAL
ÃViViÃʵÕiÊiÃÊjmÛiÃÊ DE SAVOIR DANS QUELLE MESURE LES PAYS RÏUSSISSENT Ì INCULQUER CES COMPÏTENCES
«ÕÀÀÌÊiÝ«ÌiÀÊ`>ÃÊ FONDAMENTALES AUX JEUNES ADULTES #EST LA RAISON POUR LAQUELLE LES CONNAISSANCES
iÕÀÊÛiÊ`½>`ÕÌið ET SAVOIR
FAIRE MATHÏMATIQUES ET SCIENTIFIQUES FONT PARTIE INTÏGRANTE DU CONCEPT
DE i CULTURE w DU 0)3! ,ES RÏSULTATS DU 0)3! SONT PLUS PERTINENTS POUR LES
SOCIÏTÏS INDUSTRIELLES DÏVELOPPÏES CAR LÏVALUATION EST BASÏE SUR LA NOTION DE LA
CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE n DÏFINIE AU CHAPITRE n ET NE PORTE PAS
CONTRAIREMENT Ì DAUTRES ÏTUDES SUR LA SEULE ANALYSE DU DÏNOMINATEUR COMMUN
DES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT DE CHAQUE PAYS
#E CHAPITRE PASSE EN REVUE LES RÏSULTATS DE LÏVALUATION DE LA CULTURE MATHÏ
MATIQUE ET SCIENTIFIQUE DU 0)3! ET EXAMINE LA MESURE DANS LAQUELLE CEUX
CI
COÕNCIDENT AVEC LES RÏSULTATS EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PRÏSENTÏS AU CHAPITRE
OU SILS SEN ÏCARTENT #E CHAPITRE
n DÏFINIT LES CRITÒRES PERMETTANT DE QUANTIFIER LES PERFORMANCES EN CULTURE MATHÏ
MATIQUE ET SCIENTIFIQUE ET PRÏSENTE DES EXEMPLES DE TÊCHES DE DIVERS DEGRÏS DE
DIFFICULTÏ ADMINISTRÏES Ì LOCCASION DU CYCLE DÏVALUATION 0)3!
n RÏSUME LES PERFORMANCES DE CHAQUE PAYS SUR LA BASE DES RÏSULTATS MOYENS DES
ÏLÒVES ET PRÏSENTE LA RÏPARTITION DES RÏSULTATS DANS LES POPULATIONS DÏLÒVES
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi #(!0)42%
n COMPARE LA VARIATION DES PERFORMANCES ENTRE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT LA
CULTURE MATHÏMATIQUE ET LA CULTURE SCIENTIFIQUE
,E CHAPITRE COMPLÒTE LE PROFIL DE COMPÏTENCE PAR UNE ANALYSE DE CERTAINS DES
ACQUIS NON COGNITIFS DES ÏLÒVES SCOLARISÏS DE ANS #ES ACQUIS PORTENT SUR LA
MOTIVATION DES ÏLÒVES LEUR ENGAGEMENT LEURS STRATÏGIES DAPPRENTISSAGE ET LEUR
CONFIANCE EN LEURS PROPRES CAPACITÏS
,E CYCLE DÏVALUATION 0)3! A ESSENTIELLEMENT PORTÏ SUR LA COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT #EST LA RAISON POUR LAQUELLE LÏVALUATION DE LA CULTURE MATHÏMATI
QUE ET SCIENTIFIQUE EST PLUS SUCCINCTE ET QUE LANALYSE DES RÏSULTATS NEST PAS
AUSSI POINTUE QUE LA ÏTÏ CELLE DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT #ETTE ANALYSE
SERA APPROFONDIE LORS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! QUI SE CONCENTRERA
EN PRIORITÏ SUR LA CULTURE MATHÏMATIQUE ET DU CYCLE DÏVALUATION 0)3!
QUI PORTERA SURTOUT SUR LA CULTURE SCIENTIFIQUE ,ES CADRES CONCEPTUELS QUI
SOUS
TENDENT LES ÏVALUATIONS 0)3! DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE
SONT EXPOSÏS DANS -ESURER LES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES DES ÏLÒVES n 5N NOUVEAU
CADRE DÏVALUATION /#$% A
0ERFORMANCE DES ÏLÒVES EN CULTURE MATHÏMATIQUE
-ODE DÏVALUATION DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE DANS LE 0)3!
,ORS DU CYCLE 0)3! UNE SEULE ÏCHELLE A ÏTÏ UTILISÏE POUR ÏVALUER LA CULTURE >ÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊ
MATHÏMATIQUE ° LINSTAR DE LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT LÏCHELLE DE iÃÌÊjÛ>ÕjiÊÃÕÀÊÕiÊ
CULTURE MATHÏMATIQUE SARTICULE AUTOUR DUN RÏSULTAT MOYEN DE POINTS ET DUN jV
iiÊÕµÕio
ÏCART TYPE DE POINTS Oá LE RÏSULTAT DENVIRON DEUX TIERS DES ÏLÒVES DE LENSEMBLE
DES PAYS DE L/#$% SE SITUE ENTRE ET POINTS #ETTE ÏCHELLE PERMET DÏVALUER
LA CAPACITÏ DES ÏLÒVES Ì IDENTIFIER ET Ì INTERPRÏTER DES PROBLÒMES MATHÏMATIQUES QUI
SE POSENT DANS LEUR VIE Ì TRANSPOSER CES PROBLÒMES DANS UN CONTEXTE MATHÏMATIQUE
Ì APPLIQUER DES PROCÏDURES ET DES CONNAISSANCES MATHÏMATIQUES POUR RÏSOUDRE CES
PROBLÒMES DANS LEUR CONTEXTE MATHÏMATIQUE Ì INTERPRÏTER LES RÏSULTATS OBTENUS EN
FONCTION DES PROBLÒMES ORIGINAUX Ì RÏFLÏCHIR AUX MÏTHODES UTILISÏES ET Ì FORMULER ET
Ì COMMUNIQUER LES SOLUTIONS
,ES CRITÒRES QUI DÏTERMINENT LE NIVEAU DE DIFFICULTÏ DES TÊCHES SONT NOTAMMENT
n LE NOMBRE ET LA COMPLEXITÏ DES ÏTAPES DE TRAITEMENT OU DE CALCUL SOLLICITÏES PAR LES TÊCHES ,ES oÃÕÀÊ>µÕiiÊ>Ê
TÊCHES ADMINISTRÏES VONT DES PROBLÒMES Ì UNE SEULE ÏTAPE QUI DEMANDENT AUX `vvVÕÌjÊ`iÃÊÌ@V
iÃÊiÃÌÊ
ÏLÒVES DE SE RAPPELER DES FAITS MATHÏMATIQUES ÏLÏMENTAIRES ET DE LES REPRODUIRE `jÌiÀjiÊ«>ÀÊ>Ê
OU DE SE LIVRER Ì DES OPÏRATIONS SIMPLES DE CALCUL AUX PROBLÒMES AUX ÏTAPES V«iÝÌjÊ`iÃÊjÌ>«iÃÊ`iÊ
MULTIPLES QUI FONT APPEL Ì DES CONNAISSANCES MATHÏMATIQUES APPROFONDIES ET ÌÀ>ÌiiÌʵսiiÃÊ
Ì DES SAVOIR
FAIRE COMPLEXES EN MATIÒRE DE PRISE DE DÏCISION DE TRAITEMENT DE ÃVÌiÌo
LINFORMATION DE RÏSOLUTION DE PROBLÒMES ET DE MODÏLISATION
n LES EXIGENCES EN MATIÒRE DE MISE EN RELATION ET DINTÏGRATION ,ES TÊCHES LES PLUS SIMPLES o«>ÀÊiÊLiÃÊ`iÊÀiiÀÊ
DEMANDENT AUX ÏLÒVES DAPPLIQUER UNE SEULE TECHNIQUE OU REPRÏSENTATION Ì UN `vvjÀiÌÃÊjjiÌÃÊ
FRAGMENT UNIQUE DINFORMATION TANDIS QUE LES TÊCHES PLUS COMPLEXES LEUR `½vÀ>Ìo
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi
IMPOSENT DÏTABLIR DES RELATIONS ENTRE PLUS DUN ÏLÏMENT DINFORMATION ET DE LES
INTÏGRER PAR LE BIAIS DE LUTILISATION DUN ÏVENTAIL DE REPRÏSENTATIONS DOUTILS OU
DE CONNAISSANCES MATHÏMATIQUES AU COURS DUN CERTAIN NOMBRE DÏTAPES
oiÌÊ«>ÀÊiÊ`i}ÀjÊ`iÊ n LES EXIGENCES EN MATIÒRE DE REPRÏSENTATION DE MODÏLISATION DINTERPRÏTATION ET DE
«iÃjiÊ>Ì
j>̵ÕiÊ RÏFLEXION #ES EXIGENCES VONT DE LIDENTIFICATION ET DE LAPPLICATION DUNE
ÀiµÕÃÊ«ÕÀÊvÀÕiÀÊiÌÊ FORMULE FAMILIÒRE Ì LA FORMULATION Ì LA TRANSPOSITION OU Ì LA CRÏATION DUN
ÀjÃÕ`ÀiÊ`iÃÊ«ÀLmið MODÒLE APPROPRIÏ DANS UN CONTEXTE NON FAMILIER EN PASSANT PAR LA COMPRÏHEN
SION LE RAISONNEMENT LARGUMENTATION ET LA GÏNÏRALISATION
³TANT DONNÏ QUE LE MATÏRIEL DÏVALUATION DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFI
QUE UTILISÏ LORS DU CYCLE 0)3! ÏTAIT MOINS ÏTOFFÏ QUE CELUI DE LA COMPRÏHEN
SION DE LÏCRIT IL NA PAS ÏTÏ ENTREPRIS DE DÏTERMINER DES NIVEAUX DE COMPÏTENCE
SUCCESSIFS SUR LES ÏCHELLES DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE COMME CELA
A ÏTÏ FAIT POUR LA LECTURE 4OUTEFOIS LES PERFORMANCES EN MATHÏMATIQUES ET EN
SCIENCES PEUVENT ÐTRE DÏCRITES EN TERMES DE CONNAISSANCES ET DE COMPÏTENCES QUE
LES ÏLÒVES DOIVENT METTRE EN UVRE Ì DIVERS POINTS DES ÏCHELLES RESPECTIVES
$ANS LE CAS DE LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE LA DESCRIPTION EST LA SUIVANTE
iÃÊÌ@V
iÃÊiÃÊ«ÕÃÊ n ,ES ÏLÒVES QUI SE SITUENT EN HAUT DE LÏCHELLE CEST
Ì
DIRE CEUX QUI ONT OBTENU
`vvViÃÊÀiµÕmÀiÌÊÕiÊ UN RÏSULTAT DE LORDRE DE POINTS SE MONTRENT ACTIFS ET CRÏATIFS DANS LEUR
«iÀëV>VÌjÊiÌÊÕiÊ MANIÒRE DABORDER LES PROBLÒMES MATHÏMATIQUES )LS INTERPRÒTENT ET FORMULENT
>««ÀV
iÊVÀj>ÌÛiÊ`iÃÊ DES PROBLÒMES EN TERMES MATHÏMATIQUES PEUVENT TRAITER DES INFORMATIONS PLUS
>Ì
j>̵ÕiÃo COMPLEXES ET MENER Ì BIEN UN PROCESSUS COMPTANT UN CERTAIN NOMBRE DÏTAPES
° CE NIVEAU LES ÏLÒVES SONT CAPABLES DIDENTIFIER ET DAPPLIQUER LES CONNAISSANCES
ET LES INSTRUMENTS PERTINENTS SOUVENT DANS DES PROBLÒMES DONT LE CONTEXTE
NE LEUR EST PAS FAMILIER DAVOIR LA PERSPICACITÏ NÏCESSAIRE POUR IDENTIFIER DES
STRATÏGIES DE RÏSOLUTION APPROPRIÏES ET DE SE LIVRER Ì DAUTRES PROCESSUS COGNITIFS
DORDRE SUPÏRIEUR TELS QUE LA GÏNÏRALISATION LE RAISONNEMENT LARGUMENTATION
POUR EXPLIQUER OU COMMUNIQUER LEURS RÏSULTATS
oiÃÊÌ@V
iÃÊÃÊ n ,ES ÏLÒVES DONT LE RÏSULTAT EST DE LORDRE DE POINTS SONT CAPABLES
`vvViÃÊ`i>`iÌÊDÊ DINTERPRÏTER DE METTRE EN RELATION ET DINTÏGRER DIFFÏRENTES REPRÏSENTATIONS
½jmÛiÊ`iÊÀiiÀÊiÌÊ`iÊ DUN PROBLÒME OU DIVERS FRAGMENTS DINFORMATION DUTILISER ET DADAPTER UN
ÌÀ>ÌiÀÊ`iÃÊ MODÒLE DONNÏ SOUVENT DANS DES PROBLÒMES QUI COMPRENNENT DES ÏLÏMENTS
vÀ>ÌÃo ALGÏBRIQUES OU DAUTRES REPRÏSENTATIONS SYMBOLIQUES ETOU DE VÏRIFIER OU
DÏPROUVER DES PROPOSITIONS OU DES MODÒLES DONNÏS )LS APPLIQUENT GÏNÏRALE
MENT DES STRATÏGIES DES PROPOSITIONS OU DES MODÒLES DONNÏS EN RECONNAISSANT
UN MODÒLE OU EN EXTRAPOLANT Ì PARTIR DE CELUI
CI PAR EXEMPLE ET CHOISISSENT ET
METTENT EN UVRE DES CONNAISSANCES MATHÏMATIQUES PERTINENTES POUR RÏSOUDRE
DES PROBLÒMES DONT LA SOLUTION PEUT REQUÏRIR UN PETIT NOMBRE DÏTAPES
oÌ>`ÃʵÕiÊiÃÊ«ÕÃÊ n ,ES ÏLÒVES SITUÏS AU BAS DE LÏCHELLE CEST
Ì
DIRE CEUX QUI ONT OBTENU UN RÏSULTAT
v>ViÃÊiÊÀiµÕmÀiÌÊ DE LORDRE DE POINTS NE SONT GÏNÏRALEMENT CAPABLES QUE DACCOMPLIR UNE
µÕ½ÕÊÃiÕÊ«ÀViÃÃÕÃÊ SEULE ÏTAPE CONSISTANT Ì REPRODUIRE DES PROCESSUS OU DES FAITS MATHÏMATIQUES
jjiÌ>ÀiÊ`>ÃÊÕÊ ÏLÏMENTAIRES OU Ì EXPLOITER DES COMPÏTENCES DE CALCUL SIMPLE )LS SONT EN MESURE
VÌiÝÌiÊv>iÀ° DE LOCALISER DES INFORMATIONS DIRECTES DANS UN TEXTE OU DANS UN DIAGRAMME QUI
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi #(!0)42%
LEUR EST FAMILIER ET DANS LEQUEL UNE FORMULATION MATHÏMATIQUE EST FOURNIE OU
EST VISIBLE ,INTERPRÏTATION ET LE RAISONNEMENT PASSENT PAR LIDENTIFICATION DUN
ÏLÏMENT UNIQUE ET FAMILIER DU PROBLÒME ,E PROCESSUS DE RÏSOLUTION IMPLIQUE
ÏGALEMENT LAPPLICATION DUNE PROCÏDURE DE ROUTINE EN UNE SEULE ÏTAPE
$APRÒS LÏVALUATION 0)3! DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE EN MOYENNE DANS LES PAYS
DE L/#$% LES POUR CENT DÏLÒVES AYANT RÏALISÏ LES MEILLEURES PERFORMANCES
ONT OBTENU UN RÏSULTAT DE POINTS ALORS QUILS ÏTAIENT POUR CENT Ì RÏALISER
UN RÏSULTAT DE POINTS ET POUR CENT Ì ATTEINDRE UN RÏSULTAT DE POINTS
° LEXTRÏMITÏ INFÏRIEURE PLUS DE TROIS QUARTS ONT ATTEINT UN RÏSULTAT DAU MOINS
POINTS PLUS DE POUR CENT ONT OBTENU UN RÏSULTAT DE POINTS ET PLUS DE
POUR CENT ONT ATTEINT POINTS TABLEAU
,ES TÊCHES ADMINISTRÏES Ì LOCCASION DE LÏVALUATION DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE iÃʵÕiÃÌÃÊ`iÊ
VARIENT GRANDEMENT EN FONCTION DU DEGRÏ DE DIFFICULTÏ ,A FIGURE MONTRE >Ì
j>̵ÕiÃÊÛ>ÀiÌÊ
DES TÊCHES EXTRAITES DE DEUX DES UNITÏS ADMINISTRÏES POUR ÏVALUER LA CULTURE }À>`iiÌÊiÊvVÌÊ
MATHÏMATIQUE ET DÏCRIT LES CRITÒRES APPLIQUÏS POUR CODER LES RÏPONSES DES ÏLÒVES `ÕÊ`i}ÀjÊ`iÊ`vvVÕÌjo
UN JEU PLUS COMPLET DE TÊCHES EST DISPONIBLE Ì LADRESSE WWWPISAOECDORG
,A QUESTION DE LUNITÏ 0OMMIERS EST LA PLUS DIFFICILE DES QUESTIONS DE LA FIGURE oÃiÕÊÕÊ«iÌÌÊLÀiÊ
,ES ÏLÒVES ÏTAIENT CONFRONTÏS Ì UN SCÏNARIO HYPOTHÏTIQUE PORTANT SUR LA PLANTATION EN `½jmÛiÃÊ«ÕÛ>ÌÊ
CARRÏ DE POMMIERS ET SUR UN i RIDEAU w DE PROTECTION FAIT DE CONIFÒRES AUTOUR DES >VV«ÀÊVÀÀiVÌiiÌÊ
POMMIERS #E SCÏNARIO A DEMANDÏ AUX ÏLÒVES DE MONTRER QUILS COMPRENAIENT DES iÃÊÌ@V
iÃÊv>Ã>ÌÊ>««iÊ
FONCTIONS MATHÏMATIQUES EN COMPARANT LA CROISSANCE DUNE FONCTION LINÏAIRE Ì CELLE DÊÕiÊV«Àj
iÃÊ
DUNE FONCTION QUADRATIQUE ,ES ÏLÒVES ONT ÏTÏ INVITÏS Ì ÏLABORER UNE DESCRIPTION VERBALE >««Àv`iÊ`iÃÊ
DUN MODÒLE GÏNÏRALISÏ ET Ì DÏVELOPPER UNE ARGUMENTATION ALGÏBRIQUE 0OUR RÏPONDRE vVÌÃÊ
CORRECTEMENT ILS ONT Dß COMPRENDRE Ì LA FOIS LES EXPRESSIONS ALGÏBRIQUES UTILISÏES POUR >Ì
j>̵Õið°°
DÏCRIRE LE MODÒLE ET LES RELATIONS FONCTIONNELLES SOUS
JACENTES DE MANIÒRE Ì POUVOIR
IDENTIFIER ET EXPLIQUER LA GÏNÏRALISATION DE CES RELATIONS DANS UN CONTEXTE NON FAMILIER
0OUR OBTENIR LE CRÏDIT TOTAL DE LA QUESTION CEST
Ì
DIRE UN RÏSULTAT DE POINTS
SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE ILS DEVAIENT PROPOSER LA RÏPONSE CORRECTE AINSI
QUUNE EXPLICATION VALABLE DE LEUR RÏPONSE ,ES ÏLÒVES DONT LE RÏSULTAT SE SITUE AUTOUR DE
POINTS DEVRAIENT THÏORIQUEMENT ÐTRE CAPABLES DE RÏPONDRE CORRECTEMENT FOIS SUR
AUX QUESTIONS DE CE NIVEAU DE DIFFICULTÏ VOIR ENCADRÏ $ANS LES PAYS DE L/#$%
POUR CENT DES ÏLÒVES EN MOYENNE ONT OBTENU LE CRÏDIT TOTAL POUR CETTE QUESTION Ì
RÏPONSE OUVERTE ET POUR CENT UN CRÏDIT PARTIEL VOIR WWWPISAOECDORG
,A QUESTION DE CETTE MÐME UNITÏ EST UNE QUESTION UN PEU MOINS DIFFICILE QUE LA oÕʵÕ>ÀÌÊ`½iÌÀiÊiÕÝÊ
PRÏCÏDENTE ELLE CORRESPOND Ì UN RÏSULTAT DE POINTS SUR LÏCHELLE 0)3! DE LA CULTURE ÀjÕÃÃÃÃ>ÌÊDÊÀjÃÕ`ÀiÊ
MATHÏMATIQUE %LLE COMPORTE DEUX EXPRESSIONS ALGÏBRIQUES DÏCRIVANT LA CROISSANCE DU `iÃÊÌ@V
iÃÊÃÊ
NOMBRE DARBRES EN FONCTION DE LA CROISSANCE DU VERGER )L ÏTAIT DEMANDÏ AUX ÏLÒVES `vvViÃÊiÕÀÊ`i>`>ÌÊ
DE CALCULER UNE VALEUR POUR LAQUELLE LES DEUX EXPRESSIONS COÕNCIDENT 0OUR RÏPONDRE `½ÌiÀ«ÀjÌiÀÊ`iÃÊ
CORRECTEMENT Ì CETTE QUESTION LES ÏLÒVES DEVAIENT INTERPRÏTER DES EXPRESSIONS CONTENANT iÝ«ÀiÃÃÃ]Ê`iÊÀiiÀÊ
DES MOTS ET DES SYMBOLES ET ÏTABLIR UN RAPPORT ENTRE DIFFÏRENTES REPRÏSENTATIONS `vvjÀiÌiÃÊ
PICTURALES VERBALES ET ALGÏBRIQUES DE DEUX RELATIONS LUNE LINÏAIRE LAUTRE QUADRATIQUE Ài«ÀjÃiÌ>ÌÃÊiÌÊ`iÊ
)LS DEVAIENT DONC IDENTIFIER LA STRATÏGIE QUI LEUR PERMETTRAIT DE DÏTERMINER Ì QUEL V«>ÀiÀÊ`iÃÊÃÕÌð
MOMENT LES DEUX FONCTIONS ONT LA MÐME VALEUR AVANT DE COMMUNIQUER LEURS RÏSULTATS EN
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi
}ÕÀiÊΰ£
%XEMPLES DgITEMS MATHÏMATIQUES UTILISÏS DANS 0)3!
0/--)%23
5N FERMIER PLANTE DES POMMIERS EN CARRÏ !FIN DE PROTÏGER CES ARBRES CONTRE LE VENT IL PLANTE DES CONIFÒRES TOUT
AUTOUR DU VERGER
6OUS POUVEZ VOIR CI DESSOUS UN SCHÏMA PRÏSENTANT CETTE SITUATION AVEC LA DISPOSITION DES POMMIERS ET DES CONIFÒRES
POUR UN NOMBRE N DE RANGÏES DE POMMIERS
CONIFÒRES
POMMIERS
N
N
N
N
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi #(!0)42%
$)&&)#5,4³
$% ,! 4®#(%
15%34)/. #ETTE TÊCHE DEMANDE QUE LES ÏLÒVES COMPRENNENT
PLUS ÏLEVÏE
#ODE
DES FONCTIONS MATHÏMATIQUES EN COMPARANT LA
0/--)%23 CROISSANCE DgUNE FONCTION LINÏAIRE Ì CELLE DgUNE
3UPPOSEZ QUE LE FERMIER VEUILLE n 2ÏPONSE CORRECTE POMMIERS FONCTION QUADRATIQUE ,ES ÏLÒVES DOIVENT ÏLABORER
FAIRE UN VERGER BEAUCOUP PLUS !##/-0!'.³% DgUNE EXPLICATION VALABLE UNE DESCRIPTION VERBALE DgUN MODÒLE GÏNÏRALISÏ
GRAND AVEC DE NOMBREUSES 0AR EXEMPLE
0OMMIERS N ET CONIFÒRES N ET DÏVELOPPER UNE ARGUMENTATION ALGÏBRIQUE ,ES
RANGÏES DgARBRES ,ORSQUE LE ÏLÒVES DOIVENT COMPRENDRE AUSSI BIEN LES EXPRESSIONS
FERMIER AGRANDIT LE VERGER ALGÏBRIQUES UTILISÏES POUR DÏCRIRE LE MODÒLE QUE
QUgEST
CE QUI VA AUGMENTER LE PLUS LES RELATIONS FONCTIONNELLES SOUS
JACENTES DE FA ON
VITE LE NOMBRE DE POMMIERS Ì POURVOIR INDENTIFIER ET EXPLIQUER LA GÏNÏRALISATION
OU LE NOMBRE DE CONIFÒRES #ODE DE CES RELATIONS DANS UN CONTEXTE NON FAMILIER
%XPLIQUEZ COMMENT VOUS AVEZ n 2ÏPONSE CORRECTE POMMIERS 5NE CHAÔNE DE RAISONNEMENT EST REQUISE ET IL EST
TROUVÏ VOTRE RÏPONSE !##/-0!'.³% DgEXEMPLES SPÏCIFIQUES OU NÏCESSAIRE DE SAVOIR LA COMMUNIQUER SOUS FORME
DgUNE EXTENSION DU SCHÏMA ÏCRITE
n 2ÏPONSE CORRECTE POMMIERS INDIQUANT
15%,15% COMPRÏHENSION DE LA RELATION
ENTRE N ET N MAIS MOINS CLAIREMENT EXPRIMÏE
QUE DANS LES CAS DÏCRITS PAR LE CODE #ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES DgINTERPRÏTER DES
EXPRESSIONS CONTENANT DES MOTS ET DES SYMBOLES
ET DÏTABLIR UN RAPPORT ENTRE DIFFÏRENTES
REPRÏSENTATIONS PICTURALES VERBALES ET ALGÏBRIQUES
DE DEUX RELATIONS UNE QUADRATIQUE ET LgAUTRE
LINÏAIRE ,ES ÏLÒVES DOIVENT INDENTIFIER LA STRATÏGIE
QUI LEUR PERMET DE DÏTERMINER QUAND LES DEUX
MOYENNE
FONCTIONS ONT LA MÐME VALEUR PAR EXEMPLE
EN TÊTONNANT OU AVEC UNE MÏTHODE ALGÏBRIQUE
ET COMMUNIQUER LE RÏSULTAT EN EXPLIQUANT
15%34)/. LE RAISONNEMENT ET LES OPÏRATIONS NÏCESSAIRES
0/--)%23
#ODE
)L EXISTE DEUX EXPRESSIONS QUE n 2ÏPONSES QUI DONNENT N MONTRANT
VOUS POUVEZ UTILISER POUR CALCULER EXPLICITEMENT QUE LA MÏTHODE UTILISÏE
LE NOMBRE DE POMMIERS ET LE EST ALGÏBRIQUE
NOMBRE DE CONIFÒRES DANS CETTE n 2ÏPONSES QUI DONNENT N MAIS LES FORMULES
SITUATION ALGÏBRIQUES NE SONT PAS CLAIRES OU LE RAISONNEMENT
s .OMBRE DE POMMIERS N NgEST PAS PRÏSENTÏ /N FOURNIT AUX ÏLÒVES UN SCÏNARIO HYPOTHÏTIQUE
s .OMBRE DE CONIFÒRES N n 2ÏPONSES QUI DONNENT N EN UTILISANT COMPRENANT LA PLANTATION DE POMMIERS DANS UN
DgAUTRES MÏTHODES PAR EXEMPLE EN VERGER ENTOURÏ PAR UNE RANGÏE PROTECTRICE DE
s Oá N EST LE NOMBRE DE RANGÏES CONTINUANT LE SCHÏMA OU EN DESSINANT CONIFÒRES AUTOUR DU CARRÏ /N LEUR DEMANDE DE
DE POMMIERS COMPLÏTER UN TABLEAU DE VALEURS PRODUITES PAR LES
)L EXISTE UNE VALEUR DE N POUR FONCTIONS QUI DÏTERMINENT LE NOMBRE DgARBRES AU
LAQUELLE LE NOMBRE DE POMMIERS FUR ET Ì MESURE QUE LA SUPERFICIE DU VERGER
EST ÏGAL AU NOMBRE DE CONIFÒRES AUGMENTE #ETTE QUESTION REQUIERT DES ÏLÒVES QUgILS
4ROUVEZ CETTE VALEUR DE N ET INTERPRÒTENT UNE DESCRIPTION ÏCRITE DE LA SITUATION
EXPLIQUEZ VOTRE MÏTHODE POUR LA QUgILS LA LIENT Ì DES INFORMATIONS PRÏSENTÏES DANS
CALCULER UN TABLEAU QUgILS IDENTIFIENT UN MODÒLE PUIS LE
DÏVELOPPE ,ES ÏLÒVES DOIVENT TRAVAILLER AVEC DES
MODÒLES DONNÏS ET LIER DEUX REPRÏSENTATIONS
PLUS PETITE
DIFFÏRENTES IMAGE ET TABLEAU DE DEUX RELATIONS
QUADRATIQUE ET LINÏAIRE AFIN DgEXTRAPOLER Ì PARTIR
DUN MODÒLE
15%34)/.
0/--)%23 #ODE
#OMPLÏTEZ LE TABLEAU n 2ÏPONSES DANS LESQUELLES LES SEPT CELLULES SONT
TOUTES CORRECTES
.OMBRE DE .OMBRE DE
N POMMIERS CONIFÒRES
3OURCE 0)3!/#$%
3EUILS BASÏS SUR 02 VOIR ENCADRÏ
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi
EXPLIQUANT LEUR RAISONNEMENT ET LES OPÏRATIONS NÏCESSAIRES $ANS LES PAYS DE L/#$%
POUR CENT DES ÏLÒVES EN MOYENNE ONT OBTENU LE CRÏDIT TOTAL DE CETTE QUESTION Ì
RÏPONSE OUVERTE
>ÊÌjÊ`iÃÊjmÛiÃÊ $ANS LA QUESTION LA PLUS SIMPLE DE LUNITÏ 0OMMIERS IL A ÏTÏ DEMANDÏ AUX ÏLÒVES
«ÕÛ>ÌÊÌÀ>ëÃiÀÊÕiÊ DE COMPLÏTER UN TABLEAU DE VALEURS PRODUITES PAR LES FONCTIONS QUI DÏTERMINENT LE
`iÃVÀ«ÌÊ`>ÃÊÕÊ NOMBRE DARBRES Ì MESURE QUE LA SUPERFICIE DU VERGER AUGMENTE ,ES ÏLÒVES DEVAIENT
Ì>Li>ÕÊDÊV«jÌiÀo INTERPRÏTER LA DESCRIPTION ÏCRITE DE LA SITUATION LA METTRE EN RELATION AVEC LA REPRÏSEN
TATION DE CERTAINES INFORMATIONS SOUS LA FORME DUN TABLEAU IDENTIFIER UN MODÒLE
PUIS LE DÏVELOPPER )LS DEVAIENT UTILISER DES MODÒLES DONNÏS ET ÏTABLIR UN RAPPORT ENTRE
DEUX REPRÏSENTATIONS DIFFÏRENTES IMAGE ET TABLEAU DE DEUX RELATIONS LUNE LINÏAIRE
LAUTRE QUADRATIQUE AFIN DE POUVOIR EXTRAPOLER Ì PARTIR DUN MODÒLE $ANS LES PAYS
DE L/#$% POUR CENT DES ÏLÒVES ONT EN MOYENNE OBTENU LE CRÏDIT TOTAL DE CETTE
QUESTION Ì RÏPONSE OUVERTE ET POUR CENT UN CRÏDIT PARTIEL
}ÕÀiÊΰ£ÊÊÊÊÃÕÌi®
%XEMPLES DgITEMS MATHÏMATIQUES UTILISÏS DANS 0)3!
6)4%33% $g5.% 6/)452% $% #/523%
#E GRAPHIQUE PRÏSENTE LES VARIATIONS DE VITESSE DgUNE VOITURE DE COURSE SUR UN CIRCUIT DE KM AU COURS
DU DEUXIÒME TOUR
6ITESSE DgUNE VOITURE DE COURSE SUR UN CIRCUIT DE KM DEUXIÒME TOUR
6ITESSE KMH
Óää
£nä
£Èä
£{ä
£Óä
£ää
nä
Èä
{ä
Óä
ä°x £°x Ó°x
ä
ä ä°Ó ä°{ ä°È ä°n £°ä £°Ó £°{ £°È £°n Ó°ä Ó°Ó Ó°{ Ó°È Ó°n ΰä
$ISTANCE SUR LE CIRCUIT KM
,IGNE DE
DÏPART
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi #(!0)42%
$)&&)#5,4³
$% ,! 4®#(%
15%34)/.
PLUS ÏLEVÏE
6)4%33% $g5.% 6/)452% $% #/523%
#ODE
6OICI LE TRACÏ DE CINQ CIRCUITS n 2ÏPONSE "
3UR LEQUEL DE CES CIRCUITS LA VOITURE
ROULAIT
ELLE LORS DE LgENREGISTREMENT
DU GRAPHIQUE DE VITESSE PRÏSENTÏ AU
DÏBUT DE LgEXERCICE
#ETTE TÊCHE REQUIERT DES ÏLÒVES QUgILS COMPRENNENT
ET INTERPRÒTENT UNE REPRÏSENTATION GRAPHIQUE
DgUNE RELATION PHYSIQUE VITESSE ET DISTANCE DgUNE
VOITURE ET QUgILS LA METTENT EN RELATION DANS LE
MONDE PHYSIQUE ,ES ÏLÒVES DOIVENT LIER ET INTÏGRER
DEUX REPRÏSENTATIONS VISUELLES TRÒS DIFFÏRENTES SUR
3 ,IGNE DE DÏPART LA PROGRESSION DgUNE VOITURE SUR UN CIRCUIT DE
COURSE ,ES ÏLÒVES DOIVENT IDENTIFIER ET SÏLECTIONNER
LgOPTION CORRECTE PARMI PLUSIEURS RÏPONSES
PROPOSÏES
MOYENNE
15%34)/.
#ODE
6)4%33% $g5.% 6/)452% $% #/523%
n " ° KM #ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES DgINTERPRÏTER UNE
° QUELLE DISTANCE APPROXIMATIVE
DE LA LIGNE DE DÏPART SE SITUE LE REPRÏSENTATION GRAPHIQUE DgUNE RELATION PHYSIQUE
DÏBUT DE LA PLUS LONGUE LIGNE DISTANCE ET VITESSE DgUNE VOITURE CIRCULANT SUR UN
CIRCUIT DE TRACÏ INCONNU ,ES ÏLÒVES DOIVENT
DROITE DU CIRCUIT
INTERPRÏTER LE GRAPHIQUE EN FAISANT UN LIEN ENTRE
! ° KM LA DESCRIPTION VERBALE ET DEUX CARACTÏRISTIQUES DU
" ° KM
# ° KM GRAPHIQUE UNE SIMPLE ET DIRECTE ET UNE DEMANDANT
$ ° KM UNE COMPRÏHENSION PLUS APPROFONDIE DE PLUSIEURS
ÏLÏMENTS DU GRAPHIQUE ET DE CE QUgIL REPRÏSENTE
ILS DOIVENT IDENTIFIER LgINFORMATION REQUISE Ì PARTIR
15%34)/. DU GRAPHIQUE EN SÏLECTIONNANT LA MEILLEURE OPTION
#ODE
Ì PARTIR DES ALTERNATIVES PROPOSÏES
6)4%33% $g5.% 6/)452% $% #/523%
n " ,A VITESSE DE LA VOITURE AUGMENTE
1UE POUVEZ
VOUS DIRE DE LA VITESSE #ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES DE LIRE LgINFORMATION
DE LA VOITURE ENTRE LES BORNES DE CONTENUE DANS UN GRAPHIQUE REPRÏSENTANT UNE
KM ET DE KM RELATION PHYSIQUE VITESSE DUN VÏHICULE ET DISTANCE
PLUS PETITE
! ,A VITESSE DE LA VOITURE EST PARCOURUE ,ES ÏLÒVES DOIVENT IDENTIFIER DANS LE
CONSTANTE GRAPHIQUE LgENDROIT MENTIONNÏ PAR LE TEXTE AFIN
" ,A VITESSE DE LA VOITURE DE COMPRENDRE CE QUI SE PASSE POUR LA VITESSE DU
AUGMENTE VÏHICULE CET ENDROIT PARTICULIER DU GRAPHIQUE PUIS
# ,A VITESSE DE LA VOITURE SÏLECTIONNER LA MEILLEURE OPTION PARMI UN ENSEMBLE
DIMINUE DE CHOIX POSSIBLES
$ ,A VITESSE DE LA VOITURE NE PEUT
ÐTRE DÏTERMINÏE Ì PARTIR DU #ETTE QUESTION REQUIERT DES ÏLÒVES QUgILS LISENT UNE
GRAPHIQUE INFORMATION CONTENUE DANS UN GRAPHIQUE
REPRÏSENTANT UNE RELATION PHYSIQUE VITESSE ET
DISTANCE DgUNE VOITURE ,ES ÏLÒVES DOIVENT IDENTIFIER
15%34)/. UNE CARACTÏRISTIQUE PARTICULIÒRE DU GRAPHIQUE
6)4%33% $g5.% 6/)452% $% #/523% #ODE
LgEXPOSÏ DE LA VITESSE LIRE DIRECTEMENT DANS LE
GRAPHIQUE UNE VALEUR QUI MINIMISE LA
/á A T ON ENREGISTRÏ LA VITESSE LA n # ° ENVIRON KM CARACTÏRISTIQUE PUIS SÏLECTIONNER LA MEILLEURE
PLUS BASSE AU COURS DU SECOND OPTION Ì PARTIR DgUN ENSEMBLE DE CHOIX POSSIBLES
TOUR
! ° LA LIGNE DE DÏPART
" ° ENVIRON KM
# ° ENVIRON KM
$ ° MI PARCOURS DU CIRCUIT
3EUILS BASÏS SUR 02
3OURCE 0)3!/#$% VOIR ENCADRÏ
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi
o`iÕÝÊÌiÀÃÊ`iÃÊjmÛiÃÊ ,A DEUXIÒME UNITÏ DÏCRITE Ì LA FIGURE 6OITURE DE COURSE COMPORTE DES
ÃÌÊV>«>LiÃÊ QUESTIONS DONT LE DEGRÏ DE DIFFICULTÏ CORRESPOND AU MILIEU ET AU BAS DE LÏCHELLE
`½ÌiÀ«ÀjÌiÀÊÕÊ DE CULTURE MATHÏMATIQUE ,A QUESTION QUI ÏQUIVAUT Ì UN RÏSULTAT DE POINTS
}À>«
µÕiÊiÊjÌ>LÃÃ>ÌÊ SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE PRÏSENTE UN GRAPHIQUE MONTRANT LA
ÕiÊÀi>ÌÊiÌÀiÊ`iÕÝÊ VITESSE DUNE VOITURE QUI SE DÏPLACE SUR UN CIRCUIT )L ÏTAIT DEMANDÏ AUX ÏLÒVES
>ÌÌÀLÕÌÃo DINTERPRÏTER LE GRAPHIQUE POUR IDENTIFIER UNE DISTANCE QUI CORRESPOND Ì UNE
CONDITION DONNÏE 0OUR CE FAIRE LES ÏLÒVES DEVAIENT ÏTABLIR UNE RELATION ENTRE LA
DESCRIPTION VERBALE ET DEUX ATTRIBUTS PARTICULIERS DU GRAPHIQUE LUN EST SIMPLE
ET DIRECT TANDIS QUE LAUTRE REQUIERT UNE COMPRÏHENSION PLUS APPROFONDIE DES
DIFFÏRENTS ÏLÏMENTS DU GRAPHIQUE ET DE CE QUIL REPRÏSENTE PUIS IDENTIFIER LES
INFORMATIONS NÏCESSAIRES DANS LE GRAPHIQUE EN SÏLECTIONNANT LA MEILLEURE OPTION
PARMI UN CERTAIN NOMBRE DE SOLUTIONS PROPOSÏES $ANS LES PAYS DE L/#$%
POUR CENT DES ÏLÒVES ONT EN MOYENNE RÏPONDU CORRECTEMENT Ì CETTE QUESTION
Ì CHOIX MULTIPLE
oiÌÊ>Ê}À>`iÊ>ÀÌjÊ ,A QUESTION EST SITUÏE AU BAS DE LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET ÏQUIVAUT
iÃÌÊV>«>LiÊ`iÊÀiÊiÌÊ Ì UN NIVEAU DE DIFFICULTÏ DE POINTS %LLE DEMANDAIT AUX ÏLÒVES DINTERPRÏTER
V«Ài`ÀiÊ`iÃÊ LA VITESSE DE LA VOITURE Ì UN POINT PARTICULIER DU GRAPHIQUE 0OUR CE FAIRE ILS
vÀ>ÌÃÊ>ÕÊ«ÀiiÀÊ DEVAIENT LIRE DES DONNÏES SITUÏES DANS UN GRAPHIQUE QUI REPRÏSENTE UNE RELATION
`i}ÀjÊÃÕÀÊÕÊ}À>«
µÕi° PHYSIQUE VITESSE DUN VÏHICULE ET DISTANCE PARCOURUE )LS DEVAIENT IDENTIFIER
LENDROIT DU GRAPHIQUE AUQUEL IL EST FAIT RÏFÏRENCE DANS LE TEXTE DÏTERMINER CE
QUI SE PRODUIT POUR LA VITESSE DU VÏHICULE Ì CET ENDROIT PARTICULIER DU GRAPHIQUE
PUIS SÏLECTIONNER LA MEILLEURE SOLUTION PARMI UN CERTAIN NOMBRE DOPTIONS QUI
LEUR ÏTAIENT PROPOSÏES $ANS LES PAYS DE L/#$% POUR CENT DES ÏLÒVES
ONT EN MOYENNE RÏPONDU CORRECTEMENT Ì CETTE QUESTION Ì CHOIX MULTIPLE VOIR
WWWPISAOECDORG
,A PERFORMANCE MOYENNE DES PAYS EN CULTURE MATHÏMATIQUE
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊÞiÃÊiÊ 0OUR LES DÏCIDEURS DES PAYS DE L/#$% LES COMPARAISONS INTERNATIONALES
VÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊ DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES CONSTITUENT UN INSTRUMENT PRÏCIEUX QUI LEUR
ÃÌÊÌÀmÃÊÛ>À>LiÃÊ`½ÕÊ PERMET DÏVALUER LES PERFORMANCES DU SYSTÒME ÏDUCATIF DE LEUR PAYS $E TELLES
«>ÞÃÊDʽ>ÕÌÀi°°° COMPARAISONS OFFRENT UN POINT DE RÏFÏRENCE EXTERNE POUR LÏVALUATION OBJECTIVE
DE LEFFICACITÏ DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS ,E PREMIER CRITÒRE DÏVALUATION PORTE BIEN
SOUVENT SUR LA COMPARAISON DE LA PERFORMANCE MOYENNE DES DIFFÏRENTS PAYS
° LINSTAR DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT LA CULTURE MATHÏMATIQUE PEUT ÐTRE
RÏSUMÏE PAR LES RÏSULTATS MOYENS DES PAYS
,A FIGURE CLASSE LES PAYS EN FONCTION DE LA PERFORMANCE MOYENNE DE LEURS
ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE %LLE DISTINGUE ÏGALEMENT LES PAYS
DONT LE NIVEAU DE PERFORMANCE EST SUPÏRIEUR INFÏRIEUR OU PLUS OU MOINS ÏGAL Ì
LA MOYENNE DE L/#$%
#OMME EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SEULES LES DIFFÏRENCES ENTRE PAYS QUI
SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES DOIVENT ÐTRE CONSIDÏRÏES COMME VALIDES ,A
FIGURE IDENTIFIE LES PAIRES DE PAYS Oá LES DIFFÏRENCES DANS LES RÏSULTATS MOYENS
SONT SUFFISAMMENT IMPORTANTES POUR AFFIRMER AVEC CONVICTION QUE LA PERFOR
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi #(!0)42%
}ÕÀiÊΰÓ
#OMPARAISONS MULTIPLES DE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
2OYAUME 5NI
&ÏD DE 2USSIE
,IECHTENSTEIN
2ÏP TCHÒQUE
,UXEMBOURG
$ANEMARK
!LLEMAGNE
³TATS 5NIS
&INLANDE
!USTRALIE
.ORVÒGE
"ELGIQUE
-EXIQUE
!UTRICHE
0ORTUGAL
,ETTONIE
(ONGRIE
%SPAGNE
0OLOGNE
#ANADA
&RANCE
)RLANDE
)SLANDE
*APON
#ORÏE
'RÒCE
3UÒDE
3UISSE
"RÏSIL
)TALIE
-OYENNE
%R T
*APON
#ORÏE
.OUVELLE :ÏLANDE
&INLANDE
!USTRALIE
#ANADA
3UISSE
2OYAUME 5NI
"ELGIQUE
&RANCE
!UTRICHE
$ANEMARK
)SLANDE
,IECHTENSTEIN
3UÒDE
)RLANDE
.ORVÒGE
2ÏP TCHÒQUE
³TATS 5NIS
!LLEMAGNE
(ONGRIE
&ÏD DE 2USSIE
%SPAGNE
0OLOGNE
,ETTONIE
)TALIE
0ORTUGAL
'RÒCE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
"RÏSIL
,IGNE SUPÏRIEURE
,IGEN INFÏRIEURE
.OTE ,ES DONNÏES ÏTANT BASÏES SUR DES ÏCHANTILLONS IL NEST PAS POSSIBLE DE RENDRE COMPTE DE LA POSITION EXACTE DU RANG DES PAYS )L EST
TOUTEFOIS POSSIBLE DE DONNER UNE FOURCHETTE DANS LAQUELLE LA MOYENNE DU PAYS EST FIABLE Ì POUR CENT
)NSTRUCTIONS
0ERFORMANCE MOYENNE SIGNIFICATIVEMENT SUPÏRIEURE AU NIVEAU
0OUR PROCÏDER Ì LA COMPARAISON IL SUFFIT DE CHOISIR UN PAYS EN ABSCISSE ET STATISTIQUE Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
DE LE COMPARER AVEC LUN DES PAYS EN ORDONNÏE ,ES SYMBOLES INDIQUENT 0AS DE DIFFÏRENCE STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE PAR RAPPORT AU PAYS EN ORDONNÏE
QUE LA PERFORMANCE MOYENNE DU PAYS EN ABSCISSE EST SIGNIFICATIVEMENT 0ERFORMANCE MOYENNE SIGNIFICATIVEMENT INFÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE
INFÏRIEURE SUPÏRIEURE OU QUIL NEXISTE PAS DE DIFFÏRENCE SIGNIFICATIVE SUR LE Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
PLAN STATISTIQUE PAR RAPPORT Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
3IGNIFICATIVEMENT SUPÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì LA MOYENNE DE L/#$%
0AS DÏCART STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF PAR RAPPORT Ì LA MOYENNE DES PAYS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE L/#$% 3IGNIFICATIVEMENT INFÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì LA MOYENNE DE L/#$%
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi
}ÕÀiÊΰÎ
2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LgÏCHELLE DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE
³CHELLE DE COMPÏTENCE ,ES BARRES GRADUÏES VONT DU E CENTILE AU E CENTILE
-OYENNE SUR LgÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE
)NTERVALLE DE CONFIANCE DE AUTOUR DE LA MOYENNE
-OYENNE DES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ
-OYENNE DES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN
-OYENNE DE Lg/#$%
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
.OUVELLE
:ÏLANDE
3UISSE
.ORVÒGE
2OYAUME
5NI
!LLEMAGNE
³TATS
5NIS
%SPAGNE
!UTRICHE
,ETTONIE
(ONGRIE
0OLOGNE
#ORÏE
3UÒDE
!USTRALIE
$ANEMARK
)RLANDE
-EXIQUE
"ELGIQUE
)SLANDE
)TALIE
"RÏSIL
*APON
&INLANDE
'RÒCE
#ANADA
&RANCE
,IECHTENSTEIN
0ORTUGAL
,UXEMBOURG
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi #(!0)42%
MANCE LA PLUS ÏLEVÏE RÏALISÏE PAR LÏCHANTILLON DÏLÒVES DUN DES PAYS PEUT ÐTRE GÏNÏ
RALISÏE Ì LENSEMBLE DES POPULATIONS DÏLÒVES DES DEUX PAYS 0OUR PROCÏDER Ì LA
COMPARAISON IL FAUT PARCOURIR LA LIGNE QUI CORRESPOND Ì UN PAYS JUSQUÌ LA COLONNE QUI
CORRESPOND Ì UN DES PAYS QUI FIGURENT EN HAUT DE LA FIGURE ,ES SYMBOLES INDIQUENT
QUE LA PERFORMANCE MOYENNE DU PAYS DE LA LIGNE HORIZONTALE EST SIGNIFICATIVEMENT
INFÏRIEURE SUPÏRIEURE OU QUIL NEXISTE PAS DE DIFFÏRENCE SIGNIFICATIVE SUR LE PLAN
STATISTIQUE PAR RAPPORT Ì CELLE DU PAYS DE LA COLONNE
,ES ÏLÒVES DU *APON OBTIENNENT LES RÏSULTATS MOYENS LES PLUS ÏLEVÏS SUR LÏCHELLE
DE CULTURE MATHÏMATIQUE MAIS LA PERFORMANCE MOYENNE DE CE PAYS NEST PAS
SIGNIFICATIVEMENT DIFFÏRENTE DE CELLE DE LA #ORÏE ET DE LA .OUVELLE
:ÏLANDE
0ARMI LES AUTRES PAYS DONT LE RÏSULTAT EST SIGNIFICATIVEMENT SUPÏRIEUR Ì LA
MOYENNE DE L/#$% FIGURENT L!USTRALIE L!UTRICHE LA "ELGIQUE LE #ANADA LE
$ANEMARK LA &INLANDE LA &RANCE L)SLANDE LE ,IECHTENSTEIN LES 0AYS
"AS LE
2OYAUME
5NI LA 3UÒDE ET LA 3UISSE
1UOIQUE LES TÊCHES DE LÏVALUATION 0)3! DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE AIENT ÏTÏ CON UES
DE MANIÒRE Ì NE PAS DÏFAVORISER CEUX QUI NE SE SERVIRAIENT PAS DE CALCULATRICES LES
ÏLÒVES ONT ÏTÏ AUTORISÏS Ì UTILISER LEURS PROPRES CALCULATRICES OU CELLES QUE LEUR AVAIENT
FOURNIES LES ADMINISTRATEURS DU TEST )L NY A AUCUNE INDICATION QUE LUTILISATION DUNE
CALCULATRICE AIT PU INFLUENCER LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES DANS 0)3!
2ÏPARTITION DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE DANS LES PAYS
)L EXISTE DIMPORTANTES DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE MOYENNE ENTRE LES PAYS o>ÃÊ>Ê«iÀvÀ>ViÊ
MAIS LA VARIATION DE LA PERFORMANCE ENTRE ÏLÒVES AU SEIN DES PAYS EST COMME Û>ÀiÊiVÀiÊ«ÕÃÊ
CEST ÏGALEMENT LE CAS POUR LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SOUVENT PLUS GRANDE vÀÌiiÌÊDʽÌjÀiÕÀÊ
,A PERFORMANCE MOYENNE NE PERMET DONC PAS DE RENDRE COMPTE DE MANIÒRE `iÃÊ«>ÞÃo
EXHAUSTIVE DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES ET PEUT MASQUER DES VARIATIONS SIGNIFI
CATIVES AU SEIN DUNE CLASSE DUN ÏTABLISSEMENT OU DUN SYSTÒME ÏDUCATIF ,UN
DES DÏFIS MAJEURS DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS EST DE STIMULER LES PERFORMANCES ET
DANS LE MÐME TEMPS DE MINIMISER LES DISPARITÏS INTERNES
%N OUTRE LA FIGURE MONTRE LA RÏPARTITION DES RÏSULTATS SUR LÏCHELLE DE CULTURE
MATHÏMATIQUE ,ES BARRES GRADUÏES REPRÏSENTENT LA PLAGE DE PERFORMANCE DES
PAYS ENTRE LES E ET E CENTILES ,A DENSITÏ DE LA BARRE INDIQUE LA PROPORTION
DÏLÒVES QUI ONT OBTENU LE NOMBRE DE POINTS CORRESPONDANT AUX DIFFÏRENTS NIVEAUX
DE LÏCHELLE ,A TABLEAU DONNE LES E ET E CENTILES CEST
Ì
DIRE LE NOMBRE
DE POINTS CORRESPONDANT AUX QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR DES ÏLÒVES DE CHAQUE
PAYS ,E MILIEU DE CHAQUE BARRE CORRESPOND AU RÏSULTAT MOYEN DES PAYS QUI A
FAIT LOBJET DE LANALYSE PRÏSENTÏE DANS LA SECTION PRÏCÏDENTE AVEC MENTION DE
LINTERVALLE DE CONFIANCE
$ANS TOUS LES PAYS LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS LES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT oiÌ]Ê`>ÃÊ`iÊLÀiÕÝÊ«>ÞÃ]Ê
LES ÏTABLISSEMENTS ET LES ENSEIGNANTS DOIVENT PRENDRE EN CHARGE UN VASTE ÏVEN
ÕiÊÀÌjÊ`½jmÛiÃÊÊ
TAIL DE CONNAISSANCES ET DE COMPÏTENCES Ì DÏVELOPPER ET ENRICHIR EFFICACEMENT j}}i>LiÊj«ÀÕÛiÊ`iÃÊ
$ANS PRESQUE LA MOITIÏ DES PAYS PLUS DE POUR CENT DES ÏLÒVES NATTEIGNENT `vvVÕÌjÃÊDÊiÌÌÀiÊiÊ ÕÛÀiÊ`iÃÊ
PAS LE RÏSULTAT MOYEN DU PAYS SITUÏ Ì LA DERNIÒRE PLACE DU CLASSEMENT DES PAYS V«jÌiViÃÊëiÃÊiÊV>VÕo
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi
DE L/#$% TABLEAU ,A FIGURE MONTRE QUE CES ÏLÒVES ÏPROUVENT DES
DIFFICULTÏS Ì MENER Ì BIEN DES TÊCHES SIMPLES LEUR DEMANDANT DE REPRODUIRE
DES PROCESSUS OU DES FAITS MATHÏMATIQUES ÏLÏMENTAIRES OU DE METTRE EN UVRE
DES COMPÏTENCES SIMPLES EN CALCUL 0AR AILLEURS LES TÊCHES FAISANT APPEL Ì
DES COMPÏTENCES EN MATIÒRE DINTERPRÏTATION OU DE RAISONNEMENT AU
DELÌ
DE LIDENTIFICATION DUN ÏLÏMENT FAMILIER UNIQUE DANS UN PROBLÒME ET QUI
IMPLIQUENT DES PROCESSUS DE RÏSOLUTION PLUS COMPLEXES QUE LAPPLICATION DUNE
PROCÏDURE DE ROUTINE EN UNE SEULE ÏTAPE SONT NORMALEMENT TROP DIFFICILES POUR
CES ÏLÒVES 4OUTES LES QUESTIONS CITÏES EN EXEMPLE DANS LA FIGURE DÏPASSENT
LA CAPACITÏ DES ÏLÒVES QUI ONT OBTENU UN RÏSULTAT INFÏRIEUR AU RÏSULTAT MOYEN DU
-EXIQUE POINTS
oLiʵս>ÕÊÃÊ£äÊ¯Ê ° LAUTRE EXTRÏMITÏ DE LÏCHELLE ON CONSTATE QUE DANS TOUS LES PAYS SAUF DEUX
`iÃÊjmÛiÃÊ`iÊV
>µÕiÊ POUR CENT DÏLÒVES AU MOINS DÏPASSENT LE RÏSULTAT MOYEN LE PLUS ÏLEVÏ EN
«>ÞÃ]ÊÃ>ÕvÊ`iÕÝ]Ê CULTURE MATHÏMATIQUE Ì SAVOIR CELUI DU *APON POINTS
>ÌÌi}iÌÊiÊÀjÃÕÌ>ÌÊ
ÞiÊ`ÕÊ«>ÞÃʵÕÊ #E CONSTAT SUGGÒRE QUE LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS DE NOMBREUX PAYS SONT CONFRONTÏS
>vvV
iÊ>Ê«iÀvÀ>ViÊ Ì UN TRÒS LARGE ÏVENTAIL DE BESOINS DÏLÒVES ILS DOIVENT POUVOIR AIDER LES ÏLÒVES
ÞiiÊ>Ê«ÕÃÊjiÛji° DONT LES PERFORMANCES SONT LES PLUS FAIBLES MAIS AUSSI SATISFAIRE LES ATTENTES
DÏLÒVES DONT LES PERFORMANCES SONT EXCEPTIONNELLEMENT HAUTES
ÊiÃÌÊvÀ>««>ÌʵÕiÊiÃÊ ,A COMPARAISON DE LA VARIATION DES PERFORMANCES AU SEIN DUN PAYS AVEC SA
`ë>ÀÌjÃÊiÃÊÃÊ PERFORMANCE MOYENNE MONTRE CLAIREMENT QUUN HAUT NIVEAU DE PERFORMANCE
vÀÌiÃÊÃiÊÀiÌÀÕÛiÌÊ`>ÃÊ GLOBALE DANS UN PAYS NE VA PAS FORCÏMENT DE PAIR AVEC DE GRANDES DISPARITÏS DANS
`iÃÊ«>ÞÃÊ`ÌÊ>Ê LES PERFORMANCES !U CONTRAIRE IL EST FRAPPANT DE CONSTATER QUE LA PERFORMANCE
«iÀvÀ>ViÊiÃÌÊ«ÕÌÌÊ MOYENNE DE SIX PAYS SUR LES HUIT PRÏSENTANT LES DIFFÏRENCES LES PLUS FAIBLES ENTRE
jiÛjio LES E ET E CENTILES SOIT LA MOITIÏ MÏDIANE DANS LA RÏPARTITION NATIONALE DES
PERFORMANCES Ì SAVOIR LE #ANADA LA #ORÏE LE $ANEMARK LA &INLANDE L)SLANDE
ET LE *APON EST SIGNIFICATIVEMENT SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE DE L/#$% DU POINT
DE VUE STATISTIQUE TABLEAU %N OUTRE QUATRE DENTRE EUX n LE #ANADA LA
#ORÏE LA &INLANDE ET LE *APON n SE CLASSENT PARMI LES SIX PAYS QUI AFFICHENT LES
MEILLEURES PERFORMANCES EN CULTURE MATHÏMATIQUE DE L/#$%
o>ÀÃʵÕiÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃÊ $AUTRE PART QUATRE DES CINQ PAYS ACCUSANT LA RÏPARTITION LA MOINS UNIFORME DES
>Þ>ÌÊÕiÊ«iÀvÀ>ViÊ COMPÏTENCES EN CULTURE MATHÏMATIQUE MESURÏE PAR LÏCART ENTRE LES E ET E
ÞiiÊ«ÕÃÊv>LiÊ CENTILES Ì SAVOIR L!LLEMAGNE LA 'RÒCE LA (ONGRIE ET LA 0OLOGNE OBTIENNENT
«ÀjÃiÌiÌÊ`iÃÊjV>ÀÌÃÊ UN RÏSULTAT SIGNIFICATIVEMENT INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE L/#$% DU POINT DE VUE
«ÕÃÊ>À}ið STATISTIQUE LA "ELGIQUE FAIT FIGURE DEXCEPTION CAR ELLE PRÏSENTE Ì LA FOIS UNE
RÏPARTITION TRÒS INÏGALE DES RÏSULTATS ET UN RÏSULTAT MOYEN QUI SE SITUE AU DESSUS
DE LA MOYENNE DE L/#$%
%N MATIÒRE DE RÏPARTITION DES PERFORMANCES LA TENDANCE EST SIMILAIRE SUR
LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
!INSI L!LLEMAGNE LA "ELGIQUE LES ³TATS
5NIS LA 'RÒCE LA (ONGRIE LA
.OUVELLE
:ÏLANDE LA 0OLOGNE ET LA 3UISSE ACCUSENT UN ÏCART RELATIVEMENT
IMPORTANT ENTRE LES E ET E CENTILES n COMPRIS ENTRE ET POINTS n SUR
LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE VOIR TABLEAU CONTRAIREMENT Ì LA #ORÏE
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi #(!0)42%
Ì LA &INLANDE Ì L)RLANDE Ì L)SLANDE ET AU *APON Oá LES DISPARITÏS SONT RELATIVE
MENT FAIBLES ET REPRÏSENTENT MOINS DE POINTS ENTRE LES E ET E CENTILES )L
EXISTE CEPENDANT DES EXCEPTIONS 0AR EXEMPLE L!USTRALIE AFFICHE DES DISPARITÏS
RELATIVEMENT IMPORTANTES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
ALORS QUE LA DIFFÏRENCE ENTRE LES E ET E CENTILES SUR LÏCHELLE DE CULTURE
MATHÏMATIQUE EST DE POINTS CE QUI EST EN DESSOUS DE LÏCART INTERQUARTILE
MOYEN DE L/#$%
#OMME NOUS LAVONS EXPLIQUÏ AU CHAPITRE LES ÏLÒVES QUI ONT PARTICIPÏ AU >ÃÊiÃÊ«>ÞÃÊÙÊiÃÊ
CYCLE 0)3! ONT ÏTÏ PRIÏS DE COMMUNIQUER LES NOTES QUILS ONT OBTENUES «iÀvÀ>ViÃÊiÊ
EN MATHÏMATIQUES LORS DE LEUR DERNIER BULLETIN ET DINDIQUER COMMENT CES >Ì j>̵ÕiÃÊÃÌÊ
NOTES SERAIENT INTERPRÏTÏES PAR LÏTABLISSEMENT #ETTE INFORMATION A PERMIS DE v>LiÃ]ÊiÃÊjmÛiÃÊiÊ
DÏTERMINER SI ELLES ÏTAIENT SUPÏRIEURES ÏGALES OU INFÏRIEURES AU SEUIL DÏCHECDE ÃÌÊ«>ÃÊjViÃÃ>ÀiiÌÊ
RÏUSSITE FIXÏ PAR LÏTABLISSEMENT OU LENSEIGNANT ,A COMPARAISON DE CES DONNÏES ÃÊV>«>LiÃÊ`iÊ
AVEC LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE DU 0)3! Ã>ÌÃv>ÀiÊiÃÊ>ÌÌiÌiÃÊ`iÊ
OFFRE UN CADRE DE RÏFÏRENCE QUI PERMET DINTERPRÏTER LES RÏSULTATS 0)3! DANS LEUR iÕÀÃÊ«ÀviÃÃiÕÀð
CONTEXTE NATIONAL TABLEAU ,ES DONNÏES RÏVÒLENT QUE LES PAYS AFFICHANT UNE
PERFORMANCE RELATIVEMENT ÏLEVÏE AUX ÏVALUATIONS DU 0)3! NONT PAS NÏCESSAIREMENT
UNE PROPORTION COMPARATIVEMENT FAIBLE DÏLÒVES RENCONTRANT LES ATTENTES DE LEURS
ENSEIGNANTS 0AR CONTRASTE DANS CERTAINS PAYS Oá LA PERFORMANCE MOYENNE EST
COMPARATIVEMENT MOINS ÏLEVÏE LA GRANDE MAJORITÏ DES ÏLÒVES AFFIRME NÏANMOINS
SE MONTRER Ì LA HAUTEUR DE CE QUE LEURS ENSEIGNANTS ATTENDENT DEUX ,E FAIT
QUE LES RÏSULTATS INTERNATIONAUX DÏNOTENT DES DIFFÏRENCES SIGNIFICATIVES ENTRE
PERFORMANCES MOYENNES DES DIFFÏRENTS PAYS TEND Ì SUGGÏRER QUE LES PAYS DANS
LESQUELS LES SEUILS DATTENTES SONT FIXÏS ASSEZ BAS ET QUI RÏALISENT DES RÏSULTATS
MOYENS PLUTÙT FAIBLES POURRAIENT RELEVER LES DEUX
0ERFORMANCE EN CULTURE MATHÏMATIQUE ET EN COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT
)L NE CONVIENT PAS DE FAIRE UNE COMPARAISON DIRECTE ENTRE LES VALEURS RESPECTIVES DES iÃÊ«>ÞÃÊÌÊ`iÃÊ«ÌÃÊ
RÏSULTATS SUR LES ÏCHELLES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET DE CULTURE MATHÏMATIQUE vÀÌÃÊiÌÊ`iÃÊ«ÌÃÊv>LiÃÊ
LES RÏSULTATS MOYENS SUR LES ÏCHELLES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET DE CULTURE `>ÃÊ`vvjÀiÌÃÊ
MATHÏMATIQUE ENTRE PARENTHÒSES NE SONT INDIQUÏS QUÌ TITRE DE RÏFÏRENCE `>ið°°
#EPENDANT IL EST POSSIBLE DE DÏTERMINER LES POINTS FORTS RELATIFS DES PAYS DANS
LES DEUX DOMAINES SUR LA BASE DE LEUR POSITIONS RELATIVES DANS LE CLASSEMENT DES
ÏCHELLES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET DE CULTURE MATHÏMATIQUE )L Y A LIEU
DE GARDER Ì LESPRIT QUE CE NE SONT PAS LES PERFORMANCES DUN PAYS Ì LAUTRE
QUI SONT COMPARÏES ICI MAIS LES PERFORMANCES DUN DOMAINE Ì LAUTRE AU SEIN
DES PAYS
n ° LAUNE DE CETTE COMPARAISON LES ÏLÒVES DE #ORÏE DU $ANEMARK oViÀÌ>ÃÊ>vvV >ÌÊ`iÊ
DE LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE DE (ONGRIE iiÕÀiÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊ
DU *APON DE ,ETTONIE DU ,IECHTENSTEIN ET iÊ>Ì j>̵ÕiÃʵսiÊ
DE 3UISSE RÏALISENT DES RÏSULTATS MOYENS RELATIVEMENT MEILLEURS EN iVÌÕÀi°°°
CULTURE MATHÏMATIQUE QUEN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi
o>ÀÃʵÕiÊiÊVÌÀ>ÀiÊ n ,E #ANADA L%SPAGNE LES ³TATS
5NIS LA
iÃÌÊÛÀ>Ê«ÕÀÊ`½>ÕÌÀið &INLANDE LA 'RÒCE L)RLANDE L)TALIE
LA .ORVÒGE ET LA 3UÒDE RÏALISENT DES PERFORMANCES
RELATIVEMENT MEILLEURES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
n ,ES POINTS FORTS RELATIFS DES AUTRES PAYS SONT ESSENTIELLEMENT LES MÐMES SUR LES
DEUX ÏCHELLES DÏVALUATION
0ERFORMANCE DES ÏLÒVES EN CULTURE SCIENTIFIQUE
-ODE DÏVALUATION DE LA CULTURE SCIENTIFIQUE DANS LE 0)3!
>ÊVÕÌÕÀiÊÃViÌvµÕiÊ ° LINSTAR DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE LA PERFORMANCE EN CULTURE SCIENTIFIQUE A ÏTÏ
iÃÕÀiÊ>ÊV>«>VÌjÊ`iÃÊ ÏVALUÏE Ì LAIDE DUNE ÏCHELLE UNIQUE LORS DU CYCLE 0)3! ARTICULÏE AUTOUR DUN
jmÛiÃÊDÊÕÌÃiÀÊiÃÊ RÏSULTAT MOYEN DE POINTS ET UN ÏCART TYPE DE POINTS Oá LE RÏSULTAT DENVIRON
V>ÃÃ>ViÃÊ DEUX TIERS DES ÏLÒVES DE LENSEMBLE DES PAYS DE L/#$% SE SITUE ENTRE ET
ÃViÌvµÕiÃÊiÌÊ>LÀ`iÀÊ POINTS #ETTE ÏCHELLE PERMET DE MESURER LA CAPACITÏ DES ÏLÒVES Ì UTILISER DES CONNAIS
iÃÊ«ÀLmiÃÊ`iÊ>mÀiÊ SANCES SCIENTIFIQUES LA MAÔTRISE DE CONCEPTS SCIENTIFIQUES Ì RECONNAÔTRE DES QUESTIONS
ÃViÌvµÕio SCIENTIFIQUES ET Ì IDENTIFIER LOBJET DE RECHERCHES SCIENTIFIQUES LA COMPRÏHENSION DE
LA NATURE DUNE INVESTIGATION SCIENTIFIQUE Ì METTRE DES DONNÏES SCIENTIFIQUES EN RAP
PORT AVEC DES THÒSES ET DES CONCLUSIONS LEXPLOITATION DE PREUVES SCIENTIFIQUES ET Ì
COMMUNIQUER CES ASPECTS SCIENTIFIQUES
o>Ê`vvVÕÌjÊ`iÃÊÌ@V
iÃÊ ,ES CRITÒRES QUI DÏFINISSENT LA DIFFICULTÏ CROISSANTE DES TÊCHES SUR LÏCHELLE
jÌ>ÌÊ`jÌiÀjiÊ«>ÀÊ>Ê DÏVALUATION DE LA CULTURE SCIENTIFIQUE SONT NOTAMMENT LA COMPLEXITÏ DES CONCEPTS
V«iÝÌjÊ`iÃÊVVi«ÌÃ]Ê ABORDÏS LE VOLUME DE DONNÏES PROPOSÏES LE PROCESSUS DE RAISONNEMENT REQUIS
>ʵÕ>ÌÌjÊ`iÊ`jiÃÊ ET LE DEGRÏ DE PRÏCISION IMPOSÏ EN MATIÒRE DE COMMUNICATION ,E DEGRÏ DE
vÕÀiÃÊiÌÊiÊ«ÀViÃÃÕÃÊ DIFFICULTÏ DÏPEND ÏGALEMENT DU CONTEXTE DES INFORMATIONS DU FORMAT ET DE
`iÊÀ>ÃiiÌÊÀiµÕð LA PRÏSENTATION DES QUESTIONS ,ES TÊCHES ADMINISTRÏES LORS DU CYCLE 0)3! FONT
APPEL Ì CERTAINES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES PAR ORDRE CROISSANT DE DIFFICULTÏ
LES CONNAISSANCES OU FAITS SCIENTIFIQUES SIMPLES OU COURANTS LAPPLICATION DE
CONCEPTS ET DE QUESTIONS SCIENTIFIQUES OU UNE CONNAISSANCE DE BASE DU PRINCIPE
DE LA RECHERCHE LUTILISATION DE CONCEPTS SCIENTIFIQUES ÏLABORÏS LE PROCESSUS DE
RAISONNEMENT LA CONNAISSANCE DE MODÒLES CONCEPTUELS SIMPLES OU LANALYSE DES
PREUVES POUR EXPÏRIMENTER DES APPROCHES ALTERNATIVES
iÃÊÌ@V
iÃÊiÃÊ«ÕÃÊ n !U SOMMET DE LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIFIQUE SOIT UN RÏSULTAT DE LORDRE DE
`vvViÃÊÃVÌiÌÊ`iÃÊ POINTS LES ÏLÒVES SONT GÏNÏRALEMENT CAPABLES DE CRÏER OU DUTILISER DES
V«jÌiViÃÊ MODÒLES CONCEPTUELS POUR FAIRE DES PRÏVISIONS OU DONNER DES EXPLICATIONS
VVi«ÌÕiiÃÊ DANALYSER DES RECHERCHES SCIENTIFIQUES PAR EXEMPLE POUR COMPRENDRE LA
V«iÝiÃo MANIÒRE DONT UNE EXPÏRIENCE EST CON UE OU IDENTIFIER LA NATURE DE CE QUI EST
TESTÏ DE COMPARER DES DONNÏES POUR ÏVALUER DES POINTS DE VUE ALTERNATIFS OU
DES PERSPECTIVES DIFFÏRENTES ET ENFIN DE COMMUNIQUER DES ARGUMENTS ETOU
DES DESCRIPTIONS SCIENTIFIQUES DE MANIÒRE PRÏCISE ET DÏTAILLÏE
oiÃÊÌ@V
iÃÊÃÊ`vvViÃÊ n ,ES ÏLÒVES QUI OBTIENNENT UN RÏSULTAT DE LORDRE DE POINTS SONT CAPABLES
½iÊvÌÊ«>ÃÊÃÊ>««iÊDÊ DUTILISER DES CONCEPTS SCIENTIFIQUES POUR FAIRE DES PRÏVISIONS OU FOURNIR DES
ÕÊÀ>ÃiiÌÊ EXPLICATIONS DE RECONNAÔTRE DES QUESTIONS QUI PEUVENT ÐTRE RÏSOLUES PAR
ÃViÌvµÕiÊv`jo DES RECHERCHES SCIENTIFIQUES ETOU DE REPÏRER DES DÏTAILS IMPLIQUÏS PAR UNE
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi #(!0)42%
RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET DE SÏLECTIONNER LES INFORMATIONS PERTINENTES PARMI
DES DONNÏES POUR EN TIRER OU ÏVALUER DES CONCLUSIONS
n ,E BAS DE LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIFIQUE CORRESPOND Ì UN RÏSULTAT DE LORDRE oiÌÊiÃÊ«ÕÃÊv>ViÃÊ
DE POINTS ° CE NIVEAU LES ÏLÒVES SONT CAPABLES DE SE REMÏMORER DES `i>`iÌÊ>ÕÝÊjmÛiÃÊ
CONNAISSANCES FACTUELLES SCIENTIFIQUES SIMPLES PAR EXEMPLE DES NOMS DES `iÊÃiÊÀijÀiÀÊiÌÊ
FAITS DE LA TERMINOLOGIE ET DES RÒGLES SIMPLES ET DUTILISER DES CONNAISSANCES `½ÕÌÃiÀÊ`iÃÊ
SCIENTIFIQUES COURANTES POUR TIRER OU ÏVALUER DES CONCLUSIONS V>ÃÃ>ViÃÊv>VÌÕiiÃÊ
ÃViÌvµÕiÃÊëið
,E CADRE CONCEPTUEL DÏFINISSANT LÏVALUATION DE LA CULTURE SCIENTIFIQUE DU 0)3!
EST EXPOSÏ DANS -ESURER LES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES DES ÏLÒVES n 5N NOUVEAU CADRE
DÏVALUATION /#$% A
$ANS LES PAYS DE L/#$% EN MOYENNE LES POUR CENT DÏLÒVES AYANT RÏALISÏ LES
MEILLEURES PERFORMANCES Ì LÏVALUATION 0)3! ONT OBTENU UN RÏSULTAT DE POINTS
ALORS QUILS ÏTAIENT POUR CENT Ì RÏALISER UN RÏSULTAT DE POINTS ET POUR CENT
Ì ATTEINDRE POINTS ° LEXTRÏMITÏ INFÏRIEURE PLUS DE TROIS QUARTS ONT ATTEINT UN
RÏSULTAT DAU MOINS POINTS PLUS DE POUR CENT ONT OBTENU UN RÏSULTAT DE
POINTS ET PLUS DE POUR CENT ONT ATTEINT POINTS TABLEAU
,ES TÊCHES UTILISÏES PAR LE 0)3! POUR ÏVALUER LA CULTURE SCIENTIFIQUE VARIENT iÃÊjmÛiÃÊÌÊ«>ÀÊ
GRANDEMENT ,A FIGURE DÏCRIT LES TÊCHES ASSOCIÏES Ì LUNE DES UNITÏS iÝi«iÊjÌjÊÃÊiÊ
ADMINISTRÏES AUX ÏLÒVES LORS DU CYCLE 0)3! ET EXPLIQUE LES CRITÒRES APPLIQUÏS «ÀjÃiViÊ`½ÕÊ«ÀLmiÊ
POUR CODER LES RÏPONSES DES ÏLÒVES UN JEU PLUS COMPLET DE TÊCHES EST DISPONIBLE iÝ«jÀiÌ>Ê>ÕµÕiÊvÕÌÊ
SUR WWWPISAOECDORG ,UNITÏ CITÏE EN EXEMPLE FAIT RÏFÏRENCE Ì DES RECHERCHES VvÀÌjÊÕÊÃViÌvµÕiÊ
SUR LES CAUSES DE LA FIÒVRE PUERPÏRALE QUE 3EMMELWEIS A ENTREPRISES PARCE QUIL `ÕÊ88iÊÃmVio
ÏTAIT FRAPPÏ PAR LE TAUX DE MORTALITÏ EXCEPTIONNELLEMENT ÏLEVÏ PROVOQUÏ PAR CETTE
AFFECTION DANS UN SERVICE DOBSTÏTRIQUE #ETTE QUESTION COMMENCE PAR PRÏSENTER
LES RECHERCHES AUX ÏLÒVES SOUS LA FORME DUN GRAPHIQUE PUIS LEUR SUGGÒRE QUE LA
FIÒVRE PUERPÏRALE POURRAIT ÐTRE PROVOQUÏE PAR DES INFLUENCES EXTRATERRESTRES OU PAR
DES CATASTROPHES NATURELLES DES IDÏES RÏPANDUES Ì LÏPOQUE DE 3EMMELWEIS QUI A
TENTÏ DE CONVAINCRE SES COLLÒGUES DENVISAGER DES EXPLICATIONS PLUS RATIONNELLES
,ES ÏLÒVES SONT INVITÏS Ì ESSAYER DE SE METTRE DANS LA PEAU DE 3EMMELWEIS ET
Ì UTILISER LES DONNÏES QUE CELUI
CI A RECUEILLIES POUR ÏTAYER LA THÒSE QUE LES
TREMBLEMENTS DE TERRE CONSTITUENT UNE CAUSE IMPROBABLE DE CETTE FIÒVRE ,E
GRAPHIQUE MONTRE UNE VARIATION DU TAUX DE MORTALITÏ AU FIL DU TEMPS LA PREMIÒRE
SALLE DOBSTÏTRIQUE AFFICHANT SYSTÏMATIQUEMENT UN TAUX SUPÏRIEUR Ì LA SECONDE
SALLE 3I LES TREMBLEMENTS DE TERRE ÏTAIENT LA CAUSE DE LA FIÒVRE PUERPÏRALE LE
TAUX DE MORTALITÏ DEVRAIT ÐTRE SIMILAIRE DANS LES DEUX MATERNITÏS ,E GRAPHIQUE
SUGGÒRE QUE CEST UN ÏLÏMENT LIÏ AUX DEUX SERVICES QUI EXPLIQUE LA DIFFÏRENCE
,A FIGURE PRÏSENTE UNE PARTIE DES CRITÒRES APPLIQUÏS POUR CODER LES RÏPONSES
DES ÏLÒVES Ì CETTE QUESTION
0OUR OBTENIR LE CRÏDIT TOTAL ASSOCIÏ Ì LA QUESTION DE CETTE UNITÏ LES ÏLÒVES o>ÊÌ@V
iÊ>Ê«ÕÃÊ`vvVi]ʵÕiÊ
DOIVENT FAIRE RÏFÏRENCE Ì LIDÏE QUE LE TAUX DE MORTALITÏ RESTERAIT SIMILAIRE DANS ÃiÕiÊÕiÊÀÌjÊ`½jmÛiÃÊ>Ê«ÕÊ
LES DEUX MATERNITÏS SI LA FIÒVRE ÏTAIT CAUSÏE PAR DES TREMBLEMENTS DE TERRE ,E iiÀÊDÊLi]ÊiÕÀÊ`i>`>ÌÊ
CRÏDIT TOTAL DE CETTE QUESTION SÏLÒVE Ì POINTS SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIEN
`½jÛ>ÕiÀÊ`iÃÊ«ÀiÕÛiÃÊiÌÊ`iÊv>ÀiÊ
TIFIQUE ,ES ÏLÒVES DONT LE RÏSULTAT ATTEINT POINTS DOIVENT THÏORIQUEMENT ÐTRE `iÃÊvjÀiViÃo
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi
}ÕÀiÊΰ{
%XEMPLES DgITEMS SCIENTIFIQUES UTILISÏS DANS 0)3!
*/52.!, $% 3%--%,7%)3
4%84%
i *UILLET ,A SEMAINE PROCHAINE JE PRENDRAI MON SERVICE EN TANT QUE h (ERR $OKTOR v Ì LA 0REMIÒRE SALLE DE LA
MATERNITÏ DE Lg(ÙPITAL GÏNÏRAL DE 6IENNE *gAI ÏTÏ EFFRAYÏ QUAND JgAI APPRIS LE POURCENTAGE DE PATIENTES QUI MEURENT DANS
CETTE CLINIQUE 0AS MOINS DE MÒRES SUR Y SONT MORTES CE MOIS
CI TOUTES DE FIÒVRE PUERPÏRALE $ONNER NAISSANCE Ì
UN ENFANT EST AUSSI DANGEREUX QUgUNE PNEUMONIE DE TYPE w
.OMBRE DE DÏCÒS DUS Ì LA FIÒVRE PUERPÏRALE POUR ACCOUCHEMENTS
.OMBRE DE DÏCÒS
Óä #ES LIGNES TIRÏES DU JOURNAL Dg)GNAZ
3EMMELWEIS
ILLUSTRENT
LES EFFETS DÏVASTATEURS DE LA FIÒVRE
PUERPÏRALE UNE MALADIE CONTAGIEUSE
£x
QUI TUAIT DE NOMBREUSES FEMMES APRÒS
LEUR ACCOUCHEMENT 3EMMELWEIS A
RECUEILLI DES DONNÏES RELATIVES AU NOMBRE
DE DÏCÒS DUS Ì LA FIÒVRE PUERPÏRALE DANS
£ä
0REMIÒRE SALLE LA 0REMIÒRE ET LA $EUXIÒME SALLE DE LA
MATERNITÏ VOIR GRAPHIQUE
Êx
$EUXIÒME SALLE
ä
£n{£ £n{Ó £n{Î £n{{ £n{x £n{È
!NNÏES
,ES MÏDECINS ET PARMI EUX 3EMMELWEIS NE SAVAIENT PRATIQUEMENT RIEN SUR LA CAUSE DE LA FIÒVRE PUERPÏRALE 6OICI UN NOUVEL
EXTRAIT DU JOURNAL DE 3EMMELWEIS
i $ÏCEMBRE 0OURQUOI TANT DE FEMMES MEURENT ELLES DE CETTE FIÒVRE APRÒS UN ACCOUCHEMENT SANS LA MOINDRE
COMPLICATION $EPUIS DES SIÒCLES LA SCIENCE NOUS DIT QUgIL SgAGIT DgUNE ÏPIDÏMIE INVISIBLE QUI DÏCIME LES MÒRES ,ES CAUSES
POURRAIENT ÐTRE UNE ALTÏRATION DE LgAIR QUELQUE INFLUENCE EXTRATERRESTRE OU UN MOUVEMENT DE LA 4ERRE ELLE MÐME COMME
UN TREMBLEMENT DE TERRE w
$E NOS JOURS PEU DE GENS ENVISAGERAIENT ENCORE UNE INFLUENCE EXTRATERRESTRE OU UN TREMBLEMENT DE TERRE COMME CAUSES
POSSIBLES DgUNE FIÒVRE ° PRÏSENT NOUS SAVONS QUgELLE EST LIÏE AUX CONDITIONS DgHYGIÒNE -AIS Ì LgÏPOQUE Oá VIVAIT 3EMMELWEIS
DE NOMBREUSES PERSONNES Y CROYAIENT Y COMPRIS DES SAVANTS 4OUTEFOIS 3EMMELWEIS SAVAIT QUgIL ÏTAIT PEU PROBABLE QUE
LA FIÒVRE PUISSE ÐTRE PROVOQUÏE PAR UNE INFLUENCE EXTRATERRESTRE OU UN TREMBLEMENT DE TERRE )L A MIS EN AVANT LES DONNÏES
QUgIL AVAIT RECUEILLIES VOIR GRAPHIQUE ET SgEN EST SERVI POUR TENTER DE CONVAINCRE SES CONFRÒRES
*/52.!, $% 3%--%,7%)3
4%84%
5NE PARTIE DES RECHERCHES MENÏES DANS CET HÙPITAL CONCERNAIT LA DISSECTION ,E CORPS DgUNE PERSONNE DÏCÏDÏE ÏTAIT OUVERT
DANS LE BUT DE DÏCOUVRIR LA CAUSE DU DÏCÒS 3EMMELWEIS RAPPORTE QUE LES ÏTUDIANTS QUI TRAVAILLAIENT DANS LA 0REMIÒRE SALLE
PARTICIPAIENT GÏNÏRALEMENT AUX SÏANCES DE DISSECTION DES FEMMES QUI ÏTAIENT MORTES LE JOUR PRÏCÏDENT AVANT DgALLER
EXAMINER LES FEMMES QUI VENAIENT JUSTE DgACCOUCHER )LS NE PRENAIENT PAS VRAIMENT LA PEINE DE SE LAVER APRÒS LES DISSECTIONS
#ERTAINS ÏTAIENT MÐME FIERS QUgON PUISSE REPÏRER Ì LEUR ODEUR QUgILS AVAIENT TRAVAILLÏ Ì LA MORGUE CAR CELA DÏMONTRAIT Ì
QUELS POINTS ILS ÏTAIENT ZÏLÏS
5N AMI DE 3EMMELWEIS MOURUT APRÒS SgÐTRE COUPÏ PENDANT UNE DE CES SÏANCES DE DISSECTION ,gAUTOPSIE DE SON CORPS RÏVÏLA LES
MÐMES SYMPTÙMES QUE CEUX DES MÒRES EMPORTÏES PAR LA FIÒVRE PUERPÏRALE #ELA DONNA Ì 3EMMELWEIS UNE NOUVELLE IDÏE
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi #(!0)42%
$)&&)#5,4³
$% ,! 4®#(%
15%34)/.
PLUS ÏLEVÏE
*/52.!, $% 3%--%,7%)3 #ODE
-ETTEZ
VOUS Ì LA PLACE DE n 2ÏPONSES FAISANT RÏFÏRENCE Ì LA DIFFÏRENCE DANS
3EMMELWEIS %N VOUS FONDANT SUR LE NOMBRE DE DÏCÒS POUR ACCOUCHEMENTS
LES DONNÏES RECUEILLIES PAR RELEVÏS DANS LES DEUX SALLES
3EMMELWEIS DONNEZ UNE RAISON
DE PENSER QUE LA FIÒVRE PUERPÏRALE
NgEST PROBABLEMENT PAS PROVOQUÏE
PAR DES TREMBLEMENTS DE TERRE
#ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES DE METTRE EN
RELATION LES DONNÏES PRÏSENTÏES COMME DES FAITS
AFIN DgÏVALUER LES PERSPECTIVES POSSIBLES
#ODE
n 2ÏPONSES FAISANT RÏFÏRENCE AU FAIT QUE LES
TREMBLEMENTS DE TERRE NE SE PRODUISENT PAS SOUVENT
#ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES DgUTILISER UN FAIT
n 2ÏPONSES FAISANT RÏFÏRENCE AU FAIT QUE LES TREMBLEMENTS SCIENTIFIQUE POUR METTRE EN RELATION DE FA ON
DE TERRE AURAIENT AUSSI UNE INFLUENCE SUR LES PERSONNES SYSTÏMATIQUE DES DONNÏES AVEC DES CONCLUSIONS
Ì LgEXTÏRIEUR DES SALLES DgACCOUCHEMENT POSSIBLES EN UTILISANT UNE CHAÔNE DE RAISONNEMENT
n 2ÏPONSES FAISANT RÏFÏRENCE Ì LgIDÏE QUE QUAND IL SE QUI NgEST PAS FOURNIE AUX ÏLÒVES
PRODUIT UN TREMBLEMENT DE TERRE LES HOMMES NE
CONTRACTENT PAS LA FIÒVRE PUERPÏRALE
MOYENNE
15%34)/.
n #HOIX MULTIPLE #ODE
*/52.!, $% 3%--%,7%)3 n " ,ES BACTÏRIES DEVIENNENT RÏSISTANTES AUX
$E NOMBREUSES MALADIES PEUVENT ANTIBIOTIQUES
ÐTRE SOIGNÏES PAR LES ANTIBIOTIQUES
4OUTEFOIS LgEFFICACITÏ DE CERTAINS
ANTIBIOTIQUES CONTRE LA FIÒVRE
PUERPÏRALE A DIMINUÏ CES
DERNIÒRES ANNÏES #ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES DgALLER AU
DELÌ
0OUR QUELLE RAISON DE LgEXEMPLE HISTORIQUE ET FAIT APPEL Ì DES
CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES GÏNÏRALES AFIN DE
15%34)/. FOURNIR UNE EXPLICATION Ì UN PHÏNOMÒNE
n #HOIX MULTIPLE #ODE
SCIENTIFIQUE %LLE DEMANDE AUX ÏLÒVES DgUTILISER
*/52.!, $% 3%--%,7%)3 n ! 3I ON EXIGEAIT QUE LES ÏTUDIANTS SE LAVENT LES CONCEPTS SCIENTIFIQUES PLUTÙT QUE LE SAVOIR
APRÒS LES SÏANCES DE DISSECTION CELA DEVRAIT SCIENTIFIQUE POUR GÏNÏRER DES EXPLICATIONS
,A NOUVELLE IDÏE DE 3EMMELWEIS
EST EN RELATION AVEC LE POURCENTAGE PROVOQUER UN RECUL DE LA FIÒVRE PUERPÏRALE
#ETTE TÊCHE DEMANDE AUX ÏLÒVES DE FAIRE RÏFÏRENCE
ÏLEVÏ DE FEMMES QUI MEURENT DANS Ì DES DONNÏES ET INFORMATIONS POUR TIRER UNE
LES SALLES DE MATERNITÏ ET LE CONCLUSION
COMPORTEMENT DES ÏTUDIANTS
1UELLE EST CETTE IDÏE
#ETTE TÊCHE REQUIERT DES ÏLÒVES QUgILS APPLIQUENT
15%34)/. DES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES COURANTES SELON
LESQUELLES LA CHALEUR TUE LES BACTÏRIES DE FA ON Ì
PLUS PETITE
*/52.!, $% 3%--%,7%)3 #ODE
EXPLIQUER POURQUOI CE PROCÏDÏ EST EFFICACE
,ES EFFORTS DÏPLOYÏS PAR 3EMMELWEIS n 2ÏPONSES FAISANT RÏFÏRENCE Ì LgACTION DE TUER LES
POUR RÏDUIRE LE NOMBRE DE DÏCÒS DUS BACTÏRIES
Ì LA FIÒVRE PUERPÏRALE ONT ÏTÏ n 2ÏPONSES FAISANT RÏFÏRENCE Ì LgACTION DE TUER DES
COURONNÏS DE SUCCÒS 4OUTEFOIS MICRO
ORGANISMES DES MICROBES OU DES VIRUS
MÐME AUJOURDgHUI LA FIÒVRE n 2ÏPONSES FAISANT RÏFÏRENCE Ì LgACTION DgENLEVER
PUERPÏRALE DEMEURE UNE MALADIE ET NON DE TUER LES BACTÏRIES
EXTRÐMEMENT DIFFICILE Ì ÏLIMINER n 2ÏPONSES FAISANT RÏFÏRENCE Ì LgACTION DgENLEVER
,ES FIÒVRES DIFFICILES Ì GUÏRIR RESTENT ET NON DE TUER DES MICRO
ORGANISMES DES MICROBES
UN PROBLÒME DANS LES HÙPITAUX $E OU DES VIRUS
NOMBREUSES MESURES DE ROUTINE SONT n 2ÏPONSES FAISANT RÏFÏRENCE Ì LA STÏRILISATION DES DRAPS
PRISES POUR MAÔTRISER CE PROBLÒME
5NE DE CES MESURES CONSISTE Ì LAVER
LES DRAPS DES LITS Ì DES TEMPÏRATURES
TRÒS ÏLEVÏES
%XPLIQUEZ POURQUOI LE LAVAGE DES
DRAPS Ì HAUTE TEMPÏRATURE PERMET
DE RÏDUIRE LE RISQUE DE VOIR LES
PATIENTS CONTRACTER LA FIÒVRE
0OUR UNE LISTE COMPLÒTES DES QUESTIONS VOIR WWWPISAOECDORG
3OURCE 0)3!/#$%
3EUILS BASÏS SUR 02 VOIR ENCADRÏ
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi
CAPABLES DE RÏPONDRE CORRECTEMENT Ì TOUTE QUESTION DE CE NIVEAU DE DIFFICULTÏ
FOIS SUR VOIR ÏGALEMENT LENCADRÏ %N MOYENNE POUR CENT DES
ÏLÒVES ONT RÏPONDU CORRECTEMENT Ì CETTE QUESTION DANS LES PAYS DE L/#$% VOIR
WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES #ERTAINS ÏLÒVES NONT PAS FAIT RÏFÏRENCE AUX
RÏSULTATS DES RECHERCHES DE 3EMMELWEIS MAIS Ì UNE CARACTÏRISTIQUE DES TREMBLE
MENTS DE TERRE EXPLIQUANT POURQUOI IL EST IMPROBABLE QUILS SOIENT LA CAUSE DE
LA FIÒVRE PUERPÏRALE NOTAMMENT LE FAIT QUILS SONT RARES ET QUE CETTE FIÒVRE
ÏTAIT PRÏSENTE EN PERMANENCE $AUTRES ÏLÒVES ONT RÏPONDU PAR DES OBSERVATIONS
ORIGINALES ET JUSTIFIABLES TELLES QUE i 3I LES TREMBLEMENTS DE TERRE SONT LA CAUSE DE
LA MALADIE POURQUOI FRAPPE
T
ELLE UNIQUEMENT LES FEMMES ET PAS LES HOMMES w
OU i $ANS CE CAS LES FEMMES QUI NE FRÏQUENTENT PAS LES MATERNITÏS EN SOUFFRI
RAIENT AUSSI w #ES ÏLÒVES ONT OBTENU UN RÏSULTAT PARTIEL BIEN QUE LON PUISSE
LEUR REPROCHER DE NAVOIR PAS PRIS EN CONSIDÏRATION LES DONNÏES QUE 3EMMELWEIS
A RECUEILLIES AINSI QUE LE LEUR DEMANDAIT LA QUESTION %N EFFET LEURS RÏPONSES
DÏMONTRENT QUILS SONT CAPABLES DUTILISER DES FAITS SCIENTIFIQUES POUR FORMULER UNE
CONCLUSION %N MOYENNE POUR CENT DES ÏLÒVES ONT OBTENU UN RÏSULTAT PARTIEL Ì
CETTE QUESTION DANS LES PAYS DE L/#$% VOIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
oÌ>`ÃʵÕiÊiÃÊ ,A QUESTION DE LA MÐME UNITÏ DEMANDE AUX ÏLÒVES DIDENTIFIER LIDÏE LA PLUS PERTINENTE
µÕiÃÌÃÊiÃÊ«ÕÃÊv>ViÃÊ DE 3EMMELWEIS POUR RÏDUIRE LINCIDENCE DE LA FIÒVRE PUERPÏRALE 0OUR CE FAIRE LES
iÕÀÊ`i>`>iÌÊ`iÊ ÏLÒVES DOIVENT RÏUNIR DEUX FRAGMENTS DINFORMATION PERTINENTS SITUÏS DANS LE TEXTE LE
ÀiiÀÊ`iÃÊvÀ>ÌÃÊ COMPORTEMENT DUN ÏTUDIANT EN MÏDECINE ET LE DÏCÒS DUN AMI DE 3EMMELWEIS
v}ÕÀ>ÌÊ`>ÃÊiÊÌiÝÌi°°° ATTEINT DE FIÒVRE PUERPÏRALE APRÒS QUE LÏTUDIANT DISSÒQUE UN CADAVRE #ETTE QUESTION
ILLUSTRE LE NIVEAU MOYEN DE PERFORMANCE SOIT POINTS %LLE DEMANDE AUX ÏLÒVES
DE FAIRE RÏFÏRENCE Ì DES DONNÏES OU Ì DES INFORMATIONS POUR TIRER UNE CONCLUSION ET
PERMET DE DÏTERMINER DANS QUELLE MESURE ILS COMPRENNENT LA NATURE DES RECHERCHES
SCIENTIFIQUES %N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% POUR CENT DES ÏLÒVES ONT
RÏPONDU CORRECTEMENT Ì CETTE QUESTION CAR ILS ONT CHOISI LOPTION INDIQUANT QUE
LINCIDENCE DE LA FIÒVRE PUERPÏRALE DEVRAIT DIMINUER SI LES ÏTUDIANTS EN MÏDECINE SE
LAVAIENT APRÒS UNE DISSECTION
o`iÊv>ÀiÊ>««iÊDÊ`iÃÊ !UJOURDHUI LA PLUPART DES GENS SONT CONSCIENTS QUE LES MICROBES PEUVENT
V>ÃÃ>ViÃÊ PROVOQUER DES MALADIES ET QUILS PEUVENT ÐTRE ÏLIMINÏS PAR LA CHALEUR #EPENDANT
ÃViÌvµÕiÃÊVÕÀ>ÌiÃo IL EST POSSIBLE QUE NOMBRE DENTRE EUX NE RÏALISENT PAS QUE LES PROCÏDURES
DE ROUTINE APPLIQUÏES PAR LES HÙPITAUX POUR RÏDUIRE LES RISQUES DE FIÒVRES ET
DAUTRES AFFECTIONS SONT BASÏES SUR CE CONSTAT ,A QUESTION DE LUNITÏ DEMANDE
AUX ÏLÒVES DAPPLIQUER DES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES COURANTES NOTAMMENT
QUE LA CHALEUR TUE LES BACTÏRIES POUR EXPLIQUER EN QUOI CES PROCÏDURES SONT
EFFICACES #ETTE QUESTION PRÏSENTE UN DEGRÏ DE DIFFICULTÏ FAIBLE Ì MODÏRÏ DE
POINTS SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIFIQUE %N MOYENNE DANS LES PAYS DE
L/#$% POUR CENT DES ÏLÒVES ONT OBTENU UN CRÏDIT TOTAL Ì CETTE QUESTION Ì
RÏPONSE OUVERTE POUR Y AVOIR RÏPONDU CORRECTEMENT
oiÌÊ`½>««µÕiÀÊ`iÃÊ %NFIN LA QUESTION DÏPASSE LE CADRE DE LEXEMPLE HISTORIQUE %LLE DEMANDE
VVi«ÌÃÊÃViÌvµÕiÃÊ AUX ÏLÒVES DE FAIRE APPEL Ì DES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES GÏNÏRALES POUR
>vÊ`iÊvÕÀÀÊÕiÊ EXPLIQUER UN PHÏNOMÒNE SCIENTIFIQUE %LLE INVITE LES ÏLÒVES Ì EXPLIQUER POUR
iÝ«V>Ì° QUOI LES ANTIBIOTIQUES ONT PERDU DE LEUR EFFICACITÏ AU FIL DU TEMPS 0OUR RÏPONDRE
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi #(!0)42%
CORRECTEMENT LES ÏLÒVES DEVAIENT ÐTRE CONSCIENTS QUE LADMINISTRATION FRÏQUENTE
ET PROLONGÏE DANTIBIOTIQUES DONNE NAISSANCE Ì DES SOUCHES DE BACTÏRIES QUI
RÏSISTENT AUX EFFETS INITIALEMENT LÏTAUX DES ANTIBIOTIQUES #ETTE QUESTION PRÏSENTE
UN NIVEAU MODÏRÏ DE DIFFICULTÏ SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIFIQUE POINTS
CAR ELLE DEMANDE AUX ÏLÒVES DAPPLIQUER DES CONCEPTS SCIENTIFIQUES ET NON DES
CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES COURANTES CE QUI REPRÏSENTERAIT UN NIVEAU MOINDRE
DE DIFFICULTÏ POUR FORMULER DES EXPLICATIONS %N MOYENNE DANS LES PAYS DE
L/#$% POUR CENT DES ÏLÒVES ONT RÏPONDU CORRECTEMENT Ì CETTE QUESTION CAR
PARMI LES OPTIONS DE LA QUESTION Ì CHOIX MULTIPLE ILS ONT CHOISI CELLE QUI INDIQUE
QUE LES BACTÏRIES DEVENAIENT RÏSISTANTES AUX ANTIBIOTIQUES
0ERFORMANCE MOYENNE DES PAYS EN CULTURE SCIENTIFIQUE
° LINSTAR DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE LA PERFORMANCE EN CULTURE SCIENTIFIQUE iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊÞiÃÊ`iÃÊ
PEUT ÐTRE RÏSUMÏE PAR LES RÏSULTATS MOYENS DES PAYS FIGURE ,A #ORÏE ET «>ÞÃÊÃÕÀʽjV
iiÊ`iÊ
LE *APON AFFICHENT LES PERFORMANCES LES PLUS ÏLEVÏES SUR LÏCHELLE DE CULTURE VÕÌÕÀiÊÃViÌvµÕiÊÃÌÊ
SCIENTIFIQUE 0ARMI LES AUTRES PAYS DONT LE RÏSULTAT EST SUPÏRIEUR Ì LA MOYENNE ÀjÃÕjÃÊ`>ÃÊ
DE L/#$% DANS UNE MESURE STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE CITONS L!USTRALIE >Êv}ÕÀiÊΰx°
L!UTRICHE LE #ANADA LA &INLANDE L)RLANDE LA .OUVELLE
:ÏLANDE LA 2ÏPUBLIQUE
TCHÒQUE LE 2OYAUME
5NI ET LA 3UÒDE ,ES RÏSULTATS MOYENS RÏALISÏS EN "ELGIQUE
AUX ³TATS
5NIS EN &RANCE EN (ONGRIE EN )SLANDE EN .ORVÒGE ET EN 3UISSE NE
DIFFÒRENT PAS DE LA MOYENNE DE L/#$% DANS UNE MESURE SIGNIFICATIVE
#ERTAINS PAYS ONT DES RÏSULTATS MOYENS SIGNIFICATIVEMENT PLUS ÏLEVÏS QUE LA
MOYENNE DE L/#$% DANS LES TROIS DOMAINES L!USTRALIE L!UTRICHE LE #ANADA LA
#ORÏE LA &INLANDE LE *APON LA .OUVELLE
:ÏLANDE LE 2OYAUME
5NI ET LA 3UÒDE
2ÏPARTITION DE LA CULTURE SCIENTIFIQUE DANS LES PAYS
,A FIGURE PRÏSENTE LA RÏPARTITION DES RÏSULTATS SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIFIQUE
iÀÌ>ÃÊ«>ÞÃÊ>ÃÃViÌÊ
SOUS LA MÐME FORME QUE LA FIGURE %N OUTRE LE TABLEAU FOURNIT UNE ÕiÊÞiiÊjiÛjiÊiÊ
INDICATION SUR LA PROPORTION DE CETTE VARIATION IMPUTABLE AUX DIFFÏRENCES ENTRE VÕÌÕÀiÊÃViÌvµÕiÊiÌÊ`iÊ
ÏTABLISSEMENTS SE RÏFÏRER AU CHAPITRE POUR LINTERPRÏTATION DE CES DONNÏES v>LiÃÊ`ë>ÀÌjð
#OMME POUR LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET LA CULTURE MATHÏMATIQUE IL Y A LIEU
DEN TIRER TROIS GRANDES CONCLUSIONS LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EST
NETTEMENT PLUS IMPORTANTE Ì LINTÏRIEUR DES PAYS QUE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE
MOYENNE ENTRE CEUX
CI LES ÏCARTS DE PERFORMANCE SONT BEAUCOUP PLUS GRANDS
DANS CERTAINS PAYS QUE DANS DAUTRES ET ENFIN IL NEXISTE PAS DE RELATION PROBANTE
ENTRE LAMPLEUR DES ÏCARTS Ì LINTÏRIEUR DES PAYS ET LEUR PERFORMANCE MOYENNE
GLOBALE TABLEAU
0ERFORMANCE EN CULTURE SCIENTIFIQUE ET EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
,A PLUPART DES PAYS SE POSITIONNENT DE MANIÒRE IDENTIQUE SUR LES ÏCHELLES iÊLÀiÕÝÊ«>ÞÃÊÃiÊ
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET DE CULTURE SCIENTIFIQUE MAIS IL EST DES EXCEP
«ÃÌiÌÊ`iÊv>XÊ
TIONS 5NE COMPARAISON DES POSITIONS RELATIVES DES PAYS DANS LE CLASSEMENT DES >>}ÕiÊiÊ
ÏCHELLES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET DE CULTURE SCIENTIFIQUE MET EN LUMIÒRE V«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ]Ê
LES ÏLÏMENTS SUIVANTS Ì CE SUJET ,ES VALEURS INDIQUÏES ENTRE PARENTHÒSES FONT iÊVÕÌÕÀiÊÃViÌvµÕiÊiÌÊ
RESPECTIVEMENT RÏFÏRENCE AUX RÏSULTATS EN LECTURE ET EN SCIENCES iÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵Õi°
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi
}ÕÀiÊΰx
#OMPARAISONS MULTIPLES DE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIFIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
&ÏD DE 2USSIE
2OYAUME 5NI
2ÏP TCHÒQUE
,IECHTENSTEIN
,UXEMBOURG
$ANEMARK
!LLEMAGNE
³TATS 5NIS
"ELGIQUE
&INLANDE
!USTRALIE
-EXIQUE
!UTRICHE
.ORVÒGE
0ORTUGAL
,ETTONIE
(ONGRIE
%SPAGNE
0OLOGNE
#ANADA
)RLANDE
)SLANDE
&RANCE
*APON
#ORÏE
'RÒCE
3UÒDE
3UISSE
"RÏSIL
)TALIE
-OYENNE
%R T
#ORÏE
*APON
&INLANDE
2OYAUME 5NI
#ANADA
.OUVELLE :ÏLANDE
!USTRALIE
!UTRICHE
)RLANDE
3UÒDE
2ÏP TCHÒQUE
&RANCE
.ORVÒGE
³TATS 5NIS
(ONGRIE
)SLANDE
"ELGIQUE
3UISSE
%SPAGNE
!LLEMAGNE
0OLOGNE
$ANEMARK
)TALIE
,IECHTENSTEIN
'RÒCE
&ÏD DE 2USSIE
,ETTONIE
0ORTUGAL
,UXEMBOURG
-EXIQUE
"RÏSIL
,IGNE SUPÏRIEURE
,IGNE INFÏRIEURE
.OTE ,ES DONNÏES ÏTANT BASÏES SUR DES ÏCHANTILLONS IL NEST PAS POSSIBLE DE RENDRE COMPTE DE LA POSITION EXACTE DU RANG DES PAYS )L EST
TOUTEFOIS POSSIBLE DE DONNER UNE FOURCHETTE DANS LAQUELLE LA MOYENNE DU PAYS EST FIABLE Ì POUR CENT
)NSTRUCTIONS
0ERFORMANCE MOYENNE SIGNIFICATIVEMENT SUPÏRIEURE AU NIVEAU
0OUR PROCÏDER Ì LA COMPARAISON IL SUFFIT DE CHOISIR UN PAYS EN ABSCISSE ET STATISTIQUE Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
DE LE COMPARER AVEC LUN DES PAYS EN ORDONNÏE ,ES SYMBOLES INDIQUENT 0AS DE DIFFÏRENCE STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE PAR RAPPORT AU PAYS EN ORDONNÏE
QUE LA PERFORMANCE MOYENNE DU PAYS EN ABSCISSE EST SIGNIFICATIVEMENT 0ERFORMANCE MOYENNE SIGNIFICATIVEMENT INFÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE
INFÏRIEURE SUPÏRIEURE OU QUIL NEXISTE PAS DE DIFFÏRENCE SIGNIFICATIVE SUR LE Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
PLAN STATISTIQUE PAR RAPPORT Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
3IGNIFICATIVEMENT SUPÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì LA MOYENNE DE L/#$%
0AS DÏCART STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF PAR RAPPORT Ì LA MOYENNE DES PAYS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE L/#$% 3IGNIFICATIVEMENT INFÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì LA MOYENNE DE L/#$%
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi #(!0)42%
}ÕÀiÊΰÈ
2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LgÏCHELLE DE LA CULTURE SCIENTIFIQUE
³CHELLE DE COMPÏTENCE ,ES BARRES GRADUÏES VONT DU E CENTILE AU E CENTILE
-OYENNE SUR LgÏCHELLE DE LA CULTURE SCIENTIFIQUE
)NTERVALLE DE CONFIANCE DE AUTOUR DE LA MOYENNE
-OYENNE DES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ
-OYENNE DES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN
-OYENNE DE Lg/#$%
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
#ORÏE
*APON
&INLANDE
#ANADA
!USTRALIE
)RLANDE
3UÒDE
&RANCE
$ANEMARK
.OUVELLE
:ÏLANDE
!UTRICHE
.ORVÒGE
)SLANDE
3UISSE
%SPAGNE
!LLEMAGNE
)TALIE
'RÒCE
-EXIQUE
,IECHTENSTEIN
"RÏSIL
³TATS
5NIS
(ONGRIE
"ELGIQUE
0OLOGNE
0ORTUGAL
,UXEMBOURG
,ETTONIE
2OYAUME
5NI
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi
oiÌÊÀ>ÀiÃÊÃÌÊiÃÊ n ,ES ÏLÒVES D!UTRICHE DE #ORÏE DE (ONGRIE
iÝVi«Ìð DU *APON DE 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE ET DU 2OYAUME
5NI RÏALISENT DES RÏSULTATS MOYENS RELATIVEMENT MEILLEURS EN
CULTURE SCIENTIFIQUE QUEN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
n ,A "ELGIQUE LE #ANADA LE $ANEMARK LA
&INLANDE L)RLANDE L)SLANDE ET L)TALIE
RÏALISENT DES PERFORMANCES RELATIVEMENT MEILLEURES EN COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT QUEN CULTURE SCIENTIFIQUE
n ,ES POSITIONS RELATIVES DES AUTRES PAYS AU CLASSEMENT SONT ESSENTIELLEMENT LES
MÐMES SUR LES DEUX ÏCHELLES DÏVALUATION
>Ê«iÀvÀ>ViÊiÊ ,A PERFORMANCE VARIE GRANDEMENT SELON LES PAYS ET CE PARTICULIÒREMENT SUR
>Ì
j>̵ÕiÃÊÛ>ÀiÊ LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE POINTS PLUS DUN ÏCART TYPE ET DEMI
`>Û>Ì>}iÊ`½ÕÊ«>ÞÃÊDÊ SÏPARENT LES DEUX PAYS AFFICHANT LES RÏSULTATS MOYENS LE PLUS ÏLEVÏ ET LE PLUS FAIBLE
½>ÕÌÀiʵսiÊiVÌÕÀi]Ê SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE TANDIS QUE POINTS SÏPARENT LE SECOND
«iÕÌkÌÀiÊ«>ÀViʵÕiÊiÃÊ DE LAVANT
DERNIER PAYS AU MÐME CLASSEMENT TABLEAU ,A VARIATION ENTRE
>Ì
j>̵ÕiÃÊÃÌÊ«ÕÃÊ PAYS DE LA PERFORMANCE MOYENNE EST QUELQUE PEU PLUS RÏDUITE EN CULTURE SCIEN
jÌÀÌiiÌÊjiÃÊ>ÕÊ TIFIQUE ET LA PLUS FAIBLE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT #E PHÏNOMÒNE POURRAIT
ÃÞÃÌmiÊ`½iÃi}iiÌ° SEXPLIQUER PAR LE FAIT QUE LAPPRENTISSAGE DES MATHÏMATIQUES ET DES SCIENCES
EST PLUS ÏTROITEMENT LIÏ AUX SYSTÒMES DENSEIGNEMENT CE QUI IMPLIQUE QUE LES
DIFFÏRENCES ENTRE LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS SONT SUSCEPTIBLES DAVOIR UN IMPACT PLUS
IMPORTANT DANS CES DOMAINES QUEN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
$ÏPENSES EN ÏDUCATION ET PERFORMANCES DES ÏLÒVES EN CULTURE
MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE
>Ê«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊ«>ÞÃÊ $ANS TOUTE COMPARAISON DU RENDEMENT DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS IL IMPORTE DE PREN
`ÌÊkÌÀiÊÌiÀ«ÀjÌjiÊ`>ÃÊ DRE EN CONSIDÏRATION LA SITUATION ÏCONOMIQUE DES PAYS ET LE VOLUME DE RESSOURCES
iÕÀÊVÌiÝÌiÊ QUILS PEUVENT CONSACRER Ì LENSEIGNEMENT #ERTAINS PAYS CONNAISSENT UNE PROSPÏ
jVµÕiÊÀiëiVÌv° RITÏ RELATIVE QUI LES AUTORISE Ì AFFECTER UN BUDGET PLUS IMPORTANT Ì LENSEIGNEMENT
TANDIS QUE DAUTRES DOIVENT COMPTER AVEC UN REVENU NATIONAL ASSEZ FAIBLE
,A FIGURE A MONTRE LA RELATION ENTRE LE PRODUIT INTÏRIEUR BRUT 0)" CORRIGÏ PAR
HABITANT ET LA PERFORMANCE MOYENNE DES ÏLÒVES DE CHAQUE PAYS 0OUR RÏALISER CETTE
COMPARAISON UNE MOYENNE DES RÏSULTATS MOYENS DE CHAQUE PAYS A ÏTÏ CALCULÏE
POUR LES TROIS DOMAINES COMPRÏHENSION DE LÏCRIT CULTURE MATHÏMATIQUE ET
CULTURE SCIENTIFIQUE ,ES VALEURS DES 0)" CORRESPONDENT AU 0)" PAR HABITANT DE
Ì PRIX COURANTS CORRIGÏ EN FONCTION DES DIFFÏRENCES DE POUVOIR DACHAT ENTRE
LES PAYS DE L/#$% TABLEAU 0OUR LES PAYS DE L/#$% DONT LES DONNÏES
COMPARABLES FIGURENT DANS TOUTES LES COLONNES DU TABLEAU LA FIGURE COMPORTE
ÏGALEMENT UNE DROITE DE TENDANCE QUI RÏSUME LA RELATION ENTRE LE 0)" PAR HABITANT
ET LA PERFORMANCE MOYENNE DES ÏLÒVES DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION )L Y A
LIEU DE GARDER Ì LESPRIT QUE LE NOMBRE DE PAYS QUI ENTRENT DANS CETTE COMPARAISON
EST RELATIVEMENT RESTREINT ET QUE PAR CONSÏQUENT LA DROITE DE TENDANCE EST FORTE
MENT AFFECTÏE PAR LES PAYS INCLUS DANS CETTE COMPARAISON
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi #(!0)42%
}ÕÀiÊΰÇ>
0ERFORMANCES DES ÏLÒVES ET REVENU NATIONAL
2ELATION ENTRE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT DE CULTURE MATHÏMATIQUE
ET SCIENTIFIQUE ET LE 0)" PAR HABITANT EN DOLLARS ³5 CONVERTIS Ì LgAIDE DES PARITÏS DE POUVOIR DgACHAT 00!
0AYS DE Lg/#$% 0AYS NON MEMBRES DE Lg/#$%
#ORÏE *APON
&INLANDE
2OYAUME 5NI !USTRALIE
!UTRICHE )RLANDE
3UÒDE
3UISSE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE &RANCE
"ELGIQUE .ORVÒGE
(ONGRIE ,IECHTENSTEIN $ANEMARK ²TATS 5NIS
&ÏDÏRATION 0OLOGNE %SPAGNE !LLEMAGNE
DE 2USSIE
'RÒCE 0ORTUGAL )TALIE
,ETTONIE
-EXIQUE
"RÏSIL
0)" PAR HABITANT DOLLARS ³5 CONVERTIS Ì LgAIDE DES 00!
}ÕÀiÊΰÇL
0ERFORMANCES DES ÏLÒVES ET DÏPENSES PAR ÏLÒVES
2ELATION ENTRE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT DE CULTURE MATHÏMATIQUE
ET SCIENTIFIQUE ET LES DÏPENSES CUMULÏES AU TITRE DES ÏTABLISSEMENTS DgENSEIGNEMENT JUSQUgÌ LgÊGE DE ANS
EN DOLLARS ³5 CONVERTIES Ì LgAIDE DES PARITÏS DE POUVOIR DgACHAT 00!
0AYS DE Lg/#$% 0AYS NON MEMBRES DE Lg/#$%
&INLANDE
#ORÏE *APON
!USTRALIE
2OYAUME 5NI
3UÒDE
)RLANDE 3UISSE !UTRICHE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE "ELGIQUE
&RANCE
.ORVÒGE
²TATS 5NIS
(ONGRIE
%SPAGNE !LLEMAGNE $ANEMARK
0OLOGNE )TALIE
'RÒCE 0ORTUGAL
-EXIQUE
"RÏSIL
$ÏPENSES CUMULÏES DOLLARS ³5 CONVERTIS Ì LgAIDE DES 00!
.OTE ,A DROITE DE TENDANCE NE TIENT PAS COMPTE DES PAYS NON
MEMBRES DE Lg/#$%
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi
iÃÊ«>ÞÃʵÕÊ«ÀjÃiÌiÌÊÕÊ ,E NUAGE DE POINTS SUGGÒRE QUE LES PAYS DONT LE REVENU NATIONAL EST ÏLEVÏ ONT
ÀiÛiÕÊ«>ÀÊ
>LÌ>ÌÊjiÛjÊ TENDANCE Ì RÏALISER DE MEILLEURES PERFORMANCES SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE
Ìi`iÌ]ÊiÊÞii]Ê COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE QUE LES PAYS
DÊÀj>ÃiÀÊ`iÊiiÕÀiÃÊ DONT LE REVENU NATIONAL EST PLUS MODESTE %N RÏALITÏ CETTE RELATION INDIQUE QUE
«iÀvÀ>ViÃo POUR CENT DES ÏCARTS ENTRE RÏSULTATS MOYENS DES PAYS SONT PRÏVISIBLES SUR LA
BASE DE LEUR 0)" PAR HABITANT
o>ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃÊ ,ES PAYS QUI SONT ASSEZ PROCHES DE LA DROITE DE TENDANCE SE SITUENT LÌ Oá LA VARIABLE
>vvV
iÌÊ`iÃÊ EXPLICATIVE 0)" PAR HABITANT LES AURAIT PLACÏS #EST NOTAMMENT LE CAS DE L!UTRICHE DE
«iÀvÀ>ViÃÊÃÊÕÊ LA "ELGIQUE DE L%SPAGNE DE LA &RANCE ET DE L)RLANDE ,)RLANDE RÏALISE PAR EXEMPLE
«ÕÃÊjiÛjiÃʵÕiÊiÊiÊ DE MEILLEURES PERFORMANCES QUE L%SPAGNE DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION ET
>ÃÃ>ÌÊ«ÀjÛÀÊiÕÀÊ CE DANS UNE MESURE QUE LAISSE PRÏVOIR LA DIFFÏRENCE ENTRE LES 0)" PAR HABITANT DE CES
ÀiÛiÕÊ>Ì>o DEUX PAYS COMME LE MONTRE LA FIGURE A ,ES PAYS QUI SE SITUENT AU
DESSUS DE LA
DROITE DE TENDANCE ONT RÏALISÏ DES RÏSULTATS MOYENS AUX ÏVALUATIONS 0)3! QUI SONT
PLUS ÏLEVÏS QUE LE LAISSAIT PRÏVOIR LEUR 0)" PAR HABITANT PAR RAPPORT AU GROUPE DE PAYS
PARTICULIER SUR LA BASE DUQUEL LA CORRÏLATION A ÏTÏ ESTIMÏE %NFIN LES PAYS QUI SE SITUENT
AU
DESSOUS DE LA LIGNE DE TENDANCE AFFICHENT DES PERFORMANCES MOINS ÏLEVÏES QUE NE
LE LAISSAIT PRÏVOIR LA VARIABLE EXPLICATIVE 0)" PAR HABITANT
oViʵÕÊ`iÊDÊ«iÃiÀÊ )L EST ÏVIDENT QUE LEXISTENCE DUNE CORRÏLATION NE SIGNIFIE PAS NÏCESSAIREMENT
µÕiÊiÊÀiÛiÕÊ>Ì>Ê QUIL EXISTE UNE RELATION DE CAUSE Ì EFFET ENTRE LES DEUX VARIABLES ET IL EST
>ÊÕÊiÊ>ÛiVÊ>Ê EFFECTIVEMENT FORT PROBABLE QUE DE NOMBREUX AUTRES FACTEURS INTERVIENNENT
«iÀvÀ>ViÊÃ>ÃÊkÌÀiÊÕÊ #EPENDANT LA FIGURE A INDIQUE QUE LES PAYS DONT LE REVENU NATIONAL EST PLUS
v>VÌiÕÀÊ`jÌiÀ>Ì° ÏLEVÏ SONT AVANTAGÏS DANS UNE CERTAINE MESURE )L EST RECOMMANDÏ DE PRENDRE
CET ÏLÏMENT EN COMPTE LORS DE LINTERPRÏTATION DES PERFORMANCES RÏALISÏES PAR
LES PAYS DONT LE REVENU NATIONAL EST COMPARATIVEMENT PLUS MODESTE
iÃÊ`j«iÃiÃÊ«>ÀÊjmÛiÊ ,E 0)" PAR HABITANT EST UNE VARIABLE QUI PERMET DESTIMER LA CAPACITÏ DUN PAYS
Ài«ÀjÃiÌiÌÊÕÊ>ÕÌÀiÊ Ì FINANCER SON ENSEIGNEMENT MAIS PAS DE QUANTIFIER DIRECTEMENT LES RESSOURCES
v>VÌiÕÀo FINANCIÒRES RÏELLEMENT INVESTIES DANS LÏDUCATION ,A FIGURE B COMPARE LE BUDGET
MOYEN PAR ÏLÒVE DEPUIS LE DÏBUT DE LENSEIGNEMENT PRIMAIRE JUSQUÌ LÊGE DE
ANS ET LA PERFORMANCE MOYENNE DES ÏLÒVES POUR LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION
0OUR ESTIMER CE BUDGET LES DÏPENSES UNITAIRES PUBLIQUES ET PRIVÏES DE AU
TITRE DES ÏTABLISSEMENTS Ì CHAQUE NIVEAU DENSEIGNEMENT SONT MULTIPLIÏES PAR LA
DURÏE THÏORIQUE DES ÏTUDES Ì CHACUN DE CES NIVEAUX JUSQUÌ LÊGE DE ANS ,ES
DÏPENSES SONT EXPRIMÏES EN DOLLARS ³5 CONVERTIS Ì LAIDE DES PARITÏS DE POUVOIR
DACHAT /#$%
oµÕÊiÝ«µÕiÊÕÊ ,A FIGURE MONTRE LEXISTENCE DUNE RELATION POSITIVE ENTRE LES DÏPENSES UNITAIRES
ÃÝmiÊ`iÊ>ÊÛ>À>ÌÊ ET LA PERFORMANCE MOYENNE DES PAYS POUR LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION
iÌÀiÊ«>Þð TABLEAU ,A PROGRESSION DES DÏPENSES UNITAIRES AU TITRE DES ÏTABLISSEMENTS
DENSEIGNEMENT VA DE PAIR AVEC CELLE DE LA PERFORMANCE MOYENNE DUN PAYS #ES
DONNÏES SUGGÒRENT EN EFFET QUE POUR CENT DE LA VARIATION ENTRE PAYS DE LA PER
FORMANCE MOYENNE SONT EXPLICABLES PAR LES DÏPENSES UNITAIRES EN ÏDUCATION
½>À}iÌÊiÃÌÊ«ÀÌ>Ìo ,ÏCART PAR RAPPORT Ì LA LIGNE DE TENDANCE INDIQUE QUE DES DÏPENSES UNITAIRES
MODÏRÏES NE VONT PAS FORCÏMENT DE PAIR AVEC DES SERVICES ÏDUCATIFS MOINS
PERFORMANTS ,ES RÏSULTATS DE LA #ORÏE ET DU *APON SONT SIMILAIRES n EN MOYENNE
+ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi #(!0)42%
POUR LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION n ALORS QUE LES DÏPENSES DE LA #ORÏE
SÏLÒVENT Ì DOLLARS ³5 PAR ÏLÒVE ET CELLES DU *APON Ì DOLLARS ³5
MONTANTS CONVERTIS Ì LAIDE DES 00! $E MÐME L)RLANDE SE CLASSE NETTEMENT
MIEUX QUE L!LLEMAGNE DANS LES TROIS DOMAINES ALORS QUE SES DÏPENSES UNITAIRES
SONT INFÏRIEURES DUN QUART Ì CELLES DE L!LLEMAGNE
,A COMPARAISON SUGGÒRE PAR AILLEURS QUE BIEN QUE LES DÏPENSES AU TITRE DES o>ÃʽiÃÌÊ«>ÃʽյÕiÊ
ÏTABLISSEMENTS CONDITIONNENT LA QUALITÏ DE LENSEIGNEMENT ELLES NE SUFFISENT PAS v>VÌiÕÀʵÕÊV«Ìi°
POUR GARANTIR UN NIVEAU ÏLEVÏ DE PERFORMANCE 0ARMI LES PAYS QUI OBTIENNENT
DES RÏSULTATS INFÏRIEURS Ì CE QUE LES DÏPENSES PAR ÏLÒVE LAISSENT SUPPOSER CITONS
LE $ANEMARK LES ³TATS
5NIS LA 'RÒCE L)TALIE LE -EXIQUE ET LE 0ORTUGAL
#ONCLUSIONS
$ANS UN MONDE DE PLUS EN PLUS PLACÏ SOUS LE SIGNE DE LA TECHNOLOGIE TOUS LES iÊLÕÌʵÕiÊÌÕÃÊÃiÌÊ
ADULTES ET PAS UNIQUEMENT CEUX QUI SE DESTINENT Ì UNE CARRIÒRE SCIENTIFIQUE ÊVÕÌÛjÃÊÊiÊ
DOIVENT ÐTRE i CULTIVÏS w EN SCIENCES ET EN MATHÏMATIQUES ,ES ÏCARTS PRONONCÏS DE >Ì
j>̵ÕiÃÊiÌÊiÊ
PERFORMANCE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE QUE LANALYSE ÃViViÃÊiÃÌÊÊ`½kÌÀiÊ
EXPOSÏE DANS CE CHAPITRE RÏVÒLE INDIQUENT TOUTEFOIS QUE CE BUT EST LOIN DÐTRE >ÌÌiÌo
ATTEINT ET QUE LES PAYS DOIVENT PRENDRE EN CHARGE UN TRÒS LARGE ÏVENTAIL DE BESOINS
DE LEURS ÏLÒVES CEUX QUI RÏALISENT DES PERFORMANCES EXCEPTIONNELLEMENT HAUTES
MAIS AUSSI LES PLUS FAIBLES
0ARALLÒLEMENT NOTRE ANALYSE MONTRE QUE DES DISPARITÏS IMPORTANTES DANS LES o>ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃÊ
PERFORMANCES NE SONT PAS NÏCESSAIREMENT LE LOT DES PAYS QUI ATTEIGNENT UN >iÌÊÕiÊ«iÀvÀ>ViÊ
NIVEAU ÏLEVÏ DE PERFORMANCE GLOBALE COMME CÏTAIT ÏGALEMENT LE CAS DANS ÞiiÊjiÛjiÊiÌÊ`iÊ
LÏVALUATION DE LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT )L EST FRAPPANT DE CONSTATER QUE SIX v>LiÃÊ`ë>ÀÌjð
DES HUIT PAYS QUI PRÏSENTENT LA VARIATION INTERNE LA PLUS FAIBLE SUR LÏCHELLE DE
CULTURE MATHÏMATIQUE AFFICHENT TOUS DES RÏSULTATS QUI DU POINT DE VUE STATISTI
QUE SONT SIGNIFICATIVEMENT SUPÏRIEURS Ì LA MOYENNE DE L/#$%
"IEN QUE LA VARIATION DANS LA PERFORMANCE SOIT NETTEMENT PLUS IMPORTANTE Ì LINTÏRIEUR iÃÊ`vvjÀiViÃÊiÌÀiÊ
DES PAYS QUENTRE LES PAYS IL Y A LIEU DE NE PAS NÏGLIGER LES ÏCARTS SIGNIFICATIFS OBSERVÏS «>ÞÃÊ«ÕÀÀ>iÌ]ÊDÊ
DANS LA PERFORMANCE MOYENNE ENTRE LES PAYS %N MATHÏMATIQUES ET EN SCIENCES SUR
½>ÛiÀ]ÊV`ÌiÀÊ
TOUT CES DIFFÏRENCES PEUVENT SOULEVER DES QUESTIONS QUANT Ì LA COMPÏTITIVITÏ DES PAYS iÕÀÊV«jÌÌÛÌjÊ
DANS LA MESURE Oá ELLES DONNENT UNE IDÏE DE CE QUE SERA LA CARRIÒRE PROFESSIONNELLE DES ÀiëiVÌÛi°
ÏLÒVES %N OUTRE LES DIFFÏRENCES DANS LES PERFORMANCES RELATIVES DES PAYS POUR LES TROIS
DOMAINES DÏVALUATION POURRAIENT INDIQUER QUE DES FACTEURS SYSTÏMIQUES SIGNIFICATIFS
ONT UN IMPACT SUR LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES
,A COMPARAISON ENTRE LES DÏPENSES PAR ÏLÒVE ET LES PERFORMANCES MOYENNES DES iÃÊ`j«iÃiÃÊiÊj`ÕV>ÌÊ
ÏLÒVES NE PEUT ÐTRE INTERPRÏTÏE COMME UNE RELATION DE CAUSE Ì EFFET /N OBSERVE «ÕÃÊjiÛjiÃÊÃÌÊ>ÃÃVjiÃÊ
NÏANMOINS UNE ASSOCIATION POSITIVE ENTRE LES DEUX VARIABLES 0AR AILLEURS BIEN DÊÕiÊ«iÀvÀ>ViÊ«ÕÃÊ
QUE LES DÏPENSES AU TITRE DES ÏTABLISSEMENTS SOIENT NÏCESSAIRES ET CONDITIONNENT jiÛjiÊ>ÃÊiÊ>Ê
LA QUALITÏ DE LENSEIGNEMENT LANALYSE COMPARATIVE INDIQUE QUELLES NE SUFFISENT }>À>ÌÃÃiÌÊ«>ð
PAS POUR GARANTIR UN NIVEAU DE PERFORMANCE ÏLEVÏ %N EFFET DAUTRES FACTEURS
JOUENT UN RÙLE PRIMORDIAL NOTAMMENT LA MESURE DANS LAQUELLE LES RESSOURCES
SONT INVESTIES EFFICACEMENT DANS LENSEIGNEMENT
#(!0)42% +ÕiÃÊ>VµÕÃÊiÊ*-Ê>ÌÊÃÊiÊÕmÀiÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ£xÊ>ÃʶÊ*ÀwÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊVÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊÃViÌwµÕi
.OTES
$UN POINT DE VUE TECHNIQUE LE RÏSULTAT MOYEN CORRESPONDANT Ì LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES DES PAYS DE L/#$% A ÏTÏ lXÏ Ì
ET LÏCART TYPE Ì LES DONNÏES SONT PONDÏRÏES DE FA ON Ì RENDRE ÏQUIVALENTES LES CONTRIBUTIONS DE CHAQUE PAYS
,A PERFORMANCE DE LA 0OLOGNE EST SUSCEPTIBLE DÐTRE LÏGÒREMENT SURESTIMÏE EN RAISON DE LEXCLUSION DE POUR CENT
DÏLÒVES ÊGÏS DE ANS INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT PRIMAIRE )L EST PEU PROBABLE QUE CETTE EXCLUSION
AFFECTE SA POSITION AU CLASSEMENT SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE VOIR LANNEXE ! POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS Ì
CET ÏGARD
,A PERFORMANCE DES 0AYS
"AS NA PU ÐTRE CALCULÏE DE MANIÒRE PRÏCISE EN RAISON DUN TAUX INSUFlSANT DE RÏPONSES DES
ÏTABLISSEMENTS )L PEUT TOUTEFOIS ÐTRE AFlRMÏ AVEC CERTITUDE QUE LES 0AYS
"AS SE SITUENT ENTRE LA RE ET LA E PLACE DU CLASSEMENT
DES PAYS DE L/#$% SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE #EST LA RAISON POUR LAQUELLE LES 0AYS
"AS NAPPARAISSENT PAS SUR
LA lGURE VOIR LANNEXE ! POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS Ì CET ÏGARD
%N !LLEMAGNE EN !USTRALIE EN !UTRICHE AU #ANADA AU $ANEMARK AUX ³TATS
5NIS EN &INLANDE EN 'RÒCE EN )SLANDE
AU ,IECHTENSTEIN AU -EXIQUE EN .ORVÒGE EN .OUVELLE
:ÏLANDE AUX 0AYS
"AS AU 0ORTUGAL EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE AU
2OYAUME
5NI EN 3UÒDE ET EN 3UISSE ENTRE UNE MOITIÏ ET TROIS QUARTS DES ÏLÒVES SE SONT SERVIS DUNE CALCULATRICE LORS DE
LÏVALUATION 0)3! %N "ELGIQUE EN %SPAGNE DANS LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE EN &RANCE EN (ONGRIE EN )TALIE ET EN ,ETTONIE
ENTRE UN TIERS ET LA MOITIÏ DES ÏLÒVES ONT UTILISÏ UNE CALCULATRICE 5NE UTILISATION ENCORE MOINS INTENSIVE DE CALCULATRICES A
ÏTÏ RAPPORTÏE EN 0OLOGNE POUR CENT EN )RLANDE POUR CENT AU ,UXEMBOURG POUR CENT ET AU "RÏSIL POUR
CENT !U *APON LES ÏLÒVES NONT PAS UTILISÏ DE CALCULATRICES DU TOUT ET IL NY A PAS DINFORMATIONS Ì CE SUJET POUR LA #ORÏE
%XCEPTÏ AU "RÏSIL ET EN 'RÒCE LES ÏLÒVES QUI ONT UTILISÏ DES CALCULATRICES LORS DE LÏVALUATION ONT TENDANCE Ì RÏALISER DES
PERFORMANCES SUPÏRIEURES Ì CELLES DES ÏLÒVES QUI NE SEN SONT PAS SERVIS 4OUTEFOIS LES ÏCARTS DE PERFORMANCE SUR LÏCHELLE
DE CULTURE MATHÏMATIQUE ENTRE LES ÏLÒVES QUI ONT UTILISÏ UNE CALCULATRICE ET CEUX NEN ONT PAS UTILISÏE SONT TRÒS PROCHES
DES ÏCARTS DE PERFORMANCE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT TÊCHES POUR LESQUELLES AUCUNE OPÏRATION NUMÏRIQUE
NINTERVIENT ENTRE LES DEUX MÐMES GROUPES 0AR CONSÏQUENT IL NY A PAS DINDICATION SÏRIEUSE QUE LUTILISATION DUNE
CALCULATRICE AIT PU PROCURER UN AVANTAGE QUELCONQUE AUX ÏLÒVES PAR RAPPORT Ì LEURS PERFORMANCES DANS 0)3!
%N OUTRE LE TABLEAU FOURNIT UNE INDICATION SUR LA PROPORTION DE CETTE VARIATION IMPUTABLE AUX DIFFÏRENCES ENTRE
ÏTABLISSEMENTS 3E RÏFÏRER AU CHAPITRE POUR LINTERPRÏTATION DE CES DONNÏES
,A PROBABILITÏ RELATIVE QUAVAIENT LES PAYS DOCCUPER CHACUN DES POSITIONS DU CLASSEMENT SUR CHAQUE ÏCHELLE A ÏTÏ DÏTERMINÏE
Ì PARTIR DES SCORES MOYENS DES PAYS DE LEURS ERREURS TYPES ET DE LA COVARIANCE ENTRE LES ÏCHELLES DE PERFORMANCE DE DEUX
DOMAINES #E PROCÏDÏ PERMET DE PRÏDIRE AVEC UNE PROBABILITÏ DE POUR CENT SI UN PAYS SE DÏMARQUE DUN DOMAINE PAR
RAPPORT Ì LAUTRE DE MANIÒRE STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE EN SE POSITIONNANT PLUS HAUT OU PLUS BAS DANS UN DOMAINE QUE DANS
LAUTRE OU SIL NE DEVAIT PAS PRÏSENTER DE DIFFÏRENCES STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ENTRE LES DEUX DOMAINES 6OIR LE 2APPORT
TECHNIQUE 0)3! POUR DAVANTAGE DE DÏTAILS SUR LA MÏTHODOLOGIE
,A PERFORMANCE DE LA 0OLOGNE EST SUSCEPTIBLE DÐTRE LÏGÒREMENT SURESTIMÏE EN RAISON DE LEXCLUSION DE POUR CENT
DÏLÒVES ÊGÏS DE ANS INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT PRIMAIRE 0AR CONSÏQUENT LA PERFORMANCE DE LA
0OLOGNE SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIlQUE PEUT AVOIR ÏTÏ SURESTIMÏE DE DEUX POSITIONS AU CLASSEMENT ,A PERFORMANCE DES
ÏLÒVES AUX 0AYS
"AS NA PU ÐTRE CALCULÏE DE MANIÒRE PRÏCISE EN RAISON DUN TAUX INSUFlSANT DE RÏPONSE DES ÏTABLISSEMENTS
)L PEUT TOUTEFOIS ÐTRE AFlRMÏ AVEC CERTITUDE QUE LES 0AYS
"AS SE SITUENT ENTRE LA E ET E PLACE DU CLASSEMENT DES PAYS DE
L/#$% SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIlQUE VOIR LANNEXE ! POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS Ì CET ÏGARD
,ES ÏCARTS DE PERFORMANCE ENTRE PAYS PEUVENT ÏGALEMENT ÐTRE RÏSUMÏS EN TERMES DE VARIATION GLOBALE DES PERFORMANCES
DÏLÒVES DANS LA POPULATION DES ÏLÒVES DE L/#$% AGRÏGÏE APRÒS UNE PRISE EN CONSIDÏRATION DES DIFFÏRENCES ENTRE PAYS
#ETTE VARIATION GLOBALE SÏLÒVE Ì POUR CENT SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE POUR CENT SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET POUR CENT SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCENTIlQUE
,E #ANADA L)SLANDE LE ,UXEMBOURG ET LA .OUVELLE :ÏLANDE NE SONT PAS COMPRIS DANS CETTE COMPARAISON PARCE QUE LES
DÏPENSES EN ÏDUCATION PAR ÏLÒVE NE PEUVENT PAS ÐTRE ESTIMÏES DE MANIÒRE COMPARABLE
0OUR LES PAYS QUI FONT LOBJET DE CETTE COMPARAISON LA CORRÏLATION ENTRE LA PERFORMANCE MOYENNE RÏALISÏE PAR LES
ÏLÒVES DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION ET LE 0)" PAR HABITANT EST DE ,A VARIATION EXPLIQUÏE ICI EST LE CARRÏ DE LA
Quels acquis le PISA a-t-il mis en lumière chez les élèves de 15 ans ? Profil de performance des élèves en culture mathématique et scientifique CHAPITRE 3
corrélation. La corrélation entre les performances des élèves et le PIB par habitant peut également être calculée séparément
pour les trois domaines d’évaluation. Elle s’élève à 0.59 en compréhension de l’écrit, à 0.55 en culture mathématique et à
0.39 en culture scientifique.
11. Les dépenses cumulatives d’un pays donné sont estimées comme suit : si n(0), n(1), n(2) sont le nombre théorique d’années
pendant lesquelles un élève fréquentera les niveaux d’enseignement pré-primaire, primaire, 1er cycle du secondaire et
2e cycle du secondaire, entre l’âge de 6 et de 15 ans ; si E(0), E(1), E(2), E(3) représentent les dépenses annuelles par
élève aux niveaux d’enseignement primaire, 1er cycle du secondaire et 2e cycle du secondaire, respectivement, exprimées
en dollars ÉU ; on obtient ensuite les dépenses cumulées en multipliant les dépenses annuelles (E) par la durée théorique
de scolarisation (n) à chaque niveau d’enseignement (i) à l’aide de la formule suivante :
2
CE = ∑ n(i)* E(i)
i=0
Les estimations de la durée théorique des études n(i) se fondent sur la Classification internationale type de l’éducation
(CITE) (OCDE, 1997).
12. Pour la relation globale, la corrélation est de 0.42. Lorsqu’on considère les relations séparément, la corrélation est de 0.44
sur l’échelle combinée de compréhension de l’écrit, 0.47 sur l’échelle de culture mathématique et de 0.29 sur l’échelle de
culture scientifique.
103
#HAPITRE
,-1 //-Ê ,18Ê
Ê ½**,
/--
#(!0)42% ,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i
)NTRODUCTION
ÀõսÃÊ>V mÛiÌÊiÕÀÊ ,ORSQUILS ENTRENT Ì LÏCOLE LA PLUPART DES ENFANTS SONT PRÐTS ET DISPOSÏS Ì APPRENDRE
ÃV>ÀÌj]ÊiÃÊjmÛiÃÊ #OMMENT LES ÏTABLISSEMENTS SCOLAIRES PEUVENT ILS STIMULER ET RENFORCER CETTE
`ÛiÌÊÊÃiÕiiÌÊ PRÏDISPOSITION DE MANIÒRE Ì VEILLER Ì CE QUE LES JEUNES ADULTES LORSQUILS ACHÒVENT
>ÛÀÊ>ÃÃjÊ`iÃÊ LEUR SCOLARITÏ CONTINUENT Ì APPRENDRE TOUT AU LONG DE LEUR VIE ,A FACULTÏ DEXPLOITER
V>ÃÃ>ViÃ]Ê>ÃÊ LES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES ACQUISES EN LECTURE EN MATHÏMATIQUES ET EN
>ÕÃÃÊkÌÀiÊ«Àj«>ÀjÃÊDÊ SCIENCES EST IMPORTANTE POUR LAVENIR DES ÏLÒVES TOUT COMME LEUR CAPACITÏ ET LEUR
>««Ài`ÀiÊ`>Û>Ì>}i°°° PRÏDISPOSITION Ì APPRENDRE DAVANTAGE 3ANS ELLES LES INDIVIDUS NE POURRONT ACQUÏRIR
LES NOUVELLES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES REQUISES POUR RÏUSSIR Ì SADAPTER Ì
LÏVOLUTION DES CIRCONSTANCES DE LA VIE
oiÌÊDÊ}jÀiÀÊiÕÝkiÃÊ $ANS LES ÏTABLISSEMENTS LA PLUS GRANDE PARTIE DE LAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES
iÕÀÊ>««ÀiÌÃÃ>}i° EST ORGANISÏE PAR LES ENSEIGNANTS %T POURTANT MÐME DANS CE CADRE SCOLAIRE
LAPPRENTISSAGE BÏNÏFICIE DE LATTITUDE POSITIVE DES ÏLÒVES ET DE LEUR CAPACITÏ
Ì GÏRER EUX
MÐMES LEUR PROPRE APPRENTISSAGE !U TERME DE LEURS ÏTUDES LES
INDIVIDUS DOIVENT PRENDRE EN CHARGE EUX
MÐMES LA MAJEURE PARTIE DE CELUI
CI
0OUR CE FAIRE ILS DOIVENT ÐTRE CAPABLES DE SE FIXER DES OBJECTIFS DE PERSÏVÏRER DE
MESURER LEURS PROGRÒS DADAPTER LE CAS ÏCHÏANT LEURS STRATÏGIES DAPPRENTISSAGE
ET DE SURMONTER LES DIFFICULTÏS
iÊ*-ÊÓäääÊ>ÊÃ`jÊ ,ÏVALUATION EXHAUSTIVE DE LÏTAT ET DE LEFFICACITÏ DU SYSTÒME DENSEIGNEMENT
iÃÊjmÛiÃÊ«ÕÀÊViÀiÀÊiÕÀÊ DUN PAYS PASSE PAR LÏTUDE DES RÏSULTATS GÏNÏRAUX ET DE LA PERFORMANCE DANS LES
ÌjÀkÌ]ÊiÕÀÊi}>}iiÌÊ MATIÒRES SCOLAIRES TRADITIONNELLES ,E CYCLE 0)3! A DONC SONDÏ LES ÏLÒVES DE
ÛÃDÛÃÊ`iÊ ANS POUR DÏCOUVRIR LEURS ATTITUDES Ì LÏGARD DE LA LECTURE ET DES MATHÏMATIQUES
½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌÊiÕÀÊ ET PLUS GÏNÏRALEMENT POUR MESURER LEUR ENGAGEMENT VIS
Ì
VIS DE LAPPRENTISSAGE
V>«>VÌjÊ`½À}>ÃiÀÊiÕÀÊ ET DE LÏCOLE 0AR AILLEURS DES PAYS PARTICIPANT AU CYCLE 0)3! ONT AJOUTÏ
>««ÀiÌÃÃ>}io UNE OPTION CONCERNANT LES APPROCHES DES ÏLÒVES Ì LÏGARD DE LAPPRENTISSAGE ET
LEUR CONFIANCE EN LEURS PROPRES CAPACITÏS #E CHAPITRE REND COMPTE DES RÏSULTATS
DE CES RECHERCHES ET ÏTOFFE LE PROFIL DE COMPÏTENCE 0)3! PAR LE PROFIL DES ÏLÒVES
EN TANT QUAPPRENANTS DE ANS )L COMMENCE PAR ANALYSER LA MOTIVATION ET
LENGAGEMENT DES ÏLÒVES EN ACCORDANT UNE ATTENTION PARTICULIÒRE AUX SCHÏMAS
RÏCURRENTS DUN PAYS Ì LAUTRE POUR LINTÏRÐT DONT TÏMOIGNENT LES ÏLÒVES ENVERS LA
LECTURE LES MATHÏMATIQUES ET POUR LEUR ENGAGEMENT DANS LA SCOLARITÏ EN GÏNÏRAL
,E CHAPITRE POURSUIT PAR UNE ANALYSE SUR LA FA ON DONT LES ÏLÒVES MAÔTRISENT LE
PROCESSUS DAPPRENTISSAGE ET LES STRATÏGIES DAPPRENTISSAGE SUR LESQUELLES ILS SE
FONDENT
oiÌÊ>ÊiÝ>jÊiÃÊ 3I DANS UN CONTEXTE DAPPRENTISSAGE Ì VIE LE DÏVELOPPEMENT DE STRATÏGIES
Ài>ÌÃÊiÌÀiÊViÃÊ DAPPRENTISSAGE EFFICACES EST UN RÏSULTAT ATTENDU DE LA SCOLARITÏ CES STRATÏGIES
V>À>VÌjÀÃ̵ÕiÃÊiÌÊiÃÊ MÏRITENT INCONTESTABLEMENT DÐTRE ÏTUDIÏES POUR ELLES MÐMES %LLES ENGENDRENT
«iÀvÀ>ViÃÊ`>ÃÊiÃÊ AUSSI UNE SÏRIE DE QUESTIONS SUR LA MESURE DANS LAQUELLE DES STRATÏGIES DAPPREN
`>iÃÊ`½jÛ>Õ>ÌÊ TISSAGE EFFICACES CONDITIONNENT LA RÏUSSITE SCOLAIRE 0OUR Y RÏPONDRE LE PRÏSENT
*-° CHAPITRE PASSERA NON SEULEMENT EN REVUE LES NIVEAUX ET LA RÏPARTITION DES ATTITUDES
DES ÏLÒVES ENVERS LEUR APPRENTISSAGE ET DE LUTILISATION DE CERTAINES STRATÏGIES
IL TENTERA ÏGALEMENT DE LES METTRE EN RELATION AVEC LES RÏSULTATS AUX ÏVALUATIONS
0)3!
,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i #(!0)42%
)L EST CONCEVABLE QUE LES RELATIONS ENTRE LA PERFORMANCE ET LES APPROCHES Ì
LÏGARD DE LAPPRENTISSAGE SE RENFORCENT MUTUELLEMENT PLUTÙT QUE DÐTRE DE
NATURE CAUSALE ET Ì SENS UNIQUE
#ELA SOULÒVE DAUTRES QUESTIONS AYANT TRAIT AU SENS ET Ì LÏVENTUELLE NATURE CAU
SALE DE TELLES RELATIONS 0OUR PERTINENTES QUELLES PUISSENT ÐTRE IL DEMEURE TRÒS
DIFFICILE DY RÏPONDRE )L EST CONCEVABLE PAR EXEMPLE QUE DE BONNES PERFOR
MANCES ET ATTITUDES PAR RAPPORT Ì LAPPRENTISSAGE SE RENFORCENT MUTUELLEMENT
OU QUE LES ÏLÒVES PLUS DOUÏS NATURELLEMENT RÏALISENT Ì LA FOIS DE BELLES PERFOR
MANCES ET UTILISENT CERTAINES STRATÏGIES DAPPRENTISSAGE $ES FACTEURS TIERS PEU
VENT ÏGALEMENT INTERVENIR NOTAMMENT DES FACTEURS LIÏS AU MILIEU FAMILIAL DE
LÏLÒVE OU DES DIFFÏRENCES DANS LENVIRONNEMENT SCOLAIRE AUQUEL ILS SONT EXPO
SÏS #EST POURQUOI IL Y A LIEU DAVERTIR LE LECTEUR QUE DANS LA PARTIE CI
APRÒS
LA NATURE EXACTE DES RELATIONS DE CAUSE Ì EFFET ET LEUR IMPACT SONT INCERTAINS
ET DÏPASSENT DAILLEURS LE PROPOS DE CE RAPPORT INITIAL 0)3! 4OUTEFOIS LE FAIT
DE MONTRER QUE DE TELLES RELATIONS EXISTENT PEUT STIMULER LE DÏBAT POLITIQUE ET
ENCOURAGER DES RECHERCHES COMPLÏMENTAIRES Ì CE SUJET
,ES QUESTIONS IMPORTANTES CONCERNANT LES DIFFÏRENCES DATTITUDES DE MOTIVATION ET
DE PERCEPTION DE SOI ENTRE LES FILLES ET LES GAR ONS ONT ÏTÏ REPORTÏES AU CHAPITRE
#E RAPPORT NE LIVRE QUUNE PETITE PARTIE DES DONNÏES 0)3! SUR LAPPROCHE DES
ÏLÒVES Ì LÏGARD DE LAPPRENTISSAGE ET LEUR CONFIANCE EN LEURS PROPRES CAPACITÏS
EN LOCCURRENCE CELLES DONT LA COMPARABILITÏ INTERNATIONALE A ÏTÏ VÏRIFIÏE VOIR
ENCADRÏ 5N ÏVENTAIL PLUS VASTE DE MESURES SERA PRÏSENTÏ DANS UN RAPPORT
THÏMATIQUE EN
%NCADRÏ )NTERPRÏTATION DE LAUTOÏVALUATION DES ÏLÒVES
,A PLUPART DES MESURES PRÏSENTÏES DANS CE CHAPITRE SONT BASÏES SUR LES COMPORTEMENTS ET LES
PRÏFÏRENCES COMMUNIQUÏES PAR LES ÏLÒVES AINSI QUE SUR LEUR ÏVALUATION DE LEURS PROPRES CAPACITÏS
%LLES SONT DÏDUITES DES RÏPONSES DONNÏES PAR LES ÏLÒVES EUX
MÐMES ET NON DOBSERVATIONS EXTERNES
%LLES SONT SUSCEPTIBLES DÐTRE BIAISÏES PAR DES DIFFÏRENCES INTERCULTURELLES DANS LE COMPORTEMENT DE
RÏPONSE OU PAR LOPPORTUNITÏ SOCIALE DE CERTAINES RÏPONSES ,A PLUS GRANDE PRUDENCE EST DE RIGUEUR
DANS LES COMPARAISONS MÐME SI LES INSTRUMENTS UTILISÏS POUR ÏVALUER LES APPROCHES DES ÏLÒVES Ì
LÏGARD DE LAPPRENTISSAGE ET LEUR CONFIANCE EN LEURS PROPRES CAPACITÏS ONT ÏTÏ CON US SUR LA BASE DE
THÏORIES BIEN ÏTABLIES ET ONT ÏTÏ STRICTEMENT ÏPROUVÏS AVANT LEUR ADMINISTRATION Ì LOCCASION DU CYCLE
0)3!
#ERTAINES DE CES MESURES SONT EXPRIMÏES SOUS LA FORME DINDICES QUI RÏSUMENT LES RÏPONSES
DES ÏLÒVES AUX QUESTIONS Y AFFÏRENT #ES QUESTIONS ONT ÏTÏ SÏLECTIONNÏES DANS DES CONSTRUCTS PLUS
IMPORTANTS SUR LA BASE DE CONSIDÏRATIONS THÏORIQUES FERMEMENT ÏTABLIES ET DE RECHERCHES ANTÏRIEURES
VOIR ÏGALEMENT LANNEXE ! ,ES ÏQUATIONS STRUCTURELLES ONT ÏTÏ MODÏLISÏES POUR CONFIRMER LES
DIMENSIONS THÏORIQUES PRÏVUES ET VALIDER LEUR COMPARABILITÏ ENTRE PAYS ° CET EFFET UN MODÒLE
INDIVIDUEL A ÏTÏ PRÏPARÏ POUR CHAQUE PAYS TANDIS QUUN MODÒLE COLLECTIF A ÏTÏ CON U POUR LENSEMBLE
DES PAYS DE L/#$%
#(!0)42% ,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i
#ES INDICES ONT ÏTÏ ÏLABORÏS DE SORTE QUE DEUX TIERS DES ÏLÒVES DE L/#$% SONT SITUÏS ENTRE LES
VALEURS
ET LE SCORE MOYEN ÏTANT EN DAUTRES TERMES LA MOYENNE DE LA POPULATION COMBINÏE
DES ÏLÒVES DES PAYS PARTICIPANTS EST FIXÏE Ì ET LÏCART TYPE Ì )L Y A LIEU DE SOULIGNER QUE LES
VALEURS NÏGATIVES DUN INDICE NIMPLIQUENT PAS FORCÏMENT QUE LES ÏLÒVES ONT RÏPONDU PAR LA NÏGATIVE
AUX QUESTIONS QUI Y SONT ASSOCIÏES #ES VALEURS SIGNIFIENT UNIQUEMENT QUUN GROUPE DÏLÒVES OU
TOUS LES ÏLÒVES COLLECTIVEMENT DANS UN PAYS A RÏPONDU MOINS POSITIVEMENT QUE NE LONT FAIT EN
MOYENNE LES ÏLÒVES DE L/#$% $E MÐME LES VALEURS POSITIVES INDIQUENT QUUN GROUPE DÏLÒVES
A RÏPONDU PLUS FAVORABLEMENT OU PLUS POSITIVEMENT QUE NE LONT FAIT EN MOYENNE LES ÏLÒVES DE
L/#$% )L CONVIENT DE CONSULTER LANNEXE ! POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS Ì CET ÏGARD
-OTIVATION ET ENGAGEMENT Ë LÏGARD DE LÏCOLE
>ÊÌÛ>ÌÊiÌÊ ,A MOTIVATION ET LENGAGEMENT SONT LES i MOTEURS w DE LAPPRENTISSAGE ,ES
½i}>}iiÌÊÃÌÊiÃÊ ÏLÒVES QUI AU SORTIR DE LÏCOLE ONT UN CERTAIN SENS DE LAUTONOMIE INDISPENSA
ÊÌiÕÀÃÊÊ`iÊ BLE POUR SE FIXER DES OBJECTIFS EN MATIÒRE DAPPRENTISSAGE ET ONT LIMPRESSION
½>««ÀiÌÃÃ>}iÊÌÕÌÊ>ÕÊ QUILS SONT EN MESURE DE LES ATTEINDRE SONT SUSCEPTIBLES DE PRATIQUER LAPPRENTIS
}Ê`iÊ>ÊÛio SAGE TOUT AU LONG DE LA VIE ,A MOTIVATION ET LENGAGEMENT PEUVENT AUSSI AFFECTER
LA QUALITÏ DE VIE DES ÏLÒVES PENDANT LEUR ADOLESCENCE ET LEUR RÏUSSITE DANS LEURS
ÏTUDES ULTÏRIEURES OU DANS LEUR CARRIÒRE PROFESSIONNELLE
oiÌʽ>«ÌÌÕ`iÊDÊ 0OUR SE LIVRER Ì LAPPRENTISSAGE AUTONOME IL FAUT POUVOIR JUGER DE LA DIFFICULTÏ
½>««ÀiÌÃÃ>}iÊ DUNE TÊCHE DE MANIÒRE CRITIQUE ET RÏALISTE ET LUI CONSACRER SUFFISAMMENT DÏNER
>ÕÌiÊ«iÕÌÊkÌÀiÊ GIE POUR LA MENER Ì BIEN #ES COMPÏTENCES SONT LE PRODUIT DES HABITUDES DAP
`jÛi««jiÊiÌÊv>XjiÊ PRENTISSAGE QUI ONT ÏTÏ DÏVELOPPÏES ET FA ONNÏES AU FIL DE MULTIPLES TÊCHES
DʽjVi° SCOLAIRES ET PAR LÏVALUATION RÏGULIÒRE DU TRAVAIL SCOLAIRE PAR LENSEIGNANT !IMER
APPRENDRE ET SE LIVRER AUX ACTIVITÏS QUI ENCOURAGENT LAPPRENTISSAGE RENFORCENT
TOUS DEUX LA MOTIVATION
)NTÏRÐT POUR LA LECTURE ET LES MATHÏMATIQUES
½ÌjÀkÌÊ«ÕÀÊiÃÊ ,INTÏRÐT POUR LES DISCIPLINES ENSEIGNÏES AFFECTE LINTENSITÏ ET LA PÏRENNITÏ DE
`ÃV«iÃÊiÃi}jiÃÊ LENGAGEMENT Ì LÏGARD DE LAPPRENTISSAGE AINSI QUE LA PROFONDEUR DES ACQUIS
vÕiViʽi}>}iiÌÊDÊ #ET EFFET EST DANS UNE GRANDE MESURE INDÏPENDANT DE LA MOTIVATION GÏNÏRALE DES
½j}>À`Ê`iÊ ÏLÒVES POUR LAPPRENTISSAGE !INSI UN ÏLÒVE QUI SINTÏRESSE AUX MATHÏMATIQUES ET
½>««ÀiÌÃÃ>}i° QUI DE CE FAIT TEND Ì ÏTUDIER AVEC ZÒLE PEUT AFFICHER OU NON UN DEGRÏ ÏLEVÏ DE
MOTIVATION Ì LÏGARD DE LAPPRENTISSAGE ET INVERSEMENT #EST POURQUOI LANALYSE
DE LINTÏRÐT DES ÏLÒVES POUR LES DIFFÏRENTES MATIÒRES EST Ì CE POINT IMPORTANTE %LLE
PEUT MESURER LEFFICACITÏ DONT FONT PREUVE LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS POUR MOTIVER LES
DIVERS SOUS GROUPES DÏLÒVES Ì APPRENDRE LES DIFFÏRENTES MATIÒRES
iÃÊ>ÌÌÌÕ`iÃÊ«ÃÌÛiÃÊ 0RÒS DE LA MOITIÏ DES ÏLÒVES DE ANS SONDÏS PAR LE 0)3! SE DISENT GÏNÏRALE
ÛÃDÛÃÊ`iÊ>ÊiVÌÕÀiÊ MENT FAVORABLES Ì LA LECTURE %N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% PRÒS DE
Û>ÀiÌÊVÃ`jÀ>LiiÌÊ POUR CENT DES ÏLÒVES DÏCLARENT QUE LIRE EST AGRÏABLE ET QUILS NE VOUDRAIENT
`½ÕÊ«>ÞÃÊDʽ>ÕÌÀio PAS SEN PASSER ET POUR CENT DÏLÒVES SE DISENT i PLUTÙT DACCORD w AVEC
CETTE PROPOSITION %N OUTRE ILS SONT POUR CENT Ì PRÏTENDRE QUE LA LECTURE LES
ABSORBE TOTALEMENT ET POUR CENT Ì SE DÏCLARER i PLUTÙT DACCORD w AVEC CETTE
,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i #(!0)42%
}ÕÀiÊ{°£
)NTÏRÐT POUR LA LECTURE ET LES MATHÏMATIQUES ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
)NDICE DgINTÏRÐT POUR LA LECTURE 1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
!
)NDICE DgINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES 1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT 1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
"
0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE 1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE
! )NDICES DgINTÏRÐT POUR LA LECTURE ET LES MATHÏMATIQUES
"0ERFORMANCE SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT ET DE CULTURE MATHÏMATIQUE PAR QUARTILES DES INDICES
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
.OUVELLE
:ÏLANDE
0AYS
"AS
"ELGIQUE #OM FLAMANDE
!UTRICHE
³TATS
5NIS
!LLEMAGNE
,ETTONIE
(ONGRIE
.ORVÒGE
3UISSE
#ORÏE
3UÒDE
-EXIQUE
$ANEMARK
)TALIE
)RLANDE
)SLANDE
"RÏSIL
&INLANDE
!USTRALIE
,UXEMBOURG
0ORTUGAL
,IECHTENSTEIN
6ARIATION DE LA MOYENNE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT ET DE CULTURE MATHÏMATIQUE PAR UNITÏ
DE PROGRESSION DE LgINDICE DgINTÏRÐT POUR LA LECTURE ET DE LgINDICE DgINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR ASSURER LA COMPARABILITÏ DES DONNÏES VOIR ANNEXE !
.OTE 0OUR UNE DÏFINITION DES INDICES VOIR LANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAUX ET
#(!0)42% ,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i
AFFIRMATION 5NE VARIATION CONSIDÏRABLE SOBSERVE ENTRE LES PAYS CONCERNANT LES
RÏPONSES Ì CES QUESTIONS !INSI EN "ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FLAMANDE ET EN #ORÏE
MOINS DUN TIERS DES ÏLÒVES SE DISENT i DACCORD w OU i PLUTÙT DACCORD w AVEC LA
PROPOSITION i #OMME LIRE EST AGRÏABLE JE NE VOUDRAIS PAS MEN PASSER w ALORS
QUILS SONT AU MOINS POUR CENT Ì PARTAGER CE SENTIMENT Ì LÏGARD DE LA LECTURE AU
$ANEMARK AU -EXIQUE ET AU 0ORTUGAL VOIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
,A FIGURE COMPARE LES PAYS EN FONCTION DUN INDICE QUI RÏSUME LINTÏRÐT
POUR LA LECTURE #ET INDICE EST CALCULÏ DE SORTE QUE LA MOYENNE DES PAYS EST
ÏGALE Ì ET QUE DEUX TIERS DES ÏLÒVES SONT SITUÏS ENTRE ET
,ES VALEURS
POSITIVES DINDICE INDIQUENT QUE LES ÏLÒVES FONT ÏTAT DUN INTÏRÐT PLUS GRAND
POUR LA LECTURE QUE LA MOYENNE DE L/#$% TANDIS QUE LES VALEURS NÏGATIVES
CORRESPONDENT Ì UN INTÏRÐT MOINS GRAND QUE LA MOYENNE DE L/#$% VOIR
LANNEXE ! POUR LA DÏFINITION DE LINDICE ET LES RÏFÏRENCES AU CADRE CONCEPTUEL
DE CELUI
CI ,A PARTIE SUPÏRIEURE DE LA FIGURE MONTRE LA RÏPARTITION SELON
LINDICE DINTÏRÐT POUR LA LECTURE ,A MOITIÏ DE LÏCART TYPE SELON CET INDICE
SÏPARE LE $ANEMARK LA &INLANDE ET LE 0ORTUGAL n Oá LES ÏLÒVES MANIFESTENT UN
GRAND INTÏRÐT POUR LA LECTURE n DE LA "ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FLAMANDE ET DE LA
#ORÏE n Oá LINTÏRÐT POUR LA LECTURE EST LE PLUS FAIBLE
oiÌÊ`iÃÊ>ÌÌÌÕ`iÃÊ ,A FIGURE COMPARE AUSSI DANS CHAQUE PAYS LE NIVEAU DE COMPÏTENCE EN LECTURE
«ÃÌÛiÃÊÃÌÊ>ÃÃVjiÃÊDÊ DES ÏLÒVES CLASSÏS DANS LES QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR SELON LINDICE DINTÏRÐT
`iÊiiÕÀiÃÊ POUR LA LECTURE ,A COMPARAISON NE MONTRE PAS QUE CE SONT LES PAYS Oá LINTÏRÐT POUR
«iÀvÀ>ViÃÊDÊ LA LECTURE EST LE PLUS GRAND QUI OBTIENNENT EN MOYENNE DE MEILLEURS RÏSULTATS EN
½ÌjÀiÕÀÊ`iÃÊ«>Þð COMPRÏHENSION DE LÏCRIT !INSI DANS CERTAINS PAYS Oá LE SCORE EN COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT EST SUPÏRIEUR Ì LA MOYENNE TELS QUE L!UTRICHE ET LA #ORÏE LINTÏRÐT
POUR LA LECTURE EST RELATIVEMENT FAIBLE %N REVANCHE IL RESSORT DE LA COMPARAISON
QUE DANS LES PAYS LES ÏLÒVES QUI MANIFESTENT UN PLUS GRAND INTÏRÐT POUR LA LECTURE
ONT TENDANCE Ì RÏALISER DE MEILLEURES PERFORMANCES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
QUE CEUX QUI EXPRIMENT UN INTÏRÐT PLUS LIMITÏ %N MOYENNE LA DIFFÏRENCE DE
PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ENTRE LES ÏLÒVES
CLASSÏS DANS LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR SELON LINDICE DINTÏRÐT POUR LA
LECTURE EST CONSIDÏRABLE DE LORDRE DE POINTS CE QUI REPRÏSENTE PRÒS DUN
NIVEAU DE COMPÏTENCE ENTIER TABLEAU ° LEXTRÐME FIGURE LA &INLANDE Oá LES
ÏLÒVES DU QUARTILE LE MOINS INTÏRESSÏ PAR LA LECTURE SE SITUENT DANS LA MOYENNE DE
L/#$% POINTS ALORS QUE CEUX DU QUARTILE LE PLUS INTÏRESSÏ PAR LA LECTURE
AFFICHENT UN SCORE DE POINTS SOIT UNE DIFFÏRENCE DE POINTS
)L EST DIFFICILE DÏTABLIR LA NATURE CAUSALE DE CETTE RELATION Ì TOUT LE MOINS COMPLEXE
,INTÏRÐT POUR LES MATIÒRES ET LE RENDEMENT PEUVENT SE RENFORCER LUN LAUTRE -AIS ILS
PEUVENT ÏGALEMENT ÐTRE INFLUENCÏS PAR DAUTRES FACTEURS TELS QUE LE MILIEU SOCIAL DES
ÏLÒVES ET DES ÏTABLISSEMENTS 1UELLE QUE SOIT LA NATURE DE CETTE RELATION SUSCITER UNE
INCLINATION POUR LA LECTURE DEMEURE UN OBJECTIF PÏDAGOGIQUE IMPORTANT EN SOI
,ORS DE LA COMPARAISON ENTRE PAYS DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES CLASSÏS DANS
LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR SELON LINDICE DINTÏRÐT POUR LA LECTURE LE
LECTEUR GARDERA Ì LESPRIT QUE CES DEUX QUARTILES PEUVENT FAIRE RÏFÏRENCE Ì UN
,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i #(!0)42%
NIVEAU DINTÏRÐT DIFFÏRENT DANS CHAQUE PAYS #OMME ON LE VERRA AU CHAPITRE
UNE PARTIE DE CETTE VARIATION EST IMPUTABLE AUX DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES ,E
TABLEAU MONTRE QUAU $ANEMARK EN &INLANDE EN )RLANDE ET EN 2ÏPUBLIQUE
TCHÒQUE LES ÏLÒVES DU QUARTILE SUPÏRIEUR MANIFESTENT UN INTÏRÐT POUR LA LECTURE
NETTEMENT PLUS GRAND QUE CEUX DU MÐME QUARTILE EN "ELGIQUE #OMMUNAUTÏ
FLAMANDE OU EN #ORÏE $E MÐME LÏTENDUE DES VALEURS DE LINDICE DINTÏRÐT
POUR LA LECTURE VARIE GRANDEMENT SELON LES PAYS %N )RLANDE LA VARIATION DANS
LINTÏRÐT DES ÏLÒVES POUR LA LECTURE EST PLUS GRANDE QUAU -EXIQUE 0OUR RENDRE
COMPTE DE CES DIFFÏRENCES ET POUR ÏVALUER LIMPACT RELATIF DE LINTÏRÐT POUR LA
LECTURE SUR LES PERFORMANCES RÏALISÏES PAR LES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT LA FIGURE INDIQUE ÏGALEMENT DANS QUELLE PROPOR
TION LAMÏLIORATION DE LA PERFORMANCE DANS CHAQUE PAYS EST ASSOCIÏE Ì UNE PRO
GRESSION DUNE SEULE UNITÏ DE LINDICE DE LINTÏRÐT POUR LA LECTURE %N !USTRALIE
ET EN 3UÒDE PAR EXEMPLE UNE PROGRESSION DUNE UNITÏ DE LINDICE DINTÏRÐT
POUR LA LECTURE EST ASSOCIÏE Ì UNE PROGRESSION DE POINTS DE LA PERFORMANCE EN
LECTURE LA MOYENNE DE L/#$% SÏLÒVE Ì POINTS
0RÒS DE LA MOITIÏ DES ÏLÒVES ÊGÏS DE ANS CONSIDÒRENT QUE LES MATHÏMATIQUES iÃÊjmÛiÃʵÕÊ
SONT IMPORTANTES )LS SONT MOINS NOMBREUX TOUTEFOIS Ì ESTIMER QUE CEST UNE VÃ`mÀiÌʵÕiÊiÃÊ
RAISON DAPPROFONDIR CETTE MATIÒRE %N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% >Ì
j>̵ÕiÃÊÃÌÊ
POUR CENT DES ÏLÒVES DÏCLARENT QUE LES MATHÏMATIQUES COMPTENT BEAUCOUP «ÀÌ>ÌiÃÊ«ÕÀÊiÕÀÊ
POUR EUX PERSONNELLEMENT TANDIS QUE POUR CENT DISENT QUELLES SONT PLUTÙT >ÛiÀÊÃÌÊÕiÊÀÌj°
IMPORTANTES POUR EUX 0AR CONTRASTE SEULS POUR CENT DES ÏLÒVES SE DÏCLARENT
i DACCORD w AVEC LA PROPOSITION i #OMME FAIRE DES MATHÏMATIQUES EST AGRÏABLE
JE NE VOUDRAIS PAS MEN PASSER w )LS SONT POUR CENT Ì TROUVER QUE CEST PLUTÙT
LE CAS MAIS POUR CENT Ì NÐTRE PAS DACCORD ET POUR CENT Ì NÐTRE i PLUTÙT
PAS DACCORD w VOIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
/UTRE LINTÏRÐT POUR LA LECTURE LA FIGURE PRÏSENTE ÏGALEMENT UNE SYNTHÒSE
DE LINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES VOIR LANNEXE ! POUR LA DÏFINITION DE
LINDICE ET LES RÏFÏRENCES AU CADRE CONCEPTUEL DE CELUI
CI 5NE VALEUR ÏLEVÏE
Ì LINDICE DINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES SIGNIFIE QUE LES ÏLÒVES SE SONT PLUS
FRÏQUEMMENT DÏCLARÏS DACCORD AVEC LES PROPOSITIONS i 1UAND JE FAIS DES MATHÏ
MATIQUES PARFOIS CELA MABSORBE TOTALEMENT w i 0OUR MOI PERSONNELLEMENT
LES MATHÏMATIQUES COMPTENT BEAUCOUP w ET i #OMME FAIRE DES MATHÏMATIQUES
EST AGRÏABLE JE NE VOUDRAIS PAS MEN PASSER w
,INDICE DINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES DONNE LIEU Ì UNE PLUS GRANDE VARIA
½ÌjÀkÌÊ«ÕÀÊiÃÊ
TION ENTRE PAYS QUE LINDICE DINTÏRÐT POUR LA LECTURE BIEN QUE LA VARIATION >Ì
j>̵ÕiÃÊÛ>ÀiÊ
DANS LES PAYS DEMEURE PLUSIEURS FOIS PLUS GRANDE QUE LA VARIATION ENTRE PAYS «ÕÃÊvÀÌiiÌÊiÌÀiÊ
TABLEAU 3ACHANT QUE LAPPRENTISSAGE DES MATHÏMATIQUES EST UN PROCESSUS «>ÞÃʵÕiʽÌjÀkÌÊ«ÕÀÊ>Ê
ESSENTIELLEMENT SCOLAIRE CONTRAIREMENT Ì LA LECTURE LAMPLEUR DE LA VARIATION iVÌÕÀi°
PEUT SUGGÏRER QUE LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS ONT UN IMPACT SUR LES ATTITUDES DES
JEUNES Ì LÏGARD DES MATHÏMATIQUES 3I DES RECHERCHES ULTÏRIEURES VENAIENT Ì
CONFIRMER CE CONSTAT IL SERAIT ÏDIFIANT POUR LA POLITIQUE DE LENSEIGNEMENT )L EST
ESSENTIEL Ì LA LUMIÒRE DE LIMPORTANCE CROISSANTE DES MATHÏMATIQUES POUR LAVE
#(!0)42% ,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i
NIR DES ÏLÒVES QUE LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS VEILLENT Ì SUSCITER CHEZ LES ÏLÒVES UN
INTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES ET QUILS RÏUSSISSENT Ì LES MOTIVER Ì POURSUIVRE
LAPPRENTISSAGE DE CETTE MATIÒRE AU TERME DE LEUR SCOLARITÏ
iÊ«ÕÀÊ>ÊiVÌÕÀi]Ê ,ES RÏSULTATS DE LANALYSE DE LA RELATION ENTRE LINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES
ÕÊv>LiÊ`i}ÀjÊ`½ÌjÀkÌÊ ET LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE SONT MITIGÏS Ì LINSTAR
`iÃÊjmÛiÃÊ«ÕÀÊiÃÊ DE CEUX PORTANT SUR LA LECTURE !INSI LE $ANEMARK ET DANS UNE MOINDRE
>Ì
j>̵ÕiÃÊ MESURE L)SLANDE ET LA .OUVELLE
:ÏLANDE MONTRENT QUUN DEGRÏ DINTÏRÐT
½«µÕiÊ«>ÃÊvÀVjiÌÊ RELATIVEMENT PRONONCÏ DES ÏLÒVES POUR LES MATHÏMATIQUES PEUT ALLER DE PAIR AVEC
ÕiÊ«iÀvÀ>ViÊ UN NIVEAU ÏLEVÏ DE PERFORMANCE EN MATHÏMATIQUES TABLEAU )NVERSEMENT
ÞiiÊj`VÀiÊ>ÕÊ EN !UTRICHE EN #ORÏE ET EN 3UÒDE LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE DE CULTURE
Ûi>ÕÊ`ÕÊ«>ÞÃo MATHÏMATIQUE EST SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE DE L/#$% ALORS QUE LINTÏRÐT POUR
LES MATHÏMATIQUES EST FAIBLE OU DANS LA MOYENNE
oLiʵÕiÊ>ÊkiÊ ,ES RÏSULTATS DE LA COMPARAISON ENTRE PAYS DE LINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES
V«>À>ÃÊÌÀiʵÕiÊ ET DE LA PERFORMANCE EN CULTURE MATHÏMATIQUE SONT MITIGÏS %N REVANCHE LA
>ÊÀi>ÌÊiÌÀiÊiÃÊ`iÕÝÊ MÐME COMPARAISON AU SEIN DES PAYS MONTRE QUE LA RELATION ENTRE LES DEUX
Û>À>LiÃÊiÃÌÊ«ÃÌÛiÊDÊ VARIABLES EST POSITIVE MAIS MOINS TRANCHÏE QUEN LECTURE $ANS LES PAYS DE
½ÌjÀiÕÀÊ`iÃÊ«>ÞÃ°Ê L/#$% EN MOYENNE POINTS SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE SÏPARENT
LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR DES ÏLÒVES SELON LINDICE DE LINTÏRÐT POUR LES
MATHÏMATIQUES CONTRE POINTS EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
iÃÊ`ë>ÀÌjÃÊ`>ÃÊ ,A VARIATION DE LINTÏRÐT DES ÏLÒVES ENTRE LES DIFFÏRENTES MATIÒRES DANS CERTAINS PAYS
½ÌjÀkÌÊ`iÃÊjmÛiÃÊ«ÕÀÊ PEUT CONSTITUER UNE INDICATION SUPPLÏMENTAIRE QUE LINTÏRÐT EST LIÏ AU MODE DE MISE
iÃÊ`vvjÀiÌiÃÊ>ÌmÀiÃÊ EN UVRE DE LAPPRENTISSAGE ET DE LENSEIGNEMENT DANS LES DIFFÏRENTS PAYS ,ÏCART
`iÌÊDÊ«iÃiÀʵÕiÊ LE PLUS IMPORTANT EST ENREGISTRÏ AU $ANEMARK Oá LES ÏLÒVES EXPRIMENT UN INTÏRÐT
½ÌjÀkÌÊiÃÌÊjÊ>ÕÊ`iÊ NETTEMENT PLUS GRAND POUR LES MATHÏMATIQUES QUE POUR LA LECTURE QUI SE TRADUIT PAR
`iÊÃiÊiÊ ÕÛÀiÊ`iÊ UNE PERFORMANCE SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET
½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌÊ`iÊ ÏGALE Ì LA MOYENNE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT $ANS CE CLASSEMENT
½iÃi}iiÌ° LE $ANEMARK EST SUIVI PAR LA &INLANDE LA .ORVÒGE ET LA 3UÒDE Oá LINTÏRÐT EST NETTE
MENT PLUS GRAND POUR LA LECTURE QUE POUR LES MATHÏMATIQUES
!CTIVITÏS DE LECTURE ET ENGAGEMENT Ë LÏGARD DE LA LECTURE
iÃÊ>VÌÛÌjÃÊ`iÊiVÌÕÀiÊ /UTRE LA MOTIVATION VIS
Ì
VIS DES MATIÒRES ENSEIGNÏES LES ACTIVITÏS DE LECTURE
iÌʽi}>}iiÌÊDʽj}>À`Ê ET LENGAGEMENT Ì LÏGARD DE LA LECTURE SONT DES FACTEURS DÏTERMINANTS POUR
`iÊ>ÊiVÌÕÀiÊÃÌÊ`iÃÊ LA PRÏSERVATION ET LAMÏLIORATION DES COMPÏTENCES EN LECTURE ,A CONCLUSION
v>VÌiÕÀÃÊ`jÌiÀ>ÌÃÊ DE L%NQUÐTE INTERNATIONALE SUR LA LITTÏRATIE DES ADULTES QUI EXPLIQUE QUE LES
«ÕÀÊ>Ê«ÀjÃiÀÛ>ÌÊiÌÊ COMPÏTENCES EN LECTURE PEUVENT SE DÏTÏRIORER AU TERME DE LENSEIGNEMENT
½>jÀ>ÌÊ`iÃÊ INITIAL SI ELLES NE SONT PAS EXPLOITÏES /#$% ET 3TATISTIQUE #ANADA
V«jÌiViÃÊiÊ SOULIGNE Ì QUEL POINT IL EST IMPORTANT DENTRETENIR LES COMPÏTENCES EN LECTURE
iVÌÕÀio ,A QUALITÏ DE LENGAGEMENT Ì LÏGARD DE LA LECTURE ET DES ACTIVITÏS DE LECTURE
EST UN RÏSULTAT TANGIBLE DE LENSEIGNEMENT INITIAL ET LAISSE ENTREVOIR CE QUIL
ADVIENDRA DE LAPPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
,ES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì LA QUESTION i #OMBIEN DE TEMPS PAR JOUR LISEZ
VOUS
HABITUELLEMENT POUR VOTRE PLAISIR w LEUR SENTIMENT Ì LÏGARD DES AFFIRMATIONS
,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i #(!0)42%
}ÕÀiÊ{°Ó
'OßT POUR LA LECTURE ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
!
" 1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
! )NDICE DU GOßT POUR LA LECTURE
" 0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT PAR QUARTILES DE LgINDICE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
0AYS
"AS
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
!LLEMAGNE
!UTRICHE
,ETTONIE
.ORVÒGE
3UISSSE
3UÒDE
%SPAGNE
0OLOGNE
(ONGRIE
#ORÏE
"ELGIQUE
$ANEMARK
'RÒCE
-EXIQUE
)RLANDE
)TALIE
)SLANDE
"RÏSIL
#ANADA
!USTRALIE
*APON
&INLANDE
&RANCE
,UXEMBOURG
0ORTUGAL
,IECHTENSTEIN
6ARIATION DE LA MOYENNE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT PAR UNITÏ DE PROGRESSION DE LgINDICE DU GOßT POUR LA LECTURE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR ASSURER LA COMPARABILITÏ DES DONNÏES VOIR ANNEXE !
.OTE 0OUR UNE DÏFINITION DE LINDICE VOIR LANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
#(!0)42% ,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i
i *AIME PARLER DE LIVRES AVEC DAUTRES PERSONNES w OU i *AIME ALLER DANS UNE
LIBRAIRIE OU UNE BIBLIOTHÒQUE w ET LINTÏRÐT QUILS PORTENT Ì LA LECTURE EN GÏNÏRAL
INDIQUENT NOTAMMENT DANS QUELLE MESURE ILS INTÒGRENT LA LECTURE DANS LEUR
AVENIR VOIR LANNEXE ! POUR LA DÏFINITION DE LINDICE ET LES RÏFÏRENCES AU CADRE
CONCEPTUEL DE CELUI
CI
o>ÃÊLi>ÕVÕ«Ê ,ES RÏSULTATS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! INDIQUENT QUE DANS LES PAYS DE
`½jmÛiÃÊ>vvÀiÌʵսÃÊ L/#$% IL RESTE ÏNORMÏMENT DE CHEMIN Ì PARCOURIR POUR SUSCITER UN ENGAGE
iÊÃiÌʵÕiÊýÃÊÞÊÃÌÊ MENT POSITIF Ì LÏGARD DE LA LECTURE CHEZ LES ÏLÒVES %N MOYENNE POUR CENT DES
L}jÃÊÕÊVÃ`mÀiÌÊ>Ê ÏLÒVES AFFIRMENT QUILS LISENT UNIQUEMENT POUR SE PROCURER LES INFORMATIONS DONT
iVÌÕÀiÊViÊÕiÊ«iÀÌiÊ ILS ONT BESOIN PLUS DUN TIERS AFFIRMENT QUILS NE LISENT QUE SILS Y SONT OBLIGÏS ET
`iÊÌi«Ã° POUR CENT SE DÏCLARENT DACCORD OU TOUT Ì FAIT DACCORD AVEC LAFFIRMATION QUE LA
LECTURE EST UNE PERTE DE TEMPS VOIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
,A FIGURE COMPARE LES PAYS EN FONCTION DUN INDICE QUI RÏSUME LES DIVERSES
QUESTIONS DU CYCLE 0)3! PORTANT SUR LENGAGEMENT Ì LÏGARD DE LA LECTURE
#ET INDICE ÏTOFFE CELUI PRÏSENTÏ Ì LA FIGURE EN Y INTÏGRANT UN ÏVENTAIL PLUS
VASTE DATTITUDES PAR RAPPORT Ì LA LECTURE ,ES VALEURS POSITIVES INDIQUENT QUE PAR
RAPPORT Ì LA MOYENNE DE L/#$% LES ÏLÒVES EXPRIMENT PLUS SOUVENT DES RÏACTIONS
POSITIVES AUX PROPOSITIONS ASSOCIÏES Ì CET INDICE i ,A LECTURE EST UN DE MES LOISIRS
FAVORIS w i *AIME PARLER DE LIVRES AVEC DAUTRES PERSONNES w i *E SUIS CONTENTE
QUAND JE RE OIS UN LIVRE EN CADEAU w OU i *AIME ALLER DANS UNE LIBRAIRIE OU UNE
BIBLIOTHÒQUE w %LLES INDIQUENT PAR AILLEURS QUE LES ÏLÒVES DE CE PAYS EXPRIMENT
PLUS RAREMENT DES RÏACTIONS NÏGATIVES TELLES QUE i *E NE LIS QUE SI JY SUIS OBLIGÏ w
i *ÏPROUVE DES DIFFICULTÏS Ì FINIR LES LIVRES w i 0OUR MOI LA LECTURE EST UNE PERTE
DE TEMPS w i *E NE LIS QUE POUR TROUVER LES INFORMATIONS DONT JAI BESOIN w ET i *E
NE PEUX PAS RESTER ASSISE TRANQUILLEMENT Ì LIRE PLUS DE QUELQUES MINUTES w
½i}>}iiÌÊDʽj}>À`Ê ,A FIGURE MONTRE LES VALEURS MOYENNES DES PAYS Ì LINDICE DENGAGEMENT Ì
`iÊ>ÊiVÌÕÀiÊÛ>ÀiÊ LÏGARD DE LA LECTURE ,ÏCART ENTRE LES PAYS QUI FONT ÏTAT DUN GRAND ENGAGEMENT
vÀÌiiÌÊ`½ÕÊ«>ÞÃÊDÊ Ì LÏGARD DE LA LECTURE TELS QUE LA &INLANDE LE -EXIQUE LE 0ORTUGAL ET LA 2ÏPUBLI
½>ÕÌÀio QUE TCHÒQUE ET CEUX QUI ACCUSENT UN FAIBLE ENGAGEMENT TELS QUE LA "ELGIQUE LA
.ORVÒGE ET LES 0AYS
"AS REPRÏSENTE ENVIRON LA MOITIÏ DE LÏCART TYPE DE LINDICE
TABLEAU
o>ÃÊ`>ÃÊÌÕÃÊiÃÊ ,A FIGURE COMPARE ÏGALEMENT LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE
«>ÞÃ]ÊÊiÝÃÌiÊÕiÊ COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DES ÏLÒVES CLASSÏS DANS LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR
Ài>ÌÊjÌÀÌiÊiÌÀiÊ SELON LINDICE DENGAGEMENT Ì LÏGARD DE LA LECTURE ET MESURE LACCROISSEMENT DE
½i}>}iiÌÊDʽj}>À`Ê PERFORMANCE AUQUEL DONNE LIEU LAUGMENTATION DUNE UNITÏ DE LINDICE $ANS TOUS
`iÊ>ÊiVÌÕÀiÊiÌÊ>Ê LES PAYS OU PRESQUE IL EXISTE UNE RELATION ÏTROITE ENTRE LENGAGEMENT Ì LÏGARD DE
«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛið LA LECTURE ET LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ,ÏCART REPRÏSENTE PLUS DE POINTS SOIT
UN ÏCART TYPE INTERNATIONAL DANS DES PAYS DE LA COMPARAISON ET ÏQUIVAUT Ì
UN NIVEAU DE COMPÏTENCE DANS TOUS LES PAYS SAUF SEPT TABLEAU
1iÊÀÌjÊÊ ,E TEMPS CONSACRÏ PAR LES ÏLÒVES Ì LA LECTURE DE LOISIR EST UN AUTRE FACTEUR IMPOR
j}}i>LiÊ`½jmÛiÃo TANT DE LENGAGEMENT DES ÏLÒVES Ì LÏGARD DE LA LECTURE $ANS LINTERPRÏTATION DE
LA VARIATION OBSERVÏE POUR LE TEMPS QUE LES ÏLÒVES CONSACRENT EFFECTIVEMENT Ì LA
,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i #(!0)42%
}ÕÀiÊ{°Î
4EMPS CONSACRÏ Ì LA LECTURE POUR LE LOISIR ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
! 0OURCENTAGE DgÏLÒVES QUI DÏCLARENT LIRE PLUS DE HEURES PAR JOUR POUR LE PLAISIR
LIRE ENTRE ET HEURES PAR JOUR POUR LE PLAISIR
LIRE ENTRE ET MINUTES PAR JOUR POUR LE PLAISIR
LIRE MINUTES PAR JOUR OU MOINS POUR LE PLAISIR
NE PAS LIRE POUR LE PLAISIR
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
³TATS
5NIS
.OUVELLE
:ÏLANDE
0AYS
"AS
2OYAUME
5NI
#ORÏE
!LLEMAGNE
!UTRICHE
%SPAGNE
,ETTONIE
(ONGRIE
0OLOGNE
3UISSE
3UÒDE
"ELGIQUE
$ANEMARK
.ORVÒGE
-EXIQUE
)SLANDE
)RLANDE
"RÏSIL
!USTRALIE
&INLANDE
'RÒCE
)TALE
#ANADA
*APON
&RANCE
,UXEMBOURG
0ORTUGAL
" 0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION LIRE PLUS DE HEURES PAR JOUR POUR LE PLAISIR
DE LgÏCRIT RÏALISÏE PAR LES ÏLÒVES QUI DÏCLARENT LIRE ENTRE ET HEURES PAR JOUR POUR LE PLAISIR
LIRE ENTRE ET MINUTES PAR JOUR POUR LE PLAISIR
LIRE MINUTES PAR JOUR OU MOINS POUR LE PLAISIR
NE PAS LIRE POUR LE PLAISIR
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
³TATS
5NIS
.OUVELLE
:ÏLANDE
0AYS
"AS
#ORÏE
2OYAUME
5NI
!LLEMAGNE
!UTRICHE
%SPAGNE
,ETTONIE
(ONGRIE
0OLOGNE
3UISSE
3UÒDE
"ELGIQUE
.ORVÒGE
-EXIQUE
$ANEMARK
)SLANDE
)RLANDE
"RÏSIL
!USTRALIE
&INLANDE
'RÒCE
)TALE
*APON
#ANADA
&RANCE
,UXEMBOURG
0ORTUGAL
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR ASSURER LA COMPARABILITÏ DES DONNÏES VOIR ANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
#(!0)42% ,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i
LECTURE IL EST IMPORTANT DE GARDER Ì LESPRIT QUE LE TEMPS QUE LES ÏLÒVES PEUVENT
EFFECTIVEMENT CONSACRER Ì LA LECTURE PEUT ÏGALEMENT VARIER DUN PAYS Ì LAUTRE EN
FONCTION DES DIFFÏRENCES DANS LES HORAIRES DE COURS DANS LES EXIGENCES CONCER
NANT LES DEVOIRS OU LES AUTRES ACTIVITÏS EXTRASCOLAIRES Ì CARACTÒRE PÏDAGOGIQUE
oiÊVÃ>VÀiÊ«>ÃÊ ,A FIGURE COMPARE LE TEMPS CONSACRÏ Ì LA LECTURE DE LOISIR CHAQUE JOUR ET
`iÊÌi«ÃÊDÊ>ÊiVÌÕÀiÊ LA PERFORMANCE DES DIVERSES CATÏGORIES DÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COM
`iÊÃÀ° PRÏHENSION DE LÏCRIT %N MOYENNE POUR CENT DES ÏLÒVES DES PAYS DE L/#$%
DÏCLARENT NE PAS LIRE DU TOUT POUR LE PLAISIR )LS SONT PLUS DE POUR CENT EN
!LLEMAGNE EN !UTRICHE EN "ELGIQUE AUX ³TATS
5NIS ET AU *APON ,A PERFOR
MANCE MOYENNE DE CES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE
LÏCRIT SÏLÒVE Ì POINTS SOIT UN SCORE NETTEMENT INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE
L/#$% TABLEAU
ÊiÃÌÊ«ÀÌ>ÌÊ«ÕÀÊ $ANS LES PAYS DE L/#$% POUR CENT DES ÏLÒVES EN MOYENNE DÏCLARENT LIRE
iÃÊÃÞÃÌmiÃÊj`ÕV>ÌvÃÊ MOINS DUNE DEMI HEURE PAR JOUR ,EUR SCORE MOYEN POINTS EST SUPÏ
`½vvÀÀÊÕÊ RIEUR Ì LA MOYENNE DE L/#$% )LS SONT EN MOYENNE UN TIERS PARMI LES PAYS
iÛÀiiÌÊ DE L/#$% Ì LIRE ENTRE UNE DEMI HEURE ET DEUX HEURES PAR JOUR LEUR SCORE
`½>««ÀiÌÃÃ>}iʵÕÊ MOYEN SÏLEVANT Ì POINTS ,ES ÏLÒVES QUI DÏCLARENT LIRE PLUS LONGTEMPS ONT
iVÕÀ>}iÊiÃÊjmÛiÃÊDÊ UN SCORE MOYEN DE POINTS PROCHE DE LA MOYENNE DE L/#$% TABLEAU
ÀiÊiÊ`i ÀÃÊ`iʽjVi° ET LEUR SCORE LE PLUS BAS PEUT SEXPLIQUER PAR LE FAIT QE CES ÏLÒVES PRENNENT PLUS
DE TEMPS POUR LIRE QUE CEUX QUI ONT DES RÏSULTATS PLUS ÏLEVÏS ,E SCORE FAIBLE DES
ÏLÒVES QUI NE LISENT PAS POUR LE PLAISIR INDIQUE COMBIEN IL EST IMPORTANT POUR LES
SYSTÒMES ÏDUCATIFS DOFFRIR UN ENVIRONNEMENT DAPPRENTISSAGE QUI ENCOURAGE LES
ÏLÒVES Ì LIRE EN DEHORS DE LÏCOLE
%NGAGEMENT PLUS GÏNÏRAL Ë LÏGARD DE LÏCOLE
iÃÊ>ÌÌÌÕ`iÃÊ«ÃÌÛiÃÊDÊ ,E COMPORTEMENT PERTURBATEUR LABSENTÏISME ET LES ATTITUDES NÏGATIVES Ì LÏGARD
½j}>À`Ê`iʽjViÊÃÌÊ DE LÏCOLE PEUVENT SOUVENT ÐTRE ASSOCIÏS Ì UN PIÒTRE RENDEMENT SCOLAIRE VOIRE
«ÀÌ>ÌiÃ]o Ì LA DÏCISION DABANDONNER LES ÏTUDES %N REVANCHE LES RECHERCHES ONT MONTRÏ
QUE LES ÏLÒVES QUI SIMPLIQUENT DANS DES ACTIVITÏS SCOLAIRES OU EXTRASCOLAIRES ET
QUI ÏTABLISSENT DES LIENS ÏTROITS AVEC DES ENSEIGNANTS ET AVEC DAUTRES ÏLÒVES ONT
PLUS DE CHANCES DOBTENIR DE BONS RÏSULTATS AU COURS DE LEUR PARCOURS SCOLAIRE ET
DE TERMINER LEURS ÏTUDES SECONDAIRES
oÀ]Ê`>ÃÊ`iÊLÀiÕÝÊ ,ORS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! LES ÏLÒVES ÊGÏS DE ANS ONT ÏTÏ INVITÏS
«>ÞÃ]ÊLÊLÀiÊ Ì RENDRE COMPTE DE LEURS ATTITUDES Ì LÏGARD DE LÏCOLE $ANS DES PAYS
`½jmÛiÃÊÌj}iÌÊ`½ÕÊ DE L/#$% PLUS DE POUR CENT DES ÏLÒVES SE DISENT DACCORD OU TOUT Ì FAIT
jVÌiÌiiÌÊDÊ DACCORD AVEC LA PROPOSITION i -ON ÏCOLE EST UN ENDROIT Oá JE NAI PAS ENVIE
½j}>À`Ê`iʽjVio DALLER w )LS SONT MÐME ENTRE ET POUR CENT EN "ELGIQUE AU #ANADA
AUX ³TATS 5NIS EN &RANCE EN (ONGRIE ET EN )TALIE VOIR WWWPISAOECDORG POUR
LES DONNÏES ET ENTRE ET POUR CENT DANS PLUSIEURS PAYS AYANT RÏALISÏ LES
MEILLEURES PERFORMANCES AUX ÏVALUATIONS 0)3! Ì SAVOIR EN !USTRALIE AU #ANADA
ET EN #ORÏE 0AR CONTRASTE ILS NE SONT QUE POUR CENT AU $ANEMARK AU
-EXIQUE AU 0ORTUGAL ET EN 3UÒDE Ì ESTIMER QUE LEUR ÏCOLE EST UN ENDROIT Oá
ILS NONT PAS ENVIE DALLER $ANS PRESQUE LA MOITIÏ DES PAYS DE L/#$% LA
,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i #(!0)42%
}ÕÀiÊ{°{
%NGAGEMENT PLUS GÏNÏRAL Ì LgÏGARD DE LgÏCOLE
2ÏPARTITION DU POURCENTAGE MOYEN DgÏLÒVES QUI SE DÏCLARENT DgACCORD OU TOUT Ì FAIT DgACCORD SUR LE FAIT QUE i ,gÏCOLE EST UN ENDROIT Oá
-OYENNE DE Lg/#$% ERREUR TYPE
JE MgENNUIE SOUVENT w
JE NgAI PAS ENVIE DgALLER w
JE ME SENS SEUL w
LES AUTRES ÏLÒVES ONT
LgAIR DE MgAPPRÏCIER w
JE ME SENS SOUVENT MAL Ë
LgAISE JE NE ME SENS PAS Ë
MA PLACE w
JE ME SENS CHEZ MOI w
JE ME FAIS FACILEMENT
DES AMIS w
JE ME SENS COMME UN
ÏTRANGER OU HORS DU COUP w
.OTE ,ES PAYS SONT SYMBOLISÏS PAR LES CARRÏS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 6OIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
MAJORITÏ DES ÏLÒVES RECONNAISSENT QUE LÏCOLE EST UN ENDROIT Oá ILS SENNUIENT
ET EN %SPAGNE EN 'RÒCE ET EN )RLANDE ILS SONT PRESQUE DEUX TIERS )CI ENCORE
LES RÏPONSES DES ÏLÒVES VARIENT CONSIDÏRABLEMENT DUN PAYS Ì LAUTRE VOIR
WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES CE QUI INDIQUE NOTAMMENT QUE SI LE MÏCON
TENTEMENT Ì LÏGARD DE LÏCOLE EST COMMUN DANS CETTE TRANCHE DÊGE IL NEST PAS
INÏLUCTABLE
,E FAIT QUE DE NOMBREUX ÏLÒVES NAIMENT PAS ALLER Ì LÏCOLE A
T
IL UNE QUELCONQUE oiÌÊÀj>ÃiÌÊiÊ
IMPORTANCE #ERTES LES JEUNES NE DOIVENT PAS FORCÏMENT APPRÏCIER TOUT CE ÞiiÊ`iÊÃÊ
QUI VA DANS LE SENS DE LEUR INTÏRÐT 0OURTANT FORCE EST DE CONSTATER QUE LiÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊ
CEUX QUI AIMENT LÏCOLE AFFICHENT UN MEILLEUR RENDEMENT QUE LES AUTRES $ANS µÕiÊViÕÝʵÕÊÌÊ`iÃÊ
PRESQUE TOUS LES PAYS LES ÏLÒVES QUI DÏCLARENT QUE LÏCOLE EST UN ENDROIT Oá >ÌÌÌÕ`iÃÊ«ÕÃÊ«ÃÌÛið
ILS ONT ENVIE DALLER OBTIENNENT EN MOYENNE UN SCORE PLUS ÏLEVÏ SUR LÏCHELLE
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT QUE CEUX QUI AFFIRMENT LE CONTRAIRE VOIR
WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
#(!0)42% ,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i
,A FIGURE MONTRE QUEN MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% POUR CENT
DES ÏLÒVES DÏCLARENT QUE LÏCOLE EST UN ENDROIT Oá ILS SE FONT FACILEMENT DES AMIS
TANDIS QUE POUR CENT AFFIRMENT QUE LÏCOLE EST UN ENDROIT Oá ILS SE SENTENT
CHEZ EUX CETTE PROPORTION REPRÏSENTANT UN PEU MOINS DE POUR CENT EN
%SPAGNE ET EN &RANCE CONTRE POUR CENT EN (ONGRIE ET AU -EXIQUE VOIR
WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES %N REVANCHE LÏCOLE EST UN ENDROIT DIFFICILE
SUR LE PLAN SOCIAL POUR UNE MINORITÏ SIGNIFICATIVE DÏLÒVES !INSI EN MOYENNE
POUR CENT DES ÏLÒVES AVOUENT QUE LÏCOLE EST UN ENDROIT Oá ILS SE SENTENT MAL
Ì LAISE ET Oá ILS NE SE SENTENT PAS Ì LEUR PLACE !U 2OYAUME 5NI ET EN 3UÒDE ILS
SONT MOINS DE POUR CENT Ì LAFFIRMER
½>>ÞÃiÊiÊ«iÀiÌÊ«>ÃÊ ,ANALYSE DE CES DONNÏES NE PERMET PAS DÏTABLIR UNE RELATION DE CAUSE Ì EFFET ENTRE CES
`½jÌ>LÀÊÕiÊÀi>ÌÊ`iÊ FACTEURS ET LE RENDEMENT DES ÏLÒVES $E PLUS IL EXISTE DAUTRES FACTEURS QUI INFLUENCENT
V>ÕÃiÊDÊivviÌÊiÌÀiÊ Ì LA FOIS LE RENDEMENT ET LES ATTITUDES Ì LÏGARD DE LÏCOLE LE FAIT DE BIEN TRAVAILLER
>ÌÌÌÕ`iÃÊj}>ÌÛiÃÊÛÃ Ì LÏCOLE PEUT CONDUIRE LES ÏLÒVES Ì AIMER LÏCOLE MAIS LINVERSE EST MOINS VRAI
DÛÃÊ`iʽjViÊiÌÊ 4OUTEFOIS IL NEST GUÒRE SATISFAISANT QUEN DÏPIT DES INVESTISSEMENTS CONSIDÏRABLES
«iÀvÀ>Vi]Ê>ÃÊViÃÊ CONSENTIS PAR TOUS LES PAYS DANS LENSEIGNEMENT UNE MINORITÏ SIGNIFICATIVE DÏLÒVES
>ÌÌÌÕ`iÃÊÃÌÊjv>ÃÌiÃo VOIRE UNE MAJORITÏ DANS CERTAINS CAS AFFICHENT DES ATTITUDES NÏGATIVES VIS Ì VIS DE
LÏCOLE ET PRÏSENTENT UN MANQUE DENGAGEMENT Ì SON ÏGARD )L NEST GUÒRE CONCEVABLE
QUE LES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT PUISSENT OBTENIR DES RÏSULTATS OPTIMAUX SI LEURS
ÏLÒVES NE SONT PAS BIEN DISPOSÏS Ì LÏGARD DE LÏCOLE "IEN QUE CELA REPRÏSENTE UN DÏFI
CONSIDÏRABLE PAR RAPPORT Ì LA COHORTE DÊGE ÏVALUÏE PAR LE 0)3! LES RÏSULTATS DU CYCLE
DÏVALUATION 0)3! INDIQUENT DONC QUE LES POLITIQUES ET PRATIQUES ÏDUCATIVES
DEVRAIENT ÐTRE SUFFISAMMENT AXÏES SUR LA CRÏATION DUN ENVIRONNEMENT DAPPRENTIS
SAGE ENGAGEANT POUR TOUS LES ÏLÒVES
oV>ÀÊiiÃÊ«iÕÛiÌÊ 0AR AILLEURS CE MANQUE DENGAGEMENT EST NON SEULEMENT ASSOCIÏ Ì UN PIÒTRE
`ëÃiÀÊViÀÌ>ÃÊ RENDEMENT MAIS IL RENVOIE ÏGALEMENT Ì UN AUTRE PHÏNOMÒNE LES ÏLÒVES QUI SONT
iÕiÃÊDʽj}>À`Ê MAL DISPOSÏS ENVERS LÏCOLE RISQUENT ÏGALEMENT Ì LAVENIR DE SENGAGER MOINS
`½>VÌÛÌjÃÊ QUE LES AUTRES DANS DES ACTIVITÏS DAPPRENTISSAGE Ì LINTÏRIEUR OU Ì LEXTÏRIEUR DES
`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊvÕÌÕÀið ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT
3TRATÏGIES DAPPRENTISSAGE
-AÔTRISE DU PROCESSUS DAPPRENTISSAGE
iÃÊjmÛiÃÊ`ÛiÌÊ ,ES ÏLÒVES NE TRAITENT PAS PASSIVEMENT LES INFORMATIONS QUILS RE OIVENT )LS PARTICIPENT
«ÕÛÀÊ>ÌÀÃiÀÊiÕÀÊ ACTIVEMENT AU PROCESSUS DAPPRENTISSAGE EN CONSTRUISANT DU SENS QUILS FA ONNENT
«À«ÀiÊ>««ÀiÌÃÃ>}io Ì PARTIR DE LEURS PROPRES ACQUIS ET LEURS NOUVELLES EXPÏRIENCES ,ES ÏLÒVES QUI
ONT LA FACULTÏ DE MAÔTRISER LEUR PROPRE APPRENTISSAGE SONT CAPABLES DE SE FIXER DES
OBJECTIFS DAPPRENTISSAGE APPROPRIÏS DEXPLOITER LEURS CONNAISSANCES ET SAVOIR
FAIRE
POUR ORIENTER LEUR APPRENTISSAGE ET CHOISIR LES STRATÏGIES QUI CONVIENNENT LE MIEUX Ì LA
TÊCHE QUILS DOIVENT MENER Ì BIEN !LORS QUE LE DÏVELOPPEMENT DE CES COMPÏTENCES
ET DE CES ATTITUDES NA PAS TOUJOURS ÏTÏ UNE PRIORITÏ EXPLICITE DE LENSEIGNEMENT
AUJOURDHUI ELLES SONT DE PLUS EN PLUS CONSIDÏRÏES COMME UN OBJECTIF IMPORTANT DE
LA SCOLARISATION ° CE TITRE ELLES DOIVENT ÏGALEMENT ÐTRE CONSIDÏRÏES COMME UN DES
RÏSULTATS IMPORTANTS DU PROCESSUS DAPPRENTISSAGE
,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i #(!0)42%
}ÕÀiÊ{°x
!UTORÏGULATION DU PROCESSUS DgAPPRENTISSAGE ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
!
" 1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
! )NDICE DES STRATÏGIES DgAUTORÏGULATION
" 0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT PAR QUARTILES DE LgINDICE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
0AYS
"AS
"ELGIQUE #OM FLAMANDE
³TATS
5NIS
!LLEMAGNE
!UTRICHE
,ETTONIE
(ONGRIE
.ORVÒGE
3UISSE
#ORÏE
3UÒDE
$ANEMARK
-EXIQUE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
"RÏSIL
!USTRALIE
&INLANDE
,UXEMBOURG
0ORTUGAL
,IECHTENSTEIN
6ARIATION DE LA MOYENNE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT PAR UNITÏ DE PROGRESSION DE LgINDICE DES STRATÏGIES DgAUTORÏGULATION
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR ASSURER LA COMPARABILITÏ DES DONNÏES VOIR ANNEXE !
.OTE 0OUR UNE DÏFINITION DE LINDICE VOIR LANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
#(!0)42% ,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i
oiÊV
ÃÃÃ>ÌÊiÃÊ 5N APPRENANT DIGNE DE CE NOM TRAITE LINFORMATION DE MANIÒRE EFFICACE 0OUR
ÃÌÀ>Ìj}iÃʵÕÊ Y PARVENIR IL NE SUFFIT PAS DÐTRE CAPABLE DE MÏMORISER DE NOUVELLES INFORMA
VÛiiÌÊiÊiÕÝÊDÊ TIONS )L FAUT AUSSI POUVOIR ÏTABLIR DES RELATIONS ENTRE LES NOUVELLES NOTIONS ET
>ÊÌ@V
iʵսÃÊ`ÛiÌÊ LES CONNAISSANCES EXISTANTES ET DÏTERMINER COMMENT UTILISER LES ACQUIS DANS LE
iiÀÊDÊLi° MONDE RÏEL ,ES ÏLÒVES RÏUSSISSENT MIEUX Ì ORGANISER LEUR PROPRE APPRENTISSAGE
SILS COMPRENNENT BIEN LES STRATÏGIES DAPPRENTISSAGE ,ES APPRENANTS PERFOR
MANTS ONT LA FACULTÏ DEXPLOITER UN ARSENAL DE STRATÏGIES EFFICACES Ì BON ESCIENT
ET AVEC TOUTE LA SOUPLESSE REQUISE %N REVANCHE IL APPARAÔT SOUVENT QUE CEUX
QUI ÏPROUVENT DES DIFFICULTÏS Ì SE LIVRER SEULS Ì LAPPRENTISSAGE NONT PAS ACCÒS Ì
DES STRATÏGIES EFFICACES LEUR PERMETTANT DE FACILITER ET DE CONTRÙLER LEUR APPREN
TISSAGE OU NE RÏUSSISSENT PAS Ì CHOISIR UNE STRATÏGIE EN ADÏQUATION AVEC LA TÊCHE
QUILS DOIVENT ACCOMPLIR
iÃÊjmÛiÃÊÌÊjÌjÊ ,ORS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! LES ÏLÒVES ONT ÏTÏ INTERROGÏS SUR LE PROCESSUS
ÌiÀÀ}jÃÊÃÕÀÊiÊ DAPPRENTISSAGE 5N INDICE DES STRATÏGIES DAUTORÏGULATION DE LAPPRENTISSAGE
«ÀViÃÃÕÃÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊ A ÏTÏ ÏLABORÏ SUR LA BASE DES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì DES QUESTIONS CONCERNANT
iÊÕkio LA FRÏQUENCE DE CERTAINES APPROCHES QUAND ILS ÏTUDIENT i *E COMMENCE PAR
DÏTERMINER EXACTEMENT CE QUE JAI BESOIN DAPPRENDRE w i *ESSAIE DE REPÏRER
LES NOTIONS QUE JE NAI PAS ENCORE BIEN COMPRISES w i 1UAND JE NE COMPRENDS PAS
QUELQUE CHOSE JE CHERCHE DES INFORMATIONS COMPLÏMENTAIRES w i *E MOBLIGE Ì
VÏRIFIER QUE JAI RETENU CE QUE JAI APPRIS w ET i *E MASSURE DE BIEN RETENIR LES
ÏLÏMENTS LES PLUS IMPORTANTS w 5N INDICE COMPOSITE A ÏTÏ ÏLABORÏ EN ATTRIBUANT LA
VALEUR AU SCORE MOYEN DE LENSEMBLE DES PAYS ET LA VALEUR Ì LÏCART TYPE VOIR
LANNEXE ! POUR LA DÏFINITION DE LINDICE ET LES RÏFÏRENCES AU CADRE CONCEPTUEL
DE CELUI CI ,ES VALEURS POSITIVES DE CET INDICE INDIQUENT QUE LES ÏLÒVES UTILISENT
CES STRATÏGIES PLUS SOUVENT QUE LA MOYENNE DE L/#$%
,A FIGURE COMPARE LES PAYS SUR LA BASE DES RÏPONSES DES ÏLÒVES DE ANS AUX
QUESTIONS PORTANT SUR LAPPLICATION DE STRATÏGIES DAUTORÏGULATION DANS LAPPRENTISSAGE
,E SCORE MOYEN Ì LINDICE DES STRATÏGIES DAUTORÏGULATION VARIE FORTEMENT CEST
EN !LLEMAGNE EN !UTRICHE EN (ONGRIE EN )TALIE AU 0ORTUGAL ET EN 2ÏPUBLIQUE
TCHÒQUE QUE LES ÏLÒVES RAPPORTENT LE PLUS SOUVENT QUILS RECOURENT Ì DES STRATÏGIES
DAUTORÏGULATION ,ES ÏLÒVES RECONNAISSENT LES APPLIQUER LE PLUS RAREMENT EN #ORÏE
EN &INLANDE EN )SLANDE ET EN .ORVÒGE TABLEAU
oiÌÊÊ«iÕÌÊiÊVVÕÀiÊ ,E RECOURS Ì DES STRATÏGIES DAUTORÏGULATION A DE TOUTE ÏVIDENCE UNE INFLUENCE
µÕiÊiÊÀiVÕÀÃÊDÊ`iÃÊ !U SEIN DE CHAQUE PAYS LE SCORE RÏALISÏ SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏ
ÃÌÀ>Ìj}iÃÊ HENSION DE LÏCRIT DU 0)3! PAR LES ÏLÒVES QUI DÏCLARENT LES APPLIQUER SOUVENT
`½>ÕÌÀj}Õ>ÌÊiÃÌÊ EST SUPÏRIEUR AU SCORE QUOBTIENNENT CEUX QUI NE LES APPLIQUENT PAS SOUVENT
«ÃÌÛiiÌÊVÀÀjjÊDÊ>Ê n MÐME SIL NE PEUT ÐTRE ÏTABLI QUE LES STRATÏGIES DAPPRENTISSAGE CAUSENT
«iÀvÀ>Vi° LAMÏLIORATION DE LA PERFORMANCE ,ASSOCIATION EST PLUS MARQUÏE EN !USTRALIE
EN .OUVELLE
:ÏLANDE ET AU 0ORTUGAL Oá LES ÏLÒVES CLASSÏS DANS LE QUARTILE
SUPÏRIEUR SELON LINDICE DE STRATÏGIES DAPPRENTISSAGE SONT EN MOYENNE SÏPARÏS
DUN NIVEAU DE COMPÏTENCE COMPLET DES ÏLÒVES DU QUARTILE INFÏRIEUR 0AR
RAPPORT Ì LA MOYENNE DE L/#$% POINTS SÏPARENT LES QUARTILES INFÏRIEUR
ET SUPÏRIEUR %N TERMES RELATIFS UNE DIFFÏRENCE DUNE UNITÏ Ì LINDICE COR
,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i #(!0)42%
RESPOND Ì POINTS EN MOYENNE POUR LES PAYS DE L/#$% ,ES STRATÏGIES
SONT ESSENTIELLES POUR PARVENIR Ì UNE AUTORÏGULATION EFFICACE DE LAPPRENTIS
SAGE CAR ELLES AIDENT LES ÏLÒVES Ì ADAPTER LEUR APPRENTISSAGE AUX CARACTÏRISTIQUES
PARTICULIÒRES DES TÊCHES QUILS ONT Ì ACCOMPLIR ,ES ÏTABLISSEMENTS POURRAIENT
DEVOIR SE PRÏOCCUPER PLUS EXPLICITEMENT DES STRATÏGIES GRÊCE AUXQUELLES LES
ÏLÒVES PEUVENT GÏRER ET MAÔTRISER LEUR APPRENTISSAGE AFIN DE LES AIDER TOUS Ì
ÏLABORER DES STRATÏGIES EFFICACES NON SEULEMENT Ì LAPPUI DE LEUR APPRENTISSAGE
SCOLAIRE MAIS AUSSI POUR LEUR APPORTER LES INSTRUMENTS DONT ILS AURONT BESOIN
POUR GÏRER LEUR APPRENTISSAGE PLUS TARD DANS LA VIE
-ÏMORISATION ET ÏLABORATION
,ES STRATÏGIES DE MÏMORISATION LIRE DES NOTIONS Ì VOIX HAUTE Ì PLUSIEURS iÃÊjmÛiÃÊ`ÛiÌÊ
REPRISES ET APPRENDRE LES TERMES CLÏS PAR EXEMPLE SONT IMPORTANTES POUR DE «ÕÛÀÊjÀÃiÀÊ`iÊ
NOMBREUSES TÊCHES MAIS ELLES NE DONNENT GÏNÏRALEMENT LIEU QUÌ DES REPRÏ
ÕÛiiÃÊvÀ>ÌÃ]Ê
SENTATIONS i MOT POUR MOT w DES CONNAISSANCES %LLES CONDUISENT SOUVENT LES >ÃÊ>ÕÃÃÊV«Ài`ÀiÊ
ÏLÒVES Ì MÏMORISER DE NOUVELLES INFORMATIONS APRÒS UN TRAITEMENT MINIME 3I iÊiʵÕÊÕÌÊViiÃVÊ
LOBJECTIF DE LAPPRENANT EST DÐTRE CAPABLE DE RETROUVER LES INFORMATIONS TELLES DÊiÕÀÃÊV>ÃÃ>ViÃÊ
QUELLES SONT PRÏSENTÏES LA MÏMORISATION EST UNE STRATÏGIE APPROPRIÏE #EPEN
«Àj>>Lið
DANT CE i PAR CUR w MÒNE RAREMENT SUR LA VOIE DE LA COMPRÏHENSION %N EFFET
LES APPRENANTS DOIVENT INTÏGRER LES NOUVELLES NOTIONS DANS LEURS ACQUIS POUR
LES COMPRENDRE ,ES STRATÏGIES DÏLABORATION DÏCOUVRIR EN QUOI LES NOUVELLES
NOTIONS SONT LIÏES Ì DES CONNAISSANCES ACQUISES DANS DAUTRES CONTEXTES ET SE
DEMANDER COMMENT APPLIQUER CES NOUVELLES NOTIONS DANS DAUTRES CONTEXTES
PAR EXEMPLE PEUVENT ÐTRE UTILISÏES Ì CET EFFET
)L A ÏTÏ DEMANDÏ AUX ÏLÒVES DE RÏPONDRE Ì DES QUESTIONS SPÏCIFIQUES SUR iÃÊÃÌÀ>Ìj}iÃÊ`iÊ
LEUR UTILISATION DE STRATÏGIES DE MÏMORISATION ET DÏLABORATION 3UR BASE jÀÃ>ÌÊiÌÊ
DE LEURS RÏPONSES UN INDICE A ÏTÏ ÏLABORÏ POUR CHACUNE DE CES STRATÏGIES `½j>LÀ>ÌÊÃÌÊ
DAPPRENTISSAGE ,INDICE DE MÏMORISATION EST DÏDUIT DES RÏPONSES DES ÏLÒVES V«jiÌ>Àið
Ì DES QUESTIONS CONCERNANT LA FRÏQUENCE DE CES APPROCHES LORSQUILS ÏTUDIENT
i *ESSAIE DE MÏMORISER TOUT CE QUI DOIT ÐTRE VU w i *E MÏMORISE TOUT CE
QUI EST NOUVEAU DE MANIÒRE Ì SAVOIR LE RÏCITER w ET i *E MENTRAÔNE EN ME
RÏPÏTANT LE SUJET PLUSIEURS FOIS DE SUITE w ,INDICE DÏLABORATION EST DÏDUIT DES
RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì DES QUESTIONS CONCERNANT LA FRÏQUENCE DE CES APPROCHES
LORSQUILS ÏTUDIENT i *ESSAIE DE MIEUX COMPRENDRE LE CONTENU EN LE METTANT
EN RELATION AVEC CE QUE JE SAIS DÏJÌ w i *ESSAIE DE FAIRE LE LIEN ENTRE LES
NOUVELLES NOTIONS ET CE QUE JAI APPRIS DANS DAUTRES MATIÒRES w ET i *ESSAIE
DE VOIR COMMENT CELA POURRAIT SERVIR DANS LA VIE w VOIR LANNEXE ! POUR LA
DÏFINITION DE LINDICE ET LES RÏFÏRENCES AU CADRE CONCEPTUEL DE CELUI
CI ,ES
INDICES SONT CON US DE SORTE QUE LA VALEUR MOYENNE DES PAYS SOIT ÏGALE Ì
ET LÏCART TYPE Ì
,A FIGURE COMPARE LES PAYS EN FONCTION DES INDICES DE MÏMORISATION ET
DÏLABORATION CALCULÏS SUR LA BASE DES RÏPONSES DES ÏLÒVES DE ANS CONCERNANT
LUTILISATION DES DEUX TYPES DE STRATÏGIE
#(!0)42% ,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i
}ÕÀiÊ{°È
3TRATÏGIES DE MÏMORISATION ET DgÏLABORATION ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
)NDICE DgINTÏRÐT POUR LA LECTURE 1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
!
)NDICE DgINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES 1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT 1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
"
0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE 1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE
! )NDICES DES STRATÏGIES DE MÏMORISATION ET DgÏLABORATION
" 0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT PAR QUARTILES DE LgINDICE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
.OUVELLE
:ÏLANDE
0AYS
"AS
³TATS
5NIS
!LLEMAGNE
"ELGIQUE #OM FLAMANDE
!UTRICHE
(ONGRIE
,ETTONIE
.ORVÒGE
3UISSE
#ORÏE
-EXIQUE
3UÒDE
$ANEMARK
)TALIE
)SLANDE
!USTRALIE
)RLANDE
"RÏSIL
&INLANDE
,UXEMBOURG
0ORTUGAL
,IECHTENSTEIN
6ARIATION DE LA MOYENNE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT PAR UNITÏ DE PROGRESSION
DES INDICES DES STRATÏGIES DE MÏMORISATION ET DgÏLABORATION
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR ASSURER LA COMPARABILITÏ DES DONNÏES VOIR ANNEXE !
.OTE 0OUR UNE DÏFINITION DES INDICES VOIR LANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAUX ET
,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i #(!0)42%
,UTILISATION FRÏQUENTE DE STRATÏGIES DÏLABORATION A TENDANCE Ì ÐTRE LIÏE Ì LA ½ÕÌÃ>ÌÊ`iÊÃÌÀ>Ìj}iÃÊ
PERFORMANCE SUR LÏCHELLE 0)3! DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNE RELATION `½j>LÀ>ÌÊ>ÊÌi`>ViÊ
POSITIVE ,ÏCART DE PERFORMANCE ENTRE LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR PAR DÊkÌÀiÊjiÊDÊ>Ê
RAPPORT Ì CET INDICE SÏLÒVE Ì POINTS EN MOYENNE POUR LES PAYS DE L/#$% «iÀvÀ>ViÊ«>ÀÊÕiÊ
,AVANTAGE APPARENT LIÏ Ì LAPPLICATION DE CES STRATÏGIES VARIE GRANDEMENT LE Ài>ÌÊ«ÃÌÛio
QUARTILE SUPÏRIEUR DES ÏLÒVES EST SÏPARÏ DE POINTS SOIT PRÒS DUN NIVEAU DE
COMPÏTENCE DU QUARTILE INFÏRIEUR AU 0ORTUGAL DE POINTS EN #ORÏE ET DE
POINTS EN !LLEMAGNE MAIS DE MOINS DE POINTS EN "ELGIQUE #OMMUNAUTÏ
FLAMANDE AUX ³TATS
5NIS EN )RLANDE EN )TALIE EN .OUVELLE
:ÏLANDE ET AUX
0AYS
"AS VOIR TABLEAU
,ANALYSE DE LA RELATION OBSERVÏE ENTRE LUTILISATION DES STRATÏGIES DE MÏMORISATION ET o>ÃÊiÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊÃÌÊ
LES PERFORMANCES RÏALISÏES PAR LES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION «ÕÃÊÌ}jÃÊ«ÕÀÊiÃÊ
DE LÏCRIT PRODUIT DES RÏSULTATS MITIGÏS LES ÏLÒVES DU QUARTILE SUPÏRIEUR DE LINDICE ÃÌÀ>Ìj}iÃÊ`iÊ
RÏALISENT DES PERFORMANCES SUPÏRIEURES Ì CELLES DES ÏLÒVES DU QUARTILE INFÏRIEUR jÀÃ>Ì°
DANS PAYS CINQ PAYS PRÏSENTENT LEFFET INVERSE ET DANS LES PAYS RESTANTS LES
ÏCARTS NE SONT PAS STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIFS TABLEAU
,ENSEMBLE DE CES DONNÏES INDIQUE QUE LES STRATÏGIES DÏLABORATION SONT PLUS iÃÊjÌ>LÃÃiiÌÃÊ
ÏTROITEMENT LIÏES AUX PERFORMANCES DES ÏLÒVES %LLES PEUVENT DONC SE RÏVÏLER `½iÃi}iiÌÊ`iÛÀ>iÌÊ
PLUS IMPORTANTES QUE LES STRATÏGIES PLUS DIRECTES DE MÏMORISATION AUXQUELLES >`iÀÊiÃÊjmÛiÃÊDÊ
LES ÏLÒVES RECOURENT PARFOIS DE MANIÒRE PLUS INTUITIVE ° LA LUMIÒRE DE CES RÏSUL
V«Ài`ÀiÊiÌÊDÊ
TATS IL EST CLAIR QUE LES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT DEVRAIENT AIDER LES ÏLÒVES `jÛi««iÀÊ`iÃÊÃÌÀ>Ìj}iÃÊ
Ì COMPRENDRE ET Ì DÏVELOPPER LES STRATÏGIES QUI LEUR PERMETTRONT DAMÏLIORER `½>ÕÌÀj}Õ>ÌÊ`iÊiÕÀÊ
LEUR APPRENTISSAGE COMME DANS LE CAS DES STRATÏGIES DAUTORÏGULATION #ETTE >««ÀiÌÃÃ>}i°
ASSISTANCE PORTERA SES FRUITS PENDANT LA SCOLARISATION MAIS ELLE SERA PROBABLE
MENT ENCORE PLUS BÏNÏFIQUE AUX ÏLÒVES ULTÏRIEUREMENT Ì LÊGE ADULTE LORSQUILS
PRATIQUERONT LAPPRENTISSAGE SANS ENCADREMENT OU PRESQUE )CI ENCORE ON NE
PEUT TIRER DE CONCLUSIONS QUÌ LA LUMIÒRE DU CONTEXTE CULTUREL ET ÏDUCATIF RES
PECTIF DES PAYS CONCERNÏS
!PPRENTISSAGE COMPÏTITIF ET EN COLLABORATION
° LÊGE ADULTE LAPPRENTISSAGE SINSCRIT LE PLUS SOUVENT DANS DES CIRCONSTANCES ½>««ÀiÌÃÃ>}iÊ
DANS LESQUELLES LES INDIVIDUS COLLABORENT ET DÏPENDENT LES UNS DES AUTRES V«jÌÌvÊiÌÊ
$URANT LA SCOLARISATION EN PARTICULIER AUX NIVEAUX SECONDAIRE ET TERTIAIRE IL SE ½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÊ
DÏROULE FRÏQUEMMENT DANS LISOLEMENT DANS LE CONTEXTE DE LA PRÏPARATION Ì UNE V>LÀ>ÌÊ«iÕÛiÌÊ
ÏVALUATION COMPÏTITIVE "IEN QUE CES DEUX FORMES DAPPRENTISSAGE PUISSENT ÐTRE kÌÀiÊV«jiÌ>Àið
CONFLICTUELLES ELLES PEUVENT TOUTES DEUX CONDUIRE Ì DES PERFORMANCES ÏLEVÏES
,ES RÏSULTATS DU CYCLE 0)3! INDIQUENT QUE CES DEUX TYPES DAPPRENTISSAGE
PEUVENT AMÏLIORER GRANDEMENT LEFFICACITÏ DE LAPPRENTISSAGE POUR AUTANT QUILS
SOIENT ENVISAGÏS SOUS LANGLE DE LA COMPLÏMENTARITÏ
,APPRENTISSAGE COMPÏTITIF ET LAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION FONT LOBJET DE
DEUX INDICES DISTINCTS ,INDICE DAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION A ÏTÏ DÏDUIT
DES RÏACTIONS DES ÏLÒVES AUX PROPOSITIONS i *AIME TRAVAILLER AVEC DAUTRES
ÏLÒVES w i *AIME AIDER DAUTRES PERSONNES Ì FAIRE DU BON TRAVAIL EN GROUPE w
#(!0)42% ,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i
i *APPRENDS LE PLUS QUAND JE TRAVAILLE AVEC DAUTRES ÏLÒVES w ET i *E FAIS UN
MEILLEUR TRAVAIL QUAND JE TRAVAILLE AVEC DAUTRES ÏLÒVES w ,INDICE DAPPRENTIS
SAGE COMPÏTITIF A ÏTÏ DÏDUIT DES RÏACTIONS DES ÏLÒVES AUX PROPOSITIONS i *AIME
ESSAYER DÐTRE MEILLEUR QUE LES AUTRES w i *E VOUDRAIS ÐTRE LE MEILLEUR EN QUEL
QUE CHOSE w i *E TRAVAILLE BIEN QUAND JESSAIE DÐTRE MEILLEUR QUE LES AUTRES w
ET i *APPRENDS PLUS VITE QUAND JESSAIE DE FAIRE MIEUX QUE LES AUTRES w )L FAUT
NOTER ICI QUE LES ÏLÒVES AVAIENT LA POSSIBILITÏ DE DONNER DES RÏPONSES AFFIRMATIVES
OU NÏGATIVES DISTINCTES AUX DEUX SÏRIES DE QUESTIONS ,INDICE A ÏTÏ ÏLABORÏ EN
ATTRIBUANT LA VALEUR AU SCORE MOYEN DE LENSEMBLE DES PAYS ET LA VALEUR Ì
LÏCART TYPE VOIR LANNEXE ! POUR LA DÏFINITION DE LINDICE ET LES RÏFÏRENCES AU
CADRE CONCEPTUEL DE CELUI
CI
>ÃÊ«ÕÃiÕÀÃÊ«>ÞÃ]ÊiÃÊ ,ES VALEURS MOYENNES DE CES INDICES SONT PRÏSENTÏES Ì LA FIGURE ET DES
jmÛiÃÊvÌÊjÌ>ÌÊ`iÊ DONNÏES COMPLÏMENTAIRES DANS LES TABLEAUX ET ,ES RÏPONSES DES ÏLÒVES
«À>̵ÕiÃÊÀiiÛ>ÌÊ`iÊ DU $ANEMARK DES ³TATS
5NIS DE LA .OUVELLE
:ÏLANDE ET DU 0ORTUGAL DONNENT
½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÊ LIEU Ì DES VALEURS ÏLEVÏES SELON LINDICE DAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION 0AR
V>LÀ>ÌÊ>ÃʵÕiÊ CONTRASTE LES ÏLÒVES DE #ORÏE SONT EXPLICITEMENT NÏGATIFS AU SUJET DE LAPPREN
`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}iÊ TISSAGE EN COLLABORATION ET DE LAPPRENTISSAGE COMPÏTITIF QUOIQUE LEUR POSITION
V«jÌÌvo SOIT MOINS TRANCHÏE PAR RAPPORT Ì LAPPRENTISSAGE COMPÏTITIF
oiÌÊ>ÊVÀÀj>ÌÊiÌÀiÊ ,A CORRÏLATION ENTRE CES DEUX FORMES DAPPRENTISSAGE ET LA PERFORMANCE SUR
ViÃÊ`iÕÝÊvÀiÃÊ LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT A TENDANCE Ì ÐTRE POSITIVE
`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌÊ>Ê QUOIQUE LA RELATION SOIT PLUS MANIFESTE POUR LAPPRENTISSAGE COMPÏTITIF QUE POUR
«iÀvÀ>ViÊÌi`ÊDÊkÌÀiÊ LAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION %N MOYENNE POINTS SUR LÏCHELLE COMBINÏE
«ÃÌÛio DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SÏPARENT LES ÏLÒVES DES QUARTILES SUPÏRIEUR ET
INFÏRIEUR Ì LINDICE DE LAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION DANS LES PAYS DE L/#$%
AVEC UN ÏCART STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF DANS PAYS SUR 0AR RAPPORT Ì
LAPPRENTISSAGE COMPÏTITIF LÏCART MOYEN SÏLÒVE Ì POINTS ET EST STATISTIQUE
MENT SIGNIFICATIF DANS PAYS
o`>ÌÊDÊ«iÃiÀʵÕiÊ ,ES ÏLÒVES QUI PRÏFÒRENT LAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION TENDENT Ì RÏALISER DE
iÃÊ>««Ài>ÌÃÊ>VÌvÃÊ MEILLEURES PERFORMANCES QUE CEUX QUI NE LUI VOUENT AUCUNE SYMPATHIE )L EN VA
ÀiVÕÀiÌÊ>ÕÝÊ`iÕÝÊ DE MÐME POUR CEUX QUI PRIVILÏGIENT LAPPRENTISSAGE COMPÏTITIF !U
DELÌ DE CELA
ÃÌÀ>Ìj}iÃÊÃiÊiÃÊ IL Y A UNE TENDANCE GÏNÏRALE POUR CEUX QUI AIMENT LAPPRENTISSAGE COOPÏRATIF Ì
VÀVÃÌ>Við APPRÏCIER AUSSI LAPPRENTISSAGE COMPÏTITIF ET PEUT
ÐTRE ONT
ILS UNE BONNE DISPO
SITION QUANT Ì LAPPRENTISSAGE EN GÏNÏRAL #ETTE TENDANCE DONNE Ì PENSER QUE
LES APPRENANTS ACTIFS RECOURENT AUX DEUX STRATÏGIES SELON LES CIRCONSTANCES ET
NE SE CONTENTENT PAS DUNE SEULE STRATÏGIE QUI RISQUE DAILLEURS DE NÐTRE PAS LA
MEILLEURE POUR FAIRE FACE Ì LA SITUATION $ES RECHERCHES COMPLÏMENTAIRES SONT
NÏCESSAIRES POUR POUVOIR ANALYSER CES ASPECTS PLUS EN DÏTAIL
,INFORMATIQUE AU SERVICE DE LAPPRENTISSAGE
ÕÕÀ`½
Õ]ÊiÃÊ ,ES ÏCONOMIES DES PAYS DE L/#$% DÏPENDENT DE PLUS EN PLUS DES CONNAIS
V>ÃÃ>ViÃÊiÌÊV«jÌiViÃÊ SANCES ET COMPÏTENCES DE LA MAIN
DUVRE EN INFORMATIQUE ,ES ÏLÒVES QUI
iÊvÀ>̵ÕiÊÃÌÊ SONT PEU n OU PAS n FAMILIARISÏS AVEC LES ORDINATEURS ET LINFORMATIQUE RISQUENT
`ëiÃ>Lið DÏPROUVER DES DIFFICULTÏS POUR ENTRER SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL MODERNE
,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i #(!0)42%
}ÕÀiÊ{°Ç
!PPRENTISSAGE EN COLLABORATION ET COMPÏTITIF
)NDICE DgAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION )NDICE DgAPPRENTISSAGE COMPÏTITIF
#ORÏE
,UXEMBOURG
(ONGRIE
)SLANDE
3UÒDE
!LLEMAGNE
"ELGIQUE #OM FLAMANDE
)NFÏRIEUR 3UPÏRIEUR !UTRICHE )NFÏRIEUR 3UPÏRIEUR
Ë LA MOYENNE
/#$%
Ë LA MOYENNE
/#$%
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE Ë LA MOYENNE
/#$%
Ë LA MOYENNE
/#$%
3UISSE
&INLANDE
!USTRALIE
.ORVÒGE
)TALIE
-EXIQUE
)RLANDE
.OUVELLE
:ÏLANDE
³TATS
5NIS
$ANEMARK
0ORTUGAL
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
,IECHTENSTEIN
,ETTONIE
"RÏSIL
.OTE 0OUR UNE DÏFINITION DES INDICES VOIR LANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAUX ET
° LOCCASION DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! TROIS ASPECTS PERTINENTS DANS
LE CONTEXTE DE LA FAMILIARITÏ DES JEUNES DE ANS AVEC LINFORMATIQUE ONT
ÏTÏ ÏTUDIÏS LINTÏRÐT DES ÏLÒVES POUR LINFORMATIQUE LEUR CONCEPTION DE LEUR
CAPACITÏ Ì SE SERVIR DUN ORDINATEUR ET LEUR PRATIQUE DE LINFORMATIQUE #ETTE
ENQUÐTE A ÏTÏ ADMINISTRÏE AU TITRE DOPTION INTERNATIONALE ET DES PAYS
PARTICIPANT AU 0)3! Y ONT PRIS PART
%N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% QUI ONT FAIT LOBJET DE CETTE ÏTUDE >Ê>ÀÌjÊ`iÃÊjmÛiÃÊ
POUR CENT DES ÏLÒVES DISENT SE SERVIR DUN ORDINATEUR PARCE QUE CELA LES Ìj}iÊ`½ÕÊÌjÀkÌÊ
INTÏRESSE BEAUCOUP #ETTE PROPORTION NE DESCEND SOUS LA BARRE DES POUR CENT «ÕÀʽvÀ>̵Õi°°°
DANS AUCUN PAYS VOIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES )LS SONT EN MOYENNE
POUR CENT Ì CONSIDÏRER QUE TRAVAILLER SUR ORDINATEUR EST TRÒS IMPORTANT
,A FIGURE COMPARE LES PAYS EN FONCTION DUN INDICE QUI RÏSUME LES DIVERSES
QUESTIONS PORTANT SUR LINTÏRÐT POUR LINFORMATIQUE ,INDICE A ÏTÏ ÏLABORÏ EN
ATTRIBUANT LA VALEUR AU SCORE MOYEN DE LENSEMBLE DES PAYS ET LA VALEUR Ì
LÏCART TYPE VOIR LANNEXE ! POUR LA DÏFINITION DE LINDICE ET LES RÏFÏRENCES AU
#(!0)42% ,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i
}ÕÀiÊ{°n
)NTÏRÐT POUR LgINFORMATIQUE
)NDICE DgINTÏRÐT POUR LgINFORMATIQUE
³TATS
5NIS
,UXEMBOURG
-EXIQUE
!LLEMAGNE
3UÒDE
3UISSE
)NFÏRIEUR 3UPÏRIEUR
"ELGIQUE #OM FLAMANDE Ë LA MOYENNE
/#$%
Ë LA MOYENNE
/#$%
)RLANDE
(ONGRIE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
#ANADA
&INLANDE
!USTRALIE
$ANEMARK
.OUVELLE
:ÏLANDE
"RÏSIL
,ETTONIE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
,IECHTENSTEIN
.OTE 0OUR UNE DÏFINITION DE LINDICE VOIR LANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
CADRE CONCEPTUEL DE CELUI
CI ,ES VALEURS POSITIVES DE LINDICE INDIQUENT QUE
LES ÏLÒVES RÏAGISSENT SOUVENT DE MANIÒRE POSITIVE AUX PROPOSITIONS SUIVANTES
i 4RAVAILLER SUR ORDINATEUR EST TRÒS IMPORTANT POUR MOI w i *OUER OU TRAVAILLER
SUR ORDINATEUR EST TRÒS AGRÏABLE w i *E ME SERS DE LORDINATEUR PARCE QUE CELA
MINTÏRESSE BEAUCOUP w ET i 1UAND JE TRAVAILLE SUR ORDINATEUR JE NE VOIS PAS LE
TEMPS PASSER w ,A FIGURE MONTRE LES RÏSULTATS MOYENS SELON LINDICE DINTÏRÐT
POUR LINFORMATIQUE
o>ÛiVÊ`iÃÊ`vvjÀiViÃÊ #EST EN !LLEMAGNE AUX ³TATS
5NIS AU ,UXEMBOURG ET AU -EXIQUE QUE LES
iÌÀiÊ«>ÞÃo ÏLÒVES MANIFESTENT LE PLUS GRAND INTÏRÐT POUR LINFORMATIQUE ,ÏCART ENTRE CES
PAYS ET LE $ANEMARK ET LA .OUVELLE
:ÏLANDE LES DEUX PAYS Oá LINTÏRÐT POUR
LINFORMATIQUE EST LE PLUS FAIBLE REPRÏSENTE PLUS DE LA MOITIÏ DUN ÏCART TYPE
TABLEAU
oiÌÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝið $ANS LA PLUPART DES PAYS LES GAR ONS SINTÏRESSENT BEAUCOUP PLUS QUE LES FILLES Ì
LINFORMATIQUE ,ES ³TATS
5NIS FONT EXCEPTION Ì LA RÒGLE CAR TANT LES FILLES QUE LES
GAR ONS Y MANIFESTENT UN GRAND INTÏRÐT POUR LINFORMATIQUE TABLEAU
,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i #(!0)42%
,INTÏRÐT POUR LINFORMATIQUE PEUT ÐTRE UNE CONDITION SINE QUA NON DE LUTILISA
>Ê>ÀÌjÊ`iÃÊjmÛiÃÊÃiÊ
TION EFFICACE DORDINATEURS MAIS LA FAMILIARITÏ AVEC LINFORMATIQUE EST ÏGALEMENT `ÌÊDʽ>ÃiÊ«ÕÀÊÌÀ>Û>iÀÊ
INDISPENSABLE POUR QUE CETTE UTILISATION PORTE SES FRUITS %N MOYENNE DANS LES ÃÕÀʽÀ`>ÌiÕÀ°
PAYS DE L/#$% POUR CENT DES PAYS SE DISENT i TOUT Ì FAIT Ì LAISE w OU i Ì
LAISE w POUR RÏDIGER UN TRAVAIL SUR ORDINATEUR TANDIS QUE POUR CENT SE DÏCLA
RENT i TOUT Ì FAIT Ì LAISE w OU i Ì LAISE w POUR PASSER UN TEST SUR ORDINATEUR VOIR
WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
,A FIGURE COMPARE LES PAYS EN FONCTION DUN INDICE QUI RÏSUME LES DIVERSES
QUESTIONS PORTANT SUR LAISANCE ET PERCEPTION DES CAPACITÏS EN INFORMATIQUE
,INDICE A ÏTÏ ÏLABORÏ EN ATTRIBUANT LA VALEUR AU SCORE MOYEN DE LENSEMBLE
DES PAYS ET LA VALEUR Ì LÏCART TYPE VOIR LANNEXE ! POUR LA DÏFINITION DE LIN
DICE ET LES RÏFÏRENCES AU CADRE CONCEPTUEL DE CELUI
CI ,ES VALEURS POSITIVES DE
LINDICE INDIQUENT QUE SOUVENT LES ÏLÒVES SE DÏCLARENT EN ACCORD AVEC LA PROPOSI
TION SUIVANTE i 4RAVAILLER SUR ORDINATEUR EST TRÒS IMPORTANT POUR MOI w QUILS
DISENT SE SENTIR Ì LAISE POUR RÏDIGER UN TRAVAIL SUR ORDINATEUR ET PASSER UN TEST
SUR ORDINATEUR ET QUILS TIENNENT EN BONNE ESTIME LEUR CAPACITÏ Ì SE SERVIR DUN
ORDINATEUR PAR COMPARAISON AVEC LES AUTRES JEUNES DE ANS TABLEAU
}ÕÀiÊ{°
#ONFIANCE EN SOI ET CAPACITÏ PER UE EN INFORMATIQUE
)NDICE DE CONFIANCE EN SOI ET DE CAPACITÏ PER UE EN INFORMATIQUE
³TATS
5NIS
#ANADA
!USTRALIE
.OUVELLE
:ÏLANDE
"ELGIQUE #OM FLAMANDE
.ORVÒGE )NFÏRIEUR 3UPÏRIEUR
Ë LA MOYENNE Ë LA MOYENNE
$ANEMARK /#$% /#$%
,UXEMBOURG
3UÒDE
&INLANDE
)RLANDE
-EXIQUE
3UISSE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
!LLEMAGNE
(ONGRIE
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
"RÏSIL
.OTE 0OUR UNE DÏFINITION DE LINDICE VOIR LANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
#(!0)42% ,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i
½ÌjÀkÌÊ«ÕÀÊ ,ES ÏLÒVES QUI SE SITUENT Ì UN POINT PLUS ÏLEVÏ SUR LINDICE DE LINTÏRÐT POUR
½vÀ>̵ÕiÊiÃÌÊ>ÃÃVjÊ LINFORMATIQUE ONT TENDANCE Ì RÏALISER DE MEILLEURES PERFORMANCES SUR LÏCHELLE
DÊ`iÊiiÕÀiÃÊ COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT #EPENDANT LINTERPRÏTATION DE CETTE
«iÀvÀ>ViÃÊiÊ RELATION DOIT FAIRE LOBJET DE LA PLUS GRANDE PRUDENCE CAR NON SEULEMENT LES
V«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ]Ê DONNÏES SUR LE SENS DE CETTE RELATION FONT DÏFAUT MAIS AUSSI PARCE QUE DES FACTEURS
>ÃÊÊý>}ÌÊ`½ÕiÊ TIERS PEUVENT INTERVENIR PAR EXEMPLE DES ÏLÒVES ISSUS DUN MILIEU PLUS PROSPÒRE
Ài>ÌÊV«iÝi° OU DISPOSANT DE DAVANTAGE DOUTILS DIDACTIQUES Ì LA MAISON OU Ì LÏCOLE ONT PLUS
AISÏMENT ACCÒS AUX ORDINATEURS ET SONT DONC PLUS INTÏRESSÏS PAR LINFORMATIQUE
>Ê>ÀÌjÊ`iÃÊjmÛiÃÊÃiÊ %N QUOI LUTILISATION DUN ORDINATEUR A T ELLE UN RAPPORT AVEC LÏCOLE %N MOYENNE
ÃiÀÌÊÀj}ÕmÀiiÌÊ`½ÕÊ DANS LES PAYS DE L/#$% POUR CENT DES ÏLÒVES DE ANS SE SERVENT DUN
À`>ÌiÕÀÊDÊ>Ê>ÃÊiÌÊ ORDINATEUR Ì LA MAISON PRESQUE CHAQUE JOUR OU AU MOINS QUELQUES FOIS PAR SEMAINE
DʽjVio #E CHIFFRE VARIE DE POUR CENT AU -EXIQUE POUR CENT EN (ONGRIE ET POUR
CENT EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE Ì PLUS DE POUR CENT EN !USTRALIE AU #ANADA EN
.ORVÒGE ET EN 3UÒDE VOIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES ,E POURCENTAGE
DÏLÒVES QUI SE SERVENT DUN ORDINATEUR Ì LÏCOLE PRESQUE CHAQUE JOUR OU AU
MOINS QUELQUES FOIS PAR SEMAINE EST BIEN INFÏRIEUR DE LORDRE DE POUR CENT
EN MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% )LS SONT DE POUR CENT EN !LLEMAGNE Ì
POUR CENT AU MOINS AU $ANEMARK EN (ONGRIE ET AU 2OYAUME 5NI
oiÌÊ`>ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃ]Ê %N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% UN QUART DES ÏLÒVES SE SERVENT DUN ORDI
ÕiÊ«iÌÌiÊÌjÊÃiÊÃiÀÌÊ NATEUR CHAQUE JOUR POUR ACCÏDER Ì )NTERNET ET UN AUTRE QUART QUELQUES FOIS PAR
`½ÕÊÀ`>ÌiÕÀÊ«ÀiõÕiÊ SEMAINE AU MOINS #EST AU #ANADA ET EN 3UÒDE QUE LUTILISATION D)NTERNET EST
V >µÕiÊÕÀÊ«ÕÀÊ>VVj`iÀÊ LA PLUS FRÏQUENTE ET POUR CENT DÏLÒVES SE SERVENT DUN ORDINATEUR PRESQUE
DÊÌiÀiÌ° CHAQUE JOUR POUR ACCÏDER Ì )NTERNET %N MOYENNE POUR CENT DES ÏLÒVES UTILI
SENT UN ORDINATEUR PRESQUE CHAQUE JOUR OU QUELQUES FOIS PAR SEMAINE AU MOINS
POUR DES COMMUNICATIONS ÏLECTRONIQUES TANDIS QUE POUR CENT SEN SERVENT
POUR APPRENDRE DES MATIÒRES SCOLAIRES VOIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
iʵÕiʽÌj}À>ÌÊ "IEN QUE LINTÏGRATION DE LINFORMATIQUE DANS LE PROCESSUS DENSEIGNEMENT ET
`iʽvÀ>̵ÕiÊ`>ÃÊ DAPPRENTISSAGE SOIT PROGRESSIVE 0ELGRUM ET !NDERSON LES RÏSULTATS DU
½iÃi}iiÌÊiÌÊ CYCLE DÏVALUATION 0)3! MONTRENT QUE LOUTIL INFORMATIQUE INTÏRESSE DÏJÌ
½>««ÀiÌÃÃ>}iÊÃÌÊ LES JEUNES DE ANS ET QUE NOMBREUX SONT CEUX QUI SE SERVENT COURAMMENT
«À}ÀiÃÃÛi]ʽÕÌÊ DUN ORDINATEUR SANS LA MOINDRE DIFFICULTÏ
vÀ>̵ÕiÊÌjÀiÃÃiÊ
`jDÊiÃÊiÕiÃÊ`iÊ£xÊ>ð #ONCLUSIONS
iÃÊjmÛiÃʵÕ]Ê>ÕÊÃÀÌÀÊ !UJOURDHUI TOUS SACCORDENT Ì RECONNAÔTRE QUE LAPPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE
`iʽjVi]ÊÃÌÊV>«>LiÃÊ LA VIE EST UN BESOIN AUQUEL LA POLITIQUE ÏDUCATIVE CONTEMPORAINE DOIT RÏPONDRE
`iÊÃiÊvÝiÀÊ`iÃÊLiVÌvÃÊ DE PLUS EN PLUS #E BESOIN SOULÒVE DES QUESTIONS IMPORTANTES QUI ONT TRAIT NON
iÊ>ÌmÀiÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊ SEULEMENT AUX OCCASIONS ET POSSIBILITÏS DAPPRENDRE EN TOUT TEMPS MAIS ÏGALE
iÌÊÌʽ«ÀiÃÃÊ`½kÌÀiÊ MENT AU DÏVELOPPEMENT DES CAPACITÏS PERSONNELLES QUI SONT INDISPENSABLES POUR
iÊiÃÕÀiÊ`iÊiÃÊ>ÌÌi`ÀiÊ PERMETTRE AUX INDIVIDUS DE TIRER PARTI DE CES POSSIBILITÏS
ÃÌÊ`iÊvÕÌÕÀÃÊ>««Ài>ÌÃÊ
ÌÕÌÊ>ÕÊ}Ê`iÊ>ÊÛio $ÏVELOPPER LA PRÏDISPOSITION Ì VOULOIR APPRENDRE ET LA CAPACITÏ DE LE FAIRE EFFICA
CEMENT SONT DES OBJECTIFS IMPORTANTS DE LA SCOLARISATION #ES DEUX ASPECTS SONT
DAILLEURS DE PLUS EN PLUS EXPLICITES DANS LES POLITIQUES NATIONALES EN MATIÒRE
,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i #(!0)42%
DENSEIGNEMENT ,ES ÏLÒVES QUI AU SORTIR DE LÏCOLE ONT UN CERTAIN SENS DE
LAUTONOMIE INDISPENSABLE POUR SE FIXER DES OBJECTIFS EN MATIÒRE DAPPRENTIS
SAGE ET ONT LIMPRESSION QUILS SONT EN MESURE DE LES ATTEINDRE SONT SUSCEPTIBLES
DAPPRENDRE TOUT AU LONG DE LEUR VIE ,A MOTIVATION ET LENGAGEMENT PEUVENT
AUSSI AFFECTER LA QUALITÏ DE VIE DES ÏLÒVES PENDANT LEUR ADOLESCENCE ET LEUR RÏUS
SITE DANS LEURS ÏTUDES ULTÏRIEURES OU DANS LEUR CARRIÒRE PROFESSIONNELLE
,ES RÏSULTATS DU 0)3! MONTRENT QUE LES ÏLÒVES QUI SONT LES PLUS SUSCEPTIBLES DE oiÌÊiÊ*-Ê`iÊ`iÃÊ
MÏMORISER DES INFORMATIONS NOBTIENNENT PAS TOUJOURS LES MEILLEURS RÏSULTATS `V>ÌÃʵÕ>ÌÊ>ÕÝÊ
MAIS QUE CEUX QUI TRAITENT LINFORMATION ET UTILISENT DES STRATÏGIES DÏLABORATION ÃÌÀ>Ìj}iÃʵÕÊ«iÕÛiÌÊ
RÏUSSISSENT MIEUX %NFIN LE 0)3! NE DONNE AUCUNE INDICATION QUANT Ì LA SUPÏRIO
VÌÀLÕiÀÊDÊ>ÌÌi`ÀiÊViÃÊ
RITÏ ÏVENTUELLE SOIT DE LAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION SOIT DE LAPPRENTISSAGE LiVÌvð
COMPÏTITIF ,ES RÏSULTATS SUGGÒRENT CEPENDANT QUE LES DEUX STRATÏGIES PEUVENT
SE COMPLÏTER POUR CONTRIBUER Ì RELEVER LE NIVEAU DE PERFORMANCE .OTAMMENT
ÏTANT DONNÏ QUE LE RECOURS Ì LAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION DÏPEND EN GRANDE
PARTIE DE LA MANIÒRE DONT LES POSSIBILITÏS DAPPRENTISSAGE SONT ORGANISÏES AU SEIN
DES ÏTABLISSEMENTS SCOLAIRES CES RÏSULTATS SONT ÏDIFIANTS TANT POUR LES POLITIQUES
QUE POUR LA PRATIQUE ÏDUCATIVES
4OUTEFOIS IL NEST GUÒRE SATISFAISANT DE CONSTATER QUEN DÏPIT DES INVESTISSEMENTS "Ê«iÕÌÊiÕÝÊv>ÀiÊ
CONSIDÏRABLES CONSENTIS PAR TOUS LES PAYS DANS LENSEIGNEMENT UNE MINORITÏ «ÕÀÊÃÌÕiÀÊ
SIGNIFICATIVE DÏLÒVES AFFICHENT DES ATTITUDES NÏGATIVES VIS Ì VIS DE LÏCOLE ET ½i}>}iiÌÊ`iÃÊjmÛiÃÊ
PRÏSENTENT UN MANQUE DENGAGEMENT Ì SON ÏGARD BIEN QUE CELA PUISSE ÐTRE ÛÃDÛÃÊ`iÊ
IMPUTABLE EN PARTIE Ì LÊGE DE LA POPULATION ÏVALUÏE #E MANQUE DENGAGEMENT ½>««ÀiÌÃÃ>}io
EST NON SEULEMENT ASSOCIÏ Ì UN PIÒTRE RENDEMENT MAIS IL RENVOIE AUSSI Ì UN AUTRE
PHÏNOMÒNE LES ÏLÒVES QUI SONT MAL DISPOSÏS ENVERS LÏCOLE RISQUENT ÏGALEMENT
Ì LAVENIR DE SENGAGER MOINS QUE LES AUTRES DANS DES ACTIVITÏS DAPPRENTISSAGE
QUE CE SOIT Ì LINTÏRIEUR OU Ì LEXTÏRIEUR DU CADRE SCOLAIRE
,E DÏBAT SUR LA NATURE PRÏCISE DES RELATIONS ENTRE LES VARIABLES PRÏSENTÏES DANS oiÌÊÊiÃÊÃÞÃÌmiÃÊ
CE CHAPITRE REVÐT UNE CERTAINE IMPORTANCE SUR LE PLAN THÏORIQUE MAIS SA PORTÏE `ÛiÌÊÛÃiÀÊDÊÃÌ>ÕÀiÀÊ
PRATIQUE EST LIMITÏE ,EFFICACITÏ DES STRATÏGIES DAPPRENTISSAGE DES PERFORMANCES ÕiÊvÀiÊ`iÊLikÌÀiÊ
ÏLEVÏES ET LES ATTITUDES POSITIVES VONT DE PAIR LES ÏLÒVES AIMENT LES CHOSES QUILS DʽjViÊÌÕÌÊiÊÀiiÛ>ÌÊ
FONT BIEN ET FONT BIEN LES CHOSES QUILS AIMENT ,ES ÏTABLISSEMENTS ET LES SYSTÒMES iÊÛi>ÕÊ`iÊ
DENSEIGNEMENT DOIVENT VEILLER Ì LA FOIS Ì LA PERFORMANCE ET Ì LA SATISFACTION ET NE «iÀvÀ>ViÃ]ÊViÃÊ`iÕÝÊ
PEUVENT PRENDRE LE RISQUE DE PRIVILÏGIER LUNE DES DEUX CONVAINCUS QUE LAUTRE LiVÌvÃÊÃiÊÀivÀX>ÌÊ
SUIVRA ,A CONJONCTION DE CES DEUX ASPECTS PERMET DE JETER LES BASES DUN ENGAGE
ÕÌÕiiiÌ°
MENT PRODUCTIF Ì LÏGARD DE LAPPRENTISSAGE POUR LA VIE
#(!0)42% ,jÃÕÌ>ÌÃÊ}jjÀ>ÕÝÊ`iʽ>««ÀiÌÃÃ>}i
.OTES
0ARMI LES PAYS PARTICIPANT Ì LOPTION INTERNATIONALE SUR LES ATTITUDES DES ÏLÒVES PAR RAPPORT Ì LAPPRENTISSAGE ET LEUR
CONFIANCE EN LEURS PROPRES CAPACITÏS IL Y AVAIT PAYS -EMBRES DE L/#$% ,A MOYENNE DE L/#$% FAIT EXCLUSIVEMENT
RÏFÏRENCE Ì CES PAYS ,ES DONNÏES RELATIVES Ì LA "ELGIQUE FONT UNIQUEMENT RÏFÏRENCE Ì LA #OMMUNAUTÏ FLAMANDE
,ES ÏCHELLES COMPORTAIENT LES CATÏGORIES DE RÏPONSE i PAS DACCORD i i PAS TOUT Ì FAIT DACCORD w i PLUTÙT DACCORD w ET
i DACCORD w
$ANS TOUS LES PAYS SAUF LE -EXIQUE LÏCART DE PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT QUI SÏPARE LES ÏLÒVES DES QUARTILES
SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR DE LINDICE DINTÏRÐT POUR LA LECTURE EST STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF #EPENDANT LA RELATION ENTRE
QUARTILES CONSÏCUTIFS NEST PAS AUSSI MANIFESTE Ì TEL POINT QUON OBSERVE DES INVERSIONS ENTRE QUARTILES DANS CERTAINS PAYS
#ETTE ESTIMATION EST OBTENUE Ì PARTIR DES COEFFICIENTS DE RÏGRESSION NON NORMALISÏS DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR
LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR RAPPORT Ì LINDICE 0)3! DE LINTÏRÐT POUR LA LECTURE #ES COEFFICIENTS
INDIQUENT LÏCART DE PERFORMANCE EN LECTURE ASSOCIÏ Ì UNE PROGRESSION DUNE UNITÏ CEST
Ì
DIRE UN ÏCART TYPE DE LINDICE
0)3! DE LINTÏRÐT POUR LA LECTURE ,A RELATION EST STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE DANS TOUS LES PAYS 0OUR LES PAYS DE L/#$%
CETTE RELATION EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIATION GLOBALE DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES VOIR ANNEXE !
#ETTE ÏCHELLE ET LES AUTRES ÏCHELLES AUXQUELLES FAIT RÏFÏRENCE CE PARAGRAPHE COMPORTAIENT LES CATÏGORIES DE RÏPONSE i PAS
DACCORD w i PAS TOUT Ì FAIT DACCORD w i PLUTÙT DACCORD w ET i DACCORD w
$ANS TOUS LES PAYS SAUF AU ,IECHTENSTEIN AU ,UXEMBOURG AU -EXIQUE ET EN 3UISSE LÏCART DE PERFORMANCE EN CULTURE
MATHÏMATIQUE QUI SÏPARE LES ÏLÒVES DES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR DE LINDICE DINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES EST
STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF #EPENDANT LA RELATION ENTRE QUARTILES CONSÏCUTIFS NEST PAS AUSSI MANIFESTE Ì TEL POINT QUON
OBSERVE DES INVERSIONS ENTRE QUARTILES DANS CERTAINS PAYS
)L SAGIT DES ÏLÒVES QUI ÏTAIENT DACCORD OU TOUT Ì FAIT DACCORD AVEC LAFFIRMATION i *E NE LIS QUE POUR TROUVER LES INFORMATIONS
DONT JAI BESOIN w SUR UNE ÏCHELLE DONT LES CATÏGORIES DE RÏPONSE ÏTAIENT i PAS DU TOUT DACCORD w i PAS DACCORD w i DACCORD w
ET i TOUT Ì FAIT DACCORD w
,ES CATÏGORIES DE RÏPONSE SUR CETTE ÏCHELLE ÏTAIENT i PAS DU TOUT DACCORD w i PAS DACCORD w i DACCORD w ET i TOUT Ì FAIT
DACCORD w
$ANS TOUS LES PAYS LÏCART DE PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT QUI SÏPARE LES ÏLÒVES DES
QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR DE LINDICE DENGAGEMENT POUR LA LECTURE EST STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF #EPENDANT LA
RELATION ENTRE QUARTILES CONSÏCUTIFS NEST PAS AUSSI MANIFESTE Ì TEL POINT QUON OBSERVE DES INVERSIONS ENTRE QUARTILES DANS
CERTAINS PAYS ,ES COEFFICIENTS DE RÏGRESSION NON NORMALISÏS SONT EUX AUSSI STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIFS DANS TOUS LES PAYS
,ES CATÏGORIES DE RÏPONSE SUR CETTE ÏCHELLE ÏTAIENT i JE NE LIS PAS POUR MON PLAISIR w i JE LIS MOINS DUNE DEMI HEURE PAR
JOUR w i ENTRE UNE DEMI HEURE ET UNE HEURE PAR JOUR w i Ì HEURES PAR JOUR w ET i PLUS DE DEUX HEURES PAR JOUR w
,ES CATÏGORIES DE RÏPONSE SUR CETTE ÏCHELLE ÏTAIENT i PAS DU TOUT DACCORD w i PAS DACCORD w i DACCORD w ET i TOUT Ì FAIT
DACCORD w
,ES CATÏGORIES DE RÏPONSE SUR CETTE ÏCHELLE ÏTAIENT i PAS DU TOUT DACCORD w i PAS DACCORD w i DACCORD w ET i TOUT Ì FAIT
DACCORD w
0OUR LES PAYS DE L/#$% CETTE RELATION EXPLIQUE EN MOYENNE POUR CENT DE LA VARIATION GLOBALE DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES
%N "ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FLAMANDE AUX ³TATS 5NIS ET AUX 0AYS "AS LES ÏCARTS NE SONT PAS STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIFS
0ARMI LES PAYS PARTICIPANT Ì LOPTION INTERNATIONALE SUR LA FAMILIARITÏ AVEC LINFORMATIQUE IL Y AVAIT PAYS -EMBRES DE
L/#$% ,A MOYENNE DE L/#$% FAIT EXCLUSIVEMENT RÏFÏRENCE Ì CES PAYS
,ES CATÏGORIES DE RÏPONSE SUR LES ÏCHELLES AUXQUELLES CETTE SECTION FAIT RÏFÏRENCE ÏTAIENT i PRESQUE CHAQUE JOUR w i PLUSIEURS
FOIS PAR SEMAINE w i ENTRE UNE FOIS PAR SEMAINE ET UNE FOIS PAR MOIS w i MOINS DUNE FOIS PAR MOIS w ET i JAMAIS w
#HAPITRE
,
Ê
/,
-Ê-
8
-
#(!0)42% vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃ
)NTRODUCTION
/ÕÃÊiÃÊ«>ÞÃÊV
iÀV
iÌÊ #ONSCIENTS DE LIMPACT DE LENSEIGNEMENT SUR LA PARTICIPATION AUX MARCHÏS DU
DÊÀj`ÕÀiÊiÃÊ`ë>ÀÌjÃÊ TRAVAIL SUR LA MOBILITÏ PROFESSIONNELLE ET SUR LA QUALITÏ DE VIE TOUS LES PAYS
iÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃo SOULIGNENT COMBIEN IL EST IMPORTANT DE RÏDUIRE LES DISPARITÏS ENTRE LES DEUX
SEXES EN MATIÒRE DENSEIGNEMENT
oiÌÊiÊvÃÃjÊiÌÀiÊiÃÊ ,E FOSSÏ ENTRE LES NIVEAUX DENSEIGNEMENT DES HOMMES ET DES FEMMES A COMMENCÏ
Ûi>ÕÝÊ`iÊvÀ>ÌÊ`iÃÊ Ì SE COMBLER AVEC DE PLUS EN PLUS DE SUCCÒS ,ES FEMMES PLUS JEUNES ONT BEAUCOUP
iÃÊiÌÊ`iÃÊviiÃÊ PLUS DE CHANCES DOBTENIR UN DIPLÙME DENSEIGNEMENT TERTIAIRE QUE LES FEMMES
>Ê}jjÀ>iiÌÊ IL Y A TRENTE ANS $ANS DES PAYS DE L/#$% POUR LESQUELS LES DONNÏES SONT
ViVjÊDÊÃiÊVLiÀÊ COMPARABLES LES FEMMES DE Ì ANS SONT DEUX FOIS PLUS NOMBREUSES QUE CELLES
>ÛiVÊÃÕVVmÃo DE Ì ANS Ì AVOIR ATTEINT LE NIVEAU TERTIAIRE !UJOURDHUI LE TAUX DOBTENTION
DE DIPLÙMES UNIVERSITAIRES DES FEMMES EST ÏGAL OU SUPÏRIEUR Ì CELUI DES HOMMES
DANS DES PAYS DE L/#$% POUR LESQUELS DES DONNÏES COMPARABLES SONT
DISPONIBLES /#$%
okiÊÃÊiÃÊviiÃÊ &ORCE EST POURTANT DE CONSTATER QUE LES DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES RESTENT MARQUÏES
ÃÌÊiVÀiÊ DANS LENSEIGNEMENT TERTIAIRE EN PARTICULIER DANS CERTAINES MATIÒRES $ANS LES PAYS
ÃÕÃÀi«ÀjÃiÌjiÃÊ`>ÃÊ DE L/#$% MOINS DE POUR CENT EN MOYENNE DES TITULAIRES DE DIPLÙMES TERTIAIRES
ViÀÌ>iÃÊ`ÃV«iÃÊ`iÊ EN MATHÏMATIQUES ET EN INFORMATIQUE SONT DES FEMMES %N !UTRICHE EN (ONGRIE
½iÃi}iiÌÊÌiÀÌ>Ài° EN )SLANDE EN .ORVÒGE AUX 0AYS
"AS EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE ET EN 3UISSE ELLES
SONT ENTRE ET POUR CENT ,ÏCART DANS LES TAUX DOBTENTION DE DIPLÙMES EST
SENSIBLE QUOIQUE MOINS MARQUÏ EN SCIENCES NATURELLES ET PHYSIQUES /#$%
3ELON LES CONCLUSIONS DÏVALUATIONS INTERNATIONALES ANTÏRIEURES LES DIFFÏRENCES DE
PERFORMANCE ENTRE LES SEXES EN MATHÏMATIQUES ET EN SCIENCES SONT RELATIVEMENT
FAIBLES DANS LES PREMIERS NIVEAUX DENSEIGNEMENT MAIS ELLES SONT NETTEMENT PLUS
PRONONCÏES ET PROFONDES DANS LES NIVEAUX SUPÏRIEURS ET LÏGÒREMENT EN FAVEUR DU
SEXE MASCULIN VOIR LENCADRÏ
iÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊÌÀ«Ê 0AR LE PASSÏ CE SONT LES RÏSULTATS INSUFFISANTS DU SEXE FÏMININ QUI INQUIÏTAIENT
v>LiÃÊ`iÃÊjmÛiÃÊ`iÊÃiÝiÊ LA QUASI
TOTALITÏ DE CEUX QUI SE PRÏOCCUPAIENT DES DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES
>ÃVÕÊ`iÛiiÌÊDÊ $EPUIS QUE LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ ONT RÏDUIT CET ÏCART ET ENSUITE SURPASSÏ LES
iÕÀÊÌÕÀÊÕÊÃÕiÌÊ`iÊ GAR ONS DANS MAINTS DOMAINES DE LENSEIGNEMENT ON OBSERVE DE NOMBREUX CAS
«ÀjVVÕ«>Ì° Oá LES PERFORMANCES TROP FAIBLES DU SEXE MASCULIN SONT DEVENUES Ì LEUR TOUR UN
SUJET DE PRÏOCCUPATION ,ES DIFFÏRENCES ENTRE SEXES Ì LÏGARD DES PERFORMANCES
DES ÏLÒVES MÏRITENT TOUTE LATTENTION DES POLITIQUES
iÊV
>«ÌÀiÊýÌjÀiÃÃiÊ #E CHAPITRE CONCLUT LA DESCRIPTION DU PROFIL DE COMPÏTENCES ENTAMÏE DANS LES
>ÕÝÊ`vvjÀiViÃÊ`iÊ CHAPITRES PRÏCÏDENTS EN SINTÏRESSANT AUX DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE ENTRE LES
«iÀvÀ>ViÊiÌÀiÊiÃÊ SEXES DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION )L ÏTEND PAR AILLEURS CETTE ANALYSE
ÃiÝiÃÊiÌÊjÌi`ʽ>>ÞÃiÊ Ì LINTÏRÐT POUR LES MATIÒRES ENSEIGNÏES Ì LA MOTIVATION ET Ì LIMAGE DE SOI
DÊÌÕÌiÊÕiÊ}>iÊ ,ES CHAPITRES SUIVANTS DU PRÏSENT RAPPORT SITUENT LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES PAR
`½>ëiVÌÃÊ`iÊ RAPPORT Ì LEUR MILIEU ET Ì LEUR ENVIRONNEMENT DAPPRENTISSAGE SE PENCHENT SUR
½>««ÀiÌÃÃ>}i° LES RESSOURCES HUMAINES ET FINANCIÒRES CONSACRÏES PAR LES PAYS Ì LENSEIGNEMENT
ET SUR CERTAINES CARACTÏRISTIQUES DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS ET ENFIN ÏTUDIENT LA
NATURE DE LA RELATION ENTRE LE RENDEMENT SCOLAIRE ET LE MILIEU FAMILIAL
vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃÊ #(!0)42%
%NCADRÏ ,ES ÏCARTS DE PERFORMANCES EN MATHÏMATIQUES
ET EN SCIENCES ENTRE LES SEXES ÏVOLUENT AVEC LÊGE
%N ET LA 4ROISIÒME ÏTUDE INTERNATIONALE SUR LES MATHÏMATIQUES ET LES SCIENCES 4)-33
DE L)%! A RÏVÏLÏ QUE LES PERFORMANCES EN MATHÏMATIQUES DES ÏLÒVES DE E ANNÏE NE FAISAIENT LOBJET
DE DIFFÏRENCES STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES ENTRE LES SEXES QUE DANS TROIS DES PAYS PARTICIPANTS
DE L/#$% LA #ORÏE LE *APON ET LES 0AYS
"AS ET QUE CES DIFFÏRENCES ÏTAIENT TOUTES FAVORABLES AU
SEXE MASCULIN 0AR CONTRASTE LA MÐME ÏTUDE A CONSTATÏ DES DIFFÏRENCES STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES
n TOUTES EN FAVEUR DU SEXE MASCULIN n EN CLASSE DE E ANNÏE DANS SIX DE CES MÐMES PAYS DE
L/#$% %NFIN DANS LA DERNIÒRE ANNÏE DE LENSEIGNEMENT SECONDAIRE SUPÏRIEUR LES DIFFÏRENCES ENTRE
SEXES OBSERVÏES DANS LES PERFORMANCES Ì LÏVALUATION 4)-33 ÏTAIENT IMPORTANTES ET STATISTIQUEMENT
SIGNIFICATIVES DANS TOUS LES PAYS PARTICIPANTS DE L/#$% EXCEPTÏ LES ³TATS
5NIS ET LA (ONGRIE ET
TOUTES FAVORABLES AU SEXE MASCULIN 5NE TENDANCE ANALOGUE SEST DÏGAGÏE POUR LES SCIENCES "EATON
ET AL -ULLIS ET AL
,A COMPARAISON DES SCORES ENTRE DEUX NIVEAUX DENSEIGNEMENT NE PERMET PAS DE RENDRE COMPTE
DE LA PROGRESSION DUN GROUPE SPÏCIFIQUE DÏLÒVES CAR PLUSIEURS GROUPES DÏLÒVES ONT PARTICIPÏ
Ì LÏVALUATION 4OUTEFOIS CES CONCLUSIONS INDIQUENT QUE DANS DE NOMBREUX PAYS DE L/#$% LES
DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES EN MATHÏMATIQUES ET EN SCIENCES SACCENTUENT DANS LES NIVEAUX SUPÏRIEURS
DENSEIGNEMENT
° LENCONTRE DE CETTE TENDANCE GÏNÏRALE 4)-33 A ÏGALEMENT DÏMONTRÏ QUE CERTAINS PAYS SONT PARVENUS Ì
LIMITER LAGGRAVATION DES DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES AU FIL DES ANNÏES DÏTUDE /#$% ET
$IFFÏRENCES ENTRE LES SEXES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET EN
CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE
,A FIGURE MONTRE LES DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE MOYENNE DANS LES TROIS
DOMAINES DÏVALUATION DU 0)3! ,A COMPARAISON DES PERFORMANCES ENTRE LES SEXES
MASCULIN ET FÏMININ EST BASÏE SUR LA MÐME ÏCHELLE QUE CELLE UTILISÏE POUR COMPARER
LA PERFORMANCE DES PAYS CHAPITRES ET 3UR CETTE ÏCHELLE PRÒS DES DEUX TIERS
DES JEUNES DE ANS DANS LES PAYS DE L/#$% SE SITUENT DANS UNE PLAGE DE
POINTS AUTOUR DU SCORE MOYEN 1UELQUE POINTS UN NIVEAU DE COMPÏTENCE
REPRÏSENTE POINTS SÏPARENT LES CINQ PAYS QUI SE SITUENT LE PLUS BAS SUR LÏCHELLE
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DES CINQ PAYS QUI SE SITUENT AU SOMMET EN
FONCTION DE LEUR PERFORMANCE MOYENNE ,ES RÏSERVES ÏMISES DANS LES CHAPITRES
ET SAPPLIQUENT ÏGALEMENT ICI IL CONVIENT DE GARDER PRÏSENT Ì LESPRIT LE FAIT
QUE LES DIFFÏRENCES DE SCORE MOYEN ENTRE LES SEXES MASCULIN ET FÏMININ PEUVENT
MASQUER UNE VARIATION SIGNIFICATIVE ENTRE LES SEXES QUI EST IMPUTABLE AUX DIFFÏRENTS >ÃÊÌÕÃÊiÃÊ«>ÞÃ]ÊiÊ
PROGRAMMES DENSEIGNEMENT ÏTABLISSEMENTS ET TYPES DÏLÒVES ÃiÝiÊvjÊ>ÌÌiÌÊ`iÃÊ
Ûi>ÕÝÊÃÕ«jÀiÕÀÃÊ`iÊ
,ES RÏSULTATS DU 0)3! MONTRENT QUE LA TENDANCE NE VARIE GUÒRE ENTRE V«jÌiViÊiÊ
LES PAYS EN MATIÒRE DE DIFFÏRENCES LIÏES AU SEXE $ANS TOUS LES PAYS LE SEXE FÏMI
V«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ]Ê
NIN ATTEINT GÏNÏRALEMENT DES NIVEAUX SUPÏRIEURS DE COMPÏTENCE EN COMPRÏ
iÌÊiÊÃiÝiÊ>ÃVÕÊiÊ
HENSION DE LÏCRIT Ì CEUX DU SEXE MASCULIN $ES DIFFÏRENCES STATISTIQUEMENT VÕÌÕÀiÊ>Ì
j>̵ÕiÊ
SIGNIFICATIVES SYSTÏMATIQUEMENT FAVORABLES AU SEXE MASCULIN SOBSERVENT EN `>ÃÊ>ÊÌjÊ`iÃÊ«>Þð
#(!0)42% vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃ
}ÕÀiÊx°£
$IFFÏRENCES DANS LES PERFORMANCES SELON LE SEXE
$IFFÏRENCES DANS LES MOYENNES DES ÏCHELLES 0)3!
²CHELLE COMBINÏE DE ²CHELLE DE CULTURE ²CHELLE DE CULTURE
COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT MATHÏMATIQUE SCIENTIFIQUE
-EILLEURES -EILLEURES -EILLEURES -EILLEURES -EILLEURES -EILLEURES
PERFORMANCES PERFORMANCES PERFORMANCES PERFORMANCES PERFORMANCES PERFORMANCES
CHEZ LES FEMMES CHEZ LES HOMMES CHEZ LES FEMMES CHEZ LES HOMMES CHEZ LES FEMMES CHEZ LES HOMMES
#ORÏE
-EXIQUE
%SPAGNE
0ORTUGAL
$ANEMARK
2OYAUME 5NI
!UTRICHE
,UXEMBOURG
³TATS 5NIS
)RLANDE
&RANCE
0AYS "AS
*APON
3UISSE
(ONGRIE
#ANADA
"ELGIQUE
!USTRALIE
!LLEMAGNE
0OLOGNE
3UÒDE
'RÒCE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
)TALIE
)SLANDE
.ORVÒGE
.OUVELLE :ÏLANDE
&INLANDE
"RÏSIL
,IECHTENSTEIN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
,ETTONIE
.OTE ,ES DIFFÏRENCES STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES SONT INDIQUÏES EN NOIR ET ROUGE
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU A
CULTURE MATHÏMATIQUE DANS LA MOITIÏ DES PAYS ENVIRON %N CULTURE SCIENTIFIQUE
LES DIFFÏRENCES ENTRE SEXES SONT MOINS MARQUÏES ET IL NY A PAS DE COHÏRENCE DANS
LE SENS DES ÏCARTS DANS PAYS DE L/#$% AUCUNE DIFFÏRENCE STATISTIQUEMENT
SIGNIFICATIVE NEST ENREGISTRÏE DANS LES PERFORMANCES EN SCIENCES TABLEAU A
>ÊÃÕ«jÀÀÌjÊ`ÕÊÃiÝiÊ ,A SUPÏRIORITÏ DU SEXE FÏMININ EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST GÏNÏRALISÏE
vjÊiÊ ET CONSIDÏRABLE DANS TOUS LES PAYS ,ÏCART REPRÏSENTE EN MOYENNE POINTS
V«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌÊ SOIT PRÒS DE LA MOITIÏ DUN NIVEAU DE COMPÏTENCE 0AR COMPARAISON AVEC LA
iÃÌÊVÃ`jÀ>Lio DIFFÏRENCE DE SCORE MOYEN ENTRE PAYS IL EST GÏNÏRALEMENT TOUT AUSSI IMPOR
TANT ,ÏCART EN MATHÏMATIQUES REPRÏSENTE ENVIRON UN TIERS DE CETTE VALEUR SOIT
vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃÊ #(!0)42%
POINTS EN FAVEUR DU SEXE MASCULIN %N SCIENCES LES DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES
NE SONT PAS SIGNIFICATIVES TABLEAU A
,ÏCART SIGNIFICATIF EN FAVEUR DU SEXE FÏMININ EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DANS o>ÃÊ«ÕÃÊÕÊÃÊ
TOUS LES PAYS ET LAVANTAGE DU SEXE MASCULIN EN CULTURE MATHÏMATIQUE DANS DE >ÀµÕjiÊÃiÊiÃÊ«>ÞÃo
NOMBREUX PAYS PEUT ÐTRE LE COROLLAIRE DUN CONTEXTE SOCIÏTAL ET CULTUREL PLUS
VASTE OU DE CERTAINES POLITIQUES ET PRATIQUES ÏDUCATIVES 1UE CETTE ÏVOLUTION SOIT
LA CONSÏQUENCE DE POLITIQUES ÏDUCATIVES OU NON ELLE INDIQUE QUE LES PAYS NE FONT
PAS TOUS PREUVE DE LA MÐME EFFICACITÏ POUR RÏDUIRE LES ÏCARTS ENTRE LES SEXES
ET QUE LE MODÒLE QUI VEUT QUE LES FEMMES SOIENT MEILLEURES EN LECTURE ET LES
HOMMES MEILLEURS EN MATHÏMATIQUES PERSISTE
#EPENDANT LA GRANDE VARIATION DES AVANTAGES DUN SEXE OU DE LAUTRE DANS oViʵÕÊ`iÊDÊ«iÃiÀÊ
LES PAYS EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DE POINTS OU MOINS EN #ORÏE AU µÕiÊiÃÊ`vvjÀiViÃÊiÌÀiÊ
$ANEMARK EN %SPAGNE AU -EXIQUE ET AU 0ORTUGAL Ì PLUS DE DEUX FOIS CET ÏCART iÃÊÃiÝiÃÊiÊÃÌÊ«>ÃÊ
EN &INLANDE ET EN ,ETTONIE EN CULTURE MATHÏMATIQUE DE PAYS NE PRÏSEN
jÕVÌ>Lið
TANT PAS DE DIFFÏRENCES STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES Ì UN ÏCART DE POINTS
EN !UTRICHE AU "RÏSIL ET EN #ORÏE DONNE Ì PENSER QUE CEUX
CI NE SONT PAS
INÏVITABLEMENT GÏNÏRÏS PAR DES DIFFÏRENCES DANS LES STYLES DENSEIGNEMENT ET
DAPPRENTISSAGE ENTRE HOMMES ET FEMMES #ES ÏCARTS PEUVENT ÐTRE RÏDUITS
%N FAIT CERTAINS PAYS SEMBLENT PRÏSENTER UN MILIEU DAPPRENTISSAGE QUI PERMET *ÕÃiÕÀÃÊ«>ÞÃÊ>iÌÊÕÊ
AUX DEUX SEXES DE TIRER PROFIT DE LEUR APPRENTISSAGE DANS LA MÐME MESURE #ELA ÃVÀiÊÞiÊ
PEUT ÐTRE LE RÏSULTAT DIRECT DEFFORTS ÏDUCATIFS SPÏCIFIQUES Oá ÐTRE Dß Ì CONTEXTE Ài>ÌÛiiÌÊjiÛjÊiÌÊ`iÃÊ
SOCIÏTAL PLUS OUVERT ET PLUS FAVORABLE ,A #ORÏE ET DANS UNE MOINDRE MESURE jV>ÀÌÃÊÌjÃÊiÌÀiÊiÃÊ
L)RLANDE LE *APON ET LE 2OYAUME 5NI AFFICHENT UN SCORE MOYEN RELATIVEMENT ÃiÝiÃo
ÏLEVÏ EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET DES ÏCARTS LIMITÏS ENTRE LES SEXES %N
CULTURE MATHÏMATIQUE CE SONT LA "ELGIQUE LA &INLANDE LE *APON LA .OUVELLE
:ÏLANDE ET LE 2OYAUME 5NI QUI SE DISTINGUENT PAR UN SCORE MOYEN ÏLEVÏ ET PAR
DE FAIBLES DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES TABLEAU A
%N MÐME TEMPS CERTAINS DES PAYS QUI ACCUSENT LES PLUS GRANDES DIFFÏRENCES oµÕµÕiÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃÊ
ENTRE LES SEXES AFFICHENT ÏGALEMENT DES PERFORMANCES MOYENNES ÏLEVÏES !INSI µÕÊ>VVÕÃiÌÊiÃÊ«ÕÃÊ
EN &INLANDE LA DIFFÏRENCE NE RÏSIDE PAS DANS LE FAIT QUE LES PERFORMANCES DES }À>`iÃÊ`vvjÀiViÃÊiÌÀiÊ
ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN SONT FAIBLES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT n LEUR SCORE iÃÊÃiÝiÃÊ>vvV
iÌÊ
EST NETTEMENT SUPÏRIEUR AU SCORE MOYEN DE TOUS LES ÏLÒVES DU 0)3! ET SUPÏRIEUR j}>iiÌÊ`iÃÊ
Ì CELUI DU SEXE MASCULIN DE TOUS LES AUTRES PAYS n MAIS PLUTÙT DANS LE FAIT QUE «iÀvÀ>ViÃÊÞiiÃÊ
LE SCORE DES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ Y EST EXCEPTIONNEL PLUS DE POINTS LES jiÛjið
SÏPARENT DE LA .OUVELLE
:ÏLANDE QUI EST LE PAYS CLASSÏ EN DEUXIÒME POSITION
POUR LES PERFORMANCES ÏLEVÏES DU SEXE FÏMININ
,ES DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE EN LECTURE ENTRE LES SEXES FÏMININ ET MASCULIN >ÊÃÕ«jÀÀÌjÊ`ÕÊÃiÝiÊvjÊ
ONT TENDANCE Ì ÐTRE PLUS IMPORTANTES SUR LÏCHELLE i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU iÊV«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌÊ
DU TEXTE w QUI EST ASSOCIÏE Ì DES TÊCHES DEMANDANT UNE ÏVALUATION CRITIQUE DE iÃÌÊ«>ÀÌVÕmÀiiÌÊ
LÏCRIT ET UNE MISE EN RELATION DES TEXTES AVEC LEXPÏRIENCE LES CONNAISSANCES «ÀVjiÊ«ÕÀÊiÃÊÌ@V
iÃÊ
ET LES IDÏES DES ÏLÒVES %N MOYENNE LA DIFFÏRENCE EN FAVEUR DU SEXE FÏMININ `i>`>ÌÊÀjviÝÊiÌÊ
REPRÏSENTE POINTS SUR LÏCHELLE i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w CONTRE jÛ>Õ>Ì°
#(!0)42% vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃ
POINTS SUR LÏCHELLE i $ÏVELOPPER UNE INTERPRÏTATION w ET POINTS SUR
LÏCHELLE i 2ETROUVER DE LINFORMATION w TABLEAU B %N &INLANDE Oá LES
DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES SONT LES PLUS IMPORTANTES LE SCORE MOYEN DES ÏLÒVES
DE SEXE FÏMININ EST PARTICULIÒREMENT ÏLEVÏ SUR LÏCHELLE i 2ÏFLÏCHIR SUR LE
CONTENU DU TEXTE w POINTS TANDIS QUE LE SCORE DES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN
POINTS EST SITUÏ DANS LA MOYENNE DE L/#$% #ES RÏSULTATS PEUVENT ÐTRE
ASSOCIÏS AUX PRÏFÏRENCES RESPECTIVES DES DEUX SEXES EN MATIÒRE DE TYPES DÏCRITS
OU AU GENRE DÏCRITS AUXQUELS ILS SONT EXPOSÏS VOIR CI
DESSOUS
*>ÀÊiÃÊ>`ÕÌiÃ]ÊiÃÊ ,ES PROCHAINS CYCLES 0)3! PERMETTRONT DÏVALUER DANS QUELLE MESURE LES
viiÃÊ«ÀiiÌÊ>ÊÌkÌiÊ DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE ENTRE LES SEXES ÏVOLUENT AU FIL DU TEMPS $ANS
iÊV«Àj
iÃÊ`iÊ LATTENTE DE CES RÏSULTATS LA COMPARAISON DES DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES DE
½jVÀÌ° L%NQUÐTE INTERNATIONALE SUR LA LITTÏRATIE DES ADULTES %),! PEUT ÐTRE UTILISÏE ,A
COMPARAISON DE CES DIFFÏRENCES PAR CLASSE DÊGE RÏVÒLE QUE LES FEMMES PRENNENT
LA TÐTE 0AR EXEMPLE DANS LA CLASSE DÊGE DES
ANS LES HOMMES SURCLASSENT
LES FEMMES SUR LÏCHELLE i $OCUMENTS w DE L%),! DANS DES PAYS PARTICI
PANTS ALORS QUE POUR LA CLASSE DÊGE DES
ANS LES DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES
TENDENT Ì ÐTRE UNIFORMES DANS TOUS LES PAYS $E MÐME LES HOMMES DEVANCENT
LES FEMMES SUR LÏCHELLE i 0ROSE w DE L%),! DANS LA CLASSE DÊGE DES
ANS
DANS LA MAJORITÏ DES PAYS ÏTUDIÏS ALORS QUE CEST LINVERSE DANS LA CLASSE DÊGE
DES
ANS DANS TOUS LES PAYS SAUF DEUX /#$% ET 3TATISTIQUE #ANADA
>Êv>LiÃÃiÊÀi>ÌÛiÊ`ÕÊ ,ES RÏSULTATS DU 0)3! MONTRENT QUE LES DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES SONT MOINS
ÃiÝiÊvjÊiÊVÕÌÕÀiÊ COURANTES EN CULTURE SCIENTIFIQUE ET MATHÏMATIQUE AUTREFOIS LE POINT FORT DU
>Ì
j>̵ÕiÊiÌÊ SEXE MASCULIN ,ORSQUELLES PERSISTENT ELLES ONT TENDANCE Ì ÐTRE NETTEMENT
ÃViÌvµÕiÊiÃÌÊ`ÀiÊ MOINS IMPORTANTES QUEN LECTURE %N SCIENCES LES DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES NE
µÕiÊ`>ÃÊ/ --o SUIVENT PAS UNE TENDANCE MARQUÏE LE SEXE FÏMININ OBTIENT UN MEILLEUR SCORE
QUE LE SEXE MASCULIN DANS LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE EN ,ETTONIE ET EN .OUVELLE
:ÏLANDE TANDIS QUE LE SCORE DU SEXE MASCULIN EST SUPÏRIEUR EN !UTRICHE EN
#ORÏE ET AU $ANEMARK $ANS LES AUTRES PAYS CES DIFFÏRENCES NE SONT PAS STATIS
TIQUEMENT SIGNIFICATIVES TABLEAU A #ES RÏSULTATS DIVERGENT DE CEUX DE LA
4ROISIÒME ÏTUDE INTERNATIONALE SUR LES MATHÏMATIQUES ET LES SCIENCES 4)-33
DE L)%! QUI ONT RÏVÏLÏ LA PRÏSENCE DÏCARTS NETTEMENT PLUS IMPORTANTS EN
SCIENCES EN CLASSE DE E ANNÏE TOUS OU PRESQUE EN FAVEUR DU SEXE MASCULIN
oViʵÕÊ«iÕÌÊýiÝ«µÕiÀÊ #ETTE DIVERGENCE DE RÏSULTATS ENTRE LE 0)3! ET LÏTUDE 4)-33 PEUT EN PARTIE
«>ÀÊiÊVÌiÕÊ`ÕÊ*-]Ê SEXPLIQUER PAR LE FAIT QUE LÏVALUATION 0)3! DE LA CULTURE SCIENTIFIQUE A DAVANTAGE
«ÕÃÊ>ÝjÊÃÕÀʽ>««V>ÌÊ MIS LACCENT SUR LES SCIENCES NATURELLES MATIÒRE DANS LAQUELLE LE SEXE FÏMININ
`iÃÊV>ÃÃ>ViÃÊiÌÊ`iÃÊ RÏALISE AUSSI DE BELLES PERFORMANCES Ì LÏVALUATION 4)-33 ALORS QUE LÏTUDE
`vvjÀiViÃʵÕ>ÌÊ>ÕÊ 4)-33 SEST CONCENTRÏE SUR LA PHYSIQUE Oá LE SEXE MASCULIN RÏALISE DE BONNES
V
ÝÊ`iÃÊÃÕiÌÃÊjÌÕ`jð PERFORMANCES EN GÏNÏRAL %N OUTRE 0)3! A ACCORDÏ DAVANTAGE DATTENTION AUX
PROCESSUS SCIENTIFIQUES ET Ì LAPPLICATION DES CONNAISSANCES %NFIN LE 0)3! A
UTILISÏ UNE PLUS LARGE PROPORTION DE QUESTIONS Ì RÏPONSE OUVERTE ET DITEMS
CONTEXTUALISÏS POUR LESQUELS LE SEXE FÏMININ A UNE PRÏDILECTION PLUTÙT QUE DES
ITEMS Ì CHOIX MULTIPLE POUR LESQUELS LES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN OBTIENNENT
TRADITIONNELLEMENT DE MEILLEURS RÏSULTATS #ELA PEUT ÏGALEMENT AVOIR CONTRIBUÏ
Ì LA MEILLEURE PERFORMANCE DES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ
vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃÊ #(!0)42%
,A COMPARAISON ENTRE PAYS MONTRE QUE LES ÏCARTS ENTRE SEXES TENDENT Ì ÐTRE >ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃ]ÊiÃÊ
ANALOGUES DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION Ì SAVOIR LA COMPRÏHENSION jV>ÀÌÃÊiÌÀiÊÃiÝiÃÊÛ>ÀiÌÊ
DE LÏCRIT ET LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET MATHÏMATIQUE #E CONSTAT INDIQUE ÃiÊiÃÊÃÕiÌÃ]ÊViʵÕÊ
LA PRÏSENCE DE CARACTÏRISTIQUES SOUS
JACENTES DES SYSTÒMES DENSEIGNEMENT ÃÕ}}mÀiʵÕiÊViÃÊjV>ÀÌÃÊ
ETOU DES SOCIÏTÏS QUI AFFECTENT LA PERFORMANCE AU COURS DU PARCOURS SCOLAIRE `jVÕiÌÊ`½iÝ«jÀiViÃÊ
#EPENDANT DES DIFFÏRENCES IMPORTANTES SOBSERVENT DANS CERTAINS PAYS ° `½>««ÀiÌÃÃ>}iÊ
TITRE DEXEMPLE CITONS LA &INLANDE QUI ENREGISTRE LES PLUS GRANDES DIFFÏRENCES `vvjÀiÌið
ENTRE LES SEXES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT POINTS
EN FAVEUR DU SEXE FÏMININ MAIS DES DIFFÏRENCES TÏNUES SUR LES ÏCHELLES DE
CULTURE MATHÏMATIQUE ET DE CULTURE SCIENTIFIQUE ° LINVERSE LA #ORÏE AFFICHE
LES DIFFÏRENCES LES PLUS FAIBLES SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
POINTS EN FAVEUR DU SEXE FÏMININ MAIS LES DIFFÏRENCES OBSERVÏES SUR
LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE POINTS EN FAVEUR DU SEXE MASCULIN ET
SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIFIQUE POINTS EN FAVEUR DU SEXE MASCULIN
FIGURENT PARMI LES PLUS IMPORTANTES DE L/#$% #ETTE VARIATION ENTRE LES
DOMAINES DÏVALUATION SUGGÒRE QUE CES ÏCARTS SONT LE FRUIT DEXPÏRIENCES
DAPPRENTISSAGE DIFFÏRENTES ET QUEN CONSÏQUENCE UNE RÏORIENTATION DE LA
POLITIQUE DENSEIGNEMENT PEUT Y REMÏDIER
}ÕÀiÊx°Ó
0ROPORTION DgÏLÒVES DE SEXES MASCULIN ET FÏMININ PARMI LES ÏLÒVES SE SITUANT AU BAS DE LgÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT
0OURCENTAGE DgÏLÒVES DE SEXES MASCULIN ET FÏMININ SE SITUANT AU NIVEAU OU AU
DESSOUS
(OMMES &EMMES
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
.OUVELLE
:ÏLANDE
2OYAUME 5NI
!UTRICHE
³TATS 5NIS
!LLEMAGNE
0AYS
"AS
,ETTONIE
.ORVÒGE
%SPAGNE
0OLOGNE
(ONGRIE
3UISSE
#ORÏE
3UÒDE
)SLANDE
$ANEMARK
)RLANDE
"ELGIQUE
-EXIQUE
)TALIE
"RÏSIL
&INLANDE
*APON
'RÒCE
#ANADA
!USTRALIE
&RANCE
0ORTUGAL
,UXEMBOURG
,IECHTENSTEIN
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU A
#(!0)42% vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃ
>ÃÊÌÕÃÊiÃÊ«>ÞÃ]ÊiÃÊ ,ES DIFFÏRENCES IMPORTANTES ENTRE LES SEXES OBSERVÏES DANS LA CATÏGORIE DES ÏLÒVES
Ài«ÀjÃiÌ>ÌÃÊ`ÕÊÃiÝiÊ i FAIBLES w SOULÒVENT UNE QUESTION IMPORTANTE SUR LE PLAN POLITIQUE FIGURE
>ÃVÕÊÃÌÊ«ÕÃÊ $ANS TOUS LES PAYS DE L/#$% LES REPRÏSENTANTS DU SEXE MASCULIN SONT PLUS
ÃÕÃVi«ÌLiÃÊ`½>««>ÀÌiÀÊ SUSCEPTIBLES QUE LES REPRÏSENTANTES DU SEXE FÏMININ DAPPARTENIR Ì LA CATÏGORIE DES
DÊ>ÊV>Ìj}ÀiÊ`iÃÊjmÛiÃÊ ÏLÒVES FAIBLES CEST
Ì
DIRE DE NE PAS DÏPASSER LE NIVEAU DE LÏCHELLE COMBINÏE DE
iÃÊÃÊvÀÌÃÊiÊ COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIRE DE NE PAS LATTEINDRE $ANS LES PAYS DE L/#$%
iVÌÕÀio LA PROBABILITÏ RELATIVE POUR LES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN DAPPARTENIR Ì LA CATÏGORIE
DES ÏLÒVES FAIBLES VARIE DE Ì PAR RAPPORT AUX ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ
!INSI AU #ANADA EN #ORÏE EN &INLANDE ET AU *APON MOINS DE POUR CENT
DES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ NATTEIGNENT PAS OU NE DÏPASSENT PAS LE NIVEAU
MAIS CETTE PROPORTION SE SITUE ENTRE ET POUR CENT POUR LES ÏLÒVES DE SEXE
MASCULIN TABLEAU A -ÐME LA &INLANDE LE PAYS EN TÐTE DU CLASSEMENT COMPTE
SEULEMENT POUR CENT DES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ AU NIVEAU OU EN DE Ì CONTRE
POUR CENT DE GAR ONS
oiÌÊiÊVÕÌÕÀiÊ $ANS LENSEMBLE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE LES ÏLÒVES DE SEXE
>Ì
j>̵Õi]Ê>Ê MASCULIN ONT TENDANCE Ì AFFICHER DE MEILLEURES PERFORMANCES QUE LES ÏLÒVES DE
ÃÕ«Àj>ÌiÊÞiiÊ`ÕÊ SEXE FÏMININ #EPENDANT CETTE TENDANCE EST EN GRANDE PARTIE IMPUTABLE AUX
ÃiÝiÊ>ÃVÕÊiÃÌÊ ÏCARTS RELATIVEMENT PLUS IMPORTANTS EN FAVEUR DU SEXE MASCULIN PARMI LES ÏLÒVES
>À}iiÌÊ«ÕÌ>LiÊDÊ>Ê LES PLUS FORTS PLUTÙT QUÌ UNE RELATIVE DÏSAFFECTION DE LA CATÏGORIE DES ÏLÒVES
«iÀvÀ>ViÊ`iÃʵÕiµÕiÃÊ LES PLUS FAIBLES PAR LE SEXE MASCULIN 0ARMI LES ÏLÒVES DONT LE SCORE EST INFÏRIEUR
jmÛiÃÊiÃÊ«ÕÃÊvÀÌð DAU MOINS POINTS Ì LA MOYENNE INTERNATIONALE SUR LÏCHELLE DE LA CULTURE
MATHÏMATIQUE CEST
Ì
DIRE LES ÏLÒVES UNIQUEMENT CAPABLES DE MENER Ì BIEN UNE
SEULE ÏTAPE CONSISTANT Ì REPRODUIRE DES PROCESSUS OU DES FAITS MATHÏMATIQUES
ÏLÏMENTAIRES OU Ì EXPLOITER DES COMPÏTENCES SIMPLES EN CALCUL LES PROPORTIONS
DÏLÒVES DE SEXE MASCULIN ET FÏMININ SONT Ì PEU PRÒS SEMBLABLES TABLEAU B
0AR CONTRASTE DANS PAYS PARTICIPANTS DE L/#$% LES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN
SONT PLUS SUSCEPTIBLES DAPPARTENIR AU GROUPE DES ÏLÒVES LES PLUS i FORTS w CEST
Ì
DIRE CEUX DONT LE SCORE EST SUPÏRIEUR DUN ÏCART TYPE AU MOINS Ì LA MOYENNE
DE L/#$% ALORS QUE LINVERSE NEST VRAI DANS AUCUN PAYS
>Êv>LiÃÃiÊ`iÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊ #ES RÏSULTATS INDIQUENT QUE LA FAIBLESSE DES PERFORMANCES DU SEXE MASCULIN CONSTITUE
`iÃÊjmÛiÃÊ`iÊÃiÝiÊ>ÃVÕÊ UN DÏFI IMPORTANT POUR LA POLITIQUE DE LENSEIGNEMENT )L CONVIENT DACCORDER Ì CE
@}jÃÊ`iÊ£xÊ>ÃÊVÃÌÌÕiÊ`VÊ DÏFI TOUTE LATTENTION QUIL MÏRITE POUR PARVENIR Ì COMBLER LE FOSSÏ ENTRE LES SEXES ET
ÕÊ`jvÊ«ÀÌ>Ì° Ì RÏDUIRE LA PROPORTION DÏLÒVES SITUÏS AU BAS DE LÏCHELLE DE COMPÏTENCE
iÃÊ«À>̵ÕiÃÊ`iÊÃjiVÌÊ 5N DES FACTEURS QUI CONTRIBUE Ì LA DIFFÏRENCE ENTRE LES SEXES PEUT ÐTRE Dß AUX
iÌÊ>ÕÌÃjiVÌÊ`>ÃÊiÃÊ PRATIQUES DE SÏLECTION ET DAUTOSÏLECTION DANS LES DIFFÏRENTS SYSTÒMES ÏDUCATIFS
ÃÞÃÌmiÃÊj`ÕV>ÌvÃÊ ! LEXCEPTION DE LA #ORÏE LES FILLES SONT SUR
REPRÏSENTÏES DANS LES PROGRAMMES
«ÕÀÀ>iÌÊVÌÀLÕiÀÊDÊ LES PLUS EXIGEANTS DU E CYCLE DU SECONDAIRE QUI CONDUISENT Ì LUNIVERSITÏ
VÀiÕÃiÀÊiÃÊjV>ÀÌÃÊiÌÀiÊ %N MOYENNE PARMI LES PAYS DONT LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS ONT ÏTÏ ÏTUDIÏS ET
iÃÊÃiÝið QUI DONNENT DES INFORMATIONS SUR LA PARTICIPATION DES ÏLÒVES SELON LE TYPE DU
PROGRAMME LA PROPORTION DE FILLES DANS LES PROGRAMMES DESTINÏS Ì LENSEI
GNEMENT UNIVERSITAIRE EST PLUS ÏLEVÏ DE POINTS DE POURCENTAGE QUE POUR LES
GAR ONS ET EN 0OLOGNE ELLE EST PLUS ÏLEVÏE DE PLUS DE POINTS DE POURCENTAGE
VOIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES 0ARMI LES ÏLÒVES INSCRITS DANS DES
vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃÊ #(!0)42%
PROGRAMMES PRÏPARANT Ì LENTRÏE Ì LUNIVERSITÏ LA DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES
QUANT Ì LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT TEND Ì ÐTRE PLUS FAIBLE EN FAVEUR DES
FEMMES ALORS QUELLE TEND Ì ÐTRE DEUX FOIS PLUS IMPORTANTE EN MOYENNE DANS
LA CULTURE MATHÏMATIQUE EN FAVEUR DES HOMMES PAR COMPARAISON Ì LENSEMBLE
DE LA POPULATION DES ÏLÒVES DE ANS
)NTÏRÐT POUR LES MATIÒRES ET DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES
,A FIGURE A COMPARE LINTÏRÐT POUR LA LECTURE DES ÏLÒVES EN ABSCISSE ET iÃÊjmÛiÃÊ`iÊÃiÝiÊ
LEUR PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EN >ÃVÕÊiÌÊvjÊ
ORDONNÏE ,INDICE DINTÏRÐT POUR LA LECTURE EST IDENTIQUE Ì CELUI DÏJÌ DÏFINI AU `vvmÀiÌÊj}>iiÌÊ`>ÃÊ
CHAPITRE 3UR CE GRAPHIQUE CHAQUE PAYS EST REPRÏSENTÏ PAR DEUX SYMBOLES ½ÌjÀkÌʵսÃÊ«ÀÌiÌÊ
LES SYMBOLES DE COULEUR GRISE REPRÏSENTENT LA VALEUR MOYENNE DE LINDICE >ÕÝÊ`vvjÀiÌiÃÊ
DINTÏRÐT POUR LA LECTURE DES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN ET LEUR PERFORMANCE >ÌmÀiÃo
SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT TANDIS QUE LES SYMBOLES
ROUGES LES REPRÏSENTENT POUR LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ ,ES SYMBOLES SITUÏS
DANS LA PARTIE SUPÏRIEURE DU GRAPHIQUE REPRÏSENTENT UN SCORE MOYEN ÏLEVÏ EN
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT TANDIS QUE CEUX SITUÏS Ì DROITE INDIQUENT QUE LES
ÏLÒVES DÏCLARENT PLUS SOUVENT QUILS LISENT PENDANT LEURS LOISIRS QUE LA LECTURE
COMPTE BEAUCOUP POUR EUX PERSONNELLEMENT QUILS NE VOUDRAIENT PAS SEN
PASSER CAR LIRE EST AGRÏABLE ET QUIL LEUR ARRIVE DÐTRE TOTALEMENT ABSORBÏS
}ÕÀiÊx°Î>
2ELATION ENTRE LgINTÏRÐT POUR LA LECTURE ET LA PERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT SELON LE SEXE
(OMMES &EMMES
0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT
&AIBLE INTÏRÐT POUR LA LECTURE )NTÏRÐT ÏLEVÏ POUR LA LECTURE
)NDICE DE LgINTÏRÐT POUR LA LECTURE
0OUR UNE DÏFINITION DE LINDICE VOIR LANNEXE !
.OTE ,ES PAYS SONT SYMBOLISÏS PAR DES CARRÏS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
#(!0)42% vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃ
}ÕÀiÊx°ÎL
2ELATION ENTRE LgINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES ET LA PERFORMANCE SUR LgÏCHELLE
DE CULTURE MATHÏMATIQUE SELON LE SEXE
0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE (OMMES &EMMES
DE CULTURE MATHÏMATIQUE
&AIBLE INTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES )NTÏRÐT ÏLEVÏ POUR LES MATHÏMATIQUES
)NDICE DE LgINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES
0OUR UNE DÏFINITION DE LINDICE VOIR LANNEXE !
.OTE ,ES PAYS SONT SYMBOLISÏS PAR DES CARRÏS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
QUAND ILS LISENT ,A FIGURE B MONTRE LA RELATION ENTRE LINTÏRÐT POUR LES
MATHÏMATIQUES ET LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE
oViʵÕÊÃiÊÀivmÌiÊ`>ÃÊ ,ES FIGURES A ET B MONTRENT CLAIREMENT QUE LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ
iÃÊjV>ÀÌÃÊ`iÊ TÏMOIGNENT DUN PLUS GRAND INTÏRÐT POUR LA LECTURE QUE LES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN
«iÀvÀ>Vio ET LINVERSE POUR LES MATHÏMATIQUES ,ES ÏCARTS DE PERFORMANCE ENTRE LES SEXES
TROUVENT DONC UN ÏCHO DISTINCT DANS LES DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES CONCERNANT LEUR
INTÏRÐT RESPECTIF POUR LES MATIÒRES #ETTE RELATION GÏNÏRALE SE REFLÒTE DE MANIÒRE
COHÏRENTE DANS TOUS LES PAYS TABLEAUX ET DANS LE CAS DE LA LECTURE ET DANS
LA MAJORITÏ DES PAYS DANS LE CAS DES MATHÏMATIQUES LE 0ORTUGAL ÏTANT LE SEUL PAYS
Oá LINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES SEMBLE PLUS GRAND CHEZ LE SEXE FÏMININ
oiÃÊÃVjÌjÃÊiÌÊiÃÊ )L EST DIFFICILE DÏTABLIR LA NATURE CAUSALE DE CETTE RELATION Ì TOUT LE MOINS
jÌ>LÃÃiiÌÃÊiÊ COMPLEXE PUISQUE LINTÏRÐT POUR LES MATIÒRES ET LES PERFORMANCES PEUVENT SE
ÀjÕÃÃÃÃiÌÊ`VÊ«>ÃÊDÊ RENFORCER MUTUELLEMENT 4OUTEFOIS LA VARIATION CONSTANTE DE LINTÏRÐT POUR LES
ÌÛiÀÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÃÊ MATIÒRES ENTRE LES SEXES ET SA CORRÏLATION SI ÏTROITE AVEC LES PERFORMANCES DANS LES
`iÕÝÊÃiÝiÃÊ`iÊ>ÊkiÊ DIFFÏRENTS DOMAINES CONSTITUENT EN ELLES
MÐMES DES OBSERVATIONS PERTINENTES
>mÀi° UTILES DANS LÏLABORATION DES POLITIQUES %N EFFET ELLES INDIQUENT QUE LES SOCIÏTÏS
ET LES ÏTABLISSEMENTS NE RÏUSSISSENT PAS TOUS DANS LA MÐME MESURE Ì PROMOUVOIR
LA MOTIVATION ET Ì DÏVELOPPER LINTÏRÐT POUR LAPPRENTISSAGE DES DIFFÏRENTES
MATIÒRES CHEZ LES ÏLÒVES DES DEUX SEXES #E CONSTAT RENVOIE ÏGALEMENT AUX
CONSÏQUENCES DE CES INÏGALITÏS EN TERMES DACQUIS SCOLAIRES
vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃÊ #(!0)42%
$IFFÏRENCES ENTRE LES SEXES EN MATIÒRE DE GOßT POUR LA LECTURE
$ES DIFFÏRENCES FAVORABLES AU SEXE FÏMININ SOBSERVENT ÏGALEMENT DANS LENGAGE
iÃÊjmÛiÃÊ`iÊÃiÝiÊ
MENT PLUS LARGE DES ÏLÒVES Ì LÏGARD DES ACTIVITÏS DE LECTURE QUE 0)3! A ÏVALUÏ Ì LA vjÊýi}>}iÌÊ
LUMIÒRE DES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì LA QUESTION i #OMBIEN DE TEMPS PAR JOUR LISEZ
`>Û>Ì>}iÊ`>ÃÊ>Ê
VOUS HABITUELLEMENT POUR VOTRE PLAISIR w DE LEUR SENTIMENT Ì LÏGARD DES PROPOSI
iVÌÕÀio
TIONS i *AIME PARLER DE LIVRES AVEC DAUTRES PERSONNES w OU i *AIME ALLER DANS UNE
LIBRAIRIE OU UNE BIBLIOTHÒQUE w ET DE LINTÏRÐT QUILS PORTENT Ì LA LECTURE EN GÏNÏRAL
)L SEMBLE QUE LES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN ÊGÏS DE ANS NE SENGAGENT GUÒRE oÌ>`ÃʵÕiÊiÃÊjmÛiÃÊ
DANS LA LECTURE AU
DELÌ DE CE QUI LEUR EST IMPOSÏ FIGURE %N MOYENNE `iÊÃiÝiÊ>ÃVÕÊiÊýÞÊ
DANS LES PAYS DE L/#$% POUR CENT DES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN NE LISENT i}>}iÌÊ}ÕmÀiÊ>Õ`iDÊ
QUE SILS Y SONT OBLIGÏS CONTRE POUR CENT DES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ VOIR `iÊViʵÕÊiÕÀÊiÃÌÊ«Ãj°
}ÕÀiÊx°{
$IFFÏRENCES ENTRE LES SEXES EN MATIÒRE DE GOßT POUR LA LECTURE n ATTITUDES Ì LgÏGARD DE LA LECTURE
2ÏPARTITION DU POURCENTAGE MOYEN DgÏLÒVES DE SEXES MASCULIN ET FÏMININ QUI SE DÏCLARENT DgACCORD OU TOUT Ì FAIT DgACCORD
AVEC LES AFFIRMATIONS SUIVANTES
-OYENNE NATIONALE DgÏLÒVES DE -OYENNE NATIONALE DgÏLÒVES DE -OYENNE DE Lg/#$% DgÏLÒVES DE -OYENNE DE Lg/#$% DgÏLÒVES
SEXE MASCULIN EN POURCENTAGE SEXE FÏMININ EN POURCENTAGE SEXE MASCULIN EN POURCENTAGE DE SEXE FÏMININ EN
ERREUR TYPE POURCENTAGE ERREUR TYPE
*E NE PEUX PAS RESTER ASSISE
TRANQUILLEMENT Ë LIRE PLUS DE
QUELQUES MINUTES
*E NE LIS QUE POUR TROUVER LES
INFORMATIONS DONT JgAI BESOIN
*gAIME ALLER DANS UNE LIBRAIRIE
OU UNE BIBLIOTHÒQUE
0OUR MOI LA LECTURE EST UNE
PERTE DE TEMPS
*E SUIS CONTENTE QUAND JE
REÎOIS UN LIVRE EN CADEAU
*gÏPROUVE DES DIFFICULTÏS Ë FINIR
LES LIVRES
*gAIME PARLER DE LIVRES AVEC
DgAUTRES PERSONNES
,A LECTURE EST UN DE MES LOISIRS
FAVORIS
*E NE LIS QUE SI JgY SUIS OBLIGÏE
.OTE ,ES PAYS SONT SYMBOLISÏS PAR DES CARRÏS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 6OIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
#(!0)42% vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃ
WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES PAR PAYS $E PLUS POUR CENT DES ÏLÒVES
DE SEXE MASCULIN CONTRE POUR CENT DES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ AVOUENT LIRE
UNIQUEMENT POUR TROUVER LES INFORMATIONS DONT ILS ONT BESOIN #ETTE PROPOR
TION SÏLÒVE Ì PLUS DE DEUX TIERS DES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN EN !LLEMAGNE
EN )RLANDE AU -EXIQUE ET EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE ° LINVERSE POUR CENT
DES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ DÏCLARENT QUE LA LECTURE EST UN DE LEURS LOISIRS
FAVORIS ET POUR CENT DENTRE ELLES DISENT AIMER PARLER DE LIVRES AVEC DAUTRES
PERSONNES CONTRE SEULEMENT POUR CENT DES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN VOIR
WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES PAR PAYS
iÃÊjmÛiÃÊ`iÊÃiÝiÊ ,ES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN ONT ÏGALEMENT TENDANCE Ì CONSACRER MOINS DE TEMPS
vjÊÃiÌÊ«ÕÃÊ QUE LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ Ì LIRE POUR LE PLAISIR %N MOYENNE DANS LES PAYS
v>ViiÌÊ«ÕÀÊiÊ«>ÃÀ° DE L/#$% POUR CENT DES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ DÏCLARENT LIRE PLUS DUNE
DEMI
HEURE PAR JOUR POUR LEUR PLAISIR CETTE PROPORTION VARIE DE POUR CENT
DES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ AU *APON Ì PLUS DU DOUBLE EN &INLANDE EN 0OLOGNE AU
0ORTUGAL ET EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE 0AR CONTRASTE LA MOYENNE POUR LES ÏLÒVES
DE SEXE MASCULIN EST DE POUR CENT SEULEMENT ET CETTE PROPORTION VARIE DE
POUR CENT OU MOINS EN !UTRICHE AUX 0AYS
"AS ET EN 3UISSE Ì PLUS DE POUR
CENT EN #ORÏE EN 'RÒCE ET EN 0OLOGNE FIGURE ET TABLEAU
}ÕÀiÊx°x
$IFFÏRENCES ENTRE LES SEXES EN MATIÒRE DE GOßT POUR LA LECTURE n TEMPS CONSACRÏ Ì LA LECTURE POUR LE PLAISIR
0OURCENTAGE DgÏLÒVES DE SEXES MASCULIN ET FÏMININ LISANT PLUS DE MINUTES PAR JOUR POUR LE PLAISIR
(OMMES &EMMES
0AYS
"AS
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
2OYAUME 5NI
0OLOGNE
³TATS
5NIS
!UTRICHE
!LLEMAGNE
.ORVÒGE
%SPAGNE
(ONGRIE
3UISSE
#ORÏE
3UÒDE
"ELGIQUE
$ANEMARK
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
-EXIQUE
*APON
&INLANDE
#ANADA
!USTRALIE
'RÒCE
&RANCE
,UXEMBOURG
0ORTUGAL
,IECHTENSTEIN
,ETTONIE
"RÏSIL
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃÊ #(!0)42%
"IEN QUE CES RÏSULTATS NE PERMETTENT PAS DÏTABLIR DE LIENS DE CAUSE Ì EFFET >Ê`vvjÀiV>ÌÊ`iÃÊ
ILS SUGGÒRENT QUE LA DIFFÏRENCIATION DES HABITUDES DE LECTURE ENTRE LES SEXES
>LÌÕ`iÃÊ`iÊiVÌÕÀiÊ
PEUT ÐTRE LOURDE DE CONSÏQUENCES POUR LAPPRENTISSAGE )L CONVIENT DONC DE iÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃÊ«iÕÌÊkÌÀiÊ
SATTAQUER Ì CE PROBLÒME POUR PARVENIR Ì LÏGALITÏ DES SEXES DANS LES SYSTÒMES ÕÀ`iÊ`iÊVÃjµÕiVið
DENSEIGNEMENT
,A DISTINCTION ENTRE LES GAR ONS ET LES FILLES NE SARRÐTE PAS Ì LENGAGEMENT Ì ÊiÝÃÌiÊj}>iiÌÊÕiÊ
LÏGARD DE LA LECTURE IL EXISTE ÏGALEMENT UNE DIFFÏRENCE DANS LES TYPES DÏCRITS `vvjÀiViÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃÊ
QUE LES UNS ET LES AUTRES LISENT DE LEUR PLEIN GRÏ FIGURE %N MOYENNE LES `>ÃÊiÃÊÌÞ«iÃÊ`½jVÀÌÃÊ
ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ SONT PLUS ENCLINES Ì LIRE DES ÏCRITS CARACTÏRISÏS PAR UN µÕiÊiÃÊÕÃÊiÌÊiÃÊ>ÕÌÀiÃÊ
TEXTE PLUS EXIGEANT VOIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES PAR PAYS ÃiÌÊ`iÊiÕÀÊ«iÊ}Àjo
%N MOYENNE POUR LENSEMBLE DES PAYS LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ SONT PLUS oiÊÃiÝiÊvjÊiÃÌÊ«ÕÃÊ
ENCLINES Ì LIRE DES LIVRES DE FICTION QUE CEUX DU SEXE MASCULIN POUR CENT EN iVÊDÊÀiÊ`iÃÊÛÀiÃÊ`iÊ
LISENT PLUSIEURS FOIS PAR MOIS OU PAR SEMAINE CONTRE POUR CENT CHEZ LES ÏLÒVES vVÌ]Ê>ÀÃʵÕiÊ>Ê«ÀjvjÀiViÊ
DE SEXE MASCULIN $AVANTAGE DÏLÒVES DE SEXE MASCULIN DISENT LIRE LES JOURNAUX `ÕÊÃiÝiÊ>ÃVÕÊÛ>Ê>ÕÝÊ
POUR CENT PLUSIEURS FOIS PAR MOIS OU PAR SEMAINE CONTRE POUR CENT POUR ÕÀ>ÕÝ]Ê>ÕÝÊL>`iÃÊ
`iÃÃjiÃ]Ê>ÕÊVÕÀÀiÀÊ
jiVÌÀµÕiÊiÌÊ>ÕÝÊ«>}iÃÊ7iL°
}ÕÀiÊx°È
$IFFÏRENCES ENTRE LES SEXES EN MATIÒRE DE GOßT POUR LA LECTURE n VARIÏTÏ DES LECTURES
2ÏPARTITION DU POURCENTAGE MOYEN DgÏLÒVES DE SEXES MASCULIN ET FÏMININ QUI DÏCLARENT LIRE LES TYPES DgÏCRITS SUIVANTS
PLUSIEURS FOIS PAR MOIS OU PLUSIEURS FOIS PAR SEMAINE
-OYENNE NATIONALE DgÏLÒVES DE -OYENNE NATIONALE DgÏLÒVES DE -OYENNE DE Lg/#$% DgÏLÒVES DE -OYENNE DE Lg/#$% DgÏLÒVES
SEXE MASCULIN EN POURCENTAGE SEXE FÏMININ EN POURCENTAGE SEXE MASCULIN EN POURCENTAGE DE SEXE FÏMININ EN
ERREUR TYPE POURCENTAGE ERREUR TYPE
*OURNAUX
#OURRIER ÏLECTRONIQUE
ET PAGES 7EB
/UVRAGES DOCUMENTAIRES
,IVRES DE FICTION
ROMANS NOUVELLES RÏCITS
"ANDES DESSINÏES
2EVUES
.OTE ,ES PAYS SONT SYMBOLISÏS PAR DES CARRÏS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 6OIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
#(!0)42% vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃ
LE SEXE FÏMININ DES BANDES DESSINÏES POUR CENT PLUSIEURS FOIS PAR MOIS OU
PAR SEMAINE ET POUR CENT POUR LE SEXE FÏMININ %N MOYENNE POUR CENT
DU SEXE MASCULIN LISENT DU COURRIER ÏLECTRONIQUE OU DES PAGES 7EB PLUSIEURS FOIS
PAR MOIS OU PAR SEMAINE CONTRE POUR CENT POUR LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ
VOIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES PAR PAYS
!UCUNE DIFFÏRENCE NEST ENREGISTRÏE POUR LES REVUES Ì PEU PRÒS DEUX TIERS DES
ÏLÒVES DES DEUX SEXES EN LISENT PLUSIEURS FOIS PAR SEMAINE NI POUR LES OUVRAGES
DOCUMENTAIRES POUR CENT DES ÏLÒVES DES DEUX SEXES EN LISENT PLUSIEURS FOIS
PAR MOIS OU PAR SEMAINE
$IFFÏRENCES DE STRATÏGIES DAPPRENTISSAGE ET DIMAGE DE SOI ENTRE
LES SEXES
iÃÊjmÛiÃÊ`iÃÊ`iÕÝÊÃiÝiÃÊÃiÊ ,E CHAPITRE A ÏTABLI LE PROFIL DES STRATÏGIES DAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES SUR LA
`ÃÌ}ÕiÌÊ>ÕÊÛi>ÕÊ`iÃÊ BASE DES DONNÏES COLLECTÏES LORS DU CYCLE 0)3! &ORCE EST DE CONSTATER QUE
ÃÌÀ>Ìj}iÃÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}io LES ÏLÒVES DES DIFFÏRENTS SEXES SE DISTINGUENT NETTEMENT Ì CET ÏGARD
°°°iÃÊjmÛiÃÊ`iÊÃiÝiÊvjÊ $ANS LA MAJORITÏ DES PAYS LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ DE ANS PRIVILÏGIENT
«ÀÛj}iÌÊiÃÊÃÌÀ>Ìj}iÃÊ GÏNÏRALEMENT PLUS LES STRATÏGIES DE MÏMORISATION QUE CEUX DU SEXE MASCULIN
`iÊjÀÃ>Ì]Ê>ÀÃʵÕiÊ SEULS TROIS PAYS AFFICHENT UNE DIFFÏRENCE STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE DANS LAUTRE
iÊÃiÝiÊ>ÃVÕÊÀiVÕÀÌÊ SENS TABLEAU ° LINVERSE LE SEXE MASCULIN RECOURT DAVANTAGE AUX STRATÏGIES
`>Û>Ì>}iÊ>ÕÝÊÃÌÀ>Ìj}iÃÊ DÏLABORATION AVEC UN SEUL PAYS Oá UNE PROPORTION STATISTIQUEMENT SIGNIFICA
`½j>LÀ>Ì° TIVE DÏLÒVES DE SEXE FÏMININ UTILISE PLUS SOUVENT LES STRATÏGIES DÏLABORATION
TABLEAU
iÃÊjmÛiÃÊ`iÊÃiÝiÊ $ANS LA PLUPART DES PAYS Oá DES DIFFÏRENCES SIGNIFICATIVES SONT OBSERVÏES ENTRE
vjÊÃÌÊiViÃÊ LES SEXES LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ DISENT APPLIQUER DES STRATÏGIES DAUTORÏGU
DÊ>ÕÌjÛ>ÕiÀÊiÕÀÊ LATION PLUS SOUVENT QUE CEUX DU SEXE MASCULIN TABLEAU #E CONSTAT SUGGÒRE
«ÀViÃÃÕÃÊ QUE LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ SONT PLUS SUSCEPTIBLES DADOPTER UNE PERSPECTIVE
`½>««ÀiÌÃÃ>}i° DAUTO
ÏVALUATION PENDANT LE PROCESSUS DAPPRENTISSAGE $ANS TOUS LES PAYS OU
PRESQUE IL SERAIT JUDICIEUX DE FORMER LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ AUX STRATÏGIES
DÏLABORATION ET DAIDER CEUX DE SEXE MASCULIN DANS LA PLANIFICATION LORGANISA
TION ET LA STRUCTURATION DE LEURS ACTIVITÏS DAPPRENTISSAGE
iÃÊjmÛiÃÊ«ÕÃÊVv>ÌÃÊ %NFIN DE NOMBREUSES OBSERVATIONS INDIQUENT QUE LIDÏE QUE LES INDIVIDUS ONT
`>ÃÊiÕÀÃÊV>«>VÌjÃÊ DEUX
MÐMES EST ÏTROITEMENT LIÏE Ì LA RÏUSSITE DE LAPPRENTISSAGE ,ES APPRENANTS
ÀjÕÃÃÃÃiÌÊiÕÝo PERFORMANTS SONT CONFIANTS DANS LEURS CAPACITÏS ET SONT PERSUADÏS QUUN INVES
TISSEMENT DANS LAPPRENTISSAGE PEUT FAIRE LA DIFFÏRENCE %N REVANCHE LES ÏLÒVES
QUI DOUTENT DE LEUR CAPACITÏ DAPPRENDRE CE QUILS ESTIMENT IMPORTANT RISQUENT
DÏCHOUER NON SEULEMENT PENDANT LEURS ÏTUDES MAIS AUSSI Ì LÊGE ADULTE #EST
POURQUOI LE CYCLE DÏVALUATION 0)3! A ÏTUDIÏ LIDÏE QUE LES ÏLÒVES SE FONT
DEUX
MÐMES EN LECTURE ET EN MATHÏMATIQUE #ES DEUX ASPECTS SONT EXPRIMÏS
PAR DES INDICES QUI RÏSUMENT LES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì DES QUESTIONS PORTANT SUR
LIMAGE DE SOI #ES QUESTIONS ONT ÏTÏ SÏLECTIONNÏES DANS DES CONSTRUCTS UTILISÏS
DANS DES ÏTUDES ANTÏRIEURES VOIR ÏGALEMENT LANNEXE ! ,ES INDICES SONT CON US
EN SORTE QUE DEUX TIERS DE LA POPULATION DES ÏLÒVES DE L/#$% SOIENT SITUÏS ENTRE
ET LA MOYENNE ÏTANT FIXÏE Ì
vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃÊ #(!0)42%
}ÕÀiÊx°Ç>
2ELATION ENTRE LgIMAGE DE SOI PAR RAPPORT Ì LA LECTURE ET LA PERFORMANCE
SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT SELON LE SEXE
0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE (OMMES &EMMES
DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT
&AIBLE IMAGE DE SOI POUR LA LECTURE (AUTE IMAGE DE SOI POUR LA LECTURE
)NDICE DgIMAGE DE SOI PAR RAPPORT Ì LA LECTURE
0OUR UNE DÏFINITION DE LINDICE VOIR LANNEXE !
.OTE ,ES PAYS SONT SYMBOLISÏS PAR DES CARRÏS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU A
}ÕÀiÊx°ÇL
2ELATION ENTRE LgIMAGE DE SOI PAR RAPPORT AUX MATHÏMATIQUES ET LA PERFORMANCE
SUR LgÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE SELON LE SEXE
0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE (OMMES &EMMES
DE CULTURE MATHÏMATIQUE
&AIBLE IMAGE DE SOI (AUTE IMAGE DE SOI
POUR LES MATHÏMATIQUES POUR LES MATHÏMATIQUES
)NDICE DgIMAGE DE SOI PAR RAPPORT AUX MATHÏMATIQUES
0OUR UNE DÏFINITION DE LINDICE VOIR LANNEXE !
.OTE ,ES PAYS SONT SYMBOLISÏS PAR DES CARRÏS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU B
#(!0)42% vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃ
oiÌÊiÃÊ`vvjÀiViÃÊiÌÀiÊ ,A FIGURE A MONTRE LA RELATION ENTRE LIDÏE QUE LES INDIVIDUS SE FONT DEUX
iÃÊÃiÝiÃÊiÊ>ÌmÀiÊ MÐMES EN LECTURE ET LES RÏSULTATS SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE
`½>}iÊ`iÊÃÊÃÌÊ LA LECTURE ,ES POINTS REPRÏSENTENT LA POSITION MOYENNE DES ÏLÒVES MASCULINS
jÌÀÌiiÌÊjiÃÊ>ÕÝÊ ET FÏMININS DANS LES PAYS PARTICIPANTS $ANS TOUS LES PAYS SAUF EN #ORÏE LES
`vvjÀiViÃÊ`iÊ ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ DÏCLARENT PLUS SOUVENT OBTENIR DE BONNES NOTES DANS LES
«iÀvÀ>ViÊiÊiVÌÕÀiÊiÌÊ MATIÒRES LINGUISTIQUES ET APPRENDRE RAPIDEMENT DANS TOUTES LES MATIÒRES ,ES
iÊ>Ì
j>̵ÕiÃo DIFFÏRENCES SONT PARTICULIÒREMENT MARQUÏES EN !LLEMAGNE AUX ³TATS
5NIS EN
&INLANDE ET EN )TALIE TABLEAU A %N MATHÏMATIQUES FIGURE B LES ÏLÒVES
DE SEXE MASCULIN ONT TENDANCE Ì AVOIR UNE PLUS HAUTE IMAGE DEUX
MÐMES
SURTOUT EN !LLEMAGNE EN .ORVÒGE ET EN 3UISSE TABLEAU B #ES DIFFÏRENCES
ENTRE LES SEXES SONT ÏTROITEMENT LIÏES AUX DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE EN LECTURE
ET EN MATHÏMATIQUES OBSERVÏES ENTRE LES SEXES ,IMAGE DE SOI EST ASSOCIÏE DE
MANIÒRE POSITIVE AUX PERFORMANCES DES ÏLÒVES MAIS LA CORRÏLATION EST PLUS FORTE
EN MATHÏMATIQUES QUEN LECTURE
oÊÞÊ>ÊDÊ>ÌmÀiÊ 0ARMI CES QUESTIONS NOMBREUSES SONT CELLES QUI SUSCITENT UNE ANALYSE PLUS
DÊÕiÊ>>ÞÃiÊ«ÕÃÊ APPROFONDIE ET ELLES FERONT LOBJET DUN RAPPORT THÏMATIQUE EN COURS DE RÏDAC
>««Àv`i° TION #EPENDANT IL EN RESSORT QUE LES ÏCARTS DE PERFORMANCES ENTRE LES SEXES
DOIVENT ÐTRE ÏTUDIÏS ET ANALYSÏS Ì LA LUMIÒRE DES HABITUDES DES ATTITUDES ET DE
LIMAGE DE SOI DES JEUNES ÏLÒVES DES DEUX SEXES
#ONCLUSIONS
iʵÕiÊiÊÃiÝiÊvjÊ ,ES DÏCIDEURS POLITIQUES ONT ACCORDÏ UNE PRIORITÏ SOUTENUE AUX QUESTIONS
ÀiÃÌiÊ`jv>ÛÀÃjÊÃÕÃÊ RELATIVES Ì LÏGALITÏ DES SEXES AVEC UNE ATTENTION PARTICULIÒRE AUX DOMAINES DANS
ViÀÌ>ÃÊ>ëiVÌÃ]ÊÊiÝÃÌiÊ LESQUELS LE SEXE FÏMININ ÏTAIT DÏFAVORISÏ ,ES RÏSULTATS DU CYCLE DÏVALUATION
ÕÊ«ÀLmiÊVÀÃÃ>ÌÊ 0)3! MONTRENT QUE SI DE NOMBREUX PAYS VOIENT LEURS EFFORTS COURONNÏS
V
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊÃiÝiÊ DE SUCCÒS IL EXISTE UN PROBLÒME CROISSANT CHEZ LES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN
>ÃVÕo NOTAMMENT EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT %N MATHÏMATIQUES LE SEXE FÏMININ
AFFICHE TOUJOURS UN RETARD MOYEN DANS DE NOMBREUX PAYS BIEN QUE LAVANTAGE
MOYEN DU SEXE MASCULIN EN MATHÏMATIQUES SOIT Dß DANS LES PAYS Oá IL PERSISTE
AUX NIVEAUX DE PERFORMANCES DES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN SE SITUANT AU SOMMET
DE LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE
oViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃÊÌÊ 0ARALLÒLEMENT ON OBSERVE UNE VARIATION SIGNIFICATIVE DES ÏCARTS ENTRE LES SEXES
`jÌÀjʵÕiÊ`iÃÊ DUN PAYS Ì LAUTRE ,ES DONNÏES EN PROVENANCE DES PAYS DANS LESQUELS LE
«ÌµÕiÃÊiÌÊ`iÃÊ SEXE FÏMININ NEST PLUS DÏFAVORISÏ DONNENT Ì PENSER QUE DES POLITIQUES ET DES
«À>̵ÕiÃÊj`ÕV>ÌÛiÃÊ PRATIQUES ÏDUCATIVES EFFICACES PEUVENT ÏRADIQUER DES DIFFÏRENCES QUI ONT LONG
ivvV>ViÃÊ«iÕÛiÌÊ TEMPS ÏTÏ INTERPRÏTÏES COMME DES DIFFÏRENCES DANS LE STYLE DAPPRENTISSAGE
jÀ>`µÕiÀÊiÃÊ`vvjÀiViÃÊ VOIRE DANS LES CAPACITÏS DES SEXES MASCULIN ET FÏMININ %N EFFET LES RÏSULTATS
iÌÀiÊiÃÊÃiÝið DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! MONTRENT QUE CERTAINS PAYS APPLIQUENT DES
POLITIQUES QUI OFFRENT AUX DEUX SEXES LA POSSIBILITÏ DE BÏNÏFICIER DUN ENSEI
GNEMENT DE GRANDE QUALITÏ ,ES ÏCARTS PERSISTANTS DANS DAUTRES PAYS AINSI
QUE LE RECUL EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ENREGISTRÏ PAR LE SEXE MASCULIN
CONSTITUENT DAUTRES PRÏOCCUPATIONS SÏRIEUSES QUI MÏRITENT DE FIGURER Ì
LAGENDA DES POLITIQUES
vvjÀiViÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃÊ #(!0)42%
,ANALYSE RÏVÒLE PAR AILLEURS QUE LES SOCIÏTÏS ET LES ÏTABLISSEMENTS NE RÏUSSISSENT iÃÊjV>ÀÌÃÊiÌÀiÊiÃÊÃiÝiÃÊ
PAS TOUS DANS LA MÐME MESURE Ì PROMOUVOIR LA MOTIVATION ET Ì DÏVELOPPER «iÀÃÃÌiÌÊ`>ÃÊ>Ê
LINTÏRÐT POUR LAPPRENTISSAGE DES DIFFÏRENTES MATIÒRES CHEZ LES ÏLÒVES DES DEUX >mÀiÊ`iÊ«ÀÕÛÀÊ
SEXES ,A RELATION ÏTROITE ENTRE LINTÏRÐT POUR LES MATIÒRES ET LES PERFORMANCES >ÊÌÛ>ÌÊiÌÊ`iÊ
SCOLAIRES SUGGÒRE EN OUTRE QUE LA DIFFÏRENCIATION DES HABITUDES ET INTÏRÐTS `jÛi««iÀʽÌjÀkÌÊ«ÕÀÊ
RESPECTIFS DES DEUX SEXES EST LOURDE DE CONSÏQUENCES POUR LAPPRENTISSAGE ET ViÀÌ>iÃÊ>ÌmÀið
DOIT ÐTRE PRISE EN COMPTE PAR LA POLITIQUE ÏDUCATIVE
!U COURS DE CES DERNIÒRES DÏCENNIES LES SYSTÒMES DENSEIGNEMENT ONT FRANCHI DES -ÕÃVÌiÀʽi}>}iiÌÊ
PAS IMPORTANTS SUR LA VOIE DE LA RÏDUCTION DES DIFFÏRENCES DE NIVEAU DENSEIGNEMENT `iÃÊjmÛiÃÊ`iÊÃiÝiÊ
ENTRE HOMMES ET FEMMES /#$% MAIS IL RESTE BEAUCOUP Ì FAIRE ° ANS >ÃVÕÊDʽj}>À`Ê`iÊ
DE NOMBREUX ÏLÒVES CONSIDÒRENT LA TRANSITION ENTRE LÏCOLE ET LE MONDE DU TRAVAIL >ÊiVÌÕÀiÊiÌʽÌjÀkÌÊ`iÃÊ
COMME UN ASPECT IMPORTANT DE LEUR VIE FUTURE ,EUR PERFORMANCE SCOLAIRE LEUR jmÛiÃÊ`iÊÃiÝiÊvjÊ
MOTIVATION ET LEURS ATTITUDES Ì LÏGARD DE CES MATIÒRES PEUVENT AVOIR UNE INFLUENCE «ÕÀÊiÃÊ>Ì j>̵ÕiÃÊ
SIGNIFICATIVE SUR LA SUITE DE LEURS PARCOURS SCOLAIRE ET PROFESSIONNEL #ES PARCOURS iÃÌÊÕÊLiVÌvÊiÃÃiÌiÊ
CONDITIONNERONT Ì LEUR TOUR NON SEULEMENT LEURS CARRIÒRES INDIVIDUELLES ET LEURS «ÕÀʵÕiÊÌÕÃÊiÃÊjmÛiÃÊ
ATTENTES SALARIALES MAIS AUSSI DANS UN CADRE PLUS VASTE LEFFICACITÏ AVEC LAQUELLE Àj>ÃiÌÊ«iiiÌÊiÕÀÊ
SONT DÏVELOPPÏES ET EXPLOITÏES LES RESSOURCES HUMAINES DANS LES ÏCONOMIES ET LES «ÌiÌi°
SOCIÏTÏS DE L/#$% 3USCITER LENGAGEMENT DES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN Ì LÏGARD DE
LA LECTURE ET STIMULER LINTÏRÐT DES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ POUR LES MATHÏMATIQUES
SONT AUTANT DOBJECTIFS POLITIQUES QUI DOIVENT DEVENIR PRIORITAIRES POUR PARVENIR Ì
UNE MEILLEURE ÏGALITÏ ENTRE LES SEXES EN TERMES DACQUIS SCOLAIRES
.OTE
#ES PROGRAMMES SONT CLASSÏS AU NIVEAU ! DANS LA #LASSIFICATION INTERNATIONALE TYPE DE LÏDUCATION
#HAPITRE
1Ê Ê
/Ê*
,",
Ê
-Ê 6
-
#(!0)42% iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃ
)NTRODUCTION
iÃÊjÌ>LÃÃiiÌÃÊ ,ES ÏLÒVES SONT ISSUS DE MILIEUX FAMILIAUX SOCIO
ÏCONOMIQUES ET CULTURELS
`ÛiÌÊ«Ài`ÀiÊiÊ TRÒS DIFFÏRENTS %N RAISON DE CES DISPARITÏS LES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT
V
>À}iÊ`iÃÊiv>ÌÃÊÃÃÕÃÊ DOIVENT TOUT METTRE EN UVRE POUR OFFRIR DES POSSIBILITÏS ADAPTÏES ET GARANTIR
`iÊiÕÝÊÌÀmÃÊ`ÛiÀÃo LÏGALITÏ DES CHANCES Ì TOUS LEURS ÏLÒVES ,A DIVERSITÏ DES MILIEUX ET DES
INTÏRÐTS DES ÏLÒVES PEUT ENRICHIR LENVIRONNEMENT DAPPRENTISSAGE 0ARALLÒLE
MENT LHÏTÏROGÏNÏITÏ DES NIVEAUX DAPTITUDE ET LES DIFFÏRENCES DANS LÏTAT DE
PRÏPARATION DES ÏLÒVES COMPLIQUENT LES DÏFIS QUE LES ÏTABLISSEMENTS DOIVENT
RELEVER POUR SATISFAIRE LES BESOINS DÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX SOCIO
ÏCONOMIQUES
TRÒS DIVERS
oiÌÊ«iÕÛiÌÊkÌÀiÊ>`jÃÊ ,IDENTIFICATION DES CARACTÏRISTIQUES DES ÏLÒVES QUI SONT LES PLUS SUSCEPTIBLES
DÊý>VµÕÌÌiÀÊ`iÊViÌÌiÊ DOBTENIR DE PIÒTRES RÏSULTATS PEUT AIDER LE CORPS ENSEIGNANT ET LES DÏCIDEURS
Ì@V
iÊ«ÕÃÊivvV>ViiÌÊ Ì DÏTERMINER DANS QUELS DOMAINES LACTION PUBLIQUE DOIT SE CONCENTRER TOUT
iÊiÝ>>ÌÊiÃÊiÃÊ COMME LIDENTIFICATION DES PARTICULARITÏS DES ÏLÒVES i BRILLANTS w PEUT CONTRIBUER
iÌÀiÊiÊiÕÊv>>Ê Ì DÏFINIR DES ORIENTATIONS POLITIQUES VISANT Ì ACCROÔTRE LE NIVEAU DE PERFORMANCE
iÌÊ>Ê«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊ 3IL PEUT ÐTRE DÏMONTRÏ QUE CERTAINS PAYS RENCONTRENT MOINS DE DIFFICULTÏS QUE
jmÛið DAUTRES POUR SATISFAIRE LES BESOINS DES DEUX GROUPES CELA DONNERAIT Ì PENSER
QUIL EST RÏALISABLE DAMÏLIORER Ì LA FOIS LA QUALITÏ ET LÏGALITÏ
#E CHAPITRE ÏTUDIE LA RELATION ENTRE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EN LECTURE EN MATHÏ
MATIQUES ET EN SCIENCES ET PLUSIEURS ASPECTS DE LEUR MILIEU FAMILIAL DONT LE NIVEAU
DENSEIGNEMENT LA PROFESSION ET LE CAPITAL CULTUREL ET ÏCONOMIQUE DE LEURS PARENTS
LEUR PAYS DORIGINE ET LA LANGUE QUILS PARLENT Ì LA MAISON VOIR ENCADRÏ
%NCADRÏ )NTERPRÏTATION DES INDICES 0)3!
,ES INDICES DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! SONT BASÏS SUR LES DÏCLARATIONS DES ÏLÒVES ET DES
CHEFS DÏTABLISSEMENT Ì PROPOS DE LENVIRONNEMENT DAPPRENTISSAGE LORGANISATION DES ÏTABLISSEMENTS
DENSEIGNEMENT ET LE CONTEXTE ÏCONOMIQUE ET SOCIAL DANS LEQUEL SINSCRIT LENSEIGNEMENT )LS SONT DÏDUITS
DES RÏPONSES DONNÏES PAR LES ÏLÒVES ET LES CHEFS DÏTABLISSEMENT EUX
MÐMES ET NON DOBSERVATIONS
EXTERNES %N CONSÏQUENCE ILS SONT SUSCEPTIBLES DÐTRE BIAISÏS PAR DES DIFFÏRENCES INTERCULTURELLES DANS LE
COMPORTEMENT DE RÏPONSE OU PAR LOPPORTUNITÏ SOCIALE DE CERTAINES RÏPONSES
0LUSIEURS INDICES RÏSUMENT LES RÏPONSES DES ÏLÒVES ET DES CHEFS DÏTABLISSEMENT AUX QUESTIONS Y AFFÏRENTES
#ES QUESTIONS ONT ÏTÏ SÏLECTIONNÏES DANS DES CONSTRUCTS PLUS IMPORTANTS SUR LA BASE DE CONSIDÏRATIONS
THÏORIQUES ET DE RECHERCHES ANTÏRIEURES
,ES COMPARAISONS PRÏSENTÏES DANS CE CHAPITRE ONT TRAIT Ì LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SAUF MENTION CONTRAIRE
,ES ÏQUATIONS STRUCTURELLES ONT ÏTÏ MODÏLISÏES POUR CONFIRMER LES DIMENSIONS THÏORIQUES PRÏVUES DES
INDICES ET VALIDER LEUR COMPARABILITÏ ENTRE PAYS ° CET EFFET UN MODÒLE SÏPARÏ A ÏTÏ PRÏPARÏ POUR CHAQUE
PAYS AINSI QUUN MODÒLE COLLECTIF POUR LENSEMBLE DES PAYS DE L/#$%
iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
3TATUT PROFESSIONNEL
3IL EST ÏLEVÏ LE STATUT PROFESSIONNEL DES PARENTS PEUT INFLUENCER LES ASPIRATIONS >Ê«ÀviÃÃÊ`iÃÊ«>ÀiÌÃÊ
PROFESSIONNELLES DES ÏLÒVES ET PAR LÌ LEUR ENGAGEMENT Ì LÏGARD DE LAPPRENTISSAGE iÃÌÊÕiÊiÃÕÀiÊ`ÕÊÃÌ>ÌÕÌÊ
QUI DEVIENT ALORS POUR EUX UN MOYEN DE COMBLER LEURS ATTENTES )L PEUT ÏGALE ÃVjVµÕiʵÕÊ
MENT PERMETTRE DÏLARGIR LE CHAMP DES ORIENTATIONS PROFESSIONNELLES DONT LES «iÕÌÊvÕiViÀÊiÃÊ
ENFANTS ONT CONNAISSANCE >ëÀ>ÌÃÊiÌÊiÃÊ
>ÌÌÌÕ`iÃÊ`iÃÊjmÛið
,E 0)3! A CERNÏ CET ASPECT DU MILIEU FAMILIAL DES ÏLÒVES GRÊCE AUX INFORMATIONS
RECUEILLIES SUR LA PROFESSION DES PARENTS ET SUR LES ACTIVITÏS QUI Y SONT ASSOCIÏES
PAR LE BIAIS DUNE MÏTHODE QUI GARANTIT LA COMPARABILITÏ INTERNATIONALE #ET
ASPECT EST REPRÏSENTÏ SOUS LA FORME DE LINDICE SOCIO ÏCONOMIQUE DE STATUT PROFES
SIONNEL 'ANZEBOOM ET AL QUI MESURE LES ATTRIBUTS DES PROFESSIONS ET
CONVERTIT LE NIVEAU DENSEIGNEMENT DES INDIVIDUS EN REVENUS ,ES VALEURS DE
LINDICE SONT COMPRISES ENTRE ET PLUS LES VALEURS SONT ÏLEVÏES PLUS ELLES
DÏNOTENT UN STATUT PROFESSIONNEL ÏLEVÏ CHEZ LES PARENTS DUN ÏLÒVE $ANS LES PAYS
DE L/#$% LA VALEUR MOYENNE DE LINDICE EST DE ET SON ÏCART TYPE DE
VOIR LENCADRÏ
%NCADRÏ #OMMENT LIRE LA FIGURE
,INDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL 0)3! DE STATUT PROFESSIONNEL CLASSE LES ÏLÒVES EN FONCTION
DE LA PROFESSION DE LEURS PARENTS SELON LE RÙLE DIRECT QUE JOUE LA PROFESSION DANS LOPTIMISATION DU
REVENU ,A POPULATION DE CHAQUE PAYS EST RÏPARTIE EN QUARTILES EN FONCTION DES VALEURS NATIONALES
DE CET INDICE ,ES COMPÏTENCES REQUISES POUR SATISFAIRE AUX EXIGENCES ASSOCIÏES Ì UNE PROFESSION
CONSTITUENT LE PRINCIPAL CRITÒRE POUR DISTINGUER LES DIFFÏRENTS NIVEAUX DE STATUT PROFESSIONNEL
,A FIGURE COMPARE POUR CHAQUE PAYS LA PERFORMANCE MOYENNE DES ÏLÒVES SITUÏS DANS LES
QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR ,A LONGUEUR DES DIFFÏRENTES LIGNES MONTRE LÏCART ENTRE LE STATUT
PROFESSIONNEL LE PLUS ÏLEVÏ ET LE MOINS ÏLEVÏ DANS CHAQUE PAYS )L Y A LIEU DE SOULIGNER QUE LE STATUT
PROFESSIONNEL MOYEN DE CHAQUE QUARTILE VARIE SELON LES PAYS DE L/#$% #EPENDANT DANS TOUS LES
PAYS SAUF QUATRE LA MOYENNE DU QUARTILE INFÏRIEUR NE VARIE PAS DE PLUS DE POINTS SUR LES POINTS
DE CET INDICE ,A VARIATION EST LÏGÒREMENT PLUS PRONONCÏE DANS LE QUARTILE SUPÏRIEUR
0ARMI LES SECTEURS CARACTÏRISTIQUES DES VALEURS DINDICE COMPRISES ENTRE ET POINTS CITONS
LES PETITES EXPLOITATIONS AGRICOLES LA MÏTALLURGIE LA MÏCANIQUE LES TAXIS LE TRANSPORT ROUTIER ET
LA RESTAURATION ,ES PROFESSIONS LES PLUS COURAMMENT ASSOCIÏES Ì DES VALEURS DINDICE COMPRISES
ENTRE ET POINTS SONT LA COMPTABILITÏ JOURNALIÒRE LA VENTE LA GESTION DE PETITES ENTREPRISES ET
CERTAINES PROFESSIONS DANS LE SECTEUR DE LA SANTÏ 0LUS LES EXIGENCES PROFESSIONNELLES SONT GRANDES
PLUS LE STATUT PROFESSIONNEL AUGMENTE 0ARMI LES PROFESSIONS CORRESPONDANT Ì DES VALEURS COMPRISES
ENTRE ET POINTS CITONS LA MERCATIQUE LENSEIGNEMENT LINGÏNIERIE ET LA COMPTABILITÏ DES
ENTREPRISES %NFIN LES VALEURS COMPRISES ENTRE ET POINTS CEST
Ì
DIRE LE QUARTILE SUPÏRIEUR
INTERNATIONAL DE LINDICE RENVOIENT Ì DES PROFESSIONS TELLES QUE LA MÏDECINE LENSEIGNEMENT
UNIVERSITAIRE OU LE DROIT
#(!0)42% iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃ
}ÕÀiÊÈ°£
3TATUT PROFESSIONNEL DES PARENTS ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
!
" 1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
! )NDICE SOCIO ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DU STATUT PROFESSIONNEL )3%)
" 0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT PAR QUARTILES DE LgINDICE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
!LLEMAGNE
.OUVELLE
:ÏLANDE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
!UTRICHE
,ETTONIE
%SPAGNE
0OLOGNE
(ONGRIE
.ORVÒGE
3UISSE
-EXIQUE
#ORÏE
3UÒDE
"ELGIQUE
$ANEMARK
)RLANDE
)TALIE
)SLANDE
"RÏSIL
'RÒCE
&INLANDE
!USTRALIE
#ANADA
,UXEMBOURG
0ORTUGAL
&RANCE
,IECHTENSTEIN
0AYS "AS
6ARIATION MOYENNE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT PAR UNITÏS
DE PROGRESSION ÏCART TYPE DE LgINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DU STATUT PROFESSIONNEL
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR ASSURER LA COMPARABILITÏ DES DONNÏES VOIR ANNEXE !
.OTE 0OUR UNE DÏFINITION DE LgINDICE VOIR LANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU A
iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
#OMME LE MONTRE LA FIGURE LES DIFFÏRENCES DE LINDICE SOCIO ÏCONOMIQUE iÃÊjmÛiÃÊ`ÌÊiÃÊ«>ÀiÌÃÊ
DE STATUT PROFESSIONNEL DONNENT LIEU Ì DE GRANDS ÏCARTS DE PERFORMANCE AU SEIN iÝiÀViÌÊ`iÃÊ«ÀviÃÃÃÊ
DES PAYS TABLEAU A $ANS LES PAYS DE L/#$% LE SCORE MOYEN DES ÏLÒVES `½ÕÊÃÌ>ÌÕÌÊ«ÕÃÊjiÛjÊ
DU QUARTILE SUPÏRIEUR DE LINDICE SOCIO ÏCONOMIQUE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE ÌÊiÊÞiiÊ`iÊ
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SÏTABLIT Ì POINTS SOIT POINTS DE PLUS QUE LE iiÕÀiÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊ
SCORE MOYEN DE L/#$% 0AR CONTRASTE LE SCORE MOYEN DES ÏLÒVES DU QUARTILE iÊV«Àj iÃÊ
INFÏRIEUR DE LINDICE SOCIO ÏCONOMIQUE EST DE POINTS SEULEMENT DANS `iʽjVÀÌo
L/#$% ,ÏCART MOYEN ENTRE LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR REPRÏSENTE
PLUS DUN NIVEAU DE COMPÏTENCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT %N MOYENNE
DANS LES PAYS DE L/#$% LINDICE EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIATION TOTALE DE
LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
VOIR LANNEXE ! ,ES RÏSULTATS SONT SIMILAIRES EN CULTURE MATHÏMATIQUE ET EN
CULTURE SCIENTIFIQUE TABLEAUX B C
,A FIGURE MONTRE ÏGALEMENT QUE LÏCART DE PERFORMANCE SUR LÏCHELLE o>ÃÊViÌÊ>Û>Ì>}iÊ
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ENTRE LES ÏLÒVES SITUÏS DANS LES QUARTILES ÕiÊÕÊÀiÊiÌÌiiÌÊ
INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR DE LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE VARIE CONSIDÏRABLEMENT SELON «ÕÃÊ«Àj«`jÀ>ÌÊ`>ÃÊ
LES PAYS #EST EN #ORÏE QUE CET ÏCART EST LE PLUS FAIBLE POINTS $ANS CE PAYS ViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃʵÕiÊ`>ÃÊ
LES ÏLÒVES DONT LES PARENTS ONT UN STATUT PROFESSIONNEL MOINS ÏLEVÏ PRÏSENTENT `½>ÕÌÀiÃo
UN BON RENDEMENT Ì LA FOIS EN TERMES RELATIFS CEST
Ì
DIRE EN COMPARAISON AVEC
LES ÏLÒVES CORÏENS DONT LES PARENTS ONT UN STATUT PROFESSIONNEL PLUS ÏLEVÏ ET EN
TERMES ABSOLUS CEST
Ì
DIRE EN COMPARAISON AVEC LES ÏLÒVES DAUTRES PAYS DONT
LES PARENTS ONT UN STATUT PROFESSIONNEL SIMILAIRE ,A &INLANDE ET L)SLANDE SONT
LES DEUX PAYS D%UROPE Oá LÏCART DE PERFORMANCE EST LE PLUS FAIBLE ENTRE LES
QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR ET POINTS RESPECTIVEMENT #EST DANS
CES TROIS PAYS ÏGALEMENT QUE LÏCART DE PERFORMANCE EN CULTURE MATHÏMATIQUE
ET SCIENTIFIQUE EST LE PLUS FAIBLE ENTRE LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR DE
LINDICE
,ES ÏCARTS LES PLUS IMPORTANTS ÏGAUX OU SUPÏRIEURS Ì POINTS DANS LES TROIS
DOMAINES DÏVALUATION SONT OBSERVÏS EN !LLEMAGNE EN "ELGIQUE ET EN 3UISSE
#EST EN !LLEMAGNE QUE LES ÏCARTS SONT LES PLUS PRONONCÏS LE SCORE DES ÏLÒVES DONT
LES PARENTS EXERCENT LES PROFESSIONS LES PLUS PRESTIGIEUSES LE QUARTILE SUPÏRIEUR DE
LINDICE DE STATUT PROFESSIONNEL EST PROCHE DE CELUI DE LÏLÒVE MOYEN EN &INLANDE
LE PAYS EN TÐTE DU CLASSEMENT DE PERFORMANCE DU 0)3! TANDIS QUE LE SCORE DES
ÏLÒVES DONT LE STATUT PROFESSIONNEL PARENTAL EST LE PLUS FAIBLE CORRESPOND Ì CELUI DES
ÏLÒVES DU -EXIQUE QUI SE SITUE AU BAS DE CE MÐME CLASSEMENT
!UX ³TATS 5NIS EN (ONGRIE EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE ET AU 2OYAUME 5NI LÏCART
DE PERFORMANCE ENTRE LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR DE LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE DÏPASSE POINTS DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION SOIT UN ÏCART
NETTEMENT SUPÏRIEUR Ì LÏQUIVALENT DUN NIVEAU DE PERFORMANCE $ANS CES QUATRE
PAYS TOUT COMME EN !LLEMAGNE EN "ELGIQUE ET EN 3UISSE LES ÏLÒVES SITUÏS DANS LE
QUARTILE INFÏRIEUR DE LINDICE DE STATUT PROFESSIONNEL ONT AU MOINS DEUX FOIS PLUS DE
CHANCES QUE LES AUTRES ÏLÒVES DE FIGURER DANS LE QUARTILE INFÏRIEUR DE PERFORMANCE
DE LEUR PAYS SUR LES ÏCHELLES DE COMPÏTENCE 0)3! TABLEAU A
#(!0)42% iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃ
oiÌÊViÌÌiÊÀi>ÌÊ 2IEN NE PERMET TOUTEFOIS DE CONCLURE QUE CES DIFFÏRENCES SONT EXCLUSIVEMENT ET
iÃÌÊvÕiVjiÊ«>ÀÊ DIRECTEMENT IMPUTABLES AUX AVANTAGES FAMILIAUX ET AUX ASPIRATIONS PLUS AMBITIEUSES
`iÊLÀiÕÝÊv>VÌiÕÀð SUSCITÏES PAR DES PARENTS EXER ANT DES PROFESSIONS PLUS PRESTIGIEUSES $E NOMBREUX
FACTEURS INFLUENCENT LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION
!INSI LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE PEUT ÐTRE ASSOCIÏ AU LIEU DE RÏSIDENCE DES ÏLÒVES
Ì LA QUALITÏ DES ÏTABLISSEMENTS AUXQUELS ILS ONT ACCÒS CE FACTEUR EST IMPORTANT
DANS LES SYSTÒMES DENSEIGNEMENT QUI DÏPENDENT DE LA FISCALITÏ LOCALE Ì LEURS
CHANCES DÐTRE INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS Ì LIMPORTANCE DU SOUTIEN
ET DE LENGAGEMENT DE LEURS PARENTS ETC
>ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃ]Ê 5N AUTRE PHÏNOMÒNE MÏRITE PAR AILLEURS DÐTRE SOULIGNÏ BIEN QUE LE SCORE
iÃÊjmÛiÃÊ`ÌÊiÃÊ«>ÀiÌÃÊ DES ÏLÒVES DU QUARTILE INFÏRIEUR SOIT INFÏRIEUR Ì CELUI DES AUTRES ÏLÒVES DANS UN
iÝiÀViÌÊÕiÊ«ÀviÃÃÊ PAYS DONNÏ LEUR PERFORMANCE NEST PAS FORCÏMENT MÏDIOCRE EN TERMES ABSOLUS
ÃÊ«ÀiÃÌ}iÕÃiÊ !INSI EN #ORÏE ET EN &INLANDE LE SCORE DES ÏLÒVES DU QUARTILE INFÏRIEUR DE
Àj>ÃiÌÊ`iÊiiÕÀiÃÊ LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE EST SUPÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE POINTS DE L/#$%
«iÀvÀ>ViÃʵÕiʽjmÛiÊ DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION #ET ÏCART EST STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF
ÞiÊ`>Ãʽ"
° $E PLUS LEUR SCORE MOYEN EST SUPÏRIEUR Ì CELUI DES ÏLÒVES SITUÏS DANS LE QUARTILE
SUPÏRIEUR DE DEUX PAYS %N DAUTRES TERMES SI UN STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE PLUS
ÏLEVÏ PROCURE EFFECTIVEMENT UN i AVANTAGE w DE PERFORMANCE Ì LINTÏRIEUR DUN
PAYS DONNÏ CET AVANTAGE NE SE TRADUIT PAS NÏCESSAIREMENT DANS TOUS LES PAYS
$E MÐME LE FAIT DAPPARTENIR AU QUARTILE SUPÏRIEUR DE STATUT PROFESSIONNEL NE
CONFÒRE PAS FORCÏMENT LE MÐME AVANTAGE RELATIF DANS CHAQUE PAYS
)L CONVIENT DE GARDER PRÏSENT Ì LESPRIT LE FAIT QUE LES QUARTILES INFÏRIEUR ET
SUPÏRIEUR DE LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE NE SONT PAS FORCÏMENT SIMILAIRES DUN
PAYS Ì LAUTRE $E MÐME LÏCART ENTRE LES ÏLÒVES SITUÏS DANS LES QUARTILES SUPÏRIEUR
ET INFÏRIEUR VARIE CONSIDÏRABLEMENT SELON LES PAYS !INSI LA VALEUR MOYENNE
POINTS DE LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE DE STATUT PROFESSIONNEL EST IDENTIQUE
EN &RANCE ET EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE VOIR LE TABLEAU A MAIS LÏCART MOYEN
ENTRE LES SCORES DES ÏLÒVES SITUÏS DANS LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR EST
RESPECTIVEMENT DE ET DE POINTS ,ÏCART ASSOCIÏ AU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE
EST DONC PLUS IMPORTANT EN &RANCE QUEN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE /N PEUT ÏGALEMENT
MESURER CETTE VARIATION EN COMPARANT LÏCART DE PERFORMANCE SUR LÏCHELLE
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ENTRE LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR
ASSOCIÏ Ì LA PROGRESSION DUN ÏCART TYPE INTERNATIONAL UNITÏS DE LINDICE
SOCIO
ÏCONOMIQUE DE STATUT PROFESSIONNEL TABLEAUX A
C #ETTE COMPARAISON
CONFIRME QUE LIMPORTANCE RELATIVE DU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE VARIE SELON
LES PAYS
iÃÊ`vvjÀiViÃÊ`iÊ #ES OBSERVATIONS ONT DES IMPLICATIONS DUNE CERTAINE IMPORTANCE POUR LES
«iÀvÀ>ViÊVÃÌÌÕiÌÊ DÏCIDEURS )L RESSORT DE L%NQUÐTE INTERNATIONALE SUR LA LITTÏRATIE DES ADULTES QUE
ÕÊvÀiÊDÊ>ÊLÌjÊ LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST UNE COMPÏTENCE QUI AMÏLIORE LES PERSPECTIVES
jVµÕiÊiÌÊÃV>iÊ DEMPLOI ET DE REVENU /#$% ET 3TATISTIQUE #ANADA #ETTE COMPÏTENCE
ÌiÀ}jjÀ>Ìii° EST ÏGALEMENT LUN DES FONDEMENTS DE LAPPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE 0AR
CONSÏQUENT LA PROGRESSION INTERGÏNÏRATIONNELLE DU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE PEUT
ÐTRE RESTREINTE DANS LES PAYS QUI COMPTENT UNE PROPORTION CONSIDÏRABLE DE LECTEURS
iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
PLUS i FAIBLES w #E SONT CES LECTEURS i FAIBLES w QUI ONT VRAISEMBLABLEMENT LE MOINS
DE CHANCES DE BÏNÏFICIER DE PERSPECTIVES DEMPLOI PROMETTEUSES GAGES DE MOBILITÏ
ÏCONOMIQUE )L EN VA DE MÐME EN CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE 4OUTEFOIS
AINSI QUE LE RÏVÒLE LA COMPARAISON DE LA RELATION ENTRE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE ET
PERFORMANCE DANS LES DIFFÏRENTS PAYS LES ÏCARTS VARIENT GRANDEMENT DUN PAYS Ì
LAUTRE CE QUI INDIQUE QUILS NE SONT PEUT
ÐTRE PAS INÏLUCTABLES
2ICHESSE FAMILIALE
%N RÒGLE GÏNÏRALE LA RICHESSE RELATIVE PAR NATURE ÏTROITEMENT ASSOCIÏE Ì LA ÀÃʵÕiÊ>ÊÀV
iÃÃiÊ
PROFESSION CONSTITUE UN AVANTAGE ,ES GENS PLUS AISÏS ONT PAR DÏFINITION ACCÒS v>>iÊiÊ`iÛÀ>ÌÊ«>ÃÊ
Ì DAVANTAGE DE RESSOURCES )LS ONT ÏGALEMENT TENDANCE Ì DISPOSER DUN REVENU >ÛÀÊ`½«>VÌÊÃÕÀʽ>VVmÃÊ
DISCRÏTIONNAIRE PLUS ÏLEVÏ )L LEUR EST PLUS FACILE DE SE PROCURER CE DONT ILS DʽiÃi}iiÌÊ`>ÃÊ
ESTIMENT AVOIR BESOIN NOTAMMENT DES BIENS ET SERVICES DE GRANDE QUALITÏ iÃÊÃÞÃÌmiÃÊj`ÕV>ÌvÃÊ`ÕÊ
4OUTEFOIS DANS LES SYSTÒMES DENSEIGNEMENT FINANCÏS PAR L³TAT QUI VISENT ÃiVÌiÕÀÊ«ÕLVo
LÏGALITÏ DES CHANCES LA RICHESSE FAMILIALE DES ÏLÒVES NE DEVRAIT PAS AVOIR
DIMPACT SUR LACCÒS Ì UN ENSEIGNEMENT DE QUALITÏ
,A RELATION ENTRE LA RICHESSE ET LE RENDEMENT DE LENSEIGNEMENT A ÏTÏ ÏTABLIE SUR LA
BASE DES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì DES QUESTIONS PORTANT SUR LA PRÏSENCE DE CERTAINS
BIENS CHEZ EUX #ES RÏPONSES ONT PERMIS DE CONSTITUER UN INDICE COMPOSITE DE
RICHESSE FAMILIALE 0OUR LES PAYS DE L/#$% LA VALEUR MOYENNE DE CET INDICE EST
DE ZÏRO ET LÏCART TYPE EST DE
!INSI QUE LE MONTRE LE TABLEAU LA RELATION ENTRE LA RICHESSE ET LA PERFORMANCE oiÊ«À>̵Õi]ÊiÃÊjmÛiÃÊ
SUR LES ÏCHELLES DE COMPÏTENCE 0)3! EST MITIGÏE MAIS GÏNÏRALEMENT POSITIVE ÃÃÕÃÊ`iÊv>iÃÊ«ÕÃÊ
,ES ÏLÒVES ISSUS DE FAMILLES PLUS AISÏES OBTIENNENT DE MEILLEURS RÏSULTATS QUE >ÃjiÃÊLÌiiÌÊ`iÊ
CEUX ISSUS DE FAMILLES MOINS PRIVILÏGIÏES DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION iiÕÀÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃ]ÊkiÊ
,ES ÏLÒVES PLUS RICHES TENDENT Ì RÏALISER DES SCORES SUPÏRIEURS Ì CEUX DES ÏLÒVES ÃÊViÌÊivviÌÊiÃÌÊÃÊ
MOINS PRIVILÏGIÏS DE LEUR PAYS %N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% LES ÏLÒVES «ÀVjʵÕiÊViÕÊ`ÕÊ
SITUÏS DANS LE QUARTILE SUPÏRIEUR DE LINDICE DE RICHESSE AFFICHENT EN COMPRÏHEN ÃÌ>ÌÕÌÊ«ÀviÃÃiÊ`iÃÊ
SION DE LÏCRIT UN SCORE SUPÏRIEUR DE POINTS Ì CELUI DES ÏLÒVES DU QUARTILE «>ÀiÌð
INFÏRIEUR LES DIFFÏRENCES SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES DANS TOUS LES PAYS
SAUF TROIS
0ARMI LES PAYS PARTICIPANTS CEST AUX ³TATS
5NIS QUE LES DIFFÏRENCES SONT LES >ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃ]ÊViÌÌiÊ
PLUS MARQUÏES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT LÏCART ENTRE LES ÏLÒVES SITUÏS DANS VÀÀj>ÌÊiÃÌÊ«ÕÃÊ
LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR DE RICHESSE Y REPRÏSENTE POINTS LÏCART >vvÀjiʵÕiÊ`>ÃÊ
MOYEN EST DE POINTS POUR LENSEMBLE DE L/#$% %N DAUTRES TERMES `½>ÕÌÀiÃo
LES ÏLÒVES DE CE PAYS ONT AU MOINS DEUX FOIS PLUS DE CHANCES DÐTRE CLASSÏS
DANS LE QUARTILE INFÏRIEUR DE PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SILS
APPARTIENNENT AU QUARTILE INFÏRIEUR PLUTÙT QUAU QUARTILE SUPÏRIEUR DE LINDICE
0)3! DE RICHESSE $ANS CE CLASSEMENT LES ³TATS
5NIS SONT SUIVIS PAR LE "RÏSIL
LE -EXIQUE ET LE 0ORTUGAL Oá LES ÏCARTS SONT DE LORDRE DE POINTS DANS LES
TROIS DOMAINES DÏVALUATION VOIR TABLEAU POUR LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
ET WWWPISAOECDORG POUR LA CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE
#(!0)42% iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃ
oÙÊÕÊ>µÕiÊÀi>ÌvÊ ,A RELATION ENTRE LA RICHESSE FAMILIALE ET LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EST RELATIVEMENT
`iÊÀiÃÃÕÀViÃÊv>VmÀiÃÊ FAIBLE DANS LES PAYS SCANDINAVES EN !UTRICHE EN "ELGIQUE EN )TALIE AU *APON EN
½iÃÌÊ«>ÃÊÕÊLÃÌ>ViÊ ,ETTONIE ET EN 0OLOGNE %N OUTRE DANS PLUSIEURS PAYS DE L/#$% LE MANQUE
DÊ`iÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊ RELATIF DE RESSOURCES FINANCIÒRES NEST PAS ASSOCIÏ Ì DES PERFORMANCES INFÏRIEURES
ÃÕ«jÀiÕÀiÃÊDÊ>ÊÞiiÊ Ì LA MOYENNE INTERNATIONALE %N EFFET DANS UN TIERS DES PAYS ENVIRON LE SCORE
ÌiÀ>Ì>i° MOYEN DES ÏLÒVES SITUÏS DANS LE QUARTILE INFÏRIEUR DE LINDICE DE RICHESSE EST
DAILLEURS ÏGAL OU SUPÏRIEUR AU SCORE MOYEN DE L/#$% EN COMPRÏHENSION DE
LÏCRIT 0ARMI LES ÏLÒVES SITUÏS DANS LE QUARTILE INFÏRIEUR DE LINDICE DE RICHESSE
DES SCORES ÏLEVÏS SONT OBTENUS EN &INLANDE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET AU
*APON DANS LES TROIS DOMAINES VOIR LE TABLEAU POUR LA COMPRÏHENSION DE
LÏCRIT ET WWWPISAOECDORG POUR LA CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE ,ES
SCORES ATTEINTS PAR LES ÏLÒVES DU QUARTILE INFÏRIEUR DE LINDICE DE RICHESSE DANS CES
DEUX PAYS SONT SUPÏRIEURS Ì CEUX OBTENUS EN MOYENNE DANS DE NOMBREUX AUTRES
PAYS PAR LES ÏLÒVES DU QUARTILE SUPÏRIEUR DE CET INDICE
"IENS ET ACTIVITÏS LIÏS Ë LA CULTURE i CLASSIQUE w
iÊ*-Ê>Êj}>iiÌÊ«ÃjÊ /UTRE LA RICHESSE FAMILIALE LES ÏLÒVES PEUVENT ÏGALEMENT AVOIR ACCÒS Ì DES BIENS
>ÕÝÊjmÛiÃÊ`iÃʵÕiÃÌÃÊ LIÏS Ì LA CULTURE CLASSIQUE DONT IL EST ÏTABLI QUILS SONT FRÏQUEMMENT ASSOCIÏS Ì LA
«ÀÌ>ÌÊÃÕÀÊ>Ê«ÀjÃiViÊ RÏUSSITE SCOLAIRE #ONTRAIREMENT Ì LA RICHESSE FAMILIALE QUI DÏPEND GÏNÏRALEMENT
V
iâÊiÕÝÊ`iÊLiÃÊjÃÊDÊ DE LA SITUATION PROFESSIONNELLE DES PARENTS LE PATRIMOINE CULTUREL EST PLUS AISÏMENT
>ÊVÕÌÕÀiÊV>ÃõÕi]ÊÌiÃÊiÃÊ ACCESSIBLE Ì QUICONQUE LE SOUHAITE EN PRINCIPE DU MOINS ,IMPORTANCE DE LA
ÛÀiÃÊ`iÊÌÌjÀ>ÌÕÀiÊiÌÊiÃÊ RELATION ENTRE LE PATRIMOINE CULTUREL ET LES PERFORMANCES DANS LES TROIS DOMAINES
ÕÛÀiÃÊ`½>ÀÌ° DÏVALUATION A ÏTÏ MESURÏE SUR LA BASE DES RÏPONSES DES ÏLÒVES AUX QUESTIONS
PORTANT SUR LA PRÏSENCE CHEZ EUX DE LIVRES DE LITTÏRATURE CLASSIQUE DE RECUEILS
DE POÏSIE ET DUVRES DART NOTAMMENT DES TABLEAUX ,EURS RÏPONSES ONT ÏTÏ
COMBINÏES POUR CONSTITUER UN INDICE COMPOSITE DE PATRIMOINE CULTUREL FAMILIAL
$ANS LES PAYS DE L/#$% LA VALEUR MOYENNE DE CET INDICE EST FIXÏE Ì ZÏRO ET SON
ÏCART TYPE Ì
,ES NIVEAUX LES PLUS ÏLEVÏS DE PATRIMOINE DE CULTURE CLASSIQUE SONT ENREGISTRÏS
EN &ÏDÏRATION DE 2USSIE EN )SLANDE ET EN ,ETTONIE TABLEAU %N )SLANDE
PAR EXEMPLE POUR CENT AU MOINS DES ÏLÒVES DÏCLARENT AVOIR CHEZ EUX DES
LIVRES DE LITTÏRATURE CLASSIQUE DES RECUEILS DE POÏSIE ET DES UVRES DART VOIR
WWWPISAOECDORG POUR DES DONNÏES CHIFFRÏES Ì CET ÏGARD %N &ÏDÏRATION DE
2USSIE ILS SONT PRÒS DE POUR CENT Ì AFFIRMER QUILS ONT DES LIVRES DE LITTÏRATURE
CLASSIQUE ET DES RECUEILS DE POÏSIE CHEZ EUX )L EXISTE UN GRAND CONTRASTE ENTRE
CES POURCENTAGES ET CEUX ENREGISTRÏS DANS DES PAYS TELS QUE LA .OUVELLE
:ÏLANDE
ET LE -EXIQUE Oá MOINS DUN TIERS DES ÏLÒVES AFFIRMENT AVOIR CHEZ EUX DES LIVRES
DE LITTÏRATURE CLASSIQUE OU LES PAYS TELS QUE LE "RÏSIL LA &RANCE ET LE -EXIQUE Oá
UN TIERS DÏLÒVES OU MOINS DÏCLARENT LA PRÏSENCE DUVRES DART CHEZ EUX
ʽÌjÀiÕÀÊ`iÃÊ«>ÞÃ]Ê !INSI QUE LE MONTRE LA FIGURE IL EXISTE DE TOUTE ÏVIDENCE UNE RELATION
iÊ«>ÌÀiÊVÕÌÕÀiÊiÃÌÊ ÏTROITE ENTRE LA POSSESSION DE BIENS LIÏS Ì LA CULTURE CLASSIQUE ET LES ÏCARTS DE
«ÕÃÊjÌÀÌiiÌÊ>ÃÃVjÊ PERFORMANCE #ETTE ASSOCIATION EST GÏNÏRALEMENT PLUS ÏTROITE QUE CELLE ENTRE
DÊ>Ê«iÀvÀ>ViʵÕiÊ>Ê LA PERFORMANCE ET LA RICHESSE FAMILIALE $E PLUS LES ÏCARTS DE PERFORMANCE
ÀV
iÃÃiÊv>>io ENTRE LES ÏLÒVES SITUÏS DANS LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR DE LEUR PAYS
iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
}ÕÀiÊÈ°Ó
0ATRIMOINE CULTUREL LIÏ Ì LA i CULTURE CLASSIQUE w ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
!
" 1UARTILE SUPÏRIEUR 4ROISIÒME QUARTILE $EUXIÒME QUARTILE 1UARTILE INFÏRIEUR
! )NDICE DU PATRIMOINE CULTUREL FAMILIAL
" 0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT PAR QUARTILES DE LgINDICE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
0AYS
"AS
.OUVELLE
:ÏLANDE
³TATS
5NIS
2OYAUME
5NI
"ELGIQUE
!LLEMAGNE
!UTRICHE
,ETTONIE
.ORVÒGE
%SPAGNE
(ONGRIE
3UISSE
0OLOGNE
3UÒDE
#ORÏE
-EXIQUE
$ANEMARK
)RLANDE
)TALIE
)SLANDE
"RÏSIL
!USTRALIE
&INLANDE
'RÒCE
&RANCE
*APAN
,UXEMBOURG
0ORTUGAL
#ANADA
,IECHTENSTEIN
6ARIATION MOYENNE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT PAR UNITÏ DE PROGRESSION DE LgINDICE DU PATRIMOINE CULTUREL
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR ASSURER LA COMPARABILITÏ DES DONNÏES VOIR ANNEXE !
.OTE 0OUR UNE DÏFINITION DE LgINDICE VOIR LANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
#(!0)42% iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃ
EN TERMES DE PATRIMOINE CULTUREL SONT ÏLEVÏS DANS LENSEMBLE DE L/#$%
)LS VONT EN MOYENNE DE POINTS EN CULTURE MATHÏMATIQUE Ì POINTS
EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR LE TABLEAU POUR LA COMPRÏHENSION DE
LÏCRIT ET WWWPISAOECDORG POUR LA CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE ,E
PATRIMOINE CULTUREL FAMILIAL EST BIEN ENTENDU ÏTROITEMENT LIÏ Ì DAUTRES FACTEURS
CONTEXTUELS TELS QUE LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE ET LA RICHESSE
o>ÃÊ`>ÃÊViÀÌ>ÃÊ )L VA DE SOI QUE LE MANQUE DE BIENS LIÏS Ì LA CULTURE CLASSIQUE EST RELATIF $ANS
«>ÞÃ]ÊiÊ>µÕiÊ`iÊLiÃÊ CERTAINS PAYS DES ÏLÒVES NE DISPOSANT QUE DE PEU DE BIENS CULTURELS AFFICHENT UN
VÕÌÕÀiÃÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ RENDEMENT INFÏRIEUR Ì CELUI DES AUTRES ÏLÒVES DE LEUR PAYS MAIS RELATIVEMENT
½iÃÌÊ«>ÃÊjÊDÊ`iÃÊ BON PAR RAPPORT Ì CELUI DES ÏLÒVES SITUÏS DANS LE QUARTILE INFÏRIEUR DE CET INDICE
«iÀvÀ>ViÃÊvjÀiÕÀiÃÊ DANS DAUTRES PAYS %N CONSÏQUENCE LE MANQUE RELATIF DE BIENS LIÏS Ì LA CULTURE
DʽjV
iiÊ CLASSIQUE NEMPÐCHE PAS LES ÏLÒVES DE PLUSIEURS PAYS DAFFICHER UN RENDEMENT
ÌiÀ>Ì>i° SUPÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE L/#$% DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION
iʵÕ>ÀÌiÊ`½jmÛiÃÊ ,A PERFORMANCE DES ÏLÒVES DONT LINDICE DE PATRIMOINE CULTUREL EST ÏLEVÏ EST
«ÃÃj`>ÌÊiÊ«ÕÃÊ}À>`Ê GÏNÏRALEMENT EXCEPTIONNELLE $ANS HUIT PAYS AU MOINS DE L/#$% LE SCORE
LÀiÊ`iÊLiÃÊVÕÌÕÀiÃÊ MOYEN DE CES ÏLÒVES EST ÏGAL OU SUPÏRIEUR Ì POINTS DANS LES TROIS DOMAINES
Àj>ÃiÌÊ`iÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊ DÏVALUATION %N COMPRÏHENSION DE LÏCRIT CE SCORE SITUE CES ÏLÒVES Ì LA LIMITE
ÌÀmÃÊjiÛjiÃÊ`>ÃÊ`iÊ ENTRE LES NIVEAUX DE COMPÏTENCE ET %N !USTRALIE ET AU 2OYAUME
5NI LE
LÀiÕÝÊ«>ÞÃo SCORE MOYEN DES ÏLÒVES SITUÏS DANS LE QUARTILE SUPÏRIEUR DE CET INDICE DÏPASSE
POINTS EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET EN CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTI
FIQUE #ES ÏLÒVES SE SITUENT AU NIVEAU DE COMPÏTENCE EN COMPRÏHENSION DE
LÏCRIT %N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% LA PROGRESSION DUNE UNITÏ DE
LINDICE DE PATRIMOINE CULTUREL DONNE LIEU Ì UNE AUGMENTATION DE POINTS DU
SCORE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR LE TABLEAU
oiÌÊÕiÊ«>ÀÌÊ«ÀÌ>ÌiÊ )L EST ÏGALEMENT POSSIBLE DÏTUDIER LACCROISSEMENT PROGRESSIF DES SCORES DANS
`iʽjV>ÀÌÊÃj«>ÀiÊ LES DOMAINES DÏVALUATION DU 0)3! EN FONCTION DE LA PROGRESSION DE LINDICE
iʵÕ>ÀÌiÊvjÀiÕÀÊ DE PATRIMOINE CULTUREL %N MOYENNE POUR CENT DE LÏCART SÏPARE LES ÏLÒVES
`iÃÊ>ÕÌÀiÃʵÕ>ÀÌiÃÊ DU QUARTILE INFÏRIEUR DE LINDICE DE PATRIMOINE CULTUREL DE CEUX DU DEUXIÒME
`iÊViÌÊ`Vi° QUARTILE SOIT UN ÏCART NETTEMENT PLUS PRONONCÏ QUE DANS LE CAS DE LA RICHESSE
FAMILIALE #ET ÏCART REPRÏSENTE PLUS DE POUR CENT EN %SPAGNE EN &ÏDÏRATION
DE 2USSIE EN )SLANDE EN )TALIE AU *APON EN ,ETTONIE ET EN 0OLOGNE
"IEN QUE LE PATRIMOINE CULTUREL SOIT ÏTROITEMENT LIÏ Ì DAUTRES FACTEURS IL SEMBLE
QUE LE TYPE DE BIENS CULTURELS SUR LESQUELS LES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT ET
LES ÏPREUVES DÏVALUATION SONT SOUVENT BASÏS FASSE UNE DIFFÏRENCE ,E PATRIMOINE
CULTUREL A UN IMPACT PLUS ÏLEVÏ EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT QUEN CULTURE
MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE VOIR WWWPISAOECDORG POUR DES DONNÏES CHIFFRÏES
Ì CET ÏGARD #E CONSTAT SUGGÒRE QUE LACCÒS Ì LA LITTÏRATURE ET Ì DAUTRES BIENS
CULTURELS Ì LA MAISON CONFÒRE UN AVANTAGE EN TERMES DAPPRENTISSAGE
Ê>Êj}>iiÌÊjÌjÊ`i>`jÊ ,ORS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! LES ÏLÒVES ONT ÏTÏ PRIÏS DINDIQUER Ì
>ÕÝÊjmÛiÃÊýÃÊ«À>̵Õ>iÌÊ QUELLE FRÏQUENCE ILS PRATIQUAIENT DES ACTIVITÏS LIÏES Ì LA CULTURE CLASSIQUE VISITER
`iÃÊ>VÌÛÌjÃÊjiÃÊDÊ>ÊVÕÌÕÀiÊ UN MUSÏE OU UNE GALERIE DART ALLER VOIR UNE PIÒCE DE THÏÊTRE OU ASSISTER Ì UN
V>ÃõÕio OPÏRA Ì UN BALLET OU Ì UN CONCERT DE MUSIQUE CLASSIQUE ,EURS RÏPONSES ONT
iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
ÏTÏ COMBINÏES POUR CONSTITUER UN INDICE COMPOSITE DACTIVITÏS CULTURELLES ,ES
VALEURS DINDICE SUPÏRIEURES Ì ZÏRO INDIQUENT QUE LES ÏLÒVES SE LIVRENT DAVANTAGE
Ì DES ACTIVITÏS CULTURELLES QUE NE LE FONT EN MOYENNE LES ÏLÒVES DE L/#$% ET
CELLES INFÏRIEURES Ì ZÏRO QUILS PRATIQUENT MOINS SOUVENT DES ACTIVITÏS CULTURELLES
QUE NE LE FONT EN MOYENNE LES JEUNES DE ANS DANS L/#$%
,A (ONGRIE LA ,ETTONIE ET LA 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE FIGURENT PARMI LES PAYS Oá o>ÕݵÕiiÃÊiÃÊjmÛiÃÊ
LES ACTIVITÏS CULTURELLES SONT LES PLUS FRÏQUENTES TABLEAU %N (ONGRIE ET EN `iÃÊ`vvjÀiÌÃÊ«>ÞÃÊ
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE PRÒS DE POUR CENT DES ÏLÒVES AFFIRMENT AVOIR ASSISTÏ Ì UNE `jV>ÀiÌÊý>`iÀÊDÊ`iÃÊ
PIÒCE DE THÏÊTRE Ì TROIS REPRISES AU MOINS AU COURS DE LANNÏE ÏCOULÏE ALORS QUILS vÀjµÕiViÃÊ`ÛiÀÃið
NE SONT QUE POUR CENT EN MOYENNE DANS L/#$% VOIR WWWPISAOECDORG POUR
DES DONNÏES CHIFFRÏES Ì CET ÏGARD $E MÐME POUR CENT DES ÏLÒVES HONGROIS
DISENT AVOIR VISITÏ UN MUSÏE OU UNE GALERIE DART Ì TROIS REPRISES AU MOINS AU
COURS DE LANNÏE Ì COMPARER AVEC LA MOYENNE INTERNATIONALE DE POUR CENT
%N REVANCHE UNE MOYENNE DE POUR CENT DES ÏLÒVES DÏCLARENT NAVOIR JAMAIS
VISITÏ UN MUSÏE OU UNE GALERIE DART
%N MOYENNE DANS L/#$% LA FRÏQUENCE DE PARTICIPATION Ì DES ACTIVITÏS 1iÊ«>ÀÌV«>ÌÊ
CULTURELLES TELLE QUE MESURÏE PAR LINDICE EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIA
ÌiÃÛiÊDÊViÃÊ>VÌÛÌjÃÊ
TION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION iÃÌÊ>viÃÌiiÌÊjiÊ
DE LÏCRIT VOIR LANNEXE ! $ANS TOUS LES PAYS SAUF LE "RÏSIL IL EXISTE UNE DÊ`iÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊ«ÕÃÊ
DIFFÏRENCE STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE ENTRE LE SCORE MOYEN DES ÏLÒVES SITUÏS jiÛjiÃÊiÊV«Àj
iÃÊ
DANS LES QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR EN FONCTION DE LINDICE DE PARTICIPATION `iʽjVÀÌ°
Ì DES ACTIVITÏS CULTURELLES DE LEUR PAYS $ES ÏCARTS PARTICULIÒREMENT PRONONCÏS
DE LORDRE DE POINTS VOIRE DAVANTAGE SONT ENREGISTRÏS EN !LLEMAGNE EN
"ELGIQUE EN %SPAGNE AUX ³TATS
5NIS ET AU 2OYAUME
5NI TABLEAU
#OMMUNICATION SOCIALE ET CULTURELLE
)L EST COMMUNÏMENT ADMIS QUE LA CONTRIBUTION DES PARENTS Ì LÏDUCATION DE ÊiÃÌÊVÕjiÌÊ
LEURS ENFANTS EST UN FACTEUR CLÏ DE RÏUSSITE Ì LÏCOLE ,ORSQUE LES PARENTS >`ÃʵÕiÊ>Ê
COMMUNIQUENT AVEC LEURS ENFANTS ET ENTRENT EN INTERACTION AVEC EUX ILS PEUVENT VÌÀLÕÌÊ`iÃÊ«>ÀiÌÃÊ
LEUR DONNER DES ENCOURAGEMENTS ET MONTRER QUILS SINTÏRESSENT Ì LEURS PROGRÒS Dʽj`ÕV>ÌÊ`iÊiÕÀÃÊ
ET QUILS SE SOUCIENT DE CE QUILS FONT TANT Ì LINTÏRIEUR QUÌ LEXTÏRIEUR DU iv>ÌÃÊiÃÌÊÕÊv>VÌiÕÀÊVjÊ
CADRE SCOLAIRE )L RESSORT DE NOMBREUSES RECHERCHES MENÏES JUSQUÌ PRÏSENT `iÊÀjÕÃÃÌiÊDʽjVio
QUIL EXISTE UNE RELATION MARQUÏE ENTRE LENGAGEMENT PARENTAL ET LA RÏUSSITE
SCOLAIRE DES ÏLÒVES
,ORS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! LES ÏLÒVES ONT ÏTÏ PRIÏS DE RÏPONDRE AUX o>ÕÃÃÊiÊ*-Ê>ÌÊ
QUESTIONS SUIVANTES i %N GÏNÏRAL Ì QUELLE FRÏQUENCE VOS PARENTS DISCUTENT
ILS ÌiÀÀ}jÊiÃÊjmÛiÃÊÃÕÀÊ>Ê
DE LACTUALITÏ POLITIQUE OU SOCIALE AVEC VOUS $ISCUTENT
ILS DE LIVRES DE FILMS vÀjµÕiViÊ>ÛiVÊ>µÕiiÊ
OU DÏMISSIONS TÏLÏVISÏES AVEC VOUS ³COUTENT
ILS DE LA MUSIQUE CLASSIQUE AVEC ÃÊVÕµÕ>iÌÊ>ÛiVÊ
VOUS $ISCUTENT
ILS DE VOS RÏSULTATS SCOLAIRES AVEC VOUS 0RENNENT
ILS LE REPAS iÕÀÃÊ«>ÀiÌÃo
PRINCIPAL AVEC VOUS AUTOUR DUNE TABLE #ONSACRENT
ILS DU TEMPS Ì PARLER AVEC
VOUS w ,ES RECHERCHES CONFIRMENT QUE CES MESURES FONCTIONNENT DANS DE
NOMBREUX PAYS COMME DES INDICATEURS INDIRECTS FIABLES DE LA COMMUNICATION
SOCIALE ET CULTURELLE
#(!0)42% iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃ
o`>ÃÊiÃÊVÌiÝÌiÃÊ ,INDICE DE COMMUNICATION CULTURELLE EST DÏRIVÏ DE LA COMBINAISON DES RÏPONSES
VÕÌÕÀiÊiÌÊÃV>° AUX TROIS PREMIÒRES QUESTIONS ET LINDICE DE COMMUNICATION SOCIALE DE LA
COMBINAISON DES RÏPONSES AUX TROIS DERNIÒRES QUESTIONS 0OUR LES DEUX INDICES
DES VALEURS SUPÏRIEURES Ì LA MOYENNE DE L/#$% ZÏRO INDIQUENT UN DEGRÏ
RELATIVEMENT IMPORTANT DE COMMUNICATION ENTRE LES PARENTS ET LEURS ENFANTS )L Y
A LIEU DE SOULIGNER QUE LES VALEURS INFÏRIEURES Ì LA MOYENNE NE SIGNIFIENT PAS QUIL
NEXISTE PAS DE COMMUNICATION ENTRE LES PARENTS ET LEURS ENFANTS MAIS PLUTÙT
QUE LES INTERACTIONS ET LA COMMUNICATION SONT MOINS FRÏQUENTES QUELLES NE LE
SONT EN MOYENNE DANS L/#$%
)L RESSORT DES RÏPONSES DES ÏLÒVES QUE CEST EN )TALIE QUE LA COMMUNICATION SOCIALE
EST LA PLUS FRÏQUENTE $ANS CE CLASSEMENT L)TALIE EST SUIVIE PAR LA &ÏDÏRATION DE
2USSIE ET PAR LA (ONGRIE TABLEAU ET FIGURE $ANS CES TROIS PAYS PLUS DE
POUR CENT DES ÏLÒVES DÏCLARENT PAR EXEMPLE QUE LEURS PARENTS DISCUTENT DE
LEURS RÏSULTATS SCOLAIRES ET CONSACRENT DU TEMPS Ì PARLER AVEC EUX PLUSIEURS FOIS PAR
SEMAINE VOIR WWWPISAOECDORG POUR DES DONNÏES CHIFFRÏES Ì CET ÏGARD #EST EN
)TALIE ÏGALEMENT QUE LA COMMUNICATION CULTURELLE EST LA PLUS FRÏQUENTE 6IENNENT
ENSUITE DANS LORDRE LA (ONGRIE LA &RANCE ET LA ,ETTONIE TABLEAU !U "RÏSIL
EN &ÏDÏRATION DE 2USSIE EN (ONGRIE ET EN )TALIE PLUS DE POUR CENT DES ÏLÒVES
DÏCLARENT QUE LEURS PARENTS DISCUTENT DE LIVRES DE FILMS OU DÏMISSIONS TÏLÏVISÏES
AVEC EUX PLUSIEURS FOIS PAR SEMAINE )L EXISTE UN GRAND CONTRASTE ENTRE LES PAYS Ì CET
ÏGARD $ANS CERTAINS PAYS POUR CENT AU MOINS DES ÏLÒVES PRÏTENDENT QUE LEURS
PARENTS NE DISCUTENT DE LIVRES OU DE FILMS AVEC EUX QUE QUELQUES FOIS PAR AN VOIRE
JAMAIS VOIR WWWPISAOECDORG POUR DES DONNÏES CHIFFRÏES Ì CET ÏGARD
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`iÊViÕÝÊ 0OUR LES DEUX INDICES PLUS LA COMMUNICATION ET LINTERACTION AVEC LES PARENTS
µÕÊVÕµÕiÌÊ SONT FRÏQUENTES PLUS LES SCORES MOYENS SONT ÏLEVÏS SUR LÏCHELLE COMBINÏE
`>Û>Ì>}iÊqÊÃÕÀÌÕÌÊÃÕÀÊ DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT %N MOYENNE LA RELATION ENTRE LES SCORES EN
`iÃʵÕiÃÌÃÊVÕÌÕÀiiÃÊ COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET LA COMMUNICATION CULTURELLE EST PLUS MARQUÏE QUE
qÊÃÌÊiiÕÀð CELLE ENTRE LES MÐMES SCORES ET LA COMMUNICATION SOCIALE #OMPARONS Ì TITRE
DEXEMPLE LES SCORES MOYENS DES ÏLÒVES DE L/#$% SITUÏS DANS LES QUARTILES
INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR EN FONCTION DE LINDICE DE COMMUNICATION ,ES SCORES DES
ÏLÒVES SONT RESPECTIVEMENT DE ET POINTS DANS LES QUARTILES INFÏRIEUR ET
SUPÏRIEUR DE COMMUNICATION CULTURELLE SOIT UN ÏCART DE PRÒS DE POINTS ET
DE ET POINTS DANS LES QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR DE COMMUNICATION
SOCIALE SOIT UN ÏCART DE POINTS TABLEAUX ET
° LINSTAR DES EFFETS DES AUTRES VARIABLES LIMPACT DE LA COMMUNICATION PARENTALE
DOIT ÐTRE ÏVALUÏ PAR RAPPORT Ì DAUTRES FACTEURS CONTEXTUELS VOIR ÏGALEMENT LE
CHAPITRE 4OUTEFOIS UNE ANALYSE SIMPLE PERMET DE MONTRER QUE LA RÏUSSITE
SCOLAIRE PEUT ÐTRE LIÏE Ì DES SYNERGIES POSITIVES ENTRE LE MILIEU FAMILIAL ET
LENVIRONNEMENT SCOLAIRE ET QUE LES MODÒLES DE COMMUNICATION ENTRE LES PARENTS
ET LEURS ENFANTS PEUVENT GÏNÏRER DES AVANTAGES ÏDUCATIFS ° LA LUMIÒRE DE CES
CONSIDÏRATIONS IL SERAIT JUDICIEUX DORIENTER LACTION PUBLIQUE VERS UNE COLLA
BORATION AVEC LES PARENTS EN PARTICULIER CEUX DONT LE NIVEAU DENSEIGNEMENT
EST PLUS FAIBLE EN VUE DE FAVORISER LEURS INTERACTIONS AVEC LEURS ENFANTS ET LES
iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
}ÕÀiÊÈ°Î
#OMMUNICATION SOCIALE ET CULTURELLE AVEC LES PARENTS ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
)NDICE DE COMMUNICATION SOCIALE ET DE COMMUNICATION CULTURELLE
)NDICE DE COMMUNICATION SOCIALE )NDICE DE COMMUNICATION CULTURELLE
)TALIE
(ONGRIE
0ORTUGAL
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
%SPAGNE
&RANCE
'RÒCE
³TATS
5NIS )NFÏRIEUR
Ë LA MOYENNE
3UPÏRIEUR
Ë LA MOYENNE
/#$% /#$%
0OLOGNE
2OYAUME
5NI
.ORVÒGE
3UÒDE
)RLANDE
-EXIQUE
)SLANDE
"ELGIQUE
#ORÏE
*APON
,UXEMBOURG
#ANADA
&INLANDE
!LLEMAGNE
3UISSE
!UTRICHE
.OUVELLE
:ÏLANDE
!USTRALIE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0AYS "AS
.OTE 0OUR UNE DÏFINITION DE LgINDICE VOIR LANNEXE !
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR ASSURER LA COMPARABILITÏ DES DONNÏES VOIR ANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAUX ET
#(!0)42% iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃ
ÏTABLISSEMENTS FRÏQUENTÏS PAR CEUX
CI DE MANIÒRE Ì AMÏLIORER LAPPRENTISSAGE
DES ÏLÒVES )L SAGIT LÌ DUN OBJECTIF DIFFICILE Ì ACCOMPLIR MAIS IL EST ESSENTIEL DE
CONSIDÏRER LE SOUTIEN AU RÙLE PARENTAL COMME UN ADJUVANT DE PREMIER PLAN POUR
LÏDUCATION DES ENFANTS
.IVEAU DE FORMATION DES PARENTS
iÊÛi>ÕÊ`iÊvÀ>ÌÊ ,ES RECHERCHES MONTRENT TOUTES QUE LE NIVEAU DE FORMATION DES PARENTS RESTE
`iÃÊ«>ÀiÌÃÊ«iÕÌÊ UNE SOURCE IMPORTANTE DE DISPARITÏ DU RENDEMENT SCOLAIRE QUELS QUE SOIENT LES
j}>iiÌÊVÌÀLÕiÀÊDÊ EFFORTS CONSENTIS PAR LES PAYS POUR OFFRIR Ì TOUS LÏGALITÏ DES CHANCES EN MATIÒRE
VÀjiÀÊÕÊiÛÀiiÌÊ DENSEIGNEMENT ,ES ÏLÒVES QUI BÏNÏFICIENT DUN ENVIRONNEMENT FAMILIAL LES ENCOURA
v>>ÊÃÌÕ>Ì° GEANT FORTEMENT Ì APPRENDRE n SOUVENT ASSOCIÏ Ì UN NIVEAU DE FORMATION PARENTAL ÏLEVÏ
n SONT SUSCEPTIBLES DAFFICHER UN MEILLEUR RENDEMENT SCOLAIRE #ET ENVIRONNEMENT
ENCOURAGEANT PEUT ÐTRE ASSIMILÏ Ì PLUSIEURS FACTEURS NON SEULEMENT AU CAPITAL
FINANCIER CONSACRÏ AUX ÏTUDES DES ENFANTS Y COMPRIS LES ÏTUDES SUPÏRIEURES GAGE
DE MEILLEURES PERSPECTIVES PROFESSIONNELLES MAIS ÏGALEMENT Ì DES INTERACTIONS
QUOTIDIENNES ENTRE PARENTS ET ENFANTS QUI SONT PLUS PRÏCIEUSES ENCORE POUR ÏTAYER
LE TYPE DÏDUCATION DONT LES ÏTABLISSEMENTS SE SOUCIENT LE PLUS
,A FIGURE DISTINGUE POUR LES MÒRES DES ÏLÒVES TROIS NIVEAUX DE FORMATION
ÏTUDES PRIMAIRES OU ER CYCLE DU SECONDAIRE E CYCLE DU SECONDAIRE ET TERTIAIRES
ACCOMPLIES %LLE COMPARE CES NIVEAUX AUX SCORES MOYENS DE PERFORMANCE EN
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DANS CHAQUE PAYS #ES NIVEAUX DE FORMATION ONT
ÏTÏ DÏFINIS CONFORMÏMENT Ì LA #LASSIFICATION INTERNATIONALE TYPE DE LÏDUCATION
#)4% DE MANIÒRE Ì GARANTIR LEUR COMPARABILITÏ INTERNATIONALE #EST LE NIVEAU
DE FORMATION DE LA MÒRE QUI A ÏTÏ CHOISI CAR LA LITTÏRATURE CONSIDÒRE QUE CEST
UN INDICATEUR PLUS PERTINENT QUE LE NIVEAU DE FORMATION DU PÒRE
ÊiÝÃÌiÊÕiÊVÀÀj>ÌÊ $ANS TOUS LES PAYS LES ÏLÒVES DONT LA MÒRE A TERMINÏ SES ÏTUDES SECONDAIRES
«ÃÌÛiÊiÌÀiÊiÊÛi>ÕÊ`iÊ DE E CYCLE OBTIENNENT DES SCORES PLUS ÏLEVÏS EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT QUE
vÀ>ÌÊ`iÊ>ÊmÀiÊiÌÊ>Ê LES AUTRES $ANS LA PLUPART DES PAYS LE FAIT QUE LA MÒRE AIT TERMINÏ SES ÏTUDES
«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃo° TERTIAIRES CONFÒRE UN AVANTAGE ENCORE PLUS IMPORTANT TABLEAU
o>ÛiVÊ`iÃÊÃVÀiÃÊ ,ES ÏLÒVES DONT LA MÒRE NA PAS ACHEVÏ SES ÏTUDES SECONDAIRES DE E CYCLE SONT
«>ÀÌVÕmÀiiÌÊ PARTICULIÒREMENT VULNÏRABLES $ANS TOUS LES PAYS DE L/#$% LES ÏLÒVES DE CETTE
j`VÀiÃÊV
iâÊiÃÊjmÛiÃÊ CATÏGORIE AFFICHENT DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION DES SCORES INFÏRIEURS
`ÌÊ>ÊmÀiʽ>Ê«>ÃÊ DE POINTS ENVIRON AUX SCORES DE CEUX DONT LA MÒRE A TERMINÏ SES ÏTUDES
>V
iÛjÊiÊÓiÊVÞViÊ`iÊ SECONDAIRES DE E CYCLE VOIR LE TABLEAU $ANS CERTAINS PAYS IL EXISTE DE TRÒS
½iÃi}iiÌÊ GRANDS ÏCARTS DE PERFORMANCE ENTRE LES ÏLÒVES SITUÏS DANS LA CATÏGORIE INFÏRIEURE
ÃiV`>Àio ET CEUX SITUÏS DANS LA CATÏGORIE INTERMÏDIAIRE ,ES ÏCARTS LES PLUS IMPORTANTS
SONT ENREGISTRÏS EN !LLEMAGNE POINTS AU -EXIQUE POINTS EN "ELGIQUE
ET EN 3UISSE POINTS ET EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE POINTS $ANS CES PAYS LES
ÏLÒVES DONT LA MÒRE NA PAS ACHEVÏ SES ÏTUDES SECONDAIRES DE E CYCLE ONT ENTRE
ET FOIS PLUS DE CHANCES DE FIGURER DANS LE QUARTILE INFÏRIEUR DE PERFORMANCE
DE LEUR PAYS QUE CEUX DONT LA MÒRE A TERMINÏ SES ÏTUDES SECONDAIRES DE
E CYCLE ,AMPLEUR DU DÏSAVANTAGE SUBI PAR LES ÏLÒVES DONT LA MÒRE NA PAS
ACHEVÏ SES ÏTUDES SECONDAIRES DE E CYCLE EST PRÏSENTÏE Ì LA FIGURE SECOND
iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
}ÕÀiÊÈ°{
.IVEAU DE FORMATION DE LA MÒRE ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
0OURCENTAGE DE MÒRES QUI ONT ATTEINT DIVERS NIVEAUX DE FORMATION
-ÒRES AYANT OBTENU UN DIPLÙME DgENSEIGNEMENT TERTIAIRE NIVEAUX ET DE LA #)4%
-ÒRES AYANT COMPLÏTÏ LE E CYCLE DU SECONDAIRE NIVEAU DE LA #)4%
-ÒRES AYANT COMPLÏTÏ LgENSEIGNEMENT PRIMAIRE ET LE ER CYCLE DU SECONDAIRE NIVEAUX ET DE LA #)4%
0AYS
"AS
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
!LLEMAGNE
!UTRICHE
,ETTONIE
.ORVÒGE
(ONGRIE
%SPAGNE
3UISSE
3UÒDE
0OLOGNE
#ORÏE
-EXIQUE
)RLANDE
)SLANDE
$ANEMARK
"ELGIQUE
)TALIE
"RÏSIL
!USTRALIE
'RÒCE
#ANADA
&RANCE
&INLANDE
,UXEMBOURG
0ORTUGAL
0ROBABILITÏ ACCRUE POUR LES ÏLÒVES DONT LA MÒRE NgA PAS ACHEVÏ SES ÏTUDES SECONDAIRES DE E CYCLE
DE FIGURER DANS LE QUARTILE INFÏRIEUR DE PERFORMANCE EN OMPRÏHENSION DE LgÏCRIT DE LEUR PAYS
0AYS
"AS
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
!LLEMAGNE
!UTRICHE
,ETTONIE
.ORVÒGE
(ONGRIE
%SPAGNE
3UISSE
3UÒDE
0OLOGNE
#ORÏE
)RLANDE
-EXIQUE
)SLANDE
$ANEMARK
"ELGIQUE
)TALIE
"RÏSIL
!USTRALIE
&INLANDE
#ANADA
'RÒCE
&RANCE
,UXEMBOURG
0ORTUGAL
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR ASSURER LA COMPARABILITÏ DES DONNÏES VOIR ANNEXE !
,E RAPPORT EST SIGNIFICATIVEMENT SUPÏRIEUR Ì AU NIVEAU STATISTIQUE POUR TOUS LES PAYS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
#(!0)42% iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃ
PANEL QUI INDIQUE LA PROBABILITÏ ACCRUE DE CES ÏLÒVES DONT LES MÒRES NONT PAS
ATTEINT LE E CYCLE DU SUPÏRIEUR DE FIGURER DANS LE QUARTILE INFÏRIEUR DE PERFOR
MANCE EN LECTURE DE LEUR PAYS -ALGRÏ CES OBSERVATIONS LA RELATION THÏORIQUE
ENTRE LE NIVEAU DE FORMATION MATERNEL ET LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES NEST PAS
UNIVERSELLE %LLE NEST DONC NI SYSTÏMATIQUE NI INÏLUCTABLE
o>ÀÃʵÕiÊiÊÛi>ÕÊ $ANS CERTAINS PAYS LE SCORE DES ÏLÒVES DONT LA MÒRE A TERMINÏ SES ÏTUDES
`½iÃi}iiÌÊÌiÀÌ>ÀiÊiÃÌÊÃÊ TERTIAIRES NEST GUÒRE SUPÏRIEUR SI TANT EST QUIL LE SOIT Ì CELUI DES ÏLÒVES DONT
ÃÞÃÌj>̵ÕiiÌÊ>ÃÃVjÊDÊ>Ê LA MÒRE A ACHEVÏ SES ÏTUDES SECONDAIRES DE E CYCLE %N REVANCHE DANS DAUTRES
«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛið PAYS IL EXISTE DE GRANDES DISPARITÏS ENTRE LES DEUX CATÏGORIES DÏLÒVES
ÊiÃÌÊ`iÃÊ«>ÞÃÊÙÊkiÊ "IEN QUE LES CHIFFRES INDIQUENT QUE CE SONT BIEN SOUVENT LES ÏLÒVES DONT LA MÒRE
iÃÊjmÛiÃÊ`ÌÊ>ÊmÀiÊ NA GUÒRE FAIT DÏTUDES QUI AFFICHENT LES SCORES LES PLUS FAIBLES IL FAUT COMPARER
½>Ê«>ÃÊÕÊÛi>ÕÊ`iÊ LIMPORTANCE RELATIVE DE CES SCORES JUGÏS i FAIBLES w %N !USTRALIE EN #ORÏE
vÀ>ÌÊjiÛjÊ ET EN &INLANDE LE SCORE MOYEN DE CES ÏLÒVES EST SUPÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE
LÌiiÌÊÕÊLÊÃVÀiÊ L/#$% DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION )L EST ÏGALEMENT SUPÏRIEUR Ì LA
«>ÀÊÀ>««ÀÌÊDÊ>Ê MOYENNE DE L/#$% EN )RLANDE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET AU #ANADA EN
ÞiiÊ )SLANDE ET EN .OUVELLE
:ÏLANDE EN CULTURE MATHÏMATIQUE VOIR LE CHAPITRE ET
ÌiÀ>Ì>io LE TABLEAU #E CONSTAT SUGGÒRE QUE DAUTRES FACTEURS ÏDUCATIFS OU SOCIÏTAUX
PEUVENT COMPENSER LE NIVEAU DENSEIGNEMENT INFÏRIEUR DES PARENTS
oViʵÕÊ`iÊDÊ«iÃiÀÊ $ANS LES SOCIÏTÏS QUI FONT GRAND CAS DE LÏGALITÏ DES CHANCES IL EXISTE UNE RELATION
µÕiÊ`½>ÕÌÀiÃÊv>VÌiÕÀÃÊ ÏTROITE ENTRE LE RENDEMENT SCOLAIRE ET LE NIVEAU DE FORMATION MATERNEL ,ES RÏSULTATS
j`ÕV>ÌvÃÊÕÊÃVjÌ>ÕÝÊ DU 0)3! NE PERMETTENT PAS DE PRÏVOIR LES ÏCARTS DE RENDEMENT SCOLAIRE AU
DELÌ DE
«iÕÛiÌÊV«iÃiÀÊÕÊ LÊGE DE ANS %N REVANCHE L%NQUÐTE INTERNATIONALE SUR LA LITTÏRATIE DES ADULTES
v>LiÊÛi>ÕÊ`iÊ %),! FOURNIT DES RÏSULTATS PROBANTS QUANT Ì LA PROBABILITÏ DOBTENIR UN DIPLÙME
vÀ>ÌÊ`iÃÊ«>ÀiÌð°° DENSEIGNEMENT TERTIAIRE SELON LE NIVEAU DE FORMATION DES PARENTS ,E TABLEAU
INDIQUE LA PROBABILITÏ POUR UN ÏLÒVE DOBTENIR UN DIPLÙME DENSEIGNEMENT TERTIAIRE
SI AU MOINS UN DE SES PARENTS A TERMINÏ SES ÏTUDES TERTIAIRES PAR RAPPORT Ì CETTE
PROBABILITÏ SI AUCUN DES DEUX NA ACHEVÏ SES ÏTUDES SECONDAIRES
oiÌÊ«iÕÌkÌÀiÊÀj`ÕÀiÊ $ANS LES PAYS ÏTUDIÏS DANS L%),! LA MOBILITÏ INTERGÏNÏRATIONNELLE VA DE
iÊÀiÊ`iÃÊiÌÀ>ÛiÃÊ !USTRALIE Ì 0OLOGNE %N DAUTRES TERMES UN ÏLÒVE DONT LUN DES PARENTS
ÀjÃ`ÕiiÃÊDÊ>ÊLÌjÊ PRÏSENTE UN NIVEAU ÏLEVÏ DE FORMATION A DEUX FOIS PLUS DE CHANCES EN !USTRALIE ET
j`ÕV>ÌÛi° SIX FOIS PLUS DE CHANCES EN 0OLOGNE DOBTENIR UN DIPLÙME DENSEIGNEMENT TERTIAIRE
QUUN ÏLÒVE DONT LES PARENTS NONT GUÒRE FAIT DÏTUDES #E CONSTAT SUGGÒRE QUIL
RESTE DES ENTRAVES Ì LA MOBILITÏ ÏDUCATIVE DANS DE NOMBREUX PAYS DE L/#$% MAIS
QUE LEUR IMPORTANCE VARIE SELON LES PAYS #ES ENTRAVES PEUVENT ÏGALEMENT AVOIR
UN IMPACT NÏGATIF SUR LÏGALITÏ DES CHANCES ET SUR LAMÏLIORATION DES COMPÏTENCES
DE LENSEMBLE DU CAPITAL HUMAIN
3TRUCTURE FAMILIALE
iÃÊv>iÃÊ«>ÀiÌ>iÃÊ ,E MILIEU FAMILIAL PEUT ÏGALEMENT INFLUER SUR LE RENDEMENT SCOLAIRE LES
«iÕÛiÌÊÀiVÌÀiÀÊ PARENTS PEUVENT FAIRE LA LECTURE Ì LEURS JEUNES ENFANTS LES AIDER Ì FAIRE LEURS
`>Û>Ì>}iÊ`iÊ`vvVÕÌjÃÊDÊ DEVOIRS ET DANS CERTAINS PAYS TRAVAILLER Ì TITRE BÏNÏVOLE DANS LES ÏTABLISSEMENTS
«À`}ÕiÀÊÕÊÃÕÌiÊ DENSEIGNEMENT ,E MILIEU FAMILIAL COMPTE AUSSI POUR LES ÏLÒVES PLUS ÊGÏS LES
ÃÕvvÃ>ÌÊ>ÕÝÊiv>Ìð ENCOURAGEMENTS DES PARENTS LEUR AIDE EN MATIÒRE DE DEVOIRS OU ENCORE LEUR
iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
PARTICIPATION AUX RÏUNIONS AVEC LES ENSEIGNANTS #ET ENVIRONNEMENT PROPICE
PEUT SE RÏVÏLER DIFFICILE Ì CRÏER OU Ì PRÏSERVER DANS LES FAMILLES MONOPARENTALES
LORSQUUN PARENT ASSUME SEUL LA RESPONSABILITÏ DE LÏDUCATION DES ENFANTS ET DE
LA SUBSISTANCE FINANCIÒRE DU MÏNAGE
$ANS LES QUESTIONNAIRES CONTEXTUELS 0)3! SOUMIS AUX ÏLÒVES FIGURAIT LA QUESTION iÃÊjmÛiÃÊÃÃÕÃÊ`iÊ
i $HABITUDE QUI VIT AVEC VOUS Ì LA MAISON w ,ES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì CETTE QUESTION v>iÃÊ«>ÀiÌ>iÃÊ
PERMETTENT DE COMPARER LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EN FONCTION DES DIVERS TYPES Àj>ÃiÌÊ`iÃÊ
DE STRUCTURE FAMILIALE $ANS LES PAYS DE L/#$% POUR CENT DES ÏLÒVES 0)3! «iÀvÀ>ViÃÊvjÀiÕÀiÃÊ
DÏCLARENT VIVRE AU SEIN DUNE FAMILLE MONOPARENTALE TABLEAU #E POURCENTAGE DÊViiÃÊ`iÃÊ>ÕÌÀiÃÊjmÛiÃÊ
EST TRÒS ÏLEVÏ AUX ³TATS 5NIS EN ,ETTONIE EN .OUVELLE :ÏLANDE ET AU 2OYAUME 5NI `>ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃo
UN PEU PLUS DE POUR CENT ET TRÒS FAIBLE EN #ORÏE EN 'RÒCE ET EN 0OLOGNE
MOINS DE POUR CENT ,ES RÏSULTATS DU 0)3! MONTRENT QUE DANS LA MAJORITÏ DES
PAYS DE L/#$% LES ÏLÒVES ISSUS DE FAMILLES MONOPARENTALES OBTIENNENT DES RÏSULTATS
INFÏRIEURS Ì CEUX DES ÏLÒVES ISSUS DAUTRES TYPES DE STRUCTURE FAMILIALE
$ANS LENSEMBLE LES SCORES DES DEUX CATÏGORIES DÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE oiÌÊViÌÊjV>ÀÌÊiÃÌÊiÊ
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SONT SÏPARÏS PAR UN ÏCART DE POINTS EN DÏFAVEUR DE «ÕÃÊ>ÀµÕjÊ`>ÃÊiÃÊ
CEUX QUI VIVENT DANS UNE FAMILLE MONOPARENTALE ,ES ÏCARTS LES PLUS IMPORTANTS «>ÞÃÊÙÊiÃÊv>iÃÊ
QUI SÏTABLISSENT Ì POINTS OU PLUS SONT ENREGISTRÏS AUX ³TATS 5NIS AUX 0AYS "AS «>ÀiÌ>iÃÊÃÌÊiÃÊ
ET AU 2OYAUME 5NI TABLEAU $EUX DE CES TROIS PAYS COMPTANT LE PLUS GRAND «ÕÃÊLÀiÕÃiÃo
NOMBRE DÏLÒVES VIVANT DANS UNE FAMILLE MONOPARENTALE PRÏSENTENT AUSSI LA PLUS
GRANDE VARIATION DANS LES COMPÏTENCES MOYENNES EN LECTURE %N DAUTRES TERMES SIL
EST NON SEULEMENT PLUS COURANT AUX ³TATS 5NIS ET AU 2OYAUME 5NI DE VIVRE DANS
UNE FAMILLE MONOPARENTALE LE LIEN AVEC LA PERFORMANCE DE LÏLÒVE Y EST AUSSI PLUS
PRONONCÏ 0ARMI LES AUTRES PAYS PRÏSENTANT DES ÏCARTS RELATIVEMENT IMPORTANTS
CITONS ENCORE LA "ELGIQUE LA #ORÏE LE $ANEMARK LA &INLANDE LA &RANCE L)RLANDE LA
.ORVÒGE LA .OUVELLE :ÏLANDE ET LA 3UÒDE
4OUTEFOIS DAUTRES FACTEURS SOCIAUX NOTAMMENT LA RICHESSE VOIR LE CHAPITRE o>ÃÊ«ÕÃiÕÀÃÊv>VÌiÕÀÃÊ
AFFECTENT CETTE RELATION Ì DES DEGRÏS DIVERS SELON LES PAYS CAR LE PROFIL SOCIAL DES >vviVÌiÌÊViÌÌiÊÀi>ÌÊ
PARENTS QUI ÏLÒVENT SEULS LEURS ENFANTS VARIE CONSIDÏRABLEMENT vÀÌÊV«iÝi°
,ES QUESTIONS LIÏES Ì LA STRUCTURE FAMILIALE SONT AUSSI DÏLICATES QUIMPORTANTES
3AVOIR QUE LES ÏLÒVES QUI VIVENT AVEC LEURS DEUX PARENTS RÏALISENT DE MEILLEURES
PERFORMANCES QUE LES AUTRES SEMBLE NAVOIR DAUTRE EFFET QUE DE RÏDUIRE LES
ESPOIRS ÏDUCATIFS DE CEUX POUR QUI IL EST PRÏFÏRABLE DE VIVRE AVEC UN SEUL DE
LEURS PARENTS POUR DES RAISONS AUTRES QUE CELLES LIÏES Ì LENSEIGNEMENT ET QUOI
QUIL EN SOIT RELATIVES Ì DES CIRCONSTANCES EXISTANTES %N REVANCHE SI LÏVENTUA
LITÏ DUN DÏSAVANTAGE EST CONFIRMÏE IL FAUT SY ATTAQUER 4OUTE LA QUESTION EST DE
DÏTERMINER COMMENT FAVORISER LE SOUTIEN FAMILIAL AUX ÏLÒVES SANS QUE CELA NE
DEMANDE PLUS DE TEMPS QUE NEN DISPOSENT LES PARENTS QUI ÏLÒVENT SEULS LEURS
ENFANTS ,AFFECTATION STRATÏGIQUE DU TEMPS DISPONIBLE AUX ACTIVITÏS POTENTIELLE
MENT LES PLUS BÏNÏFIQUES EST UNE OPTION EFFICACE LORSQUE LE TEMPS EST LIMITÏ
,ES DÏCIDEURS DOIVENT IDENTIFIER LES FORMES DENGAGEMENT PARENTAL QUIL FAUT
ENCOURAGER QUE CE SOIT DANS LA POLITIQUE GÏNÏRALE DE LENSEIGNEMENT OU DANS LES
ÏTABLISSEMENTS QUI ENTRENT EN INTERACTION AVEC LES PARENTS
#(!0)42% iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃ
,IEU DE NAISSANCE ET LANGUE PARLÏE Ë LA MAISON
1ÊvÕÝÊVÀÃÃ>ÌÊ`iÊ ,ES MIGRATIONS DUN PAYS Ì LAUTRE SONT DE PLUS EN PLUS COURANTES 0LUSIEURS
}À>ÌÊ«iÕÌÊ`iÀÊ FACTEURS EXPLIQUENT CETTE GÏNÏRALISATION LES ÏCHANGES INTERNATIONAUX SE DÏVELOP
iÕÊDÊ`iÃÊ«ÀLmiÃÊ PENT LES GENS SONT ATTIRÏS PAR DES EMPLOIS PLUS RÏMUNÏRATEURS OU SIMPLEMENT
j`ÕV>ÌvÃo DIFFÏRENTS DANS DAUTRES PAYS ET LES RÏFUGIÏS AFFLUENT DANS CERTAINS PAYS CHASSÏS
DE CHEZ EUX PAR LES TROUBLES POLITIQUES OU LA CONJONCTURE ÏCONOMIQUE ,ORSQUE
LES PARENTS ÏMIGRENT QUELLE QUEN SOIT LA RAISON LEURS ENFANTS EN ÊGE SCOLAIRE SE
RETROUVENT DANS UN NOUVEL ENVIRONNEMENT DANS LEQUEL ILS SE SENTENT DIFFÏRENTS
Ì CERTAINS ÏGARDS ET DONT LA LANGUE LEUR EST PARFOIS INCONNUE )L EST TRÒS MALAISÏ
DE COMPARER LE CONTEXTE DE LIMMIGRATION ENTRE PAYS 5NE ANALYSE COMPARATIVE
PEUT TOUTEFOIS PERMETTRE DIDENTIFIER DES CARACTÏRISTIQUES QUI EXPLIQUENT POURQUOI
CERTAINS PAYS RÏUSSISSENT MIEUX QUE DAUTRES Ì FAIRE FACE Ì CES DISPARITÏS
o>ÕÃÃÊiÊ*-Ê>ÌÊ 0OUR POUVOIR ÏTUDIER LES EFFETS DU STATUT DIMMIGRANT ET DE LA LANGUE SUR LA PERFOR
`i>`jÊ>ÕÝÊjmÛiÃÊ`iÊ MANCE DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION IL A ÏTÏ DEMANDÏ AUX ÏLÒVES DINDIQUER
Àj«`ÀiÊDÊ`iÃʵÕiÃÌÃÊÃÕÀÊ SI EUX
MÐMES ET LEURS DEUX PARENTS ÏTAIENT NÏS DANS LE PAYS DE LÏVALUATION OU DANS
iÕÀÊÀ}iÊiÌÊÃÕÀÊ>Ê>}ÕiÊ UN AUTRE PAYS ET DIDENTIFIER LA LANGUE LA PLUS SOUVENT PARLÏE Ì LA MAISON
µÕ½ÃÊ«>ÀiÌÊDÊ>Ê>ð
iÃʵÕiÃÌÃʽÌÊ«>ÃÊ )L CONVIENT DE GARDER PRÏSENTES Ì LESPRIT LES LIMITES DES DONNÏES RECUEILLIES LORS
ÌÌ>iiÌÊ«ÀÃÊiÊ DU CYCLE DÏVALUATION %N EFFET IL NA PAS ÏTÏ DEMANDÏ AUX ÏLÒVES DINDIQUER
VÃ`jÀ>ÌÊ>Ê`ÛiÀÃÌjÊ DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ILS VIVAIENT DANS LE PAYS LORSQUE LÏVALUATION A EU LIEU 3I
`iÃÊVÌiÝÌiÃÊ`ÌÊ NOMBRE DENTRE EUX ONT DES PARENTS ALLOCHTONES ILS SONT SOUVENT NÏS DANS LE PAYS
«iÕÛiÌÊÀiiÛiÀÊiÃÊ Oá LÏVALUATION A EU LIEU ET MAÔTRISENT CERTAINEMENT LA LANGUE DU TEST $AUTRES EN
iv>ÌÃÊ`iÊv>iÃÊ REVANCHE PEUVENT NÐTRE ARRIVÏS QUE DEPUIS PEU DE TEMPS DANS LE PAYS DU TEST ET
`½}Àjð NEN ÐTRE QUÌ LEUR DEUXIÒME ANNÏE DÏTUDES DANS LEUR NOUVEAU PAYS $E MÐME
RIEN NE PERMET DE DÏTERMINER DANS QUELLE MESURE LA LANGUE MATERNELLE DE LÏLÒVE
DIFFÒRE DE LA LANGUE DU TEST %N EFFET ON PEUT RAISONNABLEMENT SATTENDRE Ì CE QUUN
ÏLÒVE DONT LES PARENTS SONT NÏS EN .OUVELLE
:ÏLANDE ET VIVANT ACTUELLEMENT EN
!USTRALIE OU AUX ³TATS
5NIS SOIT MOINS AFFECTÏ QUE SI SES PARENTS ÏTAIENT NÏS DANS
UN PAYS Oá LA LANGUE NEST PAS UNE LANGUE ANGLO
SAXONNE 1UELS QUE SOIENT LES
EFFORTS DÏPLOYÏS PAR LES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT DANS LES PAYS DADOPTION LES
DIFFÏRENCES LINGUISTIQUES PEUVENT DONNER LIEU Ì UNE BAISSE DU SCORE EN COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT DANS UNE DEUXIÒME LANGUE OU EN CULTURE MATHÏMATIQUE OU SCIENTIFIQUE
EN PARTICULIER CHEZ CEUX DONT LIMMIGRATION EST RÏCENTE
iÌÌiÊ>>ÞÃiÊV«>ÀiÊ\ 4ROIS CATÏGORIES DÏLÒVES SONT COMPARÏES POUR MESURER LEFFET DU LIEU DE NAIS
SANCE SUR LA PERFORMANCE VOIR FIGURE
oiÃÊjmÛiÃÊÊ>ÕÌV
ÌiÃÊ]o n LES ÏLÒVES QUI SONT NÏS DANS LE PAYS Oá A EU LIEU LÏVALUATION ET DONT LUN DES
PARENTS AU MOINS EST NÏ DANS CE PAYS QUALIFIÏS DAUTOCHTONES CI
APRÒS
oiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ n LES ÏLÒVES QUI SONT NÏS DANS LE PAYS Oá A EU LIEU LÏVALUATION MAIS DONT LES
Ê«ÀimÀiÊ}jjÀ>ÌÊo PARENTS SONT NÏS Ì LÏTRANGER DÏSIGNÏS CI
APRÒS PAR LEXPRESSION i ÏLÒVES DE
PREMIÒRE GÏNÏRATION w
oiÌÊiÃÊjmÛiÃÊÊ>V
ÌiÃÊ° n LES ÏLÒVES QUI COMME LEURS PARENTS SONT NÏS DANS UN PAYS AUTRE QUE CELUI Oá
A EU LIEU LÏVALUATION QUALIFIÏS DALLOCHTONES CI
APRÒS
iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
}ÕÀiÊÈ°x
,IEU DE NAISSANCE LANGUE PARLÏE Ì LA MAISON ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
0OURCENTAGE DgÏLÒVES ALLOCHTONES ET DE PREMIÒRE GÏNÏRATION ÏCHELLE DE GAUCHE ET ²CHELLE DE GAUCHE
PERFORMANCE DES ÏLÒVES ALLOCHTONES DE PREMIÒRE GÏNÏRATION ET AUTOCHTONES SUR 0OURCENTAGE DgÏLÒVES NÏS Ì
LgÏTRANGER ET DONT LES PARENTS
LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT ÏCHELLE DE DROITE SONT NÏS Ì LgÏTRANGER i ÏLÒVES
ALLOCHTONES w
0OURCENTAGE DgÏLÒVES NÏS DANS
LE PAYS DE LgÏVALUATION ET DONT
LES PARENTS SONT NÏS Ì
LgÏTRANGER i ÏLÒVES DE
PREMIÒRE GÏNÏRATION w
²CHELLE DE DROITE
0ERFORMANCE MOYENNE SUR
LgÏCHELLE COMBINÏE DE
COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT DES
ÏLÒVES NÏS DANS LE PAYS DE
LgÏVALUATION DONT AU MOINS UN
DES DEUX PARENTS EST NÏ DANS
LE MÐME PAYS i ÏLÒVES
AUTOCHTONES w
0ERFORMANCE MOYENNE SUR
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
.OUVELLÏ
:ÏLANDE
0AYS
"AS
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
!LLEMAGNE
!UTRICHE
.ORVÒGE
%SPAGNE
,ETTONIE
3UISSE
3UÒDE
"ELGIQUE
$ANEMARK
-EXIQUE
)RLANDE
!USTRALIE
#ANADA
&RANCE
,UXEMBOURG
0ORTUGAL
,IECHTENSTEIN
LgÏCHELLE COMBINÏE DE
COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT DES
ÏLÒVES NÏS DANS LE PAYS DE
LgÏVALUATION DONT LES PARENTS
SONT NÏS Ì LgÏTRANGER i ÏLÒVES
DE PREMIÒRE GÏNÏRATION w
0ERFORMANCE MOYENNE SUR
LgÏCHELLE COMBINÏE DE
COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT DES
0OURCENTAGE DgÏLÒVES QUI PARLENT LE PLUS SOUVENT UNE LANGUE AUTRE QUE LA LANGUE ÏLÒVES NÏS Ì LgÏTRANGER ET DONT
LES PARENTS SONT ÏGALEMENT
DU TEST UNE AUTRE LANGUE NATIONALE OU UN DIALECTE NATIONAL Ì LA MAISON NÏS Ì LgÏTRANGER i ÏLÒVES
ÏCHELLE DE GAUCHE ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LgÏCHELLE COMBINÏE ALLOCHTONES w
DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT ÏCHELLE DE DROITE
²CHELLE DE GAUCHE
0OURCENTAGE DgÏLÒVES QUI
PARLENT LE PLUS SOUVENT Ì LA
MAISON UNE LANGUE AUTRE QUE
LA LANGUE DU TEST UNE AUTRE
LANGUE NATIONALE OU UN
DIALECTE NATIONAL
²CHELLE DE DROITE
0ERFORMANCE MOYENNE SUR
LgÏCHELLE COMBINÏE DE
COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT DES
ÏLÒVES QUI PARLENT LE PLUS
SOUVENT Ì LA MAISON LA
LANGUE DU TEST UNE AUTRE
LANGUE NATIONALE OU UN
DIALECTE NATIONAL
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
#ANADA
&RANCE
,UXEMBOURG
!USTRALIE
3UISSE
.OUVELLÏ
:ÏLANDE
!LLEMAGNE
³TATS
5NIS
"ELGIQUE
3UÒDE
!UTRICHE
$ANEMARK
.ORVÒGE
0ORTUGAL
%SPAGNE
2OYAUME
5NI
&INLANDE
'RÒCE
)SLANDE
0AYS
"AS
,IECHTENSTEIN
0ERFORMANCE MOYENNE SUR
LgÏCHELLE COMBINÏE DE
COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT DES
ÏLÒVES QUI NE PARLENT PAS
LE PLUS SOUVENT Ì LA MAISON
UNE LANGUE AUTRE QUE LA
LANGUE DU TEST UNE AUTRE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR ASSURER LA COMPARABILITÏ DES DONNÏES VOIR ANNEXE ! LANGUE NATIONALE OU UN
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU DIALECTE NATIONAL
#(!0)42% iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃ
>Ê>}ÕiÊiÃÌÊÕiÊ 0OUR DE NOMBREUX ÏLÒVES ALLOCHTONES LA LANGUE DU TEST EST UNE SECONDE
µÕiÃÌÊVÀÕV>iÊ«ÕÀÊ`iÊ LANGUE #ERTAINS DENTRE EUX NONT PROBABLEMENT PAS ÏVOLUÏ LONGTEMPS DANS
LÀiÕÝÊjmÛiÃÊjÃ]ÊÕÊ LE SYSTÒME ÏDUCATIF DU PAYS DANS LEQUEL ILS ONT ÏTÏ SOUMIS Ì LÏVALUATION ,ES
`ÌÊiÃÊ«>ÀiÌÃÊÃÌÊ ÏLÒVES DE LA PREMIÒRE GÏNÏRATION VIVENT PROBABLEMENT DANS DES FAMILLES DONT
jÃ]ÊDʽjÌÀ>}iÀ° LA LANGUE OU LA LANGUE LA PLUS SOUVENT PARLÏE Ì LA MAISON NEST PAS LA LANGUE
DENSEIGNEMENT 1UEL QUE SOIT LE LIEU DE NAISSANCE DES ÏLÒVES LES ACQUIS DES
ÏLÒVES APPARTENANT Ì LA DEUXIÒME ET Ì LA TROISIÒME CATÏGORIES DOIVENT TÙT OU
TARD CORRESPONDRE AUX OBJECTIFS DE CONNAISSANCES ET DE COMPÏTENCES FIXÏS POUR
LES ÏLÒVES AUTOCHTONES
>ÃÊ>Ê«Õ«>ÀÌÊ`iÃÊ«>ÞÃÊ ,A COMPARAISON DES SCORES EN LECTURE DES ÏLÒVES DE LA PREMIÒRE GÏNÏRATION AVEC
ÙÊ>Ê««Õ>ÌÊ CEUX DES ÏLÒVES AUTOCHTONES DANS LES PAYS DANS LESQUELS CES DEUX CATÏGORIES
`½}À>ÌÃÊiÃÌÊ REPRÏSENTENT AU MOINS POUR CENT DE LA POPULATION DÏLÒVES DU CYCLE 0)3!
«ÀÌ>Ìi]ÊiÃÊjmÛiÃÊ`iÊ RÏVÒLE LA PRÏSENCE DE DIFFÏRENCES n EN FAVEUR DES AUTOCHTONES n RELATIVEMENT
«ÀimÀiÊ}jjÀ>ÌÊ IMPORTANTES ET STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES DANS DIX PAYS ,ÏCART DE PERFOR
LÌiiÌÊ`iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ MANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST COMPRIS ENTRE
iÊiVÌÕÀiÊvjÀiÕÀÃÊDÊ ET POINTS AUX ³TATS
5NIS EN &RANCE EN .OUVELLE
:ÏLANDE ET EN 3UÒDE ET
ViÕÝÊ`iÃÊjmÛiÃÊ ENTRE ET POINTS EN !UTRICHE AU ,IECHTENSTEIN ET EN 3UISSE )L REPRÏSENTE
>ÕÌV
ÌiÃo PLUS DE POINTS SOIT UN NIVEAU DE COMPÏTENCE ENVIRON EN !LLEMAGNE AU
,UXEMBOURG ET AUX 0AYS
"AS ET ATTEINT POINTS EN "ELGIQUE TABLEAU
,A RELATION ENTRE LE LIEU DE NAISSANCE ET LA PERFORMANCE EST SIMILAIRE EN CULTURE
MATHÏMATIQUE ET EN CULTURE SCIENTIFIQUE
okiÊýÃÊÃÌÊ #ES ÏCARTS SONT TROUBLANTS CAR LES ÏLÒVES DE CES DEUX CATÏGORIES SONT NÏS DANS LE
iÕÝkiÃÊjÃÊ`>ÃÊ PAYS Oá LÏVALUATION A EU LIEU ET ONT SELON TOUTE VRAISEMBLANCE SUIVI LE MÐME
iÊ«>ÞÃÊqÊViʵÕÊiÃÌÊ PROGRAMME DENSEIGNEMENT OFFERT PAR LE SYSTÒME ÏDUCATIF DE CE PAYS Ì TOUS
«ÀjVVÕ«>Ì° LES ÏLÒVES 1UELLES QUE SOIENT LES SIMILITUDES SUSCEPTIBLES DÐTRE OBSERVÏES DANS
Li HISTORIQUE w SCOLAIRE DES ÏLÒVES DE CES DEUX CATÏGORIES LE FAIT DÐTRE UN
ÏLÒVE DE LA PREMIÒRE GÏNÏRATION CONFÒRE UN DÏSAVANTAGE RELATIF DANS CES PAYS
,ES PRÏOCCUPATIONS Ì LÏGARD DE CES DISPARITÏS SONT PARTICULIÒREMENT JUSTIFIÏES
DANS LES PAYS Oá LES ÏCARTS DE PERFORMANCE SONT IMPORTANTS ET Oá LA PROPORTION
DÏLÒVES DE LA PREMIÒRE GÏNÏRATION EST RELATIVEMENT ÏLEVÏE #ITONS LA "ELGIQUE
POUR CENT LA &RANCE POUR CENT LE ,UXEMBOURG POUR CENT ET LA
3UISSE POUR CENT
iÃÊjmÛiÃÊjÃÊDÊ %N TOUTE LOGIQUE LES ÏLÒVES ALLOCHTONES SONT ENCORE PLUS DISTANCÏS PAR LES ÏLÒVES
½jÌÀ>}iÀÊÃÌÊiVÀiÊ AUTOCHTONES QUE NE LE SONT CEUX DE LA PREMIÒRE GÏNÏRATION %N MOYENNE SUR
«ÕÃÊÊ`iÀÀmÀi]Ê>ÃÊ DES PAYS COMPARÏS LES AUTOCHTONES SURPASSENT LES ALLOCHTONES DE POINTS
DÊ`iÃÊ`i}ÀjÃÊ`vvjÀiÌÃÊ EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SOIT TOUT UN NIVEAU DE COMPÏTENCE ,ÏCART EST
ÃiÊiÃÊ«>Þð COMPRIS ENTRE ET POINTS AU ,IECHTENSTEIN AU ,UXEMBOURG ET EN 3UISSE
ET ENTRE ET POINTS EN !LLEMAGNE EN !UTRICHE EN "ELGIQUE AU $ANEMARK
EN 'RÒCE EN .ORVÒGE AUX 0AYS "AS ET EN 3UÒDE ,ES ÏCARTS STATISTIQUEMENT
SIGNIFICATIFS LES PLUS FAIBLES SONT ENREGISTRÏS AU #ANADA POINTS AUX ³TATS
5NIS POINTS ET EN .OUVELLE :ÏLANDE POINTS %N .OUVELLE :ÏLANDE
LÏCART EST PRATIQUEMENT IDENTIQUE Ì CELUI OBSERVÏ ENTRE LES ÏLÒVES ALLOCHTONES
ET CEUX DE LA PREMIÒRE GÏNÏRATION
iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
)L EST INTÏRESSANT DE SE PENCHER SUR LE CAS DE L!USTRALIE ET DU #ANADA DEUX PAYS +ÕiµÕiÃÊ«>ÞÃÊÃiÊ
QUI NE SUIVENT PAS CETTE TENDANCE GÏNÏRALE %N !USTRALIE NI LE LIEU DE NAISSANCE `j>ÀµÕiÌÊ«>ÀÊ
DES ÏLÒVES NI CELUI DE LEURS PARENTS NE SEMBLE EN MOYENNE INFLUENCER LA PER ½>LÃiViÊ`iÊÌiiÃÊ
FORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EN CULTURE MATHÏMATIQUE ET EN CULTURE `vvjÀiVið
SCIENTIFIQUE MALGRÏ LA PROPORTION IMPORTANTE DÏLÒVES ALLOCHTONES POUR
CENT DE LA POPULATION DÏLÒVES ET DE PREMIÒRE GÏNÏRATION POUR CENT
)L EN VA DE MÐME AU #ANADA Oá LES TROIS CATÏGORIES DÏLÒVES OBTIENNENT DES
SCORES SUPÏRIEURS Ì LA MOYENNE DE L/#$% DANS DEUX DES TROIS DOMAINES
DÏVALUATION
)L EST LOGIQUE DE SUPPOSER QUE LES ÏLÒVES QUI PARLENT LE PLUS SOUVENT LA LANGUE DU ʽiÃÌÊ«>ÃÊÃÕÀ«Ài>ÌÊ
TEST UNE AUTRE LANGUE NATIONALE OU UN DIALECTE NATIONAL Ì LA MAISON i CATÏGORIE µÕiÊiÃÊjmÛiÃʵÕÊiÊ
LINGUISTIQUE MAJORITAIRE w OBTIENNENT DE MEILLEURS RÏSULTATS DANS LES DOMAINES «>ÀiÌÊ«>ÃÊ>Ê>}ÕiÊ
DÏVALUATION DU 0)3! QUE CEUX QUI PARLENT GÏNÏRALEMENT UNE AUTRE LANGUE AVEC >ÀÌ>ÀiÊDÊ>Ê>ÃÊ
LEURS PARENTS ET LEURS FRÒRES ET SURS i CATÏGORIE LINGUISTIQUE MINORITAIRE w Àj>ÃiÌÊ`iÊÃÊ
$ANS LENSEMBLE LES RÏSULTATS CONFIRMENT CETTE HYPOTHÒSE $ANS LES PAYS DE LiÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊ
L/#$% LÏCART MOYEN ENTRE LES DEUX CATÏGORIES SÏLÒVE Ì POINTS EN µÕiÊViÕÝʵÕÊ>Ê«>ÀiÌ°°°
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET EN CULTURE SCIENTIFIQUE ET Ì POINTS EN CULTURE
MATHÏMATIQUE TABLEAU
,ANALYSE COMPARÏE MONTRE QUEN !LLEMAGNE EN "ELGIQUE AU $ANEMARK AU oiÌÊÌÊiÌÌiiÌÊ«ÕÃÊ
,UXEMBOURG ET EN 3UISSE LES ÏLÒVES DE ANS QUI NE PARLENT PAS LA LANGUE DU TEST `iÊV
>ViÃÊ`iÊÃiÊÃÌÕiÀÊ
OU DAUTRES LANGUES OU DIALECTES NATIONAUX Ì LA MAISON SONT DEUX FOIS ET DEMIE PLUS `>ÃÊiʵÕ>ÀÌiÊvjÀiÕÀÊ
SUSCEPTIBLES DE FIGURER DANS LE QUARTILE INFÏRIEUR DE PERFORMANCE EN LECTURE QUE `iÃÊjmÛiÃÊ`iÊV
>µÕiÊ
CEUX QUI PARLENT LE PLUS SOUVENT LA LANGUE DU TEST Ì LA MAISON %N !UTRICHE AUX «>ÞÃÊÃÕÀʽjV
iiÊ`iÊ
³TATS
5NIS EN &RANCE EN 'RÒCE EN .OUVELLE
:ÏLANDE AUX 0AYS
"AS ET EN 3UÒDE «iÀvÀ>Vio
LES ÏLÒVES APPARTENANT Ì LA CATÏGORIE LINGUISTIQUE MINORITAIRE ONT PLUS DE DEUX FOIS
PLUS DE CHANCES QUE CEUX DE LA CATÏGORIE LINGUISTIQUE MAJORITAIRE DE SE SITUER DANS
LE QUARTILE INFÏRIEUR DE PERFORMANCE DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION
,ES ÏCARTS ENTRE LES SCORES OBTENUS PAR LES ÏLÒVES DES DEUX CATÏGORIES EN oViʵÕÊ«iÕÌÊ>ÛÀÊÕÊ
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT AFFECTENT DE TOUTE ÏVIDENCE LA PERFORMANCE MOYENNE «>VÌÊÃ}vV>ÌvÊÃÕÀÊiÃÊ
DES PAYS EN LECTURE ° TITRE DEXEMPLE CITONS LE CAS DE L!LLEMAGNE SI ELLE «iÀvÀ>ViÃÊÞiiÃÊ
PARVENAIT Ì AMENER LE SCORE MOYEN DES ÏLÒVES DE LA CATÏGORIE LINGUISTIQUE `½ÕÊ«>ÞÃÊiÊ
MINORITAIRE AU NIVEAU DE CELUI DES ÏLÒVES DE LA CATÏGORIE LINGUISTIQUE MAJORITAIRE V«Àj
iÃÊ`iʽjVÀÌ°
SON SCORE MOYEN SERAIT SUPÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE L/#$% POINTS EN
CULTURE MATHÏMATIQUE ET NON INFÏRIEUR DE POINTS
#ONCLUSIONS
,A POLITIQUE DE LENSEIGNEMENT DOIT AVOIR POUR AMBITION DE GARANTIR LÏGALITÏ >ÊÛ>À>ÌÊiÌÀiÊ«>ÞÃÊ
DES CHANCES Ì TOUS LES ÏLÒVES EN VUE DE LEUR PERMETTRE DE DONNER LEUR PLEINE `>Ãʽ«>VÌÊ`ÕÊiÕÊ
MESURE ,A RÏALISATION DE CETTE AMBITION PEUT CERTES ÐTRE CONTRARIÏE PAR LIMPACT v>>ÊÃÕÀÊ>Ê
IMPORTANT QUE PEUVENT AVOIR SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES CERTAINS FACTEURS LIÏS «iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊ
AU MILIEU FAMILIAL -AIS LA VARIATION CONSIDÏRABLE DE CET IMPACT SELON LES PAYS «iÀiÌÊ`½iëjÀiÀÊÀj`ÕÀiÊ
AUTORISE UN CERTAIN OPTIMISME DANS LA MESURE Oá ELLE SUGGÒRE QUE LÏGALITÏ DES ViÌÊivviÌ°
CHANCES NEST PAS UN OBJECTIF IRRÏALISABLE EN MATIÒRE DENSEIGNEMENT
#(!0)42% iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃ
>Ê«ÀviÃÃÊ`iÃÊ«>ÀiÌÃÊ ,ES VARIABLES LIÏES AU MILIEU FAMILIAL QUI ONT ÏTÏ ÏTUDIÏES DANS CE CHAPITRE
iÃÌÊjÌÀÌiiÌÊVÀÀjjiÊDÊ SONT CORRÏLÏES TOUT COMME LE SONT LEURS EFFETS #ONSIDÏRÏES SÏPARÏMENT ELLES
>Ê«iÀvÀ>Vio SUGGÒRENT TOUTEFOIS DES ORIENTATIONS POLITIQUES ENVISAGEABLES
n )L EXISTE UNE RELATION PARTICULIÒREMENT ÏTROITE ENTRE LE STATUT PROFESSIONNEL
DES PARENTS ET LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET EN
CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE 3IL EST ÏLEVÏ LE STATUT PROFESSIONNEL
DES PARENTS PEUT INFLUENCER LES ASPIRATIONS PROFESSIONNELLES DES ÏLÒVES ET PAR
LÌ LEUR ENGAGEMENT Ì LÏGARD DE LAPPRENTISSAGE QUI DEVIENT ALORS POUR EUX
UN MOYEN DE COMBLER DES ASPIRATIONS PROFESSIONNELLES AMBITIEUSES )L PEUT
ÏGALEMENT PERMETTRE DÏLARGIR LE CHAMP DES ORIENTATIONS PROFESSIONNELLES
DONT LES ENFANTS ONT CONNAISSANCE 3I LES SYSTÒMES DENSEIGNEMENT ONT Ì FAIRE
FACE AUX ASPECTS PLUS IMMÏDIATS DU RENDEMENT SCOLAIRE ILS DOIVENT AUSSI
SATTACHER Ì DÏVELOPPER DES CONNAISSANCES ET ASPIRATIONS PROFESSIONNELLES
oÌÕÌÊViÊiÊÃÌÊiÃÊ n ,E RÙLE DES BIENS ET DES ACTIVITÏS LIÏS Ì LA CULTURE i CLASSIQUE w EST COMPLEXE
LiÃÊiÌÊiÃÊ>VÌÛÌjÃÊjÃÊDÊ MAIS IL SEMBLE QUE POSSÏDER UN PATRIMOINE CULTUREL DU MÐME TYPE QUE CELUI
>ÊVÕÌÕÀiÊÊV>ÃõÕiÊ° SUR LEQUEL LES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT ET LES ÏPREUVES DÏVALUATION SONT
BASÏS INFLUENCE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ,A POSSESSION DE BIENS CULTURELS EST
SOUVENT ASSOCIÏE AUX AUTRES FACTEURS DU MILIEU FAMILIAL MAIS SON IMPACT EST PLUS
IMPORTANT SI ELLE EST CONSIDÏRÏE SÏPARÏMENT ,E PATRIMOINE CULTUREL A UN IMPACT
PLUS ÏLEVÏ EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT QUEN CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIEN
TIFIQUE #E CONSTAT SOULIGNE LA MANIÒRE DONT LACCÒS Ì LA LITTÏRATURE ET Ì DAUTRES
BIENS CULTURELS Ì LA MAISON CONFÒRE UN AVANTAGE EN TERMES DAPPRENTISSAGE
iÊÛi>ÕÊ`iÊvÀ>ÌÊ n ,E NIVEAU DE FORMATION DES PARENTS ET LES MODÒLES DE COMMUNICATION SOCIALE ET
`iÃÊ«>ÀiÌÃÊiÌÊ>ʵÕ>ÌjÊ CULTURELLE ENTRE PARENTS ET ENFANTS EN PARTICULIER Ì PROPOS DE SUJETS CONCERNANT
`iÊ>ÊVÕV>ÌÊ LE RENDEMENT SCOLAIRE ET LAPPRENTISSAGE SONT ÏTROITEMENT LIÏS %NSEMBLE CES
µÕ½ÃÊiÌÀiÌiiÌÊ>ÛiVÊ DEUX FACTEURS PEUVENT CONFÏRER UN AVANTAGE ÏDUCATIF IMPORTANT AUX ÏLÒVES )L
iÕÀÃÊiv>ÌÃÊÌÊ RESSORT DES RÏSULTATS DU 0)3! QUE LA RÏUSSITE SCOLAIRE PEUT ÐTRE INFLUENCÏE PAR
j}>iiÌÊÕiÊvÕiViÊ LES MODÒLES DE COMMUNICATION ENTRE PARENTS ET ENFANTS #E CONSTAT SUGGÒRE
«ÃÌÛio QUIL SERAIT JUDICIEUX DORIENTER LACTION PUBLIQUE VERS LE SOUTIEN AUX PARENTS
EN PARTICULIER CEUX DONT LE NIVEAU DENSEIGNEMENT EST PLUS FAIBLE EN VUE DE
FAVORISER LEURS INTERACTIONS AVEC LEURS ENFANTS ET LÏTABLISSEMENT FRÏQUENTÏ PAR
CEUX
CI DE MANIÒRE Ì AMÏLIORER LAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES
o>ÀÃʵÕiʽvÕiViÊ n ,A RICHESSE FAMILIALE QUI DÏPEND EN GÏNÏRAL DE LA PROFESSION DES PARENTS EST
`iÊ>ÊÀV iÃÃiÊv>>iÊ ÏGALEMENT ASSOCIÏE Ì UNE PERFORMANCE PLUS ÏLEVÏE MAIS SON INFLUENCE EST
iÃÌÊÃÊ>ÀµÕji° MOINS MARQUÏE QUE CELLE DES AUTRES FACTEURS ÏTUDIÏS DANS CE CHAPITRE
iÃÊ`jÃ>Û>Ì>}iÃʵÕÊ n %NFIN TOUS LES PAYS DE L/#$% CONNAISSENT UNE IMMIGRATION ACCRUE ,ES
>ÀµÕiÌÊiÃÊ}À>ÌÃÊ IMMIGRÏS PRATIQUENT POUR LA PLUPART UNE LANGUE DIFFÏRENTE DE LA LANGUE
ÃÌÊ>ÕÃÃÊV«iÝiÃÊ DANS LAQUELLE LEURS ENFANTS FONT LEURS ÏTUDES ,E DÏSAVANTAGE ÏDUCATIF QUI
µÕiÊÛ>ÀjÃ]Ê>ÃÊ MARQUE LES ÏLÒVES ISSUS DUNE MINORITÏ ETHNIQUE ETOU LES ENFANTS DIMMI
Êv>ÕÌÊÞÊÀj>}À° GRANTS VARIE CONSIDÏRABLEMENT SELON LES CIRCONSTANCES QUILS ONT CONNUES DANS
LEUR PAYS DORIGINE ,E DÏSAVANTAGE ÏDUCATIF QUILS AVAIENT Ì SUBIR DANS LEUR
PAYS DORIGINE PEUT ÐTRE ACCENTUÏ DANS LEUR PAYS DADOPTION MÐME SI LEUR
iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛià #(!0)42%
PERFORMANCE SCOLAIRE A AUGMENTÏ EN TERMES ABSOLUS #E POURRAIT ÐTRE UNE
OPTION POLITIQUE JUDICIEUSE QUE DOFFRIR Ì CES ÏLÒVES UNE AIDE INTENSIVE ET
CIBLÏE EN LANGUE POUR LES FAMILIARISER AU MIEUX AVEC LA LANGUE DENSEIGNE
MENT #ES ÏLÒVES PEUVENT ÐTRE DÏFAVORISÏS SUR LE PLAN ÏDUCATIF PARCE QUILS
DÏCOUVRENT UN NOUVEL ENVIRONNEMENT DAPPRENTISSAGE OU PARCE QUILS DOIVENT
APPRENDRE UNE NOUVELLE LANGUE DANS UN ENVIRONNEMENT FAMILIAL QUI NE LEUR
FACILITE PAS FORCÏMENT LA TÊCHE 1UELLE QUE SOIT LORIGINE DE CE DÏSAVANTAGE IL
FAUT VRAISEMBLABLEMENT LEUR ACCORDER UNE ATTENTION PARTICULIÒRE
,ES CONCLUSIONS TIRÏES DE LENSEMBLE DE CES RÏSULTATS REVÐTENT UNE CERTAINE iÃÊ`jÃ>Û>Ì>}iÃÊjÃÊ
IMPORTANCE POUR LES DÏCIDEURS ,ES COMPÏTENCES EN LECTURE CONSTITUENT LUN >ÕÊiÕÊv>>Ê
DES FONDEMENTS DE LAPPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE ET AMÏLIORENT LES VÌÕiÀÌÊDÊÃiÊ
PERSPECTIVES DEMPLOI ET DE REVENU ° LA LUMIÒRE DE CES CONSIDÏRATIONS Àj«iÀVÕÌiÀÊÃÕÀÊ«ÕÃiÕÀÃÊ
LA PROGRESSION INTERGÏNÏRATIONNELLE DU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE PEUT ÐTRE }jjÀ>ÌÃÊÃÊ
RESTREINTE DANS LES PAYS QUI COMPTENT UNE PROPORTION CONSIDÏRABLE DE LECTEURS iÃÊÃÞÃÌmiÃÊj`ÕV>ÌvÃÊ
PLUS i FAIBLES w #E SONT CES ÏLÒVES i FAIBLES w QUI ONT VRAISEMBLABLEMENT LE MOINS iÊ«ÀiiÌÊ«>ÃÊ`iÊ
DE CHANCES DE BÏNÏFICIER DE PERSPECTIVES DEMPLOI PROMETTEUSES GAGES DE iÃÕÀiÃÊÛÃ>ÌÊDÊÀj`ÕÀiÊ
MOBILITÏ ÏCONOMIQUE ,E CHAPITRE POURSUIT LANALYSE ENTAMÏE ICI PAR LÏTUDE iÕÀÃÊivviÌð
DES INTERACTIONS ENTRE LES DIVERS FACTEURS CONTEXTUELS ET LIDENTIFICATION DES
LEVIERS POLITIQUES UTILISÏS DANS LES DIFFÏRENTS PAYS POUR AMÏLIORER LA PERFORMANCE
MOYENNE ET ATTÏNUER LIMPACT DU MILIEU FAMILIAL SUR LE RENDEMENT DES ÏLÒVES
#(!0)42% iÕÊv>>ÊiÌÊ«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃ
.OTES
0OUR DES INFORMATIONS DÏTAILLÏES SUR LA CONSTRUCTION DES INDICES VOIR LANNEXE !
,ES DIFFÏRENCES SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES DANS TOUS LES PAYS
%N TERMES STANDARDISÏS LACCROISSEMENT DUNE UNITÏ DE LA VALEUR DE LINDICE DE RICHESSE DONNE LIEU Ì UNE AUGMENTATION DU
SCORE DE ET POINTS RESPECTIVEMENT SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR TABLEAU ET SUR LES
ÏCHELLES DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET DE CULTURE SCIENTIFIQUE VOIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
%N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% LINDICE EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIATION DE PERFORMANCE SUR LÏCHELLE
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
%N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% LINDICE EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIATION DE PERFORMANCE SUR LÏCHELLE
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
#ES DIFFÏRENCES SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION ET DANS TOUS LES PAYS
%N MATIÒRE DE COMMUNICATION CULTURELLE LES DIFFÏRENCES SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES DANS TOUS LES PAYS %LLES LE SONT
ÏGALEMENT EN MATIÒRE DE COMMUNICATION SOCIALE DANS TOUS LES PAYS SAUF EN )TALIE ,INDICE DE COMMUNICATION CULTURELLE
EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ,INDICE DE
COMMUNICATION SOCIALE EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT
)L EXISTE UN AUTRE MOYEN DE MESURER LIMPORTANCE DE LA COMMUNICATION CULTURELLE ET SOCIALE Ì SAVOIR ÏTUDIER SA CONTRIBUTION
RELATIVE AUX DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT $ANS TOUS LES PAYS DE L/#$%
UNE PROGRESSION DUNE UNITÏ DE LINDICE DE COMMUNICATION CULTURELLE DONNE LIEU Ì UNE AUGMENTATION DE POINTS DU SCORE
MOYEN EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT %N REVANCHE UNE PROGRESSION DUNE UNITÏ Ì LINDICE DE COMMUNICATION SOCIALE NE
GÏNÒRE QUUNE AUGMENTATION DE POINTS DU SCORE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
#ES DIFFÏRENCES SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION ET DANS TOUS LES PAYS SAUF EN 0OLOGNE
ET AU 0ORTUGAL POUR LA CULTURE MATHÏMATIQUE
$ANS LANALYSE QUI SUIT LES ÏLÒVES VIVANT DANS DES FAMILLES MONOPARENTALES SONT COMPARÏS Ì CEUX QUI VIVENT DANS TOUS LES
AUTRES TYPES DE FAMILLE NOTAMMENT LES FAMILLES NUCLÏAIRES CEST
Ì
DIRE UNE FAMILLE TRADITIONNELLE COMPOSÏE DU PÒRE ET DE
LA MÒRE LES FAMILLES MIXTES UNE FAMILLE COMPOSÏE DE LA MÒRE ET DUN AUTRE HOMME DU PÒRE ET DUNE AUTRE FEMME OU
DE DEUX TUTEURS ET TOUS LES AUTRES ENVIRONNEMENTS FAMILIAUX POSSIBLES PAR EXEMPLE LA PRISE EN CHARGE DES ÏLÒVES PAR LEURS
GRANDS
PARENTS OU PAR LEURS FRÒRES ET SURS
#ES DIFFÏRENCES SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES DANS PAYS
!U 2OYAUME 5NI LES ÏLÒVES ISSUS DE FAMILLES MONOPARENTALES ONT UN RENDEMENT INFÏRIEUR Ì CEUX QUI VIVENT DANS DAUTRES
STRUCTURES FAMILIALES MAIS LE SCORE DES DEUX CATÏGORIES DÏLÒVES EST SUPÏRIEUR AU SCORE MOYEN DE L/#$% SUR LÏCHELLE
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT )L NEN VA PAS DE MÐME AUX ³TATS 5NIS
,ES ÏLÒVES INCAPABLES DE LIRE OU DE PARLER LA LANGUE DU TEST PARCE QUILS AVAIENT SUIVI MOINS DUNE ANNÏE DÏTUDES DANS LA
LANGUE DU TEST ONT ÏTÏ EXCLUS DE LÏVALUATION VOIR LANNEXE !
0OUR RÏPONDRE Ì LA QUESTION i 1UELLE LANGUE PARLEZ VOUS LE PLUS SOUVENT Ì LA MAISON w LES ÏLÒVES AVAIENT LE CHOIX ENTRE
LES OPTIONS i LA LANGUE DU TEST w i DAUTRES LANGUES NATIONALES OFFICIELLES w i DAUTRES LANGUES OU DIALECTES NATIONAUX w ET
i DAUTRES LANGUES w #ETTE ANALYSE COMPARE LES ÏLÒVES DE LA DERNIÒRE CATÏGORIE CEST Ì DIRE CEUX QUI ONT RÏPONDU i DAUTRES
LANGUES w Ì CEUX QUI APPARTIENNENT AUX TROIS PREMIÒRES CATÏGORIES DANS LES PAYS Oá POUR CENT AU MOINS DES ÏLÒVES ONT
CHOISI LOPTION i DAUTRES LANGUES w
#HAPITRE
½ 6," /Ê ½**, /-- Ê
/Ê ½", -/" Ê
Ê ½ - /
#(!0)42% ½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ
)NTRODUCTION
iÊV
>«ÌÀiÊiÝ>iÊ>Ê ,E VOLUME DE CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES ACQUISES PAR LES ÏLÒVES DÏPEND DANS
>ÌÕÀiÊ`iÊ>ÊVÀÀj>ÌÊ UNE GRANDE MESURE DE LA QUALITÏ DE LEUR ACCÒS AUX DIVERSES FORMES DAPPRENTIS
iÌÀiʽiÛÀiiÌÊ SAGE TANT Ì LÏCOLE QUÌ LA MAISON #E CHAPITRE POURSUIT LIDENTIFICATION DES FAC
ÃV>ÀiÊiÌÊ>ÊÀjÕÃÃÌiÊ TEURS QUI CONTRIBUENT Ì LA RÏUSSITE SCOLAIRE )L SE CONCENTRE SUR LENVIRONNEMENT
`iÃÊjmÛið DAPPRENTISSAGE QUE LES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT ET LES FAMILLES OFFRENT
AUX ÏLÒVES DE ANS ET COMPARE DES ASPECTS DE LA GESTION ET DU FINANCEMENT DES
ÏTABLISSEMENTS
#LIMAT AU SEIN DE LÏTABLISSEMENT ET DE LA CLASSE
3OUTIEN DES ENSEIGNANTS
iÃÊjmÛiÃÊLjjvViÌÊ`iÊ ,A LITTÏRATURE SUR LEFFICIENCE SCOLAIRE SUGGÒRE QUIL EST PROFITABLE POUR LES ÏLÒVES
½ÌjÀkÌʵÕiÊiÃÊiÃi}>ÌÃÊ EN PARTICULIER CEUX DONT LE RENDEMENT EST FAIBLE DAVOIR DES ENSEIGNANTS QUI
«ÀÌiÌÊDÊiÕÀÃÊ«À}ÀmÃÊiÌÊ`iÊ MANIFESTENT LEUR INTÏRÐT POUR LES PROGRÒS DE LEURS ÏLÒVES LEUR SOUHAIT DE TOUS
½>`iʵսÃÊiÕÀÊ>««ÀÌiÌ° LES VOIR ATTEINDRE UN NIVEAU DE PERFORMANCE ACCEPTABLE ET LEUR VOLONTÏ DE LES
%NCADRÏ )NTERPRÏTATION DES INDICES 0)3!
5N CERTAIN NOMBRE DINDICES RÏSUMENT LES RÏPONSES DES ÏLÒVES OU DES CHEFS DÏTABLISSEMENT Ì UNE
SÏRIE DE QUESTION CONNEXES #ES QUESTIONS ONT ÏTÏ SÏLECTIONNÏES DANS DES CONSTRUCTS PLUS ÏTENDUS
SUR BASE DE CONSIDÏRATIONS THÏORIQUES ET DE RECHERCHES ANTÏRIEURES 6OIR LANNEXE ! POUR DES
INFORMATIONS DÏTAILLÏES SUR LA CONCEPTION DE CES INDICES
,ES INDICES DU CYCLE 0)3! SONT BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES ET DES CHEFS DÏTABLISSEMENT
Ì DES QUESTIONS PORTANT SUR LENVIRONNEMENT DAPPRENTISSAGE LORGANISATION DES ÏTABLISSEMENTS ET LE
CONTEXTE ÏCONOMIQUE ET SOCIAL DANS LEQUEL SINSCRIT LAPPRENTISSAGE )LS SONT DÏDUITS DES DÏCLARATIONS
ÏMANANT DES ÏLÒVES ET DES CHEFS DÏTABLISSEMENT EUX
MÐMES ET NON DOBSERVATIONS EXTERNES )LS
SONT SUSCEPTIBLES DÐTRE INFLUENCÏS PAR DES DIFFÏRENCES INTERCULTURELLES DANS LE COMPORTEMENT DE
RÏPONSE OU PAR LOPPORTUNITÏ SOCIALE DE CERTAINES RÏPONSES
)L CONVIENT LORS DE LINTERPRÏTATION DES CHIFFRES DE GARDER Ì LESPRIT LE FAIT QUE LES DONNÏES RECUEILLIES AUPRÒS
DES CHEFS DÏTABLISSEMENT SONT LIMITÏES Ì CERTAINS ÏGARD $ANS LA PLUPART DES PAYS CHEFS DÏTABLISSEMENT
SEULEMENT ONT RÏPONDU AU QUESTIONNAIRE 0AR AILLEURS SIL EST VRAI QUE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT SONT LES MIEUX
PLACÏS POUR FOURNIR DES INFORMATIONS AU SUJET DE LEUR ÏTABLISSEMENT LA GÏNÏRALISATION AU DÏPART DUNE SOURCE
DINFORMATION UNIQUE POUR CHAQUE ÏTABLISSEMENT AVANT DÏTABLIR DES CORRESPONDANCES AVEC LES RÏPONSES DES
ÏLÒVES EST UN PROCÏDÏ DÏTOURNÏ #E PROCESSUS EST DAUTANT PLUS BIAISÏ QUE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES DANS
CHAQUE DOMAINE DÏVALUATION DÏPEND DUNE MULTITUDE DE FACTEURS NOTAMMENT DE LENSEIGNEMENT RE U AU
COURS DES ANNÏES PRÏCÏDENTES ET PAS UNIQUEMENT PENDANT LA PÏRIODE DINTERACTION AVEC LEURS ENSEIGNANTS
ACTUELS 4OUTEFOIS LES DONNÏES RECUEILLIES GRÊCE AU QUESTIONNAIRE i ÏTABLISSEMENT w SONT ÏDIFIANTES Ì PLUSIEURS
ÏGARDS DANS LA MESURE Oá ELLES RÏVÒLENT LAPPROCHE ADOPTÏE PAR LES AUTORITÏS NATIONALES ET INFRANATIONALES
POUR ATTEINDRE LEURS OBJECTIFS EN MATIÒRE DENSEIGNEMENT
,ES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENTS QUI FIGURENT DANS CE RAPPORT ONT ÏTÏ PONDÏRÏES DE MANIÒRE Ì
CE QUELLES SOIENT REPRÏSENTATIVES DU NOMBRE DÏLÒVES ÊGÏS DE ANS INSCRITS DANS LÏTABLISSEMENT
,ES COMPARAISONS PRÏSENTÏES DANS CE CHAPITRE PORTENT SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SAUF MENTION CONTRAIRE
½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ #(!0)42%
AIDER Ì Y PARVENIR ,ES ÏLÒVES ONT ÏTÏ PRIÏS DINDIQUER LA FRÏQUENCE Ì LAQUELLE
LEUR PROFESSEUR DE LANGUE DU TEST i SINTÏRESSE AUX PROGRÒS DE CHAQUE ÏLÒVE w
i DONNE AUX ÏLÒVES LOCCASION DEXPRIMER LEURS OPINIONS w i AIDE LES ÏLÒVES DANS
LEUR TRAVAIL w ET i CONTINUE Ì EXPLIQUER JUSQUÌ CE QUE LES ÏLÒVES AIENT COMPRIS w
,EURS RÏPONSES PERMETTENT DE DÏTERMINER SI CES PRATIQUES SONT COURAMMENT
APPLIQUÏES DANS LES PAYS DE L/#$% ET DANS QUELLE MESURE ELLES CONTRIBUENT Ì
AMÏLIORER LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES
5N INDICE COMPOSITE DE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS A ÏTÏ ÏLABORÏ Ì PARTIR DES RÏPONSES AUX
QUESTIONS ÏNUMÏRÏES CI
DESSUS ET Ì DES QUESTIONS CONNEXES ,ES VALEURS SUPÏRIEURES Ì
LA MOYENNE DE L/#$% ÏGALE Ì ZÏRO DÏNOTENT UN SOUTIEN DES ENSEIGNANTS SUPÏRIEUR
Ì LA MOYENNE DU MOINS DANS LES COURS DE LANGUE DU TEST TANDIS QUE LES VALEURS
NÏGATIVES INDIQUENT UN SOUTIEN DES ENSEIGNANTS INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE
#E SONT LES ÏLÒVES D!USTRALIE DU "RÏSIL DU #ANADA DES ³TATS
5NIS DE LA 1iÊ}À>`iÊ>ÀÌjÊ`iÃÊ
.OUVELLE
:ÏLANDE DU 0ORTUGAL ET DU 2OYAUME
5NI QUI SONT LES PLUS NOMBREUX jmÛiÃÊÃiÊÃiÌÊÃÕÌiÕiÊ
Ì ESTIMER POSITIF LE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS 0AR CONTRASTE EN !LLEMAGNE EN `>ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃ]ÊÕiÊ
!UTRICHE EN "ELGIQUE EN #ORÏE EN &RANCE EN )TALIE AU *APON EN ,ETTONIE ÀÌjÊ`>ÃÊ`½>ÕÌÀið
AU ,UXEMBOURG EN 0OLOGNE ET EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE LES ÏLÒVES DÏCLARENT
BÏNÏFICIER DUN SOUTIEN INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE LA PART DE LEUR PROFESSEUR DE
LANGUE DU TEST TABLEAU
!INSI EN !USTRALIE AU #ANADA AU $ANEMARK EN )SLANDE EN .OUVELLE
:ÏLANDE AU
0ORTUGAL AU 2OYAUME
5NI ET EN 3UÒDE ENTRE DEUX TIERS ET TROIS QUARTS DES ÏLÒVES
DÏCLARENT QUE LEUR PROFESSEUR DE LANGUE DU TEST i CONTINUE Ì EXPLIQUER JUSQUÌ CE QUE
LES ÏLÒVES AIENT COMPRIS w Ì LA PLUPART DES COURS VOIRE Ì CHAQUE COURS )NVERSEMENT
EN #ORÏE AU *APON EN 0OLOGNE ET EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE MOINS DE LA MOITIÏ DENTRE
EUX A CE SENTIMENT $E MÐME EN !USTRALIE AU #ANADA AU $ANEMARK EN (ONGRIE
EN )SLANDE EN .OUVELLE
:ÏLANDE AU 0ORTUGAL AU 2OYAUME
5NI ET EN 3UÒDE DEUX
TIERS DES ÏLÒVES VOIRE DAVANTAGE ESTIMENT QUE LEURS PROFESSEURS EN LANGUE DU TEST
i SINVESTISSENT BEAUCOUP POUR AIDER LES ÏLÒVES w Ì LA PLUPART DES COURS OU Ì CHAQUE
COURS ALORS QUILS SONT MOINS DUNE MOITIÏ Ì MANIFESTER CETTE IMPRESSION EN #ORÏE
EN &RANCE AU *APON AU ,UXEMBOURG ET EN 0OLOGNE VOIR WWWPISAOECDORG POUR DES
DONNÏES ,ES DONNÏES DISPONIBLES NE PERMETTENT PAS DE DÏTERMINER DANS QUELLE MESURE
CES RÏSULTATS REFLÒTENT DE VÏRITABLES DIFFÏRENCES DANS LES PRATIQUES ET LES ATTITUDES n TANT
ENTRE LES PAYS QUAU SEIN DE CEUX
CI n OU UNIQUEMENT DES DIFFÏRENCES DANS LES COMPTES
RENDUS SUBJECTIFS DES ÏLÒVES DE CHAQUE PAYS -ALGRÏ CETTE RÏSERVE CERTAINES DIFFÏRENCES
RÏVÏLÏES PAR LA COMPARAISON DES RÏSULTATS ENTRE DIVERS PAYS SONT TELLEMENT IMPORTANTES
QUELLES MÏRITENT QUE LON SY ARRÐTE
,A RELATION ENTRE LE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS ET LA PERFORMANCE EST COMPLEXE >ÊÀi>ÌÊiÌÀiÊiÊ
!INSI DANS LA MESURE Oá LES ENSEIGNANTS ADOPTENT DAVANTAGE DE PRATIQUES AXÏES ÃÕÌiÊ`iÃÊiÃi}>ÌÃÊ
SUR LE SOUTIEN DANS DES CLASSES FRÏQUENTÏES ESSENTIELLEMENT PAR DES ÏLÒVES MOINS iÌÊ>Ê«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊ
i FORTS w ON PEUT SUPPOSER QUE LA CORRÏLATION ENTRE SOUTIEN ET PERFORMANCE SERA jmÛiÃÊiÃÌÊV«iÝio
NÏGATIVE 0ARALLÒLEMENT SI LE SOUTIEN EST EFFICACE IL EST LOGIQUE DE SUPPOSER QUE
LE RENDEMENT SERA MEILLEUR DANS LES CLASSES QUI BÏNÏFICIENT DUN PLUS GRAND SOU
TIEN QUE DANS LES AUTRES
#(!0)42% ½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ
}ÕÀiÊÇ°£
3OUTIEN DES ENSEIGNANTS ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
#ORRÏLATION ENTRE LINDICE DE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
#ORRÏLATION POSITIVE ENTRE 0AS DE CORRÏLATION #ORRÏLATION NÏGATIVE ENTRE
LINDICE DE SOUTIEN DES ENSEI
STATISTIQUEMENT LINDICE DE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS
GNANTS ET LA PERFORMANCE DES SIGNIFICATIVE ET LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
)NDICE MOYEN DE SOUTIEN !USTRALIE "RÏSIL #ANADA %SPAGNE 'RÒCE ,IECHTENSTEIN
DES ENSEIGNANTS $ANEMARK ³TATS 5NIS (ONGRIE )RLANDE 3UISSE
SUPÏRIEUR Ì LA MOYENNE &ÏDÏRATION DE 2USSIE -EXIQUE 0ORTUGAL
DE L/#$% &INLANDE )SLANDE
.OUVELLE :ÏLANDE
2OYAUME 5NI 3UÒDE
)NDICE MOYEN DE SOUTIEN #ORÏE *APON ,ETTONIE !UTRICHE !LLEMAGNE "ELGIQUE
DES ENSEIGNANTS .ORVÒGE 0OLOGNE &RANCE 0AYS "AS )TALIE ,UXEMBOURG
INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
DE L/#$%
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE L/#$%
o>ÃÊ`>ÃÊ>Ê«Õ«>ÀÌÊ`iÃÊ !INSI QUE LE LAISSENT SUPPOSER CES OBSERVATIONS LA RELATION EST MITIGÏE ET GÏNÏRA
«>ÞÃÊÙʽ`ViÊ`iÊÃÕÌiÊ LEMENT PEU MARQUÏE 4OUTEFOIS DANS LA PLUPART DES PAYS Oá LA VALEUR DE LINDICE
iÃÌÊjiÛj]Ê>ÊVÀÀj>ÌÊ`iÊ DE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS EST SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE DE L/#$% LA CORRÏLATION
ViÕVÊ>ÛiVÊ>Ê«iÀvÀ>ViÊ ENTRE LE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS ET LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EN COMPRÏHENSION
Ìi`ÊDÊkÌÀiÊ«iÕÊ>ÀµÕji° DE LÏCRIT TEND Ì ÐTRE POSITIVE ET STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE FIGURE
>ÃÊiÃÊ«>ÞÃÊÙÊiÊ $ANS LES PAYS Oá LE SOUTIEN EST INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE L/#$% PLUSIEURS
ÃÕÌiÊiÃÌÊ}L>iiÌÊ TENDANCES SONT OBSERVÏES !INSI EN #ORÏE AU *APON EN ,ETTONIE ET EN 0OLOGNE
`Ài]ÊiÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ Oá LA VALEUR DE LINDICE DE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS EST INFÏRIEURE Ì LA MOYENNE LES
ÃÌÊ«ÕÃÊVÌÀ>ÃÌjÃo ÏLÒVES QUI DÏCLARENT BÏNÏFICIER DUN GRAND SOUTIEN DE LA PART DE LEUR PROFESSEUR
OBTIENNENT DES SCORES PLUS ÏLEVÏS DANS LES DOMAINES DÏVALUATION DU 0)3! 0AR
CONTRASTE EN !LLEMAGNE EN "ELGIQUE EN )TALIE AU ,UXEMBOURG ET EN 2ÏPUBLIQUE
TCHÒQUE Oá LA VALEUR DE LINDICE EST ÏGALEMENT INFÏRIEURE Ì LA MOYENNE LES ÏLÒVES
QUI DISENT JOUIR DUN GRAND SOUTIEN DE LA PART DE LEUR PROFESSEUR ONT TENDANCE Ì
AVOIR DE MOINS BONS RÏSULTATS $ANS CES PAYS POUR CENT AU MOINS DES ÏLÒVES
DÏCLARENT QUE LEUR PROFESSEUR DE LANGUE DU TEST NE SINTÏRESSE i JAMAIS w AUX
PROGRÒS DE CHAQUE ÏLÒVE OU SY INTÏRESSE i PARFOIS w PAR OPPOSITION Ì i Ì LA
PLUPART DES COURS w ET Ì i Ì CHAQUE COURS w POUR CENT AU MOINS DES ÏLÒVES
AFFIRMENT QUIL NE LEUR DONNE i JAMAIS w LOCCASION DEXPRIMER LEURS OPINIONS
OU i PARFOIS w SEULEMENT ET POUR CENT AU MOINS DES ÏLÒVES PRÏTENDENT QUIL
NE LES AIDE i JAMAIS w DANS LEUR APPRENTISSAGE OU i PARFOIS w SEULEMENT VOIR
WWWPISAOECDORG POUR DES DONNÏES CHIFFRÏES Ì CET ÏGARD
o«iÕÌkÌÀiÊ«>ÀViʵÕiÊiÊ $E NOMBREUX FACTEURS CONTRIBUENT Ì FA ONNER CES MODÒLES $E NOUVELLES
ÃÕÌiÊ`iÃÊiÃi}>ÌÃÊ>Ê RECHERCHES DOIVENT ÐTRE MENÏES POUR ÏTUDIER LENSEMBLE DE CES FACTEURS $ANS
Ìi`>ViÊDÊÃiÊÌiÀÊ>ÕÝÊ LES PAYS Oá LE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS EST INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE ET Oá LA
jmÛiÃÊiÃÊÃÊ«iÀvÀ>Ìð RELATION ENTRE CE FACTEUR ET LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EST NÏGATIVE IL EST POSSIBLE
½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ #(!0)42%
QUE CETTE ATTITUDE DE SOUTIEN SOIT MOINS ANCRÏE DANS LA CULTURE PROFESSIONNELLE DES
ENSEIGNANTS QUE DANS DAUTRES PAYS )L EST PROBABLE PAR AILLEURS QUE LES ENSEIGNANTS
LIMITENT LEURS EFFORTS EN LA MATIÒRE AUX CLASSES OU AUX ÏLÒVES QUI RENCONTRENT LES PLUS
GRANDES DIFFICULTÏS /U PEUT
ÐTRE FAUT
IL ATTEINDRE UNE i MASSE CRITIQUE w DE SOUTIEN
DES ENSEIGNANTS DANS UN ÏTABLISSEMENT POUR QUE LES EFFETS EN SOIENT SUFFISAMMENT
SENSIBLES POUR INFLUENCER POSITIVEMENT LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
&ACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT ET IMPUTABLES AUX ÏLÒVES
$ES QUESTIONS PERMETTANT DIDENTIFIER ET DE COMPARER LES FACTEURS QUI TROUBLENT *-Ê>ÊiÝ>jÊ`>ÃÊ
LE CLIMAT DAPPRENTISSAGE DES ÏTABLISSEMENTS TELS QUILS SONT PER US PAR LES µÕiiÊiÃÕÀiÊ
ÏLÒVES ET LES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT ÏTÏ INCLUSES DANS LES QUESTIONNAIRES ½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÃÌÊ}kjÊ
i ÏLÒVE w ET i ÏTABLISSEMENT w DU 0)3! ,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT ÏTÏ PRIÏS «>ÀÊ`iÃÊV«ÀÌiiÌÃÊ
DINDIQUER DANS QUELLE MESURE LAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES ÏTAIT GÐNÏ PAR DES Õ}jÃÊVÛi>ÌÃÊ
FACTEURS TELS LABSENTÏISME DES ÏLÒVES LA CONSOMMATION DALCOOL OU DE DROGUES «>ÀÊiÃÊV
ivÃÊ
ILLÏGALES OU LA PERTURBATION DES COURS PAR DES ÏLÒVES 1UANT AUX ÏLÒVES IL LEUR `½jÌ>LÃÃiiÌð
A ÏTÏ DEMANDÏ Ì QUELLE FRÏQUENCE DES SITUATIONS PERTURBANT LES COURS DE LANGUE
DU TEST SE PRODUISAIENT )LS ONT ÏTÏ PRIÏS DINDIQUER LA FRÏQUENCE DES SITUATIONS
}ÕÀiÊÇ°Ó
,E CLIMAT DgAPPRENTISSAGE n LE POINT DE VUE DES CHEFS DgÏTABLISSEMENT
2ÏPARTITION DES POURCENTAGES MOYENS DgÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏCOLES DONT LES CHEFS DgÏTABLISSEMENT ONT DÏCLARÏ QUE
LgAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES EST GÐNÏ DANS UNE CERTAINE MESURE PAR LES FACTEURS SUIVANTS
-OYENNE DE Lg/#$% ERREUR TYPE
²LÒVES QUI INTIMIDENT OU
BRUTALISENT DgAUTRES ÏLÒVES
#ONSOMMATION DgALCOOL OU
DE DROGUES ILLÏGALES
-ANQUE DE RESPECT DES
ÏLÒVES ENVERS LES ENSEIGNANTS
²LÒVES QUI SÒCHENT LES COURS
²LÒVES QUI PERTURBENT LES COURS
!BSENTÏISME DES ÏLÒVES
.OTE ,ES PAYS SONT SYMBOLISÏS PAR DES CARRÏS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 6OIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
#(!0)42% ½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ
SUIVANTES i ,ES ÏLÒVES NE PEUVENT PAS BIEN TRAVAILLER w i )L Y A DU BRUIT ET DE
LAGITATION w ET i !U DÏBUT DU COURS PLUS DE CINQ MINUTES SE PASSENT SANS QUON
NE FASSE RIEN w )L CONVIENT TOUTEFOIS DE FAIRE PREUVE DE PRUDENCE LORS DE LIN
TERPRÏTATION DE CES RÏSULTATS %N EFFET LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DES DIVERS PAYS
NAPPLIQUENT PAS TOUS LES MÐMES CRITÒRES LORSQUILS QUALIFIENT LE CLIMAT DAP
PRENTISSAGE DE LEUR ÏTABLISSEMENT !INSI IL SE PEUT QUE DANS LES PAYS Oá LABSEN
TÏISME EST GÏNÏRALEMENT FAIBLE DES CHEFS DÏTABLISSEMENT CONSIDÒRENT QUE MÐME
UN TAUX MODESTE DABSENTÏISME TROUBLE GRAVEMENT LA DISCIPLINE OPINION QUE NE
PARTAGENT PAS NÏCESSAIREMENT LES CHEFS DÏTABLISSEMENTS SITUÏS DANS DES PAYS Oá
LABSENTÏISME EST PLUS IMPORTANT
*ÀmÃÊ`½ÕiÊÌjÊ`½iÌÀiÊ $ANS LENSEMBLE DES PAYS DE L/#$% LES CHEFS DÏTABLISSEMENT ESTIMENT QUE
iÕÝÊÃÌÊ«ÀjVVÕ«jÃÊ«>ÀÊ LABSENTÏISME DES ÏLÒVES EST LOBSTACLE LE PLUS FRÏQUENT Ì LAPPRENTISSAGE POUR
½ivviÌÊ`iʽ>LÃiÌjÃiÊ CENT DENTRE EUX EN MOYENNE JUGENT QUE LABSENTÏISME GÐNE i BEAUCOUP w OU i DANS
iÌÊ`iÊ>Ê«iÀÌÕÀL>ÌÊ UNE CERTAINE MESURE w LAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES DE ANS VOIR LA FIGURE ET
`iÃÊVÕÀÃo WWWPISAOECDORG ,E DEUXIÒME FACTEUR DONT LES CHEFS DÏTABLISSEMENT AFFIRMENT QUIL
GÐNE LAPPRENTISSAGE EST LE FAIT DES i ÏLÒVES QUI PERTURBENT LES COURS w POUR CENT
DES CHEFS DÏTABLISSEMENT SUIVI PAR DES i ÏLÒVES QUI SÒCHENT LES COURS w POUR
CENT ET DU i MANQUE DE RESPECT DES ÏLÒVES ENVERS LES ENSEIGNANTS w POUR CENT
1UATORZE POUR CENT DENTRE EUX ESTIMENT QUE LAPPRENTISSAGE DES JEUNES DE ANS EST
GÐNÏ i BEAUCOUP w OU i DANS UNE CERTAINE MESURE w PAR i LES ÏLÒVES QUI INTIMIDENT OU
BRUTALISENT DAUTRES ÏLÒVES w
oÌ>`ÃʵÕiÊiÃÊjmÛiÃÊ ,A PERTE DE TEMPS AU DÏBUT DU COURS EST LE PROBLÒME DE DISCIPLINE LE PLUS
ÃiÊÃÕViÌÊÃÕÀÌÕÌÊ`iÊ>Ê SOUVENT CITÏ PAR LES ÏLÒVES %N MOYENNE POUR CENT DES ÏLÒVES AFFIRMENT QUE
«iÀÌiÊ`iÊÌi«ÃÊ>Û>ÌʵÕiÊ DANS LA PLUPART DES COURS OU DANS CHAQUE COURS DE LA LANGUE DU TEST i AU DÏBUT
iÊVÕÀÃÊiÊViViÊ DU COURS CINQ MINUTES SE PASSENT SANS QUON NE FASSE RIEN w ET POUR CENT
ÀjiiiÌ° QUILS i NE COMMENCENT Ì TRAVAILLER QUE BIEN APRÒS LE DÏBUT DES COURS w VOIR LA
FIGURE ET WWWPISAOECDORG $E MÐME PARMI LES PAYS DE L/#$% UN TIERS
DES ÏLÒVES DÏCLARENT QUE i LE PROFESSEUR DOIT ATTENDRE UN LONG MOMENT AVANT
QUE LES ÏLÒVES SE CALMENT w ET QUE i IL Y A DU BRUIT ET DE LAGITATION w DURANT LA
PLUPART DES COURS OU Ì CHAQUE COURS DE LA LANGUE DU TEST !INSI AU $ANEMARK
EN )SLANDE AU *APON AU -EXIQUE EN 0OLOGNE AU 2OYAUME
5NI ET EN 3UISSE
MOINS DUN ÏLÒVE SUR CINQ DÏCLARE QUE i LES ÏLÒVES NÏCOUTENT PAS CE QUE DIT LE
PROFESSEUR w CONTRE UN ÏLÒVE SUR TROIS EN #ORÏE ET EN )TALIE
>ÃÊiÃÊÃV j>ÃÊÛ>ÀiÌÊ #ES MOYENNES PERMETTENT DE DÏGAGER UNE TENDANCE GÏNÏRALE QUI SAPPLIQUE Ì
ÃiÊiÃÊ«>ÞÃ]ÊViÊ LENSEMBLE DE L/#$% )L FAUT CEPENDANT SOULIGNER QUELLES MASQUENT UNE VARIA
½>ÌÌiÃÌiÌÊ`iÕÝÊ`ViÃÊ\Ê TION CONSIDÏRABLE ENTRE ET AU SEIN DES PAYS DE L/#$% $ES INDICES COMPOSITES
>Ê«iÀVi«ÌÊ`ÕÊV>ÌÊ ONT ÏTÏ CON US SUR LA BASE DES RÏPONSES DES ÏLÒVES ET DES CHEFS DÏTABLISSEMENTS
`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊ«>ÀÊiÃÊ POUR DÏTERMINER LAMPLEUR DES DIFFÏRENCES SELON LES PAYS ,ES VALEURS SUPÏRIEURES
jmÛiÃÊiÌÊ«>ÀÊiÃÊV ivÃÊ Ì ZÏRO DE LINDICE RÏSUMANT LES PERCEPTIONS DES ÏLÒVES DÏNOTENT UN CLIMAT POSITIF
`½jÌ>LÃÃiiÌ° DU SYSTÒME DENSEIGNEMENT ,ES VALEURS SUPÏRIEURES Ì ZÏRO DE LINDICE RÏSUMANT
LES PERCEPTIONS PAR LES CHEFS DÏTABLISSEMENT INDIQUENT QUE CEUX CI ESTIMENT QUE
LE CLIMAT DE DISCIPLINE EST POSITIF CEST Ì DIRE QUE PAR RAPPORT Ì LA MOYENNE
DE L/#$% LAPPRENTISSAGE EST MOINS GÐNÏ PAR LES DIVERS FACTEURS AUXQUELS IL
½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ #(!0)42%
}ÕÀiÊÇ°Î
,E CLIMAT DgAPPRENTISSAGE n LE POINT DE VUE DES ÏLÒVES
2ÏPARTITION DES POURCENTAGES MOYENS DgÏLÒVES QUI ONT DÏCLARÏ QUE LES FACTEURS SUIVANTS SgAPPLIQUAIENT Ì CHAQUE COURS
OU Ì LA PLUPART DES COURS
-OYENNE DE Lg/#$% ERREUR TYPE
!U DÏBUT DU COURS PLUS DE
CINQ MINUTES SE PASSENT SANS
QUgON NE FASSE RIEN
)L Y A DU BRUIT ET DE LgAGITATION
,ES ÏLÒVES NE COMMENCENT Ë
TRAVAILLER QUE BIEN APRÒS LE
DÏBUT DES COURS
,ES ÏLÒVES NgÏCOUTENT PAS CE
QUE DIT LE PROFESSEUR
,ES ÏLÒVES NE PEUVENT PAS BIEN
TRAVAILLER
,E PROFESSEUR DOIT ATTENDRE UN
LONG MOMENT AVANT QUE LES
ÏLÒVES SE CALMENT
.OTE ,ES PAYS SONT SYMBOLISÏS PAR DES CARRÏS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE L/#$% 6OIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
EST FAIT RÏFÏRENCE 0AR AILLEURS LES VALEURS INFÏRIEURES Ì ZÏRO REFLÒTENT LOPINION
QUE LE CLIMAT DAPPRENTISSAGE POUR LINDICE BASÏ SUR LES PERCEPTIONS DES CHEFS
DÏTABLISSEMENT ET DE DISCIPLINE POUR LINDICE BASÏ SUR LES PERCEPTIONS DES
ÏLÒVES SONT MOINS BONS QUE LA MOYENNE RESPECTIVEMENT
#EST EN &ÏDÏRATION DE 2USSIE ET EN 'RÒCE QUE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT ESTIMENT iÃÊV
ivÃÊ`½jÌ>LÃÃiiÌÊ
ÐTRE CONFRONTÏS AUX PROBLÒMES DE DISCIPLINE LES PLUS GRAVES )LS ATTRIBUENT CES iÃÊ«ÕÃÊ«ÀjVVÕ«jÃÊÃÌÊ
PROBLÒMES Ì i LABSENTÏISME w ET AU FAIT QUE i LES ÏLÒVES PERTURBENT LES COURS w >««>ÀiiÌÊViÕÝÊ`iÊ
ET i SÒCHENT LES COURS w !INSI EN &ÏDÏRATION DE 2USSIE POUR UNE PROPORTION DE ÀmViÊiÌÊ`iÊj`jÀ>ÌÊ`iÊ
CHEFS DÏTABLISSEMENT REPRÏSENTANT POUR CENT DES ÏLÒVES DE ANS DE CE PAYS ,ÕÃÃio
LAPPRENTISSAGE EST GÐNÏ i BEAUCOUP w OU i DANS UNE CERTAINE MESURE w PAR i LES
ÏLÒVES QUI SÒCHENT LES COURS w VOIR WWWPISAOECDORG POUR DES DONNÏES
#EST EN #ORÏE AU $ANEMARK AU *APON ET EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE QUE LES CHEFS oiÌÊiÃÊÃÊÃÕViÕÝÊ
DÏTABLISSEMENT ESTIMENT AVOIR LE MOINS DE PROBLÒMES DE DISCIPLINE TABLEAU ÃÌÊViÕÝÊ`iÊ>Ê
Àji]Ê
MAIS MÐME DANS CES PAYS QUI SE DÏMARQUENT FAVORABLEMENT DES AUTRES Ì CET `ÕÊ >i>À]Ê`ÕÊ>«Ê
ÏGARD LES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENT NE PERMETTENT PAS DE PENSER QUIL iÌÊ`iÊ>Ê,j«ÕLµÕiÊ
NY A AUCUN PROBLÒME ÌV mµÕio
#(!0)42% ½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ
o>ÃÊÊÀiÃÌiÊ«ÃÃLiÊ ° TITRE DEXEMPLE PRENONS LE CAS DE LA #ORÏE ET DU *APON DEUX DES TROIS PAYS
`½>jÀiÀÊiÃÊV ÃiÃÊ Oá LES PROBLÒMES DE DISCIPLINE SONT RELATIVEMENT RARES DANS LENSEMBLE AINSI
kiÊ`>ÃÊiÃÊ«>ÞÃÊÙÊ QUE LE MONTRE LA VALEUR DE LINDICE QUI RÏSUME LES PERCEPTIONS PAR LES CHEFS
iÃÊ«ÀLmiÃÊÃÌÊiÃÊ DÏTABLISSEMENTS DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE DISCIPLINE IMPUTABLES AUX
«ÕÃÊÀ>Àið ÏLÒVES !U *APON LAPPRENTISSAGE DEMEURE POURTANT GÐNÏ i DANS UNE CERTAINE
MESURE w OU i BEAUCOUP w PAR LABSENTÏISME SELON POUR CENT DES CHEFS
DÏTABLISSEMENT CONTRE POUR CENT EN MOYENNE DANS L/#$% PAR i LES ÏLÒVES
QUI SÒCHENT LES COURS w POUR POUR CENT DENTRE EUX POUR CENT EN MOYENNE
DANS L/#$% PAR i LES ÏLÒVES QUI MANQUENT DE RESPECT ENVERS LES ENSEIGNANTS w
POUR POUR CENT DENTRE EUX POUR CENT EN MOYENNE DANS L/#$% ET
PAR i LES ÏLÒVES QUI INTIMIDENT OU BRUTALISENT DAUTRES ÏLÒVES w POUR POUR
CENT DENTRE EUX POUR CENT EN MOYENNE DANS L/#$% VOIR LA FIGURE
ET WWWPISAOECDORG $E MÐME EN #ORÏE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT ESTIMENT
QUE LAPPRENTISSAGE EST GÐNÏ i DANS UNE CERTAINE MESURE w OU i BEAUCOUP w PAR
LABSENTÏISME POUR CENT DENTRE EUX i PAR LES ÏLÒVES QUI PERTURBENT LES
COURS w POUR CENT PAR i LES ÏLÒVES QUI SÒCHENT LES COURS w POUR CENT ET
PAR i LES ÏLÒVES QUI MANQUENT DE RESPECT ENVERS LES ENSEIGNANTS w POUR CENT
#ES OBSERVATIONS INDIQUENT QUIL RESTE POSSIBLE DAMÏLIORER LES CHOSES MÐME DANS
LES PAYS Oá LES PROBLÒMES SONT LES PLUS RARES
%N &ÏDÏRATION DE 2USSIE AU *APON EN ,ETTONIE AU ,IECHTENSTEIN EN 0OLOGNE
ET EN 3UISSE LES ÏLÒVES DÏCLARENT NE VIVRE QUE RAREMENT DES SITUATIONS PERTURBA
TRICES AU COURS TABLEAU %N REVANCHE AU "RÏSIL EN 'RÒCE ET EN .ORVÒGE
LES ÏLÒVES PRÏTENDENT QUE LEURS COURS SONT FRÏQUEMMENT PERTURBÏS PAR DES
COMPORTEMENTS INAPPROPRIÏS
ÊLiÊ`iÃÊj}>À`Ã]ÊiÃÊ 1UELLES SONT LES SIMILITUDES ENTRE LES PERCEPTIONS DES ÏLÒVES ET CELLES DES CHEFS
«ÌÃÊ`iÊÛÕiÊ`iÃÊjmÛiÃÊ DÏTABLISSEMENT #OMME NOUS LAVONS PRÏCISÏ AUPARAVANT LES QUESTIONNAIRES
ÃÕÀÊiÊV>ÌÊ`iÊ TRAITENT TOUS DEUX DU CLIMAT DAPPRENTISSAGE MAIS ABORDENT CE PHÏNOMÒNE SOUS
½jÌ>LÃÃiiÌÊ DES ANGLES DIFFÏRENTS )LS ONT TOUTEFOIS ÏTÏ CON US DE MANIÒRE Ì AUTORISER LA
Ài}iÌÊViÕÝÊ`iÃÊV
ivÃÊ COMPARAISON INDIRECTE DES DEUX PERSPECTIVES Ì LÏGARD DU CLIMAT DAPPRENTIS
`½jÌ>LÃÃiiÌ° SAGE 0OUR CE FAIRE IL SUFFIT DE COMPARER LES RÏPONSES GLOBALES DES UNS ET DES
AUTRES AUX DEUX JEUX DE QUESTIONS #ETTE ANALYSE MONTRE QUE DANS DE NOMBREUX
PAYS IL EXISTE UNE GRANDE CONVERGENCE DE VUES ENTRE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT
ET LES ÏLÒVES Ì LÏGARD DES FACTEURS SPÏCIFIQUES AUX ÏLÒVES QUI ONT UN IMPACT SUR
LE CLIMAT DE DISCIPLINE 4OUTEFOIS IL EST Ì NOTER QUE CERTAINS PAYS ÏCHAPPENT Ì LA
RÒGLE FIGURE
>Ê«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊ 1UELLE EST LA RELATION ENTRE LA PERCEPTION DU CLIMAT DAPPRENTISSAGE ET LA
jmÛiÃÊiÃÌÊjÌÀÌiiÌÊ PERFORMANCE DES ÏLÒVES #ETTE QUESTION EST AU CUR DE LANALYSE ,ES
>ÃÃVjiÊ>ÕÊV>ÌÊ TABLEAUX ET INDIQUENT LES SCORES MOYENS SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COM
`½>««ÀiÌÃÃ>}i]Ê PRÏHENSION DE LÏCRIT DES ÏLÒVES DES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR EN FONCTION
«>ÀÌVÕmÀiiÌÊ`½>«ÀmÃÊ DES INDICES DE CLIMAT DAPPRENTISSAGE DANS CHAQUE PAYS LE QUARTILE SUPÏRIEUR
iÃÊV
ivÃÊ CORRESPONDANT AU CLIMAT DAPPRENTISSAGE LE PLUS FAVORABLE $ANS DE NOMBREUX
`½jÌ>LÃÃiiÌo PAYS LES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE DISCIPLINE QUI SONT IMPUTABLES AUX ÏLÒVES
TELS QUILS SONT PER US PAR LES CHEFS DÏTABLISSEMENT SONT ÏTROITEMENT LIÏS Ì LA
½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ #(!0)42%
}ÕÀiÊÇ°{
,E CLIMAT DgAPPRENTISSAGE n SYNTHÒSE
)NDICE DU CLIMAT DE DISCIPLINE ET INDICE DES FACTEURS TROUBLANT CE CLIMAT ET IMPUTABLES AUX ÏLÒVES
)NDICE DU CLIMAT DE DISCIPLINE )NDICE DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE DISCIPLINE ET
SELON LES ÏLÒVES IMPUTABLES AUX ÏLÒVES SELON LES CHEFS DgÏTABLISSEMENTS
*APON
0OLOGNE
3UISSE
(ONGRIE
#ORÏE
!UTRICHE
-EXIQUE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
,UXEMBOURG
)NFÏRIEUR 3UPÏRIEUR
!LLEMAGNE Ë LA MOYENNE Ë LA MOYENNE
/#$% /#$%
)RLANDE
³TATS
5NIS
2OYAUME
5NI
0ORTUGAL
)SLANDE
!USTRALIE
"ELGIQUE
#ANADA
.OUVELLE
:ÏLANDE
&INLANDE
%SPAGNE
3UÒDE
$ANEMARK
)TALIE
.ORVÒGE
'RÒCE
"RÏSIL
,ETTONIE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR ASSURER LA COMPARABILITÏ DES DONNÏES VOIR ANNEXE !
.OTE 0OUR UNE DÏFINITION DES INDICES VOIR LgANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAUX ET
#(!0)42% ½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ
PERFORMANCE DES ÏLÒVES !INSI EN !LLEMAGNE EN "ELGIQUE EN (ONGRIE EN )TALIE
AU *APON AUX 0AYS "AS EN 0OLOGNE ET AU 2OYAUME 5NI CET INDICE EXPLIQUE
ENTRE ET POUR CENT DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT $ANS CES PAYS LÏCART DE PERFORMANCE ENTRE LES QUARTILES SUPÏRIEUR
ET INFÏRIEUR DE LINDICE DE PERCEPTION PAR LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DES FACTEURS
TROUBLANT LE CLIMAT DE DISCIPLINE IMPUTABLES AUX ÏLÒVES EST COMPRIS ENTRE
ET POINTS ,A RELATION ENTRE LE CLIMAT DE DISCIPLINE TEL QUIL EST PER U PAR
LES ÏLÒVES ET LA PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT TEND Ì ÐTRE MOINS
MARQUÏE MAIS ELLE EST MANIFESTE DANS DE NOMBREUX PAYS
oLiʵÕiÊ`iÊLÀiÕÝÊ ,E MODE DACTION DE CES RELATIONS ET LES ÏVENTUELS FACTEURS CONTEXTUELS ET
v>VÌiÕÀÃÊVÌiÝÌÕiÃÊiÌÊ INTERMÏDIAIRES SUSCEPTIBLES DINFLUENCER CES RELATIONS SORTENT DU CADRE DU
ÌiÀj`>ÀiÃÊ«ÕÃÃiÌÊ PRÏSENT RAPPORT INITIAL )LS DOIVENT FAIRE LOBJET DE RECHERCHES ET DANALYSES PLUS
VÌÀLÕiÀÊDÊViÌÌiÊÀi>Ì° POUSSÏES
&ACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE DISCIPLINE ET IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS
iÊ*-Ê>Êj}>iiÌÊ ,ORS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! LES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT ÏGALEMENT
iÝ>jÊÃÊViÀÌ>ÃÊ ÏTÏ PRIÏS DE LIVRER LEURS IMPRESSIONS SUR LES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE
V«ÀÌiiÌÃÊiÌÊ DISCIPLINE QUI SONT IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS )L LEUR A PLUS PARTICULIÒREMENT
>ÌÌÌÕ`iÃÊ`iÃÊiÃi}>ÌÃÊ ÏTÏ DEMANDÏ DINDIQUER DANS QUELLE MESURE LAPPRENTISSAGE DES JEUNES ÏTAIT GÐNÏ
jÌ>iÌÊ«iÀXÕÃÊViÊ DANS LEUR ÏTABLISSEMENT PAR i LE NIVEAU TROP BAS DES ATTENTES DES ENSEIGNANTS w
}k>Ìʽ>««ÀiÌÃÃ>}io PAR i DES RELATIONS MÏDIOCRES ENTRE ÏLÒVES ET ENSEIGNANTS w PAR i LABSENTÏISME
DES ENSEIGNANTS w PAR i LA RÏSISTANCE AU CHANGEMENT DU PERSONNEL w ET PAR LE
FAIT QUE i LES ENSEIGNANTS NE RENCONTRENT PAS LES BESOINS INDIVIDUELS DES ÏLÒVES w
ET QUE i LES ÏLÒVES NE SONT PAS ENCOURAGÏS Ì DONNER LA PLEINE MESURE DE LEURS
CAPACITÏS w ,ES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT ÏTÏ COMBINÏES POUR
CONSTRUIRE UN INDICE COMPOSITE DE FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE DISCIPLINE ET
IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS ,ES VALEURS POSITIVES DE CET INDICE INDIQUENT QUE
LES CHEFS DÏTABLISSEMENT ESTIMENT QUE CES FACTEURS NE GÐNENT PAS LAPPRENTIS
SAGE DES ÏLÒVES OU QUILS LE TROUBLENT DANS UNE MOINDRE MESURE PAR RAPPORT
Ì LA MOYENNE DE L/#$% ° LINVERSE LES VALEURS NÏGATIVES MONTRENT QUE LES
CHEFS DÏTABLISSEMENT ESTIMENT QUE CERTAINS COMPORTEMENTS DES ENSEIGNANTS
ENTRAVENT DAVANTAGE LAPPRENTISSAGE QUE DANS LA MOYENNE DES PAYS DE L/#$%
0AR COMPARAISON AUX AUTRES PAYS LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DE LA &ÏDÏRATION DE
2USSIE DE 'RÒCE DU ,UXEMBOURG DU -EXIQUE ET DES 0AYS
"AS CONSIDÒRENT
QUE CE SONT DES FACTEURS IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS QUI ENTRAVENT LE PLUS
LAPPRENTISSAGE $AUTRE PART EN #ORÏE AU $ANEMARK EN (ONGRIE EN )SLANDE
EN ,ETTONIE ET EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE LE CLIMAT DE DISCIPLINE EST LE MOINS
TROUBLÏ PAR CES FACTEURS SELON LES CHEFS DÏTABLISSEMENT TABLEAU
oiÌÊ>ÊVVÕÊDÊÕiÊ %N TOUTE LOGIQUE LA RELATION ENTRE LA PERCEPTION DES CHEFS DÏTABLISSEMENT DES FACTEURS
Ài>ÌÊÌjÕiÊ>ÛiVÊ>Ê TROUBLANT LE CLIMAT DE DISCIPLINE ET IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS ET LA PERFORMANCE EN
«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛið COMPRÏHENSION DE LÏCRIT TEND Ì ÐTRE POSITIVE DANS LA PLUPART DES PAYS %N DAUTRES
TERMES PLUS CES FACTEURS SONT PRÏOCCUPANTS MOINS LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EN
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST BONNE &ORCE EST DE CONSTATER QUE LIMPORTANCE DE CETTE
RELATION NEST GUÒRE PRONONCÏE SAUF DANS QUELQUES RARES CAS VOIR TABLEAU
½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ #(!0)42%
}ÕÀiÊÇ°x
&ACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE DISCIPLINE ET IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS
2ÏPARTITION DES POURCENTAGES MOYENS DgÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏCOLES DONT LES CHEFS DgÏTABLISSEMENT ESTIMENT QUE
LgAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES EST GÐNÏ DANS UNE CERTAINE MESURE OU BEAUCOUP PAR LES FACTEURS SUIVANTS
-OYENNE DE Lg/#$% ERREUR TYPE
,E FAIT QUE LES ÏLÒVES NE SOIENT
PAS ENCOURAGÏS Ë DONNER LA
PLEINE MESURE DE LEURS CAPACITÏS
,A RÏSISTANCE AU CHANGEMENT
DU PERSONNEL
,gABSENTÏISME DES
ENSEIGNANTS
,ES ENSEIGNANTS QUI NE
RÏPONDENT PAS AUX BESOINS
INDIVIDUELS DES ÏLÒVES
$ES RELATIONS MÏDIOCRES ENTRE
ÏLÒVES ET ENSEIGNANTS
.OTE ,ES PAYS SONT SYMBOLISÏS PAR DES CARRÏS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE L/#$% 6OIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
/UTRE CES QUESTIONS RELATIVES AUX FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE DISCIPLINE ET iÃÊV
ivÃÊ`½jÌ>LÃÃiiÌÊ
IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS IL A ÏGALEMENT ÏTÏ DEMANDÏ AUX CHEFS DÏTABLISSE
ÌÊj}>iiÌÊjÌjÊ
MENT DE LIVRER LEUR SENTIMENT SUR LE MORAL ET LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS )LS ÌiÀÀ}jÃÊ>ÕÊÃÕiÌÊ`ÕÊ
ONT ÏTÏ PRIÏS DINDIQUER DANS QUELLE MESURE ILS ÏTAIENT DACCORD OU NON AVEC DES À>ÊiÌÊ`iʽi}>}iiÌÊ
AFFIRMATIONS TELLES QUE i LES ENSEIGNANTS PRENNENT LEUR TRAVAIL TRÒS Ì CUR w `iÃÊiÃi}>ÌÃo
i LES ENSEIGNANTS SONT FIERS DE CET ÏTABLISSEMENT w ET i LE MORAL EST TRÒS BON DANS
CET ÏTABLISSEMENT w 5N INDICE DE MORAL ET DENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS A ÏTÏ
ÏLABORÏ Ì PARTIR DE CES RÏPONSES DANS L/#$% LA VALEUR MOYENNE EST FIXÏE Ì
ZÏRO ,ES VALEURS SUPÏRIEURES INDIQUENT DES PERCEPTIONS PLUS POSITIVES DU MORAL
ET DE LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS
#EST L!UTRICHE QUI AFFICHE LA VALEUR LA PLUS ÏLEVÏE POUR CET INDICE SELON LES
CHEFS DÏTABLISSEMENT LE MORAL DES ENSEIGNANTS EST EXCELLENT ° LAUTRE EXTRÐME
LES VALEURS LES PLUS FAIBLES SONT ENREGISTRÏES EN #ORÏE EN )TALIE EN 0OLOGNE ET
AU 0ORTUGAL $ANS CES PAYS LES CHEFS DÏTABLISSEMENT ESTIMENT QUE LE MORAL ET
LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS SONT RELATIVEMENT FAIBLES TABLEAU
,A RELATION ENTRE LE MORAL ET LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS TELS QUILS SONT oiÌʽ>ÃÃV>ÌÊ>ÛiVÊ>Ê
PER US PAR LES CHEFS DÏTABLISSEMENT ET LES SCORES DES ÏLÒVES EN COMPRÏ
«iÀvÀ>ViÊÃiÊÀjÛmiÊ
HENSION DE LÏCRIT TEND Ì ÐTRE MODESTE MAIS ELLE EST PLUS MANIFESTE DANS `iÃÌi]ÊLiʵÕiÊ«ÕÃÊ
CERTAINS PAYS QUE DANS DAUTRES ° TITRE DEXEMPLE CITONS LA "ELGIQUE LE >vvÀjiÊ`>ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>Þð
*APON LE ,UXEMBOURG ET LA 0OLOGNE Oá LINDICE DE MORAL ET DENGAGEMENT DES
#(!0)42% ½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ
ENSEIGNANTS EXPLIQUE ENTRE ET POUR CENT DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE
EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET L!USTRALIE LA #ORÏE L%SPAGNE LA &ÏDÏRATION
DE 2USSIE LA (ONGRIE ET LE 2OYAUME
5NI Oá CET INDICE EXPLIQUE DE PLUS DE
POUR CENT DE LA VARIATION
,APPRENTISSAGE EN DEHORS DU CADRE SCOLAIRE
iÊÌi«ÃÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊ ,ES DÏCIDEURS DÏSIREUX DAMÏLIORER LE RENDEMENT DE LENSEIGNEMENT CHERCHENT Ì
`ÌÊkÌÀiÊÕÌÃjÊiÌÊÀj«>ÀÌÊ AUGMENTER LA DURÏE DES ACTIVITÏS DAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES OU Ì MIEUX EXPLOITER
ivvV>ViiÌ° LE TEMPS QUI LEUR EST IMPARTI ,E TEMPS DENSEIGNEMENT CEST
Ì
DIRE LE NOMBRE
DHEURES QUE LÏLÒVE CONSACRE Ì LAPPRENTISSAGE ORGANISÏ DÏPEND DE FACTEURS TELS
QUE LA TAILLE DE LA CLASSE LES HORAIRES DE TRAVAIL DES ENSEIGNANTS NOMBRE DHEURES
DENSEIGNEMENT ET LE RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT ,ÏQUILIBRE OPTIMAL ENTRE CES
FACTEURS VARIE SELON LES MATIÒRES ET SELON LES NIVEAUX DENSEIGNEMENT
iÃÊ`iÛÀÃÊiÌÊiÃÊ>ÕÌÀiÃÊ ,ES POLITIQUES ET PRATIQUES ADOPTÏES Ì LÏGARD DES DEVOIRS Ì DOMICILE INTERVIENNENT
vÀiÃÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊ ÏGALEMENT DANS CETTE ÏQUATION %LLES PEUVENT AVOIR UNE GRANDE INFLUENCE SUR
iÊ`i
ÀÃÊ`ÕÊV>`ÀiÊ LE TEMPS QUE LES ÏLÒVES CONSACRENT Ì LAPPRENTISSAGE $ANS DE NOMBREUX PAYS
ÃV>ÀiÊÕiÌÊÕÊÀiÊ DE L/#$% LES DEVOIRS REPRÏSENTENT UNE PART MAJEURE DU TEMPS DAPPREN
«ÀÌ>Ìo TISSAGE DES ÏLÒVES ,ORS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! LES ÏLÒVES ONT ÏTÏ
PRIÏS DINDIQUER COMBIEN DE TEMPS ILS CONSACRAIENT CHAQUE SEMAINE Ì FAIRE LEURS
DEVOIRS ET Ì ÏTUDIER POUR LES COURS DE LANGUE DU TEST DE MATHÏMATIQUES ET DE
SCIENCES FIGURE
o>ÛiVÊiÃÊ`iÛÀÃÊ ,EURS RÏPONSES Ì CETTE QUESTION ONT PERMIS DE CALCULER QUE HEURES ÏTAIENT EN
Ài«ÀjÃiÌ>ÌÊ«ÀmÃÊ`½ÕÊ MOYENNE CONSACRÏES UNIQUEMENT AUX TROIS MATIÒRES ÏVALUÏES DANS LE 0)3! ,E
ÌiÀÃÊ`ÕÊÌi«ÃÊ TEMPS DE DEVOIR EST COMPRIS ENTRE HEURES OU MOINS AU *APON ET EN 3UÒDE ET
`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊVÃ>VÀjÊ HEURES OU PLUS EN 'RÒCE ET EN (ONGRIE FIGURE #E CHIFFRE EST Ì COMPARER
>ÕÝÊ`>iÃÊ*-ÊDÊ Ì UNE MOYENNE DE HEURES DE COURS PAR SEMAINE PRÏVUES AU PROGRAMME POUR
½jVi° CES SUJETS /#$% $E PLUS UNE PROPORTION CONSIDÏRABLE DÏLÒVES ONT
DÏCLARÏ SUIVRE i PARFOIS w OU i RÏGULIÒREMENT w DES COURS COMPLÏMENTAIRES OU DE
RATTRAPAGE EN DEHORS DE LEUR ÏTABLISSEMENT DENSEIGNEMENT DANS LE BUT DAMÏLIORER
LEURS COMPÏTENCES %N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% POUR CENT DES
ÏLÒVES DÏCLARENT AVOIR i PARFOIS w OU i RÏGULIÒREMENT w SUIVI DES COURS EN LANGUE
DE LÏVALUATION EN DAUTRES MATIÒRES OU DES COURS SUPPLÏMENTAIRES EN DEHORS
DE LÏCOLE AU COURS DES TROIS DERNIÒRES ANNÏES %N #ORÏE ET AU *APON ILS SONT
RESPECTIVEMENT ET POUR CENT TABLEAU
*ÕÀÊ`vvjÀiÌiÃÊÀ>ÃÃ]Ê ,ES DEVOIRS OFFRENT Ì LÏLÒVE LA POSSIBILITÏ DE CONSACRER DAVANTAGE DE TEMPS Ì
iÃÊjmÛiÃʵÕÊVÃ>VÀiÌÊ LAPPRENTISSAGE )LS DEVRAIENT ÐTRE ASSOCIÏS DE MANIÒRE POSITIVE AU RENDEMENT
iÊ«ÕÃÊ`iÊÌi«ÃÊ>ÕÝÊ 4OUTEFOIS PLUSIEURS AUTRES FACTEURS COMPLIQUENT CETTE RELATION !INSI LES
`iÛÀÃÊiÊÃÌÊ«>ÃÊ ENSEIGNANTS TENDENT Ì DONNER DAVANTAGE DE DEVOIRS OU Ì EN DONNER PLUS RÏGULIÒ
ÌÕÕÀÃÊiÃÊjmÛiÃÊiÃÊ REMENT AUX ÏLÒVES QUI EN ONT LE PLUS BESOIN POUR AMÏLIORER LEURS PERFORMANCES
«ÕÃÊ«iÀvÀ>ÌÃo 0AR AILLEURS IL PEUT FALLOIR PLUS DE TEMPS AUX APPRENANTS LES MOINS RAPIDES
POUR FAIRE LEURS DEVOIRS %NFIN LES ÏLÒVES QUI DISENT CONSACRER RELATIVEMENT PEU
DE TEMPS Ì LEURS DEVOIRS PEUVENT ÐTRE SOIT DE i BONS w ÏLÒVES QUI ARRIVENT Ì
TERMINER LEURS DEVOIRS RAPIDEMENT SOIT DES ÏLÒVES DÏMOTIVÏS QUI NE PASSENT
GUÒRE DE TEMPS Ì SE LIVRER Ì DES ACTIVITÏS SCOLAIRES Ì LA MAISON
½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ #(!0)42%
}ÕÀiÊÇ°È
4EMPS CONSACRÏ AUX DEVOIRS
)NDICE DU TEMPS CONSACRÏ AUX DEVOIRS EN LANGUE DU TEST EN MATHÏMATIQUES ET EN SCIENCES
%STIMATION DU NOMBRE DgHEURES MOYEN CONSACRÏES AUX
DEVOIRS POUR LES COURS DE LANGUE DU TEST DE
MATHÏMATIQUES ET DE SCIENCES
'RÒCE
(ONGRIE
2OYAUME 5NI
%SPAGNE
0OLOGNE
-EXIQUE
)TALIE
)RLANDE
0ORTUGAL
&RANCE
#ANADA
.OUVELLE :ÏLANDE
!USTRALIE
)NFÏRIEUR 3UPÏRIEUR
$ANEMARK Ë LA MOYENNE
/#$%
Ë LA MOYENNE
/#$%
)SLANDE
!LLEMAGNE
³TATS 5NIS
.ORVÒGE
"ELGIQUE
#ORÏE
3UISSE
,UXEMBOURG
&INLANDE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
3UÒDE
!UTRICHE
*APON
&ÏDÏRATION DE 2USSIE M
,ETTONIE M
"RÏSIL
,IECHTENSTEIN M
0AYS "AS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR ASSURER LA COMPARABILITÏ DES DONNÏES VOIR ANNEXE !
.OTE 0OUR UNE DÏFINITION DE LgINDICE VOIR LgANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
#(!0)42% ½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ
oLiʵսiÊÞii]Ê "IEN QUE LES FACETTES DE CETTE RELATION SOIENT NOMBREUSES LA CORRÏLATION ENTRE LE
ÃÊÀj>ÃiÌÊ`iÊiiÕÀiÃÊ TEMPS CONSACRÏ AUX DEVOIRS DANS LES TROIS MATIÒRES ET LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
«iÀvÀ>ViÃo TEND Ì ÐTRE SYSTÏMATIQUEMENT POSITIVE 0OUR PROCÏDER Ì LANALYSE TECHNIQUE DE
CETTE CORRÏLATION IL EST PRÏFÏRABLE DE CONSTRUIRE UN INDICE SIMILAIRE Ì CEUX UTILISÏS
PLUS HAUT DANS CE CHAPITRE QUI COMBINE LES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì PROPOS DU TEMPS
CONSACRÏ AUX DEVOIRS DANS LES MATIÒRES AFFÏRENTES AUX TROIS DOMAINES DÏVALUATION
DU 0)3! #ET INDICE EST PRÏSENTÏ DANS LE TABLEAU ET LA FIGURE
oiÊ«>ÀÌVÕiÀÊ`>ÃÊiÃÊ ,INDICE DE DEVOIR EXPLIQUE ENTRE ET POUR CENT DE LA VARIATION DE LA
«>ÞÃÊÙÊiÊÌi«ÃÊ`iÊ PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EN !USTRALIE EN "ELGIQUE EN %SPAGNE
`iÛÀÃÊÞiÊiÃÌÊ AUX ³TATS
5NIS EN &ÏDÏRATION DE 2USSIE EN &RANCE EN 'RÒCE EN (ONGRIE EN
V«>À>ÌÛiiÌÊjiÛj° )TALIE EN 0OLOGNE ET AU 2OYAUME
5NI ,A CORRÏLATION TEND Ì ÐTRE PLUS MARQUÏE
DANS LES PAYS Oá LA VALEUR MOYENNE DE LINDICE EST SUPÏRIEURE Ì #E CONSTAT
SUGGÒRE QUIL FAUT PEUT
ÐTRE ATTEINDRE UN CERTAIN VOLUME DE DEVOIRS POUR QUE DES
EFFETS POSITIFS SOIENT RESSENTIS
>ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃ]Ê>ÃÊ #ERTAINS REPROCHENT AUX DEVOIRS DACCENTUER LES DISPARITÏS DE PERFORMANCE
«>ÃÊ`>ÃÊÌÕÃ]ÊiÃÊ SUSCITÏES PAR DES FACTEURS LIÏS AU MILIEU FAMILIAL #ETTE OBJECTION EST FONDÏE
iv>ÌÃÊÃÃÕÃÊ`iÊv>iÃÊ DANS CERTAINS PAYS TELS QUE LA "ELGIQUE LA #ORÏE LA 'RÒCE LA (ONGRIE ET LE
«ÕÃÊv>ÛÀÃjiÃÊ 2OYAUME
5NI Oá LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE DE STATUT PROFESSIONNEL EXPLIQUE
VÃ>VÀiÌÊ«ÕÃÊ`iÊÌi«ÃÊ POUR CENT OU PLUS DE LA VARIATION DE LINDICE DE DEVOIR %N REVANCHE DANS
iÊÞiiÊ>ÕÝÊ`iÛÀð DAUTRES PAYS L)TALIE ET LA 0OLOGNE PAR EXEMPLE LA RELATION ENTRE LINDICE
0)3! DE DEVOIR ET LA PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST POSITIVE ,A
RELATION ENTRE CET INDICE ET LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE DE STATUT PROFESSIONNEL Y
EST PRATIQUEMENT INEXISTANTE #E CONSTAT SUGGÒRE QUIL EST POSSIBLE DE DONNER
DES DEVOIRS DE MANIÒRE Ì IMPLIQUER TOUT AUTANT LES ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX SOCIO
ÏCONOMIQUEMENT DÏFAVORISÏS VOIR LE TABLEAU ET LANNEXE !
2ESSOURCES INVESTIES DANS LENSEIGNEMENT
0ÏNURIE DENSEIGNANTS
iÃÊ«>ÞÃÊÃÌÊ«ÀjVVÕ«jÃÊ 2ECRUTER ET GARDER UN PERSONNEL ENSEIGNANT HAUTEMENT QUALIFIÏ EST UNE PRÏ
«>ÀÊ>Ê«jÕÀiÊ OCCUPATION POLITIQUE MAJEURE DES PAYS DE L/#$% $ANS DE NOMBREUX PAYS
`½iÃi}>ÌÃʵÕ>vjÃo LA DEMANDE DENSEIGNANTS AUGMENTE SANS CESSE SOUS LEFFET NOTAMMENT DU
VIEILLISSEMENT DES ENSEIGNANTS ET DE LACCROISSEMENT DU TAUX DE SCOLARISATION %N
MÐME TEMPS DANS CERTAINS PAYS CEUX QUI ENVISAGENT DEMBRASSER LA CARRIÒRE
DENSEIGNANT SE RAVISENT PARFOIS CAR ILS ESTIMENT QUE LA PROFESSION EST TROP
STRESSANTE QUELLE EST MAL CONSIDÏRÏE ET QUE LES SALAIRES QUI Y SONT ASSOCIÏS
SONT FAIBLES PAR RAPPORT Ì CEUX DAUTRES PROFESSIONS EXIGEANT DES QUALIFICATIONS
COMPARABLES /#$%
o>ÕÃÃÊiÊ*-Ê>ÌÊ ,E QUESTIONNAIRE i ÏTABLISSEMENT w DU 0)3! A PERMIS DE RECUEILLIR LE POINT DE
`i>`jÊ>ÕÝÊV
ivÃÊ VUE DES CHEFS DÏTABLISSEMENT Ì LÏGARD DE LADÏQUATION DE LOFFRE DENSEIGNANTS
`½jÌ>LÃÃiiÌÊ`>ÃÊ ET DE MESURER LIMPACT DE LA PÏNURIE DENSEIGNANTS TELLE QUELLE EST PER UE PAR
µÕiiÊiÃÕÀiÊÕiÊ LES CHEFS DÏTABLISSEMENT SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES 3UR BASE DES RÏPONSES
«jÕÀiÊ`½iÃi}>ÌÃÊ DES CHEFS DÏTABLISSEMENT Ì QUATRE QUESTIONS PORTANT SUR LA MESURE DANS LAQUELLE
}k>ÌʽiÃi}iiÌ° LA PÏNURIE OU LINADÏQUATION DES ENSEIGNANTS GÐNE LAPPRENTISSAGE DES JEUNES DE
½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ #(!0)42%
ANS UN INDICE PERMETTANT DE MESURER LIMPACT DE CE FACTEUR SUR LAPPRENTISSAGE
DES ÏLÒVES A ÏTÏ CONSTRUIT 3A VALEUR MOYENNE EST DE ZÏRO DANS TOUS LES PAYS DE
L/#$% 0LUS SA VALEUR EST ÏLEVÏE PLUS LADÏQUATION DE LOFFRE DENSEIGNANTS EST
GRANDE DU MOINS AUX DIRES DES CHEFS DÏTABLISSEMENT ,ES VALEURS INFÏRIEURES Ì ZÏRO
INDIQUENT QUE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT JUGENT QUE LA PÏNURIE OU LINADÏQUATION
DES ENSEIGNANTS GÐNENT PLUS LAPPRENTISSAGE DES JEUNES DE ANS QUE NE LESTIMENT
EN MOYENNE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DE L/#$%
0ARMI TOUS LES PAYS QUI ONT PARTICIPÏ AU CYCLE DÏVALUATION 0)3! CEST EN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE ET EN 'RÒCE QUE LA PÏNURIE OU LINADÏQUATION DES
ENSEIGNANTS GÐNE LE PLUS LAPPRENTISSAGE SELON LES CHEFS DÏTABLISSEMENT #E
FACTEUR INQUIÒTE ÏGALEMENT BEAUCOUP LES CHEFS DÏTABLISSEMENT EN )SLANDE AU
-EXIQUE AUX 0AYS
"AS ET AU 2OYAUME
5NI #EST EN !UTRICHE EN %SPAGNE ET EN
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE QUE LA PÏNURIE OU LINADÏQUATION DES ENSEIGNANTS ENTRAVE LE
MOINS LAPPRENTISSAGE AUX YEUX DES CHEFS DÏTABLISSEMENT TABLEAU
,ORS DE LINTERPRÏTATION DE CES RÏPONSES IL CONVIENT DE GARDER Ì LESPRIT LE FAIT
QUE LINSUFFISANCE DENSEIGNANTS QUALIFIÏS NA PAS ÏTÏ MESURÏE Ì LAIDE DUNE
UNITÏ DE MESURE COMPARABLE Ì LÏCHELLE INTERNATIONALE n COMME LE NOMBRE
DÏLÒVES PAR ENSEIGNANT n MAIS QUELLE A ÏTÏ ÏVALUÏE EN TANT QUOBSTACLE Ì
LAPPRENTISSAGE SELON LES PERCEPTIONS DES CHEFS DÏTABLISSEMENT #ETTE APPROCHE
EXPLIQUE QUE CERTAINS DES PAYS NOTAMMENT LA 'RÒCE L)TALIE ET LA .ORVÒGE
DANS LESQUELS LES CHEFS DÏTABLISSEMENT SONT PARTICULIÒREMENT PRÏOCCUPÏS PAR
LIMPACT NÏGATIF DE LA SITUATION DE LOFFRE DENSEIGNANTS SUR LAPPRENTISSAGE DES
ÏLÒVES FIGURENT PARMI CEUX QUI PRÏSENTENT LE RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT LE
MOINS ÏLEVÏ DES PAYS DE L/#$% /#$%
$ANS LENSEMBLE IL EXISTE UNE RELATION NÏGATIVE PEU MARQUÏE ENTRE LA PÏNURIE >ÃʽiÃiLi]ÊiÃÊ
DENSEIGNANTS ET LA PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT %N TOUTE «iÀvÀ>ViÃÊ`iÃÊjmÛiÃÊ
LOGIQUE PLUS LA PÏNURIE DENSEIGNANT EST JUGÏE PRÏOCCUPANTE PAR LES CHEFS ÃÌʵÕiµÕiÊ«iÕÊ
DÏTABLISSEMENT PLUS LA PERFORMANCE DIMINUE ,ES SCORES LES PLUS ÏLEVÏS EN vjÀiÕÀiÃÊ`>ÃÊiÃÊ
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SONT ENREGISTRÏS DANS LE QUARTILE SUPÏRIEUR DE CET jÌ>LÃÃiiÌÃÊÙÊ>Ê
INDICE PLUS LA VALEUR DE LINDICE EST ÏLEVÏE MOINS LA PÏNURIE OU LINADÏQUATION «jÕÀiÊ`½iÃi}>ÌÃÊiÃÌÊ
DES ENSEIGNANTS EST JUGÏE PRÏOCCUPANTE «ÕÃÊ>ÀµÕjio
%N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% LÏCART ENTRE LES SCORES MOYENS DES oLiʵÕiÊViÌÊjV>ÀÌÊÃÌÊ
QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR DE LINDICE DE PÏNURIE DENSEIGNANTS EST DE >viÃÌiÊ`>ÃÊViÀÌ>ÃÊ
POINTS MAIS IL VARIE GRANDEMENT SELON LES PAYS $ANS PLUSIEURS PAYS LES SCORES «>ÞÃÊiÌÊ>LÃiÌÊ`>ÃÊ
MOYENS EN LECTURE CHUTENT DE POINTS OU PLUS EN !UTRICHE "ELGIQUE 0OLOGNE `½>ÕÌÀiÃo
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE ET 2OYAUME 5NI #ETTE TENDANCE SOBSERVE PARTICULIÒREMENT
EN !LLEMAGNE POINTS ENTRE LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR DE LINDICE
DE PÏNURIE DENSEIGNANTS TABLEAU %N REVANCHE LÏCART ENTRE LES QUARTILES
SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR NEST PAS STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF EN &ÏDÏRATION DE
2USSIE EN 'RÒCE EN )RLANDE EN )TALIE AU ,UXEMBOURG AU -EXIQUE EN .ORVÒGE
ET AUX 0AYS "AS BIEN QUE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DE CES PAYS ESTIMENT MANQUER
DENSEIGNANTS
#(!0)42% ½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ
oiÌÊiÃÊ«jÕÀiÃÊ %N !USTRALIE EN )SLANDE EN )RLANDE AU *APON EN .ORVÒGE EN .OUVELLE
`½iÃi}>ÌÃʽi«kV
iÌÊ :ÏLANDE AU 2OYAUME
5NI ET EN 3UÒDE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT SE DISENT
«>ÃÊvÀVjiÌÊiÃÊjmÛiÃÊ DAVANTAGE PRÏOCCUPÏS PAR LA PÏNURIE DES ENSEIGNANTS QUE LA MOYENNE DES CHEFS
`iÊÀj>ÃiÀÊ`iÊLiÃÊ DÏTABLISSEMENT DE L/#$% 0OURTANT DANS TOUS CES PAYS LE SCORE MOYEN DU
«iÀvÀ>ViÃÊ«>ÀÊÀ>««ÀÌÊDÊ QUARTILE DES ÏLÒVES QUI FRÏQUENTENT DES ÏTABLISSEMENTS Oá LES DIFFICULTÏS SONT
>ÊÞiiÊÌiÀ>Ì>i° JUGÏES LES PLUS GRAVES Ì CET ÏGARD RESTE PROCHE OU SUPÏRIEUR AU SCORE MOYEN DE
L/#$% EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
,A QUALITÏ DES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES ET DES RESSOURCES ÏDUCATIVES
DES ÏTABLISSEMENTS
iÃÊL@ÌiÌÃÊÃV>ÀiÃ]Ê ,A PRÏSENCE DINFRASTRUCTURES MATÏRIELLES ADÏQUATES ET DUNE GAMME ADAPTÏE
iÃÊÛÀiÃÊiÌÊ`½>ÕÌÀiÃÊ DE RESSOURCES ÏDUCATIVES NEST PAS NÏCESSAIREMENT LE GAGE DUNE PERFORMANCE
ÀiÃÃÕÀViÃÊVÌÀLÕiÌÊDÊ ÏLEVÏE MAIS LABSENCE DE CET ENVIRONNEMENT FAVORABLE PEUT RÏELLEMENT AFFECTER
VÀjiÀÊÕÊiÛÀiiÌÊ LAPPRENTISSAGE $ES BÊTIMENTS EN BON ÏTAT UN NOMBRE SUFFISANT DE LOCAUX
`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊ«ÕÃÊ DESTINÏS Ì LENSEIGNEMENT ETC CONTRIBUENT Ì CRÏER UN ENVIRONNEMENT MATÏRIEL
«À«Vio PROPICE Ì LAPPRENTISSAGE )L EN VA DE MÐME POUR LES RESSOURCES ÏDUCATIVES
NOTAMMENT LES ORDINATEURS LA BIBLIOTHÒQUE LES OUTILS DIDACTIQUES LES MANUELS
PAR EXEMPLE ET LES ÏQUIPEMENTS MULTIMÏDIAS DESTINÏS Ì LENSEIGNEMENT
oiÌÊÊ>ÊjÌjÊ`i>`jÊ $EUX INDICES COMPOSITES ONT ÏTÏ CONSTRUITS SUR LA BASE DES RÏPONSES DES CHEFS
>ÕÝÊV
ivÃÊ`½jÌ>LÃÃiiÌÊ DÏTABLISSEMENT Ì DES QUESTIONS PORTANT SUR LA MESURE DANS LAQUELLE LAPPRENTISSAGE
ÃÊiÊ>µÕiÊ DES JEUNES DE ANS EST GÐNÏ PAR LES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES ET LES RESSOURCES
`½vÀ>ÃÌÀÕVÌÕÀiÃÊ ÏDUCATIVES ,UN A TRAIT Ì LA QUALITÏ DES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES ET LAUTRE Ì LA
>ÌjÀiiÃÊiÌÊ`iÊ QUALITÏ DES RESSOURCES ÏDUCATIVES 4OUS DEUX SONT BASÏS SUR LES PERCEPTIONS DES
ÀiÃÃÕÀViÃÊj`ÕV>ÌÛiÃÊ CHEFS DÏTABLISSEMENT ° LINSTAR DES AUTRES INDICES PRÏSENTÏS DANS CE CHAPITRE LEUR
}k>Ìʽ>««ÀiÌÃÃ>}i° VALEUR MOYENNE EST DE ZÏRO ET LEUR ÏCART TYPE DE DANS LES PAYS DE L/#$% $ES
VALEURS POSITIVES INDIQUENT QUE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DÏCLARENT MOINS SOUVENT
QUEN MOYENNE DANS L/#$% QUE LES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES ET LES RESSOURCES
ÏDUCATIVES GÐNENT LAPPRENTISSAGE DES JEUNES DE ANS
%N (ONGRIE EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE ET EN 3UISSE PEU DE CHEFS DÏTABLISSEMENT
DÏCLARENT QUE LA QUALITÏ DES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES ET DES RESSOURCES ÏDUCATIVES
GÐNE LAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES QUI FRÏQUENTENT LEUR ÏTABLISSEMENT TABLEAU
)LS SONT PEU NOMBREUX ÏGALEMENT EN "ELGIQUE AU "RÏSIL AU #ANADA ET EN )SLANDE
%N REVANCHE EN #ORÏE EN &ÏDÏRATION DE 2USSIE EN 'RÒCE AU ,UXEMBOURG AU
-EXIQUE EN .ORVÒGE ET AU 2OYAUME 5NI LES CHEFS DÏTABLISSEMENT SE DISENT
TRÒS PRÏOCCUPÏS PAR LES CONSÏQUENCES POUR LAPPRENTISSAGE DE LINSUFFISANCE
DES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES %N DAUTRES TERMES ILS SINQUIÒTENT DAVANTAGE
Ì CET ÏGARD QUE NE LE FONT EN MOYENNE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DE L/#$%
FIGURE
½vÀ>ÃÌÀÕVÌÕÀiÊ %N "ELGIQUE AUX ³TATS 5NIS EN (ONGRIE ET EN 3UISSE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT
>ÌjÀiiÊiÃÌ]Ê>ÕÊiÕÝ]Ê DÏCLARENT MOINS SOUVENT QUE LEURS HOMOLOGUES DANS DAUTRES PAYS QUE LA
v>LiiÌÊ>ÃÃVjiÊDÊ>Ê QUALITÏ DES RESSOURCES ÏDUCATIVES GÐNE LAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES TABLEAU
«iÀvÀ>Vio %N REVANCHE EN &ÏDÏRATION DE 2USSIE EN 'RÒCE EN ,ETTONIE AU -EXIQUE
EN .ORVÒGE ET AU 2OYAUME 5NI LES CHEFS DÏTABLISSEMENT SE DISENT PLUS
½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ #(!0)42%
}ÕÀiÊÇ°Ç
0OINT DE VUE DES CHEFS DgÏTABLISSEMENT SUR LA QUALITÏ DES RESSOURCES ÏDUCATIVES DE LgÏTABLISSEMENT
2ÏPARTITION DES POURCENTAGES MOYENS DgÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏCOLES DONT LES CHEFS DgÏTABLISSEMENT ESTIMENT QUE
LgAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES EST GÐNÏ DANS UNE CERTAINE MESURE OU BEAUCOUP PAR LES FACTEURS SUIVANTS
-OYENNE DE Lg/#$% ERREUR TYPE
,gINADÏQUATION DES ATELIERS
DgARTS PLASTIQUES
,gINADÏQUATION DE
LgÏQUIPEMENT DANS LES
LABORATOIRES DE SCIENCES
,E MANQUE DgÏQUIPEMENTS
MULTIMÏDIA DESTINÏS Ë
LgENSEIGNEMENT
,E MANQUE DE MATÏRIEL
DIDACTIQUE Ë LA BIBLIOTHÒQUE
,E MANQUE DgORDINATEURS
DISPONIBLES Ë DES FINS
DIDACTIQUES
,E MANQUE DE
MATÏRIEL PÏDAGOGIQUE
EX MANUELS SCOLAIRES
.OTE ,ES PAYS SONT SYMBOLISÏS PAR DES CARRÏS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE L/#$% 6OIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
PRÏOCCUPÏS PAR LINADÏQUATION DES RESSOURCES ÏDUCATIVES DE LEUR ÏCOLE QUE NE LE
SONT EN MOYENNE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DE L/#$%
,A VARIATION DES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES SE REFLÒTE
T
ELLE DANS LA PERFORMANCE
DES ÏLÒVES $ES ÏCARTS DE SCORE SONT OBSERVÏS EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
ENTRE LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR DE LINDICE DE QUALITÏ DES INFRASTRUCTU
RES MATÏRIELLES DANS CERTAINS PAYS MAIS LA PLUPART DES DIFFÏRENCES SONT FAIBLES ET
NE SONT PAS STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES
,ES RESSOURCES ÏDUCATIVES SEMBLENT PLUS ÏTROITEMENT ASSOCIÏES Ì LA PERFORMANCE o>ÀÃʵÕiÊ>Ê
QUE NE LE SONT LES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES $ANS PAYS DE L/#$% ET VÀÀj>ÌÊ>ÛiVÊiÃÊ
AU "RÏSIL LES DIFFÏRENCES EN MATIÒRE DE RESSOURCES ÏDUCATIVES ENTRAÔNENT UNE ÀiÃÃÕÀViÃÊj`ÕV>ÌÛiÃÊiÃÌÊ
VARIATION DE PLUS DE POINTS DE LA PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT «ÕÃÊ>vvÀji°
,ES ÏCARTS LES PLUS IMPORTANTS ENTRE LES QUARTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR DE
LINDICE DE RESSOURCES ÏDUCATIVES SONT ENREGISTRÏS AU -EXIQUE POINTS AU
,UXEMBOURG POINTS EN !LLEMAGNE POINTS AU "RÏSIL POINTS ET
AU 2OYAUME
5NI POINTS %N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% LÏCART
REPRÏSENTE QUELQUE POINTS
#(!0)42% ½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ
!PPROCHES DE LA GESTION ET DU FINANCEMENT DES ÏTABLISSEMENTS
!UTONOMIE DES ÏTABLISSEMENTS ET PARTICIPATION DES ENSEIGNANTS
iÊ*-Ê>ÊÀiVÕiÊ>Õ«ÀmÃÊ ,A DÏCENTRALISATION DE LA PRISE DE DÏCISION FIGURE PARMI LES PRINCIPAUX OBJECTIFS DU
`iÃÊV
ivÃÊ`½jÌ>LÃÃiiÌÊ PROCESSUS DE RESTRUCTURATION ET DE RÏFORME SYSTÏMIQUE DU SYSTÒME DENSEIGNEMENT
ÕÊjÌ>ÌÊ`iÃÊiÕÝÊ`iÊ LANCÏ PAR DE NOMBREUX PAYS DEPUIS LE DÏBUT DES ANNÏES %N EFFET LA DÏCENTRALISATION
`ÛiÀÃiÃÊÀiëÃ>LÌjÃÊ DE LA GESTION DES ÏTABLISSEMENTS EST SUPPOSÏE AMÏLIORER LA CRÏATIVITÏ ET LADAPTATION
iÊ>ÌmÀiÊ`iÊ}iÃÌÊiÌÊ AUX BESOINS DE LA COMMUNAUTÏ #ETTE ORIENTATION IMPLIQUE DE CONFÏRER DAVANTAGE
`½>`ÃÌÀ>ÌÊ`iÊiÕÀÃÊ DE RESPONSABILITÏS AUX CHEFS DÏTABLISSEMENT EN MATIÒRE DE PRISE DE DÏCISION VOIRE
jÌ>LÃÃiiÌð DE DÏLÏGUER Ì DES ENSEIGNANTS OU Ì DES CHEFS DE DÏPARTEMENT DES RESPONSABILITÏS
EN MATIÒRE DE GESTION ,AUTONOMIE DES ÏTABLISSEMENTS PEUT CERTES STIMULER LEUR
RÏACTIVITÏ AUX BESOINS LOCAUX MAIS ELLE PEUT ÏGALEMENT CRÏER DES MÏCANISMES DE
DÏCISION QUI FAVORISENT DES GROUPES DÏJÌ PRIVILÏGIÏS DE LA SOCIÏTÏ
,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT ÏTÏ PRIÏS DINDIQUER Ì QUI n DES ENSEIGNANTS DES SOUS
DIRECTEURSDIRECTEURS ADJOINTSPROVISEURS DU CHEF DÏTABLISSEMENT DU CONSEIL DE
DIRECTION NOMMÏ OU ÏLU OU DE PLUS HAUTES AUTORITÏS CHARGÏES DE LENSEIGNEMENT n
INCOMBAIENT PRINCIPALEMENT LES RESPONSABILITÏS SUIVANTES ENGAGER OU CONGÏDIER LES
ENSEIGNANTS DÏTERMINER LEUR SALAIRE INITIAL ET LES AUGMENTER ÏTABLIR LE BUDGET DE LÏTA
BLISSEMENT ET EN DÏCIDER LA VENTILATION AU SEIN DE LÏTABLISSEMENT DÏFINIR LE RÒGLEMENT
INTÏRIEUR POUR LES ÏLÒVES DÏFINIR LES POLITIQUES DÏVALUATION DES ÏLÒVES DÏCIDER DE
LADMISSION DES ÏLÒVES DANS LÏTABLISSEMENT CHOISIR LES MANUELS Ì UTILISER DÏTERMINER
LE CONTENU DES COURS ET DÏCIDER QUELS COURS DOIVENT ÐTRE PROPOSÏS ,EURS RÏPONSES ONT
PERMIS DÏVALUER DANS QUELLE MESURE LE PERSONNEL INTERVIENT DANS LES DÏCISIONS LIÏES Ì
LA POLITIQUE ET Ì LA GESTION DES ÏTABLISSEMENTS FIGURE
,E TABLEAU INDIQUE LE POURCENTAGE DÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏTABLISSE
MENTS DONT LES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT AU MOINS UNE PART DE RESPONSABILITÏ
CONCERNANT CERTAINS ASPECTS DE LA GESTION DE CELUI
CI POUR DES DONNÏES PAR
PAYS VOIR WWWPISAOECDORG
>ÃÊ>Ê«Õ«>ÀÌÊ`iÃÊ«>ÞÃ]Ê #ONTRAIREMENT AUX ENTREPRISES DU SECTEUR PRIVÏ LES ÏTABLISSEMENTS DE LA PLUPART DES
iÃÊjÌ>LÃÃiiÌÃÊ PAYS NONT GUÒRE VOIX AU CHAPITRE LORSQUIL SAGIT DE FIXER LE SALAIRE INITIAL DES ENSEI
½ÌiÀÛiiÌÊ«>ÃÊ«ÕÀÊ GNANTS $ANS TOUS LES PAYS SAUF LES ³TATS
5NIS LA 'RÒCE LES 0AYS
"AS LA 2ÏPUBLIQUE
vÝiÀÊiÊÃ>>ÀiÊÌ>Ê`iÃÊ TCHÒQUE ET LE 2OYAUME
5NI DEUX TIERS AU MOINS DES ÏLÒVES DE ANS FRÏQUENTENT
iÃi}>ÌÃo DES ÏTABLISSEMENTS QUI SELON LES CHEFS DÏTABLISSEMENT NINTERVIENNENT EN RIEN DANS LA
FIXATION DU TRAITEMENT DE DÏPART DES ENSEIGNANTS $E MÐME LES ÏTABLISSEMENTS NONT
GUÒRE DE MARGE POUR REVOIR Ì LA HAUSSE LE TRAITEMENT DES ENSEIGNANTS APRÒS LEUR RECRU
TEMENT $ANS QUELQUES PAYS SEULEMENT PLUS DE DEUX TIERS DES ÏLÒVES SONT INSCRITS DANS
DES ÏTABLISSEMENTS QUI PARTICIPENT DANS UNE CERTAINE MESURE Ì LA FIXATION DES AUGMEN
TATIONS SALARIALES DES ENSEIGNANTS )L SAGIT DES ³TATS
5NIS DE LA 'RÒCE DE LA 2ÏPUBLIQUE
TCHÒQUE DU 2OYAUME
5NI ET DE LA 3UÒDE
,ES ÏTABLISSEMENTS SEMBLENT JOUIR DUNE PLUS GRANDE LIBERTÏ POUR ENGAGER ET
LICENCIER DES ENSEIGNANTS ,!LLEMAGNE ET L)TALIE SONT LES DEUX SEULS PAYS DANS
LESQUELS POUR CENT AU MOINS DES ÏLÒVES FRÏQUENTENT DES ÏTABLISSEMENTS
QUI SELON LES CHEFS DÏTABLISSEMENT NINTERVIENNENT EN RIEN DANS LENGAGE
MENT ET LE LICENCIEMENT DES ENSEIGNANTS ° LAUTRE EXTRÐME EN "ELGIQUE AU
½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ #(!0)42%
}ÕÀiÊÇ°n
!UTONOMIE DE LgÏTABLISSEMENT ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES
2ÏPARTITION DES POURCENTAGES MOYENS DgÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏCOLES DONT LES CHEFS DgÏTABLISSEMENTS ONT DÏCLARÏ QUgAU MOINS UNE
PART DE RESPONSABILITÏ POUR LES ASPECTS SUIVANTS DE LA POLITIQUE ET DE LA GESTION DE LgÏTABLISSEMENT INCOMBAIT Ì LgÏCOLE
-OYENNE DE Lg/#$% ERREUR TYPE
$ÏCIDER QUELS COURS DOIVENT
ÐTRE PROPOSÏS
$ÏTERMINER LE CONTENU DES
COURS
#HOISIR LES MANUELS Ë UTILISER
$ÏCIDER DE LgADMISSION DES
ÏLÒVES DANS LgÏTABLISSEMENT
$ÏFINIR LES POLITIQUES
DgÏVALUATION DES ÏLÒVES
$ÏFINIR LE RÒGLEMENT INTÏRIEUR
POUR LES ÏLÒVES
$ÏCIDER DE LA VENTILATION DU
BUDGET DANS LgÏTABLISSEMENT
²TABLIR LE BUDGET DE
LgÏTABLISSEMENT
$ÏTERMINER LES AUGMENTATIONS
DE SALAIRE DES ENSEIGNANTS
$ÏTERMINER LE SALAIRE INITIAL
DES ENSEIGNANTS
#ONGÏDIER LES ENSEIGNANTS
%NGAGER LES ENSEIGNANTS
.OTE ,ES PAYS SONT SYMBOLISÏS PAR DES CARRÏS
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 6OIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
#(!0)42% ½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ
oÌ>`ÃʵÕiÊLÊ $ANEMARK AUX ³TATS 5NIS EN )SLANDE EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE AU 2OYAUME
LÀiÊ`½iÌÀiÊiÕÝÊÌÊ 5NI EN 3UÒDE ET EN 3UISSE ENTRE ET POUR CENT DES ÏLÒVES SONT INSCRITS DANS
iÕÀÊÌÊDÊ`ÀiÊÀÃµÕ½Ê DES ÏTABLISSEMENTS QUI PARTICIPENT DANS UNE CERTAINE MESURE Ì LENGAGEMENT DES
ý>}ÌÊ`½i}>}iÀÊÕÊ`iÊ ENSEIGNANTS MOYENNE DE L/#$% POUR CENT $ANS LA PLUPART DES PAYS
V}j`iÀÊ`iÃÊ LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DISENT QUE LEUR ÏTABLISSEMENT ONT PLUS DE LATITUDE
iÃi}>Ìð POUR LE RECRUTEMENT DES ENSEIGNANTS QUE POUR LES LICENCIEMENTS ,ES ÏCARTS LES
PLUS IMPORTANTS SOBSERVENT AU #ANADA ET AU $ANEMARK ET POUR CENT
RESPECTIVEMENT %N "ELGIQUE AUX ³TATS 5NIS DANS LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE
EN (ONGRIE EN )SLANDE EN ,ETTONIE EN .OUVELLE :ÏLANDE AUX 0AYS "AS ET EN
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE PLUS DE POUR CENT DES ÏLÒVES SONT INSCRITS DANS DES
ÏTABLISSEMENTS DONT LES CHEFS DISENT AVOIR VOIX AU CHAPITRE LORSQUIL SAGIT DE
LICENCIER DES ENSEIGNANTS MOYENNE DE L/#$% POUR CENT
"ÊLÃiÀÛiÊÕiÊ«ÕÃÊ ,ES PAYS SE DISTINGUENT ÏGALEMENT PAR LIMPORTANCE DES RESPONSABILITÏS BUDGÏTAIRES
vÀÌiÊÛ>À>ÌÊiÊ CONFIÏES AUX ÏTABLISSEMENTS #EST EN !LLEMAGNE ET EN !UTRICHE QUE LES ÏTABLIS
>ÌmÀiÊ`iÊvÀÕ>ÌÊ SEMENTS INTERVIENNENT LE MOINS DANS LA PRÏPARATION DU BUDGET %N !USTRALIE
iÌÊ`½>vviVÌ>ÌÊ`iÃÊ EN "ELGIQUE AUX ³TATS
5NIS EN )TALIE AU ,UXEMBOURG EN .OUVELLE
:ÏLANDE
LÕ`}iÌÃÊ«>ÀÊiÌÊ>ÕÊÃiÊ`iÊ AUX 0AYS
"AS ET AU 2OYAUME
5NI LES ÏTABLISSEMENTS JOUISSENT DUNE LIBERTÏ
½jÌ>LÃÃiiÌ° RELATIVEMENT GRANDE Ì CET ÏGARD ,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT DE LA PLUPART DES PAYS
DÏCLARENT PARTICIPER ACTIVEMENT AUX DÏCISIONS PORTANT SUR LAFFECTATION DU BUDGET
AU SEIN DE LEUR ÏTABLISSEMENT MOYENNE DE L/#$% POUR CENT
>Ê«Õ«>ÀÌÊ`iÃÊjÌ>LÃÃiiÌÃÊ $ANS TOUS LES PAYS DE L/#$% LES ÏLÒVES DE ANS SONT EN MAJORITÏ INSCRITS DANS
ÌÊÕÊViÀÌ>Ê«ÕÛÀÊ`>ÃÊiÊ DES ÏTABLISSEMENTS QUI ONT UN CERTAIN POUVOIR DANS LE DOMAINE DES ADMISSIONS
`>iÊ`iÃÊ>`ÃÃÃo MOYENNE DE L/#$% POUR CENT
oiÌÊÌiÀÛiiÌÊ`>ÃÊ $ANS TOUS LES PAYS SAUF L!LLEMAGNE L)TALIE ET LA 3UISSE LES ÏLÒVES DE ANS
iÊV ÝÊ`iÃÊVÕÀÃ]Ê`ÕÊ SONT EN MAJORITÏ INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS QUI INTERVIENNENT DANS LE
Àm}iiÌÊÌjÀiÕÀ]Ê`iÃÊ CHOIX DES COURS MOYENNE DE L/#$% POUR CENT %NFIN LA PLUPART DES
jÛ>Õ>ÌÃÊiÌÊ`iÃÊ CHEFS DÏTABLISSEMENT DÏCLARENT QUE LA POLITIQUE EN MATIÒRE DE DISCIPLINE ET
>Õið DADMISSION ET LE CHOIX DES MANUELS SCOLAIRES FIGURENT PARMI LES RESPONSABILITÏS
DE LEUR ÏTABLISSEMENT MOYENNE DE L/#$% AUTOUR DE POUR CENT
ÊiÃÌÊ`vvViÊ`iÊÀiiÀÊiÃÊ ,A RÏPARTITION DES RESPONSABILITÏS EN MATIÒRE DE PRISE DE DÏCISION AFFECTE T ELLE
`i}ÀjÃÊ`½>ÕÌiÊDÊ>Ê LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES $ANS CE DOMAINE LA CORRÏLATION ENTRE LES DIVERS
«iÀvÀ>Vio ASPECTS DE LAUTONOMIE DES ÏTABLISSEMENTS ET LE RENDEMENT DES ÏLÒVES EST
SOUVENT FAIBLE #E RÏSULTAT NA RIEN DE SURPRENANT SACHANT QUE DANS DE NOMBREUX
PAYS LA LÏGISLATION NATIONALE DÏFINIT LES RESPONSABILITÏS DÏCISIONNELLES ,A VARIATION
Ì LINTÏRIEUR DES PAYS EST DONC TRÒS LIMITÏE
o>ÃÊiÃÊjmÛiÃÊÌi`iÌÊDÊkÌÀiÊ #EPENDANT LES CHIFFRES INDIQUENT QUE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LÏCHELLE
«ÕÃÊ«iÀvÀ>ÌÃÊiÊÞiiÊ COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT TEND Ì ÐTRE SUPÏRIEURE DANS LES PAYS
`>ÃÊiÃÊ«>ÞÃÊÙʽ>ÕÌiÊ Oá LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DÏCLARENT QUE LEUR ÏCOLE JOUIT DUNE PLUS GRANDE
`iÃÊjÌ>LÃÃiiÌÃÊiÃÌÊ«ÕÃÊ AUTONOMIE DANS LE CHOIX DES COURS LA CORRÏLATION ENTRE LES SCORES MOYENS
}À>`i]ÊÃÕÀÌÕÌÊiÊ>ÌmÀiÊ`iÊ DES PAYS EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET LA PROPORTION RESPECTIVE DÏTABLISSE
V
ÝÊ`iÃÊVÕÀÃÊiÌÊ`½>vviVÌ>ÌÊ MENTS INTERVENANT DANS LES DÏCISIONS LIÏES AU CHOIX DES COURS EST DE
`ÕÊLÕ`}iÌ° 5NE TENDANCE SIMILAIRE QUOIQUE MOINS PRONONCÏE SOBSERVE Ì LÏGARD DES
½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ #(!0)42%
AUTRES ASPECTS DE LAUTONOMIE DES ÏTABLISSEMENTS #EST LE CAS NOTAMMENT DE LA
RELATION ENTRE LE DEGRÏ DAUTONOMIE LAISSÏE AUX ÏTABLISSEMENTS DANS LAFFECTATION
DU BUDGET ET LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES CORRÏLATION AU NIVEAU DES PAYS
TABLEAU
,E TABLEAU INDIQUE LE POURCENTAGE DÏLÒVES QUI FRÏQUENTENT DES ÏTABLISSE
>ÃÊ>Ê«Õ«>ÀÌÊ`iÃÊ«>ÞÃ]Ê
MENTS DANS LESQUELS LES ENSEIGNANTS DÏTIENNENT UN POUVOIR DE DÏCISION DANS LES iÃÊiÃi}>ÌÃÊÃÌÊ
MATIÒRES QUI LES CONCERNENT $ANS LA PLUPART DES PAYS LES RESPONSABILITÏS DES >À}iiÌÊÀiëÃ>LiÃÊ
ENSEIGNANTS PORTENT PARMI LENSEMBLE DES QUESTIONS POSÏES SUR LE CHOIX DES `ÕÊV
ÝÊ`iÃÊ>ÕiÃ]Ê`ÕÊ
MANUELS SCOLAIRES MOYENNE DE L/#$% POUR CENT SUR LE CONTENU DES COURS VÌiÕÊ`iÃÊVÕÀÃ]Ê`iÃÊ
MOYENNE DE L/#$% POUR CENT LES POLITIQUES DÏVALUATION MOYENNE DE «ÌµÕiÃÊ`½jÛ>Õ>ÌÊiÌÊ
L/#$% POUR CENT ET LES POLITIQUES DE DISCIPLINE MOYENNE DE L/#$% `iÃÊÀm}iÃÊ`iÊ`ÃV«i°
POUR CENT 2ARES SONT LES ÏCOLES DANS LESQUELLES LES ENSEIGNANTS SONT INVESTIS DU
POUVOIR DE DÏCISION PRINCIPAL CONCERNANT LES POLITIQUES SALARIALES LENGAGEMENT ET
LE LICENCIEMENT DES ENSEIGNANTS ET LA PRÏPARATION DU BUDGET
)L APPARAÔT UNE NOUVELLE FOIS QUE LES PAYS Oá LES ENSEIGNANTS PARTICIPENT ACTIVEMENT >ÃÊiÃÊ«>ÞÃÊÙÊiÃÊ
Ì LA GESTION DE LEUR ÏTABLISSEMENT AFFICHENT UN SCORE MOYEN SUPÏRIEUR SUR LÏCHELLE iÃi}>ÌÃÊ«>ÀÌV«iÌÊ
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ,ES CORRÏLATIONS ENTRE LA PERFORMANCE DES `>Û>Ì>}iÊDÊ>Ê`jvÌÊ
ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET LA PROPORTION DÏTABLIS
`ÕÊVÌiÕÊ`iÃÊVÕÀÃ]Ê
SEMENTS DANS LESQUELS LES ENSEIGNANTS SONT PRINCIPALEMENT RESPONSABLES DU CHOIX DES iÃÊjmÛiÃÊLÌiiÌÊ`iÊ
COURS ET DE LEUR CONTENU SÏLÒVENT RESPECTIVEMENT Ì ET TABLEAU iiÕÀÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃo
#OMME DANS LES AUTRES ANALYSES DE CETTE NATURE CES CORRÏLATIONS NE PEUVENT oLiʵսÊiÊÃÌÊ«>ÃÊ
ÐTRE INTERPRÏTÏES DANS UN SENS CAUSAL CAR DE NOMBREUX AUTRES FACTEURS SONT «ÃÃLiÊ`½vjÀiÀʵÕiÊ
SUSCEPTIBLES DINTERVENIR 4OUTEFOIS CES RÏSULTATS SUGGÒRENT QUE LAUTONOMIE ½>ÕÌiÊÃÌÕiÊ>Ê
DES ÏTABLISSEMENTS ET LA PARTICIPATION DES ENSEIGNANTS AU PROCESSUS DE PRISE DE «iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛið
DÏCISION TENDENT Ì ÐTRE ASSOCIÏES DU MOINS AU NIVEAU INTERNATIONAL DE MANIÒRE
POSITIVE Ì LA PERFORMANCE MOYENNE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
3ECTEUR PUBLIC ET SECTEUR PRIVÏ
,ENSEIGNEMENT SCOLAIRE RELÒVE ESSENTIELLEMENT DU SECTEUR PUBLIC $ANS DEUX TIERS iÊÃiVÌiÕÀÊ«ÀÛjÊÕiÊ
DES PAYS DE L/#$% LA PART DES FONDS PRIVÏS INVESTIS DANS LENSEIGNEMENT PRIMAIRE ÕÊÀiÊÀiÃÌÀiÌÊ>ÃÊ
ET SECONDAIRE EST INFÏRIEURE Ì POUR CENT %N )TALIE EN .ORVÒGE AU 0ORTUGAL ET VÀÃÃ>ÌÊ`>ÃÊ>Ê
EN 3UÒDE MOINS DE POUR CENT DU FINANCEMENT DE LENSEIGNEMENT PROVIENT DE ÃV>ÀÌjo
SOURCES PRIVÏES /#$% 4OUTEFOIS LA PART DU FINANCEMENT PRIVÏ AUGMENTE
PROGRESSIVEMENT #ONSCIENTS DE LA MULTIPLICATION DES FORMES ET DES PROGRAMMES
DENSEIGNEMENT ET DE LA DIVERSIFICATION DES PRESTATAIRES DE SERVICES DENSEIGNEMENT
LES GOUVERNEMENTS CRÏENT DE NOUVEAUX PARTENARIATS EN VUE DE MOBILISER LES RESSOUR
CES ET DE CONCEVOIR DE NOUVELLES POLITIQUES AUTORISANT UNE PARTICIPATION PLUS ACTIVE DES
DIFFÏRENTS ACTEURS ET UN PARTAGE PLUS ÏQUITABLE DES COßTS ET BÏNÏFICES
%N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% POUR LESQUELS DES DONNÏES SONT o>ÛiVÊiÊÞiiÊÈʯÊ
DISPONIBLES POUR CENT DES ÏLÒVES DE ANS FRÏQUENTENT DES ÏTABLISSEMENTS `iÃÊjmÛiÃÊÃVÀÌÃÊ`>ÃÊ`iÃÊ
GÏRÏS ET ESSENTIELLEMENT FINANCÏS PAR LE SECTEUR PRIVÏ LES ÏTABLISSEMENTS DITS jÌ>LÃÃiiÌÃÊ«ÀV«>iiÌÊ
i PRIVÏS INDÏPENDANTS w TABLEAU )L SAGIT DES ÏTABLISSEMENTS DONT LES v>VjÃÊiÌÊ>`ÃÌÀjÃÊ«>ÀÊiÊ
CHEFS DÏTABLISSEMENT DÏCLARENT QUILS SONT CONTRÙLÏS ET GÏRÏS PAR UN ORGANISME ÃiVÌiÕÀÊ«ÀÛjo
#(!0)42% ½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ
NON GOUVERNEMENTAL UNE ÏGLISE UN SYNDICAT OU UNE ENTREPRISE COMMERCIALE
PAR EXEMPLE OU DONT LE POUVOIR ORGANISATEUR EST ESSENTIELLEMENT CONSTITUÏ DE
MEMBRES QUI NONT PAS ÏTÏ SÏLECTIONNÏS PAR UN ORGANISME PUBLIC ,EUR FINAN
CEMENT PROVIENT POUR MOITIÏ AU MOINS DE SOURCES PRIVÏES NOTAMMENT LES
DROITS DINSCRIPTION DES ÏLÒVES PAYÏS PAR LES PARENTS LES DONS LE PARRAINAGE LES
COLLECTES DE FONDS ORGANISÏES PAR LES PARENTS ET DAUTRES SOURCES DE FINANCEMENT
NE RELEVANT PAS DU SECTEUR PUBLIC
oiÌÊ`iÕÝÊ«>ÞÃÊÙÊViÌÌiÊ #E MODÒLE DENSEIGNEMENT PRIVÏ NEST APPLIQUÏ QUE DANS QUELQUES PAYS
«À«ÀÌÊýjmÛiÊDÊ SEULEMENT ,A PROPORTION DÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS
iÛÀÊÕÊÌiÀÃÊ`iÃÊ INDÏPENDANTS NEST SUPÏRIEURE Ì POUR CENT QUEN #ORÏE POUR CENT AU
jmÛið *APON POUR CENT ET AU -EXIQUE POUR CENT TABLEAU $ANS DE
NOMBREUX PAYS LE FINANCEMENT DES ÏTABLISSEMENTS PAR LES ÏLÒVES ET LEUR FAMILLE
EST SOUVENT CONSIDÏRÏ COMME UN OBSTACLE Ì LENSEIGNEMENT !INSI DANS DES
PAYS POUR LESQUELS DES DONNÏES SONT DISPONIBLES MOINS DE POUR CENT DES
ÏLÒVES SONT INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS INDÏPENDANTS DE L³TAT
>ÃÊ`½>ÕÌÀiÃÊvÀiÃÊ ,ENSEIGNEMENT PRIVÏ A LE MÏRITE DE PERMETTRE LA MOBILISATION DUN PLUS
`½iÃi}iiÌÊ«ÀÛjÊ GRAND ÏVENTAIL DE BAILLEURS DE FONDS #ERTAINS CONSIDÒRENT EN OUTRE QUIL OFFRE
ÃÌÊ«ÕÃÊÀj«>`ÕiÃÊ`>ÃÊ LA POSSIBILITÏ DAMÏLIORER LA RENTABILITÏ DE LENSEIGNEMENT ,ES ÏTABLISSEMENTS
iÃÊ«>ÞÃÊ`iʽ"
o SUBVENTIONNÏS PAR L³TAT NE SONT PAS NÏCESSAIREMENT GÏRÏS PAR DES INSTANCES
PUBLIQUES ,ES GOUVERNEMENTS PEUVENT EN EFFET ACCORDER DES FONDS Ì DES
ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS ET PUBLICS PAR LE BIAIS DE DIVERS MÏCANISMES DE FINAN
CEMENT /#$% ,ES GOUVERNEMENTS DÏCIDENT PARFOIS DE FAIRE DÏPEN
DRE LE FINANCEMENT DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT DU CHOIX FAIT PAR LES
PARENTS DINSCRIRE LEURS ENFANTS DANS TEL OU TEL TYPE DÏTABLISSEMENT PARCE
QUILS SOUHAITENT LES ENCOURAGER Ì ORGANISER LEURS PROGRAMMES DENSEIGNE
MENT DUNE MANIÒRE QUI RÏPONDE MIEUX AUX BESOINS ET AUX INTÏRÐTS DES DIF
FÏRENTS ÏLÒVES EN VUE DE RÏDUIRE LES COßTS LIÏS AUX ÏCHECS ET AUX MAUVAISES
ORIENTATIONS ,E FINANCEMENT PUBLIC DES ÏTABLISSEMENTS BASÏ SUR LE NOMBRE
DINSCRITS OU SUR LE CRÏDIT DHEURES CONSTITUE LUNE DES APPROCHES Ì CET ÏGARD
TOUT COMME LOCTROI DE SUBVENTIONS AUX ÏLÒVES ET Ì LEUR FAMILLE PAR LE BIAIS
DE BOURSES PAR EXEMPLE DESTINÏES Ì FINANCER LEURS ÏTUDES DANS DES ÏTABLISSE
MENTS PUBLICS OU PRIVÏS
oiÊ«>ÀÌVÕiÀÊiÃÊ ,ES ÏTABLISSEMENTS GÏRÏS PAR LE SECTEUR PRIVÏ MAIS ESSENTIELLEMENT FINANCÏS PAR DES
jÌ>LÃÃiiÌÃÊ«ÀÛjÃÊ FONDS PUBLICS LES ÏTABLISSEMENTS DITS i PRIVÏS DÏPENDANTS w SONT PLUS COURANTS DANS
ÃÕLÛiÌjÃÊ«>ÀʽÌ>Ì° L/#$% QUE LES ÏTABLISSEMENTS FINANCÏS PAR LE SECTEUR PRIVÏ %N MOYENNE DANS LES
PAYS DE L/#$% POUR LESQUELS DES DONNÏES COMPARABLES SONT DISPONIBLES POUR
CENT DES ÏLÒVES DE ANS FRÏQUENTENT DES ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS SUBVENTIONNÏS PAR
L³TAT %N )RLANDE ET AUX 0AYS
"AS ILS SONT ENTRE ET POUR CENT
iÃÊjmÛiÃÊÃVÀÌÃÊ`>ÃÊ 1UELLE EST LA RELATION ENTRE CES DISPOSITIONS INSTITUTIONNELLES ET LA PERFORMANCE DES
iÃÊ`iÕÝÊÌÞ«iÃÊ ÏLÒVES %N MOYENNE DANS LES PAYS ÏTUDIÏS DANS LA COMPARAISON LES ÏLÒVES
`½jÌ>LÃÃiiÌÃÊ«ÀÛjÃÊ QUI FRÏQUENTENT DES ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS INDÏPENDANTS SURCLASSENT NETTEMENT EN
Àj>ÃiÌÊ`iÊLiiÃÊ COMPRÏHENSION DE LÏCRIT AU NIVEAU STATISTIQUE CEUX INSCRITS DANS LES ÏTABLISSEMENTS
«iÀvÀ>ViÃo PUBLICS DANS DIX PAYS ,ÏCART DE PERFORMANCE ENTRE LES EFFECTIFS DES ÏTABLISSEMENTS
½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ #(!0)42%
PRIVÏS SUBVENTIONNÏS PAR L³TAT ET LES ÏTABLISSEMENTS PUBLICS SÏLÒVE ENVIRON Ì UN QUART
DÏCART TYPE EN FAVEUR DES ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS FIGURE
,ORS DE LINTERPRÏTATION DE CES CHIFFRES IL IMPORTE DE TENIR COMPTE DU FAIT QUE o>ÃÊViÊ}ÀÕ«iÊ
LA RÏPARTITION DES ÏLÒVES ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS PUBLICS ET PRIVÏS NE RELÒVE `½jmÛiÃÊ«ÕÀÀ>ÌÊiÊ«>ÃÊ
PAS DU HASARD !INSI LE MANQUE DE RICHESSE FAMILIALE PEUT ÐTRE UN OBSTACLE kÌÀiÊÀi«ÀjÃiÌ>Ìvo
MAJEUR POUR LES ÏLÒVES QUI SOUHAITENT ÐTRE ADMIS DANS DES ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS
QUI PRATIQUENT DES DROITS DINSCRIPTION ÏLEVÏS -ÐME LES ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS
SUBVENTIONNÏS PAR L³TAT QUI NE DEMANDENT PAS DE DROITS DINSCRIPTION PEUVENT
SADRESSER Ì DES GROUPES CIBLES SPÏCIFIQUES OU APPLIQUER DES POLITIQUES PLUS
RESTRICTIVES EN MATIÒRE DE TRANSFERT OU DE SÏLECTION
,A COMPARAISON DU STATUT SOCIO ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES INSCRITS DANS LES DIVERS oiÌʽ>>ÞÃiÊ`ÕÊiÕÊ
TYPES DÏTABLISSEMENT PERMET DE FAIRE LA PART DES CHOSES DANS CE DOMAINE ,E ÃV>ÊÀiëiVÌvÊ`iÃÊ
TABLEAU INDIQUE LE POURCENTAGE DÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS jmÛiÃo
PUBLICS ET PRIVÏS LEUR SCORE MOYEN ET LA VALEUR MOYENNE DE LEUR INDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL
}ÕÀiÊÇ°
0ERFORMANCE DES ÏLÒVES ET GESTION PRIVÏE ET PUBLIQUE
$IFFÏRENCES DANS LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT ET DANS LgINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DU STATUT PROFESSIONNEL ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS DgENSEIGNEMENT PUBLICS ET LES ÏTABLISSEMENTS
PRIVÏS SUBVENTIONNÏS PAR Lg³TAT
$IFFÏRENCES DES MOYENNES SUR LgÏCHELLE COMBINÏE $IFFÏRENCES DANS LgINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE
DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT INTERNATIONAL DU STATUT PROFESSIONNEL
!LLEMAGNE
#ANADA
,ES ÏTABLISSEMENTS ,ES )RLANDE ,ES ,ES
PUBLICS ONT ÏTABLISSEMENTS ÏTABLISSEMENTS ÏTABLISSEMENTS
DE MEILLEURS PRIVÏS 3UISSE PUBLICS ONT UN PRIVÏS
RÏSULTATS SUBVENTIONNÏS STATUT SOCIO
SUBVENTIONNÏS
PAR Lg²TAT ONT !UTRICHE ÏCONOMIQUE PAR Lg²TAT ONT UN
DE MEILLEURS PLUS ÏLEVÏ STATUT SOCIO
RÏSULTATS %SPAGNE ÏCONOMIQUE
PLUS ÏLEVÏ
³TATS
5NIS
.ORVÒGE
(ONGRIE
0ORTUGAL
2ÏP TCHÒQUE
&INLANDE
3UÒDE
#ORÏE
$ANEMARK
,UXEMBOURG
0AYS
"AS
,ES DIFFÏRENCES STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES SONT INDIQUÏES EN NOIR ET ROUGE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR ASSURER LA COMPARABILITÏ DES DONNÏES VOIR ANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
#(!0)42% ½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ
oÌÀiʵÕiÊiÃÊivviVÌvÃÊ ,A VALEUR MOYENNE DE LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFES
`iÃÊjÌ>LÃÃiiÌÃÊ«ÀÛjÃÊÃÌÊ SIONNEL DES EFFECTIFS INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS SUBVENTIONNÏS PAR L³TAT
«ÕÃÊÃÕÛiÌÊÃÃÕÃÊ`iÊiÕÝÊ ET DES ÏTABLISSEMENTS PUBLICS NE VARIE QUE LÏGÒREMENT DANS LA PLUPART DES PAYS
«ÀÛj}jÃ]ʵÕiÊ`>ÃÊViÕÝÊ ,ÏCART EST PLUS PRONONCÏ ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS PUBLICS ET LES ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS
ÃÕLÛiÌjÃÊ«>ÀʽÌ>Ì° INDÏPENDANTS DE L³TAT EN FAVEUR DES ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS INDÏPENDANTS
#ONCLUSIONS
>Ê«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊ ,ES POLITIQUES ET PRATIQUES APPLIQUÏES PAR LES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT
jmÛiÃÊiÃÌÊ>ÃÃVjiÊ>ÕÝÊ PEUVENT AVOIR UN IMPACT CONSIDÏRABLE SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES AU MÐME
V>À>VÌjÀÃ̵ÕiÃÊ`iÃÊ TITRE DAILLEURS QUE LES FACTEURS SOCIO
ÏCONOMIQUES ,EFFICACITÏ DE LAPPREN
jÌ>LÃÃiiÌÃʵսÃÊ TISSAGE DÏPEND DE LACCÒS DES ÏLÒVES Ì DES FORMES DENSEIGNEMENT DE GRANDE
vÀjµÕiÌiÌÊiÌÊDÊiÕÀÊ QUALITÏ #ES POLITIQUES ET PRATIQUES PEUVENT AGIR DIRECTEMENT SUR LES RÏSULTATS
iÕÊv>>° MAIS ÏGALEMENT PRODUIRE DES EFFETS INDIRECTS QUI ATTÏNUENT LEFFET DES FACTEURS
SOCIO
ÏCONOMIQUES VOIR LES CHAPITRES ET
iÀÌ>ÃÊV
ivÃÊ 3I TOUS LES PAYS INVESTISSENT DES RESSOURCES CONSIDÏRABLES DANS LENSEIGNEMENT
`½jÌ>LÃÃiiÌÊjÛµÕiÌÊ LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DE CERTAINS PAYS ÏVOQUENT POURTANT DES LACUNES DANS
½ÃÕvvÃ>ViÊ`iÃÊ LA QUALITÏ DES RESSOURCES HUMAINES ET ÏDUCATIVES MISES Ì LA DISPOSITION DE
ÀiÃÃÕÀViÃÊÃV>ÀiÃo CES ÏTABLISSEMENTS $ANS DE NOMBREUX PAYS CES LACUNES SONT ASSOCIÏES Ì UNE
PERFORMANCE PLUS FAIBLE DES ÏLÒVES
o>ÃÊiÊV>ÌʵÕÊ 4OUTEFOIS IL NY A PAS QUE LES FACTEURS MATÏRIELS DONT LES CHEFS DÏTABLISSEMENT
Àm}iÊ`>ÃÊ DISENT QUILS GÐNENT LAPPRENTISSAGE !INSI LE CLIMAT DE DISCIPLINE DONT LES RÏSUL
½jÌ>LÃÃiiÌÊiÌÊiÊ TATS DU 0)3! MONTRENT QUIL EST ÏTROITEMENT LIÏ Ì LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
V>ÃÃiÊiÃÌÊLi>ÕVÕ«Ê«ÕÃÊ 0ARMI LES AUTRES OBSTACLES Ì LAPPRENTISSAGE LES PLUS SOUVENT SIGNALÏS PAR LES CHEFS
jÌÀÌiiÌÊjÊDÊ>Ê DÏTABLISSEMENT CITONS LABSENTÏISME DES ÏLÒVES ET LES ÏLÒVES i QUI PERTURBENT
«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃo LES COURS w i MANQUENT DE RESPECT ENVERS LES ENSEIGNANTS w ET i INTIMIDENT
OU BRUTALISENT DAUTRES ÏLÒVES w ,ES ÏLÒVES IDENTIFIENT DAUTRES FACTEURS QUI
CONTRIBUENT Ì DÏTÏRIORER LE CLIMAT DE DISCIPLINE LA PERTE DE TEMPS AU DÏBUT DES
COURS LE BRUIT ET LAGITATION PENDANT LES COURS ET LA DISSIPATION DES ÏLÒVES QUI
i NÏCOUTENT PAS CE QUE DIT LE PROFESSEUR w 3ATTAQUER Ì CES PHÏNOMÒNES NEST
PAS QUUNE QUESTION DARGENT
o>ÃʵÕiÊiÊÌÀ>Û>Ê ,APPRENTISSAGE NE SE LIMITE PAS Ì LA SEULE JOURNÏE DÏCOLE ,ES DEVOIRS ET DANS
ÃV>ÀiÊivviVÌÕjÊiÊ CERTAINS PAYS LES COURS DENRICHISSEMENT OU DE RATTRAPAGE SUIVIS Ì LEXTÏRIEUR DE
`i ÀÃÊ`iÊ LÏTABLISSEMENT REPRÏSENTENT SOUVENT UNE PART CONSIDÏRABLE DU TEMPS QUE LES
½jÌ>LÃÃiiÌ° ÏLÒVES CONSACRENT DANS LENSEMBLE Ì LAPPRENTISSAGE )L EST HABITUEL QUE CE TEMPS
REPRÏSENTE JUSQUÌ PLUS DUN TIERS DU TEMPS DENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE DANS LES
TROIS DOMAINES DÏVALUATION DU 0)3! %U ÏGARD Ì LIMPORTANCE DU TEMPS PASSÏ Ì
APPRENDRE IL EST IMPÏRATIF DE VEILLER Ì CE QUE LES ÏLÒVES LEXPLOITENT AU MIEUX ET
Ì CE QUE DES FORMES DAPPRENTISSAGE ADAPTÏES SOIENT CORRECTEMENT ORGANISÏES
#ERTAINS REPROCHENT AUX DEVOIRS ET Ì LAPPRENTISSAGE EN DEHORS DU CADRE SCOLAIRE
DACCENTUER LES DISPARITÏS DE PERFORMANCE GÏNÏRÏES PAR DES FACTEURS LIÏS AU
MILIEU SOCIO ÏCONOMIQUE AUX RESSOURCES ÏDUCATIVES DISPONIBLES ET AU SOUTIEN
FAMILIAL 4OUTEFOIS LES EXPÏRIENCES DE PLUSIEURS PAYS Oá LA CORRÏLATION ENTRE LES
DEVOIRS ET LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EST POSITIVE ALORS QUIL NE SEMBLE PAS Y
½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ #(!0)42%
AVOIR DE RELATION ENTRE LE MILIEU FAMILIAL ET LA PERFORMANCE INDIQUENT QUIL EST
POSSIBLE DÏTENDRE LAPPRENTISSAGE AU
DELÌ DU CADRE SCOLAIRE SANS NÏCESSAIREMENT
RENDRE PLUS VULNÏRABLES ENCORE LES ÏLÒVES MOINS FAVORISÏS AU DÏPART
%NFIN LA GESTION DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT PEUT ÐTRE AMÏLIORÏE 2ARES ½>ÕÌiÊ`iÃÊ
SONT LES ÏTABLISSEMENTS QUI INTERVIENNENT DANS LA FIXATION DU TRAITEMENT OU DES jÌ>LÃÃiiÌÃÊ«iÕÌÊ
AUGMENTATIONS SALARIALES DES ENSEIGNANTS %N REVANCHE LES ÏTABLISSEMENTS DE LA VÃÌÌÕiÀÊÕÊ>ÕÌÀiÊ
MAJORITÏ DES PAYS SEMBLENT JOUIR DUNE PLUS GRANDE LIBERTÏ DANS LE DOMAINE v>VÌiÕÀÊÊj}}i>LiÊ
DE LENGAGEMENT ET DU LICENCIEMENT DES ENSEIGNANTS ET DE LA PRÏPARATION ET DE `>ÃÊViÌÌiÊjµÕ>Ì°
LA VENTILATION DE LEUR BUDGET ,E DEGRÏ DAUTONOMIE DES ÏTABLISSEMENTS ET DES
ENSEIGNANTS EST LIMITÏ DANS DE NOMBREUX PAYS ,ES PAYS Oá LES ÏTABLISSEMENTS
BÏNÏFICIENT DUNE PLUS GRANDE AUTONOMIE TENDENT Ì AFFICHER DES SCORES MOYENS
SUPÏRIEURS Ì CEUX DES AUTRES PAYS #E CONSTAT SUGGÒRE QUE LACCROISSEMENT DE
LAUTONOMIE DES ÏTABLISSEMENTS PERMET DAMÏLIORER LE RENDEMENT SCOLAIRE
)L NEST GUÒRE AISÏ DE MESURER LIMPACT RELATIF DES FACTEURS ÏTUDIÏS DANS CE CHAPITRE iÊV
>«ÌÀiÊnÊ`iÊ
CAR ILS SONT TOUS INTERDÏPENDANTS ,E HUITIÒME ET DERNIER CHAPITRE PROPOSE UNE ÕiÊiiÕÀiÊ`jiÊ
ANALYSE DE LIMPORTANCE RELATIVE DES RESSOURCES POLITIQUES ET PRATIQUES DES ÏTABLISSE
`iÊ>Ê>ÌÕÀiÊ`iÊ>Ê
MENTS DANS LES DIFFÏRENTS TYPES DE SYSTÒMES DENSEIGNEMENT ,ES RÏSULTATS DE CETTE Ài>ÌʵÕiÊViÃÊv>VÌiÕÀÃÊ
ANALYSE SUGGÒRENT DES ORIENTATIONS POLITIQUES SUSCEPTIBLES DAMÏLIORER LA PERFORMANCE iÌÀiÌiiÌÊiÌÀiÊiÕÝ°
MOYENNE ET DATTÏNUER LIMPACT DU MILIEU FAMILIAL SUR LE RENDEMENT DES ÏLÒVES
#(!0)42% ½iÛÀiiÌÊ`½>««ÀiÌÃÃ>}iÊiÌʽÀ}>Ã>ÌÊ`iʽiÃi}iiÌ
.OTES
,ES ÏQUATIONS STRUCTURELLES ONT ÏTÏ MODÏLISÏES POUR CONFIRMER LES DIMENSIONS THÏORIQUES PRÏVUES DES INDICES ET VALIDER LEUR
COMPARABILITÏ ENTRE PAYS ° CET EFFET UN MODÒLE SÏPARÏ A ÏTÏ PRÏPARÏ POUR CHAQUE PAYS AINSI QUUN MODÒLE COLLECTIF POUR
LENSEMBLE DES PAYS DE L/#$%
)L Y A LIEU DE SOULIGNER QUE LES ÏLÒVES ONT ÏTÏ PRIÏS DE LIVRER LEUR SENTIMENT Ì PROPOS DES ATTITUDES DUN GROUPE UNIQUE
DENSEIGNANTS AU COURS DUNE ANNÏE UNIQUE DÏTUDES %N CONSÏQUENCE IL FAUT SE GARDER DINTERPRÏTER CES RÏSULTATS COMME
SILS CARACTÏRISAIENT TOUS LES ENSEIGNANTS QUE LES JEUNES DE ANS ONT RENCONTRÏS AU COURS DE LEUR PARCOURS SCOLAIRE
%N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% LINDICE EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIATION DE PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR
LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET NE DÏPASSE POUR CENT QUE DANS PAYS VOIR LANNEXE !
%N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% LINDICE DE PERCEPTION PAR LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT
DE DISCIPLINE ET IMPUTABLES AUX ÏLÒVES EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR LANNEXE !
%N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% LINDICE DE PERCEPTION DU CLIMAT DE DISCIPLINE PAR LES ÏLÒVES EXPLIQUE POUR CENT
DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR LANNEXE !
%N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% CET INDICE EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR
LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR LANNEXE !
%N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% CET INDICE EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR
LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR LANNEXE !
,ES ÏLÒVES ONT INDIQUÏ LE TEMPS QUILS CONSACRAIENT PAR SEMAINE AUX DEVOIRS ET Ì LÏTUDE DANS LES TROIS MATIÒRES EN CHOISISSANT
PARMI LES OPTIONS SUIVANTES i PAS DE TEMPS DU TOUT w i MOINS DUNE HEURE w i ENTRE UNE ET TROIS HEURES w ET i TROIS HEURES
OU PLUS w ,E TEMPS TOTAL CONSACRÏ PAR SEMAINE AUX DEVOIRS A ÏTÏ ESTIMÏ EN ATTRIBUANT UNE VALEUR Ì CES QUATRE OPTIONS DE
ZÏRO POUR LA PREMIÒRE Ì QUATRE POUR LA DERNIÒRE ,ES ÏLÒVES QUI NONT PAS RÏPONDU Ì LA QUESTION POUR LUNE DES TROIS MATIÒRES
ONT ÏTÏ EXCLUS DE CETTE COMPARAISON
%N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% CET INDICE EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR
LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR LANNEXE !
%N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% CET INDICE EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR
LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR LANNEXE !
%N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% CET INDICE EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR
LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR LANNEXE !
%N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% CET INDICE EXPLIQUE POUR CENT DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR
LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR LANNEXE !
#ES ÏCARTS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIFS DANS PAYS
3UR LE PLAN TECHNIQUE CE POURCENTAGE EST OBTENU EN SOUSTRAYANT DU CHIFFRE LE POURCENTAGE PONDÏRÏ DES CHEFS
DÏTABLISSEMENT QUI ONT RÏPONDU i NE RELÒVE PAS DE LA RESPONSABILITÏ DE LÏTABLISSEMENT w Ì LA QUESTION
#HAPITRE
-Ê,-1 //-Ê 1Ê*-Ê\
+1
+1
-Ê
" - ,/" -Ê
½", ,
Ê*" /+1
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
)NTRODUCTION LES INFLUENCES Ë LINTÏRIEUR ET Ë LEXTÏRIEUR
DU CADRE SCOLAIRE
iÃÊv>VÌiÕÀÃÊÌiÀiÃÊiÌÊ ,A PERFORMANCE SCOLAIRE NEST PAS EXCLUSIVEMENT INFLUENCÏE PAR CE QUI A LIEU
iÝÌiÀiÃÊ>ÕÝÊ DANS LÏTABLISSEMENT DENSEIGNEMENT %LLE SUBIT ÏGALEMENT LIMPACT DE LA FAMILLE
jÌ>LÃÃiiÌÃÊ ET DE LENTOURAGE DE LÏLÒVE AINSI DE LA COMMUNAUTÏ AU SEIN DE LAQUELLE IL
vÕiViÌÊ>Ê VIT MÐME SI Ì SON TOUR CET IMPACT NEST PAS TOTALEMENT INDÏPENDANT DU
«iÀvÀ>Vi]ÊiÌÊÊÞÊ>Ê CADRE SCOLAIRE )L FAUT ÏTUDIER CES FACTEURS ENSEMBLE POUR COMPRENDRE LEURS
iÕÊ`iÊVÃ`jÀiÀÊViÃÊ EFFETS ISOLÏS ET CONJUGUÏS ET IDENTIFIER LES CAUSES ET CONSÏQUENCES POSSIBLES DU
v>VÌiÕÀÃÊiÃiLio RENDEMENT FAIBLE OU ÏLEVÏ DES ÏLÒVES
oViʵÕiÊViÊV >«ÌÀiÊ $ANS LES CHAPITRES Ì DU PRÏSENT RAPPORT NOUS NOUS SOMMES PENCHÏS SUR
ý>ÌÌ>V iÊDÊv>Àio LEFFICACITÏ DE LENSEIGNEMENT DANS DIFFÏRENTS PAYS $ANS LES CHAPITRES ET
NOUS AVONS MIS EN LUMIÒRE LES RELATIONS ENTRE LES CARACTÏRISTIQUES DES ÏLÒVES ET
DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT ET LA PERFORMANCE SCOLAIRE .OUS ALLONS Ì
PRÏSENT DÏVELOPPER LES ANALYSES DÏJÌ EXPOSÏES ET EXAMINER LES RELATIONS ENTRE LA
PERFORMANCE LE MILIEU FAMILIAL ET LES ÏTABLISSEMENTS ,A COMPARAISON SIMULTANÏE
DUN ENSEMBLE DE VARIABLES NOTAMMENT DES ASPECTS SPÏCIFIQUES AUX ÏLÒVES
ET AUX ÏTABLISSEMENTS DANS UN LARGE ÏVENTAIL DE CADRES SCOLAIRES ET DANS DE
NOMBREUX PAYS PERMET DESTIMER LIMPORTANCE RELATIVE DES RESSOURCES DES
POLITIQUES ET DES PRATIQUES DES ÏTABLISSEMENTS DANS DIVERS TYPES DE SYSTÒMES
ÏDUCATIFS ,OBJECTIF POURSUIVI EST DE FOURNIR DES INDICATIONS SUR LES ORIENTATIONS
POLITIQUES Ì SUIVRE POUR AMÏLIORER Ì LA FOIS LE RENDEMENT SCOLAIRE MOYEN ET
LÏGALITÏ DES CHANCES DANS LE DOMAINE DE LENSEIGNEMENT
oiÊjÌÕ`>ÌÊ`½>LÀ`Ê>Ê #E CHAPITRE COMMENCE PAR LANALYSE DE LA RELATION ENTRE LA PERFORMANCE
«iÀvÀ>ViÊ`Û`ÕiiÊ INDIVIDUELLE DE LÏLÒVE ET SON MILIEU FAMILIAL )L EST IMPÏRATIF POUR LES DÏCIDEURS
`iÃÊjmÛiÃo POLITIQUES DE COMPRENDRE CETTE RELATION CAR ELLE RÏVÒLE LES DIFFÏRENCES DE
RENDEMENT OBSERVÏES ENTRE LES ÏLÒVES EN FONCTION DE LEUR MILIEU SOCIAL
o«ÕÃʽ«>VÌÊ`ÕÊ )L ÏTUDIE ENSUITE DANS QUELLE MESURE LES DIFFÏRENCES DE RENDEMENT ENTRE
iÕÊ`iÃÊjmÛiÃÊÃÕÀÊiÃÊ ÏTABLISSEMENTS SONT ASSOCIÏES Ì DES FACTEURS SOCIO
ÏCONOMIQUES #ETTE ANALYSE
jÌ>LÃÃiiÌÃo EST IMPORTANTE POUR ÏVALUER LIMPACT DES CADRES INSTITUTIONNELS SUR LA RÏPAR
TITION DU RENDEMENT DE LENSEIGNEMENT ET DONC CONCEVOIR DES RÏFORMES
POLITIQUES
oiÌÊ`iʵÕiiÊ>mÀiÊ %NFIN IL IDENTIFIE LES LEVIERS POLITIQUES ET LES CARACTÏRISTIQUES PROPRES AUX ÏTABLISSEMENTS
iÃÊjÌ>LÃÃiiÌÃÊ DENSEIGNEMENT QUI SONT SUSCEPTIBLES DE CONTRIBUER Ì REHAUSSER LE NIVEAU DE
iÕÝkiÃÊ«iÕÛiÌÊ PERFORMANCE DES ÏLÒVES ET Ì OBTENIR UNE RÏPARTITION PLUS UNIFORME DES CHANCES
v>ÀiÊ>Ê`vvjÀiVio ET DES RÏSULTATS DE LENSEIGNEMENT
,ES ANALYSES EXPOSÏES DANS CE CHAPITRE SE BASENT SUR LA PERFORMANCE DES
ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ,A PERFORMANCE
DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE EST UNIQUE
MENT PRISE EN CONSIDÏRATION LORSQUE LES ANALYSES ET LES CONCLUSIONS LIVRÏES
DANS CE CHAPITRE DIFFÒRENT SIGNIFICATIVEMENT EN FONCTION DES TROIS DOMAINES
DÏVALUATION
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
,A RELATION ENTRE LE MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE ET LA PERFORMANCE
DES ÏLÒVES
6UE DENSEMBLE
#OMME NOUS LAVONS INDIQUÏ AU CHAPITRE LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES DANS
iÊV
>«ÌÀiÊÃiÊÀjvmÀiÊ
LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION DU 0)3! Ì SAVOIR LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DÊÕÊ`ViÊV«ÃÌiÊ
LA CULTURE MATHÏMATIQUE ET LA CULTURE SCIENTIFIQUE SONT ÏTROITEMENT LIÏES AU `ÕÊiÕÊjVµÕi]Ê
MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE DE LEUR FAMILLE ,ES ÏLÒVES DONT LES PARENTS OCCUPENT VÕÌÕÀiÊiÌÊÃV>Ê
DES POSTES MOINS PRESTIGIEUX ET PRÏSENTENT UN NIVEAU DENSEIGNEMENT PLUS FAIBLE `iÃÊjmÛiÃo
ONT TENDANCE Ì SE MONTRER MOINS PERFORMANTS Ì LÏCOLE QUE LES ÏLÒVES DONT LES
PARENTS ONT UN NIVEAU DENSEIGNEMENT PLUS ÏLEVÏ ET EXERCENT DES PROFESSIONS PLUS
PRESTIGIEUSES 0AR SOUCI DE CLARTÏ LES ASPECTS SOCIAUX ÏCONOMIQUES ET CULTURELS DU
MILIEU FAMILIAL QUI ONT ÏTÏ ÏTUDIÏS SÏPARÏMENT AU CHAPITRE SONT REGROUPÏS POUR
CE CHAPITRE DANS UN SEUL INDICE APPELÏ i INDICE 0)3! DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL
ET CULTUREL w OU PLUS SIMPLEMENT i MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES w
}ÕÀiÊn°£
2ELATION ENTRE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ET LE CONTEXTE SOCIO
ÏCONOMIQUE
POUR LgENSEMBLE DE LA ZONE /#$%
0ERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT ET INDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE
SOCIAL ET CULTUREL
ET GRADIENT SOCIO
ÏCONOMIQUE POUR LgENSEMBLE DE LA ZONE /#$%
0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LgÏCRIT MOYENNE SUR LgÏCHELLE 0)3!
'RADIENT
SOCIO
ÏCONOMIQUE
POUR LgENSEMBLE
DE LA ZONE /#$%
.IVEAU
.IVEAU
.IVEAU
.IVEAU
.IVEAU
!U
DESSOUS
DU NIVEAU
)NDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE
SOCIAL ET CULTUREL ÏCARTS TYPES
#HAQUE POINT REPRÏSENTE ÏLÒVES DE LA ZONE /#$%
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
oiÌÊiÊiÌÊiÊÀi>ÌÊ ,A FIGURE DÏCRIT LA RELATION ENTRE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ET LINDICE DE
>ÛiVÊ>Ê«iÀvÀ>ViÊ STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL DES ÏLÒVES DANS LENSEMBLE DE L/#$%
`iÃÊjmÛið #ETTE RELATION EST DÏSIGNÏE PAR LAPPELLATION i GRADIENT SOCIO
ÏCONOMIQUE w ,A
FIGURE MONTRE LE NIVEAU DE PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EN FONCTION DE MILIEUX SOCIO
ÏCONOMIQUES DIFFÏRENTS
,EFFICACITÏ DES SYSTÒMES DENSEIGNEMENT ET LES FACTEURS ÏCONOMIQUES SOCIAUX
ET CULTURELS PLUS GÏNÏRAUX INFLUENCENT CETTE RELATION VOIR ENCADRÏ
«Ài`ÀiÊViÌÌiÊ )L EST UTILE DE COMPRENDRE CETTE RELATION AVANT DENTREPRENDRE LANALYSE DE LÏGALITÏ
Ài>ÌÊiÃÌÊiÊ«ÌÊ`iÊ DES CHANCES EN MATIÒRE DENSEIGNEMENT !CCROÔTRE LE NIVEAU DE PERFORMANCE DES
`j«>ÀÌÊ`½ÕiÊ>>ÞÃiÊ`iÊ ÏLÒVES ET ATTÏNUER LIMPACT DU MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE SUR LE RENDEMENT SCOLAIRE
>ÊÀj«>ÀÌÌÊ`iÃÊ SONT DES OBJECTIFS CRITIQUES POUR TOUS LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS DES PAYS DE L/#$%
V
>ViÃÊiÊ>ÌmÀiÊ ,A RELATION ENTRE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ET LEUR MILIEU SOCIAL REVÐT ÏGALEMENT
`½iÃi}iiÌ° UNE CERTAINE IMPORTANCE POUR LA POLITIQUE DE LENSEIGNEMENT CAR ELLE MONTRE
DANS QUELLE MESURE LES BÏNÏFICES DE LENSEIGNEMENT SONT ÏQUITABLEMENT RÏPARTIS
ENTRE LES ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX SOCIO
ÏCONOMIQUES DIFFÏRENTS
%NCADRÏ #OMMENT LIRE LA FIGURE
#HAQUE POINT DE LA FIGURE REPRÏSENTE ÏLÒVES DE ANS DE LA ZONE /#$% )L SITUE LEUR
PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR RAPPORT Ì LEUR STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL
,AXE VERTICAL INDIQUE LES SCORES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SCORE
MOYEN )L EST Ì NOTER QUE LÏCART TYPE A ÏTÏ FIXÏ Ì LORS DE LÏLABORATION DE LÏCHELLE 0)3!
%N CONSÏQUENCE DEUX TIERS DES POINTS SONT SITUÏS ENTRE ET ,ES DIFFÏRENTES ZONES OMBRÏES
REPRÏSENTENT LES CINQ NIVEAUX DE COMPÏTENCE EN LECTURE
,AXE HORIZONTAL INDIQUE LES VALEURS DE LINDICE 0)3! DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL #ET
INDICE EST CON U DE SORTE QUE LA VALEUR MOYENNE SOIT ÏGALE Ì ZÏRO ET LÏCART TYPE Ì $EUX TIERS DES
ÏLÒVES SONT DONC SITUÏS ENTRE ET
,A LIGNE PLUS FONCÏE REPRÏSENTE LE GRADIENT SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL CEST
Ì
DIRE CELUI QUI
REPRÏSENTE LE MIEUX LA RELATION ENTRE PERFORMANCE EN LECTURE ET STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE DANS LES
PAYS DE L/#$% #ETTE LIGNE PART DU POINT SOUS LEQUEL SONT SITUÏS LES POUR CENT DÏLÒVES LES PLUS
DÏFAVORISÏS JUSQUAU POINT AU
DESSUS DUQUEL SONT SITUÏS LES POUR CENT DÏLÒVES LES PLUS FAVORISÏS
CEST
Ì
DIRE CEUX DONT LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE EST LE PLUS ÏLEVÏ ,ES TROIS POINTS REPÏRÏS SUR LA
LIGNE REPRÏSENTENT LES E E ET E CENTILES CEST
Ì
DIRE LES POINTS SOUS LESQUELS ET POUR
CENT DES ÏLÒVES SONT SITUÏS EN TERMES DE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE
#ETTE FIGURE NEST PAS CON UE POUR COMPARER LES SYSTÒMES DENSEIGNEMENT MAIS POUR METTRE EN
ÏVIDENCE UNE RELATION DANS LA ZONE /#$% 0OUR CETTE RAISON TOUS LES ÏLÒVES DE L/#$% SONT
REPRÏSENTÏS DANS LA MÐME PROPORTION %N DAUTRES TERMES LES GRANDS PAYS QUI COMPTENT PLUS
DÏLÒVES DE ANS TELS QUE LES ³TATS
5NIS LE *APON ET LE -EXIQUE INFLUENCENT PLUS LE GRADIENT
INTERNATIONAL QUE LES PETITS PAYS TELS QUE L)SLANDE ET LE ,UXEMBOURG
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
,A FIGURE RÏVÒLE PLUSIEURS TENDANCES
n LES ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX SOCIO
ÏCONOMIQUES PLUS FAVORISÏS PRÏSENTENT iÃÊjmÛiÃÊv>ÛÀÃjÃÊ
GÏNÏRALEMENT UN MEILLEUR RENDEMENT AINSI QUE LE MONTRE LE MOUVEMENT Àj>ÃiÌÊ`iÊiiÕÀiÃÊ
ASCENDANT DU GRADIENT «iÀvÀ>ViÃo
n LA VARIATION DU STATUT SOCIO ÏCONOMIQUE DONNE LIEU Ì UN ÏCART DE PERFORMANCE o>ÛiVÊ`iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ
EN LECTURE RELATIVEMENT SIMILAIRE DANS TOUTE LA RÏPARTITION %N DAUTRES TERMES Ài>ÌÛiiÌÊÃ>ÀiÃÊ
LEFFET POSITIF MARGINAL DE LAVANTAGE SOCIO ÏCONOMIQUE SUPPLÏMENTAIRE RESTE >ÕÝÊ`vvjÀiÌÃÊÛi>ÕÝÊ
INCHANGÏ LORSQUE CET AVANTAGE AUGMENTE AINSI QUE LE MONTRE LE FAIT QUE LE `iʽ>Û>Ì>}iÊ
GRADIENT SOCIO ÏCONOMIQUE EST PRATIQUEMENT PLAT ÃVjVµÕio
n LES DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE SONT LÏGÒREMENT PLUS PRONONCÏES POUR LES
ÏLÒVES DONT LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE EST PLUS FAIBLE QUE POUR CEUX DONT
LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE EST PLUS ÏLEVÏ ,E GRAPHIQUE REPRÏSENTE CE
PHÏNOMÒNE COMME SUIT LA DISPERSION VERTICALE DES POINTS SITUÏS DANS LA PARTIE
DROITE DU GRAPHIQUE CEST
Ì
DIRE LA PLAGE DES PERFORMANCES EN LECTURE DES
ÏLÒVES QUI BÏNÏFICIENT DUN AVANTAGE SOCIO
ÏCONOMIQUE EST MOINS IMPORTANTE
QUE CELLE DES POINTS SITUÏS DANS LA PARTIE GAUCHE DU GRAPHIQUE CEST
Ì
DIRE LA
PLAGE DES PERFORMANCES EN LECTURE DES ÏLÒVES QUI SOUFFRENT DUN DÏSAVANTAGE
SOCIO
ÏCONOMIQUE
n )L NY A PAS DE RAPPORT DE PROGRESSION IDENTIQUE ENTRE LA PERFORMANCE DES o>ÃÊiÊiÕÊ
ÏLÒVES ET LINDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL AINSI QUEN ATTESTE ÃVjVµÕiÊ
LE FAIT QUE DE NOMBREUX ÏLÒVES DÏFAVORISÏS SITUÏS DANS LA PARTIE GAUCHE DU ½iÃÌÊ«>ÃÊ`jÌiÀ>ÌÊ
GRAPHIQUE OBTIENNENT DES RÏSULTATS NETTEMENT SUPÏRIEURS AUX PRÏVISIONS BASÏES «ÕÀÊ>Ê«iÀvÀ>Vi°
SUR LE GRADIENT INTERNATIONAL
,A VARIATION DE LIMPACT SOCIO ÏCONOMIQUE SELON LES PAYS
$ANS QUELLE MESURE LA RELATION ENTRE LA PERFORMANCE ET LE MILIEU SOCIO ÏCONOMIQUE >ʵÕiÃÌÊVÀÕV>iÊiÃÌÊ
DES ÏLÒVES VARIE T ELLE ENTRE LES PAYS ,ES GRADIENTS SOCIO ÏCONOMIQUES NATIONAUX `iÊÃ>ÛÀÊýÊiÃÌÊ«ÃÃLiÊ
PERMETTENT DE RÏPONDRE Ì CETTE QUESTION )LS CONSTITUENT UN EXCELLENT POINT `½>iÀÊÕiÊ«iÀvÀ>ViÊ
DE DÏPART POUR IDENTIFIER LES FACTEURS QUI CONTRIBUENT Ì AMÏLIORER LÏGALITÏ ÞiiÊjiÛjiÊiÌÊ
DES CHANCES DANS LES SYSTÒMES DENSEIGNEMENT ,ES POLITIQUES NATIONALES EN `iÊv>LiÃÊ`ë>ÀÌjð
MATIÒRE DENSEIGNEMENT VISENT EN PRINCIPE Ì ACCROÔTRE LES NIVEAUX GÏNÏRAUX DE
PERFORMANCE ET Ì ATTÏNUER LES VARIATIONS DE RENDEMENT ENTRE DISTRICTS GROUPES
SOCIO ÏCONOMIQUES ET SEXES 4OUTE LA QUESTION EST DE SAVOIR SI CES DEUX OBJECTIFS
SONT COMPATIBLES OU EN DAUTRES TERMES SIL EST POSSIBLE DE REHAUSSER LES NIVEAUX
MOYENS DE PERFORMANCE TOUT EN COMBLANT LES ÏCARTS DE PERFORMANCE ENTRE LES
ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX SOCIO ÏCONOMIQUES DIFFÏRENTS
,A FIGURE MONTRE LA RELATION ENTRE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE ÕÊÃiÊ`iÊV
>µÕiÊ«>ÞÃ]Ê
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ½«>VÌÊ`ÕÊiÕÊ
ET CULTUREL DANS CHAQUE PAYS ,E GRADIENT DE CHAQUE PAYS EST REPRÏSENTÏ PAR UNE ÃVjVµÕiÊÃÕÀÊ
LIGNE GRIS CLAIR ,A LIGNE PLUS FONCÏE REPRÏSENTE LE GRADIENT DE LENSEMBLE DES >Ê«iÀvÀ>ViÊ«iÕÌÊ
PAYS DE L/#$% DÏJÌ PRÏSENTÏ DANS LA FIGURE kÌÀiÊiÝ>jo
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
oiÊvVÌÊ`iʵÕ>ÌÀiÊ ,E NIVEAU LA PENTE LA LONGUEUR ET LA MAGNITUDE DES GRADIENTS DÏCRIVENT LA RELATION
«À«ÀjÌjÃÊ`iÃÊ}À>`iÌÃÊ\ ENTRE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ET LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET
CULTUREL DANS CHAQUE PAYS #ES GRADIENTS SONT PRÏSENTÏS DANS LA FIGURE ET
DANS LE TABLEAU Y AFFÏRENT
o>Ê«iÀvÀ>ViÊ n ,E NIVEAU n CEST Ì DIRE LA HAUTEUR MOYENNE n DES LIGNES DE GRADIENT REPRÏSENTÏES
}L>i]ÊV½iÃÌD`ÀiÊiÊ DANS LA FIGURE EST INDIQUÏ DANS LA COLONNE DU TABLEAU ,E NIVEAU
ÃVÀiÊÞiÊVÀÀ}jÊiÊ CORRESPOND AU SCORE MOYEN EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ATTEINT DANS CHAQUE PAYS
vVÌÊ`ÕÊ«>ÞÃ>}iÊ PAR LES ÏLÒVES DONT LE MILIEU SOCIAL ÏCONOMIQUE ET CULTUREL EST ÏGAL AU MILIEU
jVµÕiÊ`ÕÊ«>ÞÃo SOCIO ÏCONOMIQUE MOYEN DES PAYS DE L/#$% )L DONNE DES INDICATIONS SUR
LE NIVEAU GLOBAL DE PERFORMANCE DU SYSTÒME DENSEIGNEMENT QUI SERAIT ATTEINT
DANS CHAQUE PAYS SI LE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL DE LA POPULATION
DÏLÒVES Y ÏTAIT IDENTIQUE AU STATUT MOYEN DE L/#$% ,E NIVEAU MOYEN DU
GRADIENT EST DE POINTS POUR LES PAYS DE L/#$%
o½jV>ÀÌÊiÌÀiÊiÃÊ n ,A PENTE DES GRADIENTS INDIQUE LA PART DES ÏCARTS DE PERFORMANCE EN LECTURE QUI
}ÀÕ«iÃÊ`½jmÛiÃÊ«ÕÃÊÕÊ EST IMPUTABLE AUX FACTEURS SOCIO
ÏCONOMIQUES COLONNE DU TABLEAU 0LUS
ÃÊv>ÛÀÃjÃo LA PENTE EST PRONONCÏE PLUS LIMPACT DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL
SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EST IMPORTANT ET PLUS LES INÏGALITÏS SONT GRANDES
° LINVERSE MOINS LA PENTE EST MARQUÏE MOINS CET IMPACT EST IMPORTANT ET
MOINS LES INÏGALITÏS SONT GRANDES %N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% LE
COEFFICIENT DE PENTE EST DE CE QUI SIGNIFIE QUE LE SCORE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT AUGMENTE EN MOYENNE DE POINTS
}ÕÀiÊn°Ó
2ELATION ENTRE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ET LE CONTEXTE SOCIO
ÏCONOMIQUE
POUR CHAQUE PAYS
'RADIENTS SOCIO
ÏCONOMIQUES POUR CHAQUE PAYS
0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE
LgÏCRIT MOYENNE SUR LgÏCHELLE 0)3!
.IVEAU
.IVEAU
'RADIENT
SOCIO
ÏCONOMIQUE
MOYEN
.IVEAU
.IVEAU
.IVEAU
!U
DESSOUS
DU NIVEAU
)NDICE DU STATUT
ÏCONOMIQUE SOCIAL ET
CULTUREL ÏCARTS TYPES
.OTE 0OUR LIDENTIFICATION DE CHAQUE PAYS VOIR TABLEAU ET FIGURE A
C
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
SI LA VALEUR DINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL AUGMENTE DUNE
UNITÏ ,ÏCART TYPE DE LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL VAUT
UNE UNITÏ $ANS UNE RÏPARTITION NORMALE DEUX TIERS DE LA POPULATION SE SITUENT
DANS UNE PLAGE DE VALEURS DONT LA LIMITE SUPÏRIEURE EST ÏGALE Ì LA MOYENNE PLUS
UN ÏCART TYPE ET LA LIMITE INFÏRIEURE Ì LA MOYENNE MOINS UN ÏCART TYPE $ANS
LE CAS DE LA .ORVÒGE PAR EXEMPLE LE GRADIENT CORRESPOND AU GRADIENT MOYEN
DE L/#$% POINTS $ANS CE PAYS LE SCORE MOYEN EN LECTURE DES ÏLÒVES
DONT LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE EST INFÏRIEUR DUNE UNITÏ Ì LA MOYENNE EST
DE POINTS SOIT POINTS DE MOINS PAR RAPPORT AU SCORE NATIONAL MOYEN
POINTS TANDIS QUE CELUI DES ÏLÒVES DONT LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE EST
SUPÏRIEUR DUNE UNITÏ PAR RAPPORT Ì LA MOYENNE EST DE SOIT POINTS DE
PLUS PAR RAPPORT AU SCORE NATIONAL MOYEN #E PHÏNOMÒNE PEUT ÐTRE DÏCRIT
DUNE AUTRE MANIÒRE EN .ORVÒGE LES SCORES MOYENS EN COMPRÏHENSION DE
LÏCRIT DES ÏLÒVES QUI SE SITUENT DANS LE SEXTILE LE MOINS FAVORISÏ ET LE SEXTILE
LE PLUS FAVORISÏ DE LA POPULATION DE L/#$% DIFFÒRENT DE PLUS DE POINTS
SOIT PLUS DUN NIVEAU DE COMPÏTENCE DES ÏLÒVES QUI SONT PARMI LE SIXIÒME DES
PLUS AVANTAGÏS ,!LLEMAGNE EST LE PAYS Oá LA PENTE DU GRADIENT EST LA PLUS
PRONONCÏE POINTS ,ÏCART ENTRE LE SCORE MOYEN EN LECTURE DES ÏLÒVES
CLASSÏS DANS LES SEXTILES SUPÏRIEUR ET INFÏRIEUR DU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE
Ì LÏCHELLE INTERNATIONALE REPRÏSENTE PLUS DE POINTS SOIT PRÒS DE DEUX
NIVEAUX DE COMPÏTENCE
n ,A LONGUEUR DES LIGNES DE GRADIENT EST DÏTERMINÏE PAR LA PLAGE DES VALEURS DE o½>«iÕÀÊ`iÊ>Ê
STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE DES POUR CENT MÏDIANS DES ÏLÒVES CEST
Ì
DIRE CEUX `ëiÀÃÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÊ
SITUÏS ENTRE LE E ET LE E CENTILES DE CHAQUE PAYS AINSI QUE PAR LA PENTE DES GRA
vVÌÊ`ÕÊiÕÊÃV
DIENTS $ANS LA COLONNE DU TABLEAU FIGURENT LES PLAGES DE VALEURS DE LINDICE jVµÕio
DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL PAR RAPPORT AU GRADIENT )L SAGIT DONC
DUNE MESURE DE LAMPLEUR DE LA DISPERSION DES ÏLÒVES EN FONCTION DU MILIEU
SOCIO
ÏCONOMIQUE 0LUS LES LIGNES DE GRADIENT SONT LONGUES PLUS LA DISPERSION
SOCIO
ÏCONOMIQUE DE LA POPULATION EST GRANDE DANS LE PAYS CONCERNÏ
n ,A MAGNITUDE DE LA RELATION ENTRE LA PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT oiÌÊ`>ÃʵÕiiÊiÃÕÀiÊ
ET LE MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE RENVOIE Ì LAMPLITUDE DE LA VARIATION DE LA iÊiÕÊ`iÃÊjmÛiÃÊiÃÌÊjÊ
PERFORMANCE INDIVIDUELLE DES ÏLÒVES PAR RAPPORT Ì LA LIGNE DE GRADIENT #E DÊ>Ê«iÀvÀ>Vi°
PHÏNOMÒNE EST REPRÏSENTÏ DANS LA FIGURE PAR LA DISPERSION DES POINTS
AU
DESSUS ET EN DESSOUS DE LA LIGNE MAIS NEST PAS REPRIS DANS LA FIGURE
,A COLONNE DU TABLEAU CHIFFRE LA i VARIANCE EXPLIQUÏE w CET INDICATEUR
STATISTIQUE ÏVALUE LA MAGNITUDE DE LA RELATION EN DÏTERMINANT LA PART DE LA
VARIATION DU SCORE DES ÏLÒVES QUI PEUT ÐTRE IMPUTÏE Ì LA RELATION REPRÏSENTÏE
PAR LA LIGNE DE GRADIENT 3I LA VALEUR DE CET INDICATEUR EST FAIBLE LA VARIATION
DE PERFORMANCE DES ÏLÒVES NE PEUT ÐTRE ASSOCIÏE QUE DANS UNE FAIBLE MESURE
AU MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES ET INVERSEMENT %N MOYENNE DANS LA
ZONE DE L/#$% POUR CENT DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST IMPUTABLE AU STATUT
ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL #ETTE PART DE VARIATION SÏTEND DUN MINIMUM
DE POUR CENT EN )SLANDE Ì UN MAXIMUM DE POUR CENT EN (ONGRIE
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
,A FIGURE ET LE TABLEAU METTENT PLUSIEURS PHÏNOMÒNES EN ÏVIDENCE
½jV>ÀÌÊ`iÊ«iÀvÀ>ViÊ n %N PREMIER LIEU LE GRADIENT SOCIO ÏCONOMIQUE VARIE SELON LES PAYS ,A FIGURE
iÌÀiÊjmÛiÃÊ«ÀÛj}jÃÊiÌÊ MONTRE NON SEULEMENT LES PAYS QUI PRÏSENTENT UN NIVEAU DE PERFORMANCE
`jÃ>Û>Ì>}jÃÊÛ>ÀiÊ`½ÕÊ FAIBLE OU ÏLEVÏ SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT MAIS AUSSI
«>ÞÃÊDʽ>ÕÌÀiÊÃiÊÕÊ CEUX QUI AFFICHENT UNE VARIATION FAIBLE OU ÏLEVÏE DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES
VivvViÌÊj}>ÊDÊÌÀÃo ISSUS DE MILIEUX SOCIO ÏCONOMIQUES DIFFÏRENTS 5NE MISE EN GARDE SIMPOSE Ì
LÏGARD DE CETTE VARIATION AINSI QUE LE MONTRE LEXEMPLE SUIVANT QUI COMPARE
LA SITUATION DE DEUX ÏLÒVES ,E PREMIER EST ISSU DUN MILIEU MOINS FAVORISÏ
DANS LA POPULATION INTERNATIONALE CINQ SIXIÒMES DES ÏLÒVES PRÏSENTENT UN
STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL SUPÏRIEUR AU SIEN ,E SECOND EST ISSU
DUN MILIEU RELATIVEMENT PRIVILÏGIÏ DANS LA POPULATION INTERNATIONALE SEUL UN
ÏLÒVE SUR SIX PRÏSENTE UN STATUT SOCIO ÏCONOMIQUE SUPÏRIEUR AU SIEN ,ÏCART
DE PERFORMANCE MOYEN ENTRE CES DEUX ÏLÒVES VARIE DUN PAYS Ì LAUTRE SELON UN
COEFFICIENT ÏGAL Ì TROIS CET ÏCART REPRÏSENTE POINTS SOIT NIVEAU
DE COMPÏTENCE AU *APON ET EN #ORÏE ET POINTS SOIT NIVEAU DE
COMPÏTENCE EN !LLEMAGNE LES DEUX ÏCARTS CORRESPONDENT AU DOUBLE DU
SCORE DU GRADIENT SOIT UN ÏCART TYPE ,A FIGURE MONTRE AUSSI CLAIREMENT QUE
DES PERFORMANCES ÏLEVÏES NE VONT PAS FORCÏMENT DE PAIR AVEC DE GRANDES
INÏGALITÏS %N EFFET CERTAINS DES PAYS AFFICHANT LES PLUS BELLES PERFORMANCES
PRÏSENTENT DES GRADIENTS RELATIVEMENT PEU PRONONCÏS
o>ÃÊiÊ«ÀvÊÃV>Ê n %N DEUXIÒME LIEU LES PLAGES DES VALEURS DE LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL
`iÃÊ«>ÞÃÊ`vvmÀiÊ ET CULTUREL RÏPARTIES EN FONCTION DES LIGNES DE GRADIENT VARIENT GRANDEMENT SELON
VÃ`jÀ>LiiÌ° LES PAYS MOINS DE UNITÏS DINDICE SÏPARENT LES POUR CENT DÏLÒVES ISSUS DES
MILIEUX LES PLUS PRIVILÏGIÏS DES POUR CENT DÏLÒVES ISSUS DES MILIEUX LES PLUS
DÏFAVORISÏS EN !UTRICHE AU *APON EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE ET EN 3UÒDE #ET ÏCART
REPRÏSENTE AU MOINS QUATRE UNITÏS AU "RÏSIL ET AU -EXIQUE ,ES DÏFIS QUIMPOSE
LA VARIATION DU MILIEU SOCIAL ET ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES AUX SYSTÒMES DENSEIGNE
MENT SONT DONC TRÒS DIFFÏRENTS DUN PAYS Ì LAUTRE 0AR RAPPORT AU *APON ET Ì LA
3UÒDE LE "RÏSIL ET LE -EXIQUE AURONT FORT Ì FAIRE POUR AMÏLIORER LÏGALITÏ DES
CHANCES DANS LE DOMAINE DE LENSEIGNEMENT
1Ê>Û>Ì>}iÊ n %N TROISIÒME LIEU LES GRADIENTS SONT RELATIVEMENT LINÏAIRES DANS LA PLUPART
ÃVjVµÕiÊ DES PAYS %N RÒGLE GÏNÏRALE LAUGMENTATION DE LA VALEUR DE LINDICE DE STATUT
ÃÕ««jiÌ>ÀiÊÃiÊ ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL VA DE PAIR AVEC LAUGMENTATION DU NIVEAU DE
Àj«iÀVÕÌiÊ`iÊv>XÊ PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT 0OURTANT
ÃiL>LiÊÃÕÀÊÌÕÌiÊ>Ê NUL NAURAIT ÏTÏ SURPRIS DE CONSTATER UNE PENTE PLUS PRONONCÏE AUX VALEURS
}ÕiÕÀÊ`iʽjV
iio PLUS FAIBLES DE LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL ET MOINS
MARQUÏE AUX VALEURS PLUS ÏLEVÏES DE CET INDICE ,ES GRADIENTS DE PERFORMANCE
SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SUIVENT CETTE TENDANCE
DANS PLUSIEURS PAYS 4OUTEFOIS LAUGMENTATION DE LA VALEUR DE LINDICE DE STATUT
ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL NE PROVOQUE QUUNE LÏGÒRE MODIFICATION DE LA
PENTE PRESQUE INDISCERNABLE DANS LA FIGURE %N OUTRE DANS LES DEUX PAYS Oá
LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL EST TRÒS FAIBLE n AU "RÏSIL ET AU
-EXIQUE n LES GRADIENTS SUIVENT LA TENDANCE INVERSE LA PENTE EST RELATIVEMENT
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
PEU MARQUÏE LORSQUE LES VALEURS DINDICE SONT FAIBLES MAIS SACCENTUE Ì MESURE
QUE CES VALEURS AUGMENTENT %T POURTANT DANS CES DEUX PAYS LA PERFORMANCE EN
LECTURE ET LE STATUT ÏCONOMIQUE ET SOCIAL DUNE PROPORTION RELATIVEMENT ÏLEVÏE
DÏLÒVES SONT NETTEMENT INFÏRIEURS Ì CEUX DES POUR CENT DÏLÒVES LES PLUS
FAIBLES DE LA PLUPART DES PAYS DE L/#$% #E CONSTAT POURRAIT INDIQUER QUIL
EXISTE UN SEUIL DE STATUT ÏCONOMIQUE ET SOCIAL EN DESSOUS DUQUEL LES DIFFÏRENCES
SOCIO
ÏCONOMIQUES NONT GUÒRE DIMPACT SUR LA CAPACITÏ DES ÏLÒVES Ì MENER Ì
BIEN LES TÊCHES ADMINISTRÏES DANS LE CADRE DU 0)3!
,A TENDANCE Ì LA LINÏARITÏ DES GRADIENTS DANS LA PLAGE DE VALEURS DE LINDICE DE oiÌÊʽiÝÃÌiÊ«>ÃÊ`iÊ
STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL DANS TOUS LES PAYS RENVOIE Ì UN PHÏNO
ÃiÕÊ«ÀjVÃÊ`iÊ
MÒNE QUI REVÐT UNE CERTAINE IMPORTANCE POUR LACTION PUBLIQUE ,A POLITIQUE `jÃ>Û>Ì>}iÊÃV>Ê
SOCIALE DE NOMBREUX PAYS VISE Ì ACCROÔTRE LES RESSOURCES DES PLUS DÏFAVORISÏS `jÌiÀ>ÌÊiÊ«ÌÊÙÊ
PAR LE BIAIS DE LA FISCALITÏ OU LA MISE EN UVRE DE PROGRAMMES SOCIAUX DESTI
ÕiÊÌiÀÛiÌÊÃiÀ>ÌÊ
NÏS SPÏCIFIQUEMENT Ì CERTAINS GROUPES CIBLES ,ES RÏSULTATS DU 0)3! INDIQUENT «ÕÃÊivvV>Vi°
QUIL EST DIFFICILE DE FIXER UN i SEUIL ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL PEU ÏLEVÏ w
SOUS LEQUEL LA PERFORMANCE BAISSE CONSIDÏRABLEMENT $E PLUS SI ON ENVISAGE LE
STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL COMME UN INDICATEUR INDIRECT DES DÏCI
SIONS ET ACTES DES PARENTS VISANT Ì ENRICHIR LENVIRONNEMENT DE LEURS ENFANTS
n LIRE AVEC EUX OU SINTÏRESSER Ì LEURS ACTIVITÏS SCOLAIRES PAR EXEMPLE n CES
RÏSULTATS MONTRENT QUIL RESTE UNE MARGE DAMÏLIORATION Ì TOUS LES NIVEAUX
DE LÏCHELLE SOCIO
ÏCONOMIQUE ,E FAIT QUIL SOIT MALAISÏ DE DISCERNER CE SEUIL
NIMPLIQUE TOUTEFOIS PAS QUE LE SOUTIEN DIFFÏRENCIÏ AUX ÏLÒVES NEST PAS JUSTIFIÏ
$E NOMBREUX PAYS ONT RÏUSSI Ì ATTÏNUER LES DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE ENTRE
LES SEXES PAR LE BIAIS DE LA DIFFÏRENCIATION DE LOFFRE DENSEIGNEMENT #ET
EXEMPLE MONTRE QUE DES EFFORTS CIBLÏS PEUVENT SE RÏVÏLER TRÒS EFFICACES POUR
RÏDUIRE LES DISPARITÏS
n %NFIN IL RESTE Ì ÏVOQUER LA TENDANCE Ì LA CONVERGENCE DES GRADIENTS EN PRÏSENCE DE iÃÊ`vvjÀiViÃÊ`½ÕÊ«>ÞÃÊ
VALEURS ÏLEVÏES DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL ,ES LIGNES DE LA FIGURE Dʽ>ÕÌÀiÊÃÌÊ«ÕÃÊ
SONT PLUS PROCHES LES UNES DES AUTRES DANS LA PARTIE DROITE QUE DANS LA PARTIE GAUCHE «ÀÌ>ÌiÃÊiÌÀiÊjmÛiÃÊ
DU GRAPHIQUE 1UOIQUE MODÏRÏE CETTE TENDANCE SIGNIFIE QUE LES PAYS DONT LES `jÃ>Û>Ì>}jÃʵսiÌÀiÊ
SCORES SONT ÏLEVÏS SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT AFFICHENT EN jmÛiÃÊ>Û>Ì>}jð
RÒGLE GÏNÏRALE DES GRADIENTS PLUS UNIFORMES %LLE SUGGÒRE ÏGALEMENT UNE VARIATION
MOINDRE DES PERFORMANCES EN LECTURE DES ÏLÒVES DONT LE STATUT ÏCONOMIQUE
SOCIAL ET CULTUREL EST ÏLEVÏ EN COMPARAISON AVEC CEUX DONT LE STATUT ÏCONOMIQUE
SOCIAL ET CULTUREL EST FAIBLE ,IMPACT DE DIFFÏRENTES EXPÏRIENCES ÏDUCATIVES SUR LA
PERFORMANCE DES ÏLÒVES RISQUE DONC DÐTRE PLUS IMPORTANT POUR LES ÏLÒVES ISSUS DE
MILIEUX SOCIO
ÏCONOMIQUES DÏFAVORISÏS
,A FIGURE MONTRE DE MANIÒRE TRÒS SCHÏMATIQUE QUE TANT LA NATURE QUE LAMPLEUR iÃÊ«>ÞÃÊ«iÕÛiÌÊkÌÀiÊ
DE LA RELATION ENTRE MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE ET PERFORMANCE DES ÏLÒVES VARIENT Ài}ÀÕ«jÃÊÃiÊ`iÃÊ
ÏNORMÏMENT SELON LES PAYS ,ANALYSE PLUS APPROFONDIE DE CES DONNÏES RÏVÒLE PLUSIEURS VL>ÃÃÊ`iÊ
TENDANCES ,ES FIGURES A
C REGROUPENT LES PAYS EN FONCTION DES COMBINAISONS DE «iÀvÀ>ViÊÞiiÊ
i QUALITÏ MOYENNE w LES PERFORMANCES MOYENNES DES ÏLÒVES DANS CHAQUE PAYS ET iÌÊ`½j}>ÌjÊ\
Di ÏGALITÏ w MESURÏE PAR LIMPACT DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL SUR LES
PERFORMANCES DES ÏLÒVES CEST
Ì
DIRE LA PENTE DES GRADIENTS
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
}ÕÀiÊn°Î
2ELATION ENTRE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ET LE CONTEXTE SOCIO
ÏCONOMIQUE
POUR CHAQUE PAYS
'RADIENTS SOCIO
ÏCONOMIQUES POUR CHAQUE PAYS
,gIMPACT DU CONTEXTE
SOCIO
ÏCONOMIQUE SUR LA 0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LgÏCRIT MOYENNE SUR LgÏCHELLE 0)3!
PERFORMANCE DES ÏLÒVES EST .OUVELLE
:ÏLANDE .IVEAU
!USTRALIE
INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE
! 0AYS DONT LA PERFORMANCE MOYENNE EST
SIGNIFICATIVEMENT SUPÏRIEURE AU NIVEAU #ANADA
"ELGIQUE
STATISTIQUE Ë LA MOYENNE DE Lg/#$% 3UÒDE
!UTRICHE .IVEAU
,gIMPACT DU CONTEXTE )SLANDE
&INLANDE
SOCIO
ÏCONOMIQUE SUR LA
PERFORMANCE DES ÏLÒVES NgEST #ORÏE
.IVEAU
PAS SIGNIFICATIVEMENT *APON
DIFFÏRENT DE LgIMPACT MOYEN )RLANDE
POUR Lg/#$% 2OYAUME
5NI .IVEAU
,gIMPACT DU CONTEXTE .IVEAU
SOCIO
ÏCONOMIQUE SUR LA !U
DESSOUS
PERFORMANCE DES ÏLÒVES EST DU NIVEAU
SUPÏRIEUR Ì LA MOYENNE
)NDICE DU STATUT
ÏCONOMIQUE SOCIAL ET
CULTUREL ÏCARTS TYPES
0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LgÏCRIT MOYENNE SUR LgÏCHELLE 0)3!
.IVEAU
" 0AYS DONT LA PERFORMANCE MOYENNE EST
SIGNIFICATIVEMENT INFÏRIEURE AU NIVEAU ³TATS
5NIS
STATISTIQUE Ë LA MOYENNE DE Lg/#$% 3UISSE
$ANEMARK
.ORVÒGE .IVEAU
.IVEAU
&RANCE
.IVEAU
.IVEAU
!U
DESSOUS
DU NIVEAU
)NDICE DU STATUT
ÏCONOMIQUE SOCIAL ET
CULTUREL ÏCARTS TYPES
0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LgÏCRIT MOYENNE SUR LgÏCHELLE 0)3!
.IVEAU
# 0AYS DONT LA PERFORMANCE MOYENNE SE SITUE
SIGNIFICATIVEMENT AU
DESSOUS DE LA MOYENNE 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
DE Lg/#$% ,IECHTENSTEIN
!LLEMAGNE
0ORTUGAL .IVEAU
)TALIE
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
.IVEAU
%SPAGNE
"RÏSIL
0OLOGNE
.IVEAU
'RÒCE
-EXIQUE (ONGRIE
,UXEMBOURG .IVEAU
!U
DESSOUS
DU NIVEAU
)NDICE DU STATUT
ÏCONOMIQUE SOCIAL ET
CULTUREL ÏCARTS TYPES
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
,A FIGURE A IDENTIFIE LES PAYS DONT LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE oiÃÊ«>ÞÃʵÕÊÀjÕÃÃÃÃiÌÊ
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE 0ARMI CES PAYS SIX n LE #ANADA LiÊiÊÞiiÊ
LA #ORÏE LA &INLANDE L)SLANDE LE *APON ET LA 3UÒDE n SE DISTINGUENT PAR LA GRANDE «iÕÛiÌÊ«ÀjÃiÌiÀÊ`ÛiÀÃÊ
QUALITÏ ET LA GRANDE ÏGALITÏ RELATIVES DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES ISSUS DE GROUPES SOCIO
`i}ÀjÃÊ`½j}>ÌjÊiÌÀiÊ
ÏCONOMIQUES DIFFÏRENTS TABLEAU $ANS LES PAYS DE CETTE CATÏGORIE LE SCORE MOYEN jmÛiÃo
SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST DE LORDRE DE POINTS SOIT UN
NIVEAU NETTEMENT SUPÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE DE L/#$% MAIS LEUR PENTE MOYENNE
EST DE CE QUI EST NETTEMENT INFÏRIEUR Ì LA PENTE MOYENNE DE DE L/#$% )L
RESSORT DE LANALYSE DE CES PAYS QUUN NIVEAU RELATIVEMENT ÏLEVÏ DE PERFORMANCE NEST
PAS INCOMPATIBLE AVEC UNE ÏGALITÏ RELATIVE ENTRE GROUPES SOCIO
ÏCONOMIQUES FAVORISÏS ET
DÏFAVORISÏS $ANS TROIS AUTRES PAYS Ì SAVOIR L!USTRALIE LA "ELGIQUE ET LE 2OYAUME
5NI
LA PERFORMANCE EST DE GRANDE QUALITÏ MAIS LINÏGALITÏ DES PERFORMANCES ENTRE ÏLÒVES DES
DIFFÏRENTS GROUPES SOCIO
ÏCONOMIQUES EST SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE $ANS LES AUTRES PAYS
DE LA FIGURE n L!UTRICHE L)RLANDE ET LA .OUVELLE
:ÏLANDE n LA PERFORMANCE MOYENNE EST
SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE DE L/#$% MAIS IL NEXISTE PAS DE DIFFÏRENCE STATISTIQUEMENT
SIGNIFICATIVE ENTRE LEURS GRADIENTS ET LE GRADIENT MOYEN DE L/#$%
,A FIGURE B IDENTIFIE LES CINQ PAYS DONT LE SCORE NEST PAS SIGNIFICATIVEMENT DIFFÏRENT oiÃÊ«>ÞÃÊ`ÌÊ>Ê
DE LA MOYENNE DE L/#$% 0ARMI CES PAYS LES ³TATS
5NIS LA &RANCE ET LA 3UISSE «iÀvÀ>ViÊiÃÌÊÞiiÊ
AFFICHENT UNE INÏGALITÏ SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE ENTRE LES DIFFÏRENTS GROUPES SOCIO
«iÕÛiÌÊ«ÀjÃiÌiÀÊÕÊjV>ÀÌÊ
ÏCONOMIQUES ALORS QUE LES GRADIENTS SOCIO
ÏCONOMIQUES DU $ANEMARK ET DE LA «ÀÌ>ÌÊiÌÀiÊ`vvjÀiÌÃÊ
.ORVÒGE NE DIFFÒRENT PAS SIGNIFICATIVEMENT DU GRADIENT MOYEN DE L/#$% }ÀÕ«iÃÊÃV>ÕÝo
,A FIGURE C IDENTIFIE LES PAYS DONT LE SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE oiÌÊÊ«iÕÌÊLÃiÀÛiÀÊ
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE 1UATRE DE CES PAYS n L!LLEMAGNE >ÕÃÃÊ`iÊvÀÌiÃÊj}>ÌjÃÊ
LA (ONGRIE LE ,UXEMBOURG ET LA 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n PRÏSENTENT UNE INÏGALITÏ `>ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃÊ`ÌÊ
SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE ET UNE PERFORMANCE INFÏRIEURE Ì LA MOYENNE #ETTE ANALYSE iÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊÃiÊ
DONNE Ì PENSER QUILS POURRAIENT REHAUSSER SENSIBLEMENT LEUR PERFORMANCE MOYENNE ÃÌÕiÌÊ>Õ`iÃÃÕÃÊ`iÊ>Ê
SILS PARVENAIENT Ì ATTÏNUER LIMPACT DU MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE SUR LA PERFORMANCE Þii°
DES ÏLÒVES )NVERSEMENT EN %SPAGNE EN &ÏDÏRATION DE 2USSIE EN )TALIE ET AU -EXIQUE
LA PERFORMANCE INFÏRIEURE Ì LA MOYENNE SE COMBINE Ì UNE ÏGALITÏ SUPÏRIEURE Ì LA
MOYENNE DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES ISSUS DE GROUPES SOCIO
ÏCONOMIQUES DIFFÏRENTS
$ANS LES AUTRES PAYS QUE MONTRE CETTE FIGURE n LE "RÏSIL LA 'RÒCE LE ,IECHTENSTEIN
LA 0OLOGNE ET LE 0ORTUGAL n LA PERFORMANCE MOYENNE EST INFÏRIEURE Ì LA MOYENNE DE
L/#$% MAIS IL NEXISTE PAS DE DIFFÏRENCE STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE ENTRE LEUR
GRADIENT SOCIO
ÏCONOMIQUE ET LE GRADIENT MOYEN DE L/#$%
,E CONTEXTE GÏNÏRAL DANS LEQUEL LES SYSTÒMES DENSEIGNEMENT SONT MIS EN UVRE ET
SURTOUT LA RÏPARTITION DES VARIABLES ÏCONOMIQUES ET SOCIALES AU SEIN DES PAYS DOIVENT
DE TOUTE ÏVIDENCE ÐTRE PRIS EN CONSIDÏRATION POUR INTERPRÏTER CES RELATIONS
,ES DIVERS ASPECTS DU MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE
,ANALYSE EXPOSÏE JUSQUICI SE BASE SUR LINDICE COMPOSITE DE STATUT ÏCONOMIQUE ÊiÃÌÊj}>iiÌÊ«ÃÃLiÊ
SOCIAL ET CULTUREL )L SEMBLE TOUTEFOIS UTILE DE SE PENCHER SUR LES IMPACTS SPÏCIFIQUES `½ÃiÀʽ«>VÌÊÀiëiVÌvÊ`iÃÊ
DES DIVERS ÏLÏMENTS CONSTITUANT LE MILIEU DES ÏLÒVES SUR LA PERFORMANCE DANS LES `ÛiÀÃÊjjiÌÃÊVÃÌÌÕ>ÌÊiÊ
DOMAINES DÏVALUATION DU 0)3! POUR COMPRENDRE PLUS PRÏCISÏMENT LES RAISONS ET iÕÊ`iÃÊjmÛiÃo
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
LES CIRCONSTANCES DE LA VARIATION DE LA RELATION ENTRE MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE ET
PERFORMANCE DES ÏLÒVES ENTRE LES PAYS #EST PRÏCISÏMENT LOBJECTIF DE LANALYSE QUI
SUIT #ETTE ANALYSE ÏTUDIE LES COMPOSANTS DE LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET
CULTUREL ET LES VARIABLES Y AFFÏRENT TELLES QUE LA STRUCTURE FAMILIALE ET LORIGINE DES
ÏLÒVES AUTOCHTONE OU ALLOCHTONE
oiÊjÌÕ`>ÌÊÕÊ}ÀÕ«iÊ ,A MÏTHODE LA PLUS SIMPLE POUR MESURER LIMPACT DE CES ASPECTS DE MANIÒRE
`½jmÛiÃÊÛÀÌÕiÊ>ÛiVÊÕÊ COHÏRENTE DANS LENSEMBLE DE L/#$% CONSISTE Ì ÏTUDIER DANS CHAQUE PAYS UN
«ÀvÊÃVjVµÕiÊ GROUPE VIRTUEL DE ÏLÒVES DONT LE PROFIL EST IDENTIQUE Ì CELUI DUN GROUPE
VÀÀië`>ÌÊ>ÕÊ«ÀvÊ CONSTITUÏ PAR UN ÏCHANTILLONNAGE ALÏATOIRE DANS LA ZONE /#$% LE NOMBRE
ÊÌÞ«iÊÊ`iÊV
>µÕiÊ«>Þð DÏLÒVES ÏTANT IDENTIQUE DANS CHAQUE PAYS
,A COMPOSITION MOYENNE DE CE GROUPE DE ÏLÒVES EST LA SUIVANTE
n GAR ONS ET FILLES VOIR WWWPISAOECDORG
n ÏLÒVES ISSUS DE FAMILLES MONOPARENTALES TABLEAU
n ÏLÒVES NÏS DANS UN AUTRE PAYS QUE CELUI DE LÏVALUATION TABLEAU
n ÏLÒVES POUR LESQUELS LA LANGUE LA PLUS SOUVENT PARLÏE Ì LA MAISON EST
DIFFÏRENTE DE CELLE DU TEST DAUTRES LANGUES OFFICIELLES OU DAUTRES DIALECTES
NATIONAUX TABLEAU
n LE NOMBRE DE FRÒRES ET SURS DES ÏLÒVES DU GROUPE EST COMPRIS ENTRE UN ET
DEUX VOIR WWPISAOECDORG
n LES PARENTS DES ÏLÒVES DU GROUPE ONT EN MOYENNE SUIVI ANNÏES DÏTUDES
VOIR LANNEXE !
n UNE VALEUR MOYENNE DE Ì LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE DE STATUT PROFESSIONNEL
DE CELUI DES DEUX PARENTS POUR QUI LA VALEUR DE CET INDICE EST LA PLUS ÏLEVÏE
VOIR LE TABLEAU A ET UNE VALEUR MOYENNE DE ZÏRO Ì LINDICE 0)3! DU
PATRIMOINE CULTUREL VOIR LE TABLEAU EN RAISON DE LA CONCEPTION DIFFÏRENTE
DE CES INDICES VOIR LANNEXE !
,ANALYSE SUIVANTE ÏTUDIE LA PERFORMANCE PRÏVUE DUN ÏCHANTILLON DE CE TYPE
DANS CHAQUE PAYS %LLE COMMENCE PAR AJUSTER LES RÏSULTATS DU 0)3! EN FONCTION
DE LA COMPOSITION DE LA POPULATION DU GROUPE DÏLÒVES UN FACTEUR QUI EXPLIQUE
DES DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE %LLE SE PENCHE ENSUITE SUR LIMPACT DES
CARACTÏRISTIQUES SPÏCIFIQUES SUR LE RÏSULTAT THÏORIQUE DES ÏLÒVES %LLE PERMET
DANS UNE CERTAINE MESURE DIDENTIFIER LES CAS DANS LESQUELS LES RÏSULTATS INFÏRIEURS
OU SUPÏRIEURS SONT EXPLIQUÏS PAR DES DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE RELATIVE ENTRE
DES ÏLÒVES DE CERTAINS GROUPES PLUTÙT QUE PAR LA VARIATION DU NOMBRE DÏLÒVES
APPARTENANT Ì CES GROUPES DANS CHAQUE PAYS
>Ê`iÕÝmiÊViÊ ,E TABLEAU RÏSUME LES RÏSULTATS DE CETTE ANALYSE ,A PREMIÒRE COLONNE DU
`ÕÊÌ>Li>ÕÊn°ÓÊ>ÕÃÌiÊiÃÊ TABLEAU INDIQUE LA PERFORMANCE RÏELLE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE
ÃVÀiÃÊÞiÃÊiÊvVÌÊ COMPRÏHENSION DE LÏCRIT TELLE QUELLE FIGURE DANS LE CHAPITRE ,A DEUXIÒME
`iÃÊV>À>VÌjÀÃ̵ÕiÃÊ COLONNE DU TABLEAU DONNE POUR CHAQUE PAYS UNE ESTIMATION DE LA PERFOR
ÃVjVµÕiÃo MANCE DUN GROUPE REPRÏSENTATIF TEL QUE CELUI DÏCRIT CI
DESSUS %N MOYENNE
DANS LES PAYS DE L/#$% ÏNUMÏRÏS AU BAS DU TABLEAU LE SCORE AJUSTÏ SUR
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST DE POINTS 4OUTEFOIS
LES SCORES AJUSTÏS VARIENT GRANDEMENT SELON LES PAYS DE L/#$% DE POINTS
AU -EXIQUE Ì POINTS EN &INLANDE %N DAUTRES TERMES LA PERFORMANCE
MOYENNE VARIE SENSIBLEMENT SELON LES PAYS MÐME APRÒS UN AJUSTEMENT EN
FONCTION DUN CERTAIN NOMBRE DE VARIABLES CONTEXTUELLES DONT LA POSSESSION DE
CERTAINS BIENS DOMESTIQUES LIMMIGRATION ETC
,ES AUTRES COLONNES DU TABLEAU MONTRENT LEFFET INDIVIDUEL DES CARACTÏRISTI
oiÌÊiÃÊ>ÕÌÀiÃÊViÃÊ
QUES DISTINCTES DU MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE SUR LA PERFORMANCE EN COMPRÏHEN
ÌÀiÌʽivviÌÊ`Û`ÕiÊ`iÊ
SION DE LÏCRIT V
>VÕiÊ`iÊViÃÊV>À>VÌjÀÃ̵Õið
,A COLONNE DU TABLEAU MONTRE LA DIFFÏRENCE DE PERFORMANCE ENTRE LES ÏLÒVES iÊv>ÌÊ`iÊÛÛÀiÊ`>ÃÊÕiÊ
QUI VIVENT DANS UNE FAMILLE MONOPARENTALE ET CEUX QUI VIVENT DANS DAUTRES TYPES v>iÊ«>ÀiÌ>iÊ
DE FAMILLE VOIR ÏGALEMENT LE TABLEAU ,ES VALEURS EN GRAS INDIQUENT QUE ½>ÊÕÊ«>VÌÊ`ÃÌVÌÊ
LES RELATIONS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES %N MOYENNE DANS LES PAYS DE µÕiÊ`>ÃÊÕiÊÀÌjÊ
L/#$% LÏCART DE PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE `iÊ«>ÞÃo
LÏCRIT REPRÏSENTE PRÒS DE POINTS ET EST FAVORABLE AUX ÏLÒVES VIVANT DANS DES
FAMILLES NUCLÏAIRES TOUTES CHOSES ÏTANT ÏGALES PAR AILLEURS )L EST COMPRIS ENTRE
ET POINTS AUX ³TATS
5NIS EN &INLANDE ET AU 2OYAUME
5NI ET ENTRE ET
POINTS EN #ORÏE EN &RANCE EN )RLANDE ET EN 3UÒDE )L NEST PAS STATISTIQUEMENT
SIGNIFICATIF DANS LES AUTRES PAYS Ì LEXCEPTION TOUTEFOIS DE L)TALIE POINTS
$ANS LA PLUPART DES PAYS LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES QUI SONT NÏS Ì LÏTRANGER okÌÀiÊjÊDʽjÌÀ>}iÀÊ
VOIR ÏGALEMENT LE TABLEAU A TENDANCE Ì ÐTRE INFÏRIEURE Ì CELLE DES ÏLÒVES >ÊÕiÊvÕiViÊ«ÕÃÊ
AUTOCHTONES MÐME APRÒS PRISE EN CONSIDÏRATION DE TOUS LES AUTRES FACTEURS «ÀVji]ÊLiʵÕiÊ
COMME LINDIQUE LA COLONNE DU TABLEAU $ANS LENSEMBLE DE L/#$% ViÊiÊÃÌÊ«>ÃÊiÊV>ÃÊ
LÏCART REPRÏSENTE EN MOYENNE POINTS 4OUTEFOIS IL VARIE GRANDEMENT SELON LES «>ÀÌÕÌo
PAYS %N !UTRICHE AU ,IECHTENSTEIN AU -EXIQUE ET EN 3UISSE IL REPRÏSENTE
PLUS DE POINTS SOIT PLUS DE LA MOITIÏ DUN ÏCART TYPE DU SCORE SUR LÏCHELLE
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT TANDIS QUAUX ³TATS 5NIS EN &ÏDÏRATION
DE 2USSIE AU 0ORTUGAL ET EN 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE IL NEST PAS STATISTIQUEMENT
SIGNIFICATIF MOINS DE POINTS ,E NIVEAU DE PERFORMANCE DES ÏLÒVES ALLOCHTONES
DÏPEND NATURELLEMENT DE NOMBREUX AUTRES FACTEURS QUE LES SEULES CARACTÏRISTIQUES
CONTEXTUELLES MESURÏES PAR LE 0)3! ET ANALYSÏES ICI ,EURS RÏSULTATS SONT ÏGALEMENT
LIÏS AUX CONDITIONS DE LEUR IMMIGRATION ET AUX EXPÏRIENCES ÏDUCATIVES VÏCUES DANS
LEUR PAYS DORIGINE MAIS AUSSI Ì LEFFICACITÏ DES NOUVEAUX SYSTÒMES DENSEIGNEMENT
DANS LESQUELS ILS SONT ENTRÏS
,A COLONNE DU TABLEAU MONTRE QUEN MOYENNE DANS LES PAYS DE o>ÛÀÊÕÊ«>ÀiÌÊ`ÌÊ
L/#$% LACCROISSEMENT DUN ÏCART TYPE DE LA VALEUR DE LINDICE SOCIO
iÊÃÌ>ÌÕÌÊ«ÀviÃÃiÊiÃÌÊ
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL DONNE LIEU Ì UNE AUGMENTA
jiÛjÊ«iÕÌÊ>ÛÀÊÕÊivviÌÊ
TION DE POINTS ENVIRON DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION VÃ`jÀ>LiÊ`>ÃÊViÀÌ>ÃÊ
DE LÏCRIT 5NE NOUVELLE FOIS CETTE MOYENNE OCCULTE DE GRANDES DISPARITÏS SELON «>ÞÃÊiÌÊiÌÌiiÌÊ`ÀiÊ
LES PAYS #EST EN !LLEMAGNE QUE LIMPACT DE LACCROISSEMENT DU STATUT SOCIO
`>ÃÊ`½>ÕÌÀiÃo
ÏCONOMIQUE EST LE PLUS IMPORTANT POINTS %N REVANCHE IL EST FAIBLE ET
STATISTIQUEMENT NON SIGNIFICATIF AU "RÏSIL EN #ORÏE AU $ANEMARK EN &INLANDE
EN 'RÒCE EN )RLANDE EN )SLANDE EN .ORVÒGE ET EN 3UÒDE
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
oiÌÊiÊv>ÌÊ`½>ÛÀÊ`iÃÊ %N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% CHAQUE ANNÏE DÏTUDE SUPPLÏMENTAIRE
«>ÀiÌÃÊ`ÌÊiÊÛi>ÕÊ`iÊ DES PARENTS VOIR LANNEXE ! DONNE LIEU Ì UNE PROGRESSION DE POINTS ENVIRON
vÀ>ÌÊiÃÌÊ«ÕÃÊjiÛjÊ DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT #ETTE MOYENNE EST
iÝiÀViÊÕiÊvÕiViÊ STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE Ì LINSTAR DES AUGMENTATIONS AFFÏRENTES DANS LA PLUPART
«À>̵ÕiiÌÊ«>ÀÌÕÌ° DES PAYS VOIR LA COLONNE DU TABLEAU %N MOYENNE UNE PROGRESSION DUN
POINT SOIT UN ÏCART TYPE DE LA VALEUR DES INDICES 0)3! DE RESSOURCES ÏDUCATIVES
ET DE PATRIMOINE CULTUREL VOIR LE TABLEAU PROVOQUE UNE AUGMENTATION DE
RESPECTIVEMENT ET POINTS DU SCORE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT VOIR LES
COLONNES ET DU TABLEAU #OMME CEST LE CAS POUR LES AUTRES VARIABLES
LEFFET DE CHACUN DE CES FACTEURS VARIE SENSIBLEMENT SELON LES PAYS PARTICIPANTS
iÊiÕÊ>ÊÕÊ«>VÌʵÕÊ $ANS LENSEMBLE DE NOMBREUX ASPECTS DU MILIEU SOCIO ÏCONOMIQUE MESURÏS
Û>ÀiÊVÃ`jÀ>LiiÌo PAR LE 0)3! ONT UN IMPACT IMPORTANT SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES DANS LES PAYS
DE L/#$% MAIS LA NATURE ET LAMPLEUR DE CES RELATIONS VARIENT CONSIDÏRABLE
MENT SELON LES PAYS )L RESSORT PAR AILLEURS DE CETTE ANALYSE QUE LES DIFFÏRENCES DE
PERFORMANCE ENTRE LES ÏLÒVES DES DIVERS PAYS 0)3! NE DISPARAISSENT PAS LORSQUE
LES DISPARITÏS LIÏES AU MILIEU FAMILIAL DES ÏLÒVES SONT PRISES EN CONSIDÏRATION
oiÌÊiÊ*-ÊvÕÀÌÊ ,ADÏQUATION DES RÏACTIONS POLITIQUES Ì DE TELLES DISPARITÏS DANS LES PERFORMAN
`iÃÊÃÌÀÕiÌÃÊ}À@ViÊ CES DES ÏLÒVES DÏPEND NATURELLEMENT DE FACTEURS ÏCONOMIQUES ET SOCIAUX QUI
>ÕݵÕiÃÊiÃÊ«>ÞÃÊ SONT HORS DE PORTÏE DU CORPS ENSEIGNANT 4OUTEFOIS LANALYSE DES GRADIENTS
«ÕÀÀÌÊ«ÕÀÃÕÛÀiÊ PERMET DE CARACTÏRISER LA PERFORMANCE DES ÏTABLISSEMENTS ET DONC DE TIRER
½jÌÕ`iÊ`iÊViÊ«
jmi° DES CONCLUSIONS PERTINENTES POUR LA POLITIQUE DE LENSEIGNEMENT ,E 0)3! A
NOTAMMENT POUR AMBITION DAIDER LES PAYS Ì MESURER LES PERFORMANCES DE LEUR
SYSTÒME DENSEIGNEMENT /N PEUT COMPARER LES MOYENNES LES RÏPARTITIONS ET
LES GRADIENTS SOCIO
ÏCONOMIQUES NATIONAUX DES DIFFÏRENTS PAYS MAIS ON PEUT
AUSSI PROCÏDER Ì CES COMPARAISONS Ì LINTÏRIEUR DES PAYS n ENTRE LES ³TATS LES
PROVINCES OU DAUTRES GROUPES DÏLÒVES ,ES PAYS AURONT ÏGALEMENT LA POSSIBILITÏ
DE SE RENDRE COMPTE DE LÏVOLUTION DE CES INDICATEURS ENTRE LE CYCLE DÏVALUA
TION 0)3! ET LES CYCLES DÏVALUATION Ì VENIR
,E RÙLE DES ÏTABLISSEMENTS DANS LATTÏNUATION DE LIMPACT DU
DÏSAVANTAGE SOCIO
ÏCONOMIQUE
iÊ`jÃ>Û>Ì>}iÊ .OMBREUX SONT LES FACTEURS LIÏS Ì LINFÏRIORITÏ SOCIO
ÏCONOMIQUE AUXQUELS LA POLITIQUE
µÕÊ>ÀµÕiÊÕÊjmÛiÊ DE LENSEIGNEMENT NE PEUT SATTAQUER DIRECTEMENT DU MOINS Ì COURT TERME ° TITRE
iÊÃiÊ}iÊ«>ÃÊ DEXEMPLE CITONS LE NIVEAU DENSEIGNEMENT DES PARENTS QUI NE PEUT AUGMENTER
>ÃjiÌ]Ê>ÃÊ QUE PROGRESSIVEMENT OU ENCORE LA RICHESSE FAMILIALE QUI DÏPEND DU DÏVELOPPEMENT
iÃÊjÌ>LÃÃiiÌÃÊ SOCIAL ET ÏCONOMIQUE Ì LONG TERME DU PAYS AINSI QUE DE LÏPARGNE INDIVIDUELLE
«iÕÛiÌÃÊiÊ #ELA SUSCITE UNE QUESTION PRIMORDIALE AUPRÒS DES POLITIQUES DANS QUELLE MESURE LES
>ÌÌjÕiÀʽivviÌʶ ÏTABLISSEMENTS ET LEURS POLITIQUES DENSEIGNEMENT PEUVENT
ILS ATTÏNUER LIMPACT DE
LINFÏRIORITÏ SOCIO
ÏCONOMIQUE SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
ÊiÃÌÊjViÃÃ>ÀiÊ`iÊÃ>ÛÀÊ ,IDENTIFICATION DES POLITIQUES SUSCEPTIBLES DAMÏLIORER LA PERFORMANCE GLOBALE
ÃÊiÃÊ`ë>ÀÌjÃÊÃiÊÃÌÕiÌÊ DES ÏLÒVES ET DATTÏNUER LIMPACT DU MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE SUR LEUR
iÌÀiÊiÃÊjÌ>LÃÃiiÌÃÊÕÊ RENDEMENT n CEST
Ì
DIRE ÏLEVER LE NIVEAU DE PERFORMANCE ET RÏDUIRE LA PENTE DU
DʽÌjÀiÕÀÊ`iÊViÕÝV° GRADIENT SOCIO
ÏCONOMIQUE DES PAYS n PASSE PAR LANALYSE DE LA RÏPARTITION DU
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
NIVEAU DE PERFORMANCE ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS ET AU SEIN DE CEUX
CI 0OUR CE
FAIRE IL SUFFIT DE DÏCOMPOSER LE GRADIENT DUN PAYS EN GRADIENTS PAR ÏTABLISSE
MENT QUI DÏCRIVENT LA RELATION ENTRE LA PERFORMANCE INDIVIDUELLE ET LE MILIEU
FAMILIAL DES ÏLÒVES QUI ÏVOLUENT DANS UN MÐME ENVIRONNEMENT SCOLAIRE ET EN
GRADIENTS DE COMPARAISON ENTRE ÏTABLISSEMENTS QUI DÏCRIVENT LA RELATION ENTRE LA
PERFORMANCE MOYENNE DES ÏTABLISSEMENTS ET LE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET
CULTUREL MOYEN DE LEURS EFFECTIFS
$ANS CERTAINS PAYS ON OBSERVE UNE SÏGRÏGATION SOCIO ÏCONOMIQUE ASSEZ TRANCHÏE iÃÊ«>ÞÃÊÙÊ>Ê
DES ÏLÒVES PROVOQUÏE NON SEULEMENT PAR LA SÏGRÏGATION DE RÏSIDENCE ET PAR Ãj}Àj}>ÌÊÃV>iÊiÌÀiÊ
LES FACTEURS ÏCONOMIQUES MAIS AUSSI PAR CERTAINES CARACTÏRISTIQUES DU SYSTÒME jÌ>LÃÃiiÌÃÊiÃÌÊ«ÕÃÊ
DENSEIGNEMENT ,A PENTE DES GRADIENTS SOCIO ÏCONOMIQUES TEND Ì Y ÐTRE ÌÀ>V jiÊ«ÕÀÀ>iÌÊ
IMPORTANTE )L EST POSSIBLE QUE DES ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS OU DES FILIÒRES OU iÛÃ>}iÀÊ`iÃÊ>V>ÌÃÊ
ÏTABLISSEMENTS SÏLECTIFS AU SEIN DU SYSTÒME DENSEIGNEMENT PUBLIC CONTRIBUENT `iÊÀiÃÃÕÀViÃÊiÌÊ`iÃÊ
Ì CETTE SÏGRÏGATION SOCIO ÏCONOMIQUE $ANS CES PAYS IL FAUT SE PENCHER SUR LES «À>̵ÕiÃÊ`iÊÃjiVÌÊ
DIFFÏRENCES ENTRE ÏTABLISSEMENTS POUR IDENTIFIER DES MOYENS DAMÏLIORER LA QUALITÏ «ÕÀÊ>jÀiÀÊiÃÊ
ET LÏGALITÏ CEST Ì DIRE ÏLEVER LE NIVEAU DE PERFORMANCE ET RÏDUIRE LA PENTE DU }À>`iÌÃÊÃV>ÕÝ°
GRADIENT 0ARMI LES STRATÏGIES ENVISAGEABLES CITONS LA RÏDUCTION DE LA SÏGRÏGATION
SOCIO ÏCONOMIQUE DES ÏTABLISSEMENTS LAFFECTATION DIFFÏRENCIÏE DES RESSOURCES
AUX ÏTABLISSEMENTS ET AUX PROGRAMMES DENSEIGNEMENT ET LÏLABORATION DUNE
OFFRE DIFFÏRENCIÏE ET APPROPRIÏE DENSEIGNEMENT QUELS QUE SOIENT LES CRITÒRES
APPLIQUÏS Ì CET ÏGARD $ANS CES PAYS IL EST IMPÏRATIF DE COMPRENDRE LA RELATION
ENTRE LAFFECTATION DES RESSOURCES AU TITRE DE LENSEIGNEMENT ET LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE DES EFFECTIFS DES ÏTABLISSEMENTS
$ANS DAUTRES PAYS LA SÏGRÏGATION SOCIO
ÏCONOMIQUE EST RELATIVEMENT FAIBLE o>ÀÃʵÕiÊ`iÃÊÃÞÃÌmiÃÊ
ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS %N DAUTRES TERMES LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE MOYEN j`ÕV>ÌvÃÊ«ÕÃÊ
DES EFFECTIFS DES ÏTABLISSEMENTS NE VARIE GUÒRE ,A QUALITÏ LE NIVEAU DU GRADIENT
jÌjÀ}miÃÊ«ÕÀÀ>iÌÊ
ET LÏGALITÏ LA PENTE DU GRADIENT Y SONT ESSENTIELLEMENT INFLUENCÏES PAR LA iÛÃ>}iÀÊ`iÃÊ
RELATION ENTRE LA PERFORMANCE ET LE MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE PERSONNEL DES >jÀ>ÌÃÊDÊ
ÏLÒVES AU SEIN DE CHAQUE ÏTABLISSEMENT $ANS CES PAYS CEST PRINCIPALEMENT DANS ½ÌjÀiÕÀÊ`iÃÊ
LES ÏTABLISSEMENTS QUIL FAUT AGIR POUR AMÏLIORER Ì LA FOIS LA QUALITÏ ET LÏGALITÏ jÌ>LÃÃiiÌð
2ÏDUIRE LAMPLEUR DE LA SÏGRÏGATION SOCIO
ÏCONOMIQUE ENTRE ÏLÒVES AU SEIN
DES ÏTABLISSEMENTS EST UNE OPTION ENVISAGEABLE QUI REQUIERT PROBABLEMENT UNE
ÏTUDE SUR LE REGROUPEMENT PAR APTITUDES 5NE ASSISTANCE PLUS DIRECTE AUX ÏLÒVES
i FAIBLES w EST PEUT
ÐTRE ÏGALEMENT NÏCESSAIRE $ANS CES PAYS IL EST IMPÏRATIF
DE COMPRENDRE LA RELATION ENTRE LAFFECTATION DES RESSOURCES Ì LINTÏRIEUR DES
ÏTABLISSEMENTS ET LES CARACTÏRISTIQUES SOCIO
ÏCONOMIQUES DE LEURS EFFECTIFS
$ANS LA SECTION QUI SUIT LE RÙLE QUE LA POLITIQUE DES ÏTABLISSEMENTS PEUT JOUER
DANS CETTE ÏQUATION EST EXAMINÏ DE MANIÒRE PLUS APPROFONDIE ,A PREMIÒRE
ANALYSE SE BASE SUR LA CONSIDÏRATION ÏVOQUÏE AU CHAPITRE Ì PROPOS DE LAMPLEUR
DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE ENTRE ÏTABLISSEMENTS ET AU SEIN DE CEUX
CI VOIR
LE TABLEAU %LLE COMMENCE PAR DÏTERMINER DANS QUELLE MESURE CES DEUX
NIVEAUX DE VARIATION n ENTRE ÏTABLISSEMENTS ET ENTRE ÏLÒVES n SONT IMPUTABLES
Ì DES FACTEURS DORDRE ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL ET AU SEXE %NSUITE ELLE
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
EXAMINE SI LA PART DE VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS QUI NEST PAS ASSOCIÏE AUX
CARACTÏRISTIQUES ET AU MILIEU FAMILIAL DES ÏLÒVES EST LIÏE AU MILIEU SOCIO
ÏCONOMI
QUE DES ÏTABLISSEMENTS Ì DES FACTEURS RELATIFS Ì DES CARACTÏRISTIQUES DU SYSTÒME
ÏDUCATIF AINSI QUAUX POLITIQUES ET PRATIQUES DES ÏTABLISSEMENTS
-ILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE ET VARIATION DE LA PERFORMANCE ENTRE
ÏTABLISSEMENTS
Ê«iiÊ«ÕÃÊ`½ÕÊÌiÀÃÊ ,E CHAPITRE MONTRE QUE LA PERFORMANCE DES JEUNES DE ANS VARIE CONSIDÏRA
`iÊ>ÊÛ>À>ÌÊ`>ÃÊ>Ê BLEMENT ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS DANS LA PLUPART DES PAYS %N MOYENNE DANS LES
«iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊ PAYS DE L/#$% POUR CENT DE LA VARIATION TOTALE DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
iÃÌÊ«ÕÌ>LiÊ>ÕÝÊ SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST IMPUTABLE Ì LA VARIATION
`vvjÀiViÃÊiÌÀiÊ ENTRE ÏTABLISSEMENTS TABLEAU )L EST IMPÏRATIF DE COMPRENDRE POURQUOI DANS
jÌ>LÃÃiiÌð UN MÐME PAYS CERTAINS ÏTABLISSEMENTS OU SYSTÒMES DENSEIGNEMENT AFFICHENT UN
MEILLEUR RENDEMENT QUE DAUTRES POUR PROGRESSER SUR LA VOIE DE LAMÏLIORATION
DE LENSEIGNEMENT 0OUR CE FAIRE IL FAUT ANALYSER LEFFET CONJUGUÏ DES FACTEURS
LIÏS AUX ÏLÒVES ET AUX ÏTABLISSEMENTS SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ENTRE LES
ÏTABLISSEMENTS DE CHAQUE PAYS ET Ì LINTÏRIEUR DE CEUX
CI
)L EST POSSIBLE DESTIMER LA PART IMPUTABLE AU MILIEU FAMILIAL DES ÏLÒVES DE LA
VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ENTRE ET DANS LES ÏTABLISSEMENTS TELLE
QUE MESURÏE PAR LES FACTEURS CONTEXTUELS PRIS EN CONSIDÏRATION DANS LANALYSE
DU TABLEAU ,E TABLEAU PRÏSENTE LES RÏSULTATS DE CETTE ANALYSE ° TITRE
DEXEMPLE CITONS LE CAS DE L!USTRALIE Oá POUR CENT DE LA VARIATION Ì LINTÏ
RIEUR DES ÏTABLISSEMENTS ET POUR CENT DE LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS EST
IMPUTABLE AUX FACTEURS FAMILIAUX RETENUS AUX COLONNES ET DU TABLEAU
#ES CHIFFRES SONT TRÒS DIFFÏRENTS DE CEUX ENREGISTRÏS EN 0OLOGNE PAR EXEMPLE LE
MILIEU FAMILIAL DES ÏLÒVES EST RESPONSABLE DE POUR CENT DE LA VARIATION DANS LES
ÏTABLISSEMENTS ET DE POUR CENT DE LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS
iÃÊ`vvjÀiViÃÊ`iÊiÕÊ 0OUR COMPARER LES PAYS EN FONCTION DE LA PART DE VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS IMPUTABLE
iÌÀiÊjmÛiÃÊiÝ«µÕiÌÊ>Ê AU MILIEU FAMILIAL DES ÏLÒVES IL Y A LIEU DE TENIR COMPTE ÏGALEMENT DE LAMPLITUDE DE LA
Û>À>ÌÊiÌÀiÊ VARIATION GLOBALE ENTRE ÏTABLISSEMENTS VOIR LE TABLEAU !INSI CEST EN 3UÒDE QUE LES
jÌ>LÃÃiiÌÃÊiÌÊDÊ FACTEURS LIÏS AU MILIEU FAMILIAL PÒSENT LE PLUS SUR LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS POUR
½ÌjÀiÕÀÊ`iÊViÕÝVo CENT VOIR LE TABLEAU /R LA 3UÒDE PRÏSENTE LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS LA
PLUS FAIBLE DE TOUS LES PAYS Ì LEXCEPTION DE L)SLANDE POUR CENT VOIR LE TABLEAU
)NVERSEMENT EN 0OLOGNE LA PART DE VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS IMPUTABLE AUX
FACTEURS LIÏS AU MILIEU FAMILIAL EST LA PLUS FAIBLE DE TOUS LES PAYS POUR CENT VOIR
LE TABLEAU ALORS QUE LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS Y EST SUPÏRIEURE Ì CELLE
DE TOUS LES PAYS SAUF QUATRE L!LLEMAGNE L!UTRICHE LA (ONGRIE ET LA 3UISSE VOIR LE
TABLEAU %N GÏNÏRAL PLUS GRANDE EST LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS PLUS FAIBLE
EN EST LA PART IMPUTABLE AU MILIEU FAMILIAL DES ÏLÒVES
o>ÃÊDÊÙÊiÃÊ`ë>ÀÌjÃÊ /N OBSERVE ÏGALEMENT DES DIFFÏRENCES MARQUÏES ENTRE LES PAYS CONCERNANT LA
ÃÌÊvÀÌiÃÊ>ÕÊÃiÊ`iÃÊ VARIATION Ì LINTÏRIEUR DES ÏTABLISSEMENTS IMPUTABLE AU MILIEU FAMILIAL #ES POUR
jÌ>LÃÃiiÌÃ]ÊVi>Ê«iÕÌÊ CENTAGES SONT TOUTEFOIS SENSIBLEMENT INFÏRIEURS Ì CEUX ENREGISTRÏS Ì LÏGARD DE
kÌÀiÊ`×ÊDÊ`iÃÊ`vvjÀiViÃÊ LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS ,A TENDANCE GÏNÏRALE QUI RESSORT DE LANALYSE
ÃVjVµÕið EST INVERSE PLUS LA VARIATION DANS LES ÏTABLISSEMENTS EST GRANDE TABLEAU
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
PLUS LA PART QUI EN EST IMPUTABLE AUX FACTEURS LIÏS AU MILIEU FAMILIAL EST IMPORTANTE
TABLEAU !INSI LES FACTEURS RELATIFS AU MILIEU FAMILIAL EXPLIQUENT ENVIRON
POUR CENT DE LA VARIATION AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS EN .ORVÒGE ET EN
.OUVELLE
:ÏLANDE LES DEUX PAYS QUI AFFICHENT LA VARIATION LA PLUS IMPORTANTE AU
SEIN DES ÏTABLISSEMENTS 0ARMI LES AUTRES PAYS CETTE PART NEST AUSSI IMPORTANTE
QUEN &INLANDE ET AU ,UXEMBOURG POUR CENT %N 0OLOGNE LA PART IMPUTABLE
AU MILIEU FAMILIAL DE LA VARIATION AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS EST PLUS FAIBLE QUE
PARTOUT AILLEURS POUR CENT MAIS CETTE VARIATION EST AUSSI ELLE
MÐME INFÏRIEURE
Ì CELLE DE TOUS LES AUTRES PAYS SAUF TROIS LA #ORÏE LA (ONGRIE ET LE -EXIQUE
%N QUOI LE STATUT SOCIAL DES ÏTABLISSEMENTS INFLUENCE
T
IL LIMPACT DU
MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES
,ANALYSE EXPOSÏE CI
AVANT MONTRE QUUNE PART SUBSTANTIELLE DE LA VARIATION ½ivviÌÊ`iÃÊ`vvjÀiViÃÊ
ENTRE ÏTABLISSEMENTS DE LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏ
`iÊÛi>ÕÊÃV>ÊiÌÀiÊ
HENSION DE LÏCRIT EST IMPUTABLE AU MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES ,E jÌ>LÃÃiiÌÃÊiÃÌÊ
MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE PEUT AVOIR DEUX TYPES DIMPACT DUNE PART LEFFET DU ÀivÀVjÊ«>ÀÊiÃÊ
MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE PERSONNEL DE CHAQUE ÏLÒVE SUR SA PERFORMANCE INDIVI
>Û>Ì>}iÃÊViVÌvÃÊ
DUELLE ET DAUTRE PART LEFFET CONJUGUÏ DU MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE DE TOUS LES
jÀiÌÃÊ>ÕÝÊjViÃÊ
ÏLÒVES INSCRITS DANS LÏTABLISSEMENT SUR LE RENDEMENT DES EFFECTIFS #ETTE NOTION iÕÝÊÌið
DIMPACT COLLECTIF REVÐT UNE IMPORTANCE CAPITALE POUR LES DÏCIDEURS DÏSIREUX DE
GARANTIR LÏGALITÏ DES CHANCES Ì TOUS LES ÏLÒVES
,A RÏPARTITION DES EFFECTIFS ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS DUN DISTRICT OU DUNE RÏGION n OU
ENTRE LES CLASSES ET LES FILIÒRES AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS n A DES IMPLICATIONS SIGNIFICATIVES
POUR LES CONDITIONS DENSEIGNEMENT ET DAPPRENTISSAGE ET EN CONSÏQUENCE POUR LES
FINALITÏS DE LENSEIGNEMENT )L RESSORT DUN CERTAIN NOMBRE DÏTUDES QUE LES ÏTABLIS
SEMENTS QUI BÏNÏFICIENT DUN STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE PLUS ÏLEVÏ ONT TENDANCE Ì
PRÏSENTER PLUSIEURS AVANTAGES %N RÒGLE GÏNÏRALE ILS RE OIVENT UN PLUS GRAND SOUTIEN
DES PARENTS ET ILS RENCONTRENT MOINS DE PROBLÒMES DE DISCIPLINE ,ES RELATIONS ENTRE LES
ENSEIGNANTS ET LES ÏLÒVES Y SONT MEILLEURES TOUT COMME LE MORAL DE LEURS ENSEI
GNANTS ET LE CLIMAT QUI Y RÒGNE ENCOURAGE LES ÏLÒVES Ì OBTENIR DE MEILLEURS RÏSULTATS
,E RYTHME AUQUEL LES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT SONT DISPENSÏS Y EST GÏNÏRA
LEMENT PLUS SOUTENU ,ES ENSEIGNANTS DOUÏS ET MOTIVÏS SONT PLUS SUSCEPTIBLES DE
SORIENTER VERS DES ÏTABLISSEMENTS JOUISSANT DUN STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE SUPÏRIEUR ET
MOINS SUSCEPTIBLES DE CHANGER DÏTABLISSEMENT OU DABANDONNER LEUR PROFESSION ,ES
INTERACTIONS AVEC LES PAIRS DES ÏLÒVES DOUÏS TRAVAILLENT ENSEMBLE PEUVENT ÏGALEMENT
RENFORCER LIMPACT i CONTEXTUEL w LIÏ AU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE PRIVILÏGIÏ 0ARMI
LES AUTRES FACTEURS CITONS ENFIN LEFFET DENTRAÔNEMENT LÏMULATION ENTRE ÏLÒVES ET
LA VOCATION DE CERTAINS ÏTABLISSEMENTS OU PROGRAMMES Ì PRÏPARER Ì LENTRÏE DANS
LENSEIGNEMENT TERTIAIRE
,A FIGURE PRÏSENTE UNE ESTIMATION DE LIMPACT DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET >ÃÊ>Ê«Õ«>ÀÌÊ`iÃÊ«>ÞÃ]ÊÊiÃÌÊ
CULTUREL ET DES AUTRES VARIABLES CONTEXTUELLES DU TABLEAU SUR LES COMPÏTENCES EN >viÃÌiiÌÊ>Û>Ì>}iÕÝÊ`iÊ
LECTURE DES ÏLÒVES DUNE PART INDIVIDUELLEMENT ET DAUTRE PART COLLECTIVEMENT POUR vÀjµÕiÌiÀÊÕiÊjViÊ`ÌÊiÃÊ
LENSEMBLE DES EFFECTIFS DUN ÏTABLISSEMENT DONNÏ #ES CHIFFRES ONT ÏTÏ CALCULÏS SUR jmÛiÃÊÃÌÊÃÃÕÃÊ`½ÕÊiÕÊ
LA BASE DUN MODÒLE Ì PLUSIEURS DEGRÏS COMPRENANT LE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET v>>Ê«ÕÃÊ>Ãjo
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
}ÕÀiÊn°{
)MPACT DU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES ET DES ÏTABLISSEMENTS SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT
$IFFÏRENCES DE PERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT ASSOCIÏES Ì UNE PROGRESSION
DgUN DEMI
ÏCART TYPE SUR LgINDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL AU NIVEAU DE LgÏLÒVE
%FFET DE LgINDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL AU NIVEAU DE LgÏLÒVE
%FFET DE LgINDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL AU NIVEAU DE LgÏTABLISSEMENT
MOYENNE SUR LgÏCHELLE 0)3!
0AYS
"AS
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
!LLEMAGNE
!UTRICHE
0OLOGNE
(ONGRIE
%SPAGNE
3UISSE
#ORÏE
3UÒDE
.ORVÒGE
"ELGIQUE
$ANEMARK
)TALIE
)RLANDE
-EXIQUE
)SLANDE
"RÏSIL
'RÒCE
!USTRALIE
&INLANDE
#ANADA
,UXEMBOURG
0ORTUGAL
,IECHTENSTEIN
³CART INTERQUARTILE DE LgINDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL MOYEN DES ÏTABLISSEMENTS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR ASSURER LA COMPARABILITÏ DES DONNÏES VOIR ANNEXE !
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 4ABLEAU
CULTUREL LE SEXE LORIGINE ETHNIQUE ET LA STRUCTURE FAMILIALE DES ÏLÒVES ET LE STATUT
ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL MOYEN DES ÏTABLISSEMENTS ,ES BARRES DE LA FIGURE
REPRÏSENTENT LES DIFFÏRENCES DE SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE
LÏCRIT ASSOCIÏES Ì UNE DIFFÏRENCE DUN DEMI ÏCART TYPE Ì LINDICE SOCIO ÏCONOMIQUE
INDIVIDUEL DES ÏLÒVES ET Ì LINDICE SOCIO ÏCONOMIQUE MOYEN DE LÏTABLISSEMENT VOIR
LE TABLEAU POUR LES DONNÏES
$ANS TOUS LES PAYS OU PRESQUE IL EST MANIFESTEMENT AVANTAGEUX DE FRÏQUENTER
UN ÏTABLISSEMENT DENSEIGNEMENT DONT LES ÏLÒVES SONT PLUTÙT ISSUS DE MILIEUX
PRIVILÏGIÏS #ETTE TENDANCE SAPPLIQUE Ì TOUS LES ÏLÒVES %N MOYENNE DANS LES PAYS
DE L/#$% LACCROISSEMENT DUN DEMI
ÏCART TYPE DU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE
DES EFFECTIFS DES ÏTABLISSEMENTS DONNE LIEU Ì UNE AUGMENTATION DU SCORE DE
POINTS SOIT PRÒS DE LA MOITIÏ DUN NIVEAU DE COMPÏTENCE SUR LÏCHELLE
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ,E STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE DES EFFECTIFS
DE LÏTABLISSEMENT A DONC UNE INFLUENCE CONSIDÏRABLE SUR LA PERFORMANCE DES
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT BIEN PLUS ENCORE QUE LE
MILIEU FAMILIAL PERSONNEL DES ÏLÒVES %N FAIT DANS LA MAJORITÏ DES PAYS DE L/#$%
LEFFET DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL MOYEN DES EFFECTIFS DES ÏTABLISSE
MENTS DÏPASSE DE LOIN CELUI DU MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE PERSONNEL %N LABSENCE
DE DONNÏES 0)3! SUR LE RENDEMENT ANTÏRIEUR DES ÏLÒVES IL NEST PAS POSSIBLE DE
DÏTERMINER SI LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE DES ÏTABLISSEMENTS EST ASSOCIÏ DIRECTE
MENT OU INDIRECTEMENT Ì LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES PAR LE BIAIS PAR EXEMPLE DES
PHÏNOMÒNES DE SÏLECTION OU DAUTOSÏLECTION NI A FORTIORI DE MESURER LIMPORTANCE
DE CETTE CORRÏLATION ,ORS DE LINTERPRÏTATION DES RÏSULTATS IL CONVIENT ÏGALEMENT
DE GARDER Ì LESPRIT LE FAIT QUE LES DIFFÏRENCES DANS LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE
MOYEN DES ÏTABLISSEMENTS SONT PAR NATURE NETTEMENT PLUS FAIBLES QUE LES ÏCARTS
DE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE ENTRE ÏLÒVES ÏTANT DONNÏ QUE LES EFFECTIFS DE CHAQUE
ÏTABLISSEMENT REPRÏSENTENT UNE PLAGE DE VARIABLES SOCIO
ÏCONOMIQUES ,A PLAGE
TYPIQUE DE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE DES ÏTABLISSEMENTS A ÏTÏ AJOUTÏE DANS LA
FIGURE AFIN DE FACILITER LINTERPRÏTATION
,!LLEMAGNE ET L!UTRICHE SONT DEUX DES PAYS Oá LE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET oiÌÊ`>ÃÊ`iÊLÀiÕÝÊ
CULTUREL MOYEN DES ÏTABLISSEMENTS A UN IMPACT APPRÏCIABLE SUR LA PERFORMANCE DES V>Ãʽ«>VÌÊ`ÕÊVÌiÝÌiÊ
ÏLÒVES 0ROLONGEONS CE CONSTAT PAR UNE HYPOTHÒSE BASÏE SUR DEUX ÏLÒVES ALLEMANDS ÃVjVµÕiÊ`iÊ
OU AUTRICHIENS VIRTUELS 4OUS DEUX ONT DES COMPÏTENCES SEMBLABLES ET VIVENT DANS ½jÌ>LÃÃiiÌÊÃÕÀÊ>Ê
DES FAMILLES DONT LE MILIEU SOCIO ÏCONOMIQUE CORRESPOND Ì LA MOYENNE DE LINDICE «iÀvÀ>ViÊ`iÃÊjmÛiÃÊ
DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL ,E PREMIER FRÏQUENTE UN ÏTABLISSEMENT iÃÌÊLiÊ«ÕÃÊvÀÌʵÕiÊ
SITUÏ DANS UN QUARTIER RELATIVEMENT AISÏ ET DONT LES EFFECTIFS PRÏSENTENT UN STATUT ViÕÊ`iÃÊ`Û`ÕÃo
ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL SUPÏRIEUR DUN QUART DÏCART TYPE Ì LA MOYENNE
DE L/#$% INDICE PERSONNEL ,A PLUPART DES AUTRES ÏLÒVES INSCRITS DANS CET
ÏTABLISSEMENT SONT DONC ISSUS DE FAMILLES RELATIVEMENT PLUS AISÏES QUE LA SIENNE
,E SECOND FRÏQUENTE UN ÏTABLISSEMENT SITUÏ DANS UN QUARTIER PLUS DÏFAVORISÏ LE
STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL MOYEN DE LÏTABLISSEMENT EST INFÏRIEUR Ì LA
MOYENNE DUN QUART DÏCART TYPE )L EST DONC ISSU DUNE FAMILLE PLUS AISÏE QUE
CELLE DE SES CONDISCIPLES ,A FIGURE MONTRE QUE LE PREMIER ÏLÒVE EST NETTEMENT
PLUS SUSCEPTIBLE DAFFICHER UN MEILLEUR SCORE EN LECTURE n RESPECTIVEMENT ET
POINTS SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EN !LLEMAGNE ET
EN !UTRICHE n QUE LE SECOND ÏLÒVE %N REVANCHE DEUX ÏLÒVES QUI SONT ISSUS DE
FAMILLES DONT LE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL EST POUR LUNE SUPÏRIEUR ET
POUR LAUTRE INFÏRIEUR DUN QUART DÏCART TYPE Ì LA MOYENNE INDICE PERSONNEL
QUI FRÏQUENTENT LE MÐME ÏTABLISSEMENT ET DONT LE PROFIL SOCIAL EST CONFORME Ì LA
MOYENNE SERAIENT SÏPARÏS PAR UN ÏCART DE PERFORMANCE NETTEMENT PLUS RÏDUIT
POINTS EN !LLEMAGNE ET EN !UTRICHE
%N COMPRÏHENSION DE LÏCRIT LEFFET ASSOCIÏ Ì UNE AUGMENTATION DUN DEMI
ÏCART TYPE AU NIVEAU DE LÏLÒVE DU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE DUN ÏTABLISSEMENT
EST EN MOYENNE PLUS IMPORTANT POUR LES GAR ONS QUE POUR LES FILLES POINTS
DE DIFFÏRENCE ,ÏCART EST DE LORDRE DE POINTS EN CULTURE MATHÏMATIQUE
ET DE POINTS EN CULTURE SCIENTIFIQUE #E CONSTAT SUGGÒRE QUE LES GAR ONS SONT
PARTICULIÒREMENT FAVORISÏS OU DÏFAVORISÏS PAR LA SÏGRÏGATION SOCIO
ÏCONOMIQUE
DE LÏTABLISSEMENT QUILS FRÏQUENTENT ° LINVERSE LE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
ET CULTUREL DES EFFECTIFS DES ÏTABLISSEMENTS A UN EFFET LÏGÒREMENT PLUS FAIBLE SUR
LA PERFORMANCE DES FILLES
oÕÊ«
jmiÊ`ÌÊ ,EFFET i CONTEXTUEL w QUE NOUS VENONS DÏVOQUER PEUT ÐTRE Dß EN PARTIE Ì DES
iÃÊV>ÕÃiÃÊÃÌÊV«iÝiÃÊ ASPECTS DE LA QUALITÏ DES ÏTABLISSEMENTS ASSOCIÏS AUX FACTEURS ÏNUMÏRÏS CI
DESSUS
iÌʵÕÊ«iÕÌÊiÊ«>ÀÌiÊ !INSI LEFFET i CONTEXTUEL w DU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE PEUT ÐTRE RENFORCÏ PAR DES
kÌÀiÊ>ÃÃVjÊ>ÕÊ DIFFÏRENCES SYSTÏMATIQUES DANS LES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT DANS LA MESURE Oá
Ài}ÀÕ«iiÌÊ`iÃÊjmÛiÃÊ DES ÏTABLISSEMENTS DIFFÏRENCIÏS EN TERMES DE PROGRAMMES LE SONT AUSSI EN TERMES DE
«>ÀÊ>«ÌÌÕ`iÃo STATUT ÏCONOMIQUE )L PEUT AUSSI ÐTRE GÏNÏRÏ PAR DES FACTEURS LIÏS AUX AUTRES ÏLÒVES
-AIS RIEN NINDIQUE QUE DAUTRES FACTEURS NENTRENT PAS EN LIGNE DE COMPTE !INSI
IL EST POSSIBLE QUE LES PARENTS DE LÏLÒVE INSCRIT DANS LÏTABLISSEMENT MIEUX NANTI
DE LEXEMPLE DÏVELOPPÏ CI
DESSUS SINVESTISSENT PLUS DANS SON APPRENTISSAGE Ì LA
MAISON MÐME SI LEUR STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE EST COMPARABLE Ì CELUI DES PARENTS
DE LÏLÒVE FRÏQUENTANT LÏTABLISSEMENT PLUS DÏFAVORISÏ %N OUTRE ET CEST PEUT
ÐTRE
PLUS IMPORTANT IL Y A LIEU DE RAPPELER QUE LHYPOTHÒSE EXPOSÏE CI
DESSUS PARTAIT DU
PRINCIPE QUE LES DEUX ÏLÒVES PRÏSENTAIENT LA MÐME APTITUDE ET LA MÐME MOTIVATION
/R DANS DE NOMBREUX SYSTÒMES DENSEIGNEMENT LE PARCOURS SCOLAIRE DES ÏLÒVES
DIFFÒRE EN TERMES DE TYPE DÏTABLISSEMENT OU DE PROGRAMMES DENSEIGNEMENT
EN FONCTION DE PLUSIEURS FACTEURS DONT LEUR APTITUDE $ANS LES DEUX PAYS ÏTUDIÏS
PLUS HAUT Ì SAVOIR L!LLEMAGNE ET L!UTRICHE LES DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE ENTRE
ÏTABLISSEMENTS SONT ESSENTIELLEMENT IMPUTABLES Ì LA RÏPARTITION DES ÏLÒVES ENTRE
LES PROGRAMMES DENSEIGNEMENT GÏNÏRAL ET PROFESSIONNEL ,ORIENTATION DES
ÏLÒVES VERS UNE OU LAUTRE FILIÒRE EST INFLUENCÏE PAR LEUR NIVEAU DE COMPÏTENCE
LUI
MÐME INFLUENCÏ PAR LEUR MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE %N CONSÏQUENCE CES CONSTATS
AUSSI ÏDIFIANTS PUISSENT
ILS ÐTRE POUR LACTION PUBLIQUE NE PEUVENT NOUS AMENER Ì
CONCLURE QUE LE TRANSFERT DUN GROUPE DÏLÒVES DUN ÏTABLISSEMENT DE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE INFÏRIEUR Ì UN ÏTABLISSEMENT DE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE SUPÏRIEUR
GÏNÏRERAIT FORCÏMENT UNE AUGMENTATION DE SCORE COMPARABLE Ì CELLE ESTIMÏE
DANS LA FIGURE ,ES EFFETS CONTEXTUELS ESTIMÏS DANS CETTE FIGURE DÏCRIVENT
LA RÏPARTITION DE LA PERFORMANCE DES ÏTABLISSEMENTS )LS NE DOIVENT PAS ÐTRE
INTERPRÏTÏS DANS UN SENS CAUSAL
oiÌʵÕÊ`ÌÊkÌÀiÊ 4OUTE VELLÏITÏ DORIENTER LA POLITIQUE DE LENSEIGNEMENT Ì LA LUMIÒRE DES
V«ÀÃÊDÊ>ÊÕmÀiÊ CONSIDÏRATIONS EXPOSÏES CI
AVANT APPELLE UN CERTAIN DEGRÏ DE COMPRÏHENSION DE
`ÕÊÌÞ«iÊ`iÊjV>ÃiÃÊ LA NATURE DES MÏCANISMES FORMELS ET INFORMELS DE SÏLECTION QUI CONTRIBUENT Ì LA
µÕÊÃÌÊ}jjÀ>ÌiÕÀÃÊ`iÊ SÏGRÏGATION SOCIO
ÏCONOMIQUE ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS ET Ì CERNER SES EFFETS SUR
Ãj}Àj}>ÌÊÃV LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES $ANS CERTAINS PAYS LA SÏGRÏGATION SOCIO
ÏCONOMIQUE
jVµÕi° EST FORTEMENT ANCRÏE PAR LE BIAIS DE LA SÏGRÏGATION RÏSIDENTIELLE DANS LES GRANDES
VILLES EN RAISON DE GRANDES DISPARITÏS ÏCONOMIQUES ENTRE LES ZONES URBAINES
ET RURALES $ANS DAUTRES PAYS LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS SONT CON US DE TELLE
SORTE QUILS ORIENTENT LES ÏLÒVES VERS DES FILIÒRES QUI SE CARACTÏRISENT PAR DES
PROGRAMMES ET DES PRATIQUES DENSEIGNEMENT DISTINCTS %N CONSÏQUENCE IL
EST POSSIBLE QUE DES ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX SOCIO
ÏCONOMIQUES DÏFAVORISÏS
NE PUISSENT DONNER LEUR PLEINE MESURE CAR LORIENTATION DES ÏLÒVES VERS DES
PROGRAMMES PARTICULIERS SE CONFOND DANS CES SYSTÒMES ÏDUCATIFS AVEC LEUR MILIEU
SOCIO
ÏCONOMIQUE
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
,ES RÏSULTATS DU 0)3! NOUS AMÒNENT Ì FORMULER DEUX CONSIDÏRATIONS DIFFÏRENTES >ÃÊiÊ`jvÊ>iÕÀÊiÃÌÊ
SUR LES MOYENS DAMÏLIORER Ì LA FOIS LA QUALITÏ ET LÏGALITÏ DANS LE DOMAINE DE `iÊÀj`ÕÀiÊiÃÊj}>ÌjÃÊ
LENSEIGNEMENT $UNE PART LA SÏGRÏGATION SOCIALE FAVORISE LES ÏLÒVES PRIVILÏGIÏS >ÃÃVjiÃÊDÊ>Ê
QUI REHAUSSERONT Ì LEUR TOUR LA PERFORMANCE DE LÏLITE ET PROBABLEMENT LA Ãj}Àj}>ÌÊÃ>ÃÊ
PERFORMANCE MOYENNE GLOBALE $AUTRE PART ON A VU QUE LA SÏGRÏGATION DES ÛiiiÌÊ«>ÀÊiÊL>ð
ÏTABLISSEMENTS EST SUSCEPTIBLE DE NUIRE Ì LÏGALITÏ )L EST CEPENDANT POSSIBLE DE
SORTIR DE CE DILEMME AINSI QUEN ATTESTENT LES PAYS QUI ONT RÏUSSI Ì AMÏLIORER Ì
LA FOIS LA QUALITÏ ET LÏGALITÏ 4OUTE LA QUESTION EST DE SAVOIR QUELLES STRATÏGIES LES
AUTRES PAYS DOIVENT ADOPTER POUR Y ARRIVER 4RANSFÏRER TOUS LES ÏLÒVES DANS DES
ÏTABLISSEMENTS DONT LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE EST SUPÏRIEUR EST ÏVIDEMMENT
IMPOSSIBLE )L RESTE DEUX SOLUTIONS TENTER DABOLIR LA SÏGRÏGATION SOCIO
ÏCONO
MIQUE OU EN ATTÏNUER LES EFFETS 1UELLE QUE SOIT LOPTION CHOISIE LESSENTIEL EST
DE PARVENIR Ì REPRODUIRE LES AVANTAGES QUE LA SÏGRÏGATION SOCIALE PEUT GÏNÏRER EN
TERMES DE QUALITÏ TOUT EN PRÏSERVANT LES AVANTAGES QUE LHÏTÏROGÏNÏITÏ SOCIALE
PEUT PROCURER EN TERMES DÏGALITÏ
&ACTEURS LIÏS AUX ÏTABLISSEMENTS ET SUSCEPTIBLES DACCROÔTRE LE NIVEAU
DE PERFORMANCE ET DATTÏNUER LIMPACT DU MILIEU
SOCIO
ÏCONOMIQUE
1UE PEUVENT ENTREPRENDRE LES ÏTABLISSEMENTS POUR OBTENIR LEFFET ESCOMPTÏ iÊ*-ÊiÌÊiÊÕmÀiÊ
,ES ENQUÐTES TELLES QUE LE 0)3! NE PEUVENT RÏPONDRE Ì CETTE QUESTION QUE JUSQUÌ ½ivviÌÊiÃV«ÌjÊ`iÊ
UN CERTAIN POINT DUNE PART PARCE QUE DE NOMBREUX FACTEURS CONTEXTUELS ViÀÌ>iÃÊV>À>VÌjÀÃ̵ÕiÃÊ
IMPORTANTS NE PEUVENT ÐTRE APPRÏHENDÏS PAR LE BIAIS DÏTUDES COMPARATIVES `iÃÊjÌ>LÃÃiiÌÃÊÃÕÀÊ>Ê
INTERNATIONALES DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ET DAUTRE PART PARCE QUE CES «iÀvÀ>Vi°
ÏTUDES NE SUIVENT PAS SUFFISAMMENT LÏVOLUTION DE CES PROCESSUS AU FIL DU TEMPS
POUR POUVOIR ÏTABLIR SANS LE MOINDRE DOUTE DES RELATIONS DE CAUSE Ì EFFET 0)3!
PERMET TOUTEFOIS DESTIMER LIMPACT DE PLUSIEURS CARACTÏRISTIQUES FONDAMENTALES
DES ÏTABLISSEMENTS SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
,ANALYSE EXPOSÏE CI
APRÒS ESTIME LIMPACT ISOLÏ ET CONJUGUÏ DES FACTEURS LIÏS
AUX ÏTABLISSEMENTS ET AU MILIEU FAMILIAL ,IMPACT SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
DE TROIS GROUPES DE FACTEURS SPÏCIFIQUES AUX ÏTABLISSEMENTS EST ÏTUDIÏ DANS LES
TROIS DOMAINES DÏVALUATION )L SAGIT DES RESSOURCES DES ÏTABLISSEMENTS DE LEURS
POLITIQUES ET PRATIQUES ET ENFIN DES MÏTHODES EN CLASSE ,ES ESTIMATIONS SE
FONDENT SUR LEFFET CONJUGUÏ DE VARIABLES RELATIVES Ì LÏLÒVE Ì LÏTABLISSEMENT ET
AU PAYS ,ES RÏSULTATS DE CETTE ANALYSE QUI PORTE SUR LA POPULATION COMBINÏE DES
ÏLÒVES DE L/#$% LES PAYS ÏTANT SOUMIS Ì UNE PONDÏRATION PRATIQUEMENT ÏGALE
SONT PRÏSENTÏS DANS LE TABLEAU
0LUSIEURS DES FACTEURS LIÏS AUX RESSOURCES DES ÏTABLISSEMENTS ÏTUDIÏS DANS *ÕÃiÕÀÃÊv>VÌiÕÀÃÊjÃÊ
CETTE COMPARAISON ONT UN IMPACT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF SUR LA PERFOR
>ÕÝÊÀiÃÃÕÀViÃÊ`iÃÊ
MANCE DES ÏLÒVES LORSQUE LES PAYS DE L/#$% SONT ANALYSÏS CONJOINTEMENT jÌ>LÃÃiiÌÃÊÃÌÊ
LUTILISATION DES RESSOURCES DES ÏTABLISSEMENTS PAR LES ÏLÒVES LE RAPPORT ÏLÒVES >ÃÃVjÃÊDÊ>Ê
ENSEIGNANT LA TAILLE DE LÏTABLISSEMENT ET LE NOMBRE DENSEIGNANTS TITULAIRES «iÀvÀ>Vio
DUN DIPLÙME DENSEIGNEMENT TERTIAIRE ASSORTI DUNE SPÏCIALISATION DANS LE
DOMAINE DÏVALUATION ÏTUDIÏ
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
oViÊ>ÊvÀjµÕiViÊDÊ "IEN QUE LES RÏSULTATS DU 0)3! NE PERMETTENT PAS DÏTABLIR EN TOUTE CERTITUDE DES
>µÕiiÊiÃÊjmÛiÃÊvÌÊ RELATIONS DE CAUSE Ì EFFET LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
ÕÃ>}iÊ`iÊ>ÊLLÌ
mµÕiÊ EST EN MOYENNE SUPÏRIEURE DANS LES PAYS Oá LES ÏLÒVES UTILISENT PLUS SOUVENT
`iʽjVi]Ê`iÃÊ LES RESSOURCES DES ÏTABLISSEMENTS #ET INDICE DUTILISATION DES RESSOURCES VOIR
À`>ÌiÕÀÃ]Ê`iÃÊ LANNEXE ! POUR LA DÏFINITION DE LINDICE EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES ÏLÒVES
V>VÕ>ÌÀViÃÊiÌÊ`iÃÊ Ì UNE QUESTION PORTANT SUR LA FRÏQUENCE Ì LAQUELLE ILS UTILISENT LA BIBLIOTHÒQUE
>LÀ>ÌÀið DE LÏCOLE DES ORDINATEURS DES CALCULATRICES LES LABORATOIRES ET )NTERNET ,A
PROGRESSION DUNE UNITÏ SOIT UN ÏCART TYPE INTERNATIONAL Ì LINDICE 0)3!
DUTILISATION DES RESSOURCES DES ÏTABLISSEMENTS PAR LES ÏLÒVES DONNE LIEU Ì UNE
AUGMENTATION MOYENNE DE POINTS DU SCORE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ,A RELATION ENTRE LA PERFORMANCE ET LA QUALITÏ
DES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES DES ÏTABLISSEMENTS VOIR LE TABLEAU ESTIMÏE
SUR BASE DE LIDENTIFICATION PAR LES CHEFS DÏTABLISSEMENTS DE PLUSIEURS FACTEURS
MATÏRIELS GÐNANT LAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES DE ANS NEST PAS STATISTIQUEMENT
SIGNIFICATIVE ,E POURCENTAGE DES ORDINATEURS MIS Ì LA DISPOSITION DES ÏLÒVES
NEXERCE PAS NON PLUS DINFLUENCE SIGNIFICATIVE APRÒS PRISE EN CONSIDÏRATION
DAUTRES VARIABLES TELLE LA FRÏQUENCE DUTILISATION DE CES ORDINATEURS PAR LES
ÏLÒVES
iÊÀ>««ÀÌÊjmÛiÃÉ ,A FIGURE MONTRE LEFFET MOYEN DU RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT SUR LA PERFORMANCE
iÃi}>ÌÊiÃÌÊj}>iiÌÊ DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ,E RAPPORT ÏLÒVES
ÕÊv>VÌiÕÀÊ«ÀÌ>Ìo ENSEIGNANT EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENTS Ì DES QUESTIONS PORTANT
SUR LE NOMBRE DÏLÒVES INSCRITS ET LE NOMBRE DENSEIGNANTS ÏQUIVALENTS TEMPS PLEIN
EMPLOYÏS PAR LEUR ÏTABLISSEMENT VOIR WWWPISAOECDORG POUR DES DONNÏES !INSI QUE
}ÕÀiÊn°x
%FFET MOYEN DU RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT SUR LA PERFORMANCE RÏALISÏE PAR LES ÏLÒVES
SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LgÏCRIT POUR TOUS LES PAYS DE L/#$%
0ERFORMANCE SUR LgÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LgÏCRIT MOYENNE SUR LgÏCHELLE 0)3!
.IVEAU
.IVEAU
.IVEAU
.IVEAU
.IVEAU
!U
DESSOUS
DU NIVEAU
2APPORT ÏLÒVESENSEIGNANT
3OURCE "ASE DE DONNÏES 0)3! DE Lg/#$% 6OIR WWWPISAOECDORG POUR LES DONNÏES
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
LE MONTRE LA FIGURE LES EFFETS LIÏS AU RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT NE SONT PAS LINÏAIRES
%N DAUTRES TERMES LIMPACT DU RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT EST DIFFÏRENT SELON QUE CE
NOMBRE EST FAIBLE OU ÏLEVÏ
,ES ÏTABLISSEMENTS Oá LON COMPTE UN ENSEIGNANT POUR ÏLÒVES OBTIENNENT DES
SCORES INFÏRIEURS DE Ì POINTS PAR RAPPORT Ì LA MOYENNE DE L/#$% #E
PHÏNOMÒNE PEUT ÐTRE IMPUTÏ AU FAIT QUIL SAGIT DÏTABLISSEMENTS DESTINÏS Ì DES
ÏLÒVES PRÏSENTANT DES BESOINS SPÏCIAUX OU DÏTABLISSEMENTS RURAUX RELATIVEMENT
PEU IMPORTANTS
,ES DIFFÏRENCES OBSERVÏES LORSQUE LE RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT EST COMPRIS ENTRE o>ÃÊViʽiÃÌʵÕiÊ
ET DÏNOTENT UN IMPACT RELATIVEMENT RESTREINT DE CETTE VARIABLE 4OUTEFOIS ÀõÕiÊViÊÀ>««ÀÌÊiÃÌÊ
LORSQUE LE RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT DÏPASSE LA BARRE DES LA PERFORMANCE ÃÕ«jÀiÕÀÊDÊÓxʵÕiÊ>Ê
DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION DU 0)3! DIMINUE DE MANIÒRE CONSTANTE «iÀvÀ>ViÊÀiVÕiÊ
TOUS PAYS DE L/#$% CONFONDUS )L Y A LIEU DE SOULIGNER QUE CES RÏSULTATS ET ÃÞÃÌj>̵ÕiiÌÊ«ÕÀÊ
LES AUTRES QUI FIGURENT DANS LE TABLEAU PORTENT SUR LEFFET MOYEN DANS CHAQUE V
>µÕiÊjmÛiÊ
PAYS %N CONSÏQUENCE ET BIEN QUE LA RELATION ENTRE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ET ÃÕ««jiÌ>ÀiÊ«>ÀÊ
LE RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT VARIE SELON LES PAYS LES RÏSULTATS DE LA FIGURE iÃi}>Ì°
NE SONT LE SEUL COROLLAIRE DE QUELQUES ÏTABLISSEMENTS TRÒS PEU PERFORMANTS DANS
DE RARES PAYS
)L CONVIENT ÏGALEMENT DE RAPPELER LA DISTINCTION ENTRE LA NOTION DE RAPPORT ÏLÒVES
ENSEIGNANT ET LA NOTION DE TAILLE DE LA CLASSE #OMME NOUS LAVONS INDIQUÏ CI
DESSUS LE
RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT EST BASÏ SUR LE NOMBRE DÏLÒVES INSCRITS DANS UN ÏTABLISSEMENT
ET LE NOMBRE DENSEIGNANTS ÏQUIVALENTS TEMPS PLEIN DANS CET ÏTABLISSEMENT $ANS DE
NOMBREUX PAYS LE PERSONNEL ENSEIGNANT COMPREND LE CHEF DÏTABLISSEMENT ET DAUTRES
TYPES DE PERSONNEL LES BIBLIOTHÏCAIRES OU LES PROFESSEURS DENSEIGNEMENT SPÏCIAL
,E RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT EST PERTINENT EN SOI DANS LA MESURE Oá IL QUANTIFIE LES
RESSOURCES HUMAINES SOLLICITÏES DIRECTEMENT OU INDIRECTEMENT POUR DISPENSER Ì CHAQUE
ÏLÒVE UN ENSEIGNEMENT #ETTE VARIABLE EST ÏTROITEMENT LIÏE AU BUDGET GLOBAL CONSACRÏ
Ì LÏDUCATION DE CHAQUE ÏLÒVE ,A TAILLE DE LA CLASSE CORRESPOND AU NOMBRE DÏLÒVES QUI
SONT EFFECTIVEMENT INSCRITS DANS UNE CLASSE ,ES ENQUÐTES NATIONALES ET INTERNATIONALES
PEUVENT DIFFICILEMENT MESURER CETTE VARIABLE DANS LENSEIGNEMENT SECONDAIRE PARCE QUE
LES ÏLÒVES FRÏQUENTENT DES CLASSES DIFFÏRENTES SELON LES MATIÒRES ET QUE LA TAILLE DE CHAQUE
CLASSE VARIE EN FONCTION DU NOMBRE DÏLÒVES PRÏSENTS Ì UNE DATE PARTICULIÒRE
$ANS LES PAYS DE L/#$% LA RELATION ENTRE LA PERFORMANCE EN LECTURE ET LA iÃÊjmÛiÃÊÃÌÊ«ÕÃÊ
TAILLE DE LÏTABLISSEMENT NEST PAS LINÏAIRE Ì LINSTAR DAILLEURS DE LA RELATION «iÀvÀ>ÌÃÊ`>ÃÊ`iÃÊ
PRÏCÏDENTE 5N ACCROISSEMENT DE ÏLÒVES CORRESPOND Ì UNE AUGMENTATION jÌ>LÃÃiiÌÃÊ«ÕÃÊ
DU SCORE DE LORDRE DE Ì POINTS DANS LES ÏTABLISSEMENTS COMPTANT JUSQUÌ }À>`Ã]ÊV«Ì>ÌÊ
ÏLÒVES !U
DELÌ DE ÏLÒVES LA RELATION EST TRÒS FAIBLE ÕõսDÊ£ÊäääÊjmÛiÃo
,A PERFORMANCE DES ÏLÒVES DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION DU 0)3! EST oiÌÊÙÊ`>Û>Ì>}iÊ
SUPÏRIEURE DANS LES ÏTABLISSEMENTS QUI COMPTENT UNE PLUS GRANDE PROPORTION `½iÃi}>ÌÃÊÌÊÀiXÕÊ
DENSEIGNANTS SPÏCIALISÏS DANS LES MATIÒRES QUILS ENSEIGNENT ESTIMATION BASÏE ÕiÊiiÕÀiÊvÀ>ÌÊ
SUR LES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENT Ì LA QUESTION PORTANT SUR LE NOMBRE Ì>i]Ê«ÕÃÊëjV>Ãji°
DENSEIGNANTS TITULAIRES DUN DIPLÙME DENSEIGNEMENT TERTIAIRE ASSORTI DUNE
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
SPÏCIALISATION DANS UN DES DOMAINES DÏVALUATION DU 0)3! !INSI EN LECTURE
UNE PROGRESSION DE POINTS DE POURCENTAGE DE LA PROPORTION DENSEIGNANTS
TITULAIRES DUN DIPLÙME DENSEIGNEMENT TERTIAIRE AVEC UNE SPÏCIALISATION DANS
UNE MATIÒRE AFFÏRENTE CORRESPOND Ì UNE AUGMENTATION DE LORDRE DE POINTS
SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT %N REVANCHE LE TAUX DE
PARTICIPATION n COMMUNIQUÏ PAR LES CHEFS DÏTABLISSEMENT n DES ENSEIGNANTS Ì
DES PROGRAMMES OFFICIELS DESTINÏS Ì AMÏLIORER LEURS COMPÏTENCES DIDACTIQUES OU
LEURS PRATIQUES PÏDAGOGIQUES AU COURS DES TROIS DERNIERS MOIS NA PAS DIMPACT
SIGNIFICATIF SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES )L CONVIENT TOUTEFOIS DE RECONNAÔTRE
QUE LE TAUX DE PARTICIPATION Ì DES PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE
PENDANT UNE PÏRIODE DE TROIS MOIS EST UN INDICATEUR MOINS INSTRUCTIF Ì LÏGARD DE
LA FORMATION CONTINUE DES ENSEIGNANTS QUE NE LEST LE DIPLÙME DENSEIGNEMENT
TERTIAIRE QUI CONSTITUE UNE PRÏPARATION EFFICACE
iÃʫ̵ÕiÃÊiÌÊ %N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% TROIS ASPECTS DES POLITIQUES ET PRATIQUES
«À>̵ÕiÃÊ`iÃÊ DES ÏTABLISSEMENTS ONT UN IMPACT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF SUR LA PERFOR
jÌ>LÃÃiiÌÃÊiÝiÀViÌÊ MANCE DES ÏLÒVES DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION )L SAGIT I DES FACTEURS
iiÃÊ>ÕÃÃÊÕiÊvÕiVi]Ê TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT QUI SONT IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS VOIR
>ÃÊiiÃÊÃÌÊ«ÕÃÊ LE TABLEAU II DU MORAL ET DE LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS VOIR LE
`vvViÃÊDÊ`ÃViÀiÀ° TABLEAU III DE LAUTONOMIE DE LÏTABLISSEMENT VOIR LE TABLEAU TELS
QUILS SONT PER US PAR LES CHEFS DÏTABLISSEMENT 5NE PROGRESSION DUNE UNITÏ
SOIT UN ÏCART TYPE INTERNATIONAL DE CES INDICES DONNE LIEU Ì UNE AUGMENTATION
DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DE RESPECTIVEMENT
ET POINTS )L Y A LIEU DE SOULIGNER QUE CES EFFETS SONT RELATIVEMENT FAIBLES
COMPARÏS Ì LAUGMENTATION DE POINTS PROVOQUÏE PAR LA PROGRESSION DUNE
UNITÏ DE LINDICE DUTILISATION DES RESSOURCES DES ÏTABLISSEMENTS 0AR AILLEURS
LAUTONOMIE DES ENSEIGNANTS ET LE RECOURS AUX ÏVALUATIONS FORMELLES TOUS DEUX
DÏRIVÏS DES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENT VOIR LANNEXE ! NONT PAS
RÏVÏLÏ DEFFETS STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIFS QUAND ON CONSIDÒRE LES PAYS DE
L/#$% DANS LEUR ENSEMBLE
iÊLiÃÊ«À>̵ÕiÃÊiÊ $E MÐME IL EXISTE UNE RELATION POSITIVE ET STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE ENTRE
V>ÃÃi]ÊÌ>iÌÊiÃÊ TROIS ASPECTS DE LA PRATIQUE EN CLASSE ET LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES DANS LES
Ài>ÌÃÊ«ÃÌÛiÃÊiÌÀiÊ TROIS DOMAINES DÏVALUATION DU 0)3! )L SAGIT I DES RELATIONS ÏLÒVES ENSEI
jmÛiÃÊiÌÊiÃi}>ÌÃÊ GNANTS II DU CLIMAT DE DISCIPLINE EN CLASSE VOIR ÏGALEMENT LE TABLEAU
>ÃʵսÕÊLÊV>ÌÊ III DE LINDICE Di ENCOURAGEMENT w TELS QUILS SONT PER US PAR LES ÏLÒVES
`iÊ`ÃV«i]ÊÌÊÕÊ #E SONT LES RELATIONS ÏLÒVES ENSEIGNANTS ET LE CLIMAT DE DISCIPLINE EN CLASSE
«>VÌÊÌ>Li° QUI ONT LE PLUS GRAND IMPACT UNE DIFFÏRENCE DUNE UNITÏ SOIT UN ÏCART TYPE
INTERNATIONAL DE CES INDICES DONNE LIEU Ì UNE DIFFÏRENCE DE SCORE DE LORDRE
DE RESPECTIVEMENT ET POINTS SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT ,ENCOURAGEMENT QUI EST MESURÏ SUR LA BASE DES RÏPONSES DES
ÏLÒVES Ì DES QUESTIONS PORTANT SUR LA PRIORITÏ ACCORDÏE AU RENDEMENT PAR LES
ENSEIGNANTS ET SUR LEURS EXIGENCES Ì LÏGARD DES ÏLÒVES NEST QUE MODÏRÏMENT
ASSOCIÏ Ì LA PERFORMANCE EN LECTURE %N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$%
SON EFFET SUR LA PERFORMANCE EN CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE NEST PAS
STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
$ANS LENSEMBLE TOUS DOMAINES DÏVALUATION CONFONDUS LINFLUENCE CUMULÏE iÃÊv>VÌiÕÀÃʵÕÊ
DE CE JEU DE VARIABLES RELATIVES Ì LÏTABLISSEMENT EXPLIQUE ENVIRON POUR CENT «ÀjVm`iÌÊVÌÀLÕiÌÊDÊ
DE LA VARIATION ENTRE ÏTABLISSEMENTS Ì LINTÏRIEUR DES PAYS ET POUR CENT DE LA iÝ«µÕiÀÊiÃÊ`vvjÀiViÃÊ
VARIATION ENTRE PAYS TABLEAU "IEN QUIL SAGISSE LÌ DE RÏSULTATS APPRÏCIABLES iÌÀiÊjÌ>LÃÃiiÌÃo
POUR UNE ÏTUDE INTERNATIONALE MENÏE Ì SI GRANDE ÏCHELLE CELA SIGNIFIE QUUNE
PART IMPORTANTE DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DEMEURE INEXPLIQUÏE PAR LES
FACTEURS CONTEXTUELS PROPRES AUX ÏTABLISSEMENTS ET QUE LE 0)3! A ÏTUDIÏS
,ANALYSE PRÏCÏDENTE SUGGÒRE QUE LA VARIATION DE PERFORMANCE DES ÏLÒVES EST EN o>ÃÊiÊiÕÊÃV
PARTIE IMPUTABLE Ì LEUR MILIEU FAMILIAL ET AU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE MOYEN DES jVµÕiÊiÊiÝ«µÕiÊ
ÏTABLISSEMENTS QUILS FRÏQUENTENT %N MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% LE ÕiÊ«>ÀÌÊ«ÕÃÊ«ÀÌ>ÌiÊ
MILIEU FAMILIAL PERSONNEL DES ÏLÒVES ET LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE MOYEN DES iVÀi°
ÏTABLISSEMENTS EXPLIQUENT ENTRE ET POUR CENT DE LA VARIATION DE LA PERFOR
MANCE DES ÏLÒVES AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS DANS LES TROIS DOMAINES DÏVALUA
TION %N REVANCHE CES DEUX VARIABLES SONT RESPONSABLES DE ET POUR
CENT DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE ENTRE ÏTABLISSEMENTS RESPECTIVEMENT EN
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EN CULTURE MATHÏMATIQUE ET EN CULTURE SCIENTIFIQUE
VOIR LA DEUXIÒME SÏRIE DE COLONNES DU TABLEAU %NFIN UN TIERS ENVIRON DE LA
VARIATION ENTRE PAYS DES PERFORMANCES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET EN CULTURE
MATHÏMATIQUE EST IMPUTABLE Ì CES DEUX VARIABLES
,ENCADRÏ COMPARE LIMPORTANCE DE LEFFET DE PLUSIEURS DES FACTEURS CLÏS
ÏVOQUÏS CI
DESSUS SUR LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES DANS LES DOMAINES DÏVALUA
TION DU 0)3!
%NCADRÏ #OMPARAISON DE LEFFET DE DIVERS FACTEURS
)L NEST GUÒRE AISÏ DE COMPARER LIMPACT DES DIVERS FACTEURS QUI CONTRIBUENT Ì LAMÏLIORATION DES
PERFORMANCES DES ÏLÒVES CAR CES FACTEURS SONT MESURÏS SELON DES MÏTHODES DIFFÏRENTES .ÏANMOINS LE
MODÒLE APPLIQUÏ ICI COMPARE CERTAINES DE CES VARIABLES ENTRE ELLES DANS UNE PERSPECTIVE i ÏGALITAIRE w
#ET ENCADRÏ PORTE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT MAIS LES RÏSULTATS CONCERNANT
LA CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIFIQUE SONT TRÒS SIMILAIRES
)L EST POSSIBLE DE COMPARER LEFFET DE TROIS VARIABLES IMPORTANTES QUI PEUVENT ÐTRE MESURÏES DE
MANIÒRE COHÏRENTE DANS LES PAYS LE NOMBRE DÏLÒVES PAR MEMBRE DU CORPS ENSEIGNANT LE NOMBRE
DÏLÒVES PAR ÏTABLISSEMENT ET LE POURCENTAGE DENSEIGNANTS TITULAIRES DUN DIPLÙME DE NIVEAU
UNIVERSITAIRE ASSORTI DUNE SPÏCIALISATION DANS LA MATIÒRE QUILS ENSEIGNENT ,ES ANALYSES PERMETTENT
DESTIMER QUE SI LE SCORE MOYEN DES ÏLÒVES DANS UN ÏTABLISSEMENT DONNÏ EST SUPÏRIEUR DE POINTS
Ì CELUI DUN AUTRE CELA CORRESPOND EN MOYENNE Ì
n ÏLÒVES DE MOINS PAR ENSEIGNANT
n ÏLÒVES DE PLUS DANS LÏTABLISSEMENT
n UNE AUGMENTATION DE POUR CENT DE LA PROPORTION DENSEIGNANTS TITULAIRES DUN DIPLÙME DE NIVEAU
UNIVERSITAIRETERTIAIRE ASSORTI DUNE SPÏCIALISATION DANS LA MATIÒRE QUILS ENSEIGNENT
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
#ETTE ESTIMATION PERMET DE COMPARER QUELLE EST LAMPLEUR DE LA VARIATION DUN FACTEUR ASSOCIÏE Ì
UNE DIFFÏRENCE DE PERFORMANCE DONNÏE
,E 0)3! A ÏGALEMENT ÏTUDIÏ UNE SÏRIE DE FACTEURS QUI SONT PLUS DIFFICILES Ì MESURER PARTICULIÒREMENT
AU NIVEAU INTERNATIONAL 0OUR CE FAIRE DES INDICES SPÏCIFIQUES ONT ÏTÏ ÏLABORÏS Ì PARTIR DE LA
RÏPARTITION DE CHAQUE CARACTÏRISTIQUE DANS LES ÏTABLISSEMENTS DES PAYS DE L/#$% PLUTÙT QUE DES
CARACTÏRISTIQUES INTRINSÒQUES DE LOBJET DES MESURES ,A VALEUR MOYENNE DE CET INDICE EST ÏGALE Ì
ZÏRO ET LÏCART TYPE Ì 0OUR CET INDICE UNE UNITÏ DE DIFFÏRENCE UN ÏCART TYPE EST ASSOCIÏE EN
MOYENNE DANS LES PAYS DE L/#$% Ì UNE PROGRESSION DU SCORE DES ÏLÒVES DE
n POINTS LORSQUE LES ÏLÒVES UTILISENT PLUS SOUVENT LES RESSOURCES DES ÏTABLISSEMENTS
n POINTS LORSQUE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DÏCLARENT QUE LE CLIMAT DE LEUR ÏTABLISSEMENT EST PLUTÙT
BON ÏTANT DONNÏ LES FACTEURS LIÏS AUX ENSEIGNANTS
n POINTS LORSQUE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DÏCLARENT QUE LÏTABLISSEMENT JOUIT DUNE PLUS GRANDE
AUTONOMIE
n POINTS LORSQUE LES ÏLÒVES DÏCLARENT QUE LES RELATIONS ÏLÒVES
ENSEIGNANTS SONT MEILLEURES
n POINTS LORSQUE LES ÏLÒVES DÏCLARENT QUE LE CLIMAT DE DISCIPLINE EST MEILLEUR
n POINTS LORSQUE LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL MOYEN DES ÏLÒVES EST PLUS ÏLEVÏ
0OUR LES DONNÏES VOIR TABLEAUX ET A
,A MAJEURE PARTIE DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE ENTRE ÏTABLISSEMENTS EST
EXPLIQUÏE PAR LES FACTEURS CONTEXTUELS RELATIFS AU MILIEU ET AUX ÏTABLISSEMENTS
%N OUTRE IL EXISTE BIEN
SßR UNE INTERACTION ENTRE LES FACTEURS LIÏS AUX ÏTABLISSE
MENTS ET CEUX LIÏS AU MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE ,ES DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE
DES ÏTABLISSEMENTS SONT LE FRUIT DE LA COMBINAISON DES DIFFÏRENCES DUNE PART
ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS ET LEURS PROCESSUS ÏDUCATIFS ET DAUTRE PART ENTRE LE
MILIEU FAMILIAL DE LEURS EFFECTIFS /N ESTIME QUE POUR CENT ENVIRON DE LA
VARIATION OBSERVÏE ENTRE ÏTABLISSEMENTS Ì LINTÏRIEUR DES PAYS EST IMPUTABLE Ì LA
COMBINAISON DES FACTEURS LIÏS AUX ÏTABLISSEMENTS ET AU MILIEU FAMILIAL DES ÏLÒVES
VOIR LA TROISIÒME SÏRIE DE COLONNES DU TABLEAU #E CONSTAT VAUT POUR
LES TROIS DOMAINES DÏVALUATION DU 0)3! #ES FACTEURS EXPLIQUENT ÏGALEMENT
UNE PARTIE DE LA VARIATION DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ENTRE PAYS !U NIVEAU
DES PAYS LA PART DE LA VARIATION DE PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
EN CULTURE MATHÏMATIQUE ET EN CULTURE SCIENTIFIQUE QUI EST IMPUTABLE Ì LEFFET
CONJUGUÏ DE CES FACTEURS EST RESPECTIVEMENT DE ET POUR CENT
1iÊ«>ÀÌÊ`iʽ>Û>Ì>}iʵÕiÊ /N CONSTATERA QUE LEFFET CONJUGUÏ DES FACTEURS LIÏS AUX ÏTABLISSEMENTS ET DE CEUX QUI
«iÕÌÊVvjÀiÀÊiÊiÕÊÃV CONCERNENT LE MILIEU SOCIAL SUR LA VARIATION DE LA PERFORMANCE NEST PAS SIMPLEMENT
jVµÕiÊ«ÀÛiÌÊ`iÊ>Ê LA SOMME DES INFLUENCES DE CES DEUX TYPES DE FACTEURS #E PHÏNOMÒNE SEXPLIQUE
vÀjµÕiÌ>ÌÊ«>ÀÊiÃÊjmÛiÃÊ«ÕÃÊ PAR LE FAIT QUE BON NOMBRE DES CARACTÏRISTIQUES DUN ÏTABLISSEMENT SONT ÏTROITEMENT
>ÃjÃÊ`½jÌ>LÃÃiiÌÃÊ«ÀjÃiÌ>ÌÊ CORRÏLÏES Ì CELLES DU MILIEU FAMILIAL DES ÏLÒVES QUI LE FRÏQUENTENT %N DAUTRES
`>Û>Ì>}iÊ`iÊV>À>VÌjÀÃ̵ÕiÃÊ TERMES UNE PARTIE DE LIMPACT DU MILIEU FAMILIAL SUR LA PERFORMANCE SCOLAIRE EST
>ÃÃVjiÃÊDÊ>ÊÀjÕÃÃÌiÊo CONDITIONNÏE PAR LES CARACTÏRISTIQUES DE LÏTABLISSEMENT #ONSIDÏRONS PAR EXEMPLE
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
LÏCART THÏORIQUE ENTRE LES PERFORMANCES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DE DEUX
ÏTABLISSEMENTS FRÏQUENTÏS PAR DES ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX DIFFÏRENTS SUPPOSONS QUUN
ÏCART DUNE UNITÏ DE LINDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL LES SÏPARE EN
MOYENNE /N SATTEND GLOBALEMENT ET EN MOYENNE DANS LA ZONE DE L/#$% Ì CE QUE
LES ÏLÒVES DE LÏTABLISSEMENT LE PLUS FAVORISÏ RÏALISENT UNE PERFORMANCE SUPÏRIEURE DE
POINTS OU PLUS 5NE PARTIE DE CET ÏCART EST LA CONSÏQUENCE DE CE QUE EN MOYENNE
LES ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX PLUS FAVORISÏS FRÏQUENTENT DES ÏTABLISSEMENTS PRÏSENTANT
DAVANTAGE DE CARACTÏRISTIQUES ASSOCIÏES Ì LA RÏUSSITE IL SAGIT DE LA PART CONDITIONNÏE
DE CET EFFET #ELLE
CI EXPLIQUE DES POINTS DÏCART ,A PARTIE RÏSIDUELLE DE LEFFET
DU MILIEU FAMILIAL n CELLE QUI NEST PAS CORRÏLÏE AUX VARIABLES RELATIVES Ì LÏTABLISSE
MENT n EXPLIQUE POINTS #ETTE DIFFÏRENCE DE POINTS PEUT ÐTRE ENVISAGÏE COMME
UN INDICE DE LA MESURE DANS LAQUELLE LES SYSTÒMES ÏDUCATIFS TENDENT EN MOYENNE Ì
RENFORCER LAVANTAGE DONT BÏNÏFICIENT AU DÏPART LES ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX FAVORISÏS
)NVERSEMENT ON PEUT PRENDRE EN COMPTE LA MESURE DANS LAQUELLE LA CORRÏLATION ENTRE oiÌÊÛiÀÃiiÌ]ÊiÃÊ
LES FACTEURS PROPRES Ì CHAQUE ÏTABLISSEMENT DAVANTAGE DE RESSOURCES PAR EXEMPLE jÌ>LÃÃiiÌÃÊ
ET LAUGMENTATION DU NIVEAU DE PERFORMANCE EST VRAISEMBLABLEMENT DUE AU MILIEU «ÀjÃiÌ>ÌÊViÃÊ
PRIVILÏGIÏ DONT SONT ISSUS LES ÏLÒVES QUI FRÏQUENTENT LES MEILLEURS ÏTABLISSEMENTS $ANS V>À>VÌjÀÃ̵ÕiÃÊÀj>ÃiÌÊ
LA PLUPART DES CAS LIMPACT ISOLÏ DES FACTEURS PROPRES AUX ÏTABLISSEMENTS SE RÏDUIT `iÊiiÕÀiÃÊ
LORSQUE LE MILIEU FAMILIAL EST PRIS EN CONSIDÏRATION CAR DE NOMBREUSES CARACTÏRISTIQUES «iÀvÀ>ViÃÊiÊ«>ÀÌiÊ
LIÏES Ì LA QUALITÏ DES ÏTABLISSEMENTS SONT ASSOCIÏES Ì LEUR STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET «>ÀViʵÕiÊiÕÀÃÊivviVÌvÃÊ
CULTUREL !INSI DANS LES PAYS DE L/#$% LA MOITIÏ DE LEFFET GÏNÏRÏ PAR DES DIFFÏRENCES ÃÌÊ«ÕÃÊ>Ãjð
DANS LES RESSOURCES DE LÏTABLISSEMENT ET DEUX TIERS DE LEFFET PRODUIT PAR LE RAPPORT
ÏLÒVESENSEIGNANT ET LA TAILLE DE LÏTABLISSEMENT SONT EN MOYENNE ASSOCIÏS AU MILIEU
FAMILIAL ,A RELATION EST PLUS ÏTROITE ENCORE POUR LES VARIABLES LIÏES AUX POLITIQUES ET
PRATIQUES DES ÏTABLISSEMENTS ° LAUTRE EXTRÐME LIMPACT DES RELATIONS ÏLÒVES ENSEI
GNANTS ET DU CLIMAT DE DISCIPLINE EST EN GRANDE PARTIE INDÏPENDANT DU MILIEU FAMILIAL
)L Y A LIEU DE SOULIGNER QUE CES RÏSULTATS NIMPLIQUENT PAS QUE LES FACTEURS
SCOLAIRES SONT MOINS IMPORTANTS CAR IL EST IMPOSSIBLE DE LES DISSOCIER TOTALEMENT
DES FACTEURS LIÏS AU MILIEU FAMILIAL #ONSIDÏRONS UNE HYPOTHÒSE EXTRÐME DANS
LAQUELLE DES ÏTABLISSEMENTS PRÏSENTANT DES CARACTÏRISTIQUES SOUHAITABLES SERAIENT
EXCLUSIVEMENT FRÏQUENTÏS PAR DES ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX FAVORISÏS ET AFFICHE
RAIENT DES PERFORMANCES SUPÏRIEURES Ì LA MOYENNE ,E RENDEMENT SUPÏRIEUR DE
CES ÏTABLISSEMENTS SEXPLIQUE EN PARTIE PAR LIMPACT DIRECT DU MILIEU FAMILIAL
DES ÏLÒVES ET EN PARTIE PAR LIMPACT DE LA QUALITÏ SUPÏRIEURE DE LÏTABLISSEMENT
0LUS CES DEUX TYPES DAVANTAGES SE CHEVAUCHENT PLUS IL EST DIFFICILE DE MESURER
LA CONTRIBUTION DE CHACUN Ì LAMÏLIORATION DE LA PERFORMANCE
$EUX CONCLUSIONS PEUVENT ÐTRE TIRÏES DE LANALYSE EXPOSÏE CI
DESSUS
n EN PREMIER LIEU IL EXISTE DES INTERACTIONS ENTRE DES FACTEURS SCOLAIRES IMPORTANTS iÊv>ÌÊ`½kÌÀiÊÃV>iiÌÊ
AFFECTANT LA PERFORMANCE DES ÏTABLISSEMENTS ET DES PAYS ET LE STATUT SOCIO
`jv>ÛÀÃjÊ«iÕÌÊkÌÀiÊ
ÏCONOMIQUE DES ÏTABLISSEMENTS DÏRIVÏ DE LINDICE MOYEN DE STATUT ÏCONOMIQUE ÀivÀVjÊ«>ÀÊÕiÊ
SOCIAL ET CULTUREL DE LA POPULATION 0)3! FRÏQUENTANT CES ÏTABLISSEMENTS %N j}>ÌjÊ`iÃÊV
>ViÃo
DAUTRES TERMES UNE PARTIE DE LINÏGALITÏ DE RÏSULTATS OBSERVÏE DANS LANALYSE DES
GRADIENTS SOCIO
ÏCONOMIQUES EST LIÏE Ì LINÏGALITÏ DES CHANCES
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
oµÕÊÃiÊ>viÃÌiÊ`iÊ n EN SECOND LIEU AUCUN FACTEUR PARMI CEUX ÏTUDIÏS PAR LE 0)3! NE PEUT Ì
v>XÊ
jÌjÀ}mi° LUI SEUL EXPLIQUER POURQUOI CERTAINS ÏTABLISSEMENTS OU PAYS OBTIENNENT DE
MEILLEURS RÏSULTATS QUE LES AUTRES %N FAIT LES BONNES PERFORMANCES SONT
IMPUTABLES Ì UNE MYRIADE DE FACTEURS DONT LES PRATIQUES EN CLASSE ET LES
RESSOURCES LES POLITIQUES ET LES PRATIQUES DES ÏTABLISSEMENTS
>ÃÊiÃÊ«>ÞÃ]Ê $ANS LANALYSE QUI PRÏCÒDE NOUS AVONS ÏTUDIÏ LIMPACT DE CERTAINS FACTEURS SUR
½VVÕÀÀiViÊ`iÊViÀÌ>ÃÊ LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES DANS LEUR ENSEMBLE CEST
Ì
DIRE TOUS PAYS CONFONDUS
v>VÌiÕÀÃÊ`iÊÀjÕÃÃÌiÊ«iÕÌÊ ,A SECTION SUIVANTE SATTACHE Ì DÏCRIRE LA RÏPARTITION DE CES FACTEURS ENTRE LES
kÌÀiʵÕ>ÌvjiÊÃÕÀÊÕiÊ PAYS -AINTENANT QUE NOUS CONNAISSONS LES FACTEURS ESSENTIELS DANS LENSEMBLE
jV
iiÊ`iÊ£äÊ«ÌÃo DE L/#$% IL EST JUDICIEUX DE SAVOIR LESQUELS PRÏDOMINENT DANS QUELS SYSTÒMES
ÏDUCATIFS 0OUR CE FAIRE IL FAUT NON SEULEMENT DÏTERMINER SI LES ÏTABLISSEMENTS DUN
PAYS DONNÏ POSSÒDENT CERTAINES CARACTÏRISTIQUES POSITIVES ET DANS LAFFIRMATIVE
ÏVALUER LEUR IMPORTANCE MAIS AUSSI ESTIMER LEUR CONCENTRATION DANS LES ÏTABLIS
SEMENTS DONT LES EFFECTIFS SONT ISSUS DE MILIEUX PLUS PRIVILÏGIÏS ,E TABLEAU
PRÏSENTE DES ESTIMATIONS DE CES DEUX ASPECTS 0OUR CHAQUE PAYS IL INDIQUE LA VALEUR
COMPRISE ENTRE ET DE CHACUNE DES VARIABLES PROPRES AUX ÏTABLISSEMENTS
ET ÏVALUE LA MESURE DANS LAQUELLE CHAQUE VARIABLE EST ASSOCIÏE AU PROFIL SOCIO
ÏCONOMIQUE DES ÏTABLISSEMENTS VOIR ENCADRÏ
oÃÕÀÊ>µÕiiÊ£äÊ #ONSIDÏRONS Ì TITRE DEXEMPLE LA SITUATION DES ³TATS 5NIS ,A VALEUR DE LIMPACT
`µÕiÊiÃÊV`ÌÃÊ DU RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT SUR LA PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
iÃÊ«ÕÃÊv>ÛÀ>LiÃÊiÌÊäÊ EST ÏGALE Ì CE QUI INDIQUE QUE LE RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT EST EN MOYENNE
iÃÊV`ÌÃÊiÃÊÃÊ INFÏRIEUR Ì DANS LES ÏTABLISSEMENTS DE CE PAYS ,A VALEUR CORRESPONDANT Ì LA
v>ÛÀ>LiÃo TAILLE DES ÏTABLISSEMENTS EST DE CE QUI SIGNIFIE QUE CE PAYS COMPTE DE TRÒS
PETITS ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT ° LA LUMIÒRE DES RÏSULTATS CALCULÏS TOUS
PAYS CONFONDUS CES ÏTABLISSEMENTS SONT SUSCEPTIBLES DAFFICHER UN RENDEMENT
INFÏRIEUR Ì CELUI DAUTRES ÏTABLISSEMENTS DE TAILLE MODÏRÏE ,A VALEUR DE LINDICE
PORTANT SUR LA FORMATION DES ENSEIGNANTS EST DE %N MOYENNE LES ÏTABLISSE
MENTS AUX ³TATS 5NIS EMPLOIENT UNE PROPORTION DENSEIGNANTS QUALIFIÏS POUR LA
MATIÒRE ENSEIGNÏE SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE DES PAYS DE L/#$% ,ES VALEURS DES
SEPT AUTRES INDICATEURS SONT TOUTES SUPÏRIEURES Ì LA MOYENNE DE L/#$% QUI EST
DE Ì LEXCEPTION DU MORAL DES ENSEIGNANTS
o>ÃÊÊÞÊ>ÊiÕÊ`iÊ )L Y A LIEU DE SOULIGNER QUE LANALYSE QUI PRÏCÒDE NÏTUDIE PAS LES EFFETS DE
ÌiÀʵÕiÊViÃÊÞiiÃÊ CES VARIABLES SUR LA PERFORMANCE SÏPARÏMENT DANS CHAQUE PAYS #EPENDANT
«iÕÛiÌÊVVÕÌiÀÊ`iÊ LE TABLEAU A PRÏSENTE LES RÏSULTATS DAPRÒS UN MODÒLE ANALOGUE APPLIQUÏ
vÀÌiÃÊ`ë>ÀÌjÃÊiÌÀiÊ ISOLÏMENT AUX DONNÏES DE CHAQUE PAYS AINSI QUUNE SYNTHÒSE STATISTIQUE
«>ÞÃʵÕ>ÌÊ>ÕÊ«`ÃÊ`iÃÊ MÏTA
EFFET DES RÏSULTATS POUR LENSEMBLE DE L/#$% #ETTE SYNTHÒSE DES RÏSUL
`vvjÀiÌÃÊv>VÌiÕÀð TATS PAR PAYS DONNE LIEU Ì DES CONSTATATIONS PLUTÙT SIMILAIRES Ì CELLES RAPPORTÏES
AU TABLEAU %LLE MET ÏGALEMENT EN LUMIÒRE QUE LES EFFETS DE BON NOMBRE DE
VARIABLES VARIENT CONSIDÏRABLEMENT DUN PAYS Ì LAUTRE ET QUE DANS DE NOMBREUX
CAS ILS SÏCARTENT DES TENDANCES GÏNÏRALES EXPOSÏES CI
DESSUS !INSI EN 'RÒCE
EN )TALIE ET AUX 0AYS
"AS LES VALEURS DE LINDICE DU CLIMAT DE DISCIPLINE SONT
RELATIVEMENT FAIBLES MAIS IL APPARAÔT QUE LEFFET DU CLIMAT DE DISCIPLINE SUR LA
PERFORMANCE DES ÏLÒVES EST CONSIDÏRABLE EN )TALIE ALORS QUIL EST INSIGNIFIANT
EN 'RÒCE ET AUX 0AYS
"AS )L EST POSSIBLE QUE DAUTRES FACTEURS INTERVIENNENT
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
%NCADRÏ #OMMENT LIRE LE TABLEAU
,E TABLEAU INDIQUE POUR CHAQUE VARIABLE SCOLAIRE UNE VALEUR DINDICE COMPRISE ENTRE ET ,ES
RÏSULTATS LES PLUS ÏLEVÏS SONT POSITIFS EN DAUTRES TERMES ILS CORRESPONDENT AU NIVEAU INTERNATIONAL
ASSOCIÏ Ì UNE MEILLEURE PERFORMANCE DES ÏLÒVES DANS LES DOMAINES DÏVALUATION DU 0)3! ,ES VALEURS
SUIVANTES ONT ÏTÏ FIXÏES
6ARIABLE 6ALEUR 6ALEUR DINDICE
2APPORT ÏLÒVESENSEIGNANT )NFÏRIEUR Ì
%NTRE ET
%NTRE ET
3UPÏRIEUR Ì
4AILLE DE LÏTABLISSEMENT %NTRE ET ÏLÒVES
%NTRE ET ÏLÒVES
%NTRE ET ÏLÒVES
-OINS DE ÏLÒVES
0OURCENTAGE DENSEIGNANTS %NTRE ET
TITULAIRES DUN DIPLÙME DE NIVEAU %NTRE ET
UNIVERSITAIRETERTIAIRE ASSORTI
DUNE SPÏCIALISATION DANS %NTRE ET
LA MATIÒRE ÏVALUÏE
!UTRES VARIABLES 2Ï
ÏCHELONNÏES DE SORTE QUE LA VALEUR MOYENNE EST ÏGALE Ì
ÏCHELLES BASÏES SUR LES ÏCARTS LÏCART TYPE Ì ET QUE LES VALEURS ET ONT ÏTÏ
TYPES INTERNATIONAUX ATTRIBUÏES AUX EXTRÏMITÏS
,ES VALEURS DINDICE DE CHAQUE PAYS CORRESPONDENT AUX MOYENNES DES ÏTABLISSEMENTS DU PAYS ,ES
VALEURS DE CORRÏLATION DE CHAQUE PAYS DANS LE TABLEAU INDIQUENT LA MESURE DANS LAQUELLE LES
VARIATIONS DE CHAQUE FACTEUR SONT ASSOCIÏES DE MANIÒRE POSITIVE AUX DIFFÏRENCES OBSERVÏES DANS LES
EFFECTIFS DÏLÒVES n PAR EXEMPLE LA MESURE DANS LAQUELLE UN NOMBRE DÏLÒVES PAR PERSONNEL ENSEIGNANT
PLUS FAVORABLE EST OBSERVÏ DANS DES ÏTABLISSEMENTS DONT LES ÏLÒVES SONT ISSUS DE MILIEUX SOCIAUX
PRIVILÏGIÏS 5NE CORRÏLATION NÏGATIVE INDIQUE QUE LA RELATION EST INVERSE 5NE CORRÏLATION DE ZÏRO
INDIQUE QUE DES ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX SOCIAUX DIFFÏRENTS ONT LES MÐMES CHANCES DE FRÏQUENTER DES
ÏTABLISSEMENTS DONT LES CONDITIONS SONT FAVORABLES ,AMPLEUR DE LIMPACT PEUT ÐTRE COMPARÏE Ì LA
MOYENNE DE L/#$% POUR ESTIMER SON IMPORTANCE RELATIVE
DANS CES PAYS DE TELLE SORTE QUE DES ÏTABLISSEMENTS DANS LESQUELS LE CLIMAT DE
DISCIPLINE EST MÏDIOCRE PUISSENT MALGRÏ TOUT RÏALISER DE BELLES PERFORMANCES CE
EN QUOI ILS SÏCARTENT DE LA TENDANCE GÏNÏRALE
/UTRE LES VALEURS DES DIVERS INDICES LE TABLEAU CHIFFRE LA CORRÏLATION ENTRE
CHAQUE VARIABLE ET LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL MOYEN AU
NIVEAU DES ÏTABLISSEMENTS 5NE CORRÏLATION POSITIVE INDIQUE QUE LES ÏTABLISSE
MENTS FRÏQUENTÏS PAR DES ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX SOCIAUX PRIVILÏGIÏS TENDENT Ì
RÏUSSIR MIEUX QUE CEUX FRÏQUENTÏS PAR DES ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX SOCIAUX MOINS
FAVORISÏS VOIR LENCADRÏ POUR DAVANTAGE DE DÏTAILS Ì CET ÏGARD
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
0LUSIEURS CONCLUSIONS PEUVENT ÐTRE TIRÏES DE CE TABLEAU
iÃÊÀ>««ÀÌÃÊjmÛiÃÉ n DANS TOUS LES PAYS DE L/#$% CONFONDUS LE RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT EST INFÏRIEUR
iÃi}>ÌÊÃiÊÃÌÕiÌÊiÊ OU ÏGAL Ì DANS LA MAJORITÏ DES ÏTABLISSEMENTS ,ES RÏSULTATS DU 0)3! NINDIQUENT
«ÕÃÊÃÕÛiÌÊ>Õ`iÃÃÕÃÊ PAS DAMÏLIORATION SUBSTANTIELLE DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SOUS CE SEUIL 0AR
`ÕÊÛi>ÕÊDÊ«>ÀÌÀÊ AILLEURS LA VALEUR MOYENNE DE LA TAILLE DES ÏTABLISSEMENTS EST DE SUR CE
`ÕµÕiÊÃÊiÝiÀViÌÊÕiÊ QUI EST NETTEMENT INFÏRIEUR AU NIVEAU THÏORIQUE CORRESPONDANT Ì LA PERFORMANCE
vÕiVi° OPTIMALE DES ÏLÒVES ,ES RÏSULTATS MONTRENT QUE LA TAILLE MOYENNE DES ÏTABLISSE
MENTS VARIE CONSIDÏRABLEMENT DANS TOUS LES PAYS PARTICIPANTS %N RÒGLE GÏNÏRALE LES
DIFFÏRENCES DANS LE RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT NE SONT PAS ÏTROITEMENT ASSOCIÏES AU
MILIEU SOCIO ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES AU SEIN DES PAYS
>ÃÊViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃ]ÊiÃÊ n LA VALEUR MOYENNE DE LINDICE LIÏ Ì LA FORMATION DES ENSEIGNANTS EST DE SUR
iÃi}>ÌÃÊ«ÕÃÊ CE QUI INDIQUE QUE DEUX TIERS ENVIRON DES ENSEIGNANTS SONT TITULAIRES DUN
µÕ>vjÃÊÃÌÊVViÌÀjÃÊ DIPLÙME DE NIVEAU UNIVERSITAIRE ASSORTI DUNE SPÏCIALISATION DANS LA MATIÒRE
`>ÃÊiÃÊjÌ>LÃÃiiÌÃÊ ENSEIGNÏE #EST EN !LLEMAGNE EN "ELGIQUE ET AU ,UXEMBOURG QUE LA CORRÏLA
vÀjµÕiÌjÃÊ«>ÀÊ`iÃÊjmÛiÃÊ TION ENTRE LA PROPORTION DENSEIGNANTS TITULAIRES DUN DIPLÙME UNIVERSITAIRE
ÃÃÕÃÊ`iÊiÕÝÊ TERTIAIRE AVEC UNE SPÏCIALISATION DANS LE SUJET ENSEIGNÏ ET LE STATUT SOCIO
«ÀÛj}jð ÏCONOMIQUE MOYEN DES ÏTABLISSEMENTS EST LA PLUS ÏTROITE ENTRE ET
INDIQUANT QUE DANS CES PAYS LES ENSEIGNANTS SPÏCIALISÏS TENDENT Ì ÐTRE ENGAGÏS
PAR DES ÏTABLISSEMENTS DONT LE MILIEU SOCIO ÏCONOMIQUE EST PRIVILÏGIÏ
iÃÊjmÛiÃÊÃV>iiÌÊ n DANS LA PLUPART DES CAS LE NIVEAU DE RESSOURCES DES ÏTABLISSEMENTS NEST PAS
v>ÛÀÃjÃʽÌÊ«>ÃÊ>VVmÃÊ ÏTROITEMENT ASSOCIÏ AU MILIEU SOCIAL DES ÏLÒVES %N REVANCHE LINVERSE EST VRAI
DÊ«ÕÃÊ`iÊÀiÃÃÕÀViÃÊ>ÃÊ POUR LEUR UTILISATION PAR LES ÏLÒVES ,A RELATION ENTRE LINDICE 0)3! DUTILISATION
iÃÊiÝ«ÌiÌÊ`>Û>Ì>}i° DES RESSOURCES DES ÏTABLISSEMENTS PAR LES ÏLÒVES ET LE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL
ET CULTUREL DES ÏLÒVES EST PLUS FORTE QUE TOUTES LES AUTRES RELATIONS ÏTABLIES AVEC
DES VARIABLES PROPRES AUX ÏTABLISSEMENTS %LLE SUGGÒRE QUE LES ÏLÒVES ISSUS DE
MILIEUX MOINS FAVORISÏS TENDENT Ì NE PAS UTILISER LES RESSOURCES DES ÏTABLISSE
MENTS AUSSI RÏGULIÒREMENT QUE LES ÏLÒVES FRÏQUENTANT DES ÏTABLISSEMENTS DONT
LE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL EST PLUS ÏLEVÏ
>ÃÊViÀÌ>ÃÊV>Ã]ÊiÊ n DANS CERTAINS PAYS IL EXISTE UNE RELATION POSITIVE ENTRE LES FACTEURS TROUBLANT LE
À>Ê`iÃÊiÃi}>ÌÃÊ CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS TELS QUILS SONT PER US PAR
½iÃÌÊ«>ÃÊ>ÕÃÃÊLÊ`>ÃÊ LES CHEFS DÏTABLISSEMENT ET LE STATUT SOCIO ÏCONOMIQUE DES ÏTABLISSEMENTS #ETTE
iÃÊjViÃÊvÀjµÕiÌjiÃÊ«>ÀÊ RELATION EST PARTICULIÒREMENT MANIFESTE EN #ORÏE EN %SPAGNE ET AU 2OYAUME 5NI
`iÃÊjmÛiÃÊÃÃÕÃÊ`iÊ LA VALEUR DE LA CORRÏLATION EST COMPRISE ENTRE ET )L NY A QUE PEU DE
iÕÝÊÃÊv>ÛÀÃjð PAYS DANS LESQUELS ON OBSERVE UNE RELATION POSITIVE MANIFESTE ENTRE LE MORAL OU
LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS ET LE STATUT SOCIO ÏCONOMIQUE DES ÏTABLISSEMENTS
,A 0OLOGNE SE DÏMARQUE PAR LE FAIT QUE LE MORAL ET LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS
SONT CONSIDÏRÏS COMME FAIBLES PAR LES CHEFS DÏTABLISSEMENT EN GÏNÏRAL EN
PARTICULIER DANS LES ÏTABLISSEMENTS DONT LE STATUT SOCIO ÏCONOMIQUE EST PEU ÏLEVÏ
VALEUR DE LA CORRÏLATION
iÊV>ÌÊ`iÊ`ÃV«iÊ n LES ÏTABLISSEMENTS DONT LES EFFECTIFS PRÏSENTENT UN STATUT SOCIO ÏCONOMIQUE
«iÕÌÊkÌÀiÊjÌÀÌiiÌÊ PRIVILÏGIÏ TENDENT Ì AFFICHER UN CLIMAT DE DISCIPLINE PLUS FAVORABLE TEL QUIL EST
>ÃÃVjÊ>ÕÊiÕÊÃV PER U PAR LES ÏLÒVES #ETTE TENDANCE EST PARTICULIÒREMENT SENSIBLE EN %SPAGNE
jVµÕi° AUX ³TATS 5NIS EN )TALIE AU *APON ET AU 2OYAUME 5NI ,)TALIE SE DÏMARQUE
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
PARMI CES PAYS DANS LA MESURE Oá LES ÏLÒVES CONSIDÒRENT GÏNÏRALEMENT QUE LE
CLIMAT DE DISCIPLINE EST MÏDIOCRE SURTOUT DANS LES ÏTABLISSEMENTS FRÏQUENTÏS
PAR DES ÏLÒVES DONT LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE EST FAIBLE %N REVANCHE IL
EXISTE DAUTRES PAYS Oá LE CLIMAT DE DISCIPLINE EST CONSIDÏRÏ COMME MEILLEUR
PAR LES ÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS MOINS PRIVILÏGIÏS #EST LE CAS
AU -EXIQUE ET EN .OUVELLE
:ÏLANDE Oá LA VALEUR DE LA CORRÏLATION EST RESPEC
TIVEMENT DE n ET DE n
#ONCLUSIONS
,E MILIEU FAMILIAL A UN IMPACT SUR LA RÏUSSITE SCOLAIRE ET LE STATUT SOCIO
*-ÊiÌÊiÊÕmÀiÊ>Ê
ÏCONOMIQUE PEUT EN RENFORCER LEFFET "IEN QUE LES RÏSULTATS DU 0)3! MONTRENT vÀÌiÊvÕiViʵսiÝiÀViÊ
QUUN MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE DÏFAVORISÏ NE DONNE PAS SYSTÏMATIQUEMENT LIEU iÊiÕÊv>>o
Ì DE PIÒTRES PERFORMANCES CEST LUN DES FACTEURS QUI INFLUENCENT LE PLUS LA
PERFORMANCE SUR LES ÏCHELLES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DE CULTURE MATHÏMA
TIQUE ET DE CULTURE SCIENTIFIQUE
#E CONSTAT INDIQUE QUE CEST UN DÏFI POLITIQUE IMPORTANT QUE DE CHERCHER Ì OFFRIR o>Ã]ÊÃÊiÃÊ
LÏGALITÏ DES CHANCES Ì TOUS LES ÏLÒVES QUEL QUE SOIT LEUR MILIEU FAMILIAL ,ES jÌ>LÃÃiiÌÃÊiÊ
RÏSULTATS DES RECHERCHES MENÏES Ì LÏCHELLE NATIONALE SONT PLUTÙT DÏCOURAGEANTS «iÕÛiÌÊ>ÊV«iÃiÀÊ
)LS MONTRENT QUE LES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT NE FONT GUÒRE LA DIFFÏRENCE µÕiÊ`>ÃÊÕiÊViÀÌ>iÊ
1UE CE SOIT PARCE QUE LES FAMILLES AISÏES SONT PLUS Ì MÐME DE RENFORCER LEFFET iÃÕÀi]o
DES ÏTABLISSEMENTS OU PARCE QUE LES ÏTABLISSEMENTS SONT PLUS Ì MÐME DE FORMER
DES ÏLÒVES LORSQUILS SONT ISSUS DE MILIEUX PLUS FAVORISÏS IL APPARAÔT SOUVENT
QUE LES ÏTABLISSEMENTS REPRODUISENT LES PRIVILÒGES AU LIEU DOFFRIR UNE MEILLEURE
ÏGALITÏ DES CHANCES DE SORTE QUE LES RÏSULTATS DE LENSEIGNEMENT SOIENT RÏPARTIS
DE MANIÒRE PLUS UNIFORME
,ES DONNÏES INTERNATIONALES DU 0)3! SONT PLUS ENCOURAGEANTES 3IL EXISTE DANS TOUS oViÀÌ>ÃÊ«>ÞÃÊ>iÌÊ
LES PAYS UNE RELATION POSITIVE MANIFESTE ENTRE LE MILIEU FAMILIAL ET LES RÏSULTATS DE `iÃÊ«iÀvÀ>ViÃÊ«ÕÃÊ
LENSEIGNEMENT CERTAINS PAYS PROUVENT QUE LA QUALITÏ DENSEIGNEMENT ET LÏGALITÏ
}miÃÊiÌÊÕÊÛi>ÕÊ
NE SONT PAS INCOMPATIBLES !INSI LE #ANADA LA #ORÏE LA &INLANDE L)SLANDE LE `iʵÕ>ÌjÊjiÛj°
*APON ET LA 3UÒDE AFFICHENT TOUS DES NIVEAUX DE PERFORMANCE SUPÏRIEURS Ì LA
MOYENNE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET UN IMPACT INFÏRIEUR Ì LA
MOYENNE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL SUR LE RENDEMENT DES ÏLÒVES
)NVERSEMENT EN !LLEMAGNE EN (ONGRIE AU ,UXEMBOURG ET EN 2ÏPUBLIQUE
TCHÒQUE LA PERFORMANCE EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST NETTEMENT INFÏRIEURE Ì
LA MOYENNE MAIS LES DISPARITÏS ENTRE ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX SOCIO
ÏCONOMIQUES
PRIVILÏGIÏS ET DÏFAVORISÏS SONT SUPÏRIEURES Ì LA MOYENNE
,UNE DES CONCLUSIONS LES PLUS ÏDIFIANTES DU 0)3! EST QUE LE MILIEU FAMILIAL iÊ`jvÊÃiÊVÀÃiÊÀõÕiÊ
DES ÏLÒVES NEST RESPONSABLE QUE DUNE PARTIE DES DISPARITÏS SOCIO
ÏCONOMIQUES ½«>VÌÊ`ÕÊÃÌ>ÌÕÌÊÃV
RELEVÏES DANS LENSEIGNEMENT n LA PARTIE LA MOINS IMPORTANTE DANS LA PLUPART jVµÕiÊ`iÃÊivviVÌvÃÊ
DES PAYS ,EFFET CONJUGUÏ DU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE DES EFFECTIFS DES ÏTABLIS
`½ÕÊjÌ>LÃÃiiÌo
SEMENTS PEUT EXERCER UNE INFLUENCE APPRÏCIABLE SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
ET GÏNÏRALEMENT CET IMPACT SUR LES SCORES THÏORIQUES DES ÏLÒVES EST SUPÏRIEUR
Ì CELUI DU MILIEU FAMILIAL PERSONNEL DES ÏLÒVES
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
oÃiÊVÕ}ÕiÊ>ÕÊv>ÌÊ ,ANALYSE DES RÏSULTATS DU 0)3! PERMET DE TIRER UNE AUTRE CONCLUSION TRÒS
µÕiÊiÃÊjmÛiÃÊ«ÀÛj}jÃÊ INSTRUCTIVE LES EFFETS BÏNÏFIQUES DES FACTEURS LIÏS AUX ÏTABLISSEMENTS SONT
ÌÊÌi`>ViÊDÊ RENFORCÏS PAR LE MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE ,ES ÏTABLISSEMENTS QUI DISPOSENT DE
vÀjµÕiÌiÀÊ`iÃÊ PLUS DE RESSOURCES ET QUI APPLIQUENT DES POLITIQUES ET DES PRATIQUES ASSOCIÏES
jÌ>LÃÃiiÌÃʵÕÊ Ì DE MEILLEURES PERFORMANCES CHEZ LES ÏLÒVES TENDENT Ì DES DEGRÏS DIVERS Ì
«ÀjÃiÌiÌÊ`½>ÕÌÀiÃÊ ÐTRE FRÏQUENTÏS PAR DES ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX PLUS FAVORISÏS %N !LLEMAGNE
>Û>Ì>}iÃo EN "ELGIQUE ET AU ,UXEMBOURG DE NOMBREUX ENSEIGNANTS SPÏCIALISÏS TRAVAILLENT
DANS DES ÏTABLISSEMENTS PLUS PRIVILÏGIÏS ,E CLIMAT DE DISCIPLINE TEL QUIL EST
PER U PAR LES ÏLÒVES SEMBLE PLUS FAVORABLE DANS LES ÏTABLISSEMENTS DONT LES
EFFECTIFS PRÏSENTENT UN STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE PLUS ÏLEVÏ TOUT PARTICULIÒRE
MENT EN %SPAGNE AUX ³TATS
5NIS EN )TALIE AU *APON ET AU 2OYAUME
5NI %NFIN
LES ÏLÒVES QUI FRÏQUENTENT DES ÏTABLISSEMENTS DONT LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE
EST PLUS FAIBLE TENDENT Ì UTILISER MOINS RÏGULIÒREMENT LES RESSOURCES DE LEUR
ÏTABLISSEMENT QUE CEUX INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS PLUS PRIVILÏGIÏS
oViʵÕÊÀivÀViÊ ,E RÏSULTAT NET DE CET EFFET EST LE SUIVANT DANS LES PAYS Oá LON OBSERVE UNE GRANDE
½j}>ÌjÊ`iÃÊV
>Við SÏGRÏGATION SOCIO
ÏCONOMIQUE LES ÏLÒVES ISSUS DE MILIEUX SOCIO
ÏCONOMIQUES
DÏFAVORISÏS AFFICHENT UN RENDEMENT INFÏRIEUR #E CONSTAT INDIQUE QUUNE CERTAINE
PART DE LINÏGALITÏ DES RÏSULTATS ÏTUDIÏE DANS LANALYSE DES GRADIENTS SOCIO
ÏCONOMIQUES
EST ASSOCIÏE Ì LINÏGALITÏ DES CHANCES #ONSÏQUENCE DE CETTE SITUATION LA RÏSERVE DE
TALENTS RESTE INEXPLOITÏE ET LES RESSOURCES HUMAINES SONT GALVAUDÏES
½«>VÌÊ`ÕÊiÕÊ $ANS CERTAINS PAYS LES ÏLÒVES SONT SOUMIS Ì UNE FORTE SÏGRÏGATION SOCIO
ÃVjVµÕiÊ`iÃÊ ÏCONOMIQUE NON SEULEMENT SOUS LEFFET DE LA SÏGRÏGATION RÏSIDENTIELLE ET DE
jmÛiÃÊ«ÕÀÀ>ÌÊkÌÀiÊÀj`ÕÌÊ FACTEURS ÏCONOMIQUES MAIS ÏGALEMENT Ì CAUSE DE CERTAINES CARACTÏRISTIQUES DES
iÊiÌÌ>ÌÊiÊ«>ViÊ`iÃÊ SYSTÒMES ÏDUCATIFS ,ES DÏCIDEURS DE CES PAYS POURRAIENT ENVISAGER DE RÏDUIRE
ÃÕÌÃʫ̵Õið LAMPLEUR DE LA SÏGRÏGATION SOCIO
ÏCONOMIQUE OU DAFFECTER LES RESSOURCES SELON
UN RÏGIME DIFFÏRENCIÏ POUR MODÏRER LIMPACT DU MILIEU SOCIO
ÏCONOMIQUE SUR
LE RENDEMENT DES ÏLÒVES 0OUR CES PAYS IL EST SANS DOUTE NÏCESSAIRE DEXAMINER
LA RELATION ENTRE LAFFECTATION DES RESSOURCES AUX ÏTABLISSEMENTS ET LE STATUT
SOCIO
ÏCONOMIQUE DES EFFECTIFS DE CES ÏTABLISSEMENTS $ANS DAUTRES PAYS LA
SÏGRÏGATION SOCIO
ÏCONOMIQUE EST RELATIVEMENT FAIBLE CE QUI SIGNIFIE QUE LE
STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE DES EFFECTIFS DES ÏTABLISSEMENTS TEND Ì ÐTRE SIMILAIRE
$ANS CES PAYS LES DÏCIDEURS POURRAIENT ENVISAGER DE PRENDRE DES MESURES VISANT
Ì AMÏLIORER LES RESSOURCES DES ÏTABLISSEMENTS ET Ì RÏDUIRE LA SÏGRÏGATION SOCIO
ÏCONOMIQUE AU SEIN DE CEUX
CI POUR ATTÏNUER LIMPACT DU MILIEU SOCIAL #E QUI
IMPORTE LE PLUS TOUTEFOIS CEST LA MANIÒRE DONT CES RESSOURCES SERONT EN FIN
DE COMPTE EXPLOITÏES 0ARMI LES APPROCHES ENVISAGEABLES CITONS LABOLITION DU
REGROUPEMENT PAR APTITUDES OU ENCORE UNE ASSISTANCE PLUS SUIVIE AUX ÏLÒVES DONT
LE NIVEAU DE PERFORMANCE EST INSUFFISANT
iÃÊ`jvÃÊ«ÃjÃÊ>ÕÝÊ $ANS LES PAYS Oá LIMPACT DU MILIEU SOCIO ÏCONOMIQUE SUR LA PERFORMANCE DES
ÃÞÃÌmiÃÊj`ÕV>ÌvÃÊ«µÕiÌÊ ÏLÒVES EST MODÏRÏ LE MÏRITE DE CETTE RÏUSSITE NEN REVIENT PAS AU SEUL SYSTÒME
`iÃÊivvÀÌÃÊ`vvjÀiÌÃÊÃiÊiÃÊ ÏDUCATIF $E MÐME DANS LES PAYS Oá LA PENTE DU GRADIENT EST IMPORTANTE LES
«>ÞÃ>}iÃÊÃVjVµÕiÃÊ ÏTABLISSEMENTS NEN PORTENT PAS TOUTE LA RESPONSABILITÏ )L RESSORT DES ANALYSES
>Ì>ÕÝ° QUE LES DÏFIS IMPOSÏS AUX SYSTÒMES ÏDUCATIFS PAR LES DISPARITÏS DANS LA RÏPARTITION
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
DES FACTEURS FAMILIAUX AU SEIN DE LA POPULATION DES ÏLÒVES DIFFÒRENT GRANDEMENT
SELON LES PAYS !INSI LA RÏPARTITION INÏGALE DE LA RICHESSE FAMILIALE n TELLE QUELLE
EST MESURÏE PAR LE 0)3! n AU "RÏSIL AUX ³TATS
5NIS AU -EXIQUE EN 0OLOGNE
ET AU 0ORTUGAL VOIR LE CHAPITRE IMPLIQUE DES EFFORTS NETTEMENT PLUS SOUTENUS
POUR GARANTIR LÏGALITÏ DES CHANCES QUEN #ORÏE EN &INLANDE OU AU *APON
PAYS DANS LESQUELS LA RÏPARTITION DE LA RICHESSE EST PLUS UNIFORME .OMBREUX
SONT LES FACTEURS LIÏS Ì LINFÏRIORITÏ SOCIO
ÏCONOMIQUE QUE LA POLITIQUE DE
LENSEIGNEMENT NE PEUT INFLUENCER DIRECTEMENT DU MOINS Ì COURT TERME ° TITRE
DEXEMPLE CITONS LE NIVEAU DE FORMATION DES PARENTS QUI NE PEUT AUGMENTER
QUE PROGRESSIVEMENT OU ENCORE LA RICHESSE FAMILIALE QUI DÏPEND DU DÏVELOPPE
MENT ÏCONOMIQUE DU PAYS Ì LONG TERME
,ES RÏSULTATS DU 0)3! SUGGÒRENT TOUTEFOIS QUE LA POLITIQUE DE LÏCOLE ET LES iÊ*-Ê>Ê`iÌvjÊ
ÏTABLISSEMENTS EUX
MÐMES PEUVENT CONTRIBUER GRANDEMENT Ì ATTÏNUER LIMPACT ViÀÌ>ÃÊv>VÌiÕÀÃÊjÃÊ>ÕÝÊ
DE LINFÏRIORITÏ SOCIALE SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ET IDENTIFIENT CERTAINS jÌ>LÃÃiiÌÃʵÕÊ
ASPECTS DES PRATIQUES EN CLASSE DES RESSOURCES ET POLITIQUES DES ÏTABLISSEMENTS «iÕÛiÌÊv>ÀiÊ>Ê
QUI PEUVENT FAIRE TOUTE LA DIFFÏRENCE ,E DEGRÏ DUTILISATION DES RESSOURCES DES `vvjÀiVi°
ÏTABLISSEMENTS PAR LES ÏLÒVES ET LA PROPORTION DENSEIGNANTS SPÏCIALISÏS PEUVENT
MANIFESTEMENT INFLUENCER LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ,ES FACTEURS TROUBLANT LE
CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT ET IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS LE MORAL ET LENGA
GEMENT DE CEUX
CI AINSI QUE LE DEGRÏ DAUTONOMIE DES ÏTABLISSEMENTS n TELS
QUILS SONT PER US PAR LES CHEFS DÏTABLISSEMENT n SONT ÏGALEMENT DES FACTEURS
DÏCISIFS %NFIN LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EST INFLUENCÏE PAR CERTAINS ASPECTS DES
PRATIQUES APPLIQUÏES EN CLASSE NOTAMMENT LES RELATIONS ÏLÒVES
ENSEIGNANTS ET LE
CLIMAT DE DISCIPLINE QUI RÒGNE DANS LA CLASSE
)L RESSORT DES RÏSULTATS DU 0)3! QUAUCUN FACTEUR NE PEUT Ì LUI SEUL EXPLIQUER -Ê>ÕVÕÊv>VÌiÕÀÊÃjÊ
POURQUOI CERTAINS ÏTABLISSEMENTS OU PAYS OBTIENNENT DE MEILLEURS RÏSULTATS iÊvÕÀÌÊ`iÊÃÕÌÊ
QUE DAUTRES %N FAIT LES BONNES PERFORMANCES SONT IMPUTABLES Ì UNE MYRIADE À>Vio
DE FACTEURS DONT LES PRATIQUES EN CLASSE ET LES RESSOURCES ET POLITIQUES DES
ÏTABLISSEMENTS $AUTRES RECHERCHES DOIVENT ÐTRE MENÏES POUR DÏTERMINER
COMMENT CES FACTEURS FONCTIONNENT ENTRENT EN INTERACTION AVEC LE MILIEU
FAMILIAL ET INFLUENCENT LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES
3OUCIEUX DAMÏLIORER LA COMPRÏHENSION DE CES LEVIERS LE 0)3! SEST FIXÏ LOBJECTIF o`iÃÊ>>ÞÃiÃÊ«ÕÃÊ
DE PUBLIER EN ET UNE SÏRIE DE RAPPORTS THÏMATIQUES QUI ANALYSERONT >««Àv`iÃÊÃÌÊ
LIMPACT DES FACTEURS LIÏS AUX ÏTABLISSEMENTS ET AUX SYSTÒMES ÏDUCATIFS DE MANIÒRE >ÌÌi`ÕiÃÊiÌÊÛÃiÀÌÊDÊ
PLUS APPROFONDIE ET TENTERONT DE DÏTERMINER DE FA ON PLUS DÏTAILLÏE POURQUOI v>ÀiÊ>ÊÕmÀiÊÃÕÀÊiÃÊ
CERTAINS PAYS AFFICHENT DE MEILLEURS RÏSULTATS QUE DAUTRES EN TERMES DE QUALITÏ Ài>ÌÃÊ`iÊV>ÕÃiÊDÊivviÌ°
ET DÏGALITÏ DANS LENSEIGNEMENT $ANS LATTENTE DE CES RAPPORTS LE SIMPLE FAIT
DE SAVOIR QUE DANS CERTAINS PAYS LA PLUPART DES ÏLÒVES PRÏSENTENT DÏJÌ UN NIVEAU
DE PERFORMANCE ÏLEVÏ EST EN SOI UN CONSTAT ENCOURAGEANT QUI MONTRE QUE CES
DÏFIS AMBITIEUX PEUVENT ÐTRE RELEVÏS
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
.OTES
,A DÏFINITION DE CET INDICE FIGURE Ì LANNEXE !
0AR i ENSEMBLE DE L/#$% w ON ENTEND TOUS LES PAYS DE L/#$% PARTICIPANT AU 0)3! Ì LEXCEPTION DES 0AYS "AS VOIR
ANNEXE !
,EFFET CURVILINÏAIRE EST STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF MAIS IL EST RELATIVEMENT FAIBLE ET DIFFICILE Ì DISCERNER Ì LIL NU DANS LA
FIGURE
%N TERMES STATISTIQUES LA VARIANCE EXPLIQUÏE PAR LINDICE 0)3! DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL POUR LA ZONE DE
L/#$% SÏLÒVE Ì POUR CENT CE QUI EST NETTEMENT INFÏRIEUR AU POURCENTAGE QUI INDIQUERAIT UNE RELATION PARFAITE
POUR CENT
,E GRADIENT CALCULÏ POUR LENSEMBLE DE L/#$% DANS LA FIGURE EST TRÒS SIMILAIRE AUX GRADIENTS INTERNES MOYENS DES PAYS
,E TRAITEMENT DES DONNÏES MANQUANTES EST EXPLIQUÏ Ì LANNEXE ! ,E POURCENTAGE DE CAS DANS LESQUELS DES DONNÏES SUR
LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL SONT MANQUANTES EST INDIQUÏ DANS LE TABLEAU
,E SCORE SUPÏRIEUR Ì n SCORE MOYEN DE L/#$% n SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SEXPLIQUE
ESSENTIELLEMENT PAR LE FAIT QUE LES GRANDS PAYS QUI INFLUENT DAVANTAGE SUR LA MOYENNE PONDÏRÏE DE L/#$% PRÏSENTENT EN
GÏNÏRAL UN RENDEMENT SUPÏRIEUR Ì LA MOYENNE DE L/#$% ,E FAIT QUE CERTAINES DES VALEURS RELATIVES AUX DONNÏES SOCIO
ÏCONOMIQUES SOIENT MANQUANTES CONTRIBUE ÏGALEMENT Ì CE PHÏNOMÒNE
,ANALYSE INCLUT ÏGALEMENT LINDICE CARRÏ DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL 8 POUR VÏRIFIER LÏVENTUELLE OCCURRENCE
DEFFETS NON LINÏAIRES DANS CETTE RELATION ,E COEFFICIENT QUI EN RÏSULTE EST RELATIVEMENT FAIBLE n %N MATHÏMATIQUES ET
EN SCIENCES LES GRADIENTS SOCIO ÏCONOMIQUES DIFFÒRENT LÏGÒREMENT 9 8 n 8 EN MATHÏMATIQUES ET
9 8 n 8 EN SCIENCES
#EST LE CAS DES GRADIENTS DE REVENUS ASSOCIÏS Ì DE NOMBREUX AVANTAGES LIÏS Ì LA SANTÏ NOTAMMENT LA LONGÏVITÏ (OUSE ET AL
-IROWSKY ET (U 7OLFSON ET AL UNE FOIS QUE LES BESOINS FONDAMENTAUX DES INDIVIDUS SONT SATISFAITS
LES AUGMENTATIONS SUPPLÏMENTAIRES DU REVENU NE CONTRIBUENT QUE MARGINALEMENT Ì LEUR SANTÏ
%N STATISTIQUES LA CORRÏLATION ENTRE LES NIVEAUX ET LES PENTES SÏLÒVE Ì n POUR UN STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL
MOYEN
!U *APON PLUS DE POUR CENT DES DONNÏES SUR LA PROFESSION ET LE NIVEAU DE FORMATION DES PARENTS DÏLÒVES SONT
MANQUANTES 0OUR LES ÏLÒVES DONT LES DONNÏES SONT MANQUANTES LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL A ÏTÏ
IMPUTÏ SUR LA BASE DES CHIFFRES DISPONIBLES POUR LES INDICES 0)3! DE RICHESSE FAMILIALE DE PATRIMOINE CULTUREL ET DE RESSOURCES
ÏDUCATIVES Ì LA MAISON ,A PENTE DU GRADIENT DE CES ÏLÒVES EST PRATIQUEMENT IDENTIQUE Ì CELLE DES ÏLÒVES Ì PROPOS DESQUELS
DES DONNÏES SONT DISPONIBLES POUR LES CINQ VARIABLES CE QUI SUGGÒRE QUE CETTE PROCÏDURE DIMPUTATION NA PAS INTRODUIT DE
BIAIS IMPORTANT DANS LES ESTIMATIONS
$ANS CES PAYS LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EST SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE DE L/#$% ET LA PENTE DU GRADIENT EST MOINS
PRONONCÏE QUE CELLE DU GRADIENT MOYEN DE L/#$% ,ES DEUX ÏCARTS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIFS
$ANS CES PAYS LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES EST SUPÏRIEURE Ì LA MOYENNE DE L/#$% ET LA PENTE DU GRADIENT EST PLUS PRONONCÏE
QUE CELLE DU GRADIENT MOYEN DE L/#$% ,ES DEUX ÏCARTS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIFS
#ES ANALYSES SE BASENT SUR UNE RÏGRESSION DES MOINDRES CARRÏS DE LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE LÏCRIT EN
FONCTION I DE LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL TABLEAU ET DU CARRÏ DE CET INDICE II DU
NOMBRE DANNÏES DÏTUDES DES PARENTS VOIR LANNEXE ! III DE LINDICE 0)3! DE RESSOURCES ÏDUCATIVES Ì LA MAISON VOIR
WWWPISAOECDORG IV DE LINDICE 0)3! DE PATRIMOINE CULTUREL Ì LA MAISON TABLEAU V DUNE VARIABLE FICTIVE INDIQUANT LE
SEXE DES ÏLÒVES VI DE DEUX VARIABLES FICTIVES INDIQUANT SI LÏLÒVE VIT DANS UNE FAMILLE MONOPARENTALE OU NUCLÏAIRE OU DANS
UN AUTRE TYPE DE FAMILLE VOIR LE TABLEAU VII LE NOMBRE DE FRÒRES ET SURS VOIR WWWPISAOECDORG VIII DUNE VARIABLE
FICTIVE INDIQUANT SI LÏLÒVE EST NÏ DANS LE PAYS Oá IL VIT TABLEAU ET IX TROIS VARIABLES FICTIVES INDIQUANT UN MANQUE DE
iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi #(!0)42%
DONNÏES POUR LINDICE SOCIO ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL LE NOMBRE DANNÏES DÏTUDES DES PARENTS ET
LE NOMBRE DE FRÒRES ET SURS ,INDICE 0)3! DE RICHESSE FAMILIALE TABLEAU A ÏTÏ PRIS EN CONSIDÏRATION DANS LES ANALYSES
PRÏLIMINAIRES MAIS IL EST APPARU QUE DANS LA PLUPART DES PAYS CETTE VARIABLE ÏTAIT COLINÏAIRE PAR RAPPORT AUX AUTRES FACTEURS
COMPRENANT LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL )L A DONC ÏTÏ SUPPRIMÏ DES AUTRES ANALYSES ,ES RÏSULTATS
CONCERNANT LES DIFFÏRENCES ENTRE LES SEXES SONT SIMILAIRES Ì CEUX PRÏSENTÏS AU CHAPITRE )LS NE SONT DONC PAS REPRIS DANS LE
TABLEAU ,ES COEFFICIENTS CONCERNANT i LAUTRE TYPE DE FAMILLE w TUTEUR SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIFS DANS LA PLUPART
DES CAS MAIS LES RÏSULTATS Y AFFÏRENTS NE SONT PAS REPRIS DANS LE TABLEAU CAR ILS CONCERNENT UNE CATÏGORIE RELATIVEMENT
FAIBLE
,A ZONE ENGLOBE TOUS LES PAYS DE L/#$% PARTICIPANT AU 0)3! Ì LEXCEPTION DES 0AYS "AS
$ANS CERTAINS PAYS LA PROPORTION DÏLÒVES ALLOCHTONES EST RÏDUITE )L Y EST TRÒS DIFFICILE DE DÏTECTER DES DIFFÏRENCES
STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES Ì CAUSE DE LA TAILLE DES ÏCHANTILLONS DU 0)3!
,ÏCART TYPE DE LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE 0)3! DE STATUT PROFESSIONNEL REPRÏSENTE EN MOYENNE POINTS DANS LENSEMBLE
DE L/#$%
)L EST Ì NOTER QUE CETTE VALEUR EST DIFFÏRENTE DE CELLE QUI FIGURE DANS LE TABLEAU A %N EFFET LE TABLEAU INDIQUE LIMPACT
DE LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES PARTANT DU PRINCIPE QUE TOUS LES AUTRES
FACTEURS DU TABLEAU SONT UNIFORMÏMENT RÏPARTIS DANS LENSEMBLE DE L/#$% %N REVANCHE LE TABLEAU A MESURE LIMPACT
DE LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SANS TENIR COMPTE DÏVENTUELLES DIFFÏRENCES
SUSCITÏES PAR DAUTRES FACTEURS
)L EST DAUTRES PAYS POUR LESQUELS CET IMPACT NEST PAS STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF NOTAMMENT LES ³TATS 5NIS LA (ONGRIE LA
0OLOGNE ET LE 2OYAUME 5NI
6OIR "ROOKOVER ET AL (ENDERSON ET AL 2UMBERGER ET AL 3HAVIT ET AL 3UMMERS ET AL
7ILLMS
,E CHOIX DUN DEMI
ÏCART TYPE POUR LES COMPARAISONS SUIVANTES SE JUSTIFIE PAR LE FAIT QUE CETTE VALEUR PERMET DE DÏCRIRE
DES DIFFÏRENCES RÏALISTES ENTRE ÏTABLISSEMENTS CONCERNANT LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE DE LEURS EFFECTIFS %N MOYENNE DANS
LES PAYS DE L/#$% LA DIFFÏRENCE ENTRE LES E ET E CENTILES DE LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL DE
LÏTABLISSEMENT REPRÏSENTE ÏCART TYPE AU NIVEAU DES ÏLÒVES $ANS TOUS LES PAYS DE L/#$% SAUF UN CETTE DIFFÏRENCE EST
SUPÏRIEURE Ì ÏCART TYPE DE LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES
,A PLAGE TYPIQUE CORRESPOND Ì LA DIFFÏRENCE ENTRE LES E ET E CENTILES DES VALEURS MOYENNES DE LINDICE 0)3! DE STATUT
ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL DES ÏTABLISSEMENTS
,ES EFFETS ASSOCIÏS Ì UNE AUGMENTATION DUN DEMI ÏCART TYPE AU NIVEAU DE LÏLÒVE DE LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL
ET CULTUREL MOYEN DE LÏTABLISSEMENT REPRÏSENTENT RESPECTIVEMENT POUR LES GAR ONS ET LES FILLES ET POINTS EN
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET EN CULTURE MATHÏMATIQUE ET ET POINTS EN CULTURE SCIENTIFIQUE
0AR DIPLÙME DE NIVEAU UNIVERSITAIRE ON ENTEND TOUS LES DIPLÙMES DU NIVEAU ! DE LA #LASSIFICATION INTERNATIONALE TYPE DE
LÏDUCATION #)4%
$ES TERMES CARRÏS ET LINÏAIRES ONT ÏTÏ UTILISÏS DANS LE MODÒLE POUR PERMETTRE UNE ÏVENTUELLE RELATION NON LINÏAIRE ENTRE LE
RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT ET LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES )L CONVIENT PAR AILLEURS DE MENTIONNER QUINITIALEMENT LA RELATION
ÏTAIT TRONQUÏE PAR LA PRÏSENCE DUNE SÏRIE DÏTABLISSEMENTS AFFICHANT UN RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT TRÒS ÏLEVÏ 5N TERME
SPÏCIFIQUE A ÏTÏ INTRODUIT DANS LE MODÒLE POUR MESURER LEFFET DU RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT DANS CES ÏTABLISSEMENTS
LÌ
)L EXISTE DANS CERTAINS PAYS DES ÏTABLISSEMENTS Oá LON COMPTE PLUS DE ÏLÒVES PAR ENSEIGNANT #ES ÏTABLISSEMENTS ONT ÏTÏ
TRAITÏS SÏPARÏMENT DANS LANALYSE )LS ONT ÏTÏ MODÏLISÏS Ì LAIDE DUNE VARIABLE FICTIVE SÏPARÏE ,ES RÏSULTATS INDIQUENT QUE LE
SCORE MOYEN DE CES ÏTABLISSEMENTS SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST NETTEMENT INFÏRIEUR Ì LA MOYENNE
DE L/#$%
)L EST Ì NOTER QUE DANS DE NOMBREUX PAYS LE NIVEAU DE FORMATION DES ENSEIGNANTS NE VARIE GUÒRE )L EST DONC TRÒS PROBABLE
QUE LA RELATION SOIT FAIBLE
#(!0)42% iÃÊÀjÃÕÌ>ÌÃÊ`ÕÊ*-Ê\ʵÕiµÕiÃÊVÃ`jÀ>ÌÃÊ`½À`Àiʫ̵Õi
,ES VARIABLES RELATIVES Ì LENCOURAGEMENT PAR LES ENSEIGNANTS ET AUX RELATIONS ENSEIGNANTÏLÒVES ENTRETENAIENT UNE RELATION
NON LINÏAIRE AVEC LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES 0OUR REMÏDIER Ì CELA LES MESURES DENCOURAGEMENT UTILISÏES DANS CETTE ANALYSE
INDIQUENT LES CAS EXTRÐMES Oá LES ÏLÒVES ONT RÏPONDU i JAMAIS w Ì DES ITEMS TELS QUE i ,E PROFESSEUR DIT AUX ÏLÒVES QUILS
POURRAIENT MIEUX FAIRE w $E MÐME LA MESURE DES RELATIONS ENSEIGNANTÏLÒVES Ì LAQUELLE CE CHAPITRE FAIT RÏFÏRENCE REFLÒTE
LA PROPORTION DÏLÒVES AYANT RÏPONDU i PAS DU TOUT DACCORD w AUX AFFIRMATIONS ÏVOQUANT UNE RELATION ENSEIGNANTÏLÒVES
PLUTÙT POSITIVE
,A PART DE LA VARIATION ENTRE PAYS DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIFIQUE IMPUTABLE Ì LEFFET
CONJUGUÏ DE FACTEURS LIÏS AUX ÏTABLISSEMENTS ET DU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES EST INFÏRIEURE Ì CELLE IMPUTABLE
UNIQUEMENT AUX FACTEURS LIÏS AUX ÏTABLISSEMENTS $ANS CES MODÒLES LEFFET DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL MOYEN
DES ÏTABLISSEMENTS VARIE SELON LES PAYS ,ES COMPOSANTS DE LA VARIANCE ONT ÏTÏ CALCULÏS POUR UN ÏLÒVE DONT LE STATUT
ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL EST MOYEN ET QUI EST INSCRIT DANS UN ÏTABLISSEMENT DONT LE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET
CULTUREL MOYEN EST ÏGAL Ì ZÏRO CEST
Ì
DIRE LA MOYENNE POUR LES ÏLÒVES DE LENSEMBLE DE L/#$% ,A RÏDUCTION DE LA
VARIANCE APRÒS INTRODUCTION DANS LE MODÒLE DE LINDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL MOYEN SUGGÒRE LA PRÏSENCE
DINTERACTIONS SIGNIFICATIVES ENTRE LES RESSOURCES ET LE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL MOYEN DES ÏTABLISSEMENTS
!U NIVEAU INTERNATIONAL LIMPACT DU RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT SUR LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SE STABILISE UNE FOIS LE PLAFOND
DE ÏLÒVES PAR ENSEIGNANT EST ATTEINT #ETTE VALEUR EST DONC CONSIDÏRÏE COMME LA CATÏGORIE LA PLUS ÏLEVÏE DE CET INDICE
,ANALYSE SADAPTE Ì UN MODÒLE HIÏRARCHIQUE Ì DEUX NIVEAUX DANS CHAQUE PAYS ,E MODÒLE EST SEMBLABLE Ì CELUI UTILISÏ POUR LE
TABLEAU SAUF QUE LES DEUX MESURES DU RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANT ONT ÏTÏ REMPLACÏES PAR DES VARIABLES FICTIVES INDIQUANT
LES EFFETS COMPARÏS DES RAPPORTS ÏLÒVESENSEIGNANTS DE Ì DE Ì ET DE PLUS DE ÏLÒVES PAR ENSEIGNANT DUNE PART
ET DES RAPPORTS ÏLÒVESENSEIGNANT INFÏRIEURS Ì DAUTRE PART #E PROCÏDÏ A PERMIS DE FAIRE UNE COMPARAISON PLUS DIRECTE
DES EFFETS NON LINÏAIRES Ì LINTÏRIEUR DE CHAQUE PAYS 0AR AILLEURS LE MODÒLE NINTÒGRE PAS LA TAILLE DES ÏTABLISSEMENTS PARCE
QUE LES EFFETS VARIENT CONSIDÏRABLEMENT DUN PAYS Ì LAUTRE ET NE SONT PAS STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIFS DANS LA PLUPART DES
CAS ,ES RÏSULTATS DE LA MÏTA
ANALYSE DONNENT LIEU Ì DES CONSTATATIONS SIMILAIRES Ì CELLES QUI AVAIENT ÏTÏ INFÏRÏES DU MODÒLE
STATISTIQUE Ì TROIS NIVEAUX SI CE NEST QUE LEFFET DENCOURAGEMENT ÏTAIT MOINDRE ET NÏTAIT PAS STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIF
,ES COEFFICIENTS DES ANALYSES INTERNES DES PAYS VARIENT FORTEMENT COMME LINDIQUE LA TAILLE DE LEURS ÏCARTS TYPES ,ES
COEFFICIENTS PEUVENT VARIER DUN PAYS Ì LAUTRE Ì CAUSE DUNE VARIATION i RÏELLE w DES EFFETS DANS CHACUN DEUX OU Ì CAUSE DUNE
ERREUR DE MESURE OU DÏCHANTILLONNAGE $ANS CE TYPE DANALYSE LERREUR DÏCHANTILLONNAGE PEUT JOUER UN RÙLE DE PREMIER
PLAN PARCE QUE LA PRÏCISION DES COEFFICIENTS DES VARIABLES LIÏES AUX ÏTABLISSEMENTS DÏPEND ESSENTIELLEMENT DU NOMBRE
DÏTABLISSEMENTS DANS LÏCHANTILLON DÏCOLES DE CHAQUE PAYS PLUTÙT QUE DU NOMBRE DÏLÒVES ,E NOMBRE DÏTABLISSEMENTS
POUR CETTE ANALYSE VARIAIT DE ÏCOLES POUR LE ,UXEMBOURG Ì ÏCOLES POUR LE #ANADA AVEC UNE MOYENNE DE
QUELQUE ÏCOLES POUR LA ZONE DE L/#$% #E PROBLÒME AFFECTE PARTICULIÒREMENT LES COEFFICIENTS DES RAPPORTS ÏLÒVES
ENSEIGNANTS PUISQUE DANS CERTAINS CAS CES COEFFICIENTS SONT ÏTABLIS SUR BASE DES RÏSULTATS OBTENUS DUN TRÒS PETIT NOMBRE
DÏTABLISSEMENTS
2³&³2%.#%3
!UDAS 2 ET 7ILLMS *$ %NGAGEMENT AND $ROPPING OUT OF 3CHOOL ! LIFE
COURSE PERSPECTIVE 2APPORT PRÏPARÏ POUR
$ÏVELOPPEMENT DES 2ESSOURCES (UMAINES #ANADA #ANADA
"AUMERT * (EYN 3 ET +ÚLLER / $AS +IELER ,ERNSTRATEGIEN
)NVENTAR +3) )NSTITUT FàR DIE 0ËDAGOGIK DER
.ATURWISSENSCHAFTEN AN DER 5NIVERSITËT +IEL +IEL
"AUMERT * 'RUEHN 3 (EYN 3 +ÚLLER / ET 3CHNABEL +5 "ILDUNGSVERLËUFE UND 0SYCHOSOZIALE %NTWICKLUNG IM
*UGENDALTER ")*5 $OKUMENTATION n "AND -AX
0LANCK
)NSTITUT FàR "ILDUNGSFORSCHUNG "ERLIN
"EATON !% -ULLIS )6 -ARTIN -/ 'ONZALEZ %* +ELLY $, ET 3MITH 4! -ATHEMATICS !CHIEVEMENT IN
THE -IDDLE 3CHOOL 9EARS #ENTER FOR THE 3TUDY OF 4ESTING %VALUATION AND %DUCATIONAL 0OLICY "OSTON #OLLEGE
"ROOKOVER 7" 3CHWEITZER *( 3CHNEIDER *- "EADY #( &LOOD 0+ ET 7ISENBAKER *-
i %LEMENTARY SCHOOL SOCIAL CLIMATE AND SCHOOL ACHIEVEMENT w !MERICAN %DUCATIONAL 2ESEARCH *OURNAL VOL PP
%IGNOR $ 4AYLOR # +IRSCH ) ET *AMIESON * $EVELOPMENT OF A 3CALE FOR !SSESSING THE ,EVEL OF #OMPUTER &AMILIARITY OF
4/%&, 3TUDENTS 4/%&, 2ESEARCH 2EPORT .O %DUCATIONAL 4ESTING 3ERVICE 0RINCETON .*
'ANZEBOOM ("' $E 'RAAF 0 ET 4REIMAN $* AVEC $E ,EEUW * i ! STANDARD INTERNATIONAL SOCIO
ECONOMIC INDEX OF OCCUPATIONAL STATUS w 3OCIAL 3CIENCE 2ESEARCH VOL PP
'ANZEBOOM ("' 4REIMAN $* ET $ONALD * i )NTERNATIONALLY COMPARABLE MEASURES OF OCCUPATIONAL STATUS
FOR THE )NTERNATIONAL 3TANDARD #LASSIlCATION OF /CCUPATIONS w 3OCIAL 3CIENCE 2ESEARCH VOL PP
(ENDERSON 6 -IESZKOWSKI 0 ET 3AUVAGEAU 9 i 0EER GROUP EFFECTS AND EDUCATIONAL PRODUCTION FUNCTIONS w
*OURNAL OF 0UBLIC %CONOMICS VOL PP
(OUSE * +ESSLER 2 (ERZOG 2 -ERO 20 +INNEY !- ET "RESLOW -* i !GE SOCIOECONOMIC STATUS
AND HEALTH w 4HE -ILLBANK 1UARTERLY VOL PP
).3%%
$0$ ³TUDE DE LA lABILITÏ DES DÏCLARATIONS DES ÏLÒVES DE ANS DANS LE CADRE DE LOPÏRATION 0)3! DOCUMENT INTERNE
$0$
).3%% &RANCE
-ARSH ( 7 3HAVELSON 2* ET "YRNE "- i ! MULTIDIMENSIONAL HIERARCHICAL SELF
CONCEPT w IN 20 ,IPKA ET
4 - "RINTHAUPT DIR PUB 3TUDYING THE 3ELF 3ELF
PERSPECTIVES ACROSS THE LIFE
SPAN 3TATE 5NIVERSITY OF .EW 9ORK 0RESS !LBANY
-IROWSKY * ET (U 0 i 0HYSICAL IMPAIRMENT AND THE DIMINISHING EFFECTS OF INCOME w 3OCIAL &ORCES VOL
PP
-ULLIS )6 -ARTIN -/ "EATON !% 'ONZALEZ %* +ELLY $, ET 3MITH 4! -ATHEMATICS AND 3CIENCE
!CHIEVEMENT IN THE &INAL 9EAR OF 3ECONDARY 3CHOOL #ENTER FOR THE 3TUDY OF 4ESTING %VALUATION AND %DUCATIONAL 0OLICY "OSTON
#OLLEGE
/#$% 2EGARDS SUR LÏDUCATION n ,ES INDICATEURS DE L/#$% 0ARIS
/#$% 2EGARDS SUR LÏDUCATION n ,ES INDICATEURS DE L/#$% 0ARIS
/#$% A -ESURER LES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES DES ÏLÒVES n 5N NOUVEAU CADRE DÏVALUATION 0ARIS
/#$% B .OMENCLATURE DES SYSTÒMES DÏDUCATION n 'UIDE DUTILISATION DE LA #)4%
DANS LES PAYS DE L/#$% 0ARIS
/#$% 2EGARDS SUR LÏDUCATION n ,ES INDICATEURS DE L/#$% 0ARIS
/#$% ET 3TATISTIQUE #ANADA ,ITTÏRATIE ÏCONOMIE ET SOCIÏTÏ 2ÏSULTATS DE LE 0REMIÒRE ENQUÐTE INTERNATIONALE SUR LALPHABÏTISATION
DES ADULTES 0ARIS ET /TTAWA
/#$% ET 3TATISTIQUE #ANADA ,A LITTÏRATIE Ì LÒRE DE LINFORMATION 0ARIS ET /TTAWA
/WENS , ET "ARNES * ,EARNING 0REFERENCES 3CALES !#%2 6ICTORIA !USTRALIE
0ELGRUM 7* ET !NDERSON 2% )#4 AND THE %MERGING 0ARADIGM FOR ,IFELONG ,EARNING A WORLDWIDE EDUCATIONAL ASSESSMENT
OF INFRASTRUCTURE GOALS AND PRACTICES )NTERNATIONAL !SSOCIATION FOR THE %VALUATION OF %DUCATIONAL !CHIEVEMENT )%! !MSTERDAM
2³&³2%.#%3
0INTRICH 02 3MITH $!& 'ARCIA 4 ET -C+EACHIE 7* i 2ELIABILITY AND PREDICTIVE VALIDITY OF THE MOTIVATED
STRATEGIES FOR LEARNING QUESTIONNAIRE -,31 w %DUCATIONAL AND 0SYCHOLOGICAL -EASUREMENT VOL PP
2UMBERGER 2 ET 7ILLMS *$ i 4HE IMPACT OF RACIAL AND ETHNIC SEGREGATION ON THE ACHIEVEMENT GAP IN #ALIFORNIA
HIGH SCHOOLS w %DUCATIONAL %VALUATION AND 0OLICY !NALYSIS VOL PP
3HAVIT 9 ET 7ILLIAMS 2! i !BILITY GROUPING AND CONTEXTUAL DETERMINANTS OF EDUCATIONAL EXPECTATIONS IN )SRAEL w
!MERICAN 3OCIOLOGICAL 2EVIEW VOL PP
3UMMERS !! ET 7OLFE ", i $O SCHOOLS MAKE A DIFFERENCE w !MERICAN %CONOMIC 2EVIEW VOL PP
7ARM 4! i 7EIGHTED MAXIMUM LIKELIHOOD ESTIMATION OF ABILITY IN )TEM 2ESPONSE 4HEORY WITH TESTS OF lNITE LENGTH w
4ECHNICAL 2EPORT #') 42 53 #OAST 'UARD )NSTITUTE /KLAHOMA #ITY
7ILLMS *$ i 3OCIAL CLASS SEGREGATION AND ITS RELATIONSHIP TO PUPILS EXAMINATION RESULTS IN 3COTLAND w !MERICAN
3OCIOLOGICAL 2EVIEW VOL PP
7ILLMS *$ ET #HEN - i 4HE EFFECTS OF ABILITY GROUPING ON THE ETHNIC ACHIEVEMENT GAP IN )SRAELI ELEMENTARY
SCHOOLS w !MERICAN *OURNAL OF %DUCATION VOL PP
7OLFSON - 2OWE ' 'ENTLEMAN *& ET 4OMIAK - i #AREER EARNINGS AND DEATH ! LONGITUDINAL ANALYSIS OF
OLDER #ANADIAN MEN w *OURNAL OF 'ERONTOLOGY VOL PP 3 3
!..%8%
!
,
Ê/
+1
!NNEXE ! #ONSTRUCTION DES INDICES ET AUTRES MESURES
DÏRIVÏES Ì PARTIR DES QUESTIONNAIRES i ÏLÒVE w
ET i ÏTABLISSEMENT w
!NNEXE ! 6ARIATION EXPLIQUÏE DE LA PERFORMANCE
DES ÏLÒVES
!NNEXE ! 0OPULATION CIBLE ET ÏCHANTILLONS DU 0)3!
!NNEXE ! %RREURS TYPES TESTS DE SIGNIlCATION ET
COMPARAISONS MULTIPLES
!NNEXE ! !SSURANCE QUALITÏ
!NNEXE ! $ÏVELOPPEMENT DES INSTRUMENTS
DÏVALUATION DU 0)3!
!NNEXE ! &IABILITÏ DE LA CORRECTION DES ITEMS
Ì RÏPONSE OUVERTE
!..%8% !
!NNEXE ! CONSTRUCTION DES INDICES ET AUTRES MESURES DÏRIVÏES Ë PARTIR
DES QUESTIONNAIRES i ÏLÒVES w ET i ÏTABLISSEMENT w
0LUSIEURS DIMENSIONS DU 0)3! FONT RÏFÏRENCE Ì DES INDICES QUI RÏSUMENT LES RÏPONSES DONNÏES PAR LES ÏLÒVES OU LES REPRÏSENTANTS
DES ÏTABLISSEMENTS GÏNÏRALEMENT LES CHEFS DÏTABLISSEMENT Ì UNE SÏRIE DE QUESTIONS #ES QUESTIONS ONT ÏTÏ SÏLECTIONNÏES DANS
DES CONSTRUCTS PLUS IMPORTANTS SUR LA BASE DE CONSIDÏRATIONS THÏORIQUES ET DE RECHERCHES ANTÏRIEURES ,ES ÏQUATIONS STRUCTURELLES
ONT ÏTÏ MODÏLISÏES POUR CONlRMER LES DIMENSIONS THÏORIQUES PRÏVUES ET VALIDER LEUR COMPARABILITÏ ENTRE PAYS ° CET EFFET
UN MODÒLE INDIVIDUEL A ÏTÏ PRÏPARÏ POUR CHAQUE PAYS TANDIS QUUN MODÒLE COLLECTIF A ÏTÏ CON U POUR LENSEMBLE DES PAYS DE
L/#$%
#ETTE SECTION EXPLIQUE LES INDICES DÏRIVÏS DES QUESTIONNAIRES i ÏLÒVE w ET i ÏTABLISSEMENT w PRÏSENTÏS DANS CE RAPPORT ,E 2APPORT
TECHNIQUE 0)3! QUI SERA ACCESSIBLE SUR )NTERNET lN DÏCRIT LES AUTRES INDICES DU 0)3! ET DÏTAILLE LES MÏTHODES UTILISÏES
3AUF MENTION CONTRAIRE LORSQUUN INDICE SE BASE SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì DES QUESTIONS MULTIPLES IL EST MIS Ì LÏCHELLE
EN UTILISANT UNE ESTIMATION PONDÏRÏE DE LA RÏPONSE LA PLUS VRAISEMBLABLE SELON UN MODÒLE DE RÏPONSE Ì UNE QUESTION Ì UN
SEUL PARAMÒTRE CONNUE SOUS LE NOM DESTIMATEUR 7!2- WEIGHTED AVERAGE RESPONSE MODEL OU MÏTHODE DU MODÒLE DE RÏPONSE
MOYENNE PONDÏRÏE VOIR 7ARM COMPTANT LES TROIS ÏTAPES SUIVANTES
n LES PARAMÒTRES DE QUESTION SONT ESTIMÏS Ì PARTIR DE SOUS
ÏCHANTILLONS DÏLÒVES DE TAILLE CONSTANTE DANS CHAQUE PAYS DE
L/#$%
n LES ESTIMATIONS SONT CALCULÏES POUR TOUS LES ÏLÒVES ET ÏTABLISSEMENTS EN lXANT LES PARAMÒTRES DE QUESTION OBTENUS LORS
DE LÏTAPE PRÏCÏDENTE
n ENlN LES INDICES SONT NORMALISÏS POUR QUE LA VALEUR MOYENNE DINDICE DE LA POPULATION DES ÏLÒVES DE L/#$% SOIT ÏGALE
Ì ZÏRO ET QUE LÏCART TYPE SOIT ÏGAL Ì PONDÏRATION ÏQUIVALENTE DES PAYS LORS DU PROCESSUS DE NORMALISATION
)L Y A LIEU DE SOULIGNER QUE LES VALEURS NÏGATIVES DUN INDICE NIMPLIQUENT PAS FORCÏMENT QUE LES ÏLÒVES OU LES CHEFS
DÏTABLISSEMENT ONT RÏPONDU PAR LA NÏGATIVE AUX QUESTIONS QUI Y SONT ASSOCIÏES #ES VALEURS SIGNIlENT UNIQUEMENT QUUN GROUPE
DE CHEFS DÏTABLISSEMENT OU DÏLÒVES OU TOUS LES ÏLÒVES OU CHEFS DÏTABLISSEMENT COLLECTIVEMENT DANS UN PAYS A RÏPONDU
MOINS POSITIVEMENT QUE NE LONT FAIT EN MOYENNE TOUS LES CHEFS DÏTABLISSEMENT OU ÏLÒVES DE L/#$% $E MÐME LES VALEURS
POSITIVES INDIQUENT QUUN GROUPE DÏLÒVES OU DE CHEFS DÏTABLISSEMENT A RÏPONDU PLUS FAVORABLEMENT OU PLUS POSITIVEMENT QUE
NE LONT FAIT EN MOYENNE LES ÏLÒVES OU LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DANS LES PAYS DE L/#$%
$ANS LES DESCRIPTIONS SUIVANTES LES TERMES lGURANT ENTRE LES SYMBOLES ONT ÏTÏ REMPLACÏS PAR UN ÏQUIVALENT APPROPRIÏ DANS
LES VERSIONS NATIONALES DES QUESTIONNAIRES i ÏLÒVE w ET i ÏTABLISSEMENT w !INSI LEXPRESSION i DIPLÙME DE NIVEAU #)4% ! w
A ÏTÏ TRADUITE AUX ³TATS
5NIS PAR i "ACHELORS $EGREE POST
GRADUATE CERTIlCATE PROGRAM -ASTERS DEGREE PROGRAM OR lRST
PROFESSIONAL DEGREE PROGRAM w $E MÐME AU ,UXEMBOURG LEXPRESSION i COURS EN LANGUE DE LÏVALUATION w A ÏTÏ TRADUITE
RESPECTIVEMENT PAR i COURS DALLEMAND w ET i COURS DE FRAN AIS w SELON QUE LÏTUDIANT RECEVAIT LA VERSION ALLEMANDE OU FRAN AISE
DU MATÏRIEL DÏVALUATION
6OIR LE 2APPORT TECHNIQUE 0)3! AU SUJET DE LA lABILITÏ DES INDICES
#ARACTÏRISTIQUES ET MILIEU FAMILIAL DES ÏLÒVES
3TRUCTURE FAMILIALE
,ES ÏLÒVES ONT ÏTÏ INVITÏS Ì RÏPONDRE Ì LA QUESTION i $HABITUDE QUI VIT AVEC VOUS Ì LA MAISON w ,ES RÏPONSES ONT ÏTÏ
REGROUPÏES EN QUATRE CATÏGORIES I FAMILLE MONOPARENTALE LES ÏLÒVES DÏCLARENT VIVRE AVEC LUNE DES PERSONNES SUIVANTES
MÒRE PÒRE TUTRICE OU TUTEUR II FAMILLE NUCLÏAIRE LES ÏLÒVES DÏCLARENT VIVRE AVEC LEURS PÒRE ET MÒRE III FAMILLE MIXTE LES
ÏLÒVES DÏCLARENT VIVRE AVEC LEUR PÒRE ET UNE AUTRE FEMME OU LEUR MÒRE ET UN AUTRE HOMME OU AVEC DEUX TUTEURS IV AUTRES
COMBINAISONS
&RATRIE
,ES ÏLÒVES ONT ÏTÏ PRIÏS DINDIQUER LE NOMBRE DE LEURS FRÒRES ET SURS PLUS JEUNES PLUS ÊGÏS OU DU MÐME ÊGE ,ES ANALYSES
EXPOSÏES AU CHAPITRE CUMULENT LES CHIFFRES RELATIFS Ì CHAQUE CATÏGORIE
!..%8% !
0AYS DORIGINE
,ES ÏLÒVES ONT ÏTÏ PRIÏS DINDIQUER SI LEUR PÒRE LEUR MÒRE ET EUX
MÐMES SONT NÏS DANS LE PAYS ÏVALUÏ OU DANS UN AUTRE PAYS
,ES RÏPONSES ONT ÏTÏ REGROUPÏES EN TROIS CATÏGORIES I LES ÏLÒVES i AUTOCHTONES w CEST
Ì
DIRE LES ÏLÒVES NÏS DANS LE PAYS DE
LÏVALUATION ET DONT UN PARENT AU MOINS EST NÏ DANS CE PAYS II LES ÏLÒVES DE LA i PREMIÒRE GÏNÏRATION w LES ÏLÒVES NÏS DANS
LE PAYS DE LÏVALUATION MAIS DONT LES PARENTS SONT NÏS DANS UN AUTRE PAYS III LES ÏLÒVES i ALLOCHTONES w LES ÏLÒVES NÏS DANS UN
PAYS AUTRE QUE CELUI DE LÏVALUATION TOUT COMME LEURS PARENTS
,ANGUE PARLÏE Ë LA MAISON
,ES ÏLÒVES ONT ÏTÏ PRIÏS DINDIQUER SI LA LANGUE QUILS PARLAIENT LE PLUS SOUVENT Ì LA MAISON EST LA LANGUE DE LÏVALUATION UNE AUTRE
LANGUE NATIONALE OFlCIELLE OU UN DIALECTE NATIONAL OU UNE AUTRE LANGUE ,ES RÏPONSES ONT ÏTÏ REGROUPÏES EN DEUX CATÏGORIES
I LA LANGUE LA PLUS SOUVENT PARLÏE Ì LA MAISON EST DIFFÏRENTE DE LA LANGUE DE LÏVALUATION DAUTRES LANGUES NATIONALES OFlCIELLES ET
DAUTRES LANGUES OU DIALECTES NATIONAUX II LA LANGUE LA PLUS SOUVENT PARLÏE Ì LA MAISON EST LA LANGUE DE LÏVALUATION UNE AUTRE
LANGUE NATIONALE OFlCIELLE OU ENCORE UN AUTRE DIALECTE NATIONAL OU UNE AUTRE LANGUE NATIONALE
3TATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL
,ES ÏLÒVES ONT ÏTÏ PRIÏS DE COMMUNIQUER LA PROFESSION DE LEURS PÒRE ET MÒRE ET DE CHOISIR PARMI LES OPTIONS SUIVANTES POUR
CHACUN DES DEUX PARENTS i UN TRAVAIL RÏMUNÏRÏ Ì TEMPS PLEIN w i UN TRAVAIL RÏMUNÏRÏ Ì TEMPS PARTIEL w i NE TRAVAILLE PAS
MAIS CHERCHE UN EMPLOI w i AUTRES w ,ES RÏPONSES Ì LA QUESTION OUVERTE ONT ÏTÏ CODIlÏES CONFORMÏMENT Ì LA #LASSIlCATION
INTERNATIONALE TYPE DES PROFESSIONS #)40
,INDICE SOCIO ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL )3%) DU 0)3! A ÏTÏ DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES ÏLÒVES AUX
QUESTIONS PORTANT SUR LA PROFESSION DES PARENTS #ET INDICE REGROUPE LES ATTRIBUTS DES PROFESSIONS QUI PERMETTENT DE CONVERTIR
EN REVENU LE NIVEAU DENSEIGNEMENT DES PARENTS )L A ÏTÏ CALCULÏ SUR LA BASE DUNE HIÏRARCHISATION OPTIMALE DES GROUPES DE
PROFESSIONS AlN DE MAXIMISER LEFFET INDIRECT DU NIVEAU DENSEIGNEMENT SUR LES REVENUS PAR LINTERMÏDIAIRE DE LA PROFESSION
ET DE MINIMISER LEFFET DIRECT DU NIVEAU DENSEIGNEMENT SUR LE REVENU ABSTRACTION FAITE DE LA PROFESSION LE TOUT SANS PRISE EN
CONSIDÏRATION DE LÊGE )L CONVIENT DE SE RÏFÏRER Ì LOUVRAGE DE 'ANZEBOOM ET AL POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS SUR LA
MÏTHODOLOGIE UTILISÏE ,INDICE SOCIO ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL RETENU DANS LE 0)3! EST BASÏ SOIT SUR LA
PROFESSION DU PÒRE SOIT SUR CELLE DE LA MÒRE SELON LAQUELLE A LE STATUT LE PLUS ÏLEVÏ
,ES VALEURS DE CET INDICE SONT COMPRISES ENTRE ET ,ES VALEURS FAIBLES INDIQUENT UN STATUT SOCIO ÏCONOMIQUE INFÏRIEUR ET LES
VALEURS ÏLEVÏES UN STATUT SOCIO ÏCONOMIQUE SUPÏRIEUR
,INDICE DE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL DU 0)3! A ÏTÏ CRÏÏ POUR CERNER DES ASPECTS LIÏS Ì LA SITUATION FAMILIALE ET AU
MILIEU DES ÏLÒVES EN COMPLÏMENT AU SEUL STATUT PROFESSIONNEL #ET INDICE EST BASÏ SUR DIFFÏRENTES VARIABLES Ì SAVOIR L)NDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL )3%) VOIR LE TABLEAU LE NIVEAU DENSEIGNEMENT LE PLUS ÏLEVÏ DES PARENTS DE
LÏLÒVE CONVERTI EN ANNÏES DÏTUDES VOIR LE TABLEAU POUR DES DONNÏES SUR LE NIVEAU DENSEIGNEMENT DES PARENTS VOIR LE TABLEAU !
POUR LA CONVERSION DES COEFlCIENTS LINDICE 0)3! DE RICHESSE FAMILIALE VOIR LE TABLEAU LINDICE 0)3! DE RESSOURCES ÏDUCATIVES Ì
LA MAISON ET LINDICE 0)3! DE PATRIMOINE CULTUREL i CLASSIQUE w Ì LA MAISON VOIR LE TABLEAU ,)3%) EST LA COMPOSANTE PRINCIPALE DES
FACTEURS ÏNUMÏRÏS CI
DESSUS ,INDICE SARTICULE AUTOUR DUNE MOYENNE lXÏE Ì ET DUN ÏCART TYPE lXÏ Ì
0ARMI CES COMPOSANTES LES ÏVENTUELLES DONNÏES MANQUANTES PORTENT LE PLUS SOUVENT SUR L)NDICE SOCIO ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE
STATUT PROFESSIONNEL )3%) SUR LE NIVEAU DENSEIGNEMENT DES PARENTS OU SUR LES DEUX VARIABLES #EST POURQUOI DES ANALYSES FACTORIELLES
SÏPARÏES ONT ÏTÏ ENTREPRISES POUR TOUS LES ÏLÒVES DONT LES DONNÏES SONT VALIDES POUR I LINDICE SOCIO ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT
PROFESSIONNEL LINDICE DE RICHESSE FAMILIALE LINDICE DE RESSOURCES ÏDUCATIVES Ì LA MAISON ET LINDICE DE PATRIMOINE CULTUREL i CLASSIQUE w
Ì LA MAISON II LE NIVEAU DENSEIGNEMENT DES PARENTS LINDICE DE RICHESSE FAMILIALE LINDICE DE RESSOURCES ÏDUCATIVES Ì LA MAISON ET
LINDICE DE PATRIMOINE CULTUREL Ì LA MAISON III LINDICE DE RICHESSE FAMILIALE LINDICE DE RESSOURCES ÏDUCATIVES Ì LA MAISON ET LINDICE
DE PATRIMOINE CULTUREL Ì LA MAISON 5N SCORE A ÏTÏ ATTRIBUÏ AUX ÏLÒVES EN FONCTION DU VOLUME DE DONNÏES DISPONIBLES POUR AUTANT QUE
TROIS VARIABLES AU MOINS SOIENT DOCUMENTÏES %N &RANCE LA lABILITÏ DES RÏPONSES DÏLÒVES AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA PROFESSION ET LE
NIVEAU DENSEIGNEMENT DES PARENTS SUSCITE ENCORE QUELQUES QUESTIONS VOIR ).3%%
.IVEAU DENSEIGNEMENT DES PARENTS
,ES ÏLÒVES ONT ÏTÏ PRIÏS DE CLASSER LE NIVEAU DENSEIGNEMENT MAXIMUM DE LEURS PÒRE ET MÒRE EN FONCTION DES DIPLÙMES
NATIONAUX ,EURS RÏPONSES ONT ENSUITE ÏTÏ CODIlÏES CONFORMÏMENT Ì LA #LASSIlCATION INTERNATIONALE TYPE DE LÏDUCATION #)4%
AlN DE CONSTITUER DES CATÏGORIES COMPARABLES SUR LE PLAN INTERNATIONAL EN MATIÒRE DE NIVEAU DENSEIGNEMENT ,ES ÏLÒVES
!..%8% !
4ABLEAU !
.IVEAUX DENSEIGNEMENT DES PARENTS CONVERTIS EN NOMBRE DANNÏES DÏTUDES
! COMPLÏTÏ LES NIVEAUX ! COMPLÏTÏ LE NIVEAU
#)4% " OU # ENSEI
#)4% ! ENSEIGNE
! COMPLÏTÏ LE NIVEAU GNEMENT DU E CYCLE MENT DU E CYCLE DU ! COMPLÏTÏ LES NIVEAUX
! COMPLÏTÏ LE NIVEAU #)4% ENSEIGNE
DU SECONDAIRE PRÏPARANT SECONDAIRE PRÏPARANT #)4% ! " OU
#)4% ENSEIGNE
MENT DU ER CYCLE UNE ENTRÏE IMMÏDIATE Ì LENSEIGNEMENT ENSEIGNEMENT
.EST PAS ALLÏ Ì LÏCOLE MENT PRIMAIRE DU SECONDAIRE SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL TERTIAIRE TERTIAIRE
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE #OM m
"ELGIQUE #OM FR
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS
./. -%-"2%3
$% ,/#$%
"RÏSIL
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
ONT CHOISI UNE CATÏGORIE PARMI CELLES RETENUES i ILELLE NA PAS FRÏQUENTÏ LÏCOLE w i ILELLE A UNIQUEMENT TERMINÏ LE NIVEAU
#)4% ENSEIGNEMENT PRIMAIRE w i ILELLE A UNIQUEMENT TERMINÏ LE NIVEAU #)4% ENSEIGNEMENT DU ER CYCLE DU
SECONDAIRE w i ILELLE A UNIQUEMENT TERMINÏ LE NIVEAU #)4% " OU # ENSEIGNEMENT DU E CYCLE DU SECONDAIRE ASSOCIÏ
DANS LA PLUPART DES PAYS Ì LA PRÏPARATION Ì UNE ENTRÏE DIRECTE SUR LE MARCHÏ DU TRAVAIL w i ILELLE A UNIQUEMENT TERMINÏ
LE NIVEAU #)4% ! ENSEIGNEMENT DU E CYCLE DU SECONDAIRE ASSOCIÏ DANS LA PLUPART DES PAYS Ì LA PRÏPARATION AUX ÏTUDES
TERTIAIRES w ET i ILELLE A TERMINÏ LE NIVEAU #)4% ! " OU ENSEIGNEMENT TERTIAIRE w
,E 2APPORT TECHNIQUE 0)3! DRESSE LA LISTE DES CATÏGORIES INSTITUTIONNELLES NATIONALES CORRESPONDANT AUX NIVEAUX DE LA #)4%
DÏSIGNÏS ENTRE CROCHETS DANS LE PARAGRAPHE CI
DESSUS
$ANS LES ANALYSES EXPOSÏES AU CHAPITRE LE NIVEAU DENSEIGNEMENT LE PLUS ÏLEVÏ DES PARENTS A ÏTÏ CONVERTI EN UNE ESTIMATION DU
NOMBRE DANNÏES DÏTUDES SUR BASE DES COEFlCIENTS MENTIONNÏS DANS LE TABLEAU !
)NTÏRÐT DES PARENTS
,INDICE 0)3! DE COMMUNICATION CULTURELLE EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì DES QUESTIONS CONCERNANT LA FRÏQUENCE Ì
LAQUELLE LEURS PARENTS OU TUTEURS DISCUTENT DE LACTUALITÏ SOCIALE OU POLITIQUE DE LIVRES DE lLMS OU DÏMISSIONS TÏLÏVISÏES ET
ÏCOUTENT DE LA MUSIQUE CLASSIQUE AVEC EUX
!..%8% !
,INDICE 0)3! DE COMMUNICATION SOCIALE EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì DES QUESTIONS CONCERNANT LA FRÏQUENCE Ì LAQUELLE
LEURS PARENTS OU TUTEURS DISCUTENT DE LEURS RÏSULTATS SCOLAIRES AVEC EUX PRENNENT LE REPAS PRINCIPAL AVEC EUX AUTOUR DUNE
TABLE ET CONSACRENT DU TEMPS Ì PARLER AVEC EUX
,ES ÏLÒVES ONT RÏPONDU Ì CES QUESTIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES CINQ QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i JAMAIS
OU PRESQUE JAMAIS w i QUELQUES FOIS PAR AN w i ENVIRON UNE FOIS PAR MOIS w i PLUSIEURS FOIS PAR MOIS w ET i PLUSIEURS FOIS PAR
SEMAINE w #ES DEUX INDICES ONT ÏTÏ CALCULÏS Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT
0ARTICIPATION Ë DES COURS SUPPLÏMENTAIRES
,ES ÏLÒVES ONT ÏTÏ PRIÏS DINDIQUER SIL LEUR EST ARRIVÏ PARFOIS OU RÏGULIÒREMENT DE SUIVRE DES COURS SPÏCIAUX POUR AMÏLIORER
LEURS RÏSULTATS Ì LEXTÏRIEUR DE LEUR ÏTABLISSEMENT DENSEIGNEMENT AU COURS DES TROIS ANNÏES PRÏCÏDENTES ,ES ÏLÒVES ONT
ÏTÏ CLASSÏS DANS DEUX CATÏGORIES EN FONCTION DE LEURS RÏPONSES I LES ÏLÒVES QUI SUIVENT DES COURS SPÏCIAUX EN LANGUE DE
LÏVALUATION OU EN DAUTRES MATIÒRES DES COURS DENRICHISSEMENT OU DAUTRES COURS COMPLÏMENTAIRES EN DEHORS DE LÏCOLE ET
II LES ÏLÒVES QUI SUIVENT DES COURS DE RATTRAPAGE EN LANGUE DE LÏVALUATION OU EN DAUTRES MATIÒRES TOUJOURS EN DEHORS DE
LÏCOLE UNE FORMATION POUR AMÏLIORER LEURS MÏTHODES DE TRAVAIL OU DES LE ONS PARTICULIÒRES PRIVÏES
!CTIVITÏS CULTURELLES
,INDICE 0)3! DACTIVITÏS CULTURELLES i CLASSIQUES w EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì DES QUESTIONS CONCERNANT LA FRÏQUENCE
Ì LAQUELLE ILS SONT SORTIS AU COURS DE LANNÏE PRÏCÏDENTE POUR VISITER UN MUSÏE OU UNE GALERIE DART ASSISTER Ì UN OPÏRA Ì UN BALLET
OU Ì UN CONCERT DE MUSIQUE CLASSIQUE OU ALLER VOIR UNE PIÒCE DE THÏÊTRE ,ES ÏLÒVES ONT RÏPONDU Ì CETTE QUESTION EN CHOISISSANT
UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i JAMAIS OU PRESQUE JAMAIS w i UNE OU DEUX FOIS w i TROIS OU
QUATRE FOIS w ET i PLUS DE QUATRE FOIS w PAR AN #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT
0ATRIMOINE FAMILIAL
,INDICE 0)3! DE RICHESSE FAMILIALE EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES ÏLÒVES AUX QUESTIONS PORTANT SUR I LA PRÏSENCE CHEZ EUX DUN
LAVE
VAISSELLE DUNE CHAMBRE PERSONNELLE DE LOGICIELS ÏDUCATIFS ET DUNE CONNEXION Ì )NTERNET ET II DU NOMBRE DE TÏLÏPHONES
PORTABLES DE TÏLÏVISIONS DORDINATEURS DAUTOMOBILES ET DE SALLES DE BAIN QUE COMPTE LEUR LOGEMENT
,INDICE 0)3! DE RESSOURCES ÏDUCATIVES Ì LA MAISON EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES ÏLÒVES AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA PRÏSENCE
CHEZ EUX DUN OU DE PLUSIEURS DICTIONNAIRES DUN ENDROIT CALME POUR ÏTUDIER DUN BUREAU POUR ÏTUDIER DE MANUELS ET DE
CALCULATRICES
,INDICE 0)3! DE PATRIMOINE CULTUREL i CLASSIQUE w FAMILIAL EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES ÏLÒVES AUX QUESTIONS PORTANT SUR
LA PRÏSENCE CHEZ EUX DE LITTÏRATURE CLASSIQUE EXEMPLES MENTIONNÏS DE RECUEILS DE POÏSIE ET DUVRES DART EXEMPLES
MENTIONNÏS
#ES INDICES ONT ÏTÏ CALCULÏS Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- 7ARM DÏCRIT PLUS HAUT
!TTITUDES ET STRATÏGIES DAPPRENTISSAGE
'OßT DES ÏLÒVES POUR LA LECTURE
,INDICE 0)3! DE GOßT POUR LA LECTURE EST DÏRIVÏ DE LA MESURE DANS LAQUELLE LES ÏLÒVES ÏTAIENT DACCORD OU NON AVEC LES
PROPOSITIONS SUIVANTES i *E NE LIS QUE SI JY SUIS OBLIGÏE w i ,A LECTURE EST UN DE MES LOISIRS FAVORIS w i *AIME PARLER DE LIVRES
AVEC DAUTRES PERSONNES w i *ÏPROUVE DES DIFlCULTÏS Ì lNIR LES LIVRES w i *E SUIS CONTENTE QUAND JE RE OIS UN LIVRE EN CADEAU w
i 0OUR MOI LA LECTURE EST UNE PERTE DE TEMPS w i *AIME ALLER DANS UNE LIBRAIRIE OU UNE BIBLIOTHÒQUE w i *E NE LIS QUE POUR
TROUVER LES INFORMATIONS DONT JAI BESOIN w ET i *E NE PEUX PAS RESTER ASSISE TRANQUILLEMENT Ì LIRE PLUS DE QUELQUES MINUTES w
,ES ÏLÒVES ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE
RÏPONSE i PAS DU TOUT DACCORD w i PAS DACCORD w i DACCORD w ET i TOUT Ì FAIT DACCORD w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE
LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT
)NTÏRÐT DES ÏLÒVES POUR LA LECTURE
,INDICE 0)3! DINTÏRÐT POUR LA LECTURE EST DÏRIVÏ DE LA MESURE DANS LAQUELLE LES ÏLÒVES ÏTAIENT DACCORD OU NON AVEC LES
PROPOSITIONS SUIVANTES i #OMME LIRE EST AGRÏABLE JE NE VOUDRAIS PAS MEN PASSER w i *E LIS PENDANT MES LOISIRS w ET i 1UAND
JE LIS IL ARRIVE QUE CELA MABSORBE TOTALEMENT w ,ES ÏLÒVES ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE
OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i PAS DACCORD w i PLUTÙT PAS DACCORD w i PLUTÙT DACCORD w ET
!..%8% !
i DACCORD w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT 6OIR "AUMERT ET AL POUR DAVANTAGE
DINFORMATIONS SUR LES ASPECTS CONCEPTUELS QUI SOUS
TENDENT LINDICE
)NTÏRÐT DES ÏLÒVES POUR LES MATHÏMATIQUES
,INDICE 0)3! DINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES EST DÏRIVÏ DE LA MESURE DANS LAQUELLE LES ÏLÒVES ÏTAIENT DACCORD OU NON
AVEC LES PROPOSITIONS SUIVANTES i 1UAND JE FAIS DES MATHÏMATIQUES PARFOIS CELA MABSORBE TOTALEMENT w i 0OUR MOI
PERSONNELLEMENT LES MATHÏMATIQUES COMPTENT BEAUCOUP w ET i #OMME FAIRE DES MATHÏMATIQUES EST AGRÏABLE JE NE VOUDRAIS
PAS MEN PASSER w ,ES ÏLÒVES ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI
CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i PAS DACCORD w i PLUTÙT PAS DACCORD w i PLUTÙT DACCORD w ET i DACCORD w #ET INDICE A
ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT 6OIR "AUMERT ET AL POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS SUR LES
ASPECTS CONCEPTUELS QUI SOUS
TENDENT LINDICE
3TRATÏGIES DE CONTRÙLE
,INDICE 0)3! DE STRATÏGIES DE CONTRÙLE EST DÏRIVÏ DE LA FRÏQUENCE Ì LAQUELLE LES ÏLÒVES UTILISENT LES STRATÏGIES SUIVANTES LORSQUILS
ÏTUDIENT i *E COMMENCE PAR DÏTERMINER EXACTEMENT CE QUE JAI BESOIN DAPPRENDRE w i *E MOBLIGE Ì VÏRIlER QUE JAI RETENU CE
QUE JAI APPRIS w i *ESSAIE DE REPÏRER LES NOTIONS QUE JE NAI PAS ENCORE BIEN COMPRISES w i *E MASSURE DE BIEN RETENIR LES ÏLÏMENTS
LES PLUS IMPORTANTS w ET i 1UAND JE NE COMPRENDS PAS QUELQUE CHOSE JE CHERCHE DES INFORMATIONS COMPLÏMENTAIRES w ,ES ÏLÒVES ONT
LIVRÏ LEUR SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i PRESQUE
JAMAIS w i PARFOIS w i SOUVENT w ET i PRESQUE TOUJOURS w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT
6OIR "AUMERT ET AL POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS SUR LES ASPECTS CONCEPTUELS QUI SOUS
TENDENT LINDICE
-ÏMORISATION
,INDICE 0)3! DE STRATÏGIES DE MÏMORISATION EST DÏRIVÏ DE LA FRÏQUENCE Ì LAQUELLE LES ÏLÒVES UTILISENT LES STRATÏGIES SUIVANTES LORSQUILS
ÏTUDIENT i *ESSAIE DE MÏMORISER TOUT CE QUI DOIT ÐTRE VU w i *E MÏMORISE AUTANT QUE POSSIBLE w i *E MÏMORISE TOUT CE QUI EST NOUVEAU
DE MANIÒRE Ì SAVOIR LE RÏCITER w ET i *E MENTRAÔNE EN ME RÏPÏTANT LE SUJET PLUSIEURS FOIS DE SUITE w ,ES ÏLÒVES ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT
SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i PRESQUE JAMAIS w i PARFOIS w
i SOUVENT w ET i PRESQUE TOUJOURS w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT 6OIR "AUMERT ET AL ET
0INTRICH ET AL POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS SUR LES ASPECTS CONCEPTUELS QUI SOUS
TENDENT LINDICE
²LABORATION
,INDICE 0)3! DE STRATÏGIES DÏLABORATION EST DÏRIVÏ DE LA FRÏQUENCE Ì LAQUELLE LES ÏLÒVES UTILISENT LES STRATÏGIES SUIVANTES
LORSQUILS ÏTUDIENT i *ESSAIE DE FAIRE LE LIEN ENTRE LES NOUVELLES NOTIONS ET CE QUE JAI APPRIS DANS DAUTRES MATIÒRES w i *ESSAIE
DE VOIR COMMENT CELA POURRAIT SERVIR DANS LA VIE w i *ESSAIE DE MIEUX COMPRENDRE LE CONTENU EN LE METTANT EN RELATION AVEC
CE QUE JE SAIS DÏJÌ w ET i *ESSAIE DE VOIR COMMENT CE QUE JAPPRENDS SINTÒGRE DANS CE QUE JE SAIS DÏJÌ w ,ES ÏLÒVES ONT LIVRÏ
LEUR SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i PRESQUE
JAMAIS w i PARFOIS w i SOUVENT w ET i PRESQUE TOUJOURS w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS
HAUT 6OIR "AUMERT ET AL POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS SUR LES ASPECTS CONCEPTUELS QUI SOUS
TENDENT LINDICE
!PPRENTISSAGE EN COLLABORATION ET APPRENTISSAGE COMPÏTITIF
,INDICE 0)3! DAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION EST DÏRIVÏ DE LA MESURE DANS LAQUELLE LES ÏLÒVES ÏTAIENT DACCORD OU NON AVEC
LES PROPOSITIONS SUIVANTES i *AIME TRAVAILLER AVEC DAUTRES ÏLÒVES w i *APPRENDS PLUS QUAND JE TRAVAILLE AVEC DAUTRES ÏLÒVES w
i *E FAIS UN MEILLEUR TRAVAIL QUAND JE TRAVAILLE AVEC DAUTRES ÏLÒVES w i *AIME AIDER DAUTRES PERSONNES Ì FAIRE DU BON TRAVAIL EN
GROUPE w ET i #EST UTILE QUAND ON TRAVAILLE Ì UN PROJET DE COMBINER LES IDÏES DE CHACUN w ,ES ÏLÒVES ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT
SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i PAS DACCORD w i PLUTÙT
PAS DACCORD w i PLUTÙT DACCORD w ET i DACCORD w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT 6OIR
/WENS ET "ARNES POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS SUR LES ASPECTS CONCEPTUELS QUI SOUS
TENDENT LINDICE
,INDICE 0)3! DAPPRENTISSAGE COMPÏTITIF EST DÏRIVÏ DE LA MESURE DANS LAQUELLE LES ÏLÒVES ÏTAIENT DACCORD OU NON AVEC LES PROPOSITIONS
SUIVANTES i *AIME ESSAYER DÐTRE MEILLEUR QUE LES AUTRES w i *E TRAVAILLE BIEN QUAND JESSAIE DÐTRE MEILLEUR QUE LES AUTRES w i *E VOUDRAIS
ÐTRE LE MEILLEUR EN QUELQUE CHOSE w ET i *APPRENDS PLUS VITE QUAND JESSAIE DE FAIRE MIEUX QUE LES AUTRES w ,ES ÏLÒVES ONT LIVRÏ LEUR
SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i PAS DACCORD w i PLUTÙT
PAS DACCORD w i PLUTÙT DACCORD w ET i DACCORD w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT 6OIR /WENS
ET "ARNES POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS SUR LES ASPECTS CONCEPTUELS QUI SOUS
TENDENT LINDICE
!..%8% !
)MAGE DE SOI EN LECTURE
,INDICE 0)3! DIMAGE DE SOI EN LECTURE EST DÏRIVÏ DE LA MESURE DANS LAQUELLE LES ÏLÒVES ÏTAIENT DACCORD OU NON AVEC LES
PROPOSITIONS SUIVANTES i *E SUIS PERDU AUX COURS DE LANGUE DE LÏVALUATION w i *APPRENDS RAPIDEMENT CE QUI CONCERNE LES
COURS DE LANGUE DE LÏVALUATION w ET i *AI DE BONNES NOTES EN LANGUE DE LÏVALUATION w ,ES ÏLÒVES ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT
SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i PAS DACCORD w i PLUTÙT
PAS DACCORD w i PLUTÙT DACCORD w ET i DACCORD w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT 6OIR
-ARSH ET AL POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS SUR LES ASPECTS CONCEPTUELS QUI SOUS
TENDENT LINDICE
)MAGE DE SOI EN MATHÏMATIQUES
,INDICE 0)3! DIMAGE DE SOI EN MATHÏMATIQUES EST DÏRIVÏ DE LA MESURE DANS LAQUELLE LES ÏLÒVES ÏTAIENT DACCORD OU NON
AVEC LES PROPOSITIONS SUIVANTES i *AI DE BONNES NOTES EN MATHÏMATIQUES w i ,ES MATHÏMATIQUES SONT LUN DE MES POINTS
FORTS w ET i *AI TOUJOURS ÏTÏ BON EN MATHÏMATIQUES w ,ES ÏLÒVES ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE
OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i PAS DACCORD w i PLUTÙT PAS DACCORD w i PLUTÙT DACCORD w ET
i DACCORD w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT 6OIR -ARSH ET AL POUR DAVANTAGE
DINFORMATIONS SUR LES ASPECTS CONCEPTUELS QUI SOUS
TENDENT LINDICE
)NTÏRÐT POUR LINFORMATIQUE
,INDICE 0)3! DINTÏRÐT POUR LINFORMATIQUE EST DÏRIVÏ DES RÏACTIONS DES ÏLÒVES AUX PROPOSITIONS i 4RAVAILLER SUR ORDINATEUR
EST TRÒS IMPORTANT POUR MOI w i *OUER OU TRAVAILLER SUR ORDINATEUR EST TRÒS AGRÏABLE w i *E ME SERS DE LORDINATEUR PARCE QUE
CELA MINTÏRESSE BEAUCOUP w ET i 1UAND JE TRAVAILLE SUR ORDINATEUR JE NE VOIS PAS LE TEMPS PASSER w 5NE ÏCHELLE DE RÏPONSE Ì
DEUX OPTIONS A ÏTÏ UTILISÏE i OUI w ET i NON w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT 6OIR
%IGNOR ET AL POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS SUR LES ASPECTS CONCEPTUELS QUI SOUS
TENDENT LINDICE
#ONFIANCE EN SOI ET CAPACITÏ Ë UTILISER LES ORDINATEURS
,INDICE 0)3! DE CONlANCE EN SOI ET DE CAPACITÏ Ì UTILISER LES ORDINATEURS EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES ÏLÒVES AUX QUESTIONS
SUIVANTES i 6OUS SENTEZ
VOUS Ì LAISE POUR UTILISER UN ORDINATEUR w i 6OUS SENTEZ
VOUS Ì LAISE POUR RÏDIGER UN TRAVAIL SUR
ORDINATEUR w i 3ERIEZ
VOUS Ì LAISE POUR PASSER UN TEST PAR ORDINATEUR w ET i 0AR COMPARAISON AVEC LES AUTRES JEUNES DE ANS
COMMENT JUGERIEZ
VOUS VOTRE APTITUDE Ì VOUS SERVIR DUN ORDINATEUR w ,ES ÏLÒVES ONT RÏPONDU Ì CES QUESTIONS EN CHOISISSANT
UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i TOUT Ì FAIT Ì LAISE w i Ì LAISE w i PAS ENTIÒREMENT Ì LAISE w
ET i PAS DU TOUT Ì LAISE w POUR LES TROIS PREMIÒRES QUESTIONS ET i EXCELLENTE w i BONNE w i MOYENNE w ET i MÏDIOCRE w POUR
LA DERNIÒRE QUESTION #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT 6OIR %IGNOR ET AL POUR
DAVANTAGE DINFORMATIONS SUR LES ASPECTS CONCEPTUELS QUI SOUS
TENDENT LINDICE
4EMPS CONSACRÏ AUX DEVOIRS
,INDICE 0)3! DE TEMPS CONSACRÏ AUX DEVOIRS EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì UNE QUESTION PORTANT SUR LE TEMPS QUILS
CONSACRENT PAR SEMAINE Ì LEURS DEVOIRS EN LANGUE DE LÏVALUATION EN MATHÏMATIQUES ET EN SCIENCES ,ES ÏLÒVES ONT RÏPONDU Ì
CES QUESTIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i PAS DE TEMPS DU TOUT w i MOINS
DUNE HEURE PAR SEMAINE w i ENTRE UNE ET TROIS HEURES PAR SEMAINE w ET i TROIS HEURES PAR SEMAINE OU PLUS w #ET INDICE A ÏTÏ
CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT
0OLITIQUES ET PRATIQUES DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT
2ECOURS AUX ÏVALUATIONS DES ÏLÒVES
,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT INDIQUÏ LA FRÏQUENCE Ì LAQUELLE LES JEUNES DE ANS DE LEUR ÏTABLISSEMENT ÏTAIENT ÏVALUÏS ET IDENTIlÏ
LES INSTRUMENTS UTILISÏS Ì CET EFFET LES ÏPREUVES STANDARDISÏES LES ÏPREUVES MISES AU POINT PAR LES ENSEIGNANTS LES APPRÏCIATIONS
INFORMELLES FOURNIES PAR LES ENSEIGNANTS LES DOSSIERS INDIVIDUELS DES ÏLÒVES OU LES TRAVAUXRECHERCHESDEVOIRS FAITS Ì LA MAISON
PAR LES ÏLÒVES ,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT PRÏCISÏ Ì QUELLE FRÏQUENCE CHACUN DE CES INSTRUMENTS ÏTAIT UTILISÏ EN CHOISISSANT UNE
OPTION PARMI LES CINQ QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i JAMAIS w i UNE FOIS PAR AN w i DEUX FOIS PAR AN w i TROIS FOIS PAR AN w
ET i QUATRE FOIS PAR AN OU PLUS w )LS ONT ÏGALEMENT INDIQUÏ SI LÏVALUATION DES ÏLÒVES DE ANS SERVAIT Ì COMPARER LES PERFORMANCES
DE LEUR ÏTABLISSEMENT Ì CELLES DU DISTRICT OU AUX PERFORMANCES NATIONALES Ì CONTRÙLER LES PROGRÒS DE LÏTABLISSEMENT DANNÏE
EN ANNÏE OU Ì PORTER DES JUGEMENTS SUR LEFlCACITÏ DES ENSEIGNANTS
,INDICE 0)3! DE RECOURS AUX ÏVALUATIONS FORMELLES EST DÏRIVÏ DE DÏCLARATIONS DES CHEFS DÏTABLISSEMENT PORTANT SUR LA
FRÏQUENCE DE LADMINISTRATION DÏPREUVES STANDARDISÏES ET SUR LEXPLOITATION DE CES ÏVALUATIONS #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì
!..%8% !
PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT $ES VALEURS ÏLEVÏES DE CET INDICE DÏSIGNENT LES ÏTABLISSEMENTS Oá LÏVALUATION
STANDARDISÏE EST LARGEMENT UTILISÏE COMME INSTRUMENT DE SUIVI
,INDICE 0)3! DE RECOURS AUX ÏVALUATIONS INFORMELLES EST DÏRIVÏ DE DÏCLARATIONS DES CHEFS DÏTABLISSEMENT PORTANT SUR LA
FRÏQUENCE DE LUTILISATION DES ÏPREUVES MISES AU POINT PAR LES ENSEIGNANTS DES APPRÏCIATIONS INFORMELLES FOURNIES PAR LES
ENSEIGNANTS DES DOSSIERS INDIVIDUELS DES ÏLÒVES OU DES TRAVAUXRECHERCHESDEVOIRS FAITS Ì LA MAISON PAR LES ÏLÒVES AINSI QUE
DE LEURS DÏCLARATIONS SUR LEXPLOITATION DE CES ÏVALUATIONS #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS
HAUT $ES VALEURS ÏLEVÏES DE CET INDICE CORRESPONDENT Ì DES ÏTABLISSEMENTS Oá LÏVALUATION INFORMELLE EST LARGEMENT UTILISÏE
COMME INSTRUMENT DE SUIVI
!UTONOMIE DES ÏTABLISSEMENTS ET DES ENSEIGNANTS
,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT ÏTÏ PRIÏS DINDIQUER Ì QUI n ENSEIGNANTS SOUS
DIRECTEURSDIRECTEURS ADJOINTSPROVISEURS CHEF
DÏTABLISSEMENT CONSEIL DE DIRECTION NOMMÏ OU ÏLU OU DE HAUTES AUTORITÏS CHARGÏES DE LENSEIGNEMENT n INCOMBAIENT
PRINCIPALEMENT LES RESPONSABILITÏS SUIVANTES ENGAGER LES ENSEIGNANTS CONGÏDIER LES ENSEIGNANTS DÏTERMINER LE SALAIRE INITIAL DES
ENSEIGNANTS ÏTABLIR LE BUDGET DE LÏTABLISSEMENT DÏCIDER DE LA VENTILATION DU BUDGET DANS LÏTABLISSEMENT DÏlNIR LE RÒGLEMENT
INTÏRIEUR POUR LES ÏLÒVES DÏlNIR LES POLITIQUES DÏVALUATION DES ÏLÒVES DÏCIDER DE LADMISSION DES ÏLÒVES DANS LÏTABLISSEMENT
CHOISIR LES MANUELS Ì UTILISER DÏTERMINER LE CONTENU DES COURS ET DÏCIDER QUELS COURS DOIVENT ÐTRE PROPOSÏS
,INDICE 0)3! DAUTONOMIE DES ÏTABLISSEMENTS UTILISÏ AU CHAPITRE EST DÏRIVÏ DU NOMBRE DE CATÏGORIES DE RESPONSABILITÏ QUE
LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DISENT NÐTRE PAS DU RESSORT DES ÏTABLISSEMENTS ,ÏCHELLE A ENSUITE ÏTÏ INVERSÏE DE SORTE QUE LES VALEURS
ÏLEVÏES DINDICE INDIQUENT UN DEGRÏ IMPORTANT DAUTONOMIE
,INDICE 0)3! DAUTONOMIE DES ENSEIGNANTS UTILISÏ AU CHAPITRE EST DÏRIVÏ DU NOMBRE DE CATÏGORIES DE RESPONSABILITÏ QUE LES
CHEFS DÏTABLISSEMENT DISENT INCOMBER PRINCIPALEMENT AUX ENSEIGNANTS
#ES INDICES ONT ÏTÏ CALCULÏS Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT
&ORMATION CONTINUE DU PERSONNEL
,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT INDIQUÏ LE POURCENTAGE DES ENSEIGNANTS QUI ONT PARTICIPÏ Ì DES PROGRAMMES DE FORMATION
CONTINUE 0AR FORMATION CONTINUE ON ENTEND UN PROGRAMME OFlCIEL DESTINÏ Ì AMÏLIORER LES COMPÏTENCES OU LES PRATIQUES
PÏDAGOGIQUES DES ENSEIGNANTS #E PROGRAMME PEUT ÐTRE SANCTIONNÏ PAR UNE CERTIlCATION RECONNUE OU NON $ANS LE CADRE DE
CETTE QUESTION UN PROGRAMME DOIT DURER AU MOINS UNE JOURNÏE COMPLÒTE ET PORTER SUR LENSEIGNEMENT ET LÏDUCATION
&ACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT ET IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS SELON LE CHEF DÏTABLISSEMENT
,INDICE 0)3! DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT ET IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS SELON LE CHEF
DÏTABLISSEMENT EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENT AUX QUESTIONS i $ANS VOTRE ÏTABLISSEMENT DANS QUELLE
MESURE LAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES DE ANS EST
IL GÐNÏ PAR LE NIVEAU TROP BAS DES ATTENTES DES ENSEIGNANTS PAR DES RELATIONS
MÏDIOCRES ENTRE ÏLÒVES ET ENSEIGNANTS PAR LES ENSEIGNANTS QUI NE RENCONTRENT PAS LES BESOINS INDIVIDUELS DES ÏLÒVES PAR
LABSENTÏISME DES ENSEIGNANTS PAR LA RÏSISTANCE AU CHANGEMENT DU PERSONNEL PAR UNE SÏVÏRITÏ EXCESSIVE DES ENSEIGNANTS Ì
LÏGARD DES ÏLÒVES OU PAR LE FAIT QUE LES ÏLÒVES NE SONT PAS ENCOURAGÏS Ì DONNER LA PLEINE MESURE DE LEURS CAPACITÏS w ,ES CHEFS
DÏTABLISSEMENT ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE
DE RÏPONSE i PAS DU TOUT w i TRÒS PEU w i DANS UNE CERTAINE MESURE w ET i BEAUCOUP w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE
LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT ,ÏCHELLE A ÏTÏ INVERSÏE DE SORTE QUE LES VALEURS PEU ÏLEVÏES DE CET INDICE DÏNOTENT UN
PIÒTRE CLIMAT DE DISCIPLINE
-ORAL ET ENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS SELON LE CHEF DÏTABLISSEMENT
,INDICE 0)3! DU MORAL ET DE LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS SELON LE CHEF DÏTABLISSEMENT EST DÏRIVÏ DE LA MESURE DANS
LAQUELLE LES CHEFS DÏTABLISSEMENT ÏTAIENT DACCORD OU NON AVEC LES PROPOSITIONS SUIVANTES i ,E MORAL EST TRÒS BON DANS CET
ÏTABLISSEMENT w i ,ES ENSEIGNANTS PRENNENT LEUR TRAVAIL TRÒS Ì CUR w i ,ES ENSEIGNANTS SONT lERS DE CET ÏTABLISSEMENT w
ET i ,ES ENSEIGNANTS ATTACHENT BEAUCOUP DIMPORTANCE Ì LA RÏUSSITE DES ÏLÒVES w ,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT LIVRÏ LEUR
SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i PAS DU TOUT
DACCORD w i PAS DACCORD w i DACCORD w ET i TOUT Ì FAIT DACCORD w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2-
DÏCRIT PLUS HAUT
!..%8% !
0ÏNURIE DENSEIGNANTS
,INDICE 0)3! DE PÏNURIE DENSEIGNANTS EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENT Ì LA QUESTION i $ANS VOTRE
ÏTABLISSEMENT LAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES DE ANS EST
IL GÐNÏ PAR UNE PÏNURIE OU UNE INADÏQUATION DES ENSEIGNANTS EN GÏNÏRAL
OU EN LANGUE DE LÏVALUATION MATHÏMATIQUES OU SCIENCES EN PARTICULIER w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR
7!2- DÏCRIT PLUS HAUT ,ÏCHELLE DES OPTIONS DE RÏPONSE A ÏTÏ INVERSÏE DE SORTE QUE LES VALEURS PEU ÏLEVÏES DE CET INDICE
DÏNOTENT UN PROBLÒME DE PÏNURIE DENSEIGNANTS
0RATIQUES PÏDAGOGIQUES
3OUTIEN DES ENSEIGNANTS
,INDICE 0)3! DE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES ÏLÒVES AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA FRÏQUENCE Ì LAQUELLE
i ,E PROFESSEUR SINTÏRESSE AUX PROGRÒS DE CHAQUE ÏLÒVE w i ,E PROFESSEUR DONNE AUX ÏLÒVES LOCCASION DEXPRIMER LEURS
OPINIONS w i ,E PROFESSEUR AIDE LES ÏLÒVES DANS LEUR TRAVAIL w i ,E PROFESSEUR CONTINUE Ì EXPLIQUER JUSQUÌ CE QUE LES ÏLÒVES AIENT
COMPRIS w i ,E PROFESSEUR SINVESTIT BEAUCOUP POUR AIDER LES ÏLÒVES w ET i ,E PROFESSEUR AIDE LES ÏLÒVES DANS LEUR APPRENTISSAGE w
,ES ÏLÒVES ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE
RÏPONSE i JAMAIS w i PARFOIS w i Ì LA PLUPART DES COURS w ET i Ì CHAQUE COURS w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR
7!2- DÏCRIT PLUS HAUT 7ARM
#LIMAT DE DISCIPLINE
,INDICE 0)3! DE CLIMAT DE DISCIPLINE EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES ÏLÒVES AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA FRÏQUENCE DES SITUATIONS
SUIVANTES DANS LES COURS DE LANGUE DE LÏVALUATION i ,E PROFESSEUR DOIT ATTENDRE UN LONG MOMENT AVANT QUE LES ÏLÒVES SE
CALMENT w i ,ES ÏLÒVES NE PEUVENT PAS BIEN TRAVAILLER w i ,ES ÏLÒVES NÏCOUTENT PAS CE QUE DIT LE PROFESSEUR w i ,ES ÏLÒVES NE
COMMENCENT Ì TRAVAILLER QUE BIEN APRÒS LE DÏBUT DES COURS w i )L Y A DU BRUIT ET DE LAGITATION w ET i !U DÏBUT DU COURS PLUS DE
CINQ MINUTES SE PASSENT SANS QUON NE FASSE RIEN w ,ES ÏLÒVES ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION
PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i JAMAIS w i PARFOIS w i Ì LA PLUPART DES COURS w ET i Ì CHAQUE COURS w
,ÏCHELLE DE RÏPONSE A ÏTÏ INVERSÏE DE SORTE QUE LES VALEURS PEU ÏLEVÏES DE CET INDICE INDIQUENT UN PIÒTRE CLIMAT DE DISCIPLINE
,INDICE 0)3! DE PERCEPTION DES CHEFS DÏTABLISSEMENTS QUANT AUX FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT ET
IMPUTABLES AUX ÏLÒVES PROVIENT DES RAPPORTS DES CHEFS DÏTABLISSEMENTS SUR LE FAIT QUE LAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES DE ANS DANS
LEUR ÏTABLISSEMENT ÏTAIT PERTURBÏ PAR LES FACTEURS SUIVANTS LABSENTÏISME DES ÏLÒVES LES ÏLÒVES QUI PERTURBENT LES COURS LES ÏLÒVES
QUI SÒCHENT LES COURS LES ÏLÒVES QUI MANQUENT DE RESPECT ENVERS LES ENSEIGNANTS LA CONSOMMATION DALCOOL OU DE DROGUES ILLÏGALES
LES ÏLÒVES QUI INTIMIDENT OU BRUTALISENT DAUTRES ÏLÒVES ,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN
CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i PAS DU TOUT w i TRÒS PEU w i DANS UNE CERTAINE
MESURE w ET i BEAUCOUP w ,ÏCHELLE DE RÏPONSE A ÏTÏ INVERSÏE DE SORTE QUE LES VALEURS PEU ÏLEVÏES DE CET INDICE INDIQUENT UN PIÒTRE
CLIMAT DE DISCIPLINE #ES DEUX INDICES ONT ÏTÏ CALCULÏS Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT
%NCOURAGEMENT
,INDICE 0)3! DENCOURAGEMENT EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì LA QUESTION PORTANT SUR LA FRÏQUENCE DES SITUATIONS SUIVANTES
DANS LES COURS DE LANGUE DE LÏVALUATION i ,E PROFESSEUR DEMANDE AUX ÏLÒVES DE TRAVAILLER BEAUCOUP w i ,E PROFESSEUR DIT
AUX ÏLÒVES QUILS POURRAIENT MIEUX FAIRE w i ,E PROFESSEUR EST MÏCONTENT LORSQUE LES ÏLÒVES RENDENT UN TRAVAIL MAL FAIT w ET i ,ES
ÏLÒVES ONT BEAUCOUP Ì ÏTUDIER w ,ES ÏLÒVES ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES
QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i JAMAIS w i PARFOIS w i Ì LA PLUPART DES COURS w ET i Ì CHAQUE COURS w #ES INDICES
ONT ÏTÏ CALCULÏS Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT AVEC ATTRIBUTION DU CODE Ì LA RÏPONSE i JAMAIS w ET DU CODE
Ì TOUTES LES AUTRES CATÏGORIES DE RÏPONSE
2ELATIONS ENTRE ÏLÒVES ET ENSEIGNANTS
,INDICE 0)3! DE RELATIONS ÏLÒVES
ENSEIGNANTS EST DÏRIVÏ DES RÏACTIONS DES ÏLÒVES AUX PROPOSITIONS SUIVANTES i ,ES ÏLÒVES
SENTENDENT BIEN AVEC LES PROFESSEURS w i ,ES PROFESSEURS SINTÏRESSENT AU BIEN
ÐTRE DE LEURS ÏLÒVES w i -ES PROFESSEURS SONT
RÏELLEMENT Ì LÏCOUTE DE CE QUE JAI Ì DIRE w i 3I JAI BESOIN DAIDE SUPPLÏMENTAIRE MES PROFESSEURS ME LAPPORTERONT w ET
i -ES PROFESSEURS ME TRAITENT AVEC JUSTICE w ,ES ÏLÒVES ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION
PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE RÏPONSE i PAS DU TOUT DACCORD w i PAS DACCORD w i DACCORD w ET i TOUT Ì FAIT
DACCORD w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT AVEC ATTRIBUTION DU CODE Ì LA RÏPONSE
i TOUT Ì FAIT DACCORD w ET DU CODE Ì TOUTES LES AUTRES CATÏGORIES DE RÏPONSE
!..%8% !
2ESSOURCES DES ÏTABLISSEMENTS ET TYPES DÏTABLISSEMENT
1UALITÏ DES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES DES ÏTABLISSEMENTS
,INDICE 0)3! DE QUALITÏ DES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES DES ÏTABLISSEMENTS EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENT
Ì LA QUESTION i $ANS VOTRE ÏTABLISSEMENT DANS QUELLE MESURE LAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES DE ANS EST
IL GÐNÏ PAR LÏTAT MÏDIOCRE
DES LOCAUX PAR DES INSTALLATIONS MÏDIOCRES DE CHAUFFAGEDE CONDITIONNEMENT DAIRDÏCLAIRAGE ET PAR LE MANQUE DE LOCAUX
DESTINÏS Ì LENSEIGNEMENT LES CLASSES PAR EXEMPLE w
,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT
LÏCHELLE DE RÏPONSE i PAS DU TOUT w i TRÒS PEU w i DANS UNE CERTAINE MESURE w ET i BEAUCOUP w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì
PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT ,ÏCHELLE DE RÏPONSE A ÏTÏ INVERSÏE DE SORTE QUE LES VALEURS PEU ÏLEVÏES DE CET
INDICE DÏNOTENT UNE PIÒTRE QUALITÏ DINFRASTRUCTURE MATÏRIELLE
1UALITÏ DU MATÏRIEL PÏDAGOGIQUE DES ÏTABLISSEMENTS
,INDICE 0)3! DE QUALITÏ DU MATÏRIEL PÏDAGOGIQUE DES ÏTABLISSEMENTS EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENT Ì
LA QUESTION i $ANS VOTRE ÏTABLISSEMENT DANS QUELLE MESURE LAPPRENTISSAGE DES ÏLÒVES DE ANS EST
IL GÐNÏ PAR LE MANQUE
DORDINATEURS DISPONIBLES Ì DES lNS DIDACTIQUES PAR LE MANQUE DE MATÏRIEL DIDACTIQUE Ì LA BIBLIOTHÒQUE PAR LE MANQUE DE
RESSOURCES AUDIOVISUELLES POUR LENSEIGNEMENT PAR LINADÏQUATION DE LÏQUIPEMENT DANS LES LABORATOIRES DE SCIENCES ET PAR
LINADÏQUATION DES ATELIERS DARTS PLASTIQUES w
,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT LIVRÏ LEUR SENTIMENT SUR CES PROPOSITIONS EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES QUATRE QUI CONSTITUENT
LÏCHELLE DE RÏPONSE i PAS DU TOUT w i TRÒS PEU w i DANS UNE CERTAINE MESURE w ET i BEAUCOUP w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì
PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT ,ÏCHELLE DE RÏPONSE A ÏTÏ INVERSÏE DE SORTE QUE LES VALEURS PEU ÏLEVÏES DE CET
INDICE DÏNOTENT UNE PIÒTRE QUALITÏ DU MATÏRIEL PÏDAGOGIQUE
/RDINATEURS DISPONIBLES
,INDICE 0)3! DORDINATEURS DISPONIBLES EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENT AUX QUESTIONS i #OMBIEN
DORDINATEURS Y A
T
IL POUR LENSEMBLE DE LÏTABLISSEMENT w i #OMBIEN DORDINATEURS SONT DISPONIBLES POUR LES ÏLÒVES DE
ANS w i #OMBIEN DORDINATEURS SONT DISPONIBLES UNIQUEMENT POUR LES PROFESSEURS w i #OMBIEN DORDINATEURS SONT
DISPONIBLES UNIQUEMENT POUR LE PERSONNEL ADMINISTRATIF w i #OMBIEN DORDINATEURS SONT CONNECTÏS Ì )NTERNET w ET
i #OMBIEN DORDINATEURS SONT CONNECTÏS Ì UN RÏSEAU LOCAL w ,A VALEUR DE LINDICE CORRESPOND AU RÏSULTAT DE LA DIVISION DU
NOMBRE TOTAL DORDINATEURS QUE LES JEUNES DE ANS PEUVENT UTILISER PAR LE NOMBRE TOTAL DORDINATEURS DE LÏTABLISSEMENT
.OMBRE DENSEIGNANTS PAR ÏLÒVE ET EFFECTIF DES CLASSES
,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT ÏTÏ PRIÏS DINDIQUER LE NOMBRE DENSEIGNANTS EMPLOYÏS DANS LEUR ÏTABLISSEMENT Ì TEMPS PLEIN ET
Ì TEMPS PARTIEL ET PARMI CEUX
CI LE NOMBRE DE i PROFESSEURS DE LANGUE DE LÏVALUATION DE MATHÏMATIQUES ET DE SCIENCES w
LE NOMBRE DE TITULAIRES DE i TITRES DONNANT ACCÒS Ì LA FONCTION DENSEIGNANT QUI SONT PLEINEMENT RECONNUS PAR LAUTORITÏ DE
TUTELLE w ET LE NOMBRE DE TITULAIRES DUN i DIPLÙME PÏDAGOGIQUE DE NIVEAU #)4% ! w DUN i DIPLÙME DE NIVEAU
#)4% ! EN LANGUE DE LÏVALUATION EN MATHÏMATIQUES ET EN SCIENCES w ,A PROPORTION DENSEIGNANTS PAR CATÏGORIE
EST UTILISÏE DANS LANALYSE EXPOSÏE AU CHAPITRE
,E NOMBRE DENSEIGNANTS PAR ÏLÒVE EST ÏGAL AU RÏSULTAT DE LA DIVISION DU NOMBRE DENSEIGNANTS ÏQUIVALENTS TEMPS PLEIN PAR
LE NOMBRE DÏLÒVES DE LÏTABLISSEMENT ,ES CHIFFRES COMMUNIQUÏS PAR LES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT ÏTÏ CONVERTIS EN ÏQUIVALENTS
TEMPS PLEIN COMME SUIT UN COEFlCIENT DE PONDÏRATION DE EST ATTRIBUÏ Ì UN ENSEIGNANT TRAVAILLANT Ì TEMPS PLEIN CEST
Ì
DIRE
DONT POUR CENT AU MOINS DU TEMPS DE TRAVAIL STATUTAIRE EST CONSACRÏ Ì LENSEIGNEMENT EN CLASSE UN COEFlCIENT DE PONDÏRATION
DE EST ATTRIBUÏ Ì UN ENSEIGNANT Ì TEMPS PARTIEL CEST
Ì
DIRE DONT MOINS DE POUR CENT DU TEMPS DE TRAVAIL EST CONSACRÏ Ì
LENSEIGNEMENT EN CLASSE
,EFFECTIF DES CLASSES A ÏTÏ ESTIMÏ SUR LA BASE DES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì LA QUESTION i %N MOYENNE COMBIEN Y A T IL DÏLÒVES
DANS VOTRE CLASSE DE LANGUE DE LÏVALUATION DE MATHÏMATIQUES ET DE SCIENCES w
%XPLOITATION DES RESSOURCES DE LÏTABLISSEMENT
,INDICE 0)3! DEXPLOITATION DES RESSOURCES DE LÏTABLISSEMENT EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES ÏLÒVES Ì LA QUESTION PORTANT SUR
LA FRÏQUENCE Ì LAQUELLE ILS UTILISENT i LA BIBLIOTHÒQUE DE LÏTABLISSEMENT w i DES CALCULATRICES w i )NTERNET w ET i LE LABORATOIRE
!..%8% !
DE SCIENCES w ,ES ÏLÒVES ONT RÏPONDU Ì CETTE QUESTION EN CHOISISSANT UNE OPTION PARMI LES CINQ QUI CONSTITUENT LÏCHELLE DE
RÏPONSES i JAMAIS w i QUELQUES FOIS PAR AN w i PLUS OU MOINS UNE FOIS PAR MOIS w i PLUSIEURS FOIS PAR MOIS w ET i PLUSIEURS FOIS
PAR SEMAINE w #ET INDICE A ÏTÏ CALCULÏ Ì PARTIR DE LESTIMATEUR 7!2- DÏCRIT PLUS HAUT
.OMBRE DHEURES DENSEIGNEMENT
,INDICE 0)3! DE NOMBRE DHEURES DENSEIGNEMENT EST DÏRIVÏ DES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENT AUX QUESTIONS
i #OMBIEN DE SEMAINES DE CLASSE COMPTE UNE ANNÏE SCOLAIRE w i #OMBIEN DE PÏRIODES DE COURS COMPTE UNE SEMAINE DE
CLASSE w ET i #OMBIEN DE MINUTES EN MOYENNE DURE UNE PÏRIODE DE COURS w ,A VALEUR DE LINDICE EST ÏGALE AU PRODUIT DE
CES TROIS FACTEURS DIVISÏ PAR
4YPE DÏTABLISSEMENT
,ES ÏTABLISSEMENTS SONT DITS i PUBLICS w OU i PRIVÏS w SELON QUUN ORGANISME PUBLIC OU UNE INSTITUTION PRIVÏE DÏTIENT LULTIME
POUVOIR DE DÏCISION DANS LEUR GESTION 5N ÏTABLISSEMENT EST QUALIlÏ DE PUBLIC SI SON DIRECTEUR A INDIQUÏ QUIL ÏTAIT CONTRÙLÏ
ET GÏRÏ DIRECTEMENT PAR LAUTORITÏ OU LORGANISME PUBLIC RESPONSABLE DE LÏDUCATION OU QUIL ÏTAIT CONTRÙLÏ ET DIRIGÏ SOIT
DIRECTEMENT PAR UNE INSTANCE GOUVERNEMENTALE SOIT PAR UN ORGANE DE DIRECTION CONSEIL DADMINISTRATION COMITÏ DIRECTEUR
ETC DONT LA MAJORITÏ DES MEMBRES SONT SOIT DÏSIGNÏS PAR LES POUVOIRS PUBLICS SOIT ÏLUS AU SUFFRAGE PUBLIC 0AR OPPOSITION UN
ÏTABLISSEMENT EST QUALIlÏ DE PRIVÏ SI SON DIRECTEUR A INDIQUÏ QUIL ÏTAIT CONTRÙLÏ ET GÏRÏ PAR UN ORGANISME NON GOUVERNEMENTAL
UNE ÏGLISE UN SYNDICAT OU UNE ENTREPRISE COMMERCIALE PAR EXEMPLE OU QUE SON POUVOIR ORGANISATEUR ÏTAIT ESSENTIELLEMENT
CONSTITUÏ DE MEMBRES QUI NONT PAS ÏTÏ SÏLECTIONNÏS PAR UN ORGANISME PUBLIC
5NE DISTINCTION EST ÏTABLIE ENTRE LES ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS i DÏPENDANTS w OU i INDÏPENDANTS w DE L³TAT EN FONCTION DU DEGRÏ
DE DÏPENDANCE DE CES ÏTABLISSEMENTS PAR RAPPORT AU lNANCEMENT PROVENANT DE SOURCES PUBLIQUES ,ES CHEFS DÏTABLISSEMENT ONT
RÏPONDU Ì LA QUESTION i !U COURS DUNE ANNÏE SCOLAIRE ORDINAIRE QUELLE PART APPROXIMATIVE DE VOTRE BUDGET TOTAL PROVIENT
DES AUTORITÏS OFlCIELLES DES DROITS DINSCRIPTION ET DES FRAIS SCOLAIRES PAYÏS PAR LES PARENTS DE DONS DE LEGS DE PARRAINAGES
DE COLLECTES DE FONDS PAR LES PARENTS ET DAUTRES SOURCES w ET ONT DONNÏ UN POURCENTAGE POUR CHACUNE DES SOURCES CITÏES ,ES
ÏTABLISSEMENTS SONT DITS PRIVÏS DÏPENDANTS DE L³TAT SI POUR CENT DE LEUR BUDGET EST lNANCÏ PAR DES AGENCES PUBLIQUES ET
PRIVÏS INDÏPENDANTS DE L³TAT SI MOINS DE POUR CENT DE LEUR BUDGET EST lNANCÏ PAR DES AGENCES PUBLIQUES
!..%8% !
!NNEXE ! VARIATION EXPLIQUÏE DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES
$ANS PLUSIEURS TABLEAUX PRÏSENTÏS AUX CHAPITRES ET UNE ESTIMATION DU CHANGEMENT DANS LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ASSOCIÏ Ì
UNE PROGRESSION DUNE UNITÏ DUN INDICE DONNÏ A ÏTÏ CALCULÏE AU MOYEN DES MÏTHODES DE RÏGRESSION ,A VARIATION DE LA PERFORMANCE
DES ÏLÒVES QUI EST EXPLIQUÏE PAR CETTE RÏGRESSION lGURE AU TABLEAU ! ET EST COMMUNÏMENT DÏSIGNÏE PAR 2 0OUR UNE DÏlNITION
DES INDICES VOIR LANNEXE !
4ABLEAU !
6ARIATION EXPLIQUÏE DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES 2
2ÏSULTATS EN POURCENTAGES
)NDICE DE CONFI
ANCE EN SOI ET )NDICE DES )NDICE DE )NDICE DU
DE CAPACITÏ )NDICE STRATÏGIES
LAPPRENTISSAGE )NDICE )NDICE DE PATRIMOINE )NDICE
PER UE EN DAPPRENTISSAGE DAUTO
EN COLLA
DES ACTIVITÏS COMMUNICATION CULTUREL DU CLIMAT
INFORMATIQUE COMPÏTITIF RÏGULATION BORATION CULTURELLES CULTURELLE FAMILIAL DE DISCIPLINE
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE A
"ELGIQUE
#ANADA A A A
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE A A A A
!LLEMAGNE
'RÒCE A A A A
(ONGRIE
)SLANDE A
)RLANDE
)TALIE A
*APON A A A A
#ORÏE A
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE A A A A
0ORTUGAL A
%SPAGNE A A A A
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI A A A A
./. -%-"2%3
³TATS
5NIS
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS A
)NDICE )NDICE DE )NDICE DU )NDICE DE SOU )NDICE DE )NDICE DE )NDICE DE )NDICE DES
DES STRATÏGIES LENGAGEMENT BIEN ÐTRE TIEN ÏDUCATIF LINTÏRÐT POUR LINTÏRÐT POUR LES LINTÏRÐT POUR STRATÏGIES DE
DÏLABORATION DANS LA LECTURE FAMILIAL FAMILIAL LINFORMATIQUE MATHÏMATIQUES LA LECTURE COMMUNICATION
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE A
"ELGIQUE
#ANADA A A A A A
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE A A A A A
!LLEMAGNE
'RÒCE A A A A A
(ONGRIE
)SLANDE A
)RLANDE
)TALIE A
*APON A A A A A
#ORÏE A
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE A
0OLOGNE A A A A A
0ORTUGAL A
%SPAGNE A A A A A
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI A A A A A
./. -%-"2%3
³TATS
5NIS
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN A
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS A
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% !
4ABLEAU ! SUITE
6ARIATION EXPLIQUÏE DE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES 2
2ÏSULTATS EN POURCENTAGES
)NDICE DE PERCEPTION )NDICE DE FACTEURS
PAR LES CHEFS DÏTABLIS
)NDICE )NDICE TROUBLANT LE CLIMAT
SEMENT DU MORAL ET )NDICE )NDICE DE DIMAGE DIMAGE )NDICE DE DE LÏTABLISSEMENT )NDICE
DE LENGAGEMENT DAUTONOMIE DE SÏLECTIVITÏ DE DE SOI EN DE SOI EN COMMUNICATION IMPUTABLES DAUTONOMIE
DES ENSEIGNANTS LÏTABLISSEMENT LÏTABLISSEMENT MATHÏMATIQUES LECTURE SOCIALE AUX ÏLÒVES DES ENSEIGNANTS
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA A A
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE M M M A A M M
!LLEMAGNE
'RÒCE A A
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE A
*APON A A
#ORÏE
,UXEMBOURG A A
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE A A
0OLOGNE A A A A
0ORTUGAL
%SPAGNE A A
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI A A
³TATS 5NIS
./. -%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS
)NDICE DE FACTEURS )NDICE )NDICE )NDICE SOCIO
TROUBLANT LE CLIMAT DE QUALITÏ DE QUALITÏ DE ÏCONOMIQUE
)NDICE )NDICE DE LÏTABLISSEMENT )NDICE DES DU MATÏRIEL LINFRASTRUCTURE )NDICE DU INTERNATIONAL DE
DE PÏNURIE DE SOUTIEN IMPUTABLE AUX RELATIONS ENSEI PÏDAGOGIQUE DE MATÏRIELLE DE TEMPS CONSACRÏ STATUT PROFES
DES ENSEIGNANTS DES ENSEIGNANTS ENSEIGNANTS GNANTSÏLÒVES LÏTABLISSEMENT LÏTABLISSEMENT AUX DEVOIRS SIONNEL )3%)
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE M M M M M
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS
./. -%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% !
!NNEXE ! POPULATION CIBLE ET ÏCHANTILLONS DU 0)3!
,E CONCEPT DE i RENDEMENT w ET LA DÏFINITION DE LA POPULATION CIBLE DU 0)3!
,ES RÏSULTATS DU CYCLE 0)3! PERMETTENT DÏVALUER LE RENDEMENT CUMULÏ DE LENSEIGNEMENT ET DE LAPPRENTISSAGE Ì UN ÊGE
Oá LA PLUPART DES ADOLESCENTS SONT ENCORE INSCRITS DANS LENSEIGNEMENT INITIAL
)L EST IMPÏRATIF DOPÏRATIONALISER CE CONCEPT DE MANIÒRE Ì GARANTIR LA COMPARABILITÏ ENTRE PAYS DES POPULATIONS CIBLES NATIONALES
#EST LÌ LUN DES DÏlS MAJEURS Ì RELEVER DANS LE CADRE DES ENQUÐTES INTERNATIONALES
)L NEST PAS POSSIBLE DE DÏlNIR DES ANNÏES DÏTUDES RÏELLEMENT COMPARABLES Ì LÏCHELON INTERNATIONAL EN RAISON DES DIFFÏRENCES
OBSERVÏES ENTRE PAYS EN CE QUI CONCERNE LA NATURE ET LA PORTÏE DE LENSEIGNEMENT PRÏ
PRIMAIRE ET DE LA PUÏRICULTURE LÊGE DE LA
SCOLARITÏ OBLIGATOIRE ET LES STRUCTURES DES SYSTÒMES ÏDUCATIFS ,A VALIDITÏ DES COMPARAISONS INTERNATIONALES DU RENDEMENT SCOLAIRE
PASSE DONC PAR LAPPLICATION DUN CRITÒRE DÊGE POUR IDENTIlER LES POPULATIONS CONCERNÏES ,A POPULATION CIBLE DE CERTAINES
ENQUÐTES INTERNATIONALES ANTÏRIEURES A ÏTÏ DÏlNIE EN FONCTION DUNE ANNÏE DÏTUDES QUI OFFRE LA COUVERTURE MAXIMALE DUNE
COHORTE DÊGE SPÏCIlQUE ,INCONVÏNIENT DE CETTE APPROCHE RÏSIDE DANS LES LÏGÒRES VARIATIONS DES ÊGES ASSOCIÏS AUX ANNÏES
DÏTUDES #ES VARIATIONS CONDUISENT SOUVENT Ì LA SÏLECTION DANNÏES DÏTUDES DIFFÏRENTES SELON LES PAYS OU SELON LES DIFFÏRENTS
SYSTÒMES ÏDUCATIFS DUN PAYS CE QUI COMPROMET SÏRIEUSEMENT LA COMPARABILITÏ DES RÏSULTATS ENTRE PAYS VOIRE AU SEIN MÐME DES
PAYS DANS CERTAINS CAS %N OUTRE COMME TOUS LES ÏLÒVES DUN ÊGE DONNÏ NE SONT PAS REPRÏSENTÏS DANS LES ÏCHANTILLONS BASÏS SUR
LANNÏE DÏTUDES LES RÏSULTATS PEUVENT MÐME ÐTRE BIAISÏS DAVANTAGE SI LES ÏLÒVES NON REPRÏSENTÏS DANS LÏCHANTILLON SONT INSCRITS
DANS LANNÏE DÏTUDES SUPÏRIEURE DANS CERTAINS PAYS ET DANS LANNÏE DÏTUDES INFÏRIEURE DANS DAUTRES PAYS #E PHÏNOMÒNE
POURRAIT ENTRAÔNER LEXCLUSION DES ÏLÒVES PRÏSENTANT UN NIVEAU DE PERFORMANCE POTENTIELLEMENT PLUS ÏLEVÏ DANS LES PREMIERS ET
DES ÏLÒVES ACCUSANT UN RENDEMENT POTENTIELLEMENT PLUS FAIBLE DANS LES SECONDS
,E 0)3! A SURMONTÏ CETTE DIFlCULTÏ EN ADOPTANT UN CRITÒRE DÊGE POUR IDENTIlER SA POPULATION CIBLE %N DAUTRES TERMES LA
DÏlNITION DE LA POPULATION CIBLE NE RELÒVE PAS DE LA STRUCTURE INSTITUTIONNELLE DES SYSTÒMES NATIONAUX DENSEIGNEMENT LE 0)3!
A ÏVALUÏ LES ÏLÒVES ÊGÏS ENTRE ANS ET MOIS ACCOMPLIS ET ANS ET MOIS ACCOMPLIS AU DÏBUT DE LÏVALUATION ET QUI ÏTAIENT
INSCRITS DANS UN ÏTABLISSEMENT DENSEIGNEMENT QUELS QUE SOIENT LANNÏE DÏTUDES OU LE TYPE DÏTABLISSEMENT FRÏQUENTÏ ET PEU
IMPORTE SILS SUIVENT UN HORAIRE DE COURS Ì TEMPS PLEIN OU Ì TEMPS PARTIEL LES ÏLÒVES DE ANS INSCRITS EN E ANNÏE OU AU
DESSOUS
ONT ÏTÏ EXCLUS DU 0)3! MAIS DE TELS ÏLÒVES NEXISTENT EN NOMBRE SIGNIlCATIF QUAU "RÏSIL ,E RAPPORT DÏSIGNE GÏNÏRALEMENT
LES ÏCOLES SOUS LE TERME GÏNÏRIQUE DÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT BIEN QUE CERTAINES INSTITUTIONS EN PARTICULIER CELLES QUI
DISPENSENT DES TYPES SPÏCIlQUES DENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL NE SOIENT PAS STRICTEMENT CONSIDÏRÏES COMME TELLES AU NIVEAU
NATIONAL 3ELON CETTE DÏlNITION LÊGE MOYEN DES ÏLÒVES ÏVALUÏS DANS LES PAYS DE L/#$% ÏTAIT DE ANS ET MOIS VALEUR DONT
LA VARIATION ENTRE PAYS NEXCÒDE PAS ANS
#ONSÏQUENCE DE CETTE CONCEPTION DE LA POPULATION CIBLE LES RÏSULTATS DU CYCLE 0)3! PERMETTENT DE FAIRE DES OBSERVATIONS ET
DE TIRER DES CONCLUSIONS AU SUJET DES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES DUN GROUPE DINDIVIDUS QUI SONT NÏS AU COURS DUNE PÏRIODE
DE RÏFÏRENCE COMPARABLE MAIS QUI SONT SUSCEPTIBLES DAVOIR VÏCU DES EXPÏRIENCES DIFFÏRENTES EN MATIÒRE DENSEIGNEMENT
TANT Ì LINTÏRIEUR QUÌ LEXTÏRIEUR DES ÏTABLISSEMENTS $ANS LE 0)3! CES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES SONT DÏlNIES COMME LE
RENDEMENT DE LENSEIGNEMENT Ì UN ÊGE COMMUN Ì TOUS LES PAYS ,ÏVENTAIL DES ANNÏES DÏTUDES QUE CES ÏLÒVES FRÏQUENTENT
VARIE EN FONCTION DE LA POLITIQUE PRATIQUÏE PAR LES PAYS EN MATIÒRE DENTRÏE DANS LE SYSTÒME SCOLAIRE ET DE PROMOTION DE
LENSEIGNEMENT %N OUTRE DANS CERTAINS PAYS LES ÏLÒVES CONSTITUANT LA POPULATION CIBLE DU 0)3! REPRÏSENTENT DIFFÏRENTS SYSTÒMES
OU lLIÒRES DENSEIGNEMENT
)L FAUT SE GARDER DE CONCLURE DEMBLÏE QUE LES ÏTABLISSEMENTS OU LE SYSTÒME DENSEIGNEMENT SONT PLUS EFlCACES DANS UN PAYS
QUE DANS UN AUTRE SUR LA SEULE BASE DU SCORE SIGNIlCATIVEMENT SUPÏRIEUR DU PREMIER SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
DE CULTURE MATHÏMATIQUE OU DE CULTURE SCIENTIlQUE %N REVANCHE IL EST LÏGITIME DE PENSER QUE DANS LE PREMIER PAYS LIMPACT
CUMULÏ DES EXPÏRIENCES DAPPRENTISSAGE VÏCUES ENTRE LA PRIME ENFANCE ET LÊGE DE ANS Ì LÏCOLE ET Ì LA MAISON A GÏNÏRÏ DE
MEILLEURS RÏSULTATS DANS LES DOMAINES DE COMPÏTENCE QUE LE 0)3! ÏVALUE
,A POPULATION CIBLE DU 0)3! NE COMPREND PAS LES HABITANTS QUI FRÏQUENTENT UN ÏTABLISSEMENT DENSEIGNEMENT DANS UN PAYS
TIERS
5NE OPTION INTERNATIONALE CON UE POUR COMPLÏTER LÏCHANTILLON BASÏ SUR LÊGE PAR UN ÏCHANTILLON BASÏ SUR LANNÏE DÏTUDES A
ÏTÏ INTÏGRÏE DANS LE CYCLE 0)3! DANS LE BUT DE RÏPONDRE Ì LA DEMANDE DES PAYS DÏSIREUX DE DISPOSER DE RÏSULTATS PAR ANNÏE
DÏTUDES AUX lNS DANALYSES NATIONALES
!..%8% !
#OUVERTURE DE LA POPULATION
4OUS LES PAYS SE SONT EFFORCÏS DOPTIMISER LA COUVERTURE DE LA POPULATION DES JEUNES DE ANS INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS
DENSEIGNEMENT DANS LEURS ÏCHANTILLONS NATIONAUX ET Y ONT INCLUS LES ÏLÒVES FRÏQUENTANT DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT
SPÏCIAL &RUIT DE CES EFFORTS LE CYCLE 0)3! A ENREGISTRÏ DES NIVEAUX DE COUVERTURE JAMAIS ATTEINTS AUPARAVANT DANS DAUTRES
ENQUÐTES INTERNATIONALES DE CETTE NATURE
%N VERTU DES NORMES DÏCHANTILLONNAGE DU 0)3! LES PAYS ONT ÏTÏ AUTORISÏS Ì EXCLURE JUSQUÌ POUR CENT DE LA POPULATION CIBLE
QUIL SAGISSE DÏTABLISSEMENTS OU DÏLÒVES DANS LES ÏTABLISSEMENTS 4OUS LES PAYS SAUF TROIS ONT ATTEINT LA COUVERTURE REQUISE
DE POUR CENT AU MOINS DE LA POPULATION CIBLE DU PAYS ET LA MOITIÏ DES PAYS ONT ATTEINT POUR CENT AU PLUS ,E PLAFOND
DEXCLUSION A ÏTÏ LIMITÏ Ì POUR CENT POUR MAINTENIR SOUS LE SEUIL DUNE ERREUR TYPE SELON TOUTE VRAISEMBLANCE LE BIAIS
POTENTIEL QUE DES EXCLUSIONS POURRAIENT ENTRAÔNER
,ES EXCLUSIONS AUTORISÏES DANS LES LIMITES PRÏCISÏES CI
DESSUS SONT NOTAMMENT
n AU NIVEAU DES ÏTABLISSEMENTS I LES ÏTABLISSEMENTS QUI SONT GÏOGRAPHIQUEMENT INACCESSIBLES OU DANS LESQUELS LADMINISTRATION
DE LÏVALUATION 0)3! A ÏTÏ JUGÏE IMPOSSIBLE Ì RÏALISER ET II LES ÏTABLISSEMENTS QUI SADRESSENT EXCLUSIVEMENT AUX ÏLÒVES
APPARTENANT AUX CATÏGORIES DÏlNIES DANS LA RUBRIQUE CONSACRÏE AUX EXCLUSIONS i AU NIVEAU DES ÏLÒVES w TELS QUE LES
4ABLEAU !
0OPULATIONS CIBLES ET ÏCHANTILLONS DU 0)3!
)NFORMATION SUR LA POPULATION ET LES ÏCHANTILLONS )NDICES DE COUVERTURE
4OTAL DANS LA POPULATION )NDICE DE )NDICE DE
0OPULATION 4OTAL CIBLE NATIONALE SOUHAITÏE COUVERTURE COUVERTURE
0OPULATION TOTALE DANS LA APRÒS EXCLUSION DES ÏTABL .OMBRE COUVERTURE COUVERTURE
TOTALE DÏLÒVES POPULATION %XCLU
ET AVANT .OMBRE PONDÏRÏ .OMBRE 4AUX DEXCLU
4AUX DE LA POPU
DE LA POPU
DES JEUNES INSCRITS CIBLE SIONS AU LES EXCLUSIONS DEXCLUSIONS DÏLÒVES DÏLÒVES .OMBRE PONDÏRÏ SION DANS LES GLOBAL LATION LATION
ÊGÏS DE ÊGÏS DE NATIONALE NIVEAU DES DANS LES AU NIVEAU DES PARTICIPANT PARTICIPANT DÏLÒVES DÏLÒVES ÏTABL DEXCLUSION NATIONALE NATIONALE
ANS ANS SOUHAITÏE ÏTABL ÏTABL ÏTABL Ì LÏVALUATION Ì LÏVALUATION EXCLUS EXCLUS SOUHAITÏE INSCRITE
00 %
00 %
3& A 3& B 3& A 3& B 3& C B A 0 % %0 % ;C=;A= ;C=;B=
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LE 2APPORT TECHNIQUE 0)3! POUR PLUS DE DÏTAILS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% !
ÏCOLES POUR AVEUGLES ,E POURCENTAGE DÏLÒVES INSCRITS DANS CES ÏTABLISSEMENTS DOIT ÐTRE INFÏRIEUR Ì POUR CENT DE LA
POPULATION CIBLE PRÏVUE AU NIVEAU NATIONAL ,AMPLEUR LA NATURE ET LA JUSTIlCATION DES EXCLUSIONS SONT PRÏSENTÏES DANS LE
2APPORT TECHNIQUE 0)3!
n AU NIVEAU DES ÏLÒVES I LES ÏLÒVES DÏCLARÏS DÏlCIENTS MENTAUX ÏDUCABLES DANS LAVIS PROFESSIONNEL RENDU PAR LE CHEF
DÏTABLISSEMENT OU DAUTRES MEMBRES QUALIlÏS DU PERSONNEL OU PAR UN DIAGNOSTIC POSÏ APRÒS UN TEST PSYCHOLOGIQUE
ENTRENT DANS CETTE CATÏGORIE LES ÏLÒVES ÏMOTIONNELLEMENT OU MENTALEMENT INCAPABLES DE RESPECTER LES INSTRUCTIONS
GÏNÏRALES DES ÏPREUVES DU 0)3! II LES ÏLÒVES QUUN HANDICAP PHYSIQUE PERMANENT EMPÐCHE DÏVOLUER DANS LES
CONDITIONS DE TESTS DU 0)3! LES ÏLÒVES SOUFFRANT DUNE INVALIDITÏ FONCTIONNELLE MAIS CAPABLES DE RÏPONDRE DEVAIENT
lGURER PARMI LES ÏLÒVES ÏVALUÏS ET III LES ÏLÒVES QUI PARLENT UNE LANGUE ÏTRANGÒRE ET QUI ONT SUIVI MOINS DUNE ANNÏE
DENSEIGNEMENT DANS LA LANGUE DE LÏVALUATION ,ES ÏLÒVES NE POUVAIENT ÐTRE EXCLUS SOUS LE PRÏTEXTE DE PROBLÒMES
DISCIPLINAIRES NORMAUX ,E POURCENTAGE DES JEUNES DE ANS EXCLUS DES ÏTABLISSEMENTS NE POUVAIT ÐTRE SUPÏRIEUR Ì
POUR CENT DE LA POPULATION CIBLE PRÏVUE AU NIVEAU NATIONAL
,E TABLEAU ! PRÏSENTE LA POPULATION CIBLE DES PAYS QUI ONT PARTICIPÏ AU CYCLE DÏVALUATION 0)3! ,E 2APPORT TECHNIQUE
0)3! DÏCRIT LA POPULATION CIBLE ET LES NORMES DÏCHANTILLONNAGE DU 0)3! DE MANIÒRE PLUS APPROFONDIE
n $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE TOTAL DE JEUNES DE ANS TIRÏ DES REGISTRES NATIONAUX DE POPULATION DE
n $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE DE JEUNES DE ANS INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT EN VERTU DE
LA DÏlNITION PRÏSENTÏE CI DESSUS CEST Ì DIRE LA POPULATION ADMISSIBLE
n ,A COLONNE INDIQUE LA POPULATION CIBLE PRÏVUE AU NIVEAU NATIONAL !U TITRE DES EXCLUSIONS AU NIVEAU DES ÏTABLISSEMENTS
LES PAYS ONT ÏTÏ AUTORISÏS Ì EXCLURE A PRIORI JUSQUÌ POUR CENT DES ÏLÒVES DE LA POPULATION ADMISSIBLE ESSENTIELLEMENT
POUR DES RAISONS PRATIQUES ,ES EXCLUSIONS A PRIORI SUIVANTES DÏPASSENT CETTE LIMITE EN VERTU DUNE DÏROGATION CONSENTIE
PAR LE #ONSORTIUM LE #ANADA A EXCLU POUR CENT DE SA POPULATION ADMISSIBLE DONT POUR CENT SONT CONSTITUÏS
DÏTABLISSEMENTS SE SITUANT DANS LES RÏSERVES INDIENNES FÏDÏRALES ET POUR CENT DANS LES 4ERRITOIRES DU 9UKON DU
.ORD /UEST ET .UNAVIK ,A POPULATION ADMISSIBLE DE LA &RANCE COMPREND DES ÏLÒVES DES 4ERRITOIRES D/UTRE -ER /R
COMME IL NA PAS ÏTÏ IMPOSÏ AUX PAYS DÏVALUER DES ÏLÒVES VIVANT DANS DES RÏGIONS PÏRIPHÏRIQUES QUI NE SONT PAS SOUMISES
AU SYSTÒME NATIONAL DENSEIGNEMENT LEXCLUSION DE CES ÏLÒVES A ÏTÏ AUTORISÏE )L Y A LIEU DE SIGNALER TOUTEFOIS QUE LES
ÏLÒVES FRAN AIS DES $ÏPARTEMENTS D/UTRE -ER ONT ÏTÏ INCLUS DANS LA POPULATION CIBLE DU 0)3! ,)RLANDE A EXCLU
POUR CENT DE SA POPULATION ADMISSIBLE COMPRENANT POUR CENT DÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS NON
SUBVENTIONNÏS PAR LE MINISTÒRE DE L³DUCATION ET DE LA 3CIENCE POUR CENT DÏLÒVES FRÏQUENTANT DE TRÒS PETITES ÏCOLES
ET POUR CENT DÏLÒVES INSCRITS DANS DES i ÏCOLES DÏFAVORISÏES DÏSIGNÏES w ,E *APON A EXCLU POUR CENT DE SA
POPULATION ADMISSIBLE DONT POUR CENT DÏLÒVES SUIVANT LENSEIGNEMENT PAR CORRESPONDANCE ET DÏLÒVES i DANS DAUTRES
lLIÒRES MARGINALES "EKKA +OTO SENMON GAKKO w ET LES POUR CENT RESTANTS ÏTANT INSCRITS DANS LENSEIGNEMENT Ì
TEMPS PARTIEL i 4EIJI SEI w ,E -EXIQUE A EXCLU POUR CENT DE SA POPULATION ADMISSIBLE DANS DES ÏTABLISSEMENTS
SITUÏS DANS DES RÏGIONS RECULÏES 0ARMI LES PAYS TIERS DE L/#$% LE "RÏSIL A EXCLU LES ÏLÒVES DE ANS INSCRITS DANS
LES PREMIÒRES ANNÏES QUI REPRÏSENTENT POUR CENT DES ÏLÒVES DE ANS SCOLARISÏS AU "RÏSIL #ETTE EXCLUSION A ÏTÏ
CONSIDÏRÏE COMME LÏGITIME PARCE QUE DE TELS ÏLÒVES NE FONT PAS PARTIE DE LA POPULATION CIBLE DU 0)3! ,A POPULATION CIBLE
PRÏVUE AU NIVEAU NATIONAL QUI lGURE Ì LA COLONNE CORRESPOND Ì LA POPULATION ADMISSIBLE DIMINUÏE DU NOMBRE DÏLÒVES
EXCLUS A PRIORI
n $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE DÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS QUI ONT ÏTÏ EXCLUS DE LA POPULATION CIBLE
PRÏVUE AU NIVEAU NATIONAL
n $ANS LA COLONNE lGURE LA POPULATION CIBLE PRÏVUE AU NIVEAU NATIONAL DÏDUCTION FAITE DU NOMBRE DÏLÒVES INSCRITS DANS
DES ÏTABLISSEMENTS EXCLUS SOIT LE RÏSULTAT DE LA SOUSTRACTION DU CHIFFRE DE LA COLONNE DU CHIFFRE DE LA COLONNE
n $ANS LA COLONNE lGURE LE POURCENTAGE DÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS EXCLUS CEST Ì DIRE LE RÏSULTAT DE LA
DIVISION DU CHIFFRE DE LA COLONNE PAR CELUI DE LA COLONNE
n $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE DÏLÒVES QUI ONT PARTICIPÏ AU CYCLE 0)3! )L Y A LIEU DE NOTER QUE CE CHIFFRE
NE COMPREND PAS LES ÏLÒVES DE ANS ÏVALUÏS DANS LE CADRE DOPTIONS NATIONALES SUPPLÏMENTAIRES #ES OPTIONS NATIONALES
REPRÏSENTENT UN TOTAL DE ÏLÒVES DE ANS SUPPLÏMENTAIRES POUR LENSEMBLE DES PAYS
n $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE PONDÏRÏ DÏLÒVES PARTICIPANTS CEST Ì DIRE LE NOMBRE DÏLÒVES DE LA POPULATION
CIBLE DÏlNIE AU NIVEAU NATIONAL QUE LÏCHANTILLON 0)3! REPRÏSENTE
!..%8% !
n 4OUS LES PAYS SE SONT EFFORCÏS DOBTENIR UNE COUVERTURE MAXIMALE DE LA POPULATION CIBLE DU 0)3! DANS LÏCHANTILLON
DÏTABLISSEMENTS $ANS UN PREMIER TEMPS TOUS LES ÏLÒVES ADMISSIBLES n CEST
Ì
DIRE LES ÏLÒVES DE ANS QUELLE QUE SOIT
LEUR ANNÏE DÏTUDES n DE CHAQUE ÏTABLISSEMENT DE LÏCHANTILLON ONT ÏTÏ RÏPERTORIÏS ,ES ÏLÒVES QUI DEVAIENT ÐTRE EXCLUS
DE LÏCHANTILLON ONT DABORD ÏTÏ INCLUS DANS LA DOCUMENTATION DÏCHANTILLONNAGE ET UNE LISTE DONNANT LES MOTIFS DE LEUR
EXCLUSION A ENSUITE ÏTÏ ÏTABLIE $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE DÏLÒVES EXCLUS CEST
Ì
DIRE CEUX QUI APPARTIENNENT
Ì LUNE DES CATÏGORIES DÏlNIES CI
DESSUS $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE PONDÏRÏ DÏLÒVES EXCLUS CEST
Ì
DIRE LE
NOMBRE DÏLÒVES QUE REPRÏSENTENT LES ÏLÒVES EXCLUS DANS LA POPULATION CIBLE DÏlNIE AU NIVEAU NATIONAL
n $ANS LA COLONNE lGURE LE POURCENTAGE DÏLÒVES EXCLUS AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS QUI CORRESPOND AU RÏSULTAT DE LA
DIVISION DU NOMBRE PONDÏRÏ DÏLÒVES EXCLUS COLONNE PAR LE NOMBRE PONDÏRÏ DÏLÒVES EXCLUS ET PARTICIPANTS SOMME
DES CHIFFRES DE LA COLONNE ET DE LA COLONNE
n $ANS LA COLONNE lGURE LE TAUX GLOBAL DEXCLUSION CEST
Ì
DIRE LE POURCENTAGE PONDÏRÏ DES EXCLUSIONS DE LA
POPULATION CIBLE PRÏVUE AU NIVEAU NATIONAL SOIT DÏTABLISSEMENTS SOIT DÏLÒVES AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS #E POURCENTAGE
EST CALCULÏ COMME SUIT LE POURCENTAGE DES ÏTABLISSEMENTS EXCLUS COLONNE EST MULTIPLIÏ PAR MOINS LE POURCENTAGE
DÏLÒVES EXCLUS AU SEIN DES ÏTABLISSEMENTS COLONNE PUIS AUGMENTÏ DU POURCENTAGE DÏLÒVES EXCLUS AU SEIN DES
ÏTABLISSEMENTS COLONNE
n $ANS LA COLONNE lGURE LINDICE DE COUVERTURE DE LA POPULATION CIBLE PRÏVUE AU NIVEAU NATIONAL PAR
LÏCHANTILLON 0)3! #ET INDICE EST EXPRIMÏ EN POURCENTAGE DE LA POPULATION CIBLE PRÏVUE AU NIVEAU NATIONAL QUI ONT
ÏTÏ COUVERTS ,E "RÏSIL LE ,UXEMBOURG ET LA 0OLOGNE SONT LES SEULS PAYS DANS LESQUELS LES ÏCHANTILLONS 0)3! REPRÏSENTENT
MOINS DE POUR CENT DE LA POPULATION QUE LE 0)3! SOUHAITE COUVRIR %N 0OLOGNE LE TAUX DEXCLUSION AVOISINE LES
POUR CENT DONT POUR CENT REPRÏSENTENT LES ÏLÒVES DE ANS INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT
PRIMAIRE ,A PERFORMANCE DE LA 0OLOGNE EST SUSCEPTIBLE DÐTRE LÏGÒREMENT SURESTIMÏE DANS LA MESURE Oá IL EST PROBABLE
QUE LE SCORE OBTENU PAR CES ÏLÒVES DANS LES ÏVALUATIONS 0)3! AURAIT ÏTÏ INFÏRIEUR Ì CELUI DES ÏLÒVES DE ANS FRÏQUENTANT
DES ÏTABLISSEMENTS DENSEIGNEMENT SECONDAIRE %N RAISON DE LIMPACT DE CETTE EXCLUSION LA POSITION DE LA 0OLOGNE EST
SUSCEPTIBLE DÐTRE SURESTIMÏE DE DEUX POSITIONS DANS LE CLASSEMENT SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET
DE TROIS POSITIONS SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIlQUE ,E CLASSEMENT DE LA 0OLOGNE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE
NEST PAS REMIS EN CAUSE ,E ,UXEMBOURG PRÏSENTE UN TAUX DEXCLUSION DE POUR CENT EN GRANDE PARTIE IMPUTABLE AU
NOMBRE DÏLÒVES DONT LA LANGUE DENSEIGNEMENT NEST PAS CELLE DE LÏVALUATION AU ,UXEMBOURG ,ES EXCLUSIONS AUTORISÏES
SE RÏPARTISSENT COMME SUIT ÏLÒVES PRÏSENTANT DES BESOINS SPÏCIAUX EN ÏDUCATION ÏLÒVES INSCRITS Ì L³COLE
EUROPÏENNE ÏLÒVES INSCRITS Ì L!MERICAN )NTERNATIONAL 3CHOOL ÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS QUI NE
DÏPENDENT PAS DU MINISTÒRE DE L³DUCATION ET ÏLÒVES INSCRITS DANS DE PETITS ÏTABLISSEMENTS )L NY A PAS DINDICATIONS
QUE LES EXCLUSIONS AU ,UXEMBOURG ENTRAÔNENT UNE SURESTIMATION DE SA POSITION AU CLASSEMENT SUR LES ÏCHELLES 0)3! 0ARMI
LES PAYS TIERS DE L/#$% AU "RÏSIL LE TAUX DEXCLUSION AU NIVEAU DES ÏTABLISSEMENTS ATTEINT POUR CENT DONT LA PLUS
GRANDE PARTIE TIENT AUX ÏLÒVES DE ANS INSCRITS EN E ET EN E ANNÏES ET QUI NAPPARTIENNENT PAS Ì LA POPULATION CIBLE DU
0)3! )L NY A PAS DINDICATIONS QUE LES EXCLUSIONS AU "RÏSIL ENTRAÔNENT UNE SURESTIMATION DE SA POSITION AU CLASSEMENT SUR
LES ÏCHELLES 0)3! 6OIR LE 2APPORT TECHNIQUE 0)3! POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS Ì CE SUJET
n $ANS LA COLONNE lGURE LINDICE DE COUVERTURE DES JEUNES DE ANS SCOLARISÏS PAR LÏCHANTILLON 0)3! ,INDICE
MESURE LA PROPORTION GLOBALE DE LA POPULATION NATIONALE DES ÏLÒVES SCOLARISÏS QUI EST COUVERTE PAR LA PROPORTION DÏLÒVES NON
EXCLUS DE LÏCHANTILLON DÏLÒVES )L TIENT COMPTE Ì LA FOIS DES EXCLUSIONS DÏTABLISSEMENTS ET DÏLÒVES ,ES VALEURS PROCHES
DE INDIQUENT QUE LÏCHANTILLON 0)3! REPRÏSENTE LENSEMBLE DU SYSTÒME DENSEIGNEMENT TEL QUIL EST DÏlNI POUR LE CYCLE
0)3! #ET INDICE CORRESPOND AU NOMBRE PONDÏRÏ DÏLÒVES PARTICIPANTS COLONNE DIVISÏ PAR LE NOMBRE PONDÏRÏ
DÏLÒVES PARTICIPANTS ET EXCLUS SOMME DES CHIFFRES DE LA COLONNE ET DE LA COLONNE ET MULTIPLIÏ PAR LA POPULATION CIBLE
DÏlNIE AU NIVEAU NATIONAL COLONNE DIVISÏE PAR LA POPULATION CIBLE PRÏVUE AU NIVEAU NATIONAL FOIS
0ROCÏDURES DÏCHANTILLONNAGE ET TAUX DE RÏPONSE
,EXACTITUDE DES RÏSULTATS DUNE ENQUÐTE QUELLE QUELLE SOIT DÏPEND DE LA QUALITÏ DES DONNÏES SUR LESQUELLES LES ÏCHANTILLONS
NATIONAUX SONT BASÏS ET DU RESPECT DES PROCÏDURES DÏCHANTILLONNAGE ° LOCCASION DU CYCLE 0)3! DES NORMES DE QUALITÏ
DES PROCÏDURES DES INSTRUMENTS ET DES MÏCANISMES DE VÏRIlCATION ONT ÏTÏ MIS AU POINT EN VUE DE GARANTIR LA COMPARABILITÏ DES
DONNÏES GÏNÏRÏES PAR LES ÏCHANTILLONS NATIONAUX ET LA lABILITÏ DES COMPARAISONS DE RÏSULTATS
,ES ÏCHANTILLONS DU 0)3! ONT POUR LA PLUPART ÏTÏ CON US COMME DES ÏCHANTILLONS STRATIlÏS Ì DEUX DEGRÏS LES ÏCHANTILLONS
CON US DIFFÏREMMENT SONT PRÏSENTÏS DANS LE 2APPORT TECHNIQUE 0)3! ,E PREMIER DEGRÏ PORTE SUR LÏCHANTILLONNAGE DES
ÏTABLISSEMENTS QUE FRÏQUENTENT LES ÏLÒVES DE ANS ,ES ÏTABLISSEMENTS ONT ÏTÏ ÏCHANTILLONNÏS SYSTÏMATIQUEMENT SELON DES
!..%8% !
PROBABILITÏS PROPORTIONNELLES Ì UNE DIMENSION QUI EST FONCTION DU NOMBRE ESTIMÏ DÏLÒVES DE ANS INSCRITS $ANS CHAQUE
PAYS ÏTABLISSEMENTS AU MOINS SI LE PAYS EN COMPTE AU MOINS AUTANT ONT ÏTÏ SÏLECTIONNÏS $ANS DE NOMBREUX CAS UN
ÏCHANTILLON PLUS GRAND A ÏTÏ IMPOSÏ AUX lNS DANALYSES NATIONALES $ES ÏTABLISSEMENTS DE REMPLACEMENT ONT ÏTÏ IDENTIlÏS DANS
LHYPOTHÒSE Oá UN ÏTABLISSEMENT ÏCHANTILLONNÏ CHOISIRAIT DE NE PAS PARTICIPER AU CYCLE DÏVALUATION 0)3!
%N )SLANDE AU ,IECHTENSTEIN ET AU ,UXEMBOURG TOUS LES ÏTABLISSEMENTS ET TOUS LES ÏLÒVES ADMISSIBLES ONT ÏTÏ
ÏCHANTILLONNÏS 4OUTEFOIS LES ÏPREUVES DÏVALUATION DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIlQUE NONT PAS ÏTÏ ADMINISTRÏES Ì TOUS
LES ÏLÒVES DES ÏCHANTILLONS 0)3! %N CONSÏQUENCE LES ÏCHANTILLONS REPRÏSENTENT UN RECENSEMENT EXHAUSTIF POUR LÏVALUATION DE
LA COMPRÏHENSION DE LÏCRIT MAIS PARTIEL POUR LÏVALUATION DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIlQUE
,ES EXPERTS DU CONSORTIUM 0)3! ONT CONTRÙLÏ LE PROCESSUS DE SÏLECTION DES ÏCHANTILLONS DANS TOUS LES PAYS PARTICIPANTS
,E SECOND DEGRÏ DU PROCESSUS DÏCHANTILLONNAGE PORTE SUR LA SÏLECTION DES ÏLÒVES DANS LES ÏTABLISSEMENTS DE LÏCHANTILLON 5NE
FOIS LES ÏTABLISSEMENTS CHOISIS LA LISTE DES ÏLÒVES LES FRÏQUENTANT A ÏTÏ DRESSÏE $ANS CETTE LISTE ÏLÒVES ONT ÏTÏ SÏLECTIONNÏS
AVEC PROBABILITÏS ÏGALES TOUS LES ÏLÒVES ONT ÏTÏ SÏLECTIONNÏS SI LA LISTE CONTENAIT MOINS DE ÏLÒVES INSCRITS
%N VERTU DES NORMES DE QUALITÏ DES DONNÏES DANS LE 0)3! DES TAUX DE PARTICIPATION MINIMUM SONT IMPOSÏS TANT POUR LES
ÏTABLISSEMENTS QUE POUR LES ÏLÒVES #ES NORMES ONT ÏTÏ ÏLABORÏES POUR MINIMISER LES BIAIS POTENTIELS DANS LES RÏPONSES $ANS LES
PAYS Oá CES NORMES SONT RESPECTÏES LÏVENTUEL BIAIS RÏSULTANT DE NON RÏPONSE EST CENSÏ ÐTRE NÏGLIGEABLE CEST Ì DIRE INFÏRIEUR
Ì UNE ERREUR TYPE DÏCHANTILLONNAGE
5N TAUX DE RÏPONSE DE POUR CENT MINIMUM A ÏTÏ IMPOSÏ POUR LES ÏTABLISSEMENTS APPARTENANT Ì LA PREMIÒRE SÏLECTION
4OUTEFOIS LORSQUE LE TAUX INITIAL DE RÏPONSE DES ÏTABLISSEMENTS SE SITUAIT ENTRE ET POUR CENT LE RECOURS AUX ÏTABLISSEMENTS
DE REMPLACEMENT A PERMIS DOBTENIR UN TAUX DE RÏPONSE ACCEPTABLE #ETTE PROCÏDURE COMPORTE LE RISQUE DE BIAIS DE RÏPONSE
ACCRUS #EST POURQUOI LES PAYS PARTICIPANTS ONT ÏTÏ ENCOURAGÏS Ì CONVAINCRE LE PLUS GRAND NOMBRE POSSIBLE DÏTABLISSEMENTS
DE LÏCHANTILLON INITIAL Ì PARTICIPER Ì LÏVALUATION ,ES ÏTABLISSEMENTS DONT LE TAUX DE PARTICIPATION DES ÏLÒVES EST COMPRIS ENTRE
ET POUR CENT NE SONT PAS CONSIDÏRÏS COMME DES ÏTABLISSEMENTS PARTICIPANTS MAIS LEURS RÏSULTATS ONT ÏTÏ INCLUS DANS LA
BASE DE DONNÏES ET ONT ÏTÏ PRIS EN CONSIDÏRATION DANS LES DIVERSES ESTIMATIONS ,ES RÏSULTATS DES ÏTABLISSEMENTS DONT LE TAUX DE
PARTICIPATION DES ÏLÒVES EST INFÏRIEUR Ì POUR CENT ONT ÏTÏ EXCLUS DE LA BASE DE DONNÏES
,ORS DU CYCLE DÏVALUATION 0)3! UN TAUX DE PARTICIPATION MINIMUM DE POUR CENT DES ÏLÒVES DES ÏTABLISSEMENTS
PARTICIPANTS ÏCHANTILLON DÏCOLES INITIAL ET ÏTABLISSEMENTS DE REMPLACEMENT A ÏTÏ IMPOSÏ #E TAUX DE PARTICIPATION MINIMUM
lXÏ DEVAIT ÐTRE RESPECTÏ AU NIVEAU NATIONAL ET PAS NÏCESSAIREMENT DANS CHAQUE ÏTABLISSEMENT PARTICIPANT $ES SÏANCES DE
RATTRAPAGE ONT ÏTÏ IMPOSÏES DANS LES ÏTABLISSEMENTS Oá UN NOMBRE INSUFlSANT DÏLÒVES A PARTICIPÏ AUX SÏANCES DÏVALUATION
INITIALES ,ES TAUX DE PARTICIPATION DES ÏLÒVES SONT CALCULÏS POUR TOUS LES ÏTABLISSEMENTS PARTICIPANTS QUILS lGURENT PARMI
LÏCHANTILLON OU QUILS SOIENT DES ÏTABLISSEMENTS DE REMPLACEMENT SUR BASE DES ÏLÒVES QUI ONT PARTICIPÏ AUX SÏANCES INITIALES
ET AUX ÏVENTUELLES SÏANCES DE RATTRAPAGE ,ES ÏLÒVES QUI NONT PAS PARTICIPÏ AUX SÏANCES DÏVALUATION INITIALES NE SONT PAS
CONSIDÏRÏS COMME ÏLÒVES PARTICIPANTS MAIS LEURS RÏSULTATS ONT ÏTÏ INCLUS DANS LA BASE DE DONNÏES INTERNATIONALE ET ONT ÏTÏ
PRIS EN CONSIDÏRATION DANS LES STATISTIQUES PRÏSENTÏES DANS CE RAPPORT POUR AUTANT QUILS AIENT PARTICIPÏ Ì LA DEUXIÒME SÏANCE
DÏVALUATION OU QUILS AIENT AU MOINS INDIQUÏ LA PROFESSION DE LEUR PÒRE OU MÒRE
,E TABLEAU ! PRÏSENTE LES TAUX DE RÏPONSE DES ÏLÒVES ET DES ÏTABLISSEMENTS AVANT ET APRÒS LE RECOURS AUX ÏTABLISSEMENTS DE
REMPLACEMENT
n ,A COLONNE INDIQUE LE TAUX PONDÏRÏ DE PARTICIPATION DES ÏTABLISSEMENTS AVANT LE RECOURS AUX ÏTABLISSEMENTS
DE REMPLACEMENT #E TAUX CORRESPOND AU RÏSULTAT DE LA DIVISION DU CHIFFRE DE LA COLONNE PAR CELUI DE LA COLONNE
,ES ³TATS
5NIS LES 0AYS
"AS ET LE 2OYAUME
5NI NONT PAS ATTEINT LE TAUX DE RÏPONSE IMPOSÏ PAR LE 0)3! AVANT LE RECOURS
AUX ÏTABLISSEMENTS DE REMPLACEMENT !UX ³TATS
5NIS ET AU 2OYAUME
5NI LE TAUX DE RÏPONSE INITIAL EST INFÏRIEUR
RESPECTIVEMENT DE POUR CENT ET DE POUR CENT Ì CELUI lXÏ #ES DEUX PAYS ONT FOURNI AU CONSORTIUM 0)3! DES
PREUVES EXHAUSTIVES QUI ONT PERMIS DE PROCÏDER Ì UNE ÏVALUATION DE LA PERFORMANCE PRÏVUE DES ÏTABLISSEMENTS NON
PARTICIPANTS ,E 'ROUPE DES #ONSEILLERS TECHNIQUES 4!' DU 0)3! A ÏTABLI SUR BASE DE CES DONNÏES QUE LIMPACT DE CES
DÏVIATIONS SUR LES RÏSULTATS DÏVALUATION SERAIT INSIGNIlANT DANS CES PAYS %N CONSÏQUENCE LES RÏSULTATS DE CES DEUX PAYS
SONT INCLUS DANS TOUTES LES ANALYSES ,E TAUX DE RÏPONSE INITIAL ENREGISTRÏ AUX 0AYS
"AS SÏLÒVE Ì POUR CENT SEULEMENT
0OUR CETTE RAISON LE CONSORTIUM 0)3! A ENTREPRIS DES ANALYSES SUPPLÏMENTAIRES QUI CONlRMENT LA lABILITÏ SUFlSANTE DES
DONNÏES DE CE PAYS ET LE BIEN
FONDÏ DE LEUR PRISE EN CONSIDÏRATION DANS CERTAINES ANALYSES RELATIONNELLES -ALGRÏ CES
CONCLUSIONS LE TAUX DE RÏPONSE ENREGISTRÏ AUX 0AYS
"AS EST TROP FAIBLE POUR QUE LON PUISSE AFlRMER AVEC CERTITUDE QUE
!..%8% !
4ABLE !
4AUX DE RÏPONSE
³CHANTILLON INITIAL n AVANT ³CHANTILLON FINAL n APRÒS ³CHANTILLON FINAL n ÏLÒVES DANS LES ÏTABLISSEMENTS
REMPLACEMENT DES ÏTABLISSEMENTS REMPLACEMENT DES ÏTABLISSEMENTS APRÒS REMPLACEMENT DES ÏTABLISSEMENTS
.OMBRE .OMBRE
4AUX PONDÏRÏ DE DÏTABLISSEMENTS 4AUX PONDÏRÏ DÏTABLISSEMENTS 4AUX PONDÏRÏ .OMBRE .OMBRE
PARTICIPATION .OMBRE ÏCHANTILLONNÏS DE PARTICIPATION .OMBRE ÏCHANTILLONNÏS DE PARTICI
DÏLÒVES DÏLÒVES
DES ÏTABLISSE
DÏTABLISSEMENTS RÏPONSES DES ÏTABLISSE
DÏTABLISSEMENTS RÏPONSES PATION DES .OMBRE ÏCHANTILLONNÏS .OMBRE ÏCHANTILLONNÏS
MENTS AVANT RÏPONDANT NON
RÏPONSES MENTS APRÒS RÏPONDANT NON
RÏPONSES ÏLÒVES APRÒS DÏLÒVES ÏVALUÏS DÏLÒVES ÏVALUÏS
REMPLACEMENT PONDÏRÏ PAR PONDÏRÏ PAR REMPLACEMENT PONDÏRÏ PAR PONDÏRÏ PAR REMPLACEMENT ÏVALUÏS ET ABSENTS ÏVALUÏS ET ABSENTS
LES EFFECTIFS LES EFFECTIFS LES EFFECTIFS LES EFFECTIFS PONDÏRÏ PONDÏRÏ NON PONDÏRÏ NON PONDÏRÏ
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR CI
DESSUS
LES RÏSULTATS DE CE PAYS REmÒTENT lDÒLEMENT LA POPULATION NATIONALE DU MOINS DANS LE RESPECT DES CRITÒRES DEXACTITUDE
ET DE PRÏCISION APPLIQUÏS PAR LE 0)3! $ANS LES DIVERSES HYPOTHÒSES DE BIAIS NÏGLIGEABLES Ì MODÏRÏS SUSCITÏS PAR LES NON
RÏPONSES LES 0AYS
"AS SE CLASSENT ENTRE LA E ET LA E PLACE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ENTRE LA
ÒRE ET LA E PLACE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET ENTRE LA E ET LA E PLACE SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIlQUE
INTERVALLE DE CONlANCE POUR CENT )L CONVIENT DE CONSULTER LE 2APPORT TECHNIQUE 0)3! POUR DE PLUS AMPLES
INFORMATIONS Ì CET ÏGARD %N CONSÏQUENCE LES SCORES MOYENS DES 0AYS
"AS NE PEUVENT ÐTRE COMPARÏS Ì CEUX DAUTRES
PAYS ,ES DONNÏES DES 0AYS
"AS SONT EXCLUES DES TABLEAUX QUI PORTENT SUR LA COMPARAISON DE SCORES MOYENS 3EULES LES
DIFFÏRENCES DE PERFORMANCES RELATIVES ENTRE SOUS
GROUPES DOIVENT ÐTRE PRISES EN CONSIDÏRATION DANS LES TABLEAUX Oá lGURE
LA PERFORMANCE DE SOUS
GROUPES NÏERLANDAIS
n $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE PONDÏRÏ DÏTABLISSEMENTS PARTICIPANTS AVANT LE RECOURS AUX ÏTABLISSEMENTS
DE REMPLACEMENT PONDÏRÏ EN FONCTION DES EFFECTIFS DÏLÒVES
n $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE PONDÏRÏ DÏTABLISSEMENTS ÏCHANTILLONNÏS AVANT LE RECOURS AUX ÏTABLISSEMENTS
DE REMPLACEMENT CEST
Ì
DIRE LES ÏTABLISSEMENTS QUI ONT ET QUI NONT PAS RÏPONDU
!..%8% !
n $ANS LA COLONNE lGURE LE TAUX PONDÏRÏ DE PARTICIPATION DES ÏTABLISSEMENTS APRÒS LE RECOURS AUX ÏTABLISSEMENTS
DE REMPLACEMENT QUI CORRESPOND AU RÏSULTAT DE LA DIVISION DU CHIFFRE DE LA COLONNE PAR CELUI DE LA COLONNE
n $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE PONDÏRÏ DÏTABLISSEMENTS PARTICIPANTS APRÒS LE RECOURS AUX ÏTABLISSEMENTS DE
REMPLACEMENT PONDÏRÏ EN FONCTION DES EFFECTIFS DÏLÒVES
n $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE PONDÏRÏ DÏTABLISSEMENTS ÏCHANTILLONNÏS APRÒS LE RECOURS AUX ÏTABLISSEMENTS
DE REMPLACEMENT CEST
Ì
DIRE LES ÏTABLISSEMENTS QUI ONT ET QUI NONT PAS RÏPONDU
n $ANS LA COLONNE lGURE LE TAUX PONDÏRÏ DE PARTICIPATION DES ÏLÒVES APRÒS LE RECOURS AUX ÏTABLISSEMENTS DE
REMPLACEMENT QUI CORRESPOND AU RÏSULTAT DE LA DIVISION DU CHIFFRE DE LA COLONNE PAR CELUI DE LA COLONNE
n $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE PONDÏRÏ DÏLÒVES ÏVALUÏS
n $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE PONDÏRÏ DÏLÒVES ÏCHANTILLONNÏS CEST Ì DIRE LE NOMBRE DES ÏLÒVES ÏVALUÏS ET DES
ÏLÒVES ABSENTS LE JOUR DE LÏVALUATION
n $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE NON PONDÏRÏ DÏLÒVES ÏVALUÏS
n $ANS LA COLONNE lGURE LE NOMBRE NON PONDÏRÏ DÏLÒVES ÏCHANTILLONNÏS CEST Ì DIRE LE NOMBRE DES ÏLÒVES
ÏVALUÏS ET DES ÏLÒVES ABSENTS LE JOUR DE LÏVALUATION
!..%8% !
!NNEXE ! ERREURS TYPES TESTS DE SIGNIFICATION ET COMPARAISONS MULTIPLES
,ES DONNÏES STATISTIQUES PRÏSENTÏES DANS CE RAPPORT CORRESPONDENT Ì DES ESTIMATIONS DE LA PERFORMANCE NATIONALE SUR BASE
DÏCHANTILLONS DÏLÒVES PLUTÙT QUE DES VALEURS QUI AURAIENT PU ÐTRE OBTENUES SI CHAQUE ÏLÒVE DE CHAQUE PAYS AVAIT RÏPONDU
Ì CHAQUE QUESTION 0AR CONSÏQUENT IL IMPORTE DE DISPOSER DE MESURES DE DEGRÏ DINCERTITUDE DE CES ESTIMATIONS $ANS
LE 0)3! CHAQUE ESTIMATION EST ASSOCIÏE Ì UN DEGRÏ DINCERTITUDE DONNÏ SOUS FORME DERREUR TYPE ,E RECOURS AUX
INTERVALLES DE CONlANCE EST UN MOYEN DE FAIRE DES INFÏRENCES RELATIVES AUX MOYENNES ET PROPORTIONS DUNE POPULATION QUI
REmÒTENT LINCERTITUDE ASSOCIÏE AUX ESTIMATIONS FONDÏES SUR DES ÏCHANTILLONS ° PARTIR DUNE DONNÏE STATISTIQUE OBTENUE AU
MOYEN DUN ÏCHANTILLON EN SUPPOSANT UNE DISTRIBUTION NORMALE IL EST POSSIBLE DINFÏRER QUE LE RÏSULTAT CORRESPONDANT Ì
LÏCHELLE DE LA POPULATION SE SITUERAIT DANS LINTERVALLE DE CONlANCE DANS RÏPÏTITIONS SUR DE LA MÐME MESURE APPLIQUÏE
Ì DIFFÏRENTS ÏCHANTILLONS TIRÏS DE LA MÐME POPULATION
4RÒS SOUVENT LE LECTEUR SINTÏRESSERA PRINCIPALEMENT AUX ÏCARTS ENTRE DIFFÏRENTES VALEURS AU SEIN DUN MÐME PAYS LE RENDEMENT
DES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ PAR RAPPORT Ì CELUI DES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN PAR EXEMPLE $ANS LES TABLEAUX ET DIAGRAMMES
PRÏSENTÏS DANS LE RAPPORT LES ÏCARTS SONT CONSIDÏRÏS COMME STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIFS Ì PARTIR DU MOMENT Oá UN TEL ÏCART
OU UN ÏCART ENCORE PLUS GRAND SE VERRAIT MOINS DE POUR CENT DU TEMPS SIL NY AVAIT EFFECTIVEMENT AUCUNE DIFFÏRENCE DANS
LES VALEURS DE POPULATION CORRESPONDANTES $E MÐME ON LIMITE Ì POUR CENT LE RISQUE DE FAIRE ÏTAT DUN ÏCART STATISTIQUEMENT
SIGNIlCATIF DANS UN CAS Oá IL NY AURAIT EN FAIT AUCUNE CORRÏLATION ENTRE DEUX MESURES
"IEN QUE LA PROBABILITÏ DE VOIR UNE DIFFÏRENCE DÏCLARÏE i STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE w Ì TORT SOIT FAIBLE POUR CENT DANS
CHAQUE COMPARAISON SIMPLE LA PROBABILITÏ DE COMMETTRE CE TYPE DERREUR SACCROÔT LORSQUE PLUSIEURS COMPARAISONS SONT
EFFECTUÏES SIMULTANÏMENT
)L EST POSSIBLE DE RÏALISER UN AJUSTEMENT POUR RÏDUIRE Ì POUR CENT LA PROBABILITÏ MAXIMALE DE QUALIlER Ì TORT DES DIFFÏRENCES DE
i STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES w DANS AU MOINS UNE COMPARAISON PARMI TOUTES CELLES QUI SERONT FAITES #ET AJUSTEMENT QUI EST
BASÏ SUR LA MÏTHODE DE "ONFERRONI A DÏJÌ ÏTÏ RÏALISÏ DANS LES GRAPHIQUES DE COMPARAISONS MULTIPLES PRÏSENTÏS AUX CHAPITRES
ET CAR LEUR OBJECTIF EST DE COMPARER LA PERFORMANCE DUN PAYS Ì CELLE DE TOUS LES AUTRES PAYS
0OUR TOUS LES AUTRES TABLEAUX ET GRAPHIQUES LE LECTEUR EST INVITÏ Ì GARDER Ì LESPRIT QUEN SUPPOSANT QUIL NY AIT PAS DE DIFFÏRENCES
RÏELLES POUR UNE MESURE DONNÏE UNE COMPARAISON MULTIPLE ALLIÏE Ì UN SEUIL DE SIGNIlCATION DE POUR CENT CONDUIRAIT Ì
CONSTATER DES DIFFÏRENCES SIGNIlCATIVES INEXISTANTES Ì ; FOIS LE NOMBRE DE COMPARAISONS EFFECTUÏES= REPRISES 0AR EXEMPLE
BIEN QUE LES TESTS DE SIGNIlCATION APPLIQUÏS DANS LE 0)3! POUR DÏTERMINER LES DIFFÏRENCES ENTRE SEXES GARANTISSENT UNE PROBABILITÏ
INFÏRIEURE Ì POUR CENT DE CONSTATER Ì TORT UNE DIFFÏRENCE ENTRE SEXES UNE COMPARAISON QUI INDIQUERAIT CES DIFFÏRENCES POUR
PAYS IDENTIlERAIT EN MOYENNE CAS FOIS DE DIFFÏRENCES SIGNIlCATIVES ENTRE SEXES MÐME SIL NY AVAIT AUCUNE
DIFFÏRENCE RÏELLE DANS AUCUN PAYS #E PRINCIPE SAPPLIQUE AUX AUTRES DONNÏES STATISTIQUES POUR LESQUELS DES TESTS DE SIGNIlCATION
ONT ÏTÏ EFFECTUÏS DANS CETTE PUBLICATION COMME CEST LE CAS POUR LES CORRÏLATIONS ET LES COEFlCIENTS DE RÏGRESSION
!..%8% !
!NNEXE ! ASSURANCE QUALITÏ
$ES PROCÏDURES DASSURANCE QUALITÏ ONT ÏTÏ MISES EN UVRE DANS TOUS LES VOLETS DU 0)3!
0OUR ASSURER UNE QUALITÏ ET UNE ÏQUIVALENCE LINGUISTIQUE CONSTANTE DES INSTRUMENTS DÏVALUATION DU 0)3! LES PAYS ONT RE U LES
VERSIONS SOURCES ÏQUIVALENTES DES INSTRUMENTS EN ANGLAIS ET EN FRAN AIS ,ES PAYS DONT LA LANGUE DÏVALUATION NÏTAIT NI LANGLAIS
NI LE FRAN AIS ONT ÏTÏ PRIÏS DE PRÏPARER ET DE COLLATIONNER DEUX TRADUCTIONS INDÏPENDANTES RÏALISÏES EN UTILISANT LES DEUX VERSIONS
SOURCES $ES CONSIGNES DE TRADUCTION PRÏCISES ONT ÏTÏ IMPOSÏES PARMI LESQUELLES lGURAIENT NOTAMMENT LA DESCRIPTION DES
CARACTÏRISTIQUES MESURÏES PAR CHAQUE ITEM ET DES INSTRUCTIONS CONCERNANT LE RECRUTEMENT ET LA FORMATION DES TRADUCTEURS ,ES
INSTRUMENTS DE CHAQUE PAYS ONT ÏTÏ VÏRIlÏS PAR DES EXPERTS DU CONSORTIUM 0)3! DONT LA LANGUE MATERNELLE ÏTAIT IDENTIQUE Ì LA
LANGUE DENSEIGNEMENT DU PAYS CONCERNÏ ET QUI CONNAISSAIENT LE SYSTÒME ÏDUCATIF AVANT LEUR ADMINISTRATION LORS DE LESSAI DE
TERRAIN ET DE LA CAMPAGNE DE TESTS DÏlNITIVE $ES EXPERTS NATIONAUX ONT ÏTÏ INVITÏS Ì TRADUIRE LES CONSIGNES DE CORRECTION ET LES
SOUMETTRE AUX lNS DE VÏRIlCATION )L CONVIENT DE CONSULTER LE 2APPORT TECHNIQUE 0)3! POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS SUR LES
PROCÏDURES DE TRADUCTION DU 0)3!
,ÏVALUATION A ÏTÏ MISE EN UVRE DANS LE RESPECT DE PROCÏDURES NORMALISÏES ,E CONSORTIUM 0)3! A PRÏPARÏ DES MANUELS
EXHAUSTIFS EXPLIQUANT LE MODE DE MISE EN UVRE DE LÏVALUATION DANS LESQUELS lGURAIENT NOTAMMENT DES INSTRUCTIONS PRÏCISES
CONCERNANT LA MISSION DES #OORDINATEURS SCOLAIRES ET DES SCRIPTS Ì LINTENTION DES !DMINISTRATEURS DE TEST ,E CONSORTIUM 0)3!
A VÏRIlÏ LA TRADUCTION ET LADAPTATION DE CES MANUELS DANS CHAQUE PAYS
$ANS LE BUT DÏTABLIR LA CRÏDIBILITÏ DU 0)3! EN TANT QUÏTUDE VALIDE ET NON BIAISÏE ET DE PROMOUVOIR LUNIFORMITÏ DES PROCÏDURES
DADMINISTRATION DES SÏANCES DÏVALUATION LES !DMINISTRATEURS DE TEST DES PAYS PARTICIPANTS ONT ÏTÏ RECRUTÏS EN FONCTION DES
CRITÒRES SUIVANTS IL A ÏTÏ EXIGÏ QUE L!DMINISTRATEUR DE TEST NE SOIT EN AUCUN CAS LE PROFESSEUR DE LANGUE DE LÏVALUATION DE
MATHÏMATIQUES OU DE SCIENCES DÏLÒVES PARTICIPANT AUX SÏANCES QUIL ADMINISTRERAIT DANS LE CADRE DU 0)3! IL ÏTAIT RECOMMANDÏ
QUE L!DMINISTRATEUR DE TEST NE SOIT PAS UN MEMBRE DU PERSONNEL DUN DES ÏTABLISSEMENTS DANS LESQUELS IL ADMINISTRERAIT
LÏVALUATION 0)3! ET IL A ÏTÏ JUGÏ PRÏFÏRABLE QUE L!DMINISTRATEUR DE TEST NE SOIT UN MEMBRE DU PERSONNEL DAUCUN ÏTABLISSEMENT
FAISANT PARTIE DE LÏCHANTILLON DÏCOLES SÏLECTIONNÏ POUR LE 0)3! ,ES PAYS PARTICIPANTS ONT ORGANISÏ DES SÏANCES DE FORMATION
POUR LES !DMINISTRATEURS DE TEST AUXQUELLES CES DERNIERS DEVAIENT PARTICIPER EN PERSONNE
,ES PAYS PARTICIPANTS NÏTAIENT PAS AUTORISÏS Ì MODIlER LE SCRIPT DE LA SÏANCE DÏVALUATION ET LES CONSIGNES DÏCRITES DANS LE
-ANUEL DE L!DMINISTRATEUR DE TEST SANS LAPPROBATION PRÏALABLE DU #ONSORTIUM 0)3! ,ES PAYS ÏTAIENT TENUS DE SASSURER QUE
L!DMINISTRATEUR DE TEST PRÏPARE LA SÏANCE DÏVALUATION EN COLLABORATION AVEC LE #OORDINATEUR SCOLAIRE Y COMPRIS EN CE QUI
CONCERNE LES &ORMULAIRES DE 3UIVI DES ÏLÒVES ET LIDENTIlCATION DES ÏLÒVES EXCLUS )LS DEVAIENT VEILLER Ì CE QUAUCUN TEMPS
SUPPLÏMENTAIRE NE SOIT IMPARTI AUX ÏLÒVES POUR LES TESTS COGNITIFS IL A ÏTÏ AUTORISÏ DE LEUR DONNER PLUS DE TEMPS POUR COMPLÏTER
LE QUESTIONNAIRE i ÏLÒVE w ET Ì CE QUAUCUN INSTRUMENT NE SOIT ADMINISTRÏ AVANT LES DEUX PARTIES DUNE HEURE CHACUNE DE
LA SÏANCE DE TESTS COGNITIFS ,ES !DMINISTRATEURS DE TEST DEVAIENT RENDRE COMPTE DU STATUT DE PARTICIPATION DES ÏLÒVES SUR LES
&ORMULAIRES DE 3UIVI DES ÏLÒVES ET COMPLÏTER DES &ORMULAIRES DE 2APPORT DE SÏANCE DÏVALUATION !UCUN INSTRUMENT COGNITIF
NE POUVAIT ÐTRE PHOTOCOPIÏ OU PRÐTÏ Ì DES TIERS PAR L!DMINISTRATEUR DE TEST AVANT LA SÏANCE DÏVALUATION %NlN LES PAYS
PARTICIPANTS DEVAIENT SASSURER QUE L!DMINISTRATEUR DE TEST RENVOIE LE MATÏRIEL AU CENTRE NATIONAL IMMÏDIATEMENT APRÒS LES
SÏANCES DÏVALUATION
,ES $IRECTEURS NATIONAUX DE PROJET ONT ÏTÏ ENCOURAGÏS Ì ORGANISER UNE SÏANCE DE RATTRAPAGE LORSQUE PLUS DE POUR CENT DE
LÏCHANTILLON INITIAL DU 0)3! NA PAS ÏTÏ EN MESURE DASSISTER Ì LA SÏANCE DÏVALUATION INITIALE
,ES -ONITEURS DE #ONTRÙLE DE 1UALITÏ RELATIF AUX #ENTRES NATIONAUX DU CONSORTIUM 0)3! SE SONT RENDUS DANS TOUS LES #ENTRES
.ATIONAUX POUR ÏTUDIER LES PROCÏDURES DE COLLECTE DE DONNÏES %NlN LES -ONITEURS DE #ONTRÙLE DE 1UALITÏ RELATIF AUX ÏCOLES
DU CONSORTIUM 0)3! ONT VISITÏ UN ÏCHANTILLON DE POUR CENT DES ÏTABLISSEMENTS LORS DE LÏVALUATION )L CONVIENT DE CONSULTER
LE 2APPORT TECHNIQUE 0)3! POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS CONCERNANT LES OPÏRATIONS SUR LE TERRAIN
,E LOGICIEL SPÏCIALEMENT CON U POUR LE CYCLE 0)3! A FACILITÏ LA SAISIE ET LE NETTOYAGE DES DONNÏES AINSI QUE LA DÏTECTION
DES ERREURS PENDANT LA SAISIE DES DONNÏES $ES SESSIONS DE FORMATION ONT ÏTÏ ORGANISÏES AlN DE FAMILIARISER LES RESPONSABLES
NATIONAUX AVEC CES PROCÏDURES
,E 2APPORT TECHNIQUE 0)3! PRÏSENTE LES RÏSULTATS ET LES PROCÏDURES DASSURANCE QUALITÏ DU CYCLE 0)3!
!..%8% !
!NNEXE ! DÏVELOPPEMENT DES INSTRUMENTS DÏVALUATION DU 0)3!
,E DÏVELOPPEMENT DES INSTRUMENTS DÏVALUATION DU CYCLE 0)3! SEST DÏROULÏ DANS LE CADRE DUN PROCESSUS INTERACTIF ENTRE
LE CONSORTIUM 0)3! LES DIFFÏRENTS GROUPES DEXPERTS LES GOUVERNEMENTS DES PAYS DE L/#$% ET LES SPÏCIALISTES NATIONAUX
%N CONCERTATION AVEC LES PAYS PARTICIPANTS UN PANEL DEXPERTS INTERNATIONAUX A DIRIGÏ LES TRAVAUX DIDENTIlCATION DE LÏVENTAIL
DES CONNAISSANCES ET COMPÏTENCES QUI DANS LES DOMAINES DÏVALUATION RESPECTIFS DOIVENT ÐTRE CONSIDÏRÏES COMME DES ROUAGES
ESSENTIELS DE LA CAPACITÏ DES INDIVIDUS Ì PARTICIPER PLEINEMENT Ì LA RÏUSSITE DE LA SOCIÏTÏ CONTEMPORAINE ET Ì Y CONTRIBUER
ACTIVEMENT 5NE DESCRIPTION DES DOMAINES DÏVALUATION n LE CADRE DÏVALUATION n A ENSUITE SERVI DE BASE DE TRAVAIL AUX PAYS
PARTICIPANTS ET AUX DÏVELOPPEURS DE TEST PROFESSIONNELS AU FUR ET Ì MESURE QUILS ÏLABORAIENT LE MATÏRIEL DÏVALUATION ,A
PRÏPARATION DE CE CADRE DÏVALUATION COMPRENAIT NOTAMMENT LES ÏTAPES SUIVANTES
n LÏLABORATION DUNE DÏlNITION DE TRAVAIL DU DOMAINE ET LA DESCRIPTION DES HYPOTHÒSES QUI SOUS
TENDENT CETTE DÏlNITION
n LA DÏTERMINATION DU MODE DORGANISATION DU JEU DE TÊCHES EN VUE DE PRÏSENTER AUX DÏCIDEURS ET AUX CHERCHEURS LA
PERFORMANCE DES ÏLÒVES DE ANS DANS CHAQUE DOMAINE DÏVALUATION
n LIDENTIlCATION DUNE SÏRIE DE CARACTÏRISTIQUES CLÏS Ì PRENDRE EN CONSIDÏRATION LORS DE LÏLABORATION DES TÊCHES DÏVALUATION
Ì DES lNS INTERNATIONALES
n LOPÏRATIONALISATION DE LA SÏRIE DE CARACTÏRISTIQUES CLÏS Ì UTILISER DANS DE DÏVELOPPEMENT DES TESTS DANS LE RESPECT DE
DÏlNITIONS BASÏES SUR LA LITTÏRATURE ET SUR LEXPÏRIENCE Ì LOCCASION DAUTRES ÏVALUATIONS DENVERGURE
n LA VALIDATION DES VARIABLES ET LÏVALUATION DE LA CONTRIBUTION DE CHACUNE DENTRE ELLES Ì LA COMPRÏHENSION DE LA DIFlCULTÏ
DES TÊCHES DANS LES PAYS PARTICIPANTS
n LA PRÏPARATION DUN MODÒLE DINTERPRÏTATION DES RÏSULTATS
4ABLEAU !
2ÏPARTITION DES ITEMS SELON LES DIMENSIONS DU CADRE DÏVALUATION 0)3! DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
.OMBRE .OMBRE .OMBRE
.OMBRE DITEMS DE QUESTIONS DE QUESTIONS .OMBRE
DITEMS Ì CHOIX Ì RÏPONSE Ì RÏPONSE DE QUESTIONS
.OMBRE Ì CHOIX MULTIPLE CONSTRUITE CONSTRUITE Ì RÏPONSE
DITEMS MULTIPLE COMPLEXES FERMÏE OUVERTE COURTE
2ÏPARTITION DES ITEMS DE LECTURE SELON LA STRUCTURE DU TEXTE
4EXTES CONTINUS
4EXTES NON CONTINUS
4OTAL
2ÏPARTITION DES ITEMS DE LECTURE SELON LES PROCESSUS DE LECTURE
$ÏVELOPPER UNE INTERPRÏTATION
2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE n
2ETROUVER DE LINFORMATION
4OTAL
2ÏPARTITION DES ITEMS DE LECTURE SELON LE FORMAT DE TEXTE
!NNONCES ET RÏCLAMES n n n
4EXTES ARGUMENTAIRESPERSUASIFS n
'RAPHIQUESDIAGRAMMES n
4EXTES DESCRIPTIFS n
4EXTES INFORMATIFS n
&ORMULAIRES
4EXTES INJONCTIFS n n
#ARTES n n
4EXTES NARRATIFS n n
3CHÏMAS n n
4ABLEAUX ET MATRICES
4OTAL
2ÏPARTITION DES ITEMS DE LECTURE SELON LA SITUATION
0ÏDAGOGIQUE
0ROFESSIONNEL
0ERSONNEL n
0UBLIC
4OTAL
.EUF DES ITEMS ONT ÏTÏ ÏLIMINÏS APRÒS ANALYSE
!..%8% !
4ABLEAU !
2ÏPARTITION DES ITEMS SELON LES DIMENSIONS DU CADRE DÏVALUATION 0)3! DE CULTURE MATHÏMATIQUE
.OMBRE .OMBRE .OMBRE
DITEMS DE QUESTIONS Ì DE QUESTIONS Ì
.OMBRE Ì CHOIX RÏPONSE CONSTRUITE RÏPONSE CONSTRUITE
DITEMS MULTIPLE FERMÏE OUVERTE
2ÏPARTITION DES ITEMS DE MATHÏMATIQUES SELON LES i IDÏES MATHÏMATIQUES MAJEURES w
#ROISSANCE ET VARIATION
%SPACE ET FORMES n
4OTAL
2ÏPARTITION DES ITEMS DE MATHÏMATIQUES SELON LES DOMAINES DE MATHÏMATIQUES ENSEIGNÏS
!LGÒBRE n
&ONCTIONS n
'ÏOMETRIE n
-ESURES n
.OMBRES n n
3TATISTIQUES
4OTAL
2ÏPARTITION DES ITEMS DE MATHÏMATIQUES SELON LES CLASSES DE COMPÏTENCES
#LASSE n
#LASSE
#LASSE n
4OTAL
2ÏPARTITION DES ITEMS DE MATHÏMATIQUES SELON LA SITUATION
0UBLIQUE n
3COLAIRE
0ROFESSIONNELLE n
0RIVÏE n
3CIENTIFIQUE n
4OTAL
5N DES ITEMS A ÏTÏ ÏLIMINÏ APRÒS ANALYSE
,ES CADRES CONCEPTUELS ONT ÏTÏ APPROUVÏS DU POINT DE VUE SCIENTIlQUE ET PAR LES POLITIQUES )LS ONT ENSUITE SERVI DE BASE AU
DÏVELOPPEMENT DES INSTRUMENTS DÏVALUATION /#$% A #ES CADRES ONT CONSTITUÏ UN LANGAGE COMMUN ET LE FONDEMENT
DUN CONSENSUS SUR LES OBJECTIFS DÏVALUATION DU 0)3! POUR TOUS LES PAYS PARTICIPANTS
%NSUITE LES ITEMS DÏVALUATION ONT ÏTÏ DÏVELOPPÏS DE MANIÒRE Ì TRADUIRE LES INTENTIONS DES CADRES CONCEPTUELS )LS ONT ENSUITE
ÏTÏ ADMINISTRÏS DANS TOUS LES PAYS LORS DE LESSAI DE TERRAIN %NlN UNE BATTERIE DÏlNITIVE DITEMS A ÏTÏ SÏLECTIONNÏE POUR LE CYCLE
DÏVALUATION 0)3! ,ES TABLEAUX !
! MONTRENT LA RÏPARTITION DES ITEMS DÏVALUATION DU CYCLE 0)3! SELON LES
DIFFÏRENTES DIMENSIONS DES CADRES CONCEPTUELS
/N A SCRUPULEUSEMENT VEILLÏ Ì REmÏTER LA DIVERSITÏ NATIONALE CULTURELLE ET LINGUISTIQUE DES PAYS DE L/#$% $ANS LA
LIGNE DE CET OBJECTIF LE #ONSORTIUM 0)3! A INTÏGRÏ OUTRE LES ITEMS ÏLABORÏS PAR LE #ONSORTIUM 0)3! LUI
MÐME LE
MATÏRIEL DÏVALUATION PROVENANT DES PAYS PARTICIPANTS POUR AUTANT QUE LÏQUIPE MULTINATIONALE DE DÏVELOPPEURS DE TEST DU
#ONSORTIUM LAIENT JUGÏ APPROPRIÏ EN FONCTION DES CRITÒRES EXPOSÏS DANS LES CADRES DÏVALUATION DU 0)3! %N CONSÏQUENCE
LA BATTERIE DITEMS COMPRENAIT DES CONTRIBUTIONS AU MATÏRIEL DÏVALUATION FAITES PAR L!LLEMAGNE L!USTRALIE L!UTRICHE LA
"ELGIQUE LA #ORÏE LE $ANEMARK LES ³TATS
5NIS LA &ÏDÏRATION DE 2USSIE LA &INLANDE LA &RANCE LA 'RÒCE L)RLANDE L)TALIE
LE *APON LA .ORVÒGE LA .OUVELLE
:ÏLANDE LA 2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE LE 2OYAUME
5NI LA 3UÒDE ET LA 3UISSE ,A PART DITEMS
SOUMIS PAR LES PAYS PARTICIPANTS A REPRÏSENTÏ UN PEU PLUS DE POUR CENT DES ITEMS TANT Ì LESSAI DE TERRAIN QUE LORS DE LA
CAMPAGNE DE TESTS DÏlNITIVE
1UELQUE UNITÏS COMPTANT ITEMS ONT ÏTÏ PRÏPARÏES OU CONTRIBUÏES POUR LESSAI DE TERRAIN DONT UNITÏS DE LECTURE
COMPORTANT ITEMS ° LISSUE DU PREMIER PROCESSUS DE CONSULTATION LA BATTERIE DITEMS DE LESSAI DE TERRAIN A ÏTÏ RAMENÏE Ì
UNITÏS DE LECTURE SOIT ITEMS DE LECTURE 0ARMI CES UNITÏS ONT ÏTÏ BASÏES SUR UN STIMULUS PROVENANT DE CONTRIBUTIONS
NATIONALES ONT ÏTÏ DÏVELOPPÏES PAR LE CONSORTIUM 0)3! ET ONT ÏTÏ TIRÏES DE L%NQUÐTE INTERNATIONALE SUR LA LITTÏRATIE DES
ADULTES %),! PARCE QUE LES PAYS SOUHAITAIENT AVOIR LA POSSIBILITÏ DE COMPARER CERTAINS RÏSULTATS DE L%),! Ì CEUX DU 0)3!
!..%8% !
4ABLEAU !
2ÏPARTITION DES ITEMS SELON LES DIMENSIONS DU CADRE DÏVALUATION 0)3! DE CULTURE SCIENTIFIQUE
.OMBRE .OMBRE .OMBRE
.OMBRE DITEMS DE QUESTIONS DE QUESTIONS .OMBRE
DITEMS Ì CHOIX Ì RÏPONSE Ì RÏPONSE DE QUESTIONS
.OMBRE Ì CHOIX MULTIPLE CONSTRUITE CONSTRUITE Ì RÏPONSE
DITEMS MULTIPLE COMPLEXES FERMÏE OUVERTE COURTE
2ÏPARTITION DES ITEMS DE SCIENCES SELON LES SAVOIR
FAIRE SCIENTIFIQUES
#OMMUNIQUER DES CONCLUSIONS VALIDES n n n n
&AIRE PREUVE DE MAÔTRISE DES CONCEPTS n
4IRERÏVALUER DES CONCLUSIONS n
)DENTIFIER LES FAITSLES DONNÏES n n
2ECONNAÔTRE LES QUESTIONS n n
4OTAL
2ÏPARTITION DES ITEMS DE SCIENCES SELON LES CHAMPS DAPPLICATION DE LA SCIENCE
,A TERRE ET LENVIRONNEMENT
,A VIE ET LA SANTÏ n
,A TECHNOLOGIE n n
4OTAL
2ÏPARTITION DES ITEMS DE SCIENCES SELON LES THÒMES SCIENTIFIQUES MAJEURS
#HANGEMENTS ATMOSPHÏRIQUES n n
"IODIVERSITÏ n n n n
#HANGEMENTS PHYSIQUESCHIMIQUES n n n n
,A TERRE ET LUNIVERS n n
³COSYSTÒMES n n n
4RANSFORMATIONS DE LÏNERGIE n n
&ORME ET FONCTION n n n
#ONTRÙLE GÏNÏTIQUE n n n
#HANGEMENTS GÏOLOGIQUES n n n n
"IOLOGIE HUMAINE n n n
#HANGEMENT PHYSIOLOGIQUE n n n n
3TRUCTURES ET PROPRIÏTÏS DE LA MATIÒRE n n n
4OTAL
2ÏPARTITION DES ITEMS DE SCIENCES SELON LES SITUATIONS
'LOBALE
(ISTORIQUE n n n
0ERSONNELLE n n
0UBLIQUE n
4OTAL
5N DES ITEMS A ÏTÏ ÏLIMINÏ APRÒS ANALYSE
,ES PAYS ONT ÏTUDIÏ TOUS LES ITEMS RETENUS POUR DÏTECTER DÏVENTUELS BIAIS LIÏS Ì LA CULTURE AU SEXE ETC POUR ÏVALUER LEUR
PERTINENCE POUR LES JEUNES DE ANS Ì LINTÏRIEUR ET Ì LEXTÏRIEUR DU CADRE SCOLAIRE ET POUR DÏTERMINER LE DEGRÏ DE FAMILIARITÏ ET
DINTÏRÐT DE CHAQUE ITEM ,ES PAYS ONT ÏTÏ CONSULTÏS UNE PREMIÒRE FOIS Ì PROPOS DE LA BATTERIE DITEMS DANS LE CADRE DU PROCESSUS
DE DÏVELOPPEMENT DES INSTRUMENTS DÏVALUATION DE LESSAI DE TERRAIN PUIS UNE SECONDE FOIS APRÒS LESSAI DE TERRAIN AlN QUILS
PARTICIPENT Ì LA SÏLECTION DÏlNITIVE DES ITEMS Ì ADMINISTRER LORS DE LA CAMPAGNE DE TESTS DÏlNITIVE #ETTE SECONDE CONSULTATION A
ÏTÏ COMPLÏTÏE PAR UNE ANALYSE DU MATÏRIEL DÏVALUATION PAR UNE COMMISSION INTERNATIONALE DÏQUITÏ CULTURELLE
!PRÒS LESSAI DE TERRAIN Ì LOCCASION DUQUEL TOUS LES ITEMS ONT ÏTÏ TESTÏS DANS TOUS LES PAYS PARTICIPANTS LES DÏVELOPPEURS DE
TESTS ET LES GROUPES DEXPERTS ONT PRIS PLUSIEURS ASPECTS EN CONSIDÏRATION POUR LA SÏLECTION DES ITEMS Ì ADMINISTRER Ì LA CAMPAGNE
DE TESTS DÏlNITIVE I LES RÏSULTATS DE LESSAI DE TERRAIN II LES RÏSULTATS DE LEXAMEN DES ITEMS PAR CHAQUE PAYS ET III LES QUESTIONS
SOUMISES AU COURS DU CODAGE DE LESSAI DE TERRAIN ,ES DÏVELOPPEURS DE TEST ET LES GROUPES DEXPERTS ONT SÏLECTIONNÏ LA BATTERIE
DÏlNITIVE DITEMS EN OCTOBRE ,ES PAYS APRÒS NÏGOCIATION ONT PROCÏDÏ Ì LADOPTION POLITIQUE ET SCIENTIlQUE DE CETTE
BATTERIE DITEMS DÏlNITIVE
,A CAMPAGNE DE TESTS DÏlNITIVE COMPRENAIT UNITÏS DE LECTURE COMPOSÏES DE ITEMS CHAQUE PARTIE DE QUESTION COMPTANT POUR UN
ITEM ,ES STIMULUS DE DE CES UNITÏS PROVENAIENT DE CONTRIBUTIONS NATIONALES UNITÏS ÏMANAIENT DIRECTEMENT DU #ONSORTIUM 0)3!
ET LES UNITÏS RESTANTES ONT ÏTÏ TIRÏES DE L%NQUÐTE INTERNATIONALE SUR LA LITTÏRATIE DES ADULTES 0AR AILLEURS UNITÏS DE MATHÏMATIQUES
ITEMS ET UNITÏS DE SCIENCES ITEMS ONT ÏTÏ ADMINISTRÏES LORS DE LA CAMPAGNE DE TESTS DÏlNITIVE
!..%8% !
#INQ TYPES DITEMS ONT ÏTÏ UTILISÏS DANS LES INSTRUMENTS DÏVALUATION 0)3!
n ITEMS Ì CHOIX MULTIPLE DANS CES ITEMS IL EST DEMANDÏ AUX ÏLÒVES DENTOURER LA LETTRE CORRESPONDANT Ì UNE DES QUATRE OU
CINQ OPTIONS QUI LEUR SONT PROPOSÏES #ES OPTIONS SONT DES NOMBRES DES TERMES OU DES PHRASES ,E MODE DE CORRECTION
DE CES ITEMS EST DICHOTOMIQUE
n ITEMS Ì CHOIX MULTIPLE COMPLEXES DANS CES ITEMS LES ÏLÒVES DOIVENT OPÏRER UNE SÏRIE DE CHOIX LE PLUS SOUVENT BINAIRES
)LS RÏPONDENT EN ENTOURANT UN TERME OU UNE PHRASE COURTE i OUI w OU i NON w PAR EXEMPLE ,E MODE DE CORRECTION
DE CES ITEMS EST DICHOTOMIQUE POUR CHAQUE CHOIX SÏPARÏ CE QUI OFFRE LA POSSIBILITÏ DASSOCIER LENSEMBLE DE LITEM Ì UN
CRÏDIT TOTAL OU PARTIEL
n ITEMS FERMÏS Ì RÏPONSE CONSTRUITE CES ITEMS DEMANDENT AUX ÏLÒVES DE CONSTRUIRE UNE RÏPONSE ALORS QUE LA GAMME DES
RÏPONSES ACCEPTABLES EST LIMITÏE ,E MODE DE CORRECTION DE LA PLUPART DE CES ITEMS EST DICHOTOMIQUE AVEC INTÏGRATION DE
QUELQUES ITEMS DANS LE PROCESSUS DE CODAGE PAR LES CORRECTEURS
n ITEMS Ì RÏPONSE COURTE Ì LINSTAR DES ITEMS Ì RÏPONSE FERMÏE CONSTRUITE CES ITEMS DEMANDENT AUX ÏLÒVES DE FORMULER
EUX
MÐMES UNE RÏPONSE MAIS DANS CE CAS LA GAMME DES RÏPONSES POSSIBLES EST ÏTENDUE #ES ITEMS SONT CODÏS PAR DES
CORRECTEURS CE QUE PERMET UN MODE DE CORRECTION DICHOTOMIQUE OU UN CRÏDIT PARTIEL
n ITEMS OUVERTS Ì RÏPONSE CONSTRUITE CES ITEMS DEMANDENT AUX ÏLÒVES DE CONSTRUIRE UNE RÏPONSE PLUS ÏLABORÏE CE QUI
DONNE LIEU Ì UNE VASTE GAMME DE RÏPONSES INDIVIDUELLES DIVERGENTES ET PARFOIS Ì DES POINTS DE VUE CONTRADICTOIRES 0OUR
Y RÏPONDRE LES ÏLÒVES DOIVENT GÏNÏRALEMENT METTRE DES INFORMATIONS OU DES IDÏES CONTENUES DANS LE STIMULUS EN RELATION
AVEC LEURS EXPÏRIENCES ET LEURS POINTS DE VUE PERSONNELS ,A QUALITÏ DES RÏPONSES DÏPEND MOINS DU POINT DE VUE ADOPTÏ
PAR LES ÏLÒVES QUE DE LEUR CAPACITÏ Ì UTILISER CE QUILS ONT LU POUR JUSTIlER OU EXPLIQUER LEUR POINT DE VUE 4OUS CES ITEMS
SONT CODÏS PAR DES CORRECTEURS QUI PEUVENT ACCORDER UN CRÏDIT PARTIEL POUR LES RÏPONSES PARTIELLEMENT CORRECTES OU MOINS
ÏLABORÏES
,E CYCLE 0)3! A ÏTÏ CON U POUR GÏNÏRER DES RÏSULTATS DE GROUPE DANS UN VASTE ÏVENTAIL DE CONTENUS ,ÏVALUATION DE LA
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SE FONDE SUR UN MATÏRIEL REPRÏSENTANT UN TOTAL DE MINUTES DE TEMPS DE TEST DONT POUR CENT
ONT ÏTÏ CONSACRÏES Ì DES ITEMS Ì RÏPONSE OUVERTE ,ÏVALUATION DE LA CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIlQUE REPRÏSENTAIT QUANT Ì
ELLE UN TEMPS DE TEST DE MINUTES AU TOTAL DONT POUR CENT ONT ÏTÏ CONSACRÏES Ì DES ITEMS Ì RÏPONSE OUVERTE 4OUTEFOIS LES
SÏANCES DÏVALUATION DURAIENT MINUTES CE QUI CORRESPOND AU TEMPS DE TEST TOTAL DE CHAQUE ÏLÒVE
0OUR COUVRIR LE VASTE ÏVENTAIL DE CONTENUS SOUHAITÏ SANS DÏPASSER LA LIMITE DE TEMPS DE TEST lXÏE Ì MINUTES DU TEMPS
INDIVIDUEL DÏVALUATION DES BLOCS DUNITÏS ONT ÏTÏ COMPOSÏS PUIS STRUCTURÏS EN NEUF CARNETS DE TEST %N COMPRÏHENSION DE
LÏCRIT NEUF BLOCS DUNITÏS DE MINUTES ONT ÏTÏ UTILISÏS CONTRE QUATRE BLOCS DUNITÏS DE MINUTES CHACUN POUR LA CULTURE
MATHÏMATIQUE ET SCIENTIlQUE ,ORS DU CYCLE 0)3! TOUS LES ÏLÒVES ONT RÏPONDU Ì DES ITEMS DE LECTURE ET UN PEU PLUS DE LA
MOITIÏ DENTRE EUX ONT RÏPONDU Ì DES ITEMS DE SCIENCES ET DE MATHÏMATIQUES
#ETTE STRUCTURE DÏVALUATION PRÏSENTE PLUSIEURS CARACTÏRISTIQUES %N PREMIER LIEU LES ITEMS DE LECTURE ONT ÏTÏ PRÏSENTÏS DE
MANIÒRE ÏQUILIBRÏE EN VUE DÏVITER DES EFFETS DE CONTAMINATION ENTRE ITEMS ET DE GARANTIR QUE CHAQUE ITEM AIT LA MÐME
IMPORTANCE DANS LÏVALUATION %N DEUXIÒME LIEU SEPT DES NEUF CARNETS DE TEST ONT ÏTÏ COMPOSÏS DE FA ON Ì COMMENCER PAR LES
ITEMS DE LECTURE ET TOUS LES CARNETS CONTENAIENT MINUTES DE TEST DE LECTURE AU MOINS %N TROISIÒME LIEU Ì LOCCASION DU CYCLE
DÏVALUATION 0)3! UN LIEN A ÏTÏ ÏTABLI ENTRE LE 0)3! ET L%),! DEUX BLOCS DUNITÏS COMPOSÏS EXCLUSIVEMENT DITEMS TIRÏS
DE L%),! ONT ÏTÏ INCLUS DANS SIX DES NEUF CARNETS DE TEST %NlN LA STRUCTURE DE LÏVALUATION A ÏTÏ CON UE DE MANIÒRE Ì CE QUUN
ÏCHANTILLON REPRÏSENTATIF DÏLÒVES RÏPONDE Ì CHAQUE BLOC DITEMS
,E 2APPORT TECHNIQUE 0)3! EXPLIQUE LE DÏVELOPPEMENT DES INSTRUMENTS DÏVALUATION ET LA STRUCTURE DE LÏVALUATION DU 0)3!
DE MANIÒRE PLUS APPROFONDIE
!..%8% !
!NNEXE ! FIABILITÏ DE LA CORRECTION DES ITEMS Ë RÏPONSE OUVERTE
,E PROCESSUS DE CORRECTION DES ITEMS Ì RÏPONSE OUVERTE EST IMPORTANT POUR GARANTIR LA QUALITÏ ET LA COMPARABILITÏ DES RÏSULTATS
DU 0)3!
$ES DIRECTIVES DÏTAILLÏES ONT PERMIS DE GARANTIR LEXACTITUDE ET LA COHÏRENCE DE LA CORRECTION DANS TOUS LES PAYS $ES MANUELS DE
CORRECTION DU MATÏRIEL DE FORMATION AU RECRUTEMENT DES CORRECTEURS ET DU MATÏRIEL DE FORMATION Ì LINTENTION DES CORRECTEURS
NATIONAUX ONT ÏTÏ PRÏPARÏS !VANT LES FORMATIONS NATIONALES LE CONSORTIUM 0)3! A ORGANISÏ DES SESSIONS DE FORMATION DESTINÏES
Ì PRÏSENTER LE MATÏRIEL ET Ì FORMER LES COORDINATEURS DE LA CORRECTION DES PAYS PARTICIPANTS QUI ONT ENSUITE ÏTÏ CHARGÏS DE FORMER
LES CORRECTEURS NATIONAUX
,E BUT DE LA QUESTION ET LE MODE DE CODAGE DES RÏPONSES ONT ÏTÏ DÏCRITS DANS LES GUIDES DE CORRECTION CORRESPONDANT Ì CHAQUE
ITEM /NT ÏGALEMENT ÏTÏ INCLUS DANS CES GUIDES UNE DESCRIPTION DES CRÏDITS n CRÏDIT COMPLET CRÏDIT PARTIEL OU AUCUN CRÏDIT n
ASSOCIÏS AUX DIVERSES CATÏGORIES DE RÏPONSES POSSIBLES ,ORS DU CYCLE 0)3! UN SYSTÒME DE CODIlCATION Ì DEUX CHIFFRES A ÏTÏ
UTILISÏ POUR LES ITEMS DE SCIENCES ET DE MATHÏMATIQUES LE PREMIER CHIFFRE CORRESPONDANT AU SCORE ET LE SECOND AUX DIFFÏRENTES
STRATÏGIES OU APPROCHES MISES EN UVRE PAR LES ÏLÒVES POUR RÏSOUDRE LE PROBLÒME #E SECOND CHIFFRE A PERMIS DE DRESSER DES
PROlLS NATIONAUX CONCERNANT LES STRATÏGIES ET LES VICES DANS LE RAISONNEMENT DES ÏLÒVES ° TITRE ILLUSTRATIF DES EXEMPLES RÏELS DE
RÏPONSES DÏLÒVES TIRÏS DE LESSAI DE TERRAIN ONT ÏTÏ INCLUS DANS LES GUIDES DE CORRECTION ET LA JUSTIlCATION DE LEUR CLASSIlCATION
DANS LUNE OU LAUTRE CATÏGORIE DE RÏPONSES Y ÏTAIT PRÏCISÏE
$ANS CHAQUE PAYS UN SOUS
ÏCHANTILLON DE CARNETS DE TEST A ÏTÏ CORRIGÏ PAR QUATRE CORRECTEURS DIFFÏRENTS ET EXAMINÏ PAR LE
CONSORTIUM 0)3! ,E CONSORTIUM A RÏALISÏ UNE ÏTUDE DE lABILITÏ DU TRAVAIL DES CORRECTEURS BASÏE SUR UN SOUS
ÏCHANTILLON DE
CARNETS DE TEST POUR ÏVALUER DE MANIÒRE PLUS APPROFONDIE DANS CHAQUE PAYS LA COHÏRENCE DU PROCESSUS DE CODAGE ET ESTIMER
LIMPORTANCE DES FACTEURS DE VARIATION ASSOCIÏS AU RECOURS Ì DES CORRECTEURS ,ES SÏRIES NATIONALES DE CORRECTIONS MULTIPLES ONT
FAIT LOBJET DUNE ANALYSE DHOMOGÏNÏITÏ DONT LES RÏSULTATS ONT ÏTÏ COMPARÏS Ì CEUX DE LESSAI DE TERRAIN )L CONVIENT DE CONSULTER
LE 2APPORT TECHNIQUE 0)3! POUR DAVANTAGE DINFORMATIONS Ì CET ÏGARD
%NlN UNE ÏTUDE DE lABILITÏ COMPARÏE A ÏTÏ EXÏCUTÏE ENTRE PAYS SUR LA BASE DUN JEU RESTREINT DITEMS DANS LE BUT DE VÏRIlER SI
LA SÏVÏRITÏ DES SCORES ATTRIBUÏS PAR LES CORRECTEURS NATIONAUX POUVAIT ÐTRE CONSIDÏRÏE COMME ÏQUIVALENTE DUN PAYS Ì LAUTRE
SOIT GLOBALEMENT SOIT POUR DES ITEMS SPÏCIlQUES ,ORS DE CE PROCESSUS LES CARNETS DE TEST ORIGINAUX ONT ÏTÏ CORRIGÏS DE
MANIÒRE INDÏPENDANTE PAR UNE ÏQUIPE MULTILINGUE SPÏCIALEMENT FORMÏE Ì CET EFFET ,ES SCORES ONT ENSUITE ÏTÏ COMPARÏS Ì CEUX
ATTRIBUÏS PAR LES CORRECTEURS NATIONAUX DANS LES DIFFÏRENTS PAYS ,ES RÏSULTATS DE CETTE ANALYSE ONT ÏTABLI LA GRANDE COHÏRENCE
DES SCORES ENTRE PAYS ,INDICE MOYEN DE i CONFORMITÏ w DÏRIVÏ DE LÏTUDE DE lABILITÏ ENTRE PAYS SÏLÒVE Ì POUR CENT SUR
LES RÏPONSES DÏLÒVES CORRIGÏES PAR LES VÏRIlCATEURS INTERNATIONAUX /NT ÏTÏ PRIS EN CONSIDÏRATION POUR ESTIMER LA
i CONFORMITÏ w LES CAS Oá LE VÏRIlCATEUR INTERNATIONAL ÏTAIT DACCORD AVEC AU MOINS TROIS DES CORRECTEURS NATIONAUX ET LES CAS Oá LE
VÏRIlCATEUR INTERNATIONAL NÏTAIT PAS DACCORD AVEC LES CORRECTEURS NATIONAUX MAIS Oá LADJUDICATION MENÏE PAR LES DÏVELOPPEURS
DE TESTS DU CONSORTIUM 0)3! A CONCLU QUE LES CORRECTEURS NATIONAUX AVAIENT ATTRIBUÏ LE SCORE CORRECT 3EULS HUIT PAYS ONT
ENREGISTRÏ UN TAUX DE CONFORMITÏ INFÏRIEUR Ì POUR CENT %N MOYENNE LA SÏVÏRITÏ ÏTAIT EXCESSIVE DANS POUR CENT DES CAS UN
MAXIMUM DE POUR CENT A ÏTÏ OBSERVÏ EN ,ETTONIE ET INSUFlSANTE DANS POUR CENT DES CAS UN MAXIMUM DE POUR CENT
A ÏTÏ ENREGISTRÏ EN ,ETTONIE ,E 2APPORT TECHNIQUE 0)3! DÏCRIT LE PROCESSUS DE MANIÒRE PLUS APPROFONDIE ET PRÏSENTE LES
RÏSULTATS DE FA ON PLUS DÏTAILLÏE
!..%8%
"
/ 18Ê -Ê " -
!NNEXE " 4ABLEAUX DE DONNÏES DES CHAPITRES
!NNEXE " $IFFÏRENCES DE PERFORMANCE ENTRE
LA #OMMUNAUTÏ mAMANDE ET
LA #OMMUNAUTÏ FRAN AISE DE "ELGIQUE
ET ENTRE LES DIFFÏRENCES COMMUNAUTÏS
LINGUISTIQUES DE 3UISSE
!..%8% "
!..%8% " 4!",%!58 $% $/..²%3 $%3 #(!0)42%3
4ABLEAU A
0OURCENTAGE DÏLÒVES Ì CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
.IVEAUX DE COMPÏTENCE
!U
DESSOUS DU .IVEAU .IVEAU .IVEAU .IVEAU .IVEAU
NIVEAU MOINS DE DE DE DE PLUS DE
DE POINTS Ì POINTS Ì POINTS Ì POINTS Ì POINTS POINTS
%R T %R T %R T %R T %R T %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
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-OYENNE DE L/#$%
./.
-%-"2%3
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
!..%8% "
4ABLEAU B
0OURCENTAGE DÏLÒVES Ì CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT i 2ETROUVER DE LINFORMATION w
.IVEAUX DE COMPÏTENCE
!U
DESSOUS DU .IVEAU .IVEAU .IVEAU .IVEAU .IVEAU
NIVEAU MOINS DE DE DE DE PLUS DE
DE POINTS Ì POINTS Ì POINTS Ì POINTS Ì POINTS POINTS
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!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
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!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
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3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
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-OYENNE DE L/#$%
./.
-%-"2%3
"RÏSIL
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,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
!..%8% "
4ABLEAU C
0OURCENTAGE DÏLÒVES Ì CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT i )NTERPRÏTER LE TEXTE w
.IVEAUX DE COMPÏTENCE
!U
DESSOUS DU .IVEAU .IVEAU .IVEAU .IVEAU .IVEAU
NIVEAU MOINS DE DE DE DE PLUS DE
DE POINTS Ì POINTS Ì POINTS Ì POINTS Ì POINTS POINTS
%R T %R T %R T %R T %R T %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
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!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
./.
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"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
!..%8% "
4ABLEAU D
0OURCENTAGE DÏLÒVES Ì CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w
.IVEAUX DE COMPÏTENCE
!U
DESSOUS DU .IVEAU .IVEAU .IVEAU .IVEAU .IVEAU
NIVEAU MOINS DE DE DE DE PLUS DE
DE POINTS Ì POINTS Ì POINTS Ì POINTS Ì POINTS POINTS
%R T %R T %R T %R T %R T %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
./.
-%-"2%3
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
!..%8% "
4ABLEAU A
#OMPARAISONS MULTIPLES DE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT i 2ETROUVER DE LINFORMATION w
.OUVELLE :ÏLANDE
&ÏD DE 2USSIE
2OYAUME 5NI
,IECHTENSTEIN
2ÏP TCHÒQUE
,UXEMBOURG
!LLEMAGNE
$ANEMARK
³TATS 5NIS
!USTRALIE
-EXIQUE
.ORVÒGE
!UTRICHE
"ELGIQUE
&INLANDE
0ORTUGAL
,ETTONIE
(ONGRIE
%SPAGNE
0OLOGNE
#ANADA
)RLANDE
)SLANDE
&RANCE
#ORÏE
'RÒCE
3UÒDE
3UISSE
*APON
"RÏSIL
)TALIE
-OYENNE
%R T
&INLANDE
!USTRALIE
.OUVELLE :ÏLANDE
#ANADA
#ORÏE
*APON
)RLANDE
2OYAUME 5NI
3UÒDE
&RANCE
"ELGIQUE
.ORVÒGE
!UTRICHE
)SLANDE
³TATS 5NIS
3UISSE
$ANEMARK
,IECHTENSTEIN
)TALIE
%SPAGNE
!LLEMAGNE
2ÏP TCHÒQUE
(ONGRIE
0OLOGNE
0ORTUGAL
&ÏD DE 2USSIE
,ETTONIE
'RÒCE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
"RÏSIL
)NSTRUCTIONS
)L FAUT LIRE TOUTE UNE LIGNE POUR UN PAYS AFIN DE COMPARER SA PERFORMANCE MOYENNE AVEC CELLE DES AUTRES PAYS LISTÏS EN HAUT DU GRAPHIQUE ,ES SYMBOLES
INDIQUENT SI LA MOYENNE DE PERFORMANCE DUN PAYS SUR LA LIGNE EST SIGNIFICATIVEMENT PLUS FAIBLE OU PLUS ÏLEVÏE QUE CELLE DU PAYS COMPARÏ OU BIEN SIL NY A PAS
DE DIFFÏRENCE STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE ENTRE LES PERFORMANCES MOYENNES DE CES DEUX PAYS
0ERFORMANCE MOYENNE SIGNIlCATIVEMENT SUPÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
0AS DE DIFFÏRENCE STATISTIQUE SIGNIlCATIVE PAR RAPPORT AU PAYS EN ORDONNÏE
0ERFORMANCE MOYENNE SIGNIlCATIVEMENT INFÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
3IGNIlCATIVEMENT SUPÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì LA MOYENNE DE L/#$%
0AS DE DIFFÏRENCE STATISTIQUE SIGNIlCATIVE PAR RAPPORT Ì LA MOYENNE DE L/#$%
3IGNIlCATIVEMENT INFÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì LA MOYENNE DE L/#$%
!..%8% "
4ABLEAU B
#OMPARAISONS MULTIPLES DE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT i )NTERPRÏTER LE TEXTE w
.OUVELLE :ÏLANDE
&ÏD DE 2USSIE
2OYAUME 5NI
,IECHTENSTEIN
2ÏP TCHÒQUE
,UXEMBOURG
!LLEMAGNE
$ANEMARK
³TATS 5NIS
!USTRALIE
-EXIQUE
!UTRICHE
.ORVÒGE
"ELGIQUE
&INLANDE
0ORTUGAL
,ETTONIE
(ONGRIE
%SPAGNE
0OLOGNE
#ANADA
)RLANDE
)SLANDE
&RANCE
#ORÏE
'RÒCE
3UÒDE
3UISSE
"RÏSIL
*APON
)TALIE
-OYENNE
%R T
&INLANDE
#ANADA
!USTRALIE
)RLANDE
.OUVELLE :ÏLANDE
#ORÏE
3UÒDE
*APON
)SLANDE
2OYAUME 5NI
"ELGIQUE
!UTRICHE
&RANCE
.ORVÒGE
³TATS 5NIS
2ÏP TCHÒQUE
3UISSE
$ANEMARK
%SPAGNE
)TALIE
!LLEMAGNE
,IECHTENSTEIN
0OLOGNE
(ONGRIE
'RÒCE
0ORTUGAL
&ÏD DE 2USSIE
,ETTONIE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
"RÏSIL
)NSTRUCTIONS
)L FAUT LIRE TOUTE UNE LIGNE POUR UN PAYS AFIN DE COMPARER SA PERFORMANCE MOYENNE AVEC CELLE DES AUTRES PAYS LISTÏS EN HAUT DU GRAPHIQUE ,ES SYMBOLES
INDIQUENT SI LA MOYENNE DE PERFORMANCE DUN PAYS SUR LA LIGNE EST SIGNIFICATIVEMENT PLUS FAIBLE OU PLUS ÏLEVÏE QUE CELLE DU PAYS COMPARÏ OU BIEN SIL NY A PAS
DE DIFFÏRENCE STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE ENTRE LES PERFORMANCES MOYENNES DE CES DEUX PAYS
0ERFORMANCE MOYENNE SIGNIlCATIVEMENT SUPÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
0AS DE DIFFÏRENCE STATISTIQUE SIGNIlCATIVE PAR RAPPORT AU PAYS EN ORDONNÏE
0ERFORMANCE MOYENNE SIGNIlCATIVEMENT INFÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
3IGNIlCATIVEMENT SUPÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì LA MOYENNE DE L/#$%
0AS DE DIFFÏRENCE STATISTIQUE SIGNIlCATIVE PAR RAPPORT Ì LA MOYENNE DE L/#$%
3IGNIlCATIVEMENT INFÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì LA MOYENNE DE L/#$%
!..%8% "
4ABLEAU C
#OMPARAISONS MULTIPLES DE LA PERFORMANCE MOYENNE SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w
.OUVELLE :ÏLANDE
&ÏD DE 2USSIE
2OYAUME 5NI
,UXEMBOURG
,IECHTENSTEIN
2ÏP TCHÒQUE
!LLEMAGNE
$ANEMARK
³TATS 5NIS
!USTRALIE
-EXIQUE
!UTRICHE
.ORVÒGE
"ELGIQUE
&INLANDE
0ORTUGAL
,ETTONIE
(ONGRIE
%SPAGNE
0OLOGNE
#ANADA
)RLANDE
)SLANDE
&RANCE
#ORÏE
'RÒCE
3UÒDE
3UISSE
*APON
"RÏSIL
)TALIE
-OYENNE
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#ANADA
2OYAUME 5NI
)RLANDE
&INLANDE
*APON
.OUVELLE :ÏLANDE
!USTRALIE
#ORÏE
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3UÒDE
³TATS 5NIS
.ORVÒGE
%SPAGNE
)SLANDE
$ANEMARK
"ELGIQUE
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3UISSE
2ÏP TCHÒQUE
)TALIE
(ONGRIE
0ORTUGAL
!LLEMAGNE
0OLOGNE
,IECHTENSTEIN
,ETTONIE
&ÏD DE 2USSIE
-EXIQUE
,UXEMBOURG
"RÏSIL
)NSTRUCTIONS
)L FAUT LIRE TOUTE UNE LIGNE POUR UN PAYS AFIN DE COMPARER SA PERFORMANCE MOYENNE AVEC CELLE DES AUTRES PAYS LISTÏS EN HAUT DU GRAPHIQUE ,ES SYMBOLES
INDIQUENT SI LA MOYENNE DE PERFORMANCE DUN PAYS SUR LA LIGNE EST SIGNIFICATIVEMENT PLUS FAIBLE OU PLUS ÏLEVÏE QUE CELLE DU PAYS COMPARÏ OU BIEN SIL NY A PAS
DE DIFFÏRENCE STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE ENTRE LES PERFORMANCES MOYENNES DE CES DEUX PAYS
0ERFORMANCE MOYENNE SIGNIlCATIVEMENT SUPÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
0AS DE DIFFÏRENCE STATISTIQUE SIGNIlCATIVE PAR RAPPORT AU PAYS EN ORDONNÏE
0ERFORMANCE MOYENNE SIGNIlCATIVEMENT INFÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì CELLE DU PAYS EN ORDONNÏE
3IGNIlCATIVEMENT SUPÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì LA MOYENNE DE L/#$%
0AS DE DIFFÏRENCE STATISTIQUE SIGNIlCATIVE PAR RAPPORT Ì LA MOYENNE DE L/#$%
3IGNIlCATIVEMENT INFÏRIEURE AU NIVEAU STATISTIQUE Ì LA MOYENNE DE L/#$%
!..%8% "
4ABLEAU A
2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
#ENTILES
-OYENNE ³CART TYPE E E E E E E
-OYENNE %R T %C T %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
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!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
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(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
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#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
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.ORVÒGE
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3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
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-OYENNE DE L/#$%
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-%-"2%3
"RÏSIL
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,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
!..%8% "
4ABLEAU B
2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT i 2ETROUVER DE LINFORMATION w
#ENTILES
-OYENNE ³CART TYPE E E E E E E
-OYENNE %R T %C T %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
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(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
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3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
./.
-%-"2%3
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
!..%8% "
4ABLEAU C
2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT i )NTERPRÏTER LE TEXTE w
#ENTILES
-OYENNE ³CART TYPE E E E E E E
-OYENNE %R T %C T %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
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!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
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'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
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-OYENNE DE L/#$%
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"RÏSIL
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,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
!..%8% "
4ABLEAU D
2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w
#ENTILES
-OYENNE ³CART TYPE E E E E E E
-OYENNE %R T %C T %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
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!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
./.
-%-"2%3
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
ANNEXE B1
Tableau 2.4
Variation des performances des élèves entre et au sein des établissements sur l’échelle combinée de compréhension de l’écrit
Variation exprimée en pourcentage de la variation moyenne
de la performance des élèves (PE) dans les pays de l’OCDE
Variation totale
de la PE exprimée Variation expliquée par l’indice Variation expliquée par l’indice
en pourcentage de socio-economique international socio-economique international
la variation moyen- Vatiation Vatiation des élèves des élèves et des établissements
ne de la PE totale de la PE totale de la Variation Variation Variation Variation
Variation totale dans les pays entre les PE au sein des entre les au sein des entre les au sein des
de la PE 1 de l’OCDE établissements établissements établissements établissements établissements établissements
Australie 10 357 111.6 20.9 90.6 8.3 6.7 14.2 6.9
PAYS MEMBRES
DE L’OCDE
Autriche 8 649 93.2 68.6 45.7 10.4 0.4 42.6 0.3
Belgique 11 455 123.5 76.0 50.9 11.0 1.8 44.2 1.9
Canada 8 955 96.5 17.1 80.1 4.6 5.0 7.8 5.1
République tchèque 9 278 100.0 51.9 45.3 8.8 1.8 34.4 1.8
Danemark 9 614 103.6 19.6 85.9 10.2 8.0 11.6 8.1
Finlande 7 994 86.2 10.7 76.5 1.5 4.6 1.7 4.6
France m m m m m m m m
Allemagne 12 368 133.3 74.8 50.2 11.7 2.3 51.5 2.3
Grèce 9 436 101.7 53.8 52.9 7.0 1.1 25.0 1.1
Hongrie 8 810 95.0 71.2 34.8 8.3 0.3 49.4 0.2
Islande 8 529 91.9 7.0 85.0 1.6 5.0 1.7 5.0
Irlande 8 755 94.4 17.1 79.2 5.5 5.7 10.1 5.7
Italie 8 356 90.1 50.9 43.4 3.4 0.5 23.8 0.5
Japon2 7 358 79.3 36.5 43.9 m m m m
Corée 4 833 52.1 19.7 33.0 1.0 0.2 7.1 0.2
Luxembourg 10 088 108.7 33.4 74.9 11.1 8.3 26.7 8.2
Mexique 7 370 79.4 42.9 37.4 5.2 0.1 25.7 0.1
Nouvelle-Zélande 11 701 126.1 20.1 103.9 7.3 10.9 11.6 11.0
Norvège 10 743 115.8 12.6 102.4 3.7 8.7 4.9 8.7
Pologne 9 958 107.3 67.0 38.9 6.3 1.1 42.4 1.1
Portugal 9 436 101.7 37.5 64.3 10.6 4.6 23.8 4.6
Espagne 7 181 77.4 15.9 60.9 5.4 3.0 9.1 3.1
Suède 8 495 91.6 8.9 83.0 4.5 6.9 5.8 6.9
Suisse 10 408 112.2 48.7 63.7 12.7 4.0 24.3 3.9
Royaume-Uni 10 098 108.9 22.4 82.3 9.6 8.4 16.0 8.7
États-Unis 10 979 118.3 35.1 83.6 12.0 5.6 25.5 5.8
NON-MEMBRES
Moyenne de l’OCDE 9 277 100 36.2 65.1 7.3 4.2 21.6 4.2
DE L’OCDE
Brésil 7 427.0 80.1 35.8 47.1 6.5 1.9 19.7 2.1
Lettonie 10 434.6 112.5 35.1 77.5 4.9 4.4 16.7 4.5
Liechtenstein m m m m m m m m
PAYS
Fédération de Russie 8 465.8 91.3 33.6 57.1 4.8 2.4 15.4 2.3
Variation exprimée en pourcentage de la variation moyenne de la performance
des élèves (PE) dans les pays de l’OCDE
1. La variation totale de la
Variation expliquée par des facteurs performance des élèves est
géographiques/systémiques/institu- Variation totale
Variation expliquée par des facteurs tionnels et par l’indice socio-économique entre les établis- le carré de l’écart type qui
géographiques/systémiques/institutionnels des élèves et des établissements sements exprimée figure au tableau 2.3a. C’est
en pourcentage de
Variation entre les Variation au sein Variation entre les Variation au sein la variation totale la variance statistique qui est
établissements des établissements établissements des établissements au sein du pays3 utilisée pour cette compa-
Australie 1.8 0.1 15.0 7.0 18.8 raison plutôt que l’écart type
PAYS MEMBRES
DE L’OCDE
Autriche 60.4 0.0 61.6 0.5 60.0 afin qu’il soit possible de
Belgique 50.7 0.0 61.9 1.9 59.9 décomposer les différentes
Canada 1.1 0.0 8.4 5.1 17.6
République tchèque 44.5 0.0 46.8 1.8 53.4 composantes de la variation
Danemark m m m m 18.6 de la PE. Pour des raisons
Finlande m m m m 12.3 exposées dans le Rapport
France m m m m m
Allemagne 65.2 0.0 66.9 2.3 59.8 technique PISA 2000, la
Grèce 33.3 0.0 40.1 0.4 50.4 somme des composantes
Hongrie 52.5 0.0 58.7 0.1 67.2 de la variance entre et au
Islande 0.9 0.0 2.3 5.0 7.6 sein des établissements peut,
Irlande 9.7 0.0 12.7 5.5 17.8
Italie 27.6 0.0 30.1 0.5 54.0 pour certains pays, différer
Japon2 m m m m 45.4 légèrement du carré de
Corée 10.9 0.0 12.0 0.2 37.4 l’écart type figurant dans le
Luxembourg m m m m 30.8
Mexique 26.5 0.0 35.3 0.1 53.4 tableau 2.3a.
Nouvelle-Zélande 12.9 0.0 14.8 11.0 16.2 2. Les méthodes d’échantillon-
Norvège 0.5 3.8 5.2 10.1 10.9 nage utilisées au Japon font
Pologne 53.0 0.0 55.9 1.1 63.2
Portugal m m m m 36.8 que la variation entre classes
Espagne 6.2 0.0 10.9 3.1 20.7 à l’intérieur des établisse-
Suède 2.7 2.6 6.9 8.1 9.7 ments est comprise dans
Suisse 22.1 0.0 29.7 4.1 43.4
Royaume-Uni 7.3 0.0 17.1 6.7 21.4 la variation entre établisse-
États-Unis m m m m 29.6 ments pour le Japon.
NON-MEMBRES
Moyenne de l’OCDE 24.5 0.3 29.6 3.7 3. On utilise souvent la déno-
mination de « corrélation
DE L’OCDE
Brésil 5.3 0.0 21.7 2.1 43.1
Lettonie m m m m 31.2 intraclasse » ou « corrélation
Liechtenstein m m m m 43.9 interne » (rho) pour désigner
PAYS
Fédération de Russie 16.6 0.0 21.0 2.3 37.1
cet indice.
277
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4ABLEAU
3EUIL DE RÏUSSITEDÏCHEC lXÏ PAR LÏTABLISSEMENT OU LENSEIGNANT TITULAIRE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT %##%
!U
DESSOUS DU SEUIL DE RÏUSSITEDÏCHEC lXÏ !TTEINT OU DÏPASSE LE SEUIL DE RÏUSSITEDÏCHEC lXÏ
PAR LÏTABLISSEMENT OU LENSEIGNANT TITULAIRE PAR LÏTABLISSEMENT OU LENSEIGNANT TITULAIRE
0OURCENTAGE 0ERFORMANCE 0OURCENTAGE 0ERFORMANCE
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2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK C C
&INLANDE C C
&RANCE
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)SLANDE
)RLANDE M M M M M M M M
)TALIE
*APON M M M M M M M M
#ORÏE M M M M M M M M
,UXEMBOURG M M M M M M M M
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE C C
0OLOGNE
0ORTUGAL M M M M M M M M
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
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5NIS M M M M M M M M
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,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
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2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE
#ENTILES
-OYENNE ³CART TYPE E E E E E E
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!
PAR LÏTABLISSEMENT OU LENSEIGNANT TITULAIRE PAR LÏTABLISSEMENT OU LENSEIGNANT TITULAIRE
0OURCENTAGE 0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE 0OURCENTAGE 0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE
DÏLÒVES DE CULTURE MATHÏMATIQUE DÏLÒVES DE CULTURE MATHÏMATIQUE
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)RLANDE M M M M M M M M
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.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
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,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
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4ABLEAU
2ÏPARTITION DES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIlQUE
#ENTILES
-OYENNE ³CART TYPE E E E E E E
-OYENNE %R T %C T %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T
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,ETTONIE
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DESSOUS DU SEUIL DE RÏUSSITEDÏCHEC lXÏ !TTEINT OU DÏPASSE LE SEUIL DE RÏUSSITEDÏCHEC lXÏ
!
PAR LÏTABLISSEMENT OU LENSEIGNANT TITULAIRE PAR LÏTABLISSEMENT OU LENSEIGNANT TITULAIRE
0OURCENTAGE 0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE 0OURCENTAGE 0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE
DÏLÒVES DE CULTURE SCIENTIlQUE DÏLÒVES DE CULTURE SCIENTIlQUE
%R T -OYENNE %R T %R T -OYENNE %R T
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)TALIE
*APON M M M M M M M M
#ORÏE M M M M M M M M
,UXEMBOURG M M M M M M M M
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL M M M M M M M M
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS M M M M M M M M
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
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$% ,/#$%
,ETTONIE M M M M M M M M
,IECHTENSTEIN C C
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&ÏDÏRATION DE 2USSIE M M M M M M M M
0AYS
"AS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
ANNEXE B1
Tableau 3.5
Répartition des performances des élèves entre et au sein des établissements sur les échelles de culture mathématique et scientifique
Variation exprimée en pourcentage de la variation moyenne
de la performance des élèves (PE) dans les pays de l’OCDE Variation
Variation du statut profession- Variation du statut profession- totale
Variation totale nel des élèves expliquée par nel des élèves et des établis- entre les
de la PE exprimée l’indice socio-économique sements expliquée par établissements,
en pourcentage de international (ISEI) des élèves l’ISEI des élèves exprimée en
la variation moy- Variation Variation pourcentage
Variation enne de la PE totale de totale de la Variation de Variation de la Variation de Variation de la de la variation
totale dans les pays la PE entre PE au sein des la PE entre les PE au sein des la PE entre les PE au sein des totale au
de la PE1 de l’OCDE établissements établissements établissements établissements établissements établissements sein du pays2
ÉCHELLE DE CULTURE
MATHÉMATIQUE
Australie 8 107 93.9 16.2 76.3 7.4 6.0 10.4 6.4 17.5
PAYS MEMBRES
DE L’OCDE
Autriche 8 545 99.0 58.6 53.4 8.4 0.2 29.4 0.3 52.3
Belgique 11 268 130.5 71.6 59.4 13.7 2.7 38.5 2.7 54.7
Canada 7 152 82.9 14.3 68.2 2.9 3.7 4.5 3.8 17.3
République tchèque 9 276 107.5 45.9 59.2 9.3 2.1 25.8 2.1 43.7
Danemark 7 500 86.9 15.4 70.8 7.9 5.5 8.9 5.7 17.8
Finlande 6 451 74.7 6.1 68.5 1.0 5.7 1.0 5.7 8.1
France m m m m m m m m m
Allemagne 11 731 135.9 65.4 74.0 9.9 0.9 29.5 0.9 46.9
Grèce 9 592 111.1 60.1 53.6 14.2 0.5 45.2 0.5 52.9
Hongrie 7 159 82.9 4.5 78.0 1.1 4.2 1.1 4.1 5.4
Islande 6 982 80.9 9.4 73.1 3.9 4.3 6.1 4.5 11.4
Irlande 8 174 94.7 40.5 55.1 3.3 0.2 15.0 0.2 42.4
Italie 7 110 82.4 32.1 50.9 2.7 0.7 13.6 0.7 38.7
Japon3 7 559 87.6 43.7 44.3 m m m m 49.7
Corée 8 566 99.2 24.9 73.4 9.5 6.9 21.0 6.8 25.3
Luxembourg 6 834 79.2 41.1 39.3 6.1 0.4 23.4 0.4 51.1
Mexique 9 748 112.9 19.8 93.7 7.8 10.1 11.7 10.2 17.5
Nouvelle-Zélande 8 383 97.1 7.8 89.1 1.5 6.2 1.6 6.2 8.1
Norvège 10 510 121.8 63.3 53.5 7.5 0.3 38.8 0.2 54.2
Pologne 8 341 96.6 30.1 64.0 10.5 4.8 18.2 5.0 32.0
Portugal 8 192 94.9 17.1 76.1 5.9 2.5 9.0 2.6 18.3
Espagne 8 724 101.1 8.3 92.7 5.3 8.7 6.0 8.7 8.3
Suède 9 922 115.0 47.5 68.2 9.6 3.2 21.1 3.0 41.1
Suisse 8 402 97.3 21.2 72.0 8.5 6.0 14.8 6.5 22.7
Royaume-Uni 9 671 112.0 35.0 74.5 12.4 6.3 24.2 6.5 32.0
États-Unis 9 671 112.0 35.0 74.5 12.4 6.3 24.2 6.5 32.0
NON-MEMBRES
Moyenne de l’OCDE
DE L’OCDE
Brésil 9 493 110.0 40.0 71.5 26.8 71.8 15.5 71.0 35.9
Lettonie 10 654 123.4 33.1 90.8 30.9 88.1 24.4 88.0 26.7
Liechtenstein 9 162 106.2 m m m m m m m
PAYS
Fédération de Russie 10 837 125.6 45.5 79.9 39.6 77.2 31.8 77.2 36.3
ÉCHELLE DE CULTURE
SCIENTIFIQUE
Australie 8 879 98.4 17.2 81.0 5.7 4.5 9.6 4.8 17.5
PAYS MEMBRES
DE L’OCDE
Autriche 8 327 92.3 58.7 46.5 10.5 0.6 33.4 0.5 55.8
Belgique 12 314 136.5 77.4 62.3 14.4 2.2 46.0 2.3 55.4
Canada 7 893 87.5 13.9 71.9 3.4 4.5 4.9 4.6 16.2
République tchèque 8 821 97.8 39.2 58.0 9.9 2.0 26.1 2.1 40.3
Danemark 10 652 118.1 19.4 101.6 8.7 10.2 9.7 10.5 16.0
Finlande 7 446 82.6 5.5 78.1 0.9 3.8 1.0 3.8 6.6
France m m m m m m m m m
Allemagne 9 390 104.1 42.0 62.9 5.5 0.4 18.6 0.3 40.0
Grèce 10 510 116.5 65.9 58.9 11.8 0.7 49.0 0.4 52.8
Hongrie 7 705 85.4 6.4 78.3 1.0 1.4 0.8 1.5 7.6
Islande 8 416 93.3 13.3 81.2 4.7 5.4 7.5 5.4 14.1
Irlande 9 612 106.6 46.9 64.2 3.1 0.5 14.1 0.4 42.2
Italie 6 508 72.2 27.6 44.5 1.6 0.3 10.0 0.2 38.3
Japon3 8 185 90.7 40.6 50.9 m m m m 44.4
Corée 9 281 102.9 28.0 73.4 6.9 4.6 21.6 4.5 27.6
Luxembourg 5 940 65.9 26.8 38.8 5.0 0.0 15.5 -0.6 40.9
Mexique 10 149 112.5 18.9 92.6 7.7 10.0 11.4 10.0 16.9
Nouvelle-Zélande 9 128 101.2 10.2 92.5 2.9 6.7 3.3 6.7 10.0
Norvège 9 378 104.0 53.3 50.5 7.0 0.4 33.1 0.4 51.4
Pologne 7 923 87.8 27.4 60.3 8.0 3.9 16.3 3.9 31.3
Portugal 9 097 100.9 18.2 82.5 8.1 3.5 11.1 3.6 18.0
Espagne 8 688 96.3 8.0 90.0 3.5 6.0 4.0 6.0 8.2
Suède 10 012 111.0 45.4 63.9 8.7 3.7 19.5 3.6 41.6
Suisse 9 639 106.9 24.6 76.7 9.0 7.1 16.0 7.6 24.3
Royaume-Uni 10 217 113.3 40.3 73.0 14.1 6.7 26.1 7.1 35.6
États-Unis 10 217 113.3 40.3 73.0 14.1 6.7 26.1 7.1 35.6
NON-MEMBRES
Moyenne de l’OCDE
DE L’OCDE
Brésil 8 181 90.7 25.5 65.2 7.7 0.2 14.6 0.8 28.1
Lettonie 9 543 105.8 29.8 74.5 4.0 3.0 12.2 3.0 28.6
Liechtenstein 8 896 98.6 m m m m m m
PAYS
Fédération de Russie 9 825 108.9 33.2 75.3 4.0 2.0 10.9 1.9 30.6
1. La variation totale de la performance des élèves est le carré de l’écart type qui figure au tableau 3.2 pour la culture mathématique et au tableau 3.4 pour la culture scientifique. C’est la
variance statistique qui est utilisée pour cette comparaison plutôt que l’écart type afin qu’il soit possible de décomposer les différentes composantes de la variation de la performance des
élèves. Pour des raisons exposées dans le Rapport technique PISA 2000, la somme des composantes de la variance entre établissements et au sein des établissements peut, pour certains pays,
différer légèrement du carré de l’écart type figurant dans les tableaux 3.1 et 3.3.
2. Les méthodes d’échantillonnage utilisées au Japon font que la variation entre classes à l’intérieur des établissements est comprise dans la variation entre établissements pour le Japon.
3. On utilise souvent la dénomination de « corrélation intraclasse » ou « corrélation interne » (rho) pour désigner cet indice.
283
!..%8% "
4ABLEAU
0ERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ET SUR LES ÏCHELLES DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIlQUE
0)" 4OTAL DES DÏPENSES
PAR HABITANT CUMULÏES AU TITRE
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBI
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE 0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE DOLLARS %5 DES ÏTABLISSEMENTS
NÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DE CULTURE SCIENTIlQUE DE CULTURE MATHÏMATIQUE CONVERTIS Ì LAIDE DENSEIGNEMENT
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T DES 00! DOLLARS %5
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0!93 -%-"2%3
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"ELGIQUE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
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.ORVÒGE
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3UISSE
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS
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-OYENNE DE L/#$%
./. -%-"2%3
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE M
,IECHTENSTEIN M
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE M
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DINTÏRÐT POUR LA LECTURE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DINTÏRÐT POUR LA LECTURE
4OUS LES ÏLÒVES (OMMES &EMMES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n n n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n n n
"ELGIQUE #OM m n n n n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n
$ANEMARK n n n
&INLANDE n n n
!LLEMAGNE n n n n
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)SLANDE n n n n
)RLANDE n n n
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#ORÏE n n n n n n
,UXEMBOURG n n n n
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.OUVELLE
:ÏLANDE n n n
.ORVÒGE n n n
0ORTUGAL n n n
3UÒDE n n n
3UISSE n n n
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./.
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-OYENNE DE L/#$% n n n
$% ,/#$%
"RÏSIL n
,ETTONIE n n n
,IECHTENSTEIN n n n n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n n
0AYS
"AS n n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE DINTÏRÐT POUR LA LECTURE DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE PROGRESSION DE LINDICE
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP DE LINTÏRÐT POUR LA LECTURE
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE #OM m
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
!LLEMAGNE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0ORTUGAL
3UÒDE
3UISSE
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES UNITÏS DE PROGRESSION EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LA DIFFÏRENCE ENTRE LES
QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR EST INDIQUÏE EN GRAS ELLE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES
4OUS LES ÏLÒVES (OMMES &EMMES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n n n n
"ELGIQUE #OM m n n n n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n n
$ANEMARK n
&INLANDE n n n n
!LLEMAGNE n n n n
(ONGRIE n n n n n
)SLANDE n n
)RLANDE n n n n
)TALIE n n n
#ORÏE n n n n n n
,UXEMBOURG n n n n n
-EXIQUE n
.OUVELLE
:ÏLANDE n n n
.ORVÒGE n n n n n
0ORTUGAL n
3UÒDE n n n n n
3UISSE n n n n
³TATS
5NIS n n
4OTAL /#$% n n
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$% n n n
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"RÏSIL n
,ETTONIE n
,IECHTENSTEIN n n n n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n
0AYS
"AS n n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE PAR QUARTILES 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE DE CULTURE
NATIONAUX DE LINDICE DINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES
MATHÏMATIQUE PAR UNITÏ DE PROGRESSION DE LINDICE
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP DE LINTÏRÐT POUR LES MATHÏMATIQUES
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
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!UTRICHE
"ELGIQUE #OM m
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
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&INLANDE
!LLEMAGNE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0ORTUGAL
3UÒDE
3UISSE
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES UNITÏS DE PROGRESSION EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LA DIFFÏRENCE ENTRE LES
QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR EST INDIQUÏE EN GRAS ELLE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DU GOßT POUR LA LECTURE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DU GOßT POUR LA LECTURE
4OUS LES ÏLÒVES (OMMES &EMMES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n n n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n n n
"ELGIQUE n n n n n
#ANADA n n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n
$ANEMARK n n n
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)SLANDE n n n
)RLANDE n n n n
)TALIE n n n
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,UXEMBOURG n n n n
-EXIQUE n
.OUVELLE
:ÏLANDE n n n
.ORVÒGE n n n n
0OLOGNE n n n n
0ORTUGAL n n
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3UÒDE n n n n
3UISSE n n n
2OYAUME
5NI n n n n
³TATS
5NIS n n n n
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4OTAL /#$% n n n n
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,ETTONIE n n n n
,IECHTENSTEIN n n n n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n n
0AYS
"AS n n n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE DE GOßT POUR LA LECTURE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNITÏ
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP DE PROGRESSION DE LINDICE DE GOßT POUR LA LECTURE
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
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)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES UNITÏS DE PROGRESSION EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LA DIFFÏRENCE ENTRE LES
QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR EST INDIQUÏE EN GRAS ELLE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
4EMPS PAR JOUR QUE LES ÏLÒVES CONSACRENT Ì LA LECTURE POUR LE LOISIR ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
³LÒVES DÏCLARANT ³LÒVES DÏCLARANT LIRE ³LÒVES DÏCLARANT LIRE ³LÒVES DÏCLARANT LIRE ³LÒVES DÏCLARANT
NE PAS LIRE POUR MINUTES PAR JOUR ENTRE ET MINUTES ENTRE ET HEURES LIRE PLUS DE HEURES
LEUR LOISIR OU MOINS PAR JOUR PAR JOUR PAR JOUR
%R T -OYENNE %R T %R T -OYENNE %R T %R T -OYENNE %R T %R T -OYENNE %R T %R T -OYENNE %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
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!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
./.
-%-"2%3
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN C C C C
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
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4ABLEAU
)NDICE DES STRATÏGIES DAUTORÏGULATION ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DES STRATÏGIES DAUTORÏGULATION
4OUS LES ÏLÒVES (OMMES &EMMES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n n
0!93 -%-"2%3
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!UTRICHE n
"ELGIQUE #OM m n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n
$ANEMARK n n n n n
&INLANDE n n n n n n
!LLEMAGNE n n
(ONGRIE n n
)SLANDE n n n n n n
)RLANDE n n n
)TALIE n n
#ORÏE n n n n n n
,UXEMBOURG n n n
-EXIQUE n n
.OUVELLE
:ÏLANDE n n n
.ORVÒGE n n n n n n
0ORTUGAL n n
3UÒDE n n
3UISSE n n
³TATS
5NIS n n n n
4OTAL /#$% n n n
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$% n n n
$% ,/#$%
"RÏSIL n n
,ETTONIE n n n n n
,IECHTENSTEIN n n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n
0AYS
"AS n n n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE DES STRATÏGIES DAUTORÏGULATION DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE PROGRESSION
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP DE LINDICE DES STRATÏGIES DAUTORÏGULATION
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
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!UTRICHE
"ELGIQUE #OM m
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
!LLEMAGNE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0ORTUGAL
3UÒDE
3UISSE
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES UNITÏS DE PROGRESSION EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LA DIFFÏRENCE ENTRE LES
QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR EST INDIQUÏE EN GRAS ELLE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
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4ABLEAU
)NDICE DES STRATÏGIES DE MÏMORISATION ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DES STRATÏGIES DE MÏMORISATION
4OUS LES ÏLÒVES (OMMES &EMMES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n
0!93 -%-"2%3
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2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n n
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)RLANDE n
)TALIE n n n n n n
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-EXIQUE n n
.OUVELLE
:ÏLANDE n n
.ORVÒGE n n n n n n
0ORTUGAL n n
3UÒDE n n
3UISSE n n n n
³TATS
5NIS n n n
4OTAL /#$% n n n
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$% n n n
$% ,/#$%
"RÏSIL n
,ETTONIE n n
,IECHTENSTEIN n n n n n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n
0AYS
"AS n n n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE DES STRATÏGIES DE MÏMORISATION DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE PROGRESSION
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP DE LINDICE DES STRATÏGIES DE MÏMORISATION
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n
"ELGIQUE #OM m n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n
$ANEMARK
&INLANDE
!LLEMAGNE n
(ONGRIE
)SLANDE n
)RLANDE
)TALIE n
#ORÏE
,UXEMBOURG n
-EXIQUE n
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE n
0ORTUGAL n
3UÒDE
3UISSE
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS n
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES UNITÏS DE PROGRESSION EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LA DIFFÏRENCE ENTRE LES
QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR EST INDIQUÏE EN GRAS ELLE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
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4ABLEAU
)NDICE DES STRATÏGIES DÏLABORATION ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DES STRATÏGIES DÏLABORATION
4OUS LES ÏLÒVES (OMMES &EMMES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n
0!93 -%-"2%3
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!UTRICHE n n
"ELGIQUE #OM m n n n n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n
$ANEMARK n n n n n
&INLANDE n n n n n
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(ONGRIE n n
)SLANDE n n n n n
)RLANDE n n n n n
)TALIE n n n n n
#ORÏE n n n n n
,UXEMBOURG n n n n n
-EXIQUE n
.OUVELLE
:ÏLANDE n n
.ORVÒGE n n n n n
0ORTUGAL n n
3UÒDE n n n
3UISSE n n
³TATS
5NIS n n n
4OTAL /#$% n n
./.
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-OYENNE DE L/#$% n n n
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"RÏSIL n
,ETTONIE n n
,IECHTENSTEIN n n n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n
0AYS
"AS n n n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE DES STRATÏGIES DÏLABORATION DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE PROGRESSION
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP Ì LINDICE DES STRATÏGIES DÏLABORATION
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
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!UTRICHE
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(ONGRIE
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,UXEMBOURG
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.OUVELLE
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³TATS
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./.
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-OYENNE DE L/#$%
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"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES UNITÏS DE PROGRESSION EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LA DIFFÏRENCE ENTRE LES
QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR EST INDIQUÏE EN GRAS ELLE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
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4ABLEAU
)NDICE DAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION
4OUS LES ÏLÒVES (OMMES &EMMES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n n
0!93 -%-"2%3
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!UTRICHE n n n n
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2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n n
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.OUVELLE
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3UÒDE n n n n n n
3UISSE n n n n
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"RÏSIL n
,ETTONIE n n
,IECHTENSTEIN n n n n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n n n n
0AYS
"AS n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
P AR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE DAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE PROGRESSION
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP DE LINDICE DAPPRENTISSAGE EN COLLABORATION
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE #OM m
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
!LLEMAGNE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0ORTUGAL
3UÒDE
3UISSE
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES UNITÏS DE PROGRESSION EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LA DIFFÏRENCE ENTRE LES
QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR EST INDIQUÏE EN GRAS ELLE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
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4ABLEAU
)NDICE DAPPRENTISSAGE COMPÏTITIF ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DAPPRENTISSAGE COMPÏTITIF
4OUS LES ÏLÒVES (OMMES &EMMES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n n n n
"ELGIQUE #OM m n n n n n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n
$ANEMARK n n
&INLANDE n n n n n n
!LLEMAGNE n n n n n
(ONGRIE n n
)SLANDE n n n
)RLANDE n n n
)TALIE n n n n
#ORÏE n n n n n
,UXEMBOURG n n n n n
-EXIQUE n
.OUVELLE
:ÏLANDE n n
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0ORTUGAL n n n n n
3UÒDE n n n n
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³TATS
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-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$% n n n
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"RÏSIL n n n n
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,IECHTENSTEIN n n n n n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n
0AYS
"AS n n n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE DAPPRENTISSAGE COMPÏTITIF DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE PROGRESSION
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP DE LINDICE DAPPRENTISSAGE COMPÏTITIF
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE #OM m n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
!LLEMAGNE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0ORTUGAL n
3UÒDE
3UISSE n
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL n
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS n
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES UNITÏS DE PROGRESSION EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LA DIFFÏRENCE ENTRE LES
QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR EST INDIQUÏE EN GRAS ELLE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
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4ABLEAU
)NDICE DINTÏRÐT POUR LINFORMATIQUE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DINTÏRÐT POUR LINFORMATIQUE
4OUS LES ÏLÒVES (OMMES &EMMES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n n n n -AX
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
"ELGIQUE n n n -AX
#ANADA n n n n -AX
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n n -AX
$ANEMARK n n n n -AX
&INLANDE n n n n -AX
!LLEMAGNE n -AX
(ONGRIE n n n n -AX
)RLANDE n n n -AX
,UXEMBOURG n -AX
-EXIQUE n -AX
.OUVELLE
:ÏLANDE n n n n n -AX
.ORVÒGE A A A A A A A A A A A A A
3UÒDE n n n -AX
3UISSE n n n -AX
³TATS
5NIS n -AX
4OTAL /#$% n
-OYENNE DE L/#$% n n n
./.
-%-"2%3
"RÏSIL n -AX
$% ,/#$%
,ETTONIE n -AX
,IECHTENSTEIN n n -AX
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n -AX
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE DINTÏRÐT POUR LINFORMATIQUE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE PROGRESSION
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP DE LINDICE DINTÏRÐT POUR LINFORMATIQUE
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
"ELGIQUE n
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK n
&INLANDE n
!LLEMAGNE n
(ONGRIE n
)RLANDE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE n
.ORVÒGE A A A A A A A A A A
3UÒDE n
3UISSE n
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$% n
./.
-%-"2%3
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE h-AXv REPRÏSENTE LES PAYS DONT PLUS DE POUR CENT DE LEURS ÏLÒVES SE SITUENT SUR LA VALEUR LA
PLUS ÏLEVÏE DE LINDICE SOIT
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES UNITÏS DE PROGRESSION EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LA DIFFÏRENCE ENTRE LES
QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR EST INDIQUÏE EN GRAS ELLE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DE CONlANCE EN SOI ET DE CAPACITÏ PER UE EN INFORMATIQUE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DE CONlANCE EN SOI ET DE CAPACITÏ PER UE EN INFORMATIQUE
4OUS LES ÏLÒVES (OMMES &EMMES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
"ELGIQUE n n n
#ANADA n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n n n n
$ANEMARK n n n n
&INLANDE n n n n
!LLEMAGNE n n n n n n
(ONGRIE n n n n n n
)RLANDE n n n n n
,UXEMBOURG n n n n
-EXIQUE n n n n n
.OUVELLE
:ÏLANDE n n
.ORVÒGE n n n n
3UÒDE n n n n
3UISSE n n n n n n
³TATS
5NIS n
4OTAL /#$% n n
-OYENNE DE L/#$% n n n
./.
-%-"2%3
"RÏSIL n n n n n n
$% ,/#$%
,ETTONIE n n n n n n
,IECHTENSTEIN n n n n n n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n n n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
NATIONAUX DE LINDICE DE CONlANCE EN SOI ET DE CAPACITÏ PER UE EN INFORMATIQUE DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE LINDICE DE CONlANCE EN SOI
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP ET DE CAPACITÏ PER UE EN INFORMATIQUE
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
!LLEMAGNE
(ONGRIE
)RLANDE
,UXEMBOURG n
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
3UÒDE
3UISSE
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
./.
-%-"2%3
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES UNITÏS DE PROGRESSION EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LA DIFFÏRENCE ENTRE LES
QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR EST INDIQUÏE EN GRAS ELLE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
!..%8% "
4ABLEAU A
0ERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET DE CULTURE SCIENTIlQUE SELON LE SEXE
333333333333333333333333 ³CHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT ³CHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE ³CHELLE DE CULTURE SCIENTIlQUE
(OMMES &EMMES $IFFÏRENCE (OMMES &EMMES $IFFÏRENCE (OMMES &EMMES $IFFÏRENCE
3333333 $IFF ENTRE LES $IFF ENTRE LES $IFF ENTRE LES
-OYENNE %R T -OYENNE3 %R T MOYENNES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T MOYENNES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T MOYENNES %R T
!USTRALIE n n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n
"ELGIQUE n n
#ANADA n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n
$ANEMARK n
&INLANDE n n
&RANCE n
!LLEMAGNE n
'RÒCE n n
(ONGRIE n n
)SLANDE n n n
)RLANDE n n
)TALIE n n
*APON n n
#ORÏE n
,UXEMBOURG n n
-EXIQUE n
.OUVELLE
:ÏLANDE n n n
.ORVÒGE n n
0OLOGNE n
0ORTUGAL n n
%SPAGNE n
3UÒDE n
3UISSE n
2OYAUME
5NI n
³TATS
5NIS n n
4OTAL /#$% n
-OYENNE DE L/#$% n
./.
-%-"2%3
"RÏSIL n
$% ,/#$%
,ETTONIE n n
,IECHTENSTEIN n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n n
0AYS
"AS n
,ES DIFFÏRENCES POSITIVES INDIQUENT QUE LES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN RÏALISENT DE MEILLEURES PERFORMANCES QUE LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ ET LES DIFFÏRENCES
NÏGATIVES QUE LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ RÏALISENT DE MEILLEURES PERFORMANCES QUE LES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN ,ES DIFFÏRENCES STATISTIQUEMENT
SIGNIlCATIVES SONT EN CARACTÒRES GRAS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU B
0ERFORMANCE PAR SEXE SUR LES ÏCHELLES i 2ETROUVER DE LINFORMATION w i )NTERPRÏTER LE TEXTE w ET i 2ÏmÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w
3333333333333333333333333333333332ETROUVER DE L INFORMATION )NTERPRÏTER LE TEXTE 2ÏmÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE
(OMMES &EMMES $IFFÏRENCE (OMMES &EMMES $IFFÏRENCE (OMMES &EMMES $IFFÏRENCE
3333333 $IFF ENTRE LES $IFF ENTRE LES $IFF ENTRE LES
-OYENNE %R T -OYENNE3 %R T MOYENNES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T MOYENNES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T MOYENNES %R T
!USTRALIE n n n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n n
"ELGIQUE n n n
#ANADA n n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n
$ANEMARK n n n
&INLANDE n n n
&RANCE n n n
!LLEMAGNE n n n
'RÒCE n n n
(ONGRIE n n n
)SLANDE n n n
)RLANDE n n n
)TALIE n n n
*APON n n n
#ORÏE n n n
,UXEMBOURG n n n
-EXIQUE n n n
.OUVELLE
:ÏLANDE n n n
.ORVÒGE n n n
0OLOGNE n n n
0ORTUGAL n n n
%SPAGNE n n n
3UÒDE n n n
3UISSE n n n
2OYAUME
5NI n n n
³TATS
5NIS n n n
4OTAL /#$% n n n
-OYENNE DE L/#$% n n n
./.
-%-"2%3
"RÏSIL n n n
$% ,/#$%
,ETTONIE n n n
,IECHTENSTEIN n n n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n n
0AYS
"AS n n n
,ES DIFFÏRENCES POSITIVES INDIQUENT QUE LES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN RÏALISENT DE MEILLEURES PERFORMANCES QUE LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ ET LES DIFFÏRENCES
NÏGATIVES QUE LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ RÏALISENT DE MEILLEURES PERFORMANCES QUE LES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN ,ES DIFFÏRENCES STATISTIQUEMENT
SIGNIlCATIVES SONT EN CARACTÒRES GRAS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU A
0OURCENTAGE DÏLÒVES Ì CHAQUE NIVEAU DE COMPÏTENCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SELON LE SEXE
!U
DESSOUS 0ROBABILITÏ ACCRUE POUR LE
DU NIVEAU .IVEAU .IVEAU .IVEAU .IVEAU .IVEAU SEXE MASCULIN DE RÏALISER
MOINS DE DE Ì DE Ì DE Ì DE Ì PLUS DE DES PERFORMANCES DE
POINTS POINTS POINTS POINTS POINTS POINTS NIVEAU OU INFÏRIEURES
(/--%3 %R T %R T %R T %R T %R T %R T 2APPORT %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
&%--%3
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
,ES VALEURS STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES SONT EN CARACTÒRES GRAS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU B
0OURCENTAGE DÏLÒVES OBTENANT UN SCORE INFÏRIEUR Ì POINTS ET SUPÏRIEUR Ì POINTS SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE
0ROBABILITÏ RELATIVE POUR LE SEXE MAS
0OURCENTAGE DÏLÒVES OBTENANT UN SCORE INFÏRIEUR Ì POINTS CULIN DE RÏALISER DES PERFORMANCES
S UR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE INFÏRIEURES Ì SUR LÏCHELLE
4OUS LES ÏLÒVES (OMMES &EMMES DE CULTURE MATHÏMATIQUE
%R T %R T %R T 2APPORT %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
0ROBABILITÏ RELATIVE POUR LE SEXE MAS
0OURCENTAGE DÏLÒVES OBTENANT UN SCORE SUPÏRIEUR Ì POINTS CULIN DE RÏALISER DES PERFORMANCES
SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE SUPÏRIEURES Ì SUR LÏCHELLE
4OUS LES ÏLÒVES (OMMES &EMMES DE CULTURE MATHÏMATIQUE
%R T %R T %R T 2APPORT %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
,ES VALEURS STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES SONT EN CARACTÒRES GRAS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
4EMPS QUE LES ÏLÒVES CONSACRENT PAR JOUR Ì LA LECTURE POUR LEUR LOISIR
³LÒVES DÏCLARANT NE PAS LIRE ³LÒVES DÏCLARANT LIRE ³LÒVES DÏCLARANT LIRE ENTRE
POUR LEUR LOISIR MINUTES OU MOINS PAR JOUR ET MINUTES PAR JOUR
&EMMES (OMMES &EMMES (OMMES &EMMES (OMMES
%R T %R T %R T %R T %R T %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
³LÒVES DÏCLARANT LIRE ENTRE ³LÒVES DÏCLARANT LIRE PLUS
ET HEURES PAR JOUR DE HEURES PAR JOUR
&EMMES (OMMES &EMMES (OMMES
%R T %R T %R T %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU A
)NDICE DIMAGE DE SOI EN LECTURE SELON LE SEXE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DIMAGE DE SOI EN LECTURE
(OMMES &EMMES $IFFÏRENCE 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T $IFF %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
!LLEMAGNE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0ORTUGAL
3UÒDE
3UISSE
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE DIMAGE DE SOI EN LECTURE
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE %R T )NDICE %R T )NDICE %R T )NDICE %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
!LLEMAGNE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0ORTUGAL
3UÒDE
3UISSE
³TATS 5NIS
4OTAL /#$%
./. -%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
,ES DIFFÏRENCES POSITIVES INDIQUENT QUE LES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN RÏALISENT DE MEILLEURES PERFORMANCES QUE LES ÏLÒVES
DU SEXE FÏMININ ET LES DIFFÏRENCES NÏGATIVES QUE LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ RÏALISENT DE MEILLEURES PERFORMANCES QUE LES
ÏLÒVES DU SEXE MASCULIN ,ES DIFFÏRENCES STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES SONT EN CARACTÒRES GRAS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU B
)NDICE DIMAGE DE SOI EN MATHÏMATIQUE SELON LE SEXE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DIMAGE DE SOI EN MATHÏMATIQUE
(OMMES &EMMES $IFFÏRENCE 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T $IFF %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n n
"ELGIQUE n n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n
$ANEMARK n
&INLANDE n n n
!LLEMAGNE n n n
(ONGRIE n n n n n
)SLANDE n n n
)RLANDE n n n n
)TALIE n n n
#ORÏE n n n n n
,UXEMBOURG n n n
-EXIQUE n n
.OUVELLE
:ÏLANDE n n
.ORVÒGE n n n
0ORTUGAL n n n n
3UÒDE n n n
3UISSE n n n
³TATS
5NIS n
4OTAL /#$% n n
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$% n n n
$% ,/#$%
"RÏSIL n n
,ETTONIE n n n
,IECHTENSTEIN n n n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n
0AYS
"AS n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE DIMAGE DE SOI EN MATHÏMATIQUE
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE %R T )NDICE %R T )NDICE %R T )NDICE %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
!LLEMAGNE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0ORTUGAL
3UÒDE
3UISSE
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
,ES DIFFÏRENCES POSITIVES INDIQUENT QUE LES ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN RÏALISENT DE MEILLEURES PERFORMANCES QUE LES ÏLÒVES
DE SEXE FÏMININ ET LES DIFFÏRENCES NÏGATIVES QUE LES ÏLÒVES DE SEXE FÏMININ RÏALISENT DE MEILLEURES PERFORMANCES QUE LES
ÏLÒVES DE SEXE MASCULIN ,ES DIFFÏRENCES STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES SONT EN CARACTÒRES GRAS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU A
)NDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL )3%) ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON M M M M M M M M M M
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT 6ARIATION DU SCORE SUR 0ROBABILITÏ ACCRUE POUR LES ÏLÒVES DU
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏ
QUARTILE INF DE LA RÏPARTITION SELON
DE STATUT PROFESSIONNEL HENSION DE LÏCRIT PAR L)3%) DE RÏALISER DES PERFORMANCES SE
E E UNITÏS DE LINDICE SOCIO
SITUANT DANS LE QUARTILE INF DE LA RÏ
1UARTILE INF QUARTILE QUARTILE 1UARTILE SUP ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL PARTITION NATIONALE SELON LES PERFOR
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE DE STATUT PROFESSIONNEL MANCES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T 6ARIATION %R T 2APPORT %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON M M M M M M M M M M M M
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
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4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
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"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
,E *APON A ÏTÏ EXCLUS DE CETTE COMPARAISON Ì CAUSE DUNE TROP FORTE PROPORTION DE DONNÏES MANQUANTES
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR ET
SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE UNITÏS Ì LINDICE CORRESPONDENT Ì UN ÏCART TYPE INTERNATIONAL
,ES RATIOS SIGNIlCATIVEMENT SUPÏRIEURS Ì SONT EN CARACTÒRES GRAS
!..%8% "
4ABLEAU B
)NDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL )3%) ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
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0!93 -%-"2%3
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2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
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,UXEMBOURG
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0ORTUGAL
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0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE CULTURE MATHÏMATIQUE 6ARIATION DU SCORE SUR 0ROBABILITÏ ACCRUE POUR LES ÏLÒVES DU
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL LÏCHELLE DE CULTURE QUARTILE INF DE LA RÏPARTITION SELON
DE STATUT PROFESSIONNEL MATHÏMATIQUE PAR L) 3%) DE RÏALISER DES PERFORMANCES SE
E E UNITÏS DE LINDICE SOCIO
SITUANT DANS LE QUARTILE INF DE LA RÏ
1UARTILE INF QUARTILE QUARTILE 1UARTILE SUP ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL PARTITION NATIONALE SELON LES PERFOR
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE DE STATUT PROFESSIONNEL MANCES EN CULTURE MATHÏMATIQUE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T 6ARIATION %R T 2APPORT %R T
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0!93 -%-"2%3
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2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
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,UXEMBOURG
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3UÒDE
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,ETTONIE
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,IECHTENSTEIN C C
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
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6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
,E *APON A ÏTÏ EXCLUS DE CETTE COMPARAISON Ì CAUSE DUNE TROP FORTE PROPORTION DE DONNÏES MANQUANTES
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR ET
SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE UNITÏS Ì LINDICE CORRESPONDENT Ì UN ÏCART TYPE INTERNATIONAL
,ES RATIOS SIGNIlCATIVEMENT SUPÏRIEURS Ì SONT EN CARACTÒRES GRAS
!..%8% "
4ABLEAU C
)NDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL )3%) ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE DE CULTURE SCIENTIlQUE
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL DE STATUT PROFESSIONNEL
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
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2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
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,UXEMBOURG
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0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE CULTURE SCIENTIlQUE 6ARIATION DU SCORE SUR 0ROBABILITÏ ACCRUE POUR LES ÏLÒVES DU
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE SOCIO
ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL LÏCHELLE DE CULTURE QUARTILE INF DE LA RÏPARTITION SELON
DE STATUT PROFESSIONNEL SCIENTIlQUE PAR L) 3%) DE RÏALISER DES PERFORMANCES SE
E E UNITÏS DE LINDICE SOCIO
SITUANT DANS LE QUARTILE INF DE LA RÏ
1UARTILE INF QUARTILE QUARTILE 1UARTILE SUP ÏCONOMIQUE INTERNATIONAL PARTITION NATIONALE SELON LES PERFOR
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE DE STATUT PROFESSIONNEL MANCES EN CULTURE SCIENTIlQUE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T 6ARIATION %R T 2APPORT %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
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"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON M M M M M M M M M M M M
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
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4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
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"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN C C
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
,E *APON A ÏTÏ EXCLUS DE CETTE COMPARAISON Ì CAUSE DUNE TROP FORTE PROPORTION DE DONNÏES MANQUANTES
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR ET
SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE UNITÏS Ì LINDICE CORRESPONDENT Ì UN ÏCART TYPE INTERNATIONAL
,ES RATIOS SIGNIlCATIVEMENT SUPÏRIEURS Ì SONT EN CARACTÒRES GRAS
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DE RICHESSE FAMILIALE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DE RICHESSE
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
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0OLOGNE n n n n
0ORTUGAL n n n
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,ETTONIE n n n n n
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0AYS
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6ARIATION DU SCORE SUR 0ROBABILITÏ ACCRUE POUR LES ÏLÒVES DU
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT LÏCHELLE COMBINÏE DE QUARTILE INF DE LA RÏPARTITION SELON
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT LINDICE DE RICHESSE DE RÏALISER DES
PAR UNITÏ DE PROGRES
PERFORM SE SITUANT DANS LE QUARTILE INF
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP SION DE LINDICE DE DE LA RÏPARTITION NATIONALE SELON LES
RICHESSE PERFORM EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T 6ARIATION %R T 2APPORT %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
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!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE n
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
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-OYENNE DE L/#$%
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"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN C C
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS n
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR ET
SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE UNITÏS Ì LINDICE CORRESPONDENT Ì UN ÏCART TYPE INTERNATIONAL
,ES RATIOS SIGNIlCATIVEMENT SUPÏRIEURS Ì SONT EN CARACTÒRES GRAS
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DE PATRIMOINE CULTUREL FAMILIAL ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DE PATRIMOINE CULTUREL FAMILIAL
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n n -AX
0!93 -%-"2%3
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"ELGIQUE n n n n
#ANADA n n n -AX
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n -AX
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&INLANDE n n -AX
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&ÏDÏRATION DE 2USSIE n -AX
0AYS
"AS n n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE PRO
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP GRESSION DE LINDICE DE PATRI
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE MOINE CULTUREL FAMILIAL
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
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!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
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4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE i -AX w EST UTILISÏ POUR DÏSIGNER LES PAYS Oá PLUS DE POUR CENT DES ÏLÒVES
ATTEIGNENT LA VALEUR LA PLUS ÏLEVÏE DE CET INDICE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES
,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DACTIVITÏS EN LIEN AVEC LA CULTURE DITE i CLASSIQUE w ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DACTIVITÏS CULTURELLES
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
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0!93 -%-"2%3
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)RLANDE n -IN n
)TALIE n -IN n
*APON n -IN n n
#ORÏE n -IN n n
,UXEMBOURG n -IN n
-EXIQUE n -IN n
.OUVELLE
:ÏLANDE n -IN n
.ORVÒGE n -IN n
0OLOGNE n
0ORTUGAL n n
%SPAGNE -IN n
3UÒDE n -IN n
3UISSE -IN n
2OYAUME
5NI n -IN n
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"RÏSIL n -IN n
,ETTONIE n
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,IECHTENSTEIN n n
&ÏDÏRATION DE 2USSIE -IN n
0AYS
"AS n -IN n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP PROGRESSION DE LINDICE
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE DACTIVITÏS CULTURELLES
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
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4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE i -IN w EST UTILISÏ POUR DÏSIGNER LES PAYS Oá PLUS DE POUR CENT DES ÏLÒVES
ATTEIGNENT LA VALEUR LA PLUS BASSE DE CET INDICE n
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES
,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR ET SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DE COMMUNICATION SOCIALE AVEC LES PARENTS ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DE COMMUNICATION SOCIALE
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
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"ELGIQUE n n n -AX
#ANADA n n n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n -AX
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'RÒCE n n -AX
(ONGRIE n -AX
)SLANDE n n n -AX
)RLANDE n n n -AX
)TALIE n -AX
*APON n n n -AX
#ORÏE n n n -AX
,UXEMBOURG n n n n
-EXIQUE n n n -AX
.OUVELLE
:ÏLANDE n n n n
.ORVÒGE n n n -AX
0OLOGNE n n -AX
0ORTUGAL n -AX
%SPAGNE n n -AX
3UÒDE n n n -AX
3UISSE n n n n
2OYAUME
5NI n n -AX
³TATS
5NIS n n -AX
./.
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4OTAL /#$% n n
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"RÏSIL n n -AX
,ETTONIE n n -AX
0!93
,IECHTENSTEIN n n n n
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n -AX
0AYS
"AS n n -AX
6ARIATION DU SCORE SUR
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT LÏCHELLE COMBINÏE DE
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
PAR UNITÏ DE PROGRESSION
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP DE LINDICE DE
COMMUNICATION SOCIALE
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE i -AX w EST UTILISÏ POUR DÏSIGNER LES PAYS Oá PLUS DE POUR CENT DES ÏLÒVES ATTEIGNENT LA VALEUR
LA PLUS ÏLEVÏE DE CET INDICE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR
ET SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DE COMMUNICATION CULTURELLE AVEC LES PARENTS EN LIEN AVEC DES ASPECTS DE LA CULTURE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DE COMMUNICATION CULTURELLE
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n n
"ELGIQUE n n n
#ANADA n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n
$ANEMARK n n
&INLANDE n n n
&RANCE n
!LLEMAGNE n n n
'RÒCE n
(ONGRIE n
)SLANDE n n
)RLANDE n n n
)TALIE n
*APON n n
#ORÏE n n n n
,UXEMBOURG n n n
-EXIQUE n n
.OUVELLE
:ÏLANDE n n
.ORVÒGE n n n
0OLOGNE n n n
0ORTUGAL n n n
%SPAGNE n n
3UÒDE n n n
3UISSE n n n
2OYAUME
5NI n n
³TATS
5NIS n n
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$% n n
-OYENNE DE L/#$% n n
$% ,/#$%
"RÏSIL n n
,ETTONIE n
0!93
,IECHTENSTEIN n n n
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n
0AYS
"AS n n n
6ARIATION DU SCORE SUR
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT LÏCHELLE COMBINÏE DE
PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
PAR UNITÏ DE PROGRESSION
1UARTILE INF E QUARTILE E QUARTILE 1UARTILE SUP DE LINDICE DE COMMU
NICATION CULTURELLE
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR
ET SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
!..%8% "
4ABLEAU
0OURCENTAGE DÏLÒVES ET PERFORMANCE SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DE CULTURE MATHÏMATIQUE
ET SCIENTIlQUE EN FONCTION DU NIVEAU DE FORMATION DE LA MÒRE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
-ÒRE AYANT COMPLÏTÏ LE NIVEAU PRIMAIRE ET LE PREMIER -ÒRE AYANT COMPLÏTÏ LE DEUXIÒME CYCLE DU SECONDAIRE
CYCLE DU SECONDAIRE NIVEAUX ET DE LA #)4% NIVEAU DE LA #)4%
0ERFORMANCE 0ERFORMANCE
³CHELLE COMBINÏE ³CHELLE DE ³CHELLE DE ³CHELLE COMBINÏE ³CHELLE DE ³CHELLE DE
DE COMPRÏHENSION CULTURE CULTURE DE COMPRÏHENSION CULTURE CULTURE
DE LÏCRIT MATHÏMATIQUE SCIENTIlQUE DE LÏCRIT MATHÏMATIQUE SCIENTIlQUE
DÏLÒVES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T DÏLÒVES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON M M M M M M M M M M M M M M M M
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
-ÒRE AYANT COMPLÏTÏ LE NIVEAU TERTIAIRE NIVEAUX ET DE LA #)4%
0ROBABILITÏ ACCRUE POUR LES ÏLÒVES DONT LA MÒRE NA PAS COMPLÏTÏ
0ERFORMANCE LE DEUXIÒME CYCLE DU SECONDAIRE DE RÏALISER DES PERFORMANCES
³CHELLE COMBINÏE DE ³CHELLE DE CULTURE ³CHELLE DE CULTURE SE SITUANT DANS LE QUARTILE INF DE LA RÏPARTITION NATIONALE
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT MATHÏMATIQUE SCIENTIlQUE SELON LES PERFORMANCES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
DÏLÒVES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 2ATIO %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON M M M M M M M M M M
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN C C C C C C
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
,ES MOYENNES DANS LES DIFFÏRENTES CATÏGORIES SONT EN CARACTÒRES GRAS LORSQUE LEURS DIFFÏRENCES SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ES PROGRESSIONS
DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES
0OURCENTAGE DES ÏLÒVES AYANT PARTICIPÏ Ì LÏVALUATION DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EN FONCTION DU NIVEAU DE FORMATION DE LEUR MÒRE
,E *APON A ÏTÏ EXCLU DE CETTE COMPARAISON Ì CAUSE DUNE TROP FORTE PROPORTION DE DONNÏES MANQUANTES
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
,ES RATIOS SIGNIlCATIVEMENT SUPÏRIEURS Ì SONT EN CARACTÒRES GRAS
!..%8% "
4ABLEAU
0OURCENTAGE DE LA POPULATION ADULTE AYANT COMPLÏTÏ LE NIVEAU DENSEIGNEMENT TERTIAIRE ET PROBABILITÏ DOBTENIR UN DIPLÙME
DE NIVEAU TERTIAIRE SELON LE NIVEAU DENSEIGNEMENT DES PARENTS
0ROBABILITÏ ACCRUE POUR LES INDIVIDUS DONT LES PARENTS ONT
0OURCENTAGE DE LA POPULATION ÊGÏE DE Ì ANS AYANT COMPLÏTÏ COMPLÏTÏ LE NIVEAU TERTIAIRE PAR RAPPORT AUX INDIVIDUS
LE NIVEAU TERTIAIRE PAR NIVEAU DENSEIGNEMENT DONT LES PARENTS NONT PAS COMPLÏTÏ LE NIVEAU SECONDAIRE
ATTEINT PAR LEURS PARENTS DOBTENIR UN DIPLÙME DE NIVEAU TERTIAIRE
!U
DESSOUS DU E CYCLE %NSEIGNEMENT DU E %NSEIGNEMENT 4OTAL
DU SECONDAIRE CYCLE DU SECONDAIRE TERTIAIRE
ANS
ANS
ANS
!USTRALIE
"ELGIQUE #OM m
#ANADA
!LLEMAGNE
)RLANDE M M
0AYS
"AS
.OUVELLE
:ÏLANDE
0OLOGNE M
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
3OURCE /#$% ET 3TATISTIQUE #ANADA
4ABLEAU
3TRUCTURE FAMILIALE DES ÏLÒVES ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT SELON LA STRUCTURE FAMILIALE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
0ROBABILITÏ ACCRUE POUR LES ÏLÒVES ISSUS DE FAMILLES MONOPARENTALES
&AMILLES MONOPARENTALES UTRES TYPES DE STRUCTURE FAMILIALE DE RÏALISER DES PERFORM SE SITUANT DANS LE QUARTILE INF DE LA RÏPARTI
!
TION NATIONALE SELON LES PERFORMANCES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
DÏLÒVES %R T -OYENNE %R T DÏLÒVES %R T -OYENNE %R T 2ATIO %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
4OTAL /#$%
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LA STRUCTURE FAMILIALE ,ES MOYENNES SONT EN CARACTÒRES GRAS LORSQUE LA DIFFÏRENCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE
COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE ENTRE LES FAMILLE MONOPARENTALES ET LES AUTRES TYPES DE STRUCTURE FAMILIALE
,ES RATIOS SIGNIlCATIVEMENT SUPÏRIEURS Ì SONT EN CARACTÒRES GRAS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
0OURCENTAGE DÏLÒVES ET PERFORMANCE SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DE CULTURE MATHÏMATIQUE
ET SCIENTIlQUE EN FONCTION DE LA NATIONALITÏ DES ÏLÒVES ET DE CELLE DE LEURS PARENTS
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
³LÒVES AUTOCHTONES ÏLÒVES NÏS DANS LE PAYS DE LÏVALUATION ³LÒVES DE RE GÏNÏRATION ÏLÒVES NÏS DANS LE PAYS DE LÏVALUATION
DONT AU MOINS UN DES PARENTS EST NÏ DANS LE MÐME PAYS MAIS DONT LES PARENTS SONT NÏS Ì LÏTRANGER
0ERFORMANCE 0ERFORMANCE
³CHELLE COMBINÏE ³CHELLE DE ³CHELLE DE ³CHELLE COMBINÏE ³CHELLE DE ³CHELLE DE
DE COMPRÏHENSION CULTURE CULTURE DE COMPRÏHENSION CULTURE CULTURE
DE LÏCRIT MATHÏMATIQUE SCIENTIlQUE DE LÏCRIT MATHÏMATIQUE SCIENTIlQUE
DÏLÒVES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T DÏLÒVES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE C C C C C C
$ANEMARK
&INLANDE C C C C C C
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE C C C C C C
(ONGRIE C C C C A A
)SLANDE C C C C C C
)RLANDE C C C C
)TALIE C C C C C C
*APON C C C C C C
#ORÏE A A A A A A A A A A A A A A A A
,UXEMBOURG
-EXIQUE C C
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE C C C C C C
0ORTUGAL
%SPAGNE C C C C
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL C C C C C C
,ETTONIE C C
0!93
,IECHTENSTEIN C C C C
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
³LÒVES ALLOCHTONES ÏLÒVES NÏS Ì LÏTRANGER DONT LES PARENTS SONT ÏGALEMENT
NÏS Ì LÏTRANGER
0ERFORMANCE
³CHELLE COMBINÏE ³CHELLE DE CULTURE ³CHELLE DE CULTURE
DE COMPRÏHENSION MATHÏMATIQUE SCIENTIlQUE
DÏLÒVES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE C C C C C C
$ANEMARK
&INLANDE C C
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE C C C C C C
)RLANDE C C
)TALIE C C C C
*APON C C C C C C
#ORÏE A A A A A A A A
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE C C C C C C
0ORTUGAL C C
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL C C C C C C
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN C C C C
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
,ES MOYENNES SONT EN CARACTÒRES GRAS LORSQUE LA DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE ENTRE LES
ÏLÒVES AUTOCHTONES ET CEUX DE PREMIÒRE GÏNÏRATION
0OURCENTAGE DES ÏLÒVES AYANT PARTICIPÏ Ì LÏVALUATION DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
#ETTE QUESTION NA PAS ÏTÏ POSÏE EN #ORÏE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
0ERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET SCIENTIlQUE EN FONCTION DE LA LANGUE PARLÏE Ì LA MAISON
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
,A LANGUE PARLÏE LE PLUS SOUVENT Ì LA MAISON %34 $)&&³2%.4% DE ,A LANGUE PARLÏE LE PLUS SOUVENT Ì LA MAISON %34 ,! -´-% QUE
LA LANGUE DE LÏVALUATION DES AUTRES LANGUES OFlCIELLES DU PAYS LA LANGUE DE LÏVALUATION OU QUUNE AUTRE LANGUE OFlCIELLE DU PAYS
OU DES AUTRES DIALECTES LOCAUX OU QUUN AUTRE DIALECTE LOCAL
0ERFORMANCE 0ERFORMANCE
³CHELLE COMBINÏE ³CHELLE DE ³CHELLE DE ³CHELLE COMBINÏE ³CHELLE DE ³CHELLE DE
DE COMPRÏHENSION CULTURE CULTURE DE COMPRÏHENSION CULTURE CULTURE
DE LÏCRIT MATHÏMATIQUE SCIENTIlQUE DE LÏCRIT MATHÏMATIQUE SCIENTIlQUE
DÏLÒVES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T DÏLÒVES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE C C C C C C
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE M M M M M M M M M M M M M M M M
)SLANDE C C
)RLANDE C C C C C C
)TALIE C C C C C C
*APON C C C C C C
#ORÏE A A A A A A A A A A A A A A A A
,UXEMBOURG
-EXIQUE C C C C C C
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE C C C C C C
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL C C C C C C
,ETTONIE A A A A A A
0!93
,IECHTENSTEIN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
0ROBABILITÏ ACCRUE POUR LES ÏLÒVES QUI NE PARLENT PAS LA LAN
GUE DE LÏVALUATION Ì LA MAISON DE RÏALISER DES PERFORMANCES
SE SITUANT DANS LE QUARTILE INF DE LA RÏPARTITION NATIONALE
SELON LES PERFORMANCES EN COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
2ATIO %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE C C
$ANEMARK
&INLANDE C C
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE M M
)SLANDE C C
)RLANDE C C
)TALIE C C
*APON C C
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE C C
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE C C
0ORTUGAL C C
%SPAGNE C C
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS
./. -%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL C C
,ETTONIE A A
0!93
,IECHTENSTEIN C C
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
,ES RÏSULTATS MOYENS EN GRAS INDIQUENT QUE LA DIFFÏRENCE ENTRE LES ÏLÒVES QUI PARLENT ET NE
PARLENT PAS LA LANGUE DU TEST Ì LA MAISON NEST PAS STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
0OURCENTAGE DES ÏLÒVES AYANT PARTICIPÏ Ì LÏVALUATION DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
#ETTE QUESTION NA PAS ÏTÏ POSÏE EN #ORÏE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
,ES RATIOS SIGNIlCATIVEMENT SUPÏRIEURS Ì SONT EN CARACTÒRES GRAS
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n n
"ELGIQUE n n n
#ANADA n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n n
$ANEMARK n
&INLANDE n
&RANCE n n n
!LLEMAGNE n n n
'RÒCE n
(ONGRIE n
)SLANDE n
)RLANDE n
)TALIE n n n
*APON n n n
#ORÏE n n n n
,UXEMBOURG n n n n
-EXIQUE n
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE n n n
0OLOGNE n n n n
0ORTUGAL
%SPAGNE n
3UÒDE n
3UISSE n
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS n
./. -%-"2%3
4OTAL /#$% n
-OYENNE DE L/#$% n
$% ,/#$%
"RÏSIL n
,ETTONIE n n n
,IECHTENSTEIN n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n
0AYS "AS n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
NATIONAUX DE LINDICE DE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE LINDICE
1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP DE SOUTIEN DES ENSEIGNANTS
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n
"ELGIQUE n
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE n
!LLEMAGNE n
'RÒCE
(ONGRIE n
)SLANDE
)RLANDE n
)TALIE n
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG n
-EXIQUE n
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL n
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE n
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS
./. -%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS n
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR
ET SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT IMPUTABLES AUX ÏLÒVES ET RÏSULTATS SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES DÏCLARATIONS DES CHEFS DÏTABLISSEMENT ET RAPPORTÏS EN PROPORTION DU NOMBRE DÏLÒVES ÊGÏS DE ANS INSCRITS DANS LÏTABLISSEMENT
)NDICE DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT IMPUTABLES AUX ÏLÒVES
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n n
"ELGIQUE n
#ANADA n n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n
$ANEMARK n
&INLANDE n n n
&RANCE M M M M M M M M
!LLEMAGNE n n n
'RÒCE n n n
(ONGRIE n
)SLANDE n n n
)RLANDE n n n
)TALIE n
*APON n
#ORÏE n
,UXEMBOURG n n n
-EXIQUE n n
.OUVELLE :ÏLANDE n n n
.ORVÒGE n n n
0OLOGNE n n
0ORTUGAL n n n
%SPAGNE n n
3UÒDE n n n
3UISSE n n n
2OYAUME 5NI n n
³TATS 5NIS n n n
./. -%-"2%3
4OTAL /#$% n
-OYENNE DE L/#$% n n
$% ,/#$%
"RÏSIL n n n
,ETTONIE n n
0!93
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n n
0AYS
"AS n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
NATIONAUX DE LINDICE DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE LINDICE
IMPUTABLES AUX ÏLÒVES
DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT
1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP IMPUTABLES AUX ÏLÒVES
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE M M M M M M M M
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS
./. -%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE ,ÏCHELLE A ÏTÏ INVERSÏE POUR QUE LES VALEURS POSITIVES ET ÏLEVÏES REPRÏSENTENT UN CLIMAT FAVORABLE
DANS LÏTABLISSEMENT Ì LÏGARD DES FACTEURS IMPUTABLES AUX ÏLÒVES
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR
ET SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DU CLIMAT DE DISCIPLINE ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
)NDICE DU CLIMAT DE DISCIPLINE
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n
"ELGIQUE n n n
#ANADA n n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n
$ANEMARK n n n
&INLANDE n n n
&RANCE n n n
!LLEMAGNE n
'RÒCE n n n n
(ONGRIE n
)SLANDE n n n
)RLANDE n
)TALIE n n n
*APON n
#ORÏE n
,UXEMBOURG n
-EXIQUE n
.OUVELLE :ÏLANDE n n n
.ORVÒGE n n n
0OLOGNE n
0ORTUGAL n n n
%SPAGNE n n n
3UÒDE n n n
3UISSE n
2OYAUME 5NI n
³TATS 5NIS n
./. -%-"2%3
4OTAL /#$% n
-OYENNE DE L/#$% n n
$% ,/#$%
"RÏSIL n n n
,ETTONIE n
0!93
,IECHTENSTEIN
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILE 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
NATIONAL DE LINDICE DU CLIMAT DE DISCIPLINE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE LINDICE
1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP DU CLIMAT DE DISCIPLINE
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS
./. -%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL n
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN n
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE ,ÏCHELLE A ÏTÏ INVERSÏE POUR QUE LES VALEURS POSITIVES ET ÏLEVÏES REPRÏSENTENT UN CLIMAT FAVORABLE
DANS LÏTABLISSEMENT Ì LÏGARD DES FACTEURS IMPUTABLES AUX ÏLÒVES
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR
ET SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES DÏCLARATIONS DES CHEFS DÏTABLISSEMENT ET RAPPORTÏS EN PROPORTION DU NOMBRE DÏLÒVES ÊGÏS DE ANS INSCRITS DANS LÏTABLISSEMENT
)NDICE DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
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0!93 -%-"2%3
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"ELGIQUE n
#ANADA n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n
$ANEMARK n
&INLANDE n n n
&RANCE M M M M M M M M
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)SLANDE n
)RLANDE n n n
)TALIE n
*APON n n
#ORÏE n
,UXEMBOURG n n n
-EXIQUE n n n
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.ORVÒGE n n n
0OLOGNE n
0ORTUGAL n n n
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3UÒDE n n
3UISSE n
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./. -%-"2%3
4OTAL /#$% n n n
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,ETTONIE n
0!93
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n n
0AYS
"AS n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
NATIONAUX DE LINDICE DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE LINDICE
IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS
DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISSEMENT
1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP IMPUTABLES AUX ENSEIGNANT
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
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"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE n
&RANCE M M M M M M M M
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(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG n
-EXIQUE n
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE n
2OYAUME 5NI
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./. -%-"2%3
4OTAL /#$%
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"RÏSIL
,ETTONIE n
0!93
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE ,ÏCHELLE A ÏTÏ INVERSÏE POUR QUE LES VALEURS POSITIVES ET ÏLEVÏES REPRÏSENTENT UN CLIMAT FAVORABLE
DANS LÏTABLISSEMENT Ì LÏGARD DES FACTEURS IMPUTABLES AUX ÏLÒVES
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR
ET SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DE PERCEPTION PAR LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DU MORAL ET DE LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES DÏCLARATIONS DES CHEFS DÏTABLISSEMENT ET RAPPORTÏS EN PROPORTION DU NOMBRE DÏLÒVES ÊGÏS DE ANS INSCRITS DANS LÏTABLISSEMENT
)NDICE DU MORAL ET DE LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n
0!93 -%-"2%3
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!UTRICHE n
"ELGIQUE n n n
#ANADA n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n
$ANEMARK n n
&INLANDE n n
&RANCE M M M M M M M M
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'RÒCE n
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)SLANDE n
)RLANDE n
)TALIE n n n
*APON n
#ORÏE n n n
,UXEMBOURG n n n
-EXIQUE n
.OUVELLE :ÏLANDE n
.ORVÒGE n n n
0OLOGNE n n n
0ORTUGAL n n n
%SPAGNE n n n
3UÒDE n
3UISSE n
2OYAUME 5NI n n
³TATS 5NIS n n n
./. -%-"2%3
4OTAL /#$% n n n
-OYENNE DE L/#$% n n
$% ,/#$%
"RÏSIL n n n
,ETTONIE n n n
0!93
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n n
0AYS
"AS n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
NATIONAUX DE LINDICE DU MORAL ET DE LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE LINDICE
DU MORAL ET DE LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS
1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE M M M M M M M M
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS
./. -%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE n
,IECHTENSTEIN
0!93
M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR
ET SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DU TEMPS QUE LES ÏLÒVES CONSACRENT Ì LEURS DEVOIRS EN LANGUE DE LÏVALUATION EN MATHÏMATIQUES ET EN SCIENCES
ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE DU TEMPS
)NDICE DU TEMPS QUE LES ÏLÒVES CONSACRENT Ì LEURS DEVOIRS EN LANGUE QUE LES ÏLÒVES CONSACRENT Ì LEURS DEVOIRS EN LANGUE
DE LÏVALUATION EN MATHÏMATIQUES ET EN SCIENCES DE LÏVALUATION EN MATHÏMATIQUES ET EN SCIENCES
4OUS LES 1UARTILE E E 1UARTILE 1UARTILE E E 1UARTILE
ÏLÒVES INF QUARTILE QUARTILE SUP INF QUARTILE QUARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T
!USTRALIE n n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n n n
"ELGIQUE n n n
#ANADA n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n n
$ANEMARK n n
&INLANDE n n n n
&RANCE n n
!LLEMAGNE n n n
'RÒCE n
(ONGRIE n
)SLANDE n n
)RLANDE n n
)TALIE n n
*APON n n n n
#ORÏE n n n
,UXEMBOURG n n n
-EXIQUE n n
.OUVELLE
:ÏLANDE n n
.ORVÒGE n n n
0OLOGNE n n
0ORTUGAL n n
%SPAGNE n n
3UÒDE n n n n
3UISSE n n n
2OYAUME
5NI n
³TATS
5NIS n n n
./.
-%-"2%3
4OTAL /#$% n n n
-OYENNE DE L/#$% n n
$% ,/#$%
"RÏSIL n n n
,ETTONIE n n
0!93
,IECHTENSTEIN n n n n
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n
0AYS
"AS n n n
6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
%STIMATION DU NOMBRE DHEURES QUE LES ÏLÒVES
DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE LINDICE DU TEMPS QUE LES ÏLÒVES #ORRÏLATION ENTRE LINDICE DU TEMPS QUE LES
CONSACRENT Ì LEURS DEVOIRS EN LANGUE DE LÏVALUATION
CONSACRENT Ì LEURS DEVOIRS EN LANGUE DE LÏVALUATION ÏLÒVES CONSACRENT Ì LEURS DEVOIRS EN LANGUE
EN MATHÏMATIQUES ET EN SCIENCES
EN MATHÏMATIQUES ET EN SCIENCES
DE LÏVALUATION EN MATHÏMATIQUES ET EN
6ARIATION %R T -OYENNE %R T SCIENCES ET L)3%) DE STATUT PROFESSIONNEL
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE n
3UISSE n
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS
./. -%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE M M M
0!93
,IECHTENSTEIN n M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE M M M
0AYS "AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR
ET SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
0ARTICIPATION DES ÏLÒVES Ì DES COURS EN DEHORS DE LÏTABLISSEMENT
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES RÏPONSES DES ÏLÒVES
0OURCENTAGE DES ÏLÒVES QUI ONT PARFOIS OU RÏGULIÒREMENT 0OURCENTAGE DES ÏLÒVES QUI ONT PARFOIS OU RÏGULIÒREMENT SUIVI
SUIVI DES COURS SPÏCIAUX EN LANGUE DE LÏVALUATION DES COURS DES COURS DE REMÏDIATION EN LANGUE DE LÏVALUATION DES COURS DE
SPÏCIAUX EN DAUTRES MATIÒRES OU DES COURS DENRICHISSEMENT REMÏDIATION EN DAUTRES MATIÒRES OU DES FORMATIONS POUR AMÏ
OU COMPLÏMENTAIRES DURANT LES TROIS DERNIÒRES ANNÏES LIORER LEURS MÏTHODES DE TRAVAIL DURANT LES TROIS DERNIÒRES ANNÏES
0OURCENTAGE %R T 0OURCENTAGE %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE M M M M
!LLEMAGNE
'RÒCE M M
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
./. -%-"2%3
"RÏSIL
$% ,/#$%
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS M M
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DE PÏNURIE DES ENSEIGNANTS ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES DÏCLARATIONS DES CHEFS DÏTABLISSEMENT ET RAPPORTÏS EN PROPORTION DU NOMBRE DÏLÒVES ÊGÏS DE ANS INSCRITS DANS LÏTABLISSEMENT
)NDICE DE PÏNURIE DES ENSEIGNANTS
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n n n -AX
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n -AX
"ELGIQUE n -AX
#ANADA n n -AX
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n -AX
$ANEMARK n -AX
&INLANDE n -AX
&RANCE M M M M M M M M
!LLEMAGNE n n n -AX
'RÒCE n n n -AX
(ONGRIE n -AX
)SLANDE n n n -AX
)RLANDE n n -AX
)TALIE n n n -AX
*APON n n n -AX
#ORÏE n -AX
,UXEMBOURG n n n C C
-EXIQUE n n n
.OUVELLE :ÏLANDE n n n -AX
.ORVÒGE n n n
0OLOGNE n -AX
0ORTUGAL n -AX
%SPAGNE n -AX
3UÒDE n n n -AX
3UISSE n -AX
2OYAUME 5NI n n n -AX
³TATS 5NIS n -AX
./. -%-"2%3
4OTAL /#$% n n -AX
-OYENNE DE L/#$% n -AX
$% ,/#$%
"RÏSIL n n -AX
,ETTONIE n n -AX
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n n
0AYS "AS n n n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILE 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
NATIONAL DE LINDICE DE PÏNURIE DES ENSEIGNANTS
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE LINDICE
1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP DE PÏNURIE DES ENSEIGNANTS
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE M M M M M M M M
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG n
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS
./. -%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE n
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE ,ÏCHELLE A ÏTÏ INVERSÏE POUR QUE LES VALEURS POSITIVES ET ÏLEVÏES INDIQUENT QUE LA PÏNURIE DENSEIGNANTS NEST PAS
PER UE COMME UN PROBLÒME MOINS IMPORTANT PAR RAPPORT Ì LA MOYENNE DE L/#$% i -AX w EST UTILISÏ POUR DÏSIGNER LES PAYS Oá PLUS DE POUR CENT DES ÏLÒVES SONT
INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS POUR LESQUELS LES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENT COÕNCIDENT AVEC LA VALEUR LA PLUS ÏLEVÏE POUR CET INDICE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR
ET SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DE QUALITÏ DES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES DES ÏTABLISSEMENTS ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES DÏCLARATIONS DES CHEFS DÏTABLISSEMENT ET RAPPORTÏS EN PROPORTION DU NOMBRE DÏLÒVES ÊGÏS DE ANS INSCRITS DANS LÏTABLISSEMENT
)NDICE DE QUALITÏ DES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES DES ÏTABLISSEMENTS
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n -AX
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n -AX
"ELGIQUE n -AX
#ANADA n -AX
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n -AX
$ANEMARK n n n
&INLANDE n n n
&RANCE M M M M M M M M
!LLEMAGNE n -AX
'RÒCE n n n
(ONGRIE n -AX
)SLANDE n -AX
)RLANDE n -AX
)TALIE n n n -AX
*APON n n n
#ORÏE n n n
,UXEMBOURG n n n
-EXIQUE n n n
.OUVELLE :ÏLANDE n -AX
.ORVÒGE n n n
0OLOGNE n n n
0ORTUGAL n -AX
%SPAGNE n -AX
3UÒDE n -AX
3UISSE n -AX
2OYAUME 5NI n n n
³TATS 5NIS n -AX
./. -%-"2%3
4OTAL /#$% n n
-OYENNE DE L/#$% n
$% ,/#$%
"RÏSIL n -AX
,ETTONIE n n n -AX
0!93
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n n
0AYS
"AS n -AX
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILE 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE
NATIONAL DE LINDICE DE QUALITÏ DES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES DES ÏTABLISSEMENTS COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE LINDICE DE QUALITÏ
DES INFRASTRUCTURES MATÏRIELLES DES ÏTABLISSEMENTS
1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n
"ELGIQUE
#ANADA n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n
$ANEMARK n
&INLANDE n
&RANCE M M M M M M M M
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE n
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE n
0ORTUGAL n
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS n
./. -%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE ,ÏCHELLE A ÏTÏ INVERSÏE POUR QUE LES VALEURS POSITIVES ET ÏLEVÏES INDIQUENT QUE LINFRASTRUCTURE MATÏRIELLE DE LÏTABLISSEMENT
NEST PAS PER UE COMME UN PROBLÒME MOINS IMPORTANT PAR RAPPORT Ì LA MOYENNE DE L/#$% i -AX w EST UTILISÏ POUR DÏSIGNER LES PAYS Oá PLUS DE POUR CENT DES ÏLÒVES
SONT INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS POUR LESQUELS LES RÏPONSES DES CHEFS DÏTABLISSEMENT COÕNCIDENT AVEC LA VALEUR LA PLUS ÏLEVÏE POUR CET INDICE
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR ET
SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
!..%8% "
4ABLEAU
)NDICE DE QUALITÏ DU MATÏRIEL PÏDAGOGIQUE DES ÏTABLISSEMENTS ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT PAR QUARTILES NATIONAUX DE LINDICE
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES DÏCLARATIONS DES CHEFS DÏTABLISSEMENT ET RAPPORTÏS EN PROPORTION DU NOMBRE DÏLÒVES ÊGÏS DE ANS INSCRITS DANS LÏTABLISSEMENT
)NDICE DE QUALITÏ DU MATÏRIEL PÏDAGOGIQUE DES ÏTABLISSEMENTS
4OUS LES ÏLÒVES 1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP
)NDICE )NDICE )NDICE )NDICE
MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T MOYEN %R T
!USTRALIE n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n
"ELGIQUE n
#ANADA n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n
$ANEMARK n
&INLANDE n n n
&RANCE M M M M M M M M
!LLEMAGNE n n n
'RÒCE n n n
(ONGRIE n
)SLANDE n n n
)RLANDE n n n
)TALIE n
*APON n n
#ORÏE n n
,UXEMBOURG n
-EXIQUE n n n
.OUVELLE :ÏLANDE n n
.ORVÒGE n n n
0OLOGNE n n n
0ORTUGAL n
%SPAGNE n
3UÒDE n n
3UISSE n
2OYAUME 5NI n n n
³TATS 5NIS n
./. -%-"2%3
4OTAL /#$% n n
-OYENNE DE L/#$% n n
$% ,/#$%
"RÏSIL n n n
,ETTONIE n n n
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n n
0AYS "AS n
0ERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR QUARTILES 6ARIATION DU SCORE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION
NATIONAUX DE LINDICE DE QUALITÏ DU MATÏRIEL PÏDAGOGIQUE DES ÏTABLISSEMENTS DE LÏCRIT PAR UNITÏ DE LINDICE DE QUALITÏ DU MATÏRIEL
1UARTILE INF -OITIÏ MÏDIANE 1UARTILE SUP PÏDAGOGIQUE DES ÏTABLISSEMENTS
-OYENNE %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T 6ARIATION %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE n
&RANCE M M M M M M M M
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS
./. -%-"2%3
4OTAL /#$%
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
6OIR LANNEXE ! POUR UNE DÏlNITION DE LINDICE ,ÏCHELLE A ÏTÏ INVERSÏE POUR QUE LES VALEURS POSITIVES ET ÏLEVÏES INDIQUENT QUE LA QUALITÏ DU MATÏRIEL
PÏDAGOGIQUE DES ÏTABLISSEMENTS NEST PAS PER UE COMME UN PROBLÒME IMPORTANT
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
6OIR LANNEXE ! POUR LA VARIATION EXPLIQUÏE ,ES PROGRESSIONS DUNITÏS EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES ,ORSQUE LES QUARTILES INFÏRIEUR
ET SUPÏRIEUR SONT INDIQUÏS EN GRAS LEUR DIFFÏRENCE EST STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVE
!..%8% "
4ABLEAU
0OURCENTAGE DÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS QUI ASSUMENT AU MOINS CERTAINES RESPONSABILITÏS DANS LES ASPECTS
SUIVANTS DE POLITIQUE ET DE GESTION DE LÏTABLISSEMENT
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES DÏCLARATIONS DES CHEFS DÏTABLISSEMENT ET RAPPORTÏS EN PROPORTION DU NOMBRE DÏLÒVES ÊGÏS DE ANS INSCRITS DANS LÏTABLISSEMENT
$ÏCIDER DE LA
$ÏTERMINER $ÏTERMINER LES VENTILATION
LE SALAIRE AUGMENTATIONS ³TABLIR LE DU BUDGET
%NGAGER DES #ONGÏDIER DES INITIAL DES DE SALAIRE DES BUDGET DE DANS LÏTA
ENSEIGNANTS %R T ENSEIGNANTS %R T ENSEIGNANTS %R T ENSEIGNANTS %R T LÏTABLISSEMENT %R T BLISSEMENT %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE M M M M M M M M M M M M
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG M M M M M M M M
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE M M M M M M M M M M M M
0OLOGNE M M M M M M M M M M M M
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
./.
-%-"2%3
³TATS
5NIS
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
#ORRÏLATION INTER
PAYS ENTRE
LA PERFORMANCE MOYENNE
DU PAYS SUR LÏCHELLE COM
BINÏE DE COMPRÏHENSION n n
DE LÏCRIT ET LE POURCENTAGE
INDIQUÏ PAR LES RUBRIQUES
RESPECTIVES DES COLONNES
0AYS
"AS
$ÏlNIR LE $ÏlNIR LES $ÏCIDER DE
RÒGLEMENT INT POLITIQUES DÏVA
LADMISSION DES #HOISIR $ÏTERMINER $ÏCIDER
POUR LES LUATION DES ÏLÒVES DANS LES MANUELS LE CONTENU DES COURS QUI
ÏLÒVES %R T ÏLÒVES %R T LÏTABLISSEMENT %R T Ì UTILISER %R T DES COURS %R T SONT PROPOSÏS %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE M M M M M M M M M M M M
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG M M M M M M M M M M
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE M M M M M M M M M M M M
0OLOGNE M M M M M M M M M M M M
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
./.
-%-"2%3
³TATS
5NIS
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
#ORRÏLATION INTER
PAYS ENTRE
LA PERFORMANCE MOYENNE
DU PAYS SUR LÏCHELLE COM
BINÏE DE COMPRÏHENSION n
DE LÏCRIT ET LE POURCENTAGE
INDIQUÏ PAR LES RUBRIQUES
RESPECTIVES DES COLONNES
0AYS
"AS
,ES CORRÏLATIONS INDIQUÏES EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
0OURCENTAGE DÏLÒVES INSCRITS DANS DES ÏTABLISSEMENTS DANS LESQUELS LES ENSEIGNANTS ASSUMENT LES PRINCIPALES RESPONSABILITÏS DANS
LES ASPECTS SUIVANTS DE POLITIQUE ET DE GESTION DE LÏTABLISSEMENT
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES DÏCLARATIONS DES CHEFS DÏTABLISSEMENT ET RAPPORTÏS EN PROPORTION DU NOMBRE DÏLÒVES ÊGÏS DE ANS INSCRITS DANS LÏTABLISSEMENT
$ÏCIDER DE LA
$ÏTERMINER $ÏTERMINER LES VENTILATION
LE SALAIRE AUGMENTATIONS ³TABLIR LE DU BUDGET
%NGAGER DES #ONGÏDIER DES INITIAL DES DE SALAIRE DES BUDGET DE DANS LÏTA
ENSEIGNANTS %R T ENSEIGNANTS %R T ENSEIGNANTS %R T ENSEIGNANTS %R T LÏTABLISSEMENT %R T BLISSEMENT %R T
!USTRALIE M M
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE M M M M
"ELGIQUE M M M M
#ANADA M M
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE M M M M M M
$ANEMARK M M
&INLANDE M M
&RANCE M M M M M M M M M M M M
!LLEMAGNE
'RÒCE M M M M M M
(ONGRIE M M M M
)SLANDE M M M M M M M M
)RLANDE M M M M M M
)TALIE M M M M M M M M M M M M
*APON M M M M M M M M
#ORÏE M M
,UXEMBOURG M M M M M M M M M M M M
-EXIQUE M M M M
.OUVELLE
:ÏLANDE M M M M M M M M
.ORVÒGE M M M M M M M M M M M M
0OLOGNE M M M M M M M M M M M M
0ORTUGAL M M M M M M M M
%SPAGNE
3UÒDE M M
3UISSE M M M M
2OYAUME
5NI M M M M M M
./.
-%-"2%3
³TATS
5NIS M M
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL M M M M M M
,ETTONIE M M M M M M M M
0!93
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE M M M M M M M M
#ORRÏLATION INTER
PAYS ENTRE
LA PERFORMANCE MOYENNE
DU PAYS SUR LÏCHELLE COM
BINÏE DE COMPRÏHENSION n n
DE LÏCRIT ET LE POURCENTAGE
INDIQUÏ PAR LES RUBRIQUES
RESPECTIVES DES COLONNES
0AYS
"AS M M M M
$ÏlNIR LE $ÏlNIR LES $ÏCIDER DE
RÒGLEMENT INT POLITIQUES DÏVA
LADMISSION DES #HOISIR $ÏTERMINER $ÏCIDER
POUR LES LUATION DES ÏLÒVES DANS LES MANUELS LE CONTENU DES COURS QUI
ÏLÒVES %R T ÏLÒVES %R T LÏTABLISSEMENT %R T Ì UTILISER %R T DES COURS %R T SONT PROPOSÏS %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE M M M M M M M M M M M M
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG M M M M M M M M M M M M
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE M M M M M M M M M M M M
0OLOGNE M M M M M M M M M M M M
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
./.
-%-"2%3
³TATS
5NIS
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,ETTONIE
0!93
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
#ORRÏLATION INTER
PAYS ENTRE
LA PERFORMANCE MOYENNE
DU PAYS SUR LÏCHELLE COM
BINÏE DE COMPRÏHENSION
DE LÏCRIT ET LE POURCENTAGE
INDIQUÏ PAR LES RUBRIQUES
RESPECTIVES DES COLONNES
0AYS
"AS
,ES CORRÏLATIONS INDIQUÏES EN CARACTÒRES GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
0OURCENTAGE DÏLÒVES ET PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT PAR TYPE DÏTABLISSEMENT
2ÏSULTATS BASÏS SUR LES DÏCLARATIONS DES CHEFS DÏTABLISSEMENT ET RAPPORTÏS EN PROPORTION DU NOMBRE DÏLÒVES ÊGÏS DE ANS INSCRITS DANS LÏTABLISSEMENT
³TABLISSEMENTS PUBLICS OU DE L³TAT ³TABLISSEMENTS PRIVÏS SUBVENTIONNÏS PAR L³TAT ³TABLISSEMENTS PRIVÏS INDÏPENDANTS DE L³TAT
)NDICE SOCIO
)NDICE SOCIO
)NDICE SOCIO
0ERFORMANCE ÏCONOMIQUE 0ERFORMANCE ÏCONOMIQUE 0ERFORMANCE ÏCONOMIQUE
SUR LÏCHELLE INTERNATIONAL SUR LÏCHELLE INTERNATIONAL SUR LÏCHELLE INTERNATIONAL
COMBINÏE DE )3%) COMBINÏE DE )3%) COMBINÏE DE )3%)
COMPRÏHENSION DE STATUT COMPRÏHENSION DE STATUT COMPRÏHENSION DE STATUT
DE LÏCRIT PROFESSIONNEL DE LÏCRIT PROFESSIONNEL DE LÏCRIT PROFESSIONNEL
DÏLÒVES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T DÏLÒVES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T DÏLÒVES %R T -OYENNE %R T -OYENNE %R T
!USTRALIE M M M M M M M M M M M M M M M M M M
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE M M M M M M M M M M M M M M M M M M
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE C C C C
$ANEMARK A A A A A A
&INLANDE A A A A A A
&RANCE M M M M M M M M M M M M M M M M M M
!LLEMAGNE A A A A A A
'RÒCE A A A A A A
(ONGRIE
)SLANDE A A A A A A C C C C
)RLANDE
)TALIE C C C C
*APON C C C C
#ORÏE
,UXEMBOURG A A A A A A
-EXIQUE A A A A A A
.OUVELLE
:ÏLANDE C C C C
.ORVÒGE A A A A A A
0OLOGNE A A A A A A
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE A A A A A A
3UISSE
2OYAUME
5NI A A A A A A
./.
-%-"2%3
³TATS
5NIS
$% ,/#$%
"RÏSIL A A A A A A
,ETTONIE C C C C A A A A A A
0!93
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M M M M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE A A A A A A A A A A A A
0AYS
"AS A A A A A A
$IFFÏRENCE DE PERFORMANCE SUR LÏCHELLE $IFFERENCE ON THE INTERNATIONAL SOCIO
ECONOMIC
COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT INDEX OF OCCUPATIONAL STATUS
³TABLISSEMENTS PRIVÏS ³TABLISSEMENTS PRIVÏS ³TABLISSEMENTS PRIVÏS ³TABLISSEMENTS PRIVÏS
SUBVENTIONNÏS PAR L³TAT ET INDÏPENDANTS DE L³TAT ET SUBVENTIONNÏS PAR L³TAT ET INDÏPENDANTS DE L³TAT ET
ÏTABLISSEMENTS PUBLICS ÏTABLISSEMENTS PUBLICS ÏTABLISSEMENTS PUBLICS ÏTABLISSEMENTS PUBLICS
$IFFÏRENCE %R T $IFFÏRENCE %R T $IFFÏRENCE %R T $IFFÏRENCE %R T
!USTRALIE M M M M M M M M
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE M M M M M M M M
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE C C n C C
$ANEMARK n A A A A
&INLANDE A A A A
&RANCE M M M M M M M M
!LLEMAGNE A A A A
'RÒCE A A A A
(ONGRIE n n
)SLANDE A A C C A A C C
)RLANDE
)TALIE C C C C
*APON C C n C C
#ORÏE n
,UXEMBOURG n A A n A A
-EXIQUE A A A A
.OUVELLE :ÏLANDE C C C C
.ORVÒGE A A A A
0OLOGNE A A A A
0ORTUGAL n
%SPAGNE
3UÒDE A A A A
3UISSE
2OYAUME 5NI A A A A
./. -%-"2%3
³TATS
5NIS n
$% ,/#$%
"RÏSIL A A A A
,ETTONIE C C A A C C A A
0!93
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE A A A A A A A A
0AYS
"AS A A A A
$E L³TAT OU PUBLIC ÏTABLISSEMENTS RELEVANT OU DÏPENDANT DIRECTEMENT I DAUTORITÏS ÏDUCATIVES PUBLIQUES OU II DUN ORGANISME GOUVERNEMENTAL OU DUN POUVOIR ORGANISATEUR DONT LA PLUPART DES MEMBRES
SONT SOIT NOMMÏS PAR UN ORGANISME GOUVERNEMENTAL SOIT ÏLUS AU SUFFRAGE PUBLIC
0RIVÏ SUBVENTIONNÏ PAR L³TAT ÏTABLISSEMENTS DONT PLUS DE POUR CENT DU BUDGET DE BASE BUDGET SERVANT Ì COUVRIR LES SERVICES PÏDAGOGIQUES FONDAMENTAUX DE LÏTABLISSEMENT PROVIENT DAUTORITÏS OFFICIELLES
0RIVÏ INDÏPENDANT DE L³TAT ÏTABLISSEMENTS DONT MOINS DE POUR CENT DU BUDGET DE BASE BUDGET SERVANT Ì COUVRIR LES SERVICES PÏDAGOGIQUES FONDAMENTAUX DE LÏTABLISSEMENT PROVIENT DAUTORITÏS OFFICIELLES
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
,ES DIFFÏRENCES POSITIVES SONT FAVORABLES AUX ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS SUBVENTIONNÏS PAR L³TAT TANDIS QUE LES DIFFÏRENCES NÏGATIVES SONT FAVORABLES AUX ÏTABLISSEMENTS PUBLICS ,ES VALEURS INDIQUÏES EN GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES
,ES DIFFÏRENCES POSITIVES SONT FAVORABLES AUX ÏTABLISSEMENTS PRIVÏS INDÏPENDANTS DE L³TAT TANDIS QUE LES DIFFÏRENCES NÏGATIVES SONT FAVORABLES AUX ÏTABLISSEMENTS PUBLICS ,ES VALEURS INDIQUÏES EN GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVES
!..%8% "
4ABLEAU
2ELATION ENTRE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES ET LE CONTEXTE SOCIO
ÏCONOMIQUE
%STIMATION DU NIVEAU DE LA DÏCLIVITÏ ET DE LA MAGNITUDE DE LA RELATION ENTRE LA PERFORMANCE DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
ET LINDICE 0)3! DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL 3%3#
,ONGUEUR DE 0OURCENTAGE DE
-OYENNE -OYENNE SI LE 3%3# ÏTAIT ÏGAL $ÏCLIVITÏ DU GRADIENT 3OLIDITÏ DE PROJECTION DE LA MANQUANTES POUR
NON CORRIGÏE Ì LA MOYENNE DE L/#$% SOCIO
ÏCONOMIQUE LA RELATION LIGNE DE GRADIENT LINDICE 3%3#
$IFFÏRENCE DE $IFFÏRENCE
SCORE ASSOCIÏE 0OURCENTAGE ENTRE LES E ET 0OURCENTAGE
Ì UNE UNITÏ DE LA VARIANCE E CENTILES DE DE LA POPULATION
-OYENNE -OYENNE %R T DE LINDICE 3%3# %R T EXPLIQUÏE LINDICE 3%3# DES ÏLÒVES
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI
³TATS 5NIS
./. -%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS M M
,ES DIFFÏRENCES ENTRE LES DÏCLIVITÏS IMPRIMÏES EN GRAS ET LA DÏCLIVITÏ MOYENNE POUR L/#$% SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
)MPACT DE CERTAINES CARACTÏRISTIQUES DU MILIEU FAMILIAL ET VARIABLES DÏMOGRAPHIQUES SUR LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
-OYENNE CORRIGÏE PAR LES
-OYENNE CARACTÏRISTIQUES DU MILIEU ³LÒVE ISSU DUNE 3TRUCTURE DE LA FRATRIE ,ÏLÒVE
NON CORRIGÏE EXPOSÏES DANS CE TABLEAU FAMILLE MONOPARENTALE PROGRESSION FRÒRESUR EST ALLOCHTONE
-OYENNE -OYENNE %R T %FFET %R T %FFET %R T %FFET %R T
!USTRALIE n n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n
"ELGIQUE n n n
#ANADA n n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n
$ANEMARK n n n
&INLANDE n n n
&RANCE n n n
!LLEMAGNE n n
'RÒCE n n
(ONGRIE n n
)SLANDE n n
)RLANDE n n
)TALIE n n n
*APON n n n
#ORÏE n n
,UXEMBOURG n n n
-EXIQUE n n
.OUVELLE
:ÏLANDE n n n
.ORVÒGE n n n
0OLOGNE n n
0ORTUGAL n n
%SPAGNE n n n
3UÒDE n n n
3UISSE n n n
2OYAUME
5NI n n n
./.
-%-"2%3
³TATS
5NIS n n n
$% ,/#$%
-OYENNE DE L/#$% n n n
"RÏSIL n n n
,IECHTENSTEIN n n n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n
0AYS
"AS M M n n n
)NDICE SOCIO ÏCONOMIQUE INTERNA !NNÏES DE SCOLARITÏ )NDICE DES RESSOURCES ÏDUCATIVES )NDICE DU PATRIMOINE
TIONAL )3%) DU STATUT PROFESSIONNEL DES PARENTS Ì LA MAISON CULTUREL FAMILIAL
PROGRESSION DE UNITÏ PROGRESSION DE ANNÏE PROGRESSION DE UNITÏ PROGRESSION DE UNITÏ
%FFET %R T %FFET %R T %FFET %R T %FFET %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE n
)RLANDE
)TALIE
*APON n
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE :ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME 5NI
./. -%-"2%3
³TATS
5NIS
$% ,/#$%
-OYENNE DE L/#$%
"RÏSIL
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS "AS
,ES DÏCLIVITÏS IMPRIMÏES EN GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES
0OUR LES DÏlNITIONS DES MESURES VOIR LANNEXE !
0OUR LES DÏlNITIONS DES INDICES VOIR LANNEXE !
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
6ARIATION DE LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT EXPLIQUÏE PAR LE STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE
0OURCENTAGE DE VARIATION %.42% ÏTABLISSEMENTS 0OURCENTAGE DE VARIATION !5 3%). DES ÏTABLISSEMENTS
EXPLIQUÏE PAR LINDICE DE 3%3# EXPLIQUÏE PAR LINDICE DE 3%3#
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE M M
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
)MPACT DU STATUT SOCIO
ÏCONOMIQUE DES ÏLÒVES ET DES ÏTABLISSEMENTS SUR LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE
DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
%FFETS DAUGMENTATION DUN DEMI
ÏCART TYPE Ì LÏCHELLE DE LÏLÒVE DE LINDICE DE 3%3#
³CART INTERQUARTILE %FFET DU 3%3# MOYEN
DU 3%3# MOYEN %FFETS DU 3%3# DES ÏLÒVES DES ÏTABLISSEMENTS
DE LÏTABLISSEMENT SUR LA PERFORMANCE SUR LA PERFORMANCE
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE
"ELGIQUE
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK
&INLANDE
&RANCE M M M
!LLEMAGNE
'RÒCE
(ONGRIE
)SLANDE
)RLANDE
)TALIE
*APON M M M
#ORÏE
,UXEMBOURG
-EXIQUE
.OUVELLE
:ÏLANDE
.ORVÒGE
0OLOGNE
0ORTUGAL
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE
2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS
./.
-%-"2%3
-OYENNE DE L/#$%
$% ,/#$%
"RÏSIL
,IECHTENSTEIN
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS
0OUR LES DÏlNITIONS DES INDICES VOIR LANNEXE !
#E TABLEAU NE COMPORTE PAS DE DONNÏES POUR LE *APON ÏTANT DONNÏ LE FORT POURCENTAGE DE DONNÏES MANQUANTES POUR LINDICE DE 3%3#
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
)MPACT DE VARIABLES RELATIVES AU NIVEAU DES ÏLÒVES ET AU NIVEAU SCOLAIRE SUR LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES
SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET DE CULTURE SCIENTIFIQUE
-ODÒLE )MPACT -ODÒLE )MPACT BILATÏRAL
³#(%,,% #/-").³%
DES FACTEURS LIÏS AUX -ODÒLE )MPACT DES FACTEURS LIÏS AUX ÏTABLIS
ÏTABLISSEMENTS DU MILIEU FAMILIAL SEMENTS ET DU MILIEU FAMILIAL
$% #/-02³(%.3)/.
$% ,³#2)4 0ROGRESSION %FFET %R T %FFET %R T %FFET %R T
-ILIEU FAMILIAL ET CARACTÏRISTIQUES DES ÏLÒVES
)NDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL DE LÏLÒVE UNITÏ
n )NDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL
DE LÏLÒVE AU CARRÏ n n
)NDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL MOYEN DE LÏTABLISSEMENT UNITÏ Ì LÏCHELLE DE LÏLÒVE
,ÏLÒVE EST DE SEXE FÏMININ
,ÏLÒVE EST ALLOCHTONE n n
2ESSOURCES DE LÏTABLISSEMENT
2APPORT ÏLÒVESENSEIGNANTS PAR ÏLÒVE DE MOINS POUR CHAQUE ENSEIGNANT %40 n ÏLÒVE
n 2APPORT ÏLÒVESENSEIGNANTS AU CARRÏ n
n ,E RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANTS EST SUPÏRIEUR Ì n n
4AILLE DE LÏTABLISSEMENT ÏLÒVES
4AILLE DE LÏTABLISSEMENT AU CARRÏ n
DORDINATEURS DANS LES ÏTABLISSEMENTS DISPONIBLES POUR LES ÏLÒVES DE ANS POINT DE POURCENTAGE n
DENSEIGNANTS DANS LÏTABLISSEMENT QUI ONT UN DIPLÙME DE NIVEAU TERTIAIRE
AVEC UNE SPÏCIALISATION DANS LE DOMAINE DES DISCIPLINES RESPECTIVES POINT DE POURCENTAGE
DENSEIGNANTS DANS LÏTABLISSEMENT PARTICIPANT Ì DES PROGRAMMES
DE FORMATION CONTINUE POINT DE POURCENTAGE n n
)NDICE DE LA QUALITÏ DE LINFRASTRUCTURE DE LÏTABLISSEMENT
UNITÏ
)NDICE DUTILISATION DES RESSOURCES DE LÏTABLISSEMENT PAR LES ÏLÒVES
UNITÏ
0OLITIQUE ET PRATIQUES PÏDAGOGIQUES DE LÏTABLISSEMENT
)NDICE DE RECOURS Ì LÏVALUATION FORMELLE DES ÏLÒVES
UNITÏ n
)NDICE DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISS IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS
UNITÏ
)NDICE DU MORAL ET DE LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS TELS QUILS SONT
PER US PAR LE CHEF DÏTABLISSEMENT
UNITÏ n
)NDICE DAUTONOMIE DES ENSEIGNANTS
UNITÏ n n
)NDICE DAUTONOMIE DE LÏTABLISSEMENT
UNITÏ n
0RATIQUES PÏDAGOGIQUES DANS LA CLASSE
)NDICE DE RECOURS Ì LÏVALUATION INFORMELLE DES ÏLÒVES
UNITÏ n n
)NDICE DES RELATIONS ENSEIGNANTÏLÒVE
UNITÏ
)NDICE DU CLIMAT DE DISCIPLINE
UNITÏ
)NDICE DENCOURAGEMENT
UNITÏ
0OURCENTAGE DE VARIANCE EXPLIQUÏE
³LÒVES DANS LES ÏTABLISSEMENTS
³TABLISSEMENTS DANS LES PAYS
%NTRE PAYS
-ODÒLE )MPACT -ODÒLE )MPACT BILATÏRAL
DES FACTEURS LIÏS AUX -ODÒLE )MPACT DES FACTEURS LIÏS AUX ÏTABLIS
³#(%,,% $% #5,452% ÏTABLISSEMENTS DU MILIEU FAMILIAL SEMENTS ET DU MILIEU FAMILIAL
-!4(³-!4)15% 0ROGRESSION %FFET %R T %FFET %R T %FFET %R T
-ILIEU FAMILIAL ET CARACTÏRISTIQUES DES ÏLÒVES
)NDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL DE LÏLÒVE UNITÏ
n )NDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL
DE LÏLÒVE AU CARRÏ n n
)NDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL MOYEN DE LÏTABLISSEMENT UNITÏ Ì LÏCHELLE DE LÏLÒVE
,ÏLÒVE EST DE SEXE FÏMININ n n
,ÏLÒVE EST ALLOCHTONE n n
2ESSOURCES DE LÏTABLISSEMENT
2APPORT ÏLÒVESENSEIGNANTS PAR ÏLÒVE DE MOINS POUR CHAQUE ENSEIGNANT %40 n ÏLÒVE
n 2APPORT ÏLÒVESENSEIGNANTS AU CARRÏ n
n ,E RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANTS EST SUPÏRIEUR Ì n n
4AILLE DE LÏTABLISSEMENT ÏLÒVES
4AILLE DE LÏTABLISSEMENT AU CARRÏ n
DORDINATEURS DANS LES ÏTABLISSEMENTS DISPONIBLES POUR LES ÏLÒVES DE ANS POINT DE POURCENTAGE n n
DENSEIGNANTS DANS LÏTABLISSEMENT QUI ONT UN DIPLÙME DE NIVEAU TERTIAIRE
AVEC UNE SPÏCIALISATION DANS LE DOMAINE DES DISCIPLINES RESPECTIVES POINT DE POURCENTAGE
DENSEIGNANTS DANS LÏTABLISSEMENT PARTICIPANT Ì DES PROGRAMMES
DE FORMATION CONTINUE POINT DE POURCENTAGE n n
)NDICE DE LA QUALITÏ DE LINFRASTRUCTURE DE LÏTABLISSEMENT
UNITÏ
)NDICE DUTILISATION DES RESSOURCES DE LÏTABLISSEMENT PAR LES ÏLÒVES
UNITÏ
0OLITIQUE ET PRATIQUES PÏDAGOGIQUES DE LÏTABLISSEMENT
)NDICE DE RECOURS Ì LÏVALUATION FORMELLE DES ÏLÒVES
UNITÏ
)NDICE DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISS IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS
UNITÏ
)NDICE DU MORAL ET DE LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS TELS QUILS SONT
PER US PAR LE CHEF DÏTABLISSEMENT
UNITÏ n
)NDICE DAUTONOMIE DES ENSEIGNANTS
UNITÏ n n
)NDICE DAUTONOMIE DE LÏTABLISSEMENT
UNITÏ n
0RATIQUES PÏDAGOGIQUES DANS LA CLASSE
)NDICE DE RECOURS Ì LÏVALUATION INFORMELLE DES ÏLÒVES
UNITÏ n n
)NDICE DES RELATIONS ENSEIGNANTÏLÒVE
UNITÏ
)NDICE DU CLIMAT DE DISCIPLINE
UNITÏ
)NDICE DENCOURAGEMENT
UNITÏ
0OURCENTAGE DE VARIANCE EXPLIQUÏE
³LÒVES DANS LES ÏTABLISSEMENTS
³TABLISSEMENTS DANS LES PAYS
%NTRE PAYS
#ES INDICES ONT ÏTÏ UNIFORMISÏES DE FA ON Ì AVOIR UNE MOYENNE DE ET UN ÏCART TYPE DE POUR LES ÏTABLISSEMENTS DANS LES PAYS DE L/#$%
,ES VALEURS INDIQUÏES EN GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES
0OUR LES DÏlNITIONS DES INDICES VOIR LANNEXE !
0OUR LES DÏlNITIONS DES MESURES VOIR LANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU SUITE
)MPACT DE VARIABLES RELATIVES AU NIVEAU DES ÏLÒVES ET AU NIVEAU SCOLAIRE SUR LES PERFORMANCES DES ÏLÒVES
SUR LES ÏCHELLES COMBINÏES DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT DE CULTURE MATHÏMATIQUE ET DE CULTURE SCIENTIFIQUE
-ODÒLE )MPACT -ODÒLE )MPACT BILATÏRAL
DES FACTEURS LIÏS AUX -ODÒLE )MPACT DES FACTEURS LIÏS AUX ÏTABLIS
³#(%,,% $% #5,452% ÏTABLISSEMENTS DU MILIEU FAMILIAL SEMENTS ET DU MILIEU FAMILIAL
3#)%.4)&)15% 0ROGRESSION %FFET %R T %FFET %R T %FFET %R T
-ILIEU FAMILIAL ET CARACTÏRISTIQUES DES ÏLÒVES
)NDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL DE LÏLÒVE UNITÏ
n )NDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL
DE LÏLÒVE AU CARRÏ n n
)NDICE DU STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL ET CULTUREL MOYEN DE LÏTABLISSEMENT UNITÏ Ì LÏCHELLE DE LÏLÒVE
,ÏLÒVE EST DE SEXE FÏMININ n n
,ÏLÒVE EST ALLOCHTONE n n
2ESSOURCES DE LÏTABLISSEMENT
2APPORT ÏLÒVESENSEIGNANTS PAR ÏLÒVE DE MOINS POUR CHAQUE ENSEIGNANT %40 n ÏLÒVE
n 2APPORT ÏLÒVESENSEIGNANTS AU CARRÏ n
n ,E RAPPORT ÏLÒVESENSEIGNANTS EST SUPÏRIEUR Ì n n
4AILLE DE LÏTABLISSEMENT ÏLÒVES
4AILLE DE LÏTABLISSEMENT AU CARRÏ n
DORDINATEURS DANS LES ÏTABLISSEMENTS DISPONIBLES POUR LES ÏLÒVES DE ANS POINT DE POURCENTAGE n n
DENSEIGNANTS DANS LÏTABLISSEMENT QUI ONT UN DIPLÙME DE NIVEAU TERTIAIRE
AVEC UNE SPÏCIALISATION DANS LE DOMAINE DES DISCIPLINES RESPECTIVES POINT DE POURCENTAGE
DENSEIGNANTS DANS LÏTABLISSEMENT PARTICIPANT Ì DES PROGRAMMES
DE FORMATION CONTINUE POINT DE POURCENTAGE n n
)NDICE DE LA QUALITÏ DE LINFRASTRUCTURE DE LÏTABLISSEMENT
UNITÏ
)NDICE DUTILISATION DES RESSOURCES DE LÏTABLISSEMENT PAR LES ÏLÒVES
UNITÏ
0OLITIQUE ET PRATIQUES PÏDAGOGIQUES DE LÏTABLISSEMENT
)NDICE DE RECOURS Ì LÏVALUATION FORMELLE DES ÏLÒVES
UNITÏ
)NDICE DES FACTEURS TROUBLANT LE CLIMAT DE LÏTABLISS IMPUTABLES AUX ENSEIGNANTS
UNITÏ
)NDICE DU MORAL ET DE LENGAGEMENT DES ENSEIGNANTS TELS QUILS SONT
PER US PAR LE CHEF DÏTABLISSEMENT
UNITÏ
)NDICE DAUTONOMIE DES ENSEIGNANTS
UNITÏ n
)NDICE DAUTONOMIE DE LÏTABLISSEMENT
UNITÏ
0RATIQUES PÏDAGOGIQUES DANS LA CLASSE
)NDICE DE RECOURS Ì LÏVALUATION INFORMELLE DES ÏLÒVES
UNITÏ n n
)NDICE DES RELATIONS ENSEIGNANTÏLÒVE
UNITÏ
)NDICE DU CLIMAT DE DISCIPLINE
UNITÏ
)NDICE DENCOURAGEMENT
UNITÏ
0OURCENTAGE DE VARIANCE EXPLIQUÏE
³LÒVES DANS LES ÏTABLISSEMENTS
³TABLISSEMENTS DANS LES PAYS
%NTRE PAYS
#ES INDICES ONT ÏTÏ UNIFORMISÏES DE FA ON Ì AVOIR UNE MOYENNE DE ET UN ÏCART TYPE DE POUR LES ÏTABLISSEMENTS DANS LES PAYS DE L/#$%
,ES VALEURS INDIQUÏES EN GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES
0OUR LES DÏlNITIONS DES INDICES VOIR LANNEXE !
0OUR LES DÏlNITIONS DES MESURES VOIR LANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU A
)MPACT DE VARIABLES RELATIVES AU NIVEAU DES ÏLÒVES ET AU NIVEAU SCOLAIRE SUR LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
$IFFÏRENCE DANS LA PER
$IFFÏRENCE DANS LA PER
$IFFÏRENCE DANS LA PER
0OURCENTAGE
FORMANCE MOYENNE DUN FORMANCE MOYENNE DUN FORMANCE MOYENNE DUN DENSEIGNANTS
ÏTABLISSEMENT QUAND ÏTABLISSEMENT QUAND ÏTABLISSEMENT QUAND 0OURCENTAGE DORDI
DIPLÙMÏS DE LUNIVERSITÏ
LE RAPPORT ÏLÒVES LE RAPPORT ÏLÒVES LE RAPPORT ÏLÒVES NATEURS DANS LES ÏTABLISSE
DANS LES ÏTABLISSEMENTS
ENSEIGNANT SE SITUE DE ENSEIGNANT SE SITUE DE ENSEIGNANT EST SUPÏ
MENTS DISPONIBLES POUR ET QUI SONT SPÏCIALISÏS
Ì ET QUAND IL EST Ì ET QUAND IL EST RIEUR Ì ET QUAND IL LES ÏLÒVES DE ANS DANS LEUR SUJET
INFÏRIEUR Ì INFÏRIEUR Ì EST INFÏRIEUR Ì AUGMENTATION DE POINT DE AUGMENTATION DE POINT DE
#OEFF %R T #OEFF %R T #OEFF %R T #OEFF %R T #OEFF %R T
!USTRALIE n A A n n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n n
"ELGIQUE A A n n
#ANADA n n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n
$ANEMARK A A A A A A n
&INLANDE A A A A A A n n
&RANCE M M M M M M M M M M
!LLEMAGNE n n n n
'RÒCE A A A A n A A
(ONGRIE A A A A n
)SLANDE A A n A A n
)RLANDE A A A A A A n
)TALIE A A A A A A n
*APON A A A A n n
#ORÏE n n
,UXEMBOURG A A A A A A
-EXIQUE n n n
.OUVELLE
:ÏLANDE A A A A A A n
.ORVÒGE A A A A A A n
0OLOGNE n n n
0ORTUGAL A A A A n n
%SPAGNE n A A n
3UÒDE A A A A n n
3UISSE n A A n n
2OYAUME
5NI n n n
./.
-%-"2%3
³TATS
5NIS n A A n
$% ,/#$%
-ÏTA EFFET n n n n
"RÏSIL n n
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M M M
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n n n
0AYS
"AS A A n
DENSEIGNANTS DANS LES ÏTABLIS
)NDICE DE QUALITÏ )NDICE DE LUTILISATION PAR )NDICE DUTILISATION
SEMENTS PARTICIPANT Ì DES PRO
DES INFRASTRUCTURES LES ÏLÒVES DES RESSOURCES DUNE ÏVALUATION
GRAMMES DE FORMATION CONTINUE SCOLAIRES MATÏRIELLES SCOLAIRES FORMELLE DES ÏLÒVES
AUGMENTATION DE POINT DE AUGMENTATION DE UNITÏ AUGMENTATION DE UNITÏ AUGMENTATION DE UNITÏ
#OEFF %R T #OEFF %R T #OEFF %R T #OEFF %R T
!USTRALIE n n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n
"ELGIQUE n n
#ANADA n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n
$ANEMARK
&INLANDE n
&RANCE M M M M M M M M
!LLEMAGNE n n
'RÒCE n n
(ONGRIE n n
)SLANDE n
)RLANDE n n n
)TALIE n
*APON n n
#ORÏE n n
,UXEMBOURG n n A A
-EXIQUE n
.OUVELLE :ÏLANDE n
.ORVÒGE n
0OLOGNE n
0ORTUGAL n n
%SPAGNE n
3UÒDE n
3UISSE n n
2OYAUME 5NI n n n
./. -%-"2%3
³TATS
5NIS n n
$% ,/#$%
-ÏTA EFFET n n
"RÏSIL n n
,IECHTENSTEIN M M M M M M M M
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n
0AYS "AS n n n
,ES VALEURS INDIQUÏES EN GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES
0OUR LES DÏlNITIONS DES INDICES VOIR LANNEXE !
0OUR LES DÏlNITIONS DES MESURES VOIR LANNEXE !
³TANT DONNÏ LE PETIT NOMBRE DÏTABLISSEMENTS AU ,IECHTENSTEIN IL NA PAS ÏTÏ POSSIBLE DEFFECTUER DE CALCUL
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU A SUITE
)MPACT DE VARIABLES RELATIVES AU NIVEAU DES ÏLÒVES ET AU NIVEAU SCOLAIRE SUR LA PERFORMANCE SUR LÏCHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
)NDICE DE FACTEURS LIÏS AUX )NDICE DE LA PERCEPTION QUONT )NDICE DE )NDICE DE
ENSEIGNANTS AFFECTANT LE CLI
LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DU LAUTONOMIE LAUTONOMIE
MAT DE DISCIPLINE DE LÏTABLIS
MORAL ET DE LENGAGEMENT DES DES ENSEIGNANTS DES ÏTABLISSEMENTS
SEMENT AUGMENTATION DE UNITÏ ENSEIGNANTS AUGMENTATION DE UNITÏ AUGMENTATION DE UNITÏ AUGMENTATION DE UNITÏ
#OEFF %R T #OEFF %R T #OEFF %R T #OEFF %R T
!USTRALIE n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n n n
"ELGIQUE n
#ANADA n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n
$ANEMARK n n
&INLANDE n n
&RANCE M M M M M M M M
!LLEMAGNE n n
'RÒCE n
(ONGRIE n n
)SLANDE n n
)RLANDE
)TALIE n n
*APON n n
#ORÏE n
,UXEMBOURG n n A A A A
-EXIQUE n n
.OUVELLE :ÏLANDE n
.ORVÒGE A A A A
0OLOGNE A A A A
0ORTUGAL n n
%SPAGNE
3UÒDE n n
3UISSE n n
2OYAUME 5NI n
./. -%-"2%3
³TATS
5NIS n
$% ,/#$%
-ÏTA EFFET n
"RÏSIL n
,IECHTENSTEIN
0!93
M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n
0AYS
"AS n n n
)NDICE DUTILISATION )NDICE DES RELATIONS )NDICE DE LA DISCIPLINE )NDICE
DE LÏVALUATION INFORMELLE DES ENTRE ÏLÒVESENSEIGNANTS RÏGNANT DANS LES ÏTABLISSEMENTS DENCOURAGEMENT
ÏLÒVES AUGMENTATION DE UNITÏ AUGMENTATION DE UNITÏ AUGMENTATION DE UNITÏ AUGMENTATION DE UNITÏ
#OEFF %R T #OEFF %R T #OEFF %R T #OEFF %R T
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
n n
$% ,/#$%
!UTRICHE n
"ELGIQUE n
#ANADA n n
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n
$ANEMARK n
&INLANDE n n
&RANCE M M n n
!LLEMAGNE n n
'RÒCE
(ONGRIE n
)SLANDE n
)RLANDE
)TALIE n
*APON n
#ORÏE n
,UXEMBOURG A A n
-EXIQUE n
.OUVELLE :ÏLANDE n
.ORVÒGE A A n
0OLOGNE
0ORTUGAL n
%SPAGNE
3UÒDE n n
3UISSE n n
2OYAUME 5NI n
./. -%-"2%3
³TATS
5NIS n
$% ,/#$%
-ÏTA EFFET n
"RÏSIL n
,IECHTENSTEIN
0!93
M M M M M M M M
&ÏDÏRATION DE 2USSIE A A n
0AYS
"AS n n
,ES VALEURS INDIQUÏES EN GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIVES
0OUR LES DÏlNITIONS DES INDICES VOIR LANNEXE !
0OUR LES DÏlNITIONS DES MESURES VOIR LANNEXE !
³TANT DONNÏ LE PETIT NOMBRE DÏTABLISSEMENTS AU ,IECHTENSTEIN IL NA PAS ÏTÏ POSSIBLE DEFFECTUER DE CALCUL
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
4ABLEAU
-OYENNES NATIONALES DE CERTAINS INDICES DU NIVEAU SCOLAIRE ET LEUR CORRÏLATION AVEC LE STATUT ÏCONOMIQUE SOCIAL
ET CULTUREL 3%3# MOYEN DE LÏTABLISSEMENT
0OURCENTAGE DENSEIGNANTS DANS )NDICE )NDICE DE FACTEURS LIÏS AUX
LÏTABLISS QUI ONT UN DIPLÙME DE DUTILISATION DES ENSEIGNANTS AFFECTANT LE
)NDICE NIVEAU TERTIAIRE AVEC UNE RESSOURCES DE LÏTABLISSE
CLIMAT DE DISCIPLINE
)NDICE DU RAPPORT DE LA TAILLE SPÏCIALISATION DANS LE DOMAINE MENT PAR LES ÏLÒVES DE LÏTABLISSEMENT
ÏLÒVESENSEIGNANT DE LÏTABLISSEMENT DES DISCIPLINES RESPECTIVES REMIS Ì LÏCHELLE REMIS Ì LÏCHELLE
#ORRÏLA
#ORRÏLA
#ORRÏLA
#ORRÏLA
#ORRÏLA
)NDICE TION AVEC )NDICE TION AVEC )NDICE TION AVEC )NDICE TION AVEC )NDICE TION AVEC
MOYEN %R T LE 3%3# MOYEN %R T LE 3%3# MOYEN %R T LE 3%3# MOYEN %R T LE 3%3# MOYEN %R T LE 3%3#
!USTRALIE n
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n
"ELGIQUE n
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE
$ANEMARK M
&INLANDE M n n
&RANCE M M M M M M M M M M M M M M M
!LLEMAGNE n
'RÒCE M n n
(ONGRIE M
)SLANDE n n n
)RLANDE n
)TALIE M
*APON M n
#ORÏE n n n
,UXEMBOURG M n n
-EXIQUE n
.OUVELLE
:ÏLANDE M n
.ORVÒGE M n
0OLOGNE n
0ORTUGAL M n n
%SPAGNE n
3UÒDE
3UISSE n
2OYAUME
5NI n n
./.
-%-"2%3
³TATS
5NIS n
$% ,/#$%
-OYENNE DE L/#$%
"RÏSIL n
,IECHTENSTEIN M n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE
0AYS
"AS n
)NDICE DE LA PERCEPTION QUONT )NDICE )NDICE DES RELATIONS )NDICE DE LA DISCIPLINE
LES CHEFS DÏTABLISSEMENT DU DE LAUTONOMIE ENTRE ÏLÒVES RÏGNANT DANS LES )NDICE
MORAL ET DE LENGAGEMENT DES DES ÏTABLISSEMENTS ENSEIGNANTS ÏTABLISSEMENTS DENCOURAGEMENT
ENSEIGNANTS REMIS Ì LÏCHELLE REMIS Ì LÏCHELLE REMIS Ì LÏCHELLE REMIS Ì LÏCHELLE REMIS Ì LÏCHELLE
#ORRÏLA
#ORRÏLA
#ORRÏLA
#ORRÏLA
#ORRÏLA
)NDICE TION AVEC )NDICE TION AVEC )NDICE TION AVEC )NDICE TION AVEC )NDICE TION AVEC
MOYEN %R T LE 3%3# MOYEN %R T LE 3%3# MOYEN %R T LE 3%3# MOYEN %R T LE 3%3# MOYEN %R T LE 3%3#
!USTRALIE
0!93 -%-"2%3
$% ,/#$%
!UTRICHE n
"ELGIQUE n n
#ANADA
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE n n n
$ANEMARK n n
&INLANDE n n n n
&RANCE M M M M M M M M M M M M M M M
!LLEMAGNE n
'RÒCE n
(ONGRIE n n n n n
)SLANDE n n n n
)RLANDE n
)TALIE
*APON
#ORÏE n
,UXEMBOURG n n n n
-EXIQUE n
.OUVELLE
:ÏLANDE n n
.ORVÒGE n n
0OLOGNE
0ORTUGAL n
%SPAGNE
3UÒDE
3UISSE n n
2OYAUME
5NI
./.
-%-"2%3
³TATS
5NIS n
$% ,/#$%
-OYENNE DE L/#$%
"RÏSIL n
,IECHTENSTEIN n
0!93
&ÏDÏRATION DE 2USSIE n n n
0AYS
"AS n n
,ES COEFlCIENTS EN GRAS SONT STATISTIQUEMENT SIGNIlCATIFS
0OUR LES DÏlNITIONS DES INDICES VOIR LANNEXE ! 0OUR LES MÏTHODES UTILISÏES POUR REMETTRE Ì LÏCHELLE LES INDICES VOIR LENCADRÏ
,E TAUX DE RÏPONSE EST TROP FAIBLE POUR PERMETTRE UNE COMPARAISON VOIR ANNEXE !
!..%8% "
!NNEXE " DIFFÏRENCES DE PERFORMANCE ENTRE LA #OMMUNAUTÏ FLAMANDE ET LA #OMMUNAUTÏ
FRANÎAISE DE "ELGIQUE ET ENTRE LES DIFFÏRENTES COMMUNAUTÏS LINGUISTIQUES DE 3UISSE
$ANS LE CAS DE LA "ELGIQUE ET DE LA 3UISSE LE PLAN DÏCHANTILLONNAGE PERMET DE PRÏSENTER LES RÏSULTATS DU 0)3! SÏPARÏMENT POUR
DES ENTITÏS INFRANATIONALES TABLEAU "
4ABLEAU "
$IFFÏRENCES DE PERFORMANCE ENTRE LES #OMMUNAUTÏS FLAMANDE ET FRAN AISE DE "ELGIQUE
ET LES COMMUNAUTÏS LINGUISTIQUES EN 3UISSE
³CART #ENTILES
-OYENNE TYPE E E E E E E
-OYENNE %R T %C T %R T 3CORE %RT 3CORE %RT 3CORE %R T 3CORE %R T 3CORE %R T 3CORE %R T
³CHELLE COMBINÏE DE COMPRÏHENSION DE LÏCRIT
"ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FR
"ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FL
3UISSE ALÏMANIQUE
3UISSE FRANCOPHONE
3UISSE ITALIENNE
,ECTUREÏCHELLE i 2ETROUVER DE LINFORMATION w
"ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FR
"ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FL
3UISSE ALÏMANIQUE
3UISSE FRANCOPHONE
3UISSE ITALIENNE
,ECTUREÏCHELLE i $ÏVELOPPER UNE INTERPRÏTATION w
"ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FR
"ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FL
3UISSE ALÏMANIQUE
3UISSE FRANCOPHONE
3UISSE ITALIENNE
,ECTUREÏCHELLE i 2ÏFLÏCHIR SUR LE CONTENU DU TEXTE w
"ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FR
"ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FL
3UISSE ALÏMANIQUE
3UISSE FRANCOPHONE
3UISSE ITALIENNE
³CHELLE DE CULTURE MATHÏMATIQUE
"ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FR
"ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FL
3UISSE ALÏMANIQUE
3UISSE FRANCOPHONE
3UISSE ITALIENNE
³CHELLE DE CULTURE SCIENTIFIQUE
"ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FR
"ELGIQUE #OMMUNAUTÏ FL
3UISSE ALÏMANIQUE
3UISSE FRANCOPHONE
3UISSE ITALIENNE
!..%8%
#
6
"**
/Ê
/Ê -
Ê
Ê#16,
Ê 1Ê*-Ê\
1
Ê //6
Ê
"
,/
!..%8% #
!NNEXE # DÏVELOPPEMENT ET MISE EN UVRE DU 0)3! n UNE INITIATIVE CONCERTÏE
)NTRODUCTION
,E PROGRAMME 0)3! EST UNE INITIATIVE CONCERTÏE REGROUPANT DES COMPÏTENCES SCIENTIlQUES DES PAYS PARTICIPANTS ET DIRIGÏE
CONJOINTEMENT PAR LEURS GOUVERNEMENTS DANS LE BUT DE RÏPONDRE Ì DES PRÏOCCUPATIONS COMMUNES TOUCHANT LACTION DES POUVOIRS
PUBLICS
5N #ONSEIL DES PAYS PARTICIPANTS AU SEIN DUQUEL CHAQUE PAYS EST REPRÏSENTÏ DÏlNIT DANS LE CONTEXTE DES OBJECTIFS DE L/#$%
LES PRIORITÏS DACTION CONCERNANT LE PROGRAMME /#$%0)3! ET VEILLE AU RESPECT DE CES PRIORITÏS AU COURS DE LA MISE EN UVRE
DU PROGRAMME )L EST CHARGÏ DE DÏTERMINER LES PRIORITÏS EN CE QUI CONCERNE LÏLABORATION DINDICATEURS LA MISE AU POINT DES
INSTRUMENTS DÏVALUATION ET LA PRÏSENTATION DES RÏSULTATS
$ES EXPERTS DES PAYS PARTICIPANTS SONT ÏGALEMENT MEMBRES DE GROUPES DE TRAVAIL CHARGÏS DÏTABLIR UN LIEN ENTRE LES OBJECTIFS
DACTION DE 0)3! ET LES MEILLEURES COMPÏTENCES TECHNIQUES DISPONIBLES AU NIVEAU INTERNATIONAL %N COLLABORANT AUX TRAVAUX DE
CES GROUPES DEXPERTS LES PAYS VEILLENT Ì CE QUE LES INSTRUMENTS DÏVALUATION UTILISÏS DANS LE CADRE DU 0)3! SOIENT VALIDES AU
PLAN INTERNATIONAL ET PRENNENT EN COMPTE LE CONTEXTE CULTUREL ET ÏDUCATIF DES PAYS DE L/#$% Ì CE QUILS SE FONDENT SUR DES
MÏTHODES DE MESURE RIGOUREUSES ET Ì CE QUILS METTENT LACCENT SUR LA lABILITÏ DES DONNÏES ET LEUR VALIDITÏ SUR LE PLAN ÏDUCATIF
0AR LINTERMÏDIAIRE DES DIRECTEURS NATIONAUX DE PROJET LES PAYS PARTICIPANTS METTENT EN UVRE LE PROJET 0)3! Ì LÏCHELON
NATIONAL DANS LE CADRE DES PROCÏDURES DEXÏCUTION CONVENUES ,ES DIRECTEURS NATIONAUX DE PROJET ONT UN RÙLE DE PREMIER PLAN
Ì JOUER POUR GARANTIR LA BONNE QUALITÏ DE LEXÏCUTION DE LENQUÐTE ET POUR CONTRÙLER ET ÏVALUER LES RÏSULTATS DE LENQUÐTE AINSI
QUE LES ANALYSES LES RAPPORTS ET LES PUBLICATIONS
,A CONCEPTION ET LEXÏCUTION DES ENQUÐTES Ì LINTÏRIEUR DU CADRE DÏlNI PAR LE #ONSEIL DES PAYS PARTICIPANTS RELÒVE DE LA
RESPONSABILITÏ DU CONSORTIUM 0)3! DIRIGÏ PAR L!USTRALIAN #OUNCIL FOR %DUCATIONAL 2ESEARCH !#%2 0ARMI LES AUTRES MEMBRES
DU #ONSORTIUM lGURENT LE .ETHERLANDS .ATIONAL )NSTITUTE FOR %DUCATIONAL -EASUREMENT #ITOGROEP 0AYS
"AS LE .ATIONAL
)NSTITUTE FOR %DUCATIONAL 2ESEARCH .)%2 *APON L%DUCATIONAL 4ESTING 3ERVICE %43 ³TATS
5NIS ET 7%34!4 ³TATS
5NIS
,E 3ECRÏTARIAT DE L/#$% EST RESPONSABLE DE LA GESTION GLOBALE DU PROGRAMME )L SUIT LA MISE EN UVRE DE CE DERNIER AU JOUR LE
JOUR ASSURE LE SECRÏTARIAT DU #ONSEIL DES PAYS PARTICIPANTS FACILITE LA RECHERCHE DE CONSENSUS ENTRE LES PAYS PARTICIPANTS ET SERT
DINTERLOCUTEUR ENTRE LE #ONSEIL DES PAYS PARTICIPANTS ET LE CONSORTIUM INTERNATIONAL CHARGÏ DE LA MISE EN UVRE DES ACTIVITÏS
,E 3ECRÏTARIAT DE L/#$% PRODUIT ÏGALEMENT LES INDICATEURS ET ANALYSE ET PRÏPARE LES PUBLICATIONS ET LES RAPPORTS INTERNATIONAUX
CONJOINTEMENT AVEC LE CONSORTIUM 0)3! ET EN CONSULTATION ÏTROITE AVEC LES PAYS -EMBRES DE L/#$% TANT SUR LE PLAN DES
ORIENTATIONS POLITIQUES PAR LENTREMISE DU #ONSEIL DES PAYS PARTICIPANTS QUE SUR CELUI DE LA RÏALISATION PAR LINTERMÏDIAIRE DES
CHEFS DE PROJET NATIONAUX
#I
DESSOUS lGURENT LA LISTE DES MEMBRES DES DIVERSES INSTANCES DU 0)3! AINSI QUE DES EXPERTS ET DES CONSULTANTS QUI ONT
CONTRIBUÏ AU 0)3!
-EMBRES DU #ONSEIL DES PAYS PARTICIPANTS DU 0)3!
0RÏSIDENT %UGENE /WEN &INLANDE 2ITVA *AKKU 3IHVONEN
!LLEMAGNE *OCHEN 3CHWEITZER (ELGA (INKE 'UDRUN &RANCE 'ÏRARD "ONNET
3TOLTENBERG 'RÒCE 6ASSILIS +OULAIDIS
!USTRALIE 7ENDY 7HITHAM (ONGRIE 0ÏTER 6ÉRI
!UTRICHE &RIEDRICH 0LANK )RLANDE 'ERRY 3HIEL
"ELGIQUE $OMINIQUE "ARTHÏLÏMY #HRISTIANE "LONDIN )SLANDE %INAR 'UDMUNDSSON
$OMINIQUE ,AFONTAINE ,ISELOTTE VAN DE 0ERRE )TALIE #HIARA #ROCE %LISABETTA -IDENA "ENEDETTO 6ERTECCHI
"RÏSIL -ARIA (ELENA 'UIMARÎES DE #ASTRO *APON 2YO 7ATANABE
#ANADA 3ATYA "RINK 0ATRICK "USSIÒRE $IANNE 0ENNOCK ,UXEMBOURG *EAN 0AUL 2EEFF
#ORÏE +OOGHYANG 2O -EXIQUE &ERNANDO #ØRDOVA #ALDERØN
$ANEMARK "IRGITTE "OVIN .ORVÒGE !LETTE 3CHREINER
%SPAGNE 'UILLERMO 'IL .OUVELLE :ÏLANDE ,YNNE 7HITNEY
³TATS 5NIS -ARIANN ,EMKE 0AYS "AS !RNOLD 3PEE
!..%8% #
0OLOGNE +AZIMIERZ +ORAB 'ROUPES DEXPERTS DU 0)3!
0ORTUGAL 'LØRIA 2AMALHO
'ROUPE DEXPERTS CHARGÏ DES MATHÏMATIQUES
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE *AN +OUCKY *ANA 3TRAKOVÉ
*AN DE ,ANGE 0RÏSIDENT UNIVERSITÏ D5TRECHT 0AYS
"AS
2OYAUME
5NI ,ORNA "ERTRAND "RIAN 3EMPLE
2AIMONDO "OLLETTA )STITUTO .AZIONALE DI 6ALUTAZIONE )TALIE
3UÒDE !NDERS !UER "IRGITTA &REDANDER !NITA 7ESTER
3EAN #LOSE 3T 0ATRICKS #OLLEGE )RLANDE
3UISSE (EINZ 'ILOMEN
-ARIA ,UISA -ORENO )%3 i ,OPE DE 6EGA w %SPAGNE
$IRECTEURS NATIONAUX DE PROJET DU 0)3! -OGENS .ISS )-&5&! UNIVERSITÏ DE 2OSKILDE $ANEMARK
!LLEMAGNE *UERGEN "AUMERT 0ETRA 3TANAT +YUNGMEE 0ARK UNIVERSITÏ DE (ONGIK #ORÏE
!USTRALIE *AN ,OKAN 4HOMAS ! 2OMBERG ³TATS
5NIS
!UTRICHE 'àNTER (AIDER 0ETER 3CHàLLER MINISTÒRE FÏDÏRAL DE L³DUCATION ET DES
"ELGIQUE $OMINIQUE ,AFONTAINE ,UC VAN DE 0OELE !FFAIRES CULTURELLES !UTRICHE
"RÏSIL 4EREZA #RISTINA #OTTA -ARIA ,UCIA 'UARDIA -ARIA 'ROUPE DEXPERTS CHARGÏ DE LA LECTURE
)NÐS 0ESTANA )RWIN +IRSCH 0RÏSIDENT %DUCATIONAL 4ESTING 3ERVICE
#ANADA -ARC ,ACHANCE $IANNE 0ENNOCK ³TATS
5NIS
#ORÏE +OOGHYANG 2O -ARILYN "INKLEY .ATIONAL #ENTER FOR %DUCATIONAL 3TATISTICS
$ANEMARK 6ITA "ERING 0RUZAN ³TATS
5NIS
%SPAGNE 'UILLERMO 'IL !LAN $AVIES 5NIVERSITÏ D³DIMBOURG 2OYAUME
5NI
³TATS
5NIS 'HEDAM "AIRU -ARILYN "INKLEY 3TAN *ONES 3TATISTIQUE #ANADA #ANADA
&ÏDÏRATION DE 2USSIE 'ALINA +OVALYOVA *OHN DE *ONG ,ANGUAGE 4ESTING 3ERVICES 0AYS
"AS
&INLANDE *OUNI 6ËLIJËRVI $OMINIQUE ,AFONTAINE UNIVERSITÏ DE ,IÒGE 3ART
4ILMAN
&RANCE *EAN
0IERRE *EANTHEAU "ELGIQUE
'RÒCE +ATERINA +ASSOTAKIS 0IRJO ,INNAKYLË UNIVERSITÏ DE *YVËSKYLË &INLANDE
(ONGRIE 0ÏTER 6ÉRI -ARTINE 2ÏMOND )NSTITUT .ATIONAL DE 2ECHERCHE
)RLANDE *UDITH #OSGROVE 0ÏDAGOGIQUE &RANCE
)SLANDE *ULIUS "JORNSSON 2AGNA "ENEDIKTA 'AR¡ARSDØTTIR 7OLFGANG 3CHNEIDER UNIVERSITÏ DE 7àRZBURG !LLEMAGNE
)TALIE %MMA .ARDI 2YO 7ATANABE .ATIONAL )NSTITUTE FOR %DUCATIONAL 2ESEARCH
*APON 2YO 7ATANABE *APON
,ETTONIE !NDRIS +ANGRO
,UXEMBOURG )RIS "LANKE *EAN
0AUL 2EEFF
'ROUPE DEXPERTS CHARGÏ DES SCIENCES
-EXIQUE &ERNANDO #ØRDOVA #ALDERØN 7YNNE (ARLEN 0RÏSIDENT UNIVERSITÏ DE "RISTOL
.ORVÒGE 3VEIN ,IE
2OYAUME
5NI
.OUVELLE
:ÏLANDE 3TEVE -AY 0ETER &ENSHAM UNIVERSITÏ -ONASH !USTRALIE
0AYS
"AS *OHAN 7IJNSTRA 2AUL 'AGLIARDI UNIVERSITÏ DE 'ENÒVE 3UISSE
0OLOGNE -ICHAL &EDEROWICZ 3VEIN ,IE UNIVERSITÏ D/SLO .ORVÒGE
0ORTUGAL 'LØRIA 2AMALHO -ANFRED 0RENZEL UNIVERSITÏ DE +IEL !LLEMAGNE
2ÏPUBLIQUE TCHÒQUE *ANA 3TRAKOVÉ 3ENTA ! 2AIZEN ;.ATIONAL #ENTER FOR )MPROVING 3CIENCE
2OYAUME
5NI "ALJIT 'ILL 'RAHAM 4HORPE %DUCATION .#)3% ³TATS
5NIS=
3UÒDE "ENGT /LOV -OLANDER !STRID 0ETTERSSON +ARIN 4AUBE $ONGHEE 3HIN UNIVERSITÏ DE $ANKOOK #ORÏE
3UISSE (UGUETTE -C#LUSKEY %LIZABETH 3TAGE UNIVERSITÏ DE #ALIFORNIE ³TATS
5NIS
3ECRÏTARIAT DE L/#$% 'ROUPE DE CONSEILLERS TECHNIQUES DU 0)3!
!NDREAS 3CHLEICHER COORDINATION GÏNÏRALE DU 0)3! ET DES 2AY !DAMS !#%2 !USTRALIE
RELATIONS ENTRE PAYS -EMBRES 0IERRE &OY 3TATISTIQUE #ANADA #ANADA
#LAUDIA 4AMASSIA GESTION DU PROJET !LETTA 'RISAY "ELGIQUE
%RIC #HARBONNIER ASSISTANCE STATISTIQUE ,ARRY (EDGES UNIVERSITÏ DE #HICAGO ³TATS
5NIS
(ANNAH #OCKS ASSISTANCE STATISTIQUE %UGENE *OHNSON !MERICAN )NSTITUTES FOR 2ESEARCH
-ARLÒNE -OHIER RÏDACTION ET RÏVISION ³TATS
5NIS
*ULIET %VANS ASSISTANCE ADMINISTRATIVE *OHN DE *ONG ,ANGUAGE 4ESTING 3ERVICES 0AYS
"AS
!..%8% #
'EOFF -ASTERS !#%2 !USTRALIE 0HU .GUYEN ÏCHANTILLONNAGE ET PONDÏRATION
+EITH 2UST 7%34!4 ³TATS 5NIS -ONIKA 0ETERS OPÏRATIONS DE TERRAIN ET CONTRÙLE
.ORMAN 6ERHELST #ITOGROEP 0AYS "AS DE LA QUALITÏ
* $OUGLAS 7ILLMS UNIVERSITÏ DU .OUVEAU "RUNSWICK #ANADA -ERL 2OBINSON OPÏRATIONS DE TERRAIN ET CONTRÙLE
DE LA QUALITÏ
#ONSORTIUM 0)3! +EITH 2UST $IRECTEUR DU #ONSORTIUM 0)3! POUR
LÏCHANTILLONNAGE ET LA PONDÏRATION
!USTRALIAN #OUNCIL FOR %DUCATIONAL 2ESEARCH
,ESLIE 7ALLACE ÏCHANTILLONNAGE ET PONDÏRATION
2AY !DAMS $IRECTEUR DE PROJET DU #ONSORTIUM 0)3!
$IANNE 7ALSH OPÏRATIONS DE TERRAIN ET CONTRÙLE DE LA QUALITÏ
!LLA "EREZNER TRAITEMENT ET ANALYSE DES DONNÏES
4REVOR 7ILLIAMS DÏVELOPPEMENT DES QUESTIONNAIRES
#LAUS #ARSTENSEN ANALYSE DES DONNÏES
,YNNE $ARKIN DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE LECTURE #ITOGROEP
"RIAN $OIG DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE MATHÏMATIQUES 3TEVEN "AKKER DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE SCIENCES
!DRIAN (ARVEY "EAVIS CONTRÙLE DE LA QUALITÏ ET "ART "OSSERS DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE LECTURE
DÏVELOPPEMENT DES QUESTIONNAIRES 4RUUS $ECKER DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE MATHÏMATIQUES
+ATHRYN (ILL DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE LECTURE %RNA VAN (EST DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE LECTURE
*OHN ,INDSEY DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE MATHÏMATIQUES ET CONTRÙLE DE LA QUALITÏ
*AN ,OKAN CONTRÙLE DE LA QUALITÏ ET DÏVELOPPEMENT +EES ,AGERWAARD DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE MATHÏMATIQUES
DES OPÏRATIONS DE TERRAIN 'ERBEN VAN ,ENT DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE
,E 4U ,UC TRAITEMENT DES DONNÏES MATHÏMATIQUES
'REG -ACASKILL TRAITEMENT DES DONNÏES )CO DE 2OO DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE SCIENCES
*OY -C1UEEN DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE LECTURE ET -ARIA VAN 4OOR ASSISTANCE ADMINISTRATIVE ET CONTRÙLE
RAPPORT DE LA QUALITÏ
'ARY -ARKS DÏVELOPPEMENT DES QUESTIONNAIRES .ORMAN 6ERHELST CONSEIL TECHNIQUE ET ANALYSE DES DONNÏES
*ULIETTE -ENDELOVITS DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE LECTURE
%DUCATIONAL 4ESTING 3ERVICE
ET RAPPORT
)RWIN +IRSCH DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE LECTURE
#HRISTIAN -ONSEUR $IRECTEUR DU #ONSORTIUM 0)3! POUR
LE TRAITEMENT ET LANALYSE DES DONNÏES ET POUR LE CONTRÙLE !UTRES EXPERTS
DE LA QUALITÏ #ORDULA !RTELT DÏVELOPPEMENT DES QUESTIONNAIRES
'AYL /#ONNOR DÏVELOPPEMENT DES TESTS DE SCIENCES -ARC $EMEUSE CONTRÙLE DE LA QUALITÏ
!LLA 2OUTITSKY TRAITEMENT DES DONNÏES (ARRY 'ANZEBOOM DÏVELOPPEMENT DES QUESTIONNAIRES
7OLFRAM 3CHULZ ANALYSE DES DONNÏES !LETTA 'RISAY CONSEIL TECHNIQUE ANALYSE DES DONNÏES
2OSS 4URNER ANALYSE DES TESTS ET COORDINATION DU RAPPORT TRADUCTION ET DÏVELOPPEMENT DES QUESTIONNAIRES
.IKOLAI 6OLODIN TRAITEMENT DES DONNÏES $ONALD (IRSCH RÏDACTION ET RÏVISION
#RAIG 7ILLIAMS TRAITEMENT ET ANALYSE DES DONNÏES *ULES 0ESCHAR DÏVELOPPEMENT DES QUESTIONNAIRES
-ARGARET 7U $IRECTRICE DE PROJET ADJOINTE DU %RICH 2AMSEIER DÏVELOPPEMENT DES QUESTIONNAIRES
#ONSORTIUM 0)3! 'UNDULA 3CHUMEL DÏVELOPPEMENT DES QUESTIONNAIRES
7%34!4 -ARIE !NDRÏE 3OMERS ANALYSE DES DONNÏES ET RAPPORT
.ANCY #ALDWELL $IRECTRICE DU #ONSORTIUM 0)3! POUR 0ETER 3UTTON RÏDACTION ET RÏVISION
LES OPÏRATIONS DE TERRAIN ET LE CONTRÙLE DE LA QUALITÏ 2ICH 4OBIN DÏVELOPPEMENT DES QUESTIONNAIRES ET RAPPORT
-ING #HEN ÏCHANTILLONNAGE ET PONDÏRATION * $OUGLAS 7ILLMS DÏVELOPPEMENT DES QUESTIONNAIRES
&RAN #OHEN ÏCHANTILLONNAGE ET PONDÏRATION ANALYSE DES DONNÏES ET RAPPORT
3USAN &USS ÏCHANTILLONNAGE ET PONDÏRATION
"RICE (ART ÏCHANTILLONNAGE ET PONDÏRATION
3HARON (IRABAYASHI ÏCHANTILLONNAGE ET PONDÏRATION
3HEILA +RAWCHUK ÏCHANTILLONNAGE ET PONDÏRATION
$WARD -OORE OPÏRATIONS DE TERRAIN ET CONTRÙLE
DE LA QUALITÏ
LES ÉDITIONS DE L'OCDE, 2, rue André-Pascal, 75775 PARIS CEDEX 16
IMPRIMÉ EN FRANCE
(96 2001 14 2 P) ISBN 92-64-29671-9 – n° 52232 2001
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