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Cette suite (xq) d’éléments de A admet, puisque A est compacte un point accumulation x appartenant 4.4. T existe dono une suite (xq) extraite de la suite (xq) convergente vers x. A. tout nombre réel ¢ > 0 (¢ < a), on peut assovier un entier naturel ye tl que pour tout entir n’ > v2 on alt : dGq.9) <6 Soit » le plus grand des deux entirs v: et ve choisissons un entir n! > y, pour un tel enter, on a Ala fois = desu, xa) >a et dGm,3) <6 ut 2 APPLICATIONS DE R" DANS RP Definitions Limites et contiaute Propriétés des fonctions continues sur un compact de R” 32. De deca 2) > [aco x) — ds) om dedi alos IV. Fonetons ditreniables | ._ Famille de fontions hea,2) > 08 | Vi. ‘Transformations pontuelles ihypothise A non borné, entrne done que gue que solent les nombres et VIL, Désvées particles "ordre supérieur un 2 (02 ¢< a) ona pour deux Sements vet my de Adis ng) > ar 88 ‘ik, esterases set evidemmeat impossible, 1X. Formulas dos accroissements fins, formule de Taylor eee X. Fonctions homogtnes: ‘Théoréme Une partie de R” est compacte si, et seulement si, elle est bornée et XL. Fonetions implicites. 1 femlse REMARQUE. C'est seulement dans espace métrique Rv u's été fa | Videntiestion entre espace compact et espe borné fermé mas fs propose: | | — Définitions tions suivante sont wrice dans ta eSpace metiqus quezougue 1) Toute pari compact ext ferme; 19 Applications de R* dans R 2) Toute partie compacte est bornés. a) On appelle fonction numérique réette de n variables réeltes une application de i RY (oudune parte de R) dans 2 Ge) Hf ER Dans le caso fonction f conse est une apsication d'une parte F de R" dans R, on dit que £ est l'ensemble de définition de f ou que f est détinie ae EXEMPLES j 1) Pour eR, YER, 26 R, les relations: | Say! ' | z d'une partis de R® dans R. R? étant | ‘enti aw plan rapporé & deux axcs de coordornéesperpenicuiaites, Ox, 1 ‘Oy, les pacties de R sont respectivement : le plan moins [origine, le plan ‘moins l’axe Oy ; le disque fermé de centre 0 et rayoa 1 ; le plan moins la région hrachorde le cere et Fase Or (i 3). ESPACES VECTORIELS NoRDIiS, ESPACES WETRIQUES. ESPACE R® 1 $19 i 34 Frewe 3 2) Liapplication notés py de R™ sur R qui A X= 335K uy) fit corre onde le nombre x et appelé la #9 projection de R* sur R, Toute projec tion p est défnie sur R* tout enter. EXERCICES 10, Déterminer les partes de R elles que les relations pa Lesa 2 - Are via( (xeosyi4, r= Loge +, 2 (sin +99) dainissont des applications (x, 9) = de ces parties dans R. 1b) Une application f de R dans R est dite d&finie au voisinage d'un pointy de R" si son ensemble de définition contient un voisinage de xp, c'est-idie, tuno boule ouverte de eentre x. ©) Soit fune application de R" dans R définie sur un ensemble E de R", /(E) ‘esgne la partie de R image de E par f AE) = {9 s¥ ER AEB Y= fO)} Mant application prstdnt tt ge application de R dans R, die sur une partie £” de R tele que £” > f{E), 4 0 fest Vapplication de R™ dans R g (/(3)) ‘© A parti d'une fonction de m vaciables on peut, en donnant des valeurs fixes &p des variables définir des fonctions de n— p variables. ar exemple £8 (Minn Xn) —>JUs ow) 3t une Fonction de m variables, on ‘pout en déduire la fonction de (np) variables (pt nm) ASO Ban py Hn) (01 a1, dys wn cy sont des nombres fixés), APPLICATIONS DE R® DaNs RP a $20 Applications de R* dans Re 18) Une application fde R® dans R® fait correspondre a un point Ges) de R un point y= (P5039) de RP, DDésignons par pi (f= 1, w«p) ls fonctions projections de RP sur R : P2012 98) Yn PD Ya) = Pho Po (ON Fo) = Fs ct par fj les applications de R dans R définies port i= 1, P,PArfi= Profs les applications f seront dies les composantes de l application f (Si Eeest Pensemble de défintion de fdans R", quel que soit (E) les applica tons f; sont définies puisque es applications py sont définis sur R” tout entier L846 ea) = (BOP) 9 9) Si la Fonction / est donnée, les fonctions fj sont détermintes, et réciproquee ‘ment, si les fonctions f; sont données, Ia fonetion fest déterminée + c'est la fonction qui x = (x1, 5 x) ER" fait corresponsce y = (71 35) ER? 08 les yx sont détecminées par pi = f(X). Ainsi, la donnée d'une application de IR dans R® est équivaiente & la donnée de p applications de R” dans R. ) Soit f une application d’une parte de R" das RY et g une application Pune partie £” de R* dans R®. Si £'>/(E), on peut considérer V'application of de E dans R. D'aptés ce que nous venons de yoir, elle est difinie par ses composantes (eof), = pi0(g of) ou les applications py, pour i enter tel que 1S i < 7, sont les projections de R® sur R. D'uprés Tasociativité de fa composition des fonctions, on @ pole of)=(nonvof=noh, crest-dire que la composition de fet ¢ se raméne & la composition de fet des p applications gy de R® dans B. Soit ar (15m %s) un point de RY, » — (rr, 99) son image dans RT par f, jj, (= Iron) sont les composanites de Fappliration f; on a : (ign ao Ta = fa (My mn a Soit maintenant z = (e129), Vimage de y dans R” par g, si gi (i= 1 sont les composantes de Dappiication g, ona FL B10 pe MDs oa En = Ble on Pe crest ddive + 2A Ui yp Aad nf ead seo Ow Had oa fe (eo Xe 38 a. 36. Limites et continuité Limite d'une fonction 2) Sot fame apliaton dune parte de R* dans R.définie aw voisnage d'un ‘point xo © R”(zaufpeu-tre on x0); onde que la fonction fadmet pow inte le Inombre fu pot x out nombre ¢ > O,om peat assole un nombre» > O tel que, pou tout = verfiant 0 = da,x) < onal |G) —fl = € ‘On écrit: lim f=1 By cu (en particulier, lorsque la fonction est explictée) + Jim fs) Dans ect énoneé, d représente une queleongue des trois distances équivae Tentes définies sur R™. (Il est évident que le résultat est indépendant du choix de Pune quelconque de ees tol dstates 6quvalenes) ) De Winggalicé |U—T' « 176) —I + |/63)—1'| on duit immésinte ‘met que st la fonction f adniet fet” pour lites au point my, on a née remeat 1 = Lorsque la fonction fadmet une Hinite a pont sy ily @ unit de cette limit. ©) On a, pour les limites d'une somne, d'une diftrence, d'un produft, d'un ‘quotient de fonctions, des theorémes qui s"énoncent et se démontrent comme dling le cas des fonctions une variable, 4 On dit que f tend vers +0 (esp —co) au point ays, & tout nombre Postit dan pévtastocie un nomtber y > Otel Que = 0 < dla, x) < 9 = flx) > A (resp. fle) < — A) REMARQUE. Il résulte immédiatement de la définition que si une fonction {Ff délinie sur un voisinage ¥ de xp, admet une limite [au point xo, sa restric- tion p a tout voisinage V" de xy tel que VC ¥, admet aussi J pour limite au point. EXERCICES 11, On donne les applications de R*—(@,0) (Ensemble des points (x,y), tes ave (9) (0,0) dans R, fins par (x,y) frs9) = LEE EY — (5. )-oatny) = OE T9802 sccrinee leurs limites a poet 0,0). r 12. Soitf Pappliation de Rt dans R, dine par fx») = exp e& pour 340,e paf0,) <0 1 Sot ¢ la ection det pare de RE conde par eee des Prin) von» “de robe ae dem pie 0) 2) Soity Ia resistin de 4 pe de R? cote pr ene dex Points (x, ») vérifiant y = x%, trouver la Jimite de y au point (0, 0). APPLICATIONS DE R® pAxs RP 2 2, 52 Continuies 8) Une application f de R” dans R définie sur un voisinage dun point xe € R™ est dite continue en xo si lim f = fixe) Cette dfisition pee encore sexprimer de la maniie suivante: A tout nombre rel om peut asscier anomie ren > Otel que, pou tout x vriant das) < m, on at = (fs) —f0s)| < 6 La contnuté de In foneton fixpoint erica Ver 0,39 >0;d(x,m) <9 fl) —fo0)] O39 > 0;V xe Bex, wh [fl —Sea)] <6 ) Il résulte de ta remarque du paragraphe préeéient que si une fonction f éfinie sur un voisinage V de xo € R" est continue en x9, sa restriction volsinage V” de xp, tel que V"C: V, est aussi continue av point x. ©) Hest évident que si la fonction fest continue au point a = (a, uy dy) Is fonctions dune variable pi gon ow Pan Sfinies par ¢ 1), 4%), %, dps ne ad E> GAL8) flr, oy Bat sont continues respectivemant poser les valewes a, ta, An, qu ae trait fen disant que la fonction f ext continue par rapport @ chacune des varies, Bis Se La réciproque n'est pas exacte, c'est-A-dire, que la continuité des fonetions une variable ga, 2, a, n'entraine pas nécessairement la continuité de la fonction f. EXEMPLE Considérons application f de R* dans R, définie par fey) = —**— pour (x, 9) # (0, 0) et 10,0) = 0. Les fonctions p et ¥ défi- ies par: tout xe) =fl,0 et y+) =A0,9) sont des fonctions d'une variable, continues pour la valeur 0, puisque, pour tout x, # (2) = O et pour tout y, y(3) = 0. Mais, considérons maintenant la restriction g de la fonction a la partie de R" const tuée parladroite 4 d'équa- tion y = 8, (4 0). Pour tout point (x, 4 ona d 143 La fonction g est constante sur 4, s2 limite au point (0,0) est le nombre _ A aitécent do 0, dane diferent de g(0, 0). La fonction g, et par suite la 148 fonction fest pas continue aw point (0, 0). 6,9) = 5,9) _— SS 23 (On peut aussi remarquer, en utisant les coordonnées polaires x = rcos 8, y= sind, que lx, 9) =3 sin? 6, d’ou il résulte que sur tout cercle ayant pour centre (0,0), la fonciion prend toutes le valeurs compriscs entre — et +4 selle n'admet pas 0 pour limite au point (0,0) EXERCICES 1, ction, 1.9 = ZAP pa 9 #0004 10,0.=2, Hts.9) = F2F pon 6.90.0, 10,0) =0. Sontelles continses au point (0,0) ? 14, Détermines (0,0) pour que la fonction f dente pou (x, 9) (0,0) pa : fig) = SOE soitcontinue au point (0, 0) 18, On donne ia fonction f défnie pour y 70 par f(x,y) = esi % possible de dsterminer (x, 0) pour que ta fonction f sit contixue"? Génécatisstion, cas dene application de Re dans Re a) Nous désignesns par dy i distance dans R”, ot par dy la distance dans RY Soit x-»,f(%) une application de R dans R* définie au voisinage de xo € R™ (auf peutdtre en x4), e6 S0it, = (ly onn ed ERE, Nous dirons que fader pour tinite 1 a pont so si, a sout nombre ¢ > 0, on est astacier un mombre n > 0 tel que, pour tut élément x de Revie fiat 0< d(x) <9 om ait? g(t) <6 a proprit pour la fonction f dadmetire I pour limite au point xy serie Ver 0,39 > 050< d(s,x0) <> dy(Mlahl) <0 ‘Ox encore, en désignant par By(xo, 9) la boule ouverte de R™ de contre xy et de rayon 7 ot par By (6 la boule ouverte de RF de osnte et de rayon c. Ye > 0,39 > 0; ¥x€ Balrn)—s0,f(s) €BAl, 0). B) De lringpalté dy (6.19 < dy (Lf) + del’) om déduit immédiaternent ue si application f adimet et pour limites au point x9 on a néeessairement Vingpalité dy(y, < © est Equivalente aux inégatités In—tl 05 Vx € Balxa W.f2) € Bea) 8) Cette propigté peut eure formulge de ta maniére suivante La fonction f définie au volsinage de xg est continue au point xo si, et seulement 4, @ toute Boule ouverte By dans Bt, de contre f(x), on peut assovier une boule ‘ouverte By dans R", de centre xy tlle que f(Ba) © (B;) Continuité sur un ensemble ‘Dans ta défnition de la costinuité d'une application fde RT dans RE en un point x, la fonction fest supposée définie tur un vorsinage de vy Considérons maintenant une application f dune partie £ de R™ dans RE; pour tout point x9 € Fil n‘existe pas nécesiairement un voisinage de xe inclus dans E, nous donnerons done la definition suivante Une application f d'une partie E de R™ dans R° est die continue au point x9 € E 5%, toute boule ouverte By dans R* de centre fsa) on petit associer wne Boule ouverte By dans R" tele que f(By E)C By. Lat fonction f sera dite continue sur Ef elle est continue en tout point de Ex Conformément a la défintion générale dela contiauité dune application un ‘space métrique dans un autre donnée au paragrephe 13, i est équivalent de dire que Vapplication de Mespace métrique (Eda) dans espace méiique (ed). conn ne (de dsignant Ia itanc Indu sur E11 pa adi tance ds) a8 FF, Lorseue l'appiication fadmet une limite au point sy, ily a unicidé de Ia limite, 9) S142) = O45 om Ja) et Si nous pronons pour distance dans RE de (1) = Sup [ye — Kl, APPLICATIONS DE R® paxs R? a $24 39 26. ints, eestieire si Si ensemble E contient un yoisinage de chacun de se in ensemble E’ c'est un ensemble ouvert, ou bien si la fonction est définie contenant un voisinage de chaque point de £, alors la fonction définie sur E est dfinie sur un voisinage de chaque point dE, et la définition de nuité de la fonction en ua tel point est celle donnée au paragraphe précédent. Partie convexe de Re P et Q dant deux éléments de Re, le segment PO de R° est par définition image du segment (0, I] de R par Mapplication #-» f(y =1P > (110. Une partie convexe de R* §et. tome 1, (62) est une partic A de Re tlle que, si P et sont deux poins de A, le segment PQ est inchs dans A. [Nous allons montrer que toute partie convexe de R¥ est connexe. Soit, en eet, A une telle pactie convexe, si elle n'est pas connexe, il existe deux’ ouverts non vides B et C de R* tels que BNC—~O et (81.4) U (C4) =A. Prenons un point P dans B ct un point O dans C, Pet Q appartenant a A ct A lant convexe, le segment PQ est inclus dans A. Ge segment est Mimage par une application continue f (de R dans R°) du segment [0] de Rj alors B= f-1(B) et C’ = f-(C) sont deux ouverts non 5 de [0,1] els que 8 U C= [D, I] et BC’ B mais cxci contredit Ja propriété de connexité du segment (0, I] De Ia défnitian méme d'un ensemble convere, il résulte immédiatement que Pintersectin de dewe ensembles consexes est un ensemble convexe, C'est Uh 623 ‘particulier important ot Vintersection de deux parties connexes est une partie Composition des fonctions continues Théoréme. Soi Fune application de R* dans RP, difinie sur une partie E de R", continue au point xo €E, ¢ une application de R? dans R', définie sur fa partie (E), continue au point yo = (xa), alors Papplcation g of de E dans RE ext continue au point x Soit x €£, posons Ax) = y, sy) =z et e(p) = zo. Désignons par das dy dy les distances respectivement dans R", RP, B®, Puisque la fonction x est comic ie en yy, & tout nombre résl ¢ > 0, of peut associer un nombre & > 0 tel ue, pour tout y €f{E) qui vii dy, yo) = 5 om ait: (aly) aC)) < & Par suite de la coniiauité de la fonction f au point xy, au nombre « on peut ass0~ ier un nombre y > O tel que, pour tout x € E, veifiant da(x 3) <7 On al | Ag Foo) Ks) < Finalement, tout nombre © > 0, on peut associer um nombre 9 > 0 tel que al, x) <9 enteaing la FO, F080) < 6 ce qui montee la continuité de la fonetion g of au point x 40 “ApPLicarioNs ne RY paxs RP 2 Opérations algébriques sur Ies fonctions continues a) Soit fet g deux applications de R® ou d'une méme partie Ede R" dans RP R” sur le corps R on peut définir la fonction f + g ct la fonction ‘. La fone- tion f + g est la fonction qui a x € R” fait correspordre f(x) + g(x) € R? et la fonction Af est la fonction qui A x € R" fait cor:espondre Af(x) € R”. On Er rere tr b) Si fet g sont des applications de R dans R, en viilisant la structure multi- plicative de R on peut définir la fonction fg : c'est la fonction qui a x € R* pee perenne ae tions de R dans R que si fet g sont continues av point xo € R", la fonction fg senses aati ©) Soit fest une application de R" dans R, continue eu point xo € R, suppo- Songer SS eh can sitast ree de cente xy tle gue, pour tout x € (x A) [f0—fe| <3 pox equi entraine|f(0)] > 3 [fGx0]| > 0 (On peut done définir dans B (xs,) la fonction } et on démontce, comme dans le cas des applications de R dans R qu'elle est continue en xy. EXEMPLE. Toute fonction projestion (sty xe)—r 4 étant continue il _lsulle des considérations préeédentes que Loute fonction polyndme an variables et S dayeey HEB ake (1,22, a tant des entices pronant les valeurs 1, xp) est continue, Propriétés des fonctions continues sur un compact de R* Soit fune application continue d'une partie compacte E de R dans R?, nous allons généraliser certsines proprigiés des applications continues d'un scement de R dans R. (Rappelons qu'une pti ompacte de R* es une pte Home Bornes dune fonction continue sur un compact Considérons d'abord une application f de R" dans R, continue sur un compact Ede R", la fonction f est bornée sur E c'esta-dire que Vensemble /(E) est ‘borné. La démonstraiion est exactement celle donnée dans le cas dune fone tion rélle d'une variable rele, la patie eompacte Ede R™ remplacant le seg- rent fa, fet d(x, x) remplagant [x—a]. On. peat aussi Aémonteer que J attcint ses bornes sur E, c'est dice que si M (resp, mest la borne supérieure 528 “a (esp. infcicure) de /(2), il exste deox éléments « ot de Btels que la) = M, LG) =m. Tei encore la démonstration donnée dans Ie cas d'une fonction dune variable reelle stead immédiatement, Nous pouvons énoncer = ‘Thépreme, Toute application de R™ dans R continue sur un compact E de RR" est bornde sur E et atteint sa borne supérieure et sa borne infériewre. CConsidécons, plus eéaéralement, une application continue d'une partie com- pacle Ede R'dans R? ; nous allons montrer que Fensemble /(E) de RP est Eompact. Ce résuttat a deft été démontré dans i eas general d'une application dun espace métrique dans un autre en utilisant a proprsté de Borel-Lebesguc. [Nous allons en donner une autre démonstration en uliisant Pidenite entre partie eompaste et partis bornéefermée de Re. Dans le es d'une applicat Ge R dans R, nous avons dsmoutré que Fimage d'un ensemble borne ferme de R est un ensemble fermé (Come 145 6), la démonstration send ih. Pour démontrer que l'ensemble (2) est borné, nous allons d'abord montrer ‘que la continue de Fapplicaion f entraine ta continue de Tappication Tl de £ dans R,c'est-aive de Mapplication x» [/()]- On a vu en effet ‘ae, pour tout couple y et z deléments d'un espace vectoril normé, on a: | bite | 0, on peut associer un hombre > 0 tel que, pour tout couple x,x d'éléments' de E vérifiant g(x.) 0, par Suite dela continuité,& tout x € £, on peut associer un nombre reel (e 3) 0 tel que, pour tout éément 2° qui verifie els) <9(G%) —omait dy 8.008) < Lrensomble Fest recouvert pac Ia séunion des boales 16.8) (a2 Poisque Best un ensemble compas, apis le tdortme de Bor-Lebesge, 4a réunion d'un nombre fini de oes boules recouvre F, Soit Bh, BY .. BE ces Doules etx, 22» tr leurs centres respocifs et so le plus petit des nombres “1 (6,21) mons 9 (yt). Considrons maintenant deux points x et de E verie Sant das, ¥) < Het oitsple centre dane des boues (BBR) du reoou- seement, qui conient x Puisque aes) < USD , 20) Ah $09, S0H)) <5 Diautre pat, CE) < a) tn) <4 HEM 909 done aye2, Jor) < (G9), f00)) < dF), Rad)) + a(S, SOD) < 0. Finalement, & tout nombre réel « > 0, nows avons bien fut corresponds wn sombre «= tel que, pour tout couple x etx @'déments de E vtiiant tiles X)

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