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QCM

VIROLOGIE Pr. SEFFAR



Chapitre 1 : Structure et classification des virus


1. Quelles sont les propositions justes s’appliquant à la définition du virus ? A, B, D

A. Le virus est un « parasite » intracellulaire obligatoire
B. Le virus est une entité structurale simple par rapport aux cellules eucaryotes
C. Le génome et l’enveloppe virale représentent les éléments constants de la structure virale
D. Les virus humains sont visualisés par microscope électronique
E. Le tégument est un élément constant de la structure des virus

2. La classification des virus de Lwoff Horne et Tournier est basée sur : A, C, D, E

A. La nature des acides nucléiques
B. Le type de maladies provoquées
C. La structure des acides nucléiques
D. La présence ou l’absence d’enveloppe
E. La symétrie de la capside

3. Quelles sont les caractéristiques partagées par tous les virus ? A, D

A. Le génome viral peut être de l’ADN ou de l’ARN
B. Un virus est un « parasite » extracellulaire
C. Les virus peuvent se répliquer en milieux de culture gélosés
D. Le virus est un « parasite » intracellulaire obligatoire
E. Les virus sont visibles au microscope optique

4. Concernant la capside virale : D, E

A. Il existe un seul type de symétrie
B. Elle a la forme d’un tubule pour les virus à symétrie cubique
C. Elle a la forme d’un icosaèdre pour les virus à symétrie hélicoïdale
D. Elle constitue un critère dans la classification des virus
E. Elle s’associe à l’acide nucléique pour donner la nucléocapside

5. Les virus ont les caractéristiques suivantes : C, D, E

A. Ils contiennent de l’ADN et de l’ARN
B. Ils contiennent des ribosomes
C. Ils contiennent des protéines
D. Ils modifient après la culture les propriétés de la surface des cellules
E. Ils sont fragiles quand ils sont enveloppés

6. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui s’appliquent à la capside virale ? B, E

A. Les capsides tubulaires sont plus résistantes que les capsides cubiques
B. La capside protège le génome du milieu extérieur
C. Elle ne porte jamais de spicules viraux
D. Tous les virus à ARN ont une capside tubulaire
E. Les capsides à symétrie cubique sont formées de capsomères de 5 ou 6 sous-unités

7. L’enveloppe virale : A, B, D

A. Peut-être acquise à partir de la membrane cytoplasmique
B. Peut-être acquise à partir des membranes nucléaires
C. Résiste plusieurs jours dans le milieu extérieur
D. Renferme des glycoprotéines virales pour la reconnaissance des récepteurs de la cellule hôte
E. Est toujours présente pour les virus à ARN

8. Le génome viral : A, C, D, E

A. Peut être un ADN ou un ARN
B. Est toujours linéaire
C. Peut être monocaténaire ou bicaténaire
D. Peut être segmenté
E. Est un critère de classification virale

9. L’enveloppe virale : A, B, C, D

A. Peut être également appelée peplos
B. Correspond à la membrane remaniée par l’insertion de spicules virales
C. Est acquise par les virus enveloppés au moment de la phase de libération
D. Est un critère de classification des virus
E. Les virus enveloppés sont plus résistants que les virus nus

10. Quelle est la définition d’un virus ? B, D

1. Parasite extracellulaire obligatoire
2. Parasite intracellulaire obligatoire
3. Possède de l’ADN et de l’ARN
4. Sa reproduction se fait par réplication du génome
5. Se divise par scissiparité

11. La structure du virus comprend : A, D, E

1. Un acide nucléique
2. Une membrane cytoplasmique
3. Un noyau
4. Une capside
5. Parfois une enveloppe


Chapitres 2 et 3 : Multiplication des virus dans la cellule et dans l’organisme


1. Quelles sont les conditions requises pour la reconnaissance et la réplication virale dans une cellule hôte ?
A, C, D, E

A. La présence d’une cellule sensible
B. La présence d’une cellule résistance
C. La présence d’une cellule permissive
D. La présence d’un récepteur cellulaire spécifique sur la surface de la cellule hôte
E. La présence d’une cellule ayant la capacité de répliquer le virus



2. Quelles sont les cellules qui permettent la réplication virale ? C

A. Cellule sensible et non permissive
B. Cellule permissive et résistante
C. Cellule sensible et permissive
D. Cellule portant les récepteurs spé du virus
E. Aucunes des propositions précédentes

3. Une infection virale productive : C, D, E

A. Correspond à une infection persistante
B. Correspond à une infection latente
C. Correspond à une expression de tous les gènes viraux
D. Aboutit à la production de nouveaux virions
E. Aboutit à une lyse de la cellule hôte

4. Parmi ces propositions, quelles sont celles qui s'appliquent au cycle de réplication virale ? C, D

A. La durée moyenne est de 2h
B. Le cycle lytique correspond à la lyse des virus
C. Le cycle productif s'accompagne de la destruction de la cellule hôte (lyse)
D. Il commence obligatoirement par l'adsorption du virus à la cellule hôte
E. Le génome viral s'intègre toujours à l'ADN cellulaire


5. Quelles sont les propositions exactes concernant le cycle de multiplication virale ? A, C, D, E

A. Il peut être divisé en trois grandes périodes
B. La période précoce correspond uniquement à l'attachement du virus sur la cellule hôte
C. La multiplication virale proprement dite correspond à l'expression et la réplication du génome viral
D. La période tardive correspond à l'assemblage et à la libération des nouveaux virions
E. La durée du cycle de réplication est variable en fonction des virus

6. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui s'appliquent à l'expression et à la réplication du
génome viral ? A, B, D

A. L'étape clé est la synthèse de l'ARNm
B. Les virus à ADN ont besoin des enzymes cellulaires pour leur réplication
C. La synthèse des protéines structurales précède la synthèse des enzymes virales.
D. Les virus à ARN de polarité négative emportent avec eux l'ARN polymérase ARN dépendante
E. Tous les virus à ARN se répliquent dans le cytoplasme

7. La multiplication intracellulaire des virus : C

A. Commence par la décapsidation
B. Peut comprendre une étape de pénétration par translocation pour les virus enveloppés
C. Comprend une étape de fusion pour les virus enveloppés uniquement
D. La pénétration dans la cellule hôte est un phénomène passif
E. Ne comprend pas d'étapes de réplication



8. Les étapes initiales ou précoces du cycle viral comportent : A, D, E

A. L’attachement du virus à la cellule hôte
B. Synthèse des protéines virales
C. Réplication du génome viral
D. Pénétration du virus à l’intérieur de la cellule
E. Décapsidation

9. Une infection virale productive : B, D

A. Se déroule au sein d’une cellule non permissive
B. Se caractérise par la présence de tous les gènes viraux
C. Se termine par lyse de la cellule hôte
D. Se déroule dans une cellule sensible
E. Se termine par un retour à la normale de la cellule hôte

10. Quels sont les modes évolutifs possibles d’une infection virale ? A, B, C, E

A. Infection aigue résolutive
B. Infection aigue suivie d’une infection chronique
C. Infection aigue suivie d’une persistance virale et réactivation
D. Infection chronique suivie d’une infection aigue
E. Infection lentement progressive

11. L’incubation d’une infection virale : B, C, D

A. Est identique pour tous les virus.
B. Correspond à la période allant du contage à l’apparition des premiers signes cliniques.
C. Est variable en fonction de la porte d’entrée et de l’organe cible.
D. Est courte lorsque l’organe cible correspond à la porte d’entrée.
E. Est courte lorsque l’organe cible est distant de la porte d’entrée.


Chapitres 4 et 5 : Diagnostics virologiques (direct et indirect)


1. Parmi ces propositions, quelles sont celles qui s'appliquent au diagnostic virologique : A, B, C, D, E

A. Le diagnostic direct peut être effectué sur des échantillons biologiques de nature variée
B. Le diagnostic direct nécessite des précautions pour le prélèvement, le transport et la conservation
C. Le diagnostic indirect est généralement effectué sur sérum
D. L'interprétation des résultats du diagnostic indirect peut être difficile chez le patient immunodéprimé
E. Le diagnostic indirect est un diagnostic sérologique

2. Concernant l'acheminement des prélèvements au laboratoire : A, B, D

A. Il doit être le plus rapide possible
B. Les virus infectieux destinés à la culture sont des éléments fragiles
C. L'ARN est un élément robuste et peut être conservé plusieurs jours à température ambiante
D. Les conditions de conservation et de transport ont peu d'influence sur la fiabilité des analyses quand il
s'agit des virus enveloppés



3. Le diagnostic virologique direct comprend : A, C, D, E

A. La détection du virus par culture cellulaire
B. La détection des anticorps produits par l'organisme
C. La détection des virus par microscopie électronique
D. La détection des Ag viraux par réactions immuno-enzymatiques
E. La détection du génome viral par techniques de biologie moléculaire

4. La culture virale : A, B, C, D

A. Est considérée comme la méthode de référence en virologie
B. Permet d'isoler et d'identifier la souche virale
C. Consiste en l'étude de l'effet cytopathique d'un virus sur cellules en culture
D. La qualité du prélèvement conditionne les chances d'isoler un virus
E. La lecture de faire sur microscope à fluorescence

5. Détection du virus par ME : B, D, E

A. Fait partie du diagnostic virologique indirect
B. Ne permet pas de distinguer les virus de la même famille
C. Est une technique très sensible
D. Permet la détection de virus non cultivable
E. Peut contribuer à la détection de nouveau virus

6. La mise en évidence des constituants antigéniques du virus : A, B, C, D, E

A. Fait partie du diagnostic virologique direct
B. C'est une détection des Ag intracellulaire par immunofluorescence directe
C. C’est une détection des Ag intracellulaire par IF indirecte
D. C’est une détection des Ag intracellulaire par immunoperoxydase
E. C’est une détection des Ag solubles par techniques immuno-enzymatiques

7. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui s’appliquent à la mise en évidence des
constituants antigéniques du virus ? A, B, D

A. La détection de l’Ag viral se fait par une technique ELISA « sandwich »
B. Dans ELISA « sandwich », un Ac de capture et préalablement fixé sur un support solide
C. La lecture d’une réaction d’immunoperoxydase se fait au microscope à fluorescence
D. L’immunochromatographie est une technique rapide
E. Les techniques d’agglutination sont plus sensibles que les techniques ELISA

8. Diagnostic virologique indirecte : B, C, D

A. Correspond à la dette des ag viraux
B. Correspond à détection des Ac produits par l'organisme en réponse a l'infection virale
C. Diagnostic sérologique
D. Basé sur réaction Ag / Ac
E. Effectue exclusivement sur sérum




9. Parmi les indications du diagnostic virologique indirect on retrouve : A, B, C, D

A. Le screening prénatal
B. Le suivi des F enceintes non immunes
C. Le diagnostic dune infection récente
D. Le suivi d'un accident par exposition au sang
E. Le diagnostic d’une infection congénitale base sur la détection des IgG

10. La réaction d'immunofluorescence pour la détection des Ac : A, B, C, D

A. Fait partie des immuno assay
B. Est une technique rapide et de coût raisonnable
C. Utilise un anticorps marqué par une fluorescéine
D. Nécessite un lecteur expérimente
E. Est automatisable

11. Le test ELISA indirect : A, B, D, E

A. Permet la détection des Ac
B. Est base sur la mesure de l'absorbance a l'aide d'un spectrophotomètre
C. Utilise un Ac marque par une fluorescéine
D. L'antigène spécifique a l'Ac recherche préalablement fixé sur un support solide
E. Parmi les réactifs, on retrouve le conjugue et le substrat de l'enzyme

12. Les test ELISA : A, B, C, D, E

A. Sont réalisés sur des microplaques
B. Le résultat est positif lorsque la DO est supérieure à la valeur seuil pour l'ELISA indirect
C. La lecture se fait sur un spectrophotomètre
D. La réaction immunocapture est utilise pour une détection spécifique des IgM
E. Permettent la détection des Ac ou des Ag

13. Le test EIA : A, B, C

A. Ont une bonne sensibilité et une bonne spécificité
B. Sont automatisables
C. Permettent un dosage aussi bien quantitatif que qualitatif
D. Ne permettent pas de distinguer IgG et IgM
E. Sont applicables uniquement pour de grandes séries d’échantillons

14. Les tests d’immuno-empreinte : B, C

A. Sont plus sensibles que les tests ELISA
B. Sont plus spécifique que les Tests ELISA
C. Permettent d’analyser la spécificité antigénique des Ac
D. Le test immuno Blot consiste en un fractionnement préalable des protéines virales à partir d’un lysat
de cellule infectes
E. Le test de Western Blot correspond à un dépôt, directement sur membrane de protéines virales
recombinantes et ou des oligopeptides synthétiques




Orthomyxoviridae, grippe :


1. Concernant les variations génétiques des virus grippaux : B, C, D, E

A. La cassure antigénique correspond à une mutation ponctuelle au niveau du génome viral
B. Le glissement antigénique aboutit à un nouveau variant
C. La cassure antigénique aboutit à un nouveau sous type
D. Les épidémies annuelles sont liées aux glissements antigéniques
E. La cassure antigénique concerne uniquement les virus grippaux de type A

2. Le diagnostic de la grippe : A, B, C, D

A. Peut se faire sur écouvillonnage nasopharyngé ou aspiration nasopharyngée
B. Fait appel a la détection des Ag viraux par IF
C. Peut se faire par PCR multiplexe (temps réel) pour la détection du génome viral
D. La culture virale est la technique de référence
E. L’effet cytopathique est de type syncytial

3. Parmi les propositions suivantes quelles sont celles qui s'appliquent à la vaccination anti grippe : B, C, E

A. Il s'agit d'un vaccin vivant attenue
B. Il s'agit d'un vaccin inactivé
C. C'est un vaccin annuel
D. Il est administré par voie orale
E. Il doit être administre entre début septembre et fin novembre

4. Dans les mécanismes de variabilité des virus grippaux, la cassure : A, D, E

A. Est un phénomène rare
B. Est caractérisée par un échange de segments du génome viral entre 2 sous types différents
C. Peut se voir avec les types A et B
D. Permet l’émergence d’un nouveau sous type viral
E. Est responsable de pandémies

5. La structure des Orthomyxoviridae est caractérisée par : D, E

A. La présence de 3 types de GP sur l’enveloppe virale
B. Une nucléocapside icosaédrique
C. Un génome à ADN monocaténaire segmenté
D. La présence de 8 segments génomiques pour les virus A et B
E. L’hémagglutinine permet l’attachement du virus à son récepteur cellulaire

6. La neuraminidase des Orthomyxoviridae : A, C, E

A. Est une glycoprotéine sur l’enveloppe virale
B. Est une protéine de la nucléocapside virale
C. Permet la libération des virus néoformés
D. Permet l’attachement du virus à son récepteur cellulaire
E. Est la cible de certains antiviraux

7. Quelles sont les propositions exactes concernant le diagnostic virologique des Orthomyxoviridae ? A, B, C,
D, E

A. Il est indiqué lors des atteintes respiratoires sévères en milieu hospitalier
B. Il est réalisé par écouvillonnage nasal ou nasopharyngé
C. Est souvent pratiqué en association avec la recherche d’autre virus à tropisme respiratoire
D. Il peut être réalisé par PCR en temps réel
E. Il peut être réalisé par IF directe

8. Le génome des Orthomyxoviridae : B, D

A. Un génome à ARN de polarité positive
B. Un génome à ARN de polarité négative
C. Un génome à ADM monocaténaire
D. Un génome segmenté
E. Un génome à ARN bicaténaire

9. Le diagnostic virologique de la grippe : B, C, D, G, H

A. Nécessite en général la réalisation de prélèvements sanguins
B. Repose sur l’isolement des virus sur cellules de rein de chien
C. Repose sur la détection des Ag par des techniques d’immunochromatographie, ELISA ou IF
D. Repose sur les techniques rapides, sensibles et peu spécifiques de RT-PCR en temps réel
E. Est indiqué dans les formes bénignes
F. Est indiqué devant toute suspicion clinique de la grippe
G. Se fait sur un écouvillonnage nasal ou nasopharyngé
H. Détection du virus par culture cellulaire


Paramyxoviridae :


1. Quels sont les Paramyxoviridae humains à tropisme respiratoire ? A, C, D, E

A. Les virus para influenza 1, 2, 3, et 4
B. Le virus des oreillons
C. Le virus de la rougeole
D. Le virus respiratoire syncytial VRS
E. Le métapneumovirus MPV

2. Paramyxoviridae humain : A, B, C, F, H, I

A. Appartient à l’ordre des Mononegavirales
B. Comporte deux sous familles
C. Sont des virus pléomorphes, enveloppés, avec un ARN de polarité négative
D. Possèdent un génome segmenté
E. Possèdent tous une glycoprotéines hémagglutinine
F. Virus enveloppés
G. Ont un seul type de GP
H. Ont une nucléocapside tubulaire (hélicoïdale)
I. Ont un génome à ARN de polarité négative
J. Ont un génome à ADN bicaténaire



3. Le diagnostic des bronchiolites secondaire au VRS repose sur : A, B, C

A. Recherche du virus sur un écouvillonnage nasopharyngé
B. Recherche de l’ARN viral par MCR en temps réel
C. Recherche des Ag viraux par IF
D. Recherche des Ac anti VRS

4. Le virus ourlien : C, D

A. Appartient à la famille des Orthomyxoviridae genre Rubulavirus
B. Est responsable d’une infection localisée d’entrée
C. Est transmis par voie aérienne
D. Le diagnostic est basé sur la sérologie
E. Il n’existe aucun vaccin

5. Le virus de la rougeole : A, B, D, E

A. Appartient à la famille des Paramyxovirdae genre Mobilivirus
B. Est responsable d'une infection éruptible, contagieuse de l'enfant
C. Est un virus à ARN segmente
D. Est un virus enveloppe
E. Est un virus a réplication cytoplasmique

6. Quelles sont les indications du diagnostic virologique de la rougeole ? A, B

A. Diagnostic étiologique des complications neurologiques
B. Diagnostic étiologique des complications pulmonaires
C. Détermination du statut immunitaire
D. Etudes épidémiologiques

7. La rougeole : B, C, D, E

A. Est due à un virus transmis par voie féco orale
B. Le diagnostic est basé sur la détection des IgM anti rougeole par ELISA sur sérum
C. Le diagnostic peut être fait par IF pour détection des Ag viraux
D. Le diagnostic peut être fait par RT-PCR
E. Sa prévention est basée sur un vaccin atténué


Herpesviridae :


1. Le phénomène de latence des Herpesviridae : A, B, C, E

A. Survient après une infection primaire
B. C'est la capacité du virus à rester à l'état quiescent dans l'organisme pendant toute la durée de vie
du sujet et à se réactiver sous l'effet de stimuli
C. Se fait dans le corps cellulaire des neurones sensitifs adjacents
D. S’accompagne dune réplication de l’ADN et dune expression de protéines virales
E. C'est une persistance sous forme d’ADN épisomal



2. Le diagnostic dune infection a virus herpes : A, B, C, D, E

A. La technique de référence est l'isolement viral en culture cellulaire pour HSV et VZV
B. Peut se faire par microscopie électronique
C. Peut se faire par détection des Ag viraux par techniques immuno enzymatiques
D. Peut utiliser la détection du génome viral par biologie moléculaire
E. La sérologie a un intérêt en particulier pour l’EBV

3. La réactivation de Herpesviridae est caractérisée par : B, C, E

A. Une réplication virale très intense
B. Une expression clinique moindre par rapport à la primo infection
C. Une excrétion virale souvent asymptomatique
D. Un virus à l’état de latence
E. La présence d’une immunodépression de l’hôte

4. Les Herpesviridae : A, B, C, D

A. Sont des virus enveloppés
B. Portent plusieurs types de glycoprotéines virales à leur surface
C. Possèdent tous le tégument
D. Ont une capside icosaédrique
E. Possèdent un ADN monocaténaire

5. La latence des Herpesviridae est caractérisée par : B, C, D

A. La présence d’une réplication virale
B. Sa survenue après une primo infection
C. La migration du virus vers son site de latence
D. La persistance du virus sous forme dormante dans son site de latence
E. La possibilité d’éradication virale grâce aux antiviraux

6. Parmi les Herpesviridae pathogènes pour l’homme on trouve : A, B, C, E

A. HSV1
B. EBC
C. CMV
D. VRS
E. VZV

7. La latence des Herpesviridae : A, B

A. Migration du virus vers son site de latence
B. Persistance du virus sous forme dormante
C. Persistance du virus sous forme réplicative
D. Présence de l’ADN viral sous forme épisomal, circulaire
E. Présence de toutes les protéines virales




8. Les caractères viraux communs des virus de la famille des Herpesviridae ? A, C, D, E

A. Grands virus de 150nm de diamètre, à ADN bicaténaire, linéaire de PM élevé
B. Codent pour un petit nombre de protéines
C. Possèdent une capside icosaédrique et une enveloppe portant des spicules glycoprotéiques
D. Virus fragiles d’où une transmission interhumaine nécessitant des contacts étroits
E. Caractérisés par le phénomène de latence virale qui correspond à la présence d’ADN viral dans le
noyau mais sans réplication

9. Le virus de la varicelle et du zona : A, C, E

A. Est un seul et unique virus : dermo-neurotrope
B. Est constitué de deux virus : la varicelle et le zona
C. Est responsable de la varicelle qui présence la primo infection de l’enfant
D. Est responsable de la varicelle qui est une infection généralisée à point de départ digestif
E. Est responsable de la varicelle qui est une infection généralisée à point de départ respiratoire


Virus des hépatites :


1. Le virus de L’hépatite A : A, D, E

A. Appartient à la famille des Picornaviridae, genre hepatovirus
B. Est un virus à ARN enveloppe
C. Est responsables d’hépatites aigues et chronique
D. Est transmis par voie entérale
E. Le diagnostic est basé sur la détection des Ac anti VHA IgM

2. Le virus de l’hépatite E : A, B, C, E

A. Est de transmission essentiellement entérale
B. Peut être de transmission verticale
C. Est à l'origine d’une zoonose
D. Est responsable uniquement d’hépatites aigues
E. Le diagnostic de certitude est basé sur la détection de l’ARN viral par RT-PCR

3. Le virus de l’hépatite E : A, B, C, E

A. Est de transmission essentiellement oro fécale
B. Peut être transmis de la mère au fœtus
C. Est à l’origine d’une zoonose
D. Est responsable uniquement d’hépatites aigües
E. Les IgG anti VHE n’ont pas d’intérêt dans le diagnostic de l’infection aigüe

4. Le virus de l’hépatite B : A, C, D, E

A. Appartient à la famille des Hepadnaviridae, genre Orthopadnaviridae
B. Est un virus à ARN, enveloppe
C. Est un virus à capside icosaédrique
D. La particule infectieuse est représentée par la particule de DANE
E. La capside porte deux Ag différents



5. Les marqueurs du virus de l'hépatite B : A, B, D, E

A. L’Ag HBs dans le sérum ou le plasma
B. L’Ag HBe dans le sérum ou le plasma
C. L’Ag HBc dans le sérum ou le plasma
D. L’Ac antiHBs dans le sérum ou le plasma
E. L’ADN viral dans le sérum ou le plasma

6. Le virus de l’hépatite C : A, B, E

A. Appartient à la famille des Flaviviridae, genre hepacivirus
B. Est un virus à ARN enveloppé
C. Est un virus à symétrie hélicoïdale
D. Comporte un seul type génotype
E. Le diagnostic de certitude d’une hépatite C virale est basé sur la recherche des Ac anti HCV par
techniques immunoenzymatiques

7. Le profil sérologique suivant (AgHbs + Ac antiHbs-, Ac anti HBc +) : B, D, E

A. Correspond à une guérison de l’hépatite virale B
B. Correspond à une hépatite virale B aigue ou chronique
C. Correspond à une immunisation vis à vis du virus de l’hépatite B
D. Nécessite un complément de bilan par la recherche des Ac anti HBc et IgM
E. Doit être complété par la recherche de l’Ag HBe et des Ac anti HBe

8. Le profil sérologique suivant (AgHBs-, Ac anti HBs+, Ac anti HBc +) : A, C

A. Correspond à une guérison d'hépatite virale B
B. Correspond à une hépatite virale B aigue ou chronique
C. Correspond à une immunisation vis à vis du virus de l'hépatite B
D. Nécessite un complément de bilan par la recherche des Ac anti HBc IgM
E. Doit être complété par la recherche de l’Ag HBe et des Ac anti HBe

9. Le virus de l’hépatite B : A, B, D

A. Appartient à la famille des hepadnaviridae
B. Peut donner une hépatite aigüe
C. Est un virus à ARN
D. Peut être diagnostiqué par ELISA
E. N’est jamais transmis de la mère à l’enfant

10. L’hépatite C : A, C, D

A. Est un virus à ARN
B. La variabilité génétique est grande
C. La transmission du virus se fait par voie sanguine
D. La détection de l’ARN du VHC est nécessaire au suivi dans patients traités
E. Il existe un vaccin contre le virus de l’hépatite C



11. Le virus de l’hépatite D : A, C, D, E

A. Virus à ARN
B. Peut exister en l’absence d’Ag HBs sérique
C. Peut infecter l’organisme en même temps que le virus B
D. Est habituellement responsable d’une évolution défavorable de l’hépatite B
E. Est prévenu par la vaccination antivirale B

12. Quelles sont les virus pouvant provoquer une hépatite chronique ? B, C, E

A. Hépatite A
B. Hépatite B
C. Hépatite C
D. Hépatite D
E. Hépatite E


Retroviridae HIV :


1. Le virus de l’immunodéficience humaine VIH-1 : B, C, D

A. Possède une molécule d’ARN simple brin
B. Possède plusieurs enzymes différentes
C. La p24 est la protéine majeure de capside
D. L'enveloppe virale comporte deux types de glycoprotéines
E. La gp41 permet la reconnaissance du récepteur CD4 de la cellule hôte

2. Parmi les propositions suivantes concernant le diagnostic sérologique de l'infection par le VIH, la ou
lesquelles sont justes : A, B, E

A. Le dépistage de l'infection par le VIH-1 et ou le VIH-2 est réalisé par un seul test Elisa mixte et combine
B. Les tests ELISA peuvent donner des faux positifs
C. Un test ELISA mixte et combiné fortement positif est suffisant pour affirmer la séropositivité du patient
D. Un test de dépistage négatif permet toujours d'éliminer une infection par le VIH
E. La recherche de l’Ag p24 est utile en cas de primo-infection

3. Le dépistage systémique des infections par le VIH peut être réalisé par : B, C

A. La quantification de l’ARN du VIH-1
B. Un test immunochromatographique rapide
C. Un test ELISA de 4ème génération, combiné et mixte
D. Un test Western Blot
E. La recherche de l’ADN proviral

4. Quelles sont les réponses justes concernant les caractères virologiques du VIH ? A, E

A. Ils appartiennent à la famille des Retroviridae
B. VIH comporte actuellement 3 groupes
C. Ce sont des virus non enveloppés
D. Le génome est composé d’une molécule d’ADN sb
E. L’ADN proviral correspond au génome viral après intégration à l’ADN de la cellule hôte


5. Quelles sont les enzymes virales du VIH-1 ? A, B, E

A. Protéase
B. Intégrase
C. Ag p24
D. ADN polymérase cellulaire
E. Transcriptase inverse ou rétrotranscriptase

6. Le marqueur le plus précoce du virus VIH-1 : A, D

A. Ag p24
B. ARN du VIH-1
C. Ac anti VIH-1
D. Est détecté en moyenne 10 jours après l’infection virale
E. Est détecté en moyenne 20 jours après l’infection virale


Rhabdoviridae, rage :


1. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui s’appliquent au virus de la rage : A, B, E

A. Il appartient à l’ordre des Mononegavirales
B. Il appartient à la famille des Rhabdoviridae
C. La nucléocapside est de symétrie cubique
D. C'est un virus nu
E. Il a la forme d’un obus en ME

2. La rage : A, C, D

A. Est une malade a déclaration obligatoire
B. A été éradiquée au Maroc
C. Est une maladie professionnelle
D. Est toujours mortelle une fois déclarée
E. Au Maroc il s'agit essentiellement dune rage selvatique

3. La transmission du virus de la rage : A, B, D, E

A. Se fait par la salive
B. Peut se faire par la mesure d'un chat
C. Le virus pénètre à travers la peau saine
D. Peut se faire pare voie muqueuse
E. Peut se faire par griffure

4. Le diagnostic de la rage chez l'Homme : A, B, D, E

A. Peut se faire sur LCR
B. Peut se faire sur biopsie cutanée
C. Consiste en une RT-PCR à la recherche de l’ARN viral
D. Peut se faire par détection des Ag rabiques par technique ELISA
E. Se fait dans un laboratoire L3


5. Le virus de la rage : B, C, D, E

A. Appartient à la famille des Togaviridae
B. Est un virus à ARN
C. Est responsable d’une maladie à déclaration obligatoire
D. Est un virus enveloppé, avec une capside à symétrie hélicoïdale
E. Est un virus strictement neurotrope appartenant au genre lyssavirus

6. Parmi ces propositions concernant le virus de la rage, quelles sont celles exactes ? A, B, C

A. Le chien, le chat et le renard peuvent contaminer l’homme
B. La rage domestique est essentiellement canine
C. L’immunisation préventive des sujets professionnellement exposés est recommandée
D. Les corps de Negri sont visualisés dans le cytoplasme des neurones
E. La vaccination préventive nécessite uniquement 2 injections à un mois d’intervalle


Togoviridae, rubéole :


1. Le virus de la rubéole : A, B, D, E

A. Appartient à la famille des Togaviridae
B. Est le seul virus du genre Rubivirus
C. Est un virus nu
D. Sa capside est icosaédrique
E. Est un virus à ARN monocaténaire de polarité positive

2. Le diagnostic de la rubéole post-natale : A, B, C, D, E

A. Est basé essentiellement sur la sérologie
B. Est basé sur la détection des IgG et IgM anti virus de la rubéole par des techniques ELISA
C. Peut être fait par techniques d’agglutination de particules de latex ou d’inhibition d’hemagglutination
D. Comprend la détection des IgA anti rubéole
E. Le suivi d'une sérologie doit se faire de préférence dans un même laboratoire et par même technique

3. Le diagnostic de la rubéole congénitale : A, B, C, D, E

A. Peut se fait en prénatal
B. Peut se faire en post natal
C. Consiste à la détection des IgM par ELISA immunocapture
D. Peut être fait par biologie moléculaire à la recherche du génome viral sur sang fœtal
E. Peut se faire par RT-PCR sur liquide amniotique

4. Le virus de la rubéole : A, D, E

A. Est un virus tératogène
B. Est responsable d’infections congénitales toujours très graves
C. Le diagnostic est établi sur les seuls éléments cliniques
D. Est responsable d’une maladie virale éruptive contagieuse
E. Est à l’origine d’une infection bénigne sauf en cours de grossesse



5. Le test d’avidité pour le virus de la rubéole : B, C, D

A. Mesure l’avidité des IgM
B. Permet de dater une infection rubéolique
C. Mesure la force de liaison entre Ag et Ac correspondants
D. Utilise un agent dissociant de la liaison Ag-Ac
E. Une avidité élevée témoigne d’une infection récente

6. Dans le cadre d’un dépistage systémique de la rubéole chez une femme enceinte : A, C, D

A. La femme ne présente ni notion de contage ni éruption
B. Le dépistage est basé sur la détection des IgM
C. La présence des IgG témoigne d’une immunité de cette femme vis à vis de la rubéole
D. L’absence des IgG doit imposer un 2ème dosage à 20 semaines d’am
E. L’absence des IgG doit imposer une vaccination de la femme pendant sa grossesse

7. Le virus de la rubéole : A, B, D, E

A. Se transmet par voie aérienne
B. Le réservoir est strictement humain
C. Responsable de maladie chez l’enfant avec des épidémies fréquentes au cours de l’hiver
D. Le diagnostic de la primo infection chez la femme est basé sur la sérologie
E. Responsable de malformations congénitales


Picornaviridae :


1. La famille des Picornaviridae : D, E

A. Comprend un seul genre viral
B. Est composé de nombreux virus de grande taille
C. Est faite de virus à ADN double brin
D. Comprend le virus de la poliomyélite et des virus non poliomyélitiques
E. Le virus de l’hépatite A appartient à cette famille

2. Concernant la famille des Picornaviridae : A, B, E

A. Les coxsachievirus et Echovirus appartiennent à cette famille
B. Les genres Kobuvirus et Cosavirus sont des nouveaux genres décrits dans cette famille
C. Elle comprend des virus responsables d'un seul type d'infection
D. Le rhinovirus appartient à cette famille

3. Les virus appartenant à la famille des Picornaviridae : B, E

A. Sont des virus enveloppés
B. Sont des virus à ARN simple brin de polarité positive
C. La capside est de symétrie hélicoïdale
D. L'enveloppe rend ces virus fragiles dans le milieu extérieur
E. La région 5'NC est une région très conservée du génome

4. Les virus appartenant à la famille des Picornaviridae :

A. Ont une réplication intranucléaire
B. Sont résistants dans le milieu extérieur notamment dans l'eau
C. Sont sensibles aux solvants des lipides
D. Se multiplient dans le tube digestif Sont inactives par le formol et la Bêta propiolactone

5. La transmission des Entérovirus : A, B, C, D, E

A. Est essentiellement fécale-orale
B. Peut être directe par les mains sales
C. Peut être indirecte par le biais de l'eau
D. Peut se faire par voie respiratoire
E. Peut être nosocomiale

6. Parmi ces propositions concernant la poliomyélite, laquelle est où lesquelles sont exactes ? A, B, D

A. La vaccination a permis d’éradiquer la poliomyélite dans la majorité des pays
B. Deux pays sont encore endémiques dans le monde
C. Il existe encore des cas de poliomyélite au Maroc
D. Au Maroc, il s’agit d’une maladie a déclaration obligatoire
E. Le sérotype 3 est la plus répandu

7. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes ? B, C

A. Le sérotype entérovirus est l'agent responsable de la poliomyélite antérieure aiguë Les coxsachievirus
peuvent être responsables d'atteintes cardiaques
B. La maladie pied-main-bouche est liée au coxsachievirus A
C. La PAA se manifeste par des paralysies spastiques
D. Dans la PAA, les formes sévères avec paralysies sont les plus fréquentes

8. Le diagnostic d'une infection à Entérovirus : B, C

A. Est essentiellement indirect base sur la détection des Ac par des techniques immunoenzymatiques
B. Est principalement direct
C. Est basé sur la détection du génome viral par biologie moléculaire
D. La culture cellulaire est la méthode de référence
E. La RT-PCR amplifie une région conservée du génome viral, la région 3'NC

9. Concernant le diagnostic d'une infection a Enterovirus : A, B, C, D

A. Le prélèvement pour un diagnostic direct doit être précoce et l'acheminement au laboratoire rapide
B. La biologie moléculaire est à privilégier pour les prélèvements pauci microbiens
C. La détection des Ag est très utilisée dans ce diagnostic
D. L'identification du sérotype viral est basée sur une réaction de séroneutralisation de l'ECP

10. La méningite à Enterovirus : A

A. Est une méningite à liquide clair
B. S'accompagne d'une cellularité > 1000 éléments /mm*3
C. La formule leucocytaire est à prédominance polynucléaire
D. S'accompagne d'une hypoglycorachie
E. Le diagnostic est basé sur la culture cellulaire

11. Le virus de la poliomyélite : A, B, D

A. Un entérovirus appartenant à la famille des Picornaviridae et se transmet par voie oro-fécale
B. Est un petit virus à ARN positive, enveloppé, à capside icosaédrique
C. Reste endémique dans 4 pays
D. Responsable de paralysies flasques chez 10%
E. Se cultive au labo des cellules transgéniques de souris dénommées 1020 B

12. Le diagnostic virologique d’une infection à entérovirus : A, B, D, E

A. Nécessite la réalisation de prélèvements au début des signes cliniques
B. Nécessite des prélèvements variés en fonction du tableau clinique
C. Fait appel à l’indentification du sérotype viral réalisé par séroneutralisation
D. Fait appel à la culture cellulaire sur cellules humaines ou simiennes
E. Fait appel à la détection du génome des entérovirus par RT-PCR sur LCR en cas de méningites

13. Quel est l’examen à demander en 1ère intention pour diagnostic d’une méningite à entérovirus ? B, C, D

A. Recherche de l’entérovirus sur les selles par culture virale
B. Recherche de l’entérovirus sur LCR par culture virale
C. Recherche de l’ARN de l’entérovirus sur LCR par IF
D. Recherche des Ag de l’entérovirus sur le LCR par PCR
E. La recherche des Ac anti entérovirus dans le sérum par ELISA


Ebola :


1. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui s'appliquent au virus Ebola ? B, C, D, E

A. Il appartient à la famille des Flaviviridae
B. C'est un virus d'aspect filamenteux
C. Sa capside est tubulaire a symétrie hélicoïdale
D. C'est un virus enveloppé
E. C'est un virus à ARN monocaténaire de polarité négative

2. Le virus Ebola : D, E

A. Appartient au groupe 3 de la classification des agents pathogènes
B. Est un virus résistant aux détergents et désinfectants
C. Est transmis par voie aérienne
D. La transmission est inter humaine par le biais des fluides biologiques
E. Peut être transmis à partir des animaux infectés

3. Le diagnostic d'une fièvre hémorragique à virus Ebola : A, C, D, E

A. Doit obligatoirement se faire dans un laboratoire L3 ou L4
B. Repose sur la PCR en temps réel
C. Peut se faire par culture cellulaire
D. Peut se faire par détection des Ag viraux
E. Le transport du prélèvement doit se faire dans un triple emballage

4. La classification des agents pathogènes : C, D, E

A. Comprend 5 groupes
B. Le gr 1 correspond à des agents biologiques susceptibles de provoquer infections graves chez l'homme
C. Le groupe 4 correspond à des agents biologiques pour lesquels il n'existe ni traitement ni prophylaxie
D. La classification des virus correspond au tableau B
E. Le virus Ebola appartient au groupe 4 des agents pathogènes

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