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205 Ec1
205 Ec1
Introduction
A. La civilisation mycénienne
- La Grèce mycénienne
Les tablettes administratives nous permettent de comprendre ce qui se passait à cette période
Lien fort entre les religions à cette époque
Les grecs vont quitter leur cités d’origine pour aller en coloniser de nouvelles, c’est la
diaspora, le monde grec s’étend.
Les jeux olympiques (pentétériques) sont le seul moment ou il n’y a pas de différence entre
les états
B. Tombes et nécropoles
= La cité des morts, on y trouve le mobilier funéraire placé dans la tombe et au dessus pour
accompagner le défunt dans l’au-delà, c’est donc un lieu de performance, de démonstratrice
de richesse, comme les sanctuaires c’est un lieu de rivalité entre les citoyens. Elles se trouvent
vers l’extérieur de la cité.
Durant les âges obscur les citoyens vont enterrer des vases, des bijoux etc avec les proches ce
qui entraîne un appauvrissement donc ils vont les placer au dessus des tombes. Des vases de
plus en plus grands pour montrer la richesse du défunt
Porto- géométrique (Xe siècle) : Certain vases sont recouverts d’un vernis noir
Géométrique ancien (IXe siècle)
Géométrique moyen
Géométrique récent (vers 750)
La diversité des formes géométrique va croître, le compas va être moins utilisé
La première représentation figurée n’est pas celle d’un homme mais celle d’un cheval (avec
des roue)
Cours du vendredi
Initiation a l’H A et à l’archéologie du monde grec des premières cutes à la conquête romaine
UE250ART-> grp sur arche si besoin
https://arche.univ-lorraine
Mycénienne= première société, dana sle T de la Grèce, pour certain la naissance de la G mais
pour d’autres non. C’est un ensemble de petits états. Ils règnent sur des T en G.
➔ Les G se X et gouvernent sur un plus petit territoire
Masque d’Agamemnon
B la G des cités :
- Plus de territoire
- Un syst politique, avec un D politique, a un syst politique ou le C= le centre de tout.
Ces cites se font h24 la G, se sont chacune des C E (autonomes des unes et des autres), qui se
font des conflits que ce soit par Olympie (ils se font des espèces d’unités) ou par la G.
Figure mycénienne= art qui s’écroule, l’art et l’artisanal sont très développés (la pierre taillée,
est très bien fait). Par la suite on va faire de la céramique
Quand l’art g, se développe de nouveau : on oublie la représentation de l’homme, des détails
etc = rupture pt.
Olympie : offrande en terre cuite (après ça devient du bronze) = les artisans grecs :
amélioration de l’art et croissance importante (// aux égyptiens qui eux ne font pas
d’évolution).
Tombe de la femme riche= remet en cause le modèle de la S archaïque. La femme semble
posséder à cette période un rôle particulièrement développé.
Retrouvés fin XIX à Athènes. Le nom de l’atelier, sont les grandes portes qui ont permis de
traverser la métropole.
Lors de funérailles = combats pour pouvoir rendre honneur. On pense que ça a donné
l’Olympie (donné après en l’honneur des dieux).
- Noir/rouge foncé, sur l’argile
- Pas de perspective.
- Sorte de décomposition
- Traits simplifiés, et amplifiés (distinction peu complète : femme seins pointu,
homme= bouliers-> se sont des stéréotypes contemporains qui nous font décrire ça).
- Les figures petites sous les chevaux -> on met les enfants
- Peureuses> lit> défunt
➔ Pas du tout réaliste, ça n’est pas l’objectif du peintre.
➔ On lit du premier au dernier plan
Il ne faut pas rechercher les symboles d’Égypte ou encore des représentations non enfantines.
La géométrie= simplicités +formes.
• Critère attique, Thèbes => on voit Ariane et Thésée
• Les frères siamois (il peut s’agir de 2 frères lors de la G de T.
• Cruche Athènes => homme au centre d’un navire retourné (on suppose Ulysse) =>
représentation dite narrative
Par la suite on va avoir des codes, des textes qui vont nous montrer de quoi ça parle. On a des
commanditaires, qui savent tout de suite qui c’est. Les codes étaient déjà très clairs. La
polysémie de ces images, peuvent être voulues.
Les mythes-> sujet débattu encore aujourd’hui. On se demande si on peut la connaitre sans se
renseigner sur les autres représentations hors littérature.
On n’a pas les textes mais des récits sont de traditions orales, est ce qu’on en a fait des
images.
• Centaure de lefkandi
Corps de cheval avec tête humaine (de 38 cm). Découverte fine des années 60 (sur la carte il y
a la localisation). Ces monstres vivent dans les mythes dans les montagnes, de manière exclue
de la société -> altérité, ça n’est pas un citoyen ni un homme. Mais ils incarnent la sagesse et
la violence.
- La main des figures : 6 doigts (altération volontaire)
- Le corps du cheval : forme simple
- Peint de la même manière que de la céramique (commande faite)
Particularité : genou G= entaille, faite avant la cuisson volontairement.
➔ Facon d’idd ce centaure -> représentation du mythe de Phyron (précepteur d’Achille)
Prométhée : celui qui prend le feu pour le donner aux hommes.
On envisage qu’il s’agisse d’un enfant et d’un adulte avec un centaure cassé en deux. Rituel
fait au moment des funérailles => dans la tombe d’un enfant et d’un adulte. Revient donc à la
tragédie de la mort, avec la fin de l’immortalité. Ça représente un maître et son élève.
Les Grecs= marins, dès le VIIIe, ils vont mettre en place des échanges notamment
économique. Ce sont des objets qui vont être mit sur le marché grec. Les fénissies -> avant de
s’installer dans la méditerranée grec.
Ces orientalos= vont inspirer les artisans grecs -> nouvelle inspiration. Ça va toucher aussi
bien les matériaux que les iconographies. Des artisans s’installent dans de nouvelles régions
(ce sont des phénomènes qui vont devenir orientalisantes par raport au monde Grec.
A) La statuaire dédalique
Méditerranée orientale, dans la plaque tournante du commerce (sert de place d’échange). Ils
sont soumis a cette influence (aussi + intense).
On commence par les terre cuites :
Cités de cortine, on va découvrir, une série de plaquette en terre cuite= du proche orient et qui
ont été vendus en Grèce.
Astarté-> figure féminine qui vient tout révolutionner (3D), elle est nue, formes arrondies,
main sur son sexe et sa poitrine. Les artisans crétois vont faire ça aussi dans les offrandes. Elle
a suscité un peu de gêne, puisque sur place ils l’on refaite mais avec des habits. On a quand
même des tenues très moulantes (y a des phases de transitions = habillés, longue robe qui
moule les jambes, ceinture, tête coiffée d’une perruque). Apparence du corps+ parures bien
plus détaillés, rythmes d’initiation que devaient vivre la chose (passage de l’enfance à l’âge
adulte= en offrant ces statues).
On est plus face à l’art de la poterie, mais bien plus la technique de coroplathe. On rentre dans
une production en série. A gauche on a le moule dans le creux et de l’autre côté on a la statue.
Ça permet une grande production, avec des couleurs et des peintures.
Plus on emploi le moule, plus il s’abime. On peut dater toutes les figures
➔ Phénomène de réduction de la taille
Cette fois on voit bien que les femmes sont vraiment abîmées complètement elles des pièces
de la tête on pourrait dire et une nouvelle fois on a voulu identifier la triade apollinienne donc
on aimerait l'étau la mer artémis fondateur et Apollon au sens qui est du le plus important de
ce sanctuaire donc on voit que même à la fin du 8e siècle on est vers 725 l'artisan a préféré
représenté des futurs vêtus et non pas des figures connues alors qu'elles continuait d'exister
parallèle donc y a pas forcément une progression du type de la statue du mur oriental vers le
type aminé grec vers d'évolution parallèle des codes distances dérivées du même prototype
donc on a quelque chose qui est oriental ici de facture et de technique mais cet ensemble
statuaire et les termes grecs dans sa conception le vêtement la coiffure des femmes la nuque
des masculines et un début de dynamisme des statuts avec une voix les bras d'apollon qui ne
sont pas placés simplement le long du corps on peut s'intéresser à présent à un type féminin
voilà un certain nombre de statuts féminines isolés donc ici vous avez un statut qui est dit là
dame d'Auxerre simplement parce qu'elle a été découverte par austère survenir dessus donc ce
statut elle elle fait environ 75 cm de haut donc on a à nouveau leur statut qui est relativement
grande à l'époque et elle a été découverte à la fin du 19e siècle dans les réserves d'un théâtre à
hauteur le contexte original évidemment a été perdu
➔ Son attestation, c’est d’être un accessoire de scène. Statue qui a un certain intérêt. Elle
porte une cape avec une tunique longue
Elle porte un corset et imite la culture orientale.
Elle porte la cape, on voit des bracelets gravés, il faut l’imaginer peinte, yeux grands ouverts
en forme d’amande
Vase Chigi= on peut voir des détails de scène de chasse, avec des elements bien plus détaillés.
Épisode au centre plus connu et complexe-> épisode célèbre de la mythologie grec=> le jeune
paris qui garde son troupeau. Iris : déesse de la discord, ce qui fait que pour les départager,
Zeus, ordonne a Hermès de descendre sur terre pour que Paris, choisisse quelqu’un ->
Aphrodite. Le peigne= objet de la beauté féminine
Bouclier avec la tête de méduse=> méduse n’était pas encore magnifique, par les codes de la
beauté social. On peut voir que les codes ne sont pas tous très bien représenté. On a le dvlp
d’une nouvelle technique de combat= entraide (technique d’armement et de combat. Le
bouclier a un intérêt particulier puisqu’il permet de protéger le voisin
• La loutrophore proto attique -> vers 690 à Athènes, 80 cm de hauteur -> eau sacrée,
qui va servir lors des mariages, colle presque aussi haut que la pense. On a aussi des
renvoie à la fonction de ces objets. On a de la céramique, et on voit qu’on a toujours
des codes de la pratique -> petites fleurs, personnages sur le côté ; on retrouve tous ces
personnages orientaux. On voit aussi une diversification avec des gens qui font de la
flute
➔ Style graphique entre 2 styles
➔ Style avangarde de l’attique. Le cortège de char on voit que là encore c’est funéraire
Cours
Comment nait le langage architectonique G.
➔ On va parler d’architecture religieuse.
On va avoir 2 nouvelles formes (on connait le mieux).
Temple élément essentiel
Sanctuaire = terrain, délimitation dédiée à un dieu
Les 1ere traces d’archi= trou de poteau dans le sol (on a mis des pierres pour pouvoir les
caler). Parmi les premières structures en bois grecques :
- On a l’exemple de lefkandi
-> année 80, mais que l’on connait depuis 1980. Ajrd il nous reste que les trous des poteaux
(on a reconstruit).
Forme un péristyle. On a un bâtiment qui termine en abside (colonne qui entoure les temples
grecs), on a deux sépultures, dans des urnes en bronze = un homme dont le corps est âgé de
30 ans.
Cette tombe, est recouverte d’un tumulus -> ça permet une bonne conservation
On a détruit l’ancien temple pour installer le tumulus (on a pas de texte écrit : juste de
la fouille) .
Ça à transformer son lieu de pouvoir pour pouvoir placer sa sépulture. On le considère comme
un héro, le terme de héro= c’est un mort à qui on va rendre un culte (=héroïsé). Ça n’est donc
pas celui qui sauve tout le monde dont sa patrie.
Neos : brique crue = architecture fragile parce que dès qu’elle va fondre -> haréos
On a des temples du 8e et 9e siècle qui se superpose, on voit que c’est orienté de la même
manière.
Artisans qui ont une nouvelle maitrise, Q de dispo de main d’œuvre et d’éco. Ça peut casser,
évolution et découvrir de manière plus pérraines et efficace.
Blocs qui font + de tonnes.
Faits de deux manières :
o ORDRE DORIK Grèce + occident (pièce avec statut de culte)
o Yonik (3 colonnes du centres)
Planche où l’on reconstitue le monde grec -> représentés dans l’ordre chronologique du
monde grec. Chapiteaux simplifiés -> le yonik (3 chapiteaux montrés), l’ordre Coratien on le
reconnait ça fait plus végétal.
Dorik :
Grec occidental, on voit les principes existentiels de cet architecture (un plan périptère =
colonne tout autour du bâtiment).
Colonne avec chapiteau à bourlet (forme qui permet de re élargir la colonne). Et une frise qui
va alterner les triglyphes et la métope
➔ Origine dans l’architecture en bois
D’abord le sanctus de Zeus= quand on en re crée un autre plus beau, on le donne pour sa
femme. On le sait parce que posanias, va décrire les sanctuaires d’Olympie.
➔ Désigne le temps de Héra= un héragniome.
Il décrit comme des statuts primitifs et archaïque
➔ Reconversion du bâtiment en Héra= qui explique l’architecture (il aurait été diff si
c’était directement pour elle.
Tout dans cet ordre n’est pas définitif= ils arrêtent d’utiliser le bois
Une crépisse a deux marches+ colonnes qui en font tout le tour, il est grand comme temple
(16 colonnes par 6). On a un opisthodome (salle à l’arrière), on a également une sella
Dans les parties les plus étroites = deux personnes allongés (adaptés pour remplir tout le
fronton
➔ Forme d’harmonie, lentablement (partie sur les colonnes) -> allégement des formes,
polychromie, terre cuite (il faut imaginer des couleurs peintes dessus).
On suppose que les métopes étaient toutes ornées -> on a retrouvé que des petits morceaux
Plan en dessous de la façade, particularité qui montre qu’on a changé de version. Puisque
chaque cité = un symbole particulier.
➔ Traduction // selon les espaces.
Pour se déplacer il fallait aller d’un point Strat a un autre, quand on se déplace on peut voir les
influences
Diapo qui récap l’ordre ionique :
➢ Z ou les frises s’enchainent = disparu
➢ Colonnes = bases
➢ Chapiteau éolique : soit on les superpose (1 chapiteau empilé). Y avait une variété de
decors
On se situe au 3e/4 du 6eS= temple d’Héra-> on est à l’extrémité de la ville, on a des temples
de // dieux -> on a un temple gigantesque (dictaire= plusieurs rangés de colonnes)->
construction foret de colonne (site d’empreintes visibles). Le modèle égyptien est repris mais
on adapte aux formes et au répertoire grec.
- Temple construit en 575 av notre ère= 50m de large sur (.. m de long)
Le problème c’est que c’est un terrain marécageux, ce qui fait que le bâtiment va s’effondrer=
ils vont créer un deuxième temple mais avec des fondations qui sont + développés
- temple d'éphèse =
On a un roi barbare (non grec), qui vient de la ludie (région de la Turquie). Il a financé la
construction de ce temple => encore une fois, terrain instable, mais ils ont pris des précautions
(bois + peau)
➔ Exemple de sanctuaire PP.
On peut innover, on est dans de l’archi pour montrer des savoirs faire (type pt d’archi).
L’ile de siphnos = offrande d’un petit trésor (intéressant). C’est un édifice de style ionique
(on n’a pas les colonnes= enceinte de delle).
➔ Devenu riche, grâce aux mines découvertes sur l’ile.
Ce petit édifice va lui permettre de montrer et de signaler sa richesse. D’une part = frise
sculptée, on a une salle saine continue qui va faire tout le tour de l’édifice. On avait une frise
lisse = on n’avait rien de précis.
➢ Évolution propre et notable = la caryatide, c’est une jeune femme qui va remplacer les
colonnes. Colonne totalement sculptée.
L’ionique = fin et élancé proportion du corps humain
Cette corbeille = ce qu’on trouve dans les chapiteaux aussi corinthien -> on va les voir
compléter -> modèle ionique
Albert tournère : a fait une aquarelle avec les ruines et la reconstruction à la fin du XIX->
proposition de reconstitution.
> Pierre et de taille qui ornent (acrotère figurés). Ce changement ne concerne pas que le
religieux (les admin -> =/ lieu unique
Offrande intéressante dans le site d’Appolon a delfe= c’est le sphynx de nafos. Elle est
d’abord placée comme offrande sur l’ile de Naxos -> immortalise des offrandes =/ une
architecture au sens strict. Le jour ou c’est tombé -> ça a du etre violent
➔ Il faut imaginer encore une fois que la statue était colorée (assez éloignée du regard)
Cette évolution -> avec une architecture religieuse et qui évolue rapidement dans d’autres
lieux. On voit le même temps d’Appolon mais à des étapes successives -> mit en évidence par
l’archéologie vers 750-> première construction seigneuriale (on a un porche avec un support
et c’est placé par et d’autres du mur).
1er temple allongé= avec une colonne centrale vers 650 -> un très bon temple, avec 6 par 17
colonnes -> statue de culte. Seulement après on fait un temple de pierre qui va se trouver
détruit par l’attaque des pierres. L’ordre ionique sera canonique pour cause des plans et des ..
Aristocratie et clergé qui vont gagner en puissance.
d. la statuaire monumentale
Époque archaïque = grande statuette en pierre dure, nouvelle forme artistique émergée. Lié au
religieux, le sanctuaire = espace dans lequel les citoyens vont émerger-> ile des cyclades (fin
du 7e). apres le colosse et la statue de delfe.
➔ Architecture faites par les iles et elles vont ainsi dépasser Naxos.
Statue gigantesque : le kouros d’appolonas -> inachevées parce que la pierre s’est fendue (=/
le beau marbre), on pense qu’elle pèse un peu près 80 tonnes.
Artémise de nikandré -> offerte par la femme à la déesse d’Artémise
➔ Nom de l’offrande encadré par son père et par son mari = maitrise des enjeux.
On peut imaginer que l’on leur rajoutait des éléments qui venaient ainsi identifier et
dynamiser les figures (ici c’est assez anonyme).
On peut se souvenir ici de la dame d’osère
Femme debout-> modèle originel. Plastique dédalique, qui va supplanter totalement la 1ere.
Choré de nik andré -> ces figures archaïques féminines.
Elles sont hautes, mais peu épaisses -> art qui doit se voir vu de face (modèle de sculpture) :
art en 3 dimensions : kuros, kuroi= termes grec anciens
Anatomie corporelle, simplification de la technique (anatomie parfaite = codification forte
avec l’évolution de la société et des usages
10/02 :
Statue de plus de 10m de H.
➔ Montre l’ampleur de la monumentalisation dans l’époque archaique (avec le religieu
qui devenait en pierre monumentale.
Arthémis de Nikandré :
Modèle commun avec d’autres époques
On va voir l’évolution de deux types
- Korai -> jeune fille
- Kouros-> jeune homme
Elles vont évoluer vers 1 plus grand réalisme
Il va y avoir une volonté de changement et d’évolution. Ce réalisme en réalité n’est pas
réaliste dans tous les aspects.
Ce sont des statues qui ont des fonctions, objets de qualités pour vanter les prestiges des
commanditaires. -> un riche commanditaire pouvait demander des critères, mais il pouvait
arriver. L’inverse aussi.
➔ Prestige du commanditaire
Les Korai :
- Koré de Berlin
Vers 570, on voit qu’elle porte une pomme, des sandales, des bijoux. Statue funéraire
Les tyrans, vont commanditer des statues qui viennent de la Grèce de l’est (plus fine). Leurs
opposants, vont eux choisir des Koré qui viennent directement d’Athènes (1 et 3, plus
robustes).
Dédicant, qui a acheté la statue et l’a offerte.
- Koré la boudeuse
Visage différent, on a plus ce visage positif qui revient à quelque chose d’heureux (un peu à la
joconde). On abandonne le sourire pour avoir une représentation hors code.
Il faut se rappeler, qu’elles étaient colorées.
- Koré en péplos
Plusieurs tentatives de restauration de couleurs. On imagine de manière très hypothétique
qu’elle avait un « diadème ».
Il s’est passé en 480 : l’invasion des perses (la fameuse bataille des 300 etc). Ils se sont
réfugiés dans le port d’Athènes (les athéniens). Les Perses, détruisent tout, notamment
l’acropole et la nécropole qui est détruite. On ne peut pas reprendre ce que l’on a donné aux
dieux. Elles sont encore couvertes de peintures. Elles portent le péplos (robe en laine chaude,
ceinturées à la taille).
➔ Différence notable, elle se rapproche du modèle dédalique. On a pris son bras tendu en
avant (creux), il pouvait tenir des éléments dans les mains.
On retrouve des éléments de couleurs (rouge dans les cheveux, frises sur la robe= animation
du tissu).
Statue récente :
- Kleobis et Biton
Fin du XIXe à Delphes. Se sont donc des offrandes.
Symbole sculpture G Archaïque, leurs caractéristiques s’isolent.
Signées par polimédès => proviennent d’une ile où il n’y a eu que ces statues.
Statues connues aussi par les textes. Raconte dans ses écrits, l’histoire des deux héros.
La mère doit se rendre en char plus loin de là où ils se trouvent. Les boeux ne sont pas encore
rentrés des champs, et les enfants vont le prendre eux même et l’emporter jusqu’au sanctuaire
d’Héra. Ils vont s’allonger dedans et mourir d’épuisement.
Argos, va commanditer les deux statues.
Les Dioscures de Castor et Polux : vont participés à divers batails etc. (les vrai jumeaux)
La gravure thoracique, évoque peut-être de manière volontaire la cuirasse qu’ils portaient
pour la guerre. La parrure venait soit évoquer leurs nudités soit la cuirasse.
- Kouros funéraires :
On voit les évolutions corporelles : on différencie les représentations selon le placement des
jambes. On voit le sourire, les genoux, les oreilles ..`
Evolution marqué notamment par le sourire.
Celle du centre : Kouros Croisos-> raideur forte, cuisses larges, proportion très restreinte. Plus
dynamique et équilibré
Dans les deux cas, les bras du corps se détaches. Peu à peu, on peut voir que les bras
s’éloignaient du corps.
En 480 : le modèle a changé, on a une certaine animation du corps, la jambe va s’avancer,
déhanché etc…
Comment répercuter cette sensation de déhanchement sur le corps
On peut trouver d’autres objets sculptés, ça vient faire une plus grande diversité (comme ça
on se distingue tous les uns des autres) et certaines sont moins couteuses, donc plus accessible
à d’autres classes.
3 exemples (voir la diapo), souvent on a la représentation du défunt accompagné d’une spynx
ou d’une palmette.
L’état de la base et de l’inscription : impossible de savoir le nom, mais on sait que se sont leur
parent qui ont demandé. Le socle (bas-relief) en rouge. Le jeune homme est nu, peint en rouge
-> corps d’huile parfumé
Un athlète.
Il n’a pas insisté sur la moulure du corps, la jeune fille à la même position mais de manière
habillée.
On a une sphynx en haut, et ce qui est intéressant c’est que désormais on a une dynamique
puisqu’elle vient tourner la tête (c’est maintenu jusqu’à très récemment.
➔ Aide et protège du mauvais œil (contraste fort). Notamment sur les ailes et la poitrine.
En Attique on a des Stèle en marbre avec d’antigènes, fin du Vie
On a Ascophore : porteur de veau. Bras le long du corps, ils ont levé les mains = une plus
grande dynamique
CCL :
On a vu comment deux types principaux se sont créés et ont évolués. On a vu d’autres types.
Faconnage de vase :
- Modelage (montage en colombin= plus régulier et solide qu’à la main)
- Tournage/tournassage : on monte et on déforme l’argile (plus lisse et régulier)
- Moulage : les romains vont faire de la sigillée -> pot rouge, production en masse
d’objets industriels
- Les Grecs vont faire le revêtement de vase (ça n’est pas de la peinture, mais c’est de
l’argile liquide avec laquelle on va peindre dessus. Après cuisson ça va devenir noir
sur fond rouge.
- Hydria
On voit la déesse Athéna, on voit les potiers autour, elle vient couronner tout le monde
notamment les plus petits. On voit une femme tout à droite, sur une base -> la main d’œuvre
féminine était tout aussi importante, elle à un bon statu.
Une fois façonné, on va pouvoir faire cuire le vase, on l’empilait avec des matériaux et on le
faisait cuire. On ne peut prendre l’argile et le casser. Les Grecs vont se servir de fours. On
construit des petits édifices pour les vases= les rends plus solides.
On a une coupe d’un four de l’époque : la cuisson du vas avec le four à flammes nues
(reprendre le schéma)
Four à tubulures, les vases ne sont pas en contact avec la cheminée= couleur particulière.
Quand on fait cuire en terre cuite
- Cuisson (on l’alimente, on le commence doucement
- A 550°, on passe à la cuisson en grand feu
- Palier de cuisson (on ne fait plus monter la cuisson et on l’arrête.
Atmosphère réductrice ou oxydante
Dans le A : le vase devient noir
B : les inoxydé vont faire que la peinture va vitrifier et devenir d’une autre couleur (fin et va
bruler)
C : pas par les Grecs : on n’enlève jamais la fumé, y a juste la température qui va monter (voir
diapo)
Pour faire des détails, on incise la peinture (pour la figure noir), on fait des figures noires sur
fond rouge. (voir diapo)
Bilingue : figure noir, figure rouge-> la plus ancienne et la figure noire, mais avec la figure
rouge = plus précis. Pour la rouge, on fait directement la figure dedans, alors que pour le noir
on inverse
Surpeint, on va ajouter des détails, si on enlève le blanc= on voit que y a moins de détails. On
va ajouter des minéraux (blanc de plomb)
- Vases plastiques de Canos
Vases figurés grecs. On peut avoir des couleurs qui nous étonnent un peu (couleurs très
claire), on va mettre des reliefs qui jaissent du vasent (en les Multipliant.)
Le banquet c’est : un moment clé de la vie en société grec. C’est à la fois, un repas entre
citoyen (à spart c’est super important). Fait après certains événements, mais c’est aussi un
moment religieux. On va faire à la fois des sacrifices (la nourriture va être consommé). Séparé
en deux phases.
- Repas
- Simposyne (phase où l’on boit)
➔ Moment ou ils banqueteaient ensemble, rappel du moment ou ils étaient ensemble
heureux avant Pandora
Psykter : dessins, plus ou moins héroïque
Kylix : coupe pour boire du vin
Dyonisos : dieu de l’ivresse (intérêt de la soirée)
Scène de banquet : les femmes et les hommes jouent des instruments, y a des prostitués qui
peuvent aussi participer
Jeu du cottabe : on joue à ça quand on est ivre (pas destiné à durer)
Les artisans, se sont inspiré par rapport aux codes sur les scènes des vases. Ils sont certains
entrains de banqueter. On a un jeu homme près d’un cratère, il attend qu’on lui demande de
remplir. Incite non pas à se rappeler d’une scène, d’un banquet funéraire mais plus à celui de
le haut de là.
Le banquet : forte connotation funéraire= repas avec le mort, et on image qu’en haut aussi il y
en a. des vases vont être placés dans la tombe
17/02/23
Le « vase François », vers 570 est un cratère à volute (pour le vin) : il est signé du peintre
Clitias et du potier Ergotimos. Il est produit à Athènes mais on le retrouve en Italie, près de
Rome dans une tombe étrusque. On y voit la volonté de représenter le plus de scènes
possibles, une sorte de saturation. Le tout est organisé en frise avec environ 270 figures
représentées, presque toutes désignées par des inscriptions. Une frise est consacrée aux
végétaux et animaux, un peu comme les vases corinthiens. La plupart des scènes se rapportent
à la vié d’Achilles et la guerre de Troie.
En -530, l’Amphore signée par Exékias : il atteint une précision unique dans le tracé de ses
figures. Ils sont probablement très couteux. Les ences du vase sont couvertes de feuilles de
lierre. Sur la face deux guerriers, l’un porte encore son casque et l’autre la posé, ils tiennent
encore leurs lances et sont autour d’une petite table. Des paroles sortent de leur bouche. A
gauche, Achille, à droite, Ajax. Le peintre montre un moment de repos et de jeu (ici, les dés).
C’est un jeu de hasard, donc très important pour les Grecs. Ajax annonce Troie et Achille
Tessara.
Achille gagne ce qui rappelle qu’il est supérieur. La composition est très symétrique mais
c’est rompu par les jambes et la place des accessoires. Toutes les lignes convergent vers la
table de jeu. C’est la première amphore de ce type, créé vers 540, il est peintre et potier.
Coupe, signé par Exékias : Dionysos sur un bateau.
Coupe à yeux attique, vers 530-10 : jeu, quand on boit dans la coupe les yeux se place sur le
visage.
Amphore signée par Exékias : représentation du suicide d’Ajax, le palmier symbolise Troie, la
localisation. Ajax, pris de folie décime un troupeau sacré quand il reprend ses esprits il décide
de se suicider, il dépose ses armes (tout à droite), il enfonce son épée dans le sol et se laisse
tomber sur l’arme. Exékias représente la préparation du supplice, Ajax à l’air méthodique. Il
préfigure les grandes tragédies qui se développeront plus tard à Athènes.
Amphore bilingue, Peintre d’Andokidès : vers 530, les peintres Athénien introduisent une
révolution avec la figure rouge, d’abord utilisé par Andokidès. L’intérêt de la nouvelle
technique c’est de pouvoir rendre des détails de manières plus faciles, les peintres rivalisent
de techniques, de positions de personnages. Cette technique va s’imposer dans le dernier quart
du 6ème siècle et jusqu’au 4ème.
Le peintre le plus reconnu de ce style est Euphronios, actif vers 520-10, d’autres peintres se
comparent à lui donc on sait qu’il était bon. Il fait de grand cratère. Ici, Héraclès se bat avec le
géant Antée. La scène est prétexte pour une représentation anatomique, grâce à la technique
de la figure rouge. Deux femmes encadrent la scène, la composition est donc en W et donne
du dynamisme.
Le cratère d’Euphronios avec Sarpédon : fabriqué par un autre artisan. Il représente le prince
Sarpédon qui participe à la guerre de Troie face au grec et est tué par Achille. Zeus demande à
Hermès (avec le chapeau ailé au centre) de l’accompagner aux Enfers, jusqu’au Champs
Elysées. Autour d’Hermès, Hypnos et Thanatos en habits de guerrier viennent recueillir le
corps en sang de Sarpédon. Les traits sont peints mais on fait aussi des lassis pour créer un
relief, un réalisme. Le niveau de détail est assez inédit. Deux guerriers et un écrin végétal
entourent la scène, ce schéma sera reprit de manière quasi-systématique.
I- La période classique :
A- Contexte historique :
En 510, la tyrannie de Pisistrate et ses fils prend fin à Athènes, elle a duré environ 50 ans. La
démocratie s’installe progressivement, le terme s’impose pour parler du régime athénien et de
bien d’autres. Les citoyens font des réforment constitutionnelles pour éviter l’arrivée d’un
autre tyran : le contrôle des magistrats, l’assemblée du peuple devient l’organe de décision
politique principal, toutes les décisions votées par l’assemblée sont affichées publiquement
dans la pierre et lorsque les citoyens participent à l’assemblée ou le tribunal on leur
dédommage leur journée perdue.
Ce système coute très cher, la cité développe une Thalassocratie. Elle jouit d’un grand
prestige grâce à ses victoires. Pour éviter une troisième guerre médique, on créer la ligue de
Délos, une confédération de cité. Athènes détourne le trésor de la ligue pour financer son
régime politique, le trésor est déplacé sur place en 474, les autres cités de la ligue deviennent
des cités sujettes.
B- La reconstruction de l’Acropole
Après un saccage perse, les Athéniens vont reconstruire l’Acropole et les nécropoles. Le
chantier du Parthénon est lancé en premier, il est confié à deux architecte et un maître
d’œuvre. On le reconstruit en seulement une quinzaine d’années. Après on refait les
Propylées, le temple d’Athéna niké et l’Erechthéion.
Le Parthénon (447-32) : Les architectes sont Ictinos et Callicratès sous les ordres de Phidias.
Ce n’est pas un temple mais un édifice consacré à Athéna Parthénos. Il a la forme mais pas les
fonctions d’un temple. C’est un immense trésor offert à la divinité. Périclès veut en faire le
trésor le plus grand de Grèce. L’édifice adopte un plan périptère avec une cella avec quatre
colonnes doriques, et un sekos, on ne sait pas vraiment quelle était sa fonction (peut être
ranger le trésor vu qu’elle est au fond de l’édifice). Des colonnes passent derrières la statues,
elles sont purement ornementales, elles permettent de monumentalise l’édifice et mettre en
valeur la statue. Tout l’édifice est construit autour de la statue, réalisée par Phidias, qu’on a
perdu. Elle était chryséléphantine (or et ivoire), haute de 12m, Périclès justifie ce choix en
disant que la statue elle-même est un trésor (une tonne d’or). On connait son apparence grâce
à des descriptions et des copies (librairie de Pergame), même si elles sont toutes légèrement
différentes. Dans les années 20, à Nashville, on a reproduit le Parthénon et la statue d’Athéna.
La statue était polychrome, elle était vêtue d’une péplos et d’un casque de guerre. Dans sa
main droite elle porte une victoire ailée, dans l’autre un bouclier et une lance sur lequel un
serpent (symbole d’Athènes) s’enroule. L’appareil ornemental à l’extérieur de l’édifice
dépasse en quantité tout ce qui a été fait avant. Les frontons sont ornés d’un décor ambitieux.
On voit la naissance d’Athéna sur une face et de l’autre son combat avec Poséidon pour être le
dieu principal d’Athènes. Pour la première fois, la frise dorique est entièrement sculptée, en
tout 92 métopes sont décorées avec une amazonomachie, une gigantomachie, une
centauromachie et des représentations de la prise de Troie. On place une deuxième frise sur le
deuxième rang de colonnes dans le bâtiment, c’est une frise ionique, continue qui fait tout le
tour du bâtiment elle représente la procession des Panathénées, fête au cours de laquelle des
jeunes filles offraient une nouvelle péplos à la déesse (et peut être mise sur sa statue).
Les Propylées sont construits de 437-32 et ce sont les portes monumentales de l’Acropole.
L’architecte doit imaginer un plan original et un peu asymétrique, contraint par les édifices et
la topographie. Les colonnes sont d’abord doriques puis ioniques. Ces portes
monumentalisent l’entrée, protègent le sanctuaire et abritent des tableaux (aujourd’hui perdu),
art le plus important pour les Grecs.
Le temple d’Athéna Niké est construit de 424 à 418, il est à droite du Propylée et fait l’objet
d’une reconstruction.
L’Erechthéion, construit de 420 à 405 a un plan original. Il remplace le temple détruit par les
Perses en 480, il est placé au nord des ruines. Le temple adopte une forme particulière parce
qu’il abrite plusieurs cultes notamment. La cella consacrée à Athéna Polias est précédée d’un
vestibule et ne communique pas avec les deux autres pièces dédiées à des Rois : au nord, le
roi Erechthée (mythique), soutenu par des colonnes ioniques et de l’autre côté un baldaquin
au-dessus du tombeau du roi Cécrops, soutenu par des piliers en forme de jeunes filles.
C- L’agora d’Athènes :
Elle illustre la concentration des bâtiments nécessaires à la vie de la cités : on a dans l’Agora
une fonction cultuelle, politique (Prytanée, culte d’Hestia, archives… le tribunal) et
commercial (marché).
La céramique figurée est d’abord liée au banquet mais ça va évolué. Vers 500, le peintre de
Berlin et celui de Kléophradès domine la production.
Hydrie Vivenzio, peintre Kléophradès, vers 500-480 : représente la prise de Troie, le thème
n’est pas très original mais la représentation est unique ; on détaille la cruauté et les sacrilèges
grecs : Cassandre réfugiée auprès de la statue d’Athéna violée par les guerriers, Priam tué sur
un autel. Les femmes troyennes se défendent et on voit la fuite d’Enée.
Amphore du peintre de Berlin, vers 500-490 : il isole des figures sur un fond noir très
homogènes pour les mettre en valeur. Le succès des vases noirs athéniens, c’est leur couleur
noir brillant qu’on obtient qu’à Athènes. En face A, un satyre avec une énorme coupe et une
lyre, en scène B, Hermès (chapeau et chaussures ailés), un satyre et une biche, ils sont tous
placés l’un derrière l’autre.
Cratère en cloche, Peintre de Berlin, vers 500-490 : l’enlèvement de Ganymède par Zeus, le
jeune homme en face B tient un cerceau et un coq (symbole de cadeau amoureux), la figure de
Zeus lui répond en face A.
Peintre de Pan, cratère de Boston : à la fin du 4ème siècle, on s’ennuie du style archaïque et on
travaille le détail le plus possible. Sur une face, Pan qui poursuit un berger et en face B,
Actéon dévoré par ses propres chiens. On observe un allongement des corps et des membres.
Le peintre prête beaucoup d’attention au geste d’Artémis. Au deuxième quart du 5ème siècle
on voit apparaitre une réponse à ce maniérisme.
Cratère en calice, Peintre des Niobides, vers 460-50 : On construit une sorte de perspective, ce
qui est en haut est à l’arrière-plan, ce qui est en bas est au premier plan, même si tous les
personnages font la même échelle. Des lignes fines permettent de placer les personnages. On
y représente le massacre des Niobides par Apollon et Artémis. En face B, Héraclès au centre,
Athéna et des guerriers tout autour, certains personnages sont en partis cachés par d’autres.
L’influence de la peinture aurait pu s’étendre mais va demeurer relativement rare. On
constate à Athènes, durant les deux dernières parties du siècle une peinture sur vase à fond
blanc (probablement inspiré de la vraie peinture). Ce sont quasiment tous des lécythes (pour
les huiles parfumées funéraires). C’est un nouveau contexte, d’habitude les vases figurés sont
faits pour les banquets.
On voit aussi se développer une sphère féminine (en opposition au banquet plutôt masculin).
Ils sont placés directement sur la tombe. On fait des lavis de couleurs, tout est fait avant
cuisson, avec différentes couleurs (pas que rouge et noir). Le peintre des roseaux représente
parfois le mort assis sur sa tombe, visité par sa famille. Le peintre d’Achilles en 440 a
représenté une muse sur un rocher en train de jouer de la lyre.
Cette production va cesser vers 400 après 500 de production quand on monumentalise les
objets notamment avec du marbre.
10/03/
Iconographie féminine dans un certain nombre d’activités. Ils contenaient des flacons d’huile
parfumés (pour le corps du mort+ on en verse sur la tombe)
➔ Dvlp de la citoyenneté pour la femme (grâce à Héraclès = pour limiter le nombre de
citoyens voir)
Développement de l’iconographie féminine sur l’Hydrie Attique dans le JNC-> préparation
du mariage sur les vases. C’est de la céramique fait comme les vases= poteries coupées pas
cassé. Ils font garder la laine en faussant tourner sur le genou etc
Dernier quart du 5e siècle : société qui apparait a Athènes. Durant la G du Péloponnèse= ils
ont du se réfugier dans les murs de la cité
➔ Développement d’un style de vie luxueux (inaccessible pour les athéniens) et auquel
ils aspirent
À l’Ive = on arrête de faire des vases (lentement), dernière époque des vases à Failure rouge
➔ Vase de Kertch, se sont en vrai des productions d4A qui ont été exportés
Continuation style riche, couleur, on voit le blanc= on peut penser a la feuille d’or
On ne va plus peindre les vases
Bcp de représentations des enfers = iconographie funéraire qui se dvlp
E- la sculpture. Classique :
Placée sur les tombes, prestiges du commanditaire que ce soit dans le sanctuaire ou dans la
nécropole
Dvlp de plus en plus des traces des statues. (Croissantes destinée pour la croyance des
dieux)
L’étude à accorder un regard majeur aux
Elles devaient surement être peintes, le marbres/bronze lui a fondu, on les a fait fondre pour
pouvoir créer des boulets de canons etc
➔ Chaque moment de l’H en supp une autre
Contexte difficile -> changement de focus puisqu’on a tres peu de contexte original.
Style sévère :
En 480= sacre de l’acropole par les perses. On a une date précise au mois pré (date très
approximative= grande opportunité), on va essayer de suivre ailleurs (pour ça qu’Athènes =
point de ref)
Appellation moderne, qui n’est pas marqué par une rigidité sévère des statues. C’est juste le
visage, qui a motivé ce nom. On vient rompre avec les statues représentées frontalement avec
peu de dynamisme.
Volonté de vouloir rechercher le mouvement e qui fait que le kuros va disparaitre
progressivement
Commandé par les A pour le placé sur l’agora en 497
On connait le nom des artistes, on en connait des repliques (à Naplesà
Représentation du grp de tyranautes.
Assassinat des tyran d’Athènes par Harmodios et Aristogiton
Représentation aussi d’un athlète victorieux=> on peut faire bcp d’approximation, on a une
grande maitrise de l’anatomie, ça montre l’appréciation du détail. A noter que comme elle est
blanche on peut penser qu’elle a eu de la couleur
Le dieu de l’Artémision :
On voit le détail du corps bien détaillé, une anatomie bien faite
Aurige de delphes (conducteur de char)= bien plus fini. Apartenait a une œuvre compelte . il
ne reste que le conducteur alors qu’anvant on avait plusieurs chevaux.
Originaux en bronze : statue volé par les Romains en Grece=> découverte de la statue de
bronze legerement plus grande que nature, on voit une proposition avec la polichromie
originale (peut etre enrichie, les détails avec des cils des yeux rajoutés etc. il faut imaginer
que toutes ces œuvres sont toujours en couleurs
Déclage pour marquer le mouvement, on voit un point d’appuit par rapport aux jambes
et aux hanches -> lignes différentes ce uqi fait une différence chronologique entre les
deux (estimé à 30 ans par le déhanchement qui va occuper pendant 30 ans les
historiens). On voit l’évolutioin des poeds
- Le diadumène de Polycète
Homme qui s’attache une bandelette au niveau du front (les mains sont perdues) -> athlète qui
a gagné (surement une offrande dans un sanctuaire de celui qui a gagné). Commenté dans
l’antiquité et bien souvent reproduite par les romains.
On a une couleur différente du marbre= elle est cassée au même endroit que l’originale.
➔ Complexe à sculpter mais ça permet de montrer et de savoir son savoir-faire
(concurrence entre les artistes)
La pose est assouplie par une forte inclinaison. -> variation des cannons
Marque la mise en place du style parthénonien
➢ Idéalisation très froide des dieux
➢ Les effets de plaquer les vêtements près du corps. Première fois qu’après les modèles
dédalique : le corps se dévoile (tissus qui viennent dévoiler leur anatomie
➢ Le sculpteur dévoile des divinité (il dévoile anthémis en premier)
Au temple d’Athéna niké : on voit le paraphé de 410 = Le tissu tombe : on voit la plénitude du
corps humain
➔ Dévoile la plastique de la déesse
Cette fois on quitte Athènes pour aller dans le sanctuaire de Zeus= il ne faut pas l’attaquer elle
est victorieuse, les messéniens et des naupathies (Victoire des Messéniens, sanctuaire
d’Olympie
➔ La représentation du corps n’est pas propre aux statues, ça va rencontrer un certain
succès => tissu plaqué à l’avant et dynamique
- Le 2e
Dernière phase de la sculpture classique :
- Praxitèle et lysyl (2 grands sculpteurs)
Changement notable dans la représentation, puisqu’ici elle est totalement nue (la sculpture
Aphrodite Braschi, Aphrodite de Cnide), on a des copies mais elles sont toutes plus ou moins
complète
➔ Attire bcp de commentaires
➔ Déesse qui est isolé et finalement on a une main qui vient de plus en plus être
subjective (ne cache que son sexe)
- La tholos de Delphes
On a un bâtiment circulaire, on ne sait pas si c’est un temple. On a ce type de bâtiment qui est
difficile à construire= tour de force architecturale ainsi que d’esthétique
On a une anastylose (on reconstruit un endroit avec des pieces originales -> exceptionnel a
delphes
La tholos d’Épidaure
Fils d’Appolon, dieu de la médecine -> on demande a être guérit pour quelque chose. On a
pas mal de médecin qui sont là pour pouvoir les soigner. On a une émulation de l’art grec qui
va faire 22 mettre avec 20 colonnes -> 14 fut de colonnes corinthienne.
Les réalisations d’envergures, ne dépassent pas ce qui a été fait jusqu’à l’or (avec Olympie,
Athènes...)
Vers 350 : périphérie du monde d’Athènes = interaction très forte de représentation grec
Le mausolée d’Halicarnasse= on retrouve u temple ainsi qu’une sculpture du temps.
Le mausolée (vient du nom du satrape = Mausole) qui domine l’agora de la ville dans laquelle
la tombe -> proche de l’agora. C’est juste un monument honorifique normalement, mais la-il
place son tombeau à l’intérieur. Mausole va mourir avant que le mausolée soit fini, du coup
c’est sa femme qui va le reprendre.
On a un podium puissant qui tenait la tombe avec les 36 colonnes ioniques (comme une petite
tombe), lui-même porté par une pyramide
➔ Œuvres de plusieurs sculpteurs
- IV : L’art hellénistique
Dernière période chronologique grec. Elle débute en 333, a la mort d’Alexandre le grand->
défaite (pour donner suite à la bataille d’axiome)
On a des individus de l’enfance à la vieillesse.
A Athènes, et dans les grandes cités grecques on a encore des représentations de grandes
figures rouges
➔ Illustre ce qui est dit d’italiote
Vase d’une grande qualité technique qui se distingue de tous les autres= motive une certaine
évolution
-W pouille d’une cité grecque (Tarente), sinon on a des pop qui sont riches et qui font bcp de
commerce (en plein cœur de la méditerranée)
Code pour pouvoir aller dans le paradis et d’un autre on a les enfers
Découverte en 1500 ans à Rome avec le GRP Laocoon qui est idd par le pape Jules II de
Michel Ange qui est décrite par plean l’ancien -> dans la plus vieille c’est la plus digne des
anciens (proviens d’agendros, d’andornoise)
Les Grecs assiègent Troie à cet instant, le prêtre Laocoon va mettre en garde ses concitoyens
et il va être tuer avec ses deux fils par un serpent (expo au Vatican -> artistes de la renaissance
qui ont voulu s’en inspirer)
Grp qui se battent pour l’espoir, on a un réalisme anatomique qui le rends très célèbre
Fils ainé impuissant.
➔ Style dramatiquement expressive (2e siècle), avec la frise du grand hôtel de Rome