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Histoire de l’art et archéologie antique

Vendredi 20 janvier – séance 1

Introduction

A. La civilisation mycénienne
- La Grèce mycénienne
Les tablettes administratives nous permettent de comprendre ce qui se passait à cette période
Lien fort entre les religions à cette époque

Archéologues allemands de la fin du 19e :


- Heinrich schelman - masque d’ « Agamemnon »
- Wilhelm dorpfeld – la portes de lions

Période trouble après la destruction de la Grèce mycénienne, ce qui provoque un repli de la


population, l’écriture va disparaître pendant quelque décennies, les codes graphiques etc vont
disparaître c’est ce qu’on appelle la période post mycénienne

On voit naître la civilisation grecque après les âges obscurs

La figure humaine dans l’art mycénien :


- Fresque (mycenes)
- Seau en Agathe (pylos)
- Coffre (haghia triada)
- Vase de guerriers (mycènes)
- Masques funéraire (mycenes)

- La Grèce des cités


Les Grecs vont se battre entre eux mais aussi contre les perses.
C’est un système qui va durer très longtemps
On pense qu’il y avait entre 1000 et 1500 palais, chaque palais est un état

Les grecs vont quitter leur cités d’origine pour aller en coloniser de nouvelles, c’est la
diaspora, le monde grec s’étend.
Les jeux olympiques (pentétériques) sont le seul moment ou il n’y a pas de différence entre
les états

Points qui compose la Grèce des cités :


- La civilisation grecque est partagé entre citoyen et non citoyen
- L’égalité théorique entre tous les citoyen, les citoyens doivent jouer les mêmes rôles
- L’émulation entre les citoyens, pour être en haut de la hiérarchie il faut faire plus de
choses que les autres et ça en ayant la même égalité avec les autres citoyens
- Rivalité entre les cités, chaque cité veut avoir l’air plus importance que les autres

- Faire l’histoire de « l’art grec »


L’art grec a d’abord été définit, par les textes, en 3 grandes périodes, la période Archaïque,
Classique et Hellénistes. Cette classification a été faite grâce à l’archéologie

La période helléniste va suivre la mort d’Alexandre le grand


Il y a une absence de rupture radicale, il y a un certain conservatisme les formes ne changent
pas, sûrement un lien avec leur religion, un goût pour l’innovation technique (couleur…)
Tout ce qui définit l’art d’aujourd’hui est inadapté à la notion d’art de l’époque classique
L’art des cités = l’art des citoyens : honorer les dieux, commémorer les morts, promouvoir le
prestige d’un citoyen
L’architecture grec va elle aussi se developper dans des contextes de célébrations etc comme
pour les théâtres où avait lieu des concours de théâtres pour montrer leurs prestiges et leur
richesses

L’art géométrique (Xe – VIIe siècle)


A. Sanctuaires et offrandes
Les dieux occupent une place importante dans la vie des citoyens, dans le monde grec on
procède à des sacrifices (animaux) et a des offrandes (objets)
Sanctuaire d’Olympie dédié à Zeus
Un tumulus c’est une couche noire, le plus grand se trouve sur le sanctuaire d’Olympie
Plusieurs milliers de statuette en terre cuite ont été retrouvé sur cette zone
Moins d’un siècle après, au cours du IXe siècle on voit apparaître des statuettes en bronze
Chaque modèle de petits chevaux en bronze est propre à leur endroit : Élide, attique, Corinthe,
Argos, sparte et sont transporté à Olympie pour les offrandes

B. Tombes et nécropoles
= La cité des morts, on y trouve le mobilier funéraire placé dans la tombe et au dessus pour
accompagner le défunt dans l’au-delà, c’est donc un lieu de performance, de démonstratrice
de richesse, comme les sanctuaires c’est un lieu de rivalité entre les citoyens. Elles se trouvent
vers l’extérieur de la cité.
Durant les âges obscur les citoyens vont enterrer des vases, des bijoux etc avec les proches ce
qui entraîne un appauvrissement donc ils vont les placer au dessus des tombes. Des vases de
plus en plus grands pour montrer la richesse du défunt
Porto- géométrique (Xe siècle) : Certain vases sont recouverts d’un vernis noir
Géométrique ancien (IXe siècle)
Géométrique moyen
Géométrique récent (vers 750)
La diversité des formes géométrique va croître, le compas va être moins utilisé
La première représentation figurée n’est pas celle d’un homme mais celle d’un cheval (avec
des roue)

Cours du vendredi

Initiation a l’H A et à l’archéologie du monde grec des premières cutes à la conquête romaine
UE250ART-> grp sur arche si besoin
https://arche.univ-lorraine

Mycénienne= première société, dana sle T de la Grèce, pour certain la naissance de la G mais
pour d’autres non. C’est un ensemble de petits états. Ils règnent sur des T en G.
➔ Les G se X et gouvernent sur un plus petit territoire

Masque d’Agamemnon

B la G des cités :
- Plus de territoire
- Un syst politique, avec un D politique, a un syst politique ou le C= le centre de tout.
Ces cites se font h24 la G, se sont chacune des C E (autonomes des unes et des autres), qui se
font des conflits que ce soit par Olympie (ils se font des espèces d’unités) ou par la G.

C faire l’histoire de l’art grec :


Chronologie, de l’art grec.
Age du fer (à voir ce semestre).

Figure mycénienne= art qui s’écroule, l’art et l’artisanal sont très développés (la pierre taillée,
est très bien fait). Par la suite on va faire de la céramique
Quand l’art g, se développe de nouveau : on oublie la représentation de l’homme, des détails
etc = rupture pt.

Olympie : offrande en terre cuite (après ça devient du bronze) = les artisans grecs :
amélioration de l’art et croissance importante (// aux égyptiens qui eux ne font pas
d’évolution).
Tombe de la femme riche= remet en cause le modèle de la S archaïque. La femme semble
posséder à cette période un rôle particulièrement développé.

Géometrique recent vers 750


➔ Saturés de motif, figures humaines.
2 vases connus= changement de rapports avec l’antiquité Grec. Quand l’archéologie va les
decouvrir : la période Grèce va être vu comme avant l’archaïque.
➔ Conservés à Athènes (amphore et cratère d’edi pilone) : préparation du vin (transport+
prép), à savoir qu’ils n’ont jamais servi.
Ils ont été utilisés pour signaler les tombes= montre le statu. Les artisans ont dû innover
(1m55, «et 1m 23). On arrive a idd, la main d’un artiste -> on a mis le nom de la ou ont les a
trouvés.

Retrouvés fin XIX à Athènes. Le nom de l’atelier, sont les grandes portes qui ont permis de
traverser la métropole.

On va voir deux éléments (scènes), importantes pour comprendre la société grecque :


- La prothèse : ça orne le cratère, (peintre de hiershveld). On voit différentes zones,
celle-ci c’est la plus importante. -> on voit ici un mort, avec des figures qui sont
endeuillés. Il est représenté non pas sur le dos mais sur le coté, de manière très
régulière. La figure humaine est très codifiée, simplifié. On peut avoir diverses
solutions.
 Ça n’est pas des nains, mais ce sont des humains représentés par leurs codes
sociaux (on le voit avec les femmes qui se tirent les cheveux).
- L’ekphora : d’abord on nettoie le corps et on peut le voir à la maison, le passage avec
le cortège funéraire -> cette scène. On voit les pleureuses, l’homme qui est fait sur le
côté-> lamentation.

Fragment : attribué au même auteur.


➔ Scène de prothesis, l’homme est sur le lit, puis il y a des chars.
Char de combat : y en a 1 qui conduit, un autre qui tient le bouclier.
➔ Cités guerrière (on le voit aussi avec les bateaux)

Lors de funérailles = combats pour pouvoir rendre honneur. On pense que ça a donné
l’Olympie (donné après en l’honneur des dieux).
- Noir/rouge foncé, sur l’argile
- Pas de perspective.
- Sorte de décomposition
- Traits simplifiés, et amplifiés (distinction peu complète : femme seins pointu,
homme= bouliers-> se sont des stéréotypes contemporains qui nous font décrire ça).
- Les figures petites sous les chevaux -> on met les enfants
- Peureuses> lit> défunt
➔ Pas du tout réaliste, ça n’est pas l’objectif du peintre.
➔ On lit du premier au dernier plan

Il ne faut pas rechercher les symboles d’Égypte ou encore des représentations non enfantines.
La géométrie= simplicités +formes.
• Critère attique, Thèbes => on voit Ariane et Thésée
• Les frères siamois (il peut s’agir de 2 frères lors de la G de T.
• Cruche Athènes => homme au centre d’un navire retourné (on suppose Ulysse) =>
représentation dite narrative

Par la suite on va avoir des codes, des textes qui vont nous montrer de quoi ça parle. On a des
commanditaires, qui savent tout de suite qui c’est. Les codes étaient déjà très clairs. La
polysémie de ces images, peuvent être voulues.

Les mythes-> sujet débattu encore aujourd’hui. On se demande si on peut la connaitre sans se
renseigner sur les autres représentations hors littérature.
On n’a pas les textes mais des récits sont de traditions orales, est ce qu’on en a fait des
images.
• Centaure de lefkandi
Corps de cheval avec tête humaine (de 38 cm). Découverte fine des années 60 (sur la carte il y
a la localisation). Ces monstres vivent dans les mythes dans les montagnes, de manière exclue
de la société -> altérité, ça n’est pas un citoyen ni un homme. Mais ils incarnent la sagesse et
la violence.
- La main des figures : 6 doigts (altération volontaire)
- Le corps du cheval : forme simple
- Peint de la même manière que de la céramique (commande faite)
Particularité : genou G= entaille, faite avant la cuisson volontairement.
➔ Facon d’idd ce centaure -> représentation du mythe de Phyron (précepteur d’Achille)
Prométhée : celui qui prend le feu pour le donner aux hommes.

Figure noire : centaure


On pas les mêmes récits partout

On envisage qu’il s’agisse d’un enfant et d’un adulte avec un centaure cassé en deux. Rituel
fait au moment des funérailles => dans la tombe d’un enfant et d’un adulte. Revient donc à la
tragédie de la mort, avec la fin de l’immortalité. Ça représente un maître et son élève.

• Les idoles cloche du groupe des œnochoés de Thèbes


Ces statuettes sont creuses. Elles se raccrochent à quelque chose.
- Trou au sommet de la tête, permet de les suspendre
- Forme d’un vase légèrement aplatie -> même méthode que les vases.
- Même code funéraire : haches, oiseaux (rameaux sur la robe)
➔ Certains y ont vu dans ces statuts = un culte d’Artémis (hache+ bottes). Juxtaposition
des parties (absence de réalisme des personnages).
 L’art géométrique va devenir un art respecté (au début ça n’est pas considéré
comme naturel)

Fin période géométrique


➔ Remise en question
Durant les S qui vont suivre, les peintres vont se diriger vers des éléments plus figés et des
modes de représentation bien plus fort et accentué. On va s’intéressé à l’amphore du peintre
de Polyphème (on reconnait avec certitude une scène de l’épopée).
On voit sur le col, « hommes qui tiennent une lance, et il lui plante dans son œil (Ulysse et ses
compagnons qui tuent le cyclope).
➔ Evolution des conventions :
o Ça n’est pas seulement des cratères
o Espaces pas saturés
o Figures plus détaillés (musculature)
o Elles sont individualisées
o Polychromie (rouge, blanc. Jeu de couleur)

On se déplace dans le monde G pour aller en Crète.


➔ Forme d’aboutissement, ne peut plus évoluer sans que ces principes soient remis en
cause.
On a un fils conducteur avec des évolutions régulières. On a des artisans qui viennent
emprunter aux proches orients.
➔ Rapports développés avec ces régions, ce qui va impacter la peinture. Dépassant les
contraintes.

Les Grecs= marins, dès le VIIIe, ils vont mettre en place des échanges notamment
économique. Ce sont des objets qui vont être mit sur le marché grec. Les fénissies -> avant de
s’installer dans la méditerranée grec.
Ces orientalos= vont inspirer les artisans grecs -> nouvelle inspiration. Ça va toucher aussi
bien les matériaux que les iconographies. Des artisans s’installent dans de nouvelles régions
(ce sont des phénomènes qui vont devenir orientalisantes par raport au monde Grec.

A) La statuaire dédalique
Méditerranée orientale, dans la plaque tournante du commerce (sert de place d’échange). Ils
sont soumis a cette influence (aussi + intense).
On commence par les terre cuites :
Cités de cortine, on va découvrir, une série de plaquette en terre cuite= du proche orient et qui
ont été vendus en Grèce.
Astarté-> figure féminine qui vient tout révolutionner (3D), elle est nue, formes arrondies,
main sur son sexe et sa poitrine. Les artisans crétois vont faire ça aussi dans les offrandes. Elle
a suscité un peu de gêne, puisque sur place ils l’on refaite mais avec des habits. On a quand
même des tenues très moulantes (y a des phases de transitions = habillés, longue robe qui
moule les jambes, ceinture, tête coiffée d’une perruque). Apparence du corps+ parures bien
plus détaillés, rythmes d’initiation que devaient vivre la chose (passage de l’enfance à l’âge
adulte= en offrant ces statues).

On est plus face à l’art de la poterie, mais bien plus la technique de coroplathe. On rentre dans
une production en série. A gauche on a le moule dans le creux et de l’autre côté on a la statue.
Ça permet une grande production, avec des couleurs et des peintures.
Plus on emploi le moule, plus il s’abime. On peut dater toutes les figures
➔ Phénomène de réduction de la taille

Statue masculine 80m de hauteur ou alors


Culture orientale et donc vous faites technique de serrer la tonne elle permet de faire des
statuts plus grandes qu'avec la technique de la fonte vous l'avez vu dans le premier cours
pouvez prendre des statuts on peut couler du bronze dans un petit moule mais on est limité par
la taille du moule et on est limité par la quantité de métal ce que on fait des statuts qui sont
pleines des premières café que je vous ai montrées sont massives hein y a pas de truc ici hein
d'ailleurs y a pas de pompe donc on a une économie on a un système plus légère et on a aussi
une technique qui va nous permettre de faire des statuts aussi grands que l'on le veut en fait ce
n'est pas limité par la taille du four par la taille du moule et par la quantité de bétail donc la
technique va être utilisée par les artisans grecs pour limiter le coût est pour augmenter la taille
du statut on voit que le modèle des statuts est très impliqué des plus statuettes que je vous ai
montré tout à l'heure avec la déesse astarté qui était nulle on retrouve les mêmes codes mais

Cette fois on voit bien que les femmes sont vraiment abîmées complètement elles des pièces
de la tête on pourrait dire et une nouvelle fois on a voulu identifier la triade apollinienne donc
on aimerait l'étau la mer artémis fondateur et Apollon au sens qui est du le plus important de
ce sanctuaire donc on voit que même à la fin du 8e siècle on est vers 725 l'artisan a préféré
représenté des futurs vêtus et non pas des figures connues alors qu'elles continuait d'exister
parallèle donc y a pas forcément une progression du type de la statue du mur oriental vers le
type aminé grec vers d'évolution parallèle des codes distances dérivées du même prototype
donc on a quelque chose qui est oriental ici de facture et de technique mais cet ensemble
statuaire et les termes grecs dans sa conception le vêtement la coiffure des femmes la nuque
des masculines et un début de dynamisme des statuts avec une voix les bras d'apollon qui ne
sont pas placés simplement le long du corps on peut s'intéresser à présent à un type féminin
voilà un certain nombre de statuts féminines isolés donc ici vous avez un statut qui est dit là
dame d'Auxerre simplement parce qu'elle a été découverte par austère survenir dessus donc ce
statut elle elle fait environ 75 cm de haut donc on a à nouveau leur statut qui est relativement
grande à l'époque et elle a été découverte à la fin du 19e siècle dans les réserves d'un théâtre à
hauteur le contexte original évidemment a été perdu
➔ Son attestation, c’est d’être un accessoire de scène. Statue qui a un certain intérêt. Elle
porte une cape avec une tunique longue
Elle porte un corset et imite la culture orientale.
Elle porte la cape, on voit des bracelets gravés, il faut l’imaginer peinte, yeux grands ouverts
en forme d’amande

B. la céramique protos corinthiens


On est dans la même région de sparte Athènes, produite au VIIe siècle. Elle va abandonner la
période, pour le registre. On a un bestiaire animalier.
Les motifs orientaux= tirés de la peinture, sculpture d’objet en bronze.
➔ Ensemble de motifs, végétaux (ronceaux, animaux fantastiques…). On voit aussi une
sirène, un sphynx, griffon
Forme miniatures nouvelles (arival= destinés a des huiles parfumés). Iconographie nouvelle
(que l’on retrouve exporté de manière importante).
Style miniature, qui vont changer avec les techniques => motif du métal.
Technique de la figure noire : le détail des figures = incisé dans les aplats. Ils vont faire des
rehaussements de couleur fond rouge, perso noir
 Plus détaillés.
Production très standardisé = répétitif, école de la citoyenneté. Certains vont avoir la
configuration dite plastique (tentative d’innovation). Vase plastique parce que c’est employé
comme (forme de lion = modèle proche oriental). Buste humain -> influence de ces
représentations.
• Olpes corinthiennes : rondelles = formes en métal (registre de la céramique en terre
cuite, plantes, animales, sature l’espace, forme géométriques, dents de loup
Végétaux : plus développés

Vase Chigi= on peut voir des détails de scène de chasse, avec des elements bien plus détaillés.
Épisode au centre plus connu et complexe-> épisode célèbre de la mythologie grec=> le jeune
paris qui garde son troupeau. Iris : déesse de la discord, ce qui fait que pour les départager,
Zeus, ordonne a Hermès de descendre sur terre pour que Paris, choisisse quelqu’un ->
Aphrodite. Le peigne= objet de la beauté féminine
Bouclier avec la tête de méduse=> méduse n’était pas encore magnifique, par les codes de la
beauté social. On peut voir que les codes ne sont pas tous très bien représenté. On a le dvlp
d’une nouvelle technique de combat= entraide (technique d’armement et de combat. Le
bouclier a un intérêt particulier puisqu’il permet de protéger le voisin

3 derniers vases célèbres


• Pithos (cycladique) en 670 avant notre ère= pas de décors, enterrés dans le sol. On
estime que les artisants ont pu s’// avec la technique de repoussée. C’est un vase qui
fait 1m34 de haut, avant d’etre enrobé d’argile -> on voit des soldats sur les roues du
cheval de Troie. Un artisan a fait 20 vignettes qui nous montre leur entrée.
➔ Ne glorifie pas la violence, au contraire considéré comme le fervent humanisme.
Regard sur eux meme et leur pratique (chose qu’ils condamnent eux même).
Femme centaure pas serpent.

• La loutrophore proto attique -> vers 690 à Athènes, 80 cm de hauteur -> eau sacrée,
qui va servir lors des mariages, colle presque aussi haut que la pense. On a aussi des
renvoie à la fonction de ces objets. On a de la céramique, et on voit qu’on a toujours
des codes de la pratique -> petites fleurs, personnages sur le côté ; on retrouve tous ces
personnages orientaux. On voit aussi une diversification avec des gens qui font de la
flute
➔ Style graphique entre 2 styles
➔ Style avangarde de l’attique. Le cortège de char on voit que là encore c’est funéraire

• Vase de Oenoché Levy


Style precis et particulier. Il est pratiqué aussi en Turquie actuelle (chypre, crête etc). On voit
des choses paradoxales puisque les trajets sont par la mer et pas que sur terre.
➔ Illustre la répétitivité par les peintres -> toujours les mêmes êtres sauvages. Décorer le
tissu, on voit qu’ils ont renoncés au bouquetin -> propre a cet art dit des chères
sauvages

II- Art orientalisant et archaïque


Reprendre réponses wooclap -> screen)

Les différentes périodes :


Période mycénienne, géométrique archaïque, classique, helléniste.
Les Grecs ne connaissaient pas la notion d’art= vrai.
La civilisation mycénienne et palatiale
L’écriture alphabétique utilisée en Grèce= durant la période mycénienne, avant de disparaitre
et revenir après les âges obscurs.
A qui a été dédié Olympie = à Zeus

Cours
Comment nait le langage architectonique G.
➔ On va parler d’architecture religieuse.
On va avoir 2 nouvelles formes (on connait le mieux).
 Temple élément essentiel
 Sanctuaire = terrain, délimitation dédiée à un dieu

Les 1ere traces d’archi= trou de poteau dans le sol (on a mis des pierres pour pouvoir les
caler). Parmi les premières structures en bois grecques :

- On a l’exemple de lefkandi
-> année 80, mais que l’on connait depuis 1980. Ajrd il nous reste que les trous des poteaux
(on a reconstruit).
Forme un péristyle. On a un bâtiment qui termine en abside (colonne qui entoure les temples
grecs), on a deux sépultures, dans des urnes en bronze = un homme dont le corps est âgé de
30 ans.
Cette tombe, est recouverte d’un tumulus -> ça permet une bonne conservation
 On a détruit l’ancien temple pour installer le tumulus (on a pas de texte écrit : juste de
la fouille) .
Ça à transformer son lieu de pouvoir pour pouvoir placer sa sépulture. On le considère comme
un héro, le terme de héro= c’est un mort à qui on va rendre un culte (=héroïsé). Ça n’est donc
pas celui qui sauve tout le monde dont sa patrie.

Neos : brique crue = architecture fragile parce que dès qu’elle va fondre -> haréos
On a des temples du 8e et 9e siècle qui se superpose, on voit que c’est orienté de la même
manière.

Artisans qui ont une nouvelle maitrise, Q de dispo de main d’œuvre et d’éco. Ça peut casser,
évolution et découvrir de manière plus pérraines et efficace.
 Blocs qui font + de tonnes.
 Faits de deux manières :
o ORDRE DORIK Grèce + occident (pièce avec statut de culte)
o Yonik (3 colonnes du centres)
Planche où l’on reconstitue le monde grec -> représentés dans l’ordre chronologique du
monde grec. Chapiteaux simplifiés -> le yonik (3 chapiteaux montrés), l’ordre Coratien on le
reconnait ça fait plus végétal.

Dorik :
Grec occidental, on voit les principes existentiels de cet architecture (un plan périptère =
colonne tout autour du bâtiment).
Colonne avec chapiteau à bourlet (forme qui permet de re élargir la colonne). Et une frise qui
va alterner les triglyphes et la métope
➔ Origine dans l’architecture en bois

Fonction pratique qui devient architecturales= le bois va devenir de la pierre


- Ex : cas de Syracuse :
Plus ancien temple que l’on connait dans le monde grec (nous c’est le premier qui nous est
parvenu
➔ Nom du dieu vénéré.
L’architecte montre sa fierté, il peut être fière de lui = pierre de 17 tonnes a 8 m de hauteur->
plus stable que ce qui a maintenant.
Temple de pierre dans le sanctuaire de Zeus-> temple d’Héra (épouse de Zeus)

D’abord le sanctus de Zeus= quand on en re crée un autre plus beau, on le donne pour sa
femme. On le sait parce que posanias, va décrire les sanctuaires d’Olympie.
➔ Désigne le temps de Héra= un héragniome.
Il décrit comme des statuts primitifs et archaïque
➔ Reconversion du bâtiment en Héra= qui explique l’architecture (il aurait été diff si
c’était directement pour elle.

Tout dans cet ordre n’est pas définitif= ils arrêtent d’utiliser le bois
Une crépisse a deux marches+ colonnes qui en font tout le tour, il est grand comme temple
(16 colonnes par 6). On a un opisthodome (salle à l’arrière), on a également une sella

Brique crue= coute moins cher qu’une colonne de pierre-> on construit


En boit avec de la terre cuite -> qui supportait des tuiles
Acrotairefétier= il est tassé-> on a au sommet l’acrotère, c’est un immense disque en terre
cuite
Temple d’anthémis -> édifié au début du 6, le premier édifice de Corique
- Figure de méduse :
Ces 2 chevaux ailé, crisaort -> deux fils de Poséidon lorsqu’il l’a violé dans le temple
d’Athéna. Persée on le reconnait avec ses ailes.
➔ Elle est mise comme étant protectrice (on la retrouve sur des façades, tombes, etc)

Dans les parties les plus étroites = deux personnes allongés (adaptés pour remplir tout le
fronton
➔ Forme d’harmonie, lentablement (partie sur les colonnes) -> allégement des formes,
polychromie, terre cuite (il faut imaginer des couleurs peintes dessus).

On suppose que les métopes étaient toutes ornées -> on a retrouvé que des petits morceaux
Plan en dessous de la façade, particularité qui montre qu’on a changé de version. Puisque
chaque cité = un symbole particulier.
➔ Traduction // selon les espaces.
Pour se déplacer il fallait aller d’un point Strat a un autre, quand on se déplace on peut voir les
influences
Diapo qui récap l’ordre ionique :
➢ Z ou les frises s’enchainent = disparu
➢ Colonnes = bases
➢ Chapiteau éolique : soit on les superpose (1 chapiteau empilé). Y avait une variété de
decors

On se situe au 3e/4 du 6eS= temple d’Héra-> on est à l’extrémité de la ville, on a des temples
de // dieux -> on a un temple gigantesque (dictaire= plusieurs rangés de colonnes)->
construction foret de colonne (site d’empreintes visibles). Le modèle égyptien est repris mais
on adapte aux formes et au répertoire grec.

- Temple construit en 575 av notre ère= 50m de large sur (.. m de long)
Le problème c’est que c’est un terrain marécageux, ce qui fait que le bâtiment va s’effondrer=
ils vont créer un deuxième temple mais avec des fondations qui sont + développés
- temple d'éphèse =
On a un roi barbare (non grec), qui vient de la ludie (région de la Turquie). Il a financé la
construction de ce temple => encore une fois, terrain instable, mais ils ont pris des précautions
(bois + peau)
➔ Exemple de sanctuaire PP.

On peut innover, on est dans de l’archi pour montrer des savoirs faire (type pt d’archi).
L’ile de siphnos = offrande d’un petit trésor (intéressant). C’est un édifice de style ionique
(on n’a pas les colonnes= enceinte de delle).
➔ Devenu riche, grâce aux mines découvertes sur l’ile.

Ce petit édifice va lui permettre de montrer et de signaler sa richesse. D’une part = frise
sculptée, on a une salle saine continue qui va faire tout le tour de l’édifice. On avait une frise
lisse = on n’avait rien de précis.
➢ Évolution propre et notable = la caryatide, c’est une jeune femme qui va remplacer les
colonnes. Colonne totalement sculptée.
L’ionique = fin et élancé proportion du corps humain
Cette corbeille = ce qu’on trouve dans les chapiteaux aussi corinthien -> on va les voir
compléter -> modèle ionique
Albert tournère : a fait une aquarelle avec les ruines et la reconstruction à la fin du XIX->
proposition de reconstitution.
> Pierre et de taille qui ornent (acrotère figurés). Ce changement ne concerne pas que le
religieux (les admin -> =/ lieu unique

Offrande intéressante dans le site d’Appolon a delfe= c’est le sphynx de nafos. Elle est
d’abord placée comme offrande sur l’ile de Naxos -> immortalise des offrandes =/ une
architecture au sens strict. Le jour ou c’est tombé -> ça a du etre violent
➔ Il faut imaginer encore une fois que la statue était colorée (assez éloignée du regard)

Cette évolution -> avec une architecture religieuse et qui évolue rapidement dans d’autres
lieux. On voit le même temps d’Appolon mais à des étapes successives -> mit en évidence par
l’archéologie vers 750-> première construction seigneuriale (on a un porche avec un support
et c’est placé par et d’autres du mur).

1er temple allongé= avec une colonne centrale vers 650 -> un très bon temple, avec 6 par 17
colonnes -> statue de culte. Seulement après on fait un temple de pierre qui va se trouver
détruit par l’attaque des pierres. L’ordre ionique sera canonique pour cause des plans et des ..
Aristocratie et clergé qui vont gagner en puissance.

d. la statuaire monumentale
Époque archaïque = grande statuette en pierre dure, nouvelle forme artistique émergée. Lié au
religieux, le sanctuaire = espace dans lequel les citoyens vont émerger-> ile des cyclades (fin
du 7e). apres le colosse et la statue de delfe.
➔ Architecture faites par les iles et elles vont ainsi dépasser Naxos.

Statue gigantesque : le kouros d’appolonas -> inachevées parce que la pierre s’est fendue (=/
le beau marbre), on pense qu’elle pèse un peu près 80 tonnes.
Artémise de nikandré -> offerte par la femme à la déesse d’Artémise
➔ Nom de l’offrande encadré par son père et par son mari = maitrise des enjeux.

On peut imaginer que l’on leur rajoutait des éléments qui venaient ainsi identifier et
dynamiser les figures (ici c’est assez anonyme).
On peut se souvenir ici de la dame d’osère

Femme debout-> modèle originel. Plastique dédalique, qui va supplanter totalement la 1ere.
Choré de nik andré -> ces figures archaïques féminines.
Elles sont hautes, mais peu épaisses -> art qui doit se voir vu de face (modèle de sculpture) :
art en 3 dimensions : kuros, kuroi= termes grec anciens
Anatomie corporelle, simplification de la technique (anatomie parfaite = codification forte
avec l’évolution de la société et des usages

10/02 :
Statue de plus de 10m de H.
➔ Montre l’ampleur de la monumentalisation dans l’époque archaique (avec le religieu
qui devenait en pierre monumentale.

Arthémis de Nikandré :
Modèle commun avec d’autres époques
On va voir l’évolution de deux types
- Korai -> jeune fille
- Kouros-> jeune homme
 Elles vont évoluer vers 1 plus grand réalisme
Il va y avoir une volonté de changement et d’évolution. Ce réalisme en réalité n’est pas
réaliste dans tous les aspects.

Ce sont des statues qui ont des fonctions, objets de qualités pour vanter les prestiges des
commanditaires. -> un riche commanditaire pouvait demander des critères, mais il pouvait
arriver. L’inverse aussi.
➔ Prestige du commanditaire

On va les trouver dans deux contextes :


- Nécropole (indique le lieu, le nom du mort), remplace les grands vases géométriques.
- Sanctuaires : les cités et les individus offrent des statues (comme Dalphe ou encore
Olympie), tout le monde peut les voir.
➔ Cohabitent avec les autres offrandes.

Les Korai :
- Koré de Berlin
Vers 570, on voit qu’elle porte une pomme, des sandales, des bijoux. Statue funéraire

- Deux Koré de l’acropole d’Athènes


Des offrandes
- Koré en péplos
Tenue trad, des jeunes femmes à Athènes, que l’on va retrouver sur les autres.
- Koré funéraire
Elle reprend un modèle ancien, celle de toute à gauche. On cite volontairement l’art ancien car
c’est un domaine qui évolue peu.
➔ Élément constant, le léger sourire de ces statues. Ça permet d’animer le visage et de se
distinguer de précédemment.
➔ On va avoir une évolution au point graphique

Entre 480 et 530.


On peut voir, une certaine évolution du modèle et des qualités. On peut voir qu’il y a un
changement de tenue (le kitole), elle porte aussi un ématione (qu’elle porte en bandoulière).
La Koré de Lyon et celle de l’Anthéor= corps extrêmement robustes. On n’est pas dans la
finesse de koré 675.
➔ Question de style

Les tyrans, vont commanditer des statues qui viennent de la Grèce de l’est (plus fine). Leurs
opposants, vont eux choisir des Koré qui viennent directement d’Athènes (1 et 3, plus
robustes).
 Dédicant, qui a acheté la statue et l’a offerte.

- Koré la boudeuse
Visage différent, on a plus ce visage positif qui revient à quelque chose d’heureux (un peu à la
joconde). On abandonne le sourire pour avoir une représentation hors code.
Il faut se rappeler, qu’elles étaient colorées.
- Koré en péplos
Plusieurs tentatives de restauration de couleurs. On imagine de manière très hypothétique
qu’elle avait un « diadème ».

Il s’est passé en 480 : l’invasion des perses (la fameuse bataille des 300 etc). Ils se sont
réfugiés dans le port d’Athènes (les athéniens). Les Perses, détruisent tout, notamment
l’acropole et la nécropole qui est détruite. On ne peut pas reprendre ce que l’on a donné aux
dieux. Elles sont encore couvertes de peintures. Elles portent le péplos (robe en laine chaude,
ceinturées à la taille).
➔ Différence notable, elle se rapproche du modèle dédalique. On a pris son bras tendu en
avant (creux), il pouvait tenir des éléments dans les mains.
On retrouve des éléments de couleurs (rouge dans les cheveux, frises sur la robe= animation
du tissu).

Représentation masculines (Kouros)


- Kouros de New York
On a la même évolution mais plus ou moins avec des différences notables. Toutes ces statues
de femmes= vêtues, on est dans une période qui va durer encore longtemps. Les hommes, eu
se retrouvent bien souvent nus, // aux femmes.
En 590 : ce qui est frappant quand on la regarde, on voit qu’on a creuser dans le bloc, mais il
n’y a pas de dynamique dimensionnelle. Les oreilles sont très stylisées.

- Kouros n1 du Cap Sounion.


Sanctuaire dédié à Poséidon, les perses ont aussi détruit ce sanctuaire, là encore on a réussi à
les sauver. Il fait plus de 3m (statue monumentale). On les retrouve en parties sur le cap
Sounion. L’arc thoracique, le bas ventre marqué et cette structure.
➔ Insistance sur les traits, on a des éléments qui peuvent paraitre naturalistes. Mais
quand on regarde de plus près, on voit le bourlet linguinal
➔ Pas fidèle à la représentation humaine
On ne peut donc pas les classer de manière réaliste.

Statue récente :
- Kleobis et Biton
Fin du XIXe à Delphes. Se sont donc des offrandes.
 Symbole sculpture G Archaïque, leurs caractéristiques s’isolent.
Signées par polimédès => proviennent d’une ile où il n’y a eu que ces statues.
Statues connues aussi par les textes. Raconte dans ses écrits, l’histoire des deux héros.
La mère doit se rendre en char plus loin de là où ils se trouvent. Les boeux ne sont pas encore
rentrés des champs, et les enfants vont le prendre eux même et l’emporter jusqu’au sanctuaire
d’Héra. Ils vont s’allonger dedans et mourir d’épuisement.
Argos, va commanditer les deux statues.

Les Dioscures de Castor et Polux : vont participés à divers batails etc. (les vrai jumeaux)
La gravure thoracique, évoque peut-être de manière volontaire la cuirasse qu’ils portaient
pour la guerre. La parrure venait soit évoquer leurs nudités soit la cuirasse.

- Kouros funéraires :
On voit les évolutions corporelles : on différencie les représentations selon le placement des
jambes. On voit le sourire, les genoux, les oreilles ..`
 Evolution marqué notamment par le sourire.
Celle du centre : Kouros Croisos-> raideur forte, cuisses larges, proportion très restreinte. Plus
dynamique et équilibré
Dans les deux cas, les bras du corps se détaches. Peu à peu, on peut voir que les bras
s’éloignaient du corps.
En 480 : le modèle a changé, on a une certaine animation du corps, la jambe va s’avancer,
déhanché etc…
 Comment répercuter cette sensation de déhanchement sur le corps

On peut trouver d’autres objets sculptés, ça vient faire une plus grande diversité (comme ça
on se distingue tous les uns des autres) et certaines sont moins couteuses, donc plus accessible
à d’autres classes.
3 exemples (voir la diapo), souvent on a la représentation du défunt accompagné d’une spynx
ou d’une palmette.

Le rouge à bien souvent le mieux résisté au temps et aux intempéries.


Bien souvent on a le nom sur la stèle, mais pas n’importe ou à la base (510), représentation
avec le sommet manquant ; le défunt et debout, de profil, avec une lance à la main.
Espèce de petite zone
Attique, stèle funéraire d’un jeune homme et d’une petite fille avec chapiteau et faiteau en
forme de sphinx (ils sont sur la même statue). Base avec des inscriptions. Le tout mesure 4m
de haut.

L’état de la base et de l’inscription : impossible de savoir le nom, mais on sait que se sont leur
parent qui ont demandé. Le socle (bas-relief) en rouge. Le jeune homme est nu, peint en rouge
-> corps d’huile parfumé
 Un athlète.
Il n’a pas insisté sur la moulure du corps, la jeune fille à la même position mais de manière
habillée.

On a une sphynx en haut, et ce qui est intéressant c’est que désormais on a une dynamique
puisqu’elle vient tourner la tête (c’est maintenu jusqu’à très récemment.
➔ Aide et protège du mauvais œil (contraste fort). Notamment sur les ailes et la poitrine.
En Attique on a des Stèle en marbre avec d’antigènes, fin du Vie
On a Ascophore : porteur de veau. Bras le long du corps, ils ont levé les mains = une plus
grande dynamique

- Le cavalier Payne Rampin


Vers 550 av notre ère, un homme qui chevauche un cheval.
Style archaïque, mais il tourne la tête, on finit par l’assembler avec d’autres bouts ui étaient
restés à Athènes.
On devine de nouveau la couleur rouge dans ses cheveux et sa barbe.

CCL :
On a vu comment deux types principaux se sont créés et ont évolués. On a vu d’autres types.

On va voir d’autres types de statuaires et de sociétés qui les ont faits.

Identité civique, elle va s’exprimer de la même manière pour les statues.


Toutes celles qui proviennent du même endroit possède le même modèle.
On a Samos, Naxos, Paros= ne tiennent pas à l’évolution unique des formes.
Les masses se fondent dans une longue ligne sinueuse.
- Naxos :
Continuation des ruptures avec la masse de chaire. Le haut et le bas du corps sont dynamisés.
On accentue la musculature, tout est détaillé (de paroisse qui insiste sur le caractère
athlétique).
Malgré toutes les évolutions, on pourra constater les mêmes //.
➔ Évolution stylistique vers le réalisme mais c’est très factice. On a une naissance de
style et une évolution des sociétés.
Ça n’est pas parce qu’elle est produite quelque part, qu’on ne peut la retrouver ailleurs

Plusieurs étapes sont nécessaires :


1. Le séchage
2. Le concassage et le broyage
3. Le tamisage
4. Le trempage ou délayage
5. Le ressuyage
6. Le pourrissage
7. Le pétrissage ou marchage
8. Le battage à la main

Faconnage de vase :
- Modelage (montage en colombin= plus régulier et solide qu’à la main)
- Tournage/tournassage : on monte et on déforme l’argile (plus lisse et régulier)
- Moulage : les romains vont faire de la sigillée -> pot rouge, production en masse
d’objets industriels
- Les Grecs vont faire le revêtement de vase (ça n’est pas de la peinture, mais c’est de
l’argile liquide avec laquelle on va peindre dessus. Après cuisson ça va devenir noir
sur fond rouge.

- Hydria
On voit la déesse Athéna, on voit les potiers autour, elle vient couronner tout le monde
notamment les plus petits. On voit une femme tout à droite, sur une base -> la main d’œuvre
féminine était tout aussi importante, elle à un bon statu.

Une fois façonné, on va pouvoir faire cuire le vase, on l’empilait avec des matériaux et on le
faisait cuire. On ne peut prendre l’argile et le casser. Les Grecs vont se servir de fours. On
construit des petits édifices pour les vases= les rends plus solides.
On a une coupe d’un four de l’époque : la cuisson du vas avec le four à flammes nues
(reprendre le schéma)
Four à tubulures, les vases ne sont pas en contact avec la cheminée= couleur particulière.
Quand on fait cuire en terre cuite
- Cuisson (on l’alimente, on le commence doucement
- A 550°, on passe à la cuisson en grand feu
- Palier de cuisson (on ne fait plus monter la cuisson et on l’arrête.
 Atmosphère réductrice ou oxydante
Dans le A : le vase devient noir
B : les inoxydé vont faire que la peinture va vitrifier et devenir d’une autre couleur (fin et va
bruler)
C : pas par les Grecs : on n’enlève jamais la fumé, y a juste la température qui va monter (voir
diapo)
Pour faire des détails, on incise la peinture (pour la figure noir), on fait des figures noires sur
fond rouge. (voir diapo)

Bilingue : figure noir, figure rouge-> la plus ancienne et la figure noire, mais avec la figure
rouge = plus précis. Pour la rouge, on fait directement la figure dedans, alors que pour le noir
on inverse
Surpeint, on va ajouter des détails, si on enlève le blanc= on voit que y a moins de détails. On
va ajouter des minéraux (blanc de plomb)
- Vases plastiques de Canos
Vases figurés grecs. On peut avoir des couleurs qui nous étonnent un peu (couleurs très
claire), on va mettre des reliefs qui jaissent du vasent (en les Multipliant.)

Le banquet c’est : un moment clé de la vie en société grec. C’est à la fois, un repas entre
citoyen (à spart c’est super important). Fait après certains événements, mais c’est aussi un
moment religieux. On va faire à la fois des sacrifices (la nourriture va être consommé). Séparé
en deux phases.
- Repas
- Simposyne (phase où l’on boit)
➔ Moment ou ils banqueteaient ensemble, rappel du moment ou ils étaient ensemble
heureux avant Pandora
Psykter : dessins, plus ou moins héroïque
Kylix : coupe pour boire du vin
Dyonisos : dieu de l’ivresse (intérêt de la soirée)
Scène de banquet : les femmes et les hommes jouent des instruments, y a des prostitués qui
peuvent aussi participer
Jeu du cottabe : on joue à ça quand on est ivre (pas destiné à durer)

Fresque de la tombe du plongeur :


Faut imaginer une tombe, à l’intérieur on avait le mort. On a trouvé un certain nombre de
tombes (peinture sur tombe).
1969= on trouve la fresque
➔ Plus ancienne preuve de l’art romain, technique de la détrampe. C’est du marbre cuit,
poussière de marbre, tracé préparatoire. Couleurs limités (noir blanc rouge.)

Les artisans, se sont inspiré par rapport aux codes sur les scènes des vases. Ils sont certains
entrains de banqueter. On a un jeu homme près d’un cratère, il attend qu’on lui demande de
remplir. Incite non pas à se rappeler d’une scène, d’un banquet funéraire mais plus à celui de
le haut de là.
Le banquet : forte connotation funéraire= repas avec le mort, et on image qu’en haut aussi il y
en a. des vases vont être placés dans la tombe

17/02/23

Si on reprend le fil chronologique, on commence par la peinture à figure rouge à Athènes.


Certains des artistes qui ont fabriqué ces vases ont signé leur création même si c’est
exceptionnel. Dans les peintres dont on ne connait pas les noms, on a le peintre des Coudes en
dehors, le peintre angulaire ou le peintre du cochon.
Le peintre de Nessos doit son nom à une scène sur amphore : Héraclès dont le nom est écrit en
train de tuer le centaure Nessos, le nom des personnages semblent sortir de leur bouche. Il est
aussi l’auteur d’une scène de Gorgones poursuivant Persée qui vient de tuer Méduse.

Le « vase François », vers 570 est un cratère à volute (pour le vin) : il est signé du peintre
Clitias et du potier Ergotimos. Il est produit à Athènes mais on le retrouve en Italie, près de
Rome dans une tombe étrusque. On y voit la volonté de représenter le plus de scènes
possibles, une sorte de saturation. Le tout est organisé en frise avec environ 270 figures
représentées, presque toutes désignées par des inscriptions. Une frise est consacrée aux
végétaux et animaux, un peu comme les vases corinthiens. La plupart des scènes se rapportent
à la vié d’Achilles et la guerre de Troie.

En -530, l’Amphore signée par Exékias : il atteint une précision unique dans le tracé de ses
figures. Ils sont probablement très couteux. Les ences du vase sont couvertes de feuilles de
lierre. Sur la face deux guerriers, l’un porte encore son casque et l’autre la posé, ils tiennent
encore leurs lances et sont autour d’une petite table. Des paroles sortent de leur bouche. A
gauche, Achille, à droite, Ajax. Le peintre montre un moment de repos et de jeu (ici, les dés).
C’est un jeu de hasard, donc très important pour les Grecs. Ajax annonce Troie et Achille
Tessara.

Achille gagne ce qui rappelle qu’il est supérieur. La composition est très symétrique mais
c’est rompu par les jambes et la place des accessoires. Toutes les lignes convergent vers la
table de jeu. C’est la première amphore de ce type, créé vers 540, il est peintre et potier.
Coupe, signé par Exékias : Dionysos sur un bateau.
Coupe à yeux attique, vers 530-10 : jeu, quand on boit dans la coupe les yeux se place sur le
visage.
Amphore signée par Exékias : représentation du suicide d’Ajax, le palmier symbolise Troie, la
localisation. Ajax, pris de folie décime un troupeau sacré quand il reprend ses esprits il décide
de se suicider, il dépose ses armes (tout à droite), il enfonce son épée dans le sol et se laisse
tomber sur l’arme. Exékias représente la préparation du supplice, Ajax à l’air méthodique. Il
préfigure les grandes tragédies qui se développeront plus tard à Athènes.

Amphore bilingue, Peintre d’Andokidès : vers 530, les peintres Athénien introduisent une
révolution avec la figure rouge, d’abord utilisé par Andokidès. L’intérêt de la nouvelle
technique c’est de pouvoir rendre des détails de manières plus faciles, les peintres rivalisent
de techniques, de positions de personnages. Cette technique va s’imposer dans le dernier quart
du 6ème siècle et jusqu’au 4ème.

Le peintre le plus reconnu de ce style est Euphronios, actif vers 520-10, d’autres peintres se
comparent à lui donc on sait qu’il était bon. Il fait de grand cratère. Ici, Héraclès se bat avec le
géant Antée. La scène est prétexte pour une représentation anatomique, grâce à la technique
de la figure rouge. Deux femmes encadrent la scène, la composition est donc en W et donne
du dynamisme.

Le cratère d’Euphronios avec Sarpédon : fabriqué par un autre artisan. Il représente le prince
Sarpédon qui participe à la guerre de Troie face au grec et est tué par Achille. Zeus demande à
Hermès (avec le chapeau ailé au centre) de l’accompagner aux Enfers, jusqu’au Champs
Elysées. Autour d’Hermès, Hypnos et Thanatos en habits de guerrier viennent recueillir le
corps en sang de Sarpédon. Les traits sont peints mais on fait aussi des lassis pour créer un
relief, un réalisme. Le niveau de détail est assez inédit. Deux guerriers et un écrin végétal
entourent la scène, ce schéma sera reprit de manière quasi-systématique.

I- La période classique :

A- Contexte historique :

En 510, la tyrannie de Pisistrate et ses fils prend fin à Athènes, elle a duré environ 50 ans. La
démocratie s’installe progressivement, le terme s’impose pour parler du régime athénien et de
bien d’autres. Les citoyens font des réforment constitutionnelles pour éviter l’arrivée d’un
autre tyran : le contrôle des magistrats, l’assemblée du peuple devient l’organe de décision
politique principal, toutes les décisions votées par l’assemblée sont affichées publiquement
dans la pierre et lorsque les citoyens participent à l’assemblée ou le tribunal on leur
dédommage leur journée perdue.
Ce système coute très cher, la cité développe une Thalassocratie. Elle jouit d’un grand
prestige grâce à ses victoires. Pour éviter une troisième guerre médique, on créer la ligue de
Délos, une confédération de cité. Athènes détourne le trésor de la ligue pour financer son
régime politique, le trésor est déplacé sur place en 474, les autres cités de la ligue deviennent
des cités sujettes.

B- La reconstruction de l’Acropole

Après un saccage perse, les Athéniens vont reconstruire l’Acropole et les nécropoles. Le
chantier du Parthénon est lancé en premier, il est confié à deux architecte et un maître
d’œuvre. On le reconstruit en seulement une quinzaine d’années. Après on refait les
Propylées, le temple d’Athéna niké et l’Erechthéion.

Le Parthénon (447-32) : Les architectes sont Ictinos et Callicratès sous les ordres de Phidias.
Ce n’est pas un temple mais un édifice consacré à Athéna Parthénos. Il a la forme mais pas les
fonctions d’un temple. C’est un immense trésor offert à la divinité. Périclès veut en faire le
trésor le plus grand de Grèce. L’édifice adopte un plan périptère avec une cella avec quatre
colonnes doriques, et un sekos, on ne sait pas vraiment quelle était sa fonction (peut être
ranger le trésor vu qu’elle est au fond de l’édifice). Des colonnes passent derrières la statues,
elles sont purement ornementales, elles permettent de monumentalise l’édifice et mettre en
valeur la statue. Tout l’édifice est construit autour de la statue, réalisée par Phidias, qu’on a
perdu. Elle était chryséléphantine (or et ivoire), haute de 12m, Périclès justifie ce choix en
disant que la statue elle-même est un trésor (une tonne d’or). On connait son apparence grâce
à des descriptions et des copies (librairie de Pergame), même si elles sont toutes légèrement
différentes. Dans les années 20, à Nashville, on a reproduit le Parthénon et la statue d’Athéna.

La statue était polychrome, elle était vêtue d’une péplos et d’un casque de guerre. Dans sa
main droite elle porte une victoire ailée, dans l’autre un bouclier et une lance sur lequel un
serpent (symbole d’Athènes) s’enroule. L’appareil ornemental à l’extérieur de l’édifice
dépasse en quantité tout ce qui a été fait avant. Les frontons sont ornés d’un décor ambitieux.
On voit la naissance d’Athéna sur une face et de l’autre son combat avec Poséidon pour être le
dieu principal d’Athènes. Pour la première fois, la frise dorique est entièrement sculptée, en
tout 92 métopes sont décorées avec une amazonomachie, une gigantomachie, une
centauromachie et des représentations de la prise de Troie. On place une deuxième frise sur le
deuxième rang de colonnes dans le bâtiment, c’est une frise ionique, continue qui fait tout le
tour du bâtiment elle représente la procession des Panathénées, fête au cours de laquelle des
jeunes filles offraient une nouvelle péplos à la déesse (et peut être mise sur sa statue).

Les Propylées sont construits de 437-32 et ce sont les portes monumentales de l’Acropole.
L’architecte doit imaginer un plan original et un peu asymétrique, contraint par les édifices et
la topographie. Les colonnes sont d’abord doriques puis ioniques. Ces portes
monumentalisent l’entrée, protègent le sanctuaire et abritent des tableaux (aujourd’hui perdu),
art le plus important pour les Grecs.

Le temple d’Athéna Niké est construit de 424 à 418, il est à droite du Propylée et fait l’objet
d’une reconstruction.
L’Erechthéion, construit de 420 à 405 a un plan original. Il remplace le temple détruit par les
Perses en 480, il est placé au nord des ruines. Le temple adopte une forme particulière parce
qu’il abrite plusieurs cultes notamment. La cella consacrée à Athéna Polias est précédée d’un
vestibule et ne communique pas avec les deux autres pièces dédiées à des Rois : au nord, le
roi Erechthée (mythique), soutenu par des colonnes ioniques et de l’autre côté un baldaquin
au-dessus du tombeau du roi Cécrops, soutenu par des piliers en forme de jeunes filles.
C- L’agora d’Athènes :

Elle illustre la concentration des bâtiments nécessaires à la vie de la cités : on a dans l’Agora
une fonction cultuelle, politique (Prytanée, culte d’Hestia, archives… le tribunal) et
commercial (marché).

D- La céramique à figures rouges classique :

La céramique figurée est d’abord liée au banquet mais ça va évolué. Vers 500, le peintre de
Berlin et celui de Kléophradès domine la production.
Hydrie Vivenzio, peintre Kléophradès, vers 500-480 : représente la prise de Troie, le thème
n’est pas très original mais la représentation est unique ; on détaille la cruauté et les sacrilèges
grecs : Cassandre réfugiée auprès de la statue d’Athéna violée par les guerriers, Priam tué sur
un autel. Les femmes troyennes se défendent et on voit la fuite d’Enée.

Amphore du peintre de Berlin, vers 500-490 : il isole des figures sur un fond noir très
homogènes pour les mettre en valeur. Le succès des vases noirs athéniens, c’est leur couleur
noir brillant qu’on obtient qu’à Athènes. En face A, un satyre avec une énorme coupe et une
lyre, en scène B, Hermès (chapeau et chaussures ailés), un satyre et une biche, ils sont tous
placés l’un derrière l’autre.

Cratère en cloche, Peintre de Berlin, vers 500-490 : l’enlèvement de Ganymède par Zeus, le
jeune homme en face B tient un cerceau et un coq (symbole de cadeau amoureux), la figure de
Zeus lui répond en face A.

Peintre de Pan, cratère de Boston : à la fin du 4ème siècle, on s’ennuie du style archaïque et on
travaille le détail le plus possible. Sur une face, Pan qui poursuit un berger et en face B,
Actéon dévoré par ses propres chiens. On observe un allongement des corps et des membres.
Le peintre prête beaucoup d’attention au geste d’Artémis. Au deuxième quart du 5ème siècle
on voit apparaitre une réponse à ce maniérisme.

Cratère en calice, Peintre des Niobides, vers 460-50 : On construit une sorte de perspective, ce
qui est en haut est à l’arrière-plan, ce qui est en bas est au premier plan, même si tous les
personnages font la même échelle. Des lignes fines permettent de placer les personnages. On
y représente le massacre des Niobides par Apollon et Artémis. En face B, Héraclès au centre,
Athéna et des guerriers tout autour, certains personnages sont en partis cachés par d’autres.
L’influence de la peinture aurait pu s’étendre mais va demeurer relativement rare. On
constate à Athènes, durant les deux dernières parties du siècle une peinture sur vase à fond
blanc (probablement inspiré de la vraie peinture). Ce sont quasiment tous des lécythes (pour
les huiles parfumées funéraires). C’est un nouveau contexte, d’habitude les vases figurés sont
faits pour les banquets.

On voit aussi se développer une sphère féminine (en opposition au banquet plutôt masculin).
Ils sont placés directement sur la tombe. On fait des lavis de couleurs, tout est fait avant
cuisson, avec différentes couleurs (pas que rouge et noir). Le peintre des roseaux représente
parfois le mort assis sur sa tombe, visité par sa famille. Le peintre d’Achilles en 440 a
représenté une muse sur un rocher en train de jouer de la lyre.
Cette production va cesser vers 400 après 500 de production quand on monumentalise les
objets notamment avec du marbre.

La représentation de la sphère féminine se développe : on représente les femmes entre elles,


dans des lieux de cultes,… On a ici une figuration de la fille du citoyen et la femme légitime.
Ce phénomène peut être relié à l’évolution des institutions athéniennes : pour être citoyens
athénien il faut avoir un père et une mère athéniens, les femmes ont donc une toute nouvelle
importance dans la société. Le peintre d’Erétrie va se spécialisé dans ces productions d’objets
liés à la vie féminine, avec des représentation de préparation de mariage, des objets destinés à
être placés sur la jambe des femmes pour carder ( ? transformer en fil) la laine. On rend des
objets typiquement féminins beaux, avec une iconographie qui leur est destinée, des scènes de
mariages mais aussi des Amazones

10/03/
Iconographie féminine dans un certain nombre d’activités. Ils contenaient des flacons d’huile
parfumés (pour le corps du mort+ on en verse sur la tombe)
➔ Dvlp de la citoyenneté pour la femme (grâce à Héraclès = pour limiter le nombre de
citoyens voir)
Développement de l’iconographie féminine sur l’Hydrie Attique dans le JNC-> préparation
du mariage sur les vases. C’est de la céramique fait comme les vases= poteries coupées pas
cassé. Ils font garder la laine en faussant tourner sur le genou etc
Dernier quart du 5e siècle : société qui apparait a Athènes. Durant la G du Péloponnèse= ils
ont du se réfugier dans les murs de la cité
➔ Développement d’un style de vie luxueux (inaccessible pour les athéniens) et auquel
ils aspirent
À l’Ive = on arrête de faire des vases (lentement), dernière époque des vases à Failure rouge
➔ Vase de Kertch, se sont en vrai des productions d4A qui ont été exportés
Continuation style riche, couleur, on voit le blanc= on peut penser a la feuille d’or
On ne va plus peindre les vases
Bcp de représentations des enfers = iconographie funéraire qui se dvlp

E- la sculpture. Classique :
Placée sur les tombes, prestiges du commanditaire que ce soit dans le sanctuaire ou dans la
nécropole
 Dvlp de plus en plus des traces des statues. (Croissantes destinée pour la croyance des
dieux)
L’étude à accorder un regard majeur aux
Elles devaient surement être peintes, le marbres/bronze lui a fondu, on les a fait fondre pour
pouvoir créer des boulets de canons etc
➔ Chaque moment de l’H en supp une autre
Contexte difficile -> changement de focus puisqu’on a tres peu de contexte original.
Style sévère :
En 480= sacre de l’acropole par les perses. On a une date précise au mois pré (date très
approximative= grande opportunité), on va essayer de suivre ailleurs (pour ça qu’Athènes =
point de ref)
Appellation moderne, qui n’est pas marqué par une rigidité sévère des statues. C’est juste le
visage, qui a motivé ce nom. On vient rompre avec les statues représentées frontalement avec
peu de dynamisme.
 Volonté de vouloir rechercher le mouvement e qui fait que le kuros va disparaitre
progressivement
 Commandé par les A pour le placé sur l’agora en 497
 On connait le nom des artistes, on en connait des repliques (à Naplesà
 Représentation du grp de tyranautes.
Assassinat des tyran d’Athènes par Harmodios et Aristogiton
Représentation aussi d’un athlète victorieux=> on peut faire bcp d’approximation, on a une
grande maitrise de l’anatomie, ça montre l’appréciation du détail. A noter que comme elle est
blanche on peut penser qu’elle a eu de la couleur

Le dieu de l’Artémision :
On voit le détail du corps bien détaillé, une anatomie bien faite
Aurige de delphes (conducteur de char)= bien plus fini. Apartenait a une œuvre compelte . il
ne reste que le conducteur alors qu’anvant on avait plusieurs chevaux.

Originaux en bronze : statue volé par les Romains en Grece=> découverte de la statue de
bronze legerement plus grande que nature, on voit une proposition avec la polichromie
originale (peut etre enrichie, les détails avec des cils des yeux rajoutés etc. il faut imaginer
que toutes ces œuvres sont toujours en couleurs
 Déclage pour marquer le mouvement, on voit un point d’appuit par rapport aux jambes
et aux hanches -> lignes différentes ce uqi fait une différence chronologique entre les
deux (estimé à 30 ans par le déhanchement qui va occuper pendant 30 ans les
historiens). On voit l’évolutioin des poeds

- Classisisme (le 1er)


On voit la doryphore de polycete ne crée que des représentations d’athlete et c’est lui qui va
faire le pondération (mouvement) du corps.
Le doryphore, on a perdu la vrai, on a donc que des copies, tireurs de lance
➔ Etape importante : on va l’appeler comme le canon => forme d’équilibre du corps
(proportion canon=> idéale

- Le diadumène de Polycète
Homme qui s’attache une bandelette au niveau du front (les mains sont perdues) -> athlète qui
a gagné (surement une offrande dans un sanctuaire de celui qui a gagné). Commenté dans
l’antiquité et bien souvent reproduite par les romains.

On a une couleur différente du marbre= elle est cassée au même endroit que l’originale.
➔ Complexe à sculpter mais ça permet de montrer et de savoir son savoir-faire
(concurrence entre les artistes)
La pose est assouplie par une forte inclinaison. -> variation des cannons
Marque la mise en place du style parthénonien
➢ Idéalisation très froide des dieux
➢ Les effets de plaquer les vêtements près du corps. Première fois qu’après les modèles
dédalique : le corps se dévoile (tissus qui viennent dévoiler leur anatomie
➢ Le sculpteur dévoile des divinité (il dévoile anthémis en premier)

Au temple d’Athéna niké : on voit le paraphé de 410 = Le tissu tombe : on voit la plénitude du
corps humain
➔ Dévoile la plastique de la déesse
Cette fois on quitte Athènes pour aller dans le sanctuaire de Zeus= il ne faut pas l’attaquer elle
est victorieuse, les messéniens et des naupathies (Victoire des Messéniens, sanctuaire
d’Olympie
➔ La représentation du corps n’est pas propre aux statues, ça va rencontrer un certain
succès => tissu plaqué à l’avant et dynamique

- Le 2e
Dernière phase de la sculpture classique :
- Praxitèle et lysyl (2 grands sculpteurs)
Changement notable dans la représentation, puisqu’ici elle est totalement nue (la sculpture
Aphrodite Braschi, Aphrodite de Cnide), on a des copies mais elles sont toutes plus ou moins
complète
➔ Attire bcp de commentaires
➔ Déesse qui est isolé et finalement on a une main qui vient de plus en plus être
subjective (ne cache que son sexe)

- Le sauroctone Borghese du louvre


Appolon en tueur de lézard (connu pour avoir tué un dragon) => de manière assez détournée,
c’est une œuvre qui peut incarner l’art de Praxitene. Bras gauche levé, le chiasme permet de
faire une évolution de la représentation pour pouvoir faire une représentation ou l’on ne
pourrait pas tenir debout.
➔ Manière de placer le corps dans l’espace au Ve siècle=> très longue courbe étirée avec
bcp de souplesse.
Sujet qui ne correspond pas au canon de Polyclète
Statue d’Hermès d4Atalante-> traverse tout le long du IVe siècle avec Lysippe).
➔ Carrière qui prends un tournant en 336-> le nouveau roi de macédoine qui va être
autorisé à représenter macédoine le grand (espèce de propagande)
➔ Tournant dans le monde grec avec ce qui va donner place à l’art ..

Cet homme, va faire ériger deux monuments


- Un en bronze dans sa région
- En marbre à Deve
➔ 9 statues à l’échelle 1, ni plus grande ni plus petite. Accompagné de la famille du
dédicant. Il est fonctionnaire du gouvernement puis une fonction sacrée aussi dans le
sanctuaire de Delf (pour ça qu’il en fait 2) et qu’il a créé deux monuments reprenant
les hommes de sa famille sur 6 G.
➔ Formation dynastique qui évoque le prestige familial a la personne de la famille qui
n’a encore rien accompli
On peut s’intéresser a la statue de Gliaspe -> on pense que Lysippe avait un atelier
 Commémore sa victoire en tant que victorieux sportif=/ l’art du portrait.
On retrouve les considérations sur la pondération etc
Lysippe mais au point un. Nouveau système de canon => la tête représente un huitième de la
statue (allonge toutes les proportions du corps comparé à précédemment
- L’apoxyomène
Le regard perdu ouvre la forme mais il met les bras en face de lui=> aspect important de la
future statuaire holistique qui va en dehors du cercle de la statue.

F- architecture du Ive siècle


Au Iv, on va choisir des solutions innovantes mais moins couteuses, on va donc innover plus
souvent. Ce n’est pas des lieux de cultes, mais c’est un lieu où seuls les messagers peuvent
venir
➔ Plus grande importance
Colonne massive et au sommet du chapiteau ou l’on empile des galettes.
On le doit à un architecte du parthénon.
Des colonnes de demi-colonnes à l’extérieur. Elles sont en partie engagé dans le mur
Va mettre en avant la statue de culte à l’intérieur du temps (on a d’ailleurs des frises à
l’intérieur du bâtiment
➔ Bcp d’innovation dans une zone fermé au public = dépassement mais pas forcément
de communication

- La tholos de Delphes
On a un bâtiment circulaire, on ne sait pas si c’est un temple. On a ce type de bâtiment qui est
difficile à construire= tour de force architecturale ainsi que d’esthétique
On a une anastylose (on reconstruit un endroit avec des pieces originales -> exceptionnel a
delphes

La tholos d’Épidaure
Fils d’Appolon, dieu de la médecine -> on demande a être guérit pour quelque chose. On a
pas mal de médecin qui sont là pour pouvoir les soigner. On a une émulation de l’art grec qui
va faire 22 mettre avec 20 colonnes -> 14 fut de colonnes corinthienne.

Les réalisations d’envergures, ne dépassent pas ce qui a été fait jusqu’à l’or (avec Olympie,
Athènes...)
Vers 350 : périphérie du monde d’Athènes = interaction très forte de représentation grec
Le mausolée d’Halicarnasse= on retrouve u temple ainsi qu’une sculpture du temps.
Le mausolée (vient du nom du satrape = Mausole) qui domine l’agora de la ville dans laquelle
la tombe -> proche de l’agora. C’est juste un monument honorifique normalement, mais la-il
place son tombeau à l’intérieur. Mausole va mourir avant que le mausolée soit fini, du coup
c’est sa femme qui va le reprendre.
On a un podium puissant qui tenait la tombe avec les 36 colonnes ioniques (comme une petite
tombe), lui-même porté par une pyramide
➔ Œuvres de plusieurs sculpteurs

- IV : L’art hellénistique
Dernière période chronologique grec. Elle débute en 333, a la mort d’Alexandre le grand->
défaite (pour donner suite à la bataille d’axiome)
On a des individus de l’enfance à la vieillesse.
A Athènes, et dans les grandes cités grecques on a encore des représentations de grandes
figures rouges
➔ Illustre ce qui est dit d’italiote
Vase d’une grande qualité technique qui se distingue de tous les autres= motive une certaine
évolution
-W pouille d’une cité grecque (Tarente), sinon on a des pop qui sont riches et qui font bcp de
commerce (en plein cœur de la méditerranée)
Code pour pouvoir aller dans le paradis et d’un autre on a les enfers

- Statue découverte en 1820, avant qu’elle soit donné à Constantinople


Nourris bcp d’intérêt assez important
➔ Travail pour cacher la jointure
Volonté de mettre en scène de dénudement progressive (bien souvent on idd amphitrite ou
encore Venus). Piece ou diadème en détails -> bijoux en or et en bonze= œuvre classique du
Ve siecle (permis de réviser la datation. La plastique fait qu’on la qualifie comme plus
tardive.
La victoire de Staroda :
Découverte par les diplomates français
Couronne de laurier, haute de 3m de haut qui est lourde de 2T montre qu’elle va sur la proue
d’un bateau
Elle vient se poser, arriver avec la ligne droit qui légèrement levé. On a la jambe gauche qui
est légèrement levé.
➔ Traitement de la draperie : mousseline de marbre, collée sur le marbre avec ce qui est
plaqué sur la déesse on a un hématome qui se pose sur la force du vent qui vient
plaquer la tenue de la déesse
On a idd du bleu sur les tissus
On a des statues de tanagra (on en a trouvé plusieurs à Athènes)
Les villas romaines de Pompéi vont venir imiter l’architecture notamment de la mosaïque.
Elles sont tournée vers l’intérieur avec un patrium
- Mosaïque d’Alexandre
Ornait une pièce de collection dans la maison de 3mm de M2
Roi perse Darius 2 avec la bataille décisive dans la conquête d’Alexandre. Représente un
moment fatidique qui vient enfoncer les lignes perses (coté désemparé des perses)
➔ Traitement de profondeur, avec une illusion de perspective
Débandade avec la trace des romains pour l’art grec (les romains vont bcp copier la peinture
rec qui était la plus valorisé, chef d’œuvre en polychromie (de 4 couleurs)

Découverte en 1500 ans à Rome avec le GRP Laocoon qui est idd par le pape Jules II de
Michel Ange qui est décrite par plean l’ancien -> dans la plus vieille c’est la plus digne des
anciens (proviens d’agendros, d’andornoise)
Les Grecs assiègent Troie à cet instant, le prêtre Laocoon va mettre en garde ses concitoyens
et il va être tuer avec ses deux fils par un serpent (expo au Vatican -> artistes de la renaissance
qui ont voulu s’en inspirer)
Grp qui se battent pour l’espoir, on a un réalisme anatomique qui le rends très célèbre
Fils ainé impuissant.
➔ Style dramatiquement expressive (2e siècle), avec la frise du grand hôtel de Rome

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