A

Avec la
l participation
ti i ti d
de l’

Le p
prélèvement de terre :
Quels acquis méthodologiques

Hubert ROEBROECK
AGRO-Systèmes / SAS Laboratoire

Rencontres de Blois: les 25 et 26 novembre 2009

« Fertilisation raisonnée et analyse de terre: Quoi de neuf en 2009? »
Plan de l’intervention

Introduction :
Influence du prélèvement sur la pertinence du  conseil 
final.

II. Les normes d’échantillonnage.
L d’é h till
II. Les 8 règles de base à respecter.
III Comment gérer la variabilité intra parcellaire
III. Comment gérer la variabilité intra parcellaire.

Conclusion : 
Vers un guide des bonnes pratiques de prélèvement.

Rencontres de Blois: les 25 et 26 novembre 2009

« Fertilisation raisonnée et analyse de terre: Quoi de neuf en 2009? »
Introduction : Influence du prélèvement sur la 
pertinence du conseil final
pertinence du conseil final

conseil de fumure Fiabilité des

renseignements
(type de sol, info
Qualité de Interprétation culture, fumure…)
ll’échantillon
échantillon Référentiel
(représentativité,
régional
homogénéité)
Analyse
y de terre

Prélèvement / fiche de renseignements

Incertitude / risque d’erreur

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« Fertilisation raisonnée et analyse de terre: Quoi de neuf en 2009? »
I. Les normes d’échantillonnage

La norme ISO 10 381:

381
Très « généraliste », elle propose la marche à suivre pour constituer un échantillon
de terre représentatif dans 4 domaines d’application
d application différents :

9 Qualité globale des sols (agronomie)

9 Caractérisation pour l’élaboration des cartes des sols
9 Actions légales ou règlementaires
9 Evaluation des dangers ou des risques (sols pollués…)

La norme AFNOR X 31 100 :

Plus précise car adaptée à l’agronomie, cette norme propose les règles de base
pour la constitution d’un
d un échantillon de qualité (localisation
(localisation, nombre de carottages
carottages,
profondeur…)
Cette norme est facilement applicable pour les analyses PK en système travaillé.
En revanche,, elle ne précise
p p
pas la marche à suivre p pour les terres non travaillées,,
les reliquats azotés, les analyses biologiques du sol….
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I. Les normes d’échantillonnage
Arrêté boue du 8 janvier 1998 :
« Les prélèvements de sol doivent être effectués dans un rayon de 7,50 mètres
autour du point de référence repéré par ses coordonnées Lambert (ou GPS) à
raison de 16 prélèvements élémentaires pris au hasard dans le cercle ainsi
dessiné :
- de préférence en fin de culture et avant le labour précédant la mise en place de
la suivante;
- avant un nouvel épandage éventuel de boues;
- en observant de toute façon un délai suffisant après un apport de matières
fertilisantes pour permettre leur intégration correcte au sol (1 mois pour les
fumures minérales, 3 mois pour les fumures organiques si conditions climatiques
normales) ;
- et à même époque de l'année que la première analyse (si possible après la
même culture…).
Les modalités d'exécution des prélèvements élémentaires, de constitution et de
conditionnement
diti t des
d échantillons
é h till sontt conformes
f à lla norme NF X 31 100
100. »

Remarque : l’arrêté boue fixe pour la première fois le diamètre du cercle de 
prélèvement : 7,50 mètres. Est‐ce suffisant ? La pratique s’oriente plutôt vers un 
p , p q p
diamètre de 20 m  environ (minimum = largeur du semoir à engrais) 
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II. Les 8 règles de base à respecter

ANT
1. L’objectif de l’analyse détermine le choix de la méthode 

AVA
2. Choisir une période de prélèvement adaptée

3. Utiliser un matériel de prélèvement adapté

ANT
4 Adapter la profondeur de prélèvement
4. Adapter la profondeur de prélèvement à la situation
à la situation

PENDA
5. Réaliser un minimum de 15 carottages
6. Constituer un échantillon représentatif et homogène

7. Enregistrer des données parcellaires fiables

APRES
8. Enregistrer les paramètres de prélèvement 
g p p (figure, profondeur…) 

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« Fertilisation raisonnée et analyse de terre: Quoi de neuf en 2009? »
II. Les 8 règles de base à respecter
1. l’objectif de l’analyse détermine le choix de la méthode

Objectif de l’analyse Technique

d terre
de t d prélèvement
de élè t
Choisir une ou plusieurs zones homogènes,
Bilan de fertilité de la parcelle
significatives
g et représentatives
Prélever sur la zone à problème et si possible
Diagnostiquer
! sur une zone témoin (attention : l’analyse
un problème
n’apporte
n apporte pas forcément la réponse au problème…)
Identifier une zone de prélèvement et revenir
Suivre l’évolution de la sur cette zone à 3 ou 5 ans d’intervalle (selon
fertilité d
d’une
une parcelle les paramètres suivis) à la même époque de
l’année

Choisir une ou plusieurs zones homogènes,

Caractériser
C té i un « terroir
t i » en
significatives et représentatives et prélever sur
vue d’une plantation de vigne
l’horizon profond (30/60 cm) pour déterminer la
ou d’arbres fruitiers
teneur en calcaire actif ((choix de porte-greffe)
p g )

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II. Les 8 règles de base à respecter
1. l’objectif de l’analyse détermine le choix de la méthode
j y
Techniques  Représentativité  Homogénéité de  Suivi de la zone 
plan type
d’échantillonnage
d échantillonnage de l’échantillon
de l échantillon  ll’échantillon
échantillon  prélevée

Localisé * *** ****

Méthode recommandée pour les analyses PK (*)

Diagonale 
(ou croix)  *** * ***
Méthode recommandée pour les reliquats N (*)

Alé t i
Aléatoire *** * *
Légende : * mauvais   ** Moyen  *** Bon

(*) Pour les reliquats azotés, on recherche plutôt la représentativité => 
(*) P l li t té h h l tôt l é t ti ité
méthode diagonale ou croix. 
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II. Les 8 règles de base à respecter
1. l’objectif de l’analyse détermine le choix de la méthode
j y
Quel maillage et quelle fréquence d’analyse idéale ?
Optimum : 1 analyse / 5 ha /  5 ans (soit 4 analyses / an pour 100 ha) 

Marché potentiel
Marché actuel
Marché actuel
300 000 analyses / an 
1,2 million  soit un maillage de 
d’analyses
d analyses 1 analyse / 20 ha tous les 5 ans
1 analyse / 20 ha tous les 5 ans 

1 analyse / 5 ha / 
analyse / 5 ha / Niveau « réaliste »:
Niveau «
5 ans 600 000 analyses / an 
soit un maillage de 
1
1 analyse / 10 ha tous les 5 ans 
l / 10 h t l 5
SAU = 30 millions d’ha

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II. Les 8 règles de base à respecter
2. Choisir une  période adaptée à la situation
p p

9 Choisir la période 
d
de prélèvement puis 
élè t i
s’y tenir pour les 
analyses de contrôle 
afin d’éviter l’effet 
fi d’é i l’ ff
variation annuelle
(ex du pH)

9 Eviter les périodes à risque climatique
p q q :
ƒ trop humide : pb de profondeur,  risque de fuite de matière, élévation du pH …
ƒ trop gelé ou trop sec : difficulté de prélèvement, problème de profondeur.
9 Le plus pratique
L l ti : le post récolte, avant labour et avant épandages  
l t é lt tl b t té d ( tt ti
(attention au 
risque de pollution des échantillons du aux épandages récents).
9 le plus sûr
p : le pré‐récolte si la culture le permet 
p p j ),, 
((céréales entre avril et juin)
déplacement dans les passages de roues et prélèvement autour.
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II. Les 8 règles de base à respecter
3. Utiliser un matériel de prélèvement adapté
p p
L’outil de prélèvement doit :
9pénétrer dans le sol, même en conditions 
«sèches»
9Prélever une quantité de terre limitée (moins 
de 200 g par carottage) :
de 200 g par carottage) 
ƒ afin d’éviter les « mottes » difficile à 
émietter en terre argileuse humide
ƒ afin de faciliter le mélange de la terre 
afin de faciliter le mélange de la terre
prélevée dans le seau.
ƒ afin d’obliger à faire un minimum de 
carottages.
carottages
9 extraire la terre en quantité suffisante et 
sans ségrégation (sol sableux sec) 
9Permettre de maîtriser la profondeur de 
carottage
=> Choisir entre 3 grands types de tarières en fonction des situations…
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II. Les 8 règles de base à respecter
3. Utiliser un matériel de prélèvement adapté
Extraction  de 
Facilité pour sous 
Respect des  Efficacité  de  la terre en contrôle 
échantillonner en 
Type de tarière
yp horizons l’enfoncement en  conditions
conditions
conditions 
de la 
(non mélange) conditions sèches sèches ou  profondeur
« collantes »
plastiques

** *** *** * *
Hélicoïdale

** ** ** *** **
Vrille

**** * ** ** ***
Gouge Matériel
conseillé
**** ** ** ** ***
PRO Sonde
PRO Sonde Légende : * mauvais ** Moyen *** Bon

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II. Les 8 règles de base à respecter
4. Adapter la profondeur de prélèvement à la  situation
p p p

L
La profondeur de prélèvement :
f d d élè Situations Profondeur

9doit être adaptée à la situation 
p Terre  Profondeur
(voir tableau) l b é
labourée d l b
de labour
Terre non  20 cm (+/‐ 5 
9doit
doit être enregistrée et archivée
être enregistrée et archivée cm)
t
travaillée
illé
(le préleveur doit connaître la profondeur 
pratiquée sur analyses précédentes) Prairies  10 cm 
naturelles
naturelles  environ
9 doit être maîtrisée quelle que  (*) 
soit l’humidité du sol
‐ attention au trop superficiel en sol sec
Vigne arbo
Vigne‐arbo 30 à 50 cm
30 à 50 cm
‐ attention au trop profond en sol humide (*) sur prairie : enlever la partie verte
chevelue racinaire au champ. p

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II. Les 8 règles de base à respecter
5. Réaliser un minimum de 15 carottages
g

En dessous de 15 carottages, le 
risque d’erreur augmente très 
i d’ t tè
fortement. Optimum technico 
=> l’outil de prélèvement doit  économique multi 
prélever une quantité 
él ié paramètres
«raisonnable» de terre : pas 
plus de 200 g / carottage.

Nb carottages

Source: Beaux MF et Plet P. 1980.L’échantillonnage du sol, 
Perspectives Agricoles, n°43, Décembre 1980, p 44‐47

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II. Les 8 règles de base à respecter
6. Constituer un échantillon représentatif et homogène
p g

L’échantillon prélevé doit être  L’échantillon doit peser :
h
homogène 
è (mélange dans le seau, 
( él d l ƒ minimum 300 g
i i 300
voire quartage si terre humide et  ƒ maximum 800 g
plastique) ƒ optimum 500 g
Utili l
Utiliser les sachets fournis par le laboratoire
h t f i l l b t i

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II. Les 8 règles de base à respecter
7. Enregistrer des données parcellaires fiables
g p
Données  Impact sur le 
enregistrées conseil PK 
Type de sol  ***
(granulométrie, calcaire) 
Profondeur *
Pierrosité au champ *
Passé récent PK
Passé récent PK **
Résidus du précédent **
Culture prévue
Culture prévue ***
L’étape du remplissage de la fiche  Rendement prévu **
de renseignements est capitale  (moyenne des rdts / 3 à 5 ans.) 
afin de garantir une  Destination résidus
interprétation pertinente.
**
Date et types d’apports  éviter la pollution  
Légende du tableau : * impact faible  de l’écantillon
de l écantillon
** impact  moyen   *** impact élevé récents (PK, orga, Ca0)
é t (PK C 0)
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 II. Les 8 règles de base à respecter
8. Enregistrer les paramètres de prélèvement
g p p

Impact sur la
Impact sur la
Données de prélèvement
pertinence 
à  enregistrer
des résultats
T h i
Technique (cercle,
( l diagonale..)
di l ) ***
Localisation (plan ou GPS) ***
Profondeur de prélèvement ***
Date de prélèvement **
Nb de carottages **
Nom du préleveur /
Le GPS est un moyen sûr et efficace de 
Le GPS est un moyen sûr et efficace de
localiser une zone de prélèvement et de  Légende du tableau : * impact faible 
revenir sur zone. Encore faut‐il sécuriser  ** impact  moyen   *** impact élevé    / non significatif
le relevé de l’information et archiver la 
donnée pour le retour sur zone… 

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 III. Comment gérer la variabilité intra‐parcellaire ?
1. La variabilité spatiale
p
Première illustration : parcelle visuellement hétérogène (sol de craie, Aube)

P2O5 
CaCO3 MO
pH Olsen
% %
mg/kg
/k

T
T T T T
T
Cercle 1 8,2 70% 3,5 36
T
TT 2 T
T
T
T
T TT T
T T T T T
3 T T
T Cercle 2 7,8 12% 2,7 72
TT 1 T
T
T T T
T T
T
T Diagonale 3 8,1 48% 3,1 48

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III. Comment gérer la variabilité intra‐parcellaire ?
1. La variabilité spatiale
p
Seconde  illustration : Valeurs différentes obtenues sur une parcelle 
visuellement homogène (Pays de Caux, 107 analyses réalisées sur 10 ha)

12 300
10,4 263
10 250

8 200
75
7,5 75
7,5
6 150 142
5,6 132
121
4 100

2 1,86 50 48 55
0 85
0,85
0 0

pH MO CEC P2O5 K2O Mg0

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III. Comment gérer la variabilité intra‐parcellaire ?
1. La variabilité spatiale
p
Quelques outils pour éviter les erreurs de positionnement des points de prélèvement :

Plan parcellaire :
Pour déterminer et enregistrer la ou les zones de  simple
prélèvement.

Cartes de rendement :
Cartes de rendement :
Pour positionner les analyses dans des zones de 
rendement homogènes (important pour les reliquats 
azotés).

Photo aérienne :
Pour repérer les zones de couleurs de sol différentes 
en sol nu.
en sol nu.

Cartes de résistivité : 
Sans doute le procédé le plus fiable 
pour isoler une zone de sol homogène. 
Il existe des logiciels qui permettent de 
déterminer les points de prélèvement  Difficile et  Exemple de carte de résistivité
optimisés.
p
couteux
t
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III. Comment gérer la variabilité intra‐parcellaire ?
1. La variabilité spatiale : conclusions
p

1. LLes parcelles homogènes n’existent pas.
1 ll h è ’ it t
2. Le prélèvement sur une zone localisée est la seule façon de 
réduire l’hétérogénéité mais attention à la représentativité …
g p
3. Le prélèvement sur une zone localisée et géo référencée  est la 
seule façon de reproduire la technique de prélèvement afin de 
faire un suivi de l’évolution
faire un suivi de l évolution des teneurs dans le temps.
des teneurs dans le temps
4. Il reste à expliquer cette technique et convaincre certains 
agriculteurs ou techniciens …
5. Cas particulier des reliquats azotés : croix ou diagonale.
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III. Comment gérer la variabilité intra‐parcellaire ?
2. La variabilité verticale :
Première illustration : variation de la teneur en phosphore sur prairie

mg P2O5 Olsen kg‐1

0 20 40 60 80 100 120 140

0

-5 P0

P30

-10 P60

P120

sol argilo limoneux acide
-15
9 ans de dactyle avec 4 régimes de phosphore
profondeur  cm
p f
Essais de Padiès  ITCF 2002

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III. Comment gérer la variabilité intra‐parcellaire ?
2. La variabilité verticale :
Seconde illustration : variation de la teneur en MO en sol non travaillé (SD) 

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III. Comment gérer la variabilité intra‐parcellaire ?
2. La variabilité verticale :
Troisième  illustration : variation de la teneur en K2O sur vigne enherbée

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III. Comment gérer la variabilité intra‐parcellaire ?
2. La variabilité verticale : conclusions

1. La profondeur de prélèvement doit être particulièrement 
surveillée en situations non travaillées : prairies naturelles, semis
surveillée en situations non travaillées : prairies naturelles, semis 
direct ou techniques simplifiées et cultures pérennes.
2. En général : attention aux conditions humides (tendance à 
f d) et attention aux conditions sèches 
prélever + profond) 
él t tt ti diti è h (tendance à 
(t d à
prélever – profond). 
3. La profondeur de prélèvement doit être un paramètre enregistré 
p p p g
et suivi. Respecter la profondeur annoncée (et si pas possible le 
préciser). 
4 Attention aux affleurements 
4. Attention aux affleurements (argile, calcaire) 
(argile calcaire) : ne pas mélanger. 
: ne pas mélanger
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 Conclusion générale : vers un guide des
bonnes pratiques du prélèvement…
p q p
1. Il est indispensable de communiquer sur l’importance du prélèvement : un guide 
des bonnes pratiques du prélèvement  proposé par le GEMAS – COMIFER ?
2.     Il serait bon que les laboratoires se coordonnent sur les méthodes et sur les outils 
utilisés : un consensus existe sur la façon de prélever les analyses de terre «PK» 
) en revanche les discours divergent sur la façon de prélever les 
((zone localisée),  g ç p
reliquats azotés (nombre de carottages, figure de prélèvement).
3.     Les photographies aériennes,  les cartes de rendement ou les cartes de résistivité 
des sols pourraient (devraient) être utilisées par les opérateurs de prélèvement afin 
des sols  pourraient (devraient) être utilisées par les opérateurs de prélèvement afin
d’optimiser l’échantillonnage.
4.     La variabilité verticale en situations non travaillées pose problème. 
L dé l
Le développement des techniques  simplifiées ouvre de nouvelles pistes de réflexion :
d h i i lifié d ll i d éfl i
9 les normes d’interprétation élaborées en système labouré sont elles valides en 
système non travaillé ?
9 Comment prélever dans de telles conditions sans être trop tributaire de la 
Comment prélever dans de telles conditions sans être trop tributaire de la
profondeur ?
5.     Le prélèvement devrait être certifié, lorsqu’il est réalisé par un prestataire 
6.     Le prélèvement a un coût (entre 15 et 25 € / parcelle). Il faut le prendre en compte.
Rencontres de Blois: les 25 et 26 novembre 2009
« Fertilisation raisonnée et analyse de terre: Quoi de neuf en 2009? »
MERCI DE VOTRE 
MERCI DE VOTRE
ATTENTION
Merci à Lucien FAEDY pour son aide apportée 
dans la préparation de cet exposé.

Rencontres de Blois: les 25 et 26 novembre 2009

« Fertilisation raisonnée et analyse de terre: Quoi de neuf en 2009? »