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Cultures Industrielles
Cultures Industrielles
ne culture industrielle est une espèce végétale cultivée dans le but d’alimenter en
matière première des industries de transformation y compris dans le secteur agroalimentaire ;
C’est une activité qui permet de diversifier et de valoriser la production agricole. Et également
de limiter les besoins d’importation. Ces cultures sont également des cultures de plein champ
fortement mécanisées.
Les cultures industrielles ont pour objectif d’augmenter les revenus des exploitations
agricoles ainsi que des activités économiques. Les cultures industrielles sont aussi un moins
de fournir des produits pouvant se substituer à des importations d’autres pays. Les cultures
industrielles peuvent être classées en plusieurs groupes :
Les plantes Oléagineuses (une plante qui est cultivés spécifiquement pour leurs
fruits, graines grâce à leurs matière grasse) : l’arachide, le cocotier, le palmier à huile,
le coton, le pistache, …
Les plantes Amylacé (une plante riche en sucre et en amidon) : Canne à sucre, Maïs,
le riz, le sorgo, le mil, le Manioc, …
Les plantes textiles (une plante qui produisent des fibres) : le coton, le limon qui
produit du lin, le chanvre, l’alpha, ….
Les plantes stimulantes (une plante dont les fruits ont la capacité de stimuler
l’organisme) le café, le tabac, la ou le cola, le thé, …
Les légumes industrielles (une plante qui est cultivé pour la transformation et
fabrication des produits) : la tomate, le piment, la carotte, le petit poil, l’oignon, les
poivres, …
Chap. I : LE PALMIER A HUILE
1. Origine et systématique
• Origine : Afrique de l’Ouest
• Systématique :
• Famille : Arecacea
• Genre : Elaeis
• Espèce : Elaeis guineensis
2. Importance économique
• Le palmier est cultivé pour ses grains riches en huile. On tire du palmier deux types
d’huile
Huile de palme extrait par pression :
- Chaud de la plupart des fruits de couleur rouge. Elle est très utilisée pour
l’alimentation de margarine matière grasse,
- Elle est aussi très utilisée pour fabriquer le savon et en cosmétologie
Huile de palmiste (huile de graine)
• Utilisée en alimentation et dans l’industrie (savon lubrifiant)
• Fabrication de boisson alcoolisée
3. Description de la plante
Le palmier à huile mesure 20 à 25 m de haut. Mais dans les palmerais, les Elaeis ne
dépasse pas 15 m, son faux tronc est le type caractéristique de palmier cylindrique vertical
non ramifié et de diamètre constant. Les feuilles pennées mesurent 5-7 m de long. Les
inflorescences sont spodiques implantées à l’excelle de chaque feuille. La plante est monoïque
et présente des spadices mâles et femelles séparées. Le fruit est drupe charnue de forme
ovoïde, docile d’environ 3 cm de long. La pulpe ou mésocarpe jaune-orangée renferme près
de 50% de lipide constituant l’huile de palme.
4. Condition agro écologique
5. Technique culturale
• Pépinière
Mise en place
• Planting
Préparation du sol
- Défricher le terrain, abattre les arbres
- Semer la plante de couverture (Pueraria)
- Piqueter en quinconce
- Réaliser les trous (40 x 40 x 40 cm)
• Jeune culture
- Faire un rond autour de chaque plant, environ 5,5 m de rayon
- Rabattre la végétation entre les andains
- Fertilisation
• Entretien en rapport
- Entretien des rond 3 fois/an
- Entretien des interlignes tous les 4 mois
- Elagage des palmiers tous les 9 mois (couper les feuilles)
- Fertilisation
7. Maladies
8. Ravageurs
1. Origine et systématique
2. Importance économique
3. Description de la plante
Le cotonnier est une plante herbacée ou ligneuse. A l’état sauvage, il vit une dizaine
d’année et peut mesurer jusqu’à 10 m. En culture, on limite sa taille à 1 ou 2 m pour faciliter
le ramassage. Il est généralement exploité sous forme de plante annuelle ; A la floraison,
apparaissent de grandes fleurs jaunes à 5 étales, ensuite des capsules à parois épaisses se
développent. Lorsqu’elle s’ouvre, elle s’échapper des graines et des bourres de coton,
recouvertes d’une poupe de fibre blanche et soyeuses pouvant mesurer entre 2 et 5 cm de long
selon les variétés.
• Gossypium herbasom : les capsule sont petites et arrondi, les lobes des feuilles sont
arrondis, Les soies produites sont courtes et épaisses (20-23 mm)
• Gossypium arboreum : Les capsules sont allongées, les feuilles sont très marquées,
les soies sont courtes et épaisses
• Gossypium hirsutum : Les capsules sont rondes et listes, les feuilles sont velues, les
soies moyennes (24-32 mm)
• Gossypium barbadense : les capsules sont allongées, les soies moyennes.
• Type de sol : sol gravillonnaire, profond, bien drainé, éviter les parcelles à mauvais
herbres difficile à maîtriser.
• Pluviométrie : > 700 mm de pluie/an.
• pH : 6-7
5. Technique culturale
• Choix de semence
- Se procurer des semences de très bonne qualité, germinative
- Préférer les semences dont le taux de germination est au minimum 80%
- Traiter les semences
• Préparation du terrain
- Défricher le terrain ou désherbage chimique
- Faire un piquetage
- Ameublissement du sol
- Labourer à plat ou en planche
Semis manuel :
• Démariage
6. Entretien
Maladies
Ravageurs
• Récolte
- La récolte commence dès l’éclatement des premières capsules et elle est
manuelle et échelonnée
- Le tillage du coton se fait au champ à la récolte et non en case
- Il faut effectuer plusieurs passages dans le champ afin de ne pas laisser
trop de retard de la récolte car cela dégrade la qualité de la fibre,
notamment, la couleur, la longueur et la ténacité.
1. Origine et systématique
2. Importance économique
• Cultivée pour ses tiges qui contiennent un jus sucré conduisant à la fabrication du
sucre cristallisable.
• Utilisée en consommation direct (canne de bouche) ;
• Cultivée comme canne fourragère.
• A partir de la canne à sucre, on fabrique du rhume et diverses boissons alcoolisées.
La tige de la canne à sucre atteint 2-5 m de haut pour un diamètre de 2-4 cm. Elle ne se
ramifie pas au-dessus du sol, mais les yeux souterrains donnent naissance à d’autres tiges.
Une touffe taillée peut comporter 10 à 15 tiges. La tige se compose d’une succession de
nœuds plus ligneux ou sont implantés les yeux (bourgeons) et d’entre nœuds gorgés de
sucre. Les tiges portent des feuilles à graines enveloppantes alternées atteignant 1 à 2 m
de long et 3 à 8 cm de large. Les racines sont d’abord des boutures qui font naître des
tiges et qui se développe en racine de tige. Racine de soutien plus profond et racine
cordon qui peuvent descendre jusqu’à 6 m.
5. Technique culturale
6. Entretien
- Désherbage manuel ou chimique.
- Apport de NPK, de fumure de fond et paillage.
- Irrigation, drainage, remplacement des plants manquants.
7. Maladies
- Le Charbon.
- Rabougrissent.
- Striés chlorotique : pourriture rouge des boutures.
- Maladie de Fidji.
8. Ennemis
- Borers (insectes).
- Nématode.
- Vers-blanc (Lave d’insectes).
- Cigales.
9. Récolte et activité Poste récolte
Il faut récolter les cannes lorsque leur teneur en saccharose est maximum. On peut se
baser sur l'allure des cannes (apparition de l'inflorescence, jaunissement de feuilles,
gonflement des yeux,...) mais le moyen le plus sûr est d'utiliser le réfractomètre de poche en
lisant directement la teneur en sucre après prélèvement d'une goutte de jus sur les cannes.
Cette teneur est de l'ordre de 12,5% du poids de la canne. Une canne peut n'être mûre que 4 à
5 mois après l'apparition de l'inflorescence. Dans la pratique, le moment de la coupe est
fonction :
- De l'âge des cannes : 12 à 14 mois pour les cannes vierges 12 mois pour les
repousses
- De la variété : la S17 est mûre en juillet-Août ; la Ragnar et la Pindar sont mûres en
Septembre-Octobre ; la B. 37 - 172 et Q.57 sont mûres en novembre - décembre.
Les cannes sont coupées au ras des souches, sans couper les rejetons, avec des
machettes et on les gratte ensuite pour supprimer les feuilles, les rejets et les racines
adventives. On coupe également les bouts blancs. Si la canne est trop longue on la coupe en
deux. Les cannes ainsi préparées sont mises en paquets et portées à dos d'homme jusqu'aux
routes entourant chaque parcelle de plantation, où elles seront expédiées sur l'usine de
traitement. On peut également mettre en andins les cannes coupées et les ramasser
mécaniquement. Les délais entre coupe et broyage ne doivent pas dépasser 24 heures si la
canne est " brûlée " et 48 heures si elle est coupée en " paille ".
Les rendements moyens en cannes vierges varient de 80 à 100 T/ha et on peut
atteindre facilement 120 T/ha et plus. Dans les plantations familiales les rendements varient
entre 40 et 60 T/ha. Les rendements moyens en culture de repousses varient de 50 à 80 T/ha.
Ils laissent au fur et à mesure que le nombre de repousses augmente. En culture pluviale, les
rendements varient de 65 à 75 T/ha tandis qu'en culture irriguée, on doit obtenir 85 T/ha au
moins et si possible 100 T/ha.
Chap. IV : LE MIL
1. Origine et systématique
a) Origine : Afrique
b) Systématique :
- Famille : Poacée
- Genre : Pennisetum
- Espèce : Pennisetum glaucum
2. Importance économique
3. Description de la plante
5. Technique culturale
• Préparation du sol :
- Défricher et labourer
- Apport de NPK 10-18-18 à raison de 150 kg/ha
• Planting :
- Semis en poquet 5-10 grains par poquet
- Ecartement : 50 x 80 cm.
6. Entretient
7. Maladies
• Récolte
- Récolter les épis en maturité (45 jrs après la floraison complète des
plantes)
- Courber ou casser les tiges récolter les épis
• Activité post-récolte :
- Séchage
- Battage
- Vannage
- Stockage
Chap. V : LE SORGHO
1. Origine et systématique
• Origine : le sorgho commun retrouvé est une graminée très rependue à l’état sauvage
sous les climats tropicaux et subtropicaux. Depuis des siècles, les peuples d’Asie
utilisent ces grains pour leurs alimentations.
• Systématique :
• Famille : Poacée (graminée)
• Genre : Sorghum
• Espèce : Sorghum bicolor
2. Importance économique
3. Description de la plante
Le sorgho est une plante herbacée vivace qui peut être récolté plusieurs fois/an. Il est
Cependant traité comme plante annuelle. C’est une plante de 1 à 5m de haut à tige
cylindrique, pleine portant une inflorescence terminale en panicule compacte. Celle-ci
regroupe des épillets d’une ou deux fleures bisexués. C’est une plante autogame.
• Choix du terrain
- Sol sableux- argileux
- Sol fertile et bien drainé
• Préparation du sol
Culture mécanisé ou attelée
Culture manuelle
6. Entretien
7. Maladies
8. Ravageurs
• Lutte
- Elimination du résidu, si la culture a fait l’objet d’attaque par les nuisibles
- Les semis groupés
- Relation avec le coton ou avec les légumineuses
• Récolte
- Récolter lorsque les 2/3 des feuilles de la plante sont jaunes environ 45 jrs
après la floraison, Casser les tiges et couper les panicules.
• Activités post-récolte
- Séchage
- Battage-vannage
- Stockage des grains dans un lieu aéré.
Chap. VI : LE COLATIER
1. Origine et systématique
2. Importance économique
Cultivée pour ses graines, riche en caféine, un stimulant nerveux, un tonique pour le
cœur, rompre la faim, rend durs la composition du vin.
3. Description de la plante
Le colatier est un gros arbre qui mesure en moyenne 10-15 m de hauteur. Parfois, plus
de 25 m de haut. Racine pivotante. Les fruits sont des cabosses appelées des follicules.
5. Techniques culturales
Pépinière
• Installer la pépinière non loin d’un point d’eau
• Remplissage des sachets ou disposition de pots
• Perforer dans leurs moitiés inferieurs
N.B : 200 sachets/ha. Disposer des pots sur des plates larges de 1 m de long en double rangé
de 10 m séparé de 15 cm.
• Faire une ombrière de 2,5 m ;
Repiquer et/ou semer
• Utiliser des semences certifiées (CNRA)
• Réaliser le semis dans le mois d’Octobre.
• Il existe deux techniques : semis en germoir suivi de repiquage en pots, ou semis
direct dans des pots qui évite le repiquage.
Pour planter un hectare, prévoir 200 noix semences. Lever la dormance en
conservant la semence en atmosphère humide pendant 45jours après la récolte.au
moment du semis, décoller soigneusement les cotylédons sans les séparer.
Mise en place
Choix du terrain :
Choisir les zones à sol meuble, profond et bien drainé, éviter les sols hydromophe.
Préparation du sol
• Défricher le terrain
• Faire un labour et désinfecter la parcelle.
• Faire le piquetage : 8 x 8 m ou 8 x 8 m
• Faire des trouaisons : 50 x 50 x 50 cm
Planting
• Ecartement : 8 x 8 m soit une densité de 156 plants/ha
• Ecartement : 8 x 6 m soit une densité de 208 plants/ha.
6. Entretien
7. Ennemies
Ramassage des follicules au moins deux fois par semaine pour éviter l’attaque des
parasites (Charançons)
• Activités post-récolte
- Faire l’écabossage : consiste à extraire les noix du follicule.
- Dépulpage : consiste à enlever ces téguments à l’aide d’un objet tranchant.
• Conservation des noix de cola : quel que soit l’usage, la noix est utilisée à l’état frais.
Il faut conserver sa fraicheur et son intégrité le plus longtemps possible. Traiter pour
éviter le développement des charançons. Les conserver à l’abri de la lumière.
Chap. VII : LE CAFE
1. Origine et systématique
2. Importance économique
• Cultivé pour ses grains riches en caféine qui est un stimulent nerveux
• Cultivé pour la commercialisation
• Pour la fabrication des produits pharmaceutique
• Pour la fabrication du café moulu destiné à la consommation
• Fabrication des liqueurs
3. Description de la plante
Les caféiers sont des arbustes résistant à feuille persistante opposées qui apprécie
généralement un certain ombrage (se sont à l’origine les espèces de sous-bois). Ils produisent
des fruits charnu, rouge violet qui est une drupe appelé cerises de café. Le caféier arabica est
un petit arbre de moins de 9 m de haut qui apprécie l’ombre d’arbre plus grand. Dans les
plantations, il est taillé entre 2 et 3 m. Le robusta a presque les mêmes caractéristiques.
4. Condition agro écologique
5. Technique culturale
• Pépinière
- Construction d’ombrière
- Remplissage et disposition des sachets
- Repiquage ou semis
- Soin et entretien de la pépinière
• Planting
Préparation du sol
- Défricher le terrain, bruler …
6. Entretien de la culture
Lutte contre les insectes : faire une lutte préventive (nettoyer régulièrement la plantation,
éliminer les tiges et les rameaux attaqués par les insectes)
• Récolte
- Récolter les cerises bien murs, c’est-à-dire, rouge vif
- Ne pas ramasser les cerises trop murs, les cerises sèches et les cerises
tombées trop longtemps
- Laisser les cerises immatures.
• Activité post-récolte
- Sécher
- Décortiquer
- Trier.
Chap. VIII : CACAO
1. Origine et systématique
2. Importance économique
• Cultivé pour ses fèves qui sont utilisées pour la fabrication du Chocolat
• Cultivé pour la commercialisation
• Pour la fabrication des produits cosmétique
• Pour la fabrication
3. Description de la plante
Le cacao est un arbuste de 10 m de haut. Il existe 3 grand types de cacaoyer dans le monde.
- Le cacaoyer forestero est considéré comme l’ancêtre de toutes les variétés de cacao.
Sa robustesse garantie de très forts rendement. Il représente 80% de la culture
mondiale. Il se caractérise par un très fort goût de cacao peut aromatique, légèrement
amer er aigre. Il est surtout cultivé en Afrique de l’Ouest, au Nord de l’Amérique, au
Sud du Brésil et en équateur. Il est reconnaissable par ses cabosses lisse, jaune et vert.
Ses amendes de couleur pourpre et sa saveur amer.
- Le cacaoyer criollo se démarque par la saveur de ses fèves qui est très apprécié par les
chocolatiers en ce qui concerne la fabrication de produits de luxe. Il est très peu amer
et offre un arôme fort et une finesse gustative remarquable.
- Le cacao trinitario est un hybride issu du croisement du forestero et du criollo. La
couleur des fèves, la taille des arbres et la forme des cabosses peuvent varier en
fonction des variétés. Le caractère botanique insaisissable et intermédiaire du groupe
de cacaoyer séduit les chocolatiers. Les différentes variétés de ce groupe d’arbre sont
cultivées dans de nombreux pays tel que le Venezuela, le Mexique, le Brésil, le
Cameroun. Le trinitario présente des cabosses rouges puis orange à maturation. En
moyenne, 150 cabosses sont produites en une année ; ce qui équivaut à 6 kg de cacao.
Sol plat, léger, poreux et bien drainé pour une pluviométrie de 600 à 4 000mm de
pluie/an. Un pH compris entre 4,5 et 5,5.
5. Technique culturale
• Préparation du terrain
- Désherbage manuel ou chimique
- Dessouchage des arbres
• Planting
- Disposer les plants en quinconce sur les doubles lignes
- Séparer les doubles rangés de plants par des chemins de 90 cm
• Dispositif et densité
- Ecartement 1 : 40 x 25 cm pour une densité de 61 500 plants/ha
- Ecartement 2 : 30 x 25 cm pour une densité de 66 800 plants/ha
- Ecartement 3 : 40 x 23 cm pour une densité de 66 900 plants/ha
6. Entretien
7. Maladies
8. Ravageurs
9. Récolte et activités Post récolte
• Récolter
1. Origine et systématique
2. Importance économique
• Alimentation humaine
• Fabrication d’alcool, jus, sirop, confiture, vinaigre
• Pour extraire son huile
• Fabrication des produits pharmaceutique
• Alimentation des bétails et volailles
• Le fruit sert à produire des vernis, insecticide, encre, indélébile.
3. Description de la plante
C’est un arbre à cime évasée pouvant atteindre 6-12 m de haut. La racine principale est
pivotante et s’enfonce en grande profondeur. Les racines latérales sont très développées et
s’étendent de l’arbre. Les feuilles sont simples de couleur verte foncée, persistante, alterne,
ovale et coriace. Les feuilles blanches teintées de rose et apparaissent au cour de la saison
sèche. Ils ont une coque âcre toxique qui abrite une amende blanche comestible appelé la noix
de Cajou.
L’arbre à noix de cajou se cultive en situation ensoleillée et chaude dans un sol léger et
sableux pouvant aussi être pauvre.
5. Technique culturale
6. Entretien
8. Ennemies
Chenilles de
Lédidoptères Sur les feuilles et les fruits
9. Récolte et Activités Post récolte
• Récolte
- Ramasser les noix sous l’arbre chaque jour
- Les préserver des parasites du sol, des insectes ou ingestion par le bétail
- Détacher le fruit de l’arbre par une petite secousse et séparé la pomme de la
noix
- Le fruit tombe de l’arbre lorsque la pomme atteint sa maturité et a pris sa
couleur caractéristique (rouge, violet, orange, jaune selon la variété)
- Séparer la pomme du fruit à l’aide d’une ficelle en nylon.
• Activité post-récolte
- Laisser sécher les noix pendant 3 à 4 jrs dans un endroit aéré sur les claies ou
sur une surface cimentée
- Les mettre en sec et les conserver dans un local sec.
Chap. X : LE TECK
1. Origine et systématique
2. Importance économique
3. Description de la plante
C’est un arbre qui peut atteindre 30 m de haut. Les feuilles sont opposées sans stipule,
les tiges et les branches sont quadrangulaire et des fleurs hermaphrodites plus ou moins
zygomorphe. Il persiste de grandes feuilles et de feuilles blanches. Le fruit du teck est une
drupe ronde et comestible. Les graines peuvent rester en dormance pendant de nombreuses
années. Sa racine principale est pivotante.
L’arbre de teck aime un sol meuble, bien drainé pour une pluviométrie de 1000 à
12 000 mm de pluie/an.
5. Technique culturale
• Pépinière
- Prétraitement des grains : trempage des pendant 72 heures dans de l’eau courante,
faire une flambé
- Mise en place de la pépinière : en plein air sur des planches (30 x 5 cm soit 66
plant/m2), en sachet avec des graines (12mois) ou avec des boutures.
- Surface de pépinière 25 m2 pour 1ha de plantation.
- Arrachage et conditionnement des stumps (tige, racine)
• Mise en place de la plantation
Préparation du terrain :
- Défricher, labourer, piqueter
- Trouaisons de 40 x 40 x 40 cm
- Traiter les trous avec un insecticide
Dispositif et densité
- Plantation pure : 2,5 x 2,5 m ; d = 1600 plants/ha, 2 x 2 m ; d = 2500
plants/ha
- Méthode Taungya (association avec des cultures intercalaires de
vivriers) : 3 x 3 m ; d = 1111 plants/ha.
• Plantation de Stumps
Planter les stumps en saison des pluies en mettant les plants verticalement dans le trou,
le collet au niveau du sol. Faire un pare feu (Planting).
6. Entretien
- Désherber et délianer la plantation
- Nettoyer les pare feux.
7. Maladie
8. Ravageurs
9. Exploitation
1. Origine et systématique
2. Importance économique
3. Description de la plante
L’hévéa est un arbre mesurant 25-30 m de haut pour une circonférence de 1m. L’hé a
une écosse vert-grisâtre, les feuilles sont composées de trois folioles disposé à l’extrémité
d’un pétiole. L’hévéa perd ses feuilles et les renouvellent chaque année. Les fleurs sont
petites, jaune-claire et rassemblé en …. Les fruits sont…. Capsule sont en trois loge…. Ovale
de couleur brune décoré de tâche blanchâtre. On dit de se fruit qu’il est déhissant ; Le tissu
laticifère se retrouve dans toutes les parties de l’arbre en passant par l’écosse du tronc qui est
le siège de l » exploitation de latex chez l’hévéa. Le latex est différent de la sèvre, celle-ci
assure la distribution de l’eau, des sels minéraux ou des sucres. Alors que le latex est plutôt
impliqué dans les mécanismes naturels de défense de l’arbre. Il sicule dans réseau distinct des
verseaux (des canaux lactifères). Comme l’aresine, il suinte lors d’une éventuelle blessure de
la plante et forme en séchant, une barrière protectrice. Le latex récolté par saigne est
cytoplasme ; le contenu liquide des cellules lactifères ; Il est composé d’une suspension de
particule de caoutchouc, mais également d’organites comme des Lithoïdes. Les particules de
caoutchouc représentent 25-45% du volume du latex et 90% de la matière sèche.
5. Technique culturale
6. Entretien
- Désherbage manuel ou chimique
- Fertilisation
7. Maladies
• Fomès
- Agent causal : Fomès spp
- Symptômes : jaunissement des feuilles
- Lutte préventive : Utilisation des fongicides
8. Récolte et activité Post récolte
La récolte de latex se fait par une incision de l’écorce (saignée). Le latex (liquide
blanchâtre) qui s’écoule de l’en- taille ou encoche est recueilli dans une tasse. A chaque
saignée, enlever un morceau d’écorce dont l’épaisseur varie de 1,2 mm à 2 mm selon la
fréquence de saignée et dont la profondeur atteint 1 mm du cambium. Le produit est récolté
sous forme de latex 4 heures après la saignée ou sous forme de coagulum 2 jours après (fond
de tasse)
Récolte sous forme de latex : transvaser le latex dans des seaux et le transporter
aussitôt à l’usine pour la 1ère transformation. Récolte sous forme de coagulum : laisser
essorer les coagula en les accrochant aux arbres à l’aide de supports ou les laisser sécher sur
une claie. Pour une production élevée, éviter d’allonger la durée de séchage (un mois
maximum). La livraison des coagula à lieu une fois par mois. Regrouper les coagula et les
livrer à l’usine au plus tard 3 semaines après la récolte.
Chapitre XII : LE BANANIER
1. Origine et systématique
• Origine : Asie du Sud-Est
• Systématique :
• Famille : Musacées
• Genre : Musa
2. Importance économique
3. Description de la plante
Le bananier est une plante herbacée, vivace, de taille variable suivant : espèce (2 à
Sem de haut). La tige : appelée aussi bulbe, souche ou rhizome, est souterraine. Les racines :
le bulb e émet un grand nombre de racines groupées par 2 ou 4 dans la couche superficielle de
30cm du sol. Le pseudo-tronc ou faux tronc : est formé de l'imbrication des graines foliaires.
Il assure un rôle de soutien, de stockage (réserves minérales et hydriques). Les feuilles :
chaque feuille est insérée sur la tige, ou souche et se compose d'une graine, d'un pétiole et
d'un limbe avec des nervures.
Les fleurs : il y a deux types de fleurs.
- Les fleurs femelles, formées en premiers ont un ovaire infère qui se développe en fruits sans
fécondation préalable et constitue le doigt ou banane.
- Les fleurs mâles, ont un ovaire réduit. Ces fleurs sont la plupart du temps caduques. Le doigt
ou banane est formé de la peau (péricarpe) et de la pulpe (endocarpe) et relié au coussinet par
un pédicule.
Le bananier se multiplie par rejets. La définition classique d'un cycle (une génération)
de la récolte du cycle N à la récolte du cycle N+ 1 n'a pas de signification physiologique
pertinente, car on oublie une période végétative importante qui correspond à la sélection et au
développement du rejet N+l bien avant la récolte du régime N.
• Phase de jeunesse : L'oeilleton produit d'abord des « écailles », le limbe est absent, la
nervure et le pétiole sont très réduits, puis des feuilles s'accroissent en longueur avec un limbe
très étroit. C'est la période au cours de laquelle le rejet est sous l'influence du pied mère ayant
•formé son inflorescence. L'inhibition disparaît plus ou moins tôt, au voisinage de la récolte.
Lorsque la 1ère feuille dont le limbe fait plus de 10 cm de large est émise, •cela correspond au
passage à la phase autonome.
• Phase végétative indépendante : Le lien hormonal avec le plant mère disparaît, les
dimensions foliaires augmentent régulièrement d'une feuille à la suivante. Cette phase se
termine au moment de l'initiation florale qui correspond à l'émission de la 12e ou 13e feuille.
A ce stade, 12 autres feuilles sortiront encore du faux tronc.
• Phase végétative apparente : Alors que le méristème apical est en phase reproductive, la
sortie des feuilles se poursuit jusqu'à l'apparition de l'inflorescence au centre du bouquet
foliaire.
• Phase d'initiation et de différenciation : Elle va de la transformation du méristème
terminal végétatif en apex floral jusqu'au commencement de l'allongement de la
hampe florale. Il reste environ 12 feuilles à sortir lorsque l'initiation florale commence.
La différenciation en organes sexuels se déclenche 2 feuilles après, pour s'achever à la
sortie de 1 feuille la plus longues c'est-à-dire au début de l'allongement de la hampe
florale.
• Phase de croissance générale de l'inflorescence : Elle commence lorsque
l'inflorescence monte au centre du cylindre central pour se terminer à la récolte. La
réduction de la longueur du limbe foliaire est le signe visible de la montée de
l'inflorescence.
On peut diviser en trois périodes lors de la formation des fruits :
- Période de division cellulaires : elle s'achève au redressent des fruits, environ 3 semaines
après le stade fleur pointante c'est-à-dire au stade de soulèvement de la bractée de la fausse
main.
- Période de remplissage des cellules : il y a accumulation d'amidon à l'approche de récolte.
Elle s'achève à la récolte.
- Période de maturation : elle débute avec l'accélération de la croissance en grade et se
poursuit jusqu'à la consommation de la banane. Le cycle végétatif dure 9-10 mois. L'intervalle
fleur-coupe est de 80 à 120 jours et plus si les conditions sont défavorables (faible
température, période fraîche). Pour les vitro-plants, l'intervalle fleur-coupe est de 80 à 95
jours.
4. Ecologie
• Sol : Sols profonds (au moins 60 cm de profondeur), bien drainés ne présentant ni une
texture lourde (roches, pierre) ni une faible perméabilité.
• Besoins en température : Le bananier est un e plan te qui exige une température très
importante pour ses besoins (Photosynthèse, développement, assimilation des éléments
minéraux). L'optimum est de 25 à 30°C. Le minimum st de l2°C.
• Besoin en eau : Le bananier exige :
- Une forte hygrométrie (60% à 90%).
- Une pluviométrie annuelle au moins 2500 mm.
• Besoins en insolation : un ensoleillement de 1900 à 2300 heures par cycle est suffisant.
• Le vent : le bananier est très sensible au vent en raison de son système racinaire très
développé mais peu résistant.
5. Techniques culturale
- Retenir les terrains faciles d'accès dont le sol est profond, léger, riche en
matière organique.
- En culture intensive, choisir les terrains plats afin de permettre leur préparation
mécanique.
- Si l'on part d'une forêt, procéder à l'abattage du sous-bois et de grands arbres et
disposer les résidus d'abattage en andains.
- Si l'on part d'une jachère enherbée, défricher, faire un ou deux passages de
« Cover Crop » pour enfouir la masse végétale puis procéder à un labour de 30
à 40 cm de profondeur.
- Sur les sols drainant mal, la mise en place préalable d'un réseau de drainage
dans les zones inondables est indispensable pour maîtriser l'excès d'eau dans le
sol.
- Trouaison : aux emplacements choisis à la suite du piquetage, creuser des trous
profonds de 60 x 60 x 60 cm.
6. Entretien
• Désherbage
- Manuellement à la machette en prévoyant un passage / mois pendant les 5
premiers mois puis un passage tous les 2 mois.
- Chimiquement en utilisant des herbicides : Gramoxone (2-3 L/ ha) ; Roundup
(4-6 L/ha).
• Paillage
- Le paillage e assure le contrôle des adventices, améliore le bilan hydrique et
apporte de la matière organique au sol.
• Fertilisation
- Fertilisation minérale
7. Maladies
8. Ravageurs
• Nématodes
La principale espèce sur bananier est Radopholus similis.
- Symptômes : pourritur e des racines. Sensibilité à la verse. Perte de rendement
jusqu’à 60% de perte de production.
- Lutte chimique : emploi des nématicides
- Assainissement : le principe d'assainissement repose sur la création d'un vide
sanitaire qui consiste à :
La destruction de la veille bananeraie par injection d'herbicide à
système descendante (ex : glyphosate), il faut prévoir 2 ou 3
passages à 2 semaines d'intervalle pour la destruction totale du
système souterrain des bananiers.
La fragmentation des souches mortes pour éviter les pullulations
de charançons.
Contrôler strictement les adventices dans le cas de la jachère
enherbée.
• Récolte :
- Récolte et transport jusqu'à hangar
- Les régimes sont récoltés quand le grade du doigt médian de la dernière main a
atteint au minimum 32 mm
- Le faux-tronc est entaillé de façon à ce que le régime se couche lentement sur
le porte-fruits (ou épaulière). La hampe est coupée en ce moment-là.
- Pendant le transport, éviter les chocs et les blessures des fruits qui peuvent être
à l'origine d'un développement de chancre. Le transport des régimes se fait
dans des remorques bien aménagées.
• Conditionnement
L'acceptation des régimes est basée •sur le grade, l'aspect général avec décision de
rejet éventuel.
- Le grade minimum est de 27mm, c'est la mesure de l'épaisseur d'une section
transversale du fruit pratiquée entre ses faces latérales et en son milieu
perpendiculairement à l'axe longitudinal.
- La longueur du fruit en cm mesurée sur la face convexe, depuis le point
d'insertion du pédoncule sur le coussinet jusqu'à l'apex. La longueur minimale
est fixée à 14 cm.
- Le fruit de référence servant à la mesure de la longueur et du grade est le doigt
médian situé sur la rangée extérieure de la main ou le doigt situé à côté de la
coupe qui à servir à sectionner la main, sur la rangée extérieure du bouquet.
• Traitement post-récolte
Il est recommandé l'application d'une solution de fongicide recyclée et réajustée par
atomisation sur les plateaux prêts à l'emballage.
- Respect de la réglementation européenne
- Chaque type de colis correspond à un poids réglementaire à respecter
- Le classement des fruits dans les cartons doit respecter :
Pour la catégorie Extra: longueur de fruit 17 cm, grade 34 mm .
Pour la 1ère catégorie : longueur de fruit 16 cm, grade 32 mm.
Chap. XIII : L’ANANAS
1. Origine et systématique
2. Importance économique
Cultivé pour son fruit, on note trois grands groupes pour les conserves, les jus
simples ou concentrés ou les fruits frais. Les pôles de consommation sont l’Amérique du
Nord, l’Europe occidentale et le Japon. Les feuilles de l’ananas sont utilisées pour leurs fibres
et pour l’alimentation du bétail. L’amidon et broméline sont utilisés par l’industrie
pharmaceutique. L’ananas est riche en vitamine B1, B2, C, PP.
3. Description de la plante
L’ananas est une plante vivace, herbacée ayant un enracinement superficiel. La tige
porte des feuilles épaisses en forme gouttière qui est groupé en rosette. Selon les variétés, les
feuilles sont épineuses ou non. L’infloressance est constitué d’au moins 50 fleurs et chez
certaines espèces sauvages, et de plus chez d’autres. Les fleurs sont hermaphrodites. L’ananas
est auto stérile et ne se multiplie pas voix végétative. Le fruit est formé par développent
parthénocapique de l’ovaire, de la bractée et des sépales de chacune des fleurs portées par
l’axe appelé Cœur. Le stage de l’émergence l’infloressance est appelé cœur rouge. Le
bourgeon terminal du fruit se forme en La couleur du fruit varie du vert au jaune ou de
l’orange à maturité. La multiplication végétative assurée par les rejets qui sont les Cayeux qui
sont à la base de la tige. La passe qui est à la jonction de la tige et du pédoncule. Les bulbilles
sont sur le pédoncule. On peut également utiliser la couronne.
Sol plat, léger, poreux et bien drainé pour une pluviométrie de 600 à 4 000mm de
pluie/an. Un pH compris entre 4,5 et 5,5.
5. Technique culturale
• Préparation du terrain
- Désherbage manuel ou chimique
- Dessouchage des arbres
• Planting
- Disposer les plants en quinconce sur les doubles lignes
- Séparer les doubles rangés de plants par des chemins de 90 cm
• Dispositif et densité
- Ecartement 1 : 40 x 25 cm pour une densité de 61 500 plants/ha
- Ecartement 2 : 30 x 25 cm pour une densité de 66 800 plants/ha
- Ecartement 3 : 40 x 23 cm pour une densité de 66 900 plants/ha.
6. Entretien
8. Ravageurs
• Récolte
- Dès la 8e semaine après le TIF, compter les fleurs en prévision des réservations
de fret. La récolte a lieu 130 à 140 jrs après le TIF selon la technique du
producteur. La qualité de l’ananas est primordiale pour la commercialisation.
Les critères de qualité sont : forme, développement ou poids, coloration, …
• Activité post-récolte
- Conditionnement, conservation, transport.
Chap. XIV : LA POMME DE TERRE
1. Origine et systématique
2. Importance économique
• On cultive la pomme de terre pour son tubercule qui entre dans l'alimentation de
nombreuses populations,
• Entre en alimentation humaine et du bétail (les tubercules de trop petite taille)
• Pour la fabrication d'alcool
3. Description de la plante
Les racines sont nombreuses, fines et longues. Elles forment un chevelu abondant qui
s'enfonce profondément dans le sol. Il y a deux sortes de tige qui sont :
Les tubercules sont des portions des tiges souterraines qui comprennent un pôle
basal, partie élargie légèrement déprimée où s'insère le rhizome, et un pôle apical sur lequel
sont disposés les yeux. Ce pôle apical s'appelle la " couronne " et les yeux qui y sont disposés
en spirale se trouvent pratiquement tous dans cette partie du tubercule. Les sont vertes,
grandes, très découpées et disposées en spirale sur les tiges. Elles comprennent 3 à 7 pires de
folioles et une foliole terminale.
Les feuilles sont terminales et groupées en cymes. Chaque fleur a 2 à 3 cm de
large. Les fruits sont des baies sphériques vertes qui jaunissent ou noircissent à maturité.
5. Technique culturale
• Préparation du sol
• Pré-germination
• Plantation
Époque de plantation
Entretiens
6. Maladies
Maladies fongiques ;
- Mildiou : tâche vert pâle sur les feuilles pures jaunes et bruns
sur la face L'épiderme prend une couleur brune. Les tissus sous-
épidermiques présentent une couleur rouille
- Alternariose : tâches brunes arrondies sur les feuilles, les
tubercules attaqués présentent des tâches brunes nettement
affaissées.
- Fusariose : pourriture sèche, le tubercule se couvre d'un
mycélium blanc
Maladies bactériennes
- Flétrissement bactérien : flétrissement brusque de la plante. La
pression avec le doigt du tubercule fait sortir un liquide blanc
laiteux.
- Galle commune : tâches ou croûtes tubéreuses
Ravageurs
7. Récolte
- La récolte se fait suivant le cycle végétatif de la variété cultivée
- La pleine maturité est indiquée par le fanage complet des organes aériens (tiges
et feuilles)
- Arrachage à l'aide d'une fourche par temps sec - Exposition au soleil des
tubercules durant quelques heures
- Les rendements varient de 10 à 12 T/ha et peuvent atteindre du 30 à 35 T/ha