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Remerciement

Avant toute chose nous remercions premièrement notre créateur


l’éternel Dieu tout puissant dont la grâce et miséricorde se manifestent sur
notre personne durant ces moments difficiles.
Il nous parvient d’adresser nos remerciements au professeur
MBOMBA BEKELI responsable du laboratoire de limnologie, hydrobiologie et
aquaculture du département de Biologie de la faculté des sciences de
l’université de Kinshasa ainsi que ses collaborateurs, plus particulièrement les
professeurs Victor PWEMA KIAMFU et John TEMBENI MAKIADI pour nous avoir
accueillir dans la structure sous leur responsable
Nous tenons à remercier les assistants KAVUMBU MUTAMBA
Santos et LUSASI SWANA Willy en dépit de leurs multiples occupations ont
accepté d’assurer notre encadrement durant cette période de stage.
Nos remerciements les plus profonds vont à l’endroit de nos
parents MBANDAKULU-KAYEMBE Jean-Claude et MUJINGA KABAMBA Rose,
ainsi que nos frères et sœurs entre autre : KANIEBA Odette, KABONGO Ruben,
KAMWANIA Lydie et KAYEMBE Junior pour leur soutien financier, moral et
spirituel. Grace à leurs apports que nous avons tenu jusqu’au bout de notre
stage.
Nous sommes reconnaissant à nos compagnons de lutte collègues
de promotion en général et plus particulièrement BAIBANGAKA Mardochée,
KINDANDA Benicia, MATITA Carine et KWELA Christelle avec qui nous avons
partagé les bons et meilleurs moments au laboratoire à la recherche de la
connaissance scientifique.
Les sentiments le plus profond de notre reconnaissance sont à
ceux qui nous ont soutenus de près ou de loin pendant toute cette période de
stage académique.
Sigles et abréviations
 A : nageoire anale
 A/D/ rapport de la longueur préanale sur la longueur predorsale
 D : nageoire dorsale
 D/A : rapport de la distance museau dorsale sur un museau anal
 DAd : distance dorsale rayonné dorsale adipeuse.
 DMd : dents mandibulaires
 DMx : dents maxillaires (ou pre maxillaires)
 D.O : diamètre de l’œil
 Eio : espace inter-orbitaire
 ELLg : nombre d’écailles en ligne longitudinale
 ELLt : nombre d’écailles en ligne latérale
 ELT : nombre d’écailles en ligne transversale
 EPA : nombre d’épices anales
 EPC : nombre d’ailles autour du pédoncule caudal
 EPd : nombre d’écailles predorsales
 H : hauteur du corps
 HAd : hauteur de l’adipeuse
 LA : longueur de la base de la nageoire anale
 HPC : hauteur du pédoncule caudal
 LD : longueur de la base de la nageoire dorsale
 LS : longueur standard
 LT : longueur totale
 Lt : longueur de la tête
 Mu : longueur du museau
 P : nageoire pectorale
 RC : nombre de rayons de la caudale
 RD : nombre de rayons de la nageoire dorsale
 RA : nombre de rayons de la nageoire anale
 V : nageoire ventrale ou pelvienne
Introduction
1. Contexte de stage
Le stage nous a permis de compter ou d’augmenter la
connaissance scientifique dans la formation des apprenants du premier cycle
en cours de formation d’être capable ou en mesure de se tenir au laboratoire
de l’LLHA devant n’importe quelle manipulation liée à notre formation ou
domaine.
2. Objectif (scientifique et pratique)

a. Objectif scientifique
L’objectif scientifique est de promouvoir le jeune stagiaire que
nous sommes de se familiariser au processus lié à l’identification systématique
des poissons tout en tenant compte de différents paramètre et des outils
capable de l’identification.
b. Objectif pratique
L’objectif pratique nous a permis :
- D’examiner minutieusement les différentes techniques liées à la
conservation des poissons
- De réaliser les mensurations des différentes parties des espèces de
poissons
- Et d’effectuer l’identification systématique des poissons à l’aide des clés
d’identifications accommodé
3. Méthodologie de passation de stage
Pour réussir notre stage au sein de laboratoire de LLHA nous
avons utilisé la méthode documentaire qui passe par l’observation de
l’identification systématique et la classification des spécimens.
4. Période de stage
Le stage a duré 1 mois, soit du 14 septembre au 14 octobre. Il avait
lieu du lundi au vendredi de 08h30 à 15h30, avec une pause de 1h tous les
jours de 12h00 à 13h00
CHAP I. PRESENTATION DE L’ORGANISATION
I.1. Localisation
Notre stage a eu lieu au laboratoire de Limnologie, Hydrobiologie et
Aquaculture (LLHA en sigle) du Département de Biologie de la Faculté de
Sciences de l’Université de Kinshasa au local C34 du bâtiment de la même
Faculté.
Il se situe à 04° 24’ 07, 374’’ Sud, 15° 18’ 3’’. Est à une altitude de 464 M. le
laboratoire est l’un des laboratoires que compte le Département de Biologie.
I.2. Historique (vision, mission, et les objectifs de l’organisation
a. Mission
Le laboratoire de LLHA a pour mission de promouvoir, le jeune
stagiaire d’être capable de se tenir devant n’importe quelle circonstance liée à
notre formation dans la société.
b. Vision
Ce laboratoire avait pour vision d’aider le stagiaire de 1ère cycle
que nous sommes de travailler sur son domaine ainsi que d’augmenter notre
connaissance dans la société.
c. objectif de l’organisation
L’objectif de l’organisation est de former les stagiaires de
laboratoire de LLHA dans les domaines des ressources halieutiques telles que :
- La taxonomie et la systématique des poissons d’eau douce
- La biologie et l’écologie des poissons d’eau douce
- Les essais de domestication des poissons (pisciculture)
- Analyses de la qualité des eaux naturelles par prélèvement des
paramètres chimiques et physiques
- La fabrication des aliments pour les poissons d’élevage
- L’écologie de zooplancton et phytoplancton
- La fabrication des aliments pour les poissons d’élevages
I.3. Organisation et fonctionnement
I.3.1. Organisation
Il est repris à la figure ci-après, l’organigramme du laboratoire de
limnologie, hydrobiologie et aquaculture (LLHA) du Département de Biologie de
la faculté des sciences de l’université de Kinshasa

Professeur Responsable
Titulaire

Professeurs Responsable
Adjoint

Professeurs membres du
Laboratoire

Assistants et chercheurs
affétés au Laboratoire

I.3.2. Fonctionnement (tous les services détaillés)


Les activités ci-après ont lieu au LLHA :
- La taxonomie et la systématique des poissons d’eau douce
- La biologie et l’écologie des poissons d’eau douce
- Les essais de domestication des poissons (pisciculture)
- Analyses de la qualité des eaux naturelles par prélèvement des
paramètres chimiques et physiques
- La fabrication des aliments pour les poissons d’élevage
- L’écologie de zooplancton et phytoplancton
- La fabrication des aliments pour les poissons d’élevages
I.4. Actions (réalisations) de l’organisation/ Entreprise dans le milieu
- la taxonomie et systématique des poissons d’eau douce
L’écologie de zooplancton et du phytoplancton
La conservation des espèces des poissons
I.5. Grandes difficultés et perspectives d’avenir
Malgré les difficultés que nous nous sommes confrontées, cette
période de stage a convenablement complétée notre formation en biologie en
atteignant notre objectif assigné au début du stage.
Les grandes difficultés et perspectives d’avenir que nous pouvons conseiller au
responsable de laboratoire de LLHA :
- Renforcer les équipements et matériels de travail scientifique au LLHA :
pour le bon fonctionnement de travail pour ceux qui viendront après
nous se trouvent dans les conditions plus favorables que les nôtres
- Prévoir une stratégie d’alimentation en eau pour desservir le LLHA :
renforcer les conditions de travail
CHAPITRE II. DEROULEMENT DU STAGE
II.1. Contexte de déroulement du stage
Le contexte de déroulement de passation du stage était purement
pratique et instructif pour nous biologiste ayant une passion en écologie, une
rigueur ardente et des travaux bien accomplis ont été appliqués à notre égard.
II.2. Calendrier détaillé de stage par service
Pour arriver à la fin de notre stage nous avons repartis les taches
de la manière suivante :
 Lundi 14/09/2020 au vendredi 18/09/2020 : nettoyage du laboratoire
 Lundi 21/09/2020 au vendredi 24/09/2020 : la mensuration des
spécimens de poissons
 Lundi 27/09/2020 au vendredi 01/10/2020 : comptage meristique des
poissons
 Lundi 04/10/2020 au vendredi 08/10/2020 : identification systématique
de poissons en famille et en genre
 Lundi 11/10/2020 au vendredi 15/10/2020 : thématiques développés
II.3. les taches effectuées et compétences acquises
Les taches effectuées étaient :
- Identification systématique : 1. Mensuration, 2. Comptage mastique
- Thématique développé
Les parties citées sont :
1. Longueur total : distance horizontal de l’extrémité antérieure du museau
à l’e extrémité postérieur de la nageoire caudale
2. Longueur standard : distance horizontale de l’extrémité antérieure du
museau à la base de la nageoire caudale
3. Hauteur du corps : hauteur verticale maximale du poisson, nageoire non
composés
4. Longueur de la tête : selon les familles, elle peut être la distance
horizontale de l’extrémité antérieur du museau au bord postérieur de
l’opercule ou la distance horizontale de l’extrémité antérieur du museau
à la pointe postérieure de l’occiput (partie postérieure et inferieure
médiane de la tête ou au bord osseux de l’encoche formée derrière de
tête par ceinture scapulaire
5. Longueur du museau : distance horizontale de l’extrémité antérieure de
la mâchoire supérieure au bord antérieur de l’œil
6. Diamètre de l’œil : diamètre horizontal de l’œil
7. Longueur pré dorsale : distance horizontale de l’extrémité antérieure du
museau à l’articulation du premier rayon de la nageoire dorsale
8. Longueur prénatale : distance horizontale de l’extrémité antérieure du
museau à l’articulation du premier rayon de la nageoire anal
9. Longueur pectorale : distance horizontale de l’extrémité antérieure du
museau à l’articulation du premier rayon de la nageoire pectorale
10. Longueur pré pelvienne : distance horizontale de l’extrémité antérieure
du museau à l’articulation du premier rayon de la nageoire pelvienne
11. Longueur de la base de la nageoire dorsale : distance horizontale
maximale mesurée entre les deux extrémités
12. Longueur de la base de la nageoire anale : voir nageoire dorsale
13. Longueur de la nageoire pectorale : longueur depuis l’articulation du
premier rayon jusqu’à l’extrémité du plus long rayon
14. Longueur de la nageoire pelvienne : voir nageoire pectorale
15. Longueur du pédoncule caudale : distance horizontale prise du bord
postérieur de la nageoire anale à la base de la nageoire caudale
16. Hauteur du pédoncule caudale : hauteur verticale minimale du
pédoncule caudale
17.Largeur inter obitoire : largeur minimale entre les orbites

 Comptage meristique : consiste à compter le nombre total de certains


organes du poisson (écailles, dents, rayons des nageoires,
branchiospines, etc.) aux endroits bien précis.
Nous nous sommes servis d’une loupe et d’une trousse à dissection pour
déterminer
1. Le nombre d’écailles en ligne latérale : il s’agit du nombre d’écailles
percés comptées le long de la ligne latérale, de l’opercule jusqu’au pli
indiquant la base de la nageoire caudal
2. Nombre d’écailles en ligne transversale : il est compté de l’origine de la
nageoire dorsale suivant une ligne antéro-postérieure jusqu’à l’aligne
médio-ventrale 
3. Nombre d’écailles autour du pédoncule caudal : il s’agit du nombre total
de la couronne d’écailles qui entoure le pédoncule
4. Nombre de dent de la mâchoire supérieure et inferieure
5. Nombre de rayons de la nageoire dorsale et anale
6. Nombre de branchiospines
7. A cela s’ajoute la détermination de la position de la bouche étude en
indiquant si elle est inférieure, égale, supérieure ou sub inferieur
Plusieurs clés d’identification systématique des poissons selon
l’évêque et al… (1990 et 1992) ; Sullivan et al…(2002) ; Mpegu et Teugels
(2003) ; stiassny et al (2007) dont été utilisées pour cette fin.
Thématiques développés
A quelques jours de notre fin de stage chaque étudiant était censé
de développer un thème et à exposer devant devant nos encadreurs et
collègues de promotion. Les différents thèmes sont repartis dans les lignes qui
suivent ;
Thème ; Impact des techniques de pèches sur les ressources
halieutiques et leurs habitats
a. Définitions de concepts
Dans cette partie nous allons définir quelques concepts lies à notre
thème.
Technique de pèche ; la technologie de la pèche est la discipline
concernant l’étude, la mise au point et l’amélioration des techniques
employées pour la capture des poissons. Les techniques et enjeux de la pèche
sont nombreux dépendant de l’espèce recherchée, du milieu, ou encore du
bateau utilise ;
Effort de pèche ; l’effort de pêche représente la qualité des
matériels de pèches d’un type donne utilise sur le lieu de pêche pendant unité
de temps donnée par exemple l’heure de pêche à la traine par jour nombre
d’hameçons poses par jour ou nombre de fois qu’ un littorale a été trainée par
jour ;
Pèche ; pêche (pêche halieutique), est une activité consistant à
capturer les animaux aquatiques (poissons mais aussi et notamment crustacés
et céphalopodes) dans leurs biotopes (océan, mer, cours d’eau, étang, lac). Elle
est pratiquée par les pécheurs comme loisir ou profession
B. Différentes techniques de pèches
Pêche au coup ; est la technique la plus populaire, elle existe depuis la
découverte de la pêche.
 Pèche au pose ; est une technique de pêche beaucoup utilise pour la
pêche au sandre appât est un vif mort ou vivant+

 Pèche au toc ; cette technique vise principalement la truite et se pratique


dans les eaux courantes de nos rivières, d’autres poissons comme le
chevesne peuvent être capturé au moyen de cette technique, la pêche
au toc consiste à présenter au poison un appât de la manière la plus
naturelle possible

 Pèche au vif ; consiste à utiliser un animal vif ; généralement un poisson,


elle est une technique très prisée pour attraper les carnaciers tel que le
brochet, le sandre, l’anguille

 Pêche au lancer ; cette technique joue principalement sur l’agressivité


des poissons carnaciers tels que la truite, la perche, la sandre et le
brochet. Elle consiste à lancer leuvre qui s’anime lorsque la ligne est
ramenée vers les pécheurs.

 Pèche a la mouche ; est une technique tout à fait particulière qui consiste
à lancer une imitation de mouche ou insecte aquatique sur l’eau pour
cette technique les pécheurs n’utilisent pas classique, il utilise une ligne
adaptée (soie) a une canne spécifique permettant de lancer ces modelés
extrêmement légères

C. EXPLOITATION RELATIONNELLE DES POISSONS

La pêche est la plus souvent encadrée par la règlementation qui


rend à se renforcer en fin de protéger au mieux la biodiversité,
l’environnement et les ressources halieutiques .cela se fait de manière à ce que
les espèces des poissons ne vivent pas ne soit pas disparues c’est à dire les
pécheurs et aquaculteurs pèchent selon un calendrier précis tout en évitant de
pécher pendant la période de reproduction des poissons
CONCLUSION DU THEME
Concernant l’impact sur les techniques de pèches sur les
ressources halieutiques et leurs habitats, nous avons tires deux types d’impact
à savoir ; impact positif et impact négatif.

S’agissant de l’impact positif, en 2014 selon l’organisation des


nations-unies pour l’alimentation et l’agriculture, FAO en sigle, chaque humain
consomme en moyenne plus de 20kg par an de poissons, 6kg par an en 1950 et
12kg par an en 1980. Cette augmentation de la consommation est en grande
partie due à la croissance de l’agriculture qui fournit désormais la moitié de
poisson destine à la consommation humaine.

Les impacts négatifs concerne certaine technique de pêche utilisée


par les aquaculteurs pour capturer les poissons par exemple, ceux qui utilisent
les moustiquaires imprégnées ils ne pèchent non seulement les poissons
matures, mais aussi les petits poissons (Age immature et voir même les œufs
qui peuvent se reproduire à la longue. Cette pratique peut être a la base de
l’extinction des certaines espèces

Thème : Problématique de la gestion et protection des ressources halieutiques


en RDC

Les ressources halieutiques sont tout ce que nous trouvons dans l’eau. La
ressource halieutique tend peu à peu a intégrer des nouvelles dimensions
comme la gestion de la ressource ; voir sa restauration dans une approche de
type développement durable, elle détermine la politique de pêche, elle
présente plus le milieu aquatique.
La conservation de la nature est le plus vaste réseau mondial de protection de
l’environnement. Elle rassemble plus de 1000 gouvernements et ONG 11000
scientifiques et experts bénévoles répartis dans 160 pays. Elle appuie la
recherche scientifique, informe les correctives et met en place des programmes
de concertations et de préservations de la nature et de l’environnement.
La protection des ressources halieutiques est une protection qualitative et
quantitative c’est à dire non seulement la lutte contre la pollution de la mer
pour la protection des ressources halieutiques mais également la
règlementation des certaines activités telles que la pèche, pour garantir la
préservation et la conservation de ces ressources.
Les ressources halieutiques de la RDC sont exploitées d’une manière
désordonnée, outre la ressource du sol et sous-sol, la RDC dispose également
d’un important réseau hydrographique dote d’un potentiel halieutique 707000
de tonnes exploitable annuellement. La production actuelle est estimée à
250000 tonnes de poissons provenant principalement de la pêche artisanale.
Pourtant ces immenses ressources peuvent bien contribuer à combattre la
pauvreté, insécurité alimentaire et le chômage est tant donne que la pèche est
créatrice d’emplois et de revenus, ces ressources sont exploitées d’une
manière désordonnées. Le code exige aussi de respect strict de la période
d’exploitation et de fermeture de pèche ainsi que l’environnement dans lequel
les poissons vivent.

En conclusion, la restauration des ressources halieutiques se


développe d’une manière durable et sa conservation rassemble plus de 1000
gouvernement et près de 11000 qui sont repartis dans 160 pays tandis que son
exploitation se fait d’une manière désordonnée et il cherche à combattre
contre la pauvreté, l’insécurité alimentaire ainsi que le chômage.

Thème : travail sur la pisciculture

1. Définition de la pisciculture

Est l’élevage de poissons en poissons en eaux douces, saumâtres,


au salées, c’est une branche de l’aquaculture spécialise dans l’élevage de
poissons, la pisciculture se fait en eau douce comme en mer, dans les enceintes
en dur (bassin) ou dans des cages flottants
2. But

Elle offre une alimentation de haute valeur en protéines animales,


dans les localités se trouvant peut être passez éloignes d’autres ressources en
bon viande on peut la comparer à d’autres formes de petits élevage, tel que
cochons, poulet etc…
3. Importance
L’empire centre africain, pays en clave sans accès a la mer riche en
cours d’eau peut développer la pisciculture pour améliorer le niveau de la
nutrition de la population. Egalement elle peut fournir du travail et freiner en
même temps l’exode rural .Une production des bonnes quantités alimentaire.

4. Types de pisciculture

Il dépend de l’investigation de celui qui veut faire l’élevage de


poissons. La pisciculture peut être faible, moyenne, ou forte.
Les espèces élevées en RDC ; les tilapias (Oreschromis nilaricus) et le poisson
africain (Clarias gariepinus) sont les principales espèces élevés. Le financement
des activités sont assures communément sur fond propre.
Nous pouvons aussi mener qu’il n’existe pas de traduction piscicole dans le
pays. Les tilapias sont élevés par des payants, dans des étangs en terme.
Thème : Désavantage lié à la consommation des poissons
1. Le danger lié à la consommation des poissons
Le risque pour la santé est lié désavantage au fait que l’organisme
n’élimine pas certaines substances, les quelles si je puis dire se transmettent
d’une chaire à l’autre (de la chair de poisson à la chair de l’homme.
La teneur en toxique s’élevé même au fil de la chaine alimentaire.
Les métaux en particulaire, et plus particulièrement encore le
mesure, est toxique pour la substance cérébrale, et donc nécessairement plus
dangereux dans la phase de maturation cérébrale (pendant la vie fœtale puis
dans la vie post-natale précoce)
La difficulté, toute fois, réside dans la raisonnement purement
toxicologique, et de simplifier les choses ainsi : (présence de)
Toxique=danger (sanitaire). Mais nous n’avons pas croisé ces données avec les
données nutritionnelles. En autre termes (que) est réel bénéfice risque, sachant
que le poisson à le grand avantage d’être riche en arde grand oméga-3 (surtout
les poissons des mers froides)
Les risques pour la santé d’une trop grande consommation de
poisson sont réels au vu de la pollution, des plastiques et des produits toxiques
qu’ils insèrent
Le mercure d’origine naturelle ou industrielle est le principal contaminant
environnemental du poisson au Québec il se trouve dans le poisson sous forme
de méthyl-mercure
La chair de ces poissons peut en effet contenir une quantité plus
élevée de méthyl-mercure ou d’autres contaminants environnementaux.
On a deux types des poissons : les poissons blancs qui sont maigre et les
poissons atas qui sont peu nombreux (sardines etc…)
Premièrement la contamination des poissons vient de l’endroit où ils sont
péchés
Les poissons ne plus consommer le thon, rouge, de requin, et de
poisson des grands fonds (comme le flétan, le grenadier ou l’empereur
Eviter, les espèces suivantes : bur, cabillaud, carrelet
 la plus part de poissons des mers et océans de notre planète sont
maintenant tellement pollués que les poissons sont contaminés au
mercure
« Le mercure d’origine naturelle ou industrielle est principal contaminant
environnemental du poisson, donc il se trouve dans le poisson sous forme de
méthyl-mercure » (dioxines, PCB ou méthyl-mercure)
Le poisson qui possède de nombreuses vertus nutritionnelles, ne
serait pas si bon que ça pour la santé si on en consomme en excès
« Du fait que les poissons vivent en contact permanent avec l’environnement,
les aliments qui en sont issus sont susceptibles d’être contaminés par des
substances chimiques mais également par des microorganismes

II.4. Les grands défis ou difficultés rencontrées dans chaque service ou pour
toute l’organisation/Entreprise
Malgré une bonne condition de travail que nous nous sommes confrontés cela
ne suffisait pas d’avoir des difficultés liées dans chaque service que nous avons
rencontré pendant notre stage au Laboratoire de LLHA.
Pendant notre période de stage les difficultés rencontrées sont les suivantes :
 Identification systématique
 Mensuration et comptage méristique :
- Renforcer les équipements et matériels de travail scientifique au
laboratoire de LLHA, pour le bon fonctionnement de travail pour ceux qui
viendront après se trouvent dans les conditions plus favorables que les
nôtres
- Prévoir une stratégie d’alimentation en Eau, pour desservir le LLHA et
renforcer les conditions de travail
CHAPITRE III. INITIATIVES PERSONNELLES DU STAGIAIRE
III.1. Les grandes leçons et enseignements tissés du point de vue scientifique,
relations humaines et vie en société lors du stage.
1. Scientifique
Ce stage faisant partie de notre formation entant que biologiste
nous avons tant de connaissances et enseignement scientifique à notre bagage
intellectuel.
A travers ce stage, nous avons appris de nombreuses leçons encore reconnues
étant que biologiste en formation durant notre stage labo de l’LLHA. A travers
les explications et conduite les encadreurs nous avons retenus quelque leçons
majeure telle que :
- La mensuration : c’est l’ensemble de mesure quantitative des différents
prélèvements autour des poissons.
Sur ceux lorsqu’on se retrouve devant des spécimens des poissons identifier on
a tendance a mesuré les dimensions qui suivent à l’aide d’un coulisse
1. Longueur total : distance horizontal de l’extrémité antérieure du museau
à l’e extrémité postérieur de la nageoire caudale
2. Longueur standard : distance horizontale de l’extrémité antérieure du
museau à la base de la nageoire caudale
3. Hauteur du corps : hauteur verticale maximale du poisson, nageoire non
composés
4. Longueur de la tête : selon les familles, elle peut être la distance
horizontale de l’extrémité antérieur du museau au bord postérieur de
l’opercule ou la distance horizontale de l’extrémité antérieur du museau
à la pointe postérieure de l’occiput (partie postérieure et inferieure
médiane de la tête ou au bord osseux de l’encoche formée derrière de
tête par ceinture scapulaire
5. Longueur du museau : distance horizontale de l’extrémité antérieure de
la mâchoire supérieure au bord antérieur de l’œil
6. Diamètre de l’œil : diamètre horizontal de l’œil
7. Longueur pré dorsale : distance horizontale de l’extrémité antérieure du
museau à l’articulation du premier rayon de la nageoire dorsale
8. Longueur prénatale : distance horizontale de l’extrémité antérieure du
museau à l’articulation du premier rayon de la nageoire anal
9. Longueur pectorale : distance horizontale de l’extrémité antérieure du
museau à l’articulation du premier rayon de la nageoire pectorale
10. Longueur pré pelvienne : distance horizontale de l’extrémité antérieure
du museau à l’articulation du premier rayon de la nageoire pelvienne
11. Longueur de la base de la nageoire dorsale : distance horizontale
maximale mesurée entre les deux extrémités
12. Longueur de la base de la nageoire anale : voir nageoire dorsale
13. Longueur de la nageoire pectorale : longueur depuis l’articulation du
premier rayon jusqu’à l’extrémité du plus long rayon
14. Longueur de la nageoire pelvienne : voir nageoire pectorale
15. Longueur du pédoncule caudale : distance horizontale prise du bord
postérieur de la nageoire anale à la base de la nageoire caudale
16. Hauteur du pédoncule caudale : hauteur verticale minimale du
pédoncule caudale
17.Largeur inter obitoire : largeur minimale entre les orbites

 Comptage meristique : consiste a compter le nombre total de certains


organes du poisson (écailles, dents, rayons des nageoires,
branchiospines, etc) aux endroits bien précis.
Nous nous sommes servis d’une loupe et d’une trousse à dissection pour
déterminer
1. Le nombre d’écailles en ligne latérale : il s’agit du nombre d’écailles
percés comptées le long de la ligne latérale, de l’opercule jusqu’au pli
indiquant la base de la nageoire caudal
2. Nombre d’écailles en ligne transversale : il est compté de l’origine de
la nageoire dorsale suivant une ligne antéro-postérieure jusqu’à
l’aligne médio-ventrale 
3. Nombre d’écailles autour du pédoncule caudal : il s’agit du nombre
total de la couronne d’écailles qui entoure le pédoncule
4. Nombre de dent de la mâchoire supérieure et inferieure
5. Nombre de rayons de la nageoire dorsale et anale
6. Nombre de branchispines
7. A cela s’ajoute la détermination de la position de la bouche étude en
indiquant si elle est inférieure, égale, supérieure ou sub inferieur
Plusieurs clés d’identification systématique des poissons selon l’évêque et al…
( 1990 et 1992) ; sullivan et al…(2002) ; Mpegu et Teugels (2003) ; stiassny et al
(2007) dont été utilisées pour cette fin.
Les processus d’identification des poissons non identifié à l’aide de
clé d’identification bien spécifié
Nous avons pu maitriser les techniques de labo partant de la mensuration à
l’identification systématique des poissons
Thématiques
Thématiques développés
A quelques jours de notre fin de stage chaque étudiant était censé
de développer un thème et à exposer devant devant nos encadreurs et
collègues de promotion. Les différents thèmes sont repartis dans les lignes qui
suivent ;
Thème ; Impact des techniques de pèches sur les ressources
halieutiques et leurs habitats
b. Définitions de concepts
Dans cette partie nous allons définir quelques concepts lies à notre
thème.
Technique de pèche ; la technologie de la pèche est la discipline
concernant l’étude, la mise au point et l’amélioration des techniques
employées pour la capture des poissons. Les techniques et enjeux de la pèche
sont nombreux dépendant de l’espèce recherchée, du milieu, ou encore du
bateau utilise ;
Effort de pèche ; l’effort de pêche représente la qualité des
matériels de pèches d’un type donne utilise sur le lieu de pêche pendant unité
de temps donnée par exemple l’heure de pêche à la traine par jour nombre
d’hameçons poses par jour ou nombre de fois qu’ un littorale a été trainée par
jour ;
Pèche ; pêche (pêche halieutique), est une activité consistant à
capturer les animaux aquatiques (poissons mais aussi et notamment crustacés
et céphalopodes) dans leurs biotopes (océan, mer, cours d’eau, étang, lac). Elle
est pratiquée par les pécheurs comme loisir ou profession
C. Différentes techniques de pèches
Pêche au coup ; est la technique la plus populaire, elle existe depuis la
découverte de la pêche.
 Pèche au pose ; est une technique de pêche beaucoup utilise pour la
pêche au sandre appât est un vif mort ou vivant+

 Pèche au toc ; cette technique vise principalement la truite et se pratique


dans les eaux courantes de nos rivières, d’autres poissons comme le
chevesne peuvent être capturé au moyen de cette technique, la pêche
au toc consiste à présenter au poison un appât de la manière la plus
naturelle possible

 Pèche au vif ; consiste à utiliser un animal vif ; généralement un poisson,


elle est une technique très prisée pour attraper les carnaciers tel que le
brochet, le sandre, l’anguille

 Pêche au lancer ; cette technique joue principalement sur l’agressivité


des poissons carnaciers tels que la truite, la perche, la sandre et le
brochet. Elle consiste à lancer leuvre qui s’anime lorsque la ligne est
ramenée vers les pécheurs.

 Pèche a la mouche ; est une technique tout à fait particulière qui consiste
à lancer une imitation de mouche ou insecte aquatique sur l’eau pour
cette technique les pécheurs n’utilisent pas classique, il utilise une ligne
adaptée (soie) a une canne spécifique permettant de lancer ces modelés
extrêmement légères

D. EXPLOITATION RELATIONNELLE DES POISSONS

La pêche est la plus souvent encadrée par la règlementation qui


rend à se renforcer en fin de protéger au mieux la biodiversité,
l’environnement et les ressources halieutiques .cela se fait de manière à ce que
les espèces des poissons ne vivent pas ne soit pas disparues c’est à dire les
pécheurs et aquaculteurs pèchent selon un calendrier précis tout en évitant de
pécher pendant la période de reproduction des poissons
CONCLUSION DU THEME
Concernant l’impact sur les techniques de pèches sur les
ressources halieutiques et leurs habitats, nous avons tires deux types d’impact
à savoir ; impact positif et impact négatif.

S’agissant de l’impact positif, en 2014 selon l’organisation des


nations-unies pour l’alimentation et l’agriculture, FAO en sigle, chaque humain
consomme en moyenne plus de 20kg par an de poissons, 6kg par an en 1950 et
12kg par an en 1980. Cette augmentation de la consommation est en grande
partie due à la croissance de l’agriculture qui fournit désormais la moitié de
poisson destine à la consommation humaine.

Les impacts négatifs concerne certaine technique de pêche utilisée


par les aquaculteurs pour capturer les poissons par exemple, ceux qui utilisent
les moustiquaires imprégnées ils ne pèchent non seulement les poissons
matures, mais aussi les petits poissons (Age immature et voir même les œufs
qui peuvent se reproduire à la longue. Cette pratique peut être a la base de
l’extinction des certaines espèces

Thème : Problématique de la gestion et protection des ressources halieutiques


en RDC

Les ressources halieutiques sont tout ce que nous trouvons dans l’eau. La
ressource halieutique tend peu à peu a intégrer des nouvelles dimensions
comme la gestion de la ressource ; voir sa restauration dans une approche de
type développement durable, elle détermine la politique de pêche, elle
présente plus le milieu aquatique.
La conservation de la nature est le plus vaste réseau mondial de protection de
l’environnement. Elle rassemble plus de 1000 gouvernements et ONG 11000
scientifiques et experts bénévoles répartis dans 160 pays. Elle appuie la
recherche scientifique, informe les correctives et met en place des programmes
de concertations et de préservations de la nature et de l’environnement.
La protection des ressources halieutiques est une protection qualitative et
quantitative c’est à dire non seulement la lutte contre la pollution de la mer
pour la protection des ressources halieutiques mais également la
règlementation des certaines activités telles que la pèche, pour garantir la
préservation et la conservation de ces ressources.
Les ressources halieutiques de la RDC sont exploitées d’une manière
désordonnée, outre la ressource du sol et sous-sol, la RDC dispose également
d’un important réseau hydrographique dote d’un potentiel halieutique 707000
de tonnes exploitable annuellement. La production actuelle est estimée à
250000 tonnes de poissons provenant principalement de la pêche artisanale.
Pourtant ces immenses ressources peuvent bien contribuer à combattre la
pauvreté, insécurité alimentaire et le chômage est tant donne que la pèche est
créatrice d’emplois et de revenus, ces ressources sont exploitées d’une
manière désordonnées. Le code exige aussi de respect strict de la période
d’exploitation et de fermeture de pèche ainsi que l’environnement dans lequel
les poissons vivent.

En conclusion, la restauration des ressources halieutiques se


développe d’une manière durable et sa conservation rassemble plus de 1000
gouvernement et près de 11000 qui sont repartis dans 160 pays tandis que son
exploitation se fait d’une manière désordonnée et il cherche à combattre
contre la pauvreté, l’insécurité alimentaire ainsi que le chômage.

Thème : travail sur la pisciculture

5. Définition de la pisciculture

Est l’élevage de poissons en poissons en eaux douces, saumâtres,


au salées, c’est une branche de l’aquaculture spécialise dans l’élevage de
poissons, la pisciculture se fait en eau douce comme en mer, dans les enceintes
en dur (bassin) ou dans des cages flottants
6. But

Elle offre une alimentation de haute valeur en protéines animales,


dans les localités se trouvant peut être passez éloignes d’autres ressources en
bon viande on peut la comparer à d’autres formes de petits élevage, tel que
cochons, poulet etc…
7. Importance
L’empire centre africain, pays en clave sans accès a la mer riche en
cours d’eau peut développer la pisciculture pour améliorer le niveau de la
nutrition de la population. Egalement elle peut fournir du travail et freiner en
même temps l’exode rural .Une production des bonnes quantités alimentaire.

8. Types de pisciculture

Il dépend de l’investigation de celui qui veut faire l’élevage de


poissons. La pisciculture peut être faible, moyenne, ou forte.
Les espèces élevées en RDC ; les tilapias (Oreschromis nilaricus) et le poisson
africain (Clarias gariepinus) sont les principales espèces élevés. Le financement
des activités sont assures communément sur fond propre.
Nous pouvons aussi mener qu’il n’existe pas de traduction piscicole dans le
pays. Les tilapias sont élevés par des payants, dans des étangs en terme.
Thème : Désavantage lié à la consommation des poissons
2. Le danger lié à la consommation des poissons
Le risque pour la santé est lié désavantage au fait que l’organisme
n’élimine pas certaines substances, les quelles si je puis dire se transmettent
d’une chaire à l’autre (de la chair de poisson à la chair de l’homme.
La teneur en toxique s’élevé même au fil de la chaine alimentaire.
Les métaux en particulaire, et plus particulièrement encore le
mesure, est toxique pour la substance cérébrale, et donc nécessairement plus
dangereux dans la phase de maturation cérébrale (pendant la vie fœtale puis
dans la vie post-natale précoce)
La difficulté, toute fois, réside dans la raisonnement purement
toxicologique, et de simplifier les choses ainsi : (présence de)
Toxique=danger (sanitaire). Mais nous n’avons pas croisé ces données avec les
données nutritionnelles. En autre termes (que) est réel bénéfice risque, sachant
que le poisson à le grand avantage d’être riche en arde grand oméga-3 (surtout
les poissons des mers froides)
Les risques pour la santé d’une trop grande consommation de
poisson sont réels au vu de la pollution, des plastiques et des produits toxiques
qu’ils insèrent
Le mercure d’origine naturelle ou industrielle est le principal contaminant
environnemental du poisson au Québec il se trouve dans le poisson sous forme
de méthyl-mercure
La chair de ces poissons peut en effet contenir une quantité plus
élevée de méthyl-mercure ou d’autres contaminants environnementaux.
On a deux types des poissons : les poissons blancs qui sont maigre et les
poissons gras qui sont peu nombreux (sardines etc…)
Premièrement la contamination des poissons vient de l’endroit où ils sont
péchés
Les poissons ne plus consommer le thon, rouge, de requin, et de
poisson des grands fonds (comme le flétan, le grenadier ou l’empereur
Eviter, les espèces suivantes : bur, cabillaud, carrelet
 la plus part de poissons des mers et océans de notre planète sont
maintenant tellement pollués que les poissons sont contaminés au
mercure
« Le mercure d’origine naturelle ou industrielle est principal contaminant
environnemental du poisson, donc il se trouve dans le poisson sous forme de
méthyl-mercure » (dioxines, PCB ou méthyl-mercure)
Le poisson qui possède de nombreuses vertus nutritionnelles, ne
serait pas si bon que ça pour la santé si on en consomme en excès
« Du fait que les poissons vivent en contact permanent avec l’environnement,
les aliments qui en sont issus sont susceptibles d’être contaminés par des
substances chimiques mais également par des microorganismes
1. Social
Au cours de notre passation du stage au LLHA nous avons appris
tant des choses dans la société tel que :
- Comment appréhender le monde professionnel
- Savoir voir en communauté tout en supportant les faiblesses de chacun
d’entre nous
- Respect des autorités selon leurs ordres hiérarchiques
- Resté silencieux lorsque les formateur parlent ou expliquent les notions
technique peut importe sa différence ou son niveau intellectuel.
- Etre toujours aux aguets pendant les heures du travail
- Le respect de l’heure du travail
III.2. Solution réaliste proposé à l’entreprise ou l’organisation.
A partir des difficultés rencontrées lors de notre période de stage
au LLHA nous ne sommes pas restés indifférents sur ceux, nous avons proposé
une solution à l’organisation et ce dernier par curiosité scientifique, morale
avait pris acte.
« La solution proposé est que l’entreprise renforce son alimentation en eau et
ajoute les matériels spécifique nécessaire à chaque manipulation.
Les arguments ci-dessous soutiennent notre solution proposée à l’organisation
- L’eau étant un élément primordial de la vie et de tout autre travaux sont
tellement nécessaire dans un labo, sa permanence accélère les activités
du labo et permet la réalisation des nombreuses manipulations son
absence dans le milieu scientifique, technique ralenti et bloque des
activités
Sur ceux pour notre passé au labo LLHA nous avons pu remarquer que
l’eau n’était pas permanente
- Le monde technique et actuel pour son échelle évolution crée les
matériels formé alors l’usage des anciens matériels peuvent infecter ou
désorienter les résultats.
Le LLHA souffrant d’un déficit des matériels à l’obligation de renforcer son
labo pour bonne réalisation de travail
- L’absence de certain matériel de labo au LLHA, nous poussait à ne pas
finir certaines manipulations parfois de ne pas faire analyse jusqu’à
aboutir à son terme.
Conclusion
Au terme de notre stage académique qui sanctionne la fin de notre
premier cycle de formation en Biologie a eu lieu le 14 septembre au 14 octobre
2020 au Laboratoire de Limnologie, Hydrobiologie et Aquaculture au
Département de Biologie te la Faculté de Sciences de l’Université de Kinshasa.
Il avait pour objectif de promouvoir les jeunes stagiaire que nous
sommes de se familiariser au processus lié à l’indentification systématique des
poissons, tout en tenant compte de diffèrent paramètre et des outils capable
de l’identification.
Résultats obtenus après l’identification des poissons
Familles Genres Pourcentage
Notopteridae Xenomustus 75
Clariidae Clarias 25
2 3 100

Les résultats ci-dessus nous expliquent qu’au total 2 genres des poissons
Xenomustus regroupés dans la famille Notopteridae soit 75% et 1 seul genre
des poissons clarias est regroupé dans la famille de clariidae soit 25%.

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