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Management de La Qualité Prise de Note
Management de La Qualité Prise de Note
Chapitre 1 :
Une organisation quelle conque si elle s’engage dans une démarche qualité ça veut dire
qu’elle respecte une norme, dans notre cours nous allons aborder/traiter/se focaliser sur la
norme ISO 9001 dans sa dernière version, celle de 2015, c’est une norme organisationnelle,
c'est-à-dire elle relève de la structure et du fonctionnement de l’organisation, c’est une
norme basique que toute organisation devrait avoir.
Un besoin est une nécessité qui née d’un manque ou d’une privation, il doit être satisfait
immédiatement. Une attente est un désir ou bien un souhait.
Fiable : la fiabilité est liée au fonctionnement du produit, c'est-à-dire deux choses : la durée
d’utilisation du produit et le nombre de pannes subies après sa 1ère utilisation.
Performance :
Sécuritaire :
Qu’est ce que la performance ? Certains disent que c’est l’efficacité d’autres disent que
c’est l’efficience, et d’autres disent que c’est l’association des deux, elle se mesure en
fonction des critères que le client s’est fixé pour évaluer un certain produit, et ça diffère d’un
client à un autre, donc elle est subjective.
La satisfaction est le fait de livrer un produit ou un service conforme aux besoins et aux
attentes des clients.
Les parties intéressées prenantes
La performance de l’Ese
L’appui des parties prenantes (qui ont une influence directe ou indirecte sur l’Ese) est trop
nécessaire.
Approche Ese :
2- Approche Entreprise :
Si la qualité conçue correspond à la qualité réalisée, ça veut dire que l’Ese est conforme, ce
qui veut dire aussi qu’elle est performante. Si l’entreprise se retrouve avec des produits non
conformes ça veut dire qu’elle n’est pas performante.
Conclusion : au final, la qualité n’est pas l’affaire d’une personne, c’est l’affaire de tout le
monde. Si on est conforme aux attentes et besoins des clients, on réalisera une satisfaction
auprès de ceux-ci. L’Ese est une chaîne interdépendante, son fonctionnement se fait de
manière transversale.
La qualité est un concept mesurable et c’est ce que nous allons voir dans ce cours.
L’engagement d’une entreprise dans une démarche qualité est une volonté, qui émane,
généralement, du boss c'est-à-dire le top management. Cet engagement peut aussi devenir
une obligation comme c’est le cas dans le secteur médical, agroalimentaire, ou tout doit être
conforme aux normes, exemple : partenariat d’export avec une entreprise à l’étranger des
produits de terroir vous exige d’avoir une certification pour pouvoir vendre vos produits à
l’étranger, donc la certification, aujourd’hui, est devenue une nécessité voire même une
obligation, qui émane soit de la loi, soit des parties intéressées prenantes, car être certifié
ISO par exemple représente une garantie, ça veut dire que le produit livré est conforme aux
normes, c’est une sorte d’assurance.
La démarche qualité est avant tout un processus d’amélioration continue. Elle doit
apporter à l’entreprise une réelle valeur ajoutée. Cette VA est la garantie de la
satisfaction des clients. Elle représente également un atout dans la recherche de la
fidélisation.
Rapport qualité-prix
Accessoires : caractéristiques secondaires d’un produit ; exemple : pour un tél les
accessoires sont l’appareil photo, l’agenda, calculatrice…
Approche Ese : comparaison entre la qualité conçue et la qualité réalisée conformité &
performance. S’inscrire dans une démarche qualité est un choix qui émane de la volonté de
l’Ese d’améliorer ses produits/services, tout de même ça peut devenir obligatoire dans
certains secteurs critiques ( la santé, l’éducation …), ou en cas d’engagement dans
l’exportation.
Client Client
L’approche produit :l’Ese peut se baser sur ces 8 dimensions en totalité, ou se focaliser sur
certains d’entre elles que j’estime plus intéressante pour ma clientèle :
Maintenabilité : la rapidité de remettre le produit dans son état de conformité, c’est une
critère par excellence de choix d’équipement/ immobilisation pour les Eses.
Un besoin implicite représente des biens voulus par le client mais qui ne sont pas déclarés,
pour 3 raisons :
1- Le client y trouve une évidence, il considère que c’est tenu en compte par défaut.
2- Le client trouve des difficultés à l’exprimer
3- Le client ignore totalement l’existence de ce besoin, et la satisfaction de ce besoin
rend le client plus content.
Le marché concurrentiel est vif , et de moins en moins prévisible, comment l’Ese peut
cibler ces besoins ?
Le temps d’attente
Le respect des délais (on parle plus de conformité c’est par défaut) est un critère qui
permet d’augmenter la satisfaction du client.
La complétude : mon service doit être complet
La courtoisie : la politesse et la considération qu’on a envers le client.
La cohérence : tous les clients doivent être traités sur le même pied d’égalité ça d’un
coté, d’autres cotés, la production du même exact service en terme de formalité,
mais le comportement personnalisé peut être privilégié pour certains clients selon
leur importance.
L’accessibilité : sur différentes zones géographiques (proximité), et sur internet
L’exactitude
La réaction : la rapidité de la réaction de l’Ese face à la plainte du client, elle peut
effacer le mécontentement du client et faire augmenter la satisfaction.
Certification VS Accréditation ?
Z Y X
X est une entreprise, elle fait recours à un organisme ISO 9001 certificateur SMQ AFNOR à
titre d’exemple, ce dernier atteste que mon SMQ est conforme au référentiel normatif
adopté, et pour qu’il puisse me certifié, cet organisme doit être accrédité, c'est-à-dire
reconnu par un autre organisme, donc Y dépose son dossier auprès de Z, et cette dernière
atteste que Y a toutes les compétences requises pour pouvoir certifié les Eses.
Qualité = satisfaction
La qualité c’est en aval alors que l’assurance qualité est en amont, c’est tout ce que l’Ese met
en place dès l’action communication jusqu’à la livraison en terme de contrôle qualité et
d’audit qualité, les actions correctives et préventives pour assurer et mettre à la fin un
produit conforme,( mises en place depuis la concrétisation jusqu’à la livraison, comme quoi
elle est capable de vous livrer un produit conforme qui répond à vos besoins et attentes).
Objectif VS But ?
Un objectif est un résultat qu’on cherche à atteindre sur le court terme. Un but est un
résultat qu’on cherche à atteindre sur le moyen terme. Les objectifs mènent à la réalisation
du but. Un objectif doit être SMART :
Spécifique : précis, ne doit pas susciter de l’ambigüité ni pour celui qui l’a établit ni pour
celui qui va travailler là-dessus.
Accessible : degré d’atteinte de l’objectif est élevé , données accessibles sur la base des
indicateurs (ex : taux de satisfaction des clients , les tableaux de bord).
Réaliste : logique, objectif réalisable en fonction des ressources dont dispose l’Ese.
Vision VS Mission ?
La mission est la raison d’être de l’Ese. La vision est le futur souhaité de l’Ese.
Les stratégies : s. commerciale s. financière … traduisent les politiques : qui sont les
orientations stratégiques de l’Ese.
Non conformité
Temps 0
Parties intéressés prenantes : ont un intérêt pour, et ont une influence sur l’Ese.
« la qualité, ce n’est pas une destination, c’est un voyage » Roger Emoul 2013
C’est un processus sans fin, qui à chaque étape dévoile de nouvelles facettes sur la
question ? Chaque 5 ans les normes se modifient, c’est un processus évolutif qui ne s’arrête
jamais.
Le contrôle final est couteux et non efficace. Le contrôle en cours : à la fin de chaque étape
du processus de production j’effectue un contrôle précocement, donc la pression sur le
contrôle final sera allégé (on fait recours à l’échantillonnage on procède sur n de N).
2ème phase :
La démarche d’inspection unitaire se voit dépassée par les quantités produites d’une part,
d’autres parts par les coûts exorbitants engendrés (Jacard 2010). Le besoin en qualité
commence alors à s’imposer et à se sentir. Une conception qui a ouvert une nouvelle ère
dans le domaine de la gestion de la qualité marquée par la naissance de la MSP.
Fournisseurs intégrés : contrôle des matières premières à leur arrivée avant même de passer
à la production, car la qualité du produit final dépend en premier lieu de la qualité des MP.
Pour la 1ère et la 2ème phase on se limitait au processus de production, par contre dans la 3ème
phase on s’intéresse à l’Ese dans sa globalité, on retient l’Ese en tant qu’ensemble d’activités
transversales afin de livrer un produit conforme.
-Une nouvelle forme de la qualité s’est introduite passant d’un système correctif (contrôle
de la qualité) vers u système préventif (qualité maîtrisée). Duret & Pillet 2011
L’assurance de la qualité
L’assurance qualité orientée approche client s’est construite autour d’une seule et même
préoccupation, la satisfaction du client, clé de succès d’une Ese. Aujourd’hui il faut non
seulement que les produits livrés soient conformes, mais aussi que les engagements de
délais soient respectés, que les promesses diverses soient tenues, que l’accueil soit agréable,
que la réactivité soit correcte que l’innovation soit au catalogue…
Il s’agit d’un mode de management qui vise à concilier et à satisfaire de manière élargie les
intérêts de tous les partenaires de l’environnement de l’Ese (clients, personnel, collectivités,
actionnaires, ect).
Environnement : sortir avec des facteurs internes et externes qui peuvent impacter plus ou
moins la performance de l’Ese L’analyse SWOT (agir sur les faiblesses pour les rendre des
atouts par exemple)
Risque :fait lié à l’incertitude qui influence L’Ese de manière négative, ou positive, et dans ce
cas on parle plus de risque mais d’opportunité.
Donc, il fait identifier l’ensemble des risques qui influencent la performance de l’Ese, ceci à
travers les étapes suivantes :
Quel type de risque peut influencer notre activité ? Il faut donc quantifier ce risque à travers
le degré de criticité. L’objectif est de distinguer les risques d’ordre majeur et ceux d’ordre
mineur.
Les stratégies :
5- L’économie de la qualité :
Coût DI Coût de la non qualité 1
Coût DE
COQ Coût d’évaluation/contrôle
FIGENBAUM Coût de prévention Coût de la gestion de la Q 2
Coût de la non qualité : est un coût lié à la production d’un bien non conforme. Si le
CNQ est élevé ça veut dire que l’Ese ne maîtrise pas son activité.
CDI CDE CC CP :
Le COQ comme outil de mesure :la quantification financière des coûts sert à
la prise de décision (par la direction).
Le COQ comme outil de management de la qualité : il sert à la mise en
œuvre d’actions pour l’amélioration de la qualité par la maîtrise des coûts
relatifs à la qualité.
Les coûts des défaillances internes : des coûts liés au rejet du produit ou service lorsqu’il ne
satisfait pas aux exigences de qualité avant sa livraison au client (grève, panne de machine..).
Les coûts des défaillances externes :des coûts de DE, frais encourus lorsque le produit ou le
service ne répond pas aux exigences de qualité après sa livraison (non-conformité constatée
chez le client une fois le produit est livré).
Coûts deprévention : ce sont ceux engagés pour anticiper l’apparition des non-qualités, ce
sont des dépenses pour prévenir et anticiper.
Coûts de contrôle/ évaluation : ce sont ceux engagés pour mesurer la conformité des
produits et des services.
ISO : rédige les normes et les publie mais la certification est faite par d’autres organismes
habilités à le faire.
& technique
ISO 9001 est une norme organisationnelle, en tant que manager j’adopte la norme à l’Ese,
en fonction de la nature de l’organisation et non pas l’inverse. Ex : dans l’instauration de la
démarche qualité, il y a une partie qui concerne l’évaluation annuelle des Frns, pour les
organisations publiques, elles sont régie par un système différent de choix de fournisseurs (
que celui des Eses) donc elles vont tout simplement dépasser cette étape car elle ne les
concerne pas, c’est ça l’adaptation des normes à la nature de l’organisation.
ISO 9001 est la seule norme qui donne une certification ( la norme sur la base de laquelle on
s’audite pour avoir la certification), les autres normes sont des normes de conseil ayant pour
objectif d’aider les managers à appliquer les normes du SMQ.
On a 3 modèles de certification :
ISO 9001 : Industrie ISO 9002 : service ISO 9003 : laboratoires et contrôle test spécialisés
Exige Satisf
Processus de Management
nces Objectifs Résultats actio
des Processus de réalisation (l’activité principale de l’Ese)
n
Processus de support (achat, logistique, ressources
client Humaines, maintenance…) Clt&
s PIP
Les éléments de cette représentation agissent da manière transversale. Comment je
fonctionne pour transformer les exigences de mes clients en satisfaction tout en améliorant
en mode continu ce processus/cette façon de faire.
Le processus de support porte de l’appui au processus de réalisation, afin d’en fournir les
ressources nécessaires.
Processus de réalisation (Activité principale) Valeur Ajoutée Directe
L’évolution du projet de norme ISO 9001-2015 s’articule autour d’une nouvelle philosophie
en cinq grandes tendances :
1- Anticiper les besoins et les attentes : dispositif d’écoute des clients afin de rester
toujours sur la même longueur d’ongle avec leurs exigences… ;
2- Démarche qualité est l’une des techniques qui permettent à l’Ese de relier la
stratégie à la démarche qualité ;
3- Créatrice de la valeur ajoutée : éviter le gaspillage et écarter toutes les activités qui
n’apportent aucune valeur ajoutée tout en consommant des ressources = chaîne de
valeur maîtriser la chaîne de valeur ;
4- Évaluer et améliorer les performances du SMQ : à travers des indicateurs, chaque
responsable est tenu d’évaluer son activité, sur la base de l’analyse j’améliore ma
façon de faire à travers les actions correctives ou préventives , et si chaque
département améliore son activité ceci mènera vers l’amélioration du SMQ de
l’organisme en entier ;
5- Intégrer les différents domaines de management.
Ms qu’est ce que la chaîne de valeur je n’ai pas bien compris ? découper l’Ese en
activités principales et secondaires créatrice de VA soit de façon directe (ex : la production)
ou de façon indirecte (ex : achat, logistique…) afin de maîtriser l’activité de l’Ese.
Comment fournir de façon régulière les mêmes conditions ou des conditions améliorées ?
Le SMQ est un moyen qui permet de rendre efficace le MQ. Un SMQ a pour objectif
d’optimiser le fonctionnement de l’Ese pour satisfaire au mieux les clients en évitant au
maximum les « ratés » et les « non qualité ».
Le SMQ doit être vu comme un système de management dynamique évoluant dans le temps
par le biais d’améliorations continues.
ISO 9001 est seulement l’une des normes qui peuvent servir de cadre de référence
lorsqu’une Ese souhaite faire certifier son SMQ.L’ISO 9001-2015 nous livre un cadre général
de réflexion pour organiser de manière globale et rationnelle la démarche qualité.
L’engagement de la direction dans la démarche qualité assure son succès et sa durabilité à
travers par exemple :la présence du top management dans les séances do formation da
façon régulière.
Sensibilisation du personnel car la qualité n’est pas l’affaire d’une seule personne.
Diagnostic qualité : c’est un état des lieux qu’on mène par rapport à la qualité, c’est le
consultant du cabinet de consulting qui mène cette étude, c’est un passage obligatoire dans
le processus de la démarche qualité, à la fin on élabore un rapport FF ? avec les actions à
mettre en place pour instaurer la démarche qualité.
Avant dans les anciennes versions de l’ISO on désignait un responsable qualité dans
l’organisation que cette dernière choisit elle-même soit en interne ou en externe, et c’était
lui le responsable soit du succès ou de l’échec de l‘instauration de la démarche qualité, et
suite à une nouvelle révision on a décidé de ne plus limiter la pertinence de la démarche
qualité à une personne, aujourd’hui toute la direction générale est redevable d’assurer
l’efficacité et la pertinence du SMQ/ des personnes ressources.
Validation du SMQ
Implantation du SMQ
Rodage du SMQ
Revue de la direction
Réunion qui regroupe toutes les PIP de l’Ese, l’objectif est de discuter les possibilités
d’amélioration du SMQ mis en place, on a 2 réunions par an, la 1ère est pour donner l’accord
de l’audit de certification, la 2ème est pour donner le feu vert.
Choix du registraire
Registraire : cabiner certificateur, les critères de choix sont les suivants : les coûts , le calibre
des consultants et des experts, la cible locale (IMANOR) ou internationale (AFNOR).
Audit Certification
La même logique que l’audit à blanc mais en externe, l’organisme certificateur doit être
accrédité.
La politique/démarche/stratégie doit être orientée client, doit s’articuler autour d’une seule
préoccupation qui est la satisfaction des clients, ceci à travers la mise en place des dispositifs
d’écoute « attentive » (ex : les enquêtes de satisfaction, les focus groupe, entretien
individuel…) qui vont permettre à l’Ese de rester sur la même longueur d’angle que ses
clients et suivre l’évolution des besoins et attentes de ces derniers dans le temps, car il faut
chercher au-delà de la satisfaction : augmenter la satisfaction et ce en innovant l’entreprise
a intérêt à innover satisfaire et les besoins explicites et les besoins implicites, l’entreprise
doit anticiper ces besoins.
Les organismes dépendent de leurs clients et doivent pour cette raison comprendre leurs
besoins présents et futurs.
-L’Ese possède une expertise qu’elle met au service du client. Cette expertise se manifeste
notamment par sa capacité à identifier les besoins du client en lui apportant une aide dans la
formulation et la formalisation de ces derniers.
Principe 2 : Leadership
C’est une forme du pouvoir d’influence que le leader exerce sur les acteurs afin d’appliquer
la démarche SMQ et donc atteindre les objectifs tracées par cette démarche.
-Les dirigeants doivent créer et maintenir un environnement interne dans lequel les
personnes peuvent s’impliquer entièrement dans l’atteinte des objectifs de l’organisme.
Pouvoir légitime
Pouvoir de la récompense
Pouvoir coercitif
Pouvoir personnel :
Pouvoir dû à la compétence
Pouvoir charismatique
Aident un leader à influencer les autres pour les amener à faire ce qu’il attend d’eux.
Gestionnaire Leader
Administre Innove
Continue Invente
Se fie au mode de fonctionnement de l’Ese Se fie aux employés
Favorise le contrôle Privilégie la confiance
Fait bien les choses Fait les bonnes choses
Accepte la responsabilité Cherche la responsabilité
C’est l’un des facteurs clés de succès de la démarche qualité. Pour gérer un organisme de
façon efficace, il est important d’impliquer l’ensemble du personnel à tous les niveaux et de
respecter chacun des individus.
Ineedsomethinghere ???
Principe 6 :
Prise de décision fondée sur des preuves, des constats réels pour éviter la subjectivité des
choses et l’intuition.
Il faut recenser un réel besoin afin de prendre une décision ex : formation télé-inspecteur,
des investissements…
-L’évaluation & l’analyse à des intervalles réguliers permettent de réduire les écarts par
rapport aux exigences et d’éviter les anomalies.
Établir un esprit de coordination entre l’Ese et ses PIP. Il faut qu’il y est une relation
bénéfique bâtit sur la confiance en créant un champs fertile d’échange interactif de
compétences et de connaissances entres les deux parties. Tirer profit de ses relations avec
les PIP. Ces derniers peuvent apporter leur appui & soutien à l’Ese en cas de nécessité.
Celà va permettre à l’Ese de se tailler une part importante du marché concurrentiel.
-Il faut établir un climat de confiance avec tous les acteurs concernés de prés ou de loin (clts,
frns, prescripteurs…) et chercher à les faire progresser car ils doivent se sentir impliqués
dans la contribution globale à la qualité de l’organisme.
C’est une notion qui traduit le mode de management moderne, elle consiste à zoomer le
mode de management sur les activités créatrices de VA.
Figure 3 : déjà élaborer à reproduire
Ce schéma peut prendre de six mois à un an pour qu’on puisse l’élaborer car il reflète
l’ensemble du SMQ de l’organisation, c’est à dire toute sa façon de faire.
-Les outils de mesure : sont des indicateurs de la qualité, qui permettent de piloter
l’efficacité & l’efficience du processus. Chaque processus doit avoir un responsable ou un
pilote.
Le processus est « le quoi faire » dans un ordre prédéfini et il ne faut pas le confondre avec
la procédure qui est « la façon de faire une tâche ».
Chacune des activités/processus doit être améliorer en utilisant la méthode PDCA, ce qui va
contribuer à la performance globale de l’Ese.
Chaque Ese doit établir sa charte graphique soit sous forme de fiche d’identité ou de
logigramme.
Finalité & objectifs Gérer les achats, acheter, gérer les stocks, évaluer les fournisseurs
pour répondre aux besoins de l’organisme
Domaine S’applique à tous les achats de l’organisme
d’application
Pilote du processus Responsable des Client du processus Processus/métier
achats /support/management
Approbation
Responsable achat Directeur général
2- Le logigramme :
Définir le profil
Rédiger l’annonce
Publier l’annonce
Non
Oui
Convoquer le candidat
Exemple :
Indicateurs de processus
L’indicateur doit être approprié au phénomène qu’il compte évaluer, il doit être pertinent,
sinon, il ne va pas donner une visibilité de l’efficacité du processus. Un bon indicateur ne
doit générer aucune ambigüité, ni pour celui qui l’élabore ni pour son utilisateur, il doit être
fiable, communiqué, reproductible et rapide à collecter et à traiter.
Un indicateur est un moyen qui permet de mesurer le degré d’atteinte d’un objectif. Les
indicateurs sont représentés au Tableau de Bord Qualité, on cherche à les améliorer de
façon continue, c’est la qualité des indicateurs qui prime non pas leur quantité.
Chapitre IV Amélioration :
L’Ese doit saisir à tout moment les opportunités d’amélioration (ex : TBQ, audit Q, le
contrôle Q, enquêtes de satisfaction).
La démarche qualité propose des outils pour faire face aux défis quotidiens au sein de
l’organisation :
Standardiser VS Généraliser ?
Quoi :quel est le problème ? (il doit être Le non respect des délais de livraison :
formulé de la façon la plus précise possible). -Insuffisance de la MP ;
-Mauvaise gestion de stock ;
-Mauvaise planification de la production ;
-Accidents mortels dans l’Ese ;
-Grève générale ;
-Mauvaise planification des moyens de
transport ;
Qui :qui est concerné par le problème ? Responsable achat ;
-Qui le détecte ? Responsable du magasin ;
-Qui est affecté ? Responsable de production ;
Responsable de maintenance ;
Direction qualité & environnement ;
Direction ressources humaines ;
Responsable logistique et transport.
Où : en quels lieux se pose t-il ? dans quel Lieu de stockage de matières premières,
service/secteur ? observe t- on le magasinier, atelier de production, farc
problème ? camions.
Quand :caractéristiques temporelles du Depuis 3 jours : le moment de pe à flux
problème. Depuis quand combien de temps poussé, suite à une forte demande du
le problème existe-t-il ? A quel moment marché, 2 fois par an.
apparaît –t-il ? suite à quel événement ? Depuis une semaine : le moment qui
coïncide avec une grande commande suite
au congé du responsable.
Combien : quantification du problème, quels La non résolution du problème peut
sont les coûts engendrés par ce problème ? engendrer la non expédition de la
combien de produits sont concernés par le marchandises. La perte des clients et
problème ? combien de personnes sont pénalités de retard à payer :
concernées ? 100000 dh, 100 palettes, 20 personnes
250000 dh, 250 palettes, 100 personnes
Comment : sous quelle forme se présente-t- -Mécontentement du client ;
il ? quels sont ses effets ou ses -Résiliation du contrat ;
conséquences ? -Perte du client ;
-Mécontentement du personnel ;
-Perte financière.
Pourquoi : quel est l’objectif poursuivi par la -Améliorer le respect des délais de livraison ;
résolution du problème ? quel est l’état final -Satisfaction des clients ;
recherché ? -Améliorer le fonctionnement interne ;
-Atteindre les objectifs stratégiques et
améliorer l’image de marque de l’Ese ;
-Satisfaction du personnel ;
-Zéro accident.
1- Phase de recherche :
Les participants exprimeront les uns après les autres toutes les idées leur venant à
l’esprit sans restriction, il faut exprimer le maximum d’idées.
2- Phase de regroupement :
Le groupe de travail essaye d’exploiter et d’améliorer les idées émises. On pourra
combiner ou modifier les idées émises et faire une sélective des idées susceptibles
d’apporter la solution au problème posé.
3- Phase de conclusion :
Le groupe de travail doit analyser les causes suspectées et les solutions proposées
afin de discerner celles du domaine du réalisable de celle du domaine de l’utopie.
Le diagramme d’Ishikawa :
-On
On cherche quel M est l’origine du problème
problème.
-La
La satisfaction du client externe dépend de celle du client interne.
La méthode 20/80 :
C’est l’un des outils utilisés en matière de prise de décision. 80% des problèmes rencontrés
sont dues à 20% des causes.