I.

DÉFINITION DE BASE - Acte + état mental + causalité + résultat = crime - Moyens de défense

II. ACTUS REUS - acte volontaire, les omissions ne comptent généralement pas.
A. ACTE VOLONTAIRE
DROIT COMMUN MPC DIFFÉRENCES
Nécessité d'un préjudice volontaire et d'un Nul ne peut être condamné pour un
préjudice social Un acte estvolontaire si  a crime en l'absence d'un comportement
voulu l'action ou si elle était suffisamment dont il est physiquement capable.
libre pour qu'on puisse lui reprocher sa
conduite. Le préjudice social est le tort causé
par l'acte volontaire de Le préjudice social
est le tort causé par l'acte volontaire de

B. OMISSION
DROIT COMMUN MPC DIFFÉRENCES
Éléments La responsabilité pour la commission MPC : l'obligation d'agir DOIT
- l'inaction d'une infraction ne peut PAS être être imposée par la loi
- obligation légale d'agir fondée sur une omission non
- capacité d'agir accompagnée d'une action, SAUF SI CL : quelques obligations
- l'omission est expressément légales non statutaires
Obligation légale d'agir: Peut être définie rendue suffisante par la loi
par la loi ou impliquée par les éléments définissant l'infraction, ou
requis d'une infraction. - l'obligation d'accomplir l'acte
Obligations juridiques communes : omis est autrement imposée
- Obligations du propriétaire foncier par la loi
concernant la propriété
- Obligations découlant de la relation
entre l'acteur et la victime
- Obligation contractuelle
- Le droit de la responsabilité civile
crée une obligation lorsque l'acteur
assume volontairement la
responsabilité.
- Obligation de sauvetage si l'acteur a
créé un péril
- Les médecins n'ont pas de devoir
d'assistance, sauf si la personne qui
en a besoin est un patient.
La connaissance du droit n'est pas requise

III. MENS REA - Un état mental est requis pour la plupart des crimes. La responsabilité objective et les infractions liées au
bien-être public sont l'exception. Pour prouver une infraction, l'accusation doit prouver la mens rea pour
chaque élément de l'infraction
A. LES TYPES
DROIT COMMUN MPC DIFFÉRENCES
Intentionnellement (volontairement) - But - objet conscient avec conduite et Le MPC divise l'intention en
pour causer consciemment le résultat ou résultats. Il doit être conscient de objectifs et en connaissances.
lorsqu'on est pratiquement certain que l'existence de ces circonstances ou Le MPC établit une distinction
l'objet se produira à la suite de la conduite croire ou espérer qu'elles existent. claire entre la négligence et
d'une personne. de la conduite de Connaissance - Conscience que les l'imprudence - non pas en fonction
l'auteur. résultats sont pratiquement certains de du degré de risque encouru, mais
Imprudence - Négligence criminelle se produire de la connaissance du risque par
grave ou mépris conscient d'un risque L'insouciance - La négligence l'accusé.
substantiel et injustifiable. consciente d'un risque substantiel et Le MPC prévoit que lorsque
Négligence - faute objective  aurait dû injustifiable. l'élément auquel s'applique une
être conscient que son comportement Négligence - aurait dû être conscient mens rea n'est pas clair, il faut
créait un risque substantiel et injustifiable d'un risque substantiel et injustifiable. l'appliquer à tous les éléments de
que le préjudice social en résulte.
Règle empirique
But = désir d'un certain résultat
Connaissance = indifférence à l'égard
d'un certain résultat
l'infraction.
MPC lorsque la loi est muette sur
le Mens Rea, l'insouciance est
requise.
B. RESPONSABILITÉ OBJECTIVE - Lorsqu'aucun état mental n'est requis pour commettre une infraction
DROIT COMMUN
Le bien-être public et les crimes
traditionnels. Créé par la loi
IV. RÉSULTAT
A. CAUSE EN FAIT - La causalité n'est requise que pour les crimes de résultat.
DROIT COMMUN
Le comportement satisfait au critère du "but
for". Il y a cause réelle lorsque le résultat qui
constitue l'infraction pénale ne se serait pas
produit s'il n'y avait pas eu l'acte (ou
l'omission) volontaire de l'auteur de
l'infraction. l'acte (ou l'omission) volontaire
de l'auteur
B. CAUSE IMMÉDIATE
DROIT COMMUN
Test de prévisibilité
Pour déterminer la cause immédiate, il faut
déterminer si l'acteur est la cause directe et
s'il y a eu des acteurs intermédiaires ou des
causes intermédiaires (coïncidences) qui ont
interrompu la chaîne de causalité jusqu'à
l'acteur principal. 
Pas de causes intermédiaires, sauf si la cause
est prévisible ou de minimis.
Actes intermédiaires - Les actes
intermédiaires peuvent suffisamment rompre
la chaîne de causalité ;
Actes intermédiaires dépendants: ils se
produisent lorsque l'acteur intervenant agit
en raison d'une situation provoquée par le
comportement antérieur de l'accusé.
Toutefois, si l'acteur intervenant dépendant a
commis une négligence grave, cela suffit à
rompre la chaîne de causalité.
Acte d'intervention volontaire: se produit
lorsque l'acteur intervenant agit
volontairement. Les actes intentionnels
brisent toujours la chaîne de causalité ; les
actes irréfléchis sont parfois suffisants (selon
le tribunal).
De Minimus : lorsque l'acte initial n'aurait
pas causé le décès.
Les forces dangereuses se reposent : Le
danger doit cesser à un moment donné.
MPC
En vertu du MPC, les délits de SL sont
généralement limités aux violations et
sont passibles d'amendes, et non
d'incarcération - ce sont des délits de
protection sociale ;
MPC
Le MPC n'exige qu'un lien de
causalité réel et utilise le même critère
que le CL.
Car en effet
MPC
Le MPC traite la causalité immédiate
dans le cadre de la mens rea quant aux
résultats Satisfait mais pour le test
uniquement. Pas de causes
intermédiaires
Établissez la mens rea et vous pourrez
établir la causalité ; utilisez-la ensuite
pour déterminer si le résultat était trop
éloigné ou accidentel pour avoir une
juste incidence sur la responsabilité de
l'accusé ou sur la gravité de
l'infraction. ou sur la gravité de
l'infraction.
Si le résultat s'écarte trop de ce qui
était prévisible, la personne sera
disculpée pour les délits liés à
l'intention et à la connaissance. Si ce
n'est pas le cas, alors  sera
condamné même s'il y a un acteur
intervenant.
DIFFÉRENCES
Le MPC est généralement le
même que le CL.
DIFFÉRENCES
Le MPC n'exige qu'un lien de
causalité réel.
DIFFÉRENCES
Pour le MPC, la causalité
immédiate est traitée dans le
cadre de la mens rea (mais
pour).
Purp/Know : Le lien de
causalité n'est pas établi si le
résultat n'est pas conforme à
l'intention, sauf si.. :
1.  une personne différente
(intention transférée)
2. Blessure moins importante
que prévu
Reck/Neg : le lien de causalité
n'est pas établi si le résultat ne
correspond pas au risque dont
l'acteur était ou aurait dû être
conscient, sauf :
1.  une personne différente
(intention transférée)
2. Blessure inférieure au risque
V. CRIMINALITÉ
A. HOMICIDE
1. MEURTRE - meurtre illégal d'un être humain
DROIT COMMUN
Meurtre aupremier degré :
L'intention malveillante.
Agir avec l'intention de tuer
Meurtre audeuxième degré a/k/a Cœur dépravé,
insouciance grave, cœur malin, malice
implicite, intention de causer des lésions
corporelles graves -
DEFN : Agir face à un risque anormalement
élevé que le comportement entraîne la mort
ou des lésions corporelles graves. Dans
certaines circonstances exceptionnelles
Meurtre avec préméditation
(généralement2ème) - lors de la commission ou - Favorise ou facilite délibérément la
de la tentative de commission d'un crime
entraînant la mort.
Complicité :
Les complices sont strictement
responsables ; aucune mens rea n'est requise.
a. MITIGATION - RÉDUIT LE MEURTRE À L'HOMICIDE INVOLONTAIRE
DROIT COMMUN MPC
Doctrine de la provocation Perturbation émotionnelle extrême :
Il faudrait que l'acte entre dans ces catégories
pour que le jury reçoive l'instruction
d'homicide involontaire :
1. Coups et blessures graves contre le D
2. Combat mutuel
3. L'arrestation illégale de D
4. Blessures ou sévices graves infligés à un
proche parent de D
5. Découverte soudaine de l'adultère du
conjoint
Limites
Elle ne s'applique pas lorsque suffisamment
de temps s'est écoulé pour que l'auteur de
l'infraction se soit calmé, car on en revient
alors à l'assassinat de sang-froid.
Auparavant, elle n'était autorisée que lorsque
l'incident provocateur se produisait en
présence de D.
b. MEURTRE AVEC PRÉMÉDITATION
DROIT COMMUN
Une personne est coupable de meurtre si
elle tue une autre personne, même
accidentellement, lors de la commission ou
MPC
Délibérément ou en connaissance de
cause, ou par imprudence plus. La
préméditation et la délibération ne
sont pas nécessaires.
Imprudence Plus - imprudence dans
des circonstances manifestant une
indifférence extrême à l'égard de la vie
humaine.
Complicité :
Complicité - se rend complice avec
l'intention requise avant ou pendant la
commission de l'infraction.
Complice Mens Rea :
commission d'un délit.
- Agir avec une culpabilité suffisante
pour commettre l'infraction
- La FMR fait de lui un complice du
crime sous-jacent, ce qui le rend
strictement responsable de la mort
car il avait la mens rea quant au
résultat.
- Le MPC traite de la responsabilité
des complices dans des contextes
d'insouciance ou de négligence.
Peut atténuer le meurtre en homicide
involontaire même si l'intention de
causer la mort était présente.
Deux composantes :
- Perturbation mentale ou
émotionnelle extrême
- qui a un motif raisonnable
- Dans les circonstances telles qu'elles
sont perçues par l'acteur
- (insouciance).
MPC
La témérité et l'indifférence extrême à
l'égard de la valeur de la vie sont
présumées lors de la commission d'un
DIFFÉRENCES
Le CPM inclut les lésions
corporelles graves dans la
notion d'insouciance.
La mens rea de MPC est
équivalente à l'intention de CL.
Lorsque MPC utilise
l'insouciance comme mens rea,
elle est similaire aux meurtres
du cœur malin de CL.
Le meurtre de CL a des degrés
le premier degré comprend
certains types d'homicides
énumérés (à l'affût, par poison,
etc.) ou un meurtre volontaire,
délibéré et prémédité (WDP).
Toutes les autres formes sont
des meurtres audeuxième degré. Le
"cœur malin" est généralement
un meurtre audeuxième degré.
DIFFÉRENCES
Le MPC élargit les mesures
d'atténuation en
- Pas de limitation dans le
temps - pas de délai de
réflexion
- Aucune limitation, la
personne tuée devait être
l'auteur de la provocation.
- Exclusion des exclusions
pour atténuation
Le MPC exige que  être
conscient du risque pris
DIFFÉRENCES
Le code ne contient pas de
règle expresse concernant le
crime M, il implique un plan
 de la tentative de commission d'un crime. crime contre l'humanité. d'insouciance lors de la
commission d'un crime
Règle du crime indépendant/de la fusion - - Vol qualifié intrinsèquement dangereux.
Le crime sous-jacent doit être indépendant - Viol
du meurtre. - rapports sexuels déviants
- Incendie criminel
Lien de causalité requis : - Cambriolage
Soit... - Enlèvement ou
Théorie de l'agence : La limitation du lien - Evasion criminelle
de causalité exige que le meurtre soit
commis dans le cadre de l'infraction, ou au Complicité
moins par un agent de l'auteur de l'infraction. Celui qui aide intentionnellement
Le simple fait qu'un décès survienne lors de une autre personne à adopter le
la commission d'un crime ne soumet pas comportement qui constitue
nécessairement le criminel à la peine de l'infraction.
mort.
Ou bien...
Cause immédiate : Quelques États
appliquent un critère de causalité immédiate
qui rend un criminel responsable du meurtre
d'un non criminel si le criminel a causé la
mort de manière immédiate ou a déclenché
les événements qui ont conduit à la mort.

Règle des non criminels: La règle de la FM

ne s'applique généralement que si le décès
est celui d'un non criminel.

2. HOMICIDE INVOLONTAIRE
DROIT COMMUN
MS volontaire - homicide sans intention de
nuire
La "passion " - un homicide intentionnel
sans intention de nuire - commis en réponse
à une provocation légalement adéquate.
MPC DIFFÉRENCES
Imprudent - contrairement à
l'infraction d'imprudence, ici le
comportement, bien qu'imprudent, ne
manifeste pas une indifférence
extrême à l'égard de la valeur de la vie
humaine.

MS involontaire - meurtre involontaire sans OU

intention de nuire ou de faire du mal.
"Homicide involontaire" - meurtre Perturbation mentale ou émotionnelle
involontaire survenu lors de la commission extrême (EMED)
d'un acte illégal.

3. HOMICIDE PAR NÉGLIGENCE

DROIT COMMUN MPC DIFFÉRENCES
Aucun Homicide par négligence criminelle au Équivalent à la sclérose en
troisième degré plaques involontaire en vertu
de la common law

B. INCHOATIF
1. TENTATIVE - acte visant à provoquer certaines conséquences qui, en droit, constitueraient un délit.
DROIT COMMUN MPC DIFFÉRENCES
Mens Rea - Mens Rea - (1099) CL - Les tests Actus Reus sont
Pour la Tentative, D doit avoir une intention D doit avoir l'intention délibérée de spécifiques au jxd
spécifique 1. Faire l'acte
- l'intention d'accomplir un acte ou de le 2. Obtenir le résultat
réaliser 3. Dans les mêmes circonstances Dans la plupart des États, il n'y
certaines conséquences qui, en droit, a pas de tentative d'assassinat
seraient La mens rea pour la tentative est en cas de crime.
constituent un délit souvent plus élevée que celle requise

Crimes par négligence ou par imprudence -
La tentative de commettre un crime est
logiquement impossible.
Règle de la fusion: La tentative se confond
avec le crime accompli.
Actus Reus - Tests
Test de proximité - mesure la tentative en
fonction de la distance physique et
dangereuse qui sépare D de l'acte criminel.
Désistance probable - Si le comportement
de D va au-delà de celui d'une personne
raisonnable dans une situation similaire, il
est probablement responsable de la tentative.
Non équivoque (res ipsa loquitur ) - Test
objectif de tentative. Un acte ne constitue
une tentative que s'il montre clairement
l'intention de l'auteur de l'infraction de
commettre l'infraction. L'acte ne constitue
une tentative que s'il montre clairement
l'intention de l'auteur de commettre
l'infraction. L'acte "parle de lui-même"
Dernier acte de proximité - D doit avoir fait
tout sauf le dernier acte nécessaire à
l'accomplissement de l'infraction. (Ce test
pourrait ne pas prendre en compte un grand
nombre de tentatives)
La tentative est une infraction moins grave
que l'infraction visée.
a. DÉFENSES
DROIT COMMUN
Impossibilité juridique: D a pris toutes les
mesures, mais celles-ci ne pouvaient pas
aboutir à un délit.
Traditionnellement : PAS DE DÉFENSE
Point de vue moderne: L'abandon est un
moyen de défense, s'il est complet et
volontaire.
PAS DE DÉFENSE
L'impossibilité factuelle n'est pas une
défense : D a pris toutes les mesures
nécessaires pour commettre le crime mais, en
raison d'un fait manquant, le crime a été
contrecarré.
Point de vue traditionnel: L'abandon n 'est
jamais une défense.
2. CONSPIRATION
DROIT COMMUN
Éléments :
pour l'infraction visée. En règle
générale, la mens rea requise est
l'intention.
Actus Reus - (1099 ex. de conduite)
- D doit effectuer une démarche
substantielle
à commettre le crime.
- Le comportement de D doit être
corroboré par les éléments suivants
L'objectif de D.
La tentative est classée en fonction de
l'infraction la plus grave qui a été
tentée, à l'exception d'une tentative
d'infraction au premier degré qui est
considérée comme une tentative au
second degré.
La règle des fusions s'applique
MPC DIFFÉRENCES
L'abandon est un moyen de défense,
s'il est volontaire et complet
(manifestant un renoncement à
l'objectif criminel, et pas seulement un
report).
Moyen de défense contre les
infractions imaginaires 5.01(1)(a)
Lorsque l'acteur croit à tort que le
comportement qu'il entend adopter
constitue une infraction.
Impossibilité inhérente Défense
5.05(2)
Il n'y a pas de possibilité qu'un délit se
produise réellement du fait du
comportement de D.
MPC DIFFÉRENCES
Actus Reus MPC - la connaissance ne
 1. Un accord entre 2 ou plusieurs
personnes
2. avec l'intention de convenir
3. et l'intention d'atteindre l'objectif
Exigence de pluralité - accord bilatéral - un
point de vue objectif.
Exception: La règle de Wharton : La
responsabilité pour conspiration est exclue
lorsque l'acte criminel lui-même nécessite
plus d'une personne.
Hub And Spoke (un centre commun avec
des sous-groupes raisonnablement
indépendants) ou
Relation en chaîne (une série d'accords qui
sont tous considérés comme faisant partie
d'un seul programme plus vaste)
Actus Reus : Formation du groupe, pas
d'acte manifeste
Objet de l'assemblée générale - il suffit
qu'elle soit illégale ou injustifiée.
Nature de l'accord - ne nécessite pas de
preuve objective de l'accord ; principalement
de nature mentale ; son action concertée, sa
conversation et sa conduite.
Accord unilatéral (vision subjective)
et acte manifeste
Acte manifeste - Aucun acte manifeste
n'est requis pour les crimes graves (1er
ou2e degré), mais il est requis pour
toutes les autres infractions. Il doit
s'agir d'un acte, aussi insignifiant ou
innocent soit-il.
Objet de l'accord - acte criminel
Fusion - fusionne avec le crime , à
moins qu'il n'y ait d'autres crimes
conspiratoires à réaliser.
Mens Rea (1101 )
Le but de promouvoir ou de faciliter la
commission de l'infraction.
Les tribunaux sont libres de décider si
la finalité s'applique à tous les
éléments de l'infraction ou seulement
au résultat.
La simple connaissance n'est
généralement pas suffisante, mais elle
peut l'être lorsqu'elle est associée à un
intérêt dans le succès de l'objet du
crime.
suffit pas. CL - la
connaissance et l'accord
d'assistance peuvent suffire.
Les PPM sont unilatéraux.
CL s'en sort  si l'Etat ne peut
pas prouver qu'il y avait une
autre personne avec la mens
rea requise.
L'exigence d'un acte manifeste
n'existe que dans les PPM.
MPC fusionne et CL ne
fusionne pas.
Le MPC rejette la doctrine
Pinkerton.
La preuve par ouï-dire peut
être apportée pour prouver la
conspiration, mais pas
l'infraction principale.

Pas de fusion- ne se confond pas avec une
tentative d'infraction ou avec l'infraction
commise.
Mens Rea
Nécessite une intention spécifique
(intentionnelle) avec:
1. l' intention de s'entendre (peut être
déduite du comportement, mais pas de la
simple connaissance)
2. l'intention de commettre l'infraction
visée.
Punition - la punition est la même
pour la conspiration que pour l'objet
du crime dans tous les cas, sauf les
crimesdu premier degré.
La doctrine Pinkerton est rejetée - si
la conspiration va au-delà de l'objectif
visé, une personne n'est pas coupable
d'un crime prévisible à moins que l'on
puisse dire qu'elle a aidé et encouragé
à le commettre.

Certains tribunaux autorisent la

condamnation si la deuxième mens rea (en ce
qui concerne l'objet du crime) est simplement
la connaissance. (SITUATIONS
PARTICULIÈRES UNIQUEMENT)

Punition - accusée comme l'infraction

substantielle qui est conspirée pour produire.

Test de Pinkerton - tous les membres d'une

conspiration peuvent être tenus pour
complices de tout crime commis dans le
cadre de la conspiration et de tout résultat
prévisible de celle-ci. La responsabilité est
engagée même si le co-conspirateur n'a pas
aidé l'auteur de l'infraction.
 a. DÉFENSES
DROIT COMMUN
Barbri déclare que le retrait n'est pas une
défense de droit commun
L'abandon, à moins que l'infraction ne soit
terminée (une fois qu'il y a un accord),
l'abandon n'est pas un moyen de défense.
Peut dégager la responsabilité pour les
crimes futurs des anciens conspirateurs.
C. COMPLICITÉ
1. COMPLICE - Un complice est une personne qui aide intentionnellement une autre personne à adopter un comportement
qui constitue l'infraction.
DROIT COMMUN
Les types
Pour être inculpé, le principal doit avoir
commis l'infraction
La responsabilité du complice ne peut être
engagée qu'après la condamnation du
complice.
Complice avant les faits - incite ou
encourage mais n'est pas présent au moment
du crime.
Complice après les faits - si vous aidez un
auteur après avoir commis un crime, vous
pouvez être tenu pour responsable si
- vous savez que l'infraction a été
commise
engagés, et
- aider personnellement un criminel à
entraver
son arrestation ou sa punition
Actus reus
DOIT aider l'auteur à commettre l'infraction
**la complicité n'est pas nécessairement
nécessaire pour mener à bien l'infraction
**Peut consister en un simple
encouragement
La complicité est toute aide significative
apportée à la commission d'une infraction.
Incitation - encouragement, même s'il n'est
pas accompagné d'une aide physique.
Mens rea
Ce qui est nécessaire pour commettre
l'infraction visée
Avoir l'intention d'agir pour aider ou
encourager la réalisation de l'acte criminel
Généralement, ce deuxième élément peut
être déduit du premier.
MPC
Abandon, si le conspirateur renonce à
son objectif criminel et contrecarre le
succès de la conspiration dans des
circonstances démontrant un
renoncement complet et volontaire à
l'intention criminelle.
MPC
Les types
Complice - incite ou encourage avec
l'intention requise avant ou pendant la
commission de l'infraction.
Mens Rea
Favorise ou facilite délibérément la
commission d'un délit.
Actus Reus
- doit tenter ou accepter d'aider
auteur
- Doit agir avec une culpabilité
suffisante
pour la commission de l'infraction
DIFFÉRENCES
DIFFÉRENCES
MPC - Ceux qui acceptent
d'aider ou tentent d'aider mais
n'aident pas réellement sont
également responsables.
CPM - le complice peut être
condamné même si l'auteur n'a
pas encore été poursuivi, s'il a
été condamné pour un crime
moins grave, s'il a été acquitté
ou s'il simule.
MPC - le fait de savoir que l'on
facilite les choses ne suffit pas
à établir la responsabilité. Une
victime ne peut pas être
complice.
CL - Si l'auteur est justifié, il
n'y a pas de responsabilité du
complice car il n'y a pas de
crime.
CL- les excuses ne passent pas
de l'auteur à son complice
Une victime complice (fille
mineure dans le cas d'un
détournement de mineur) ne
peut pas être complice, sauf
exception législative.
La facilitation consciente ou
inconsciente suffit à établir la
complicité dans certaines
juridictions.
.
 Le complice est responsable de tous les
crimes qui sont le résultat raisonnablement
prévisible du crime envisagé.

a. DÉFENSES
DROIT COMMUN MPC DIFFÉRENCES
Retrait Retrait
- Doit avoir lieu avant que les événements ne - Privation totale de son assistance
soient préalable
imparable d'efficacité,
- Inciter(encourager) - communiquer une - Avertir en temps utile de l'existence
renonciation au crime par l'auteur de du plan
l'infraction aux forces de l'ordre
- Complicité - Doit fournir l'assistance  - S'efforcer de prévenir la
a donné inefficace la commission de l'infraction

D. VIOL
DROIT COMMUN MPC DIFFÉRENCES
Éléments du viol : MPC 213.1, p. 1124 Les tendances modernes sont
- Forçage très différentes du CL et du
- Pénétration d'une femme par un Définit le viol comme étant commis MPC :
homme par un homme sur une victime de sexe - Termes neutres
- Contre la volonté de V féminin reconnaître le viol n'est pas
doit être par l'homme /
Les alternatives à la force sont autorisées : La force est nécessaire : Plus que des contre l'homme
- Fraude à un tel degré que la femme non rapports sexuels ? femelle
plus : - Une vision plus large de la
- ne savait pas qu'elle avait des rapports Une croyance raisonnable erronée en coercition,
sexuels matière de consentement peut se concentre sur l'absence de
- ne savait pas que les rapports sexuels constituer une défense consentement
n'étaient pas w/ au lieu de la force
Mari MPC 213.6, pg 1126-7 - N'exigent qu'une résistance
(1) l'erreur d'âge n'est pas une verbale
Un mari incapable de violer sa femme défense - Suppression des exemptions
- La principale préoccupation était de (2) interdit le viol entre mari et maritales
protéger l'honneur de la femme - Augmentation de l'âge légal
mari/père (3) la promiscuité de la victime - Aucune corroboration n'est
comme moyen de défense requise
L'état mental de D n'est pas pertinent (4) la plainte doit être déposée - Pas de jury d'avertissement
La perception par Ds de l'état mental de dans les 3 mois instructions
Vs n'est pas pertinente (5) nécessite un témoignage - Lois sur le bouclier anti-
corroborant viol : V's
Preuve admissible : les antécédents sexuels ne
- Retard dans le signalement de Enfants de moins de 10 ans sont plus
l'infraction par la victime présumés non consentants recevable, à moins qu'il n'y
- Certains Jdxn nécessitent une ait eu au préalable
corroboration l'histoire est entre V et D
- Comportement sexuel antérieur
(prostituées La criminalité moderne est :
incapable d'être violée 1. Crime de violence
2. Criminalité sexuelle, et
Instruction préjudiciable au jury : Le viol 3. Atteinte à la vie privée
est facile à inculper et difficile à prouver, il
faut donc l'examiner de près.

Peine : peine de mort jusqu'en 1977

- viole le 8e amendement cruel et
inhabituel

Enfants de moins de 10 ans présumés non

consentants
E. VOL
DROIT COMMUN
Divisé en plusieurs crimes de CL :
1. Larcin
2. Détournement de fonds
3. Faux-semblants
Larcin :
Actus Reus
(1) Prise d'effraction: D prend
possession des biens personnels de
une autre personne sans son
consentement ou en son absence
de la justification
- Possession: une personne possède
suffisamment
le contrôle du bien pour l'utiliser
dans
de manière illimitée
- Garde: la personne a le droit de
mais ne dispose pas d'un pouvoir de
décision illimité.
droits d'utilisation
- "Violation continue" : même si le
La prise initiale était consensuelle,
dès que
au fur et à mesure que l'intention de
l'acteur change,
certains tribunaux ont estimé que
l'intrusion
commence à ce point
(2) Emporter : Tout mouvement de
le bien remplit les conditions requises
(3 ) Sur les biens personnels d'autrui :
- Le titre n'est pas pertinent,
- Seuls les biens personnels sont
éligibles, et non
les biens immobiliers,
- Les biens incorporels sont couverts
par
différentes lois
- Si vous donnez votre bien à
quelqu'un pour la réparation, vous
avez donné
leur possession légale
Mens Rea
(1) Intention de priver l'autre de façon
permanente
de la propriété
(2) Doit être d'accord avec la prise
(3) La théorie de l'"intrusion continue"
peut
surmonter l'exigence de l'accord b/c
un nouveau prélèvement "par
effraction" est
fabriqué pour approuver l'intention
Détournement de fonds :
(1) Prise de possession
(2) des biens personnels
(3) Légalement confiés à D
(4) et D le transforme pour son propre
MPC DIFFÉRENCES
Vol par enlèvement illégal 223.2, pg MPC: si vous enlevez quelque
1132 chose attaché à la terre
- Prise illégale de la propriété d'autrui d'autrui, il s'agit d'un vol.
les biens meubles ou immeubles
- La Rea Mens est la même que la CL : si vous enlevez quelque
CL : chose attaché à la terre
volontaire d'autrui, ce n'est pas du vol,
c'est un délit.
Vol par tromperie 223.3, 1132
- Similaire à CL faux semblants CPM : la distinction entre la
- s'approprier délibérément les biens possession et la garde est
d'autrui supprimée ; si vous exercez un
par tromperie contrôle illégal sur un bien,
- la tromperie doit être délibérée vous êtes coupable.
- ne comprend pas le fait de souffler
ou de Le MPC reconnaît le vol de
erreurs immatérielles biens non matériels
- obtenir signifie réaliser un transfert (Services)
d'un intérêt juridique dans le bien
Le MPC reconnaît qu'un vol
Vol de biens perdus, égarés ou livrés peut se produire même si l'on
par erreur 223.5, 1133 n'emporte pas le bien.
- celui qui prend le contrôle de
Les biens qu'il connaît ont été
perdus,
égaré ou livré par erreur
- dans le but de priver TO, il
ne prend pas de mesures
raisonnables pour
rétablir la propriété du TO
Vol de services 223.7, 1134
- celui qui obtient délibérément des
services
par la tromperie ou la menace ou par
de fausses
jeton ou autre moyen d'éviter
le paiement du service.
- doit savoir que les services sont
généralement
compensé
- où le paiement est généralement
immédiat (hôtels, restaurants)
hommes
rea est présumée
- une personne qui détourne
sciemment
des services à son propre profit pour
lesquels
il n'a pas le droit a commis un vol
 usage
- Commun avec la criminalité financière et le
transport maritime
Cas
- La différence est très mince entre le vol et
l'abus de confiance.
Détournement de fonds

Faux-semblants :
(1) L'acteur transfère le titre
(2) Dans la propriété d'autrui
(3) A l'acteur
- Il s'agit généralement d'une fraude ou
d'une fausse déclaration.
- Ex : utiliser de la fausse monnaie pour
acheter de l'essence ou des produits
d'épicerie

VI. DÉFENSES
A. JUSTIFICATION - conduite qui est par ailleurs criminelle, mais qui est ici soit "juste", soit "pas mal", compte tenu des
circonstances.
1. JUSTIFICATION DE LA FORCE DÉFENSIVE
DROIT COMMUN
Une personne est en droit d'utiliser la force
contre une autre :
- il n'est pas un agresseur
- il croit raisonnablement que la force est
nécessaire
- protéger contre l'utilisation imminente de
force illégale/agressive exercée par une
autre personne
Retraite requise (minorité d'États)
- doit pouvoir se retirer en toute sécurité
- la personne doit connaître l'existence d'un
lieu de sécurité
- La "règle du château" est une exception : il
n'est pas nécessaire de
quitter son domicile
Nécessité d'une menace imminente
- danger clair et imminent
- seule l'action permet d'éviter le
danger
- pas d'alternative efficace
- doit avoir les mains propres
- le préjudice causé est inférieur au
préjudice
évité
Force meurtrière : Uniquement autorisée
lorsque la vie est menacée
- nécessite de se retirer dans un lieu
public
- jamais autorisé en cas d'arrestation
illégale
MPC
Autodéfense, 3.04, pg1085
(1) Une personne est en droit d'utiliser
la force défensive si :
- l'acteur croit
- cette force est immédiatement
nécessaire
- dans le but de se protéger
- à cette occasion
(2) Si vous savez que vous pouvez
battre en retraite, la force meurtrière
n'est pas envisageable.
(2)(b) La force meurtrière est justifiée
en cas de menace de mort, de SBH, de
viol forcé ou d'enlèvement.
Défense d'autrui 3.05, pg 1086
- Essentiellement la même
chose que pour le CL
Défense des biens 3.06, pg 1087
- Recours à la force uniquement
après avoir demandé à l'acteur de
s'abstenir, si possible
- La force meurtrière peut être
utilisée même lorsque la vie n'est pas
menacée
DIFFÉRENCES
Le MPC s'intéresse à la
conviction subjective de
l'accusé, qui n'a pas besoin
d'être raisonnable.
Le MPC remplace l'imminence
par l'expression
"immédiatement nécessaire",
de sorte qu'il est possible de
recourir à la force plus tôt en
vertu du CL.
MPC - la force meurtrière est
plus large que le CL - celui qui
agit dans le but de causer la
mort ou des coups et blessures
est qualifié.
En CL, la force qui n'est pas
susceptible de causer la mort
ou le SBH n'est pas une force
mortelle, même si l'objectif de
l'agent était de tuer. L'objectif
de l'agent était de tuer.

Défense des biens :

- pas plus de force qu'il n'y paraît
raisonnablement
 nécessaire pour la défense du droit de
propriété
- la force meurtrière n'est JAMAIS autorisée
- Les premières CL autorisaient l'usage de la
force meurtrière à domicile, désormais
seulement si le procureur croit
raisonnablement que des vies sont en danger.

Défense d'autres personnes

- La force mortelle n'est pas disponible si la
personne défendue est capable de maîtriser
l'attaquant ou de battre en retraite.
- Inversement, si la force meurtrière est
justifiée, mais que vous êtes capable de
maîtriser, vous devez maîtriser
2. DÉFENSE CONTRE LES MOINDRES MAUX
DROIT COMMUN
 est justifié s'il croit raisonnablement qu'il
évite le plus grand mal et :
(1) le dommage est imminent
(2) le préjudice causé est
proportionnellement MOINS
important que le préjudice évité
(nécessite une preuve)
Il ne doit pas y avoir d'alternative.
 n'a peut-être pas créé la nécessité.
 ne peut jamais prendre la vie innocente
d'un autre par nécessité.
se ne s'applique que lorsqu'une force
naturelle a créé la nécessité.
(Traditionnellement, cependant, après l'arrêt
MPC, la plupart des juridictions de la CL ont
adopté une approche plus large).
MPC
L'action était-elle nécessaire pour
éviter un dommage ou un mal plus
grand ?
Choix des maux 3.02, pg 1084
- Conduite jugée nécessaire pour
éviter le mal ou le préjudice
- Le préjudice que l'on cherche à
prévenir est
plus important que le préjudice
causé
- Si l'acteur a commis une
imprudence ou une négligence
a provoqué le dommage évité, et que
le dommage causé a une mens rea
d'insouciance ou de négligence, alors
la justification disparaît.
DIFFÉRENCES
Les PPM n'ont pas d'obligation
d'immédiateté.
MPC si  s'il l'a causée
accidentellement, il peut
toujours invoquer la nécessité,
mais s'il l'a créée par
imprudence ou négligence, il
peut être tenu pour responsable
des délits d'imprudence et de
négligence.
Le MPC autorise dans les cas
où une force naturelle n'a pas
créé la nécessité.

3. JUSTIFICATION DE L'AUTORITÉ PUBLIQUE

DROIT COMMUN
Objectif: protéger un intérêt sociétal ou
faire progresser un bien sociétal par une
personne ayant autorité.
La justification naît là où il y en a une :
- Autorisation spéciale, plus
- L'évocation des conditions permet
- Force nécessaire
Exceptions à l'obligation d'autorisation :
- toutes les personnes sont autorisées à
utiliser la force pour
prévenir le suicide
- autorisation de recourir à la force contre
une personne
s'apprête à commettre ou vient de
commettre un
crime (dans certaines circonstances)
MPC DIFFÉRENCES
Autorité publique 3.08, pg 1091
La force est justifiée dans les cas
suivants
- parent/tuteur
- enseignant ou autre personne à qui
l'on a confié la garde d'un enfant
- tuteur d'une personne incapable
- médecin ou thérapeute
- Gardien ou autre fonctionnaire
- Responsable de la sécurité du
navire
- une personne autorisée par la loi à
maintenir
commande

Conditions d'évocation
- la menace de préjudice n'est pas
nécessaire
 - chaque fois qu'un intérêt reconnu est
en danger, ou
- l'occasion d'approfondir un intérêt est
Présenté
Force nécessaire et proportionnalité
- doit utiliser le comportement le
moins préjudiciable
- Agir à "bon escient"
- Il n'est pas nécessaire d'être
absolument indispensable
- généralement limitée par la loi
B. EXCUSE - comportement fautif, mais dans les circonstances, D n'est pas moralement coupable ou blâmable.
1. CONTRAINTE
DROIT COMMUN
L'acteur doit être soumis à la coercition,
agir sous la contrainte et avoir les mains
propres.
Il ne s'agit pas d'une défense en cas
d'homicide.
Une défense si l'exécution d'un acte
autrement criminel a lieu
1) Sous la menace d'une exécution
imminente de la mort ou de coups et
blessures
2) S'il croit raisonnablement que la mort ou
des coups et blessures seront infligés à lui-
même ou à sa famille immédiate s'il ne
s'exécute pas.
L'acte est qualifié d'excusable plutôt que de
justifiable.
2. INSANITÉ - EXCUSE DE L'INCAPACITÉ
DROIT COMMUN
Soit :
1. L'acteur est conscient du
comportement, mais ne sait pas qu'il
est criminel (Dieu m'a dit de le
faire).
2. L'acteur sait que son comportement
est criminel, mais n'a pas la capacité
de le contrôler. (Dieu m'a dit de le
faire)
Nécessité d'une maladie ou d'une
déficience mentale
MPC DIFFÉRENCES
MPC 2.09, p. 1082 Le MPC abandonne les
exigences de la CL en matière
(1) La contrainte est une défense de force meurtrière et
affirmative : d'imminence en faveur d'une
- D a été contraint de commettre excuse  chaque fois qu'une
l'infraction personne raisonnablement
- une personne d'une fermeté ferme aurait également cédé à
raisonnable la coercition ;
n'aurait pas pu résister
(2) La défense n'est pas disponible si Le MPC est d'application
D a inséré générale et peut être utilisé
se mettre en situation de manière dans les affaires de meurtre.
imprudente ou
par négligence La CPM n'exige pas que la
partie menacée soit un membre
de la famille. soit un membre
de la famille.
Le MPC est similaire au CL
dans la mesure où il est limité
aux menaces ou à l'utilisation
d'une force illégale et ne
s'applique pas à la coercition
par des sources naturelles.
MPC DIFFÉRENCES
MPC 4.01
Capacité substantielle - Si, au
moment de l'action, en raison d'une
déficience mentale ou d'un handicap,
D n'avait pas la capacité substantielle.
- apprécier la criminalité d'un
comportement
- ou de se conformer à la loi
Ne comprend pas l'anomalie qui se
manifeste par un comportement
criminel ou antisocial répété.
Subnormalité: Souffre d'une faible
intelligence, nécessite le même
dysfonctionnement cognitif
3. ERREUR
a. DE FAIT
DROIT COMMUN
Ce n'est pas une défense contre un crime de
responsabilité stricte
La défense fondée sur l'erreur honnête est
disponible pour les crimes à intention
spécifique (moins stricte que l'erreur
raisonnable).
La défense fondée sur l'erreur raisonnable est
disponible pour les délits d'intention générale
(loi codifiée du New Jersey).
b. DE DROIT
DROIT COMMUN
L'ignorance de la loi n'est pas une excuse
Exceptions - l'erreur doit être raisonnable et
honnête.
- Absence de notification/publication
raisonnable
- Spécification dans la loi que la
connaissance de
est nécessaire.
4. INTOXICATION
DROIT COMMUN
L'intoxication résulte de la prise d'une
substance intoxicante :
1. Sans connaissance de sa nature
2. Sous la contrainte directe d'une autre
personne ou
3. Conformément à l'avis d'un médecin, sans
être conscient de l'effet intoxicant de la
substance.
L'acteur n'a pas la capacité substantielle
d'apprécier la criminalité de son
comportement ou de se conformer aux
exigences de la loi.
5. IMMATURITÉ
DROIT COMMUN
Tous ceux qui n'ont pas atteint un certain âge
MPC DIFFÉRENCES
MPC 2.04(1)(a)(b), pg 1078  vole des diamants en croyant
qu'il s'agit de verre - MPC 
Doit nier l'état mental requis pour larcin ; CL  vol qualifié.
établir l'un des éléments de
l'infraction.  vole du verre en croyant qu'il
s'agit de diamants, MPC  vol
Si l'erreur a causé une infraction plus à l'étalage et tentative de vol à
grave que ce que l'acteur pensait l'étalage et CL  vol qualifié
initialement, l'erreur ne le fait pas et tentative de vol qualifié.
disparaître, mais lui permet de
commettre une infraction moins grave. MPC - Regarder le monde à
travers les yeux du d'une
manière factuelle (et non
juridique).
MPC/CL - Aucune erreur n'est
tolérée dans le cadre de la
responsabilité objective.
MPC DIFFÉRENCES
MPC 2.04(3)(a)(b) pg 1078 Les approches CL et MPC sont
similaires. En général, sauf
Exceptions à la règle générale : exception reconnue,
- Spécification dans la loi que l'ignorance de la loi ne
la connaissance du droit est requise. constitue pas une défense.
- Recours à la déclaration officielle
- Pas de notification raisonnable/ Le MPC codifie la doctrine de
Édition la confiance raisonnable du
CL.
Lorsque l'erreur est fondée sur
l'autorisation d'un fonctionnaire, le
défendeur doit prouver par
prépondérance de la preuve que le
fonctionnaire avait le pouvoir
d'approuver l'action.
MPC DIFFÉRENCES
MPC 2.08, p. 1082
L'intoxication ne peut être invoquée
comme moyen de défense que si
- elle n'est pas auto-induite
(involontaire)
- est pathologique (excessif, pas
alcoolique)
Dans ces circonstances, l'intoxication
doit entraîner un manque de capacité
substantielle à.. :
- apprécier la criminalité
- se conformer à la loi
MPC DIFFÉRENCES
MPC 4.10, p. 1098
sont immatures
La défense est totalement interdite, quel que
soit l'âge "mental" de l'acteur.
Certains États prévoient que l'immaturité est
une présomption réfutable, c'est-à-dire que
vous pouvez inculper un mineur en tant
qu'adulte si vous pouvez le prouver.
Ce n'est pas une question pour le jury : il en
résulte la détermination de la juridiction
saisie de l'affaire
Prévoit que le tribunal des mineurs est
exclusivement compétent pour les
enfants de moins de 16 ans.
Les enfants de 16 ou 17 ans peuvent
être jugés comme des adultes
uniquement lorsque le tribunal de la
jeunesse n'est pas compétent ou qu'il a
renoncé à sa compétence.