Professional Documents
Culture Documents
Electromagnetism e
Electromagnetism e
a_ (point extérieur, comme sur a figure), la charge contenue AVintéieur de E est Q= pa" h @- PEEK anyheo): ton B= Pe don E=P" pour r>a Der" 5 + Par definition » a= SHEE Tongueur ‘Une longueur fi de fi oceupe un volume V=r a het content ‘une charge Q= pat het done 2= pr at Diot a a ner Lorsque tend vers 260 A constant, Ie champ a V'exté- ricur garde la méme expression. Le champ au niveau de la surface tend vers Tintin, Remargues + Le cas limite du fl infiniment fin (filiforme) correspond & une densité volumique infnie et @ un champ infni au niveau du fi + Pour ce cas limite, on peut calculer directement le champ en éerivant que ta charge contenue @ intériewr de E est égale aan 4+ Connaissant £(y) , on peut déterminer Vip) par intégra- tion Ve & E=-gadv Te cane ee) ar +0 sirca et Remargue : L'expression de V montre bien qu'il est impos- sible de choisir la constante dintégration par ta condition V=0 pour r infini, car ily a des charges a infin (On peut choisit ry=a pour « simplifier » Pexpression de V. '5 ++ Les symétres sont identiques, ainsi que I'expression du flux en fonction de E(), + Si r-a (point extéricur), la charge comtene &I'intéieur de E est Q=o2nah et i vi reins Phe MPSLSL SE On retrouve done E = Tear 74 Le potentiel garde la méme expression &I'extrieu, et il est ‘uniforme (champ nul) & 'intérieur ct La encore on peut choisir ry =a sil'on veut © charges uniformément réparties entre deux plans paralléles 11 Tout planparaltle Al'axe Qs et passant par Mest plan de syméire pou les charges. Zest donc paralte 8 2. Le syste ex iavasant par toute taaslation parle 7, ‘wa ¢,. Onen conclut que E = E(2) @, 2eLe plan 2=0 ext plan de symétrie. Si M et M’ sont deux points de cotes 2 et -z, F (M')est symétrique de E (Wf soit E(-2) =—E(2). E(2) est done une fonction impai reel on limite les calls au cas 2>0 3°E est uniforme sur toute surface orthogonale a, . On choisit done comme surface de Gauss un eylinde de base conthogonale 4 . passant par le point MF de cote = et le point M” de cote =2.Le fux de E a taversJapanie de 2 «qui ost paralee A 7, ext ul, et es ux de E travers les deux bases sont égaux 2 5 £() Be, + Premitre expression du flux ©=2E()§ (pour :>0) ooCORRIGES (1) Distributions, champ et potentiel électrostatiques seas 2> £ 2 Ie eine Soup dans I ze charéc une «rode » abe S eta tpeser €. La chao ntene 1 Z ert deus evi ete caren aero ones En égalant les deux expressions de @, on obtient + Cas00) La charge inteme & $ est done Q= 2 p$2 La deuxitme expression du flux est done 2psz = (pour z>0) En égalant les deux expressions de® on obient Eo Lez, Les valeurs de E(2) pour = <0 se déduisent de EG2)=-EQ) Conclusion {e champ st bien drgé our o>r>-£ puisque 2 y est négatif) Le potentels'obtient par intégration de (2) av (2) est une primitive de — E(2) , On obtient Perc are 26, B= galv, done Et B Cy * te et Cy (On peut faire le choix de C; = 0 pour « simpliier», 5 « Par définition Une rondelle date Sa ‘utlace tun volume V= Se, et renferme une charge Q= pe. On cen déduit = pe. Le champ s'exprime alors par Le champ & Pextérieur qui ne dépend que de o reste inchangé lorsque ¢ tend vers 7610, A la limite (e = 0) le ‘champ subit, la taversée du plan z= 0, une discontinuité © amplitude & caer mae pde Leplandecote 2, erge un champ 28 en 2 > 2, un cham Pl oa — Bt ae <1, dows 2% pou :>£ Bon [Oe Be oe £ pou Sere zeo=[ Oe ("ol = oe Jn teh 24 ee ‘cep on erste aneSeries han pete Scents (4 CO pou -£>3 Fe) (p-& ba 2g 24 26 @ Champ créé par une sphére chargée en volume ‘Te Le systtme de coordonnées adaplé est un aystéme de coordonnées sphériques (r, 8, 9) ‘Tout plan contenant le centre O est plan de symétrie; en M le plan deta fuille ZZ, 2) est plan de syméti ainsi que le plan (M, 2); E est done radial : E(M) = Ez, Le systéme est invariant par rotation autour de tout axe pas- sant par OE est donc indépendant de 6 et de 9 Le champ électrique est done dela forme = Er) 2, ae E, = + si r>a (point extéieur, comme sur le schéma),la charge contenue a 'intérieur de Z est la charge totale Q 2 & A Yextérieur dune distribution & symétrie sphérique, Je champ électrique est quivalent au champ ex6é par une char ‘ge ponctuelle sige au cenire dela distribution. oa Fae Faeyr 13 + Sila densité volumique de charge ext uiforme, Q() es roporsonnelle au volume de la sphire de rayon + it 20-0 pour ra crngle B= Pai pour r> Le potentiel s‘obtient par inégration du champ B=— gad V. done By) =-¥ dr Si r> a avec V0 pour >>, la constante d'intégration Q estnulle et V= sae V Gree Le champ restant fini (et continu), VP) est continue ena, aoa c= 22 Brea E(y) est uniforme sur la sphize E de rayon r passant parle point Mf Lanormale 4 £, orientée vers extérieur de, se confond Liaire de est égale a4 er? Leffux de £ atravers 2 s'exprime done tes simplement en fonction de Er) P=4n PEO) Laut expression du flux @, obtenue par le théoréme de Gauss, est diflérente selon que le point M est & Vintérieur ‘ou 8 Iextérieur de la sphire charge: +i r a). En revanche, Q(7) est toujours nul a Vint sieur; d’00 Q 4neyr Q EI)=O et Vere (oniforme) si r R tout se passe comme sila charge totale de la sphire Gait en 0, soit: Ey) = —2 ane? Pour r R ()4ar=Q soit Bi) = —2— r pour r Bip dn = 0 Fy wit B= Rae r pour r< On pourra se reporter & L'exercice 10 (incontoumable) pour un caeul plus taille Bela panicle = 4 eotsounioo le frce ~ 9 Gata relate me] = 0) Cec es pole ae 2 Bas ue les deux points A et B existent. IL our a point existe done deux positions d’équilibre si Ey < —2— Trek Pour étudier la stabilité déterminons I'énergic potentielle de laparticule, E, =~ gV" 2 <-R:V=—Bgx~ 2 — Fy - 2 on prenant par Gree Taek cxcle V=0 en =i Re rc0:Ve be Oe Be oe pena nore V=0 on = at 7) eta svat Eneeflet,étudions les concavilés pour x en A et B rer Mens Oe ie ( ex Trak BV 22 D4 pour x<0 done la concavité est ae ng * av Ox AREER achant que E'= E+ E,, cela donne sur axe Ox -R 0. La position d’équilibre (stable) est celle du minimum é’éner- ie porentele ee teetecrent ee erence Wee evn ee 2-9 29 29a ra Greg? Fneyr® =H, fi 4-0 a done areguiine 2/¢ = 2 a ‘reg * Tar as 44) ost: i 4n6ir ‘Quand les deux ions sont infiniment éloignés Pun de ane £0 énergie de dissociation est énergie qu'il fant fours pour loignerinéfiniment les deux ions ot £2 0-Fyyg= OS soit en ev 28821.610"" orgy mal soit en KJ.mol-* x 1,610- x 6,02 108 = 506 kI.mol, La liaison ionique étant la plus forte on a le bon ordre de gran eur, 37Le champ magnétique permanent ee + Maitriser étude des symétries et invariances d'une distribution de courants. bon escient, la loi de Biot et Savart ou le théoréme d’Ampére. + Etude du champ magnétique vu dans le secondaire. + Construction du symétrique d’un vecteur, + Opérations de symeétrie, + Produit vectoriel + Dérivation — Intégration, «Loi de Biot et Savart La contibuton au champ magnétique en M d'un élément de courant 147 situéen P est dome, en régime permanent at ao de Biot et Savant i by 18s PAL (any = Cry = TH vecteur unitate dinigé de P 80 = pap Go pug es nin ieé de 1 > Le coefficient uy vaut exactement sig = 4 n10-? Hm! (H désigne di Je henry, unité inductance). “om Leunité de champ magnétique est le tesla (ymbole:T) # Les 3 vecteurs dé, én, dB forment done un tritdre direct, doen, + Le champ magnétique terreste est de V'ondre de 10°. ™ «Symétries du champ magnétostatique ‘ Une transformation, qui laisse invariant le systéme de courants, laisse également invariant le champ magnétique . # Un plan 17 qui est plan de symétre pour les courants est plan d’antisymétvie pour le champ au point M’ symétique de M par rapport au plan JT, le champ magnétique (0?) est opposé au symétrique du champ (MM); =le champ magnétique # est perpendiculaire & IT en chacun de ses points ote Li tpn Eee pone Phsge MPSLPCSLETSE ‘pce sen cto ceLe champ magnétique permanent BS a Int se Unplan 17* quies plan &antisyméie pour es courant et plan desymetrie pour le champ au point Y°symétiqye de Mf parrapport au plan 17°, leckamp mapeétigue Bi) est égal au symétique du champ B+ “Te champ magnétique H est conte dans 17* en chacun de ses pins B oo ™ ‘© Ces propriétés se résument en affirmant que Te champ magnétique est un objet tridimensionnel qui ales propriétés de symmétie d'un veeteur axial ou pseudo-vecteur Comme en électrostatique, ’analyse des symétries doit précéder tout calcul de champ ; elle peut per- mettre de prévoir la direction du champ ainsi que les coordonnées adaptées au systéme, «Flux magnétique ‘© Le flux du champ magnétique & travers une surface fermée est toujours mul ‘Le lux du champ magnétique garde la méme valeur A travers toutes les sections d'un méme tube de champ ; le champ magnétique est 8 ux conservatif. «Spires ‘© Le champ magnétique en un point de l'axe (02) d'une spite cixculaire (centre O , rayon R) a pour expression BoM) BO)sin’ Bal s 28 et i vi re ries Pha MSLSL SE |Le champ magnétique permanent + Soit un solénode infiniment ong, d'axe (02), comportant n_spires régulitrement séparies par anité de longueur, chacune ant parcoure par un courant d'intensité 1 =e champ magnétique sur 'axe (et 3 intrieur) vaut onl =e champ magnétique 8 extrieur de ce solénode ex B= Gavextériewr Solénoide infini portant n spires par unité de Tonguewr a Vintéviewr Best uniformect égal 0B = tm Te «Théoréme d’/Ampére + Soit un champ magnétostatique cxéé par une distribution de courants; la ctculation de ee champ sur une courbe fermée (ou contour) I” est égale Ala somme des courantsenlacés par J” multplige fis r HX Ieee Le signe des courants enlacés est déterminé relativement & orientation du contour Fen utilisant, ppar exemple, la « régle du tire-bouchon » ‘Alinsi dans la situation suivante soit # te champ magnétique er par ensemble des courant Ff sy $ bana, $ ‘© Contrairement au cas du champ électrostatique, les lignes de champ magnétique sont, en général, des courbes fermées qui tournent autour des courants qui cxéent le champ. ‘© Dans le cas particulier idéalisé de distributions infnies (solénoides, nappes planes, les lignes de B ne se referment qu’ V'infii, = 31). tate Lie Prine Eee et pttines Phy MPSLPCSLETSL ‘pace en trite ieLe champ magnétique permanent «Application au calcul d‘un champ magnétique ‘ Peéalablement a I'application du théoréme d Ampite, il faut étudier les syméteies et les invarian- ces de la distribution pour trouver un contour tel que le champ B Tui soit tangent ou perpendiculai- re ot de norme constante ‘© En particulier, le théoréme d’ Ampére permet d’établir expression du champ dans les cas fonds- ‘mentaux suivants fil rectligne infiniment long parcouru par un courant 1 ~solénoide de section queconqueinfniment ong, ave spits par unité de longueur B= yyn1é, entout pointimérieur; B =0 en tout point extérieu Conseils et pidges +f ext toujours & flux conservatif alos que E ne est que dans les régions vides de charges. *E désive dan potentel salir donc sa circulation sur un contour fermé est toujours nle. La circulation de B n'est lle que si aucun courant ne travers le contour + Les plas de syrtie des charges tansforment ea son symétrque; les plans de symére des ourantstransfrment Ben 'opposé de son symétrique * Les plans d’antisymétie des charges transforment en 'opposé de son symétiqe; le plans antisyméaie des courants tansforment B en son symtgoe iter ee i vi ure ries Phe MSL |4a2} @ orientation du champ magnétique Pour chacun des schémas suivants donner Iorentaton du champ magnétique aux points M,. Les courants sont tous de méme intensité ; les fils sont rectlignes et infinis. a) » ° 9 Test toujours plus astucieux de trouver un plan de symétrie de Ia distribution — Iorsqu’il existe ~ car alors la ditection est déterminge sans équivoque. Le ‘champ # appartenant aux plan d'antisymétrc, trou- ver un plan d’antisymétrie laisse une infinité de pos- sibilits pour l'orientation de B dans ce plan, 11 faut alors trouver un deuxitme plan d’antisymétrie pour fixer sans plus d’équivoque la direction du champ. Une fois a direction trouvée, il reste & déterminer le ‘sens de B. On peut alors faire appel Ala régle des 3 ddoigts, du tire-bouchon ou a la loi de Biot et Savast (On peut aussi se souvenir que le champ magnétique « senroule » autour des courants rectlignes infinis dans le sens direct si le courant est « sortant », dans Ie sens horaire sinon. Conseils Qo Lignes de champ magnétique créées par des fils rectilignes infinis Pour chacun des schémas suivants donner allure approximative des lignes du champ magnétique, Par convention le courant sorant est positif. Tous les courants cont méme intensité a) ») ® 2 2 @ ° 4) oe Li Hu Eee ponte Phsgue MPSLECSLPTSE ‘pce en mrt ean iEn tout point de espace se superposent les champs B que cxersemtchacon des fs pris islément(héo- © reme de superposition). Pras d'un fil, le champ cx66 parce fil est trés intense ccomparé aux autres : on peut donc ignorer la contei- bution des autres champs au champ résultant. Loin des fils, la distribution est équivalente & un seul fil traversé par la somme des courants de tous les fil. Entre ces deux domaines, le champ en un point donne Ia direction de Ia ligne de champ. Par ailleurs les lignes de champ obéissent aux mémes symétries que Ie champ bien évidemment, © analyse d'un champ Les quatre schemas repsésentent des lignes de champ ; on sai, de plus, que ces champs sont paralléles au plan des schémas et qu’ils sont invariants par translation perpendi- culate a ces schémas, Deux d’entse eux ne peuvent ére des lignes de champ magnétique; lesquels et pourquoi ? € » Lf SS ee i bv re ries Phe MSL Le champ magnétique permanent ® Quelle propriété vérifie Ie flux du champ magnétique A travers une surface fermée ? I suilit de trouver une surface pour laquelle cette pro- prigié nest pas vérifige pour que Ie champ ne soit pas tun champ magnétique. Quelles surfaces choisir, sachant que Ie champ est paralléle au schéma el invariant par translation per- pendiculaize au schéma ? Conseils © Analyse d’un champ magnétique Le schéna repésete les lignes du champ magnique cxté patois Als infsiment longs, perpendicalares a plan du schézn, parcours pares coats fh, Jef Par convention un courant dig ver le lecteur et pos. 41+ Détemine sas aucun clea le signe do fy fests etechiidelasomme I, 1: 2+ Quele est la valeur du champ H en A eten A°? 3-h|=1A. Cau use vlewr approche de I ede J 4+ On sait que le champ en M_vaut 0,01 T. Estimer le champ magnétique au point Ps 1. 7 1) Le sens du champ # est indiqué par les léches. ‘es spires somtsointives 3 On connait done le signe de la cizeulation de 8 sur es lignes de champ qui sont des courbes fermés exception de celles qui aboutissent & un point de champ nul. 2) Deux lignes de champ peuventelles se croiser ? La position des points de champ nul permet d’écrire tune équation vectorelle, soit deux équations. 11 faut pour cela connaitre l'expression du champ créé par un il infin 4) B est 3 flux conservatif. Considérer alors un tube de champ qui se referme sur deux sections passant «2 Les plans des N par P et M. Mesure surla figure la « largeur » des spifes sont équidistans sections en P et Met en déduire le champ en P Gpites non jointives) GE suivant (02), / © sphere recouverte de spires (oral) Une sphire de rayon R est recouverte d’un nombre élevé 1 de spires parcourues dans le méme sens par un courant d'intensité 1 . Calculer le champ magnétique ex6é par cette distribution de courants au centte Ode la sphere dans les deux cas suivants taht Lie Prine Eerie pottines Phyge MPSLPCSLETSL ‘pace on iste ieDans les deux cas il sagit de sommer les champs des B spires, Dans les deux cas, es spires se pats sr une demi-circontérence de longueur rR : quand on fait varier @ de O A on décrit bien Pensemble des spires, depuis celle de rayon nul au « péle Nord » celle de rayon nul au « péle Sud » en passant par celle de rayon R a 'équateur Ce qui change c'est le nombre de spires par unité de Tongueur (et leu épaisseur bien 6viderment): dans le IW easily a N spires jointives réparties sur une lon- gucur AR , dans le 2° cas ce sont les projections des spires sur axe Oz qui sont en quelque sorte jointi- Le champ dune spire est en sin'@ done il faut considérer le nombre de spires contenues entre. et 0+ dO, car elles contribuent également au champ fotal en O. Leur nombre est proportionnel a d0 de rmaniére immédiate dans le 1* cas, dans le 2° cas il s‘exprime en. dz, qu'on exprimera en fonction de 40. I ne teste plus alors qu'a intégrer de @=0 3 =n @© Disque de Rowland (oral) Henry Rowland, physicien américain, a réalisé en 1876 lune expérience qui a montré que le déplacement de char- ges électriques constituait bien un courant électrique sus- cepiile de eréer un champ magnétique Le principe, trés simplfié, de Vexpérience est expliqué ci- dessous. ‘1+ Un condensateur est constitué de deux disques métal- liques de rayon , ts proches un de T’autre. Sion impose une différence de potentiel U entre ces disques, dos charges électriques surfaciques apparaissent sur les faces métalliques en regard. La charge sur le disque posi- tif est uniformément répartie, avec une densité surfacique ee i bv ire ries Phe MSL Le champ magnétique permanent Le disque postif, de centre © , est mis en rotation autour de Yaxe (02) , Calculer Ie champ magnétique en un point Mf del'axe (02) . En quel point ce champ estil maximal ? On repérera M par V'angle a 2+U=100kV, R= 10cm, ¢=0,5 mm, ef lavitesse de rotation est de 6 000 tours par minute Caleuler Ta valeur maximale du champ magnétique. Comparer cette valeur & celle du champ magnétique ter- B sor l'axe d'une spire circulaie parcourue par un courant J . Les différentes étapes du calcul de # sont + déterminer le courant élémentaire di associé a la « spite » de rayon r et de largeur dr; + déterminer le champ 4B associé & cette spire €16- mentaite ; + caleuler Ie champ total B(2) en intégrant 4B Pour le calcul de Iintégrale, il est plus simple d'utlt- ser comme variable 'angle sous lequel on voit la « spite » de rayon 7; varie entte 0 et a SV aaa Pepsin coma) da champ @ champ magnétique créé par une sphére chargée en rotation (oral) ‘On considére une sphére isolante, de rayon Rt de cen- {ue 0, creuse, portant une charge Q uniformément répar- tie sur sa surface, Elle tourne autour d’un axe Oz avec tune vitesse angulaize @ constante qui ne perturbe pas la répattition des charges ‘1+ Déterminer le champ eréé en O 2» Déterminer le champ eréé loin de la sphere, 1) Les charges en mouvement exéent des courants lecteiques. Il sutit de trouver le « découpage » en lément de surface se comportant comme des spires ct on estramené au calcul de I'exercice 5 (repartition de spires jointves ou non sur une spe). Pour évaiuer Vintensité du courant qui circule dans ces « spires », on peut chercher a quantitéd'lectri- Cité qui s'est déplacée pendant un tour pour calculer celle qui cicule par unité de temps. 2) analyse est la méme, seul change langle sous Jeque est vu une spite. Comme on es 8s loin de la sphére on peut approximer le sinus de V'angle & sa tangente, ce qui facilit le calcul ConseilLe champ magnétique permanent © Bobines de Gaugain-Helmholtz (INCONTOURNABLE) ‘T+ Rappeler expression du champ eréé en un point de son axe par une bobine de-N’ spires circulares de rayon R parcourue par un courant J ; on considére que toutes les spires ont méme rayon et qu’elles se trouvent toutes dans le plan z= 0 ‘Onnotera By le champ au centre de Ia bobine et on expri- ‘mera la fonction f(u) telle que B(2) = By fw) , avec R 2+ Deux bobines identiques (rayon R , N spies) et per- pendiculaires a'axe (02) sont centrées en deux points O, dy 4 et 0; decotes 4 ct —4. Biles sont parcourues par le p85 Ps Pe rm courant /, dans le méme sens Onnote B(2)=B()@, le champ magnétique en un point ae Vaxe a) Représentr sur un méme graphe les champs By(2) et 1) exéés par chaque bobine, ainsi qu le champ B ola On dstingvera le cat oi les bobines sont proches et eel ct elles sont éloignes. 'b) Quelle est la pai de la fonction B=) ? 1+ existe une valeur ded pou laquelle la dive seconde B"(z) s’annule en O fa) Repeenergraphiquement (2) By) et Ble) dans tate situation 1) Que peut-on de del variation du champ Bau voisi- nage de" 0 Quel et intrt de cte configuration ? 6) Caleue a valeur de pour cette confguationape- Tee «bobines de Helmholtz 4) Par un cael muméiqe,dfncVnterale de pour Teguel (2) = BC) 1% prs en valeur late Test préférable de connaftre le résultat demandé 41a question 1). On pourra commencer par tracer, avec tune caleulatrice graphique, 1a courbe représentant Conseils B z «, Fy cmtonstion de , pour dfrentes valeurs ded ‘Quel ext le signe de Ia dérivée dune courbe « en clo- che » ? Posséde-telle des points d’inflexion ? Sile champ B est uniforme le long dune ligne de champ, alors Ies lignes de champ voisines sont paral- Tiles ; pourquoi ? Si la dérivée seconde en 0 d’une fonction paire est rule, quel est ordre de la plus faible puissance dans le développement de Taylor ? © champ cree par un « solénoide plat » (oral) Un « solénoide plat» est obtenu en juxtaposant NV spites parcourues par I de @= a, 3 a= a, ‘1 » Poser l'intégrale qui permet de calculer le champ exéé en M 2 + Que dize de cette intégrale en z= 0, en z tendant vers %B 1) Les spires étant jointves, celles qui sont comprises § entie 1 et r+ dr conitibuent également ax champ en M. On connait le champ créé en M par une spite, il faut done determiner combien de spires sont com prises entre ret r+ dr 2) En :=0 onest au plus proche des courant, in- {égrale doit done éie maximale ; 2 Vinfni on doit retrouver le champ dun dipdle (voir au chapitresui- vant) en un point de I'axe de ce dipsle @) champ magnétique produit par une bobine torique (INCONTOURNABLE) Un tore est engendré par la rotation d’une surface plane autour d'un axe (Oz). Une bobine de N spires parcou- rues par un courant Jest enroulée réguligrement sur le tore, Elles sont suffisamment serrées pour ére assimilées une nappe surfacique continue, faudier les symétries de B 2+ Bxprmer le champ B en un point M sepéé par ses coordonnées cylindriques (r , @, 2) tate Lie Prine Eerie pines Phy MPSLPCSLETSL ‘pace en iste ie3 + Comparer avec le champ produit par un solénoide inf- niment long. es Lge des symévics dit nous donne la forme des lignes de champ. On rappelie qu'elle pore sur la déterminstion des plans de symétie ou antisymé- tre, ainsi que sur les translations et rotations qui lis sent le systime invariant . tant donné la symétie du probleme, le cakul de se fit en appiquant le théoréme d’Ampére avec on contour F consis dune ligne de champ. q ® champ créé par un solénoide de vingt spires ‘Vingt spires circulaires, de méme axe (Oz) , de méme rayon f= Smet expaces de Sum, nt parcoutes pat Le champ magnétique permanent Je méme courant /= 1A. Le schema eprésent les lignes de champ du champ magnétique oré6 parce aystéme, dans tu plan contenant (02) Dans la zone olt les lignes de champ sont quasiment des Aroitesparallles, elles sont espacées de mm, ‘1+ Quelles sont les symeétries du systéme ? 2) Dans le cas d'un solénoide infiniment long, retrou- ver I'expression du champ cr66 sur lac. }b) Calculer BU) sur P'axe du solénoide fi 3 + Calculer une valeur approchée du champ en A, et en analysant la figure, déterminer une valeur approchée du champ magnétique en C eten D 1) Attention, fe sonoide n'est pas infiniment long 2) a) Cest du cours, INCONTOURNABL b) Crest da classique 3) A quel sytéme simple peut-on asimilr le syst ime de spires pour déterminer le champ en A? On admetira qu'en un point A’ proche de A , mais ven dehors de l’axe, B(A') = B(A) (Quelle est In propriété des diférentes sections d'un rméme tube de champ ? Une ligne du champ engendte un tbe de champ pat rotation asiour de V'axe Oz en raison de invariance par totaton de la distribution, Conseils échelle: Tem ee i vi re ries Phe PSLLe champ magnétique permanent @® circulation du champ magnétique créé par une spire sur son axe Soit une spite d'axe Oz , de centre O , de rayon R par- ‘courue par un courant d’intensité ‘1+ Calculer B(M) en un point M del'axe Oz 2 +a) Calculer la circulation du champ magnétique le long de 'axe (Oz) (de ~o 2+ «) 1b) Interpréter le résultat obtenu, 13 + Caleuler de méme la circulation du champ magnétique Telong de T'axe (Ox) (de ~ @ a4 «) d'un solénoide cincu- lire de rayon R , de longueur € et comportant NV spires jointives pazcourues chacune par un courant d'intensité J il fait partie des INCONTOURNABLES. 2) permet de « retrouver» le théoréme d’Ampe. La question 3) en présente une application. § 1 Ce calel doit eae coma ® champ au voisinage de I’axe d'une spire (INCONTOURNABLE) Soit une spire de rayon. RK, ’axe Oz parcourue par un courant d'intensité 1. On connat le champ créé par cette spire en tout point de son axe Oz = FOO avec f=“ sin’ BOM) =f avec fle) = SE sin’ 0 (voir exercice précédent) Dans cet exercice, on cherche & connaite le champ en un point voisin de I'axe Oz ‘Ts Justifer que Ton cherche un champ de la forme Bure, + BAF De ‘2+ Exprimer le flux de B a travers une surface eylin- drique élémentaire fermée de rayon r hauteur dz (7 ot de tant du méme ordre de grandeus). En déduire le déve- loppement limité au 1" ordre de B,(r, 2) en considérant que B,(¢,2)= BM) , M élant sur 'axe, (On prévisera pourquoi r et la hauteur du cylindre doivent tre petits (ce caleul n'est valable qu’au voisinage de Vaxe }. 3 + Trouver alors le développement limi de B.(r, 2) en posant B,(r 2) =B,(0, 2) + Bey L Expliciter fl) en prenant le contour suivant au second ordre o 44+ Bn déuie Le champ Ben un point Pde coordn- nes (7. 0. 2) aver 7< 0 (point M). Qu’obiient-on dans le cas x <0 (point Mf’)? Oe ® Flux du champ d'une spire 2 travers un solénoide ‘On considére le systéme suivant Le champ magnétique permanent oe spre dane Or de cent A sayon Rett ptcurue par ora 7 Unsolénote de tyonr et sfsanment ong our poo oir constr comme ins quand tend vt inf- th compere npr pr ni de longo Del'xtemt dosent on voit asp sous angle c Lerajon +d slénoide st pet devant rayon da ctr ex ham maine cf para spice 4 tar Te soleoie bol Le champ 4’une spire est “© sin’ 1 faut relier eee eee OR Conseils Ienombre de spires ndz a 40 @ champ magnétique créé par I’électron de 'atome d’H Dans un modele « planétaire » simple de I'atome d’hydro- sine, I'électron toume autour du proton sur une trajec- toire circulaire bien définie, ‘1+ Calculer Ia vitesse de rotation de I’¢lectron si la dis tance proton - électron est r= 53 pm 2+ Calculer le champ magnétique alors ressenti par le proton. Le compater 4 un champ macroscopique. 1) Appliquer par exemple Ie principe fondamental de la dynamique projeté sur @, 2)LiAlecton dans son mouvement de rotation se comporte comme tne houcle de courant. Conseils@ orientation du champ magnétique Tea) » oO 0, Bin) ‘Tracer les ares de cercles de centge Q, et O; en My. En déduite les directions de By ct B. B(M,) esta ces deux vecteuss somme de a = <—— Fin Ta, deméme BM) = 5M) + B04). 8 @ Ft) Bon) ° a RT ere oor eter perp Giclee champ enroute dans Te ens dec astour du A we vens du courant 9 Bon | ay | 8A © i Le plan dea fee cont Ia dstttion, cet doe un plan de sym, Le carpe en out pein perpendclaie Kors crea cent ervey ieee one sora en My lrenan en Ms. Adour ae ear es ea er aoe Cine Heat te PCI En Me champ du fl Let plu intense, en M, cet champ da 2 Dot les seus de Ben Af et My @ Lignes de champ magnétique caéées par des fils rectilignes infinis a) Les lignes de champ sont syméiviques par rapport au plan gui contient les deus fils et par apport au plan x médiateur es dour fils. Prés des fils le champ s'enroule dans le sens ote Li, tpn Eerie poles Pie MPSLPCSLPTS ‘pcos meio ceiret, Loin des deux fils on retrouve des lignes de champ cit- ‘culaires qui s’entouleraient dans le sent direct autour d'un courant sortant + 21 situé en O Le champ est nulen 0 ») La encore, es lignes de champ sont symétiques par rapport au plan qui contient les deux fils et par rapport au plan m: siédiateur des deux fils. 1, est toujours un plan de symétrie mais 1, est maintenant ‘un plan dantisyméttic. D’oi la forme et orientation tes dif- fécentes par rapport a), Le champ est maximal en 0 Qo Les lignes de champ sont symétriques par rapport aux plans 1M, M, M oula figure est invariante, comme la distribution par rotation dangle 2 Le champ est nulen 0 Loin des Sls let lignes sont des cercles que cxéeraient le champ d'un fil parcoura par 31 situé en. ie i vi re ries Phe NSLS Lehane magnciquepemanet (> ICO @ @)) NS] Les lignes de champ sont symétriques par rapport au plan édiateur de Ia distibution, Le champ n'est plus aul en Qa cause du fil parcouru par «=I», Le champ est mulen A et A” oit se croisent plusieurs lignes de champ. Loin des fils les lignes sont des cerces que exéerat Ie champ ‘un fil parcouru par J situé au barycentre dela distribution, © analyse d’un champ Le flux du champ magnétique A wavers toute surface fermée cst nul, Le champ étant, par bypothése, contenu dans le plan dda schéma et invariant par translation perpendiculaire au schéma, on choisit des sustaces dont les bases sont paralléles au schéma et les surfaces latérales sont engendirées par trans: lation perpendiculaire au schéma (des bases). On peut alors saisonner sur un contour I” dans le plan. Si toutes les lignes de champ qui taversent I” sont sortantes (respectivemententrantes), alors le flux A travers Zest posi Lif Gespeetivement négatit) Dans le cas d'un champ magnétique, il ne peut exister de courbe telle que toutes les lignes qui la traversent soient toutes entrantes et toutes sortantes Schéma b) : Pour une courbe qui entoure le point dont sont issues les lignes de champ, celles-ci sont toutes sortantes Schéma d) : Pour une courbe qui entoure un des tois points sources représentés par un rond noir, ou pour une courbe qui entoure les trois sources & grande distance, les lignes de champ sont toutes sortantes ou toutes entrancesfey ay (2) Le champ magnétique permanent Conclusion : Les schémas b) etd) ne peuvent en aucun eas représcoter un champ magnétique On peut verifier que, pour toute courbe fermée tacée sur le schéma a) ou sure schéma @) ily a des lignes enrantes et det lignes sortanes. Cela ne prowve pas que ce sont des champs magnétiques, maison ne peut pas imines, « prior cere hypahise ‘Comme le systéme est invariant par translation dans la direc- tion des fis, les deux lignes de champ quiencadrent Met P permetient de consirire un tube de champ & section rectan- gulaire de hauteur constante Pe Si on admet que le champ est approximativement uniforme au niveau des sections du tube de champ, la conservation du fx vert BOM) ey h=B(P) ep h, soit B(P) = Bua SH. On mesue ey et ey sure schéma, et on en dédit a) = 240. Comme B(M) = 0,01 T alors B(P) = 0,003 T ©) Analyse d’un champ magnétique 2+ Le champ ayant une orientation d&terminée en tout point, deux lignes de champ ne peuvent en général se croiser. Le ‘vecteur nul n‘ayant pas d'orientation définie, plusieurs lines de champ peuvent aboutir en ua point de champ nul Les points A et A” sont des points de champ nul 3 © Le champ eréé par un fil rectligne infin est ou encore B, =— 424 sing = On note x5. .45. riots et ry les valeurs de x et de r ccomespondant au point A letsque Vorigine est prise sur le 611, sur le il et sur efil3. Lordonnée y de A ‘estcommune aux tos origi- Le champ est aul en A (kh bok Done 8, Ho| ttle) a bo (a Ba 2n Ces deux équations ont pour solutions rf th Sur la carte du champ, on mesure x)= 18mm ,x;=- 6mm, x,=—30 mm, r= 2Amm, 7) = 165mm, r= 33,5 mm Avec ces valeurs 1 ext orientéposiivement vers le lecteur, ce qui définit Vorientation d'une courbe fermée (ou contour) selon la gle du tite-houchon, + Les lignes de champ voisi- nes du fil (1) sont orientées dans le sens post ‘axe normal au schéma sens positif| de rotation B.a0 est postit ot la ciculation €= PP B dé” est positive. ne de bap Dvaprts le théoréme d’Ampere, @= fy f, et done 1, est posit + Pour la méme raison, I; est négati et 1, est positif. + On applique le méme raisonnement & une ligne de champ aqui entoure les trois fils. Ces lignes de champ sont oriemtées dans le sens posi. La circulation, positive, est égale & bolt ly +19. La somme I, +1, 41, est postive, - 1,06 et Comme J,=~ 1A. et compte tenu de la marge d'ereur sur les mesures de distances, I)= 1A ot = 2A Une erreur de I mm sur une des distances entraine une erreur de ordre de 10 9% sur les intensités 08 © sphere recouverte de spires ‘1 Spires jointes LL’ensemble des plans contenant (02) sont des plans dantisy- :éuie des courants, done B(O) est poré par (02). Le nombre de spires par unité de longueur est donné par N N ypage A Done cate ¢ et 6448 ily “ex 30= vO spices de rayon K sin @ qui contibuent pour