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Contexte et actualité

Dans une logique de mondialisation le contexte économique actuel est caractérisé par
l’universalisation de l’économie de marché, la diversification des modes de consommation, la libre
circulation des biens, des services et des capitaux, la constitution et l’instauration de grands
groupements économiques régionaux et l’élargissement des zones de libre-échange, a provoqué
l’intensification considérable de la concurrence internationale entre les entreprises, les secteurs
industriels et les nations. Les entreprises baignent aujourd’hui dans un environnement économique
en perpétuelle turbulence où l’interconnexion des marchés financiers, la montée en puissance des
innovations technologiques basées sur la connaissance et la digitalisation, ouvre ainsi une nouvelle
ère de concurrence mondiale.

Aujourd’hui, plus que par le passé, la recherche de la compétitivité est devenue la principale priorité
des gouvernements et des entreprises qui, face à une concurrence plus âpre, mènent une lutte
permanente pour maintenir ou accroître leur avantage concurrentiel. Cette lutte est particulièrement
acharnée et parfois impitoyable entre les pays les plus compétitifs, alors qu’il s’agit pour la plupart
des pays émergents d’une question de survie.

Cet environnement de concurrence atroce donne à la compétitivité une rigueur et une vitalité qui
génère en permanence de nouveaux vecteurs qui viennent s’ajouter aux vecteurs classiques de la
compétitivité et qui reposent sur l’avantage concurrentiel par les prix prenant en compte les
exigences de la productivité par le biais des économies d’échelle et de l’effet d’apprentissage et
tirant profit des avantages de l’effet d’expérience.

Relever les nouveaux défis de la performance et de la compétitivité de l’entreprise représente un


processus complexe et interdisciplinaire qui touche à plusieurs aspects, divers enjeux et multiples
acteurs. C’est un challenge qui doit être mûrement réfléchi et fondé non seulement sur des aspects
microéconomiques mais aussi sur les variables macroéconomiques qui offrent au tissu productif un
environnement favorable à l’amélioration de la productivité et qui propulse les initiatives innovantes
et l’esprit d’entreprise.

La réflexion autour des nouveaux défis de la compétitivité des entreprises, interpellent de nouveaux
outils et nouvelles pratiques de gestion qui permettraient aux entreprises de réussir les challenges de
l’internationalisation des marchés, la digitalisation des sociétés, les contraintes de l’environnement
ainsi que le bien être des individus.

Dans un souci d’augmenter ses recettes et maintenir à tout prix les équilibres budgétaires, l’Etat
encourt le risque de rendre de la fiscalité un élément d’instabilité du tissu économique et remettre
en cause la compétitivité des entreprises marocaines face à un concurrence accrue notamment dans
une logique de mondialisation et de marché ouvert, et ce, aussi bien au niveau local qu’à
l’international. Or, au niveau international la baisse du taux facial d’imposition fait de la tendance
que l’on observe dans les pays développés. Ainsi pour le Maroc une réforme qui tend vers la
réduction des taux d’imposition, l’élargissement et la protection de l’assiette et la simplification des
modalités de recouvrement, devient urgente.

L’impôt est un boulet pour les entre¬prises marocaines, de par le poids excessif des charges qui
constitue la cause racine de leurs faibles performances en termes d’emploi, d’exporta¬tions et
d’investissement.

Dans ce sens, la fiscalité des entreprises vient en tête de liste des charges lourdes qui pénalisent la
compétitivité des entreprises marocaines. Et bien qu’il aille sans dire qu’il faut impérativement la
réformer. Face à une concurrence induite par la mondialisation et l’ouverture de marché l’urgence
de la réforme est d’autant plus pressante pour le Maroc que les autres pays dont la majorité
s’efforcent à la rendre plus compétitive.

Dans une économie ouverte, la compétitivité des entreprises est un élément fondamental pour la
création de richesses et d’emplois. Il est utile aujourd’hui, de s’interroger sur la capacité de notre
système fiscal à être un facteur favorisant la production et assurant la compétitivité des entreprises
national tant au niveau du marché local qu’à l’international.

Ce système fiscal qui doit tenir compte le contexte dans lequel il intervient, que le monde connaît
des fortes mutations ces dernières années, un nouvel ordre mondial est en train de prendre forme.
Les pays d’Europe et d’Amérique se voient contestés la suprématie économique mondiale par les
nouvelles puissances économiques émergentes de l’Asie. La crise économique de ces dernières
années et le conflit géopolitique Russe-Ukraine fragilise l’Europe, partenaire traditionnel du Maroc et
client important pour les entreprises marocaines, ces entreprises qui sont appelées plus que jamais à
être compétitive pour pouvoir survivre dans une conjoncture économique très délicate.

Contexte et actualité

Dans une logique de mondialisation le contexte économique actuel est caractérisé par
l’universalisation de l’économie de marché, la diversification des modes de consommation, la libre
circulation des biens, des services et des capitaux, la constitution et l’instauration de grands
groupements économiques régionaux et l’élargissement des zones de libre-échange, a provoqué
l’intensification considérable de la concurrence internationale entre les entreprises, les secteurs
industriels et les nations. Les entreprises baignent aujourd’hui dans un environnement économique
en perpétuelle turbulence où l’interconnexion des marchés financiers, la montée en puissance des
innovations technologiques basées sur la connaissance et la digitalisation, ouvre ainsi une nouvelle
ère de concurrence mondiale.

Aujourd’hui, plus que par le passé, la recherche de la compétitivité est devenue la principale priorité
des gouvernements et des entreprises qui, face à une concurrence plus âpre, mènent une lutte
permanente pour maintenir ou accroître leur avantage concurrentiel. Cette lutte est particulièrement
acharnée et parfois impitoyable entre les pays les plus compétitifs, alors qu’il s’agit pour la plupart
des pays émergents d’une question de survie.

Cet environnement de concurrence atroce donne à la compétitivité une rigueur et une vitalité qui
génère en permanence de nouveaux vecteurs qui viennent s’ajouter aux vecteurs classiques de la
compétitivité et qui reposent sur l’avantage concurrentiel par les prix prenant en compte les
exigences de la productivité par le biais des économies d’échelle et de l’effet d’apprentissage et
tirant profit des avantages de l’effet d’expérience.

Relever les nouveaux défis de la performance et de la compétitivité de l’entreprise représente un


processus complexe et interdisciplinaire qui touche à plusieurs aspects, divers enjeux et multiples
acteurs. C’est un challenge qui doit être mûrement réfléchi et fondé non seulement sur des aspects
microéconomiques mais aussi sur les variables macroéconomiques qui offrent au tissu productif un
environnement favorable à l’amélioration de la productivité et qui propulse les initiatives innovantes
et l’esprit d’entreprise.

La réflexion autour des nouveaux défis de la compétitivité des entreprises, interpellent de nouveaux
outils et nouvelles pratiques de gestion qui permettraient aux entreprises de réussir les challenges de
l’internationalisation des marchés, la digitalisation des sociétés, les contraintes de l’environnement
ainsi que le bien être des individus.

Dans un souci d’augmenter ses recettes et maintenir à tout prix les équilibres budgétaires, l’Etat
encourt le risque de rendre de la fiscalité un élément d’instabilité du tissu économique et remettre
en cause la compétitivité des entreprises marocaines face à un concurrence accrue notamment dans
une logique de mondialisation et de marché ouvert, et ce, aussi bien au niveau local qu’à
l’international. Or, au niveau international la baisse du taux facial d’imposition fait de la tendance
que l’on observe dans les pays développés. Ainsi pour le Maroc une réforme qui tend vers la
réduction des taux d’imposition, l’élargissement et la protection de l’assiette et la simplification des
modalités de recouvrement, devient urgente.

L’impôt est un boulet pour les entre¬prises marocaines, de par le poids excessif des charges qui
constitue la cause racine de leurs faibles performances en termes d’emploi, d’exporta¬tions et
d’investissement.

Dans ce sens, la fiscalité des entreprises vient en tête de liste des charges lourdes qui pénalisent la
compétitivité des entreprises marocaines. Et bien qu’il aille sans dire qu’il faut impérativement la
réformer. Face à une concurrence induite par la mondialisation et l’ouverture de marché l’urgence
de la réforme est d’autant plus pressante pour le Maroc que les autres pays dont la majorité
s’efforcent à la rendre plus compétitive.

Dans une économie ouverte, la compétitivité des entreprises est un élément fondamental pour la
création de richesses et d’emplois. Il est utile aujourd’hui, de s’interroger sur la capacité de notre
système fiscal à être un facteur favorisant la production et assurant la compétitivité des entreprises
national tant au niveau du marché local qu’à l’international.

Ce système fiscal qui doit tenir compte le contexte dans lequel il intervient, que le monde connaît
des fortes mutations ces dernières années, un nouvel ordre mondial est en train de prendre forme.
Les pays d’Europe et d’Amérique se voient contestés la suprématie économique mondiale par les
nouvelles puissances économiques émergentes de l’Asie. La crise économique de ces dernières
années et le conflit géopolitique Russe-Ukraine fragilise l’Europe, partenaire traditionnel du Maroc et
client important pour les entreprises marocaines, ces entreprises qui sont appelées plus que jamais à
être compétitive pour pouvoir survivre dans une conjoncture économique très délicate.

Contexte et actualité

Dans une logique de mondialisation le contexte économique actuel est caractérisé par
l’universalisation de l’économie de marché, la diversification des modes de consommation, la libre
circulation des biens, des services et des capitaux, la constitution et l’instauration de grands
groupements économiques régionaux et l’élargissement des zones de libre-échange, a provoqué
l’intensification considérable de la concurrence internationale entre les entreprises, les secteurs
industriels et les nations. Les entreprises baignent aujourd’hui dans un environnement économique
en perpétuelle turbulence où l’interconnexion des marchés financiers, la montée en puissance des
innovations technologiques basées sur la connaissance et la digitalisation, ouvre ainsi une nouvelle
ère de concurrence mondiale.

Aujourd’hui, plus que par le passé, la recherche de la compétitivité est devenue la principale priorité
des gouvernements et des entreprises qui, face à une concurrence plus âpre, mènent une lutte
permanente pour maintenir ou accroître leur avantage concurrentiel. Cette lutte est particulièrement
acharnée et parfois impitoyable entre les pays les plus compétitifs, alors qu’il s’agit pour la plupart
des pays émergents d’une question de survie.

Cet environnement de concurrence atroce donne à la compétitivité une rigueur et une vitalité qui
génère en permanence de nouveaux vecteurs qui viennent s’ajouter aux vecteurs classiques de la
compétitivité et qui reposent sur l’avantage concurrentiel par les prix prenant en compte les
exigences de la productivité par le biais des économies d’échelle et de l’effet d’apprentissage et
tirant profit des avantages de l’effet d’expérience.

Relever les nouveaux défis de la performance et de la compétitivité de l’entreprise représente un


processus complexe et interdisciplinaire qui touche à plusieurs aspects, divers enjeux et multiples
acteurs. C’est un challenge qui doit être mûrement réfléchi et fondé non seulement sur des aspects
microéconomiques mais aussi sur les variables macroéconomiques qui offrent au tissu productif un
environnement favorable à l’amélioration de la productivité et qui propulse les initiatives innovantes
et l’esprit d’entreprise.

La réflexion autour des nouveaux défis de la compétitivité des entreprises, interpellent de nouveaux
outils et nouvelles pratiques de gestion qui permettraient aux entreprises de réussir les challenges de
l’internationalisation des marchés, la digitalisation des sociétés, les contraintes de l’environnement
ainsi que le bien être des individus.

Dans un souci d’augmenter ses recettes et maintenir à tout prix les équilibres budgétaires, l’Etat
encourt le risque de rendre de la fiscalité un élément d’instabilité du tissu économique et remettre
en cause la compétitivité des entreprises marocaines face à un concurrence accrue notamment dans
une logique de mondialisation et de marché ouvert, et ce, aussi bien au niveau local qu’à
l’international. Or, au niveau international la baisse du taux facial d’imposition fait de la tendance
que l’on observe dans les pays développés. Ainsi pour le Maroc une réforme qui tend vers la
réduction des taux d’imposition, l’élargissement et la protection de l’assiette et la simplification des
modalités de recouvrement, devient urgente.

L’impôt est un boulet pour les entre¬prises marocaines, de par le poids excessif des charges qui
constitue la cause racine de leurs faibles performances en termes d’emploi, d’exporta¬tions et
d’investissement.

Dans ce sens, la fiscalité des entreprises vient en tête de liste des charges lourdes qui pénalisent la
compétitivité des entreprises marocaines. Et bien qu’il aille sans dire qu’il faut impérativement la
réformer. Face à une concurrence induite par la mondialisation et l’ouverture de marché l’urgence
de la réforme est d’autant plus pressante pour le Maroc que les autres pays dont la majorité
s’efforcent à la rendre plus compétitive.

Dans une économie ouverte, la compétitivité des entreprises est un élément fondamental pour la
création de richesses et d’emplois. Il est utile aujourd’hui, de s’interroger sur la capacité de notre
système fiscal à être un facteur favorisant la production et assurant la compétitivité des entreprises
national tant au niveau du marché local qu’à l’international.

Ce système fiscal qui doit tenir compte le contexte dans lequel il intervient, que le monde connaît
des fortes mutations ces dernières années, un nouvel ordre mondial est en train de prendre forme.
Les pays d’Europe et d’Amérique se voient contestés la suprématie économique mondiale par les
nouvelles puissances économiques émergentes de l’Asie. La crise économique de ces dernières
années et le conflit géopolitique Russe-Ukraine fragilise l’Europe, partenaire traditionnel du Maroc et
client important pour les entreprises marocaines, ces entreprises qui sont appelées plus que jamais à
être compétitive pour pouvoir survivre dans une conjoncture économique très délicate.

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