MON MEMOIRE (Enregistré Automatiquement)

Suivi et contrôle des travaux de construction de villas duplex haut standing
DEDICACE
Je rends grâce à Dieu et dédie particulièrement ce modeste travail à :
 Mon défunt père Feu KARAMOKO DOSSO. Tu as assuré avec loyauté tout mon
cursus, tu as toujours fait de ma réussite ta priorité. Je garde de toi l’image d’un
père exemplaire. Que le tout Puissant Dieu t’accueille dans son Paradis ! Amine.
 Ma mère Mme DIE ZOLOU CHANTALE qui me soutient tous les jours sur
tous les plans ;
 Mes frères, sœurs, oncles et tantes ;
 Celle qui a l’exaltante mission de partager mes joies et mes peines ;
 Mes amis et camarades ;
 Mon encadreur pédagogique ;
 Toute la promotion 2019-2020 du département des Sciences de l’Ingénieur de
l’IUA ;
 Aux personnels de la société BLUMBERG GROUP
I
Présenté par : DOSSO Zran Abdoulaye Elève Ingénieur Génie Civil
REMERCIEMENTS
Je ne saurai combien de fois avant la présentation de ce rapport adresser mes sincères

remerciements au Directeur de la société BLUMBERG GROUP, Monsieur TEHELE SOREL
LANDRY pour l’accueil au sein de son équipe, sa confiance et sa disponibilité.
J’adresse mes plus vifs remerciements au professeur, monsieur DIARRA Arouna, qui a bien
voulu m’encadrer pour ce rapport de soutenance, dont les conseils et observations m’ont permis
de tirer le meilleur profit de cette première intrusion dans le monde professionnel
Je tiens à remercier Monsieur GBAZALE Arthur, mon maître de stage pour sa disponibilité,
ses conseils et pour m’avoir fait participer aux diverses activités liées au chantier.
Mes remerciements vont en l’endroit de Monsieur DIBI Kolly celui auprès de qui j’ai appris à
réaliser les ouvrages.
Je remercie également mes deux ainés du campus, Monsieur METANGMO Alex et

Mademoiselle OTE Espérance pour leurs précieux conseils.
Enfin, j’exprime toute ma reconnaissance au fondateur de l’IUA, M. AKA Kouamé, au chef

du département des sciences de l’Ingénieur de l’IUA Professeur SISSOUMA Drissa, à tous les
membres de l’administration et le corps enseignant du département des sciences de l’Ingénieur
de l’IUA qui m’ont soutenue le long de ma formation ainsi qu’à tous ceux qui ont consacré leur
précieux temps pour le bon déroulement de mon stage.
II
AVANT-PROPOS


Fondé en 2004 par M. AKA kouamé, IUA (Institut Universitaire d’Abidjan) est une
université privée de CÔTE D’IVOIRE qui compte en son sein cinq (5) facultés à savoir : la
faculté des sciences juridiques et politiques, la faculté des sciences économiques et sociales, la
faculté des arts, lettres et sciences humain, la faculté des sciences et technologies et school of
business and technology. Ces facultés sont subdivisées en départements. Ainsi, la faculté des
sciences et technologies est composées du département de mathématique-informatique et du
département des sciences de l’ingénierie dans laquelle nous avons reçu notre formation.
En effet, l’IUA forme des étudiants selon le système LMD (Licence-Master-Doctorat), dans
plusieurs domaines à partir de ses différentes structures et filières.
Ainsi, le département des sciences de l’Ingénieur compte en son sein, trois (3) grandes filières
que sont :
 Génie Mécanique et Energétique ;

 Génie Civil / Construction-Bâtiment ;
 Génie des Procédés Chimiques.
De ce fait, les étudiants à la fin de leur cycle (licence ou master), doivent présenter un mémoire
de fin de cycle portant généralement sur un thème de leur domaine.
C’est ainsi que nous avons eu l’opportunité d’effectuer un stage de trois (3) mois au sein de la
société BLUMBERG GROUP précisément sur la deuxième phase du projet de construction
immobilier « Les Résidences Terre Ivoire » Equinox-planet sis à Cocody Angré Djorogoboté
ABIDJAN.
Grâce à cette entreprise et à l’aide de toutes les personnes de l’organisme, nous avons effectué
le stage dans les meilleures conditions, dont nous avons très bien assimilés le travail et rédigés
notre mémoire, dans lequel nous résumons tous ce que nous avons vu et fait durant cette
période.
III
SOMMAIRES
DEDICACE………………………………………………………………. ..I
REMERCIEMENTS………………………………………………………. .II
AVANT PROPOS…………………………………………………………..III
SOMMAIRE……………………………………………………………….. IV
LISTE DES ABREVIATION………………………………………………VII
LISTE DES FIGURES…………………………………………………….VIII
INTRODUCTION ................................................................................…......1
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE…………...2

I.1-HISTORIQUE…………………………………………………………....3
I.2- STATUT JURIDIQUE……………… ………………………….…....3
I.3- ACTIVITES…………………….……………………………………….4
I.4- STRUCTURE DE L’ENTREPRISE……………………….....................4
I.5- ORGANIGRAMME…………………………......................................... 5
I.6- EQUIPEMENTS…………………………………………………..….....8
DEUXIEME PARTIE : SUIVI ET CONTRÔLE DES TRAVAUX DE

CONSTRUCTION…………………………………………………………...9
II.1- PRESENTATION DU PROJET DE CONSTRUCTION………...…...10
II.1.1- Situation géographique……………………………………………..10
II.1.2- Les détails des logements ………………………………………………….10
II.1.3- Présentation des différents intervenants dans le projet de l’étude à la
réalisation………………………………………………………………………….10
II.1.4- Les sous-traitants…………………………………………………………...11
II.1.5- L’organisation du chantier………………………………………………….11
II.2- SUIVI ET CONTRÔLE DES TRAVAUX…………………………….12

IV
II.2.1- Etat des lieux…………………………………………………………..…………...12

II.2.2- Les missions assignées…………………………………………………………….12
II.2.3- Les travaux d’implantation et d’infrastructure………………………….………….12
II.2.3.1- Pose de chaise et implantation des bâtiments……………………………………12
a- Exécution et contrôle des fouilles……………………………………………..13

b- Contrôle des matériaux………………………………………………………...13
II.2.3.2- Le béton de propreté…………………………………………………...................14
II.2.3.3-Les semelles………………………………………………………………………..14
II.2.3.4- Les murs de soubassements……………………………………………………….16
II.2.3.5- Les longrines……………………………………………………………………...16
II.2.3.6- La plateforme (dallage)……………………………………………….…………..15
II.2.4- Les travaux en superstructure………………………………………………………..17

II.2.4.1- Murs en élévation du RDC………………………………………………………...17
II.2.4.2- Les poteaux et raidisseurs du RDC……………………………………...................18
II.2.4.3- Les linteaux………………………………………………………………………...19
II.2.4.4- Les poutres et le plancher haut du RDC……………………………………………20
a- Les poutres……………………………………………………………………….20
b- Le plancher haut du RDC………………………………………………………...21
II.2.4.5- La trémie et l’escalier……………………………………………………………….22
II.2.4.6- Plomberie et électricité du plancher haut du RDC…………………………………22
II.2.4.7- Les treillis soudés………………………………………………………………......23
II.2.4.8- Contrôle du plancher haut RDC……………………………………………………24
II.2.4.9- Bétonnage du plancher haut du RDC………………………………………………24
II.2.4.10- Les murs en élévation de l’étage…………………………………………………..24
II.2.4.11- Les poteaux et raidisseurs de l’étage……………………………………………….
II.2.4.12- Le plancher haut de l’étage (toiture terrasse non-accessible)………………………
II.2.4.13- L’acrotère……………………………………………………………………………
II.2.5- Les matériels et matériaux utilisés……………………………………………………25
a- Matériels utilisés………………………………………………………………………25
V
b- Matériaux utilisés……………………………………………………………………...25
II.2.6- ETAT D’AVANCEMENTS DES TRAVAUX……................................26
TROISEME PARTIE : ANALYSE DE STAGE……………………………....27

III.1- BILAN DU STAGE…..............................................................................28
III.2- CRITIQUES………………………………………………………..…....29
III.2.1- Au niveau de la structure de formation……………………………………………...29
III.2.2- Au niveau de la société BLUMBERG GROUP……………………………...…......29
III.3- SUGGESTIONS…………………………………………………….......29
..
III.3.1- Au niveau de la société BLUMERG GROUP……………………………………...29
III.3.2- Au niveau de la structure de formation…………………………………………….29
CONCLUSION ………………………………………….…………………...30
REFERENCES BIBLIOGRAPHIES………………………………………...31
ANNEXE……………………………………………………………………..IX
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VI


LISTE DES ABREVIATIONS ET UNITES
IUA Institut Universitaire d’Abidjan

LMD Licence- Master-Doctorat
BTP Bâtiment et Travaux Publics
GC Génie Civil
RDC Rez-de-Chaussée
SDB Salle de Bain
HA Acier à Haute Adhérence
CPJ Ciment Portland Composé
EU Eaux Usées
EV Eaux Vannes
EP Eaux Pluviales
PVC Poly Vinyle Chlorure (Polymère thermoplastique)
Kg/m3 Kilogramme par mètre cube
Cm Centimètre
Mm Millimètre
LISTE DES TABLEAUX
Tableau 1 : Les sous-traitants par corps d’état

Tableau 2 : Les nombres d’ouvriers par poste
Tableau 3 : Avancement des travaux
VII
LISTE DE FIGURES
EQUIPEMENTS :
Photo I.1 : Une bétonnière…………………………………………………………………...6
Photo I.2 : Une aiguille vibrante…………………………………………………………......6
Photo I.3 : Un engin Manitou………………………………………………………………..6
Photo I.4 : Un niveau optique de chantier…………………………………………………...7
Photo I.5 : Un compacteur…………………………………………………………………..7
Photo I.6 : Des étais métalliques…………………………………………………………….8
Photo I.7 : Un fil à plomb…………………………………………………………………...8
Photo I.8 : Un bureau de chantier…………………………………………………………...8
SUIVI ET CONTRÔLE DES TRAVAUX :

Photo II.1 : Exécution des fouilles………………………………………………………….14
Photo II.2 : Béton de propreté………………………………………………………………14
Photo II.3 : Ferraillage des semelles isolées………………………………………………..15
Photo II.4 : Ferraillage des semelles filantes……………………………………………….15
Photo II.5 : Coffrage des longrines et chaînages bas……………………………………….16
Photo II.6 : Bétonnage des longrines et chaînage bas………………………………………16
Photo II.7 : Ferraillage et coulage de la plateforme…………………………………………17
Photo II.8 : Montage des murs du RDC…………………………………………………….18
Photo II.9 : Ferraillage et coffrage des poteaux et raidisseurs du RDC…………………….18
Photo II.10 : Coffrage des linteaux………………………………………………………….19
Photo II.11 : Bétonnage des linteaux et poteaux……………………………………………19
Photo II.12 : Ferraillage des nervures……………………………………………………….21
Photo II.13 : Pose des hourdis……………………………………………………………….21
Photo II.14 : Réservation des PVC………………………………………………………….23
Photo II.15 : Réservation des cubes électricités…………………………………………….23
Photo II.16 : Ferraillage des treillis soudés………………………………………………….23
VII
Présenté par : DOSSO Zran Abdoulaye Elève Ingénieur Génie Civil I
INTRODUCTION
Dans le souci d’avoir une expérience professionnelle afin d’élargir les chances d’insertion dans
le tissu socio-économique, les étudiants après une période de formation théorique à l’école, sont
appelés à traduire cette théorie en pratique et à s’imprégner des réalités professionnelles en
entreprise. Cela n’est possible qu’à travers un ou plusieurs stages dans le domaine de
spécialisation. C’est donc dans cette logique que nous avons sollicité la société BLUMBERG
GROUP qui est une société spécialisée dans la construction immobilière et les Travaux
Publics.
En effet, il est primordial que nous, futurs Ingénieurs en Génie Civil, soyons tous en mesure
d’organiser, de diriger convenablement un chantier de construction. C’est à juste titre que le
thème de stage suivant nous a été conféré à savoir : « Suivi et contrôle des travaux de
construction de villas duplex haut standing projet immobilier ‘’LES RESIDENCES
TERRE IVOIRE’’ ».
La rédaction de ce rapport qui intervient après 3 mois de stage au chantier s’articule autour de
trois grandes parties. Il s’agit dans un premier temps de présenter de la société BLUMBERG
GROUP, dans un deuxième temps décrire le suivi et contrôle des travaux et pour terminer,
analyser le stage en faisant le bilan et en formulant des critiques et des suggestions.
1
PREMIERE PARTIE :
PRESENTATION DE
L’ENTREPRISE
2
I.1- HISTORIQUE

Créer en 2015, sous le nom de RESSOURCES CONSTRUCTION SARL, l’entreprise a
procédé au changement de dénomination sociale suite à une modification de l’actionnariat et
de l’identifiant fiscal survenu en fin 2017. C’est ainsi que la structure porta la nouvelle
dénomination sociale BLUMBERG BUILDING & CONSTRUCTION à partir de janvier 2018.
En 2020, suite à un repositionnement stratégique, au désir d’incorporer l’usine de production
d’agglos, puis intégré la structure financière au sein de la même entité, l’Assemblée Générale
de la société décida d’un deuxième changement de dénomination sociale, passant ainsi à la
dénomination : BLUMBERG GROUP .
- Boite Postale : 22 BP 742 Abidjan 22 ;

- N° de téléphone : (+225) 22 46 80 55 ;
- Siège social : Abidjan, Marcory, Zone 4C ;
- Email : info@blumberg-group.com.
I.2- STATUT JURIDIQUE
La structure BLUMBERG GROUP est une société à responsabilité limitée (SARL) au capital
d’un million (1.000.000) de francs CFA, immatriculée au registre de commerce et du crédit
mobilier sous le numéro CI-ABJ-2018-B-01457 et représentée par son Gérant et Directeur
Général Monsieur TEHELE SOREL LANDRY.
- N° Compte Contribuable : 1802276 C établi le 19/01/2018 à Abidjan ;

- Régime fiscal : RNI
- Centre des impôts de rattachement : Marcory Zone 4.
3
I.3- ACTIVITES
La société a pour objet en Côte d’Ivoire et partout ailleurs :

 Le Bâtiment et les Travaux Publics, le Génie Civil et tous types de constructions
y afférents ;
 L’étude et le design architectural, les études géologiques et géotechniques, les
études globales techniques et topographiques ;
 Toutes les activités d’entretien, de rénovation, de restructuration et de réparation
de bâtiment, de complexes immobiliers ou de toute autre infrastructure ;
 La mise en relation d’affaires ;
 Le montage de projets et de dossiers de tout ordre ;
 Le négoce, l’import-export, la vente, la commercialisation et la distribution de
marchandises diverses ;
 Les services et prestations diverses.
Elle compte à notre actif l’exécution de plusieurs chantiers privés de petites et moyennes
envergures. En effet, BLUMBERG GROUP est principalement en activité sur les travaux d’une
promotion immobilière de vingt-six (26) villas duplex haut standing avec le promoteur
EQUINOX-PLANET dont le cout global s’élève à 932 881 400 FCFA HT et la construction
d’une villa triplex pour un particulier dont le cout global s’élève à 100 000 000 FCFA HT.
I.4- STRUCTURE DE L’ENTREPRISE
L’effectif global de la société BLUMBERG GROUP est composé à ce jour d’un total de
soixante-dix-huit (78) agents, parmi lesquels nous avons :
 Deux (2) Ingénieurs Financiers

 Deux (2) Ingénieurs Génie Civil ;
 Quatre (4) Techniciens BTP ;
 Deux (2) Techniciens comptables ;
 Trois (3) Agents commerciaux ;
 Vingt-deux (22) ouvriers qualifiés ;
 Quarante-un (41) manœuvres ;
 Deux (2) gardiens.
4
I.5- ORGANIGRAMME


DIRECTEUR GENERAL
ASSISTANTE
DIRECTEUR RESPONSABLE
TECHNIQUE ADMINISTRATIF ET
FINANCIER
INGENIEURS ET COORDONATEUR SERVICE

TECHNICIENS DES TRAVAUX COMPTABLE
SUPERIEURS




5
I.6- EQUIPEMENTS
² Figure I.1 : Une bétonnière
Photo I.1 : Une bétonnière
Photo I.2 : Une aiguille vibrante Photo I.3 : Un engin Manitou
6
Photo I.4 : Un niveau optique de chantier
Photo I.5 : Un Compacteur
7
Photo I.6 : Des étais métalliques Photo I.7 : Un fil à plomb
Photo I.8 : Un bureau de chantier
8
DEUXIEME PARTIE :
SUIVI ET CONTRÔLE DES

TRAVAUX DE
CONTRUCTION



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9
II.1- PRESENTATION DU PROJET DE CONSTRUCTION
II.1.1- Situation géographique

Le chantier est situé à Cocody Angré Djorogobité. Il s’agit d’un projet immobilier
dénommé ‘’LES RESIDENCES TERRE IVOIRE’’. Le projet consiste à réaliser 26 villas
hautes standing de 6 à 9 pièces et ces villas sont reparties suivant 4 grands modules à savoir :
KARITE type F6
RAPHIA type F7
SAMBA type F8
EBENE type F9
La quasi-totalité de la réalisation des travaux du projet étant sur le chantier, il m’a été soumis
le thème suivant : « Suivi et contrôle des travaux de construction de villas duplex haut
standing projet immobilier ‘’LES RESIDENCES TERRE IVOIRE’’ ».
II.1.2- Les détails des logements

Les duplex comptent 6 à 9 pièces selon le module dont (une salle à manger, un séjour, une
chambre visiteur, une boyerie, une cuisine, une buanderie, 2 SDB, un garage et une terrasse
avant et arrière) au RDC et (3 chambres, un séjour, un dressing, 3 SDB et 3 balcons) à l’étage.
II.1.3- Présentation des entreprises intervenantes dans le projet de

l’étude à la réalisation
 Promoteur : EQUINOX-PLANET.CI
 Maître d’Ouvrage Délégué : Cabinet d’Architecture, d’Ingénierie et d’Expertise
Immobilière.
 Bureau d’étude : SIGMA INGENIERIE
 Bureau de contrôle structure : BUREAU VERITAS
 Bureau de contrôle qualité matériaux : Ingénierie-Conseil-Laboratoire Bâtiment et
Travaux Publics (ICL-BTP)
 L’entreprise en charge du suivi et la réalisation des travaux est BLUMBERG GROUP.
10
II.1.4- Les sous-traitants

Tableau 1 : Sous-traitants par corps d’état
Travaux Tacherons (prestataires)

Ferraillage Particulier
Electricité Particulier
Fouilles Particulier
Plomberie Particulier
Menuiserie Particulier
Etanchéité Particulier
Climatisation Particulier
II.1.5- L’organisation du chantier

Un chantier : c’est un lieu où l’on rassemble des matériaux, des matériels, du personnel dans
le but de réaliser un ouvrage pour un client.
Le personnel de chantier travaille du lundi au samedi, y compris les jours fériés de 08h à 12h
et 13h à 17h.
Les personnels qui luttent pour l’avancement des travaux sont :
 Un conducteur de travaux
Le conducteur des travaux est le responsable du chantier. Il assure la phase de préparation,
organise et contrôle le chantier, responsable de la qualité des travaux effectués, de la tenue des
délais et du respect du budget.
 Le chef chantier
Il joue un rôle primordial dans le bon déroulement des travaux. Il gère et contrôle l’équipe des
sous-traitants dans toutes les phases des travaux.
 Un magasinier
Il est chargé de la gestion des matériels et matériaux utilisés sur le chantier ainsi que leurs
sorties et entrée.
11
 Des tâcherons :
Tableau 2 : Nombre d’ouvrier par poste
EQUIPES NOMBRES D’OUVRIERS

Ferraillage 6
Menuisier coffreur 4
Maçon 5
Aide-maçon 10
Electricien 2
Plombier 3
II.2- SUIVI ET CONTÔLE DES TRAVAUX

II.2.1- Etats des lieux
A notre arrivée sur le chantier du projet de réalisation des duplex hauts standings le Mercredi
01 juin 2020, les travaux sur le chantier connaissaient déjà un avancement. A cette date, les
travaux de débroussaillage, désherbage, d’installation chantier, de terrassement, de fondation
de cinq (05) duplex avaient déjà été réalisés.
Nous avons pu donc suivre durant cette période de stage au niveau des duplex les travaux de
réalisation de fondation, les élévations maçonneries, coffrages et ferraillages des longrines,
plateformes, poteaux, poutres et dalles.
La réalisation des ouvrages en Génie Civil nécessite plusieurs étapes qui sont étroitement liées,
permettant ainsi à tous les corps de métiers, d’exécuter leurs travaux. En ce qui concerne la
réalisation des duplex hauts standings, nous avons pu diviser les travaux en deux (02) grandes
parties :
 Le gros œuvre qui concerne les éléments porteurs du bâtiment.

 Le second œuvre qui concerne les revêtements des murs extérieurs et intérieurs,
l’électricité, la climatisation, les sanitaires, les carrelages et bien d’autres …
II.2.2- Les missions assignées

Notre structure d’accueil la société BLUMBERG GROUP nous a confié la mission de suivre
et de contrôler l’exécution des travaux. Ainsi, notre travail consistait à :
 Gérer le personnel du chantier ;

 Passer les commandes en matériaux, en matériels ;
 Planifier des travaux par corps d’état ;
 Vérifier la qualité des matériaux sable, gravier, ciment, eaux ;
 Contrôler les matériels utilisés planches, panneaux, acier, chevron …
 Contrôler le façonnage des ferraillages ;
 Tracer les bâtiments.
12
II.2.3- Les travaux d’implantation et d’infrastructure


II.2.3.1-Pose des chaises et implantation des bâtiments
Il s’agit de faire la ceinture de l’emprise du bâtiment avec de planches fond 15 cm sur
lesquelles seront matérialisés les différents axes du bâtiment à construire.
L’implantation est le traçage sur terre, une projection horizontale du plan en respectant les
dimensions réelles. Cette étape de l’exécution prépare au terrassement, la réalisation des
fouilles.
a- Exécution et contrôle des fouilles

Sur le chantier nous avons veillé à ce que les fouilles soient exécutées en fonction du plan et
après exécution nous avons la conformité des fouilles. Dans le cadre de notre projet, les
fouilles avaient une profondeur minimale du TN (terrain nature) :
 Fouilles en tranchée : largeur de 80 cm et 1.50 m de profondeur

 Fouilles en trou : Rectangulaire de 1.00 à 2.00 m et de profondeur 1.40 m.
b- Contrôle des matériaux
 Le sable
Sur notre chantier, pour assurer une bonne ouvrabilité et une résistance du béton, nous avons
utilisé du sable moyen (c’est-à-dire peu grossier et peu fin). Mais nous avons exigé le
tamisage afin d’éliminer les impuretés et autres éléments différents du sable.
 Le gravier
Le gravier augmente la résistance du béton, de ce fait il doit être de bonne qualité. Notre
chantier était approvisionné de gravier 15 /25 pour les ouvrages en fondation et de gravillon
5/15 en élévation.
 L’eau de gâchage
C’est la quantité d’eau ajoutée au mélange sec. Il est un matériau au même type que le
gravier, le sable et le ciment. Elle intervient par ses propriétés mécaniques et physico
mécaniques à toutes les étapes de la vie du matériau permettant l’hydratation du liant, le
mouillage des granulats et le malaxage. Cela pour dire que l’eau doit être propre et séparé de
tout ion néfaste du béton (sel) voilà pourquoi nous utilisons l’eau produit par la SODECI.
13
 Le béton
Le béton est un matériau de construction formé exclusivement d’un mortier (sable, ciment,
eau) et de pierres concassées (gravier)… Sur notre chantier nous avons une bétonnière qui
nous produit un bon béton bien dosé.
II.2.3.2-Le béton de propreté

Le béton de propreté est un mélange de gravier 15/25, de sable, de l’eau et du ciment dosé à
150 Kg/m3 coulé en pleine fouille afin d’assurer la propreté du fond de fouille et recevoir les
semelles. Les bétons de propreté ont pour épaisseur 5 cm.
Pour un dosage à 150 kg/m3 de ciment, le contrôle a exigé :

 Trois brouettes de sable de 50 litres remplis à bord ras ;
 Quatre brouettes de graviers de 50 litres remplis à bord ras ;
 Un sac de ciment de 50 kg ;
 L’appréciation de la qualité d’eau.
Photo II.1 : Exécution des fouilles Photo II.2 : Béton de propreté
14
II.2.3.3-Les semelles
Mélange de sable, graviers 15/25, ciment, de l’eau et d’acier dosés à 350 Kg/m3 coulées en
pleine fouilles, elles sont de deux (2) types (les semelles isolés et les semelles filantes). Etant
des ouvrages en BA, elles ont pour rôle de reprendre toutes les charges du bâtiment et les
transmettre au sol.
Ferraillage semelles filantes :

Les aciers porteurs avec les HA8 et espacés de 15 cm.
Les aciers longitudinaux au nombre de quatre (4) barres, ils sont façonnés en HA8 également
avec des espacements de 25 cm.
Ferraillage des semelles isolées :

Concernant ces aciers, il faut noter que les diamètres dépendent de la section du poteau et de
la charge qu’elles reçoivent. Les barres utilisées sont les HA8, HA10 et HA12.
Contrôle des semelles :

Le contrôle du ferraillage semelles s’est plus axé sur le respect des dimensions, la section des
aciers utilisés, des espacements, des cadres et de la conformité avec le plan de fondation (Voir
Annexe 3). Après contrôle nous avons trouvé conforme les travaux de ferraillage avec le plan
fondation. Egalement validé par le BUREAU VERTAS, nous avons procédé au Bétonnage à
proprement dit.
Pour un dosage de 350 kg /m3, le contrôle a exigé :
 Une brouette de sable de 50 litres rempli à bord ras ;

 Deux brouettes de gravier de 50 litres remplis à bord ras ;
 Un sac de ciment de 50 kg ;
 La quantité d’eau est appréciée par le machiniste.
Photo II.3 : Ferraillage semelles isolées Photo II.4 : Ferraillage semelles filantes
15
II.2.3.4-Les murs de soubassement

Le mur de soubassement représente la partie inférieure des murs qui repose sur les fondations.
Il permet de soutenir les murs de façades et les murs porteurs. Par conséquent, sa réalisation
est une étape importante dans la construction. Dans notre projet ils sont montés avec des
agglos pleines de 15 cm, de 3 à 4 rangs selon la configuration du terrain, leurs rôles est de
recevoir les charges des murs façades et les transmettre aux semelles filantes.
II.2.3.5- Les longrines et les chaînages bas

Faisant partir des ouvrages de la fondation en béton armé, ils sont exécutés après les murs de
soubassement et dosé à 350Kg/m3 (Voir Annexe 2). Leur réalisation nécessite un bon
coffrage d’où :
 La qualité du bois de coffrage utilisé car un bois fragile est source d’accident ;
 Le niveau horizontal des fonds de coffrage ;
 L’utilisation des serre-joints pour l’équilibre et la mise à niveau des coffrages ;
 Le respect des ferraillages (HA8 en nappe inférieur, HA8 en nappe supérieur et HA6
pour les cadres).
Photo II.5 : Coffrage longrines et chaînages bas Photo II.6 : Coulage longrines et chaînage
II.2.3.6- La plateforme (le dallage)

La plateforme ou encore dallage est un ouvrage de grandes dimensions, généralement en
béton ou en béton armé, qui repose uniformément sur un sol bien compacté. Coulé par
panneaux, son ferraillage se fait avec des treillis soudés (HA6 espacés de 15 cm).
Pour la bonne exécution, il a fallu veiller à ce que :
 La fondation soit bien remblayée et compactée ;
 Le film polyane soit bien dresser sur le sol ;
 Les cales à béton soit bien disposé sous les treillis ;
 Le treillis soudé soit bien exécuté et bien posé ;
 Le dosage du béton soit respecté, soit 350 kg/m3.
16
Photo II.7 : ferraillage et bétonnage de la plateforme
II.2.4- Les travaux en superstructure

II.2.4.1-Murs en élévation RDC
Les murs sont des structures solides en maçonnerie, souvent fait en briques ou en agglos
(parpings), qui séparent ou délimitent deux espaces. Dans le bâtiment les murs forment des
pièces. En plus de définir l’espace intérieur du bâtiment, leur utilité est en règles générale de
supporter les étages et la toiture.
Nos murs en élévation sont réalisés en agglos industriels 15cm creux, avec une longueur de 40
cm et une hauteur de 20 cm. Ils sont montés sur toutes les façades arrière, avant et latérales puis
intérieures à l’aide d’un mortier qui constitue un joint pour agglos d’une épaisseur de 1.5 cm.
Nous avons procédé d’abord au traçage du bâtiment à l’aide du décamètre, du cordex, un niveau
maçon et une équerre métallique afin de garantir l’équerrage dans les différents angles du
bâtiment. Le plan utilisé dans cette phase est le plan de maçonnerie RDC. Ensuite, la
matérialisation des ouvertures et baies de porte. Enfin le montage des agglos par panneaux
Le système de montage mis en œuvre est le montage Italien, il s’agit d’un montage qui met en
exergue l’esthétique et l’économie.
Nous avons fait un contrôle strict sur :
 La conformité des tracés des murs avec les plans d’exécution ;

 La position et les dimensions des ouvertures (baies portes et baies fenêtre) ;
 La disposition des agglos ;
 L’épaisseur des joints en mortier (1.5cm) ;
 L’horizontalité des murs…
17
Photo II.8 : Montage des murs du RDC
II.2.4.2-Les poteaux et raidisseurs en élévations RDC

Les poteaux sont des ouvrages verticaux en béton armé directement reliés aux
fondations en l’occurrence aux semelles isolées. Leur fonction principale est d’assurer
la stabilité de la structure, recevoir les charges des ouvrages élémentaires depuis la
toiture et les transmettre aux fondations.
Les raidisseurs ou chaînages verticaux contrairement aux poteaux eux n’étaient pas
fondés et ont pour rôle de raidir les murs afin d’éviter les fissures, garantir la stabilité
de la maçonnerie.
Photo II.9 : Ferraillage et coffrage des poteaux et raidisseur du RDC
18
Le contrôle des ferraillages (façonnage et pose) :
Le rôle des aciers est de reprendre les efforts mécaniques (traction et cisaillement). Notre
action à ce niveau a été de contrôler la conformité avec les plans d’exécution tant lors du
façonnage que de la pose (Voir Annexe 6).
Pour mener à bien notre opération, l’on s’est rassuré des éléments suivants :
 La longueur de recouvrement 50Ø permettant un bon ancrage ;

 Le type d’acier (Acier à haute adhérence FE 500) ;
 Le diamètre des aciers ;
 Le respect de l’espacement des aciers longitudinaux ;
 La régularité des dimensions et l’espacement des aciers de couture (cadre, étrier) ;
 Le respect de l’enrobage 2 cm ;
II.2.4.3- Les linteaux

Le linteau est un ouvrage horizontal en béton armé, réalisé sur les murs en élévation après dix
(10) rangs de montage précisément au-dessus des baies de portes et fenêtres, il joue à peu près
le même rôle que les chaînages horizontaux sauf qu’il ne ceinture pas le bâtiment.
Ils sont ferraillés avec des barres porteuses dont le rôle est destiné à reprendre les efforts de
traction dans les zones tendu. Nous avons utilisés des HA12 en zone tendue, les HA8 en son
comprimées et des cadres de HA6 espacés de 15 cm.
Notons qu’après les linteaux, il existe le couronnement qui consiste à faire un montage de 3 à
4 rangs d’agglos sur les linteaux selon la retombée des poutres. Il permet d’atteindre le niveau
fini sous plancher de 3.15m pour les F6, F7 et 3.20m pour les F8, F9 tout en tenant compte des
attentes des poteaux.
Il convient de signaler que dans le cadre de notre projet il n’avait pas de chainage haut mais
plutôt les chaînages bas, les linteaux et des poutres.
Photo II.10 : Coffrage linteaux Photo II.11 : Bétonnage linteaux et poteaux
19
II.2.4.4- Les poutres et le plancher haut du RDC
Les poutres sont des ouvrages horizontaux en BA reliées directement aux poteaux.
Etant des éléments porteurs, elles ont pour rôles de transmettre la charges des planchés
aux poteaux.
Un plancher est un élément horizontal porteur qui détermine les différents niveaux des
étages. Il a pour fonction :
 Support des charges verticales (permanentes et exploitation) ;
 Liaison des éléments structuraux verticaux ce qui contribue à une amélioration de leur
stabilité et rigidité globales.
 Ecran isolant entre les étages : acoustique et thermique.
Il est constitué de dalle, de poutres et de poutrelles dont la combinaison peut résulter en différent
types de plancher. Dans le cadre de notre projet, les planchers sont avec des nervures et hourdis
Américains. De plus ils convient de noter que le coffrage, ferraillage et coulage se sont réalisés
au même moment que celui des poutres.
a- Les poutres
 Coffrage
Notons qu’après les linteaux, il existe le couronnement qui consiste à faire un montage de 3 à
4 rangs d’agglos sur les linteaux selon la retombée des poutres. Il permet d’atteindre le niveau
fini sous plancher de 3.15m pour les F6, F7 et 3.20m pour les F8, F9 tout en tenant compte des
attentes des poteaux. Il convient de signaler que dans le cadre de notre projet il n’avait pas de
chainage haut mais plutôt les chaînages bas, les linteaux et des poutres.
 Ferraillage
Façonné en tenant compte des sections et les charges qu’elles reçoivent, les poutres ont un
ferraillage renforcé tant dans la zone tendue (au centre) qu’au niveau des appuis car elles
travaillent plus en flexion. Les sections variaient de 15*40 cm2 à 15*75 cm2 dans tout le projet.
Pour se faire, nous avons utilisés des barres d’aciers HA8 pour est cadres et des HA10 ; HA12 ;
HA14 pour les longitudinales.
20
b- Le plancher haut RDC
 Coffrage
Le coffrage du plancher obéit à de étapes à savoir :
 Positionner les tirants (les chevrons) espacés de 1 m suivant la plus grande portée du
plancher. Ces tirants sont soutenus par de étais métalliques afin d’éviter la flexion et
la rupture des tirants ;
 Disposer les madriers (plancher de fond 30 cm) sur les tirants suivant le sens de la
plus petite portée avec un espacement entre axe de 60 cm ;
 Faire la ceinture du bâtiment avec des planches fond 30 cm qui définissent l’arrêt du
béton lors du coulage. (Voir Annexe)
 Ferraillage
Le ferraillage est l’opération qui consiste à disposer les armatures (nervures) horizontalement
entre les hourdis, en respectant un espacement entre axe de 60 cm. Les hourdis utilisés étaient
de type Américains industriels de dimensions 16*50*20 cm.
 Nervure
 Sens longitudinal : selon les charges appliquées par zone nous avons utilisés des
HA de diamètre 10mm et 12mm.
 Sens transversal (étriers) HA de diamètre 6mm
 Les aciers chapeaux
 Les chapeaux utilisés avaient des diamètres HA 10mm.
Photo II.12: Ferraillage des nervures Photo II.13 : Pose des hourdis
21
II.2.4.5- La trémie et l’escalier
 La trémie d’un escalier

La trémie d’un escalier est une ouverture dans les planchers des étages. Il s’agit d’un vide
permettant d’installer l’escalier et de passer d’un étage à un autre. La création d’une trémie
implique donc la réservation d’un espace dans la structure porteuse. Notre trémie d’escalier
avait pour longueur 6.30 m et largeur 1.30 m. Il est conseillé, si c’est possible que la largeur
de la trémie soit supérieure à 80 cm afin que l’escalier soit confortable. La longueur ne peut se
déterminer qu’en fonction de la pente de l’escalier.
 L’escalier
Un escalier est une construction architecturale constituée d’une suite régulière de marches, ou
de degré, permettant d’accéder à un étage, de passer d’un niveau à un autre en montant ou en
descendant. Le type d’escalier réalisé au cours de notre projet était les escaliers en L.
Etant un ouvrage en BA, il a été également coffré et son coffrage s’est réaliser au même moment
que celui du plancher haut du RDC.
En ce qui concerne son ferraillage, nous avons utilisés les HA 6 pour les cadres, HA 12 pour le
palier de repos, HA10 pour les barres longitudinales et les HA8 pour les aciers chapeaux et les
aciers chevaliers.
Pour le béton, il a été dosé à 350 kg/m3 avec un ciment CPJ 32.5R et coulé au même moment
que le plancher haut RDC.
II.2.4.6- Plomberie et électricité du plancher haut RDC
 La plomberie
La plomberie du plancher consiste à encastrer dans le plancher la tuyauterie d’évacuation qui
devient désagréable à voir quand elle apparaît. C’est une solution efficace et intéressante quand
les systèmes d’évacuation EU, EV et EP sont difficiles à raccorder à cause de la configuration
du bâtiment. Les tuyaux PVC sont de diamètre 100 mm, 110mm et 120mm. (Voir Annexe 4)
 L’électricité
L’électricité du plancher consiste à réserver dans le plancher le passage des gaines d’électricité
et des tubes orange pour câbles électrique avant le bétonnage de la dalle. Cette opération
demande un attention très particulière afin d’éviter les erreurs. (Voir Annexe 9)
22
Photo II.14 : Réservation des PVC Photo II.15: Réservation des tubes orange
II.2.4.7- Les treillis soudés

Un treillis soudé est une armature pour le béton armé, présentée en plaques ou en rouleaux, de
barres d’armatures croisées et assemblées par soudure. Façonné avec des aciers HA de diamètre
6 mm, la disposition se fait selon les nappes à savoir :
Nappe supérieure
 Sens longitudinal HA de diamètre 6mm
Nappe inférieure
 Sens transversal HA de diamètre 6
Photo II.16 : Ferraillage des treillis soudés
23
II.2.4.8- Contrôle du plancher haut RDC

En ce qui concerne le contrôle du plancher, nous nous sommes rassurés que :
 Les hourdis sont bien disposés dans le sens de la plus petite portée;
 Les nervures sont disposées normalement, également dans le sens de la petite portée ;
 L’horizontalité du coffrage est bien vérifiée ;
 Le ferraillage du plancher, respecte les normes (plan de ferraillage) ;
 L’épaisseur du plancher est vérifiée ;
 Le ferraillage des treillis soudés et la pose des calles à béton.
II.2.4.9- Bétonnage du plancher haut RDC

Le coulage du plancher haut s’est effectué dans la soirée, avec une Bétonnière et une équipe de
bétonnage, nous avons veillés à la qualité des matériaux (sable, gravier, ciment et l’eau) ceci en
présence d’un agent de l’ICL-BTP qui a jugé bon la qualité la qualité des matériaux utilisé.
Pour le dosage, il était de 350 kg /m3 de ciment CPJ 32.2R et le contrôle a exigé :
 Une brouette de sable de 50 litres rempli à bord ras ;

 Deux brouettes de gravier 5/15 de 50 litres remplis à bord ras ;
 Un sac de ciment de 50 kg ;
 La quantité d’eau est appréciée par le machiniste.
II.2.4.10- Les murs en élévation de l’étage
Pour réaliser les murs en élévation de l’étage, tout comme ceux du RDC nous avons procédé
d’abord au traçage du bâtiment à l’aide du décamètre, du cordex, un niveau maçon et une
équerre métallique afin de garantir l’équerrage dans les différents angles du bâtiment. Le plan
utilisé dans cette phase été le plan de maçonnerie de l’étage. Ensuite, la matérialisation des
ouvertures et baies de porte. Enfin le montage des agglos par panneaux, par des maçons
professionnels. Notons bien que les agglos utilisées pour les montages en élévation dans ce
projet étaient tous agglos creux industriels. (Voir Annexe)
Nous avons fait un contrôle strict sur :
 La conformité des tracés des murs avec les plans d’exécution ;

 La position et les dimensions des ouvertures (baies portes et baies fenêtre) ;
 La disposition des agglos ;
 L’épaisseur des joints en mortier (1.5cm) ;
 L’horizontalité des murs…
24
II.2.4.11- Les poteaux et raidisseurs de l’étage

Les poteaux et raidisseurs de l’étage ont été exécuté conforment aux plans de ferraillage de
l’étage. Concernant les coffrages et le dosage en matériaux, nous avons suivis les mêmes
méthodes et techniques que les poteaux et raidisseurs du RDC.
II.2.4.12- Le plancher haut de l’étage (toiture terrasse non-accessible)

Etant le dernier niveau de l’ouvrage, il joue le rôle de toiture (toiture terrasse non accessible).
Notre toiture terrasse inaccessible était une dalle à corps creuse sans trémie d’escalier. Le
plancher haut de l’étage fut réalisé conformément aux plans de coffrage, de pose de hourdis et
de ferraillage. En ce qui concerne le coulage de béton, nous avons adoptés les mêmes dosages
de celui du plancher haut RDC.
II.2.4.13- L’acrotère
L’acrotère est un couronnement en béton armé situé en bordure de la toiture terrasse non
accessible, dans le prolongement de ses murs de façades. Ayant une hauteur de 60 cm et ferraillé
avec des HA 6 et HA 8, il permet de coller une étanchéité à chaud côté extérieur et possède des
passages pour l’évacuation des eaux de pluie.
II.2.5- Les matériels et matériaux utilisés

a- Matériels utilisés
Les différents matériels utilisés au cours des travaux sont aussi multiples que divers, il s’agit
donc des :
Truelles– Pelles – Pioches – Taloches – Cisailles – Tenailles – Seaux – Marteaux – Râteau -
Cordeaux – Niveaux à bulles – Tuyaux souples– Brouettes – Chariot-Serre-joints – Arrache-
clous – Fil à plomb – Règles métalliques – Equerres – Doubles décamètres – Mètres – Poulies
– Fers d’angle – Scies à métaux– Chiffons – Arrosoirs – l’aiguille vibrante.
b- Matériaux utilises
En ce qui concerne les matériaux utilisés sur le chantier, les plus courants sont les
suivants :
Ciments CPJ 32.5R– Sables – Graviers 15/25 – Gravier 5/15 – Barres d’acier à haute
adhérence – Bois (menuiserie) – Tuyaux pvc – tubes orang – etc.
25
II.2.6-ETATS D’AVANCEMENTS DES TRAVAUX PAR

MODULE
Tableau 3 : Avancement des travaux




DESIGNATIONS KARITE F6 RAPHIA F7 SAMBA F8 EBENE

AVANCEMENTS AVANCEMENTS AVANCEMENTS AVANCEMENTS
EN % EN % EN % EN %
TERRASSEMENT 5 5 5 5
FONDATION 10 10 10 10
ELEVATION DU 15 15 15 15
REZ-DE-CHAUSSEE
PLANCHER HAUT 20 20 20 20
DU RDC
ELEVATION DU 15 15 0 15
PLANCHIER HAUT
RDC
PLANCHER HAUT 20 20 0 20
DE L’ETAGE
CHAPE 0 0 0 0
CREPISSAGE 0 0 0 0
ETANCHEITE 0 0 0 0
% GLOBAL PAR 85 85 50 85
BÂTIMENT
% GLOBAL 76.25
26






TROISIEME PARTIE :
ANALYSE DU STAGE
























27
III.1- BILAN DU STAGE
Tout au long de mon stage, nous étions ponctuels au travail. Dès 8h Chaque équipe exécutait
les consignes du conducteur des travaux. Et tout le monde se mettait au travail. Durant tout le
projet, à chaque étape de réalisation des ouvrages (fondation, longrines, plateformes, poteaux,
linteaux, poutres et planchers), le conducteur des travaux appelait le bureau VERITAS pour la
validation du ferraillage avant le bétonnage. Il convient de signaler également que la qualité
du béton ainsi que les matériaux utilisés faisait l’objet d’un contrôle sérieux par le laboratoire
ICL-BTP.
Après la réalisation des ouvrages avec leurs mesures respectives sur le plan, nous effectuons
des réunions chaque samedi pour rendre compte de l’évolution du chantier et noter les
suggestions du Maitre d’Ouvrage.
Le Maitre d’Œuvre attirait rigoureusement mon attention sur la verticale des murs et des
poteaux car ces ouvrages sont porteurs des poutres et de chainage.
Le stage m’a permis de :
 Comprendre le fonctionnement de l’Administration, en termes de respect de la

hiérarchie et de responsabilité administrative ;
 Cultiver un savoir-être et bien d’autres qualités socioprofessionnelles ;
 Me retrouver dans une bonne ambiance de travail avec un autre stagiaire ;
 Apprendre la gestion du personnel de chantier ;
 Découvrir dans le service d’accueil un personnel hautement humain dans ses relations
professionnelles.
Le stage m’a donné l’heureuse occasion de :
- Pratiquer ce que j’ai appris en théorie à l’école ;

- Tester certaines connaissances reçues à l’école ;
- Mieux mettre en pratique mes savoirs et savoir-faire ;
- Développer un savoir-être en milieu professionnel ;
- D’être en contact direct avec les matériels et outils utilisés dans le bâtiment, tels que les
truelles, les pioches, les pelles, le niveau, le fil à plomb, la règle l’équerre ;
- Manipuler les matériaux pendant la mise en œuvre des différents ouvrages ;
- Tisser des relations de qualité avec des hommes du métier ;
- Cultiver l’esprit d’équipe, la solidarité et la bonne ambiance au travail.
Le stage effectué à BLUMBERG GROUP m’a permis de déceler certaines insuffisances que
je gagnerais à corriger.
28
III.2- CRITIQUES

III.2.1-Au niveau de la structure de formation

Après mes 3 ans de formation à L’IUA, il est important de souligner que l’IUA est confronté à
quelques problèmes et ces problèmes affectent la formation des futurs ingénieurs. Parmi ces
problèmes, on peut citer :
 L’absence de travaux pratiques au cours des deux années universitaires (licence 2 et

licence 3) ;
 Manque d’appareils topographiques pour un meilleur apprentissage ;
 Manque de cours de plomberie ;
L’absence de cours en plomberie affaiblie notre connaissance en Génie Civil Bâtiment
; par conséquent nous recevrons une formation incomplète pour nous futurs ingénieurs.
Nous sommes donc impuissants face à un plan de plomberie.
III.2.2- Au niveau de La société BLUMBERG GROUP

Les insatisfactions ne sont pas nombreuses car le stage s’est déroulé dans de bonne condition.
Néanmoins, il convient de noter le non-respect des mesures de sécurité sur le chantier (les
équipements de protection individuel) et le manques de véhicule pour le déplacement des
responsables sur le chantier.
III.3- SUGGESTIONS
III.3.1- Au niveau de BLUMBERG GROUP

 Il faudrait acquérir des équipements de travail suffisant pour les ouvriers.
 Donner aux stagiaires plus de possibilités d’apprentissage au bureau, en leur confiant
des travaux de bureau pour leur permettre de mettre en œuvre leurs connaissances
théoriques apprises à l’école.
III.3.2- Au niveau de la structure de formation

Il sera nécessaire d’améliorer la maquette de formation et de prendre en compte toutes les
critiques que nous avons formulés. Nous souhaitons voir figurer dans la maquette pédagogique
le cours de plomberie ainsi que les séances de travaux pratiques (béton armé, résistances des
matériaux, topographie et géotechnique).
29
CONCLUSION
Au terme de notre stage qui consistait à suivre et réaliser les travaux de gros œuvre de
villas duplex haut standing, nous pouvons affirmer que nous avons atteint les objectifs qui
nous ont été confié, à savoir la réalisation du gros œuvre de quatre (4) duplex.
Ce stage effectué au sein de la société BLUMBERG GROUP nous a permis d’associer la

pratique à la théorie reçue au département des sciences de l’Ingénieur de l’Institut
Universitaire d’Abidjan (IUA). Il a développé en nous certaines qualités, telles que le sens de
la précision, la rigueur, le respect des procédures, le goût du terrain, et le sens artistique. Il
nous a également permis de comprendre le fonctionnement de l’Administration, en termes de
respect de la hiérarchie et de responsabilité administrative. Il a renforcé nos compétences et
nous a donné de l’assurance, au point que nous nous sentons suffisamment aguerrie et tout à
fait apte à embrasser une brillante carrière dans le domaine du Génie Civil /Construction-
Bâtiment.
30
Références Bibliographies
1. Cours de dessin d’architecture: M. COULIBALY, Ingénieur en Ouvrage d’art.
2. Cours de technologie du bâtiment : M. IRIE
3. Cours de Béton Armé 2 : M. COULIBALY Djakaridja, Ingénieur en Ouvrage

d’art.
4. Cours de Géotechnique : M. SORO Douyéri, Ingénieur des Travaux Publiques
5. Cours de Topographie : M. DIARRA Arouna, Ingénieur génie civil et

hydraulique
6. Charte des mémoires de l’école d’ingénierie IUA
7. Cours de Matériaux de Construction : M. DIARRA Arouna, Ingénieur génie civil

et hydraulique
8. Site WEB : WWW.Google.com et www.Almohandiss.com
31
ANNEXES
Annexe 1 : Plan de Situation
Annexe 2 : Plan de fondation
Annexe 3 : Plan de ferraillage des semelles
Annexe 4 : Plan de plomberie évacuation et alimentation du
RDC
Annexe 5 : Plan de maçonnerie du RDC
Annexe 6 : Plan de ferraillage des poteaux et raidisseurs
Annexe 7 : Plan de coffrage plancher haut du RDC
Annexe 8 : Plan de pose des nervures
Annexe 9 : Plan d’électricité éclairage du RDC
Annexe 10 : Plan de maçonnerie de l’étage
Annexe 11 : Plan de coffrage de la toiture terrasse
Annexe 12 : Plan de plomberie évacuation et alimentation de
l’étage
Annexe 13 : Plan d’électricité éclairage de l’étage
Annexe 14 : Plan aménagement du RDC
Annexe 15 : Plan aménagement de l’étage
Annexe 16 : Coupe A-A
Annexe 17 : Coupe B-B
Annexe 18 : Façade principale
IX
Annexe 1 : Plan de Situation
X
Annexe 2 : Plan de fondation
XI
Annexe 3 : Plan de ferraillage des semelles
Semelles filante :
Semelles isolées :
XII
Annexe 4 : Plan de plomberie évacuation et alimentation du

RDC
XIII
Annexe 5 : Plan de maçonnerie du RDC
XI
Présenté par : DOSSO Zran Abdoulaye Elève Ingénieur Génie Civil V
Annexe 6 : Plan de ferraillage des poteaux et raidisseurs

 Poteaux
 Raidisseurs
XV
Annexe 7 : Plan de coffrage du plancher haut du RDC
XV
Annexe 8 : Plan de pose des nervures
XV
Présenté par : DOSSO Zran Abdoulaye Elève Ingénieur Génie Civil II
Annexe 9 : Plan d’électricité éclairage du RDC
XV
Présenté par : DOSSO Zran Abdoulaye Elève Ingénieur Génie Civil III
Annexe 10 : Plan de maçonnerie de l’étage
XI
Présenté par : DOSSO Zran Abdoulaye Elève Ingénieur Génie Civil X
Annexe 11 : Plan de coffrage de la toiture terrasse
XX
Annexe 12 : Plan de plomberie évacuation et alimentation de

l’étage
XX
Annexe 13 : Plan d’électricité éclairage de l’étage
XX
Présenté par : DOSSO Zran Abdoulaye Elève Ingénieur Génie Civil II
Annexe 14 : Plan d’aménagement du RDC
XX
Présenté par : DOSSO Zran Abdoulaye Elève Ingénieur Génie Civil III
Annexe 15 : Plan d’aménagement de l’étage
XX
Présenté par : DOSSO Zran Abdoulaye Elève Ingénieur Génie Civil IV
Annexe 16 : Coupe A-A
XX
Présenté par : DOSSO Zran Abdoulaye Elève Ingénieur Génie Civil V
Annexe 17 : Coupe B-B
XX
Présenté par : DOSSO Zran Abdoulaye Elève Ingénieur Génie Civil VI
Annexe 18 : Façade principale
XX
Présenté par : DOSSO Zran Abdoulaye Elève Ingénieur Génie Civil VII

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Suivi et contrôle des travaux de construction de villas duplex haut standing

Je rends grâce à Dieu et dédie particulièrement ce modeste travail à :

Je ne saurai combien de fois avant la présentation de ce rapport adresser mes sincères

Je remercie également mes deux ainés du campus, Monsieur METANGMO Alex et

Enfin, j’exprime toute ma reconnaissance au fondateur de l’IUA, M. AKA Kouamé, au chef

 Génie Mécanique et Energétique ;

PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE…………...2

DEUXIEME PARTIE : SUIVI ET CONTRÔLE DES TRAVAUX DE

II.2- SUIVI ET CONTRÔLE DES TRAVAUX…………………………….12

II.2.1- Etat des lieux…………………………………………………………..…………...12

a- Exécution et contrôle des fouilles……………………………………………..13

II.2.4- Les travaux en superstructure………………………………………………………..17

II.2.6- ETAT D’AVANCEMENTS DES TRAVAUX……................................26

TROISEME PARTIE : ANALYSE DE STAGE……………………………....27

III.3.1- Au niveau de la société BLUMERG GROUP……………………………………...29

III.3.2- Au niveau de la structure de formation…………………………………………….29

IUA Institut Universitaire d’Abidjan

LISTE DES TABLEAUX

Tableau 1 : Les sous-traitants par corps d’état

SUIVI ET CONTRÔLE DES TRAVAUX :

- Boite Postale : 22 BP 742 Abidjan 22 ;

I.2- STATUT JURIDIQUE

- N° Compte Contribuable : 1802276 C établi le 19/01/2018 à Abidjan ;

La société a pour objet en Côte d’Ivoire et partout ailleurs :

I.4- STRUCTURE DE L’ENTREPRISE

 Deux (2) Ingénieurs Financiers

INGENIEURS ET COORDONATEUR SERVICE

² Figure I.1 : Une bétonnière

Photo I.1 : Une bétonnière

Photo I.2 : Une aiguille vibrante Photo I.3 : Un engin Manitou

Photo I.4 : Un niveau optique de chantier

Photo I.5 : Un Compacteur

Photo I.6 : Des étais métalliques Photo I.7 : Un fil à plomb

Photo I.8 : Un bureau de chantier

SUIVI ET CONTRÔLE DES

II.1- PRESENTATION DU PROJET DE CONSTRUCTION

II.1.1- Situation géographique

II.1.2- Les détails des logements

II.1.3- Présentation des entreprises intervenantes dans le projet de

II.1.4- Les sous-traitants

Travaux Tacherons (prestataires)

II.1.5- L’organisation du chantier

Tableau 2 : Nombre d’ouvrier par poste

EQUIPES NOMBRES D’OUVRIERS

II.2- SUIVI ET CONTÔLE DES TRAVAUX

 Le gros œuvre qui concerne les éléments porteurs du bâtiment.

II.2.2- Les missions assignées

 Gérer le personnel du chantier ;

II.2.3- Les travaux d’implantation et d’infrastructure

a- Exécution et contrôle des fouilles

 Fouilles en tranchée : largeur de 80 cm et 1.50 m de profondeur

b- Contrôle des matériaux

II.2.3.2-Le béton de propreté

Pour un dosage à 150 kg/m3 de ciment, le contrôle a exigé :

Photo II.1 : Exécution des fouilles Photo II.2 : Béton de propreté

Ferraillage semelles filantes :

Ferraillage des semelles isolées :

Contrôle des semelles :

 Une brouette de sable de 50 litres rempli à bord ras ;

II.2.3.4-Les murs de soubassement

II.2.3.5- Les longrines et les chaînages bas

II.2.3.6- La plateforme (le dallage)

Photo II.7 : ferraillage et bétonnage de la plateforme