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24 CHAPTER24
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To find the average speed, we note that during a time t if the velocity remains a
positive constant, then the speed is equal to the magnitude of velocity, and the
distance is equal to the magnitude of displacement, with d | x | vt.
ANALYZE
(a) During the first part of the motion, the displacement is x1 = 40 km and the time
taken is
(40 km)
t1 1.33 h.
(30 km / h)
Similarly, during the second part of the trip the displacement is x2 = 40 km and the
time interval is
(40 km)
t2 0.67 h.
(60 km / h)
The total displacement is x = x1 + x2 = 40 km + 40 km = 80 km, and the total time
elapsed is t = t1 + t2 = 2.00 h. Consequently, the average velocity is
(b) In this case, the average speed is the same as the magnitude of the average
velocity: savg 40 km/h.
(c) The graph of the entire trip, shown below, consists of two contiguous line
segments, the first having a slope of 30 km/h and connecting the origin to (t1, x1) =
(1.33 h, 40 km) and the second having a slope of 60 km/h and connecting (t1, x1)
to (t, x) = (2.00 h, 80 km).
From the graphical point of view, the slope of the dashed line drawn from the origin
to (t, x) represents the average velocity.
LEARN The average velocity is a vector quantity that depends only on the net
displacement (also a vector) between the starting and ending points.
4. Average speed, as opposed to average velocity, relates to the total distance, as opposed
to the net displacement. The distance D up the hill is, of course, the same as the distance
down the hill, and since the speed is constant (during each stage of the
25 CHAPTER25
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Dup Ddown 2D
t up t down D
D
vup vdown
which, after canceling D and plugging in vup = 40 km/h and vdown = 60 km/h, yields 48
km/h for the average speed.
x 14 m
v avg 7 m/s.
t 2s
(g) The position of the object for the interval 0 t 4 is plotted below. The straight line
drawn from the point at (t, x) = (2 s, –2 m) to (4 s, 12 m) would represent the average
velocity, answer for part (f).
26 CHAPTER26
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LEARN Our graphical representation illustrates once again that the average velocity
for a time interval depends only on the net displacement between the starting and ending
points.
6. Huber’s speed is
v0 = (200 m)/(6.509 s) =30.72 m/s = 110.6 km/h,
where we have used the conversion factor 1 m/s = 3.6 km/h. Since Whittingham beat
Huber by 19.0 km/h, his speed is v1 = (110.6 km/h + 19.0 km/h) = 129.6 km/h, or 36
m/s (1 km/h = 0.2778 m/s). Thus, using Eq. 2-2, the time through a distance of 200 m
for Whittingham is
x 2 0 0 m
t 5.554 s.
v1 36 m/s
7. Recognizing that the gap between the trains is closing at a constant rate of 60 km/h,
the total time that elapses before they crash is t = (60 km)/(60 km/h) = 1.0 h. During
this time, the bird travels a distance of x = vt = (60 km/h)(1.0 h) = 60 km.
8. The amount of time it takes for each person to move a distance L with speed vs is
t L / vs . With each additional person, the depth increases by one body depth d
D 5.0 m
t 10 s
R 0.50 m/s
JUPON
« Quand la Reine du ciel posa le pied sur le sol, c’est sur cette
pierre qu’elle le posa. » Il faut croire qu’elle était fatiguée du voyage,
car elle pesa lourdement.
Comme bien vous le supposez, les Tolédains furent
excessivement flattés de cette bonne visite. Mais dans l’impossibilité
de la lui rendre ils ont tenu à lui prouver leur gratitude, et par de
petits cadeaux entretenir cette amitié distinguée.
Dans une chapelle belle comme un rêve des Mille et une Nuits,
ils parèrent leur Vierge comme jamais sultan amoureux ne para
l’odalisque chérie. Ils lui achetèrent les plus riches écrins, la plus
somptueuse des garde-robes. Certaines de ces jupes sont chargées
de pierreries d’une valeur de plusieurs millions de réaux. A chaque
fête de l’année, on renouvelle sa toilette, on lui change de robe, de
diadème, de boucles d’oreilles, de bagues, de collier.
Le grand luxe des dames espagnoles consistant principalement
en bagues, il est tout naturel que la Dame du Paradis en soit
chargée.
Vous avouerez avec moi que les bons Tolédains ne pouvaient
mieux faire les choses et montrer plus décemment combien ils
étaient sensibles aux excellents procédés de la Mère de Dieu.
En m’extasiant devant cette splendide toilette, l’idée me vint de
demander si le trousseau était complet, si enfin en lui changeant de
robe on lui changeait aussi de chemise.
Le sacristain que j’interrogeai timidement me répliqua, indigné de
mon doute :
« Une chemise ! certainement elle a une chemise, et toute brodée
de fleurs d’argent.
— Ah !
— Oui, monsieur, et je vous prie de croire qu’elle est aussi propre
que le reste. »
Le reste ! quel reste ? Le fonctionnaire avait une mine si
rébarbativement dévote que je n’osai pousser plus loin mes
investigations.
A côté d’une aussi somptueuse Vierge, le pauvre Jésus fait triste
figure, sur sa vieille croix de bois, affublé de son jupon qu’on
change, j’espère, aussi quelquefois.
Que n’est-il venu rendre visite, comme sa mère, à la cathédrale
de Tolède !
Devant cet inconvenant jupon, je me suis remémoré le mot de
Diderot : « L’indécent n’est pas le nu, mais le troussé, » car il me
semble placé là tout exprès pour donner une furieuse envie aux
curieuses petites Espagnoles de le trousser pour voir ce qu’il y a
dessous.
Ce jupon, dont on affuble non seulement Jésus, mais les deux
larrons qui le flanquent, est un obstacle sérieux à l’investigation que
citait Fra Gabriele de Barletta, l’une des lumières de la chaire au
quinzième siècle, et dans les sermons macaroniques duquel la
Fontaine tira, dit-on, sa fable des Animaux malades de la peste.
Prêchant à Naples pendant un carême, il raconta aux dévotes
extasiées que la belle Samaritaine reconnut Jésus-Christ à trois
choses : son vêtement râpé, sa barbe blonde et sa circoncision.
Voilà qui était pousser un peu loin l’examen !
XXIII
LES BONNES LAMES DE TOLÈDE