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DIF: 3 REF: 10
5. Pipets that must be rinsed in order to deliver the measured volume are known as
______ pipets. Pipets that deliver the measured volume without rinsing are known as
______ pipets. ______ pipets are not to be blown out when delivering the full volume
of the pipet.
a. to contain (TC), to deliver (TD), serological
b. to contain (TC), to deliver (TD), volumetric
c. to deliver (TD), to contain (TC), serological
d. to deliver (TD), to contain (TC), volumetric
ANS: B
To contain (TC) pipets must be rinsed out in order to deliver the volume measured by
the pipet. To deliver (TD) pipets will deliver the measured volume without rinsing.
Volumetric pipets deliver the exact volume measured with a high degree of accuracy
after draining and require no “blow out.”
DIF: 1 REF: 10
6. Suppose you are setting up an assay in which patient samples are run in duplicate. All
duplicate patient results match except for one. Which of the following would be a
reasonable explanation (or explanations) for the lack of reproducibility for the patient
results?
a. The pipet tip for one of the patient analyses was not placed tightly on the
micropipet.
b. The patient sample was “wicked” out when wiping the pipet tip.
c. The technologist did not depress the piston of the micropipet to the second stop
when delivering patient sample in one of the analyses.
d. All of the above
ANS: D
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Test Bank 1-3
Micropipets work on the principle of air displacement. If the disposable micropipet tip
is not placed on the micropipet tightly, there will be improper air displacement,
resulting in errant volume delivery. Likewise, if care is not taken when wiping
extraneous droplets from the pipet tip, some patient sample will be removed (wicked)
from the tip, also causing errant volume delivery. Finally, depressing the piston of the
micropipet to the second stop is important in complete volume delivery.
DIF: 3 REF: 14
DIF: 1 REF: 17
DIF: 1 REF: 18
9. The force produced by centrifugation is relative centrifugal force (RCF). The units for
RCF are expressed as:
a. rpm
b. radius
c. number of times greater than gravity
d. there are no units for RCF
ANS: C
RCF units are expressed as number of times greater than gravity. For example, RCF
may be expressed as 1200 g or 1200 • g.
DIF: 1 REF: 20
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Test Bank 1-4
10. A fire associated with actively operating electrical equipment is classified as a ______
fire. The most appropriate type of fire extinguisher for this type of fire would be
______.
a. Class A, halotron
b. Class B, carbon dioxide
c. Class C, halotron
d. Class A and B, dry chemical
ANS: C
Fires involving electrical equipment that is actively operating are Class C fires.
Halotron fire extinguishers are preferred in this system because there is no damage to
the equipment following use.
DIF: 1 REF: 24
11. According to the Hazards Identification System developed by NFPA, the blue
diamond indicates:
a. the reactivity-stability hazard of the chemical
b. any special hazard information about the chemical
c. the flammability hazard of the chemical
d. the health hazard associated with the chemical
ANS: D
The blue diamond is located on the left side of the NFPA diamond and serves to
identify the health hazard associated with the chemical on a scale of 0 to 4.
DIF: 1 REF: 26
12. Sodium azide is used in small amounts as a preservative in laboratory reagents. What
is the safety concern associated with sodium azide?
a. it can become explosive
b. it can become volatile
c. it is an environmental hazard
d. it acts as a strong acid
ANS: A
Azides form explosive salts with metals such as iron and copper. Buildup of these
metallic salts in laboratory sinks and sewers can be detonated by mechanical shock.
DIF: 1 REF: 27
13. What dilution is necessary to make an 18 mg/L solution from a 30 mg/L solution?
a. 1:5 dilution
b. 3:5 dilution
c. 2:3 dilution
d. 1:3 dilution
ANS: B
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Test Bank 1-5
A useful technique to determine what dilution is needed when converting from one
concentration to a lower concentration when given only the beginning and ending
concentrations is to create a fraction of the concentration wanted over the
concentration needed and reduce. (If you divide, this will not work!) In this case,
18/30 can be reduced to 3/5, thus the required dilution is a 3:5 dilution.
DIF: 2 REF: 32
14. How many mL of a 10 mg/L solution must be diluted to 100 mL to produce 100 mL of
a 0.1 mg/dL solution?
a. 1 mL
b. 5 mL
c. 10 mL
d. 50 mL
ANS: C
The equation V1C1 = V2C2 would be used to solve this problem. When using this
equation, the units for concentration must match. Thus the first step in this problem is
to convert 0.1 mg/dL to 1 mg/L. Now V1 is unknown, C1 = 10 mg/L, V2 = 100 mL,
and C2 = 1 mg/L. Solving the equation, V1 = 10 mL.
DIF: 2 REF: 32
DIF: 2 REF: 33
16. What is the molarity (M) of a solution prepared by placing 10 g of NaOH (MW = 40)
in a flask and diluting to 500 mL?
a. 0.25 M
b. 0.5 M
c. 1.0 M
d. 2.5 M
ANS: B
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garçon boucher sont-ils seuls à porter au côté l’instrument de leur
profession, l’un le sabre et l’autre la pierre à affûter ? On reste
stupéfait de la vénération qui s’attache aux emblèmes honorifiques.
Pourquoi des hommes inspirent-ils plus de respect en s’enveloppant
les jambes dans l’unique fourreau d’une robe que dans les deux
fourreaux d’un pantalon ? Passe-t-il un enterrement ? Stupeur
nouvelle. Bien qu’ils aient l’horreur et l’effroi de la mort, les hommes
la saluent comme une amie et les femmes l’honorent du même signe
que leur dieu. Tous tolèrent, bien qu’ils cherchent à l’écarter de leur
pensée, qu’elle s’impose en spectacle, conduite par un cocher à
silhouette de polichinelle, entourée de déguisés macabres, suivie
d’une foule où tout choque, la douleur vraie qui s’exhibe, et
l’indifférence qui se masque mal.
Ainsi, qu’on lise un journal, un livre, ou qu’on observe la vie de ce
regard dépouillé, nos mœurs ne cessent pas de surprendre. Leurs
lois apparaissent incohérentes, mettant ici de la honte sur une
maladie, là de la gloire sur le massacre, parfois aussi injuste dans
leurs pudeurs que dans leurs enthousiasmes, dans leurs sévérités
que dans leurs indulgences, dans le choix de leurs victimes
innocentes que dans celui de leurs héros malfaisants.
C’est pourquoi un rigoureux examen s’impose, devant l’amas des
coutumes, énorme bric-à-brac hérité d’un passé proche ou lointain,
où se côtoient l’excellent et le pire, le robuste et le vermoulu, le
grotesque et le charmant. Autant il importe de conserver, de
consolider les bons usages, autant il est juste de travailler à détruire
les mauvais.
La vie en souplesse.
L’inutile tristesse.
Le « plan du réel ».
« Mais, en montrant aux enfants la vie telle qu’elle est, vous allez
en faire d’affreux petits sceptiques, des pessimistes féroces et
recroquevillés ! » Telle est l’objection qui se dresse contre cette vue.
Elle ne me paraît pas fondée. L’éducation au foyer permet le tact, la
mesure, la prudence, l’art patient des préparations. Par elle,
l’adolescent ne sera-t-il pas mieux initié aux réalités que par le choc
brutal de ces réalités mêmes ? Et puis, à tout prendre, si l’existence
doit lui réserver des étonnements, ne doit-on pas préférer, à la triste
surprise des désillusions, la surprise heureuse de découvrir ce qu’il y
a — malgré tout — de joli, d’élégant dans la vie ?
S’il était bien entendu, bien admis, que la discrétion humaine est
toujours relative, qu’elle n’est jamais absolument étanche,
imperméable, on n’aurait pas de déception chaque fois qu’on
apprend une indiscrétion.
Et, de plus, on ne confierait à personne ce qu’on ne veut
absolument pas divulguer.
Le déterminisme.
Être déterministe c’est, surtout, croire que nos actes, que nos
paroles, sont déterminés par des influences qui s’exercent sur nous,
des réactions qui se développent en nous, mais dont nous ne
sommes pas maîtres, pas plus que nous ne sommes maîtres des
phénomènes de notre vie physique. Toutes ces forces se combinent,
se composent, aboutissent à une résultante, qui est notre acte ou
notre parole. Notre conscience enregistre cette délibération, mais ne
la dirige pas. Si j’analyse le plus simple de mes gestes, saisir un
objet, marcher vers un but, je vois que j’obéis à un ensemble de
sollicitations que je n’ai pas provoquées spontanément.
Au moment où nous croyons prendre librement une résolution,
toutes ces voix intérieures ont déjà délibéré, conclu à cette décision.
Nous n’avons que l’illusion de la volonté. La sphère mentale est un
véritable parlement, où les instincts se groupent, délibèrent,
expriment enfin, par un vote décisif, la volonté de l’organisme tout
entier, comme le vote parlementaire exprime la volonté nationale.
Même dans notre langue usuelle, les mots trahissent ce travail
intérieur : on pèse le pour et le contre, on balance, on se résout, on
se détermine.
Les deux grands mots profonds des enfants sont : « Ce n’est pas
ma faute » et : « Je ne l’ai pas fait exprès ». Ils ont bien raison. C’est
tout le fond du déterminisme. Mais s’ensuit-il qu’il n’y ait pas de suite
à donner à leurs petits délits ? Et que cela les absolve et leur
permette de recommencer ? Cent mille fois non ! Voilà l’erreur des
gens qui prétendent que nous sommes libres de faire le bien et le
mal et qui accusent les doctrines déterministes d’être dissolvantes.
Pas du tout. Quand un enfant attrape la rougeole, ce n’est pas sa
faute. Il ne l’a pas fait exprès. On le soigne, pourtant. Eh bien, de
même quand il a commis une faute. On s’efforce d’en découvrir les
causes, d’en montrer les inconvénients, d’en éviter le retour.
On peut agir sur ses sentiments dans la mesure où l’on peut agir
sur son organisme. Il semble qu’on puisse soigner une crise morale
comme on soigne une maladie, en puisant dans le désir de guérir
l’énergie nécessaire à la cure. Les remèdes sont analogues dans les
deux cas. Les révulsifs, les dérivatifs, deviennent, dans la maladie
morale, les distractions qui détournent l’esprit de sa hantise et le
portent vers d’autres objets. Il y a des anesthésiants qui endorment
la sensibilité douloureuse, par exemple une saine fatigue, un labeur
acharné. Il y a l’opération, qui coupe court, comme l’absence, le long
voyage, le silence. Il y a l’homéopathie, qui combat le mal par le mal,
l’amour par l’amour… Il y a enfin la recherche des causes, qui
démontre parfois l’origine toute fortuite, la nature fragile de la crise et
qui permet de l’atteindre à sa source.
La loi d’équilibre.
La loi d’équilibre nous ouvre des vues consolantes. Car elle veut
que le bien et le mal se compensent. Ainsi, dans le monde
innombrable des plantes, il doit y en avoir autant de bienfaisantes
que de malfaisantes. Je crois qu’on n’a pas arraché aux simples
tous leurs secrets. Les hommes ont découvert des poisons végétaux
qui, en quelques secondes, amènent l’organisme de la santé à la
mort. La loi d’équilibre permet de prévoir qu’on découvrira, en
opposition avec ces toxiques, des toniques qui amèneront
instantanément à la santé un organisme au seuil de la mort. Non pas
des contre-poisons, mais de puissants révulsifs qui ressusciteront
l’individu près de succomber à un choc, un traumatisme, une
asphyxie.
De même, dans une autre direction, on peut prévoir que
l’équilibre se rétablira entre les villes et les campagnes. Avant qu’un
pendule ne prenne la verticale, il oscille à droite, puis à gauche. Ce
qui manque à une vie humaine, c’est le temps de voir le pendule
prendre l’équilibre. On n’assiste qu’à une oscillation.
Le Contrôle.