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MULTIPLE CHOICE
1. The patient who had a nephrectomy yesterday has not used the patient-controlled analgesia
(PCA) delivery system but admits to being in pain but fearful of addiction. What is the nurse’s
best response?
a. “Modern analgesic drugs do not cause addiction.”
b. “Pain relief is worth a short period of addiction.”
c. “Addiction rarely occurs in the brief time postsurgical analgesia is required.”
d. “Addiction could be a real concern.”
ANS: C
Addiction rarely occurs in the short time that it is required after surgery. Postsurgical
analgesia, because of its brief application, does not usually produce a physical or a
psychological dependence.
2. A 73-year-old patient with diabetes was admitted for below-the-knee amputation of his right
leg. Removal of his right leg is an example of which type of surgery?
a. Palliative
b. Diagnostic
c. Reconstructive
d. Ablative
ANS: D
Ablative is a type of surgery where an amputation, excision of any part of the body, or
removal of a growth and harmful substance is performed.
DIF: Cognitive Level: Knowledge REF: Page 34, Page 36 Table 2-6
OBJ: 7 TOP: Anticoagulant therapy
KEY: Nursing Process Step: Assessment MSC: NCLEX: Physiological Integrity
4. Which circumstance could prevent the patient from signing his informed consent for a
cholecystectomy?
a. The patient complains of pain radiating to the scapula.
b. The patient received an injection of Demerol, 75 mg IM, 1 hour ago.
c. The patient is 85 years of age.
d. The patient is concerned over his lack of insurance coverage.
ANS: B
Informed consent should not be obtained if the patient is disoriented and under the influence
of sedatives. Age, illegibility, and lack of insurance coverage do not prevent signing the
consent. Pain into the scapula is a symptom of colitis.
5. The nurse anticipates that the patient will be given ______________anesthesia because of the
extensive tissue manipulation involved in a hysterectomy.
a. general
b. regional
c. specific
d. preoperative
ANS: A
An anesthesiologist gives general anesthetics by IV and inhalation routes through four stages
of anesthesia when the procedure requires extensive tissue manipulation.
6. The nurse caring for a patient who had an epidural block for a vaginal repair should be alert
for:
a. a flushing of the face and torso.
b. numbness of the perineum.
c. complaint of thirst.
d. a sudden drop in blood pressure.
ANS: D
Epidural anesthesia may cause a sudden drop in blood pressure or respiratory difficulty as the
anesthetic agent moves up in the spinal cord. Elevating the patient’s torso may prevent
respiratory paralysis.
7. Why might the older adult patient not respond to surgical treatment as well as a younger adult
patient?
a. Poor skin turgor
b. Fear of the unknown
c. Response to physiological changes
d. Decreased peristalsis related to anesthesia
ANS: C
Of specific concern in older adults is the body’s response to temperature changes,
cardiovascular shifts, respiratory needs, and renal function. Fear of the unknown and
decreased peristalsis are common to all ages.
8. The postoperative nursing intervention that would be contraindicated for a 45-year-old patient
who has had a repair of a cerebral aneurysm and is presenting signs of increased intracranial
pressure (ICP) would be:
a. coughing every 2 hours.
b. turning every 2 hours.
c. monitoring intravenous therapy at 50 ml/hr.
d. assessing vital signs every 2 hours.
ANS: A
Coughing increases ICP.
10. Which statement made by a patient during a preoperative assessment would be significant to
report to the charge nurse and surgeon?
a. “I have been taking an herbal product of feverfew for my migraines.”
b. “I exercise for 3 hours a day.”
c. “I drink 2 glasses of wine a day.”
d. “I use atropine eyedrops every day.”
ANS: A
The herbal remedy of feverfew acts as an anticoagulant and increases the possibility of
hemorrhage. The drug should be stopped before surgery, and bleeding and clotting times
should be evaluated.
11. A patient is on postoperative day 2 after a nephrectomy. What is the most effective way to
increase her peristalsis?
a. Ambulation
b. An enema
c. Encouraging hot liquids
d. Administering a laxative
ANS: A
Encouraging activity (turning every 2 hours, early ambulation) assists GI activity.
12. A patient is transferred from the operating room to the recovery room after undergoing an
open reduction and internal fixation (ORIF) of his left ankle. Which is the first assessment to
make?
a. Check ankle dressings for hemorrhage.
b. Check airway for patency.
c. Check intravenous site.
d. Check pedal pulse.
ANS: B
Evaluation of the patient follows the ABCs of immediate postoperative observation: airway,
breathing, consciousness, and circulation.
13. Frequent assessment of a postoperative patient is essential. What is one of the first signs and
symptoms of hemorrhage?
a. Increasing blood pressure
b. Decreasing pulse
c. Restlessness
d. Weakness, apathy
ANS: C
A pulse that increases and becomes thready combined with a declining blood pressure, cool
and clammy skin, reduced urine output, and restlessness may signal hypovolemic shock.
Language: French
LE DIABLE
AU SAHARA
Chez Calmann-Lévy :
Chez Flammarion :
Chez G. Crès :
Chez J. Férenczi :
LE DIABLE AU SAHARA
Une seule fois, au cours de mon existence, j’ai cru découvrir une
raison à ces mystères. J’étais alors tout enfant. Je rêvais
fréquemment que ma bonne me conduisait à travers un corridor
jusqu’à une porte qui me causait une horreur indicible : pesante,
méchante, peinte d’un jaune hideux, avec une énorme serrure et de
gros verrous ; et je tirais sur le tablier de cette fille pour qu’elle
m’emmenât.
Cette porte n’existait pas dans la maison. Mais, après la guerre
de 1870, on termina une aile qui était en voie de construction avant
l’arrivée des Allemands. Et, quand je voulus pénétrer dans cette
bâtisse neuve, au sommet de trois marches qui donnaient sur
l’ancienne lingerie, je vis la porte. C’était elle ! Et j’eus la même
impression d’effroi, j’éprouvai le même besoin de fuir. Éveillé, je tirai
sur le tablier de ma bonne comme je l’avais fait dans mes rêves, un
an auparavant : et c’était une aile neuve, je le répète, un passage où
aucun souvenir ne pouvait être attaché !
Ce fait contribua beaucoup à me guérir de mes terreurs puériles.
Ce ne fut que beaucoup plus tard, quand je fus devenu presque un
homme, que je demandai par hasard à ma mère pourquoi on avait
mis à l’entrée de ce bâtiment neuf une porte si laide, et qui ne
paraissait pas être du même style que celui-ci.
— … Une économie, me répondit ma mère. On avait retrouvé
cette porte dans le grenier, en faisant des rangements, après le
départ des Prussiens. Elle y avait dormi plus de cinquante ans…
Jadis, c’était elle qui fermait l’escalier, du temps de Mme de
Normond.
— Du temps de Mme de Normond !
… Mme de Normond était l’une des anciennes propriétaires de la
maison, au début du XIXe siècle. Elle avait pour mari un homme qui
voulait l’assassiner et qui, du reste, finit par passer en cour
d’assises. Quand M. de Normond parvenait à s’introduire au rez-de-
chaussée, sa femme, folle de terreur, se réfugiait au premier étage.
Et elle avait fait barrer l’escalier d’une porte — cette lourde porte-là,
avec son énorme serrure et ses gros verrous.
… Mais comment ai-je rêvé cette porte avant de l’avoir jamais
vue, pourquoi me faisait-elle peur avant de la connaître ? Pourquoi,
d’avance, ai-je revécu les épouvantes de cette femme harcelée par
la haine ? Mais puis-je jurer, d’autre part que, tout enfant, je n’avais
pas entendu conter l’histoire de Mme de Normond, n’en gardant
qu’une impression d’effroi, non le souvenir, qui ne me revenait,
imprécis, diffus, qu’au cours de mon sommeil ?… Je suis ainsi ; tout
homme est ainsi ; il y a en nous un primitif pour lequel la seule
explication est l’explication mystique — et un sceptique
contemporain qui veut trouver à toutes forces autre chose — qui
trouve, n’importe comment.
C’est en discutant sur tout ça, entre nous, car le père d’Ardigeant
ne disait rien, qu’on arriva enfin à Telloust, un trou circulaire où il y a
toujours de l’eau, et qui a été autrefois le cratère d’un volcan, à ce
qu’on prétend. A côté, dans les anciens jours, les indigènes ont
construit un bordj, comme ils disent, une espèce de maison-
forteresse, carrée, en terre battue, sans fenêtres à l’extérieur : vous
voyez ça d’ici.
Le père d’Ardigeant devait nous quitter le lendemain avec le boy
qui lui servait sa messe — ce qui était d’autant plus drôle que ce
boy, je crois, n’était même pas chrétien : le père ne s’est jamais
soucié de convertir personne — et trois chameaux seulement : vous
voyez qu’il ne s’inquiétait pas de son confortable.
C’était grand, dans l’intérieur de la maison-forteresse. Nous lui
avons dit : « On pourra vous loger ici, il y a de la place ! » Mais il
secoua la tête : « J’ai une tente, dit-il, une toute petite tente. Je vais
la dresser dehors. »
Nous savions qu’il faisait ainsi toutes les fois qu’il pouvait ; ce
n’était pas mépris de nous : il n’était heureux que le plus seul
possible, j’ai déjà essayé de vous le faire comprendre. Mais il
accepta de souper avec nous, sur le toit de la maison, un toit en
terrasse, sans balustrade, à la mode arabe, où on aurait plus de
fraîcheur.
Ce fut d’abord un repas assez gai ; nous n’avions guère que des
conserves — les ressources du pays sont nulles — et nous
mangions sur une table en bois blanc. Je la vois encore, cette table,
je la vois trop, je n’aime pas me rappeler : elle avait été bâtie par je
ne sais quel charpentier à la manque, un légionnaire ou un
« joyeux », je suppose — ces gens-là savent tout faire à peu près —
qui avant nous avait passé quelques jours dans ce poste : le dessus,
des voliges de caisses d’emballage mal rabotées, et les quatre pieds
épais, massifs, pris à même une vieille porte arabe qu’on avait sciée
en long, dans le sens du fil du bois. C’était très lourd et ce n’était pas
beau : mais ça suffisait pour y étaler son assiette de fer-blanc et le
couvert en aluminium de Tassart, qui a des prétentions à l’élégance.
Lui, Tassart, qui avait l’air assez excité, bavardait toujours sur sa
manie : « Je ne vous dis pas que tout soit vrai ; je ne vous dis pas
qu’il n’y ait des fraudes, mais tout n’est pas faux ! Tout ne peut pas
être faux. Vous entendez ! Par exemple, c’est un fait que les tables
tournent, et répondent quand on leur pose des questions. Ce
qu’elles disent, il est possible que ça soit des blagues ; mais ça
m’est égal : l’important, ce qu’il faut admettre, c’est qu’elles parlent,
et qu’on n’a jamais pu expliquer pourquoi.
— Mon adjudant, fis-je sans presque y penser, vous ne feriez pas
tourner celle-là ! »
Je lui disais ça parce que cette table pesait bien dans les
quarante kilos : un monument ! Nous l’avions laissée là où nous
l’avions trouvée, à peu près au milieu de la terrasse ; elle avait l’air
vissée sur le dessus de ce toit plat. Et comme elle était plus longue
que large, nous étions assis sur les deux côtés longs tandis que
Malterre et Coldru se trouvaient seuls sur les côtés courts. Le père
d’Ardigeant était sur un des côtés longs, avec moi.
Le père me regarda comme si j’avais dit une bêtise, ou commis
une imprudence, puis il plongea bien sagement les yeux dans son
assiette. Il avait raison de se méfier, car Tassart déclara tout de
suite :
— Pourquoi pas ? On peut essayer. Et ce serait une preuve, ça,
une preuve : une table que vous auriez de la peine à remuer en vous
y mettant tous à la fois, avec toutes vos forces !
Nous autres, on ne demandait pas mieux. C’était une distraction :
il n’y en a pas tant, dans ces pays-là. Et puis on ne voulait pas
croire, mais Tassart avait quand même soulevé notre curiosité ; on
voulait voir. Je dis pourtant :
— Mon adjudant, attendez qu’on ait fini de manger : il faut bien
ranger la vaisselle !
Le père d’Ardigeant me jeta un regard où il y avait de la
reconnaissance : il ne voulait pas assister à ça. Il prit tranquillement
le café avec nous, mais se leva tout de suite après. On ne le retint
pas. Ça nous aurait gênés, nous aussi, qu’il restât : on n’aurait plus
osé ; on n’aurait pas voulu lui faire de la peine.
Il descendit l’escalier, et nous le vîmes entrer dans sa tente, puis
en ressortir avec son bréviaire. Il s’éloigna dans le bled. Nous
distinguâmes assez longtemps sa longue silhouette mince, à cause
de la lune. Il avait pourtant l’air d’avoir un remords, il hésitait, il revint
sur ses pas, il cria :
— Ne faites pas ça ! Je vous assure que c’est dangereux ! Ne
faites pas ça !
Tassart répondit en rigolant :
— Revenez donc, M. le curé ! Nous vous donnerons des
nouvelles des âmes du Purgatoire !
Alors, puisqu’on se fichait de lui, il repartit et disparut derrière une
dune.