Professional Documents
Culture Documents
Chapitre - Iv - Partie Ii
Chapitre - Iv - Partie Ii
EVALUATION DU PERSONNEL ET
GESTION DES CARRIERES
(SUITE)
Partie II:
n+2
n+1 B4 B3 B2 B1
n A1 A2 A3 A4
III- La mobilité au centre de la gestion
des carrières:
2- Mobilité géographique
Toutes ces formes de mobilité peuvent être :
• Intra-organisationnelle : elles s’effectuent à
l’intérieur d’une même entreprise
• Inter-organisationnelle : elles impliquent un
changement d’entreprise.
• La mobilité géographique s’exprime à deux
niveaux :
III- La mobilité au centre de la gestion
des carrière
• La mobilité nationale
• Le salarié est « transféré » du lieu d’exercice
de son activité à un autre.
• Cette mobilité peut par exemple impliquer un
changement d’établissement situé dans la
même ville ou nécessiter un changement de
région à l’intérieur du même pays.
III- La mobilité au centre de la gestion
des carrières:
• La mobilité internationale
• La mobilité internationale peut revêtir plusieurs
formes comme :
• Des missions de courtes durées : elles sont
généralement inférieures à un an, et le plus souvent
entre trois et six mois.
• L’Eurocommuting : le salarié est domicilié dans un
pays et travaille la semaine dans un autre pays
européen.
III- La mobilité au centre de la gestion
des carrières:
• L’expatriation : c’est une mobilité internationale
temporaire intra-entreprise. La durée moyenne
est de trois ans environ afin de limiter les
problèmes de retour.
L’entreprise a recours à l’expatriation au moins
pour 3 raisons :
• Besoin spécifique de personnel : vacances de
postes dues à l’absence de compétences locales
III- La mobilité au centre de la gestion
des carrières:
Supérie-
ur
Subordo- Clients
nnés
externes
CONCLUSION
• En dépit de ses avantages, la gestion de carrière peut
être une source de bureaucratie qui paralyse le bon
fonctionnement de l’entreprise.
• Elle entraîne la nécessité de sauvegarde des
informations inhérentes à chaque employé, ce qui
peut s’avérer parfois stressant et couteux surtout
pour les grandes entreprises.
• La non satisfaction de toutes les attentes des
salariés, parce que dans la majorité des cas, ces
attentes sont multiples et peuvent ne pas
correspondre avec l’objectif primordial de la gestion
de carrière.
CONCLUSION
• La gestion de carrière peut affecter le climat
social au sein de l’entreprise, cela veut dire
que la proposition d’un poste pour un tel
salarié implique le refus pour d’autres.