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True / False
3. Culture works for humans the way that instincts work for other animals, guiding them through daily life.
a. True
b. False
ANSWER: True
REFERENCES: 44
LEARNING OBJECTIVES: SIOT.KEND.16.2-1 - Define culture and explain why it is important in helping people in
their daily life.
TOPICS: Conceptual
NOTES: New
4. Language, beliefs, values, rules of behavior, family patterns, and political systems are examples of material culture.
a. True
b. False
ANSWER: False
REFERENCES: 45
LEARNING OBJECTIVES: SIOT.KEND.16.2-2 - Analyze material culture and nonmaterial cultures, and give examples
of each.
TOPICS: Conceptual
NOTES: Rejoinder: These are components of nonmaterial culture; material culture consists of the
physical or tangible creations that members of a society make, use, and share.
Pickup
5. Humans are so different throughout the world that there is little we can consider common to all human culture.
a. True
6. Even though the specifics of individual cultures vary widely, all cultures have four common nonmaterial cultural
components: symbols, language, values, and norms.
a. True
b. False
ANSWER: True
REFERENCES: 47
LEARNING OBJECTIVES: SIOT.KEND.16.2-4 - Discuss how symbols and language reflect cultural values.
TOPICS: Conceptual
NOTES: Modified
9. Language communicates about reality, but it cannot influence the reality it describes.
a. True
b. False
ANSWER: False
REFERENCES: 49
LEARNING OBJECTIVES: SIOT.KEND.16.2-4 - Discuss how symbols and language reflect cultural values.
TOPICS: Conceptual
NOTES: New
Rejoinder: Language both reflects and shapes experience. Studies demonstrate the role of
language in perpetuating unequal gender relations as well as inequality based on race and
ethnicity.
10. Language may be a source of power and social control; language perpetuates inequalities between people and between
groups because words are used to “keep people in their place.”
a. True
b. False
ANSWER: True
REFERENCES: 52
LEARNING OBJECTIVES: SIOT.KEND.16.2-4 - Discuss how symbols and language reflect cultural values.
TOPICS: Conceptual
NOTES: New
11. Values are standards that provide criteria by which we evaluate people, objects, and events. They also dictate which
behaviors are appropriate and which ones are not.
a. True
b. False
ANSWER: False
REFERENCES: 52
LEARNING OBJECTIVES: SIOT.KEND.16.2-4 - Discuss how symbols and language reflect cultural values.
TOPICS: Conceptual
NOTES: New
Rejoinder: Values are collective ideas about what is bad or good, desirable or undesirable in
any particular culture. However, they do not dictate which behaviors are appropriate and
which ones are not. Norms are established rules for behavior.
12. Sociologists agree that every culture is guided by a unique shared set of values.
a. True
b. False
ANSWER: False
REFERENCES: 52
LEARNING OBJECTIVES: SIOT.KEND.16.2-4 - Discuss how symbols and language reflect cultural values.
TOPICS: Factual
NOTES: New
Rejoinder: In the United States, for example, sociologists are not in agreement about the
extent to which people share a core set of values.
13. Americans are more individualistic than people in Western European countries.
a. True
b. False
ANSWER: True
REFERENCES: 52
LEARNING OBJECTIVES: SIOT.KEND.16.2-4 - Discuss how symbols and language reflect cultural values.
TOPICS: Factual
NOTES: New
14. Most societies are guided by a shared set of mutually reinforcing values.
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Tout le monde, je dois l’ajouter, semble ici parfaitement heureux.
La règle est douce, la tyrannie des Pères très supportable. Ils ne
règnent pas en pays conquis, mais sur des sujets d’une fidélité
éprouvée. Pourvu qu’on croie ou qu’on fasse semblant de croire,
cela suffit. Les servantes nous avouèrent qu’elles devaient se
confesser une fois par semaine, communier une fois par mois, sans
compter les fêtes. Elles n’en prenaient pas pour cela des allures plus
béates, et mon compagnon que l’étincelle de tous ces yeux allumait
fort n’eut pas à se heurter à de trop farouches vertus. Quant à moi,
mes cheveux gris m’obligeaient à plus de réserve, et comme
j’employais une grande partie de mon court séjour à visiter la maison
du saint, à parcourir l’église et à stationner près des chapelles où
s’adressaient les pieuses épîtres aux dévotes, je passais sans nul
doute pour un fervent admirateur d’Ignace, et je dus laisser, à mon
départ, à notre pieuse hôtelière, une bonne odeur de piété.
Cette matrone, compagnonne grisonnante et mamelue, s’était de
prime abord montrée rébarbative. Notre qualité de Français était tare
à ses yeux.
Ce n’est pas à Loyola que nous sommes en haute estime, et tout
compatriote de Voltaire y est voué à la damnation. Aussi commença-
t-elle par nous déclarer qu’elle ne pouvait disposer d’un seul lit ;
mais, ayant eu l’heureuse idée de nous informer de l’heure de la
messe pour le lendemain dimanche, la dévote changea de ton.
« Il y a plusieurs messes, répondit-elle. De cinq heures à midi les
révérends pères officient. A laquelle voulez-vous aller ?
— A toutes ! » répliquai-je.
Cette réponse pénétra la bonne femme de respect et
d’admiration, sans toutefois lui causer trop de surprise, certaines
pieuses personnes ayant, paraît-il, l’habitude d’assister le dimanche
à plusieurs offices du matin, pour se préparer à ceux du soir.
En tous cas, elle nous valut une belle chambre ornée de trois
jolies chambrières ; une de trop, mais nous eussions eu mauvaise
grâce à nous plaindre, d’autant plus qu’il y avait trois lits dans la
pièce et qu’il pouvait survenir un troisième compagnon.
Désagrément des auberges espagnoles : les chambres
contiennent deux, trois et quatre lits.
Je me souviens qu’à Tolède, on voulut nous imposer un tiers, un
torero, qu’à son grand étonnement nous refusâmes avec énergie.
L’hôtelier le casa je ne sais où, mais le lit resta vide. On nous le fit
payer d’ailleurs, et comme nous occupions la seule pièce pourvue
d’une table, le torero n’en vint pas moins, alors que nous étions
couchés, nous demander la permission d’écrire à sa señorita, ce qui,
vu sa lenteur à tracer ses lettres, lui prit une partie de la nuit.
« Voulez-vous, dit Voltaire, acquérir un grand nom, être
fondateur, soyez complètement fou, mais d’une folie qui convienne à
votre siècle. Ayez dans votre folie un fonds de raison qui puisse
servir à diriger vos extravagances, et soyez excessivement opiniâtre.
Il pourra arriver que vous soyez pendu ; mais, si vous ne l’êtes pas,
vous pourrez avoir des autels. »
C’est pourquoi Ignace de Loyola, après avoir mérité cent fois la
corde, siège au rang des plus grands saints ; que le monde est plein
de ses temples, dont le premier est sa propre maison.
La Santa casa, qui n’est, paraît-il, qu’une tour de l’ancien manoir
détruit dans les guerres civiles, est cachée du dehors par un mur
percé de fausses fenêtres, disposition de l’architecte Fontana, que la
veuve de Philippe IV appela tout exprès de Rome pour la
construction du sanctuaire, et qui a ce triple but : préserver le
précieux monument, le voiler aux profanes et donner plus de
régularité à la façade de l’édifice. Une étroite cour le sépare du mur
extérieur, et le visiteur ne voit d’abord qu’un carré de grosses pierres
brutes mêlées de briques, n’ayant d’autre ornement que l’écusson
des Loyolas sculpté au-dessus de la porte, et une plaque de marbre
avec cette inscription :