You are on page 1of 59
BIBLIOGR APLIIE 371 « Lex Misérables ou de la modernité », Hage le fabulenx, ac tes iganisé par le centre culturel international de Cerisy-la-salle e organs : : : ; ue Jer 1984, dir. Jacques Seebacher et Anne Ubersfeld, Paris aeainees R att ot poate! ee all juil a spilt jggs. ps OLS. ; — | Misénabley sun texte intraitable », Lire Les Misérables Frances s, ris et présentés par Anne Ubersfeld et Guy Rosa, Paris, José pounls ae 1985s P- 5-27. . és cor France, « Ni personages, ni Peuple : quel est le héros des Misérables? », ait suo. LES Misérables, « /a prenve par les abimes », actes du colloque ysrer ion du 3 décembre 1994, organisé par la Société des études genre textes réunis par José-Luis Diaz, Paris, SEDES, 1994, p. 73-89, on « Décentrements narratifs dans Hernani », Genres, Styles, Auteurs, nl Reggiani, Claire Stolz, L. Susini, n°8, Paris, PUPS, 2008, p. 195-210, dit. Cie «Dénombrement titanique. Leffet-liste dans Quatrevingt-Treize », wk i" efft-liste en littérature, dir. S. Lawson, M. Lecolle, M. Raymond, we Garnier, 2013, p. 261-273. Pat AUTRES TEXTES CRITIQUES ET THEORIQUES jnaM, Jean-Marie, « Types de séquences textuelles élémentaires », Pratiques, 1°56, 1987, p. 54-79. / joa, Jean-Marie, « Textualité et séquentialité, l'exemple de la description », Langue Frangaise, n° 74, mai 1987, p. 51-72. ApaM, Jean-Marie, Langue et littérature — Analyses pragmatiques et textuelles, Paris, Hachette, 1991. ADAM, Jean-Michel, LUGRIN, Gilles et REVAZ, Frangoise, « Pour en finir avec le couple récit/discours », Pratiques, n° 100, 1998, p. 81-98. ADAM, Jean-Marie et PETITJEAN, André, Le Texte descriptif: Poétique historique a linguistique textuelle, Paris, Nathan, 1989. ADoRNO, Théodor Wisengrund, Mahler, une physionomie musicale (1960), Paris, Minuit, 1976 pour la traduction frangaise. ADORNO, Théodor Wisengrund, Quasi una fantasia. Eorits musicanx U (1963), Paris, Gallimard, 1982 pour la traduction frangaise. 5 ORO, Théodor Wisengrund, Dialectique négative (1966), Paris, Payor, 199? Abowey la traduction frangaise. : 1989" Théodor Wisengrund, Théorie esthétique (1970), Pacis, Pour la traduction francaise. Ans Klincksieck, t UR TATANGUE ROMANISQUE DE VICTOR HHGO wy PVviM at ini i Analyse du discay PNHAL, Dominique (dir), L ; ry Anew, Ruth et el Snes Presses Universitaires du Mirail, 2004 shows bes des sitvatert, Vrlentse, s contribution a la typologie des discony, Parole pamphldatre ; cont Ara neva, Mar tt et société », 1982, derwes, Paris, Payor, coll. « Langages Anes Jean-t larale or Dux nevt; Oswald, LArgumentation dans la langue, NSCOMNE, Jean jarnte et ' Bruxelles, Mardaga, 1984. . oa ANTONE, Gerahl 1a Coordination en franyais, t. 2, baie aa AQUIEN, Michale, Autre Versant da langage, Serie ore, 1997. ; ‘A clles Lettres, +. ARINTOTE, Lae Postrque, Paris, Les Belles a . ARIstOTK, La Rhetorique, introduction de Michel Meyer, Paris Librairie nérale trangaise, IVY . . : are ' Ridtorigne des passions, postface dle Michel Meyer, Paris, Marseille, Rivages, 1991 ' : ae Antoine et LANCKLOT, Claude, Grammaire générale et raisonnée (1660), Hildesheim-New York, Georg, Olms Verlag, 1973, ARNAULD, Antoine et NICOLE, Pierre, La Logique ou l'art de penser, contenant cwire les regles communes, plusieurs observations nouvelles, bropres a former le Jegement (1662), Paris, Flammarion, 1970, / ATLANI, Frangoise, «On Villusionniste », La Langue au ras du texte, Lille, Presses Universitaires de Lille, 1984, p. 13-29. ; Aurrnacn, Erich, Mimesis, La représentation de la réalité dans la littérature owsdentale, Paris, Gallimard, « Tel », 1968 pour la traduction frangaise, Austin, J. L., Quand dire c'est faire (1962), Paris, Seuil, 1970 pour la traduction francaise : AUTHIER-REVUZ, Jacqueline, « Repéres dans le champ du discours L'Information grammaticale, 0° 55, 1992, p. 38-42, AurHiin-Ruvuz, Jacqueline, Ges Mats qui ne vont pas de soi, Boucles r6flexives ) . ef non coincidences du dire, 2 vol., Paris, Larousse, 1995, AUTHIER-REVUZ, Jacqueline, « fnonciation, méta-énonciation, Hétérogénéirés Enonciatives et problématiques du sujet », Les Sujets et leurs discours, Enonciation mleracton, dir. Robert Vion, Aix-en-Provence, Publicat ions de l'Université de Provence, p. 63-79, Ayes, Marc, RULE sharle: Benoit, Hy KMANT, Héle rapporté », 5, CASSAN, Bodie, Cou EN, Déborah, Ficue, Huranp, Bérengere et Mani, Laurence, + Penser par extraordinaire », Labyrinthe, w' 26, 2007, p. 11-76, Bachia AKD, Gaston, La Vormation de esprit scien Dythanalyse de la comnatssame, Paris, Vrin, 1996, Bakirrine, Mikhail, Py » Paris, Seuil, 1970, pour la traduction Hifique. Contribution & une wdlique de Dostuievyhyj franguise BAKITING, Mikhail i Nts Mikhail, Le Mearsiinne la philosophie dy Jangage, Paris, Minuit, 1977 pour la traduction frangaise, , ‘ HEE APTI shail, Kuthetrgue ot theortw da roman, V, wn M PY ae e Narn et focalination ©, Podtique, w 29, yyy) prarte de uyditique franatie, Mewlelberg, ¢ ' jatar Le Deyn’ advo de Fariture, Paris, « Points * “ats vaanily «Better de réel» Gommuntations, v\y 1 ae’ Latenetanes nieelté, Paria, Seu, LOH2 ‘ 44/2, Paria, « Pores», Seail 1970. 1, Nerd, Howrter, Loyola, Paris, « Points », Seuil ly wt Roland, Le Plaisiv di texte, Paris, Seuil, 1973, ee ii * Charles, Les Beaux-Arts réduits dun méme principe \746-177 21 yate8 de Livres, 19K. , Ax Charles. Principes de lat littérature (1764), Geneve, Droz, 19 gat! ; 7 Charles, « Le palimpseste du cerveau humain » de mal tl ‘ey, dmpirtee de profundis, Confessions of an english opium eat ae quint ‘ingen d'opium, Beucles Baudelairiennes VI VII, Neu heel ions de la Baconniére, 1976, ee ae Jean, De Ja séduction, Paris, Galilée, 1988, wipe Monroe, Aewheti Problems in the philosopha of criticism, Indianapolis, ary Galtienge 1 Hie tron Fenny dine + Tel, a ae: Pty Inter, 14) Seu, 1955 1908, BA. arlees an lane ), Paris, ‘Genie de U'esthérique francaise moderne, De la Raison classique a Imagination ondurice (1680-1814), Pisa, Pacini editore, 1984, ginicHOU, Paul, Le Sacre del’ devivain. 1750-1830, Essai sur Vavinement d'un ir spirituel laique dans la France moderne, Paris, José Corti, 1973. NJAMIN, Walter, Origine du drame baroque allemand (\9\6), Paris, Flammarion, jas pour La traduction frangaise. joypamin, Walter, Paris, capitale du XIX‘ steele, Le livre des passages, Paris, Le Cerf, 1989, pour la traduction frangaise. injamin, Walter, Ferits frangais, Paris, Gallimard, 1991 pour l'appareil critique, l'incroduction et les notices. bivvenisre, Emile, Problémes de linguistique générale, Vet Il, Paris, Gallimard, NRF, 1966 et 1974, bincson, Henri, Le Rive. Essai sur la signification du comique, Paris, PUB, cn pans Lexil ot Lutopie, Politiques de aii de | un iversité de Saint-Etienne, 2007. paris, Minit, 98 ternal, Eons de pragmatique linguistiques a Mine i Sins | Denis, « Le langage spatial dans La Bate humaine» pai s Littérature et veprésentation. Misvellanées offertes a Hl. Mitterandy whan, 199 92, p. 187-201. Verlaine, Saint Brienne, sm ETUDE SUR LA LANGUE ROMANESQUE DE VICTOI HUGG Brsstire, Jean, Enigmaticité de la littérature, Pour une antamte de ba futon ay Xx‘ stacle, Paris, PUP, 1993. BINKLEY, Thimothy, « “Pidce” : contre Festhétique », 7 Luahhiqe & jolie textes réunis et présentés par Gérard Genette, Paris, Seuil, 1997 : BLANCHOT, Maurice, La Part du feu, Paris, Gallimard, 1949. BLANCHOT, Maurice, L’Espace littéraire, Paris, Gallimard, 1955, BLANCHOT, Maurice, L’Entretien infini, Paris, Gallimard, 1971, BLocker, Gene, « The truth about fictionnal entities » Philunphial Quarterly XXIV, 1974, p. 27-36. : BONHOMME, Mare, Linguistique de la métonymie, Bern, Vrancfort, Main, New York, Paris, Peter Lang, 1987. BONNEPOY, Yves, Entretiens sur la poésie : 1972-1990, Paris, Mercure de France, 1992. Bootn, Wayne, The Rhetoric of fiction, Chicago, University of Chicago Press, 1961. Borpas, Eric, « Un styléme dix-neuviémiste : le déterminant discontinu a de ces... giti....», L'lnformation grammatitale, "90, 2001, p. 32-45. Borpas, Eric, «Introduction » au Rythme de ta prose, Semen, 01" 1, Presses Universitaires de Franche-Comté, 2003. Borpas, Eric, « Siyle ». Un mot et des disconrs, Paris, Falitions Kirné, 2008 Borpas, Eric, « Introduction », Romantisme, 1" 148, « Style d'auteur, 2010, p. 3-9. Bossuer, Jacques-Bénigne, Logique du dauphin, Paris, fiditions Universitaires, 1990. BouGearb, Cécile, « Les racines du droit d'auteur », Le Droit d'antenr anjourd bn, dir. Cécile Bougeard et Isabelle de Lamberterie, Paris, Editions du CNRS, 1991 Bouveresse, Jacques, La Parole malhenrense. De Valchimie lingnistique ala grammaire philosophique, Paris, Minuit, 1971. Bouvier, Alban, L'Argamentation philosophique, Paris, PUF, 1995. BréAt, Michel, sais de sémantiqne (wience des significations), Paris, Hachette, 171 BREMOND, Claude, «Concept et theme », Poétique, n 4, nov. 1985, p. 415-495 Bres, Jacques, La narrativité, Duculot, Louy Neuve, 1994. BRUNEAU, Charles, « L’époque romantique », [Histoire dela Lanyne fran de origines d nos jours, XII, Ferdinand Brunot, Paris, Armand Colin, 14% BRUNEAU, Charles, « Lépoque réaliste », Histoire de la langue franaie origines @ mos jours, X11, Ferdinand Brunot, Paris, Armand Colin, 19% Burrat, Mare, « Sur la notion de description dans LEncylapidie *, Rhaornqne et discours critique, changes entre langue ot métalangucr, wcves (I colloque du G.E.H.L-F tenu a I'feole Normale Supérieure les 14 et 1 mts Paris, Presses de L'E.N.S, 1989, p. 113-121 in-La WHI, WIRLOGR ApH Karl, Théorre du langage Ig Bee tral ECD. Samain, Marseati deromigue. «Le chale jaune dee 7 parrenanee om sR de FLAME «Siem Ma. fen bigoe] Nttpv/www fables teh Kealo, La Machine lttératur, P “ fom tion eaprtintatnnnelle Agone, 2009 Wroetitbes an Ki adele wgne és flrement ot rmierprbisiion rR /OlloueVdocument’ ¥) hg. aris, Seuil, 19H4 penie la teachie rem ea ean “nos Italo, Leons amérncaimes, Aj, i Gallimard, 1989 pour la traduction frangaise ; aoa Pierre, La Littérature dla recherche dela véruté, Patis, Seuil, 1996 os UTHERS, Mary, The Book of memory. study of memory in médieval culture, Orimbridge, New York, Melbourne Cambridge University Press, 1992. }de-mémotre pour le prochain millinarre, a casi ER, Ernst, La Philosophie des formes ANTRAINE, Pierre, Dictionnaire ay cea Paris, Klincksieck, 1968. cuarLes, Michel, Rhétorique de la lecture, Paris, Seuil, 1977. CuarLes, Michel, Introduction 2 l'étude des textes, Paris, Seuil, 1995, CHarOLLES, Michel, « Introduction aux problémes de la cohérence des textes, (approche théorique et étude des pratiques Pédagogiques) », Langue Frangaise, a°38, mai 1978, p. 7-41. CHAROLLES, Michel, « Lordre de la signification », Pratiques, n° spécial, « Pour un nouvel enseignement du francais», 1980, p. 49-64, Guuss, Jean-Louis et PUECH, Christian « Lanthroy aveugle de la philosophie linguistique de Ferdinand de Saussure, 56, 2003, p. 225-239. COHEN, Jean, Structure du langage poétique, Paris, dans la collection « Champs ». Coun, Dortic, La Transparence intérieure. M lades de représentation de la vie Dsychique dans le roman, Paris, Seuil, 1981. Gowor, Michel, L’Horizon fabuleux, tome I (x1X* siecle), Paris, José Corti, 1988. ; Michel, « autre dans le méme », Poésie et altérité, actes du colloque sur la poésie moderne de juin 1988, dir. Michel Collot et Jean- Mathieu, Paris, Presses de I'E.NS., 1990, p. 25-32. (ur, Michel, La Matiére-émotion, Paris, PUF, 1997. * Dominique, Les Genres littéraires, Paris, Hachette, 1992 ; * Dominique, La Pensée et le style, Paris, Editions Universitaires, 1991 symboliques, 3 vol., Paris, Minuit, 1972. imologique de la langue grecque. Histoire des pologie du langage : point radition frangaise », Cahiers Flammarion, 1966, repris ETUDE SUR LA LANGUE ROMANESQUE DE VICTOR HUGO. 3% B SUR LA Li iG Bernard, Pawr une grammaire textuelle, La progression thématique, COMBETTES, Bernard, § Pacis-Bruelles, De Boeck-Duculor, 1983. we imma Conn, Francis, « Déini ee démonstratif dans la reprise immédinee i ORBLIN, Francis, « nang 1983, p. 118-133. etree: i fees dans les romans », Poésique, 0°54, avril Non geal érations énonciacives - ine, « Valeurs aspectuelles et opé i ‘onciatives », Lg ~ Nana dusiel dis. Jean David et Robert Martin, Paris Klincksieck. p ‘aspect, dir. 1980, p. 181-195. a ' CuL ea ae Pour une linguistique de l’nonciation tome 3 « Domaine notionnel », Paris, Ophrys, 1999. . . CULLER, Jonathan, « Prolegomena to a theory of reading », The Reader jn the text Essays on audience and interpretation, dir, Susan Suleiman et J, Crosman, Princeton, Princeton University Press, 1980, p. 46-66, Decorricnirs, Jean, L'Beriture de la fiction. Situation idéologique du roman, Paris, PUB, 1979. ' Decuy, Michel, « Phrase, périphrase, paraphrase », Poétique, n° 117, fev, 1999, p. 57-73. oo E Gilles, Logique du sens, Paris, Minuit, 1971, Gilles, Différence et répétition, Paris, PUR, 1989, Gilles, Qu’est-ce que la philasophie 2, Paris, Minuic, 1991, 1.ON, Michel, L’Idée d'énergie au tonrnant des Lumitres (1 770-1820), Paris, PUF, 1988. Déruriie, Aude, Balzac et la digression. Une nouvelle Cyr sur Loire, Christian Pirot éditeur, 2004, Dérrir, Catherine, « Entre ipséité et altéricé : Stacuc énonciatif de “on” dans Ssleie», Lnformation granmaticale, 2°76, 1998, p. 29-33. Dewey, John, Art as experience, New York, Capricorn Books, 1958, I Diaz, José-Luis, « Conquétes du roman (1800-1850) », Romantisme, 2013/2, n° 160, p. 3-9, ge prose romanesque, Saint. ginaire, Scénographies auctoriales & L epoque romantique, Paris, Honoré Champion, 2007. Dipi-HupERMan, G Minuit, 1992, Dominicy, Mare, «Lévocation dis Stratégie “opportuniste” », Semen Ducror, Oswald, Dire e augmentée, 1980, Ducror, Oswald, « Texte et Enonciation » Les Mots du discours, dir. Oswald uctot ef alii, Paris, Minuit, 1980, corges, Ce que nous vOyOns, ce qui nous regarde, Paris, cursive. Fondements et procédés d'une len ligne, n° 24, 2007, ne pas dive (1972), Paris, Hermann, édition revue et WIBLIOGR APH i Diree! Je dit, Paris, Minuit, 1984 pv’ * “Topoi et Argumentation dans la ee : xo antl cpds cir. Christian Plancin, Paris, Kine i Lemp wan let TODOROV, Tzvetan, Dictionnaire a. P235.244 que vald 5 is «Points », Seuil, 1972. 9 te det SCHAEFFER, Jean-Marie, Nouveau Dictionnaiy fi laa Patsy Sul, 1995. enon i : : ps mrilipP La Pensée romanesque du langage, Paris, Seui 2004 st César Chesneau, Des Tropes ou des différents sens (1730) a 1 “ soublin, Paris, Flammarion, 1988. ee oe att, Jacques» Le vertige du vague. Les romantiques ai it gé, 2001. gue, reas, Jacques, « Bien coupe mal cousit». De la ponctuation et de la ei nee lt romantique, Presses Universitaires de Vincennes, 1998 = a N, Terry, Critique et théorie lintbraire, Une introduction (1983), Paris ae 994 pour la traduction frangaise. betsy LEuvre ouverte, Paris, Seuil, 1979 pour la traduction. Peirce et la sémantique contemporaine », Langages, n 58, 1981, p- Dee | : , {0,Umberto, Lector in fabula, Paris, Grasset, 1985, pour la traduction frangaise. sco, Umberto, Le Signe. Histoire et analyse d’un concept, Bruxelles, Editions Libor, 1988 pour la traduction frangaise. fynennauM, Boris, « La théorie de la “méthode formelle” » (1925), Théorie dela littérature, Textes des formalistes russes réunis, présentés et craduits par Tweran Todorov, Paris, Seuil, 1965. Excuenert, Annick, « Larticle particif : L’évolution des conditions d'emploi », Langue Frangaise, 0° 109, février 1996, p. 9-28. Enuch, Victor, Russian Formalism, history, doctrine, Mouton, 1969. {xanprr, Robert, « La définition du terme de liveéracure », : congrés de littérature comparée, Utrecht, Mouton, 1961, p. 78-88 Pregl Nicole, Le Processus interprétatif. Introduction a la sémaoliqne Ft, arle: §. Peirce, Li¢ge, Mardaga, 1990. Un ‘anley, «Is there a text in this class?» Universicy Pp, ONTANL ly Press, 1982. oes Pierr €, Les Figures du discours, [ré : Hammar, les figures non-tropes (1827) et les figures OvtaN \ He 1968, repris dans la collection « Champs” ela oats be May, ‘J acques, Le Savoir partagé. Sémiotiqne a shéor ul ai 1987 el Proust, Paris, Amsterdam, Philadelphia, | Ks des 5¢ ence y Critique Londres, la Haye Paris, actes du troisieme Cambridge, Mass., Harvacl és le Foneanet i 6 deux crate union dle ¢ vgs Bs ropes ( Tad 578 ETUDE SUR LA LANGUE ROMANESQUE DE VICTOR HUGG FONTANILLE, Jacques, Sémiotique et littérature. Poss a Paris, PUR, 1999, Foucauzr, Michel, Les Mots et les choses, Paris, Gal imard, 1966, Foucaurt, Michel, L'Archéologie du savnir, Paris, Gallimard, 1969, FOUCAULT, Michel, « Quiest-ce qu'un auteur? », Dits et érits 1954-1975 Paris, Gallimard, 2001. ' 7 FRANCKEL, Jean-Jacques et PAILLARD, Den: a Aspects de la théorie q ‘Antoine Calioli », Langages, °129, 1998, p. 52-64. FREGE, Gottlob, Eerits logiques et philosophiques, Paris, Seuil, 1971, FRYE, Northrop, Anatomie de la critique, Paris, Gallimard, 1969 traduction frangaise. —o7 GapaMer, Hans Georg, Vérité et méthode (1960), Paris, Seuil, 1976 pour la traduction frangaise. . GarbEs-TaMINE, Joélle, « Métaphore et syntaxe », Langages, n° 54, juin 197. 9, p. 65-81. : ' Gary-PRIEUR, Marie-Noélle, «Le nom propre constitue-t-j] une linguistique? », Langue Frangaise, 0°92, déc 1991, p. 4-25, GENETTE, Gérard, Figures III, Paris, Seuil, 1972. : GENETTE, Gérard, «Le statut pragmatique de la fiction narrati n°78, avril 1989, p. 237-249. GENETTE, Gérard, Nouveau discours du récit, Paris, Seuil, 1983, GENETTE, Gérard, L’Euvre de l'art, 1, Immanence et transcendance, Paris, Seuil, 1994. GENETTE, Gérard, Fiction et Diction, Paris, Seuil, 1991, GENETTE, Gérard, Figures IV, Paris, Seuil, 1999, Goopman, Nelson, Langages de l'art. Une approche de la théorie des symboles, Nimes, J. Chambon, 1990, pour la traduction francaise. GoopMan, Nelson, Manitres de faire des mondes, Nimes, J. Chi pour la traduction frangaise. Goopan, Nelson, « Fiction for five fi 1982, p. 162-164. Goopman, Nelson et ELGIn, Catherine, Esthétique et connaissance. Pour changer , pour la traduction francaise. Pour la Catégorie Ve », Podtigue ambon, 1992, ingers », Philosophy and literature, Vl, Paris, Seuil, 1991, Grice, Herbert Paul, 1979, p. 57-72, Grivel, 1973. : ; 5 030, «Logique et Conversation », Communications, 0 30, Charles, Production de |: ‘intévét romanesque, La Haye, Paris Mout" BIBLIOGRAPHIE 579 “Blaise, « Argumentati poe if! ie arf mee fata i 1 iheoatition et logis fc os il entation, que nat » Centre de Recherches Semi _ iologique el ee mn chitel, rage spécial du n°32 gene de la Revie européenne des sce cabiers ces sociales | vilfredo Pareto, Geneve, Droz, 1982 p. 183-2 ze raneBlaise, De la logique a Pargumentation Gen gait gap, GUSEENE, Temps et verbe. Théorie des a "de = eee i, des modes et gull 4 . Matty Honoré Champion, 1970. des temps, MBURGER, Kiite, Logique des genres littéraires, Paris, Seuil, 1986 » Paris, Seuil ” ), pour la ction francaise. ANON: Philippe, « Qu’est-ce qu'une descripti i Hs 7465 485. ‘cription ? », Podtigque, n° 12, 1972, HaMONs Philippe, « Note sur les notions de no: ore Linsérature, 0° 14, mai 1974, p. 114-122. me et de lisibilité en stylistique », AMON, Philippe, « Pour un statut sémiologi : gique d 0°6, 1972, repris dans Poétique du récit, Pai Seu ‘or. te sian, Philippe, « Un discourscontraint Litéatereet eit i ‘alii, Patis, Seuil, 1982. » Littérature et réalité, dit. R. Barthes HaMoN, Philippe, Le Personnel du roman, Le systime des personages dans les Rougon-Macquart a@’Emile Zola, Geneve, Paris, diffusion Champion, 1983. HaMoN, Philippe, Introduction a Véude du descriptif, Paris, Hachette, 1981 HaMmon, Philippe, Texte ef idéologie, Paris, PUF, 1984, collection « Quadrige ». HEGEL, Georg, Wilhelm, Friedrich, Cours d'esthitique (1842), troisiéme partie, «Le systéme des différents arcs », Paris, ‘Aubier, 1997, pour la traduction francaise. HERRSTEIN-SMITH, Barbara, Contingencies critical theory, Harvard university press, London, England, 1991. - ; i : he génétique du style », Stylistiques 2, HERSCHBERG-PIERROT, ‘Anne, «Approc di -e Bougault et Judich Wulf, Rennes, PUR, 2010, p. 33-40. H nae is rotons Fame trie dt langage (1943) Paris, Minuit, [JELMSLEY, Louis, of value, Alternative perspectives for Cambridge, Massachussets, and s, Minuit, 1971 1968-197! ee +. Linguistiqne’s : yeasty, Louis Fe eainatisne des 1780 Progranme, mytbe, wélité - Paris, Gallimard, 1992 Honsnaws, Bric NA s, ique Peter de Humbold et Bonpland 190), era DOM Our 5, Jabbs:, Vays Oe nde eh Out rigonométriques et des HuMBOLD®, ae apser vations astronon sénation brigond M neil do _2]. Reewel paris, Scht 4, el : i i poubstiee Se Spey jz annear le Kavi (1839) Paris, Seuil, mest Melen vO Hi Wi Humpoleh \ eraduction franga!s 1974 por a EYUDE SUR LA LANGUE ROMANESQUE DE VICTOR HUGO INGARDEN, Roman, LEuvre d'art Jittéraire, Lausanne, L Age d ‘Homme, 1983 aise. ana a eaduction TT écentes conceptions de la vrité dang Vocuvre Gare », Reine desthéique, 2, 1949, p. 162-180. IsER, Wolfgang, L’Acte de lecture. Théorie de Veffet esthétique (1976), Bruxelles, Mardaga, 1985 pour la traduction frangaise. JaKonsON, Roman, Esiais de linguistique générale, Minuit, 1963. JaKonson, Roman, Questions de postique, Paris, Seuil, 1973. JANKELEVICH, Vladimir, Quelque part dans Vinachevé, Paris, Gallimard, 1978. Jauss, Hans Robert, Pour une esthétique de la réception (traduction de divers textes datant de 1972 4 1978), Paris, « Tel» Gallimard, 1978 pour |g traduction francaise. JENNY, Laurent, La Parole singulitre, Paris, Belin, 1990. Jouve, Vincent, L'Effet-personnage dans le roman, Paris, PUF, 1992, Kanpinsky, Wassily, Du spirituel dans Vart et dans la peinture en particulier Paris, « Folio», Gallimard, 1989 pour la traduction francaise, , Kant, Emmanuel, Critique dela raison pure, Patis, PUF, 1975 pout la traduction frangaise. Kant, Emmanuel, Critigue dela faculté de juger, Patis, Vein, 1993 pour ly traduction frangaise. Kerprat-Orrccuion|, Catherine, L’Enonciation. De la subjectivité dans le Langage, Paris, Armand Colin, 1980. KerpraT-ORECCHIONI, « Le texte littéraire : non-référence, autoréférence ou référence fictionnelle », Texte, n° 1, 1982, p. 27-49, Kerprat-ORECCHIONI, La Connotation, Lyon, Presses Universitaires de Lyon, 1983. Kerprat-OrECCHIONI, L'Implicite, Paris, Armand Colin, 1986, KLEIBER, Georges, « Pour une explication du paradoxe de la reprise immédiate », Langue frangaise, 0°72, déc. 1986, p. 54-76, Kern 7 one Nominales. Essais de sémantique réferentielle, Paris, Armand olin, 7 KUINKENBERG, Jean-Marie, «Le concept d’isotopie en sémantique et en Toronto, Braxelle, ae Le Sens rhétorique. Essais de sémantique littéraire, Knee, Saul, Le Ly ivions du Gref / Les Eperonniers, 1990. ic Keres Julia, Semeiotike. Recherches PVA, Julia, La Révolution du le pour une Sémanalyse, Paris, Seuil, 196?- ngage poétique, Paris, Seuil, 1974. ye ang AnGaise, ER (157, re Paria, go MiMuie, 19 “ele ef Petit. 1973, 93 “%. tom (rag, +Tel. hactign ar 197 Callimard, 190, diver Belin, 1999, our, man, mew, Patis, PUP, 190 © dans la pent, = traduction franccae” A2"ictlien, ris, PUI “82% Paris, Vein, 1995 pou, a wom. De be subjectvine dan 1on-réfErence, autoré autoréterence 27-49 ceo 'resses Universitaires de Lyon ind Colin, 1986. loxe de la reprise immédiate », e réferentielle, Paris, Armand opie en sémantique et en 41, 1973, p. 285-290. cats de sémantique listérair, ronniers, 1990. ris, Minuit, 1982 pour la nalyse, Paris, Seuil, 196? aris, Seuil, 1974. BIBLIOGRAPHIE rouse Vespérene litran snp see P Peter, Pai seduranan. Npprocsesiniolipign dan tra Hagor, ars New York, Moston Pain : vilippe. Présentation du 1°21 “A earn miélées », 1975, Cease Pr etippe et NANCY, Jean-Luc, Abid li 5 HE lemand, Paris, Seuil, 19 “ua Pantie allemand, Pais, Seuil, 197, a gate re de, Lycée om cours de literature ancionne 1 J ier, 1834 c 1 Pat Us eaus dela subversion, Pats, Jean-Jacques Pave sp Mag la collection « Folio essais » =, et mation dl bap dela moni Ps Se aa 3 laude, «Introduction & l'ceuvre de Marcel Mauss » i Ct hropologie, Pacis, PUP, 1968 Maral thin fiction », American Philosophical Quarterly, XN, 579 7 docery hers, 156, de la revue Prénee, pte! ie, La eratre. Thera, muderne, ed, «TU oat 1 Eel Le Pole dela ffene, Pais, Sel, 967 pour arabe s ‘pont pai, La Structure du texte artistique 1970), Patis, Gallimard, 1973 0 enucton francaise, cs Gems Lt ‘Théorie du roman, Paris, Gallimard, 1995 pour la traduction cose 0s Geom, Problimes ‘ons / ywoonato, Margaret, « Le langage de la fiction » (traduction de « The loguage of fiction », Proceedings of the Aristotelician Society, supp. vol 27 WA p. 165-184), Poétique, n° 78, avril 1989, p. 219-235. wcueney, Pierre, A quoi pense la littérature ? Exercices de philosopbie lisséraire, Pus, PUR, 1990. owe, Pierte, « La chose littéraire », postface & La Production de F mmatirad, Thies, repréventations et pratiques de la culture au xix sitele, dit. Jean-Yves Maier, Philippe Régnier et Alain Vaillant, Saint-Etienne, Publications Lo, est de Saint-Etienne, 2008, p. 442-455. dane an Daniel, L’Epopée, Paris, PUF, 1986. : WENEAU, Dominique, Pragmatique pour le discours litérat seven 0. de (eg its Dominique, Analyse de dics. traduction ar lectures * Faris, Hachette, 1991. du réalisme, Paris, U Arche, 1975 pour la traduction re, Patis, TUDE SUR LA LANGUE ROMANESQUE DE vic 1990. par Emile Chambry, py Pay Lire Goodman, Las ties dela rien, Cao i Michele, « Figures rexculles du silence, exemple del ‘it, Herman Parret, Pati, Elitone gee A. ons du CNRS, ‘Grammaire philosphiqne des tropes. Mise e forme PRaNbI, Michel ot interprétation discursive des confltscomce “imi Trerald «Theme et interpretation», Pedtign, 2°64, ny. oy %, bt Eni, « Heérogénbié silence», Le Sense ttl EE ean, Ediions da CNRS, 199, p. 205.5" 8 15. x13 sce, Pati, PUR, Calc Lz Romanfeuilleton franca Thsttation ovate nique (i), Figures da sujet lyrique, Paris, PUR, 196, ‘n, « Fondus enchainés énonciatifs, Scénographie énoncis “Jue », Potigue, 1° 126, 2001, p. 151-173. ata ee Ndumentr en racontant, De Boeck, Bruxelles, 2004, 1es, La Mésente Paris, Galilée, 1995. ‘sr les conradivons dela rat, 98 1 Partage da sensible, Paris, La Fabrique, 2000. antique inerprétaive, Paris, PUR, 1987. 1°58, 1980, p. 103-127. Lat Jost, « AOAYM ei na OG gee 1974p: TOT-ANG pove, Josette, Le ser DINO pe Robes, TE hex Armand Cain Mase, yciunns, Ivor Amsteony linia Kose ‘Trabner and C, 1944. ces, Pl, Lat Méapbare ie, Pass Se . et récit I. Lintigue et leis bisori casur, Paul, Temps et réit " Jans la collection « Points » reptisd srceum, Pol, Temps ot cis 11 Laci dee Seuil, 1984, repris ges FLUDE SUR LA LANGUE ROMANESQUE DE vic Riveort, Martin, Présccation du 57 de la revue Lamps fram ct référence », 1988, a, ion), As ractarale, Pats, Flamm pout la traduction francaise sion référentielle » (1978), Li frang las, « Roman Jakobson. Linguistique et poétique, vx apres , Le Souci des apparenes. Neuf études de podtique et de mi Dominicy, Bruxelles, Editions de ! Université de Braxel RvLE, Gilbere, « Imaginary objects », Ar volume, XII, 1933, p. 18-43. SaiNT-GénAND, Jacques-Philippe, «Les sémiologue contee lidéologie », LInformat p. 41-46, SatNT-GéRaND, Jacques «Langue e langages du x ‘istoire de la langue francaise, dit. Jacques Chaurand, Pas Ne Saussure, Frédéric de, Cours de lingnistique générale, Pacis, Payoe, 1974, in-Marie, Les Cdibataires de art, Pow our interpreter: Se, srammaticale, o79 e in-Marie, « Le romanesque », Vox postca, {en ligne : ,, Laurent et LERI Lens ae poltqne du monde, Antbologie dt romamtsne allemand, Pats, Jos Cor 200 EW. J,, Systtme de Pidéalisme transcendantal, Louvain, Peete, Louvain-la-Neuve, Editions de l'Institut supérieur de Pt losophie, dfuion luction frangaise. ‘August Wilhelm, Lezons ser lbisoire dela tbéoie des beaux at sivieg des articles du « Convercations-Lexicon » concernant U architecture la sculpt «tla peinture, Patis, Pichon et Didier, 1830 pour la traduction frangaise. Sctior, Naomi, « Fiction as interprétation / Interprétation as fiction, Th Reader in the text: Essays on audience and interpretation, dit. Susan Sleiman et Inge Crosman, Princeton, Princeton University Press, 1980, p. 165-182, o Hp Je roa Pre a Si ale ‘Susan Suleiman et Inge Crosman ne ti ree ess, 980. eit Le Roman a thise ou Uantrité tne, dae wan frangaise- ws ce Je ne wos artour QW ObSCUFIRE : clais cp, mi, ba ide Pascal. », Lobscurité. Langage: hoon i PEE phe Denis, Acaemia Brae 2 cla Grtce archaique et classique espe ne isie de la letire dan lemon sen Shree ger Chartier, Pais, Sei, 1997 coal Sens figuré. Vers une théorie de) cz, Irene, Le Perle def OE, 1981. ‘ aris Fecz, ene, «La composante céférentille das mm mansean on laine » Lague Prangaise 57, es, ami de Ling fe . jy, Taveran, Théorie de la seul, 1965- i eon Tavera, « Les anomalies sémantiques»,Lingins, 100-123. qononov, Tzveran, «La lecture comme construction», Poti 2 p4l7-425, repris dans Poftque de a pre chix, suv de Nl en fur le réit, Paris, Seuil, 1971, 1978. tovoxov, Tzvetan, Théories du symbole, Patis, S callection « Points » dir, Henri Meschonnic, Saint-Denis, Presses Universitaires dV 2000. 588 ETUDE SUR LALANGUE ROMANESQUE DE VICTOR HUGO ‘TRABANT, Jiirgen, «Les langues des peuples Pees Projer anthropologiques autour de 1800 », Revue Germanique internatinnale 2004, p. 11-26. . Unensrrun, Anne, Lire le shédtre II, Paris, Nathan, 1996. VaDé, Yves, L’Enchantement littéraire. Ecriture et magie de Chateaubriand a Rimbaud, Paris, Gallimard, 1990. : VAILLANT, Alain, La crise de la littérature. Romantisme et modernité, Grenoble ELLUG, 2005. a VAILLANT, Alain, «Lyrisme de l'ironie », Esthétique du rire, dir. Alain Vaillant, Nanterre, Presses Universitaires de Paris Ouest, 2013, p. 277-306. VALERY, Paul, Variétés, Euvres, I, Paris, Gallimard, « Bibliothéque de |, Pléiade », 1957. VALERY, Paul, Piéces sur l'art, Euvres, 1, Paris, Gallimard, « Bibliotheque de la Pléiade », 1960. VIALA, Alain, Naissance de I'écrivain, Paris, Minuit, 1985. Vico, Giambattista, De antiquissima sapientia italororum : ex linguae latinae originibus eruenda libri tres, Mauvezin, Trans-Europ-Repress, 1987. Von Moos, Peter, « Introduction une histoire de endoxon », Lieux communs, ‘opei, stéréuypes, clichés, dit. Christian Plantin, Kimé, 1993, chapitre |. ». 3-16. Vunaume, Marcel, Grammaire temporelle des récits, Paris, Minuit, 1990. ‘WEINRICH, Harald, « Semantik der Metapher », Folia lingnistica I, 1967, p. 3-17. Wemnricu, Harald, Le Temps, Paris, Seuil, 1973 pour la traduction francaise. WELLEK, René et WarrEN, Austin, La Théorie Uittéraire, Paris, Seuil, 1971 pour la traduction frangaise, Wimsatt, William Kurtz Jr et BEARDSLEY, Monroe Curtis, « The affective fallacy », Sewanee Review, LVI, The University of the South, Sewanee, Tenessee, p. 31-55. Wimsatt, William Kurtz Jr et BEARDSLEY, Monroe Curtis, « The Verbal Icon », University of Kentucky Press, 1954, WirtGENstEin, Ludwig, Tractatus Logico-philosophicus suivi des Investigations philosophiques (918 et 1953), Patis, Gallimard, 1961 pour la traduction francaise, repris dans la collection « Tel », ZILDERBERG, Claude, Raison et postique du sens, Patis, PUR, 1988. ZILBERBERG, Claude et FONTANIL , Jacques, Tension et signification, Liege, Mardaga, 1998, Bibliographie Alberes R. M. (1966), Les métamorphoses du roman, Paris, Albin Michel. Apel K.-O. (1980), « Intentions, conventions and reference to things », in J. Bouveresse et H. Parret (eds), Meaning and Understanding, Berlin, ‘Walter de Gruyter, 79-111. Aristote (1991), La rhétorique (éd. par Michel Meyer), Paris, Hachette, « Le Livre de Poche ». Bakhtine M. (1978), Esthétique et théorie du roman, Paris, Gallimard. Barthes R. (1964), Le degré zéro de Vécriture, Paris, Gonthier. — (1970), S/Z, Paris, Le Seuil. Bessiére J. (1990), Dire le littéraire, Bruxelles, Mardaga. Booth W. (1961), The rhetoric of Fiction, Chicago, University of Chicago Press. Borges J.-L. (1957), Fictions, Gallimard. Cervantés M. (1949), Don Quichotte, Paris, Gallimard. Chatman S. (1978), Story and Discourse, Ithaca, Cornell University Press. Cohen R. (1978), Remarks of formalist and hermeneutic features, in M. Val- das et O. J. Miller (eds), Interpretation of Narrative, Toronto, University of Toronto Press, 3-7. Culler J. (1975), Structuralist Poetics, Ithaca, Cornell University Press. — (1981), The Pursuit of Signs, Ithaca, Cornell University Press. De Man P. (1989), Allégorie de la lecture, Paris, Galilée. Dubois J., Edeline F., Klinkenberg J.M., Minguet P., Pire F. et Trinon H. ‘ou Groupe My: (19857), Rhétorique générale, Paris, Le Seuil. Eco U. (1976), Opera aperta, Milan, Bompiani (tr. fr. Le Seuil, L’euvre ouverte). — (1979), Lector in fabula, Milan, Bompiani (tr. fr. Le Livre de Poche) Ellis J. (1974), The Theory of Literary Criticism, Berkeley, The University of California Press. Enzensberger C. (1981), Literatur und Interesse, Francfort, Suhrkamp. 243 cepionssthet oy 197 esse EsKIAESME -{Capns), Astbesee si wring seeaenk, Music Finks 7 Wiest, 1966), Pour une tore del produton ). A quot pense la linérature?, Pas, Marino A. (1981), L'hermeneut Meyer M. (19794), Déc — (1980), Dialect phical Quarterly, 17, 4, 281-289. — Prost), La conception problématologique di langags 1 2, 80-99. 25 me SUZANNE BERNARD Docteur es Lettres LE POEME EN PROSE DE BAUDELAIRE JUSQU’A NOS JOURS a LIBRAIRIE A.-G. NIZET PARIS 1s V. Hugo, Préface des Orientales. « La division populaire en prose et vers est inadmissible au point de vue d’une exacte piitisophie. Tl n’est nullement essentiel qu'un poéte soumette son langage A un certain systéme de formes traditionnelles, pourvu que Vharmonie qui est dans son esprit soit observée. > Shelley, Défense de la poésie. « Deux dangers ne cessent de menacer le monde : Vordre et le désordre. > valéry, Variété III. INTRODUCTION Ce qui rend difficile (passionnante, aussi...) la question du poéme en prose, cest que nulle forme poétique peut-étre, parmi celles qui ont depuis un siécle tenté de plier le langage & des exigences nouvelles, ne met en jeu avec autant d’acuité la notion méme de poésie. Nous lisons un poéme en vers, un sonnet par exemple; et nous pouvons, certes, étre sensibles 4 son «charme > poétique, sentir se propager jusqu’au fond de notre étre ces ondes qu’ébranle mystérieuse- ment la poésie, ou au contraire n’éprouver aucune émotion et dénier au texte tout pouvoir poétique. Gela dépend du texte, et de nous-mémes. Les appréciations varient fréquemment d’un lecteur a Yautre. Du moins pouvons-nous étudier la forme du sonnet pour elle-méme, et la fagon Font Pauteur a respecté les régles du genre, ou les a fait servir & ses fins poétiques. Le poéme est-il en vers libres, il sera déja plus difficile de découvrir a quelles lois il obéit (ne parlons plus de régles); ces lois existent pourtant, bien qu’elles puissent varier d’un poete a Yautre; Ja typographie du texte, en tout cas, nous permet d’affirmer que Yauteur, écrivant en vers, a voulu écrire un poéme. Mais prenons maintenant un recueil de poémes en prose contempo- rains (soit, si ’on veut, VAnthologie de Maurice Chapelan) (1) : quel c1 tare nous permettra de déterminer quel moment telle page cesse @étre prose, pure prose, belle prose peut-étre, pour se charger de poésie, dune part, et d’autre part pour mériter le nom de poéme ? Les éléments sont les mémes, puisqu’ils sont empruntés & la prose, et non pas méme au langage plus orné de la « prose poétique >, mais 4 la prose de tous Jes jours, sans festons et sans astragales. La secréte transfiguration qui charge ces mots tout ordinaires d’un pouvoir secret, la maniére dont Gireule le mystérieux courant poétique le long de phrases apparemment Sane harmonie et sans mesure (comme, le long d’un fil grossier, le courant d’une invisible électricité, qui soudain nous inonde de lumiére), Guelles régles pourraient permettre de les définir — puisque aussi bien ae pouvoir de la poésie se situe au-dela du langage? Ajoutons aA cela que le poéme en prose, genre protée, nous déconcerte par son polymor- phisme. Laissons de‘cété, pour Vinstant, les cas litigieux (ceux ot Yon voit classés comme poémes des proses qui sont en réalité, et qui étaient dans Vesprit de leurs auteurs, des récits, des romans, des maximes (2); (1) Anthologie du poéme en prose, Julliard, 1946. (2) M. Chapelan réunit par exemple, dans son Anthologie du poéme en prose, des contes (Le Diamant de Uherbe, de Forneret), des fragments de roman (Impressions d'Afrique, de R. Roussel), des maximes (comme les extraits du Journal de J. Renard). INTRODUCTION 5 mis en ceuvre pour transcende, Ww raordinairement divers : quoi qo en ins que les moy as moins que les xt pee eur i nl rade a couples a Aleymapication, tet, na, Goeme ceived oy Tes on se trouve gat dans Un eran ou wal Ma os ate ne ae nostalgie les belles aicet Teal guees de In poésie, clats'digmaines de Ia poésie et de Ia pros, res, en el . Part des vers, et se trouy, ae étant lari 7 ee Ouvant t delimités, In pole vo d’autre, Il est évident quent Anal forme, 4 : ainsi définie comme une forme, oF tion, Ia question du poeme «i Ton identifie ainsi poésie et versificgton ie rion Lage ce Poe e ate Pose Pas distinction des genres, et qui souhaite yoj; qui Peer edad Jes belles-lettres comme ailleurs, ne pouvait voir aie Te ome en prose qu’un affreux batard, un monstre non viable, De méme qua la prose poétique, on lui refuse toute possibilité d’exister. ‘A la déclaration de Yabbé d’Olivet : Je ne sais ce que c’est ni que prose poétique, ni que poésie pro. saique : je ne vois dans une que d'insipides vers, et dans Pautre qu'une prose ot se rassemblent tous les vices que Longin oppose au sublime (3). Pour nos pél étaient nettemen! fait écho, en 1777 encore, VEncyclopédie de d’Alembert, qui, a Varticle Prose, se borne & coneéder que la Psyché de La Fontaine aurait mérita Je nom de Poéme, « s'il y avait des pogmes en prose >. La fin du xvint siécle, et Pépoque romantique, verront les. esprits Sf pgbeller, contre ces classifications rigides, dissocier Vidée de farm: ct Vidée d'essence poétique, et admettre que la poésie ne réside! qene aucune forme définie a priori. Beaucoup de bons esprits s'étaicat ans apergus que « Vart des vers > ne suffit pas a faire des podtes (dyn quvl® Peppuche Ja prose est susceptible de poésie, et que, suivant ko nwt 2 pibbe du Bos, ¢ il est de beaux poemes sans vers, eonne ‘Vet oo beaux vers sans poésie > (5). Sans doute la poésie, de wane. il est de grecauacne,& 4 musique, done a Vidée de mesure Grost® eres Carmina latins), et You peut penser aucet mires Powaidue est favorisée par le retour, & intervallee vemos f nea Tee ana’ et par Visochronisme des vers, Mais 10 1sietS: des mémes les rapports de sonorités et de sens, le prase, Tythme de a frange de suggestion qui s'ajoute 4 forse sleet indépendants Ge ta forcomeent Pavement intelli- $e, 5 ’ ne sont plus gee ge fee en alexandring @école, and “Vversificateurs » (c'est ce. duand les « poates » € qui s’est Produit an (@) En 1737; ' p. 389, 1787 efté par Gonjet, Binz (4) Et deja Arist i éerive en vers) a ‘ote qui, dans sa Poéti ‘ue, & Hérodote (meme oi on fe ent Peete en it en vers) le nom de qu! asec st dinstruire le 1, 0 43), ites: qui historiques @ostiqua A qui fait remonter haut te vot : ‘otheque francaise, t. 111, chapitre 15, chap. 1 et 8; éd. rine! : : P nae Bratuité’» postique 8 su, Ta ? la Poésie et ia Painture, ig, + 3 » © T, chapitre xryir, INTRODUCTION rt xvun' sidcle), alors il devient nécessaire de trouver une autre forme plus libre et plus souple. e Tout effort de la poésie francaise, depuis le romantisme, a tendu a faire éclater le carcan des conventions et des préceptes dans lequel Gtouffait Vesprit poétique : la rime, la métrique, toutes les régles du Vers classique, les régles aussi du’ style «poétique » ou noble — et jnéme, plus récemment, les régles de la grammaire et de la logique usuelles. De méme que le vers romantique, et plus tard que le vers libre des Symbolistes, le poéme en prose est né d'une révolte contre toutes les tyrannies formelles qui empéchent le poste de se créer un langage individuel, qui Vobligent verser dans des moules tout faits Ja matiére ductile de ses phrases. Mais le poéme en prose a rejeté plus complétement les lois métriques et prosodiques; il a refusé obstinément de se laisser codifier. La volonté anarchique, qui est & son origine, explique son polymorphisme et la difficulté qu’on éprouve a le définir. Maurice Chapelan, dans Vintéressante introduction qui précéde son ‘Anthologie du poéme en prose, constate que c’est un genre dont « nul théoricien ne s'est encore avisé de promulguer les lois (6) >» — et cette liberté lui confére, ajoute-t-il, un dynamisme qu’ont perdu tous les autres genres du lyrisme traditionnel. Une enquéte menée sur le poéme en prose en 1919, par Louis de Gonzague-Frick, a donné des résultats fécevants : il est si facile de confondre le poéme en prose avec d’autres genres, et d'appliquer V’étiquette de «poéme > a toute page tant soit peu poétique! <« Le poéme en prose ne se définit pas, il existe >; cette conclusion lapidaire de Guy Lavand(7) fait écho, trente ans plus tard, la constatation de M. Chapelan: « Que le poéme en prose foit véritablement un poéme, Pacquiescement de la sensibilité de cha- cun peut seul en apporter la preuve (8) ». Autrement dit, il n’est, & Végard du poéme en prose, ni définition, ni critique qui vaille: la question est purement individuelle. Qu’aprés cela Yun voie dans le poéme en prose un roman concentré en quelques pages, I’« osmazome > He la littérature (9); un autre « la forme naturelle de Villumination (10) >} quun troisiéme Iti donne pour éléments constitutifs < la langue poétique, la description et le rythme (11) », tandis qu’un quatritme lui Génie toute musique, tout rythme et tout effet de style poétique pour Je confiner dans « la recherche de Yarbitraire > et dans < la rencontre cocasse et rafraichissante des éléments flottants de la nomencla- ture (12) » — quoi d’étonnant ? Aprés avoir souligné le polymorphisme du genre, Mme Durry conclut : (6) Anthologie du poeme en prose, Julliard, 1946, Introduction, p. xvi. (7) Répondant a V’Enquéte de L. de Gonzague-Frick dans Don Quichotte, en 1919. (8) Anthologie, Introduction, p. xv1. (9) Huysmans, A rebours, 1 éd, t. VII, p. 302. (10) Henri Ghéon, Nowvelle Revue Francaise, aodt 1912, p. 345. (11) Vista Clayton, The prose poem in french poetry of the XVIII th century, Columbia University, 1936 : 2° partie, chapitres III, IV et V. (12) G. Blin, Introduction aux Petits Poémes en prose de Baudelaire, Fon- taine, février 1946, p. 284. 1884; GEuvres completes, Grés, 1927, INTRODUCTION Py Pout-dtre la pele) am nly ea Fre prodwisont sur le lectei Uu’elleg ont en commun qu'un meme gee” es connus, un souhait dinventer une past " hors des langages conus, mais peut-dtre : ee aerate satis ee-oxpeimer.esYquel jamal Peut-étre hommes to'nnrviondront A axprimer, par le moyen des mots? Proprement ne_parviend Vinefable (13). ion d'étudier Ie po&me en prose en part uate, in aude pot Bree pata aeatoeT cue Wet Ge, ontatoney oe Winterprétations contradictoine Ruralent ‘de. quot dscournges toute Student eceidan ae est vrai cae touler des tent Je désir d'un langage inédit, imoui, qui renouyel ii ng erg Se a issu de ces exigences profondes est um trait commun qui nes Pas négl geable; et i semble que c'est justement dans la mesure oi se préciserg ce désir de <« trouver une langue », selon Vexpression de Rimbaud, que Je podme en prose deviendra a Ia fois un genre littéraire original et une forme répondant aux besoins du lyrisme moderne, P uisqu'il faut bien mettre le fait liltéraire du podme en prose, et puisque aujour@hui tout le monde est d'accord pour admettre son existence on tant que genre littéraire, la meilleure méthode semble étre de chercher dans les cuvres elles-mémes quelles tendances fondamentales pré: 4 gendse ef 4 son organisation, et comment ces tendances wanes suivant ies coaues, et suivant les individus, Sans doute pourronaeuy® ain arriver d déterminer quelques ¢constantes > du genre, ainsi qwa voir se dessiner a travers In diversité des ceuyres In courbe Gans lente m nette évolution, La diffleulté subsiste cependant toujours en mitation du sujet : les frontiéres sont Parfois si potme en prose et Ia prose plus ou mein) €n prose» Ini-méme est susceptible wet Peu nettes entre le Poétique, et le terme « poeme ‘ant d’acceptions variées | Du fous les poémes en prose ser (que Von s’amuse hors duquel ils perdent Teur sens ct caractére “inachevé, inorganique. tin e Outre, ils ne ont i cana A pores nee - il faut bien’ admettre iis Tart ne ow ily a créati i i baa paee a volonté de s'extérioriscr par des moutaire et consciente, « Liart est des moyens choisis s, die Max Jacob du poeme en Prose (14), ce qui Pamene a déclarer as un poeme en prose i ; tr » quand bien deux ou trois trouvailles >. S'il n’est pas sans nPte rendu de jo, raire, vrage de Vist; yton cite oj » danvlernank ‘Tas ayton cité ci-dessus, dans la ‘ornet @ Dés, en 1916; éd. Stock, 1923, p. 14.

You might also like