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Fais­le aujourd'hui

Surmontez la procrastination, améliorez la productivité et


Réaliser des choses plus significatives

Écrit par

Darius Foroux
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Copyright © 2018 par Darius Foroux, Tous droits réservés

Edité par Darius Foroux

www.dariusforoux.com

Tous droits réservés. Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite, distribuée ou
transmise sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit, y compris la photocopie,
l'enregistrement ou d'autres méthodes électroniques ou mécaniques, sans l'autorisation
écrite préalable de l'éditeur, sauf dans le cas de brèves citations incorporées. dans des critiques
critiques et dans certaines autres utilisations non commerciales autorisées par la loi sur le droit
d'auteur. L'auteur de ce livre ne donne pas de conseils médicaux ni ne prescrit l'utilisation d'une
quelconque technique comme forme de traitement de problèmes physiques, émotionnels ou médicaux
sans l'avis d'un médecin. En cas de dépression, de trouble anxieux, de trouble panique ou de tout
autre trouble émotionnel, consultez votre médecin avant d'utiliser les techniques décrites dans ce
livre. L'intention de l'auteur est uniquement d'offrir des informations de nature générale pour
vous aider dans votre quête d'une meilleure réflexion. Dans le cas où vous utilisez les informations
contenues dans ce livre pour vous­même, l'auteur n'assume aucune responsabilité pour vos actes.
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Table des matières

Table des matières 3

À propos de l'auteur (c'est moi) 5

À propos de ce livre 6

Comment lire ce livre 11

Partie I : Surmonter la procrastination 12

Faites­le aujourd'hui, pas demain 13

Ce que je fais quand je n'arrive pas à me concentrer 16

Comment vaincre la procrastination (soutenu par la science) 20

Comment arrêter de perdre du temps et améliorer votre efficacité personnelle 25

Les habitudes des personnes improductives que vous ne voulez pas copier 28

Ce rituel du soir de 30 minutes vous aidera à donner un coup de pied à la vie. 33

Pourquoi se déconnecter d'Internet améliore votre concentration 36

La principale raison pour laquelle la plupart des gens procrastinent dans la vie 39

Cette ancienne habitude maximisera votre concentration 42

Comment mieux se concentrer : gérez votre attention (pas votre temps) 45

Partie II : Améliorer la productivité 47

Les smartphones nuisent à votre productivité plus que vous ne le pensez 48

Comment le perfectionnisme détruit votre productivité 51

Comment lire 100 livres par an 55

Prendre des vacances : cela augmente votre productivité et réduit le stress 59

Éliminez la navigation inconsidérée 63

20 choses qui vous rendront plus productif que jamais 64


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Voici pourquoi les congés améliorent réellement votre travail et votre vie 67

Blocage du temps : améliorez votre concentration et effectuez un travail plus significatif 71

J'ai arrêté de m'entraîner quotidiennement. Voici ce qui s'est passé. 74

Si vous voulez être plus productif, la recherche montre que vous avez besoin d'une pause 76

Partie III : Réaliser davantage 78

Vous ne savez pas ce que vous voulez ? Améliorez ces 7 compétences universelles 79

Quittez le bureau à l'heure et ne ramenez pas votre travail à la maison 82

La cohérence est la clé : améliorez­vous de 0,1 % chaque jour 85

Qui a dit qu’il fallait sortir de sa zone de confort ? 87

Si vous pouvez y croire, vous pouvez y parvenir 91

Ne rivalisez pas. Créer! 94

Toute force vient de la répétition 97

Comment je mesure ma vie 100

Pourquoi devriez­vous vivre comme si vous étiez immortel 103

Le pouvoir de la composition 106

Post­scriptum 110

Newsletter gratuite 111


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À propos de l'auteur (c'est moi)

Je suis entrepreneur, blogueur et podcasteur. Depuis 2015, je partage mes réflexions sur la vie,
les affaires et la productivité sur mon blog. Jusqu'à présent, plus de 4 millions de personnes ont
lu mes articles. J'ai également cofondé Vartex, une entreprise de technologie de blanchisserie,
avec mon père, alors que je terminais ma maîtrise en marketing en 2010. Pour mon podcast, The
Darius Foroux Show, j'ai interviewé des leaders d'opinion comme Ryan Holiday, Robert Sutton,
Jimmy Soni, et plus encore.

C'est le troisième livre que je publie. Mes autres livres sont :

• Gagnez vos batailles intérieures : battez l'ennemi intérieur et vivez avec un objectif
• PENSEZ DROIT : changez vos pensées, changez votre vie
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À propos de ce livre

Au moment où j'écris ces lignes, je ne peux pas accéder à mon fournisseur de messagerie que j'utilise pour envoyer

ma newsletter hebdomadaire. Ce fournisseur de messagerie est le service le plus important que j'utilise pour gérer mon

blog. C'est aussi important que mon blog lui­même.

La raison pour laquelle je ne peux pas accéder à mon fournisseur de messagerie et envoyer des e­mails à mes

abonnés (même les nouveaux abonnés qui rejoignent ma newsletter ne reçoivent pas mon e­mail de bienvenue) est que

je suis « bombardé de listes ». Cela se produit lorsque des spammeurs bombardent les inscriptions à votre liste

de diffusion avec des e­mails provenant de personnes qui ne voulaient pas s'inscrire à votre liste. Et maintenant, je

suis connu comme un spammeur parce que j'envoie des e­mails à des personnes qui ne s'y sont pas inscrites. C'est du

moins ce que dit un site Web répertoriant les spammeurs.

À leurs yeux, je suis un spammeur. En suis­je un ? Bien sûr que non. J'ai une vie. Cependant, publier des articles

hebdomadaires et rester en contact avec mes lecteurs fait aussi partie de ma vie. Et cela m'a été retiré maintenant.

L'ironie est que j'ai migré vers ce fournisseur il y a dix jours. J'ai passé des dizaines d'heures sur ce processus.

Normalement, je serais énervé par cette situation et je commencerais à blâmer quelqu'un. Après tout, j'ai investi

beaucoup de temps dans la création d'une grande liste de diffusion. Et pendant un moment, je me suis énervé

d'en être bloqué. Mais tu sais ce que j'ai fait ensuite ?

J'ai commencé à faire autre chose qui est important. J'ai commencé ce livre.

Juste comme ça. Je suis passé à autre chose. La vie ne s'arrête pas. Et chaque seconde, nous nous rapprochons

de la mort.

Je dois dire qu'il y a trois ans, j'étais loin de la personne que je suis aujourd'hui. Je me plaindrais, m'apitoyerais

sur mon sort, blâmerais les autres et je n'aurais jamais agi de manière significative. Mais en lisant, en tenant un journal

et en bloguant chaque semaine, j'ai transformé ma vie.

Tel un sculpteur, j'ai façonné ma philosophie de vie durant cette période. Ma philosophie peut se résumer en trois mots,

et c'est le titre de ce livre : Faites­le aujourd'hui.


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Écoutez, je n'ai pas besoin de vous dire que la vie est limitée et que le temps n'est pas renouvelable. Chaque seconde

que nous investissons dans quelque chose est un temps que nous ne pourrons jamais récupérer. Mais je veux

vous mettre au défi de regarder la situation dans son ensemble.

Ce que vous faites aujourd’hui détermine où vous serez dans un an, deux ans et même dix ans. Chaque

jour, nous continuons à faire des choses que nous ne désirons pas. Je ne parle pas de payer les factures ou de

nettoyer vos toilettes. Je parle de la façon dont vous investissez la majorité de votre temps. Le temps qui résume

votre vie.

Quand j’avais 13 ou 14 ans, j’ai regardé pour la première fois le film Fight Club avec un de mes amis. Depuis ce

moment, une phrase est restée gravée dans l’esprit : « Vous n’êtes pas votre travail, vous n’êtes pas l’argent

que vous avez en banque. » Je suis content d'avoir regardé ce film à l'époque. J'ai regardé le film plus d'une
douzaine de fois et j'ai

lire le livre plus d'une fois. Cette seule pensée m’a inspiré à devenir indépendant.

Je ne suis pas mon travail. Et je ne suis certainement pas mon compte bancaire.

Mais qui sommes­nous, si nous ne sommes pas ces choses ?

Depuis 17 ou 18 ans, je médite sur cette question. Pour l'instant, je crois


que nous sommes nos actions. Et nos actions révèlent notre caractère. C'est ce que nous sommes.

Ce qui est drôle, c'est que nous sommes notre travail. Après tout, nous passons la majorité de notre temps à

gagner notre vie. Nous échangeons du temps contre de l’argent. Que cela vous plaise ou non, vous devez dépenser

une partie de votre vie à faire ça. La plupart des gens finissent par échanger du temps contre de l’argent tout

au long de leur vie. Mais certains d'entre nous passent leur temps de manière à avoir une vie meilleure.
demain.

C'est pourquoi je le fais toujours aujourd'hui, en particulier les choses importantes comme :

• En lisant

• Faire de l'exercice

• Investir

• Économie

• Passer du temps avec les gens que j'aime

• En riant

• Réservation de vacances

• Profiter de ma vie

Et oui, même en payant les factures. Quoi qu’il arrive, je fais les choses importantes aujourd’hui, pas

demain.
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Découvrez ce qui est important pour vous

Ce livre ne concerne pas les astuces de vie, les conseils de productivité ou toute autre tactique. Nous

connaissons tous ces choses. Bien sûr, je partage de temps en temps des conseils tactiques que j'ai appliqués

pour obtenir plus en moins de temps. Cependant, ce livre contient une collection d’articles que j’ai triés sur le

volet pour vous aider à avoir plus de clarté dans la vie.

La recette d’une bonne vie est simple : soyez clair sur ce que vous voulez et éliminez tout le reste de votre vie. Le

processus est simple, mais il m’a fallu de nombreuses années pour comprendre ces choses.

Et ce livre est mon voyage. Bien sûr, vous pouvez retrouver les articles de ce livre sur mon blog, mais ils ne

sont pas présentés dans le bon ordre. Un blog est organique. J'écris sur les défis auxquels je suis confronté.

Mais avec un livre, je peux vous proposer un ensemble d’œuvres structurées qui servent un objectif

précis.

Do It Today est mon chemin et mon plan pour surmonter la procrastination sans fin, améliorer ma

productivité et accomplir des choses plus significatives. Et ça peut être

le tien aussi.

Comment ce livre est construit

Il y a trois parties dans ce voyage. Dans la première partie, nous commençons par changer notre façon de voir la

vie. Fini la procrastination. Plus besoin de se sentir désolé. Plus de regrets.

Vous savez, ma grand­mère a été malade les dernières années de sa vie. Elle n'arrêtait pas de parler des

choses qu'elle n'avait pas faites dans la vie. Bien sûr, elle a aussi parlé des bonnes choses. Mais le regret était

plus puissant. La recherche montre même que les émotions négatives ont un plus grand impact

impact sur notre psychisme que positif.

Donc, avant de vous montrer comment utiliser votre temps efficacement et faire plus de choses, je veux

se concentrer sur notre état d’esprit. C’est le sujet de la première partie : passer d’un état passif à un état actif.

À la fin de la première partie, j'espère que vous déciderez de prendre la vie par la tête et de dire : « C'est moi

qui commande ».

Lorsque vous êtes maître de votre vie, et donc de votre temps, c'est le moment idéal pour en avoir pour votre

argent. Parce que la productivité n'est que cela : une utilisation optimale du temps. Dans la deuxième partie, j'ai

rassemblé les articles qui vous montrent comment procéder. Vous trouverez bien plus que des idées du type «

faites cela et vous augmenterez votre productivité ». J'emprunte une voie différente vers la productivité.

Par exemple, l'un des articles parle de lire 100


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livres en un an. Il ne s'agit pas nécessairement de productivité, mais cela vous montre comment j'aborde quelque

chose qui est important pour moi. Lorsque vous décidez de faire quelque chose, vous devez également

disposer d’une carte qui vous y mène. Dans la vie, nous devons créer cette carte. Ainsi, lorsque vous lisez l’article sur

la lecture de plus de livres, regardez mon processus de réflexion. Regardez comment je relève mon défi. Ce

n’est qu’alors que vous pourrez appliquer les stratégies à votre propre vie.

Enfin, dans la troisième partie, je vous montre comment rester sur le chemin. Il est facile de lire un article ou d'écouter

des conseils et de les appliquer pendant une journée. Mais c'est inutile. Nous ne faisons de réels progrès et réalisons de

grandes choses qu’en accomplissant de petites choses chaque jour. Par exemple, l’un des articles de la partie

III porte sur le pouvoir de la composition. Lorsque vous faites les petites choses chaque jour, elles s'additionnent.

Et au fil du temps, ils forment de grandes choses comme un corps et un esprit forts, l’autonomie, un vaste portefeuille

d’investissement, etc. Une chose que j’ai apprise sur la composition, c’est que vous pouvez également aggraver des

choses blessantes.

Lorsque vous vous plaignez tous les jours, que vous mangez de la malbouffe et que vous ne faites jamais d'exercice,

ces choses s'additionnent aussi. C'est comme ça que nous devenons malheureux. On n’entend presque jamais

parler de la façon dont un seul instant a détruit la vie d’une personne. Bien sûr, des tragédies arrivent. Mais pour la

majorité d’entre nous, nous laissons simplement la vie nous échapper. Nous décidons de ne pas le faire aujourd'hui.

Parce que « à quoi ça sert ? » Eh bien, voici le point : la vie est belle si vous savez comment la vivre.

Les 30 articles que je présente dans ce livre forment un système inébranlable (j'ai formaté les articles

spécialement pour Kindle, pour les rendre plus lisibles. Et j'ai apporté plusieurs améliorations à de nombreux articles,

en fonction des nouvelles leçons que j'ai apprises et les commentaires que j'ai reçus des lecteurs.)

Lorsque vous adoptez les habitudes dont je parle dans ce livre, vous pouvez relever tous les défis que la vie vous lance.

Tu n'as plus à souhaiter que la vie soit plus facile, tu es plus fort
maintenant.

Au moment où j'écris ceci, le soleil brille, il n'y a pas de nuages, il fait 28 degrés Celsius (82 Fahrenheit) et je

suis assis torse nu derrière mon bureau chez moi, en train d'écouter la playlist Chilled­Out Electronic sur Apple

Music . Et tout ce à quoi je pense, c’est : « la vie est belle ».

Commençons, mon ami.

­Darius

7 juin 2018
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Leeuwarden, Pays­Bas.
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Comment lire ce livre

Avant de commencer, je souhaite partager quelques leçons que j'ai apprises sur la lecture d'un livre :

surtout pratique comme celui­ci.

1. Il n'y a pas de règles pour lire un livre, alors n'hésitez pas à le lire de quelque manière que ce soit ou à vous le commander.

vouloir.

2. Ignorez les parties qui ne vous concernent pas. Non, tu n'es pas obligé de lire un livre
couvrir pour couvrir.

3. Surlignez le texte et prenez des notes pour vous en souvenir davantage.

4. Parcourir un livre avant de le lire peut être bénéfique. Je survole souvent un livre afin de mieux comprendre ce que je

dois sauter ou sur quoi me concentrer. Parfois, je découvre que je ne peux rien sauter. Parfois, je saute la moitié

d'un livre.

5. Vous n’avez besoin que d’une seule idée qui peut changer votre vie. Si un livre ne vous donne qu’un seul bon

conseil, cela vaut déjà la peine.

Bonne lecture.
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Partie I : Surmonter la procrastination

"Vous ne pouvez pas échapper à la responsabilité de demain en l'émancipant aujourd'hui."

­ Abraham Lincoln
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Faites­le aujourd'hui, pas demain

Chaque fois que je retardais une décision, que j'appuyais sur le bouton snooze, que je sautais la salle de sport ou que je ne

complétais pas mes tâches parce que je n'en avais pas envie, j'avais toujours une explication pour ma procrastination continuelle.

Je me suis dit que j'étais fatigué. Ou que cela pourrait attendre demain. Peu importe si vous retardez quelque chose, n'est­ce pas ?

Eh bien, tu devrais t'en soucier. Parce que c'est toi qui es responsable de ta vie. Trop souvent, nous considérons les astuces, applications

ou outils de productivité comme la réponse magique à nos problèmes. Mais cela signifie également que nous nous permettons de rejeter

la responsabilité de notre manque de productivité sur des facteurs externes.

• « Non, ce n'est pas moi, c'est mon ancien ordinateur portable. C'est nul et je ne peux pas travailler de cette façon.

• « Le bureau est trop bruyant. »

• « Les gens continuent de m'appeler et de m'envoyer des courriels. »

• "Je n'ai jamais le temps."

Lutter contre la procrastination est un combat intérieur. J’en ai de nombreux exemples dans ma vie personnelle. En 2013, j’avais

l’impression que ma carrière était bloquée. Deux ans auparavant, j'ai créé une entreprise avec mon père. Mais après deux ans, je suis

devenu agité parce que je voulais en faire plus et apprendre.

plus.

J'ai donc fait du freelance. J'ai créé des sites Web, effectué de la rédaction, du marketing de contenu et quelques travaux de conception.

Mais ça n’a pas décollé. Pourquoi? Je n'ai jamais fait un travail inconfortable. Au lieu de cela, j'ai trouvé un travail pour échapper à ces

tâches difficiles.

Nous nous échappons tous parfois.

Construire une entreprise ou une carrière est difficile. Cela vous oblige à faire des choses difficiles, fastidieuses et

tâches insatisfaisantes. Si vous voulez plus de clients ou de travail, personne ne vous le donnera.

Il faut se démener. Faites du marketing de contenu, des ventes individuelles, du réseautage ou toute autre méthode que vous

utilisez pour développer votre entreprise.

Et si vous voulez gravir les échelons de l’entreprise, vous devez former des alliances, être stratégique, dépasser vos objectifs et

exceller dans ce que vous faites.

C'est ce que vous DEVRIEZ faire, n'est­ce pas ? La plupart d’entre nous connaissent déjà ces choses. Ou bien, vous le découvrirez.

Il n’y a pas de secret pour réussir au travail. Cependant, nous


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préfèrent échapper au travail. Et c’est pour moi au cœur de la procrastination. Vous savez ce que vous devez faire, mais vous

ne le faites pas. Au lieu de cela, vous ouvrez un site d’actualités et commencez à lire des informations inutiles. Ou vous

parcourez votre flux Instagram sans aimer une seule photo parce que vous détestez votre vie. Peut­être que vous parcourez

Zara, H&M, Net­A­Porter, Mr. Porter ou toute autre boutique en ligne que vous aimez.

C’était, et c’est toujours, dans une certaine mesure, l’histoire de ma vie. Par exemple, je travaille actuellement sur un nouveau livre.

Je sais de quoi il s'agit et j'ai aussi un titre. Mais écrire est aussi très difficile

travaille pour moi.

Alors je cherche du soulagement. Je réponds aux e­mails, lis des articles, prends un café, fais des achats en ligne et travaille sur

des tâches récurrentes pour gérer mon entreprise. Ce n'est pas que je sois désorganisé. C'est parce que je me bats.

Steven Pressfield appelle cet ennemi intérieur la Résistance dans son classique The War Of Art. Et voici ce qu'il en dit :

« La résistance est toujours menteuse et toujours pleine de conneries. »

Faites­le aujourd'hui, pas demain

Je dois toujours me rappeler cela. Quand vous procrastinez, vous

je veux le faire demain. Je suis toujours comme ça. Je pense que c'est ancré en nous. La différence

entre moi aujourd'hui et il y a trois ans, c'est petit mais simple : je m'appuie sur un système pour vivre une vie productive,

heureuse et utile.

À l’époque, je ne savais pas comment faire avancer les choses. J'ai toujours abandonné rapidement, je me sentais coincé,

malheureux et frustré. Mais maintenant, j'ai trouvé un moyen de surmonter mes défis. Voici

comment j'ai fait :

• J'exerce ma force mentale tous les jours. J'avais l'habitude de négliger mon cerveau. J'étais mentalement faible, je

réfléchissais trop et je ne comptais pas sur moi­même. Ce n'était pas parce que je manquais de compétences. C'était

parce que je n'avais pas confiance en ma capacité à comprendre les choses. J'ai donc commencé à lire sur le

stoïcisme, le pragmatisme et la pleine conscience ; tout ce qui vous aide à contrôler vos pensées et à améliorer votre

force mentale. Je ne veux pas être esclave de mes pensées. Je veux le contraire.

• J'exerce mon corps tous les jours. Quand je ne fais pas d'exercice, je suis agité, je manque de concentration,

d'énergie et de confiance. En exerçant mon cerveau et mon corps chaque jour, je suis toujours prêt à la guerre. J'ai

appris que vaincre la procrastination commence avant de mener la guerre. Les soldats ne partent pas non plus à la

guerre sans entraînement, n’est­ce pas ? Soyez en pleine forme, mentalement et physiquement. Toujours.
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• J'ai un ensemble d'habitudes quotidiennes qui m'aident à contrôler ma vie. Je journalise, lis, fixe des

priorités quotidiennes et ne consomme pas d'informations inutiles. Je m'assure également d'interagir

quotidiennement avec mes amis et ma famille. Le contact humain est important. Ce

me garde les pieds sur terre. Je n'ai pas de grandes attentes dans la vie. Et je profite de mes journées. Je

ne regarde jamais au­delà de ça.

• J'ai toujours une liste de petites (mais importantes) tâches que je dois accomplir. Prenons

mon nouveau livre par exemple. J'ai souvent envie d'échapper à des choses difficiles comme m'asseoir

et écrire. Alors je me dis qu'aujourd'hui n'est pas une bonne journée. Mais chaque fois que je pense cela,

j'ouvre ma liste de petites tâches et je travaille sur l'une de ces choses AUJOURD'HUI.

• J'étudie et pratique la science de la persuasion pour faire passer mon message. Mon mentor m'a appris : «

Vous pouvez être le meilleur écrivain et enseignant du monde, mais si personne ne le sait, vous ne pouvez

pas avoir d'impact. » La science de la persuasion vous aide à rédiger de meilleurs arguments, lettres de

motivation, textes de sites Web, e­mails, etc.

Bien entendu, il faut du temps pour développer les bases de cette stratégie. Et il y a bien plus encore. Mais ce n'est

pas magique.

Cependant, il n’est pas non plus facile de mener une vie productive. Et ce n’est certainement pas une

question de technologie ou de hacks. Il s'agit de développer un système durable sur lequel bâtir votre vie, votre carrière

et votre entreprise. Quel est votre système pour vivre une vie productive ?

Quoi qu’il en soit : travaillez­y aujourd’hui. Pas demain.


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Ce que je fais quand je n'arrive pas à me concentrer

Avez­vous du mal à terminer vos tâches ? Êtes­vous toujours distrait par les notifications, les potins ou

tout ce qui est aléatoire ? Dans ce cas, vous et moi sommes pareils. Parce que se concentrer sur une seule chose

est l’une des choses les plus difficiles au travail. Il y a toujours quelque chose qui vous interrompt, n'est­ce pas ?

• Une autre personne


• Un appel

• Une réunion

• Une fausse urgence


• Votre chat

• Le chat d'un étranger

• Des informations sur le match NBA d'hier soir

Bien sûr, vous pouvez blâmer ces choses, mais c'est faible. Vous et moi savons tous les deux que ces choses

ne peuvent pas vous interrompre sans votre permission. Cela signifie qu’à chaque fois vous n’êtes pas concentré ;

vous donnez à quelqu'un ou à quelque chose la permission d'entrer dans votre esprit. Effrayant, n'est­ce pas
il?

C'est ainsi que je considère les interruptions. Mais je dois admettre que je ne peux pas rester concentré tout le

temps. Parfois, je cède. Ce n'est pas bon. Votre vie ne profite pas des commérages, de la consultation

d'Instagram 439 fois par jour, du visionnage de 49 vidéos YouTube et de la lecture d'articles de presse

négatifs. Alors, que pouvez­vous faire pour améliorer votre concentration ? Voici 2 choses que je fais toujours

lorsque je ne parviens pas à me concentrer sur ce qui compte.

1. Éliminez. Éliminer. Éliminer

Chaque jour, nous accumulons des choses. Je ne parle pas seulement des choses que vous achetez comme des

vêtements, du matériel de cuisine, des décorations pour la maison, des jouets, des gadgets ou autre.

Nous accumulons les idées. Avez­vous déjà pensé à ça? Nous sommes exposés à tellement d’idées que nous en

adoptons certaines et les faisons nôtres. Par exemple, de nombreuses personnes m'ont demandé de créer

davantage de vidéos YouTube. Ma famille, mes amis, les membres de mon équipe, mes lecteurs, mes étudiants,

tout le monde a des idées. Et ils veulent aider.

De même, je partage également mes idées avec les autres. Des idées sur la façon dont vous pouvez améliorer

votre vie, votre carrière, votre entreprise ou vos relations. Nous le faisons tous. Et il n’y a rien de mal à cela. Cela

ne devient un problème que si vous ne filtrez pas les commentaires que vous recevez des gens. Alors après avoir entendu
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des gens que je devrais faire des vidéos YouTube, je me suis dit « Hé ! je devrais faire
Vidéos youtube!"

J'y ai beaucoup réfléchi ces six derniers mois. Et j'ai également investi beaucoup de temps dans la création

d'une stratégie. « De quoi devraient parler mes vidéos ? Où dois­je les enregistrer ? Comment dois­je les

modifier ? Quelle musique dois­je utiliser ? J'ai beaucoup travaillé dessus. Et j'ai récemment publié une
vidéo. La réponse a été positive. Il n’y a qu’un seul problème : cela prend trop de temps et d’attention. En

conséquence, je peux consacrer moins de temps à l’écriture, au podcasting et à la création de nouveaux cours.

Et ce sont exactement les choses que je veux faire. J'ai créé un blog pour une raison : j'aime écrire et je
suis bon dans ce domaine. Par conséquent, le travail est plus facile que la création de vidéos YouTube,
pour lesquelles je ne suis pas très doué. De plus, j'aime beaucoup écrire des articles, des livres et du
matériel pour mes cours en ligne. Quand le travail devient dur, cela ne me dérange pas. Mais lorsque je
travaillais sur des vidéos YouTube, j'étais très frustré. Et encore une fois, ma concentration et mon
travail en ont souffert. Qu'est­ce que j'ai fait quand je manquais de concentration ? Je me suis posé cette question :

"Quelle(s) chose(s) dois­je éliminer pour rendre ma vie si simple qu'il est facile de se concentrer ?"

Dans ce cas, j'ai arrêté de me concentrer sur YouTube. L'élimination est une stratégie clé que j'utilise pour

de nombreux aspects de ma vie. Nous accumulons tellement de bagages inutiles au fil des années que nous
devons constamment éliminer :

• Idées

• Projets
• Travail

• Objets
• Et ainsi de suite

Si vous avez du mal à vous concentrer, essayez cette stratégie. Rendez votre vie si simple qu'elle devient un
jeu d'enfant. Et soyons honnêtes ici. Qui veut vivre une vie impossible ? La vie est déjà assez dure. Ne

compliquez pas les choses.

2. Pensez aux succès passés

Penser aux succès et au bonheur passés stimule la production de sérotonine, un nerf chimique produit par
nos cellules.
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La sérotonine est le produit chimique clé qui affecte chaque partie de votre corps. La sérotonine joue un rôle

important dans nos fonctions corporelles. Mais cela aide également à réduire la dépression, à augmenter la libido, à

stabiliser l’humeur, à contrôler le sommeil et à réguler l’anxiété.

La sérotonine joue également un rôle majeur dans notre bien­être général. Mais voici pourquoi la sérotonine est

importante pour vous. La sérotonine régule également la gratification retardée. Lorsque votre activité

sérotoninergique diminue, cela peut entraîner un manque de concentration sur le long terme. Vous êtes moins

susceptible de mettre en œuvre vos projets.

Lorsque vous perdez votre concentration, il y a de fortes chances que votre activité sérotoninergique soit faible. C'est

pourquoi vous vous abandonnez aux plaisirs à court terme comme sortir, boire, faire du shopping, faire l'amour,

regarder la télévision ou toute autre chose qui vous procure du plaisir à court terme.

Pour améliorer votre concentration, augmentez votre activité sérotoninergique. La recherche montre que l’exercice peut

faire cela. Mais autre chose, tout aussi efficace et beaucoup plus simple, c'est un simple esprit­
exercice.

Tout ce que vous avez à faire est de vous souvenir des événements positifs survenus dans le passé.

Alex Korb, neuroscientifique à l'UCLA et auteur de The Upward Spiral, explique pourquoi se souvenir d'événements

positifs vous aide à vous concentrer sur ce qui compte :

« Tout ce que vous devez faire [pour augmenter les niveaux de sérotonine] est de vous souvenir des événements

positifs qui se sont produits dans votre vie. Ce simple acte augmente la production de sérotonine dans le cortex

cingulaire antérieur, qui est une région juste derrière le cortex préfrontal qui contrôle
attention."

Lorsque la sérotonine augmente, votre concentration augmente. En fin de compte, c'est ce que vous devriez faire.

Je sais que cela semble ringard, mais quand quelque chose ne va pas, il faut le réparer.

Lorsque je n'arrive pas à me concentrer, la première chose que je fais est de reconnaître que j'ai un problème qui

nécessite une solution. Certaines personnes traversent la vie sans même reconnaître qu’elles ont des problèmes.

• Non, il n'est pas normal de vérifier votre téléphone toutes les 2 minutes.

• Non, ce n'est pas normal de bavarder tout le temps.

• Non, ce n'est pas normal de s'ennuyer.

Concentrez­vous sur votre vie. Pensez à ce qui compte pour vous. Ensuite, faites ces choses et ne vous laissez pas

distraire – restez sur le chemin.


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Bonne chance.
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Comment vaincre la procrastination (soutenu par la science)

La procrastination existe depuis le début de la civilisation moderne. Des personnages historiques comme Hérodote,

Léonard de Vinci, Pablo Picasso, Benjamin Franklin, Eleanor Roosevelt et des centaines d’autres ont expliqué à

quel point la procrastination est l’ennemie des résultats.

L’une de mes citations préférées sur la procrastination vient d’Abraham Lincoln :

"Vous ne pouvez pas échapper à la responsabilité de demain en l'émancipant aujourd'hui."

Ce qui est drôle avec la procrastination, c'est que nous savons tous qu'elle est nocive. Qui en fait

aime procrastiner ? Personne n’aime faire ça. Moi non plus. Et pourtant, la procrastination était l'histoire de ma

vie. Quand j'étais à l'université, chaque semestre, cela se produisait :

Au début de chaque semestre, j'étais le mec le plus cool de la planète. Me détendre, sortir, m'amuser. Temps

fort. Je n'ai ressenti aucun stress. Cependant, environ une semaine avant mes examens, je paniquais.

« Mec, pourquoi n'as­tu pas commencé plus tôt ? » me disais­je.


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Et ce qui suivrait, c'est une vue laide de moi, avec un tas de canettes Red Bull, enfermé dans ma chambre –

paniqué pendant que j'étudiais. Et la recherche montre exactement cela : lorsque vous procrastinez, vous

pourriez vous sentir mieux à court terme, mais vous souffrirez à long terme. La raison pour laquelle vous

procrastinez n’a pas vraiment d’importance. Certains aiment la pression des délais. Certains ont peur

d’échouer, alors ils repoussent l’échec jusqu’au tout dernier moment.

Une chose que tous les procrastinateurs ont en commun est que la procrastination a un prix.

Cette étude très citée, publiée dans la revue American Psychological Society, par Dianne Tice et Roy

Baumeister discute du coût de la procrastination. Il est lié à :

• Dépression
• Croyances irrationnelles

• Faible estime de soi

• Anxiété
• Stresse

La procrastination n’est pas un comportement innocent. C'est le signe d'une

mauvaise autorégulation. Les chercheurs comparent même la procrastination à l’abus d’alcool et de drogues.

C'est sérieux. Et j’en fais l’expérience depuis de nombreuses années.

Les années qui ont suivi ma sortie de l’université ont également été difficiles pour commencer et terminer mon travail.

La procrastination est une habitude qui s’infiltre dans votre système. Ce n’est pas quelque chose que l’on peut

facilement ébranler. Chaque fois que j'avais une idée d'entreprise ou que je voulais démarrer quelque chose, cela me revenait
comme ça:
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Chaque fois que j’avais une idée ou un objectif, je commençais, mais en cours de route, les choses tournaient mal.

Je suis passé du début au chaos total. Les distractions, d’autres idées, d’autres opportunités, l’échec, les discours

intérieurs négatifs, etc., feraient obstacle. Et les résultats sont toujours les mêmes : vous ne faites jamais rien.

Vaincre la procrastination

Pour moi, la principale conclusion de l’étude de Dianne Tice et Roy Baumeister est la suivante :

« Les preuves actuelles suggèrent que les procrastinateurs s'amusent plutôt que de travailler sur les tâches qui leur sont

assignées, jusqu'à ce que la pression croissante des délais imminents les oblige à se mettre au travail. De ce point

de vue, la procrastination peut provenir d’un manque d’autorégulation et donc d’une dépendance à l’égard de forces

imposées de l’extérieur pour motiver le travail.

L’autorégulation, la maîtrise de soi, la volonté sont autant de choses que nous surestimons. On se dit : « Ouais bien

sûr, j'écrirai un roman dans 3 semaines. »

Dans notre esprit, nous sommes tous des génies et mentalement forts. Mais quand le travail arrive, nous nous en sortons.

Si vous êtes un procrastinateur, vous ne pouvez pas vous empêcher de retarder le travail. Et cela est vrai pour les

petites et grandes tâches.


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Bien sûr, tout le monde a peur de sortir de sa zone de confort – c'est pourquoi nous les appelons zones

de confort . Il faut du courage pour prendre une décision audacieuse. Mais il ne faut certainement pas de courage

pour accomplir de petites tâches comme payer des factures, imprimer quelque chose pour votre patron, faire des

impôts, etc. La vérité est que la procrastination n'a rien à voir avec ce que vous essayez de faire, qu'elle soit petite

ou grande. , cela peut attendre plus tard. Ça peut toujours attendre, non ? Pour moi, l'accomplissement des tâches
s'est déroulé comme ceci :

Il arrive un moment entre le début et la fin d’une tâche – j’appelle cela la pente de la procrastination – où

vous vous laissez aller à une distraction. Et c’est exactement à ce moment­là que vous abandonnez votre productivité.

Vous commencez à travailler sur une tâche, vous êtes excité, vous êtes concentré, mais ensuite, après un

certain temps, vous pensez : lisons les nouvelles pendant une seconde. Cela commence toujours par une seule

chose. Ensuite, vous pensez : autant regarder un épisode de Game Of Thrones. Ensuite, une vidéo sur

YouTube, puis une autre . Ensuite, un peu de navigation sur Instagram. Et ainsi de suite. Cela se termine toujours

par un fracas : « C'est la dernière fois que je perds mon temps ! » Oui en effet.
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La volonté ne fonctionne pas. Les systèmes le font.

Ce dont vous avez vraiment besoin, c'est d'un système pour travailler. Beaucoup de gens évitent les routines, les

systèmes et les cadres parce qu’ils veulent avoir la « liberté ».

Je suis désolé de vous décevoir : la liberté est votre ennemie. Le fait est que si l’on veut faire avancer les choses,

il faut des règles. Quelles sont les choses dont la recherche s’est avérée efficace ?

• Délais auto­imposés.

• Systèmes de responsabilisation (engagement avec des amis ou un coach).

• Travailler/étudier à intervalles réguliers.

• Faire de l'exercice 30 minutes par jour.

• Une alimentation saine.

• Éliminer les distractions.

• Et surtout : la motivation interne.

Si vous combinez les bonnes tactiques de productivité, vous disposez d’un système de productivité.

Les délais créent l'urgence, la responsabilité créera la responsabilité, travailler à intervalles améliore votre

concentration, faire de l'exercice vous donnera plus d'énergie, tout comme une alimentation saine, et éliminer

les distractions éliminera les tentations. Mais aucun système ne peut vous aider si vous ne disposez pas d’une

motivation interne. Les gens complexifient à l’excès ce concept, mais c’est simple : pourquoi faites­vous ce que

vous faites ?

Si vous ne savez pas. Inventez quelque chose. Si vous savez pourquoi vous faites quelque chose, même les

tâches les plus ennuyeuses deviennent supportables. Cela deviendra une partie d’un projet plus vaste.

Alors, au lieu de vous lancer dans le travail, prenez du recul, réfléchissez à la raison pour laquelle vous faites ce que vous

faites, puis comptez sur un système qui prend en charge cela. Ce n’est pas sorcier. Juste de la science.
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Comment arrêter de perdre du temps et améliorer votre


Efficacité personnelle

La raison pour laquelle je recherche la productivité est simple. Je pense qu'une vie productive équivaut à une vie

heureuse. De plus, si vous êtes plus productif que la moyenne, vous progresserez plus rapidement dans votre

carrière. Vous en apprenez davantage. Vous faites plus. Et finalement, ils sont davantage récompensés.

Et quand je parle de productivité, je parle d’efficacité. Parce que la productivité ne signifie pas que vous faites les

bonnes choses. Cela signifie simplement que vous accomplissez beaucoup de choses. Mais ce n'est pas ce qui
compte.

Toutefois, l’efficacité fait référence au fait de faire les bonnes choses. Et si vous voulez bien faire votre travail,

gagner de l’argent, vivre une vie pleine de sens ou acquérir des compétences, c’est ce qui compte le plus. Sinon,

vous tournez en rond. Vous pourriez paraître occupé, mais vous n’obtiendrez rien de significatif. En d’autres

termes : il est facile de faire un travail inutile. Un travail qui ne vous rapproche pas des résultats que vous désirez.

Les résultats comptent le plus.

En pratique, cela signifie ceci : vous pouvez travailler 50 heures par semaine, mais si vous ne
ressentez aucune croissance personnelle, émotionnelle et financière, vous n'êtes pas efficace. Les gens
me demandent souvent : « par où commencer ? » Pour répondre à cette question, je souhaite partager un
exercice que j'enseigne dans mon cours de productivité, Procrastinate Zero.

C'est un exercice que j'ai repris de The Effective Executive de Peter Drucker. Pour moi, Drucker est le premier et

le meilleur penseur en matière d’efficacité pour les travailleurs du savoir.

La plupart des livres, articles, outils de productivité et applications de productivité que vous voyez de nos jours sont

tous influencés d'une manière ou d'une autre par Drucker, qui a essentiellement inventé le terme efficacité
personnelle.

Ce que vous trouverez ensuite est un exercice simple de The Effective Executive (que j'ai légèrement modifié

pour le rendre plus facile) que vous pouvez appliquer pour devenir vous­même plus efficace.

Étape 1 : Connaissez votre heure

J'entends souvent des gens dire : « Je ne sais pas ce qui ne va pas chez moi. Je continue de tergiverser.
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Ma question est : « Connaissez­vous votre heure ?

Si vous ne mesurez pas votre temps, il est difficile d'arrêter la procrastination ou d'améliorer votre productivité.

Parce que si vous voulez mieux gérer votre temps, vous devez d’abord savoir où il va. Votre mémoire n'est pas suffisante.

Si je vous demandais ce que vous faisiez il y a exactement une semaine à cette heure­là, auriez­vous une réponse ?

Voilà.

Comment connaissez­vous votre temps ? Tenez un journal d’activité. Avant même d’avoir une vraie séance avec les clients,

je leur demande souvent de tenir un journal d’activité pendant deux semaines. Un journal d'activité est exactement

ce que vous imaginez : un enregistrement heure par heure de ce que vous faites tout au long de la journée.

La méthode spécifique que vous utilisez pour votre journal d'activité n'a pas d'importance. La seule chose qui compte

est que vous souhaitiez conserver un enregistrement pendant au moins deux semaines. De préférence, vous souhaitez un
mois entier d’activités enregistrées.

Je garde juste un stylo et un bloc­notes sur mon bureau et toutes les heures, j'écris l'heure et ce que j'ai fait au cours de

l'heure écoulée. Il est important de garder le carnet visible pour ne pas l'oublier.

Étape 2 : Identifiez le travail non productif

Cette étape est en réalité très simple. J'ai juste une question pour toi :

« Parcourez toutes les activités récurrentes de votre journal une par une. Que se passerait­il si vous arrêtiez de les faire ? »

Si la réponse est : « L’enfer se déchaîne. » Ne changez rien. Mais si votre réponse est : « Rien ne se passerait ».

Vous avez décroché l'or. Nous faisons tous des activités qui ont un retour ZÉRO. je
appelez ces activités des pertes de temps.

Étape 3 : Éliminez les pertes de temps

Boom. C'est ça. Sachez où va votre temps. Identifiez les tâches critiques des tâches triviales de votre vie. Et supprimez

les tâches triviales et chronophages. "C'est simple?" Oui. Si vous voulez être une personne super efficace, vous tenez

régulièrement un journal. Vous n'êtes pas obligé de tenir un journal 365 jours par an. Au lieu de cela, faites deux périodes

de deux à trois semaines par an. C'est suffisant pour suivre votre temps et identifier les nouvelles pertes de temps. De

plus, l’avantage supplémentaire d’un exercice aussi simple est qu’il vous oblige à réfléchir à votre routine quotidienne.

Souvent, nous commençons des activités qui nous font perdre du temps et qui deviennent des habitudes. Et si vous ne

prenez pas conscience de ces comportements inutiles, il est difficile de rompre avec ces mauvaises habitudes. J'ai trouvé ça
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l'exercice est l'une des choses les plus puissantes en matière de productivité. Commencez maintenant. Votre journal

d'activité ressemble probablement à ceci :

• (insérer l'heure) — Lisez l'article de Darius Foroux sur la tenue d'un journal de temps et j'ai commencé mon propre

journal de temps.

• (insérer l'heure) – J'ai éteint mon téléphone et je suis revenu à (quoi que vous soyez

travaille sur).

• (insérer l'heure) – J'ai parcouru les actualités, Facebook, Instagram. Et j'ai regardé YouTube

vidéos. (Soyez honnête avec vous­même. Des merdes arrivent).

• (insérer l'heure) — a répondu aux e­mails.

Super. Je suis heureux de voir que vous avez commencé. Maintenant, continuez pendant encore deux semaines.
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Les habitudes des personnes improductives dont vous ne voulez pas


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La raison pour laquelle j'étudie la productivité est que je suis une personne improductive. Je le suis vraiment. Je dors

trop. Je parle trop. J'ai trop lu. J'écoute de la musique toute la journée. Je regarde des films. J'achète des gadgets

qui me transforment en zombie.

Sans mon système de productivité, je ne ferais rien. Je n'écrirais même pas cet article. Mais si vous parcourez les

réseaux sociaux, vous ne voyez que des gens super productifs, en bonne santé et riches. Est­ce vraiment le

cas? Je ne sais pas. Je sais juste ceci : vous ne pouvez pas être productif 24h/24 et 7j/7. Et pour être

productif, il faut en grande partie se débarrasser des habitudes improductives que nous avons tous.

Ce qui suit est une liste de dix habitudes improductives que j'ai appris à faire moins ou à éliminer. Avez­vous quelques­

unes de ces habitudes ? Ne t'inquiète pas; nous sommes tous improductifs par moments. Mais si vous en avez cinq

ou plus, il est peut­être temps de changer. Une chose est sûre : personne ne veut être une personne improductive.

Travailler trop

Certains jours, je peux travailler 12 ou 13 heures d'affilée. Je prends seulement une pause pour faire de l'exercice et manger.

Et je peux continuer ainsi pendant quelques jours. Mais au bout de quelques jours, il y a toujours un crash.

Temps fort. Je lutte. Je n'arrive pas à faire des choses. Je n'ai même pas envie de faire avancer les choses. Ce n'est pas bon.

J’ai donc appris à être plus calculé avec mon travail. Hemingway a essayé de s'arrêter au plus fort de sa journée.

C'est aussi mon nouvel objectif. Mais c'est difficile parce que nous voulons toujours que les choses soient rapides,

rapides, rapides, rapides, maintenant, maintenant. Connaissez simplement vous­même, votre travail et vos

délais. Vous n'avez pas de date limite ? Allez­y doucement, car vous avez besoin de ce jus pour les

moments stressants. Et surtout : soyez patient.

S'inquiéter trop

Et si je fais faillite ? Et si je perds mon emploi ? Et si elle ne m'aime pas ? Et si j'ai un cancer ? Et si cet avion

s'écrasait ? Et si je perds la vue ? Et si je…?


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Vous avez tellement la tête dans le sable comme une autruche que vous ne voyez pas à quel point cette façon de

penser est égocentrique. Il s'agit toujours de moi, moi, moi. Je sais tout. Les exemples ci­dessus proviennent

tous de ma vie personnelle. J'étais le roi du jeu du « et si ». Mais voici le problème : VOUS N'ALLEZ PAS

MOURIR CETTE SECONDE. Se dépasser.

Arrête de t'en faire. Et faites quelque chose d'utile. (Je sais, ce n'est pas si simple, mais quand même : vous pouvez

apprendre à arrêter de vous inquiéter.)

Être têtu

Nous avons constamment affaire à des gens. Vous arrive­t­il de penser : « Pourquoi devrais­je écouter ce type ? »

Ou : « Que sait­elle ? Je ne sais pas. Peut­être plus que vous ? Nous ne le savons tout simplement pas tant que
nous n’écoutons pas les autres.

Mais si vous pensez toujours que vous êtes le meilleur au monde, vous ne donnez jamais de chance aux gens.

Je pense que tout le monde est têtu. Certains sont extrêmes, d’autres juste un peu têtus.

Je dois dire que l'entêtement est aussi un bon trait. C'est bien d'être sourd aux critiques et de ne pas se soucier de

ce que pensent les gens. Mais être têtu dans les relations est tout simplement frustrant. Ce genre d’entêtement

n’est pas bon. Et il se trouve que la vie est basée sur les relations. Et votre carrière aussi.

Ainsi, lorsque vous refusez de travailler avec les autres, vous sabotez toutes les autres personnes

impliquées. N'oubliez pas cela. J'essaie souvent de me rappeler que l'entêtement peut être mauvais.

Mais parfois, c'est tellement grave que je ne m'écoute même pas. Mais je continue d'essayer.

Vérifier les choses

Que fais­tu? "Je vérifiais juste Facebook."

Qu'est­ce que tu "vérifies" ?

E­mail? TMZ ? CNN ? NBA ? NFL ? Instagram ? Twitter? Snapchat ?

Vérifier n'est pas une chose utile. C'est peut­être un verbe, mais ce n'est pas une action réelle. Quand j’ai commencé

à bloguer, je vérifiais toujours mes statistiques sans raison. Puis j'ai pensé : quel est le résultat de la vérification ?

Rien. Vous consommez simplement des informations. J'essaie de garder mes « vérifications » au minimum.

C'est pourquoi j'ai supprimé toutes les applications d'actualités et de réseaux sociaux sur mon téléphone. Je n'ai même pas de

courrier électronique sur mon téléphone. Sinon, je vérifie tout le temps. Je ne veux pas de ça. Je souhaite consulter mes e­mails
uniquement lorsque j'ai le temps de répondre aux e­mails.
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Vérifier est une habitude que vous ne pourrez jamais éliminer complètement. Je suis toujours la NBA parce que je

l’aime. Choisissez seulement 1 ou 2 vices de « vérification » que vous aimez réellement. Éliminez le reste. De

toute façon, vous ne manquez de rien.

Échapper à la vie

Jusqu'à il y a deux ans, chaque fois que j'étais stressé, je disais des trucs comme : « J'ai besoin d'un verre ». Ou : «

Je dois partir en vacances. »

Et quand j'avais des problèmes au travail ou dans ma relation qui devenaient trop difficiles à gérer, je préférais faire

comme si ils n'existaient pas. Parfois, je prenais le temps d'en parler. Mais des problèmes plus profonds sont

toujours en jeu. À l’époque, je n’aimais pas mon travail, mes relations et la ville dans laquelle je vivais. En gros, je

n’aimais pas ma vie.

Est­ce que je l'ai changé ? Non. J'ai toujours essayé d'échapper à mes problèmes. Échapper aux problèmes vous donne

une certaine endurance pour affronter à nouveau votre vie de merde. Mais vous et moi savons tous les deux que les problèmes

ne disparaissent jamais tant que vous ne les avez pas saisis par la racine et que vous ne les avez pas éteints. J’ai appris

cela à mes dépens. Ces jours­ci, je gère les problèmes avant qu’ils ne deviennent de gros problèmes.

Dire oui

La plupart des gens ont peur de dire non. Peut­être que vous ne voulez pas laisser tomber les gens. Peut­être que

vous n'êtes pas à l'aise avec le mot non. Je ne sais pas. Cela n'a pas vraiment d'importance. Ce qui compte, c'est

ceci : si vous continuez à dire oui, vous vivez la vie de quelqu'un d'autre.

Pensez­y. Au fond, nous savons tous que c'est vrai. Nous ne contrôlons même pas notre propre temps. Vous

voulez avoir le contrôle total de votre vie ? Dites non à un million de choses et oui à quelques choses qui comptent.

Ne pas écrire les choses

Ouais, ouais, tu as la mémoire d'un éléphant. Ou tu es si intelligent que tu te souviens de tout, n'est­ce pas ?

FAUX. Ne pas écrire vos pensées, vos idées, vos tâches, etc. est stupide. Pourquoi? Parce que vous gaspillez

beaucoup de puissance cérébrale lorsque vous comptez sur votre mémoire. Lorsque vous écrivez tout, vous

pouvez utiliser votre intelligence pour d’autres choses. Comme résoudre des problèmes.

C'est vraiment utile et fait progresser votre carrière.


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Si vous tenez un journal, c'est encore mieux. Mais j’ai découvert que tout le monde n’aime pas l’idée de tenir un

journal. Alors appelons cela simplement « écrire les choses ». Qu’avez­vous écrit en lisant cet article ?

Être dur avec soi­même

"Je suis nul!" Non, ce n'est pas le cas.

"Pourquoi?" Tu es sorti du lit ce matin, n'est­ce pas ?

"Ouais." Toutes nos félicitations. Vous avez survécu à cette chose difficile appelée LA VIE. Sois fier de toi.

Tout ce que vous faites après être sorti du lit est une victoire.

Négliger votre éducation personnelle

« Waouh ! J'ai fini l'université. Adieu les vieux livres boiteux ! »

Si c’était toi, peu importe depuis combien de temps, tu es nul. Qui apprend une chose et s’arrête pour toujours ? Je ne sais

même pas pourquoi nous avons cette idée ancrée dans notre cerveau. J'ai toujours pensé que l'apprentissage s'arrêtait à la

sortie de l'école. Mais la vérité est la suivante : votre vie s’arrête lorsque l’apprentissage s’arrête.

Investissez en vous­même. Apprendre quelque chose. Lire des livres. Obtenez des cours. Regarde des vidéos. Faites­le

depuis chez vous ou allez ailleurs. Cela n'a pas d'importance. Apprenez simplement de nouvelles choses. Vous serez
plus productif et plus enthousiasmé par la vie.

Règles de haine

J'ai gardé le meilleur pour la fin. La plupart des gens détestent les règles, n’est­ce pas ? Cela commence quand nous sommes

enfants. « Pourquoi dois­je faire ça ? Pourquoi dois­je faire ça ? Parce que c'est mieux pour toi ! C'est pourquoi! (Espèce

d'enfant bizarre) Mais quand nous sommes adultes, nous ne sommes pas obligés de suivre les règles (autres que les

règles réelles fixées par le gouvernement, mais vous comprenez de quoi je parle.)

« Les règles sont stupides ! »

C'est ce que j'ai toujours cru. Je pensais que j'étais un non­conformiste. Mais j'étais un idiot. Les règles sont en fait LA

MEILLEURE chose de la vie. Sans règles, nous serions des hot­dogs mangeant des cochons, n'est­ce pas ?
maintenant.
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Et lorsqu’il s’agit de productivité, la première règle est la suivante : ayez des règles. Si vous voulez vivre sans

règles, allez­y. Mais la vie n’est pas Fight Club. Les règles nous aident en réalité à résoudre les problèmes et à

tirer le meilleur parti de la vie.

Josh Weltman, directeur créatif publicitaire depuis plus de 25 ans et coproducteur de Mad Men, l'a bien expliqué

dans son livre Seducing Strangers :

« Résoudre un problème nécessite une étrange combinaison de liberté et de contrainte. Chaque fois que j’entends «

Amusez­vous avec » ou « Sortez des sentiers battus », je sais par expérience que les choses sont sur le point de se

transformer en une perte de temps colossale.

Bonne nouvelle : vous établissez les règles.

Par exemple, une de mes règles personnelles est la suivante : ne vous plaignez jamais. Un autre exemple est le suivant :

lisez et faites de l’exercice tous les jours. Et : clôturez la journée chaque soir en définissant les priorités de votre

journée suivante.

Lorsque vous combinez toutes vos règles de productivité, vous disposez d’un système. Voilà ! Et un système change tout.

Je compte sur mon système pour travailler plus intelligemment, mieux, plus heureux et efficacement. Il m’a fallu des années

pour comprendre qu’un système était une bonne chose, et encore quelques années pour en créer un, mais cela en valait

la peine. Parce que maintenant, je deviens une personne productive. Pas mal pour un improductif

personne, hein ?
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Ce rituel du soir de 30 minutes vous aidera à donner un coup de pied


La vie dans le cul.

Après une journée bien remplie, il est assez difficile de se détendre et de se préparer à une bonne nuit de sommeil.

Trop souvent, je me retrouve à travailler tard. Et parfois, je me retrouve à lire ou à regarder une émission de télévision.

Et quand vous êtes prêt à vous endormir, vous ne pouvez pas. Votre esprit bourdonne de pensées dont vous ne voulez pas

à ce moment de la journée.

Ce n’est un secret pour personne : de nombreuses personnes ont du mal à dormir. Selon la National Sleep

Foundation, 45 % des Américains déclarent qu’un sommeil médiocre ou insuffisant a affecté leurs activités quotidiennes au

moins une fois au cours des sept derniers jours.

Pourquoi la soirée est­elle si importante ? Eh bien, vous pourriez avoir un rituel matinal parfait, un repas complet

calendrier planifié et l'intention d'écraser votre journée, mais si vous manquez d'énergie, vous ne faites rien de productif.

Au cours des six derniers mois, j'ai beaucoup expérimenté les rituels du soir et du matin.

Ce que j'ai découvert, c'est qu'un rituel matinal est facile à mettre en œuvre dans votre vie. Mais il est également facile de les

arrêter. Lorsque nous nous réveillons fatigués, nous retombons souvent sur nos habitudes qui ne nous aident pas.

Résultat final ? Vous perdez et la vie gagne. Vous finissez par ne pas être concentré, sans contrôle, agité et tout

simplement pas heureux dans l’ensemble. C'est pourquoi j'ai créé un rituel du soir qui m'aide à me préparer à un

repos bien mérité. Nous le savons tous : dormez 7 à 9 heures. Mais trop souvent, la vie nous gêne et nous ne suivons pas

le bon sens.

Mais avec le rituel du soir suivant, j'ai trouvé un bon moyen d'apporter plus de cohérence dans mes soirées, et donc, dans

ma vie.

De la minute 0 à la minute 10 : clôturez la journée

Chaque soir, je prends 10 minutes pour rédiger un journal sur ma journée. En quelques phrases, j'écris sur ce que

j'ai accompli, ce que j'ai appris et tout ce qui mérite d'être rappelé. Ce simple exercice m'aide à :

1. Rappelez­vous ce que j'ai fait (cela semble stupide, mais nous oublions la plupart des choses que nous faisons).
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2. Examinez mes progrès et voyez si je fais tout ce que je devrais faire

faire (comme lire, faire de l'exercice, passer du temps avec ma famille, écrire, parler aux gens avec qui

je travaille).

J'ai appris cet exercice de Jim Rohn. Il dit:

« À la fin de chaque journée, vous devez réécouter les cassettes de votre performance. Les résultats devraient

soit vous féliciter, soit vous encourager.

C'est simple : fermez la veille de commencer une nouvelle journée. Fermez également chaque semaine avant de

commencer une nouvelle semaine. Pareil pour chaque mois et chaque année. Cela semble simple, non ? C'est une

de ces idées « simples » qui ont un impact énorme sur votre vie.

De la minute 10 à la minute 20 : consultez le calendrier de demain

Ce qui est essentiel. Lorsque vous vous réveillez, vous voulez savoir exactement de quoi se déroule votre journée.

Avez­vous des réunions ou des appels importants ? Des délais, peut­être ? Que dois­tu faire ? Quand est­ce que

tu t'entraînes ? Avez­vous des points urgents à votre ordre du jour ?

Quand les traitez­vous ?

Cet exercice simple élimine presque tout le stress et l’anxiété que j’éprouve. La plupart des anxiétés proviennent de

problèmes non résolus. Et souvent, nous nous inquiétons de problèmes qui ne sont pas réels. Mais quand tu

te dis : je vais travailler sur le problème X de 10h à 11h, tu


peut se détendre.

De plus, vous ne pouvez rien faire tard dans la soirée. Va te coucher, déjà. Laissez la résolution de problèmes

pour demain, lorsque votre cerveau sera frais.

De la minute 20 à la minute 25 : Préparez votre tenue

"Oh, tu es si vaniteux." Non, je ne veux pas stresser inutilement mon cerveau. Regarde, ton cerveau

est un muscle. Et après un certain nombre de décisions, votre cerveau manque de jus. Et cela signifie que la

qualité de vos décisions diminuera.

C'est ce qu'on appelle la fatigue décisionnelle. Mais je ne m'inquiète pas pour ça le soir car je me couche pour que

mon cerveau puisse se ressourcer. Quelques décisions supplémentaires ne feront pas de mal. Cependant,

ces quelques décisions supplémentaires nuiront à votre productivité si vous pensez à votre tenue le matin. Alors

pourquoi ne pas préparer votre tenue pour ne pas avoir à utiliser votre précieuse intelligence le matin ?
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De la minute 25 à la minute 30 : Visualisez

Parce que j'ai parcouru mon calendrier plus tôt, je sais à quoi ressemblera ma journée. Ensuite :
visualisez le lendemain en détail.

Charles Duhigg parle de cet exercice dans son nouveau livre Smarter Faster Better. Duhigg écrit
sur la façon dont les personnes les plus productives visualisent leurs journées avec plus de
précision que le reste d'entre nous. Je préfère faire cet exercice le soir car lorsque je me réveille
le matin, je me souviens encore de ce que j'ai visualisé.

Le résultat est le suivant : PLUS DE somnoler.

Vous ne croirez pas à quel point j'appuyais sur le bouton snooze dans le passé. En fait, je
répétais si souvent que l’alarme de mon téléphone s’arrêtait. Les snoozers inconditionnels
savent de quoi je parle. Appuyez sur snooze si souvent et vous gagnez. Le contraire est vrai.
La sieste est pour les perdants. Mais je ne perds plus grâce à ce rituel du soir de 30 minutes.
Résultat, je m'endors sans stress et je me réveille concentré : je sais exactement ce que je dois
faire pour faire de cette journée une réussite. Et c'est ce que je veux réaliser avec ce rituel. 30
minutes de votre soirée semblent être un très bon retour sur investissement si vous
souhaitez améliorer votre vie.

Alors essayez­le ce soir et découvrez par vous­même. Mais ne soyez pas surpris si vous vous
réveillez demain matin prêt à botter le cul de la vie.
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Pourquoi la déconnexion d'Internet s'améliore


Votre concentration

La vie moderne est plutôt belle. Vous êtes toujours connecté à Internet, à l'intérieur comme à l'extérieur de votre

maison. Avec votre smartphone, vous avez le monde à portée de main. Ça a l’air génial, non ? PAS. La plupart

des gens n’utilisent pas la technologie mais sont plutôt utilisés PAR la technologie.

Les applications, jeux, vidéos, articles, publicités, émissions de télévision sont tous conçus pour retenir votre

attention. Ainsi, sans que vous le sachiez, vous perdez d’innombrables heures chaque semaine.

Votre attention est partout, mais pas au bon endroit.

"Être partout, c'est n'être nulle part."


— Sénèque

Pourquoi pensez­vous que Netflix démarre automatiquement le prochain épisode en 3, 2, 1 secondes ? Quand cela

arrive, vous pensez : « Au diable, regardons un autre épisode. » Il en va de même pour YouTube. Pourquoi

pensez­vous que leurs suggestions sont si bonnes ? Ils vous gardent enfermé. Et cela s’applique à tout le contenu. Il

y a TOUJOURS une « prochaine » vidéo, épisode, article, jeu, ronde,

film; vous le nommez.

Curieusement, la plupart des gens qui lisent ce type d’articles savent qu’un manque de concentration est mauvais.

Et ces dernières années, un grand nombre de documents de recherche et de livres ont été publiés sur les effets

néfastes des distractions. Plus précisément, les recherches montrent que les distractions sont associées à

davantage de stress, de frustration, de pression temporelle et d’efforts.

Faire un travail ciblé est DIFFICILE. Nous sommes toujours distraits.

Et ce n'est pas de ta faute. La plupart des technologies exploitent votre cerveau de lézard et vous enferment – elles

font de vous un consommateur. Alors ne pensez même pas à résister à Internet ou à la technologie.

Je parie que vous l'avez déjà essayé. "Je ne vais jamais naviguer sans réfléchir pendant des heures." Oui en

effet!

Qu'est­ce qui fonctionnera ? Récemment, j'ai écrit sur la façon dont je battais la procrastination en créant

un système. Eh bien, l’une des parties les plus critiques de ce système est la suivante :

DÉCONNEXION D'INTERNET.

Et il n’y a qu’une seule raison pour cela : trop de choses est une mauvaise chose. Même les bonnes choses.
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• Trop d'exercice ? Vous serez surentraîné.

• Trop d'amour ? Vous étoufferez les gens.


• Trop de travail ? Vous vous épuiserez.

• Trop de nourriture ? Tu vas grossir.


• Trop d'eau ? Tu vas mourir.

Alors pourquoi consommez­vous autant Internet ? Je me suis posé cette question il y a 2 ans. Je n'avais pas

de réponse. Donc je pensais; Je fais tout le reste avec modération, pourquoi pas Internet ?

Bientôt, j’ai découvert qu’il n’y avait pas de modération dans l’utilisation d’Internet. C'est comme un buffet à

volonté. Vous êtes déjà rassasié, mais vous continuez à manger. Et après vous être gavé, le regret vous

dévorera vivant.

Et c'est la même chose avec l'utilisation d'Internet. C'est tellement tentant et satisfaisant, et disponible

PARTOUT. Alors vous faites tout ce qui est en votre pouvoir. YouTube, Whatsapp, Facebook, Snapchat, etc.

Je veux éliminer les choses distrayantes. Cependant, je ne veux pas non plus vivre ma vie de reclus. J’ai donc

dû trouver un juste milieu qui fonctionnait. J'ai découvert qu'un simple changement dans mon attitude envers

Internet faisait l'affaire.

Je suis passé de « Toujours connecté » à « Toujours déconnecté ».

En pratique, cela fonctionne ainsi :

• Sur mon téléphone, le Wi­Fi et les données mobiles sont désactivés par défaut. Je ne l'allume que lorsque j'en ai besoin
il.

• Sur mon ordinateur portable, j'utilise une application appelée SelfControl pendant mes heures de travail.

(essayez FocusMe pour Windows). L'application bloque les sites distrayants. L'avantage est que

mes applications comme Evernote, DayOne, Office 365 restent connectées et je peux donc

sauvegarder mon travail dans le cloud.

« Toujours connecté » n'est pas une bonne chose pour votre concentration et votre productivité. C'est la même

chose que d'aller à la salle de sport. Ou dîner. Ou passer une soirée romantique avec votre partenaire. Vous ne

faites pas ces choses 24 heures sur 24. Vous les faites pendant trente minutes, une heure ou quelques

heures. Trop de ces choses ne sont tout simplement pas efficaces.

Être déconnecté d’Internet a fait des merveilles pour moi. Je ne ressens plus le besoin de consulter mon

smartphone, mes e­mails ou les actualités 500 fois par jour.

Et au bout d’un moment, on a l’impression de ne rien rater. Cela apporte un sentiment de calme dans votre vie.

Je profite également davantage de mes journées ; J'ai réalisé plus de choses que jamais, je me sens moins

distrait et j'ai plus de temps à consacrer aux choses qui me rendent heureuse.
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En fin de compte, Internet n’est qu’un outil. Cependant, certains d’entre nous pensent que c’est

tout. Mais je suis convaincu que, dans quelques années, je ne regarderai pas en arrière et ne regretterai
pas de ne pas avoir passé suffisamment de temps sur Internet.

Peux­tu imaginer? Vous êtes sur votre lit de mort et vous dites ceci à votre famille : "Je suis content d'avoir
regardé autant de compilations FAIL sur YouTube." Non. Vous regarderez probablement en arrière et réfléchirez
au temps que vous avez passé avec votre famille ou vos amis. Ou les souvenirs que vous avez créés lors de
votre voyage. Ou combien vous avez apprécié votre travail.

Alors arrêtez les conneries avec Internet. Cela ne vous donne rien d'autre que de la frustration. Et après

avoir lu cet article ; déconnecter. Vous ressentirez des symptômes de sevrage, comme saisir votre téléphone
100 fois. Ou appuyez tout le temps sur la touche F de votre clavier (pour Facebook).
Mais je vous promets ceci : la déconnexion vous aidera à FAIRE plus. Et c'est ça la vie
à propos de.
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La principale raison pour laquelle la plupart des gens


Procrastiner dans la vie

Pendant la majeure partie de ma vie, j’ai été un procrastinateur habituel. Quand j’ai eu mon premier job d’été à 16

ans, j’ai tout fait pour ne pas travailler. J'avais un travail de vente interne dans une entreprise de télécommunications,
et je devais vendre des contrats mobiles aux clients.

L'entreprise disposait d'un logiciel qui appellerait automatiquement le client suivant lorsque vous termineriez

un appel. Vous seriez donc constamment au téléphone – mais j’ai trouvé un moyen de contourner ce processus.

Après chaque appel, vous deviez enregistrer votre activité sur le système. Des choses comme « la cliente est

intéressée, mais doit en discuter avec son petit­fils ». Oui, j'en ai vendu à beaucoup de personnes âgées (pas fières

de l'avoir).

En tant que procrastinateur professionnel, j'ai pris beaucoup de temps pour rédiger un long résumé de l'appel.

Lorsque mon manager m'a interrogé sur mon faible nombre d'appels par jour, je lui ai répondu : « Si l'un de mes

coéquipiers appelle la cliente, il sait qu'elle a dû parler à son petit­fils. Ce sont des informations précieuses, n'est­

ce pas ?

J'ai tout fait pour retarder le prochain appel. J'ai également tergiversé pendant mes années à l'université,

poursuivant une maîtrise en marketing. J'ai toujours attendu le dernier moment pour terminer un devoir ou

étudier en vue d'un examen.

J'ai même tergiversé lorsque j'ai travaillé comme consultant en marketing indépendant après avoir obtenu

mon diplôme. "Je fais des recherches." Cette fois, me suis­je dit. Je ne comprenais pas pourquoi je remettais

toujours les choses au dernier moment. Je pensais que cela faisait partie de mon personnage. Et beaucoup de

mes amis étaient pareils ; ils disaient : « Qui veut travailler ? Prenons de la bière.

C'est ce que je croyais : « Le travail est quelque chose que vous n'aimez pas faire – vous le faites simplement parce

que vous avez besoin d'argent et de statut. » Malheureusement, beaucoup d’entre nous pensent que c’est la vérité.

Heureusement, mon comportement de procrastination a changé cette année. Ce n’est pas une sorte de hack de

productivité magique ou un logiciel qui a fait de moi une machine à productivité. Je suis plus productif et concentré

que jamais. Et je suis plus satisfait de mon travail que par le passé.

Voulez­vous connaître le secret? Je fais enfin quelque chose que j'aime.

C'est ça. Le travail n'est pas mal du tout — j'adore écrire, c'est pourquoi je le fais 7 jours sur 7. Je n'aimais pas mes

emplois précédents, les entreprises que j'avais créées, et je n'aimais certainement pas étudier dans des cours qui ne
m'intéressaient pas du tout.
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Auparavant, je pensais que vous procrastinez parce que vous avez de mauvaises compétences en gestion du temps. C'est

pourquoi j'ai essayé tous les hacks, systèmes ou logiciels de productivité, mais ils sont tous inutiles si on les compare à un travail

significatif. Voulez­vous faire avancer les choses ?

Faites des choses qui comptent.

Les hacks de productivité attirent beaucoup d’attention. Et très souvent, les gens présentent des conseils de gestion du

temps comme solution. D'une certaine manière, la gestion du temps me rappelle la lecture rapide. Beaucoup d’entre nous

souhaitent accélérer la lecture pour terminer plus de livres en moins de temps. Mais pourquoi? J'aime lire – je ne veux pas y

consacrer moins, mais plus de temps. Il semble que nous voulions ignorer le travail lui­même et nous concentrer uniquement sur

le résultat.

C'est comme le dit Ryan Holiday, auteur de The Obstacle Is The Way, dans son article sur la lecture rapide : « Si vous souhaitez

accélérer le processus de lecture d'un livre particulier, vous voudrez peut­être vous demander : « Ce livre est­il un livre en

particulier ? bien?" La vie est trop courte pour lire des livres que l’on n’aime pas lire.

Je pense que vous pouvez également appliquer la citation de Ryan à votre vie et à votre carrière : La vie est trop courte pour faire

un travail que vous n'aimez pas. Peu importe le nombre de hacks de productivité que vous essayez, vous ne produirez pas

davantage si vous n'êtes pas passionné par ce que vous faites. Si vous procrastinez régulièrement, vous voudrez peut­être vous

demander : suis­je passionné par mon travail ?

Si la réponse est non, vous savez ce que vous devez faire : trouver quelque chose qui vous passionne tellement que vous ne

voulez pas tergiverser une seule seconde. Nous savons tous que le temps est limité, alors pourquoi ne pas nous comporter en

conséquence ? Si vous savez que votre temps sur cette planète est limité, pourquoi le gaspiller ?

« Nous nous plaignons tous cruellement du manque de temps, et pourtant nous disposons de bien plus que ce dont nous savons

quoi faire. Soit nous passons notre vie à ne rien faire du tout, soit à ne rien faire dans le but recherché, soit à ne rien faire de ce

que nous devrions faire. Nous nous plaignons toujours du fait que nos journées sont rares et nous agissons comme si elles n’auraient

pas de fin. »

– Lucius Annaeus Sénèque

Je crois au principe « faites ce qui vous passionne », mais je crois également au principe « faites ce pour quoi vous êtes doué ».

Le point idéal est juste au milieu – un travail que vous aimez et pour lequel vous êtes également doué. Ramit Sethi, auteur de I Will

Teach You To Be Rich, affirme que le travail et la passion vont dans les deux sens. Il dit que lorsque nous devenons vraiment bons

dans notre travail, nous en devenons souvent passionnés.


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Je ne dis pas que les conseils de productivité sont inutiles. En fait, j'ai écrit sur des conseils de
productivité qui ont amélioré mon rendement. Ce que je dis, c'est que la meilleure solution
contre la procrastination est de faire un travail significatif.

Et la procrastination peut être le signe que vous faites quelque chose qui n’a pas de sens.
Ne laissez pas la procrastination devenir une habitude. Après tout, la pire procrastination est de remettre
à plus tard ses rêves et ses objectifs. Si vous attendez le bon moment, Benjamin Franklin dit : « Vous
pouvez retarder, mais le temps ne le fera pas. » Si vous ne m'écoutez pas, écoutez­le.
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Cette ancienne habitude maximisera votre concentration

Depuis que je suis petite, je m'inquiète pour beaucoup de choses. Mes sujets préférés étaient l'argent, la santé et mon

avenir. Quel est votre sujet de préoccupation préféré ? Et ne me dis pas que tu ne t'inquiètes jamais et que tu ne crains rien.

Parce que si vous n’avez aucune peur, cela signifie que vous êtes un robot !

Tout le monde passe du temps à penser à des choses qui n’arriveront jamais. Parce que c'est ça la peur. Michel de Montaigne,

le philosophe du XVIe siècle, l'a très bien dit :

"Ma vie a été pleine de terribles malheurs dont la plupart ne se sont jamais produits."

Nous savons tous que la peur est censée nous sauver des ennuis. Mais dans le monde moderne, c'est

ce n’est tout simplement plus vrai. De nos jours, la peur n’est qu’une chose qui occupe votre esprit.

Nos pensées sont tellement encombrées de peur, d’inquiétude et de stress que nous ne pouvons pas nous concentrer

sur nos objectifs. D’après mon expérience personnelle, vivre une vie bien remplie n’a rien à voir avec les ressources ou les

opportunités dont vous disposez.

Il s’agit de savoir ce que vous voulez et aussi de savoir comment l’obtenir. C'est pourquoi vous devez être concentré chaque

jour. Sans travail, aucun objectif ne sera jamais atteint. C'est pourquoi je souhaite partager une habitude ancienne qui a

résisté à l'épreuve du temps. Cette habitude a fait ses preuves à maintes reprises.

Le pouvoir d'avoir un mantra

Je ne suis pas une personne spirituelle. Je crois au hasard et à la chance. Je ne crois pas non plus en une sorte d’énergie

spirituelle que nous ne pouvons pas voir.

Je suis une personne assez sceptique. Mais je suis aussi pragmatique. Je crois en ce qui fonctionne. C'est pourquoi je ne

remets jamais en question la religion ou la spiritualité, car elles fonctionnent pour des millions de personnes.

En fait, j'étudie la religion, les cultures et les différentes croyances des gens. Et une chose que j’ai apprise de la religion,

c’est l’utilité d’un mantra.

La plupart d’entre nous en ont entendu parler, mais peu d’entre nous en ont un ou, encore moins, le pratiquent activement.

Au fait, qu’est­ce qu’un mantra ? Une bonne définition que j'ai trouvée en ligne est la suivante :

« Un « mantra » est un énoncé sacré, un son numineux, une syllabe, un mot ou des phonèmes, ou un groupe de mots

en sanskrit que les praticiens croient avoir des pouvoirs psychologiques et spirituels.
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Les mantras existent (sous une forme ou une autre) depuis des siècles. Vous pouvez les trouver dans l’hindouisme,

le bouddhisme, le taoïsme et le christianisme. J'ai appris que des gens du monde entier utilisent un mantra pour

surmonter leur peur et améliorer leur concentration. Peu importe qui l’a inventé en premier. Ce qui compte c'est que ça
marche.

Mon exemple préféré de quelqu’un qui l’applique est Floyd Mayweather.

Oui. Le boxeur. Mayweather pourrait être un personnage controversé que les gens aiment ou détestent. Mais il est
aussi considéré comme le meilleur boxeur de tous les temps. Pas l'un des meilleurs. Le meilleur.

Il a un bilan de 50­0. Et il n’a même jamais failli perdre.

Sa recette du succès ? Beaucoup de talent, c'est sûr. Mais l’homme a aussi une éthique de travail folle. Et il s'entraîne

depuis qu'il est bébé.

Je le suis depuis des années. Je me fiche de ses voitures ou de son argent. Je regarde ses vidéos de formation

pour voir si je peux apprendre quelque chose que je peux appliquer à ma propre vie. Une personne avec ce genre

de résultats doit faire les choses correctement. Vous ne pouvez pas le nier.

Il y a quelques années, j’ai remarqué quelque chose qui ressemblait au début à une technique de promotion.

Mayweather répétait souvent la même phrase :

"Un dur travail. Dévouement."

Cela ressemble à un slogan boiteux d’entreprise. Il dit cela pendant qu'il travaille sur le sac lourd, le speedball, les

coussinets et même pendant qu'il court. Sans cesse, il répète les mêmes mots.
Parfois dans un ordre différent.

Et ce n’est que lorsque j’ai découvert le mantra de Mayweather que j’ai commencé à utiliser le mien. J’ai toujours

pensé que c’était quelque chose que les hipsters du yoga utilisaient pour devenir « zen ». Me voyez­vous assis par

terre, les jambes croisées et disant : « Hmmmn. Hummm. Hmmmmn » ?

"Allons­y."

C'est mon mantra. Je me suis entraîné à le dire tous les matins au réveil. C'est vraiment

me dynamise. Je me réveille et dis immédiatement : « Allons­y ».

J'ai expérimenté différents mantras. En particulier ceux que vous répétez plus souvent.

Mais j'ai découvert que ce n'était pas mon truc. Je suis une personne plutôt directe et sans conneries. je préfère

quelque chose de court et de puissant. Non seulement je le dis au réveil, mais je le dis aussi avant de commencer à

travailler. Ou quand je veux commencer mon entraînement. "Allons­y."


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Essaie. Cela fonctionne très bien pour moi car cela change mon état d'esprit en action.

Surtout quand je me sens effrayé ou impuissant dans la vie, j’essaie de forcer un changement d’état. Vous

connaissez cette platitude : « La seule issue est de passer par là ? » Je crois que c'est vrai. Et si vous voulez

vous en sortir, vous avez besoin d’action.

Après avoir commencé à utiliser votre Mantra, vous entrez dans une zone sans souci.

C’est l’une des choses les plus efficaces que j’ai trouvées dans toute la croissance personnelle. Je

recommande fortement un Mantra à tout le monde. Tout ce que vous avez à faire est de choisir un slogan qui

vous aide à vous concentrer et qui change votre état. Essayez­le maintenant.

"Mais je n'y crois pas !"

Les pessimistes disent : « Le simple fait de dire trois mots ne vous aidera pas à résoudre de vrais problèmes.

» À ces gens, je dis : qu’est­ce qui peut aider ? Vous vous noyez dans votre propre misère ? Etre paralysé ?

Ne jamais agir ? Se plaindre ? Vous vous sentez amer face à la vie ?

Jamais. Nous savons tous que la vie est trop courte pour se soucier de choses qui n’arriveront jamais. Et si

quelque chose de grave vous arrive, faites quelque chose.


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Comment mieux se concentrer : gérez votre attention (pas


votre temps)

Combien de minutes de travail tranquille effectuez­vous en moyenne par jour ? 10, 20, peut­être 50 minutes ? Si

vous pensez que cela semble faible, examinez simplement votre vie. La plupart d’entre nous ne peuvent pas rester

tranquilles plus de 10 minutes.

Nous sommes tous tellement connectés qu'il devient impossible de trouver le temps de se concentrer sur soi et sur

son travail. Certains d’entre nous reçoivent des centaines de notifications et de messages par jour. Vous vous

retrouvez à répondre à un message Whatsapp ici, à un e­mail là, à parler à un ami, puis à parler à un collègue sur

Slack. La journée de la plupart des gens consiste à répondre aux notifications. D'une certaine manière, vous êtes

retenu captif par les autres.

Il n’est donc pas étonnant que beaucoup d’entre nous se demandent : « Comment puis­je mieux me concentrer ?

Lorsque de nouveaux abonnés rejoignent ma newsletter, je les interroge toujours sur leurs défis.

Et la majorité qui répond mentionne quelque chose qui est lié à la concentration.

En fait, lorsque j'ai réalisé une enquête sur ma newsletter l'année dernière, 28 % ont déclaré que leur plus

grand défi était lié à la concentration et à la gestion du temps. Voici seulement deux exemples de ce que
des lecteurs m'ont mentionné :

• « Mon défi numéro un dans la vie et dans ma carrière est d'essayer de rester concentré sur mes tâches.

Mon esprit commence toujours à dériver vers des choses insignifiantes lorsque je suis au travail.

• « Mon plus grand défi est le suivant : comment pouvons­nous définir sur quoi nous devons réellement nous concentrer ? »

Ces questions m’ont également préoccupé par le passé. Et tu sais ce que j'ai trouvé ?

Les distractions ne sont pas des problèmes du premier monde du XXIe siècle. Les distractions ont toujours fait

partie de la vie. Cela n'a rien à voir avec votre smartphone ou YouTube, les achats en ligne, Instagram ou

toute autre chose que vous voudriez blâmer pour votre manque de concentration. C'est la nature humaine. Nous

aimons être occupés.

Socrate, l’un des fondateurs de la philosophie occidentale, nous avait prévenu il y a 2 400 ans :

"Méfiez­vous de la stérilité d'une vie bien remplie."

L'occupation n'est pas une bonne chose. Parce que l’activité et les distractions vont de pair. Vous ne voulez pas de

distractions ? Déménagez dans les bois. Mais ce n'est pas ainsi que fonctionne la vie. De plus, la vie moderne
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c'est trop bon. Sénèque, l'un des philosophes stoïciens les plus célèbres, a dit ceci dans Lettres de
Un stoïcien :

"Il n'y a jamais un moment où une nouvelle distraction n'apparaît pas."

Il y a toujours des distractions. Vous feriez donc mieux de vous entraîner à gérer votre attention. Pas votre
heure. Parce que c'est la plus grosse erreur que font les gens. Nous croyons à tort que nous pouvons
gérer le temps. Mais le temps ne peut pas être géré. La seule chose que vous contrôlez, c'est votre
attention.

Et rappelez­vous : la concentration détermine la qualité de votre vie. Aucune concentration signifie aucun
contrôle de votre attention. Et aucun contrôle signifie frustration. Nous savons tous à quoi mène la frustration.
Commencez à gérer votre attention. Pas votre heure.
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Partie II : Améliorer la productivité

« C'est comme beaucoup de choses, dit le forgeron. Faites la moindre partie de mal et vous feriez tout aussi bien

de tout faire de travers.

­Cormac McCarthy
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Les smartphones nuisent plus à votre productivité que


Tu penses

Croyez­moi, cette chose que vous utilisez pour lire cet article n'est pas votre amie. Et même si vous lisez ceci sur votre

ordinateur portable ou PC, il y a une chose que je veux vous demander : quelle est l'importance de votre appareil

pour vous ?

J'ai été choqué quand j'ai lu une statistique étrange il y a quelque temps. Une expérience menée par les universités de

Würzburg et de Nottingham Trent a révélé que 37,4 % des participants ont jugé leur téléphone plus ou aussi important par

rapport à leur
amis proches.

Des bizarreries. Sérieusement, qu'est­ce qui ne va pas chez les gens ? 29,4 % de ces cinglés ont même déclaré que leur

smartphone était tout aussi important, voire plus important, pour eux que leur

parents.

Ou y a­t­il quelque chose qui ne va pas chez moi ? Suis­je juste un vieux lycéen qui aime lire des livres toute la journée et

qui n'a que quelques amis proches et membres de sa famille avec qui il
valeurs?

Écoutez, je ne plaisante pas. Les smartphones sont dangereux. Non pas parce qu’ils peuvent provoquer du stress, de

l’anxiété ou même de la dépression, mais parce qu’ils modifient votre comportement. Il semble que nous ne pouvons pas

nous concentrer sur une chose pendant plus de 5 secondes. Pourquoi? Eh bien, nous ne pouvons pas car notre smartphone

sonne constamment.

Non pas parce que les gens vous appellent (on dirait que les gens ont peur d'appeler ces jours­ci, mais c'est un autre sujet),

mais parce que vous recevez constamment des notifications sur des CHOSES QUI N'IMPORTENT PAS.

Changez le comportement de votre smartphone

La même étude que j’ai mentionnée ci­dessus a également trouvé autre chose :

« Les chercheurs ont demandé aux participants d'effectuer un test de concentration sous quatre conditions différentes.

circonstances : avec leur smartphone dans leur poche, à leur bureau, enfermé dans un tiroir et complètement retiré de la pièce.

Les résultats sont significatifs : les résultats des tests étaient les plus faibles lorsque le smartphone était sur le bureau, mais

avec chaque couche supplémentaire de distance entre les participants et leur


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smartphones, les performances des tests ont augmenté. Dans l’ensemble, les résultats des tests étaient 26 % plus élevés

lorsque les téléphones étaient retirés de la pièce. »

Bien sûr, ce n'est qu'une étude. Et vous n’êtes pas obligé de croire tout ce que vous lisez. Mais c’est quelque chose que

je peux personnellement attester. Depuis deux ans, j'ai considérablement modifié mon comportement sur mon smartphone. À

savoir:

• J'ai désactivé TOUTES mes notifications sauf les messages et les appels

• Je me suis retiré de tous les groupes Whatsapp, à l'exception d'un groupe avec mes proches.

amis

• J'ai supprimé toutes les applications d'actualités (si quelque chose d'important se produit, vous l'entendrez de la part des

personnes autour de vous)

• Je consomme uniquement de la musique, du journalisme payant, des articles d'auteurs spécifiques que je suis,

des podcasts, des vidéos YouTube (surtout pour apprendre, mais aussi pour me divertir car

Je ne suis pas un robot), des livres et des livres audio dessus

• Pour le reste, j'utilise mon téléphone pour appeler, envoyer des SMS et prendre des notes, des photos et des vidéos

De plus, j'ai arrêté immédiatement de répondre aux notifications. Cela ne veut pas dire que je n’apprécie pas les autres

personnes qui essaient de me joindre. Cela signifie que je refuse d’être l’esclave de mon téléphone.

Je contrôle mon téléphone.

Pour la plupart d’entre nous, c’est l’inverse. Dans le passé, Facebook, Instagram, Apple, Google, etc. contrôlaient tous

mon esprit. Évidemment, c’est toujours le cas, car le seul moyen d’échapper à ces idiots est de se couper et de courir

dans les bois. Ce n'est pas réaliste.

J'aime mon téléphone. Mais je n'en ai pas besoin.

Les résultats ont été excellents depuis que j'ai commencé à utiliser mon smartphone de la manière ci­dessus.

Au cours des deux dernières années, j’ai accompli plus de choses que jamais.

Et j'ai encore le temps de m'entraîner quotidiennement, de passer du temps avec mes amis, de dîner avec ma famille et de

passer du temps avec ma copine. Vous et moi disposons tous les deux des mêmes 24 heures.

Ce qui fait la différence, c'est la façon dont vous passez ces 1 440 minutes chaque jour. Pour être honnête, je pense que

j’ai encore beaucoup à améliorer concernant mon efficacité. Personne n’atteint son pic de productivité. Il n’est pas

non plus important d’être la personne la plus productive au monde.


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La façon dont vous souhaitez passer votre temps vous regarde. Mais ne me dites pas que vous ne voulez

pas être 26 % plus productif en changeant simplement une chose sans importance dans votre vie : le
comportement de votre smartphone.

Et si vous vous demandez pourquoi plus de gens ne vous disent pas de vous débarrasser de cette chose,
sachez qu’ils essaient d’accéder à votre portefeuille. De plus, les utilisateurs des réseaux sociaux qui
prétendent gérer leur entreprise avec leur smartphone font exactement la même chose. Ils ont besoin que
vous consommiez leur contenu, sur votre smartphone, vous l’aurez deviné.

Apple ne nous dira jamais non plus : « cela ne vous dérange pas d'acheter le nouvel iPhone, car il va

détruire votre productivité ». Bien sûr que non, ils essaient de vous dire le contraire. Et sans aucun doute, les
smartphones améliorent également la productivité.

Vous avez probablement trouvé mes articles sur votre téléphone. C'est génial. Et je lis aussi beaucoup d’articles

et de livres sur mon téléphone. Mais vous et moi utilisons l’appareil pour apprendre quelque chose, ce qui est
toujours une bonne chose.

Les gens qui fabriquent des téléphones et des applications sont plus intelligents que nous. Leur seul

objectif est de vous rendre accro. Je pense que c'est bien de s'en rendre compte. C'est pourquoi j'essaie
souvent de me rappeler de ne pas trop dépendre des smartphones, car mon attention compte
plus que la productivité. Il est temps de reconquérir votre attention. Et ainsi, récupérez votre vie. Il vaut la peine
il.
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Comment le perfectionnisme détruit votre productivité

Avez­vous toujours peur de ne pas avoir fait du bon travail ? Remettez­vous toujours en question votre travail et vos

actions ? Avez­vous peur d'admettre vos erreurs ? Est­ce que le rejet vous fait sentir comme de la merde ?

Si c'est le cas, vous courez un grand danger. Je ne suis pas moi­même perfectionniste. Du moins, c'est ce que

j'essaie de me dire. Je parie que vous essayez de vous le dire aussi. En fait, ceux qui ne l’admettent pas sont les
pires.

Mais voici le problème : si vous êtes perfectionniste, vous n'êtes qu'un procrastinateur avec un masque.

Ce n'est pas différent de quelqu'un qui est paresseux et ne fait rien du tout. Vous ne me croyez pas ? Nous allons jeter

un coup d'oeil. Un perfectionniste…

• Attend toujours le bon moment.


• Ne fait jamais d'erreurs.

• A toujours besoin de plus de temps.

Mais en fin de compte, la vie et le travail sont une question de résultats. Les résultats comptent. Et si vous êtes

perfectionniste, vous obtiendrez peut­être des résultats un jour. Mais la question est : Quand ? Et à quel prix ? La

recherche montre spécifiquement que le perfectionnisme est étroitement lié à la dépression et à une faible

estime de soi.

« Les perfectionnistes sont leurs propres diables. » —Jack Kirby

Le prix du perfectionnisme en vaut­il vraiment la peine ? J'ai découvert que le perfectionnisme n'est qu'une autre forme

de procrastination. Lorsque vous craignez constamment de commettre des erreurs, le doute s’installe dans votre

esprit. Et cela provoque l’indécision. Il existe deux types de perfectionnistes :

1. Celui qui ne démarre jamais. Vous voulez réaliser quelque chose, mais vous commencez immédiatement à

douter de vous­même. Vous pensez : « Je ne pense pas pouvoir le faire. » Donc tu ne commences jamais.

2. Celui qui démarre mais qui a des exigences trop élevées. Vous vous fixez un objectif. Vous travaillez dur (peut­

être trop dur). Mais vous avez fixé vos objectifs si haut que vous échouez toujours.

Les deux scénarios peuvent provoquer les phénomènes suivants : anxiété, inquiétude, dépression et type A.
comportement.
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Ce sont des choses que nous préférons éviter. Joachim Stöber et Jutta Joormann, qui ont étudié l'inquiétude, la

procrastination et le perfectionnisme, écrivent :

"La combinaison de l'inquiétude face aux erreurs et de la procrastination peut être un facteur crucial dans

le maintien de l'inquiétude. D’une part, cela peut prolonger les menaces existantes car aucune mesure n’est prise

pour y faire face. D’un autre côté, cela peut accroître les menaces existantes, voire engendrer des menaces supplémentaires,

car les problèmes initialement résolubles s’accumuleront, créant ainsi une surcharge de problèmes qui

pourraient finalement devenir insolubles.

Et ce sentiment d’impuissance est pour nous le plus grand écueil. Car que faisons­nous lorsque nous nous sentons

impuissants ? Exactement, nous abandonnons. Il suffit de regarder les études sur l’impuissance acquise.

Cependant, le perfectionnisme n’est pas toujours mauvais. En fait, certaines études suggèrent que le perfectionnisme est

lié à une plus grande réussite. Mais là n'est pas la question ici.

Bien sûr, lorsque vous fixez des objectifs plus élevés et si vous avez des normes plus élevées ; vous obtenez plus.

Sans aucun doute, les tendances perfectionnistes peuvent être une bonne chose. Mais comme nous le savons

tous, atteindre ses objectifs n’est pas la seule chose dans la vie. Il s'agit davantage de la manière dont nous

atteignons nos objectifs et nos aspirations.

« Comment pouvons­nous vaincre les mauvais côtés de la procrastination et du perfectionnisme ? »

Nous avons donc parlé du lien entre la procrastination et le perfectionnisme et des raisons pour lesquelles cela peut être

mauvais. Mais quelle est la solution ? J'ai trouvé une étude intéressante de Gordon L. Flett et de ses collègues ; ils

parlent du rôle de l’ingéniosité acquise dans le perfectionnisme. Ils suggèrent que l’ingéniosité acquise peut jouer un rôle

médiateur. J’ai donc commencé à m’intéresser à l’ingéniosité acquise. Et voici ce que j'ai trouvé dans un article de

Michael Rosenbaum :

« L’ingéniosité acquise fait référence au répertoire comportemental nécessaire à la fois à la maîtrise de soi régressive et

à la maîtrise de soi réformatrice. Ce répertoire comprend l'autorégulation de ses réponses émotionnelles et cognitives

lors de situations stressantes, l'utilisation de compétences en résolution de problèmes et le report de la gratification

immédiate au profit de récompenses plus significatives à l'avenir.

L’ingéniosité acquise est la compétence dont vous avez besoin pour arrêter de vous saboter.

Trouver un équilibre.
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Regardons le contraire d'un perfectionniste : un fainéant.

Si vous êtes fainéant, vous ne vous souciez pas de grand­chose. Assez bien est votre devise. Et tu n'as aucune

ambition du tout. Une telle attitude ne vous mène nulle part. Le romancier américain Cormac McCarthy l'a

mieux exprimé :

« C'est comme beaucoup de choses, dit le forgeron. Faites la moindre partie de mal et vous feriez tout aussi bien

de tout faire de travers.

Le slacking est une attitude de « je m’en fiche ». Mais si vous voulez faire bouger les choses dans votre vie, vous

devez vous en soucier. Et ce que vous voulez, c'est trouver un juste milieu où vos tendances

perfectionnistes vous poussent, mais où vous avez le calme d'un fainéant, et vous combinez cela avec

une ingéniosité acquise. C'est pourquoi j'ai trouvé un équilibre entre perfectionnisme et relâchement. Cela

ressemble à ceci :
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Faites du bon travail comme un perfectionniste, mais n'accordez pas trop d'attention à vos objectifs comme un fainéant. Et

enfin, combinez­le avec ceci :

• Débrouillardise — Les objectifs peuvent bien fonctionner, mais ils peuvent aussi être

contreproductif. C'est pourquoi vous voulez vous appuyer sur des systèmes. Et quand la merde frappe le

ventilateur ; utilisez vos compétences en résolution de problèmes pour comprendre les choses.

Pour moi, c'est le point idéal : au lieu de vous en vouloir lorsque vous faites une erreur ou si vous échouez, vous ajustez ou

résolvez simplement le problème.

• Évitez la phrase préférée des perfectionnistes : « OMG, c'est la pire chose qui soit ! »
• Évitez également la phrase préférée du fainéant : « Je m'en fiche ».

• Mais au lieu de cela, vous dites : « J'ai ça. »

Alors, quel est votre défi actuel ? En fait, je n'ai même pas besoin de demander : vous avez ceci.
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Comment lire 100 livres par an

Votre liste de lecture ne cesse de s’allonger ? Avez­vous acheté des livres que vous n'avez jamais lus ? Il est peut­être

temps de supprimer plus de livres que jamais de votre liste cette année.

Si vous lisez moins que vous ne le souhaiteriez, vous n’êtes pas le seul. Il y a un an, j'ai regardé ma page Goodreads

et j'ai remarqué que je n'avais lu que cinq livres en 2014. Cette prise de conscience m'a frustré.

J'adore les livres, mais depuis que j'ai obtenu mon diplôme universitaire en 2011, je lis moins de livres chaque

année. Mon travail et ma vie m’ont empêché de lire autant que je le souhaitais. Pourquoi lire 100 livres par an ?

Vous lisez parce que vous voulez apprendre de l’expérience des autres. Otto von Bismarck l'a mieux

dit :

« Les imbéciles apprennent par l’expérience. Je préfère apprendre de l’expérience des autres.

Si vous voulez aller quelque part dans ce monde, vous devez vous éduquer, et pour vous éduquer, vous devez lire

– beaucoup. Voici comment procéder.

1. Achetez en gros

Cela coûte de l'argent pour acheter des livres, et cela vous coûte du temps pour les lire – je suppose que vous

avez les deux si vous lisez ceci. Tout le monde peut prendre du temps. Et si vous n’avez pas d’argent, trouvez un

moyen d’en gagner ou d’en économiser. Comme l’a dit un jour Erasmus, homme de la Renaissance néerlandaise :

« Quand j'ai un peu d'argent, j'achète des livres ; et s’il m’en reste, j’achète de la nourriture et des vêtements.

Soyez assuré que l’argent et le temps que vous consacrez aux livres en valent la peine. Je ne peux pas penser à un

meilleur investissement. Les livres ne sont qu'un gaspillage d'argent si vous ne les lisez pas.

Si vous voulez lire davantage, vous devez acheter plus de livres. Certaines personnes ne comprennent pas. Ils

dépensent 200 $ en chaussures neuves, mais ils trouvent ridicule d’acheter 20 livres sur Amazon.

L'idée est simple : si vous avez plus de livres chez vous, vous aurez plus de choix, et cela vous aidera à lire

davantage. Voici pourquoi : la plupart des livres que vous lisez ne sont pas planifiés à l’avance. On ne s'assoit pas en

janvier et on ne dit pas : « La première semaine de juin, je lirai ce livre. »


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Vous terminez un livre, regardez votre inventaire et décidez quoi lire ensuite. Ne réfléchissez pas trop

au prochain livre que vous devriez lire : vous finirez par lire des critiques pendant des heures, ce qui est une
perte de temps.

Par exemple, la plupart des gens qui veulent commencer par le stoïcisme me demandent : « Lequel dois­je

lire en premier : Sénèque, Marc Aurèle ou Epictète ? Achetez­les tous. Lisez­les tous.

Avoir un inventaire de livres maintient l’élan. Vous n’avez également jamais d’excuse pour ne pas
lire.

2. A(toujours) B(e) R(lecture)

Vous avez peut­être entendu parler du terme « ABC » dans la pièce/film Glengarry Glen Ross : Always

Be Closing. De nombreux vendeurs et entrepreneurs vivent selon cette devise.

Je vis selon une devise différente : Always Be Reading. Je lis au minimum 1 heure par jour en semaine et

encore plus le week­end et les jours fériés.

Trouvez un moyen de lire votre emploi du temps et votre situation de vie. Ne cherchez pas d'excuses en disant

que vous êtes fatigué ou trop occupé. Toujours lire signifie que vous :

• Lire dans le train

• Lisez pendant que vous allaitez votre bébé

• Lisez pendant que vous mangez


• Lire au cabinet du médecin

• Lire au travail

• Et surtout, lisez pendant que tout le monde perd son temps à regarder les informations ou à consulter

Facebook pour la 113e fois dans la journée.

Si vous faites cela, vous lirez plus de 100 livres par an. Voici comment. La plupart des gens lisent 50

pages par heure. Si vous lisez 10 heures par semaine, vous lirez 26 000 pages par an.

Disons que le livre moyen que vous lisez fait 250 pages : dans ce scénario, vous lirez 104 livres par an.

À ce rythme, même si vous faites une pause de deux semaines, vous lirez au moins 100 livres par an. C'est

un bon retour sur votre investissement en temps. Quel est le retour sur investissement de la lecture de l'actualité ?

Je ne sais pas exactement, mais ça doit être négatif.


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3. Lisez uniquement les livres pertinents

Avez­vous déjà lu un livre censé être incroyable et vous ne comprenez pas ? Je n'irais pas jusqu'à dire que n'importe

quel livre est nul parce que les gens passent beaucoup de temps à écrire et à éditer un livre.

Mais tous les livres ne conviennent pas à tout le monde. Un livre peut être un best­seller, mais peut­être que vous ne

supportez pas l'écriture. Ou peut­être que ce n'est pas le bon moment pour lire un livre. Dans tous les cas : si vous ne

parvenez pas à feuilleter les pages, rangez le livre et prenez quelque chose qui vous passionne tellement que

vous déchirez les pages.

Lisez des livres proches de ce qui se passe dans votre vie. Il y a un livre pour tout ce à quoi vous pouvez penser. Les

gens écrivent des livres depuis 2000 ans, et il y a eu beaucoup de gens à votre place : un adolescent en difficulté, un

artiste en herbe, un entrepreneur fauché, un nouveau parent, etc. Ne perdez pas votre temps à lire sur des sujets qui

ne vous intéressent absolument pas.

Choisissez plutôt les livres liés à votre profession ou à votre passe­temps. Lisez des livres sur les personnes que

vous admirez. Ne lisez pas un livre simplement parce que c'est un best­seller ou un classique s'il n'a aucun sens

pour vous.

4. Lisez plusieurs livres simultanément

Il n’y a pas de règles pour lire, vous pouvez donc faire ce que vous voulez. Parfois, je lis 5 livres à la fois. Je pourrais

lire 50 pages d'un livre le matin, puis en lire un autre


réserver l'après­midi.

C'est comme ça que je le préfère. D’autres aiment lire un livre d’un bout à l’autre et ensuite seulement lire

quelque chose de nouveau.

Si vous lisez quelque chose de compliqué, vous voudrez peut­être lire quelque chose de plus facile pour le soir. J'aime

lire des biographies avant de m'endormir parce qu'elles sont comme des histoires. La fiction fonctionne également

bien le soir.

Je ne veux pas lire un livre sur l'investissement au lit avec un surligneur et un stylo. Si je fais cela, je serai éveillé

jusqu'à 3 heures du matin parce que mon esprit bourdonne de nouvelles choses que j'apprends.

5. Conserver les connaissances

La connaissance n'est bonne que si vous l'utilisez. Pour conserver les connaissances, vous avez besoin d’un système qui

vous aide à le faire. Voici comment je procède :


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• Lorsque vous lisez un livre, utilisez un stylo pour prendre des notes dans les marges et surligner
le texte important. Si vous lisez numériquement, faites attention aux surlignages. Ce n’est pas
parce que c’est si simple de mettre en avant tout ce que vous trouvez légèrement
intéressant. Gardez la surbrillance pour les choses « aha » uniquement.
• Si vous lisez quelque chose dont vous voulez vous souvenir, pliez le haut ou le bas
coin de la page. Pour les lecteurs numériques : prenez une photo et stockez­la dans une application de prise de

notes que vous préférez.

• Lorsque vous avez terminé le livre, revenez aux pages pliées et parcourez votre
Remarques.

• Notez (utilisez votre logiciel de prise de notes ou votre cahier physique) dans vos propres mots le
sujet du livre et les conseils que l'auteur donne.
• Copiez les citations qui vous intéressent le plus.

Le but n’est pas de copier le livre mais de vous aider à traiter les informations afin que vous puissiez les utiliser plus tard.

Lisez autant que vous le pouvez, mais n'oubliez jamais d'appliquer ce que vous avez appris, car c'est ce qui compte le

plus. Vous consacrez de nombreuses heures à lire des livres, assurez­vous d'en tirer quelque chose.
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Prendre des vacances : cela augmente votre productivité et


Réduit le stress

Vous rechargez votre téléphone lorsqu'il est à court de batterie. Vous remplissez votre réservoir d'essence lorsque vous êtes

fonctionnant à vide.

Mais parfois, vous oubliez de faire de même pour votre bien le plus précieux : votre corps (et le cerveau qui se

trouve à l’intérieur). Que vous aimiez ce que vous faites, que vous soyez entre deux emplois ou que vous ayez un

travail que vous détestez : vous travaillez. « Vivre » est aussi un travail. Une question assez difficile, en fait.

Le simple fait de se lever le matin peut être une tâche ardue. Et je ne parle même pas de toutes les responsabilités

que nous avons. Alors, pourquoi rendez­vous votre vie encore plus difficile en ne prenant pas de

vacances pour vous ressourcer ? Je ne parle pas de vos week­ends qui regorgent d'activités, ou de vacances où

vous travaillez plus que vous détendez.

Non, ce type de « temps libre » ne sert à rien. Je parle de repos pour une raison bien précise : recharger sa batterie

pour pouvoir continuer à travailler dur. Pour moi, la vie, c'est travailler dur. Voltaire l’a bien dit :

« Plus j’avance en âge, plus je trouve le travail nécessaire. Cela devient à la longue

le plus grand des plaisirs et remplace les illusions de la vie.

Le repos réduit le stress. Améliore la créativité et la productivité.

Des recherches scientifiques montrent que les vacances diminuent la perception du stress et de l'épuisement professionnel.

C'est un avantage assez important de prendre quelques jours de congé. Mais il y a plus. Comme vous le savez

peut­être, je suis toujours intéressé par la productivité. En cas de repos ou de vacances, ma question est :

Vais­je faire plus de choses à mon retour ? La réponse est oui, mais il y a une chose importante à garder à

l’esprit.

Mais revenons un peu en arrière : que signifie faire plus ? Faire avancer les choses n'a rien à voir avec le

temps : si vous travaillez plus d'heures, vous n'en faites pas nécessairement plus.

En fait, les recherches montrent que travailler plus d’heures signifie généralement moins de productivité. Pourquoi?

Eh bien, nous perdons souvent du temps si nous en avons plus. C'est simple : si je vous le dis, vous avez un

an pour écrire un article. Que feriez­vous? Procrastiner, non ?


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Mais et si je vous dis que vous n’avez que 2 heures ? Vous vous demandez immédiatement comment puis­je écrire cet article dès que

possible ! Donc, d’une certaine manière, avoir plus de jours de congé et moins de jours de travail vous oblige à être plus efficace avec

votre temps. La recherche montre que les vacances en elles­mêmes ne vous rendront pas plus productif, mais lorsque vous avez plus

de jours de congé, vous ressentez un fort désir de faire plus de choses en moins de temps.

Et c'est une situation gagnant­gagnant pour tout le monde : vous, votre entreprise ou votre travail. Vous partez quelques jours, vous

ressourcez, passez du temps avec votre famille ou vos amis, et à votre retour, vous êtes plus productif. Super. Mais attendez, il y

a une mise en garde. Lorsque vos vacances sont stressantes, les bienfaits disparaissent. Avez­vous déjà regardé National

Lampoon's Vacation avec Chevy Chase ? C'est ainsi que se sont déroulées mes vacances en famille. Pas bon.

Alors réduisez le stress au minimum pendant vos vacances. Sinon, vous avez perdu une occasion parfaite de vous détendre et

d’augmenter votre productivité globale. Voici quelques conseils qui pourraient vous aider.

1. Si vous êtes un planificateur, PLANIFIEZ

Un de mes amis adore tout planifier. Il adore les itinéraires et les plans minute par minute de la journée lorsqu'il est en vacances. Je

suis le contraire.

Lorsque nous sommes partis en voyage il y a quelques années, il a dit : « Je vais copier votre style et suivre le courant. » J'ai dit :

« parfait ».

Le premier matin, j'ai dormi jusqu'à 10 heures du matin. Il s'est avéré qu'il s'est réveillé tôt, qu'il est devenu nerveux parce qu'il

n'avait pas d'emploi du temps et qu'il a passé toute la matinée à en créer un.

N'essayez pas d'être quelqu'un que vous n'êtes pas. Si vous aimez planifier vos vacances, faites­le. Mais essayez de rester flexible :

vous êtes en vacances.

2. Faire un film quotidien

C'est créatif et c'est un excellent souvenir pour plus tard. De plus, se concentrer sur l’acte de filmer forcera votre attention sur

quelque chose de spécifique. De cette façon, vous serez davantage dans le moment présent et vous vous soucierez moins des choses

à la maison.

Ne filmez pas TOUTE la journée. Sinon, vous ne serez pas présent du tout.

Tout ce dont vous avez besoin est un smartphone. Filmez simplement des trucs avec votre téléphone et montez­les directement

sur votre téléphone. Si vous préférez la vidéo, apportez un appareil photo approprié et un ordinateur portable.
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3. Lisez BEAUCOUP

Bill Gates est célèbre pour sa vorace habitude de lire. Il est également connu pour sa « Semaine de réflexion » où il

ne fait rien d'autre que lire et réfléchir.

Récemment, il a publié un article avec 5 livres qu'il lira cet été. Jetez­y un oeil si vous cherchez de l'inspiration.

J'aime lire pendant des heures pendant mes vacances. La lecture ralentit le temps, fait réfléchir et est bonne pour le cerveau.

4. S'ennuyer

L’une de mes stratégies préférées pour trouver de nouvelles idées est de m’ennuyer complètement. Cela semble plus
facile qu’il ne l’est à cause des distractions.

Autrefois, je faisais tout pour NE PAS m'ennuyer : regarder la télévision, sortir, naviguer sur Facebook, etc. Mais saviez­vous

que vous pouvez utiliser l'ennui à votre avantage ?

Au lieu de céder aux distractions, cédez simplement à l’ennui et voyez que cela mène votre esprit. En fait, l’un de mes

artistes préférés de tous les temps, Andy Warhol, a embrassé l’ennui. Cela se voit aux films ennuyeux qu'il a réalisés ou

aux références qu'il a faites dans La Philosophie d'Andy Warhol au sujet de l'ennui.

Chaque fois que je me heurte à un mur créatif, je ne fais rien. Littéralement, rien. Essayez­le un jour. C'est une excellente

stratégie ; peut­être que vous proposez la prochaine meilleure chose dans votre secteur.

Ce n'est jamais le bon moment pour faire une pause.

• "Je dois juste terminer ce projet."

• « Mon patron ne l'acceptera jamais. »

• « Les gens penseront que je suis paresseux. »

• "Je n'ai pas le temps."

• « L'argent ne dort jamais. »

Ouais, ouais, j'y suis allé aussi. Mais que préféreriez­vous : continuer à travailler sans vous reposer et sans vous épuiser ?

Ou prendre un peu de repos avant d'être fatigué ? Oui, la vie est longue – alors jouez au long jeu. Sur ce, je ne suis peut­

être pas encore fatigué, mais il est temps pour moi de faire une pause.

Je vous reverrai donc à mon retour le 1er août avec un nouvel article. Jusque là ­

allez­y doucement, parce que je le ferai certainement.


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Ps Pendant des années, je n'avais pas les moyens de partir en vacances. Si vous êtes dans la même situation, restez en

vacances. Les conseils ci­dessus s’appliquent toujours.


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Éliminez la navigation inconsidérée

Nous avons tous des jours où nous nous sentons improductifs ou où nous n'avons rien fait. Lorsque vous sentez

que vous n'êtes pas productif, il y a de fortes chances que ce soit parce que les interruptions et le multitâche drainent

votre énergie.

Lorsque vous jonglez avec plusieurs choses simultanément, comme : en envoyant un e­mail, en envoyant un SMS à

un ami et en consultant votre Facebook pendant que vous êtes en réunion, vous vous engagez dans un changement

de contexte. Dans une recherche réalisée par Gloria Mark de l'Université de Californie à Irvine, il a été démontré qu'il

Il faut en moyenne 25 minutes pour revenir à la tâche initiale après une interruption. Comme nous sommes

interrompus plus d’une fois, cela s’additionne rapidement, et avant de vous en rendre compte, vous avez

l’impression de n’avoir rien fait ce jour­là.

Clifford Nass, un sociologue de l'Université de Stanford, a étudié l'impact du multitâche et a découvert que les

personnes qui s'adonnent au multitâche sont des « idiots du non­pertinence ». Nous pratiquons le multitâche

parce que nous sommes distraits par les notifications, qui créent une dépendance.

Nous ne pouvons pas nous contrôler ; il faut regarder la notification pour voir qui ou quoi veut

notre attention. Chaque fois qu’une notification apparaît sur notre écran, nous recevons une poussée qui

libère de la dopamine.

La dopamine est l'une des substances chimiques bénéfiques du corps ; il contrôle les systèmes de « plaisir » du

cerveau et vous fait ressentir de la joie. Ce sentiment de joie crée une dépendance et nous pousse à rechercher

des comportements qui stimulent la dopamine. Vous pouvez penser à la nourriture, au sexe, aux drogues

et aux notifications que vous recevez sur votre écran.

Même si la dopamine peut provoquer une ruée, elle nous épuise également. C'est pourquoi vous vous sentez encore

fatigué en fin de journée alors que vous n'avez pas été productif. Il s’agit d’un processus néfaste et nous devons mettre

un terme à cette tendance.

La solution : éliminer la navigation

Être productif peut être aussi simple que de prendre le contrôle de sa journée. Ce qui nuit le plus à votre

productivité, c'est la navigation. Cela le tue absolument. Nous avons tous vécu une distorsion du temps lorsque nous

naviguons. "Quoi?! Je n’ai RIEN fait pendant 2 heures. Oui, nous faisons même cela au travail. Prenez le contrôle de

votre attention et de votre temps. Le fait est que ; faites quelque chose qui vaut votre temps. Soyez conscient de

votre temps. Et dépensez pour améliorer la qualité de votre vie.


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20 choses qui vous rendront plus productif que


Jamais

Les trois dernières années ont été énormes pour moi. J'ai fait plus de choses que jamais, j'ai déménagé de
pays, acheté un appartement et un petit immeuble de bureaux, passé beaucoup de temps avec ma famille
et mes amis, gardé un mode de vie sain et fait de l'exercice au moins 4 fois par semaine.

De nombreuses variables déterminent votre productivité globale. Les outils, applications ou hacks ne
fonctionnent pas si vous n’avez pas le bon état d’esprit, car la productivité est un mode de vie. Il s'agit
d'atteindre un rendement maximum, de faire avancer les choses et de ne pas perdre de temps. Je
pense que rendement et bonheur vont de pair. Pour moi, ne rien faire équivaut à la misère.

Je souhaite partager 20 choses que j'ai faites au cours des trois dernières années et qui m'ont rendu
plus productif que jamais (sans ordre particulier).

1. Toujours aller droit au but


Avec tout dans la vie, il y a un tas de conneries, et il y a des choses qui comptent. Les bavardages,
les bavardages, les retards, l'attente, le silence, tout cela ne sert à rien. Si vous voulez faire
quelque chose, vous devez vous lancer directement dans l’action.
2. Enregistrez toutes vos pensées et idées
Semblable aux ordinateurs, nous disposons d’une mémoire vive (RAM). Votre RAM humaine stocke
des informations pertinentes à court terme. Mais votre capacité de RAM est limitée. Lorsqu'il est
plein, les anciennes informations que vous avez stockées seront supprimées pour laisser la place
à de nouvelles informations. Vous souhaitez écrire vos pensées pour décharger votre RAM, ce
qui vous donne plus de matière grise. Même si vous ne jetez plus jamais un œil à cette note, cela en
vaut toujours la peine.

3. Dites non
Quand il s'agit de travail, je dis non à tout ce qui ne correspond pas à mes objectifs et à mes valeurs.
Nous vivons dans un monde d’abondance : il y a toujours suffisamment d’opportunités. Dans ma vie
personnelle, je dis non à tout ce qui ne me passionne pas. Quand je pense « meh » à propos de
quelque chose, je dis toujours NON. Cela évite de perdre du temps avec des conneries qui ne me
passionnent pas.

4. Faites une pause de 5 minutes toutes les 30 à 45 minutes


Vous pouvez vous dégourdir le dos, vous promener, boire de l'eau. Mais plus important encore, vous
sortez le nez de votre travail. Lorsque vous reviendrez à votre bureau, vous aurez peut­être de
nouvelles idées. Ou bien, vous pourriez penser : « QU’EST­CE QUE JE FAIS ? Et arrêtez­le avant
de perdre tout votre temps.
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5. Éliminez tout ce qui vous distrait

La volonté est surfaite. Si quelque chose vous distrait, éliminez­le. Un de mes amis est accro aux informations.

J'ai suggéré de se débarrasser de sa télévision, de supprimer ses applications d'actualités et de bloquer

les sites d'actualités sur son ordinateur portable. Deux semaines plus tard, il m'a dit qu'il démarrait enfin

une entreprise. Ne pensez pas que vous êtes à l'abri de vos distractions. Retirez­les.

6. Éloignez­vous du désordre

Une vie encombrée signifie un cerveau encombré. Et avec un cerveau encombré, vous ne pouvez pas faire

avancer les choses. Je préfère un environnement de travail et de vie simple. Un bureau, un ordinateur

portable et un cahier. Rester simple. Vous n'avez pas besoin de peluches.

7. Concentrez­vous sur 1 chose certains jours

Si vous avez des tâches récurrentes, essayez de faire autant de choses identiques dans une même journée.

J'écris 2 à 3 articles de blog sur 1 jour, les autres jours de la semaine, j'utilise pour mes autres projets et

entreprises. Les jours où j'écris, j'éteins mon téléphone et j'écris. Rien d'autre ne gêne.

8. Arrêtez de consommer autant d’informations

Vous n'avez pas besoin de lire 5 000 articles sur la productivité. Si vous trouvez des informations utiles, essayez­

les. Ne cherchez pas plus. Plus n’est pas toujours mieux. Vous ne pouvez en traiter qu’une quantité limitée.

Arrêtez de consommer, commencez à créer.


9. Créer des routines

Les décisions fatiguent votre cerveau. Et les routines éliminent les décisions. Ce qui signifie finalement plus

de matière grise. Les routines ne sont pas des TOC – elles sont efficaces. Utilise les.
10. Ne faites pas plusieurs tâches à la fois

Lorsque vous jonglez avec plusieurs choses simultanément, comme : envoyer un e­mail, envoyer un SMS à

un ami et consulter votre Facebook pendant que vous êtes en réunion, vous vous engagez dans un

changement de contexte. Dans une recherche réalisée par Gloria Mark de l'Université de Californie à

Irvine, il a été démontré qu'il faut en moyenne 25 minutes pour revenir à la tâche initiale après une interruption.

C'est une perte de temps utile.

11. Vérifiez vos e­mails deux fois par jour

Chaque fois que vous consultez vos e­mails, vous ressentez une poussée de dopamine. Je comprends :

consulter ses e­mails est agréable et la plupart d'entre nous sont accros. Même si la dopamine peut provoquer

une ruée, elle vous épuise également. C'est pourquoi vous vous sentez encore fatigué en fin de journée

alors que vous n'avez pas été productif. Pour minimiser cela, désactivez les notifications et consultez vos e­

mails seulement deux fois par jour à des heures fixes.

12. Pas de smartphone pendant la première heure de votre journée

La fonction première d'un smartphone est de vous interrompre. Mais ne laissez pas d'autres personnes ou

applications vous interrompre pendant la première heure de votre journée. Profitez de cette première heure

pour réfléchir à la journée qui vous attend, lire un livre, prendre votre petit­déjeuner, votre café ou votre thé.
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13. Planifiez le lendemain

Chaque soir, avant de me coucher, je prends 5 minutes pour définir mes priorités (généralement 3 à 4) pour le

lendemain. Cela me rend plus concentré au réveil. Je trouve que je perds du temps si je ne fais pas cette pratique.

C'est cool de « suivre le courant ». Le seul problème est le suivant : je ne veux pas être un chien qui court après

les voitures sans réfléchir.

14. Gardez la « réflexion » au minimum

Quand les gens disent : « Je réfléchis ». Ils veulent dire s'inquiéter en pensant. Ne réfléchissez pas trop. FAITES

simplement et voyez ce qui se passe. Si vous aimez ce que vous voyez, continuez. Sinon, faites autre chose.

15. Exercice

Certaines choses sont vitales dans la vie : la nourriture, l’eau, le logement, les relations et l’exercice.

Sans ces éléments, vous ne pouvez pas fonctionner correctement. La recherche scientifique montre que

l’exercice régulier peut vous rendre plus heureux, plus intelligent et plus énergique.

16. Riez un peu

Rire réduit le stress. Et si vous voulez maintenir votre productivité, vous ne voulez pas de stress. Alors déplacez

les coins de votre bouche vers le haut autant que vous le pouvez.

17. N'allez pas aux réunions

C'est une situation difficile pour les personnes qui travaillent pour des entreprises. Certaines entreprises ont une

culture du « Meeting ». Les gens organisent des réunions juste pour paraître importants ou pour remettre à plus tard

le vrai travail. Pour l’amour de Dieu, S’IL VOUS PLAÎT ARRÊTEZ.

18. Est­ce vraiment nécessaire ?

Posez­vous cette question aussi souvent que possible. Vous constaterez que votre réponse est souvent : Non.

Alors pourquoi faire des choses inutiles ?

19. Si vous passez une journée merdique, appuyez sur Réinitialiser

Vous pourriez baiser, peut­être que quelqu'un se mettra en colère contre vous – des merdes arrivent. Ne vous

découragez pas. Prenez du temps seul, méditez, écoutez de la musique ou allez vous promener.

Essayez de vous remettre sur la bonne voie – ne laissez pas votre journée se perdre

20. Faites le travail

Oui, parler du travail est plus facile que de le faire. Tout le monde peut le faire. Mais vous n'êtes pas tout le

monde, n'est­ce pas ? Vous êtes une bête de productivité. Alors agissez comme tel.

Sans ces 20 choses, je ne serais pas du tout productif. Vous avez peut­être remarqué que je n'entre pas dans les

détails, comme les outils et applications que j'utilise. Je ne pense pas que ce soit important. Il s'agit de créer un état d'esprit

de productivité et un environnement qui vous permettent de prospérer. Je me soucie uniquement de faire avancer les

choses de manière amusante et non stressante. Cela rend le travail beaucoup plus amusant et gratifiant.
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Voici pourquoi les congés de travail AMÉLIORENT réellement votre


Travail et vie

Que faites­vous lorsque vous vous sentez fatigué ou dépassé ? Est­ce que vous réussissez ? Ou prenez­vous un peu de

temps libre ? Dans le passé, je pensais qu’il fallait toujours réussir, quoi qu’il arrive. Maintenant, je pense toujours de cette

façon lorsqu’il s’agit de la vie en général. Vous ne pouvez pas cesser de prendre soin de vous et de votre famille.

Le sens des responsabilités est l’un des facteurs de motivation les plus puissants dans la vie. Mais je ne parle pas ici

d’un manque de motivation. Je parle de prendre un congé du travail. Mais il existe encore un énorme tabou sur les

congés. Certains pensent que c'est pour les perdants. D'autres pensent qu'il s'agit d'échapper à son travail.

Après tout, « Si vous aimez votre travail et votre vie, pourquoi avez­vous besoin d'une pause ? » Bon point, petit malin.

Voici pourquoi les congés AMÉLIORENT réellement votre travail et votre vie.

Leonard Mlodinow, physicien, qui a également co­écrit deux livres avec Stephen Hawking, a récemment partagé des

recherches scientifiques dans son livre Elastic sur le fait de prendre des congés. Il démontre que s’absenter du

travail améliore notre bien­être :

« Même si certains peuvent considérer que « ne rien faire » est improductif, le manque de temps d'arrêt est mauvais pour

notre bien­être, car les temps d'inactivité permettent à notre réseau par défaut de donner un sens à ce que nous avons

récemment vécu ou appris. »

Les gens qui ne prennent jamais de congé pour ne rien faire se concentrent sur le court terme. « Je veux atteindre mes

objectifs ! MAINTENANT!"

Mais comme toujours, penser à court terme nuit à votre développement et à votre croissance à long terme.

Que se passe­t­il lorsque vous vous épuisez au travail et que vous vous épuisez ? Dans la plupart des cas, vos résultats en

pâtissent et vous devenez moins productif. Dans certains cas, vous devenez même déprimé, ce qui vous fera souffrir

encore plus longtemps.

Prévenir plutôt que guérir

C'est l'un des plus gros clichés du livre. Mais à quelle fréquence prévenons­nous réellement les choses ?

Au lieu de cela, nous baissons la tête et « nous en occupons plus tard ». Mauvaise stratégie. Au lieu de cela, il est préférable

de prévenir l'épuisement professionnel ou une diminution de votre performance globale au travail.


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Dale Carnegie, pionnier du développement personnel et auteur de How to Stop Worrying and Start Living,
l'a mieux dit :

« Alors, pour éviter la fatigue et les inquiétudes, la première règle est la suivante : reposez­vous souvent. Reposez­vous avant de vous fatiguer.

Alors prenez congé du travail de manière stratégique tout au long de l’année. C'est ce que je viens de faire

aussi, et j'en ai ressenti 5 avantages :

1. Vous pouvez vérifier si vous avez fait les bonnes choses

Au travail, je connais deux modes :

1. Exécution

2. Penser

Lorsque vous êtes en mode exécution, vous pouvez travailler pendant des heures, des jours ou des mois

d'affilée. En fait, je connais des gens qui sont en mode exécution depuis des années. Ils n’ont jamais pris de temps

pour réfléchir ou réfléchir à leur travail. Résultat? Une crise de la quarantaine. Ou des jeunes qui traversent une

crise du quart de vie.

C'est ce que vous obtenez lorsque vous baissez la tête et exécutez sans réfléchir. Vous pourriez obtenir des

résultats. Mais ces résultats sont­ils ce que vous VOULEZ ? Lorsque vous vous absentez du travail, vous avez

davantage de conversations intérieures. Mais lorsque vous exécutez, vous ne le faites pas. C’est l’un des

avantages les plus importants de ne rien faire. Bien sûr, vous pourriez prendre du retard au travail. Mais qui s’en

soucie ? Préféreriez­vous mener votre carrière avec une vision tunnel ?

J'ai besoin d'au moins dix jours de congé pour réfléchir sérieusement. Pendant les cinq premiers jours, je suis

encore quelque part entre le mode exécution et le mode réflexion. Il est difficile de passer à la réflexion et à ne

rien faire si l'on a l'habitude de travailler. Mais j'apprends toujours de nouvelles choses sur moi­même après

une pause plus longue. J'ai tendance à lire beaucoup. Au cours des deux dernières semaines, j'ai lu cinq livres.

Mais je n'ai pas écrit du tout. De plus, j’ai très peu tenu un journal.

Juste un peu de lecture, regarder des films, des documentaires, sortir avec des amis, parler, rêver. Ce genre

de truc. Cela ne coûte pas cher non plus. Mais le retour est énorme.

Maintenant, je me sens mieux, j'ai plus d'énergie et j'ai hâte de retourner au travail. C'est aussi la prochaine leçon
que j'ai apprise.

2. Vous pouvez traiter vos idées

Votre cerveau fait beaucoup de choses dont vous n'êtes pas conscient. Une chose qui se produit

inconsciemment est le traitement des idées par notre cerveau.


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Nous avons tous eu des idées qui ne se sont jamais concrétisées, n'est­ce pas ? Combien de personnes avez­

vous rencontrées qui prétendaient avoir eu l’idée de Facebook, Instagram ou tout autre type de nouveauté ? J'ai

rencontré un jour un gars qui prétendait avoir eu l'idée de fabriquer des vélos électriques. A­t­il fait quelque chose

avec ? Non. Il achète désormais des déchets sur Alibaba et les revend aux entreprises, à domicile.
à porte.

Nous avons tous des idées. Pas seulement des idées commerciales.

• "Je veux redécorer la maison."

• «Je veux conduire de New York à Los Angeles.»

• "Je veux écrire un livre."

Toutes ces idées sont géniales. Mais qu’allez­vous en faire ? Je ne parle même pas d'exécution. Toutes les

idées nécessitent un traitement. Les idées sont­elles bonnes ? Est­ce que je veux vraiment faire ces choses ?

Encore une fois, c'est un processus de réflexion . Lorsqu’on passe de l’idée à l’exécution, sans traitement, on

perd souvent son temps avec le recul. Bien entendu, vous ne pourrez jamais complètement empêcher cela.

Mais en prenant le temps de traiter vos idées, vous pouvez éviter à votre futur beaucoup de douleur, d’inquiétude

et même d’argent.

3. Vous pouvez consommer plus d’art

Qu’est­ce que l’art ? Tout ce qui fait réfléchir. Une bonne chanson, un film, une peinture, un livre, un poème, un

article, une image, une sculpture, etc. Tout peut être de l'art. Il n'y a aucune autorité qui
déclare ce qu'est l'art et ce qui ne l'est pas.

Je tire une grande partie de mon inspiration de l’art. Je ne peux pas imaginer ce que serait la vie sans cela. Bien,

il y a de l'art là­dessus aussi. Lisez simplement Fahrenheit 451 ou regardez le film Equilibrium. Le

La meilleure chose à propos de l’art, c’est qu’il améliore votre humeur. Et quand tu es de bonne humeur, tu

es plus heureux. Ne consommez pas de déchets inutiles. Commencez par les classiques. Écoutez Bob Dylan,

Marvin Gaye, Whitney Houston. Regardez des films d'Alfred Hitchcock, Francis Ford Coppola. Lisez Ernest

Hemingway, Harper Lee, Ralph Ellison. Allez au British Museum.

Étudiez Andy Warhol.

Comme des millions d’autres personnes, vous serez inspiré par leur travail. Et cela enrichira votre
vie.

4. Vous pouvez vous concentrer sur d’autres choses importantes (qui ne sont pas liées au travail)

"Peux­tu me parler plus de toi?"


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A quoi penses­tu quand je te pose cette question ? La plupart d'entre nous commencent par dire quelque chose comme : «

Je suis comptable dans l'entreprise X ». La vie moderne vous oblige presque à vous identifier au travail. Mais vous

n'êtes pas votre travail. Vous êtes votre famille, vos amis, vos passe­temps, votre passion et enfin, vous avez aussi

un travail. Et oui, le travail est important. Mais les autres choses le sont aussi.

Alors ne négligez jamais les autres choses importantes de votre vie. Cultivez les relations que vous entretenez avec votre

famille et vos amis proches. Faites des choses ensemble. Partez en vacances en famille. Faites du VTT avec vos amis.

Faites preuve d’initiative. Si personne dans votre famille ou votre groupe d’amis n’agit, pourquoi pas VOUS ? En

investissant du temps dans vos relations, vous formez des mémoires de groupe. Cela ne fera que renforcer vos relations.

Mais concentrez­vous aussi sur vous­même. Quels sont vos hobbies? Sur quoi souhaitez­vous en savoir plus ? Qu’est­ce

que tu rêvais de faire ? Faites ces choses.

5. Se reposer devient ennuyeux. Rapide.

Il y a une raison pour laquelle les humains travaillent. Nous sommes construits pour créer des choses. Je crois que le but de
la vie doit être utile.

Se rendre utile mène finalement à une vie pleine de sens qui satisfait tous vos besoins humains. C'est pourquoi trop de

repos nous rendra agités. Ma mère m'a toujours dit que trop de bonnes choses devenaient mauvaises. Elle me l'a dit

quand je voulais tout le temps passer du temps avec mes amis et quand j'ai eu ma première petite amie.

C'est vrai. Trop de repos, comme le travail, n'est pas bon. Notre corps et notre esprit sont faits pour être utilisés.

Par conséquent, la dernière leçon que j’ai apprise en ne faisant rien est la suivante : après le repos vient le travail. Et que

se passe­t­il après le travail ? Si vous avez répondu « plus de travail », vous n'avez pas compris. Vous avez

probablement besoin de repos.


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Blocage du temps : améliorez votre concentration et obtenez­en plus


Un travail significatif effectué

Avez­vous une liste de priorités ou d’objectifs que vous souhaitez atteindre cette année ? Et avez­vous du mal à leur

allouer du temps ?

Je ne suis pas différent. La vie peut être compliquée. La plupart d’entre nous jonglent avec beaucoup de choses différentes

en même temps. Même si la solution simple consiste à arrêter de jongler, elle n’est pas toujours réaliste. Ou même
nécessaire.

Et si vous pouviez faire plus de choses sans perdre votre temps ? C'est possible. Mais vous devez travailler de manière

organisée.

Entrez : Time Blocking, un exercice de productivité simple que de nombreuses personnes utilisent. Ce n’est ni fantaisiste ni

révolutionnaire. La seule chose dont vous avez besoin est un calendrier, ce que possède tout le monde possédant un

smartphone et un ordinateur.

Le blocage du temps consiste simplement à utiliser votre calendrier pour bloquer du temps pour vos priorités les plus

importantes. Pendant ce temps, vous ne travaillez que sur cette seule chose. Et vous laissez votre calendrier vous guider.

De cette façon, vous n'avez pas à vous demander : "Que dois­je faire ensuite ?"

Mais le Time Blocking est bien plus qu’un simple outil de productivité. Il s'agit de conscience de soi.

Le chemin vers une productivité élevée commence par la prise de conscience.

Par exemple, l’une de mes priorités cette année est d’écrire un livre sur la pensée pragmatique.

Cependant, il y a un problème : je n'ai pas écrit.

Comment en suis­je arrivé à cette conclusion ? J'ai simplement regardé ma liste de priorités pour 2017, puis j'ai regardé mon

calendrier.

Je n'avais pas prévu de temps pour écrire depuis un moment. Maintenant, vous pourriez penser : « est­il vraiment nécessaire

de regarder votre calendrier pour vous en rendre compte ? »

Oui je le fais. Je ne suis pas une sorte de superordinateur qui se souvient de tout. Je suis un être humain ordinaire. Je pense

à quelque chose à faire, je commence à y travailler, la vie me gêne et


alors j'oublie ça.

Cela nous arrive à tous. Nous avons besoin d’une conscience de soi et d’outils qui nous permettent de garder le

contrôle. Et c'est pourquoi j'aime le Time Blocking.


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Certaines personnes aiment le blocage du temps. Certaines personnes détestent ça.

Cal Newport, professeur d'informatique et auteur de Deep Work, utilise également le blocage du temps. Il dit:

«Je prends le blocage du temps au sérieux, consacrant dix à vingt minutes chaque soir à construire mon emploi du temps pour

le lendemain. Au cours de ce processus de planification, je consulte mes listes de tâches et mes calendriers, ainsi que

mes notes de planification hebdomadaires et trimestrielles. Mon objectif est de m’assurer que des progrès sont réalisés

sur les bonnes choses, au bon rythme et dans les délais impartis.

La dernière phrase est exactement la raison pour laquelle je planifie tout ce que je veux faire. Travailler n’est pas la même

chose que progresser. Et le Time Blocking m'aide à améliorer ma concentration afin de pouvoir accomplir des choses

significatives . Des choses qui ont un réel impact sur ma vie.

Je sais que beaucoup de personnes qui réussissent travaillent avec des calendriers vides. J'ai lu les articles. Ils travaillent

simplement deux, trois ou quatre heures par jour.

Et pour être honnête, cela me semble aussi très attirant. Cependant, il faut regarder sa propre situation de vie. Qu’essayez­

vous de réaliser ? Et plus important encore : de quelles ressources disposez­vous ? Souvent, les gens qui n’ont pas beaucoup

d’argent ont beaucoup de temps. Alors pourquoi ne pas l’utiliser à bon escient ? Quoi qu’il en soit, je pense que la

planification sert à quelque chose.

Je planifie mes jours et mes semaines à l'avance parce que je veux m'assurer de travailler sur les BONNES choses. Trop

souvent, je me perds dans l'accomplissement des tâches quotidiennes. Pensez­y de cette façon. Je suis déjà assez organisé.

Et je ne travaille que sur une seule grande chose par domaine de ma vie. Mais il y a de nombreux domaines différents dans ma

vie : Mon entreprise familiale, mon blog, mon podcast, mes cours en ligne, mes relations, mes amis, mes investissements, etc.

On pourrait croire que je fais beaucoup de choses différentes. Mais cela dépend de la façon dont vous le regardez.

Tout ce que je fais mène à une seule chose : vivre une vie pleine de sens et indépendante.

Mais ne soyons pas philosophiques ici. Si vous manquez de concentration, ne progressez pas et souhaitez travailler de

manière plus organisée, essayez le blocage du temps. Voici quelques choses que j’ai apprises et qui peuvent aider :

• Prenez 10 minutes chaque soir et planifiez votre journée suivante. Réorganisez les blocs si vous

doit créer du temps pour d’autres choses importantes.

• Utilisez des blocs récurrents pour les tâches récurrentes. Par exemple, j'ai prévu deux heures pour écrire mon nouveau

livre tous les mardis et jeudis.


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• Ne dépassez pas les horaires. En réalité, vous ne pouvez pas être productif 10 heures d’affilée.

Accordez­vous du temps entre les tâches.


• Et prévoyez toujours plus de temps que ce dont vous pensez avoir besoin.

"Wow, cela me semble trop de planification."

Aucun problème. Planifiez moins. Il y a toujours un contre­mouvement pour tout. Des gens qui font
exactement le contraire et prônent un mode de vie anti­productivité. Vous savez, les gens qui prétendent
avoir des calendriers vides ne se soucient de rien dans la vie.

Des gens qui prétendent qu’ils « s’amusent » toujours. Ils aiment suivre le courant et rêver. Tu sais ce que ça

me rappelle ? Ces enfants à l'école qui disaient toujours : « Ah mec, je n'ai pas eu le temps d'étudier pour
ce cours », mais qui finissaient toujours par obtenir des A. Les gens veulent juste vous faire croire qu’ils
ne travaillent pas dur. C'est une façade.
Et quand ils réussissent bien dans la vie, il semble que cela soit facile.

Pour autant que je sache, il est difficile de réaliser des choses significatives. Je ne pense pas qu'il y ait quelque chose de cool

de prétendre que c'est facile. Je ne crois pas non plus que ce soit cool de travailler jusqu'à la mort.

Je pense souvent à cette question : êtes­vous un amateur ou un pro ?

C'est la célèbre analogie de Steven Pressfield, tirée de son livre The War Of Art, pour faire avancer le travail.
L'amateur ne travaille que lorsque l'inspiration le frappe. Le pro s’assoit tous les jours et travaille
régulièrement. La clé est stable. Pas irrégulier ou extrême.
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J'ai arrêté de m'entraîner quotidiennement. Voici ce


qui s'est passé.

Depuis trois ans, je me fixe un objectif annuel pour ma vie. En 2014, je souhaitais travailler à l'étranger et voyager autant

que possible. En 2015, j'ai voulu lire plus de 100

livres en un an. Et en 2016, je voulais m'entraîner tous les jours de l'année.

J'ai fait ces choses. J'aime définir un objectif annuel car cela vous donne une idée claire de ce que vous voulez faire

de votre temps. Vous serez surpris de ce que vous pouvez faire en un an si vous y réfléchissez.

Cette année, mon objectif est d'écrire plus de livres (même si ça ne se passe pas très bien, j'y travaille toujours).

Mais en même temps, je ne veux pas non plus arrêter de lire et de travailler
dehors.

Cependant, c’est parfois plus compliqué qu’il n’y paraît. En janvier de cette année, j'ai attrapé la grippe. Et lorsque je

suis revenu dans notre entreprise familiale, j’ai sous­estimé la quantité de travail qu’il me restait à rattraper. Je voulais

également continuer à créer du nouveau contenu pour mon blog et mes cours en ligne. Je me suis dit : « Je ne peux pas

tout faire, alors je vais réduire mes exercices quotidiens. »

GROSSE ERREUR

Voici ce qui s'est passé.

• Au lieu de faire de l'exercice quotidiennement, j'allais au gymnase 2 à 3 fois par semaine. Et je courais une fois

par semaine. (c'était fin janvier)

• Durant les premières semaines, tout allait bien et je me sentais bien. J'étais également productif.

• Mais fin février, cela a changé. J'ai commencé à me sentir fatigué à la fin du

jour. Quelque chose qui ne m'arrive jamais.

• J'ai aussi commencé à écrire moins. J'avais une grande réserve d'articles, j'ai donc publié 2 articles par
semaine.

• En mars, ma productivité était faible. Heureusement, je m'en tiens toujours à mon

système de productivité. J'ai réussi à effectuer le minimum de travail nécessaire. Mais j'ai arrêté de

créer.

• J'ai commencé à regarder Netflix le soir. J'ai même regardé un épisode d'une émission de télévision

appelé 12 singes. C'était de la merde totale. Je préfère de loin lire un livre avant de me coucher.pe
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• J'étais donc frustré d'avoir perdu mon temps.

• Et quand je suis frustré, je commence à tenir un journal et à réfléchir davantage.


• J'ai regardé mes habitudes. Et j’ai remarqué que je me sentais fatigué et que je faisais moins de travail.

• Pourquoi ? La réponse était : EXERCICE.


• En fait, un manque.
• En avril, j'ai de nouveau changé d'orientation : me remettre en forme.

C'est donc ce que je fais maintenant. Et si vous souhaitez vous aussi vous mettre en forme, il est important de

comprendre ce que vous visez. Par exemple, je mesure 6 pouces 3 pouces et je pèse 181 livres. Mais cela ne veut rien

dire. Les mesures les plus courantes comme l’IMC sont plutôt inutiles car elles ne disent rien sur votre force. Pour être honnête,

je ne me soucie pas des mesures ni même de mon pourcentage exact de graisse. Au lieu de cela, je regarde ma forme physique

et son impact sur ma vie quotidienne. Quand je suis en forme, je peux :

• Courez 10 km sans vous arrêter pour vous reposer.

• Soulevé de terre, accroupi et développé couché mon poids corporel au moins 8 fois.

• Et faites au moins 12 tractions.

C'est basé sur quoi ? Mon corps et mon expérience. En fitness, il n’y a pas de règle générale. Vous devez trouver votre propre

objectif. Pour moi, une personne devrait être capable au moins de soulever ou de pousser autant que son poids corporel. Cela

vous aide à fonctionner correctement dans la vie quotidienne. Lorsque vous êtes en forme, vous aurez plus d’énergie et de

concentration.

Vous voulez trouver votre objectif de remise en forme ?

Lisez des livres sur le fitness et la santé, regardez des vidéos YouTube, parlez à des experts, puis créez un programme qui

est fait pour vous, pas pour un bodybuilder de 21 ans. De plus, vous n’êtes pas obligé de soulever des poids. Trouvez quelque

chose que vous aimez et qui vous met au défi physiquement en même temps.

La froide réalité est que si vous n’utilisez pas votre force et votre endurance, vous les perdez. Mais cela ne veut pas dire qu’il

faut le négliger. La même analogie que Zig Ziglar a utilisée autrefois pour souligner l’importance de la motivation s’applique ici :

« On dit souvent que la motivation ne dure pas. Eh bien, le bain non plus – c’est pourquoi nous le recommandons quotidiennement.

Donc, si vous ne vous entraînez pas tous les jours, vous ne vous rendez pas service. La qualité de vie diminue lorsque vous

arrêtez de vous entraîner. Et arrêtez de chercher des solutions miracles pour vous sentir mieux. Je sais, ce n'est pas un

conseil que la plupart d'entre nous aiment entendre. Faire de l’exercice est difficile. Mais c'est là tout l'intérêt ! La solution la

plus simple pour une bonne vie est à votre disposition : votre corps. Le négligez­vous ou le renforcez­vous ?
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Si vous voulez être plus productif, selon la recherche


Tu as besoin d'une pause

Passez­vous la majorité de votre journée à votre bureau ? Et vous avez du mal à vous concentrer

tout au long de la journée ? Il existe une solution simple pour améliorer votre productivité et votre concentration.

« Comment puis­je accomplir plus de choses sans être distrait ? »

C'est une question que l'on me pose souvent. C'est dans la nature humaine : nous voulons toujours améliorer

notre rendement. Pour les machines, c'est simple : vous améliorez la vitesse. Les machines deviennent chaque

jour plus rapides et meilleures. Mais qu’en est­il de votre productivité personnelle ? J'ai lu des

dizaines de livres sur la productivité. J'ai lu d'innombrables articles sur la gestion du temps. Et j'ai testé

différentes méthodes pour augmenter ma productivité.

L’idée est simple : je veux faire plus dans le même laps de temps. Je ne recherche pas de raccourcis ou de

hacks, je dois donc faire moins de travail. Cela ne me dérange pas de travailler. Ce que je n'aime pas , c'est le

sentiment de perdre du temps sur des choses qui n'ont aucun sens. Parfois, je commence par regarder une

vidéo YouTube, et BOUM, 2 heures se sont écoulées.

Et puis je suis frustré par YouTube. Mais cela n'a pas de sens. C'est comme se mettre en colère contre

l'alcool après avoir passé une nuit à boire de l'alcool. Ce n'est pas l'alcool, c'est VOUS. Vous ne pouviez tout

simplement pas prendre un verre ou regarder une seule vidéo. Tu ne pourrais pas ?

J'ai trouvé un moyen d'éliminer cette frustration liée aux distractions du travail (pas à l'alcool), ce qui

rend le travail beaucoup plus amusant et moins stressant.

La solution est simple : faites une pause de 5 minutes toutes les 30 minutes de travail.

On l'appelle aussi la technique Pomodoro. La raison pour laquelle cette méthode fonctionne est également

simple : la biologie évolutive. Le cerveau humain ne peut pas se concentrer sur une seule tâche pendant de

longues périodes. Notre cerveau est censé assurer notre survie. Pour nous protéger des menaces imminentes,

le cerveau est en état d’alerte constant. Il est donc difficile pour votre cerveau de se concentrer longtemps sur
une chose.

Les recherches d'Alejandro Lleras, de l'Université de l'Illinois, ont montré que désactiver et réactiver le travail

nous permet de rester concentrés. Lorsque vous effectuez des tâches longues, comme réviser pour des

examens, faire des présentations ou rédiger des rapports, il est préférable de prendre des pauses courtes

et planifiées.

Prendre des pauses augmentera également la qualité de votre travail.


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Lorsque vous faites une pause, vous vous forcez à prendre quelques secondes pour réévaluer.

Parfois, vous constatez que vous devez ajuster votre travail pour augmenter la qualité.

En revanche, lorsque vous travaillez sur une tâche sans interruption, il est facile de perdre votre concentration et de vous perdre

dans le travail. C'est pourquoi les pauses de 5 minutes sont aussi importantes que les 30 minutes de travail. Prenez vos pauses

au sérieux – considérez­les comme une récompense.

Profitez de votre pause pour marcher un peu, faire des étirements, prendre une tasse de café ou faire quelque chose qui

vous détend. Soyez satisfait du travail que vous avez accompli. Je travaille depuis 30­

intervalles d'une minute pendant plus d'un an. Je n'ai jamais fait autant de travail. Je le trouve aussi plus

amusant et moins stressant de travailler.

J'ai expérimenté différents intervalles de temps (25, 30 et 40 minutes), des pauses, et 45 minutes est à peu près le maximum.

Certaines recherches montrent qu'il est contre­productif de se concentrer pendant de longues périodes. Vous pouvez ainsi

expérimenter la durée pendant laquelle vous préférez travailler avant de faire une pause.

Si vous souhaitez essayer cette méthode, voici quelques autres éléments qui peuvent vous aider :

• Utilisez une application pour définir l'intervalle de 30 minutes. J'utilise Tomighty.

• Attribuez une seule tâche à chaque intervalle de 30 minutes.

• Ne sautez pas vos pauses.

• Ne vérifiez pas votre courrier électronique pendant votre pause.


• Faites une pause de 15 minutes après 4 intervalles.

• N'acceptez pas les interruptions ou les fausses urgences lorsque vous êtes dans une émission de 30 minutes.

extensible.

• Fixez­vous un objectif quotidien. Par exemple; faire 10 intervalles de 30 minutes donne 300

minutes de travail productif.

Avec tout ce bruit, il est facile d'oublier l'importance de faire des pauses. Vous n'avez pas besoin de lire un autre article sur la

productivité. Au lieu de cela, faites une pause. Parfois, nous nous perdons dans les listes et les hacks de productivité. La

vérité est que peu importe ce que vous faites pour améliorer votre productivité, vous devez quand même faire le travail. Alors

autant profiter de ces pauses de 5 minutes pour se ressourcer.


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Partie III : Réaliser davantage

"Un homme qui poursuit deux lapins n'attrape aucun des deux."

­ Proverbe chinois
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Vous ne savez pas ce que vous voulez ? Améliorez ces 7


Compétences universelles

À quoi ressemble le succès ? Qu’attends­tu de la vie ? Quelle carrière veux­tu ?


La plupart d'entre nous répondent « Je ne sais pas ». Et tu sais quoi? Il n'y a rien de mal à cela.
Et pourtant, nous pensons que c'est la pire chose au monde si tu ne sais pas ce que tu veux faire
dans la vie.

Nous disons : « OMG ! Je ne sais pas ce que je veux ! Et puis nous avons une véritable crise de panique.

Soyez honnête, cela nous arrive à tous. Surtout quand vous voyez que votre ancien ami d'université vient
de se marier. Ou que votre collègue, qui a commencé en même temps que vous, vient d'être promu.

C'est dans ces moments de faiblesse que nous braquons les projecteurs sur notre propre incertitude face
à la vie. L’une des plus grandes erreurs de réflexion que j’ai commises était de penser que j’avais besoin de
savoir ce que je voulais exactement faire de ma vie. La vérité est que personne ne sait ce qu’il veut vraiment.

Acceptez l'incertitude

Vous pourriez être tué par une vache demain (c'est vraiment arrivé). Vous pourriez perdre la moitié de votre
argent en bourse. Votre propriété pourrait prendre feu. Je n'ai pas besoin de vous dire toutes ces choses.
Mais nous devons réaliser que nous n’avons pas les réponses à la plupart des choses dans la vie.
Resterez­vous en bonne santé ? La bourse va­t­elle s’effondrer ? Votre entreprise continuera­t­elle à
prospérer ? PERSONNE NE SAIT! C'est la beauté de la vie. Eleanor Roosevelt l'a mieux dit :

« Si la vie était prévisible, elle cesserait d’être la vie et serait sans saveur. »

Certaines personnes me demandent : « Pourquoi lis­tu autant de livres ? Il est impossible d’appliquer tout
ce que vous apprenez. Ils ont raison. Je ne peux pas. Pourquoi est­ce que je lis encore sur toutes sortes
de sujets différents ?

Il viendra peut­être un moment dans ma vie où j’aurai besoin d’une connaissance particulière.
Et le moment où j’en aurai besoin pourrait bien changer le résultat de ma vie. Je vais vous donner un
exemple. En 2015, après que mes amis et mentors m'ont dit que je devrais partager mes idées sur la

productivité, la vie et les affaires avec d'autres, j'ai sérieusement commencé à réfléchir à le faire.
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Mais il existe de nombreuses façons de partager vos connaissances avec les autres. Vous pouvez donner des formations à

des groupes et animer des séminaires. Vous pouvez coacher les gens individuellement. Vous pouvez créer des vidéos pour YouTube.

Vous pouvez donner des conférences lors de conférences. Les possibilités sont infinies. Mais parce que j'ai toujours eu un intérêt pour

l'écriture et que j'avais beaucoup lu sur le sujet dans le passé, j'ai réalisé que je devais commencer par des idées écrites. C'était pour

moi le moyen le plus simple d'obtenir

commencé.

J'avais également tout appris sur la création de sites Web dans le passé. C’était donc très facile pour moi de démarrer avec tout

cela. En fait, j'ai créé un site Web en une journée. Et j'ai commencé à écrire tous les jours pendant un mois. Le résultat? Un livre

et un tas d'articles.

Connaissez votre direction. Pas votre destination.

Quand j'ai entendu parler de l'écriture et de la création de sites Web il y a des années, je ne savais pas que j'utiliserais ces

connaissances pour créer mon propre blog.

Pour être honnête, je ne savais pas ce que je voulais. Je savais seulement dans quelle direction je voulais aller.

Je savais que je voulais apporter ma contribution et faire un travail qui me plaisait.

Il n’est donc pas important de savoir exactement ce que vous voulez faire de votre vie. Les gens changent.

Les économies changent. Il n’est donc même pas réaliste d’affirmer hardiment « Je sais ce que je veux ! » La seule chose dont

chaque personne a besoin est un sens de l’orientation. Une vision de l'endroit où vous aimeriez aller.

Écoutez, vous n'avez pas besoin de connaître votre destination exacte. Vous entendez souvent parler de gens qui disent avoir

toujours su ce qu’ils voulaient. Mais cela ne représente qu'une petite partie de la population. Personnellement, je n'ai

jamais rencontré quelqu'un comme ça. La plupart d’entre nous n’ont pas cette conviction dès le premier jour. Cela grandit avec

le temps.

Si vous ne pouvez pas décider dans quelle direction vous voulez aller dans la vie, c'est automatiquement votre objectif n°1 dans

la vie : déterminer où vous voulez aller. C'est ce que Jay Abraham recommande également dans Getting Everything You

Can Out of All You've Got (qui est l'un de mes livres d'affaires préférés de tous les temps) :

« Votre première priorité est d'identifier ce que vous voulez, puis de vous assurer de suivre le chemin qui vous y mènera. Il n’y

a rien de plus triste que de voir quelqu’un avoir soixante­quinze ou quatre­vingts ans et regarder en arrière avec regret parce qu’il s’est

trompé de cible.»

Vous voyez qu'il ne dit pas que vous devez savoir exactement ce que vous voulez ? Ce ne serait pas réaliste. Au lieu de cela, nous

devons savoir où nous allons à peu près. Je sais, cela reste intangible. Mais c’est la seule réponse utile que j’ai trouvée dans

la vie.
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Travailler sur les compétences universelles

Pendant que vous réfléchissez à tout, ne perdez pas votre temps à regarder la télévision, à boire de l'alcool ou à manger

de la malbouffe. Passez votre temps utilement.

Apprenez des compétences sur lesquelles vous pouvez toujours compter. Besoin d'inspiration ? Voici quelques compétences sur

lesquelles je travaille constamment :

1. Autodiscipline : Apprenez à ignorer la voix négative dans votre tête. Sors de

ton lit. Aller à la gym. N'écoutez pas « Je ne veux pas ».

2. Efficacité personnelle : Apprenez à maximiser les résultats que vous pouvez obtenir pendant

les 16 à 18 heures où vous êtes éveillé. Faites­en plus, efficacement.

3. Communication : Nous pensons que nous sommes tous des maîtres en communication. Mais la vérité est que

nous sommes nuls. La communication est à la fois un art et une science. Et notre capacité à travailler avec les

autres en dépend.

4. Négociation : Vous négociez tout le temps. Avec votre conjoint, vos enfants, vos parents,

enseignants, amis, collègues, gestionnaires, etc. Apprenez à obtenir la meilleure offre pour toutes les parties.

5. Persuasion : Apprenez à obtenir ce que vous voulez de manière éthique.

6. Force physique et endurance : devenir plus fort est une compétence. Tirez votre propre poids.

C'est quelque chose que tout être humain devrait être capable de faire.

7. Flexibilité : Rester assis toute la journée derrière votre ordinateur ou dans votre voiture vous transforme en un être

raide. Apprenez à étirer vos hanches, le bas de votre dos, vos ischio­jambiers et vos mollets – les points faibles les

plus courants des employés de bureau.

C'est suffisant pour vous occuper toute une vie si vous voulez bien le faire. Choisissez une compétence qui vous passionne.

Améliorez­vous. Ensuite, choisissez­en un autre. Et continuez à répéter ce processus.

Bientôt, vous saurez ce que vous voulez. Et si vous ne le faites pas, ce n’est pas la fin du monde.

Il y a encore beaucoup à apprendre.


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Quittez le bureau à l'heure et ne prenez pas votre


Travail à la maison

Ces deux leçons s’appliquent à toute personne qui souhaite une carrière longue, heureuse et satisfaisante. Mais il

est très difficile de mettre ce conseil en pratique. Il m’a fallu les six premières années de ma carrière pour comprendre

cela. Et je dois encore me rappeler que la vie est plus grande que
travail.

Presque partout où j'ai travaillé dans le passé, il existait une culture selon laquelle « la perception est

la réalité » . Cela signifie que l’apparence est plus importante que la réalité. En d’autres termes : la personne qui reste

au bureau le plus longtemps semble être la travailleuse la plus acharnée. Maintenant, cela peut
Sois sincère.

Mais ce n'est pas ce qui compte. Nous savons tous que seules les résultats comptent.

Cependant, nous insistons collectivement sur l’examen des facteurs de vanité tels que la participation à

des réunions, les heures passées au bureau et la rapidité avec laquelle les gens répondent aux e­mails.

C'est pathétique. Dans notre entreprise familiale, nous encourageons tout le monde à partir une fois la journée terminée.

Nous avons appris que se concentrer sur les priorités est un bien meilleur indicateur que de se contenter de regarder

les heures de travail d'une personne.

Et pourtant, les gens trouvent inconfortable de dire : « J’ai terminé mes principales priorités, je rentre chez moi. » Je

comprends. Lorsque vous travaillez en groupe, vous ne voulez pas que les autres se sentent mal ou que les choses

soient injustes. Mais réfléchissez d’abord à la raison pour laquelle vous travaillez. Vous êtes là pour contribuer. À

votre propre entreprise ou à l’entreprise pour laquelle vous travaillez.

Travailler trop longtemps est improductif

Maintenant, je suis sûr que les gens aiment être en votre présence 10 heures par jour, mais cela ne signifie pas

que vous devez rester si longtemps que vous devenez improductif. Parce que c’est l’une des principales raisons

pour lesquelles nous avons arrêté de travailler aux journées normales de 9 ou 10 heures. C'est inutile.

De nombreuses recherches prouvent que travailler de longues heures est contre­productif.

Travailler trop et le stress qui en découle peuvent entraîner une dépression, des problèmes de sommeil, des

troubles de la mémoire et même des maladies cardiaques. Vous avez eu l'idée. C'est pourquoi ma première règle
de travail est la suivante :
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Partir à l'heure

L'autre jour, je parlais à mon mentor de combien il est formidable d'aimer son travail. Il a déclaré : « Je n'ai jamais eu

un travail de ma vie que je n'aimais pas. C'est l'une des choses les plus gratifiantes de la vie.

Mais comme ma mère le dit toujours, « trop de bonnes choses deviennent mauvaises ». Je crois que c'est la même

chose avec le travail. Maintenant, je ne parle pas d'intensité.

Ne vous méprenez pas ; Je travaille comme un fou. Je l'ai toujours fait. Mais ne continuez pas trop longtemps.

L’art de travailler dur, c’est de savoir quand arrêter. Mais comme mon mentor me l'a dit, c'est très difficile : «

Mon plus gros problème était que je travaillais trop. J'ai quitté la maison à 7 heures du matin et je suis revenu à 23
heures. C'est trop."

Vous devez vous protéger contre trop de travail. Et c'est simple. Quittez simplement le bureau à l'heure. Que vous

aimiez ou non votre travail, cela n'a pas d'importance. Quand il est temps de rentrer à la maison, GO !

Personne n'a besoin que vous soyez au bureau 24h/24 et 7j/7. Seul votre ego le fait. Honnêtement, le bureau sera là

demain. Vos collègues seront toujours en vie. Votre entreprise ne fera pas faillite.

Le travail consiste à obtenir des résultats. Si vous n’y parvenez pas en 6 à 8 heures par jour, vous n’êtes pas

efficace. Ainsi, au lieu de faire des heures supplémentaires, lisez un livre sur l’efficacité personnelle ou suivez une

formation sur la productivité.

Laissez votre travail au travail

Mais ne rentrez pas chez vous et n'apportez pas votre travail avec vous. Cela va à l’encontre de l’objectif même.

Personne ne trouve ça cool de conclure des affaires au téléphone au dîner. Vous ne vous rendez pas non plus

service en pensant continuellement au travail lorsque vous êtes à la maison.

Détendez­vous un peu. Jouez à Call of Duty. Préparez le dîner pour votre conjoint. Emmenez les enfants faire une promenade.

Peu importe. Écoutez, vivre une vie heureuse est très simple. Tout est sous notre contrôle. Nous pouvons

décider de ce qui nous rend heureux. J'ai imprimé cette citation de Marc Aurèle sur mon journal pour
rappelle­moi ça :

« Il en faut très peu pour mener une vie heureuse ; tout est en vous, dans votre façon de penser.

Nous savons tous que l’argent, le succès, la renommée ou la reconnaissance, à eux seuls, ne nous rendent pas

heureux. Et pourtant, nous travaillons trop pour obtenir des choses qui ne nous rendent même pas heureux au départ.
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Alors pourquoi continuons­nous à travailler trop au point que cela nous fasse du mal ? Cela pourrait être notre ego. Peut­être que nous ne

pouvons tout simplement pas nous en empêcher. C'est différent pour chaque personne. Personnellement, je m'en fiche de la raison.

Tout ce que je sais, c'est que trop de travail a un impact négatif sur la qualité de vie et de travail.

Ce qui compte, c'est que nous nous protégions de notre propre bêtise. Nous sommes comme des enfants.

Nous avons besoin de règles pour vivre heureux et en sécurité.

C'est pourquoi la première règle du travail est de quitter le bureau à l'heure. La deuxième règle est que nous ne rapportons pas notre

travail à la maison. Et la troisième règle ? Ne nous en inquiétons pas pour l'instant. Nous y reviendrons une autre fois. Il est temps

pour moi de rentrer à la maison.


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La cohérence est la clé : améliorez­vous de 0,1 % chaque jour

Est­ce qu'il vous arrive de vous inquiéter de choses que vous ne contrôlez pas ? Si vous le faites, rejoignez le club. Cela nous
arrive à tous.

Mais s’inquiéter est une perte de temps et d’énergie. Imaginez la situation suivante : Vous faites une erreur au travail

qui dérange un client. Peut­être que vous envoyez un mauvais e­mail à quelqu'un. Peut­être que vous oubliez de

résoudre un problème. Peu importe ce que c'est. Imaginez que quelque chose ne va vraiment pas au travail.

Que faites­vous lorsque vous le découvrez ? Êtes­vous stressé? Se sentir mal à l'aise? Vous blâmer ? Blâmer

les autres ? Vous pensez que c'est la fin de votre carrière ? Lorsque les choses tournent mal, nous devenons

notre pire ennemi parce que nous nous concentrons sur des choses que nous ne contrôlons pas.

C'est une chose de lire sur ces choses. C'est une autre chose de le mettre réellement en pratique.

Parce que quand la merde frappe le ventilateur, il est naturel de paniquer. Au lieu de réfléchir, prenez du recul et

concentrez­vous sur ce qui est sous votre contrôle. Que contrôlez­vous ? Essentiellement, nous contrôlons
uniquement nos propres actions et notre état d’esprit.

Nous déterminons notre :

• Désir

• Attitude

• Jugements
• Détermination

C'est à peu près ça. Pour le reste, nous n'avons aucun contrôle. Cela n’a donc aucun sens de s’inquiéter de

choses qui ne figurent pas sur cette liste.

C'est un exercice de philosophie stoïcienne. Quelque chose qui existe depuis des siècles. Et le meilleur, c’est

que vous pouvez immédiatement appliquer cela à votre vie. La prochaine fois que vous vous surprendrez à vous

inquiéter d’une situation, concentrez­vous sur les choses que vous contrôlez. Ce qui compte, c'est que nous

fassions ce qu'il faut, car c'est tout ce que nous pouvons faire. Nous ne contrôlons pas les résultats. Est­ce que tu vois?

1. Vous avez fait une erreur ? Corrige le.

2. Quelque chose ne va pas ? Trouver une solution.

De plus, ne soyez jamais surpris lorsque de mauvaises choses surviennent. Mais attendez­vous plutôt à ce qu’ils se

produisent. De cette façon, vous ne serez jamais pris au dépourvu.


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De même, lorsque vous êtes frappé par la malchance, ne vous plaignez pas et ne dites pas des choses comme : « pourquoi ?

moi!?"

Au lieu de cela, acceptez­le, puis concentrez votre énergie sur la recherche d’une solution. Gardez toujours

un état d’esprit positif.

Pourquoi cet exercice améliore la productivité.

On me demande souvent : « qu'est­ce que la philosophie a à voir avec la productivité ? » Eh bien, si vous voulez

être productif, le plus important est la cohérence.

La productivité ne se résume pas à des moments eurêka, à votre grande pause, à passer des nuits blanches

ou à boire du Red Bull toute la journée. Si vous voulez réaliser des choses dans votre vie, il s’agit de viser des

progrès quotidiens. Vous voulez faire de l’exercice, lire, travailler, apprendre, étudier chaque jour.

L'incohérence est l'ennemie des résultats.

Et c'est pourquoi je pratique la philosophie stoïcienne et pragmatique pour améliorer ma force mentale.

C'est également une partie importante de mon système de productivité personnelle, Procrastinate Zero.

Je ne veux pas de hauts et de bas parce que cela nuit à la productivité. Au lieu de cela, je veux progresser de 0,1%

chaque jour de l’année. Et c'est un objectif très réaliste. Essayez­le et peut­être que cela changera votre vie

aussi.
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Qui a dit que tu devais sortir de ton


Zone de confort?

J'adore ma zone de confort. Pour moi, c'est là que la vraie magie opère. Dans ma zone de confort, j'ai ma famille, mes amis,

mon travail, ma musique, mes livres, mes films, mon vélo, ma salle de sport, mon parc ; vous le nommez.

Tout ce que j'aime. Et depuis ce lieu de sécurité, je suis plus ouvert à essayer de nouvelles choses et à prendre des risques.

Je n'ai jamais cru à l'idée de ce petit dessin stupide. Vous savez de quoi je parle, n'est­ce pas ?

• « Votre zone de confort. » Un petit cercle.

• « Là où la magie opère. » Un grand cercle qui représente la promesse du succès.

Comme si la « magie » ne se produisait que lorsque vous sortiez de votre zone de confort ; c'est ridicule.

Et pendant que nous y sommes ; pourquoi faire comme si votre zone de confort était mauvaise ? C'est ce petit pathétique

cercle affiché contre le plus grand cercle « magique ».

Bien sûr, je veux avant tout me dépasser, essayer de nouvelles choses, avancer, grandir, etc.

Mais contrairement à de nombreuses personnes d’entraide populaires, je ne pense pas que la zone de confort soit une

mauvaise chose.

Traitez­moi de pessimiste. Appelez­moi stoïque. Mais plus que tout, je suis simplement une personne pratique.

Et en pratique, vous ne voulez même pas faire un grand pas hors de votre zone de confort. En fait, je crois au chemin lent vers

la « magie ».

Où est la magie dont les gens parlent ?

J'ai découvert que je fais de mon mieux lorsque je ne me soucie pas de l'argent, de trouver de nouveaux amis, de me

familiariser avec un nouvel environnement et de tout ce qui est lié au fait de toujours bouger.

Mais ne vous méprenez pas. Je ne dis pas que je préfère rester sur place. La stagnation est pour moi une

condamnation à mort. Je crois qu'il y a différentes phases de la vie. Parfois, vous y allez doucement, travaillez vos

compétences, votre caractère – vous investissez en vous­même. Et parfois, vous allez là­bas et tentez votre chance. La vie

est trop courte pour être une mauviette.

Mais ces deux choses sont liées. Si vous ne travaillez pas sur vous­même, et si vous manquez de confiance en vous, vous

ne prendrez jamais de risque. Pendant des années, j'ai voulu faire ce que je fais maintenant.

Mais au lieu de sortir de ma zone de confort (ce qui faisait peur), j’ai lentement relevé de nouveaux et plus grands défis.
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Tout d’abord, j’ai obtenu deux diplômes en commerce. Ensuite, j'ai démarré une entreprise avec mon père.

C'était en 2010. Et après deux ans de travail sur cette entreprise six ou sept jours par semaine, j'ai commencé à

travailler en marketing indépendant. Encore une fois, après quelques années de travail indépendant et de création (et

d'échec) d'autres entreprises par moi­même, j'ai accepté un emploi dans un cabinet de conseil en recherche parce que je

voulais savoir ce que signifie travailler pour une grande entreprise.

Et après avoir fait cela pendant un an et demi, j'ai finalement décidé d'écrire et de parler de productivité, de

carrière et d'entrepreneuriat sur Internet. À cette époque, je faisais les choses sur lesquelles j'écris depuis plus de 10

ans. Et pourtant, je n'ai pas toutes les réponses, je


partager les choses que j'ai apprises.

Il serait donc ridicule de me joindre à ceux qui crient : « Si vous voulez réussir, il vous suffit de sortir de

votre zone de confort. MAINTENANT!" Eh bien, êtes­vous déjà sorti de votre zone de confort ? Même un petit peu

compte. Et qu'as­tu trouvé ? Un lutin avec un sac d'argent ?

Ça n'arrivera pas.

Cette merde de zone de confort n’est qu’une histoire. Cela peut motiver certaines personnes, mais vous n’êtes pas

obligé d’y croire si vous ne le souhaitez pas. C'est comme quand les gens prétendent qu'il faut se lever tôt si l'on

veut réussir. Dit qui? Je crois ceci : si vous sortez de votre


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zone de confort, il n'y a que du travail qui vous attend. Ce n'est pas du tout chic. Il n'y a aucune magie impliquée. Juste

du sang, de la sueur et des larmes.

Progressez depuis un lieu de confort

Je pense que la plupart des gens qui lisent ce type d’articles veulent réaliser quelque chose.

Peut­être souhaitez­vous quitter votre emploi, démarrer une entreprise, développer votre entreprise, devenir artiste, publier

un livre, peu importe.

Et vous savez probablement aussi que ce n’est pas facile. Alors pourquoi vous rendez­vous les choses encore plus

difficiles en faisant des conneries qui vous mettent très mal à l'aise ? Commencez plutôt par le bas. Construisez une

base solide. Installez­vous confortablement avant de faire des choses effrayantes.

« À quoi ressemble cette fondation ?

Si vous voulez vivre sans stress, vous avez besoin de suffisamment d’argent sur votre compte d’épargne pour pouvoir

vivre et manger pendant six mois au cas où les choses tourneraient mal – considérez­le comme un système de sécurité.

Encore une fois, c'est mon esprit pratique qui parle pour moi. Faites quelques calculs et déterminez quel est ce nombre pour

vous. Et ne pensez même pas à prendre un risque avant d’avoir cet argent sur votre compte d’épargne.

Développez également un ensemble de compétences qui valent quelque chose. L’une des raisons pour lesquelles

je ne me soucie pas de l’argent est que j’ai confiance en ma capacité à trouver du travail. Même si je fais faillite demain,

je trouverai un moyen de trouver du travail le lendemain. J'ai investi des années et des centaines de milliers de dollars

dans mon éducation. La question est : quelle est votre compétence ? Comment pouvez­vous ajouter de la valeur au

monde ? Quels problèmes pouvez­vous résoudre ? Autres choses qui complètent votre fondation :

1. Famille. Si vous n'avez pas de famille, créez­en une.

2. Amis. On ne peut pas être ami avec tout le monde. Tenez­vous­en à quelques personnes qui restent également

pour vous.

3. Vous­même. Améliorez consciemment votre corps et votre esprit. Couchez­vous chaque soir un peu plus fort et

plus sage.

Enfin, n'essayez pas d'être quelque chose que vous n'êtes pas. Si vous êtes introverti, ne prétendez pas que vous pouvez

travailler dans une chaufferie. Si vous êtes extraverti, ne prétendez pas que vous pouvez travailler seul.

Restez près de vous­même : cela ne sert à rien de vous pousser à ce point que votre vie
devient misérable.
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En fin de compte, nous avons tous besoin de réconfort : c’est l’un de nos besoins fondamentaux en tant qu’êtres humains.

Mais nous avons aussi besoin de croissance. Alors quoi que vous fassiez, ne restez pas trop longtemps dans votre

zone de confort. Essayez d'avancer chaque jour : même si ce n'est qu'un tout petit pas. Pas de magie. Juste un effort.
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Si vous pouvez y croire, vous pouvez y parvenir

Je sais ce que tu penses. « Ce type a probablement lu une citation de motivation sur les réseaux sociaux, et

maintenant il nous dit que rien n'est impossible. Oui en effet." Je pense que le monde ne manque pas d’articles, de

livres, de vidéos ou de publications Facebook de motivation. Vous n'avez pas besoin d'une plus grande dose

de #mondaymotivation. Tu sais pourquoi? Ce type de motivation n’est pas pratique. Cela ne fait rien. Ce n'est

pas utile. C'est la même chose que de boire du Red Bull. Cela s'estompe rapidement.

La croyance, en revanche, est un outil extrêmement utile. Et c’est sous­utilisé par beaucoup. Le problème est

que la plupart d’entre nous manquent de croyance. Et quand je parle de croyance, j’en parle d’un point de vue

pratique. Je ne parle pas d'espoir ou de foi. Je ne crois pas que vous puissiez « espérer » le meilleur, vous asseoir

et attendre que de bonnes choses vous arrivent. L'espoir n'est pas une stratégie pour la vie. Je préfère regarder les

faits et tirer des conclusions comme un pragmatique.

Qu'on le veuille ou non, mais tout ce qui flotte dans votre tête est là parce que vous le croyez.

• « La vie est nulle. »

• « Je ne suis pas bon dans mon travail. »

• «Je ne pourrai jamais trouver le travail de mes rêves.»

• « Personne ne m'aime. »

"Je ne réussirai jamais."



Voir? Tout est là parce que vous croyez à ces choses. William James, l'une des principales figures associées au

pragmatisme, l'a mieux exprimé :

"La croyance aidera à créer le fait."

La croyance est un instrument pratique que vous pouvez utiliser pour façonner la réalité.

Avez­vous déjà pensé que vous décidiez de ce que vous croyez ? Pas vos amis, collègues, famille ou

même les médias. Vous observez les choses, puis décidez de ce que vous croyez. C'est pourquoi la croyance

crée des faits. Non, la vie n'est pas une chanson de R. Kelly. Vous ne pouvez pas voler, peu importe à quel point

vous y croyez. Un pragmatique garde toujours les choses réelles.

• Vous ne deviendrez jamais un leader respectable sans vous mettre au travail.

• Votre vie ne changera jamais si vous n'agissez pas.

Mais ce n'est pas le sujet. Tu sais ça. Il n’y a pas de résultat sans action.
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Cela se résume à une chose : croyez­vous que vous pouvez ou ne pouvez pas vivre la vie que vous souhaitez ?

C'est aussi simple que ça. Mais c'est quelque chose auquel il faut vraiment croire. C'est une chose de dire

que l'on croit quelque chose. C'est une toute autre chose de croire réellement. Permettez­moi de souligner cela

en partageant une histoire personnelle. Pendant la majeure partie de ma vie, j'ai vécu dans la peur. Tout a

commencé à l'école. Les gens m'ont dit :

"Si vous n'obtenez pas de bonnes notes, vous ne serez pas accepté dans une bonne université, et sans un bon

diplôme, vous n'obtiendrez jamais de travail et vous deviendrez un clochard qui mourra seul."

Après avoir entendu cela, mon cerveau de dix­sept ans est entré dans un véritable mode panique. J'ai

commencé à croire à cette histoire stupide.

Qui a envie de devenir un clochard et de mourir seul ?

C'est une métaphore du fait de ne pas croire en soi. Parce que d’une manière ou d’une autre, c’est toujours

l’alternative. Si vous faites quelque chose qui est inhabituel, ou peut­être un peu risqué, l'argument courant est

que vous devenez sans abri. Je rencontre beaucoup de gens qui disent avoir pris des décisions de vie

importantes basées sur la peur.

• Détestez­vous votre travail, mais avez­vous peur de chercher autre chose parce que vous pourriez perdre

votre maison ?

• Vous souhaitez quitter votre conjoint, mais avez­vous peur de mourir seul ?

• Est­ce que vous vous étudiez jusqu'à la mort parce que vous avez peur de ce que feront vos parents ?

dis quand tu as arrêté ?

• N'exposez­vous jamais votre travail au monde parce que vous avez peur que les gens le fassent

te jeter des pierres parce que tu es nul ?

Est­ce que cela arrivera vraiment ? Ou est­ce juste votre esprit qui bouge ? Probablement ce dernier. J'ai toujours

voulu devenir écrivain. De retour à l'école, j'écrivais des poèmes pour ma petite amie. C'était un peu pathétique,

mais bon, elle appréciait mes poèmes bizarres. Mais toutes blagues mises à part, j’adorais lire et j’aimais mettre

mes pensées sur papier.

Mais non, tous les adultes de ma vie essayaient de me faire mourir de peur. "On ne peut pas gagner sa vie en

tant qu'écrivain." Ils avaient probablement raison. Ce n'est pas facile de vivre de l'écriture.

Et alors? Tout ce qui en vaut la peine est difficile. Je ne m'en étais pas rendu compte à l'époque. J'ai donc

abandonné mon objectif. J'ai décidé de choisir la voie la plus sûre et de poursuivre des études en commerce.

Je ne regrette pas cette décision car j'ai appris beaucoup de choses utiles. Mais toute cette expérience a fait de

moi une créature effrayante. Parce qu’après toute cette frayeur à l’école, j’ai fini par arrêter de croire en

moi. J'ai arrêté d'écrire et de lire. Et c’est une pure perte de temps que j’aurais pu utiliser pour mettre en

pratique mes compétences.


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Vous pouvez tout réaliser (tant que vous y croyez).

Quelle est la chose en laquelle vous croyiez autrefois, mais que vous avez arrêté de croire à cause de la peur ? Je pense

que nous sommes tous passés par là. Si vous ne faites pas attention, vous y resterez toujours.

Pour moi, ce n’est qu’il y a deux ou trois ans que j’ai compris que la croyance est un instrument qui peut vous aider à

atteindre vos objectifs. D'une manière ou d'une autre, j'ai commencé à lire sur le pragmatisme

(qui est une façon de penser). Et cela a complètement changé ma façon de penser. J'ai réalisé que ne pas croire en soi ne

sert à rien. J’ai donc décidé de croire que je pouvais vivre la vie que je voulais.

Certes, je ne paie pas encore entièrement les factures en écrivant. Je dirige une entreprise et je fais du conseil.

Mais je gagne de l'argent avec mon blog. Et c'est plutôt bon à savoir pour ma version de dix­sept ans. Croire en

soi est très simple. Tu peux le faire aussi.

Comprenez simplement que la croyance est un instrument. Cette idée n’est pas nouvelle ou quoi que ce soit. Cela existe

depuis des centaines d'années. Les gens lui donnent simplement des noms différents.

Je me fiche de la façon dont vous l'appelez. Mais devinez ce qui s’est passé depuis que j’utilise la croyance comme

instrument ? La plupart des choses auxquelles je croyais sont désormais des faits. Et les autres choses, je crois, deviendront

un jour une réalité.

Comment en suis­je si sûr ? Parce que mon esprit peut le concevoir. Et si votre esprit peut le concevoir, vous pouvez y

parvenir. Ce n'est pas une citation de motivation. C'est un fait. Le crois­tu?


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Ne rivalisez pas. Créer!

Si vous pensez que vous devez rivaliser pour obtenir de meilleurs emplois ou une plus grande part de marché,

vous vous trompez autant que moi. L’idée de compétition est gravée dans nos esprits. Nous pensons que nous

devons rivaliser avec les autres pour obtenir les mêmes emplois. Si quelqu’un a un travail, cela signifie que

vous ne pouvez pas avoir le même travail. Et si une entreprise détient une certaine part de marché, cela signifie

que vous devez rivaliser avec cette entreprise pour « gagner » une partie de sa part.

C'est du moins ce que disent les conseils conventionnels. C'est aussi ce que j'ai appris en école de commerce.

Toute ma formation était basée sur la concurrence avec d’autres entreprises. Et presque tous les livres sur les

affaires que j’ai lus supposent également que les affaires sont synonymes de concurrence.

Ils ne pourraient pas avoir plus tort. Lorsque vous supposez que vous devez rivaliser avec d’autres entreprises

ou personnes pour obtenir de l’argent, des emplois ou de l’attention, vous êtes engagé dans une réflexion limitée.

Au lieu de cela, nous devons adopter une mentalité d’abondance. Wallace D. Wattles, l’un des premiers auteurs

célèbres du développement personnel, l’a bien dit :

« Vous vous débarrassez de la pensée de la compétition. Vous devez créer, et non rivaliser pour ce qui est

déjà créé. Vous n’êtes pas obligé de retirer quoi que ce soit à personne.

La plus grande erreur que commettent les penseurs commerciaux conventionnels est de croire que l’offre

est limitée. Mais ce n'est pas toujours le cas. Mais même si c’était le cas, il serait dangereux d’adopter cet état

d’esprit. Je pense que la plupart des gens, entrepreneurs et salariés, ont peur que quelqu’un d’autre les

devance.

Droite? Nous craignons de perdre nos clients, nos affaires, nos contrats, notre attention, et de perdre ainsi tout ce

pour quoi nous avons travaillé si dur. Mais c'est exactement le problème. La peur engendre la peur. Lorsque vous

avez peur de ne pas pouvoir grandir, que se passe­t­il ? Justement, tu ne grandiras pas !

La vie est abondante

Un rapide coup d’œil à l’histoire montre que l’humanité a toujours progressé. Bien sûr, nous avons connu des

périodes de guerre et de crise économique, mais nous nous sommes toujours rétablis et avons grandi. Ainsi,

lorsque vous vous attendez à ce que l’économie mondiale ne croisse pas, vous pariez en réalité contre l’humanité !

Je ne le crois pas. Les humains trouvent toujours un moyen de survivre et de prospérer. C'est simplement ce que

nous faisons.
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Vous devez croire que nous vivons dans un monde abondant. Il y a suffisamment d’opportunités et de richesses

pour tout le monde. Alors, ne vous permettez jamais de penser que vous n’y arriverez pas. A quoi ça sert ?

Si vous ne trouvez pas la bonne carrière, créez­en une

Vous savez, la vie n'est pas facile. Et il n’est pas non plus facile de trouver une carrière qui vous satisfasse

vraiment, tant mentalement que financièrement. Je sais que des millions de personnes sont confrontées à ce

défi. Mais je sais aussi que beaucoup de ces gens se limitent en pensant qu'ils ne peuvent pas créer un
carrière.

De la même manière que je pense que les entrepreneurs et les entreprises devraient créer des parts de marché, je

crois également que les individus devraient créer une carrière. J'ai récemment rencontré un « Chief Happiness

Officer » dans une entreprise non technologique, ce qui est assez inhabituel. J'ai fait quelques recherches et il

semble que Ronald McDonald ait été le premier à détenir le titre CHO en 2003. Après cela, les entreprises

technologiques ont commencé à adopter le titre. C'est très simple. Un CHO est responsable du bien­être et du

bonheur des employés. J'ai aussi lu que Tony Hsieh, PDG de Zappos, est un grand défenseur du bonheur des

employés.

Mais voici le problème : les entreprises traditionnelles pensent que ce sont des conneries. Au départ, l’entreprise

que j’ai mentionnée partageait cette idée. Et naturellement, ils n’avaient pas de poste de CHO.

Elle m'a dit qu'elle devait créer le poste. Dans le passé, les dirigeants pensaient que la seule raison pour laquelle

les gens travaillaient pour vous était le salaire. Plus vous offrez d’argent, meilleures sont les personnes que vous

attirez.

Cela pourrait être vrai pour certains. Mais plus d’argent n’est pas toujours mieux. De nombreuses personnes se

soucient davantage de s'amuser au travail, de se sentir appréciées et d'être heureuses. Et c'est ce que fait le CHO

avec succès.

Voici le problème : peu importe ce que pensent les autres. Si vous croyez en quelque chose et si vous pouvez

créer de la valeur, foncez. Il y a toujours des gens qui disent des choses comme :

• Personne n'a besoin de ça

• Votre travail est une poubelle

• Vous perdez votre temps

N'écoutez pas les opposants. Laissez­les se noyer dans leurs propres croyances limitantes. Au lieu de cela, faites
ceci :
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Créer. Créer. Créer.

Il y a suffisamment d’opportunités pour tout le monde dans le monde. Le problème est que la plupart des gens
ne profitent pas de ces opportunités. Si vous voulez avoir une carrière spécifique, allez­y et créez­la. Il en va
de même pour votre entreprise. Et ne vous concentrez pas sur les ressources limitées, les opposants ou
toute autre raison pour laquelle vous ne devriez pas le faire. Adoptez un état d’esprit d’abondance. Avant de
vous en rendre compte, vous aurez tellement d’opportunités que vous ne saurez pas quoi en faire.

Aux Pays­Bas, nous appelons cela un « problème de luxe ». Crois­moi; c'est le seul problème que vous
souhaitez avoir.
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Toute force vient de la répétition

La plus grosse erreur que vous puissiez commettre est d’ignorer les fondamentaux de votre métier. Cela est
vrai peu importe ce que vous faites, où vous vivez ou qui vous êtes.

Lorsque vous ignorez les fondements de ce qui fait de vous une bonne personne, un athlète, un ami,

un entrepreneur, un étudiant, etc., vous ne serez jamais cohérent. C’est la plus grande leçon que j’ai apprise
en étudiant les athlètes. Les personnes qui pratiquent un sport professionnel subissent une pression constante
pour être performantes.

Prenez Daniel Cormier, l’actuel champion UFC Light Heavyweight et ancien lutteur olympique. Le
champion de 38 ans a jusqu’à présent une carrière impressionnante. Il a remporté plusieurs médailles
d'or en tant que lutteur. Et en MMA, il a remporté 20 de ses 22 combats au total. Il est considéré comme
l'un des meilleurs.

En plus de cela, il est également analyste des sports de combat et co­animateur de UFC Tonight sur
Fox Sports. L'homme est très actif. Quelle est la clé de sa réussite, selon lui ?
Se concentrer sur les bases. Il dit:

"On n'atteint pas les plus hauts niveaux du sport sans avoir les bases en ordre."

Cela n'est pas seulement vrai pour le sport ; c'est également vrai pour tout le reste dans la vie. Écrire, parler,
vendre, diriger, peu importe. Sans avoir les bases en ordre, vous n’atteindrez jamais votre plein potentiel.

Répétez les bases

Et il n’y a qu’une seule façon d’améliorer les bases : par la répétition. Vous devenez plus fort en soulevant des
poids, répétition après répétition. Vous développez votre endurance en effectuant des exercices anaérobies.
Nous savons tous que. Mais qu’en est­il de votre esprit ? Comment devenir plus fort mentalement ? Et pourquoi
est­ce important ? La réponse est simple : tout commence par l’esprit. Steven Pressfield, l'auteur de The
War of Art, l'a très bien dit :

« À long terme, nous devons commencer à développer nos forces internes. Il ne s’agit pas seulement de compétences comme

la technologie informatique. Ce sont les bases à l’ancienne de l’autonomie, de la motivation personnelle, du renforcement

personnel, de l’autodiscipline et de la maîtrise de soi.

Mais mon défi a toujours été : comment faire cela ? Je sais comment devenir plus fort physiquement.
Mais je n’ai jamais su comment devenir plus fort mentalement. Et chaque fois que les gens disaient
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pour moi, « tout est question d'expérience de vie ». J'ai toujours pensé qu'il y avait une meilleure solution.

Soyons honnêtes, qui a envie d’attendre 70 ans pour devenir fort mentalement ?

Certaines choses peuvent être faites plus rapidement, surtout si vous répétez continuellement les bases. Parce

que c'est là qu'on se trompe la plupart du temps. Nous pensons tout savoir.

Restez débutant

À quelle fréquence pensez­vous : « Je le sais déjà » ? Si vous êtes comme la plupart d’entre nous, assez souvent.

Une chose que nous devons nous rappeler est que ceux qui pensent tout savoir sont les plus grands perdants de

la vie. Je rencontre tout le temps des gens qui pensent tout savoir. Et je ne parle même pas des personnes sur

Internet. De nombreux commentateurs veulent toujours montrer à quel point ils sont intelligents et que c’est « tellement

évident ». Eh bien, ce n’est pas ainsi que les plus grandes personnes du monde abordent les choses. Mohammed

Ali a dit un jour :

« C'est la répétition d'affirmations qui mène à la croyance. Et une fois que cette croyance devient une conviction

profonde, les choses commencent à se produire. »

Lorsque vous répétez les bases, vous ne devenez pas seulement un grand ; tu resteras bien . C'est un défi

auquel tous les plus performants sont confrontés. Je répète les bases de beaucoup de choses dans ma vie :

Fitness, philosophie, gentillesse, business, écriture. Par exemple, je relis chaque mois mes livres préférés sur

le stoïcisme pour exercer mon esprit. Je récupère régulièrement The Elements Of Style de Strunk & White pour

répéter les bases d'une écriture simple et efficace.

Si je ne répète pas ces choses, j'oublie tout simplement ma philosophie de vie ou la façon d'écrire de bons articles.

C'est ainsi que fonctionne notre cerveau. Sans répétition, on oublie facilement les choses. Je me considère toujours

comme un débutant. C'est l'une des premières (et des plus importantes) leçons que j'ai apprises de mon mentor. Il a

désormais soixante­dix ans et se considère toujours comme un étudiant de la vie.

J'ai la même approche des affaires. Je reviens toujours à la question « quel est le but d’une entreprise ? » Je peux

vous dire que si vous répondez « pour gagner de l’argent », vous devez répéter les bases.

C'est très simple : déterminez quelles sont les bases dans votre domaine. Et répétez­les. Rester simple. Il n’y a

pas de plus grande perte de temps que de répéter des choses mauvaises, erronées ou négatives.

C'est la seule chose à laquelle vous devez faire attention. Ne suivez pas les conseils de personnes qui n’ont

pas réussi elles­mêmes à faire quelque chose.


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Soyez génial. Restez bien.

Écoutez, vous pouvez être très intelligent, motivé, humble, etc., mais si vous ne le restez pas, qu'est­ce que cela vaut ? À

quelle fréquence voyez­vous des gens réussir pour ensuite gaspiller leur succès ? Combien de merveilles uniques

avez­vous vues ? Exactement. Seuls les grands sont là pour rester.

Et si vous voulez rester ici aussi, vous ne devez jamais sous­estimer le pouvoir de la répétition.

Ne pensez jamais que vous avez réussi ou que vous êtes assez intelligent. Parce que c’est cet état d’esprit qui

vous permet de rester génial.


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Comment je mesure ma vie

Vous pouvez facilement mesurer une entreprise en examinant les chiffres. Chiffre d’affaires, profit, coûts,

désabonnement des employés, etc. Mais comment mesurer votre vie ? Il n’existe pas de mesures universelles

pour évaluer votre vie. C'est donc à chacun de créer sa propre façon de mesurer où il en est dans la vie. Certains

le font en regardant combien ils gagnent par rapport à leurs pairs.

Certains regardent jusqu’où ils ont gravi les échelons de l’entreprise. D’autres se mesurent à leur apparence.

J'ai étudié comment les penseurs les plus brillants de notre époque mesurent leur vie. Le

la réponse est surprenante. On entend rarement dire que les personnes qui réussissent mesurent leur vie à

l’aune de la taille de leur compte bancaire ou de toute autre mesure conventionnelle. Au lieu de cela, les

personnes considérées comme ayant réussi aux yeux de la société examinent souvent ces 3 facteurs :

1. Énergie
2. Travail

3. Relations

J'ai expérimenté l'amélioration des trois choses ci­dessus. Ce que j'ai découvert, c'est qu'ils sont tous étroitement

liés. Quand j'ai beaucoup d'énergie, je suis de bonne humeur, et quand je suis de bonne humeur, je travaille

mieux. Et lorsque je fais un meilleur travail, je me sens satisfait de ma vie et je peux donc donner plus aux gens qui

m'entourent. Et cela améliore mes relations. Et quel est le secret d’une bonne vie ? Bonnes relations. Clayton M.

Christensen, professeur à la Harvard Business School et auteur de How Will You Measure Your Life ? écrit :

« Le facteur le plus important de notre bonheur à long terme réside dans les relations que nous entretenons avec

notre famille et nos amis proches. »

Lorsqu’il s’agit de relations, la qualité compte plus que la quantité. Même s'il est facile de s'en prendre aux

personnes influencées par les réseaux sociaux, je pense quand même qu'il vaut la peine de dire : personne ne se

soucie du nombre de followers ou d'amis en ligne que vous avez.

Les vraies relations mettent beaucoup de temps à se développer. Et ils sont également inconditionnels. La

plupart des relations ne sont pas réelles. Nous n’aimons quelqu’un que jusqu’à ce qu’il change d’avis ou prenne

quelques kilos, par exemple. Ou nous invitons seulement des amis à nos anniversaires à condition qu'ils sortent

avec vous et boivent de la bière.


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Ces types de relations conditionnelles ne valent rien. La véritable amitié et l'amour sont

plus fort que ça. Vous soutenez les personnes que vous aimez quoi qu’il arrive. Cela rend la vie riche.

1. Mesurer l'énergie

Mesurer votre énergie est facile. Tout ce que vous avez à faire est de regarder comment vous vous sentez physiquement.

J'ai récemment écrit à ce sujet spécifiquement. Ce qui compte, c'est que vous trouviez des moyens d'augmenter votre

énergie. Vous pouvez commencer par vous poser une question : quelle petite chose puis­je faire aujourd’hui qui a un impact

significatif sur mon énergie ? Voici quelque chose qui est vrai pour

tout le monde:

1. Faites de l'exercice tous les jours : je soulève des poids quatre fois par semaine, je fais deux courses fractionnées et je

m'assure de marcher au moins 30 minutes à un rythme rapide les jours où je ne m'entraîne pas.

2. Mangez bien — Je ne suis pas de régime spécifique. Je mange de la viande, du pain, des pâtes et plein d'autres

choses qui sont censées être mauvaises pour la santé. Mais je me sens bien. Je ne mange tout simplement pas de

produits transformés et je mange très peu de sucre (j'aime le chocolat). je ne consomme pas non plus

plus de calories que j'en brûle.

C'est une partie de l'équation. Quand je fais ces deux choses tous les jours, je me sens bien. Et mon énergie est également

élevée. Dès que j’arrête de m’entraîner ou que je commence à manger de manière malsaine, je me sens déprimé. C'est

comme ça que je sais que ça marche. Vous pouvez facilement améliorer votre énergie en faisant plus d’exercice et en

mangeant bien.

2. Mesurer le travail

Lorsqu'il s'agit de travail, je ne regarde pas le revenu, le statut ou d'autres mesures génériques.

Au lieu de cela, je regarde tout ce que je peux encore apprendre. En d’autres termes : avez­vous atteint votre plein potentiel

d’apprentissage ? Pourquoi est­ce que je regarde l’apprentissage et non le revenu ? Parce que c'est plus important.

Christensen le dit bien dans Comment allez­vous mesurer votre vie ? :

"Pour vraiment trouver le bonheur, vous devez continuer à rechercher des opportunités que vous croyez significatives, dans

lesquelles vous pourrez apprendre de nouvelles choses, réussir et avoir de plus en plus de responsabilités à assumer."

La réussite professionnelle et la réussite dans la vie sont directement liées à ce que vous apprenez. Et plus important encore :

combien vous continuez à apprendre. L'éducation ne s'arrête jamais. De plus, les revenus sont directement liés au

développement de votre apprentissage. Plus vous apprenez, plus vous gagnez. C'est vrai. Bien entendu, il y a des limites à

cette affirmation. Et les connaissances doivent toujours être mises en pratique.


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Nous avons tous entendu parler de personnes intelligentes qui ont gaspillé leur potentiel. Pour réussir,
vous devez toujours agir sur ce que vous savez. Sans action, la connaissance est inutile. Mais
de manière générale, plus vous possédez de connaissances (par expérience ou par études), plus
vous pouvez contribuer à votre entreprise, à vos collègues, à vos clients, etc.
se traduit par un revenu.

3. Mesurer les relations

Ce que vous découvrirez, c'est que plus vous contribuez à la vie des autres, meilleures seront vos
relations. Et ce dernier ingrédient boucle le cercle de la vie.
Lorsque vous mesurez vos relations, tenez­vous­en uniquement à vous­même. Évitez la plus grosse erreur que la

plupart d’entre nous commettons : nous regardons ce que les autres font pour nous. Sinon, vous risquez de

commencer à compter des points.

« La façon dont les gens vous traitent est leur karma ; votre réaction dépend de vous. Comme le regrettait Wayne Dyer
dit.

Au lieu de regarder comment les autres vous traitent, mesurez le temps et l’énergie que vous
consacrez à vos relations. C'est la seule chose que vous pouvez contrôler. D’après mon
expérience, lorsque vous consacrez du temps aux personnes qui comptent pour vous, les relations
s’améliorent. Et s’ils ne le font pas, la relation n’était probablement pas censée exister. Nous devons simplement avance
La vraie leçon ici est que nous devons toujours nous concentrer sur ce que nous pouvons contrôler.

Notre énergie, nos efforts au travail et ce que nous mettons dans nos relations sont toutes des
choses que nous contrôlons. C’est l’une des principales leçons que nous disent les philosophes du
monde entier et de tous âges.

Regardez votre vie. Faites une évaluation rapide de ce que vous ressentez. Il ne vous reste plus qu'à
l'améliorer.
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Pourquoi devriez­vous vivre comme si vous étiez immortel

Il semble que tous mes pairs aient cette idée qu’être jeune est une excuse pour ne pas vivre une vie satisfaisante.

Mais les millennials ne sont pas le seul groupe de personnes à se cacher derrière des excuses.

Nous faisons tous. Je comprends. Assumer des responsabilités dans la vie fait peur. C'est bien plus cool de porter

un toast à l'avocat. Mais tu sais ce qui est aussi cool ?

• Bâtir une carrière significative dont vous êtes fier.

• Contribuer à la vie des autres.

• Créer un produit ou un service utile.

• Placer votre argent pour votre retraite.

"Ouais, mais je suis encore jeune." "Il y a toujours demain!" Allons y. Arrête de te cacher! Qu'est­ce que tu attends?

À tous ceux qui ne se sentent pas épanouis, j'ai une idée que je veux
partager:

Commencez à vivre comme si vous étiez immortel.

Oui, je sais, ça semble bizarre. Alors donnez­moi deux minutes pour vous expliquer. La sagesse conventionnelle

dit que la vie n’est pas éternelle, n’est­ce pas ?

• « La vie est courte ! »

• « YOLO ! »

• « Vivez maintenant ! »

Et je suis également d’accord avec cela. Mais lorsque vous vivez votre vie selon cette philosophie, cela n’a aucun sens

de faire quelque chose qui prend beaucoup de temps à porter ses fruits. Si vous pensez que la vie est courte,

pourquoi diable feriez­vous des choses difficiles ? Cela n'a pas de sens. De ce point de vue, il vaut mieux

dépenser son argent, sortir chaque semaine, boire autant que l'on peut et vivre grand.

Demandez­vous : « À quoi tout cela mène­t­il ?

Il n’est pas nécessaire d’être un scientifique pour répondre à cette question. La réponse est « rien ». Maintenant, il y a

aussi une autre perspective sur la vie : que vous êtes ici pour toujours.

Pensez­y. À quel point vivriez­vous différemment si je vous disais que vous ne mourrez jamais ?

Quand je me regarde, je vivais comme si j'étais mortel. Je dépenserais mon argent en vêtements,
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gadgets, vacances. Mais j’avais aussi l’air pressé. Je voulais réaliser beaucoup de choses dans ma vie. Et de

préférence, très vite.

J'ai aussi poursuivi beaucoup de choses en même temps. Tout comme un chien. Je chasse tout ce qui brille là­

bas. Ou même poursuivre mes propres idées aléatoires. Mais dernièrement, j’ai adopté un état d’esprit différent.

C'est une idée de « Et si j'étais immortel ? » Je sais, on dirait que je travaille sur une chambre hyperbolique qui

promet la vie éternelle. Mais croyez­moi, je ne me fais pas d'illusions.

Je parle au sens figuré. La première fois que j'ai eu cette idée, c'était lorsque j'ai lu une des méditations de
Marc Aurèle :

« Considérez­vous comme mort. Vous avez vécu votre vie. Maintenant, prenez ce qui reste et vivez correctement.

Je fais particulièrement référence à la dernière partie : Vivre correctement. Qu'est­ce que cela signifie? Je pense que

chacun a un point de vue différent. Pour moi, vivre correctement signifie que je suis satisfait de ma vie. Que je

peux me regarder dans le miroir et dire sincèrement : « J'aime ma vie ». Étais­je vraiment satisfait lorsque je vivais

ma vie dans le présent ? Non, pas vraiment. Je n’avais pas de vraie carrière, ni de maison, ni quoi que ce soit dont je

sois fier. Et pourquoi ? J'étais trop concentré sur le présent. Je voulais que les choses arrivent vite.

"Avant de vous en rendre compte, vous serez mort!" Maintenant, cet état d’esprit est parfait pour commencer.

Rien ne fonctionne mieux que de botter les fesses de quelqu'un en lui disant qu'il va mourir. Mais une fois que l’on

travaille à construire une VIE, cela ne sert à rien de penser ainsi. Être présent est une bonne chose, mais comme

beaucoup de choses dans la vie, n’en faites pas trop.

C'est pourquoi j'aime vivre comme si j'étais immortel. Parce que quand tu vis éternellement…

• Vous avez tout le temps du monde pour construire quelque chose.


• Vous pouvez faire des erreurs et en tirer des leçons.

• Il n'y a aucune pression pour que les choses avancent rapidement.

• Vous traitez les gens avec respect parce que d'autres personnes seront également là pour toujours.

Ce petit changement dans mon état d’esprit m’a aidé à avoir une vision différente de la vie. Je n'ai pas peur de

regarder dans 10 ou 20 ans. Cela m’aide à prendre de meilleures décisions AUJOURD’HUI. Par exemple, je préfère

économiser mon argent ou l'investir plutôt que de le dépenser car je sais que le « futur Darius » en bénéficiera.

"Mais qu'en est­il du cadeau, Darius ?"

Eh bien, j'ai parlé d'être satisfait, n'est­ce pas ? Curieusement, je suis plus satisfait lorsque j'économise mon argent.

Ou quand je mange des aliments sains ou que je fais de l'exercice tous les jours.
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Quand je pense à cette idée, je trouve fascinant son efficacité. Nous savons tous que nous allons mourir (j’ai même récemment écrit

un article à ce sujet). C'est une bonne et une mauvaise chose.

• Bien parce que cela nous donne de l'urgence.

• Mauvais parce que nous perdons de vue la situation dans son ensemble.

Comment vivez­vous? Comme une personne mortelle ou immortelle ? Quoi qu'il en soit, j'espère que vous êtes

satisfait de votre vie. Parce qu’en fin de compte, c’est ce qui compte le plus.
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Le pouvoir de la composition : vous pouvez y parvenir


N'importe quoi, si vous arrêtez d'essayer de tout faire

Avez­vous une longue liste d’objectifs, de désirs et de désirs pour votre vie ? Voulez­vous en savoir plus?

Gagne plus? Améliorer vos compétences ? Tirer le meilleur parti de vos relations ? Vivre mieux?

Toutes ces choses sont bonnes. La vie consiste à avancer et à faire des progrès constants.

Cependant, il y a une chose importante dans tout ce travail, ces efforts, ces efforts et ces efforts : vous ne

pouvez pas tout faire en même temps.

C'est du bon sens, non ? Vous n’avez que peu de temps et d’énergie. Donc, si vous entreprenez trop de choses,

vous finissez par vous disperser. Au lieu de cela, il est beaucoup plus efficace de concentrer vos efforts sur une

seule chose.

Le succès s'additionne

Le vrai succès se produit lorsque nous nous concentrons sur une chose à la fois. La première fois que j’ai

découvert cette idée, c’était au lycée. Lorsque je préparais mes examens finaux, j'ai décidé de n'étudier qu'une seule

matière à la fois. Et je ne suis passé au suivant que lorsque j'ai pleinement compris le
matériel.

J'ai remarqué que je pouvais apprendre quelque chose beaucoup plus rapidement si je m'y plongeais

pendant quelques jours. La plupart de mes pairs étudiaient plusieurs matières par jour. Je n’aime jamais
cette approche car elle est trop dispersée.

Si je travaille sur un projet au travail, je ne reprends pas un autre gros projet. Si je travaille sur un nouveau cours

pour mon blog, je ne commence pas à écrire un livre en même temps. Cette stratégie m’aide à faire avancer

les choses plus rapidement et mieux. Par conséquent, j’obtiens bien plus lorsque je prête mon attention à une

seule chose.

Gary Keller et Jay Papasan, auteurs de The One Thing, qui est un excellent livre sur ce même concept, l'ont mieux

dit :

"Là où j'avais eu un énorme succès, j'avais concentré ma concentration sur une seule chose, et là où mon succès

variait, ma concentration aussi."

Travaillez­vous sur beaucoup de choses ? Votre attention n’est­elle pas portée sur une chose ? Il y a de

fortes chances que vous n'obteniez pas les meilleurs résultats possibles. Ou pire : vous pourriez échouer si vous
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essayez de réaliser plusieurs choses en même temps. La raison est simple : la plupart d’entre nous croient que le succès

arrive d’un seul coup. La vraie vie est différente. Keller et Papasan l'ont bien dit :

« Le succès est séquentiel et non simultané. »

Les choses s'additionnent. Vous apprenez une compétence. Ensuite un autre. Vous terminez un projet. Ensuite un autre.

Au fil du temps, vos réalisations s’additionnent pour former un exploit impressionnant.

Cela est particulièrement vrai pour l'argent. La plupart des gens ont gagné leur argent au fil du temps. Peu de gens font de

grosses dépenses financières. Oubliez les Conor McGregors et Evan Spiegels de ce monde. Ce sont des gens qui ont

décroché le jackpot de leur carrière. Mais vous n’avez pas besoin de talent ou de compétences particulières pour réussir

dans la vie. Si vous prenez le long chemin, atteignez un objectif après l'autre et construisez votre richesse étape par

étape, vous aurez plus de chances de vivre une bonne vie. C'est simple. Et ça marche toujours. Les gens qui disent que

ce n'est pas le cas n'ont tout simplement pas eu la patience de l'appliquer à


leur propre vie.

L’un de mes mentors possède quelques dizaines de propriétés valant des millions. Il a acquis sa richesse au fil du temps.

Il a maintenant la soixantaine. Vous voyez, les choses prennent du temps. Et lorsque vous combinez patience et

composition, vous obtenez les meilleurs résultats. Et ce ne sont pas des choses extraordinaires. Je ne vous

promets pas une médaille d'or aux Jeux olympiques de 2020 ou que vous deviendrez le prochain Zuckerberg. Tout le

monde peut économiser de l’argent, améliorer ses compétences et créer de la richesse.

L’impact de la composition à long terme

C'est un exemple incroyablement ringard, mais prenez Warren Buffett. C'est ainsi qu'il a bâti sa richesse
au fil du temps.
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Source : dadaviz.com

Ne regardez pas les nombres (ou l'axe des x aléatoire). Regardez la croissance relative. Entre 32 et 44 ans,
Buffett a amélioré sa valeur nette de 1 257 %. C’est une croissance assez exceptionnelle sur 12 ans,
non ? Surtout si l’on tient compte du fait qu’il a perdu beaucoup d’argent dans la quarantaine. Mais ce
n'est pas le sujet ici. Regarde ça. De 44 à 56 ans, la richesse de Warren Buffett a augmenté de 7 268 % sur
une période similaire. Et bien sûr, c’est sa valeur nette et il y a toujours de la chance avec ce type de

chiffres.

De plus, sa valeur nette est basée sur le cours des actions, ce qui signifie qu’une grande partie pourrait
disparaître demain. Mais il s’agit quand même de la croissance qu’il a réalisée au fil du temps.

Autre chose : Buffett a acquis 99 % de sa valeur nette après avoir atteint 50 ans. Pensez à tous ces idiots
gâtés à l'adolescence, dans la vingtaine et même dans la trentaine (moi y compris), qui
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se plaignent de la lenteur de leur carrière. Cela vous aide à mettre les choses en perspective.

Quoi qu'il en soit, il y a beaucoup de porno Warren Buffett sur Internet. Et beaucoup de gens prétendent qu’on peut

devenir riche en investissant en bourse. Tout ce que vous avez à faire est d’acheter leur cours qui contient tous les

secrets de la richesse. Oui en effet. Cela ne fonctionne pas de cette façon.

Personnellement, je déteste les actions et je pense que les gens normaux devraient rester à l’écart de Wall Street.

Je préfère l'immobilier. Cependant, Buffett est l’exemple parfait de succès séquentiel. Vous pouvez réaliser de grandes

choses avec de petites actions, qui se construisent au fil du temps.

Cela n’est pas seulement vrai pour l’argent. Le même concept s’applique aux compétences, à la santé

et aux relations. On ne construit pas un corps fort en un jour, un mois ou même un an. Cela demande des

années d’efforts constants. Les raccourcis n'existent pas, peu importe à quel point vous travaillez « intelligemment

». Par exemple, les cyclistes de moins de 28 ans gagnent rarement de grandes courses comme le Tour de France.

car il leur faut des années pour développer la force, l’endurance et l’état d’esprit dont vous avez besoin pour gagner.

Si vous souhaitez constater l’impact de la capitalisation sur votre propre vie, vous devez vous concentrer sur une

chose à la fois (pour chaque aspect de votre vie) et toujours avoir une vue d’ensemble. Cela se résume à

ceci : vous y arriverez si vous travaillez. Peu importe si c'est demain ou dans 20 ans ? Cela arrivera . C'est tout

ce qui compte.
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Post­scriptum

Après avoir passé des heures à lire et à éditer mes propres articles au cours des trois dernières années, j'ai

remarqué qu'il y avait beaucoup de contradictions. J'en suis très content. Celui qui ne se contredit pas est un
idiot.

La vie ne dépend pas de ce que vous savez. Il s'agit de ce que vous ne savez pas. Et on n'en sait jamais

assez. C'est une bonne nouvelle pour nous deux. Cela signifie que jusqu’au jour de notre mort, nous pouvons

continuer à apprendre.

Une autre chose que j'ai remarquée, c'est que j'ai oublié certaines des choses que j'ai écrites. "Est­ce que

j'ai écrit ça?" Ce n'est pas que je sois impressionné par mes propres écrits. Loin de là. Je suis surpris par la

quantité de connaissances que nous oublions. Ce qui est bien, c'est que je suis conscient de ce défaut

humain. Nous pensons en savoir beaucoup parce que nous sommes peut­être bien lus, mais en fait, nous oublions
plus que ce dont nous nous souvenons.

Je continuerai à me référer aux choses que j'ai apprises et je ne supposerai jamais que j'ai « maîtrisé

» quelque chose. Parce qu'il y a toujours plus à apprendre.

Merci d'avoir lu ce livre.

N'hésitez pas à me faire part de vos impressions : dariusforoux@gmail.com.

­Darius
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Parle bientôt,

Darius

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