Professional Documents
Culture Documents
Cours Tle D-Physiques
Cours Tle D-Physiques
Solution
𝑅⃗ ⃗2
𝑇
𝐹
⃗
𝐵
⃗1
𝑇
𝑝
⃗3
𝑇
⃗4
𝑇
𝑃⃗
2-Masse qu’on doit accrocher pour maintenir la
tige immobile.
A l’équilibre, on a :
𝐹+𝑇 ⃗ 1 + 𝑅⃗ + 𝑝 = ⃗0 (1)
𝑃⃗ + 𝑇 ⃗ ⟹ 𝑃 = 𝑇4 (2)
⃗4 = 0
le fil étant inextensible, on a : 𝑇1 = 𝑇2 = 𝑇3 = 𝑇4
en projetant sur les axes, on obtient :
𝐹 = 𝑇1 or 𝑇1 = 𝑇4 = 𝑃
d’où 𝑃 = 𝐹 ⟺ 𝑀𝑔 = 𝐹 . 𝑜𝑟 𝐹 = 𝐵. 𝐼. 𝑙
𝐵. 𝐼. 𝑙
⟹ 𝑀=
𝑔
AN :
0,1 × 5 × 0,15
𝑀= = 0,0075𝑘𝑔 = 7,5𝑔
10
3-sens dans lequel se déplace la tige lorsque le fil
se coupe.
Lorsque le fil se coupe, la tige se déplace dans le
sens de la force de Laplace.
𝐽𝐷 = 𝐽𝛥 + m𝑑2
(𝛥) (D)
Figure 2-2 : Solide dont l’un des axes passe par son
centre de gravité et l’autre situé à une distance d de
celui-ci
ℳ (𝐹 ∆) = 𝐽∆ 𝜃
C Expression de la flèche
O 𝑖 x
la flèche du tir est l’altitude du point le plus haut
-la trajectoire du centre d’inertie G du projectile atteint par le projectile par rapport au plan
s’effectue dans le plan vertical contenant le horizontale passant par O.
vecteur vitesse initiale 𝑣0 et le vecteur champ de 𝑑𝑦 𝑡𝑎𝑛𝜃
En A 𝑑𝑡
= 0 xA = V02.cos2𝜃. 𝑔
(4). En
pesanteur uniforme 𝑔 ;
remplaçant l’expression de xA dans celui de z, on
-la trajectoire est parabolique ; 𝑣02 𝑠𝑖𝑛2 𝜃
-le mouvement horizontal du centre d’inertie G trouve après simplification : 𝑧𝐴 = ℎ = 2𝑔
est uniforme ; Expression de la portée
-son mouvement vertical est uniformément Généralement notée d, la portée horizontale
accéléré, identique à celui d’un objet en chute et l’abscisse d’ordonnée nulle. zC =0.
libre.
𝑔
Equations horaires du mouvement 𝑧𝑐 = − 𝑥 2 + (𝑡𝑎𝑛𝜃)𝑥𝑐 = 0
2(𝑣0 𝑐𝑜𝑠𝜃)2 𝑐
Système : solide de masse m
Référentiel : repère terrestre (𝑜, 𝑖, 𝑗) supposé 𝑠𝑖𝑛2𝜃
⟹ 𝑥𝑐 = 𝑣02
galiléen. 𝑔
Bilan de forces : poids (𝑃⃗) 3.2-Mouvement d’une particule chargée dans un
champ électrique uniforme
TCI : 𝑃⃗ = 𝑚𝑎 = 𝑚𝑔 d’où 𝑎 = 𝑔
Dans un champ électrique uniforme E, une
particule de masse m de charge q, animée d’une
Conclusion : P0 P KU AC : la détermination de
G 𝑃⃗
𝑡
𝑛⃗
𝑣
𝑎 = 𝑎𝑛
Expression de l’angle d’inclinaison 𝜶
O
Système : sphère (S) de masse m
𝑗 Référentiel : repère terrestre (𝑜, 𝑖, 𝑗) supposé
galiléen.
O 𝑖 Bilan de forces : poids de la sphère (𝑃⃗) –Tension
⃗)
de fil (𝑇
En désignant par 𝐹 la résultante des forces
agissant sur le corps, la deuxième loi de Newton TCI : 𝐹 = 𝑚𝑎 ⟺ 𝑃⃗ + 𝑇 ⃗ = 𝑚𝑎
En projetant sur les axes :
donne : 𝐹 = 𝑚𝑎. En considérant la base de Frenet
Sur xx’ on a : 𝑇 sin 𝛼 = 𝑚𝑎 (1)
(𝑡, 𝑛⃗) en un point M de la trajectoire de G, on a :
Sur yy’ on a : 𝑇 cos 𝛼 − 𝑃 = 𝑂
𝐹 = 𝑚(𝑎𝑡 𝑡 + 𝑎𝑛 𝑛⃗) ⟺ 𝑇 cos 𝛼 = 𝑃 (2)
𝑑𝑣 𝑣2 𝑎
On montre que : 𝑎𝑡 = 𝑒𝑡 𝑎𝑛 = En faisant (2) sur (1), on trouve :tan 𝛼 = 𝑔
𝑑𝑡 𝑅
𝑑𝑣 𝑣2 𝑣2
Comme v=cte, =0 ⟹ 𝐹= 𝑚 𝑛⃗ Or 𝑎 = 𝑎𝑛 = = 𝑟𝜔2 de même 𝑟 = 𝐿 sin 𝛼
𝑑𝑡 𝑅 𝑟
Dans un mouvement circulaire uniforme et à un
𝑔
instant donné quelconque, le vecteur D’où cos 𝛼 =
𝐿𝜔 2
accélération 𝑎 tout comme le vecteur force 𝐹
sont centripètes (dirigés vers le centre O de la Vitesse de rotation 𝝎 du solide (S)
trajectoire de G) 𝑔
cos 𝛼 = ⟺
𝐿𝜔 2
2-Application aux lois de Newton
𝑔
|𝑞|𝐵𝑙
𝑃𝑂′ = 𝐼𝑂′
𝑚𝑣0
y2
1
y t quelconque
0.5
)ωt
t=0 0
)ρ0
-0.5
x
-1
Exemple : Représenter les fonctions sinusoïdales Figure (5-) : représentation de deux fonctions
suivantes d’après Fresnel : sinusoïdales en phases
y1 = 3cos (ωt +π/4), y2 = 5sin (ωt – π/3), y3 = Si le déphasage | ρ2 - ρ1 | = π + 2kπ, y1 et y2
2sin(ωt). sont en opposition de phase (ils atteignent
leur maximum au même instant mais de
façon opposée).
3 1
y1 y2
0.8
)π/4 0.6
)-π/3 0.4
0.2
5 0
-0.2
-0.4
𝑦1 = 𝑎1 sin(𝜔𝑡 + 𝜑1 ) 𝑒𝑡 𝑦2 = 𝑎2 sin(𝜔𝑡 + 𝜑2 )
Figure (5-) : représentation de deux fonctions
y1
0.6
y
0.4
A
0.2 y2
d1
0 A2
-0.2
-0.4
d2
𝜑2 𝜑 A1
-0.6
𝜑1
-0.8
O x
-1
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 d3 d4
𝑎1 𝑠𝑖𝑛𝜑1 + 𝑎2 𝑠𝑖𝑛𝜑2
tan 𝜑 =
𝑎1 𝑐𝑜𝑠𝜑1 + 𝑎2 𝑐𝑜𝑠𝜑2
y
A
A2
𝜑2 𝜑 A1
𝜑1
O x
Objectif :
A la fin de ce chapitre, l’élève doit être capable
de :
-Etudier les caractéristiques du mouvement d’un ⃗0
𝑇
oscillateur mécanique.
-Montrer la conservation de l’énergie mécanique 𝑥0 ⃗
𝑇 𝑥0
en l’absence d’amortissent (frottement). O
-Différencier les oscillations mécaniques libres 𝑥
des oscillations forcées. 𝑖 𝑥𝑚
𝑃⃗
Un oscillateur mécanique est un système
Position à
mécanique effectuant des mouvements d’aller et 𝑃⃗
l’équilibre
Position à Position à
de retour de part et d’autre de sa position
l’instant t=0 l’instant t quelconque
d’équilibre. Lorsque les oscillations se produisent
Figure (6-1) : mouvements d’un pendule élastique
identiques à elles-mêmes à intervalles de temps
verticale
identiques, l’oscillateur est périodique. Parmi les
Coefficient de raideur k du ressort
oscillateurs mécaniques, nous pouvons citer :le
A la position d’équilibre
pendule élastique, le pendule de torsion, le
Système : Solide (S) de masse m
pendule pesant.
Référentiel : repère terrestre (𝑜, 𝑖) supposé
1-Pendule élastique galiléen.
C’est un système mécanique constitué d’un Bilan de forces : poids du solide (𝑃⃗) –Tension du
ressort et d’un solide fixé à l’une des extrémités ⃗0
ressort à l’équilibre 𝑇
du ressort et pouvant osciller le long d’un axe. Cet D’après le principe d’inertie : 𝑃⃗ + 𝑇 ⃗ . Après
⃗0 = 0
axe peut être vertical (pendule élastique vertical), projection sur l’axe (𝑜, 𝑖)on a :
horizontal (pendule élastique horizontal) ou 𝑚𝑔 − 𝑘𝑥0 = 0 (1) 𝑚𝑔
parallèle à un plan incliné. D’où 𝑘 =
𝑥0
1.1- Pendule élastique vertical
Considérons un solide (S) de masse (m) suspendu Equation différentielle qui régit le
à un ressort de masse négligeable, de constante mouvement du centre d’inertie de (S)
de raideur k, de longueur à vide 𝑙0 enfilé sur une A un instant t quelconque où le solide est en
tige verticale fixée à un support horizontal. mouvement
Lorsque le solide est suspendu au ressort, il Système : Solide (S) de masse m
s’écarte d’une longue 𝑥0 et se stabilise (position Référentiel : repère terrestre (𝑜, 𝑖) supposé
d’équilibre). Ecartons le solide d’une distance 𝑥𝑚 galiléen.
de sa position d’équilibre et lâchons-le sans Bilan de forces : poids du solide (𝑃⃗) –Tension du
vitesse initiale. Nous constatons que le solide (S) ⃗ ).
ressort à l’instant t ( 𝑇
se met à osciller de part et d’autre de sa position D’après le théorème du centre d’inertie
d’équilibre.
𝑃⃗ + 𝑇
⃗ = 𝑚𝑎 x étant l’élongation du ressort en
mouvement à partir de sa position d’équilibre, en
projetant sur l’axe (𝑜, 𝑖), on obtient :
Fil de
2.3-Étude énergétique
Etudions l’évolution énergétique du système à
torsion
différents instants.
+ At=0:
𝑖
𝐸𝑚 = 𝐸𝑐𝑖 + 𝐸𝑝𝑝
𝑖 𝑖
+ 𝐸𝑝𝑒 = 0 + 0 + 𝑐𝛼 2 2
O 𝒄𝜶𝟐
Figure (6-3) : d’où 𝑬𝒊𝒎 =
mouvements 𝟐
De même :
4.2.1-Expression de la tension aux bornes du
𝐿𝜔 − 1 𝐶𝜔
dipôle RLC tan 𝜑 =
𝑅+𝑟
Um Im/C
Figure (7-5) : construction de Fresnel de la
A résonnance
- A la résonnance, la réactance du circuit est nulle
Figure (7-5) : construction de Fresnel de la fonction U
Pour 𝑳𝝎 < 𝐶𝝎 cet-à-dire 𝐿𝜔 − 1 𝐶𝜔 = 0 ⟺ 𝐿𝐶𝜔02 = 1
La pulsation à la résonnance est donc 𝜔0 =
-Le produit 𝐿𝜔 s’appelle la réactance d’induction,
√1 𝐿𝐶 et la fréquence 𝑓0 = 𝜔 2𝜋 = 1 2𝜋√𝐿𝐶
et 1 𝐶𝜔 la réactance de capacité.
𝐿𝜔 − 1 𝐶𝜔 est la réactance du circuit. Courbe de résonnance
Impédance
L’impédance d’un dipôle alimenté en régime
sinusoïdal (alternatif) est le rapport de la tension
maximale sur l’intensité maximale.
Généralement noté Z, elle s’exprime en ohm (Ω)
𝑼𝒎 𝑈𝑒𝑓𝑓 𝑈
𝒁= 𝑰𝒎
on montre également que 𝑍 = 𝐼𝑒𝑓𝑓
= 𝐼
1 2
𝑍 = √(𝑅 + 𝑟)2 + (𝐿𝜔 − )
𝐶𝜔
5-Analogies mécano-électriques
Considérons simultanément un oscillateur
mécanique et un oscillateur électrique tous deux
amortis, dont nous ferons une analogie.
Oscillateur Oscillateur
mécanique électrique
Equation 𝑚𝑥 + 𝑓𝑥̇ + 𝑘𝑥 𝑞
𝐿𝑞 + 𝑅𝑞̇ + =0
=0 𝐶
différentielle
𝑘 1
pulsation 𝜔=√ 𝜔=√
𝑚 𝐿𝐶
𝑥 𝑞
𝑚 𝐿
Grandeurs 1
𝑘
𝐶
𝑓 𝑅
Soit une onde progressive périodique de période Posons 𝜌1 = 2𝜋𝑑1 𝜆 et 𝜌2 = 2𝜋𝑑2 𝜆 les phases
𝑇, de longueur d’onde 𝜆 et de célérité 𝑣. Il existe respectives de M et N à l’instant initiale. La
une relation liant ces grandeurs à savoir : différence de phase entre ces deux points est :
𝜆 = 𝑇𝑣 ∆𝜌 = 2𝜋(𝑑2 − 𝑑1 ) 𝜆
𝑌𝑆 = 𝑎 sin 𝜔𝑡 𝒅𝟐 − 𝒅𝟏 = (𝟐𝒌 + 𝟏) 𝝀 𝟒 (𝒌 ∈ ℤ)
Considérons un point M de la corde situé à une Remarque :-la différence 𝑑2 − 𝑑1 notée 𝛿 est
distance 𝑥 de la source. Le mouvement de M à un appelé différence de marche.
instant 𝑡 est identique à celui qu’avait la source à -L’ordre d’interférence noté p est donné par :𝑃 =
l’instant 𝜃. Le point M reproduit donc le 𝛿 𝜆 = (𝑑2 − 𝑑1 ) 𝜆
mouvement de celui de (S) avec un retard 𝜃 = -On appelle vecteur d’onde noté 𝑘⃗ un vecteur de
𝑥 𝑣 c'est-à-dire 𝑌𝑀 (𝑡) = 𝑌𝑆 (𝑡 − 𝜃) soit même direction et de même sens que la
𝑌𝑀 (𝑥, 𝑡) = 𝑎 sin[𝜔(𝑡 − 𝑥 𝑣 )] propagation, il est donné par la relation. 𝑘 =
2𝜋 2𝜋
𝑌𝑀 (𝑥, 𝑡) = 𝑎 sin [ 𝑇 𝑡 − 𝑇𝑣 𝑥] 2𝜋 𝜆
2.3-Propagation d’une onde à la surface d’un
2𝜋 2𝜋 liquide
𝑌𝑀 (𝑥, 𝑡) = 𝑎 sin 𝑡− 𝑥 Considérons un vibreur animé d’un mouvement
𝑇 𝜆
vibratoire vertical, dont la pointe frappe la
L’équation de vibration de M est fonction de 𝑥 et surface libre d’une nappe d’eau calme en un point
𝑡, on parle de la double périodicité du S. Les oscillations du point S se propagent, à partir
phénomène. de ce dernier, dans toutes les directions de la
La distance 𝑥 = 𝑆𝑀 que l’onde issue de 𝑆 surface libre de l’eau, ce qui donne naissance à
parcourt pour aller à M est la différence de des rides circulaires. Les sommets de deux rides
marche géométrique entre 𝑆 et 𝑀. A cette consécutives sont distants d’une longueur d’onde
différence de marche, correspond un déphasage
λ
Δ𝜌 = 2𝜋𝑥 𝜆 entre les vibrations de 𝑆 et celles de
𝑀.
2.2.3-Etat vibratoire de deux points d’un milieu
4.2-Interprétation
La superposition d’une onde incidente et d’une
onde réfléchie en un point M situé à la distance x
de l’extrémité permet d’établir l’équation de
vibration de M tel que :
A Figure- (9-5)
U0 : OVariations de l’intensité U(V)
du courant
photoélectrique en fonction de le tension UAC
e-
L’analyse de cette courbe montre que :
Figure (9-4) : Cellule photoémissive
-Si UAC est négative et de grande valeur absolue,
La cathode éclairée par une lumière les électrons émis par la cathode ne peuvent
monochromatique de fréquence convenable atteindre l’anode qui les repousse.
-Si –U0 ≤UAC≤0, certains électrons émis par la
expulse les électrons. A cause du champ
cathode peuvent atteindre l’anode malgré la
électrostatique qui existe entre A et C, les force électrique qui les freine. La tension U0 est
électrons sont propulsés sur A. Il en résulte un appelée potentiel d’arrêt (tension qui annule le
courant de faible intensité dans le circuit courant photoélectrique pour une fréquence de
extérieur à l’ampoule : c’est le courant la radiation lumineuse incidente donnée) pour la
photoélectrique. cellule.
-Lorsque UAC>0, les électrons sont attirés par
2.4.2-Faits observés
l’anode. Le nombre d’électrons capté par l’anode
-Pour un matériau donné, l’émission augmente avec UAC puis, se stabilise car tous les
photoélectrique n’a lieu que lorsque la fréquence électrons émis par la cathode sont capté par
de la lumière incidente à la cathode est au dessus l’anode. L’intensité atteint alors sa valeur
d’une valeur particulière appelée fréquence seuil maximale Is et appelé intensité de saturation.
de photoémission, qui dépend du matériau ; 2.5-potentiel d’arrêt U0
-Le nombre d'électrons arrachés par seconde à la Le potentiel d’arrêt permet de connaître
cathode est proportionnel à l'intensité lumineuse
l’énergie cinétique maximale des électrons émis
qu’elle reçoit ;
-Les électrons sont émis avec une énergie par effet photoélectrique. En effet, si UAC est
cinétique comprise entre 0 et une valeur légèrement inférieur à –U0 aucun électron
maximale qui augmente quand la fréquence de la n’arrive à l’anode. Pour UAC = -U0, des électrons
lumière incidente augmente. arrivent à l’anode avec une vitesse nulle. Ils
Conclusion : partent de la cathode avec une vitesse maximale
La cellule pouvant être éclairé par des radiations
Vmax
de fréquences 𝜈 différentes, pour qu’il y ait effet
Appliquons le théorème de l’énergie cinétique
photoélectrique, il faut que ces fréquences soient
entre le moment où ils partent de la cathode et
supérieurs ou égales à une valeur 𝜈0 bien
celui où ils arrivent à l’anode.
déterminée et caractéristique de la cellule.
Les électrons émis sont soumis à leurs poids et à
2.4.3-Caractéristique d’une cellule
la force électrique due au champ électrique entre
photoélectrique
l’anode et la cathode que nous allons supposer
Considérons une cellule photoélectrique éclairée
uniforme. Nous allons négliger leurs poids par
par une radiation de fréquence 𝜈 > 𝜈0 , en faisant
rapport à la force électrique.
varié la tension UAC, on note une variation de
l’intensité du courant traversant la cellule. On Ils partent de la cathode avec une vitesse
obtient dont pour chaque valeur la maximale Vmax tel que :
caractéristique tension-intensité suivante :
Solution :
1-Calcul de la longueur d’onde du rayonnement
qui apporterait l’énergie juste suffisante :
Soit 0 la longueur d’onde du rayonnement, on
peut écrire :
𝐶 3×108
𝜆0 = A.N : 𝜆0 = = 6,49 × 10−7 𝑚
𝑁0 4,62×1014
𝝀𝟎 = 𝟔𝟒𝟗, 𝟒𝒏𝒎
= 3,75 × 10−20 𝐽
𝑬𝑪𝒎𝒂𝒙 = 𝟎, 𝟐𝟒𝒆𝑽
-L’inhalation : c’est lorsque l’on respire les Le nombre de noyaux d’argon 40 contenu dans
𝑚𝒩
vapeurs radioactive. l’échantillon est :𝑁𝐾 = 𝑛𝐾 𝒩𝐴 ⟺ 𝑁𝐾 = 𝑀 𝐴
𝐾
-La contamination : c’est lorsqu’on consomme 𝑁𝐴𝑟 𝑉𝑀
On a donc : 𝑟 = 𝑁𝐾
= 𝑚𝑉𝐾
des éléments radioactive dans les aliments. 𝑚
ln 2
Or nous savons que 𝜆 = 𝑡
1 2
1 ln 2 ln 2
⟺ ln =− 𝑡 ⟺ ln(1 + 𝑟) =
1+𝑟 𝑡1 2 𝑡1 2
ln(1 + 𝑟)
𝑡= 𝑡1 2
ln 2
𝐥𝐧(𝟏+𝟖,𝟖𝟐)
A.N : 𝒕 = 𝐥𝐧 𝟐
× 𝟏, 𝟐𝟔 × 𝟏𝟎𝟗