You are on page 1of 14

Page 1 sur 14

BATS DE GEOLOGIE STRUCTURALE

1. Parler brièvement sur les éléments structuraux d’ordre mesoscopique

R) les éléments structuraux d’ordre mésoscopique sont ceux, complexes,


résultants soit des modifications d’ensemble de certaines parties de la
matière (ex ? plis), soit d’un arrangement statistique des éléments
structuraux d’ordre de grandeur inférieur, soit suivant des lignes (éléments
structuraux linéaires), soit suivant des plans (éléments structuraux
planaires).

2. Qu’entendez-vous par la discordance majeure ?

R) c’est une discordance existant entre les stratifiés et un ensemble non


stratifié (socle granitique). En soit, on parle de discordance majeure lorsque
la couverture transgressive se dépose sur un socle déformé et
métamorphosé lors d’une phase orogénique.

3. Parler brièvement du rapport mutuel des couches

R) entre deux couches ou deux séries de couches, les rapports peuvent être
ceux de concordance ou ceux de discordance.

Concordance : il peut être observé entre les couches des rapports de


continuité dans la sédimentation ; on dit alors que les couches sont
concordante ou que les rapports sont ceux de concordance ;

Discordance : il peut également être observé entre les couches des surfaces
de discontinuité, lesquelles sont des indices d’arrêt de sédimentation
pouvant être plus ou moins longs.

4. Expliquer : la subduction et l’obduction dans une zone de collision

R)

si la collision suit une subduction, le bloc continental va chevaucher


l’autre sans qu’aucun matériel de la croute océanique ne puisse
nécessairement jalonner la zone de contact
si la collision suit une obduction, la zone de contact entre les deux
blocs va être jalonnée des restes du matériel de la croûte océanique
Page 2 sur 14

(mise en place lors de la subduction) coincés entre les deux


continents.
5. Donner le pré requis de la géologie structurale

R) la géologie générale, la pétrographie, la mécanique de roches, la


géographie physique, la minéralogie, la paléontologie et géologie
stratigraphique.

6. Qu’entendez-vous par la théorie de la dérive des continents ?

R) elle est une théorie selon laquelle les continents se sont déplacés d’une
manière importante les uns par rapport aux autres au cours des temps
géologiques.

7. Pourquoi dit-on que dans la zone plissée, les joints de direction sont
qualifiés de joints de décrochements ?

R)

8. Définir les couches polaires, symbiose, épibiose

R)

Les couches polaires désignent les couches ayant des caractères


différents à leur toit et à leur mur ;
La symbiose : c’est lorsque la fixation des organismes peut se faire sur
un animal vivant ou mort ;
L’épibiose : il s’agit des organismes qui se fixent sur d’autres
organismes ou sur des galets.
9. Expliquer : faille inverse conforme, flanc de plis, discordance parallèle

R)

Faille inverse conforme : c’est une faille dont le plan de faille est
vertical ou incliné vers le compartiment surélevé et dont le pendage
du plan de faille est orienté dans le même sens que l’inclinaison des
couches ;
Flanc de pli : correspond aux surfaces reliant les charnières ;
Discordance parallèle : lorsque deux séries de couches sont parallèle
entre elle.
Page 3 sur 14

10. Donner tous les cas possible pour le traçage du contour géologique sur
une carte

R)

Le contour cherché doit passer par tous les points d’intersection et


par eux seuls ;
Le contour géologique cherché est symétrique par rapport aux points
d’intersection ;
Le contour cherché doit se présenter sous la forme d’une ou de
plusieurs courbes fermées ;
Chacun des segments du contour cherché situé entre deux
horizontales doit être inclus entre deux courbes de niveau
correspondantes ;
Lorsqu’une horizontale est tangente à la courbe de niveau
correspondante, le contour cherché sera lui-même tangent à cette
horizontale au même point.
11. Faite un lien entre le regard d’une faille et les horizontales de couche

R) les horizontales en traversant une faille, changent de côte d’autant de


valeur que le rejet. Ce qui en d’autres termes veut dire qu’au-delà d’une
faille, les horizontales seront décalées d’une valeur qui équivaut à celle du
rejet de la faille.

12. Expliquer le pli isoclinal

R) un pli est dit isoclinal lorsque les flancs normaux et inverses sont
parallèle.

13. Donner sur le plan structural t morphologique les limites du continent

R) sur le plan morphologique, la limite d’un continent est marquée par la


ligne de rivage par rapport au niveau de la mer, sur le plan structural par
contre cela n’est pas exact, les données géophysiques et les cartes
bathymétriques montrent que c’est la limite des plates-formes
continentales qui constitue en réalité celle des continents.
Page 4 sur 14

14. Quel lien pouvez-vous établir entre les horizontales d’une couche et le
pendage de cette dernière ?

R) les horizontales permettent de déterminer la direction d’une couche et


par conséquent en déduire sa valeur angulaire et le sens du pendage

15. Faites l’état de vos connaissances sur les joints associés aux zones de
cisaillements

R) lorsque deux contraintes de même direction et intensité mais de sens


opposé s’exercent sur un matériau, ce dernier subit un cisaillement. Les
zones de cisaillement font généralement apparaitre deux types de joints :
les fissures de tension « T » (fissures en échelon, parallèle à l’axe Z, avec une
direction d’écartement perpendiculaire aux lèvres) et les fissures
conjuguées de Riedel (deux réseaux en échelon, notés R et R’ ; le premier
fait avec le plan de cisaillement un angle de 15° et le second fait un angle de
75°).

16. Dans un batholite ou dôme granitique, que désigne-t-on par joints


diagonaux ?

R) on désigne par joints diagonaux, des joints qui consistent en des joints
verticaux interceptant les fluidalités linéaires horizontales suivant un angle
voisin de 45°.

17. Faites la différence entre le plateau structural et le plateau d’érosion

R) le plateau structural est le toit d’une couche dure qui donne un talus
structural (cuesta) quand elle est en contact avec une couche tendre tandis
qu’un plateau d’érosion

18. Quelle est l’importance des nivelles en géologie structurale

R)

19. Quelle est l’importance de critère ichnologique

R) les critères ichnologiques permettent d’étudier des traces fossiles dues à


l’activité des organismes vivants ou des phénomènes mécaniques.
Page 5 sur 14

20. Dégagez l’importance de la stratification entrecroisée et du gradded


bedding dans le repérage chronologique des formations géologiques

R)

Le gradded bedding ou granoclassement peut dans certaines roches


sédimentaires, servir de critère de polarité et est manifeste, il permet
dans un bassin sédimentaire et par effet de gravité, que les particules
sédimentent par ordre décroissant de leur poids.
La stratification entrecroisée ou oblique ou encore cross-bedding
21. A votre avis est-il possible de recourir aux mêmes critères de polarité
pour les roches magmatiques et pour les roches sédimentaires ? si oui
comment et si non pourquoi et que faire ?

R) non il n’est pas possible de recourir aux même critères de polarité pour
les deux, pour les roches magmatiques, on recourt à un type particulier de
critères de polarité

22. Dans une zone de collision, où et quand peut-on observer une suture
ophiolitique ?

R) entre deux continent lorsque la collision suit une obduction.

23. Portez un jugement sur un âge absolu qu’on obtient en doutant du


remplissage d’une faille

R)

24. L’extension et la compression sont deux termes issus de la subduction,


pouvez-vous expliquer chacun de ces termes et donner des exemples ?

R) Extension : c’est la variation de la longueur soit de la longueur de l’objet


avant la déformation et de sa longueur après déformation.

25. Expliquer : discordance majeure et subduction du type chilien

R)

discordance majeure : c’est une discordance existant entre les


stratifiés et un ensemble non stratifié (socle granitique). En soit, on
parle de discordance majeure lorsque la couverture transgressive se
Page 6 sur 14

dépose sur un socle déformé et métamorphosé lors d’une phase


orogénique.
Subduction du type Chilien : c’est lorsque le pendage du plan de
Bénioff est faible, ce qui pousse à une compression au niveau de la
fosse
26. Quels sont les arguments de base pour la détermination d’un pendage
apparent ?

R) les arguments de base pour la détermination d’un pendage


apparent sont :

Relier deux horizontales contiguës par une droite « a’b’ », parallèle à


une direction quelconque et équivalent à ƛ’ ;
Du point ¨a¨ élever une perpendiculaire équivalent à Ƹ et on obtient
un triangle a’b’c’ permettant, comme dans le cas précédent de
déterminer la valeur angulaire α’ du pendage apparent des couches
suivant la direction quelconque.
27. Pourquoi les joins directionnel dans une région plissée sont-ils qualifiés
de joints de relâchements ?

R)

28. Pourquoi lors de l’établissement d’une coupe dans des régions


discordante, on doit nécessairement matérialiser la surface de la coupe ?

R)

29. Qu’avez-vous compris de l’historique de la géologie structurale ?

R)

30. Qu’entendez-vous par : epichnia, hypichnia

R) On parle d’ :

 Epichnia : lorsque les traces exogènes sont localisées à la surface


supérieure des bancs ; et
 Hypichnia : lorsque les traces exogènes sont localisées à la surface
inférieure des bancs.
Page 7 sur 14

31. Comment pouvez-vous déterminer un pendage vrai ou réel, argumentez


votre réponse par une illustration

R)

connaitre les horizontales d’une couche ;


tracer la droite ¨ab¨ reliant les deux horizontales
connaitre l’équidistance ƛ, l’échelle de la carte ;
porter une longueur Ƹ correspondant à l’équidistance graphique càd
l’équidistance des courbes de niveau traduite à l’échelle de la carte,
on obtient ainsi un triangle abc (triangle de pendage). tgα=
32. Quelle différence faites-vous entre le repérage chronologique et le
repérage géométrique ?

R) repérer géométriquement une structure, c’est définir l’orientation de la


droite ou d’un plan caractéristique de cette structure. Cela revient à en
mesurer l’azimut par rapport au système d’axe de référence, notamment
par rapport au nord, ceci s’effectue grâce à un compas ou à une boussole
qui donne l’azimut par rapport au nord magnétique tandis que le repérage
chronologique a pour but d’établir l’âge des terrains, leurs positions initiales
(càd avant la déformation) et leurs rapports mutuels originels.

33. Dans les fissures de tension, dans quelles conditions peut-on parler d’un
cisaillement droit ?

R) Si la zone de cisaillement fonctionne en décrochement (c.à.d. Z et X Sont


horizontaux et Y est vertical). Ces fractures sont qualifiées de droites si
l’angle (45°) qu’elles font avec l’alignement des relais est décrit depuis ce
plan jusqu’à la fracture dans le sens horaire ; et le plan de cisaillement est
alors qualifié de dextre.

34. Dans un batholite, peut-on parler d’un joint ou filon parallèle ?

R) oui, de même direction et pendage que la fluidalité planaire, ils sont aussi
qualifiés de horizontauxn car se développant dans les zones de pluton
admettant des fluidalités planaires horizontaux.
Page 8 sur 14

35. Quel lien existe-t-il entre le regard d’une faille affectant les couches et
les horizontales de ces couches ?

R) les horizontales en traversant une faille, changent de cote d’autant de


valeur que le rejet. Ce qui en d’autre terme veut dire qu’au-delà d’une faille
les horizontales seront décalée d’une valeur qui équivaut à celle du rejet de
la faille.

36.Qu’entendez- vous par filon ou joint dans une roche magmatique ?

R) on parle de de filon lorsqu’indépendamment des joints associés aux


batholites, les magmas s’injecte dans des fractures ouvertes.

37.Qu’entendez-vous par : val, flanc de plis, front de nappe ?

R)

Val : c’est un relief qui présente un synclinal ;


Flanc de plis : c’est une surface reliant les charnières ;
Front de nappe :
38. Que savez-vous de la fluidalité linéaire de batholites et de dôme
granitique ?

R) les joints utilisables dans l’analyse structurale des plutons granitiques ont
toujours des relations géométriques simples avec les structures fluidales, ils
sont souvent tapissés des minéraux hydrothermaux. Généralement peu
spectaculaire, sauf quand ils sont parcourus par des roches filoniennes et
d’épaisseur centimétrique à métrique.

39.Quelle différence fondamentale faites-vous entre une faille inverse


conforme et une faille normale conforme ?

R) une faille inverse conforme : c’est une faille dont le plan de faille est
vertical ou incliné vers le compartiment surélevé et dont le pendage du plan
de faille est orienté dans le même sens que l’inclinaison des couches tandis
qu’une faille normale conforme est une faille dont le plan de faille est
vertical ou incliné vers le compartiment affaissé et dont le pendage du plan
de faille est orienté dans le même sens que l’inclinaison des couches.
Page 9 sur 14

40.A. Qu’entendez-vous par pli de faille et pli faillé

R)

41.Dans une zone de cisaillement, pourquoi les fissures de tension sont


qualifiées de gauche ?

R) Si la zone de cisaillement fonctionne en décrochement (c.à.d. Z et X Sont


horizontaux et Y est vertical). Ces fractures sont qualifiées de gauches si
l’angle (45°) qu’elles font avec l’alignement de relais est décrit de ce plan
jusqu’à la fracture dans le sens antihoraire, les fissures et le cisaillement est
lui senestre et par accentuation
Page 10 sur 14

N.B :

On parle des modelés du type corniches lorsque ceux-ci sont élaborés


sur des structures tabulaires, et du type cuesta et jurassien ou appalachien
lorsqu’ils sont respectivement sculptés sur des structures monoclinales et
plissées.

Les courants de convection dans l’asthénosphère sont à la base d’une


mobilité relative des plaques provoquant ainsi plusieurs phénomènes telle : le
phénomène de distension ou d’écartement des plaques ou encore ceux de
convergence ou de rapprochement des plaques ayant ainsi deux éventualités ,
soit les deux plaques entrent en collision simple (formation des chaines dites
de collision), soit après collision, une plaque glisse (s’enfonce) lentement sous
l’autre le long du plan de Bénioff, pour enfin disparaitre sous le manteau. Ainsi
donc o appelle :

 Phénomène de subduction : phénomène pendant lequel il y a


glissement d’une plaque océanique (dense) sous une plaque
continentale (légère) ;
 Phénomène d’obduction : celui pendant lequel il y a chevauchement
d’une plaque océanique sur une plaque continentale ;
 Phénomène de décrochement : phénomène pendant lequel il y a, à
leurs frontières, coulissage d’une plaque par rapport à l’autre.

Le modèle de la tectonique globale stipule que les chaines de


montagnes résultent de l’évolution plus ou moins avancée de la zone de
subduction.

Les zones de subduction peuvent fonctionner aussi en extension qu’en


compression ; cela est dû au pendage du plan de bénioff et à la vitesse de
plongement (subduction). On parle ainsi donc de la subduction du type chilien
lorsque le pendage du plan de Bénioff est faible ce qui pousse à une
compression au niveau de la fosse et de la subduction du type Marianne
lorsque le pendage du plan de Bénioff est fort ce qui fait que la subduction
s’accompagne d’une distension (extension) au niveau de la fosse.

Si la collision suit une obduction, la zone de contact entre les deux blocs
continentaux va être jalonnées des restes du matériel de la croute océanique ‘,
Page 11 sur 14

mis en place lors de la subduction) coincés entre les deux continents. C’est ce
qu’on appelle une suture ophiolique.

On appelle élément structurale, tout objet ou arrangement d’objet qui


contribuent à la structure d’un domaine géologique donné à quelque échelle
que ce soit ; les formations géologiques sont rarement isotrope (n’ont pas le
même comportement dans toutes les directions).

Repérer géométriquement une structure, c’est définir l’orientation de la


droite ou du plan caractéristique de cette structure, cela revient à en mesurer
l’azimut par rapport au système d’axe de référence du globe, notamment par
rapport au nord, ceci s’effectue grâce à un compas et ou une boussole qui
donne l’azimut par rapport au nord magnétique.

La stratification caractérise les roches sédimentaires et représente soit


la limite inferieure soit la limite supérieure d’une couche.

La schistosité caractérise les roches ayant subi le métamorphisme.

Le feuilletage représente n’importe quelle structure planaire jet est


qualifié de structure ¨S¨.

La foliation est caractéristique des Gneiss, et consiste en un


rubanement plus ou moins régulier avec alternance des lits sombres constitués
des minéraux ferromagnésiens.

On parle d’ :

 Epichnia : lorsque les traces exogènes sont localisées à la surface


supérieure des bancs ; et
 Hypichnia : lorsque les traces exogènes sont localisées à la surface
inférieure des bancs.

Lorsque les traces endogènes sont localisées à l’intérieur es bancs ; on


parle :

 D’endichrini :si c’est la cavité qui est conservée, remplie ou non (c’est
l’empreinte positive ou marks) ; et
Page 12 sur 14

 De l’exichnia : si c’est le remplissage ou le moule interne qui est


conservé(c’est l’empreinte négative ou contrempreinte ou coasts ou
encore Mold).

Les éléments structuraux d’échelles mégascopique(kilométrique)sont


des grandes unités géologiques ainsi que les surfaces qui les délimitent.

Les éléments structuraux d’ordre mésoscopique (échelle du mètre) sont


ceux, complexe, résultant soit des modifications d’ensemble de certaines
parties de la matière (ex. plis) soit d’un arrangement statistique des éléments
structuraux l’ordre de grandeur inférieur, soit suivant des lignes (éléments
structuraux linéaires) ou des plans (éléments structuraux planaires).

A l’échelle du micron, les éléments structuraux consistent en des


cristaux dont on étudie la forme, la disposition relative et l’arrangement de
certains de leurs éléments cristallographiques.

Les roches compétentes sont celles qui sous l’effet des contraintes
tectoniques se cassent.

Les roches incompétentes sont celles qui sous l’effet des mêmes
contraintes subissent des ondulations et se plissent.

Aussi appelé ¨lithoclases¨, les déformations discontinues sont celles qui


se manifestent par le plan de rupture séparant deux compartiments. On y
regroupe les leptoclases, les diaclases et les paraclases :

 Les leptoclases : cet ensemble regroupe toutes les cassures de faibles


dimensions qui font débiter la roche en minces fragments ;
 Les diaclases : des cassures suivies de déplacement, parallèlement au
plan de fracture, des compartiments situés de part et d’autre de ce plan ;
ou alors si déplacement il y a, celui-ci est très faible et à peine
perceptible.

Les fissures peuvent être colmatées par du matériel magmatique pour


donner :

 Des sills : si leur orientation générale est parallèle aux structures


planaires de la roche encaissante ;
Page 13 sur 14

 Des dykes : si elles sont sécantes par rapport aux structures planaires de
l’encaissant.

Les joints ou fentes de tension représentent un réseau de fentes


ouvertes parallèles à la direction de la contrainte.

Les joints de cisaillements sont deux réseaux de fentes obliques, faisant


entre eux et avec la direction de la contrainte principale un angle constant.

Zone d’extrados : c’est la zone extérieure de la charnière ; elle est le


siège d’une extension qui provoque la formation des fissures ouvertes
parallèles à l’axe du pli.

Zone intrados : elle correspond à la partie interne du pli, elle est le siège
d’une compression qui est responsable de la formation des fractures du type
de cisaillement.

Si la zone de cisaillement fonctionne en décrochement (c.à.d. Z et X


Sont horizontaux et Y est vertical). Ces fractures sont qualifiées de droites si
l’angle (45°) qu’elles font avec l’alignement des relais est décrit depuis ce plan
jusqu’à la fracture dans le sens horaire ; et le plan de cisaillement est alors
qualifié de dextre. Si par contre, cet angle est décrit dans le sens anti-horaire,
les fiussures sont qualifiées de gauches et lecisaillement est lui senestre et par
accentuation du déplacement le long de la zone de cisaillement, les fissures
deviennent tordues.

La fluidalité planaire est soulignée par le parallélisme des minéraux


plats qui, lorsque leurs cristaux sont en contact, peuvent être séparés en petits
lits.

La fluidalité linéaire est considérée comme l’enregistrement de la


direction de l’élongation maximum X du massif plutonique et marque ainsi
l’étirement maximum du magma matérialisant de ce fait la direction
d’écoulement lors de la mise en place du corps magmatique.

Les paraclases : sont généralement connues sous le nom des failles et


consistant en des accidents de style cassant affectant les roches compétentes.
Ce qui les distingue des diaclases, c’est le déplacement relatif des
compartiments rocheux situés de part et d’autre du plan de fracture.
Page 14 sur 14

Flexures : on entend par flexure, une courbure (ondulation) peu


accentuée vers le bas ou vers le haut d’une série sédimentaire, consécutive à
un mouvement vertical (bombement ou affaissement) de l’écorce terrestre.

Les flexures comprennent les syneclises qui correspondent à des


dépressions et des antéclises sui consistent en des bombements.

Un pli est donc une ondulation des strates réunissant une partie
convexe dénommée anticlinal et une autre concave dénommée synclinal.

Un pli diapirs est un pli se présentant sous forme d’une colonne des
roches salifères rebroussant les roches encaissantes à son contact.

Le charriage consiste eu un chevauchement de grande amplitude, de


sorte que l’amplitude de placement horizontal est importante, de la dizaine à la
centaine de Km.

Val : c’est un relief qui présente un synclinal ;


Voute : c’est un anticlinal évidé ;
Crêt : c’est un synclinal perché ;
Combe : c’est l’endroit où se trouvait l’anticlinal qui a été évidé ;
Mont : c’est une région élevée qui présente un anticlinal ;

Un groupement de failles peut conduire à la formation de :

Mole : compartiment soulevé entre deux blocs affaissés ;


Fossé ou graben : compartiment affaissé entre deux blocs soulevés ;
Blocs monoclinaux : compartiments en niveaux successifs déterminés par
des feuilles en gradin.

You might also like