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TP n° 2 Epi polytechnique Sousse

Compte rendue pour le TP


Scooteur électrique

Crée par : 5eme électromécanique A spécialité


Hani MISSAOUI Mécatronique et automatique
I. L’objectif
La proposition de travail consiste à justifier le choix de la motorisation électrique en vue d'atteindre
les performances indiquées dans le cahier des charges. Les principales performances annoncées par
le constructeur sont spécifiées dans le cahier des charges partielles ci-dessous.

α(t) ⱳr(t) v(t)


Um(t) ⱳm(t)
Potentiomètre + Moteur Roue +
Réducteur
électrique électrique scooter

Alimenter Convertir Transmettre Transmettre Transmettre

Batterie Moteur Poulies-courroie Engrenage Roue


Partie A : Scooteur dans l’état idéal

I. Introduction
Dans cette partie, nous traitons la situation idéale d'un scooter sans aucun effet d'air et sans
frottement. L'objectif est d'examiner les résultats qu'une telle hypothèse pourrait produire.
II. Modélisation causale
a- Les entre sortie du système :
Cause : α (entre)
Effet : V (sortie)
b- Les model de connaissance :
- Electrice :

18
𝑈(𝑡) = 𝛼( 𝑡 )
90

𝑙𝑑𝑖
𝑈(𝑡) = 𝑅𝑖(𝑡) + + 𝑒(𝑡)
𝑑𝑡

𝑙𝑑𝑖
𝑈(𝑡) − 𝑅𝑖(𝑡) − 𝑒(𝑡) =
𝑑𝑡
- Electromécanique
:

𝑒(𝑡) = 𝑘𝑒. 𝑊𝑚

Et

𝐶𝑚 = 𝑘𝑐. 𝑖(𝑡)

- Mécanique de rotation :
𝐽𝑑𝑊𝑚
𝐶𝑚 =
𝑑𝑡

𝑊𝑟
𝑟=
𝑊𝑚

- Mécanique de rotation :
𝑉 = 𝑅𝑟𝑜𝑢𝑒. 𝑊𝑟

c- Le model en simulation

Dans cette section, j’ai conçu le modèle dans Simulink dans Matlab en utilisant les équations
que nous avons élaborées.

Suit à cette modélisation on a affiché plusieurs courbes

- Pour le courant i(t), nous observons une courbe où le courant augmente initialement
lors du démarrage, puis diminue progressivement jusqu'à atteindre zéro.
La courbe du couple Cm(t) présente une similarité avec celle du courant i(t) dans
le système. Au début, le couple augmente pendant la phase de démarrage, puis il
décroît progressivement jusqu'à ce qu'il atteigne finalement zéro.

- Pour la vitesse de rotation Wm(t) on a une courbe nous observons une courbe qui
augmente initialement, puis elle reste constante à 450 rad/s.

- En conclusion, pour la vitesse de translation, nous obtenons une courbe qui atteint une
vitesse constante de 45 km/h.
III. Modélisation acausale
Dans cette phase, j'ai modélisé mon système en utilisant des blocs physiques réels
afin d'évaluer son comportement dans des conditions réelles. Pour la modélisation
de ces blocs, nous n'avons pas eu besoin d'équations distinctes, car nous nous
sommes simplement basés sur les équations intégrées dans chaque bloc, en
déterminant les valeurs nécessaires pour ces blocs

a- Le model en simulation

Dans cette section, j'ai conçu le modèle dans Simulink de Matlab en utilisant les
blocs physiques correspondant à chaque composant que nous avons élaboré.

Ce système me donne deux courbes :


- Une courbe pour la vitesse de déplacement : pour la vitesse de translation, nous
obtenons une courbe qui atteint une vitesse constante presque égale de 45 km/h.
- Une courbe pour le positionnement :

IV. Conclusion
Avec les deux méthodes de simulation, nous avons obtenu la même valeur de vitesse de
déplacement pour le scooter dans le cas idéal.
Partie B : Scooteur dans l’état réel

I. Introduction
Dans cette partie, nous traitons la situation réelle d'un scooter avec effet d'air et l’effet de
frottement. Afin d'examiner les résultats qu'une telle hypothèse pourrait produire.

II. Modélisation acausale


Dans cette phase, j'ai modélisé mon système en utilisant des blocs physiques réels afin
d'évaluer son comportement dans des conditions réelles. Pour la modélisation de ces blocs,
nous n'avons pas eu besoin d'équations distinctes, car nous nous sommes simplement basés
sur les équations intégrées dans chaque bloc, en déterminant les valeurs nécessaires pour ces
blocs.

a- Le model en simulation

Dans notre modèle, nous avons pris en compte le scénario incluant des frottements et une pente.

- Nous obtenons une courbe qui atteint une vitesse constante, presque 45 km/h.
b- Cas de frottement

Dans ce cas, nous avons ajouté un bloc de frottement pour évaluer son impact sur la vitesse,
en observant les variations de la courbe.

- Nous obtenons une courbe qui atteint une vitesse constante, inférieur à 45 égales 42
km/h.

c- Cas de résistance à l’air pour l’effet aérodynamique

Dans ce cas, nous avons ajouté, en plus du bloc de frottement, un bloc pour modéliser l'effet
de l'air afin d'évaluer son impact sur la vitesse. Nous avons examiné les variations de la
courbe pour comprendre cet impact.
- Nous obtenons une courbe qui atteint une vitesse constante, égales 28 km/h.

d- Cas de ponte

Dans ce cas, nous avons ajouté, en plus du ces blocs, un bloc pour modéliser l'effet de ponte
afin d'évaluer son impact sur la vitesse. Nous avons examiné les variations de la courbe pour
comprendre cet impact.
- Nous obtenons une courbe qui atteint une vitesse constante, égales 22.5 km/h.

III. Conclusion générale


Nous pouvons conclure que la vitesse d'un scooter varie en fonction des effets qui lui sont
appliqués, et cette variation dépend également du type spécifique d'effet, qu'il s'agisse de
frottement, de pente, d'effet de l'air, ou d'autres facteurs modélisés

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