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sa i) Infections urinaires de Vadulte / Connaitre les part sularités de U'infection urinaire au cours de la grossesse Connaissances pour Ia validation du 2° cycle des études médicales ro ii Définition Etiologies Examens complémentaires Examens complémentaires Examens ‘complémentaires Examens complémentaires Définition n Diagnostic posit Diagnostic posit Prise en charge Prise en charge Prise en charge Diagnostic posit Prise en charge Prise en charge Prise en charge Savoir défirirles ciférens types dnfections des voles Urinates simples ou arisque de complication et leur ‘requence respective Connaie es principaux agents pathogénes &origine des infections urinares et les principaux mécanismes de résistance aux antbictquee Indications des examens complémentates de premibre intention en fonction du type dinfection urinare Indications des exemens complémentares de deuxiéme intention en fonction ctype infection urinaire Conair es princes de réaisation de la bandieletto Uuinaite et son iterprstaton Conair es pincipes de réalisation et interprétation de TECBU Connaitre a définton cure colonisation urinaire Connaie les ces clagnostiques des cysts aigués (Simple, a sque de comptcation) Connaire es ctres clagnostiques des pyélonéphites igus (clnique, bologiques,radiolosique) avec ou sans signe de grit (algorthme) Connsie le tratement des cysttes sigués simple dont suv el prévertion des récicives Conair le traitement des pyélonéphrites sigués simple Conair le principe de la prise on charge des pyelonéphites sigués complquses Conair es ertbres dlagnostiqes des infections urinates mazculines (nique, bilogiques, raciologique) Conair le aitement des infectone urinares masculnes ft connsire les modaltés de leur prevention Connaive le traitement des infections urinares au cours de la grossesse et son sui Conair es spécifités de lnfecion urinaire dea personne agée isa is Fs Rang Rubrique ir Diagnostic posit S2Y°# évORUer une infection rns de Feria enquéte cinigue Examens ‘Savoir prescri le ou las examens complémentaites complémentaires. chez enfant Prise en charge thérapeutique dune infection urinaire defentant Examens CConnsie les examens compiémentaies &réalser dans complémentaires. os infections urnaies récidvantos CConnsie les principes du taltement des cystes Prise en charge Prise en charge récidvantes euratt médica. prevent Prévalence, Paisereale —_vectins urinates de enfant: épkibmologe Physiopathologie Facteursfavorisan les infections urnaires gravdiques Physiopathologie Germs inctiminés dans ls infections urinals graviiques Definition CColorisaton unaire gravicique(détnton) Prise onchange _olaton urate ceva Pin aitage Contena Traltomont recommandé pour une colonisation urinaire muttimedia gravisque jagnostic clinique Cyst agus gravidique (lave) Diagnostic bioiosiave Prizeen charge Cysta sigs graiquefratemant) Diagnostic clique Pytonéoie algutaravcive(trique) Diagnostic peed Pytontonnte igs gravque (agnost bologte Prise en charge Pyélonéphrite aigué gravidique (traitement), Examons Ineleatonetrenincicaton des examene mage dans complsmentares los fecton wnaves au cours Gola rossense CGysite sigue gravidique jagnostic biologique) fouons Pour la parte pésiatrie, consulter le étérentiel as Collége de Pecan. Soules los infections uinares QU) ‘communautares sant talées ici, Pour les IU associbes ‘ux soins, se reporter 8 item 4. Points importants * Infections tréquontes. + Bion cstinguer IU simple ot IU risque do compilation, avec cu sans slgne de gravis * Connaive a valeur dagnostaue et les modaltés pratique de réaisation d'une bandeetieurnare et dun EOBU, + Lacystit sigué simple est e seul cas 0d-on ne faitpas d'ECBU, + Une colonisation wale bactériurie asymptomatique) ne nécessite pas do traitement, sat procédure urctogique programmée et grossesse, + Survellance mensuele de "ECBU jusqu'a Taccouchoment en eas de colonisation ou eV chez la femme enceinte CONSENSUS ET RECOMMANDATIONS SPILF~2015 -Diagnosticet antibiothérapie desinfections urinaires bactériennes communautaires de Vadulte /au cours de la grossesse. ise &jour 2017. Recommandations 2015 de bonne pratique pourlaprise en chargeetla prévention des Infections Urinaires AssociéesauxSoins de adulte Recommandations SPILF/SRLF/ HAS 2019 pour Vantibiothérapie des infections a entérobactéries et Pseudomonas aeruginosa place des carbapénémes et de leurs alternatives 1. DEFINITIONS. Eu IU = infection urnave : PNA = pyélonéphite aig. B faut cstingver Waver signe de gravité (pyélonéphrite algué oulU masculine) Signes de gravité + Sepsis (Quick SOFA > 2) + Choc septique + Indication d'un geste de drainage urologique {chieurgica ou par radologe interventionrele, hors sondage vésical simp 1W a risque de complication (eystite, pyélonéphrite aigué) 1) Anomalie fonctionnelle ou organique de farbre urinaire 2) Terrain &risque de complication Sexe masculn Grossesse Age > 65 ans avec > 8 ortéres de fragile’, ou ge > 75 ans + Insusance rénale chronique sévére (elazance < 30 mL/min) + Immunodépression * Cries de tragité do Fiee + Perte de poids motoniaire au cours cela der rare année + Vilesse de marche lente + Faible endurance + Faiblesserfatigue + Activité physique rbite WW simple lUnon risque de complication. Les IU simples concement ‘a femme une ears factour do risque cystite récidivante Survenue c'au moins 4 épisodes pendant 12 mois cconsécutis. 1U masculines Une IU chez homme est toujours ciassée a risque {de complleation, du fait de fa féqluence des anoma les anatoriques ou fonctionneles sous-jacentes. On Cconsidéve que la prostate est potenialement infectée lors dlune IU chez homme, co qu aun Impact su les ‘modaltés de Tamibiothsrapie (pour éviter un passage ‘la cnronicit, 2, MICROBIOLOGIE + injections essentiloment bactérennes, dues & des Dactbvies origin cgestive + Infection monamierobienne en général + Entérobactéries dans la grande mjrité des cas _v0c E.coli dans 90% des cas (pourles simples) ils Proteus miabils. ‘Staphylococcus saprophyticus responsable de cys- tie aigu® cher a femme une. ‘Aires bactéries plus rarement (autres entérobac- tries, Pseusemonas aeruginoss, Corynebacterium Uurealyicum, entérecoques. Liépidémiclogie bacterenne se mocife en cas dinfec- tions récidvantes eu infections & risque de com- cation, avec diminution de la quence de Ecol {65 % des cas) et appartion a'especes bactériennes habtuellement peu viulentes sur un apparel urinaire normal Le tableau T-161-1 présente les principales données surla prevalence dela résistance aux antbitiques des souches dF. call communautaes en France T-161-1 :Résistances aux antibiotiques ‘des souches d'E. coll communautaires Prévalence de larésistance <5% Fosforycine -trométamol Aminosides roche de 5% Céphalosporines de 3° génévaton (C3) ‘Aziréonam Fluoroquinolones {Wimp 10.20% Fluoroquinolones {Wa risque de compscation) Pivmeclinam >20% Amoxcline ‘Amaxicline - acide clavlanique Cotrimoxazole at timathoprime Antibitiques ‘Concernant es fuoroquinolones llfaut ve ies prescriptions répétées chez un mame patient (seecton de resistances), ‘On ne doit pas es prescrite en probabilste chez tun patient ayant regu un traitement par quino: Jones dans les 6 mois précédents (quelle quien sit 616 Iincication, car le risque de résistance aux Tus- roquinolones est alors augmené. IN aut buter eles prescrve sila bactérie est résis- tante a facie naldiique ou a la norfoxasine, car cela témoigne dunt niveau de mutation, et done lune augmentation des concentrations minmales inhibivices (CM) de ciprofoxacne, offoxacine ot Iévotloxscne, aves risque d'écheo clinique, Concerant les CS + Larésistance de E col aux C9G inectables dans las IU communautaire progresse et est actuelement proche de 5 %, avec une grande varablté selon la presentation cimque, le train et dune région & aut. La prestction dune fiactamase & spaces Gtendu (BLSE) ect le principal mécanigme Ge résis tance, rendant a bactére mulrésistante. ‘Concerantle rstue IU &entérobsctérie productice ‘de BLSE (EBLSE) + En absence de données permettant cFévaluer le risque indivduel dU a EBLSE, i est recommande de re prendre en compte la possibilté d'une EBLSE ‘que pour les IU graves avec présence d'au ‘moins un facteur de risque dentérobactéries Geo ne) résistantes aux C3G lors du cheix de Yantibio- thérapie probabilste. + augmentation de la prévalence de E coll produc- tour do BLSE dans los U commmunautares expose risque dune augmentation des prescriptions de Caroapéndmas. Cotte classe cantiblciques devant te préservee (isque d'émergence de resstences), faut privlbgr es aterratives. + Les antbiotques tréquemment acts sur les souches do E col productrices de BLSE sont ies Carbapénames (eonsBilé constant, la ostomy ine-vométamol {sensiblté > 98%, larsikacine {90% la céfoxtne jnon hydroyaée parles BLSE) la pipéracline-azobactam [> 80%). la témocalne elle piuméciinam (70-80 *, Facteurs de risque all & entérobactérierésistante ix 086 (dont les eniérobactéries productices de bétaractamase 4 spectre tend) + Lexposition a un antbiotique(amoxicline-acide ‘lavlanque, C26, C3G, fuoroqunolones) dans les 3 mois precedents. + Antécédent de colonisation ou dinection 4 entérobactere és stante aux C3G dans les 3 mois. + Infection nosacomiale ou ibe aux soins + Voyage & 'éranger en zones géographiques A forte prevalence denterobacteres resistantes aux C3G dans les 3 mois préceédents, 3, EPIDEMIOLOGIE Les \U sont des infections tds iroquentes. Laprévalence est beaucoup plus élevée chez|a femme ue chez Thome. Un tiers des femmes a une IU au, Cours de leur vie, Chez la ferme, la fréquence aug- mente avec IAge avec 2 pics, Tun au début dela ve sexuelle et laure apres ‘8 ménopause. La grossesse feet un facteur favorsant. Chez "homme, la fréquence ‘augmonte aorbs 50 ane di fat de 'apatholagle pros tatique. 1. BU + ECBU: EXAMENS DIAGNOSTIQUES CLES Crest une bandbelete réactive détectant la présence de leucocytes & partr de 10° leucocytesimL et de rites prods par las entérobactéries uniquement part de 10° bactéres/mL. Toutes les bactérios ne produisent pas de nities, car certaines sont cépour- ‘wes de nivate récuctase (notamment cocel Gram post et baciles Gram négatits autres que les ents Fobactéries (On trempe la bandlelette dans des urines du 2 jet dans un récipient propre mais nan stérle, sans toi- lotto préalable. Le résuitat est obtonu on 2 minutes tte uri fouons + LABU est une side au diagnostic c'infection Uuinare, + Chez la femme symplomatique, Fabsence Simuitanée de loucocytes ot de nitrts présente Lune trés bonne valeur prédictive négative {> 95 94) on Fansence d mmunodépression. Une BU négative doit donc fire rechercner un aire agnosie + Chez Thomme, une BU positve pour les leucooytes otiulos nitrites a uno bonne valeur prédictive positive > 85 %), En revanche, une BU négatwvo ne permet pas d6limnor une I. ECBU = Examen CytoBactéri jos Urines Un ECU est nciqué devant toute suspicion clinique ‘IU, & Fexception des cystites algués simples (oi Ia BU cust, Il est recommandé ce ne pas faire d'ECBU de Contréle dans le suvi des IU si évolution clinique est favorable. Modalités pratiques ‘Cet examen doit ste réalisé avant toute antoiohé- ‘apie ot si possible au moins 4h aprés la miction précéaonto Le prélévement doit tre précédé a'une tyaiéne des mains et clune tolete de fa région urétvale ou vu La méthode de recusl ia plus tréquemment utlisée ‘est calle du “milieu ce jot” dans un facon stl. En cas cincontinence total, on aura recours & un sondage “allerretour” chez [a femme, et &la pose un collecteur périen chez homme Ene qui concome ies patonis sondés, le recucl se fait par poncton apres désinection sur le site spe Clique cu dispostif de sonde amas 8 partir du sac ‘collecteur, Le préibvernent doit ve transporté rapidement au Iaberator. Les urines ne doivent amas dire conser vyées plus de 2 h & température ambante ou plus de Pan asec, ‘Aulaboratove sont réaisés * examon droct (coloration do Gram) at examen cyto Jogique leucocytes, hérates) sure cult, + lcentifcaton de a bactérie par culture + antic ‘gramme, avec compte des bacteres Interprétation de 'ECBU Chez un patient symptomatque avec leueooyturie > 104ml (eu2 10/mm?, les seulssignfcatis do bac Aria sont (7161-2) 161-2: Seuils significatifs de bactériurie Seuil de belie stanifentivts pourla bacterre (UFC/mL) Homme Femme E cob S.saprophyiicus > 10" > 10" [Airs bactnes eto: bacirecatwsgiwE cok 2103108 erroonn, En cas de discordance ene un tableau cinique ‘ident ci et une bacteriuria et/ou une laucocyture Invérieure au seul, le tableau cincue prin Une leucocyture = 10YimL associée & une bactériurie fect en général témoin dune contamination du pre vvoment. En cas de forte suspicion cinique dinfecton Lurnaio, faut conteber TECBU cans de bonnes cond tions. 2, COLONISATION URINAIRE (BACTERIURIE ‘ASYMPTOMATIQUE) Définition La colonisation urinaire est la présence dun agent infectioux dans les urines sans manifestation clinique associée, quel que sot le niveau de leucocytur En pratique ls'agite'une situation ot ECBUne doit pas tre demandé, avec 2 exceptions : i) la femme ‘nceinte& parr de 4 mois de grotsasee chez qui une ‘bactéiure = 10° UFC /m. doit re watée méme sila patiente est asymptomatique et i) avant une interven- fon suas voies urinaire, La colonisation pourat avoir un roe protectourvs-d- Vis de sauches invasves. Une étude prospective ran- ‘omisée a ainsi démontré cher des femmes présentant dos IU récvantes quo tratemont des celonisatons ‘urnaires augment le nombre de récaives «U, Les colonisaions urinaires néyoluent que rarement vers des IU. et vont pas d'impact& long terme sur I ‘enetion rénae Iin'ya pas dindication &recherchor nia alter Lune colonsaton uinave, sau avant une procécure uologique programmée, et chez une fomme encointe& parte du 4* mois de grossosse. 3. LEUCOCYTURIEASEPTIQUE Ele correspond a la mise en évdence a ECBU d'une leucccyturie aves une bactéivie < 10%/m. Les principales étiologies sont IU cécapitée par une antbiothsrapie, » rete, ysttes non bactéionnes (tumeur, corps étranger ont Ithiase, mécicament,racothérapie. vaginite, tuberculose urogénitae agnostic parrecherche de BK dane les urines 3 jours de ste, Cotte situation est également fréquente chez le suet 198, notamment incontinent. 4, PRINCIPES GENERAUXDELANTIBIOTHERAPIE DEsIU Le spectra dot inclue los bactéries usualles (notam: ment E: co. En probabiiste, on utise des anibiovques pour lesquals les taux de résistance des E. coll sont +<20% dans le cas dune cysite spe, < 10% dans es autres cas. Par conséquert, i [amoxcline, ni fama ciline-acide ciavlsnique, nile cotimaxszole ue t= Geo ne) méthoprime, ne peuvent re proposés en traitement probabliste dune IU, ‘On wise un antioctique & élimnation wrinsie peédo- rminante cous forme aclve et dans les formes avec atteinte parenchymateuse, un antbiotave & bonne sitfusion rénale ou prostalique (ce qui rest pas lo cas, {de fosfomycine-trométamol et du pivméeilinan). I doit avar peu cetfets indésivabies, un faible cost et un faible potertie! de sblecton de bactéries résistantes (r61-3, 161-3 : Potentiel de sélection de résistances bactériennes par les antibiotiques Impact surle microblate intestinal Fosferycine Fae Phmecitinam Faibe Ampoxcline-Ae Clavulanique “ Cotrimoxazole / ” Timéthopsime Fluoroauinolones +H eas ry 5, MESURES GENERALES D'HYGIENE Eles doivent aire explquées @ la patente jos d'une I. 1 Apportsnycriques abondants > 1,8 Liju + Suppression des mictions etenues, encourager les rmictons tréquontes toutes ls 4-6 hi + Régularisaion du vans intestinal. 1 Uriner aprés les rannorts sexuels CYSTITE (On parle de cystite uniquement chez Ia femme. Cystite aigué simple eee 1. CLINIQUE as de fdvre ni tissons, ni lombalgl Signes fonctonnels urinates de cystite + polakiurle + brilres et douleurs& a miction + mictons imoériuses. La présence dune hématwrie macroscopique est fr ‘uente envio 20 %) et ne constiue pas un signe ds gravid Finfection, 2, BIOLOGIQUE: UNIQUEMENT BU 3, IMAGERIE: INUTILE PEC * Chez a femme, faut miner une pyslonépiite = as de foe ni rissons, as de douleur abdominale e/ou lombaire, spontanée ou provoquée. * Chez homme, le terme de cysite ne applique as (on parie iN masculine). NATURELLE Guérison spontanée des cysttes aigues simples dans 25-45 % ces cas. Fisque de PNA : tbs rare avec la cystte sigus simple, qui est une infection bénigne. ‘SOUS TRAITEMENT Evoluton habuelement favorable en 2-8 jours, Evoluton défavorable détne par la persistance ou aggravation des symot6imes > 72\h aps le début dl traitement. Envsager une mauvaise observance ‘0U une résistance bactéranne, FRécidve dans 20-30 % es cas, dans la mote des cas. la mame bactéro fouons 1, TRAITEMENT CURATIF LLobjectt du traitement est famdlioraton des symo: ‘émes, et non la prévention lune PNA, Le traitement ‘2st ambulatoire et lantibiothérapie probabiist. Les tratements recommandés sont desallés dans Valgo fithma F-161-1, Dans es ares cas oi ee vatemenis de {et 2 intentions ne pourraient pas 6 utlists, lost recommandé de proposer in traitement ditféré selon les résultats dun ECBU, selon los mémes modaltés ‘que pourles cytes & risque de compication. Survelllance de lévolution sous traitement Elo est uniquement cirique ot estjugéo parla ationte ‘le-meme pas de consutation systématique ni de BU ou dIECBU do contd Si 6voluton défavorablo (persistance ces signes cingues anrés 72h de la dose de ostomycine:trométamol ou técidve dans les 2 semaines suvvanies):rélser un ECBU. ‘Cyt agus simple BU postive T “Trament de 1 intention fovemyeinewomara on dove wigue L “ratement de 2 intention plondlinam peraar sous 2, PREVENTION DES RECIDIVES Promouvoirles mesures d’nygiéne (Ct, supra - Mesures ‘genérales hysiéne générales), Fie2 Cystite risque de complication En plus des sgnes cirques de cyst ‘male de Tarbre nar ou un tran, Le risque majeur esa récidive. lexste une ano: LECBU est indispensable, ars BU corientaton, ‘Au mieux, aucun traitement anibotique ne sera donné dans Faltonte des résultats de Fantiiagramme de Ia baciérie retrouvée sur 'EOBU. Des conseis dhyda {ation sont systématiques. Aprés fobterton des résul tots, deux soustons * la patente na plus de sjmptéme tique ou contre nest nécessave + la patente présente des symplémes persistant: le ‘vaitement antbiotaue est embise orients F-161-2 Sis symptimes sont intalement top Important, une antbiothérapie probabliste, seconciairement adaotée ‘2 antibiogramme est prescit 161-2, ‘aucun antbio Cystite récidivante + Activité sexuelle, * Ulisation de spermicides (déséquibre do 'a fore vagnale commensal) remiére IU avant lige de 15 ans. Antécéden dM! dans la farile au premier degré ‘mere, soeur ile + Obéste Facteurs supplémentaires chez les femmes méno- pauséos prolapsus vésica, Incontinonce urinaire, résidu vésical postmetonne, ‘bit on oestroganes, ‘Gyttas risque de complieion = ECB | “Tater pow ow dite de 24-4 sesbotiaownise salve byrne | Ancotbrannnae pobsnie ‘Adaptation &Yantiogranme des que possible eae Linterrogatcire doit rechercher facteurs de risque de complication (Ct. encacté IU {risque de complication en début de chaps), aniécécients familia dU, antécédents personnels ‘98PNA, ncantnence urinaire, charge abcorinale ‘cupelvenne, cabere ‘sympiémes, ‘requence (nombre de cysts dans Fann ménopause relations eexulles et coniation avec la survenue es cysts, nombre de partenaires, ‘contraception dont uttstion de spermicices, antibiothérapies ot ECBU antéious. LLexamen physique doit compare un examen pelvien ‘avec recherche de prolapsus et examen de 'uréte + Pour les premiers énisades de récidve, un ECBU fest nd. + lest recommandé de ne pas fare dinvestgations compiémentaies systématques chez a ferime non ‘ménopausée sans facteur de risque de complication avec examen crique normal + Dans los auives situations, les indications de bilan (mesure du résidu postmictionne. détimétrie uri- nave, Uroscanner ou a détaut échographie, cys- toscopie, ..) devont ét discutées au cas par cas aprés évaluation clique spécialisée (rise en charge muitdscipinae, pouvant associerinfecio- logue, urciogue, gynécologue et ractologue). Ga Geo ne) Etiolegiqui Rechercher les facteurs favorisants et es tratr. ‘Traitement prophylactique non antibiotique + Régles d’hygiéne (Cr. supra Mesures générales dnygiéno + La canneberge peut Bie proposée en prevention ds cystitesrécidvantes AE col. + Les eestrogénes en application locale pewent dre proposés en prévetion des cysitesrécvantos choz les femmes ménopausées apres ais gynécologiqve, Antibioprophylaxie 1D fat de son impact écologique incivue| et cotectt, Lune anibioprophylaxie ne dalt re proposée que + chez les patientes présertant ati moins une cystte par mois, + lorsque es autres mesures ont échoue, + lorsque las cysttes ont un retentssement important sur vie quotcionne, + at loreque le tralement au coup par coup niast plus accenté par a pation, Un ECBU doit éte réalisé au plus tard une & deux semaines avant le début de fantbiapronhyiaxe, Col i dot dire négati avant de débuter la prohylaxe. La prise d'une artisioprophyiaxie continue ou discon- tinue permet une diminution de la trequence des cys ‘tes, mas oll nest que suspensive Lasurvenue dune oystte sous antibioprophyiaxe doit ‘aie réalser un ECBU et interompre antbioprophy- laxi le temps de prescrre une antibicthérapie curative sur documentation, Les madaliés sont détaliées dans falgorinme F-181-3, La durée de fantbioprophy/axio, lorsqu'l est décidéo, est dau moins 6 mois, avec réévaluation 2 ‘ois/an La patente dot 6 informée des affets indésabies Potentiels et de is cispartion de eet prevent a arét ‘du traterent Idem cysite simple. ‘Chez cortainos pationts, aprbs éducation, possibite Sauto-méication BU pais antibothérapo si BU posive (female les foronnances la patent Stratégie a rvaluor 2 foisan, F 191.8: Traitement des cystites récidivantes 1 Traterent rbot a coip pr ous ‘yates chiens ‘dtmemies spe ‘eterentgopacbae nn tog Siaumoina un épaede ‘ms “ducuter artbiopropylaie ‘atte postcetale Le prise aii 2 heures are Zhe apres les rapport ven, sans pastrlenfoma sarin ston Tboroptlace corte “Timropime os ovonyererronbtane! Trmatnaprine in prise a.tcenna) ‘ou fveche-teratane: ‘ne pesehaododare Patents one ds wets instaeaies fouons PYELONEPHRITE AIGUE a tous les tableaux de PNA BCT 1, CLINIQUE Signes de eystte souvent dscrets, présente dans la matt des cas, précédant de quelques jours les signes. de PNA, Lombalgie tébrite Favre, tissons. Douleur Unlatérale en général, au niveau dela lose lombat iraciant vers es organes géritaux externes, spontanéo, fou provoquée par la palpation/percussion de a fosse ombare, parfois emostement de a fosse lamba. Des signes digestits vomissements, darthée, météo- risme abdominal pewvert ére au premier plan BU+ECBU Recherche de signes de gravité 2 oude facteurs de risque de complication (F-161-4) Prttonephite sont cit Hone > ou Umaselne out | OL PNA graigue ‘Slane de grave? eacretng, — 2s inacaton Yan drainage | 0 cu PMA sans sone de ravi 1, NATURELLE Risque d'abcés périrénal Risque de sopsisichoe soptique Possible pyélonéphrite chronique. intamma- lion subaigué, ferose extensive avoc destruction progressive du parenchyme et insutisance rénale, Pisque do rechute, 2, SOUS TRAITEMENT: EVOLUTION FAVORABLE EN48-72H Gt Critéres d'hospitalisation + Signe de grate sepsisichos septique: Indication de drainage chiurgcal ou par racio- logis interventionnelle si obstacle. + PNA hyperalgiaue + Doute dlagnostiaue + Vomissements rendant impossible un traitement par vole orale. * Conaitlons socto-économiques défevorabes. + Doutes concemant observance du traitement. ' Décompensation de comorbid. 1. CURATIF Etlologique : antiblothéraple LLantibiothérapie est probabiliste, débutée ds [ECBU Drélevé, sans en attencre les résitats, secondaire ‘ment adaptée 4 la bacére ela son anibiogramme fen brivlégiant fartiotaue ayant le moins dlimoact sur la fore digestive). Lantbiotique dott avoir une bonne dilusion dans i parenchyme rénal. On privldgie un traitement per os, sauf en cas de troubles digests cu de signes de grav, ou Interventionnel en sstacle Drainage chirurgl urgence en cas di ‘Symptomatique : antalgiques/antiémétiques 2, PREVENTIF: RECHERCHER FACTEURS FAVORISANTS ET EXPLIQUER LES REGLES D'HYGIENE (CF. SUPRA), Principales différences entre les PNA IMfautciférencier les PNA simples des PNA a risque {de complication, avec ou sans signe de grav, carla prise on charge difare (7161-4) Tel 4; Tableau récapitulatit des principales ditférences entre les PNA PNA simple non grave PNA@ risque de complication non grave PNA grave Geone Hémocultures. Uniquement sidoute _Uniquement si doute agnostique system aque slagrostaue INES, CRP, eréatinine Non systémaleue —_—Systématique systématique Imagerie Non systématioue —_Syst6matique Systématque Antibiothérapie Monothérapie Monothérapio| Bithérapie Surveillance Clinique si évoltion favorable ECBU + Uroscanner si avre 8 72h du début c'une antibothéranie adaotbe PNAsimple sans signe de gravité Geo cae 1. BIOLOGIE Hémocultures La présence c'une hactérémie a entérobactére ne madife ni le pronestic, nile choix, la durée cu traitement antbiotque. Iinest done pas nécessaire ce réaser des hémo- cuits pour une PNA simple dnt Ia présentation est typique, Les hémocutures sont indiquées en eas de doute dlagnestique. + NES, CRP, créatinine : non systématique. Ls CRP ett élovéo iors dune PNA, au contraite dune cyst 2. IMAGERIE +17 épisode de PNA sinple non hyperaigique : pas imagore. + Audiol clu 1* épisode de PNA simple : 6chographie rénale ot des woes urinaire, 1 PNA simple hyporaigique ou on cas evolution ct Vorable aprés 72h de tratement adaols:urascanner dans es 24h @ défaut, si conte:indication ou ndis- pponibilts: échographierénai) Bilan complémentaire systématique d'une PNA simple non grave : BU ~ ECBU uniquement {avant toute ativiothérani). Le valtement des PNA simples sans signe de gravté st exposé dans la F-161-5. Durée de Vantibothérapie « 7 jours s|vaitement par ‘uoroquinolone ou B-actamines parenterae, 10 jours ‘avec las autres anvo.ctiques, Une réévaluation est nécessate 63, avec réévalu tion clinique, et adaptation de ia prise en charge aux résultats cle 'ECBU. Pas d'ECBU de contrdle systé- matique. En cas d'évolvion défavorabie (notamment, fev) 872 h dantbicthéranie eticace, Il est recormandé Sotfoctuer Un nowel ECEU, Lun roscanner(Schographie si contre-incicaton PNA risque de complication sans signe de gravite Ider PNA simple, saut + bilan sangun ‘systématique (NFS, CRP [oowant aider& suive 'évolstion), créatnine); + lest recommande de réaiser dans les 24 heures un Uroscanner, plus sensible que 'échographie pou le tlagnoste eta recherche ae complications ‘ayant injection, peut montrer des images séquel- laies e'épisodes anclons : clearces ou alrophio rénale. I peut également retower des Irhiases, {0s diatalions cavitares, ‘prés injection : Iésions de néphrite : images hhypodenses traduisant la vasoconstiction due & infection, li montre également les aboes rénaux ot péreénaux. La néohromégale ost explquée Dar Tcedéme infammmatoie, qui peut s’tencre en pérvénal, Ces images ne ton pas complalament ‘spécifques dea PNA. uroscanner permet cétudier les voies excrétrices ‘ot e rechercher une uropathie, + Levatement des PNA a risque de complication sans signe de gravité est exposé dans la F-1615. + Durée de Tantibithérapie : 10-14 jou, fouons Fase deste comet i Fa" ut rater a FO aearatve 30 parent etaime,cetinare ea dalergie:amipoid mice, getaricr outebramyeie) Rett par vol rae adapts ‘sara de Fabiogramme xvoxln (pir soueh srl) Sroweline sede clare ‘orqundore pratonacre ou stoxce) Cioxme unk total atrent ‘Tiours FA ou 9 stanine paste as pari: Fa uorequnolong: irooxacine ou ofoxacre ou Kvooxacr. PNA grave + Biologie Hemocutur, NFS, CRP, creatine. + Imagerie ‘Urascanner Pour fa PNA grave, une bi-antibioinéranie associant Belactamine + amikacine est systematique F-16"-6), Dans le cas pariculer du choo septique la grauté de infection juste de prendre en comple le rscue din {ection & entérobacteriasrésistantes aux CG (notam- iment le risque dinfecton & EBLSE) de qu'un facteur do risque est présont. La -iaclamine sera alors une cearhanénéme on lou ot place do la C3G parontéralo En absence de choo septique, la probabité infec tion enteobactérios résistanies aux O8G ne sera prise en compte seulement en cas dinfection ou de ‘colonsaton & EBLSE dans les 3 demiers moe, { Timm iothérapie des PNA graves Tratement probabiate Ea: See i a fclontaon sta sorbet {aa etotweme ov erator) I rpactre itt ut Co are ‘isouene serve t pipersciire tsb: potash sing eabnpenome ‘ntropineme oumindre Poco toga duress” ee CaS coast ans Sogelmnenm —*eTleueparse” [Pg et ae ‘anne area || toate “Siprésence dau moins un penisurt eae tiatem [ns teonsbare aa tse eco ere Soot ‘Reopinere osimpenires IU MASCULINES/ PROSTATITE AIGUE 20.850 % des hommes connaitront un épisode dU au cours do lour vio. Les prostates surviennont toujours pds ia puberts Une IU dit fave rechercher une pathologie préexis- tanto du bas apparel urinave (sténose urstale, acé- rome prostalique..), ou des gestes invasits(chrurgl ccatnetrssme ond uri, eu dantbiariques cttusent bien dans le tissu prosta- ‘ique : I s'aght prncinalement des forocuinolones et a cotrmoxazale, Geo ne) [Non ou insufisamment trate, la prostate alge peut se chronilser. Linfection évalue alors par poussées ssubaigués. Le parenchyme prostaique se fbrose et forme des nodules, parfoiscalciiés, dans lesquels les anibictiques pénétren dffciement Les IU mascuines pouvont varie, de formes peu synp- tomatiques sans fore juscu’su choc sepvque. CCatte divers jstife de moduler la prise en charge Infale on fonction des signes clniques F-181-7, Cependant, aucun test diagnostique non invasif ne permet décarter une infection prostatique, qui doit ‘done toujours ére prise en compte dans la prise en charge {chox des antibitiques, durée de traitement, ban uelogiau F-161-7 : Prise en charge des IU masculines selon le tableau clinique J t Sep faterton Fibre rae topes Gime awa tance ares out Intestin de canage ———_immnodpession esr N n i Hesptalsation Hespiaiatn Prius ‘abusive paibonnape anibemenoe Aniborinoe Dit oareent "eer de PRA rue lage PNA S ague aubioganne Pragrave ‘decorglon| ae corplesan| sans dogeeté | ijeare agrear pe I L L “rater acuta “21 ous dons Pe ed ee 1. CLINIQUE Forme typlaue de prostatite algué ‘Associaton evra otsignes urinares + owe, suours, f'ssons , survenve brutal ; 4 troubles micionnels : brlures mictonneles, dys, polskie ouleurs peliennes,indépendantes des mictions toucher rectal (TR): prosiato argmontée de volume, tendue,régulbre rés douloureuse + rechercher systémavauement une rétention aigu’ urines, Formes moins typiques de prostatite algué / autres IU masculines 1 eho: Fueemuielone pa os ltoxache 0 era) Scho: C3C 0 solute ovens) chat: eontine co, prelnatazobatam Ween ure ttn rater ours en cas de therqurloe et otrmoxazoe ars stone “Toute fibveinexpliquée chez homme, méme jeune, ‘dot faire rechercher une IU Forme peu ou pas iébrie TR normal Tableau do ‘cyst Tableau de pyéionéphite 2, BIOLOGIE BU+ECBU, Hémocultures uniquement en cas ce bre 3, IMAGERIEALA PHASE INITIALE + Echogr urinaires par voie sus- ppubienne en urgence (< 24.) si: ‘douleurlombaie, ‘suspicion de réterton aigué dures, sepals, antécsdent de ithase des vies Urinals. 1 Léchographie par voie endorectale est contr indi- ‘qube aia phase aigué car rs coloureuse, fouons Bes Plus tequentes en cas de retard thérapeutique, ou sur terrain mmunadsprime reéemtionaigué c'urines + choc septique. * abots prostaique ‘extension de infection: 6iccymite,orhipakymite passage 8 la chronicta, surtout si antbiothérapie Inadepté. Critéres d'hospitalisation em PNA, + critres su vants + réienton agué curves + immunodépression profonde. 1, ETIoLosiQuE Antibiothéraple (F-161-7) It recommandé dans les formes pauc-symploma- liques «attendee fe résutat de TECBU pour débuter Tantbiothrapie. Dans les autres stustions, une ant: biothérape probabilste dot are instaurée dé les pré- levements microbiologiques réalisé. Antibiothérapie documentée + Ala diffrence des IU de la forme, tos fuoroqui- rnolones sont & privgier pour le tratement des IU ‘masculines documentées &bactére sensiole, méme lorsque autres molécules & spectre plus état sont ‘sponibles, en raison de leur excetente dtusion prostaque Le cotrimoxazole est une alternative aux fioroqu rnolones pour le vailement des 1U masculines dues 4 une bactére sonsibe : sa dusion prostatique est ‘ues bonne, mas les données ciniques detfoacké sont moins nambreuses. + Lorsque les fuoroquinolones ou le cotemoxazole ne ‘ewer re utisés(contre-nciation, résistance), le ‘choix est guid par Fantbiogrammeetles données de ‘dtlusion prostatave + Le céinome, amaxiline-acde clavalanique, Ia fos foryeine-ttomatamol, la nitrfurantoin, le pivme- cilinam niont pas de place dans le tratement dos TU masouines, en raison dune difusion prostatique Insutisante Prise en charge ur legique Alapphase initiale + En présence d'une rétenton aigué durines, fe cra nage des urnes est impératt. I peut ére réalisé par fit eter ola ukson ol see sence] far Veo rata + En présence dun abcds prostaique, le taitement anibiotqueestle plus souvent effcace. Le drainage chirurgical esta dscuter en cas d'évoluton détavo- rable malgré uno antbithérapie adapt. Recherche d'une uropathie sous-jacente + Lors lun premier 6pisode di masculine sigu, n- terragatoreett examenphysiquedoiventétredétaaés pour rechercher une anomale anatomiave e%/ou ‘onctionnele des voies urinates (notamment vésico- prostatque): pola, miclon imperieuse, amin tion de la force du jet, nycturie,dysurie en période ‘on infectuse, ou anomale au toucher real + Das le deuxéee épisede, ou si une ancmale des vies rinaes est suspectée fet notamment aprés 60 ans Lune échograpne ces voies urinates avec quantf- ‘cation cu résidu post mictionnel, une consultation aluroiog, et sein les cas une dbimérie urinaire sont recommandées 2, SYMPTOMATIQUE Artaigiques, tydratation, a-bloquanis si rétention ‘aigué dunes. Les AINS sont proserts Antibioprophylaxie iniauée lore des biopsies prosta ‘iques transrectales et lors de certains gestes ercios- ccopiques par voie urérale retrograde. Une rédvaluation est nécescare& J, avec examen ch rigue et adaptation dela prise en charge aun résultats de ECBU, Pas d'ECBU de contre systématiqu En cas d’évoluton defavorable apres 72 h dana ‘thérapie adapiée (persistance de in fdvre sans am oration clinique, appartion de signes ce gravid est recommande daffectuer = Un EOBU ; + un examen cimagerie pour rechercher une compl- Cation notamment abcés prostatique ou extension ér prostatoue) sot IRM de la prostate, seit &chographie par vole endorectaa, le scanner est Un examen malns perfornant par ‘apport IIRM pour fexamen de a prostate, mais. présente Un intérét pour Fexpieaton du reste de Fepparei urnaie Léchec thérapeutique peut éire favorisé par une antibiothéapie inadapiée (molécule inapproprise Ispecte, difusion), durée de toitement top courte, ‘ou par Tabsence de correction d'un trouble urolo- ‘ious sousjacent PARTICULARITES DE CERTAINES SITUATIONS Sujet agé > 65 ans 6-5 trae LIU est a 2 cause dinfection du sujet Agé aprds los Infections respiratoves. La colonisation urnaie est rds équente cheze suet 96, et lorsque augmente avec age, le sexe férinin tla dépendance {résidence en institution). Chez les femmes autonomes vivant a domicile, la prevalence est do 10 % entre 70 et 80 ans, alors cue choz les suets des deux sexes vivart en institution, elle varie de 20, 50 % selon les études. Au-dela de 80 ans, un tors 4 la: malié des femmes présentent une colonisation Uurnaio, versus un homme sur quatre. I ne faut pas Cconfondre infection et colonisation. 2 Etiologie et pathagénie ‘Concernant es infections, le spectre de bactéries ve ponsablas est dtférent: E col < 80 %, plus de bacté ries Gram posit, fort taux de résistance en institution 79 ars, ou > 65 ans ot ragies (9 rt tres de Frac + les signes urnaires peuvent ate absents 1 lorsquils sont presents il est ctcle dels rattacher avec cervide @ Une IU, car de nombreux signes Urnsires sont présents en temps normal dans cette population: polakiurie, Incontinence ; cost alos fa ‘oafcation récente de a symptomatoiogle qui dot alert + de plus, peut se manifester par des signes non rinaires: syndrome contusionnal, perteeaulonomie. ‘écompensation de comorbid, chute inexpliqube Geo ne) Les préléverents urnsres sont plus dices & réa- liser: 1/8 cont contaminés, Le recours au sondage “aler-retour & visée diagnostique femme} ou au col- lecteur pénen (homme) est parfols nécessaie on cas, incontinence totale. La fréquence des colonisations urinaires: dans ia population agée rend diffe interprétation de ECA, ‘Fautant que la leucoeyturie, frequente chez le suet 96, n'est pas spécifique dune infection. Lors dubilan dune fre chez une personne agée, la constatation dune bactériue avec eucooyture, ‘sans signe clinique dU ne pormet pas de ‘apport aves ceritude la fevre une IU Ider \U a risque de complication sige > 78 ans, ou > 65 ans et fragile (2 3 crtres de Fried). ‘Adapier la posologie des antbiotques & la clearance de Is réatnine.Artention aux risques cetets secon- dares ot cinleractons des medicaments 1161-5 : Résumé des particularités des IU chez le sujet agé Sujet gs — Sujet ag6 s75ans, > 75ans, ou ontfragile > 65 ans et fragile {cSeritéres @Scritéres de deFried) Fried) Démarche Idem suiet__En présence d'une dlagnostique jeune Dbactrire, sans signe dU mais avec symotomos aspécifaves (contusion, chutes, I, une est possibi aut ‘cependantéiminer los autos stologios potentotes (inésieaments .) Démarche Liv est toujours thérapeutique Arisque de ompleation, fouons Grossesse Les IU gravidiques sont par détintion a rsque de com: plication IU Ia pls ‘roquente des inections bactériennes au ‘cours dela grossesse, Les femmes enceintes & haut risque dU gravidique sont celles ayant + une uropathe fonctionnelle ou organique sous Jacente, + dee antéctdnts dU, + un diabete sucré, Pet cnc Pari Une colonsation urinaire non tratée va porsisor ‘durant toute ia grossesse et expose a un risque elevé (20-20 %9) de pyélonéphie. Dépistas ‘colonisatior systématique mensuel des Uurinaires par une BU a partir du 4° mois de grossesse. ‘Toute BU positive (leucocytes et/ou nitrites) Impose un ECBU. ‘Toute colonisation urinaire doit étre taitée. Pourles femmes & haut risque dU, un ECRU ost rec: tement reconmandé & Ia 1* consultation de début de ‘roseesse, pus de mandre menue partir du é°make, La présence dun streptocoque di groupe B dans un CBU lors de la grossesso ost assaciée & une colo sation vaginale, et nécessite,outve le tratement en ‘cours de grossesse, une prophylaxe en per partum. LLentbiotérapie. ces colonsations naires grav diques est cfemblée adaptée aux données de fant. gramme F-181-8) F-161-8 Colonisation urinaire gravidique Colonaation rina graidique ‘bactérurlessymptomatque) Tratementembie sein antbiogrme {sfesomyer rode ctimetaprre eter ies deat premier oe de la grovrese) © Orsi encndant elo inp secba) ‘nioturarae raters Rea corre) “cormatare eve es? emer ral) eae Dart ttle: Tipu aut tose sorta (x8 ug) Antibiotiques utlsables lors d'une oystte sigue * railement probabilste pour la cysiteinialement Ferg), + ‘railement acepté & Fantiogramme, en relis F618) F-161-9: Cystite aigué gravidique ystie graviique cou -Anibomieape probate " mlenson:pveiinam 2 Srhorne ‘evtrtes ot promi Pas Se grosses) { prarhedescnaare ston npaeécoogaue) cormronale eee 2 reer "roweline see avers ure totale: urs Sail ostomy rome (ios eae Geo ne) Peres 7461-10: PNA gravidique sans signe de gravité } Poe te SRT ST Evaluation intiale en milieu hospitalior ae Traiement ambulatote seconcatrament endsageable 0 feta cate sitovs les ertéres suivants sont uns lors * oannetolgance clique: can aay PNA non hyperaloique : frac tmeetieticmel + absence Ge vomissement + examen cbstétrcal normal + contexte permettant une surveilance & domicile par ireles dems ost t ‘elas par vie orate. es proches. ante autres de antblogramme 1 absence immunodépression, dlanticédents

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