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I. Anatomi de Cerveau: Le Cerveau: Voir La Figure 1
I. Anatomi de Cerveau: Le Cerveau: Voir La Figure 1
Anatomi de Cerveau:
Le Cerveau
le cerveau demeure partie d’un tout. L’individu n’est pas réductible à cet organe car le cerveau est en
constante interaction avec le reste du corps. Le cerveau est l’organe siège des facultés mentales. Il
assure, à la fois, les fonctions vitales en contrôlant le rythme cardiaque, la température corporelle, la
respiration, etc., et les fonctions dites « supérieures » telles que le langage, le raisonnement ou
encore la conscience. Cet organe comprend deux hémisphères (gauche et droit) dont la surface se
divise pour chacun en lobes (occipital, pariétal, temporal et frontal). Les principaux composants du
tissu cérébral sont les cellules gliales et nerveuses(neurones). Le neurone est considéré comme
l’unité fonctionnelle de base du cerveau, qualité conférée par son importante interconnectivité et sa
spécialisation en matière de communication. Les neurones sont organisés en réseaux fonctionnels
localisés dans différentes aires du cerveau.
La structure du cerveau
Le corps humain est symétrique par rapport à un axe vertical (un œil, une main, une jambe à gauche,
la même chose à droite). Le cerveau lui aussi est divisé en deux parties principales, les hémisphères
gauche et droit. L’hémisphère droit contrôle la plupart des actions de la partie gauche du corps, et
vice versa. Ainsi, une attaque ayant endommagé l’hémisphère gauche se répercute-t-elle sur la partie
droite du corps. L’hémisphère droit traite principalement les capacités spatiales et la reconnaissance
des visages. L’hémisphère gauche, lui, s’occupe plutôt du langage, de mathématiques et de logique.
Entre les deux, un ruban de 250 millions de fibres neurales baptisé corps calleux sert de passerelle et
permet l’échange d’informations. Même si certaines activités dépendent surtout de l’un des deux
hémisphères, les deux contribuent à l’activité cérébrale globale. D’ailleurs, le fonctionnement de
chaque hémisphère est beaucoup plus complexe qu’on ne le croit souvent, et les deux
communiquent par un système de neurotransmetteurs. Il est donc simpliste de dire qu’une personne
apprend « en utilisant son cerveau gauche » – ou son cerveau droitDans le cerebrum, on trouve le
cortex, sorte de couche feuilletée de cellules, principalement constitué de substance grise et de
substance blanche6. Pour pouvoir se loger à l’intérieur du crâne, le cortex, d’une surface de 2 000
cm2 et d’une épaisseur de 2 à4 millimètres, présente de nombreuses circonvolutions, les « collines »
(gyrus, pl. gyri) et les « vallées » (sulcus, pl. sulci). La plupart des neurones du cerveau humain se
trouvent dans le cortex, essentiellement dévolu au traitement des fonctions dites supérieures.
Les lobes
Chaque hémisphère est divisé en lobes (voir la figure 1 ). Toute compétence complexe dépend de
l’action coordonnée de plusieurs réseaux neuraux spécialisés, localisés dans différentes parties du
cerveau. Le lobe frontal est impliqué dans l’action et la planification. Le lobe temporal joue un rôle
dans l’audition, la mémoire et la reconnaissance des objets. Le lobe pariétal est impliqué dans les
sensations et le traitement de l’espace. Le lobe occipital est essentiel à la vision. Chaque lobe est
subdivisé en réseaux de neurones imbriqués les uns dans les autres, et affectés au traitement
d’informations précises.
Figure 1: Les lobes de cortex cérébrale
Le lobe frontal comporte quatre circonvolutions principales : le cortex moteur primaire, le gyrus
frontal supérieur, le gyrus frontal moyen et le gyrus frontal inférieur (voir la figure 02 ). Le cortex
moteur primaire est associé aux mouvements volontaires, le gyrus frontal supérieur à la planification
comportementale, le gyrus frontal moyen aux fonctions exécutives supérieures et aux processus de
prise de décision. L’aire de Broca, dans le gyrus frontal inférieur, est associée à la production
langagière, au traitement et à lacompréhension du langage. Elle est reliée à l’aire de Wernicke, à la
jonction des lobes temporal et pariétal, associée à la reconnaissance du langage parlé. Les lobes
frontaux sont associés à de nombreuses fonctions cognitives supérieures, dont la planification, le
jugement, la mémoire, la résolution de problèmes et le comportement. On peut dire que
globalement, le cortex frontal a pour fonction exécutive le contrôle et la coordination du
comportement, y compris les comportements socialement indésirables. À mesure que le cerveau
gagne en maturité, il se myélinise progressivement, de l’arrière vers l’avant. Puisque les axones
myélinisés transmettent l’information plus vite que ceux qui ne le sont pas, la maturation du cerveau
permet probablement un meilleur fonctionnement exécutif. Au contraire, la démyélinisation (perte
de myéline) est liée à des maladies comme la sclérose en plaques Le lobe pariétal est constitué du
lobule pariétal supérieur et du lobule pariétal inférieur, séparés par le sillon intrapariétal. Le
precuneus, le gyrus postcentral, le gyrus supramaginal et le gyrus angulaire en font partie. Certaines
aires du lobe pariétal sont associées à l’apprentissage des mathématiques (voir le chapitre 5). Le lobe
pariétal sert aussi à intégrer l’information sensorielle et traite les données visuelles et spatiales. Le
gyrus angulaire traite du langage et de la cognition, y compris les métaphores et l’abstraction. Le lobe
temporal gère les signaux sonores et l’audition, y compris le traitement de la parole – surtout le lobe
temporal gauche. Il est associé aux noms, à la compréhension et aux autres fonctions langagières. Le
gyrus fusiforme gauche, lui, est associé à la reconnaissance des mots, des nombres, des visages, et au
traitement des couleurs. Le lobe occipital se trouve à l’arrière du cerveau, au-dessus du cervelet, et
abrite le cortex visuel primaire. Il est associé au traitement des informations visuelles, à la
différentiation des couleurs et des mouvements.
Figure 02: Le lobe frontal
Ventricules cérébraux:
Les ventricules latéraux , ou ventricules 1 et 2, sont de grandes cavités dont le forme en C rappelle le
déroulment de la croissance cérébrale. On trouve un ventricule latérale enfoui dans chaque
hémisphère cérébrale . à l’avant , les ventricules latéraux ne sont séparés que par une mince
membrane appelée sptume pellucidume (cloison transparete ) (voire la figure 03 ) chaque ventricule
latérale communique avec le troième ventricule, assez étroit et situé dans le dieenciphale. Par le
truchement d’un petit orfice appelé foramen interventriculaire du cervaeu,ou trou de Monro , le
troisième vontricule communique à son tour avec le quatrième vontricule par l’intermédaire d’un
canal qui traverse le mésencéphale, appelé aqueduc du mésencéphale, ou aqueduc de sylvice. Le
quatrième vontricule apparait comme une cavité située enter le pont et le cervelet: ca partait
inférieure communique avec le canale centrele de la moelle épinière . ses paroi latérale sont percées
de deux orifices. Nommés ounertures latérales du quatrième vontricule, ou trous de luschka:
l’orifice situé sur son toit est appelé ouverture médiane du quatrièm ventricule, on trou de
Magendie. Ces orifice relient les ventricules à la cavité subarachnoÏdienne, ou espace sous-
arachnoÏdien cranien. Qui entoure l’encéphale et la moelle épinière et qui est remplie de liquide
cérébro-spinale. C’est grace à tout ce système d’ouvertures que le liquide cérébro-spinale peut
circule dans les différent cavités internes de l’encéphale et s’couler vers la cavité subarachnoÏdienne.
(....)
Il absorbe et amortit les mouvements ou les chocs qui risqueraient d'endommager le cerveau.
Il est également le liquide dans lequel sont évacuées les molécules et les « déchets » provenant du
cerveau et joue également un rôle de protection immunologique. Sa composition est ainsi supposée
refléter l'état physiopathologique du cerveau : inflammation, infection, présence de molécules
pharmacologiques, etc.( https://www.fondation-fondamental.org/liquide-cerebro-spinal )
Diencéphale:
Le diencéphale est recouvert des hémisphères cérébraux et forme avec eux le cerveau. Il est
composé essentiellement de trois structures présentes dans les deux hémisphères, soit le thalamus,
l'hypothalamus et l'épithalumus, situées de chaque côté du troisième ventricule (voir la figure 04).
a- La thalamus:
La thalamus (thalamos = chambre interne] est de forme ovoÏde : Il représente 80% du diencéphale. Il
constitue les parois supéro-latérales du troisième ventricule. Il est composé de deux masses jumelles
de substance grise retenues par une commissure médiane appelée adhérence interthalamique, ou
commissure grise. Le thalamus comprend de nombreux noyaux aux functions spécifiques dont la
plupurt sont nommés d'après leur situation relative. Chacun de ces noyaux projette des neurofibres
vers une région définie du cortex, et chacun reçoit des neurofibres issues de cette même région. Les
afférences provenant de tous les organes des sens et de toutes les parties du corps convergent dans
le thalamus et y font synapse avec au moins un de ses noyaux. Dans le noyau ventral postéro-latéral,
par exemple. on trouve d'importantes synapses entre les neurofibres qui acheminent les influx en
provenance des récopteurs sensoriels somatiques (du toucher, de la pression, etc.). De même, le
corps géniculé latéral et le corps géniculé médial sont d'importants relais pour les influx visuels et
auditifs respectivement. Le tri et une certaine l’orme de traitement de l'information s'effectuent dans
le thalamus. Les influx reliésà des fonctions semblables y sont groupés et retransmis aux aires
sensitives et associatives appropriéus par l'intermédiaire des faisceaux d'association et des
neurofibres de la capsule interne. À mesure que les afférences sensitives atteignent le thalamus,
nous pouvons distinguer grossièrement si la sensation que nous sommes sur le point d'éprouver sera
agréable ou désagréable. Toutefois, la localisation et la distinction des stimulus se déroulent dans les
différentes aires du cortex cérébral. En fait, la quasi-totalité des influx nerveux envoyés au cortex
cérébral passent par les noyaux thalamiques: los influx qui participent à la régulation des émotions et
des fonctions viscérales traversent les noyaux antérieurs du thalamus en provenance de
l'hypothalamus: certains de ceux qui dirigent l'activité des aires motrices traversent le noyau ventral
latéral et le noyau ventral antérieur en provenance du cervelet et des noyaux basaux
respectivement. Quelques-uns des noyaux thalamiques (le pulvinar, le noyau latéral dorsal et le
noyau latéral postérieur) participent à l'intégration des informations sensorielles et projettent dos
neurofibres vers des aires associatives précises. L'ensemble des noyaux thalamiques est enveloppé
par une mince couche de cellules qui constituent le noyau réticulaire du thalamus: ce noyau semble
influer sur la concentration et l'attention en exerçant des effets inhibiteurs sur tous les autres noyaux
du thalamus. Le thalamus joue donc un rôle essentiel dans la sensibilité, la motricité, l'excitation
corticale, l'apprentissage et la mémoire; il constitue véritablement la porte d'entrée du cortex
cérébral.
b- Hypothalamus
c- Épithalamus
Tronc cérébral
De haut en bas, le tronc cérébral est composé du mésencéphale, du pont et du bulbe rachidien (voir
la figure 05). Chacune de ces régions mesure environ 2,5 cm de longueur. Le tronc cérébral est
semblable (mais nan identique) à la moelle épinière sur le plan histologique, c'est-à-dire qu'il est
constitué de substance grise entourée de faisceaux de substance blanche. Les centres du tronc
cérébral produisent les comportements automatiques et immuables qui sont nécessaires à la survie.
Placé entre le cerveau et la moelle épinière, le tronc cérébral constitue un passage pour les tractus et
faisceaux ascendants et descendants qui relient les centres inférieurs et supérieurs. En outre, le tronc
cérébral est un élément primordial de l'innervation de la tête, car ses noyaux sont associés à 10 des
12 paires de nerfs crâniens .
Les neurones (ou cellules nerveuses) sont des cellules hautement différenciées, spécialisées dans
Chez l’adulte, les neurones matures ne se renouvellent pas, car ce sont des cellules horscycle qui ne
se divisent pas. Les cellules neuro-sensorielles olfactives font exception : elles se renouvellent
pendant toute la vie à partir de cellules-souches situées dans la couche basale de l’épithélium
olfactif. De nombreux travaux insistent actuellement sur l’existence dans le cerveau adulte
Leur rôle et leur importance ne sont toutefois pas encore clairement établis dans l’espèce humaine.
Un neurone seul, isolé, n’a pas de signification. La fonction du système nerveux (SN) implique que
les neurones communiquent entre eux, au niveau des synapses, réalisant ainsi des chaînes, des
Délimitée par sa membrane plasmique, la cellule nerveuse est constituée par un corps cellulaire
(ou soma ou périkaryon) d’où partent des prolongements (ou neurites) de deux types, les dendrites
et l’axone, qui diffèrent par de nombreux caractères. Les dendrites, habituellement multiples,
et toujours très courts, conduisent l’influx nerveux (ou signal nerveux) vers le corps
cellulaire, alors que l’axone, toujours unique, parfois très long (pouvant atteindre 1 mètre), conduit
l’influx nerveux à partir du corps cellulaire et en s’en éloignant, jusqu’à ses cibles.
La plupart des neurones possèdent, au milieu de leur corps cellulaire, un noyau unique, volumineux,
sphérique, clair, à chromatine dispersée, avec un gros nucléole, arrondi, dense, bien visible
en MO.
homogène
L’appareil de Golgi, habituellement volumineux, est situé dans le corps cellulaire, en position
juxta-nucléaire
Les corps de Nissl se situent dans le corps cellulaire et éventuellement dans les dendrites
L’examen en MO de préparations colorées par des bleus basiques montre que le cytoplasme
du corps cellulaire neuronal et de la partie proximale des dendrites contient un matériel intensément
basophile réparti de façon variable et se présentant sous forme de blocs assez volumineux
Présents également dans les dendrites, les corps de Nissl sont par contre totalement absents
— Les mitochondries sont nombreuses et réparties dans le corps cellulaire, les dendrites
et l’axone
— Le cytosquelette est particulièrement riche. Présent dans le corps cellulaire, les dendrites
(ou transport axonal) qui permet les transports bidirectionnels d’organites (mitochondries,
entre le corps cellulaire et les extrémités axonales. Les synthèses protéiques ont
lieu dans le corps cellulaire du neurone et ne peuvent se produire dans l’axone. Ainsi,
les produits nouvellement synthétisés doivent cheminer le long de l’axone pour permettre
lent) allant du corps cellulaire vers la périphérie et un flux axonal rétrograde cheminant
en sens inverse. Le flux axonal rapide antérograde est assuré par les kinésines qui
se lient aux organites à transporter et aux microtubules axonaux. Le flux axonal rétrograde est assuré
par les dynéines cytoplasmiques qui réalisent comme précédemment
un pont protéique entre l’organite et les microtubules. Dans les deux cas, le mouvement
est généré par l’activité ATPasique de ces molécules. Les mécanismes du flux
En plus des principaux organites précédemment décrits, on trouve encore dans le cytoplasme
(pigment jaune-brun dont l’abondance augmente avec l’âge). Les neurones adultes ne possèdent
Dans le cas des synapses excitatrices, les boutons axonaux permettent la transmission
bouton axonal, le chargement des neurotransmetteurs (NT) dans les VS, la fusion des
post‐synaptique qui laissent passer des ions sodiques (Na+), induisant ainsi la
Le potentiel de membrane (Vm) au repos des cellules est le fruit d’un déséquilibre ionique entre le
milieu intracellulaire et le milieu extracellulaire. Le Vm au repos est en fonction de la concentration
des ions de part et d’autre de la membrane, de leur perméabilité et de la température. L’équation de
Goldman–Hodgkin–Katz permet le calcul du potentiel membranaire (Goldman 1943). Comme au
repos la perméabilité membranaire est nettement plus élevée pour le K+, le Vm se situe près de la
valeur d’équilibre de ce dernier. Le Vm se situe généralement autour de -65mV dans les neurones
sensitifs des fibres C et Aδ. Un mouvement d’ions de part et d’autre de la membrane influencera
donc le Vm.
Le potentiel d’action se définit comme la modification transitoire du Vm. Il survient lorsque les
cellules excitables sont stimulées et permet la transmission d’un signal électrique. Les PAs sont créés
par le mouvement rapide d’ions entre le milieu intracellulaire et extracellulaire. Tel que décrit par
Hodgkin & Huxley, le potentiel d’action est un événement tout ou rien (Hodgkin and Huxley 1939).
C’est-à-dire qu’il sera déclenché par un stimulus, mais que ce dernier n’influence pas l’amplitude du
PA. De façon générale, une fois le seuil atteint, il y a la phase de dépolarisation rapide, suivi de la
repolarisation, de l’hyperpolarisation et du retour au potentiel de repos (Augustine et al. 2001).
De façon simplifiée, voici la séquence générique d’un potentiel d’action. De faibles variations de
potentiels de membrane par différents stimuli (Figure 3 ii) permettront d’atteindre le potentiel seuil,
c’est-à-dire le potentiel où il y aura ouverture des canaux Na+ et dépolarisation rapide de la
membrane. L’activation des canaux Na+ étant si rapide que le voltage atteint sera près du potentiel
d’équilibre des ions Na+. En quelques dixièmes de millisecondes, il y aura fermeture des canaux
sodiques et ouverture des canaux potassiques qui permettront l’entrée de potassium et ainsi la
repolarisation de la cellule. La fermeture des canaux potassiques étant lente, une entrée supérieure
de potassium créera une hyperpolarisation de la membrane. La pompe Na+-K+ ATPase permettra le
retour aux conditions ioniques initiales par le transport actif de 3 ions Na+ vers l’extérieur pour 2 ions
K+ vers l’intérieur de la cellule par ATP dégradé.
Il existe 4 variétés de cellules gliales : les astrocytes, les oligodendrocytes, les cellules épendymaires
et les cellules microgliales. Les termes de cellules névrogliques, de névroglie ou de glie sont
a- Les astrocytes
De forme étoilée, les astrocytes sont faits d’un corps cellulaire contenant le noyau et de
prolongements
Na+, canaux-K+, canaux-Ca++, canaux-Cl-) ainsi que des canaux ioniques mécanosensibles
Les astrocytes synthétisent et sécrètent des neurostéroïdes. Ils contiennent des récepteurs
nucléaires pour les hormones thyroïdiennes, pour les stéroïdes sexuels et pour les corticostéroïdes
surrénaliens.
grand nombre de prolongements cytoplasmiques forment une sorte de réseau qui joue un
astrocytes) entourent complètement les capillaires sanguins et les séparent des neurones ;
b- Les oligodendrocytes
Les oligodendrocytes possèdent un corps cellulaire de petit volume d’où partent quelques
prolongements cytoplasmiques, plus fins et moins nombreux que ceux des astrocytes. Les
En MO, les cellules microgliales (ou microglie) apparaissent comme des cellules de petite
taille, avec un noyau arrondi ou ovalaire, dense et un cytoplasme visualisé soit par des colorations
argentiques, soit surtout actuellement par des lectines ou des anticorps monoclonaux.
Les cellules microgliales proviennent des monocytes sanguins ayant pénétré dans le
en macrophages. Les cellules présentatrices de l’antigène dans le SNC sont les cellules microgliales.
Lorsqu’elles sont activées, les cellules microgliales sécrètent de nombreuses
molécules dont plusieurs cytokines, des protéases, des anions superoxyde et de l’oxyde nitrique
NO.
simple cilié assurant le revêtement des cavités ventriculaires du SNC (ventricules latéraux, troisième
un rôle dans les échanges entre le LCR et le SNC. Les faces latérales des cellules épendymaires
sont reliées par des zonula adhaerens et d’abondantes jonctions communicantes, mais il n’existe
pas de zonula occludens. Leur pôle apical est cilié et présente, entre les cils, de nombreuses
microvillosités
dont le glycocalyx joue un rôle important dans les échanges avec le LCR. Leur pôle basal
émet un prolongement cytoplasmique qui s’enchevêtre avec les prolongements cytoplasmiques des
L’épendyme règle les mouvements d’eau entre le LCR et le compartiment extracellulaire du système