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MECA 1A 4-Corr
MECA 1A 4-Corr
#”
dL #”
= 0
dt
Le moment cinétique calculé par rapport au point O est donc bien conservé.
#” # ”
2. Par définition L(t = 0) = OM0 ∧ #” v (t = 0) = `1 u# ”x ∧ mv0 u#”y = m`1 v0 u#”z . Cette expression reste
valable en base polaire.
#” #” #”
Par définition , L(t) = re#”r ∧ m(ṙe#”r + rθ̇e#”θ ) = mr2 θ̇e#”z et on a montré que ddtL = 0 . On en déduit
que :
r2 θ̇ = `1 v0
Le poids et la réaction du support ne travaillent pas, et l’énergie potentielle du ressort peut s’ex-
primer par Ep = 12 k(r − `0 )2 .
L’énergie mécanique s’en déduit :
1 1 1
Em = Ec + Ep = mṙ2 + m(rθ̇)2 + k(r − `0 )2
2 |2 {z2 }
Ep, eff
dE
p, eff `2 v 2
4. Il faut commencer par tracer la courbe d’énergie potentielle effective. On calcule dr = −m 1r30 +
k(r − `0 ). Cette dérivée est négative puis positive et la fonction Ep, eff , strictement positive, passe
par un minimum. Un tracé qualitatif est donné ci-dessous :
7. Forces centrales 7.1. Problèmes de khôlle
Ep, eff
Em
r1 r2
• •
Ep, eff
0
0 0.5 1 1.5 2
r/`0
Dans ce graphique l’axe des ordonnées est une énergie potentielle, mais on peut également y faire
figurer l’énergie mécanique qui est constante puisque les seules forces qui travaillent sont conserva-
tives.
Or 12 mṙ2 ≥ 0 et la courbe d’énergie mécanique est nécessairement au-dessus de celle de l’énergie
potentielle effective. Les intersections entre les deux courbes donnent les rayons r1 et r2 demandés.
5. En r = ri , on a Ep, eff = Em et on en déduit 21 mṙ2 = 0 et la norme de la vitesse est vi = ri θ̇ = ri `1rv20 .
i
On en déduit :
`1 v0 `1 v 0
v1 = et v2 =
r1 r2
il vient s
e2
v=
4πε0 mr
1 e2 e2 e2
Em = mv 2 + Ep = − =−
2 8πε0 r 4πε0 r 8πε0 r
#” # ”
3. Par définition, L = P M ∧ m #”
v = mrn vn u#”z dont on déduit
s
me2 rn
LP =
4πε0
q
me2 rn
4. En utilisant la relation proposée par Bohr, il vient 4πε0 = n~, soit encore :
4πε0 ~2 2
rn = n
me2
me4
avec E0 = ' 13,6 eV .
32π 2 ε0 2 ~2
#” M0 m #”
F = −G er
TM2
#” # ” dE
On note r = T M , par définition F = − grad Ep , dont on déduit −G Mr02m = − drp . La résolution de
cette équation conduit alors à la relation Ep (r) = −G Mr0 m + cste. En supposant cette énergie nulle
à l’infini, il vient
M0 m
Ep (r) = −G
r
2. L’application du PFD à l’astronaute en trajectoire circulaire, il vient, en projection sur e#”r : −mrθ̇2 =
−G Mr02m . En coordonnées polaires, la vitesse s’écrit #”
v = rθ̇e#”θ = v e#”θ où v = cste. On en déduit que
T = 2πθ̇
et que
T2 4π 2
=
r3 M0 G
3/2
rS
TS = TH ' 93 min
rH
2πr
Les vitesses se déduisent de v = T soit
2πrH 2πrS
vH = ' 7,6 × 103 m · s−1 et vS = ' 7,7 × 103 m · s−1
TH TS
4. On peut proposer le tracé suivant, qui n’est bien sûr pas à l’échelle :
Hubble
ISS
orbite
Terre
de transfert
GM0 m
Em = −
rS + rH
6. À l’apogée l’énergie mécanique est toujours la même, mais peut s’exprimer également selon Em =
1 2 GM0 m
2 mvapo − rH . La période est introduite grâce à la troisième loi de Képler :
s
2πrH 2rS
vapo = ' 7,5 × 103 m · s−1
TH rS + rH
, en fonction de rH , TH et rS . L’astronaute peut gérer sa vitesse par l’éjection de gaz dans la bonne
direction. Cependant moduler sa vitesse de presque 200 m · s−1 ne paraît pas évident. . .
7. Sur l’orbite de transfert, l’astronaute est soumis à la seule attraction terrestre et suit donc la loi de
Képler. Il ne parcourt qu’une demi ellipse, et il vient alors
3/2
TH rS + rH
Ttrans = ' 47 min
2 2rH
θ̇ = cste
mT m
Ep = −G + cste
RT + h0
L’énergie cinétique est Ec = 12 mv 2 où v = Rθ̇. Or le PFD nous donne mv 2 = G mTr m dont on déduit
mT m
Ec = G
2(R + h0 )
mT m
Em = −G
2(R + h0 )
q
2π 4π 2 r3
3. Une révolution a lieu en une période T d’où ∆h = −αT avec T = θ̇
= GmT . On en déduit
s
4π 2 (RT + h)3
∆h = −α
GmT
q
4. La relation v = Gm r
T
reste valable, on en déduit ln v = cste − 21 ln r d’où dv 1 dr
v = − 2 r . Si le rayon
reste presque constant sur un tour, alors la vitesse également et on peut conclure que :
s
∆v 1 ∆h α 4π 2 (RT + h)
'− = >0
v0 2 RT + h0 2 GmT