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La liquidité : La notion de liquidité fait référence à la disponibilité des actifs financiers à être

rapidement achetés ou vendus sur le marché sans impacter significativement leur prix. Elle est
mesurée par le risque de manquer de liquidité. Pour un placement, outre son rendement et sa faible
exposition au risque, sa liquidité est une qualité essentielle. Un marché est considéré comme plus
liquide s'il est plus facile, rapide et moins coûteux de réaliser des transactions importantes. La liquidité
des actifs financiers tels que les actions et les obligations est assurée par leur cotation en bourse. Les
grandes entreprises multinationales ont généralement des valeurs plus liquides que les petites
entreprises évoluant sur un marché plus restreint. Le concept de liquidité s'applique à tous les marchés,
y compris l'immobilier, le crédit à court et à long terme. Un problème de liquidité sur un marché peut
se propager à d'autres, et si un investisseur doit faire face à un besoin urgent d'argent, il peut se tourner
vers des actifs plus liquides de son portefeuille pour les vendre rapidement.

Reformulation de la définition fait par le site la finance pour tous


https://www.lafinancepourtous.com/decryptages/marches-financiers/fonctionnement-du-marche/liquidite/#:~:text=Au%20singulier%2C
%20le%20terme%20de,%2C%20c%27est%20sa%20liquidité.

risque : Le concept de risque tel que défini par la Commission européenne, prend en compte deux
éléments :
La probabilité que survienne un élément dangereux et la sévérité de ses conséquences.
Le risque attaché à un événement particulier se caractérise par sa probabilité et par la gravité de ses
effets. Les effets ou conséquences classiquement étudiés sont :
- les effets toxiques par inhalation de gaz ou d’aérosols toxiques ;
- les effets thermiques par brûlures consécutives à un incendie ;
- les effets de surpression suite à une explosion.
Les risques peuvent être classés en 3 catégories :
- Les risques intolérables.
- Les risques qui doivent être limités autant que possible.
- Les risques acceptables soit parce que la probabilité et/ou la sévérité du risque est/sont négligeables
en comparaisons d'autres risques.
La sévérité des risques est classée en 4 catégories : catastrophiques, dangereux, marginaux,
négligeables.

Directive Seveso 2 : ''probabilité qu'un effet spécifique se produise dans une période donnée ou dans
des circonstances déterminées. En conséquence, un risque se caractérise selon deux composantes : la
probabilité d'occurrence d'un événement donné, la gravité des effets ou conséquences de l'événement
supposé pouvoir se produire.''

Le risque résulte donc de la combinaison d’un danger du à la propriété ou à la capacité intrinsèque


d’un agent dangereux (équipement, substance, déchet) ou d’une situation dangereuse (contexte de
travail), difficilement modifiable, et de l’exposition à ce danger qui, elle, peut-être maîtrisable. »

Référence : Actu ENVIRONNEMENT https://www.actu-environnement.com/ae/dictionnaire_environnement/definition/risque.php4

LES FONDS PROPRES : « A la création d’une entreprise, les fonds propres sont représentés :
• par le capital individuel dans une entreprise individuelle,
• par le capital social dans une société.
Le plus souvent il s’agit d’apports en numéraire déposés sur le compte en banque de l’entreprise. Le
capital représente la valeur de l’entreprise et constitue la principale garantie pour les créanciers.
Montant minimum du capital :
• pour une SARL : 7 500 euros (1 € pour EURL),
• pour une SA : 37 000 euros. » IUT Brive GEA S1 - 712 - Activités courantes : Le financement
des investissements - Daniel Antraigue - Page n° 3 / 16
La croissance économique : « est la caractéristique des économies de marché. C’est l’accroissement
durable de la production globale (de biens et services) d’une économie et c’est donc un phénomène de
longue période. (Long Run Growth). Par contre l’expansion signifie une augmentation brutale de la
production nationale de courte période et ne correspond pas à la croissance économique. 2 Le
développement est une notion qui inclut l’aspect structurel et qualitatif de la croissance c’est-à-dire
qu’il englobe à la fois le progrès économique et social. »

Théories de la politique de dividende : La recherche scientifique sur les politiques de distribution se


concentre majoritairement sur les soixante dernières années, alors que les politiques de distribution
existent et évoluent depuis plusieurs siècles (Frankfurter et Wood, 2003). Les politiques de distribution
telles que nous les connaissons actuellement sont le résultat d’une évolution liée à l’activité humaine
sous forme d’organisations ou d’entreprises. L’analyse historique des tendances à travers les siècles
sort du cadre de ce mémoire, mais il faut s’imaginer que les facteurs déterminant les politiques de
distribution ont varié à travers le temps et que par conséquent, les politiques ont évolué elles aussi. Les
facteurs qui ont influencé les distributions sont par exemple : les formes d’organisations commerciales
et industrielles, les préférences des investisseurs, les paramètres des marchés et l’environnement légal
et réglementaire (pouvant interdire certaines formes de distribution ou restreindre les montants
distribuables). Comprendre que ces facteurs ont évolué au fil du temps nous permet d’analyser et de
synthétiser avec plus de recul les divergences entre les politiques de distribution des firmes.

DIVIDENDE :Le terme de dividende, issu de l’arithmétique, […] se dit, par extension, de la portion
de bénéfice net qui est mise en distribution et qui revient à chaque actionnaire d'une compagnie
commerciale, industrielle ou financière. Il se dit également de la portion afférente à chaque 26
créancier sur la somme qui reste à partager après la liquidation d'une maison en faillite. »
(Dictionnaire de l’académie française, 8ème édition)

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