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a RD ee eal Li OOOEIAEEEOX Wa | RAAAAARALR IAAL. O ININ/N 7’ rf Ni 3 ~ : 2 KAAN PAN/ PAA AAA VA me {NEN wim x SS eR % OR Nw a S: 4 = sit iF =< = rey = Ww fs 1 = MATHEMATIQUE TERMINALES C a € ANAIWSE STATISTIQUE C. GAUTIER PR ROYER C.THIERCE TABLE DES MATIERES Tous droits de vaducsiun, de reproduction et d adapiation reserves pour ious pays Chopivres | — Introduction 1) = Enns matuels ot scaeence W—Censemble Ret ses. 1 ~ Equations lindaires & y ern aolicests constants m Vom at fenton wicker eee as Sdaes onctine 4 A W— Le langage dee propritée ” ~ hetivits plies ma om ary ~ Dévelopamans ines = 1 = Aetits pliniives ny | olynomiates | 18 pronmatians I= bevenes i ‘i vntnage de if ” Fanetione | — Fonsins compostes 2 1 — Drotes asympioree a ‘campos uae emcee 2 rows ot yen as eres =u le peas eit! ele mm Lene Activites Exercices et probienes Bi sur uninierole | ane 11 fhudes de fentions 27 Ml — Fonction réciproque a salted) Greicices et problémes 28 Foci epeentes 6 Fess eéqueions dans | a7 w fcgeees Seu 7 bxercices et probiemes, ur s WW — Fanctons convexes 28 Erenices et rotienes 3 Exeicices et problemes 2 Chapitre 2 |= Activites pretiminates a V — Tableau racapitulatits 205 Celeat integral, | 1 —ineyre ence dian vels | Primitives Fur lotion continue 0 10 | = ioctin 2s i — Néthoges dimegiaon 0 Toncions | t — Goures rataniuees m4 WV — Aopicotans 3 | vectoritles |i — Exenpis de couber parameies Barcel ty war Cue varie fe cnet x aes Bu ‘eal, 1 ~ Gavmatique du point a6 Chapitre 4 | — Activités prétiminaires 13 Tiakenetinge. Erorcices ut protlemes cd Suites 11 —Ginieites — Rants 1% rumérigues || — Suits convergentos 16 aia (Complements) | 1\ — Suites dnergertes tiie ape ees [ic cece = \—Eienpesa'etues de suites i fee Te a Gert poses va 4M Sous ecebles Gin enseile fk Py | Astintés paiminsines ia 1v— Dénanbvamet et proba 6 1 Unites ties ie MN = Limices énfines: 16. pores ere 2s (Complements) [IV — Functions eompastes m V— ttle ve lnctns 1 | Seoive Siri tgs atstiqve 8 ry ences poblenes % 1) Ere erin ds Chapltre 6 | — Aetintés prliminares eta eek aan Derivation | 1)— Gentraltés — pels fue bores Cab eere kN Seco ene a N= Austeneetlinéaie eee Execs ot poidoes La lot du 11 mais 1997 w'autorisart, aux terres des alingus 2 et 3 de [A\ticle 41. d'une part que les « copies ov weproducions stricternent rdservées & Tusege privé du copaste et non destinéxs & une utilisation collective », et aut part, que les analyses ct les Ccourtes citations dans un but exemple et d'ilustcation, « toute representation ou reproduction integrale, ou parietle, falta sans le iWicite.» (Alinéo Ve" de I'Article 40) Gonsertement de l'auteur ou de ses ayents droit ou eyents cause, 6 Soi. constituerait donc une eontretagon sarctionnée par les Cotte reprisentation ov reproduction, pa quelque precede a Articles 425 et suivant du Code Pénal © HACHETTE, 1963 ISBN 2.01.0091 44.2 73, boulovard Sain! Germain F-76008 Paice AVANT-PROPOS Lepréveat ouvrage présente le programme d'analyse, de combinatoireet de statistique du programme des classes de Terminale Cet Terminale FE, Comme cela fut leeas pour les ouvrages des classes de Seconde ct de Premicre, le manuserit a été relu et remanié a la lumiére des nombreuses et pertinentes critiques ainsi obtenues. Nous nous sommes attichés a Ia réalisation d'un ouvrage permetiant de répondre aux différents besoins des utilieateurs. Nous espérons ainsi mettre a la disposition des Sléves un util que chacun pourra utiliser selon ces besoins, selon son niveau, avec aide du professeur. On y trouvera, en particulier, de trés nombreux exercices de natures et de difficultés tres diverses, parmi lesquels on pourra puiser au grédes bespinset des préoccupations de La participation active de léleve est indispensable d assimilation du cours et 4 la compréhension des concepts introduits. Cette participation active est constamment sollieitée par de nombreuses activites et de nombreux exempleset exercices d’application immédi attentive de ces activités et de ces exercices peut permettre, notamment au cours des séances de travaun ditigés, de déceler les éventuely blocages, et dy remédier afin de pouvoir propresser efficacement dans étude du programme. En outre, par intermediaire de nombreuses series dexereives et de problémes classés par centres d'intérét, on pourra aborder Métude de nombreux thémes suivant Fintérét ct la motivation de Péleve On ne batit rien de durable sans de solides fondations. C'est pourquoi nous avons juge utile de fournir A chacun, dans un premier ehapitre, la possibilité de faire le point sur les résultats et techniques de base rencontrés en classe de Premicre, Hesten tout état de cause interessant de faire le point, meme a propos de ce que l'on crott bien savoir En particulier, il est important de bien maitriser le principe de récurrence, qui est sans conteste I'un des principes de base des mathématigues. Nous avons également pr les du langaye mathematique formalise enté dans ce chapitre les rézles essenii Cest bien vivement que nous recommandoasls lecture attentive de Vintroduction de ce chapitre, dans laquelle on trouvera un panorama des preoccupations essenticlles de analyse, dont certaines font par ailleurs Fobjet du chapitre 9. Cette lecture est de natured permetire une vision plus globale de organisation du courset de pr les raisons de Mintroduction de telle ou telle notion dans le eours. ‘C'est intentionneliement que ce chapitre n'est pas numéroté, II est congu pour servir de référence cons méme que les tableaux des pages 295 4 298, complétés progressivement par le lecteur). Le chapitre le plusimportant du livre est sans doute le chapitre 9. On ya regroupé, sous quittre titres, des activit: et des exercices et problémes se rapportani 4 des questions et méthodes fondamentales, indispensablesa étude de toutes les sciences qui utilisent l'outil mathématique. L'étude des fonctions, la résolution d'équations sonten effet des questions primordiales, et les méthodes de comparison sont & la base méme de Panalyse, en particulier par étude des fonctions convexcs. Cechapitre trés iquement et isolément, mais plut6t pour servir de fil conducteur. Son utilisation peut se concevoir de div . en particulicr & Voceasion des seances de travaux dirigés. II permettra de distinguer et d'ilhustrer les interactions entre les differents concepts étudics dans le cours, dintroduire Pétude de nouveaux concepts, rendue nécessaire par un blocage constaté dans la résolution de tel ou tel probléme. On y rencontrera également des activités et exer als, préparant Péiéye aux études supérieures, he n'est pas congu pour tre traité syste joes ck Conformément aux indicat amme, le ehapitre 1 est consueré & Pintreduetion de la fonction logarithme, Cette étude est menée partir des notions rencontrées en classe de Premiére. Pour permettre une pleine utilisation des propriétés originales de Ia fonction logarithme, nous avons inelus dans ce premier chapitre Pétude des fonctions composées, dont Putilisation permet de construire de nombreuses fonctions, Dans le chapitre 2, l'étude des fonetions continues sur un intervalle et des fonctions réciproques débouche sur la détinition des fonctions exponentielles. Nous avons tenu, en raison de son importance théorique et pratique dans de nombreuses sciences, & présenter au plus vite les définitions et techniques du calcul integral. C'est ce quia été faitau chapitre 3, of Paccent est mis sur Jestechniques de calcul upproché d'intégrales, Les chapitres 4.4 6 présentent des complements sux)'étude des suites el des fonctions (limites, dériyées). Il va de soit que ces notions, déjd rencontrtes en Premiére auront été utilisées dans les chapitres précédents, Le but de ces chapitres est d’apporter des complements permetiant d'étudier d suites ct des fonctions dans certains cats oti les méthodes deja rencontrées sont insuffisantes ou inopérantes. Le theoréme des accroissements finis permet. en particulier. de relier les propriétés d'une fonction 4 cellos de sa fonetion dérivée, et d’éiablir des régles de comparaison intéressin Un probleme essenticl est la determination d'une Fonction lige a ses fonctions dérivées par certaines propriétés, Le chapitre Tconstitue une introduction étude du vaste probleme des équations différentielles. Aucun algorithine ne permet de déterminer systématiquement les primitives d'une fonction, nid plus forte raison, les solutions d'un équation différenticile quelcongue, Le programme propose l'étude de quelques cas simples, qui sont abordes au cours de ce chapitre. Dans le chapitre 8, les propriétés des développements limités d’ordre 1 sont étendues aux approximations polynomiales d'une fonction au yoisinage d'un point xp, Lorsque ag cst infini, Pétude de telles approximations polynomiales débouche sur l'étude des courbes asymptotes. nvesties clans l'étude des fonctions ide mathématique d'un probleme Dans le chapitre 10, les techniques d’érude des fonctions numériques sont veetorielles. qui débouche elle-méme sur la cinématique du point, exemple d physique. Les chapitres 11 et 12 sont consacrés aux problemes de denombrement (ct une bréve introduction au calcul des probabilités) et aux statistiques a deux caractéres permettant de mettre en evidence des liaisons de fait entre des phénoménes pour lesquels on dispose de séries de mesures sans maitriser leurs interactions cauisales. Le plan de cet ouvrage ainsi évogué est un plan possible pour étude da programme. Mais lesmathémariques ne se déroulent pas linéairement, Les interactions sont constantes entre les différentes notions et les problémes. Les notions se précisept et s'affinent par ces interactions, et aul contact des problémes. « Faire » des mathématiques, Cest en effet avant tout chercher des problémes. Nous avons done voulu présenter un vaste choix d'exercices et de problémes, de natures et de difficultés fort diverses. On rencontzera, par exemple, des exereiees d’application et d'entrainement, des exercices et problémes d’exposition et de synthése, souvent composés partir d’extraits dannales du baccalauréat, du concours général, ou autres examens et concours du niveau Terminale On renconirera aussi des exercices de recherche, aux énoneés volontairement succints, ct qu'il ne faut pas avoir honte de chercher longuement. Les énoncés de ces exercices sont souvent issus ¢epreuves d’« Olympiades », ou de « Raliyes mathematiques » divers, Nous remercions ici tout puarticuliérement notre collégue Denis Gell pour son ouvrage « Ley olympiades internationales de mathématiques » (Editions Hachette) ct pour les énoncés originaux dont il est auteur. nuserit, pour Paide qu'ils ont apportéa Nous remercions également tous nos collégues qui ont relu et eritiqué lem la confection de cet ouvrage ttente des utilisateurs et a leurs besoins divers. C st avec ‘Nous espérons que cet onvrage répondra au micux reconnaissance que nous accueillerons les remarques, critiques et Suggestions qu’ils Youdront bien nous adresser, et par avance, nous les en remercions, ‘Les Auteurs METHODES ET TECHNIQUES DE BASE INTRODUCTION « La nécessité de construire un Langage commun a propos des opérations eourantes de dénombrement améne a ta construction de Veasemble M des entiers naturels. Dans cet ensemble, on est rapidement conduit a la résolution Wéquations, cest-i-dire la déiermination de nombres possédant certaines propric Or, on peut prouver que dans N, certaines equations (comme : > + 2 =0)n'ont pas de solutions, On est ainsi conduit 4 la construction de ensemble Z des entiers relatifs, puis. par un processus anilogue (aver, par exemple: 3x —1=0), a la construction de Fensemble @ des rationnels, puis a ensemble &@ des nombres réels (par exemple x7 —2=0), et enfin 4 ensemble € des complexes (par exemple: 7 + 1 =0) On peut démontrer que, dans ce dernier ensemble ©, toute equation dela forme P(x) = 0, ot P(x) désigne un polyndme de degré n a coeificients complexes, admet n racines, chacune étant compte avec son ordre de multiplici + Létude des nombres réels est particuligrement importante, En premier lieu se pose le problime de définir chaque nombre réel. Llutilisation d’un systéme de auméxation (le plus souvent le systéme Uécimal) permet de representer, grdce 4 un ensemble fini de symboles, les Sléments de M, 2 et @. Mais il en ya tout autrement pour les réels non rationnels. L'utlisation de signes particuliers, comme lesexposaats fractionnaires (ou les radicaux) permet de représenter certains itrationnels, et des noms particuliers ont é atiribués 4 certains autres (x ete}, Mais ees artifices ne permettent pas & cux seuls de préciser la position de lirrationnel envisage par rapport aux rationniels voisi Pour traiter ce probléme, on utilise le fait que. quel que seit Virrationnel x donnget quelle que soit la précision désirée 10", iTeniste deux décimanx d, et d, telsque: dy p>1; done: 2? +2 p41; par suite: 2S pth Diaprisle principe de récurrence,on peut donc conchire quela propriété Gtudige est vraie pour tout entier naturel, 2" Soic x un nombre réel non raultiple de 2x. Démonirer par récurrence que, pour tout entier naturel n non ul (mt Dx mx in sin S,~sin x + sin 2x 4 .. + sin ne = — sin 2 Pour n= Lon a bien Supposons que, pour un enticr naturel p non nul, ov ait: (ht Ds 5 PS sin OO in x . sin® Caleulons alors sn OS in (+) eh Spas = 8, + 80 (p +. = ——* =. Dain PEO gg BEE , sin 5 = Ip + Ux ae: (p+ 1): Done §,,: =sin 2” = +2 cor PS sin ® in B* were sin © 42 cos (p+ 1) sin + Ix 2 2 2 = sin (2D ©: 2sinacos =sin (a + 6) +sin(a—b); dod Deos (p+ 1)% sin ® = sin (p +2) 5 — Sin 0) Méthodes ct techniques de base (p+ 2)x pean I en résulte que : sin 2 La proprieté est done vraie pour tout entier i non nul Remarquens que Pon peut établir directement ta relation demandge en calcuant : S, sin > =sin x sin 5 4 sin 2y sin & 4... + sin ny sin > 2 z z On remarque alors que : armen a La propriété cherchée en découle par remplacement dans Texpression ci-dessus, Bu, + 35 et uy = 0. Prowver par récurrence que cette suite est croissante et majorée par 7. F On considére ta suite (ip\yon définie par uy Pour tout entier ni, et par definition. on « 1, > 0, Pour prouver que (ule est majorée par 7, il sulfit de prouver que 12 est majoré par 49, pour tout entier 7. On, 49 = u2, =49 — 05 + 24) = 14 — 2uy = 2(7 — ny). Onabien: uy <7; et sim <7, alors : T—u,>0 et 49—u2,, >0. Ii en résulie que la suite (u)geq est majorée par 7, Pour prouver que la syite étudiée est croissante, constatons tout Cabord que ue v 4) Rappeler ladéfrnitiond une suite géométrique. Quelle est lasomme des n premiers iermes d'une suite géométrique de raison g et de premier terme a? =u,-1 5) Montrer que (r,) est une suite géométrique. Quelle en est la raison? ¢) Déterminer p, en fonction de n. En déduire u, en fonction de n. 4), Caleuler ies sommes: 54 = by + By +a + Oy Gy My FM, He Fe (Auention au nombre des termes.) V — NOMBRES ET FONCTIONS ATTACHES A D'AUTRES FONCTIONS 1. RACINES D’ EQUATIONS % Activité 7 En utilisant los méthades alyébriques de ealeul dans R, expliciter, grdce aux symboles du caleul dans R, lu valew exacte de chacune des solutions de chacune des équations définies ci- dessous. Préciser de méme Vensemble des solutions des inéquations proposées. Pay 24 7x+ 10-0 By 13x? 8 /3x + /7=0 ) 2x? 2x 44=0 d) 2x? — 2 /6x + Bw) st Sy? + 4=0 W 3x? —4=0 ) six 46 d) /2xt 42 /3x7 + fo=0 Ox +x1-6=0 Sf) x + JE-3=0 3 a) x843x2— 6-8 =0 b) x) $27x*— d) 2c0s?x— 3eosx+1>0 D) Je ats — 25-3. <0 om Activité 8 Résoudre dans R (ou Bx 2) les systémes défimis ci-dessous f@x + 18y = 15: wy {WS-vPet » lax + or x43 +2 ra iy 0) Méthodes et techniques de base 2 S28 +39 — Wie y = (6x+9y+3)(x— y+ 1)=0. 0: pensaeicl =1) (x-2y + Ht y= 1)=0, x +2 2-12-45 <0; 4 —3x4 1530. 0) 3 Brudivr le sens de variation ot lu eanvergence des suites définies ci-dessous 60s IT 5) Qe - 3. a: a) uy, ie Uy qe ©) My Pro . e Hes ; ; du, wr (i at comparer() te géométrig ) ©) 4, = My —S et wy = 1 ® Activité 10 1° @) Récapinuler dans le tableau de la page 297 les limites que vous connaisse=. 4) Rappeleretillustrer par unexemple lesrégles de caleul sur les limites,et les théoremes de comparaison. 2 Buudier tes limite i Dee / sin 3x lim © e) lin — oF, ; > TS tan 2s ‘ x+1 as 0) in awa 40 1 = cos2x 0) Méthodes et techniques de base 3. DERIVE ET DEVELOPPEMENT LIMITE D’ORDRE 1 & Activité 11 T° Rappeler les definitions ci-dessous : a) Développement limité d'ordve 1 en xy de ta fonction f 1) Nombre désivé en vp de lu fonction f ¢) Fonetion dérivée de la fonction J. 2 Récapiuuler dans le tableau de la page 298 les régley de Uérivation que yous connaiss 3° Déterminer a fonction dérivée de la fonetion f dans les eas suivants 243x—1 eN—7 a) fix} = (s+ YP I) Bb) Sis) M5 ons d) fix) = JT + 008 x: ot Jeti oe) fxy= cos 4 i 2 = 5), SD) Lx anGee oy # a) Determiner le développement dordre Ven xo lorsguilesiste) de la fonction f définie par (x) = s/a+ X, ob a désigne un réel queleonque. b) Utiliver les résultats du a) pour déterminer les limites suivantes d) Determiner : 5 Donner denx exemples de fonctions continues en zéro, mais non dérivables en 2éro, & Activité 12 Soit f une fonction définie et dérivable sur un intervalle 1, et soit xy un élément de I. Supposons que de plus; if existe un réel positif M tel que, pour tout élément x de I. on ait Ife Ola) si, et seulement si 1cB. # Ondit que ‘i(x) et Q(x) sont équivalentes, et Pon note (x) <> Ax). Si, etseulement si

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