L’enlévement
de la reine
sénéchal et de lui amener s
avec, i c6té de lui, un palefroi! digne d'une reine. La rei
vient & son paleftoi, ait pas ombrageux? et ne tirai
pas sur la bride. ([résmabattueytnistefenisompirant, Ia reingy
monte a cheval et dit tout bas, pour qu’on ne lentende pas
jis, vous ne m’auriez sans
pas. » Elle pensait avoir parlé tout bas, mais le comt
:s d’elle au moment oi elle montail
qui y assistaient se lamentaient? Gorin si clle écai
déji morte et wiiserenmbiéns’. Us ne, pensent pas
eve sénéchal,
son orgueil, 'emmenait
ne saflligeait® assez pour se méler de les accompagner.
Cependant monseigneur Gauvain dit au roi son oncl
en confidence :« Sire, vous avez vraiment agi en enfant
{en suis tout stupéfait. Mais si vous
conseil, pendant qu’ils sont encore assez prés, vous et
pourrions les suivre avec ceux qui voudront bien ver
Quant 4 moi, je ne saurais m'empécher de me mett
ififfnédiatement a leur poursnite. Il ne serait pas convenabl
de ne pas le faire, au moins jusqu’d ce que nous sachion
notes
1polfrols cheval, ‘3.selamentalent
demarche Se paignolet gémissaient
2ombrageux cu Selo
tout ce qutesurprend,
LANCELOT OU LE CHEVALIER DE LA CHARRETTE
Ja reine va devenir et comment Keu s’en sor
s-y, beau neveu, fait le roi. ous avez parlé fortic
et, puisque vous avez pris Initiative, don
Yon fasse sortir les chevaux et qu’on leur m
les, de sorte qu'il n’y ait plus qu’i monter. »
xx sont bientét amenés tout harnachés? et sellés
le premier, puis monseigneur Gauvain, et
Chacun_veut étre de la partie, mais
aient armés, mais be