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Lettre 52/112 du 6 décembre 1896 de Sigmund Freud a Wilhelm Fliess Présentation Depuis de nombreuses années dormait dans mon tiroir une traduetion jaunie, faite par mes soins, copicusement annotée de la fameuse lettre 52. (portant aujourd’hui le N* 112). La’ publication complete, non caviardée, de la correspondance de Freud a Fliess dont on pouvait espérer une traduction plus rapide n’étant toujours pas parue, il n'a semblé important de reprendre létablissement de cotte traduction ‘Michail Bolton et Jean Brini ont bien voulu m’accompagner dans la tache de cette reprise Lintérét de ce texte, que je dis fameux, est multiple. D'abord la forme stylistique du texte: au départ pparaissent les termes Umordaung-Umsehrift dont le préfixe Um, tel un martélement, frappe comme les 3 coups précédant une levée de rideau. Ce préfixe Um. a son importance puisquil signifie: autour de, & partir de... ef de ee fat peut impliquer une notion de causalit: Ia raison pour laquelle. une notion de inalité: afin de.. Mais c'est dans sa position de préfixe nominal ou d'un verbe qu'il prend son sens le plus fort et qu'il ne trouve son équivalent en frangais que sous une forme affaiblie. Ainsi Umordnung peut se traduire par changement de ordre ou bouleversement, mais Umschrift (= changement dans Iécriture) perd tout sens Cost alors que Von s‘apergoit que Schrift ne signifie pas écriture, écrit, mais désigne la lettre, au sens de caractére d'imprimerie, et que Umschrift indique un bouleversement dans la disposition des caraetores les luns par rapport aux autres, ce qu'implique le terme Umordnung utilisé par Freud: un bouleversement dans ordre. ‘Toutes ces remarques nous aménent a ceci que Froud par eette entrée solennelle de sa lettre ne voulait pas simplement se représenter pour lui-méme une théorisation du refoulement originaire (par la chute dans les dessous de l'une des petites eroix) mais rendre compte que ce fait allait déclencher tne easeade de réaménagements de la batterie signifiante primitive chez le sujet. Si nous suivons Lacan dans les nombreux commentaires de cette lettre 52/112 qu'il fait dans ses Séminaires et en particulier dans le Séminaire XI lorsqu’il évoque Ia naissance du sujet en tant que résul- tant de la chute, de I'élision d'un signifiant premier, nous devons considérer avee Freud quill sagit-la @’an sujet « dérangé « puisque sa batterie primitive aura subi cet Umordnung: rien ne sera plus jamais comme avant. Considérations superflues? Non point. Posons la simple question : pourquoi le aujet ne serait-il pas un simple décalque du discours de 'Autre, un clone en quelque sorte? La répanse tient dans les consé- quences de eet Umordnung. Voila un sérieux aceroe pour tout amateur d'une théorie de la transmission! La suite de la lettre révéle encore dans la partie qui fut censurée combien Freud, grace aux calculs de périodes suggérées par Fliess, cherchait donner un statut rationnel a sa théorie du décalage observé cher lfenfant entre son évolution sexuelle et son ineapacité contemporaine & en assumer les effets. Il s'agis- sait bien d'asseoir (scientifiquement) la nature traumatique du sexuel et ses diverses incidences pour les névroses et les perversions. Toutefois, il convient de souligner que son souci allait bien au dela car Tenjeu veritable tenait dans une explicitation du refoulement secondaire, dans V'affirmation voire la démonstra- tion d'une causalité qui était pas seulement morale (surtout chez un enfant avant lage de raison). A.ce propos nvoublions pas que I'Esquisse avait été rédigée un an plus tat et que Freud avait prévu un chapitre 1 sur le refoulement quil n'a jamais éerit. Or le chapitre Ill est consacré au jugement et a Vacte de juger (Urteil, Beurteilung) dont il ne fait pas mystére quils ont pour origine le Ich, Vinstance moidque. Das cette époque il n'ignorait pas que le refoulement n'avait pas pour seule cause le Moi et sa fonction de jugement. En conclusion, en dépit de certaines formulations malhabiles, lo earactdre novateur de cette lettre repo- se tout entier sur le fait que Freud avait déja dégagé les deux aspects fondamentaux (Cun du cété signi fiant = les Niederschriften, Yautre du edté soxuel) du séisme primordial organisateur de la subjectivit, ‘Ainsi a eette date Vessentiel de la psychanalyse était déja bel et bien en place. -P, Hiltenbrand Novembre 2001 P.S. La partie censurée dans Uédition premidre est marguée en marge du signe: | P27 ua 6 Dez. 96 Mein teurer Wilhelm ! Nachdem ich heute einmal das Volimap von Arbeit und Erwerb genossen habe, das ich 2um Wohlbefinden brauche (zehn Stunden und fl 100), todmide und geistig friseh bin, will ich verswchen, Dir das letztze Stickchen Spekulation schlicht vorzutragen, Du weift, ich arbeite mit der Annahme, dap unser psyehicher Mechanismus durch Aufeinandersehichtung entstanden ist, indem von Zeit zu Zeit das vorhandene Material von Errinnerangsspuren eine Umordnung nach neuen Beziehungen, eine Umscarift erfilhrt. Das wesent- lich Newe an meiner Theorie ist also die Behauptung, dap das Gediichtnis nich an einfach, sondern mehrfach vorhanden ist, in verschiedenen Arten von Zeichen niedergelegt. Kine ahnliche Umordnung habe ich seinerzeit (Aphasie) fur die von der Peripherie kommenden Bahnen behauptet. Wie viele solche Niederschriften es gibt, weif ich nicht, P.218 Mindesten drei, wohrseheinlich mekr, Dasu folgendes Schema welches annimmt, daft die ein: ‘elnen Niederschriften auch nach ihren Neuron: trdgern gesondert sind (nicht notwendig topisch). Die Annahme ist vielleicht nicht notwendig, aber doch die einfachste und vorlaufig eulassig, OE te I fw W sind Neurone, in denen die Wahrnehmungon entstehen, woran sich Bewup sein kniipft, die aber an sich keine Spur des Geschehenen bewahren. Bewubtsein und Gediichnis schlieBen sich namlich aus, Wz [Wahrnehmungszeichen| ist die erste Niederschrift der Wahr-nehmungen, des Bewup- seins ganz unfuhig, nach Gleichzeitigkeits-asso- ziationen gefilgt Ub (Unbewuftsein) ist die eweite Niedersehrift, nach anderen, etwa Kausalbeziehungen angeord- net. Ub-spuren wiirden etwa Begriffs-erinnerun gen entsprechen, ebenfalls dem Bewuptsein lunzugénglich, Vb (Vorbewuptsein) ist die dritte Umschrift, an Wortvorstellungen gebunden, unserem offiziellen Ich entsprechend. Aus diesem Vb werden die Besetzungen nach gewifen Regein bewufit, und ‘war ist dieses sekundére Denkbewabitsein ein der Zeit nach nacheragliches, wahrscheinlich an die halluzinatorische Belegung von Wortvor- stellun- gen gokniipft, so dap die Bewssftseinsneurone wie- der Wahrneh-mungsneurone und an sich ohne Gedeichtnis waren, P.217 2 6 Dee. 96 ‘Mon cher Wilhelm, Enfin aujourd'hui, apres avoir fait le plein en heures de travail et gagné ec dont j'ai besoin pour ‘mon bien-étre (dix heures-100 florins), je suis, ‘mort de fatigue et garde ma fraicheur d'esprit ot Je voudrais tenter de texposer de maniére simple le dernier petit morceau de mes spéeulations. Tu sais que je travail ave Fhypathase que notre mécanisme paychique est né dune super sition de couches dans laquelle, de temps en temps, le matériel existant composé des traces de souvenir subit un Bouleversement de son ordre apres de nouvelles relations, un bouleversement dans Pinseription. Ce qui est exsentiellement nou- ‘veau dans ma théorie est par eonséquent Vaffir- mation que la mémoire n'a pas une existence imple, mais au contraire multiple, et quelle se <épose en diverses sortes de signes. En son temps {a propos de Taphasie, jai affirme un bouleverse- ment similaire de ordre concernant les voies vrenant de Ia périphérie, Combien il'y a de telles inscriptions je ne le sais pas P.218 Au moins trois, vraisemblablement davantage, Dou le schéma ci-dessous, qui admot que les ins- criptiona particuliéres sont aussi triges suivant les neurones porteurs (pas nécessairement topi- quement). Cette hypothese n'est pout-étre pas nécessaire, mais elle est pourtant Ta plus simple et provisoirement admissible, hei tH, wm Epes W (Pere.) sont les neurones dans lesquels apparaissent les perceptions, auxquels se noue le conscient, mais qui en soi ne conservent aucune trace de ce qui a eu lieu, En effet conscience et mémoire s'exeluent, We (s.Pere.) (signes de perception) est la pre- miére inscription des perceptions, tout a fait inca pables de conscience, assemblés selon une aseo- ciation par simultanéité. Ub (les.) (Inconscient) est la seconde inserip- tion, ordonnée suivant dautres relations - peut- Gtre’des relations de causalité. Les traces-Ies cor- respondraient peut-étre a des souvenirs de concepts également inaecessibles & Ia conscience, Vb (Pes,) (Préconscient) est lo troisi@me boule- versement dans scription, lié aux représeHta {poner mnts,ereepome notre moi oii A partir de ce Pes, les investissements devien: ent conscients selon certaines regies, et sans doute cette conscience du penser secondaire, est dans le temps postérieur 2 Taprés coup tres pro- bablement {ie 4 Pactivation hallucinatoive de représentations de mots, de sorte que les neu- ones de la conscience seraient a nouveau des Wenn ich die Psychologischen Charaktere der Wahrnehmung und der drei Niederschriften voll- stdindig angeben konnte, hatte ich damit eine neue Poychologie beschrieben. Etwas Material hierfir liegt vor, aber es ist jetzt nicht meine Absicht Ich will hervor heben dafi die aufeinanderfol genden Niederschriften die psychische Leistung ton sukzessiven Lebensepochen darstellen. An der Grenze von zwei solehen Epochen mui die Uberseteung des peychischen Materials erfol- en, Die Bigentimlichkeiten der Peyehoneurosen erklire ich mir dadurch, daf diese Obersetcung far P.219 gewife Materien nicht erfolgt ist, was gewibe Konsequenzen hat. Wir halten ja an der Tendenz ‘zur quantitativen Ausgleichung fest. Jede spatere Uberschrift hemmt die frihere und leitet den Exregungsvorgang von ihr ab.Wo die spatere Uberschrift fenit wird die Erregung nach den psy- chologischen Gesetzen erledigt, die ftr die frithere paychische Periode galten, und auf den Wegen, die damals zu Gebote standen. Es bleibt so ein Anachronismus bestehen, in einer gewifen Provinz gelten noch "Fueros* ; es kommen "Uber- Tebeel" zustande, Die Versogung der Uberseteung, das ist das, was hlinisch "Verdréingung" heift. Motiv dersel- ben ist stets eine Unlustentbindung, die durch Ubersetzung entstehen wiirde als ob disese Untust eine Denkstorung hervorriefe die die Ubersetzung- sarbeit nicht gestattet, Innerhalb derselben paychischen Phase und unter Niederschriften derselben Art mackt sich eine normale Abwehr wegen Unlustentwicklung geltend ; pathologische Abwehr gibt es aber nur ‘gegen eine noch nicht tibersetzte Errinnerungsspur ‘aus friherer Phase, Es kann nicht an der Gripe der Unlustent- bindung tiegen, wenn der Abwehr die Verdran- ung gelingt. Wir bemihen uns ja oft vergebens ‘erade gegen Erinnerungen mit gréper Unlust. So ergibt sich folgende Darstellung. Wenn ein Ereignis A als aktuell eine gewife Unlust erweckt hat, so enthalt die Errinnerungsniedersehrift A’ oder A" cin Mittel die Unlustentbindung bei Wiederweckung 2u hemmen. Je dfter erinnert, desto gehemmter schlieplich diese Bnibindung. Bs aibt aber einen Fall, fiir welchen die Hemmung nicht ausreicht Wenn A als aktuell eine gewife Unlust entbunden hat und bei der Erweckung newerliche Unlust entbindet, dann ist diese unhemmibar. Die Erinnerung benimme sick dann wie etwas Aktuelles. Dieser Fall ist nur miglich bei sexuellen Ereignissen, weil die Brreguns- -grdssen, die diese entbinden, mit der Zeit (rat der sexuellen Entwicklung) an sich wachsen. Si je pouvais préciser complétemont les carac- teres psychologiques de la perception et des trois, inscriptions, jaurais en cela décrit une nouvelle psychologie. ily a du matériel pour cela, mais ce n'est pas, pour le moment, mon intention. Je veux souligner que les inscriptions se sui- Yant les unes les autres représentent la produc tion psychique d'époques successives de la vie. Ala frontidre de deux de ces époques doit sek fectuer la traduction du matériel psychique. Je m'explique les particularités des psychonévroses, du fait que la traduction pour de perception et en soi dépourvus de P.219 certains matériaux ne s'est pas effectuée, ce qui a ‘ertaines conséquences, Nous soutenons, en effet, ‘quill existe une tendance & l'équilibre quantitat ‘Toute surinscription ultérioure inhibe la préct dente et détourne le courant d'excitation de cell ci, LA of [a surinseription ultérieure manqué excitation se liquide suivant les lois psycholo- ‘giques qui valaient pour la période psychologique préeédente, et en suivant les voies qui étaient alors disponibles. Subsiste ainsi un anachronis- ‘me, dans une certaine province des « Fueros » sont encore en vigueur, il se erée des survivances, Le refus de traduction, c'est ce qui s'appelle, on clinique, « refoulement ». Le molif en est toujours une déliaison de déplaisir qui résulterait de la traduction, comme si ce déplaisir entrainait une perturbation de la pensée qui ne permet pas le travail de traduetion, A Tiintérieur de 1a méme phase peychique et entre inscriptions de méme sorte se produit une défense normale qui prend valeur par suite dun développement de déplaisir ; mais il n'y a de défense pathologique que contre une trace de sou- venir non encore traduite, venant d'une phase antéricure, Lorsque Ia défense parvient au refoulement, cola ne peut pas éire dit a Tintensité de la déliai- son de déplaisi. Nous justement souvent, tar ain cane Le So narauES pare p a Insi se dégage Ta representation ar raquun evereMrent A en Tart Sean Delian cercin depen Vinserip- tion du souvenir A‘ ou A" contiont un moyen, @inhiber la déliaison de déplaisir lors d'un réveil de celui-ci. Plus le souvenir est remémoré sou- vent, plus cette déliaison est en définitive inhibée. Mais il y a un cas pour lequel inhibition ne suffit, pas : lorsque A cn tant quiactuel a délié un certain déplaisir, et que, lors de son réveil, il délie un deplaisir renouvelé ; alors, ce dernier ne peut étre inhibé. Le souvenir se comporte alors comme quelque chose d'actuel. Ce cas n'est possible que lors d'événements sexuels, parce que les quantités excitation que ceux-ci délient eroissegt en soi avec le temps (avec le développement sexuel). 220 Das sexuelle Ereignis in einer Phase wirks also als aktuell und somit unkerimbar in einer nacks: ten. Die Bedingung der pathologischen Abwehr Werdrdngung) ist also sexuelle Natur de Ereignifles und Vorfall in einer friheren Pha: Nicht alle sexuellen Erlebnisse entbinden Unust, die meisten Lust. Die Reproduktion der ‘meisten wird also mit unhemmbarer Lust verbun- den sein. Eine solehe unhemmbare Lust konsti tuiart einen Zwang. Man kommt so 21 folgenden Satzen. Wenn ein sexuelles Brlebnis mit Phasendifferenz erinnert wird, so entateht bet Lustentbindung Zwang, bei Unlustentbindung Verdrangung. tn beiden Fallen scheint die Uber seteung indie Zichen der neuen Phase geherumt Die Klinik lehrt nun dreé Gruppen von. sexuel- len Psychoneurosen kennen, Hysterie, Zwangs neurose und Paranoia, und lehrt, daft die ver- dringten Erinnerungen bei der ersten dem Alter von Tily4 Jahren, bei Zwangsneurose dem Alter von 4-8 Jahren, bei Paranoia von 8-14 Jahren als aktuell angehiren. Zu vier Jahren erfolgt aber hoch heine Verdraingung, es fallen also die psychischen Entwicklung sperioden und die sexuellen Phasen nicht zusam P. 220 Levénoment sexuel dans une phase opere done ‘omme actuel et par conséquent comme non sus- ‘eptible d’Gtre inhibé dans une phase suivante. La ‘condition de la défense pathologique (refoule- ment), est done la nature sexuelle de évenemont et sa survenue dans une phase antérieure. Toutes les expérionces sexuelles ne délient pas du deplaisir, I plupart délient du plaisir. La reproduction de la plupart dentre elles sera done lice & un plaisir non susceptible d'étre inhibé. Un tel plaisir non susceptible d'étre inhibé constitue tune compulsion. On en arvive ainst aux proposic tion suivantes. Lorsqu'une experience sexuelle est remémorde avee une difference de phase, alors it lors de la liaison de plaisir une compulsion, lors de la détiaison de déplaisir un refoulement Dans les deux eas la traduction dans les signes de la nouvelle phase semble étre inhibée (?) Présentement, la clinique nous fait connattre trQIs- groupes de payCHONCVROSES SeRTeTIES— PHYS enseigne que Tes fea premiére appartiennent en tant qu'actuels a la période située entre 1 an 1/2 et 4 ans, entro 4 et 8 ans pour la névrose obsessionnelle ct entre 8 et 14 ans pour la paranoia, Mais jusqu’a 4 ans, aueun refou- Tement ne se produit et ainsi les périodes de développement psychique et les phases sexuelles ne coincident pas. m1 8 em re ee Paik [ee tiptoe] ||| sexuell | T To i sexuel c 0 om Folgendes bleines Schema gehort hierher Le petit schéma suivant vient ii soot Jonna | any | ee ee Eine andere Folge der vorzeitigen Sexualer- lebnisse ist ndhmlich auch die Perversion, deren Bedingungen es scheint, da die Abwehr nicht P.221 cerfolgt, che der peychische Apparat komplet gewor- den ist, oder ausbletbe Soweit der Oberbau. Nun der Versueh, thn auf’ die Organgrundlage zu stellen. Es ist zu erklaren warum setuelle Erlebnisse, die als aktuell Lust erzeugten, als mit Phasendifferenz erinnert Unlust erzeugen’bei einigen Personen, bei anderen als Zwang bestehen bleiben. Im ersten Falle miipen 6 Une autre conséquence de Vexpérience sexusl- le trop précoce est en effet aussi la perversion dont la condition semble-til, ost que la défense ne se produit pas, P.221 avant que l'achevement de l'appareil psychique ne soit complet, ou bien qu‘elle éehoue Telle est la superstructure. Tentons mainte- nant de I'établir sur des fondements organiques. Il s'agit d'expliquer pourquoi des expériencos sexuelles qui, en tant qu'actuelles, engendrerent du plaisir, lesquelles remémorées avec une diffe rence de phase engendrent du déplaisir cher cer- sie offenbar spater eine Unlust entbinden, die anfangs nicht entbunden wurde Es sind auch die verschiedenen Epochen abzu- leiten, die psychologischen und die sexuellen. Die letzeren hast Du mich hennen gelehré als auage zeichnete Vielfache der 28 tagigen weiblichen Periode, 100 x = 7% Jahre, auserdem 20 x= 1 Jahr 't, 200 x = 16 Jahre, 60 = 3 Jahre 10 Monate. Nehme ich alle beobachteten Perioden als solche Vielfache, so bleiben aber einerseits die 23 taigigen unverwertet, anderseits unerkldrt, warum psy- chische und sexuelle Phasen nicht cusammentref- fen (4 Jahre) und warum einmal Perversion ents- feht, ein andermal Neurose. Ich mache also den Versuch einzufithren dap es ein mannlicher 28 tagiger Stojf ist, dessen Entbindung bei beiden Geschlechtern als Lust, ein 28 tigiger, dessen Entbindung als Unlust empfiun den wird. Ich merke dann, dab ich alle psychische Perioden darstellen kann als Vielfache von 23 tagigen Perioden (n), wenn ich die TragZeit (276 Tage = 12 9) einrechne, Bx 12x21 Jahre 6x 12x=3'% Jahre 12x 12. =8 Jahre 18x 12 x= 12 ‘i, Jahre 21¢12n= 144, Jahre 2x12 n= 17 Jahre Das hiebe, die psychische Entwicklung erfolgt nach 23 Perioden, die sich zu Vielfachen 3, 6, 12, .. 24 summieren, worin das Duodezimaleystem ur Geltung kéme 222 Die Kinheit wire iiberall die Trigzeit, die gleich ist 10 x oder 12 x (annthernd). Das Resultat bestiinde nur darin, dap die psychiche Entwicklung nach Vielfachen, 3 x 6x 9, derselben fortschreitet, wahrend die Tragzeit gleich ist 12 x, und die sexuelle Entwicklung nach Vielfachen, 5 = 10 x 20, wahrend die selbe Zeit gleich ist 10 = Bomerkenswert zweierlei, daft 1) bei der psychischen Entwicklung die intrauter: ne Zeit eingerechet werden mub, es goht anders nicht ; wahrend bei der sezuellen erst von der Geburt angerechnet werden kann. Dies erinnert daran, dab wahrend der Graviditat etwas 2Btdgiges aufgespeichert wird, was sich erst mit der Geburt entladt ; 2) dab die 28 tagigen Perioden seltener und haher summiert sind als die 23 tagigen, als ob die hohe re Menschenentwicklung auf diesem Charakter beruhte (Scham, Moral) taines personnes et chez d'autres subsistent on. tant que compulsion, Dans le premier cas elles doivent évidemment délier ulte éplaisie qui n’avait pas été dei Tl convient aussi de déduire les différentes époques, les psychologiques et les sexuelles. Tu mi'as appris que ces dernieres étaient des mul- tiples remarquables de la période feminine de vvingt-huit jours. 100. 200 x "ans, par ailleurs 20 x 5 ans, 50 x= 9 ans 10 mois, Si je prends toutes les périodes examinées comme de tels multiples, d'un cdté, les périodes de 23, jours restent, alors sans utilité, et d'un autre edté ‘ce pour quoi les phases sexuelles et paychiques ne coincident pas (4 ans) reste inexpliqué, et pour- quoi dest parfois une perversion qui surgit et par- Jessaie done d'introduire que Cest une substance male de 23 jours, dont la déliaison est ressentie dans les deux sexes comme du plaisir, et une sub- stance de 28 jours, dont la déliaison est ressentie comme du déplaisir. Je remarque alors que je peux représenter toutes ies périodes psychiques comme des multiples de périodes (x) de 23 jours sijintroduis dans le eal- Cul la période de grossesse (276 jours = 12 x) Bx 12"=1%,ans 6x12x=3 ans 12x 12.n=8 ans 18x [21 = 12%, ans 21x W2x= 1 ane 24x 12x=17ans Cela signifierait que le développement psychique se ferait suivant des périodes de 23 jours, qui s'additionnent en multiples 3, 6, 12, .. 24, ou le syatéme duodécimal deviendrait important. P.292 Liunité serait partout le temps de grossesse, qui est égal & 10 x ow 12 x (approximativement). Le résultat ne tiendrait qu’en ceci que le développe- ment psychique progresse selon des multiples 3, 6, 9 de colle-ci, pendant que le temps de grossesse est égal & 12 x, et le développement sexuel selon des multiples 5, 10, 20, pendant que ce temps est egal & 10, Deux choses sont A remarquer 1) Dang le développement paychique, le temps intrautérin doit étre inclus dans le caicul, sinon cela ne va pas ; alore que pour le développement sexuel, on peut faire le ealeul a partir de la nai sance seulement. Cela rappelle que pendant Ia groasease quelque chose des 28 jours est emmaga- siné qui ne se décharge qu’a la Aaissance. 2) Que les périodes de 28 jours sont totalisées plus rarement et de fagon supérieure que celles de 23 Jours, comme si les développements humains plus élevés reposaient sur ce caractire (honte, morale) Die zweierlei Phasen griffen nun so ineinander, oh fe . pehich ‘4 af fer Die Mekrheit von peychischen Phasen warde rir fer dic Arnaloe rock eter Uberaeung oder feuerungen am Paychischen Apparat gut sir men. Man sieht auch, dafi die Summation te Lebensablauf immer grofiere Zeiteinheiten umfapt. Par die Entscheidung, ob Perversion oder Neurose, heife ich mir mit der Bisexwalitd aller Menschen. Bei einem rein mannlichen Wesen wwiirde auch zu den beiden sexuellen Schranken ein Uberschup von méinnlicher Entbindung, also Lust entstehen, somit Perversion, bei dem rein weiblichen ein UberschuB von Untustsubstanz zt diesen Zeiten, In den ersten Phasen waren beide Entbin- dungen parallel, d. h. ergaben einen P2203 normalen Lustiberschuf. Darauf die Bevor- zugung der echten Weiber fur Abwehrneurosen zuriich2ufuhren. Die Intellektuelle Natur der Manner ware so auf dem Boden Deiner Theorie bezeuge, Teh kann endlich die Vermutung nicht unter dricken, dag die von mir klinisch gerochene Scheidung von Newrathenie und Angstneurose mit der Bxistenz der beiden 23 und 28 tagigen ‘Substanzen zusammen hangt. Auber den beiden hier vermuteten kénnte es von jeder Art mehrere geben. Die Hysterie spitzt sich mir immer mehr zu ale Folge von Perversion des Verfuhrers ; die Hereditat immer mehr als Verfihrung durch den Vater. Es stellt sich also ein Generationswechse L.Generation : Perversion 2.Generation : Hysterie, die dann steril ist Mitunter an derselben Person eine Metamorphose im kraftigen Alter pervers, dann von einer Angstperiode an : hysterisch. Die Hysterie eigentli- ch also nicht abgelehnte Sexualitat, sondern bes- ser abgelehnte Perversion. Dahinter dann die Idee von aufgelassenen ero genen Zonon, d, h. im Kindersalter ware die sexuelle Entbinduung von sehr vielen Kérperstellen zu erhalten, die dann spdter nur den 28 Angststoff, nicht auch den anderen 2u entbinden vermogen. In dieser Differenzierung und 8 Les deux types de phases s‘articulent ainsi Pune a autre, af br Ne for TE >) La majorité des phases psychiques s‘accorderait, bien & mon sens avec Ihypothése de traductions ultérieures ou de renouvellements dans Tappareil ssychique. On voit aussi que la sommation dans le cours de la vie englobe des unites de temps tou- jours plus grandes. Quant a arbitrage entre perversion et névro- se, je m'appuio sur la bisexualité de tous les humains. Chez un étre purement masculin, il se produirait aux deux limites sexuelles, un excds de deliaison masculine, done du plaisir et par consé quent une perversion. Chez un étre purement féminin, il y aurait un exeds de substance généra- tice de déplaisir a ces époques. Dans les premiéres phases les deux déliaisons seraient paralléles, cest-a-dire quelles produi- valent un exes P23 normal de plaisir. Pour eotte raison, il convient attribuer la préférence des vraies femmes pour Tes névroses de défense. La nature intollectuelle des hommes serait ainsi attestée sur la base de ta theorie, Enfin je ne puis écarter lhypothise que la dis- tinction que j'ai cliniquement subodorée entre neurasthénie et névrose d'angoisse, est lige a existence des deux substances de vingt-trois et de vingt-iuit jours. En plus des deux conjecturées ic, il pourrait y en avoir plusieurs de chaque espéce. De plus en plus, Vaystérie se profile a mes ‘yeux comme Ja conséquence de la perversion du ducteur ; hérédite toujours plus comme la sséduction par le pore, II ’établit ainsi un échange entre générations Premiere génération : perversion ; Deuxieme génération ; hystérie qui est alors stérile. Parfois, pour une méme personne, une métamorphose. Perverse 4 la maturité, puis, apres une période d'angoisse : hystérique. 'hysté- rie est & proprement parler non pas refus de la sexualité, mais bien plutdt refus de la perversion. Bt puis, Ia derriare, idée de zones érogenes abandonnées, c'est-A-dire qu’au cours de Tenfance Ia déliaison sexuelle s‘obtiendrait & partir de tres nombreux lieux du corps, qui plus tard ne sont plus eapables de delier que la substance-angoiss: 28 et non plus de autre. Dans cette différencia- Einschréinkung (lage) der Kulturfortschritt, die ‘Moralentwicklung wie die individuelle, Der hysterische Anfall ist keine Entladung, sondern eine Aktion und behdlt den urspringli- chen Charakter jeder Aktion bei, Mittel 2ur Reproduktion von Lust 2 sein. Das ist er wenigstens in der Wurzel, sonst moti viert er sich vor dem Vorbewubten mit allerlei anderen Griinden, So haben den Schlafanfall jene Kranken, denen im Schlaf Sexuelles 2ugefilgt worden ; sie schlafen ‘wieder ein, um dasselbe 2u erleben, provozieren oft damnit die hysterische Ohnmacht ; Der Swindelanfall, Weinkrampf, alles ist auf den Anderen berechne!, P.224 ‘meist aber auf jenen préhistorischen unvergessl chen Anderen, den kein spaterer mehr erreicht. Auch das chronische Symptom der Bettsucht erkldirt sich so, Einer meiner Patienten wimmert Jetzt noch im Schlof wie damals (damit ihn die ‘Mama 2u sich nimmt, die, als er 22 Monate alt, gestorben ist) ; Anfall als gesteigerter Ausdrick der Gemiltsbewegung scheint gar nicht vorsukom Ein Stackchen aus, meiner taglichen Exfahrung. Eine meiner Patientinnen, in deren Geschichte der hichst perverse Vater die Hauptrolle spielt, hat einen jingeren Bruder, der als gewohnlicher Lump gilt. Bines Tages erscheint dieser bei mir tranenden Auges, um 2u erhlaren daji er kein Lump, sondern ein Kranker mit abnormen Impulsen und Willenshemmung se, Nebenbei klagt er aber ganz abseits liber sicher nasale Kopfechmerzen, Ieh weise ihn an Schuwester und Schwage, die er auch besucht. Abends will mich die Schwester wegen eines heftigen, Zustandes rufen. Ich erfahre am nacksten Tag, dap sie nach dem Weggehen des Bruders von gri- lichsten ~ Kopfachmerzen, die sie sonst nie hat, befallen wurde. Grund : der Bruder hatte er2uhlt dab sein sexuelle Betdtigung darin bestand, als er wolf Jahre alt war den Schwestern, wenn sie sich abends auskleideten, die Fufe 2u hiissen (lecken). Dazu war ihr im Unbowupten die Erinnerung an fine Szene gekommen, in die (mit vier Jahren) 2u sieht wie Papa mitten im sexuellen Taumel einer Amme die Fife leckt. Somit hatte sie erraten dab die Liebhaberei des Sohnes vom Vater state, Daft dieser also auch defien Verfither gewesen war. Nun durfte sie sich mit ihm identifizieren, sei- nen Kopfichmerz ubernehmen. Das honnte sie tion ot cette limitation résideraient le progrés de la civilisation, le développement de la morale et celle [qui est] individuelle, Liaceés hystérique n'est pas une décharge mais tune action, et conserve le caractire originaire de toute action : étre un moyen de reproduction de plaisir. Test cela du moins a la racine, si ce n’est qu’ il ‘se motive devant le préconscient par toutes sortes @autres raisons, Ainsi, cos malades auxquels quelque chose de sexuel a’ été infligé pendant le sommeil souffrent dacees de sommeil. [ls se rendorment pour éprot ver Ia méme chose et provoquent souvent ainsi Pevanouissement hystérique, Liaceés de vortige, de sanglots, tout est mis au compte de Autre, mais, P.224 surtout au compte de cet Autre préhistorique inou: bliable, que nul a venir n’atteindra jamais, A Videntique, le symptéme chronique de clinophilie sexplique ainsi. Un de mes patients geint encore maintenant dans son sommell, comme il le faisait Jadis quand il voulait que sa maman, morte quand iT avait 22 mois, le prenne aupres delle, Liacces en tant qulexpression intensifice d'une émotion ne somble tout simplement pas se présenter. Un extrait de mon expérience quotidienne. Une de mes patientes, dans histoire de laquelle le pare pervers jowe au plus haut point le role principal awn fire cadet qui passe-pour un vul- faire voyou. Un jour, celui! fat son apparition ther moi, Ia larme & Toeil, pour expliquer qu seat pas un voyou mais tn malade avee des impulsions enormales et tne inhibition de la volonts. A cdté de cola, il se plaint, mais tout & fait'en aparté, de maux de tote certainement origine nasal. Je Voriente vers sa sarur et son beau-fére, awxquels i rend aussi visite. Le soir, In soeur veut mappeler au sujet dune situation wave, dvapprends le jour suivant qu’apres le dépari du tebe elle « été prise de maux de tite les plus affreus dont elle ne souffre par aillours jamais, La raison le fore aurait raconté que son activité sexwelle consistat, lorsquil ait agé de 12 ans, a baisor Cechor) les pieds de ses scurs, le soir alors queles se déshabilaient. Lacdessus, le Souvenir iui était vend: dans inconstient din Seine, dans laquelle (igée de 4 ans) elle voit com: ment Papa en pleine ivresse sexuelle, Teche les pieds d'une nowrrice. Ainsiy elle avait devine que fe prédilection du fils provenait du pore, Que celtic! avait aussi été son séductour. A présent, elle pouvait s'identifier a lui et adopter son mal de téte. Elle le pouvait d'ailleurs, 9 brigens, weil bei derselben Szene der rasende Vater dem versteckten Kind (unter dem Bett) mit der Stiefel auf den Kopf getroffen hatte Der Bruder hasst alle Perversitat, wihrend er an Zwangsimpulsen leidet. Er hat also gewipe Impulse verdrangt, die sich durch andere mit Zwang substituiren. Dies uberhaupt das Geheimnis der Zwangsimpulse. Konnte er pervers sein, so ware er gesund wie der Vater. Interessant ist dafi die Rechnung nach subzes: siver Summation nichts ergibt und 2war weder, tuenn man die intrauterine Zeit einrechnet noch 295 1 12 n= Tiragzet) = 278 Tage (Intrauterin) aei2s ohre 3 Monate (estrautrin) 6x12 2-97 =6.Johre 9 Monate 12 12n=21 P= 15 Jahre 9 Monate u 12=9Monate aes T=3.Johre 6x 12x8 107 =7 Jahre 6 Monate Belen 16 Jahre Es geht nur bei Binrechnung der intrauterin 12 x und bei Gesamtsummation wie im vorigen Brief: Das hat doch etwas 2u bedeuten F Ich freue mick sehr, da sie Deinem Vortrag nicht mekr abgesehen haben. So kann man dock ‘wieder ruhig auf sie schimpfen ; es ist ein siemlich blédes Volk und soll uns unbehelligt Tafien. Nun privat : Oskar und Melanie waren bei uns, ‘machen einen guten Eindruck. Ich muft ihn dock wieder gerne haben. Nach der wahrheit cines Geruchtes, dap Marie Blondy) und Robert Briewer! in Verbindung bringt, will ich Dich aus- dricklich nicht fragen, nur andeuten, dap ich es kkenne. Ich wiinsehe thnen alles Gute, nur steht es fir mich fost dap ich mit Breuerscher Sippe nicht 2usammentreffen wil eh bin in vollster Arbeit 10 - 11 Stunden tigli ch und entsprechend wohl, aber fest heiser, Ist das Uberanstrengung der’ Stimmbdnder oder Aneurysma ? Braucht auch keine Antwort. Am besten : Travailler sans raisonner, wie der alte Candide rit. Pp 226 Von einer spontanen Losung einer Pupillen. starre bei Tabes weif ich wirklich nichts, zweifle, 10 au cours de la méme scéne, Ie pore, dans je, avait & enfant cachée sous le lit porté tun coup a la tate avee sa botte, Le frore déteste toute perversité, alors qu'il souffre de compulsions. Ia done refoulé certaines impulsions, qui au travers d'autres se substituent en compulsion. Ceci est en somme le secret des compulsions. Sil pouvait etre pervers, il serait en bonne santé comme le pere, 11 est intéressant que le calcul par sommations suceessives ne donne rien, et ceci que Ton prenne en compte le temps intra-utérin ou autrement. P2235 I 12 m =Tremps de grossesse) = 276 jours (ntra-atérin Sx 122287 =2 ans $ mois extew-atérin) 6x 125976 ans9 mois 12x 12421 T= 15 ane 9 mois 1 ane 9 mois dx wn=4T 3000 ox Textaneaat OT =7 ans 6 mois Cela ne marche que lorsqu’on introduit le 12 x intra-utérin et une addition cumulée, comme dans Ia lettre précédente. Cela doit bien vouloir dire quelque chose ? Jo mo réjouis fort quiils ne projettent plus ta conférence. Ainsi, on peut @ nouveau rouspeter tranquillement contre eux. C'est une gent assez bote, ot ils ne doivent pas nous importuner. La vie privée maintenant : Oskar et Mélanie étaient chez. nous, ils font bonne impression. Il faut done ‘a nouveau que je l'aime bien. A propos de Texacti- tude du bruit selon lequel Marie Bondy et Robert Breuer auraient une liaison, je ne veux rien te demander explicitement, mais juste tinformer que je suis au courant. Je leur souhaite tout le bien possible, mais une chose est sire, est que je fe veux plus de rencontre avec le cian Breuer. Je suis en plein travail durant dix A onze heures chaque jour et, dans cette mesure me sens bien, mais presque aphone. S'agit-il dune fatigue excessive des cordes voeales ou d'un anévrisme ? Tnutile de chercher une réponse. Il vaut mieux, ‘comme le conseille Candide : travailler sans rai P.226 Diune guérison spontanée d'une paralysie pupillaire Worigine tabstique, je ne sais vraiment ob sich etwas finden lapt. Natirlich a priori sehr unwahrscheinlich, Gewifi Phosphor ? Mein Zimmer habe ich jetzt mit Gipsen der Florentiner Statuen geachmilckt. Es war eine Quelle ausserordentlicher Erquickung fir mich ; ith gedenke reich zu werden, um diese Reisen zu wiederholen. Ein Kongrep auf italienischen Boden ! (Neapel, Pompe Heralichste Griife an Euch alle, Dein Sigm. 2 rien, ot je doute qu'on puisse trouver quelque chose. Naturellement cest a priori trés invraisem- blable. Peut-étre du phosphore ? Je viens dorner mon bureau de moulages de statues florentines. Ce fut pour moi une source @extraordinaire réconfort ; je songe & devenir riche pour refaire ce voyage. Un congrés en terre italienne ! (Naples, Pompéi). Salutations les plus cordiales vous tous, Ton Sigm, u

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