DEVOIR 1

Ce devoir est à réaliser sous forme numérique :

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et suivez nos conseils pratiques pour déposer votre devoir et le faire corriger par internet.

IMPORTANT Veuillez réaliser ce devoir après avoir étudié la séquence 1.

« La réalisation de vos devoirs est un travail personnel permettant d’évaluer vos acquisitions et de construire
votre projet d’orientation. Sauf consignes contraires, il est obligatoire de les réaliser dans les conditions
de l’examen, c’est-à-dire en temps limité, sans recopier des contenus issus de supports extérieurs au
sujet (internet, cours du CNED, manuels scolaires…). Le cas échéant, si vous avez besoin de vous référer
à un passage issu d’un support extérieur, mettez-le entre guillemets et citez votre source. Tout travail non
personnel sera sanctionné. L’usage de la calculatrice est strictement interdit.»

Séquence 1 - La coordination par le marché

Durée : 2 heures

— Exercice n°1 : Mobilisation des connaissances et traitement de l’information

Description du document :
Graphique représentant une courbe
de demande et deux courbes
d’offre : l’une avant la mise en place
d’une taxe, l’autre après la mise en
place d’une taxe. Cette dernière se
situe donc à gauche de la première.

https://www.lelivrescolaire.fr/

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1. 
Comment des firmes, en situation d’oligopole, peuvent-elles accroître leur pouvoir de marché ?
(4 points)

2. En utilisant le document, répondez aux questions suivantes : (3 points)

– Définir la taxe forfaitaire.
– Déterminer la quantité et le prix d’équilibre avant puis après la mise en place de la taxe imposée
aux producteurs.
– Donner les conséquences d’une telle taxe sur l’équilibre de marché.

3. Après avoir distingué l’aléa moral de la sélection adverse, vous montrerez comment ils rendent le marché
défaillant. (3 points)

— Exercice n° 2 : Raisonnement appuyé sur un dossier documentaire

À l’aide des documents et de vos connaissances, vous montrerez que la présence d’externalité nécessite
l’intervention des pouvoirs publics. (10 points)

Document 1 : La dégradation environnementale

La dégradation environnementale a d’autres causes que la croissance de la population.

En fait, une grande part des dégradations environnementales, notamment celles qui concernent
la totalité de la planète, comme l’effet de serre ou le « trou » dans la couche d’ozone, mais
aussi la surexploitation des ressources naturelles épuisables (pétrole, charbon, gaz, etc.) ou
renouvelables (forêts, poissons, etc.) sont dues aux comportements de consommation et de
production des pays industrialisés.
Alors qu’ils comptent moins de 30 % de la population mondiale, ils consomment l’essentiel des
ressources environnementales. En moyenne, un habitant d’un pays industrialisé consomme
neuf fois plus d’énergie fossile, six fois plus de bœuf et de veau, vingt fois plus d’aluminium,
seize fois plus de cuivre et deux fois et demie plus de bois qu’un habitant d’un PED1. Environ
70 % des émissions de dioxyde de carbone (CO2) et la plupart de celles de chlorofluorocarbones
(CFC) sont dues aux pays industrialisés.
Sans trop forcer le trait, on peut dire que les pays industrialisés (le Nord) ont une consommation
excessive des ressources environnementales extraites à un rythme trop important dans les PED
(le Sud).
Philippe Bontems, Gilles Rotillon, L’économie de l’environnement, La Découverte, 2013

1
Pays en développement ou pays du Sud. On désigne de cette façon les pays moins riches au niveau mondial.

Description du document 1 : Texte présentant la surproduction et la surconsommation et non la seule

croissance de la population comme facteurs de dégradation de l’environnement. Comparaison entre les pays
dits du Nord les pays dits du Sud.

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Document 2

Source : Fraisse d’Olimpio, SES 1ères, manuel numérique 2020.© Belin éducation.

Description du document 2 : Graphique circulaire représentant les dépenses du programme

d’investissements d’avenir consacrées à la transition énergétique et environnementale en 2017. Les
entreprises de toutes tailles travaillant dans quatre grands pôles ont reçu ces subventions :
– Transports et véhicules du futur (44 %)
– Énergies renouvelables, stockage de l’énergie et réseaux électriques intelligents (36 %)
– Bâtiment, industrie et agriculture, chimie du végétal (11 %)
– Économie circulaire et déchets (9 %)

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