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el ob) “Eo --E-@))-fs-(2)] +deo(S)] +f steee(4)] (adn ries “sf =p EXERCICE 2 (Cet exercice est inspiré du sujet du concours ECRICOME 2003 option scientifique (toales de commerce). T 1) La cruimance de (ua) we eamonte mana dificult : pour tout m EN: oat ~ Mie =u PO. La stricte positivité en déconle aussitét pulaque uo =a > 0. 2) Via 1) et le thtoréme de la limite monotane, (us)acs Posse une limite ¢ € RU {oo}. Or cette suite et croimsante et tug = a >0, done > a> 0. ‘Supposons é réelle. Alors par somme et produit, via la relation de récurrence vérifide par (unjecn: €= (+0, d’om 220, puis €= 0 — cleat faux. Couchision : f= 00. H— 2) a) Solent n.pEN. eee ele oer eet eee (ee) na eon ene = Fi (14g) Peet era pt te a a cron, dome 0 < a Mat DU CORP! abst Mabe = Geer (I+) < ee in(14 2) b) Soient n,k € N. Par simplification télescopique, on = : man ea Sewn nok, ‘done via 1) : = Ae “@) Oe mene eS getari (42) = pha (iB) ghee te (tL) 2a) a at ©) Linggalté de gauche de la question a) montre, pour p= 0,que: Yn EN, wari —ee 0, done que la suite ()nen est erolasante L'inogalité de droite de la question tb) moutse quant elle, pour ® =0,que: WEEN, muicm + in(i+4), done que Is suite (v,)acx est majorée — attention, il est impératif que ls majoration ne dépende pas (ici) de kt Com deux points mantrent que (vn)ucn converge vers un certain reel aren vertu du théoréme de Ia limite monotone. 4) a) Soli n EN fixt. Paisows tendre k ves 20 dame Meneadrement de ln question 2) Ogo-metin(s t) 'b) Muliplice Peucadrement précédent par 2°, aouter Inia = 2*en st composer enfi par Iexpumentill. 2) Meee ones Ge ees up por Sent wa ce et Oe SSE De vet ihre de, $s eee (8) ay Se ee ren Bog gy me — yu ee (el — fa) — (2 — fe)” wee sp, at Bl + OA a eB, + (A, Let. On en déduit la relation cherchée en réordonnant un peu ce résultat, b) Comme (Jn)acn est bornée via a), tl en ext de meme de ln suite (Sn )1 +42 — Ba) cae D'antre part, via Noquivalent ddmontré en 2)e) + Time 72 = tim = 0, Du coup, wi non fname tendre m vers oo dane In relation de récurrence démantrée en a), nous obtenons comme vouln lim in = does dont ot tot) “4 o(e"7"*). Le résultat s'en déduit par définition de (8.)acn. EXERCICE 3 1) a) La fonction g est continne sur le segment joignant a et x et dérivable sur Vouvert correspondant. Or g(a) = g() = 0. Le théoréme de Rolle nous garantit done lexistence d'um réel c compris entre a et x strictement tel que g'{c) = 0. b) Pour tout 2 € J, grice A une simplification télescopique : “ey 3 (Ee mw eae so--E (Fee ~ 18+ FO Cnye-o*) 43 9 =-/0-¥ (4 (@-5*- oo @-0) 45-9" = 28 (e-y s 4 ms Liegalite g'(c) = 0 nous dane alors le résultat soubaite: A= f™+*(e). on 02 ¢) Finalement, comme vouln : |ror-¥e Bae “| es ena] < ap ear © Corenophe Bertaalt - MPS Devote sur hie du ama 4 mare z00m (turte th) 2) a) Notons f la fonction x ++ ka(i-+2) definie sur |= 1, cof, Blem str, J € C%(]= 1, cof, Rt). Une récurrence alate montve que pour tout k€N* ot pour tout reR: f(x — UM! Ba particulier, (0) = (—1)*-"(k = 1). Fleons nc N* ot 2c R,. Sur [0,2], [| at mart para Linggalits de Taylor Lagrange Aémontede on 1)b) Peas kia te oes ie 1yi-! a mt ett a(t +2) — = |e) - v< wt. 2 (142) fe) =o | wri ee b) Fixons cette fois n ¢ N* et x € |—1,0). Sur [r,0), ee a Le résultat en découle. os

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