Si notre Ordre avait été plus extériorisé, moins
eeret, nos voix n'auraicnt pas été étouffées par
CERTAINS PERSONNAGES » D'UNE « CERTAINE
IAGONNERIF ». Tu aurais entendu l'appel vi
brant de la France et neut-étre compris ton devoir
vers elle.
Pourquoi je m'adresse a toi? Parce que je
onnais tes sentiments I’égard de ma_patrie
parce que, je le sais, tu peux beaucoup pour nous,
for que guida le grand Frédéric, toi, a qui « les
Bages » ont confié la mission d’abolir le passé et
Be préparer !’avenir.
Tu veux é!aborer aujourd ‘hui la nouvelle
ponstruction d’Occident. C'est bien, mais songe
Aue la France doit y avoir sa place; or la France,
f ne sont pas les camé'ons qui apris l'avoir con.
luite hier au désastre voudraient la représenter
lans I'Ordre nouveau, Cela, la nation ne peut et
he veut l'accepter.
Sache que la vraie France réside en ceux qui
pnt le droit de parler en son nom, d'exprimer sa
Pensée, ses désirs comme étant les fils de la nation
eux qui n'ont point a la place du cur un porte-
euille a garnir, mais, comme toi, une mission 3
emplir. Leur mission, c'est de refaire une France
Prospire et saine, de réaliser l'entente des nations
bnies pour composer l'Europe de demain.
LA DIFFUSION PUBLIQUE DE CET.
MENSUEL
DIRECTION - REDACTION,
COMME REPONSE AU
GE QUE JE VEUX
ET oats DE TOI
21 Novembre 1942
10, Rue Lebouteux, PARIS (XVII")
PILORI
Ce que je veux et attends de toi est trés simple
que soient réalisés
1” Tunité francaise dans ses fron
graphiques dont la suppression de la ligne de
démarcation en sera le point de départ;
2" le ralliement de toutes les énergies fran-
saises par l'appel des jeunes au travail obliga-
toire et pour la défense de Empire;
3° la création d’un ordre occidental nou-
veau, une jeune chevalerie européenne dont le
mot d’ordre sera Solidarité, et dans laquelle
chaque nation devra étre représentée, « pre-
miére étape des Etats-Unis d’Occident ».
Ce probléme ne peut étre résolu que par I'él
mination totale des incurables politiciens, des
vampires de l’ancien régime, des affameurs du
marché noir, par la réorganisation de notre agri
culture, de notre industrie, de notre commerce et
surtout une rééducation morale de notre jeunesse
4 laquelle il faut sans tarder inculquer un idéal
nouveau.
Ceci n'est nullement un probleme politique
mais un probléme purement humain.
VOILA CE QUE JE VEUX
VOILA CE QUE JATTENDS DE TOL
CAR C'EST CE DONT LA NATION A BESOIN
ET, CE QUELLE RECLAME
BZ QUIN 4a 3 rr re
ANE EST RIGOUREUSEMENT INTERDITE
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le Professeur LE FUR
de la Faculté de Paris
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Avavsyn BRISIEL Ruialeroncome dews nis regi ‘que’ Piesre de Fr
fea ‘al Vanivers + Papatation ei Te “ta “tram
Kirrma "ayant com: rc a
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mtu a7 de
Le 14 Décembre 1942
A LA GRANDE SALLE PLEYEL
GENEVIEVE ZAEPFFEL
— PARLERA AUX FOULES —
Nos Membres et Sympathisants sont cordialement invités a assister & cette Séance-