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UE INDO-CHINOISE LANNAM PENDANT LA CONQUETE En année 1886, les provinees PAnnam, ‘Than-hoa, Nghé-n, ink et Quang-trt 64a ot trouble de villa du Nord de Hating, abvsolu 3 a po: montagne t desolé. Dans les villages ment atl abl ses buftles, hand laissant le pays. désert vn geand nombre de. localite ulvant Fexprossin ¢priparés die ». Cotte préparation con lever du toit des maisous les pail ottos et tout ee qui est matiece facile & prendre feu ; les meubles, portes et pieces wis avaient @6 jetés dang les mares. Les maisons ayant quelque valeur, comme colles des grands chefs, avaiont été eompli= tement dem pices de bois et de fer, entassies les_unes. sur les autres, for maient, de ei de la, de gros bloes contre les juels Io few n'ayait que peu de pris table était des plus triste: ui semblent avoir le earactire dun demi- ueriflee, et qul etalent prises dans eerttl- tries menacies de toutes parts pat pirates, les rebelles oa les Francais, etaient adoptées par les habitants dans le uitde ne pas tout perdre. Le Nhi-qué, en envisage incendie comme fatal ; len rend son parti et cherche 4 en diminuer ie plus possible les séquene nd Hla enterré tes objets les plus pré= UX, prépané sa maison eontre V'ineendic ‘senfuit avee sa famitle, chassant devant lui ses troupeaux. Dans d'autres régions, an contraire, il faut yoir dans Padoption de cos mesures la preuve certaine de I'hostilit les villages. Lorsque eelui-ci se décide rer en lutte ouverte, il sait parfaitement Wil expose aux représailles habituelles de VAnnam : le feu. De telle sorte qu’alors, |i simple nouvelle que telle on telle ¢ ‘née déeouvrait ses toits et demontait ses ‘maisons, ou pouvait en conclure d'une fa eoutre Pin Kavor Inpo-Cunoise, x° 110, | goneertaine que.co pays n’allait pas tarder entrer en lutte. Quoiqu’il en soit des raisons qui ame- norent cet état de choses, e'était, pour le moment, la ruine du pays; ear ew aban- | donnant’ ainsi leurs villages, en laissont | leurs rizioves on friches, les paysa préparaient une disette fatale, Les colonnes qui opéraient alors, virent au moins ci ents villages préparés pour l'incendie. S'il était vrai que, dans eertaines contrées sistance était énergiquement orga’ est vrai d'ajouter que autres ré- gions ne demandaient que paix et tranquilli- fésmaisles indiginesne sa vaientpasee qu'é- sient les Francais, ee que nous leur deman: lions, et, ne tenant ni pour leroi Ham-Nghi ai pour son succosseur, cos derniers habi- ‘ants ne reconnaissaient ni Tun ni Fautee is combattaient tout simplement pour la léfense de leurs villages ; ils protégeaient leurs foyers et leurs familles. Un grand ombre de chefs de villages questionnés alors, avouaient que, pour eux, la question ndtre occupation ou de notre protectorat Wavait jamais 6t6 poste. lis n’avaie entend parler de Hué, du roi des et méme de leurs chefs (Tong-Doc ou Quan hu). Pour eux — et ils étaient nombreux ayant cette ignorauce — le monde finissait i fiuissait lour « Hayén >, La piastre leur etait méme inconnue. Dans la région du Song-cin ils payaient av clous en argent qu'lls coupaient et débitaient par pelits morceaux, suivant change ou le marché. Dans certaines vallées ils ne par= laient méme pas Annamite. Wnais le Laotion Liautorité annamite n’avait de relations ayee ees vallées qu> pour le paiement de Timpot qni se payait, suivant les localités oit en canelle, comme i Qui-Quiou, soit en cire comme & Sin, a Vé, ete... Dans ces pays absolument priniiifs, iLeut suffi @entrer en relations pacifiques avec Landi 25 novembre 1900, REVUE lesshabiiadls, d'envoyer dims ces régions desledlonpes dexploration. de protection, faisanteptinaitre lenom francais. Il eut fall Tes chefs Dienveillantes et pacifiques. Il eut fallu ré~ andre en grand nombre des proclamations Gans les villages; les relatons eussent été vite rétablies avec ces paisibles populations qui ne demandaient qu’a travailler tran- duilles, & Tabri des incursions de tous, quil soient. On envoyait bien quelques proclamations; mais elles n'arrivaient presque jamais a des: fination; car ceux qui etuterit charges de les faire parvenir les arrétaient en rout Teut fallu aussi exiger la comparution, ei personne, des autorités subalternes anni nites, pour éviter que les communications faites’ par les commandant d'armes aux ‘Tong-Doe ne fussent travesties et traduites souvent 4 l'encontre du but propos¢ Sinous examinons maintenant tion de la défense des rebelles, nous verrons de quels efforts ils étaicnt capable: ‘A la t&te des principaux parti vaient les grands mandarins mé partisans du roi déehu, Ham-Nghi et de son premicr ministre, le Than-that-Thuyét. lls espéraient une retauraticn qui leur ren- drait charges et dignites. Ces grands chefs parmi lesquels ou comp- tait Ie Ngé-On, le Ngé-Phong et le Din! Nguyen, opéraient alors dans le Nord de la province de Thanh-hoa, dans le Nghé-an, ans le Ha-ting et dans le Nord-Ouest dit g-binh, Leurs partisans étaient nom- roux, ils disposaient de subsides considé~ Tables et avaieut a leur solde des milliers Ge rebelles, Ils pressuraient le pays pour en retirer du riz de l'argent,et des homme Lours centres de résistanes étaient partois des villages se prétant a une défense facile et parfois aussi il se tonalont dans de véri tables forts construitsrécemment par Ie soins, en vue d'une résistance contre nous. Ges forts existaiont, par exemple, & Qui quiou, sur Ie Song-can, au Sud-Ouest de la province de Thanh-hoa ; & Dai-don,’ Ouest te la province de Nghé-an ; & Ké-na (Nghe- fan) ol une. barricade de 1.500 mitres de Tongueur et de 3 metres de hauteur, fer- mait une vallée entiére et barrait la route dolamontagne Ngan-pho, au Sud-Ouest do Vinh, ete. Lexistence do ces centres de résistance Aénotait un idée bien arritée de combattre Tinfluence francaise et, comme les moyens dont disposaient ces chet étaient relative: ment considérables, i's constituaient une v¢ Titable menace, soit pour nos postes, soit pour les villages qui nous avaient f INDO-CHINOISE soumission, soit enfin pour les ehrétientés Gtablies dans le pays. La confiance de ces chefs était telle ea février 1886, qu’ils osaient prendre Tint tive do Vattaque, a Fencontre de leur t que ordinaire qui est presque toujours la détensive. Au mois de décembre ds Tannce précédente, ils avaient mime cerné a Vink, Au nombre de 5,000, la compagnie infan terie de marine du capitaine V... 'avaient foreée i Sarréter Dans es premiers jours de février, le chet Dinh-nguyen, appprenant que la 1i* Com- paguie di le" Tonkinois était a. Hum khi {eur te Ngan-san) quittait ses défeases du Ngan-pho, pour surprendre cette. troupe dans ses cantonnements. Mais par suite Wordres ayant preserit cette compagsie de quitter Hinn-khé, le Dinb-nguyen ne put Fatteinbre dans eétte localité. I nv'abandon- ha pas pour co retard ses projets offensive Par des marches dans le yoisinage db n iTatteint celle-ci en rase compague . sur le Nganesan, essaie ce lui barrer Dinhengoyen batty, n'en pas moins montré une grande confance dans ses troupes qu'il commandait en pe sonne, ostensiblemeat. Le {5 fivrier, eut lieu encore un nouve coup d'audace de la part des rebell gros de la colonne du chef de bataillon P {iui était partie pour quatre jours faire une Pointe dans la vallée du Ngan-tren, dita Sor en arriére tous ses impedimenta, che- Vaux, malades, convoi portant 50 jours de ivres, jonques et sampans. Un détzch ment de4sous-ofliciers, 4 tirailleurs toaki- tois, plus Veseorte des jonques, commande par ub officier est chargé de la défense e ce ui prend forte position dans deux pai tele bord do la rividre do Ngan~ pho. Les rebelles cherchent & plusieurs reprises @ enlever Ie convol; ils soat un tuillier environ et ont uno einquantaine de bons fusils, Lofficier quia pris te sage parti de ne pas Sengager, eve le camp, apres aWoit faitbonne contenanco et il embry avee son escorte, se rapprochant de Vinh ot mettant entre les rebelles et lui la grande riviére de Ngan-san. Le 18 février, apres avoir été complete- ment batius 4 Gau-xa sur le Ngan-pho, les rebelles tentirent un retour offensit vers le soir, et Taction commenese i 41 heurvs du matin, dura jusqu’a cing heures dusoir. Ces trois exemples empruntés aux opérations dela colonue P... pourraient étre complétés wires nombreux et qui montrent fque la résistance avait dans tout le nord de Anam une grande vitalité. Ainsi, pour ne citer encore que quelques cas, la réoczupa tion de a forteresse de Phu-diem, atiaque | contre Thanh-hoa, introduction, dans lacie t'Teur | tadelle de Dong-bot, desrebelles qu vireut REVUE INDO-CHINOISE, 1,128 des, teu. fier nommés an Sble Quan-bo, enfin la jironsde Vinh, la construction fos parpousdetraits deux ou trois Find! qdatout suffisamment qu'il ne pas eda gher pareil adversaire. » totale Stes ot Dlessés dans les divers Praats de Y-Xtinam raménorait vite A uno ta 'presqu'ile i oson et avaitdeenie de tes netineen I rmantre arrete du 15 janvior ISMN ete plus Join, Hl avait ‘Tonner en eone 5 ‘or, S absolument 1 du Proveetorat is meat ne pou ti meme un tite d nie de FAnmim-Tonkin étan FW AnnAH qui-seul peut ei pu puiser dans arta foi di 13 jit 1888, yendani di on INDO-CHINOISE disposer Annan ilement po fais ct pr an Tomkia < stipulat Cette ord Diet en Annan nest Ta real = aVart, 13 di te auperitue sil nTde Tado-chine eit tenn émanant dy roi ponvoitde se réserver des drcits fur une partie queleonque. du territoir PAnnan-Tonkin, de dispose pas. conséqu dies biens domaniaux. Copenitant, c'est ee poavoir dont gonvemement gindral fy Tészand di fa presque de Doson 5 sions ontéte fhites pai calses, tant avant que depuls i888 dans cette presquiile En cette cireonstanee, non plus. ver neinent anpamite n'a elevé de protestations, Ta falty Yexets de tration, que nimi ia suf, pour faire ress pouvoirs commis par Vadn les tiers se préteniissent, al'en propritaires de terrains concedes, et quis Assent appel aux juridictions francaises pow faire traneher leurs revenlieations, Fatalement, la question soumise aux. trib naux devait. aire. nessortir Tes ierégularites commises. ot appeler Fattention dit gouvern ment. Une iléeision recente du teibural .dusnovembre dernier, a heureus Sill les yeux de administration. Pa nit savamment motivé, le dist ide ee tribunal, M. Leneou-Barét iré que tous les coneessionnaires fran quile ide Doson, qui. tenaient ns faites pare Yernement, « wavaient que des. titres Yaletr, qui’ nen pouvaten touectaions enssent approuvées j compris. On nous apprend que Mf. Downes a tuclon tie peut faire remonter la responsabilit {netes impatatites 4 Tindifference, sinon Legereté de ses pr Ses ‘intervene. pres du Couvernement anna nite, qui y mettant ane condeseendanes, ritoine quoique quelque pev nal tite ordonnance Foyate. Cetve ordounatice, s vie d'un aréte de Vadzuisisteation frangus henreusement ratife les concession res faites aux Enropéens et authris hntres qui poueraient avoir lien par la st lang cette presqrite de Goson. Cest unr tatdoublementhourenx, pursqtic ainsi voila concessions frangaises® largement aun ce chef, la proprists privée traneaise © done se trouver maintenant assise dans tervitoive sur des titres. rewuliers. Nous wet on. terminal tute Tes trop frequents détece os adiuinistratic iI fant absolun sila Franee vent tirer parti le siseo! avite particuliére en. cet foncicr qui aurait di étre REVUE INDO-CHINOISE 1OniIH Ny Meure meme ME MMEHEIplant dans tos fod concessionnaires del ir Ace ue, les pisaances. ton le Ttabllssement, duns Pune ou Yuutee dl iment ctabli, » proctdent au plus tot dans tin RL gic i cone apciaemen fy it de trancher Tegistativement In question de iach la cession pate tol d’Annam des niles qui igs a ques D. PENANT, CTES OFFICLELS Concernant la Golonie U6 fixant les obligations Annine Article premier. — Tout eaptaine ow tron i tangas ou étranger arrvan dase port ledo-Chine eat tnu de fare porter: immeligtes atau bureau de poste les deplehes dont ta prs tharge au port dorigine ou dans. les escoles de lt 2.— Tout eapitaine de navire en yartance donner asis de son, départ au service des inglquatre heures & Tavane, stra teuu de faire prendre au bureau de poste, i Phoure tiée par le rece our Te. how de destinat Art. 3. — Linexéention de Pune quelonque des obligations prévues par vs aeteles | et 2 sera pune ‘Tue amen de 2 4 100 fans, in as de récidive, le maximonn de Famende appliqué et une peine de la I> jours. de py pourra tre prowotece Toutes ies dispositions coutraires & ‘at sont et demenrent Procureur général, chef sur, les dépéches formées son aavies aire, et les Directours des. Posts e hi do Fexécation da présent an Saigon, le 24 ovtobre 1900 un DOUME Par le Gouverneur général our le Procureur géuéal, chef du Service {lielaie eu Tado-Chine,_‘emptche Lavocat général détégue, Purser. Le Directeur dcs Postes et des Tétigraphes de ta Cochinchine, the Cambodge et du Hawt-Laos, E. Lovnwe Le Directeur des Postes et dee Télégraphesde CAn- ‘am, du Tonkin et de Hawt-Laos, Buow — 2 oi Arrétéaccordant exemption de Fimpit personnel ot des eorsées aux ouvtiers lon huis adjoits & la section des. tlégraphistes. mi tures du corps expéditionnaire du Pete ‘Tonkin {octobre 1900. — Arrité, modifiant_et com- ut le tableatt n° Lannead A arrété du relaifa la. réeeption des actes de VE werneur géncral de Mndo-Chine Sur la proposition du Général commandant en chef les Troupes de Fudo-Chine, Anne Article. premier Hurndté dT fevvice 189 Tareété ‘du 26 avril 1805 coumine suit, en tableau n° 4 annesé & modifié et complete ps st moulié et eommpleté e qui concemne le cerele de Bac REVUE sa chef les da fant Br, 2 Te Général commn Vexéeut NGAP io Cin et ear es on, te 2b actobre 10 + Paut DOUMER. Par le Gouverneur général ‘Le Génénal de division commandant en chef les Troupes de. { lulo-Chine, ‘A. Dovbs — 2 octobre, — Arrité pritevant un erét du 2.917 § desting a Pachat des bieyeletes nécessaires iments des ailleurs i Tableau, 1900, — Arvété déclarant on Stat nile Pho-yen, province — Snovembre Aiinfeetion de charbon el de Thai-oguyen — 6 novembre 1900.— Ate rnission & Veflet dexaminer les fe lettre auailiaire de 4° classe dias 4 Fempli 1909, — Arrété nommant une Wexamier les candidats i fteryette susiliaire de 6 — 6 novernbre commission i Teflet Pemplot de secrétair — 7 novembre 1900, — Exteait de arrété fxant fa taxe alditionnelle sur les mandats le post partir di 8 novembre 1900. LW), — arrité, nommant une oreder a Pexamen de que qui dsireroot quoe-ngu et de —8 novembre commission & Veffet de y Fetirés regus au concours subir les epreuverfucullatives di Fraugais. Dicision accordant une dedi cents par homove & de ano ‘onvoi de. pr = 9 novembre 1900. indemnité journal cdhacun des neuf. miliciens se la br charges de conduire 4 Saigon un S$ JOMRNAUX REVUE DE La Liberté des Colomes s’oceupe d'une intéressante question qui a 616 souleve dernivrement par noireChambre de com- merce et d’Agriculture du Tonkin. 11s gitde la propriété Annamite source ot cause de toutes les diffieultés que Vadmi- istration a A trancher entre les colons et les indigenes Notre confrére dit &.ce sujet: LaChambro agriculture estime qu'il et évident aque dt jour ot la proprisé sera Dien établlo aa ‘Foakin, le coton pourra achecer ou vendre & Tindi- gene en toute sécurité (es signatures da maire et des Setubles, en attenant le cathstre, mises sur Te Diae uae unl fot pot Seb aos di teri dine le village vier plas tad toute ise Vempla a aay ee el cute aera ea ea elomize qe | detraail serait fit par un géométre que I’ isan Weoerif aur hs os ow uae | INDO-CHINOISE qui pourraient én pour Te moment i Ce eadaste fixede tant olui-t Aéliveerait cette lion, pei os vente et Asiatiqa ‘obligations pou 6tee re ‘Nous esyeerons que les i griculture du Tonkin ser nud pas sera fait dans olonisation denuocratique serait fait moyennant une rét Treetare au hele da protect nivel paiement de ectte retina Neliteur ut Hite de proprid petit, Te eadastee se ferai de rire Annamites ow entre Ausamites ‘pourraieat ere soumises au mines ies lables, de Ia Chambre 4 adoplées of qu'sins weavte i ilelle te aflaire Jukanthor fait objet de tou ommentaires dans la presse francaise qui, il faut le reconnaitre,est 4 pet pros Unanime a flétrir les’ procédés employes par ce prince mécontent. La Potitiqe Cofoniale qui donte une note tres discréte, n'accepte que reserves les préiendues revelations de Théritier de Norodom tes sortes ( Nous avons beaucoup port, dans ee prince Jubantor et oa pa soit ue ourant des seins de ee singulere smuelques.dgaris — tulgressaol penoonag ‘est pout cette raison préeisément qu'il ous pla ardine sabres de commataires sat le docamett que fejourual Le Main vieut de pablier sous la sigoatur ince exibodgien i lawwe sine «'éuonciai fives d'étro. series, Quelque Te plaignant_ produisent mais, er détinitve, ens ‘Tin, témoiguage nig Se prétend vilime, timoig pour pouvoir étreadms comme avec trop dep Pexpressio ne autre © faire, Ia patiens it Tuk donnera 1a sae {Que cate solution est pa Crest a eritud ernement apis pat quelle. dit ave le ampagne menée par quel(t lites en mal de scandale ne tar Le Conrrie Les résultats immédiats de ¢ heureus: personn deront pas se faire sentir Saigonnais semble déji quand il dit de Ducos a en parti cambodgien et te per de Norodom, Hess et Yukant sient frang au lendematn ses réeriminations d La bonne. norelle, accompagnée taires Tes plus engageants, a €técolp quatre colas du. Cambodge par les tj et sera demain parvenu & Ia ‘Crest Te partido Tautonomie et de Vindépendanse outro, Sor2ktise, s‘flirme rangais qui bat ii annonce la Adeepisestaay rctuel de 1a France Fredo wume ie, valeur. et de ne sostalg Sortie AR st silence. sins sex Puli Weawapires de toute lx handk Lle-couMiRoAMeOt peut se vauter Wa eagle malted, en faisanteoinchler trait nate dixgere du représentant de la Fr ambodf@igec les dolbances de Yukantor Onconnait déja quelques unes des ré- pouses. faites par M. le Resident sup¢ tier du Cambodge aux aecusations du nince. Elles sont telles qu’on pouvait les pressentir. LeCouerier de France, éerit fe Courrier Hai~ phony, nous apporte fe texte de Tinteview de M. [hcos, Resitent supérieur au Cambodge, par te Matin. Gestla contee-partie, Ia isenssion par ta five adverse, des. panphiets Jukanthor. Comme js Tavous deja fait Fessortir du reste, cette eam ue inressée a stout un but feate immorale ferme Wn alu sire per Ta modeste rent Ft autour de Iukanthor et ‘ap seetie persone inuuelte de trois cent mille allie do fa ferme des jeux, ‘anseiller coreciet dean Hess ont ssoives. pout corser Tine fe quelques petites tancunes. ins “tye M, Dgcosaurait trate devant Macaque. Leave nt supe que la one nat pas pour Iai profiga pllations mrs ie qvamd serpent, de Phinocbros qui ent dans leur tani et eur bouche ne si ion aujuricusrs Pies chores “qi f0ut ircupposgut que tout fat vrai. La menace faite atrar WM bacos ces dentain que je Yous ie an bagae» serait plus grave. Teaneieh Sopévisurrépont i kaathor que eat accu Scton eat tou eimplement un mensonge. Done, jason irs belles phrases sur Theureus sort des Cam- Dovigiens avant notte Protector, sasto famille grou la om issit toutes lex Mbertés, sauf celle de Moure ofan, ces elles pirases disse, parent iar bon vatured sees Ta protestion du bon pére famille frusté des ax alle esclaves | guil vst tit auparavant et Jukaathor, foie iter Mn paltinaine réduit parla liberation te ce nom Teta! human, se. fat maarelement echo ss des doleances,patervel ae Lomi parle du Figaro, Fdaistation franca sition dv prejudice eausé,a fait attibuer a la Toyale Ie produit de Timpot de capitation i) dollars par an environ, Lo ear par ‘tone du a Nor voir pour wp de. ses. anciens.« i libert poli ihe surtoutquelaliberte de nour de fi: qui ilo ces 1500 dallars a soatager ces ifort tet fire beaucoup avec e is ce est ilemment pas eel corr len ios Sisiares | justice "Oum est un bon. serviteur de la France et eit cote pour Tefatre mal oir 4a Cour. ELT Acea favonta Kiba, secrétaine ganéral. da palais, pour feqacl Jokanthor demande’ la croix a 1a Légion Fihumacue, en nous fe préseutont comme un bon et idle serveur, ae eondammé, nous appren M Hacos, ois ansde prison pour sbus de eonfiance escroquerie. [ey adizank de crlaet ce persone sae met pu se faire rehabiiter, Le alindue fe soulit au moins nous dévonsidérer el uous viieuls en fasantatacher la erodes bra fr rete poitrine putol large 1 Heureuseme jue lestrangis de Fratce ont djoué fe petit com Mot des autre disait, nagusre, le wala Jukanth afin fa haine de Norodom contre M. de Verne ville iendeait de ur ee Resident Supérieur Trait fait mettre aut fers Pang St Hajesté, Le provid De pls, faving te dans a seule mar fiom dun marin francais etl ne merical 'Vhonneue ni cote indgnits. Nous ae me Jukantbor, et ee sera tout, que M. de Verne= Sie fa un résifent da poigoe un peu four ze la Yenfare un concussionnare, un volenr 1 ya un iondes ity atoute la diflérence qui existe ene 1a Frames et Ye Cambodge, entre Faministration fran flses elles administrations asatiques 08 trop sou- i en eet autorité et concussion marehent de pai ‘reat publi auteursda ps tat Président du Conse L'Indépendance Tonkinoiseajoute quel- ques détails A ces premieres explications M.D Ia fe expose quan commencement de 180 eae tous les autres abus de l'admi- ion camodgionne» avatentcondalt Ia pop Of Garcia dénersoment tet que on peorait omental, une veal Se leewe recht ea epiration dia contra passe tion 9. supprinic le fe fermmer, Ce tral expiraite 4 ance, Norodom obtint encore ot setae o lermier pear Norodom ave Faoyier 1871, NT tie. Doumer une proro ® fs. de M, Dacos 4 ne chang hile priv de a fern + Or, quelques m Jon, oublant une fois de plus la parole donnée, fiat ies jeus Ann autre Chinois qui fui payait reievane supérieure Tien plus, afin de dével passio cherles Cimbodgiens, e [eS produits, Te nouveau ferme vériibles tnpots ambula Des tenaaciers ie jeux dans les villages les plus Gloignés du pays, Haladins atiratent par des divertissements Yes ind nes. Pais, A Tissue du spectacle, les jeux ¢ frencaiest, en pleine ait, et duraient tou (etait fatoérable. Te rol avait bafoud en ma porson= tuele repeésentant de Fautorté frangaise. Je ne pou- his Iaisgor” sans sapetio un telafiront & notre au | donié. Et vols pourquoi e } avant ton départ en eonge, aécid® a suppression risolue les eat, mesure qui a été ensuite approt~ is aprés, appre at Ti augment avait insbitué d a suite de quel scandalej’si,

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