You are on page 1of 47

Аntisepsie

• Consiste à l'élimination de la plaie des tissus


qui se sont nécrosés et écrasés, les caillots du
sang, les abcès ouverts (l'abcès, le phlegmon),
les corps hétérogènes, la ponction des abcès
(la pleurésie, la sinusite maxillaire) le
traitement des blessures par le courant
battant du liquide etc.
Antisepsie
• Prophylactique (le traitement des mains du
personnel par l`antiseptique avant l'exécution
des manipulations, le traitement par
l`antiseptique des endroits des injections etc.)
• Médical (mécanique, physique, chimique,
biologique et mélangé)
Antisepsie mécanique
• Consiste à l'élimination de la plaie des tissus
qui se sont nécrosés et écrasés, les caillots du
sang, les abcès ouverts (l'abcès, le phlegmon),
les corps hétérogènes, la ponction des abcès
(la pleurésie, la sinusite maxillaire) le
traitement des blessures par le courant
battant du liquide etc.
La toilette de la plaie.

• La toilette de la plaie est produite


pratiquement à chaque pansement. Pendant
le pansement on retire le bandeau, ­on traite
la peau autour de la plaie, par la pince ou le
clamp avec la boule de gaze on éloigne
l'exsudat purulent, les caillots infectés, les
tissus nécrosés se trouvant librement etc. Cela
permet de liquider près de 80-90 % des
microorganismes dans la plaie et autour d'elle.
Le traitement primaire
chirurgical de la plaie.

Le traitement primaire
chirurgical de la plaie
permet de
transformer la plaie
infectée en plaie
stérile (aseptique)
grâce à l`excision des
bouts, des parpois et
de base de la plaie
avec les corps
hétérogènes et les
zones de la nécrose.
le traitement
secondaire chirurgical
de la plaie
À la différence du traitement
primaire, le traitement
secondaire chirurgical est
accompli en présence de la
plaie, où l`infection s'est déjà
développée. On enlève les
tissus nécrosés — les sites, où
on observe les accumulations
des microorganismes étant le
bon milieu nutritif pour leur
activité vitale. En outre, il est
nécessaire de révéler, s`il y a
des cavités, des bourses, des
épanchement dans la plaie, ce
qui embarrasse l'écoulement,
l`épanchement de l'exsudat et
le drainage.
Antisepsie physique
• L'antisepsie physique - la destruction des microorganismes avec
l'aide des méthodes physiques.
• Les matériaux de pansement hygroscopiques.
• Les solutions hypertoniques.
• Le drainage.
• On distinguent trois types principaux du drainage: passif, actif et
rinçage en courant­.
• Drainage passif. Pour le drainage passif on utilise les raies du
caoutchouc de gant; les tubes de caoutchouc, silicone mono-et
bi-lumières. Au drainage passif le reflux passe selon le principe des
vases communicants. Le bout extérieur du drainage se couvre du
bandeau ou on le met au flacon avec l`antiseptique.
Antisepsie physique
• Drainage actif. Au drainage actif au site du bout proximal du drainage
il y a ­une pression négative avec l'aide de ballonnet du caoutchouc ou
le pompe à vide.
• Drainage rinçage en courant­. À la plaie on établit au moins deux
drainages. Par l`un (ou quelques) d'eux se réalise constamment
l'introduction de la solution, et par un autre son reflux.
• Le moyen de sorption du traitement des plaie: dans la plaie on
introduit les substances, qui adsorbent sur eux-même les toxines et les
microorganismes (les substances, qui contiennent le silicium en forme
de poudre ou des fibres etc.).
• Les équipements. On appliquent l'ultrason, UV, les lasers. Les facteurs
du milieu ambiant: on appliquent l`asséchement par l`air chaud stérile
(200-400).
Antisepsie chimique
• La destruction des microbes dans la plaie, l'organisme du patient et le milieu
autour de lui avec l'aide des substances chimiques.
•  
• Plusieurs antiseptiques, avec succès sont utilisés et à l`asepsie.
•  
• Les désinfectants sont appliquées pour la destruction des microorganismes dans
le milieu ambiant (le lavage des planchers, des murs, des objets du traitement et
des instruments de chirurgie).
•  
• Les antiseptiques sont utilisées pour la destruction des microbes se trouvant à
la surface de la peau, les membranes muqueuses, les cavités, c.a.d. sont elles sont
à usage externe.
•  
• Les substances chimiothérapiques sont utilisées pour la destruction des
microbes dans les foyers pathologiques du malade, c'est pourquoi ils sont
introduits à l'intérieur ou parentéral.
•  
Groupes des antiseptiques chimiques
• Les haloïdes (l'iode 1-5 %, iodopyron, solution iodo-iodurée,
chloramine)
• Les sels des métaux lourds (le sublimé corrosif, le nitrate de
l'argent, protargol, fleur de zinc, le sulfate de cuivre)
• Les alcools (éthylique 70-960, АHD-2000)
• Les aldéhydes (la formaline – 37 % solution du formaldéhyde, le
lysol, l'urotropine, saidex)
• Les phénols (le phénol, la solution triple – 2 g. De formaline +10
g. d u phénol +30 g. de bicarbonate de sodium +1l. de l'eau
distillée)
• Les colorants (vert brillant NB, méthylène bleu, rivanol)
• Les acides (l'acide borique, l'acide salicylique)
• Les alcalis (ammoniaque)
•  
Groupes des antiseptiques chimiques
• Les oxydants (l'eau oxygénée, caméléon)
• 10. Les détersifs (bigluconate de chlorhéxidine 0,5 % les 0,1-0,2 %
d'alcool d'eau, cérigel, dégmicide)
• 11. Les goudrons (l'ichtyol, le goudron de bouleau)
• 12. Les antiseptiques de l'origine végétale (chlorophillipte,
ectéricide)
• 13. Les dérivées du nitrofuranne (furacilline, furadonine,
furasolidon)
• 14. Les dérivées 8-oxyquinoléine (nitroxoline-5-NOK,
entéroseptol)
• 15. Les dérivées de quinoléine (dioxidine)
• 16. Les dérivées de nitroimidazole (métronidazole)
• 17. Sulfamides (l'action breve – le streptocide, une moyenne
action – sulfazine, de longue durée – sulfadiméthoxine, de
superlongue durée –sulfaléne, biseptole– la préparation
combinée)
Antisepsie biologique
• C'est l'ensemble des mesures à la lutte avec
l'infection dans l'organisme de l`homme avec
l'aide des agents de la nature biologique
• (Les antibiotiques, les sérums, les vaccines,
les bactériophages, les enzymes
protéolytiques, les anatoxines des
préparations du sang
Antisepsie biologique
• Les préparations de • Les préparations et les méthodes
l'action directe de l'influence médiate sur le
• Les antibiotiques microorganisme
• Les les enzymes • vitaminothérapie, UV du sang,
protéolytiques, les quartz, l'irradiation laser du sang,
préparations pour les préparations stimulant
l'immunisation passive l'immunité non spécifique –
thimaline, T-aktivin, les
interférons, interleucines, les
préparations stimulantres
l'immunité spécifique – les
vaccines, les anatoxines
L`histoire du sujet
• L'histoire des antibiotiques dès 19 siècles – 1871 prof. de
l'académie S-de Pétersbourg militaire-médicale Monassein a
décrit la capacité des champignons de moisissure de réprimer
le développement des bactéries.
• En 1929 Fleming a élevé le microorganisme végétal Penicillium
notatum capable de supprimer strepto et staphylocoques, en
1940 le groupe des savants de l'université D'Oxford (Gorvard
Flori) a séparé de ce microorganisme végétal la substance
appelée la pénicilline. En 1943 aux États-Unis on commence la
production industrielle de la pénicilline.
• La première pénicilline était reçue par l'académicien
Z.V.Ermolieva en 1942.
Principes de la prescription des antibiotiques

1.Utiliser les antibiotiques selon les indications strictes!!!!!


2. Fixer les doses maxima thérapeutiques ou subtoxiques!
3. Respecter la divisibilité de l`insertion pendant les24 heures.
4. Il faut prendre en considération les contre-indications
possibles, y compris les effets hépato- néphro, -
neurotoxiques de certains antibiotiques, la possibilité de
l'apparition des réactions allergiques. C'est pourquoi avant
leur prescription il est nécessaire de recueillir
soigneusement l'anamnèse, y compris allérgologique.
Principes de la prescription des antibiotiques

• 5. Les antibiotiques doivent être prescris conformément à la sensibilité de la


microflore. À l'impossibilité d'organiser ces examens les antibiotiques sont
prescris empiriquement selon le principe: quels microorganismes se
rencontrent le plus souvent à la maladie donnée concrète et en conséquence
vers quels antibiotiques ces microorganismes sont sensibles plus souvent.
• 6. Si on prescrit deux antibiotiques ou plus, il faut se persuader de l'efficacité
de la combinaison semblable, puisque dans uns cas cette combinaison est
très efficace, aux autres l'effet ne se renforce pas et même peut baisser.
• 7. Dans 8-10 jours les antibiotiques il faut remplacer par les antibiotiques de
l'autre groupe, car pour cette période très souvent se produit une
accoutumance de la microflore aux antibiotiques donnés et apparaît
l`antibiorésistance du groupe indiqué.
•  
Principes de la prescription des antibiotiques

• 8. À la thérapeutique antibactérienne massive et longtemps


passée il est nécessaire de prescrire nystatine ou lévorine pour la
prophylaxie de candidose, ainsi que les vitamines,
particulièrement les groupes B et C, pour la réduction des effets
toxiques de certains antibiotiques et la prévention du
développement des hypovitaminoses.
• 9. Il est nécessaire de stimuler simultanément les forces
personnelles protectrices du macroorganisme par l`utilisation
des vivres riches en calories à valeur requise, des
immunostimulants et des immunomodulateurs, les préparations
anabolisantes.
•  
Les groupes essentiels des antibiotiques
• Les pénicillines (inhibent la synthèse du paroi cellulaire du
microorganisme (МО); pour l'essentiel — un large spectre de
l'action):
• La pénicilline (le sel de sodium et potassique de benzilepénicilline);
• Semi-synthétiques: oxacilline, méthicilline, ampicilline,
amoxécilline;
• Prolongés : bicilline, bicilline-3, bicilline-5;
• Combinés : аmpioxe (ampicilline + оxacilline), aougmentine
(amoxécilline + le sel potassique de l`acide clavoulonique), unasine
(ampicilline +sulbactame).
•  
Les groupes essentiels des antibiotiques
• Streptomycines (inhibent la fonction des ribosomes des
МО; un large spectre; auto - nephro – et hépatotoxiques,
inhibent l'hématopoïèse): la streptomycine.
• Тétracyclines (inhibent la fonction des ribosomes des
МО; un large spectre) tétracycline;
• Маcrolides (troublent la synthèse de la protéines à МО;
hépatotoxiques, les trobles de la fonction du canal
alimentaire sont possibles: l'érythromycine,
oléandomycine, roxythromycine, аsithromycine,
clarithromycine.
Les groupes essentiels des antibiotiques
• Аminoglucosides (troublent la synthèse cellulaire
la synthèse des МО; un large spectre; auto - et
nephrotoxiques): kanamycine, la gentamicine,
tobramycine, cisomycine; les semi-synthétiques:
amycacyne, neutromycine.
• Chloromycétine , chloramphénicol, (troublent la
synthèse de la protéine à МО; un large spectre;
inhibent ­l'hématopoïèse): chloramphénicol.
Les groupes essentiels des antibiotiques
• Riphampicyne (troublent la synthèse de la protéine à МО; un
large spectre; ­provoquent l'hypercoagulation,
hépatotoxiques) : riphampicyne
• Les antibiotiques antifungiques (antimycotiques) : lévorine,
nystatine.
• Polypeptides: trobles les fonctions des membranes
cellulaires, nephrotoxiques.
• Polymixine B (influence sur МО gram-négatifs, y compris sur
la bacille du pus glauque).
• Lyncosamines (troubles la synthèse de la protéine à МО) :
lyncomycine, la clindamycine.
Les groupes essentiels des antibiotiques

• Céphalosporines (troublent la synthèse du


paroi cellulaire des МО; un large spectre;
nephrotoxiques en hautes doses).
• 1 génération : céphasoline, céphalexine
• 2 génération : céphamandole,
céphméthazole,
• 3 génération : céphtriaxone, céphotaxime
• 4 génération : céphpyrome, céphinime
Les groupes essentiels des antibiotiques
• Fluorquinolones (inhibent l'ADN-hydrase des МО; un large
spectre).
• 1 génération : оphloxacyne, cyprophloxacyne;
• 2 génération: lévophloxacine, phléroxacyne,
toçoufloxacyne.
• Carbapènemes (troublent la synthèse du paroi cellulaire des
МО; un large spectre): imipèneme, méropèneme.
• La préparation combinée thiéname (imipèneme +
cylastatyne); cylastatyne — l`inhibiteur de l`enzyme
influençant le métabolisme de l'antibiotique ­dans les reins.
•  
Les groupes essentiels des antibiotiques
• Glycopeptides (changent la perméabilité et
troublent la synthèse du paroi cellulaire des МО,
un large spectre, auto - et nephrotoxiques):
vancomycine, érythromycine эримомицин.
• Excepté la classification présentée d`après ces
groupes les antibiotiques se divisent en
préparations (agents) du spectre de l'action
large et limité.
•  
Complications de l`antibiothérapie
• Les réactions allergiques;
• L'action toxique aux organes internes;
• Dysbiose;
• La formation des souches (stock) stables des
microorganismes.
Enzymes protéolytiques
• Les enzymes protéolytiques - lysent les tissus nécrosés, la
fibrine, diluent l'exsudat purulent, ­produisent l'action
antiphlogistique.
• Тrypsine, chymotrypsine, chymopsyne— les préparations
de l'origine animale,­on les reçoit du pancréas des bovins.
• Тerrilitine — le produit de l'activité vitale du champignon
(de moisissure) végétal Aspergillis terricola.
• Iruxole — l'onguent (liniment) pour la détersion
enzymatique — la préparation combinée, formée par
l`enzyme chlostridilepeptidase et l'antibiotique
chloromycétine.
 
La détersion enzymatique des plaies purulentes
Types des réactions de défance
• Résistance naturelle (non spécifique) – les
barrières physiologiques, les facteurs
cellulaires, l'inflammation, les facteurs
humoraux.
• Les facteurs spécifiques de la protection
(l`immunité)
•  
Agents immuns

Vaccins, аnatoxines

sérums, immunoglobulines

immunomodulateurs
Agents pour l`immunisation active
(stimulants de l`immunité spécifique)

Anatoxine staphylococcique

Anatoxine tétanique
Les moyens pour
l`immunisation passive

Le sérum antitétanique

Le sérum polyvalent antigangréneux

Le plasma hyperréfractaire
(antipyocyanique, antistaphylococcique,
anticollibacillaire)

Les immunoglobulines normales de l`homme


(«Pentaglobine», «Gabriglobine» etc.)
 
Immunomodulateurs

Тymaline, Т-activine, Lévamizole,


Prodigiosane

Polyoxydonie, Immuophane,
Galavite, Licopide
Stinulants de la résistance non spécifique

• Quartz, vitaminothérapie, l'alimentation à


valeur requise
• OUF et l'irradiation laser du sang
• Xénorate, plasmaphérèse
• La transfusion sanguine et de ses composants,
y compris l`autohémothérapie.
•  
Infection d'hôpital (nosocomiale)
• une maladie cliniquement reconnaissable
infectieuse qui affecte le patient à la suite de
son admission à l'hôpital ou l`infection du
travailleur de la médecine à cause de son
travail à l'hôpital
Les principales manifestations de l'infection
nosocomiale

• La pneumonie (37%).
• Infections des voies excrétrices (23%).
• Bactériémie cathéter-associée (12%)
Les facteurs de risque d'infection nosocomiale

• Caractéristiques du patient - la vieillesse, les troubles


alimentaires, l'alcoolisme, le tabagisme, les maladies
pulmonaires chroniques, le diabète, insuffisance rénale,
coma.
• L'insuffisance des mesures de prévention des infections en
milieu de soins de santé - une violation du régime de
l'épidémie, la pollution de l'équipement, l'utilisation des
instruments réutilisables, mauvais lavage des mains, etc.
• Diverses interventions invasives (y compris chirurgiques), les
traumatismes, les brûlures, l'alimentation artificielle, les cours
précédents de l`antibiothérapie (en particulier d'antibiotiques
à large spectre), la corticothérapie à fortes doses, la sédation,
l'immunosuppression, l'hospitalisation prolongée
Etiologie d`infection nosocomiale

• Infection nosocomiale peut être causée par des


micro-organismes (on révèle souvent la flore
polymicrobienne). La structure de l'agent pathogène
est très différente dans de différents établissement
médico- prophylactiques, selon le profil des patients,
la localisation de l'infection, les protocoles de
thérapie anti-microbiens, les méthodes de contrôle
des complications de l'infection, l`antibiorésistance
Diagnostic de l'infection nosocomiale
• un ensemble spécifique de méthodes de
laboratoire et instrumentaux dépend des
symptômes et des résultats de l'examen
physique, à la base desquells est formé une
hypothèse (ou diagnostic différentiel des
maladies)
• Bactériémie (l'apparition de bactéries dans
le sang) ou une septicémie (généralisation de
l`infection, il est nécessaire de prélever du
sang, puis d'identifier l'inoculation pathogène
Prévention de l'infection nosocomiale

• 1. Optimisation du système de surveillance


épidémiologique. Naissance du service des
épidémiologistes de services médicaux en Russie a lieu
officiellement avec la publication en 1993, par le
ministère de la Santé de l`ordre № 220 "Des mesures
visant à développer et améliorer les services
infectieuses dans la Fédération de Russie." Le but de la
surveillance épidémiologique est de suivre la situation
épidémiologique dans le cadre des soins de santé, le
développement d'un système de mesures de contrôle
et de prévention des infections nosocomiales.
Prévention de l'infection nosocomiale

• 2. Amélioration de l'efficacité des mesures de


désinfection et de stérilisation.
Actuellement, le groupe le plus perspectif des composés
pour la désinfection des articles médicaux et d'autres
objets dans les hôpitaux devraient être considérés les
composés d'ammonium quaternaires. Ces composés
ont une forte activité bactéricide, et les propriétés du
nettoyage qui permetteront de combiner en une seule
étape le nettoyage et la désinfection des chambres ou
bien le désinfection et le nettoyage avant la stérilisation.
Prévention de l'infection nosocomiale

• Pour la désinfection de l'air est


recommandé d'utiliser les UV-
recirculateurs irradiateurs modernes
blindés sans ozone, dont le principe de
fonctionnement est basé sur l'air forcé
pompée à travers l'appareil, où se trouve
la lampe UV. Est possible l'application des
recirculateurs sans limiter le temps et le
fonctionnement en présence des gens.
Prévention de l'infection nosocomiale

• D` une grande importance est la qualité du


nettoyage des chambres courant et générale.
Par exemple, des études montrent que la
probabilité d'infection nosocomiale
Staphylococcus de staphylocoque doré et
l`entérocoques résistant à la vancomycine et
résistants chez les nouveaux patients admis à
la réanimation et l'unité des soins intensifs,
d`où ont reçu leur exeat les patients infectés a
augmenté de 40%.
Prévention de l'infection nosocomiale

• Il est à noter l'évolution de stérilisateurs à


vapeur et de l'air de nouvelle génération
(procédé de commande automatique, la
présence du blocage du processus de la
lumière et l'affichage numérique). Conçu et
mis en pratique le stérilisateur pour les petits
insruments de chirurgie, en utilisant comme
milieu de stérilisation les perles de verre
chauffées, l'ozone et les stérilisateurs à plasma
Prévention de l'infection nosocomiale

• Rationalisation des principes de l'hygiène nosocomiale.


Mesures d'hygiène sont la base de la prévention des infections
nosocomiales. De leur plénitude et la qualité dépend en
grande partie la réussite du traitement. Par exemple, l'une des
principales conditions pour prévenir la propagation des
infections est généralement considéré comme le lavage des
mains avec du savon et de l'eau, ce qui entraîne la suppression
de la peau de la quasi-totalité des bactéries transitoires gram-
négatives.
• Les résultats similaires ont été obtenues en ce qui concerne
l`utililisation des antiseptiques à la base de l'alcool, qui
peuvent être une alternative au lavage des mains avec de l'eau
et les produits de lavage.
Prévention de l'infection nosocomiale
• La réalisation des principes de l'hygiène nosocomiale
comprend le strict respect des normes sanitaires de
la mise en place de zones fonctionnelles, des patients
dans les sections des salles d'hôpital;
• l'optimisation de la séparation des flux fonctionnels
«propres» et «sales» de la circulation du personnel,
des patients, du linge, des déchets, etc;
• Organisation du système épidémiologiquement
sûre des déchets médicaux;
• L'utilisation de solutions modernes d'architecture
et de planification pour la construction et la
rénovation des bâtiments médicaux et des hôpitaux.
Problèmes des VIH-infectés en
chirurgie
• • Tous les patients des hôpitaux chirurgicaux sont
testés pour le VIH
• Les règles de sécurité personnelle du personnel
prévoient (selon l'ordre № 86 du Ministère de la Santé
30/08/89) la nécessité de travailler en gants en
caoutchouc lors de toute manipulation dans les
hôpitaux chirurgicaux, tout contact avec le sang et les
liquides biologiques des patients
• Au cours de l`intervention des VIH-infectées on a
besoin d'utiliser des masques et des lunettes spéciales
en contact avec les fluides corporels, le sang avec
divers objets, la peau, les muqueuses, leur traitement
par des antiseptiques est nécessaire.
Ttousse de médicaments «ANTICIDA»

You might also like